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31 juillet 2013 3 31 /07 /juillet /2013 13:34

25 juillet 2013. Par Anne-Laure Grillo

 

Tué par la Médecine Conventionnelle

 

stethoscope.JPG

Quelque chose ne tourne pas rond quand on entend les Organisations de Santé dire que les vitamines sont dangereuses, ignorant les statistiques qui prouvent que le gouvernement sanctionne la vérité pour mettre en avant les médicaments qui sont un réel danger.

 

Voici quelques données concernant les Etats-Unis:

 

Des chercheurs se sont penchés sur le sujet et ont fait une découverte choquante. “Choquante”, mais pas pour tout le monde.

 

Leurs résultats montrent que le nombre de personnes qui se trouvent à l’hôpital et qui sont sujettes aux effets secondaires de leurs médicaments avoisine les 2.2 millions par année.

 

Le nombre d’antibiotiques prescrits inutilement pour des infections virales s’élève à 20 millions par an. Sans compter les 7.5 millions d’interventions médicales et chirurgicales non nécessaires ainsi que les hospitalisations annuelles de 8.9 millions de personnes sans raisons valables.

 

Le plus impressionnant dans tout ça, c’est le fait que le nombre de personnes décédées à cause de la médecine conventionnelle est de 783 936 par an.

 

Pour la France maintenant:

 

Chaque année les effets secondaires des médicaments tuent au minimum 18 000 personnes.

 

Soit beaucoup plus que les accidents de la route (avec une prévention routière dans notre hexagone qui frôle le ridicule)!

 

Selon les chiffres de la sécurité routière, pour 2012 il y a eu 3 645 personnes tuées sur les routes.

 

D’ après le Docteur Bernard Bégaud:

 

Mourir pour un produit dont vous n’avez pas besoin est quelque chose de très grave”, a souligné le professeur. Il a pointé du doigt la mauvaise formation des médecins en pharmacologie, la science des médicaments. “Les alertes sur les effets indésirables d’un médicament proviennent à 85 % des hôpitaux et seulement à 15 % des médecins libéraux”.

 

source (www.lemonde.fr)

 

Il y a en France 150 000 hospitalisations annuelles dues aux médicaments.

 

Il est raisonnable de supposer que la grande majorité des médecins se soucient légitimement de la santé et du bien être de leurs patients (cela avant d’être blasés par le système de santé de notre pays).

 

Ce problème (la confiance aveugle en nos médecins) fait partie des plus grands problèmes qui évoluent dans notre monde moderne.

 

Les médecins sont formés pour traiter les symptômes de la maladie et non la cause. Ce qui engendre une grande catastrophe médicale. Toute maladie doit être soignée à sa source. Les médicaments ne font que masquer le problème tout en rajoutant de nombreux effets indésirables pouvant entraîner la mort dans certains cas, de part leurs molécules synthétiques entre autres, sans soigner la maladie.

 

Si on rajoute les additifs alimentaires, la malbouffe, le stress, la pollution, le tabagisme, la consommation d’alcool… ce qui malheureusement est le quotidien d’un trop grand nombre d’individus, et cela dès la petite enfance…

 

Vivre en bonne santé n’est pas un art, ni un snobisme mais une réelle écoute de soi et des besoins de son propre organisme. Tout le contraire de ce que nous indique la société actuelle.

  

Source: La Santé et les Plantes.com

 

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28 juillet 2013 7 28 /07 /juillet /2013 15:52

C'est ce qui ressort d'une récente publication de ce mois dans le British Medical Journal qui conclut, sur base des données relatives à l'épidémie de coqueluche de 2010 en Californie,  à  une efficacité de seulement 53 à 64% des rappels de vaccination contre la coqueluche chez les enfants à partir de 11 ans et les adultes.

 

Les chercheurs concluent à la nécessité de développer de nouveaux vaccins plus efficaces...

 

Mais en attendant bien sûr, les autorités continuent de recommander ces rappels sans jamais fournir d'informations suffisamment objectives sur les risques réellement encourus en se faisant vacciner avec ce genre de vaccins à base d'aluminium.

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27 juillet 2013 6 27 /07 /juillet /2013 22:15

Les semences de variétés traditionnelles ne peuvent

plus être commercialisées

 

23 juillet 2013

 

La Cour de Justice de l’Union Européenne a confirmé le 12 juillet dernier l'interdiction de commercialiser les semences de variétés traditionnelles et diversifiées qui ne sont pas inscrites au catalogue officiel européen. Ecolo propose une réforme de la réglementation, qualifiée d'"absurde".

 

Des associations comme Kokopelli ou Semailles se retrouvent dans l’illégalité: elles préservent et distribuent ces semences.

 

Pourtant, il suffirait d'inclure ces variétés anciennes au catalogue officiel pour les commercialiser en toute légalité. Seulement voilà, elles se trouvent dans le domaine public et après 20 ans, si personne ne les a réinscrit au catalogue, elles en sortent. Il faut pour cela payer assez cher, explique Catherine Andrianne de Semailles. "A cause de cette réglementation, il y a plus de 80% de la biodiversité qui a disparu", dit-elle.

 

semences.JPG

 

Il ne suffit pas de payer pour inscrire une semence au catalogue officiel, il faut aussi que l'espèce réponde aux critères de Distinction, Homogénéité, Stabilité (DHS). Ces critères sont discriminants, selon Kokopelli, "puisqu’ils impliquent que les semences soient… très peu variées. Seules des variétés hybrides F1 ou des variétés lignées, quasi cloniques, répondent à ces critères, qui ont été établis dans le seul but d’augmenter la productivité selon des pratiques industrielles".

 

Malgré un assouplissement de ces critères pour les variétés dites de conservation, ceux-ci restent inadaptés pour les variétés traditionnelles. Pour Nature & Progrès et les défenseurs des semences paysannes, "cette décision est un contresens historique grave qui s’apparente à un déni de la sélection végétale réalisée par l’être humain depuis 10 000 ans".

 

Certains producteurs alternatifs comme Semailles ne comptent pas arrêter la commercialisation de leurs semences, qu'ils considèrent comme un produit vivant et non un produit d'usine.

 

L'industrie, elle défend les variétés nouvelles: la réglementation permet de garantir le financement de la recherche. Pour le Prof. Bernard Bodson de Gembloux Agro Bio Tech ULg, les variétés issues de la recherche sont plus résistantes et plus productives.

 

B.-Bodson.JPG

 

De là à parler de concurrence déloyale, il y a peut-être un pas à ne pas franchir... On pourrait pourquoi pas classer les anciennes variétés au patrimoine naturel sans que cela ne gêne la création de nouvelles variétés plus standardisées pour les agriculteurs.

 

Ecolo réagit

 

"Ecolo, comme de nombreuses organisations agricoles et environnementales, juge pour l'heure cette réglementation parfaitement contraire à la sauvegarde de notre biodiversité et aux intérêts des cultivateurs. L'absurde rigidité du catalogue officiel des semences commercialisables menace en effet de nombreuses semences anciennes et semble tout simplement taillée sur mesure pour les quelques grandes multinationales du secteur", selon un communiqué.

 

Le parti écologiste entend "marquer son soutien plein et entier aux nombreuses associations qui, à l'instar de Kokopelli, luttent pour la sauvegarde de variétés anciennes ou locales, et permettent de nous offrir ainsi une alimentation variée et de qualité au quotidien". Ecolo compte peser au niveau européen et au niveau national pour faire modifier la législation.

 

JFH avec Pascale Bollekens

 

Source : RTBF Info

 

Voilà une information merveilleusement révélatrice… le parallèle avec la vaccination est flagrant : car bientôt, après ce genre de décision, qui peut jurer qu’il ne deviendra pas aussi carrément interdit de contracter une maladie naturelle avec obligation de recourir aux vaccinations artificielles ? 

 

Dans les deux cas (vaccinations et semences), on a affaire au même « duel » entre le bon sens dont chaque citoyen est capable et la dangereuse arrogance des « experts » ! Il ne faut en effet pas être très intelligent pour se rendre compte que si la Nature a prévu une telle biodiversité, c’est justement pour assurer les meilleures chances de survie et de secours en cas de problèmes. Pareil avec l’extrême complexité de notre système immunitaire que les vaccinologues ne se sont jamais décidés à étudier à fond avant d’inonder les corps de vaccins ! Là encore, ils se permettent d'affirmer péremptoirement qu'il "suffit" de développer des anticorps pour être soi-disant protégés tout en réalisant des économies! Comme si seuls les anticorps avaient de l'importance, sans lien avec la globalité de tous les autres éléments alentour. Aucune vision d'ensemble, aucune vision responsable à long terme, voilà ce qui caractérise toujours les apprentis-sorciers quels que soient les secteurs où ils exercent, pour le plus grand malheur de l'Humanité et des générations futures....

  

Nous ne pourrons en tout cas pas compter sur une quelconque "justice" à la solde des gros lobbys financiers. Soyons-en bien conscients car il est assez évident que nous nous dirigeons vers d'autres pandémies tant attendues et si bien préparées, avec des vaccins expérimentaux forcés dans "les cartons" de ceux qui préparent activement tout cela!

 

 

 

 

 

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26 juillet 2013 5 26 /07 /juillet /2013 23:54

MMR-ROR-vaccin.jpg

Nouveau jeu d'équilibriste! Alors qu'une Cour américaine spécialement dédiée aux préjudices vaccinaux, vient de dédommager à nouveau un enfant devenu autiste après le vaccin ROR (rougeole-oreillons-rubéole), les autorités de ce pays se sont maladroitement empressées de déclarer qu'il n'y avait aucun lien entre l'autisme et le ROR et que leur rôle était seulement d'"aider les familles"!!

 

Chose remarquable, cette Cour sans jurés qui est "pilotée" par le Ministère de la Santé prétend pourtant -en dépit des données scientifiques existantes- qu'il n'existe aucune publication scientifique en faveur du lien entre autisme et vaccins!

 

Il convient de rappeler que ces Cours ne sont pas des cours de justice classiques. Il s'agit d'un système spécial pour les vaccins, parce que ceux-ci jouissent d'une impunité juridique (en matière civile). Cette impunité a été accordée aux fabricants par la Cour Suprême de ce pays pour éviter la faillite aux producteurs de ces produits "inévitablement dangereux". Des produits qui, décidément, n'arrêtent pas de bénéficier d'un régime de faveur et de divers passe-droits tout à fait aberrants. Les vaccins peuvent en effet faire l'objet de publicité directe contrairement à tous les autres médicaments sur ordonnance. Ils jouissent en outre de règles beaucoup plus laxistes que tous les autres médicaments en ce qui concerne l'évaluation de leur sécurité (ce sont en fait des produits expérimentaux).

 

Mais ce qui est aussi vraiment "piquant" (c'est le cas de le dire ;-) ), c'est la façon partiale et intellectuellement peu honnête dont divers sites ou médias présentent ce genre d'épisodes...

 

Ainsi, sur le site techniques-ingenieur.fr, qui évoquait ce cas il y a 4 jours, on pouvait constater que la moitié du communiqué est consacré à la gloire du vaccin (ROR) et à la minimisation/réfutation des données existantes en faveur du lien entre vaccins et autisme.

 

Encore et toujours, on assiste à la même désinformation au sujet de Wakefield dont les auteurs n'ont manifestement jamais lu le livre (et donc instruit à charge et à décharge!), qu'on essaie aussi de faire passer comme le seul tenant de cette thèse, en affirmant de façon mensongère que ses résultats n'ont jamais été reproduits, alors qu'ils ont en réalité été reproduits par plusieurs équipes dans différents pays du monde.

 

Le texte se termine par le rappel de ce qui est préconisé en France, soit deux doses de ROR par enfant, dont la première au plus tard aux 12 mois des bambins. Autre problème d'objectivité encore une fois: la non mention des autres récents revers du vaccin avec notamment, le grand retour des oreillons en France aussi, dont 73% des cas se sont produits chez des individus qui avaient pourtant reçu les deux doses de ROR recommandées, amenant ainsi les autorités dans une nouvelle fuite en avant qui consiste à préconiser désormais une troisième dose de ROR si la précédente dose remonte à plus de 10 ans (et puis ça sera 4, 5, etc). Inévitablement.

 

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26 juillet 2013 5 26 /07 /juillet /2013 23:22

La levure des vaccins liée aux maladies auto-immunes ?

 

La levure est associée à toutes sortes d’éléments de la vie quotidienne comme le pain et la bière. Alors pourquoi devrions-nous nous inquiéter de sa présence dans un grand nombre de vaccins ? Une nouvelle étude révèle que l’injection de levure pourrait être la cause de l’épidémie de maladies auto-immunes qui dévaste la vie de millions de personnes.

 

Seringue-Yeast.jpg

 

Par Heidi Stevenson

 

Il est bien connu que les maladies auto-immunes ont pris d’énormes proportions. Une nouvelle étude fait ressortir un facteur important qui pourrait en expliquer une des causes, et qui s’avérerait être la simple levure utilisée par les boulangers et les brasseurs, Saccharomyces cerevisiae [1]. Cette levure se retrouve dans plusieurs vaccins, y compris le vaccin contre l’hépatite B qui, aux Etats-Unis, est administré à presque tous les nouveau-nés qui ont à peine un jour.

 

La partie spécifique de S.cerevisiae [1] qui est préoccupante est le « mannane » (polysaccharide de la paroi cellulaire) des levures, ainsi que les glycoprotéines de mammifères. Ces glycoprotéines se trouvent dans les parois cellulaires, les tissus conjonctifs comme le collagène, les sécrétions muqueuses gastro-intestinales et le plasma sanguin. Elles remplissent de nombreuses fonctions. Il est évident que si le système immunitaire commence à attaquer le mannane, les effets peuvent être désastreux. Cela semble bien être le cas dans de nombreuses maladies-auto-immunes.

 

Ces maladies apparaissent quand le propre système de défense du corps se retourne contre lui-même, ce qui entraîne des maladies dévastatrices comme l’arthrite rhumatoïde, la maladie de Crohn, des maladies intestinales inflammatoires, le lupus érythémateux disséminé, la sclérose en plaques, le diabète mellitus de type 1, le syndrome des anti-phospholipides et même des maladies cardiaques.

 

Les Centres Américains de Contrôle des Maladies (CDC) n’ont aucun doute quant à l’augmentation des maladies auto-immunes [2] Le NIH (L’Institut National Américain de Santé) a produit un excellent document décrivant la manière de les traiter. Le « plan de recherches sur les maladies auto-immunes » [3] décrit la manière d’aborder ces maladies ; décrivant même le type de recherches qu’ils appuient. Mais, nulle part dans ce document, on ne peut trouver la moindre indication que les vaccinations pourraient être envisagées comme des causes potentielles.

 

Evidemment on ne trouve que ce que l’on veut bien chercher. Il est clair que le CDC ne favorise guère une véritable enquête en vue de trouver les causes des maladies auto-immunes. Ils seraient prêts à envisager tout et n’importe quoi… à l’exception de l’éléphant planté en plein milieu de la pièce et qui s’appelle : vaccination.

 

Comme c’est le cas pour l’autisme, on continue d’ignorer complètement l’absurdité qui consiste à mettre en cause les gènes pour les nouvelles maladies non infectieuses.

 

Comment la levure peut-elle provoquer d’aussi terribles maladies ?

 

On utilise, bien sûr, la levure pour faire lever le pain ou produire l’alcool de la bière.

 

Alors, comment peut-elle brusquement se transformer en ennemi ? La réponse à cette question réside essentiellement dans la manière dont elle pénètre dans l’organisme (court-circuitant les premières barrières de défense de l’organisme : peau, muqueuses etc.) et ce qui entre avec elle. Le but d’un vaccin est de créer une « tempête » localisée dans le système immunitaire de sorte qu’il réponde à une substance co-injectée qui peut être un microbe affaibli ou une partie de microbe pour que des anticorps puissent être créés et  dirigés contre lui.

 

C’est la substance irritante qu’on appelle adjuvant qui provoque la « tempête » dans le système immunitaire. C’est le microbe que l’on appelle antigène. Le hic, c’est que d’autres substances injectées avec l’antigène et l’adjuvant peuvent aussi être perçues par le corps comme étant des antigènes. Si jamais l’une de ces substances ressemble à celles qui existent naturellement dans l’organisme, alors le système immunitaire peut créer des anticorps  contre certaines parties de son propre corps, créant ainsi une maladie auto-immune.

 

Des parties de mannane  de la levure sont semblables, voire identiques à certains éléments du corps humain. C’est ainsi que S.cervisiae, autrement dit la levure utilisée dans les vaccins, possède le potentiel de provoquer des maladies auto-immunes. En fait, C.cerevisiae est utilisée de différentes manières dans les vaccins. Il s’agit en fait d’un puissant adjuvant quand il est utilisé seul. [4] En plus de cela, on utilise la manipulation génétique pour créer des anticorps artificiels [4], donc, S.cerevisiae est utilisé de plus en plus fréquemment dans les vaccins.

 

Les auto-anticorps de S.cerevisiae

 

Les chercheurs qui se sont penchés sur les aspects auto-immuns de S.cerevisiae (levure) ont trouvé des corrélations significatives  entre le mannane de la levure et  les antigènes connus dans différentes maladies auto-immunes. Dans certains cas, les chercheurs ont trouvé des correspondances proches et parfois exactes avec les différentes séquences génétiques.

 

La correspondance parfaite avec une molécule peut ne pas être nécessaire pour provoquer une réponse auto-immune. Cependant, au plus il y a correspondance entre la molécule et l’antigène, au plus il est probable que la réponse auto-immune se produise.

 

Bien que l’on ne pense généralement pas qu’une maladie cardiaque soit une maladie auto-immune, certaines formes de cette maladie, comme les cardiopathies rhumatismales semblent bien y correspondre et comme cette étude semble le montrer d’autres formes peuvent aussi en être les conséquences.

 

Il convient de noter que le syndrome des antiphospholipides a été associé au vaccin antitétanique.

 

Savons-nous en toute certitude que les vaccins qui contiennent S.cerevisiae provoquent des maladies auto-immunes ? Tout simplement non. Mais nous disposons cependant aujourd’hui d’informations qui établissent des liens forts entre les maladies auto-immunes et les levures des vaccins. Et nous n’avons absolument aucune autre indication qui préciserait qu’il n’y a aucun rapport.

 

En fait, non seulement nous savons qu’il existe une forte corrélation entre  les auto-anticorps S.cerevisiae et les protéines contenant du mannane, mais nous savons aussi que les taux de maladies auto-immunes ne cessent de grimper et semblent correspondre à l’élargissement des programmes vaccinaux dans tous les pays du monde.

 

tableau-vaccins-levure.jpg

Tableau des vaccins contenant des levures

 

 

Les maladies auto-immunes sont dévastatrices pour notre santé et innombrables sont  les personnes qui souffrent d’une qualité de vie dramatiquement diminuée à cause de cela. Ces maladies n’ont pas des origines génétiques. Continuer à le prétendre relève d’une insulte à l’intelligence.

 

Le coût de ces drames pour les individus et la société est énorme et incalculable.

Il est plus que grand temps d’envisager sérieusement et honnêtement les risques des vaccins, y compris l’utilisation de la levure comme ingrédient.

 

Au lieu de cela, nous sommes entraînés dans une course folle qui crée de plus en plus de vaccins contenant la levure parce que les technologies modernes de l’ADN recombinant permettent de produire des vaccins beaucoup plus facilement, beaucoup plus rapidement et à moindre prix. Faire marche-arrière et appliquer le principe de précaution ne rapporte rien. Ainsi, il nous faudrait nous résigner à voir de plus en plus de ces problèmes, peu importe les dégâts qu’ils occasionnent ! 

  

Références

 

1. Anti-Saccharomyces cerevisiae Autoantibodies in Autoimmune Diseases: from Bread Baking toAutoimmunity; Clinical Reviews in Allergies and Immunology; Maurizio Rinaldi, Roberto Perricone, Miri Blank, Carlo Perricone, & Yehuda Shoenfeld; DOI 10.1007/s12016-012-8344-9

2.Autoimmune Disease Rates Increasing

3.Autoimmune Diseases Research Plan

4.Saccharomyces cerevisiae: a versatile eukaryotic system in virology; Microbial Cell Factories; Rui P Galao, Nicoletta Scheller, Isabel Alves-Rodrigues, Tanja Breinig, Andreas Meyerhans and Juana Díez; doi:10.1186/1475-2859-6-32

 

Source: Gaia Health

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26 juillet 2013 5 26 /07 /juillet /2013 22:54

Les vaccins provoquent des dommages cardio-respiratoires graves chez les prématurés 

   

Une des pratiques courantes de la médecine moderne est la vaccination de pratiquement tous les nourrissons selon un calendrier vaccinal qui est d’application même quand les bébés sont prématurés. Une étude montre clairement que cette pratique est susceptible d’entraîner de graves dommages chez les bébés prématurés. Pourtant, les autorités de santé et les médecins ne semblent nullement vouloir freiner cette course folle qui consiste à piquer et à piquer les plus vulnérables d’entre nous.

 

Premature-sur-un-bras.jpg

Neonate in Sepia, by Chris & Laura Pawluk (cropped)

 

Par Heidi Stevenson

 

Les bébés prématurés sont vaccinés d’une manière aussi agressive que les bébés qui sont nés à terme. Cette pratique se perpétue en dépit du fait que des études documentent clairement des taux élevés de préjudices cardio-respiratoires chez ces nouveau-nés.

 

L’étude connue sous le nom de « Pourcyrous study » a révélé que pas moins de 85% de ces enfants qui reçoivent le vaccin multiple standard à l’âge de deux mois présenteront une élévation anormale de la protéine C-réactive, une mesure de l’inflammation qui indique la présence d’une infection ou d’une autre maladie.

 

La toute première question qu’il y a à se poser est celle-ci : Pourquoi la profession médicale accepte-t-elle d’avoir recours à des gestes médicaux dont on sait qu’ils peuvent être dangereux ?

 

Pire encore, pourquoi a-t-on recours à de tels procédés pour les plus démunis et les plus faibles d’entre nous ?

 

L’Académie Américaine de Pédiatrie conseille de vacciner les bébés prématurés ou les bébés de faible poids selon le même schéma de vaccination que les bébés nés à terme. Tout ceci est évidemment basé sur… et bien, c’est une excellente question. Cette pratique n’est évidemment basée sur aucune preuve sérieuse.

 

Allons-nous enfoncer un autre clou dans le cercueil de la « médecine fondée sur les preuves » ?

 

Les auteurs de l’étude Pourcyrous (du nom du chercheur principal le Dr Massroor Pourcyrous,MD ) ont relevé des taux élevés de problèmes cardio-respiratoires (entre 23 et 47%) chez les enfants prématurés qui avaient reçu la vaccination DTaP (Diphtérie,Tétanos, Coqueluche acellulaire) à l’âge de deux mois. Ils écrivent :

 

« Les effets secondaires après des vaccinations ne sont pas rares chez les nourrissons ; ils peuvent parfois  ressembler à de graves infections chez ces nourrissons. La protéine C-réactive (CRP) est un marqueur d’inflammation ou d’infection chez les nourrissons. Une augmentation constante de la CRP a été observée chez des prématurés après la vaccination DTwP (Diphtérie-tétanos-coqueluche à cellules entières) ; les réponses CRP pour le vaccin DTaP et autres vaccins n’ont pas été étudiées. »

 

Ils ont dès lors décidé d’étudier la question.

 

L’étude

 

Les chercheurs ont étudié 239 bébés prématurés âgés de plus ou moins deux mois programmés pour recevoir les vaccins standards. Les nourrissons qui n’étaient pas gravement malades, qui souffraient d’infections bactériennes ou étaient suspectés de souffrir de problèmes de santé, furent exclus de l’étude.

 

Les nourrissons ont reçu des vaccins simples et des vaccins multiples.- 168 des 239 bébés prématurés ont reçu une seule injection ; 71 autres ont reçu des  vaccins multiples. Il est à noter que le terme « vaccins simples »  se réfère au nombre d’injections et non au nombre d’antigènes. Les vaccins qui ont été administrés sont les suivants :

 

DTaP (Diphtérie, Tétanos, Coqueluche acellulaire)

Hib (Haemophilus Influenza)

IPV (Vaccin polio injectable inactivé)

HBV (Vaccin contre l’hépatite B)

PCV7 (vaccin pneumococcique à 7 valences = l'ancienne version du Prevenar)

 

Les enfants qui ont reçu des vaccins multiples ont eu 2 injections ou plus en une seule journée. Le personnel des soins intensifs néonataux a gardé ces enfants sous monitoring cardio-respiratoire et surveillance de l’oxygène et du pouls pendant trois jours.

 

Les chercheurs ont commenté les résultats

 

Apnées (arrêt temporaire de la respiration)

Bradycardie (rythme cardiaque anormalement lent)

O2 désaturation en oxygène

 

Tout événement cardio-respiratoire a été évalué pour la septicémie. Ces enfants ont reçu des antibiotiques suivant les prescriptions des médecins traitants.

 

La CRP  qui a été testée avant l’administration des vaccins, a été répétée toutes les 12 heures, soit 3  fois après la vaccination. Tout résultat anormal a été suivi par des tests journaliers jusqu’à ce que la CRP soit redevenue normale.

 

Résultats

 

Des niveaux élevés de protéine C réactive (CRP) indiquent une forte inflammation et pas uniquement une réaction locale. Normalement la CRP ne peut être détectée par des tests sanguins. Pour cette étude, une CRP entre 7 et 1,6mg/dL a été qualifiée  « détectable ». Toutes les valeurs qui dépassaient ces chiffres ont été considérées « anormales ».

 

Dans l’ensemble, 17% des nourrissons étudiés avaient des taux de CRP détectables. 43% présentaient des taux élevés de CRP, autrement dit des résultats très inquiétants. Pire encore, le fait que 85% des bébés auxquels on administrait des injections multiples souffraient de CRP élevées !

 

D’un intérêt tout particulier est le fait que deux vaccins multiples, le DTaP qui contient 3 antigènes et le PVC7 qui contient 7 antigènes, ces vaccins ont provoqué 2 des 3 plus fortes augmentations de la CRP. C’est le vaccin Hib qui a produit le résultat le plus significatif quant au taux de CRP : 70% des résultats concernant les nouveau-nés présentaient des niveaux anormaux.

 

Problèmes cardio-respiratoires rencontrés chez les nouveau-nés vaccinés : 11% de ces bébés ont dû recevoir de l’oxygène ; 20% de ceux qui avaient reçu des injections multiples ont dû recevoir de l’oxygène. En ce qui concerne la CRP, les pires résultats ont été trouvés chez les bébés qui ont reçu les vaccins DTaP, le Prevenar (7) et le Hib.

 

Dans l’ensemble, 5% des bébés ont dû recevoir une assistance respiratoire.- 13% des bébés qui avaient reçu des vaccins multiples ont effectivement reçu cette assistance respiratoire. Des interventions cardio-respiratoires ont été nécessaires chez 16% des bébés. Ces interventions ont été de 32% chez les enfants qui avaient eu des injections multiples.

 

DTaP vs DTwP

 

Les auteurs ont voulu faire savoir qu’ils voulaient vérifier si les niveaux de CRP augmentaient après le DTaP et d’autres vaccins comme cela avait été le cas avec le DTwP (Diphtérie, Tétanos Coqueluche à germes entiers).  Ce qui est clair à partir de ces résultats est que le problème existe avec la CRP pour la nouvelle forme du vaccin DTaP de même qu’avec le Prevenar, le Hib et les vaccins à injections multiples.

 

Une médecine basée sur les preuves ?

 

Ces résultats sont très inquiétants. Ils indiquent que la vaccination systématique des bébés prématurés peut produire des dommages significatifs.  Des taux élevés d’inflammation ne sont généralement et normalement pas ignorés, alors que l’on administre systématiquement à ces enfants qui sont les plus démunis de tous les êtres humains, des traitements dont nous savons aujourd’hui qu’ils pourraient provoquer d’importants dommages.

 

Nous possédons cette information depuis des années et il n’y a pas eu la moindre velléité de modifier le calendrier vaccinal pour ces enfants prématurés. Veuillez prendre connaissance de ce rapport qui documente plusieurs études montrant également des niveaux élevés de CRP  chez les prématurés après des vaccinations.

 

(Malheureusement, l’objectif de cette étude n’a pas été de suggérer l’arrêt de la vaccination des prématurés. Elle propose au contraire davantage d’intervention médicale, cette fois sous la forme d’antibiotiques.)

 

Ce qui est cependant le plus troublant, c’est qu’on n’a même pas envisagé de mettre fin à la pratique qui consiste à  faire plusieurs injections en une fois.

 

Il est évident que les autorités de santé, et apparemment les médecins eux-mêmes n’ont pas le moindre intérêt pour une médecine basée sur les preuves, à moins que celle-ci leur dise exactement ce qu’ils veulent bien entendre. Le suivi de ces nouveau-nés après vaccination n’a pas soulevé le moindre intérêt et ce, en dépit du fait que les preuves ont été apportées que ces enfants courent d’énormes risques.

 

Il faut absolument que les parents se réveillent par rapport au fait que les agences gouvernementales ni apparemment même leurs médecins n’ont véritablement à cœur l’intérêt de leurs enfants quand ils poussent à la vaccination de ces petits êtres innocents. Bien qu’ils puissent continuer à prétendre que leur position est basée sur des preuves – ce qui est montré ici explique bien clairement le contraire. Le bien-être des enfants ne peut pas être leur première préoccupation. Ces problèmes ne semblent même pas avoir quelque impact que ce soit sur leurs programmes ; ils ne semblent même pas prêts à étudier de plus près ces cas de prématurés qui courent pareils risques étant donné qu’ils sont mis sur le même pied que les autres enfants qui suivent le programme officiel de vaccinations.

 

Nous ne pouvons cependant nous empêcher de nous demander si les enfants nés normalement et qui suivent les programmes standards de vaccinations sont vraiment en sécurité. Où se trouvent les études qui pourraient le démontrer ? Le fait est qu’elles n’existent pas.

 

Etude originale : Primary Immunization of Premature Infants with Gestational Age<35 Weeks: Cardiorespiratory Complications and C-Reactive Protein Responses Associated with Administration of Single and Multiple Separate Vaccines Simultaneously; Journal of Pediatrics; Massroor Pourcyrous, MD, Sheldon B. Korones, MD, Kristopher L. Arheart, PhD, Henrietta S. Bada, MD; 10.1016/j.jpeds.2007.02.059

 

Source: Gaia Health

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26 juillet 2013 5 26 /07 /juillet /2013 22:50

Vaccination Hépatite B interrompue 

 après le décès de 3 nouveau-nés

 

Par Missy Fluegge, 24 juillet 2013

 

Mere-et-enfant---Vietnam.jpg

 

Selon les rapports [1], trois bébés sont morts peu de temps après avoir reçu le vaccin contre l’hépatite B.

 

Les familles des trois bébés qui sont décédés après voir reçu leur vaccin de routine contre l’hépatite B pleurent la perte de leurs enfants. Les bébés qui ont été vaccinés au Vietnam dans le cadre du programme élargi de vaccination, sont morts le 20 juillet dans la province centrale de Quang Tri. [1]

 

Le Ministère Vietnamien de la Santé a depuis choisi de cesser d’utiliser les deux lots de vaccins dans tout le pays pour protéger les autres bébés  de pareil destin tragique.

 

Selon les responsables officiels, la date d’expiration des vaccins n’était pas dépassée et les règles d’une bonne conservation avaient été respectées. Les vaccins ont été administrés par une infirmière qui avait plus de vingt ans d’expérience. [2]

 

Le 21 juillet, le Ministre de la Santé Nguyen Thi Kim Tien a fait parvenir ses condoléances aux familles des enfants décédés et a ordonné que des experts soient désignés pour enquêter sur la tragédie.

 

Les enquêtes préliminaires ont attribué les décès à un choc anaphylactique. Le président du programme de vaccination a demandé aux parents de « garder leur calme » et de continuer à faire vacciner leurs enfants.

 

Les représentants de la Santé se sont rendus au domicile des parents pour évaluer les dommages. Chaque famille a reçu la somme  de 377 dollars et s’est vue offrir des soins gratuits pour des soins hospitaliers.

 

Que savons-nous de l’hépatite B ?

 

Avez-vous déjà interrogé votre médecin au sujet de cette maladie ? Connaissez-vous des enfants qui ont contracté l’hépatite B ? …

 

Vous ne connaissez sûrement pas d’enfants qui ont contracté l’hépatite B pour la simple raison qu’il s’agit d’une maladie d’adultes. Malgré ce fait, on continue de vacciner les nouveau-nés contre cette maladie.

 

L’hépatite B est une infection virale du foie. Elle se transmet uniquement par contact direct avec du sang ou autres liquides corporels. Ceux qui sont le plus à risque de contracter l’hépatite B sont les adultes de 20 à 50 ans faisant partie de catégories de personnes à haut risque, les homosexuels, les personnes ayant reçu des transfusions dont le sang était infecté, les hétérosexuels à partenaires multiples., le personnel de santé qui est entré en contact avec du sang ou des produits corporels infectés. [3 ]

 

En 2010, il n’y eut aux Etats-Unis que 3.374 cas aigus d’hépatite B. Mais, il est troublant de constater que, selon le NVIC (National Vaccine Information Center, mars 2012), le VAERS (organisme officiel américain qui enregistre les effets secondaires des vaccins), a recensé 1500 décès ayant fait suite à la vaccination contre l’hépatite B, dont certains ont été classés sous la rubrique « mort subite du nourrisson ». En plus de ce nombre élevé de décès, le VAERS a enregistré un  total de 66.654 effets secondaires qui comprenaient, mais pas exclusivement, des inflammations du cerveau, des convulsions, des scléroses en plaques, des maux de tête, de l’irritabilité, des lupus, des polyarthrites rhumatoïdes, ainsi que le syndrome de Guillain Barré.

 

Pire encore, comme nous le savons, de nombreux effets secondaires indésirables après vaccinations ne sont pas rapportés. Sur le site même du VAERS on peut lire : « Le VAERS ne reçoit qu’une petite fraction des effets secondaires indésirables (réels) » [3].

 

Pourquoi les bébés sont-ils vaccinés contre l’hépatite B ?

 

Aux Etats-Unis, jusqu’en 2013, neuf enfants seraient morts après avoir reçu le vaccin contre l’hépatite B [4]

 

L’hépatite B est une maladie rare chez les enfants, mais ces petits sont vaccinés contre l’hépatite B dans les 12 heures qui suivent la naissance. A moins que la mère ne soit déjà infectée par l’hépatite B au moment où elle accouche, les nouveau-nés ne rentrent dans aucune catégorie à risque pour cette maladie. [5]

 

Les faits qui suivent sont extrêmement importants et devraient dissuader toutes les mères de faire vacciner leurs enfants contre l’hépatite B. Il serait facile de faire passer un test aux mères pour vérifier si elles sont infectées ou non. En outre, la validité maximale du vaccin contre l’hépatite B est de 20 ans, âge auquel le nouveau-né pourrait être à risque d’attraper la maladie s’il choisit de s’engager dans des comportements à risques.[6]

 

Malheureusement ces nouveau-nés sont vaccinés sur l’insistance d’ agents de santé publique  qui n’ont pas réussi à persuader les utilisateurs de drogues injectables et les personnes sexuellement actives ayant de multiples partenaires de se faire vacciner. La situation se traduit pas des millions de dollars de profits pour les fabricants de vaccins.

 

Le Dr Jane Orient, membre de l’Association Américaine des Médecins et des Chirurgiens (AAPS), a témoigné devant le Congrès Américain contre l’utilisation des vaccins contre l’hépatite B.

 

« L’obligation du vaccin contre l’hépatite B (avec quelques exceptions) est beaucoup moins convaincante que celle de la vaccination  contre la variole et la poliomyélite, vaccins qui protègent contre des maladies mortelles ou invalidantes, relativement communes et facilement transmissibles…Pour la plupart des enfants, le risque d’une réaction grave à la suite du vaccin peut être 100 fois plus grand que de faire une hépatite B. » [7]

 

Ironiquement, malgré le fait que 42% des adultes américains  à risque de contracter l’hépatite B sont vaccinés et que 65% du personnel de santé aient été vaccinés contre la coqueluche, l’incidence de cette infection a peu changé depuis que le premier vaccin a été disponible en 1998 pour les adultes à haut risque.

 

Une étude qui se base sur des données de 6 années montre que les bébés (garçons) qui reçoivent le vaccin contre l’hépatite B sont trois fois plus susceptibles de développer un trouble du spectre autistique. [8]

 

On a aussi montré que le vaccin contre l’hépatite B avait provoqué la mort de cellules du foie, comme l’apparition de maladies du foie.

 

Pourquoi injectons-nous aux bébés des vaccins génétiquement modifiés, alors que ces bébés ne sont pas à haut risque de faire cette maladie ?...

 

Savez-vous qu’avec la vaccination on injecte aux nouveau-nés quantités de produits chimiques dont ils n’ont même pas besoin ? Pensez-vous que ces produits chimiques font partie de leur tout jeune système immunitaire ?

 

Conclusion

 

Les statistiques montrent clairement que ce vaccin s’est montré inefficace depuis sa création  et que le nombre d’enfants qui ont connu des effets indésirables dépasse de loin le nombre de décès dus à cette maladie aux Etats-Unis ?

 

Les parents de ces trois bébés vietnamiens vont pleurer la perte de leurs enfants pour le reste de leur vie, tout comme ces 9 familles des Etats-Unis qui ont aussi perdu leur bébé après la vaccination. Tous ces parents ont fait entière confiance au personnel de santé et aux représentants du gouvernement qui les ont assurés que ces vaccins étaient sans danger !

 

Les parents qui choisissent de faire vacciner leurs enfants placent une confiance implicite, tacite dans le fait que les fabricants de vaccins ne peuvent fournir que des vaccins absolument sûrs et sans danger. De plus en plus nombreuses sont les personnes qui, aujourd’hui, savent qu’il s’agit de l’un des meilleurs exemples au monde de contradiction.

 

Un vaccin sûr et sans danger, ça n’existe pas …

 

Payer quelques centaines de dollars pour ces jeunes vies et tous les rêves qu’elles pouvaient porter n’est tout simplement qu’une écœurante insulte aux parents partout dans le monde. Si vous êtes indignés et attristés par ces décès d’enfants parfaitement inutiles, je voudrais me permettre de vous suggérer  de transformer votre empathie pour ces parents en action pour pouvoir aider et éclairer d’autres familles.

 

Références

 

1. http://www.saigon-gpdaily.com.vn/Health/2013/7/105692/

2. http://www.saigon-gpdaily.com.vn/Health/2013/7/105702/

3. https://vaers.hhs.gov/data/index

4. http://www.medalerts.org/vaersdb/findfield.php

5. http://www.nvic.org/vaccines-and-diseases/Hepatitis-B.aspx

6. http://www.greenmedinfo.com/blog/hepb-vaccine-causes-liver-disease-science-shows-how

7. http://www.aapsonline.org/testimony/hepbcom.htm

8. http://articles.mercola.com/sites/articles/archive/2009…

9. http://www.cdc.gov/vaccines/pubs/pinkbook/downloads/appendices/b/excipient-table-2.pdf

 

Source: Vactruth

 

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25 juillet 2013 4 25 /07 /juillet /2013 20:10

Polio : les parents sous-informés sur les effets secondaires 

  

Kinshasa, mardi 23 juillet 2013

 

enfant-polio.jpg

 

 

Plusieurs centres de santé ont enregistré un taux important  d’enfants amenés en urgence, souffrant de vomissements et diarrhée, la semaine dernière. Certains de ces enfants dont l’âge varie entre zéro et cinq ans ont dû être hospitalisés pour suivre de soins appropriés.


Cela s’est malheureusement passé  tout juste après la dernière  campagne de vaccination ou le rappel de vaccination contre la poliomyélite et l’administration du mebendazole  contre les vers intestinaux.

Ces symptômes ont sérieusement entamé le moral de beaucoup de parents qui ne savaient pas à quel saint se vouer et dont certains envisagent sérieusement le boycott de ces campagnes dites de « porte à porte ».

 

Source: Mediacongo

 

NB: Le vaccin oral (de type Sabin) encore utilisé au Congo fut utilisé en Belgique jusque l'an 2000... et les parents n'étaient certainement pas mieux informés des risques chez nous!

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24 juillet 2013 3 24 /07 /juillet /2013 21:20

Novartis: revers à Londres sur le vaccin contre la méningite B

 

24 JUILLET 2013 - 16H55  

 

Novartis-11.jpg

 

Le géant pharmaceutique suisse Novartis a essuyé un nouveau revers mercredi au Royaume Uni, l'organisme chargé d'évaluer les vaccins ayant décidé pour l'instant de ne pas recommander le Bexsero, destiné à prévenir la méningite B.

 

AFP - Le géant pharmaceutique suisse Novartis a essuyé un nouveau revers mercredi au Royaume Uni, l'organisme chargé d'évaluer les vaccins ayant décidé pour l'instant de ne pas recommander le Bexsero, destiné à prévenir la méningite B.

 

Dans un rapport intermédiaire, le Joint Committee on Vaccination and Immunisation (JCVI), le comité chargé de conseiller les départements de la santé outre-Manche, a considéré qu'il ne pouvait pas recommander ce produit dans les programmes de vaccinations de routine pour des raisons de coûts.

 

"Le JCVI a conclu, sur la base des données disponibles, qu'il est hautement improbable que l'immunisation de routine des nourrissons et jeunes enfants utilisant Bexsero soit efficace en termes de coûts", a indiqué le comité dans son rapport.

 

En janvier, l'Union européenne avait donné son feu vert à la commercialisation de ce vaccin, destiné à prévenir le méningocoque B, responsable de la grande majorité des méningites graves.

 

Dans un communiqué, le groupe bâlois s'est dit déçu par cette position provisoire du comité, estimant que cette décision n'allait pas dans l'intérêt du public.

 

"Il est décevant de voir que la décision a été motivée principalement par des considérations financières et sans aucune discussion sur les prix avec Novartis", a déclaré Andrin Oswald, directeur de la division Vaccins et Diagnostiques, cité dans un communiqué.

 

Il a ajouté que les modèles d'évaluation ne rendaient pas justice à ce vaccin, qui permet de lutter contre cette infection à l'origine de décès ou de séquelles graves chez les nourrissons et les jeunes enfants.

 

Le groupe suisse a précisé qu'il entend fournir davantage d'informations sur ce vaccin avant la décision finale du comité.

 

En février, Novartis avait déjà subi un revers au Royaume-Uni sur Javaki, les autorités britanniques ayant jugé trop onéreux ce traitement pour une forme rare de cancer du sang.

 

Les groupes pharmaceutiques sont actuellement confrontés à des pressions croissantes sur les prix alors que de nombreux États cherchent à réduire leurs dépenses de santé pour équilibrer leur budget.

 

Source : France24 avec l’AFP.

 

Cet article montre ce que nous avons plus d’une fois expliqué : que le soutien (financier) des autorités publiques est ESSENTIEL pour écouler les vaccins. Quand les gens paient de leur poche, ils ont en effet tendance à davantage s’informer ou à ne pas se lancer dans des investissements qui peuvent être trop risqués (à tous points de vue). Quand les vaccins sont gratuits en revanche, ça donne l’illusion trompeuse à beaucoup de gens que c’est sûr et valable. Les gens ont souvent la tendance à « prendre tout ce qu’ils peuvent de gratuit ».

 

Que le Comité Britannique des Vaccinations (JCVI) ait rejeté l’idée de rembourser et d’inclure ces vaccins dans le calendrier officiel, est aussi indicatif. Ces gens-là doivent sans doute aussi « sentir le vent tourner » étant donné que trente années de documents confidentiels ont montré à quel point ils étaient capables de taire des données essentielles de sécurité au public pour sauver la poursuite des programmes de vaccination !!

 

 

Voir aussi: Novartis obtient le Prix Galien pour son vaccin Bexsero... qu'est-ce que ça prouve?

 

Le Royaume-Uni change d'avis et recommande désormais encore un vaccin de plus aux nourrissons: le Bexsero de Novartis

 

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24 juillet 2013 3 24 /07 /juillet /2013 16:29

Chine : le scandale GSK s’étend à d’autres labos

 

Les autorités chinoises enquêtent sur une vaste affaire de corruption. Des centaines de millions d’euros sont en jeu. 

 

24 juillet 2013

 

Pouille, Jordan

 

chine-GSK--1-.jpgDes dirigeants de GSK auraient versé 372 millions d’euros de pots-de-vin, à des médecins et officiels d’hôpitaux. Alexander F. Yuan/AP

 

Après la mémorable bataille de Wahaha contre Danone, on aurait pu craindre que Pékin ne se lance à nouveau dans une lutte protectionniste, cette fois-ci, en faveur de son industrie pharmaceutique. Sauf qu’il ne s’agit pas d’un complot.

 

Aux enquêteurs chinois, Abbas Hussein, directeur international pour l’Europe et l’Asie chez GSK, a déclaré en ce début de semaine reconnaître la responsabilité de son entreprise dans une corruption massive de personnels hospitaliers, afin qu’ils prescrivent en priorité ses onéreux médicaments : « Certains de nos dirigeants de GSK Chine, qui connaissent bien notre façon de fonctionner, semblent avoir agi en dehors de nos processus et contrôles, d’une façon qui enfreint la loi chinoise. »

 

Les dirigeants en question sont le directeur des opérations, le directeur des ressources humaines, le directeur juridique et le responsable des stratégies de développement. Tous de nationalité chinoise, ils auraient déjà confessé leurs crimes : 372 millions d’euros de pots-de-vin à des médecins et officiels d’hôpitaux. Une trentaine d’autres salariés de GSK sont toujours consignés à domicile. Steve Nechelput, citoyen britannique et directeur financier de l’antenne chinoise, ne peut quitter le territoire chinois depuis le 27 juin.

 

Lors d’une conférence de presse à la mi-juillet, le chef de l’enquête, Gao Feng, avait d’abord comparé la firme à un cartel mafieux. « GSK ne présente pas de corruption dans ses comptes. Mais l’entreprise a utilisé des agences de voyages comme plateformes. Cela ressemble à une organisation criminelle dont GSK serait le parrain, le principal responsable », avait-t-il indiqué.

 

Avant leurs premières arrestations, les limiers chinois ont d’abord épluché la trésorerie florissante de nombreuses agences de voyages shanghaïennes depuis 2007. Et démontré comment GSK leur confiait l’organisation de conventions fictives. L’argent était finalement expédié sur les comptes bancaires des médecins, peu après leurs généreuses prescriptions. Les cadres chinois de GSK s’octroyaient au passage une grande part du butin. Conséquence directe de ces malversations : un surcoût du médicament d’« environ 20 % », a estimé Liang Hong devant les policiers, selon Les Nouvelles de Pékin.

 

Depuis lundi, l’enquête s’accélère. Trois membres chinois du labo britannique AstraZeneca ont été entendus par la police shanghaïenne. Le ministère de la Santé a annoncé l’arrestation de 39 employés d’un hôpital du Guangdong, au sud du pays. Enfin, selon le New York Times, les groupes Merck, Roche, Sanofi et Novartis auraient collaboré avec l’une des agences de voyages impliquées dans le versement de pots-de-vin de GSK. Un ressortissant américain aurait également été arrêté dans le cadre de ce vaste coup de filet.

 

Depuis les années 1980, la Chine a ajouté dix ans d’espérance de vie à sa population, Mais la couverture santé, dont bénéficient officiellement 96 % des Chinois, peine à assumer le véritable coût des soins, poussant les familles à épargner massivement, en cas de pépin. En ville, la consultation d’un médecin généraliste est quasiment gratuite, mais expéditive. Et le patient repart, malgré lui, avec des ordonnances à rallonge, aux montants rédhibitoires. Ces enquêtes en cours devraient changer la donne.

 

Source: Le Figaro

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