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31 août 2013 6 31 /08 /août /2013 13:55

29 août 2013

 

La Médecine Traditionnelle Chinoise (MTC) s'est avérée efficace dans le traitement des patients du SRAS, de la grippe aviaire et d'autres maladies infectieuses apparues en Chine ces dix dernières années.

...

 

D'après les statistiques, les malades atteints du virus H7N9 soignés avec une combinaison de méthodes chinoises et occidentales présentent un taux de mortalité de 9,1%, contre 30% dans le cas d'une utilisation unique de la médecine occidentale.

 

La MTC peut en outre contribuer à réduire la durée d'une maladie et à améliorer la capacité des malades à endurer la douleur. Le faible coût de la MTC permet aussi de réduire les frais auxquels sont confrontés les malades, a ajouté M. Chen.

 

Cependant, les avantages de la MTC n'ont pas été pleinement mis en valeur dans le traitement des maladies infectieuses, en raison d'une faible promotion auprès du public et d'un manque de réglementation dans le système juridique, a-t-il indiqué.

 

Des technologies de MTC seront également développées pour contrôler les infections, notamment à l'hépatite et au VIH/sida.

 

Source : French.News.Cn

 

Mais à part ça, les officiels viendront nous ressortir dans l’urgence leur traditionnel couplet sur le fait qu’ils ne peuvent appliquer et recommander que « ce qui a été scientifiquement prouvé » !! Comme on le voit ici en Occident, ce qui est labélisé comme « scientifiquement prouvé » est uniquement ce qui arrange l’industrie pharmaceutique dominante et considérée comme « partenaire naturel » par nos bonnes autorités officielles !!

 

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30 août 2013 5 30 /08 /août /2013 21:45

Caducee-2.JPG

Un article lénifiant paru sur le site de propagande Vaccines Today déplore le manque de prosélytisme vaccinal des jeunes médecins. Le site attribue cette défection au fait que les jeunes médecins n'auraient pas suffisamment conscience du risque infectieux parce qu'ils n'auraient pas constaté eux-mêmes les conséquences de ces maladies devenues nettement moins fréquentes.

 

Le site insiste sur l'importance que les médecins soient convaincus de la nécessité vaccinale parce que leurs patients suivront alors cet exemple. Selon ce site, ce serait des cours de vaccinologie insuffisants et des notions éclatées sur un nombre trop grand d'années du cursus qui seraient à l'origine de cette attitude vaccinale différente de la part des médecins plus jeunes.

 

Nous ne partageons bien sûr pas du tout cette analyse. Il nous semble que l'establishment vacille sur son socle et redoute en fait un grand changement des mentalités par rapport à un acte automatique et qui restait finalement trop confortablement inquestionnable depuis tant d'années.

 

Une des grandes raisons pour lesquelles la vaccination est restée inquestionnable jusqu'à présent, est l'énorme attrait financier qu'elle revêt pour ceux qui la pratiquent. En effet, selon le rapport d'octobre 2012 de la Cour des Comptes française, les vaccinations représentent au minimum 12,6% des revenus des médecins généralistes et 33% des revenus des pédiatres. Et ceci est sans compter les éventuels systèmes de primes (CAPI) pour les médecins les plus zélés, en matière de vaccination antigrippale par exemple. C'est aussi sans compter toutes les consultations additionnelles justifiées par la survenue d'effets secondaires postvaccinaux et ceci bien sûr, que les patients aient établi la connexion avec le vaccin ou pas. Selon un rapport de l'ONE & de Provac de 2009, 5% des enfants doivent reconsulter endéans les 48H après vaccination pour effets secondaires. Ces chiffres ne concernent donc que les 48 premières heures mais combien en tout auraient pu éviter des consultations inutiles s'ils n'avaient pas reçu ces vaccins prétendument vitaux ? Lorsqu'on voit les chiffres comparatifs de maladies entre enfants vaccinés et enfants non vaccinés, on a une plus juste idée du juteux business que toutes ces maladies inutiles peuvent représenter pour la communauté médicale dans son ensemble, même si celle-ci se défendra d'avoir une mauvaise intention. Or il ne s'agit pas ici de dire qui est gentil ou méchant, ni qui est bon ou mauvais mais d'analyser, d'autopsier et de comprendre qui, dans les faits, peut de façon incontestable retirer des avantages financiers de tout cela.

 

C'est d'ailleurs d'autant plus important à comprendre que les résultats d'une enquête menée par l'INPES en 2005 auprès d'un échantillon représentatif de 400 médecins généralistes et pédiatres français (et dont les résultats n'ont comme par hasard jamais été publiés) démontrent de façon accablante l'absence totale d'unanimité médicale au sujet des vaccins. Sur ces 400 médecins en effet, pas moins de 58% s'interrogaient sur l'utilité des vaccins faits aux enfants et 31% sur leur sécurité. Mais ce que ces médecins ont accepté de dire dans ce genre d'enquêtes anonymes, ils n'osent évidemment pas le révéler à leur patientèle (peur de l'Ordre, responsabilité juridique s'ils ont déjà vacciné ces patients-là, aspect financièrement intéressant de la vaccination sur leurs revenus etc). La meilleure preuve de cette affirmation est le gouffre séparant ces dérangeants résultats et le taux de vaccination officiel. Beaucoup, si pas énormément de médecins vaccinent sans oser faire part de leurs doutes et sûrement aussi parce que ça rapporte bien financièrement (qu'ils s'en défendent ou non).

 

Les cours de vaccinologie n'apporteront aucun attrait supplémentaire à la pratique vaccinale puisqu'il s'agit en réalité d'une fausse science destinée à donner un vernis de scientificité aux vaccins qu'on refuse pertinemment d'évaluer correctement, de peur de ce qu'on trouvera. Et d'ailleurs, mêmes les enseignants en vaccinologie, issus des firmes pharmas et/ou consultants à l'OMS, reconnaissent eux-mêmes dans leurs cours en ligne l'ampleur de ce qui n'est pas connu car pas étudié: TOUT! Puisqu'ils avouent en effet ne même pas savoir comment marchent les vaccins!!

 

Les jeunes médecins sont beaucoup plus familiarisés que les anciens au "réflexe internet". A côté d' instances non crédibles comme l'OMS qui ont essayé en vain de diaboliser internet et même de lui attribuer la responsabilité dans le fiasco vaccinal issu de la fameuse manipulation H1N1, il y a aussi le bon sens citoyen (les médecins sont aussi des citoyens) qui consiste à se rendre compte qu'internet n'est qu'un cadre d'accès et pas une information en soi, et que dès lors, il permet d'accéder plus facilement à une information plus large et plus globale sur une question donnée, et bien sûr y compris sur la vaccination.

 

Cet accès plus large à l'information via internet, justifie sûrement au moins en partie le peu d'attrait que le vaccin antigrippal rencontre auprès des professionnels de santé, qui peuvent ainsi plus facilement se rendre compte de son inefficacité scientifiquement avérée (à de multiples reprises) car les revues de référence auxquelles ils peuvent être abonnés sont aussi hélas les revues les plus prisées des pharmas pour y faire paraître leurs résultats biaisés à la gloire du vaccin!!

 

Si on ajoute à cela le fait que des lois sur les droits des patients ont été adoptées plus récemment (2002 en France et en Belgique par exemple) et que ces lois imposent aux médecins d'informer de façon plus complète les patients des avantages comme des risques des traitements suggérés, on comprend que les plus jeunes médecins soient sans doute moins empressés que les anciens à vanter la vaccination. D'autant que des précédents judiciaires sont venus sonner le glas de l'impunité séculaire des praticiens, comme lorsque ce juge de Bordeaux a condamné par exemple un médecin à verser 3000 euros à un patient parce qu'il ne l'avait pas informé du risque de sclérose en plaques associé au vaccin anti-hépatite B qu'il avait administré. Dans cet exemple, le juge a clairement estimé qu'il s'agissait d'une faute professionnelle et que cette faute avait causé un dommage moral nécessitant d'être réparé.

 

Les patients deviennent de plus en plus exigents, ils s'informent, tout simplement. De ce fait, la loi économique incontournable de l'offre et de la demande va tôt ou tard balayer les rêves de vaccination soviétique et totalitaire de diverses instances internationales antidémocratiques et elle ne pourra qu'ancrer plus profondément encore dans la pratique quotidienne des jeunes médecins une saine circonspection vis-à-vis du "tout vaccins".

 

 

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30 août 2013 5 30 /08 /août /2013 20:40

Des traces de virus dans le FLUVAX provoqueraient l’augmentation des cas de convulsions et autres réactions indésirables chez les enfants

 

Ethan A. Huff (Natural News), 28.08.2013

 

Fluvax-natural-News.jpg

 

 

Un vaccin qui a été fortement “poussé” pour les enfants avant et après le grand canular de la grippe porcine de 2009, le Fluvax est de retour après que « CSL Biotherapies », la compagnie pharmaceutique qui fabrique le vaccin, a récemment attribué à un défaut de fabrication, les réactions indésirables graves chez des milliers d’enfants à travers le monde qui avaient reçu ce vaccin Fluvax.

 

L’ « Australian Life Scientist » rapporte qu’une enquête de deux ans ayant été mise sur pied pour savoir pourquoi le Fluvax avait provoqué un nombre alarmant de convulsions fébriles graves, ainsi que d’autres effets secondaires effrayants chez les enfants, a finalement révélé que le problème serait dû à un nombre exceptionnellement élevé de composants du virus dans le vaccin. Selon les Centres de Contrôle et de Prévention des Maladies (CDC), près d’1 enfant sur 100 a été touché par ces effets secondaires après avoir reçu le Fluvax.

 

Il semble que le processus destiné à éliminer les composants réactifs du virus du vaccin se soit avéré insuffisant. C’est ce qui pourrait expliquer pourquoi beaucoup d’enfants ayant reçu ce vaccin ont connu une réponse immunitaire plus forte. C'est la théorie de CSL pour expliquer pourquoi le Fluvax a engendré ces réactions chez un nombre inquiétant d’enfants.

 

Le CDC rapporte qu’au cours de la saison grippale 2010 en Australie, l’administration du vaccin trivalent inactivé contre la grippe (TIV) fabriqué dans l’Hémisphère Sud par « CSL Biotherapies » (marques Fluvax Junior et Fluvax) avait été associé à une fréquence plus élevée de fièvres et de convulsions fébriles chez les enfants âgés de six mois à quatre ans.

 

Le taux de convulsions fébriles après Fluvax ou Fluvax Junior a été estimé à environ un pour cent pour les doses administrées aux enfants de six mois à quatre ans.

 

En raison de ce taux d’incidents incroyable, les autorités australiennes ont retiré l’autorisation de mise sur le marché du vaccin (AMM) pour les enfants de moins de cinq ans. Le vaccin reste seulement recommandé pour les enfants âgés de cinq à neuf ans si aucun autre vaccin n’était disponible. Mais le Groupe Consultatif Technique Australien sur la vaccination semble encore vouloir recommander le Fluvax pour les enfants de 10 ans ou plus, bien que cette vaccination soit liée à une énorme augmentation (neuf fois) de la fièvre et des convulsions.

 

Pendant ce temps, CSL continue de prétendre qu’il ne peut pas dire d’une façon définitive pourquoi le Fluvax provoque plus de fièvre et de convulsions que d’autres vaccins similaires, tout en niant que les matières premières destinées à la fabrication du vaccin aient été défectueuses.

 

Selon certains rapports, beaucoup de médecins Australiens continuent d’administrer le Fluvax à des nourrissons et à de jeunes enfants malgré l’interdiction. (http://www.naturalnews.com/035636_flu_vaccine_banned_children.html)

Sources de cet article:


http://www.lifescientist.com.au

http://www.naturalnews.com/035009_Australia_flu_vaccine_dangers.html

http://www.cdc.gov/media/pressrel/2010/s100806.htm

Pour en savoir plus:

 

http://www.naturalnews.com/041812_Fluvax_vaccines_convulsions.html#ixzz2dHD4sxdn

 

http://www.naturalnews.com/041812_Fluvax_vaccines_convulsions.htm

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30 août 2013 5 30 /08 /août /2013 20:05

Objet : Votations suisses du 22 sept : "Loi sur les Épidémies" : dites NON si vous voulez éviter fichage, criminalisation du simple citoyen, viol de son intégrité corporelle, et autres rétorsions...

 

SUISSE-VOTATION.jpg

 

Chers amis,


L'heure est grave. Dans un "quasi-silence assourdissant" sur ce sujet dans les médias depuis longtemps (ou alors avec la parole accordée très majoritairement toujours aux mêmes, représentants des intérêts des multinationales pharmaceutiques...), on nous a préparé un paquet de lois infâmes, indignes d'une démocratie !


Vous avez dit "gouvernement mondial" ? Celui-ci, je n'en veux pas. C'est celui qui orchestre la libéralisation générale, sous le nom de mondialisation, et qui ne favorise la liberté que des multinationales et de quelques entreprises pointues, pas celle des simples citoyens, coincés dans un système de guerre économique, et d'endettement artificiel habilement organisé...


Contraindre à se faire vacciner est un acte gravissime, pour qui connaît la composition complète des vaccins, et leurs risques cachés. Entre autres, une micro-encéphalite post-vaccinale est fréquente, entre autres. Heureusement, elle n'est que "micro-", la plupart du temps. Mais à force de répéter les vaccins....?!?


J’œuvre comme médecin, en cabinet privé depuis plus de 25 ans. Je ne peux rester muet face à ce qui se trame. Et n'ai qu'un regret : n'avoir pas eu la disponibilité de faire connaître ceci plus, plus tôt, plus vite...


On pourra lire la suite de mes réflexions plus loin. Je laisse d'abord ici la place à quelques références internet des référendaires contre cette loi : PRENEZ LE TEMPS DE LES LIRE :

C'EST ASSEZ EFFARANT !


Et à vous de jouer ensuite, pour transmettre à d'autres pendant qu'il est encore temps. Quoi qu'il puisse arriver, plus nous serons nombreux à savoir, et à agir en conséquence, et mieux nous laisserons de chances à une "santé autrement", et à une liberté de conscience, de survivre !!!

Faites un copier-coller des références dans votre moteur de recherche, et vous verrez !


http://loi-epidemies-attention.ch/fr/depliant
http://www.nein-zum-impfzwang.ch/fr  (français)
http://epidemiengesetz-achtung.ch/sites/default/files/LEp-NON-depliant.pdf  (français)
http://epidemiengesetz-achtung.ch/fr/en-resume  (français)
http://epidemiengesetz-achtung.ch/sites/default/files/LEp-NON-tract.pdf  (français)


Il y a 4 ans, (c'est déjà loin, on compte sur notre oubli ???), le spectre de la grippe H1N1 était brandi dans tous les medias, l'Organisation Mondiale de la Santé (financée pour moitié environ par les producteurs de vaccins) déclarait une pandémie mondiale, tous les gouvernements achetaient des millions de doses de vaccins, et de remèdes antiviraux chimiques prétendument efficaces, puis essayaient de les fourguer à tout le monde. Les 2/3 des infirmiers et infirmières, tout de même méfiants, refusaient de se faire vacciner. Surtout après les 1ères victimes chez les infirmières suédoises....

 

En Suisse, un médecin sur 2 était contre cette vaccination.... pour lui-même et sa famille. Mais parfois la pratiquait sur ses patients. Des millions de francs de vaccins et de médicaments jetés à la poubelle finalement...? Non, les produits seulement. Les francs, eux, sont partis sur les comptes en banque des pharmas... et de quelques autres intervenants probablement.


Et, ce dont on ne parle quasi jamais, mais dont un médecin comme moi sait que cela existe, des victimes d'effets secondaires parfois graves de ce vaccin (comme d'autres), et qui frappent à ma porte 1, 2, 3, voire 4 ans après, parfois au bord du suicide à force de souffrances non reconnues et non soulagées. Parfois, les médecines naturelles parviennent, non sans efforts coûteux, à "récupérer" ces personnes, à leur redonner une santé acceptable. Mais parfois non, ou pas assez.


Restent les yeux pour pleurer, et des consciences à réveiller. Pour que ça ne se reproduise pas.


Or, c'est ce qu'on nous prépare, avec cette nouvelle loi, et en pire ! Grâce à l'aventure H1N1, une partie importante des citoyens, surtout grâce à internet, a pu prendre la mesure du problème des vaccinations, prétendues efficaces et sans danger. Si elles l'étaient, il n'y aurait pas de problème, et aucun besoin de contrainte ou de menace pour que les gens courent se faire vacciner.  Bien conditionnés, certains courent de toute façon.


Mais, en rendant une vaccination obligatoire, on rend toute comparaison scientifique entre vaccinés et non-vaccinés impossible, pour cause d'inexistence des non-vaccinés !!! Or, l'histoire a montré clairement ceci (2 exemples parmi de nombreux autres) :


Aux Philippines au début du 20ème siècle, on a fait de multiples campagnes de vaccinations contre la variole. Résultats : le taux de variole a été multiplié par 6 à 10 (!!!) dans les îles vaccinées, et en particulier à Manille où tout le monde était survacciné, alors que sur l'île philippine de Mindanao, où les habitants avaient refusé d'être vaccinés, l'incidence de la variole était resté identique au point de départ.


En France, "avec la vaccination", la tuberculose a régressé et quasi disparu. Oui mais, ce qu'on ne dit ni ne montre, comme d'habitude :


1/ cette régression avait démarré bien avant l'introduction du vaccin, et était déjà très avancée lors de l'introduction du vaccin.


2/ aux Pays-Bas, où le vaccin n'était pas obligatoire, et où seuls 5 à 10 % de la population s'est fait vacciner volontairement : la régression s'est produite non seulement à la même vitesse qu'en France, mais a abouti à une disparition finalement plus rapide, car il n'y a pas eu les petites remontées momentanées (gommées dans les statistiques usuelles) liées aux campagnes de vaccination telles que pratiquées en France....


Par ailleurs, on nous bassine, malgré les faits ci-dessus et bien d'autres, avec une prétendue protection collective ! Si un vaccin était vraiment efficace et sans danger, le vacciné n'aurait rien à craindre d'un non-vacciné ! Pourquoi alors ce conformisme imposé, cette "chasse aux sorcières", cette suspicion jetée comme par hasard sur les réticents à l'industrie du médicament ?? Une personne, vaccinée ou pas, peut être un porteur sain de microbes. Ils se développent, ou pas, chez d'autres selon leur terrain biologique, leur santé, qui ne saurait pas tenir qu'à la question vacciné ou pas : tant de facteurs de santé interviennent ! Mais la majorité ne sont pas brevetables, donc peu rentables !

 

Combien de personnes savent que les vaccins contiennent pour la plupart des métaux lourds (Mercure, Aluminium), toxiques pour le cerveau, le foie, les reins, la thyroïde etc. ? Et aussi des impuretés génétiques issus des milieux de cultures (pour tous les vaccins viraux) : fragments d'ADN issus d'oeufs, de reins de singes, de foie de singes, de cellules cancéreuses humaines, etc, (tout ceci étant ou ayant été des milieux de culture des virus vaccinaux historiquement)... Etc, etc...


Se référer notamment au livre du Prof agrégé de biologie Michel Georget : " Vaccinations, les vérités indésirables ", éditions Dangles.


Et aux sites internet suivants

 

http://www.wikistrike.com/article-la-puce-rfid-dans-les-vaccins-86646465.html
http://www.youtube.com/watch?v=qyryg2Jckyc
http://www.youtube.com/watch?v=MUNa7SJxEp4
http://www.youtube.com/watch?v=26SSKYG6iWk
http://accord-nature.over-blog.com/article-le-vaccin-pour-la-sterilisation-definitive-de-l-humain-a-ete-teste-et-s-est-revele-efficace-sur-tous-117582270.html
http://www.sylviesimonrevelations.com
http://www.editions-jouvence.com/fr/ouvrages/fiche.cfm?ouvrage=K1443
http://artdevivresain.over-blog.com/article-la-cour-d-appel-de-rennes-reconnait-le-lien-entre-vaccination-et-une-sclerose-en-plaques-115835695.html
http://artdevivresain.over-blog.com/article-la-vaccination-tue-des-millions-d-enfants-dans-le-monde-116776767.html
http://www.bickel.fr/nouveausite/index.php
http://www.infovaccins.ch
http://www.santeglobale.info/category/sante/vaccins
http://www.micheldogna.fr/index.html
http://www.infomicheldogna.net
http://www.lesmotsontunsens.com


Les dizaines de médecins qui ont dénoncé les méfaits des vaccinations, au fil de nombreux livres et articles, n'ont eu aucun procès en diffamation ou calomnie. Même s'ils ont pu commettre, comme moi ce jour peut-être, quelques excès ou de menues erreurs ou approximations, le plus gros de leur argumentation étant très solide et imparable, il était toujours plus simple pour les pharmas de leur couper simplement le plus possible l'accès aux grands medias. Un procès aurait été trop de pub pour le point de vue critique contre les vaccins. Par contre, certains, comme le Professeur Marcel Ferru, Prof de pédiatrie en France, ont vu leur carrière tourner court, après la publication de " La faillite du BCG " (vaccin contre la tuberculose)....

 

Merci de votre attention et de ce que vous pourrez faire.


Dr Philippe Corajod


1635 La Tour-de-Trême


Suisse

 

 

« Post-scriptum : suite à ma prise de position en 2001 dans le cadre d’une campagne de vaccinations visant 11000 enfants et jeunes de ma région (suite à 3 cas de méningite bactérienne), une rumeur a été répandue selon laquelle j’arrêtais ma pratique de médecin. Volonté de nuire délibérée…. Puis, suite à celle que j’ai prise dans le cas de la grippe H1N1 en 2009, j’ai reçu la menace de devoir quitter le canton, ou même la Suisse. Les craintes ne doivent pas être exagérées, mais je constate que des rétorsions existent. INUTILE DE DIRE QU’UN MEDECIN HOSPITALIER OU INSTITUTIONNEL NE PEUT AVOIR MA LIBERTE DE PAROLE, sans risque encore beaucoup plus important… » [Lire aussi ce document que j'ai rédigé.]

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28 août 2013 3 28 /08 /août /2013 14:40

Chers amis,

 

Nous avons le plaisir de vous annoncer la tenue d'une grande conférence co-organisée avec l'IPSN (Institut pour la Protection de la Santé Naturelle) le vendredi 29 novembre prochain au Palais des Congrès de Namur sur les dangers d'une médecine autoritaire.

 

Vous trouverez toutes les infos dans l'affiche ci-dessous, que nous mettons également en pdf. N'hésitez donc pas à l'imprimer et à la diffuser près de chez vous. Merci d'avance!

 

AFFICHE CONFERENCE 29 NOVEMBRE 2013

 

Petit programme "rapide" :

 

Le Dr Didier Tarte traitera du thème "Désinformation & scandales vaccinaux" [Sylvie Simon étant fort malheureusement décédée !]

 

Le Dr Nicole Delépine évoquera "L'organisation totalitaire du traitement du cancer en France et les conséquences pour les patients."

 

Le Dr Edouard Broussalian parlera quant à lui de "La pensée unique d'une médecine de masse."

 

Il y aura ensuite un échange avec la salle et un temps suffisant pour les questions-réponses.

 

Réservations? Voir ci-dessous: 

 

 

Ceux qui souhaiteraient réserver par virement peuvent utiliser les coordonnées bancaires suivantes avec mention claire et INDISPENSABLE de la communication "Conférence du 29 novembre à Namur (+ le nombre de places souhaitées)" Leur nom figurera ainsi sur une liste dont disposeront les personnes qui gèreront l'accueil le jour J et il leur suffira de donner leur nom. Merci de veiller à ce que les réservations par virement aient été effectuées A TEMPS, c'est à dire pas le jour même de la conférence.

  

Initiative Citoyenne, Rue de Gesves, 22, 5340 Faulx-Les-Tombes, BELGIQUE.

Numéro de compte bancaire : 363-0594444-68

IBAN: BE82363059444468

BIC: BBRUBEBB

 

(*) Un clin d'oeil et un chaleureux merci au dessinateur de talent René Bickel pour sa précieuse aide dans la conception de cette affiche!!  www.bickel.fr

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27 août 2013 2 27 /08 /août /2013 16:16

Pour un vaccin en perdition, il s'agit de trouver toutes les ficelles possibles: prétendre qu'il diminuerait le risque d'autisme chez l'enfant des mères vaccinées (alors que c'est l'inverse), prétendre qu'il réduirait les crises cardiaques... et puis quoi encore ?

 

Et on peut bien sûr compter sur de dociles médias pour relayer de telles absurdités. Car on voit du reste assez mal comment un vaccin inefficace sur le taux de grippe et la mortalité associée pourrait comme par miracle prévenir les infarctus!! (Entre parenthèse: n'oublions pas que c'est justement dans les pays occidentaux qui vaccinent le plus que la mortalité infantile est la plus grande!!)

 

Cette affirmation sur le faux caractère protecteur du vaccin antigrippal vis-à-vis des crises cardiaques est d'ailleurs d'autant plus absurde que les vaccins, et notamment le vaccin antigrippal, favorisent les AVC (accidents vasculaires cérébraux) dont certains sont de type ischémiques (obstruction d'un vaisseau), un mécanisme similaire  à celui de l'infarctus!

 

 

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26 août 2013 1 26 /08 /août /2013 20:49

Dernière minute : 

Le Japon et le vaccin HPV

 

Japon HPV dernière minute

 

Sanevax Adm., 24 août 2013

 

[SaneVax : des citoyens japonais souffrant de convulsions, d’épilepsie, de graves maux de tête, de paralysies partielles et de quantité d’autres effets secondaires des vaccins contre le HPV, ont adressé une pétition aux autorités de Santé et ont demandé au gouvernement de suspendre définitivement l’utilisation des vaccins contre le « cancer du col de l’utérus »

 

Ci-dessous, le témoignage que le  Dr Sotaro Sato a présenté au Ministère de la Santé, après avoir examiné beaucoup de jeunes filles dont la santé avait été endommagée :

 

« Les convulsions, l’incapacité de marcher, les mouvements involontaires des mains et des pieds ont été provoqués par des encéphalomyélites ou inflammation du cerveau et de la moelle épinière. Les vaccins contre le cancer du col de l’utérus qui sont chimiquement liés à certains types d’adjuvants, déclenchent souvent des encéphalomyélites. Comme ces vaccins déclenchent la production d’anticorps qui s’attaquent aux fibres neuronales du cerveau, ils sont susceptibles, dans de nombreux cas, de déclencher des troubles de démyélinisation. Ces vaccins ont aussi provoqué de nombreux cas de vascularite cérébrale. » ]

 

 

Les victimes du vaccin contre le cancer du col de l’utérus demandent l’arrêt définitif de cette vaccination

 

 

TOKYO, 24 août, Kyodo – Huit adolescentes souffrant de graves effets secondaires du vaccin HPV, ainsi que leurs parents ont, vendredi, fait appel au Ministre de la Santé Norihisa Tamura  pour qu’il mette définitivement fin au programme de subvention du gouvernement pour ces vaccins. Ces jeunes-filles âgées de 14 à 18 ans, dont quatre sont en fauteuil-roulant, ainsi que leurs parents sont membres de l’Association Nationale des Victimes du Vaccin contre le HPV.

Cette demande a été introduite au cours d’une réunion avec le Ministre de la Santé, du Travail et de la Protection Sociale.

 

L’Association a remis cinq pétitions à M. Tamura en le suppliant de décider en toute première priorité de l’abolition de ce programme de vaccination.

 

Parmi les différentes pétitions remises au Ministre certaines demandent l’intensification des efforts du gouvernement pour identifier les causes de ces effets secondaires, notamment les convulsions, les crises d’épilepsie, les maux de tête graves, les paralysies partielles afin de pouvoir y apporter remède.

 

Faisant état d’un lien possible entre les effets secondaires chroniques et les vaccins, le Ministère a, le 15 juin , demandé aux gouvernements locaux de ne plus recommander les vaccins Gardasil et  Cervarix aux adolescentes.

 

En avril, le Parlement a révisé la loi sur les vaccinations préventives et a proposé une vaccination gratuite pour les filles de 14 à 18 ans.

 

Toutefois, par la suite, un Comité consultatif du Ministère a fait savoir que la recommandation vaccinale pour les jeunes-filles devait être suspendue après l’analyse de différents cas de jeunes-filles  qui avaient souffert de douleurs chroniques et dont les symptômes sont apparus après la vaccination. Le Ministère s’est finalement conformé à l’ avis du Comité.

 

Au cours de l’entrevue avec le Ministre Tamura, les jeunes-filles, leurs parents et l’Association ont demandé au gouvernement de bien vouloir revoir la loi sur la vaccination et d’éliminer les vaccins contre le cancer du col de l’utérus de la liste des vaccins subsidiée par le gouvernement central. Une élève de 17 ans du lycée de Yokohama a déclaré aux journalistes :

 

" Il n’y a pas un seul moment où je ne suis pas accablée de douleurs, et je veux que le gouvernement puisse trouver une solution. Je ne veux pas que le gouvernement puisse à nouveau recommander ce vaccin, a déclaré la jeune-fille qui avait reçu sa troisième dose de Cervarix en avril 2011." Elle expliquait qu’elle souffrait de fortes douleurs partout dans le corps jusque dans la tête.

 

Une jeune universitaire en fauteuil roulant dont les mains et les jambes n’arrêtaient pas d’être secouées par des mouvements convulsifs au cours de l’entrevue avec le Ministre, a déclaré au cours de la conférence de presse :

 

« Il doit y avoir de nombreuses filles qui souffrent des mêmes symptômes que moi sans savoir que la détérioration de leur santé a fait suite aux vaccinations. J’ai pris la décision de parler à la presse parce que je veux que ces autres filles puissent faire le lien entre les vaccins et leurs problèmes de santé. »

 

Toshie Ikeda, secrétaire général de l’Association et qui avait accompagné les jeunes-filles lors de l’entretien avec le Ministre Tamura, reprend les termes du Ministre quand il s’est adressé aux victimes :

 

« Je suis conscient de la nécessité de créer une équipe pour étudier ce problème et recueillir des informations sur les dommages qu’ont subi les vaccinés et ce, sur un  plan national. »

 

Monsieur Matsufuji dont la fille était l’une des quatre jeunes-filles en fauteuil roulant a cité le Ministre Tamura quand ce dernier a déclaré aux requérants que le gouvernement décidera de la manière dont il faudra réagir après que l’enquête sera terminée.

 

Le Dr Sotaro Sato, qui a examiné nombre de victimes du vaccin contre le HPV, a déclaré à la conférence de presse que les convulsions, l’incapacité de marcher, les mouvements involontaires des mains et des pieds ont été provoqués par des encéphalomyélites ou par une inflammation de la moelle épinière et du cerveau.

 

« Les vaccins contre le cancer du col de l’utérus sont chimiquement liés à des types particuliers d’adjuvants qui déclenchent souvent des encéphalomyélites. Comme ces vaccins déclenchent la production d’anticorps qui s’attaquent aux fibres neuronales du cerveau, ils sont susceptibles, dans de nombreux cas, de déclencher des troubles de démyélinisation. Ces vaccins ont aussi provoqué de nombreux cas de vascularite cérébrale. »

 

Au cours d’une vascularite cérébrale, le système immunitaire attaque ses propres vaisseaux sanguins dans le cerveau ; ce qui conduit finalement à des hémorragies, explique Sato qui dirige un hôpital à Osaki dans la préfecture de Miyagi.

 

C’est en 2009 que le Ministère a approuvé la commercialisation au Japon du Cervarix, vendu par GlaxoSmithKline de Grande-Bretagne. Puis en 2011, il a approuvé la commercialisation du Gardasil de Merck Sharp & Dohme, connu sous le nom de Merck aux Etats-Unis.

 

Le Ministère reconnaît avoir reçu un total de 1968 rapports d’effets secondaires parmi les 3,28 millions de jeunes-filles qui ont été vaccinées jusqu’au 31 mars.

 

Pour l’association de victimes de ces vaccins, ces chiffres ne représenteraient que la partie émergée de l’iceberg.

 

AFSSAPS sous notification

Façon dont l'Agence Française du Médicament représentait déjà la sous-notification des effets secondaires de vaccins dans un document de 2007 (cf. page 5)

 

M. Ikeda a déclaré que les médecins rejettent souvent les demandes que leur adressent les parents de victimes pour qu’ils rédigent un rapport à la suite des effets secondaires des vaccins, or ces rapports médicaux sont indispensables pour permettre aux parents d’obtenir des dédommagements. Beaucoup de médecins refusent parce qu’ils réalisent que leur responsabilité pourrait être mise en cause pour les conséquences des vaccins qu’ils ont eux-mêmes injectés. Il arrive aussi que le refus des médecins soit dû à leur manque de connaissances par rapport aux effets secondaires possibles des vaccins.

 

Source : SaneVax

 

Voir aussi: Japon, le Ministère retire sa recommandation en faveur du Gardasil & du Cervarix

 

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26 août 2013 1 26 /08 /août /2013 20:34

Efficacité des vaccins ??

 

Interview du Dr Sherri Tenpenny (Extraits)

 

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Tout le problème de l’efficacité des vaccins repose sur le fait que l’on nous a toujours dit que les vaccins étaient sans danger, mais l’autre face de la question n’a jamais été explorée.

 

Les vaccins pourraient-ils présenter des dangers ?

 

Les études sur la sécurité des vaccins sont courtes, leurs conclusions sont peu concluantes, elles ne s’étendent pas sur une période suffisamment longue.

 

Toutes les études sont réalisées sur des enfants qui ne sont pas malades, qui ne prennent aucun médicament et qui, par définition, sont en parfaite santé.

 

Mais quand le vaccin est approuvé pour la commercialisation, il est administré à TOUS les enfants, tous les adultes, même ceux qui ont été atteints de maladies chroniques et qui prennent toutes sortes de médicaments.

 

Quand j’ai commencé à faire mes recherches sur l’efficacité des vaccins (parce qu’on avait toujours dit que les vaccins étaient  sûrs et efficaces), il m’a fallu tout un temps pour me rendre compte de ce que voulait vraiment dire le terme « efficace ».

 

En tant que médecins, cliniciens et même parents, quand nous entendons ce mot « efficace », nous supposons, présumons que les vaccins sont sans danger et nous empêchent de tomber malades. Mais quand on se donne la peine de creuser un peu plus profondément, on finit par s’apercevoir de ce que la recherche scientifique veut vraiment dire quand elle utilise le mot « efficace ». Quand une substance est injectée dans le corps, elle est susceptible de permettre la création d’anticorps. Et si un vaccin parvient à générer des anticorps, alors la science dit que ce vaccin est efficace puisqu’il réalise en fait ce pourquoi il a été mis au point : créer des anticorps.

 

Mais en formulant ainsi cette hypothèse, on fait un énorme bond en avant en nous faisant croire que le fait d’avoir des anticorps va automatiquement nous protéger et nous empêcher de tomber malades. Il existe un important volume d’informations qui montrent que les anticorps ne produisent pas nécessairement ce que l’on attend d’eux et ce que leur présence signifie en fait. Leur présence indique-t-elle que la personne est devenue malade chronique, qu’elle a été exposée à telle ou telle maladie, que, en dépit d’un nombre X d’anticorps vous puissiez encore attraper la maladie ?

 

Quand la littérature scientifique emploie le mot « efficace », elle s’en réfère essentiellement au fait que la création d’anticorps s’est produite. Mais la chose ne se traduit pas nécessairement par le fait que les personnes sont protégées de la maladie.

 

Au cours des dernières années, on assisté à des épidémies d’oreillons et de coqueluche. Dans l’épidémie d’oreillons qui s’est produite en Iowa, on a remarqué que 67% des enfants qui avaient contracté les oreillons avaient été vaccinés au moins une fois. Plusieurs enfants avaient été vaccinés deux fois par le vaccin ROR (Rougeole,Oreillons,Rubéole). Ces enfants auraient donc dû être protégés contre les oreillons.

 

Au cours de l’épidémie de coqueluche en Californie, la vaste majorité des enfants avaient été vaccinés contre la coqueluche et avaient reçu toute la série des vaccins.

 

A l’armée, le fait que des militaires qui avaient été complètement vaccinés, n’a pas empêché l’apparition d’épidémies de rubéole et de rougeole.

 

Dans la littérature médicale, nous trouvons des gens qui ont été complètement vaccinés contre le tétanos, qui ont reçu quatre doses du vaccin ou même davantage ; ces gens possédaient des taux d’anticorps qui, dans la littérature médicale, sont considérés comme étant protecteurs contre le tétanos. Ces personnes ont malgré tout contracté la maladie.

 

Le fait d’avoir le taux d’anticorps requis ne veut donc pas nécessairement dire que vous serez protégé de la maladie.

 

Nous utilisons les mots « vaccination » et « immunisation » comme s’ils étaient synonymes. Or, ce n’est pas du tout le cas.  Par définition, la vaccination désigne l’acte d’injecter une substance vaccinale. L’immunisation désigne le fait d’être réellement immunisé. Un vaccin n’immunise pas nécessairement. Le fait d’être immunisé signifie que vous avez fait une infection naturelle.

 

Source: Personalhealthinformationguide

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26 août 2013 1 26 /08 /août /2013 20:15

A la suite de notre récent article sur les parents accusés du meurtre de leur petite fille décédée et fraîchement vaccinée, nous avons reçu le message suivant d'une visiteuse:

 

"J'ai lu votre article hier, je n'osais me prononcer par manque d'infos, l'envie de creuser pour en savoir plus sur ces effets secondaires ressemblant au syndrome du bébé secoué, c'est dans ma nature de ne pas tout prendre pour vérité et pourtant, je ne remets pas en cause vos actions, loin de là. Bref, hier votre article et aujourd'hui, dans les colonnes de mon canard : http://www.lavenir.net/article/detail.aspx?articleid=DMF20130819_00348548  

 

Or que dit cet article de Vers l'Avenir??

 

Il parle du décès par arrêt cardiaque d'un bébé de 4 mois et demi (= en plein dans la période d'acharnement vaccinal!) au sujet duquel on suspectait initialement qu'il aurait pu être secoué...

 

Notre site a déjà abordé le fait que le syndrome du bébé secoué peut aussi être dû aux vaccinations infantiles. Voir les nombreux liens d'information à ce sujet: ICI.

 

Le décès a eu lieu en avril dernier dans une crèche d'Audenarde. Lundi dernier, le parquet a indiqué que l'enfant n'avait pas fait l'objet d'une manipulation brutale. Un groupe d'"experts" a finalement conclu à une mort naturelle.

 

Mais c'est évidemment là que tout le problème réside puisque le citoyen ne reçoit en réalité jamais le moindre détail sur les éléments qui fondent la sacrosainte décision de ces "experts".

 

Un arrêt cardiaque n'est pas chose commune chez un si jeune enfant. De combien de jours dataient ses dernières vaccinations? De quelles vaccinations s'agissait-il? Certainement de vaccinations multiples injectées en cocktail, vu la triste manie actuelle...

 

C'est capital de rappeler ici ce qui se trouve dans les revues médicales officielles au sujet des effets secondaires de vaccins. Ainsi, dans la Revue du Praticien de Novembre 2011, trois éléments-clés étaient exposés:

 

1°) Le nombre d'effets secondaires GRAVES des vaccins est largement sous-estimé, seuls 1 à 10% de l'ensemble de ceux-ci étant effectivement comptabilisés.

 

2°) "Il n’y a pas de consensus sur les éléments chronologiques ou sémiologiques de l’imputabilité d’un vaccin dans la survenue d’un EI.(effet indésirable)". Ce point est réellement central ici parce que s'il n'y a aucun accord au sein de la communauté médicale sur les critères de temps et de symptômes à réunir pour pouvoir incriminer un vaccin dans la genèse d'un effet morbide ou même létal, comment accorder une foi sans faille à la conclusion des experts qui innocentent ainsi d'emblée la très dérangeante implication possible des vaccins?? Plusieurs études ont déjà montré que les vaccinations favorisaient la mort subite du jeune enfant qui inclut aussi un arrêt cardiaque et des perturbations respiratoires préalables, parfois très subtiles et échappant à la vigilance de l'entourage (parents, gardiennes, etc). Et là encore, dans le cas des morts subites du nourrisson, l'implication des vaccins est le tabou des tabous!

 

3°) Troisième aveu de poids issu, nous vous le rappelons, d'une revue médicale tout à fait officielle: le nombre de sujets inclus dans les essais cliniques de vaccins pré-commercialisation est largement insuffisant pour pouvoir détecter et évaluer la fréquence réelle des effets secondaires rares mais beaucoup plus graves. En d'autres termes, cela signifie que les vaccinés sont des cobayes et que le vrai rapport bénéfices/risques n'est JAMAIS connu des pseudos experts au moment où le vaccin est ajouté au calendrier vaccinal, remboursé et administré très largement à une population ignorante et crédule! C'est d'ailleurs si vrai que c'est pour cela que le politiquement correct insiste de façon faussement rassurante sur la grande importance de la pharmacovigilance post-commercialisation mais qui ne survient alors qu'à posteriori, "quand le mal est déjà fait"... histoire de faire semblant d'être très prudent!

 

Si on ajoute à ces éléments importants, le lien idéologique ET financier qui unit le corps médical d'une façon générale aux vaccins, on se rend compte que les prétendus experts mandatés par le tribunal n'ont tout simplement pas pu aboutir à une conclusion fiable et objective!

 

Car il ne faut pas l'oublier, selon le rapport de la Cour des Comptes française d'octobre 2012, les vaccinations constituent 12,6% des consultations (et donc des revenus) en médecine générale -sans compter les primes additionnelles (CAPI de + de 7000 euros par an) et 33% des rentrées des pédiatres. Ces chiffres ne comptent que pour l'acte vaccinal (injection) et pas pour les suites des vaccins car les effets secondaires de vaccins amènent inévitablement d'autres consultations et sont donc une autre source indéniable de revenus, même si cela gène très fortement les médecins que ce constat incontournable soit ainsi mis par écrit. "Comme si nous voulions sciemment nuire aux patients!" les entend-t-on déjà pester.

 

Mais, même avec les meilleures intentions du monde, il n'empêche que les effets secondaires des vaccins sont aussi une autre source de consultations et donc de revenus... Un rapport conjoint de l'ONE et de PROVAC de 2009 affirmait d'ailleurs clairement qu' au moins 5% des enfants vaccinés (1 enfant sur 20 donc, tout de même!) est obligé de consulter un médecin pour effets secondaires endéans les 48 heures qui suivent une vaccination. Mais quel pourcentage d'enfants sont obligés de consulter un médecin pour effets secondaires de vaccins toute limite de temps confondue? Certainement bien plus que 5% mais on retombe à ce niveau sur l'aberration d'études cliniques pré-commercialisation des vaccins qui n'évaluent les effets secondaires que sur quelques jours ou tout au plus (dans le meilleur des cas!) sur quelques semaines!!!

 

Donc voilà, faites bien attention quand vous lisez des informations dans les médias, songez toujours à tous les sujets encombrants qui peuvent finalement "briller par leur absence", comme les vaccins ou bien d'autres "sujets chauds", dans bien d'autres domaines. Les avis d'experts ne doivent jamais être pris à priori pour argent comptant, comme on a pu le voir ci-dessus, et même quand ces experts sont impliqués dans une procédure judiciaire (au contraire, c'est encore pire, car les enjeux sont toujours accrus, incriminer des vaccins ou d'autres sujets tabous dans des procédures judiciaires, c'est un risque encore accru de médiatisation avec son cortège d'effets commercialement indésirables pour tous ceux qui en retirent de l'argent...)

 

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24 août 2013 6 24 /08 /août /2013 21:45

«La loi sur les épidémies attaque la liberté individuelle»

 

Votations du 22 septembre - Un comité référendaire contre la loi sur les épidémies soumise au peuple en votation le 22 septembre a estimé jeudi qu'elle s'en prenait à la liberté individuelle et au rôle des médecins de famille.

 

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Pour les opposants au texte, il s’agit d’une «violation de la souveraineté des cantons», compétents pour les questions de santé publique.

 

Les référendaires font recours contre la brochure des votations

 

Les opposants à la nouvelle loi sur les épidémies ont fait recours à cause d’une erreur glissée dans la brochure des votations du 22 septembre. Ils veulent une correction du texte qui prétend que les droguistes font partie du camp du «oui» alors qu’ils n’ont pas donné de mot d’ordre et sont divisés.

 

La nouvelle loi sur les épidémies, trop vague et équivoque, empiète sur la liberté individuelle des citoyens et sur le rôle des médecins de famille. Le comité référendaire, emmené par le naturopathe Daniel Trappitsch, a expliqué jeudi à Berne pourquoi il juge le texte qui sera soumis au peuple le 22 septembre indigne de la démocratie directe.

 

Cette loi amènera l’Etat à créer «un jardin d’enfants sécuritaire qui court-circuitera le rôle des médecins de famille», dénonce le médecin Dominique Bättig, ancien conseiller national UDC jurassien et responsable de la campagne des référendaires pour la Suisse Romande. Il s’agit d’une «violation de la souveraineté des cantons», compétents pour les questions de santé publique.

 

La révision revoit la répartition des tâches entre la Confédération, les cantons et des tiers. La Confédération assumera désormais un rôle de leader en définissant des axes et des buts stratégiques pour prévenir les épidémies, mais les cantons resteront compétents pour l’exécution. Les référendaires n’en rejettent pas moins une «centralisation abusive».

 

Des experts en droit parlent même d’une loi «extrêmement totalitaire», souligne Daniel Trappitsch. Le président de l’association «Netzwerk Impfentscheid» (réseau de décision sur les vaccins) s’en prend avant tout aux obligations de vaccination. Selon lui, elles ne devraient s’appliquer que lorsque le danger est élevé pour une grande partie de la population, et non dans des «situations particulières».

 

«Médecine préventive étatiste»

 

Les référendaires dénoncent ce type de tournures équivoques et les termes juridiques «mal définis» utilisés dans les articles de loi. Si l’Organisation mondiale de la santé (OMS) perçoit une situation similaire à celle de quelques cas de rougeole en été 2013 en Suisse, l’Office fédéral de la santé publique (OFSP) pourra déjà proclamer un état d’urgence épidémiologique, regrette Daniel Trappitsch.

 

«L’Etat rend obligatoires les vaccinations et les firmes pharmaceutiques vendent les produits, l’urgence les dispensant de réaliser des études de risques et d’examiner les effets secondaires potentiels», ajoute Dominique Bättig, qui parle de «médecine préventive étatiste globale». Un Etat de droit ne peut violer l’intégrité d’un citoyen que lorsque l’intérêt public prévaut, relève Urs Gasche, conseiller national PBD bernois.

 

Connivence internationale

 

D’après les référendaires, il ne faut pas donner davantage de pouvoir décisionnel à l’OFSP ou à d’autres organes centralisés dont l’indépendance par rapport au lobby de l’industrie pharmaceutique n’est pas garantie. Et de rappeler la grippe porcine en 2009 et 2010, où le médicament de Roche, le Tamiflu, s’est vendu comme des petits pains grâce à l’alarmisme de l’OMS et de la Confédération.

 

La grippe porcine s’est finalement révélée «moins dangereuse que la grippe saisonnière», déplore Yvonne Gilli, médecin et conseillère nationale verte st-galloise.

 

Les premiers à pâtir d’une situation où la Confédération décréterait l’état d’urgence sont les gens dans les écoles et les crèches ainsi que le personnel des hôpitaux refusant de se faire vacciner ou de vacciner des êtres humains contre leur gré.

 

Hausse des primes

 

Ceux-ci seraient alors menacés de suspension ou même de licenciement. En outre, «on court le risque de voir s’accélérer la hausse des primes des caisses maladie», la nouvelle loi ne réduisant pas les coûts mais les augmentant, assure Daniel Trappitsch.

 

Le président de «Netzwerk Impfentscheid» soutient que la prise en charge par patient atteint au moins 1000 francs en cas d’effets secondaires graves. D’après l’Institut allemand d’épidémiologie Robert Koch, ceux-ci concernent en moyenne 2% des vaccinations. «Sur les 4 millions de vaccinations effectuées chaque année en Suisse, le coût se monte déjà à 80 millions par an», relève le naturopathe.

 

La nouvelle loi offre toutefois la possibilité d’une indemnisation en cas de problème lié à un vaccin. Le ministre de la santé Alain Berset a aussi assuré que personne ne pourra être vacciné contre son gré. Le texte conservera la pratique actuelle en matière de vaccination, reposant sur une base volontaire, a-t-il ajouté. Par ailleurs, les cantons peuvent aujourd’hui déjà déclarer les vaccinations obligatoires.

 

www.non-a-la-vaccination-obligatoire.ch

 

(ats/Newsnet)

 

Source: Le Matin.ch

 

Nos amis suisses font un excellent travail d’information et dénoncent exactement ce que nous dénoncions déjà en 2009, dans le contexte de loi d’exception: des vaccins risqués au développement bâclé, vendu au seul bénéfice des pharmas lesquelles jouissent en plus d’une impunité juridique, le tout grâce à la complicité scandaleuse de l’OMS ! Et le risque bien sûr de vaccinations forcées sur base de textes flous et d’alertes mouvantes. (même si pour faire passer la loi, les politiciens assurent déjà que personne ne sera obligé de se faire vacciner contre son gré… mais alors, pourquoi la loi prévoit-elle cette possibilité ?!)

 

C’est pourquoi nous leur apportons tout notre soutien et leur adressons nos plus vifs encouragements lorsqu’ils disent « NON aux aventures liées à la globalisation, à la vaccination obligatoire et aux techniques génétiques » !

 

Nous vous invitons à visiter leur site trilingue très bien fait et à diffuser des informations autour de vous en vue de la votation du 22 septembre prochain.

 

LES ARGUMENTS DU CAMP DU « NON » :

 

- LOI CAOUTCHOUC

- AVENTURE TRANSGENIQUE

- VACCINATIONS OBLIGATOIRES

- PERTE DE SOUVERAINETE

Etc etc.

 

Voir aussi le texte du Dr Françoise Berthoud, pédiatre, sur cette nouvelle loi liberticide.

 

 

    

 non vaccination obligatoire!

Vaccination forcée? Par respect pour vous-mêmes, dites NON!

LE 22 SEPTEMBRE, VOTEZ "NON" !

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