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11 juillet 2013 4 11 /07 /juillet /2013 21:30

La revue médicale Prescrire est favorable au vaccin anti-HPV : face à une protestation, elle admet des incertitudes, mais… maintient sa position. Un autre article de la revue en juillet reprend le classique Primum non nocere (D’abord ne pas nuire)

 

Au vu de la masse importante de données accablantes en défaveur des vaccins Gardasil et Cervarix, pourvoyeurs d'un nombre alarmant d'effets secondaires et de décès, nous estimons que cette revue qui se présente comme indépendante, va y perdre des plumes.

 

Mais il faut dire que la position de cette revue sur un vaccin aussi délétère que le vaccin anti-hépatite B était déjà peu courageuse. En médecine, il ne faut pas oublier que les vaccins sont LE tabou des tabous. Par conséquent, sonner le tocsin sur le Mediator était beaucoup moins politiquement incorrect que lever le voile sur le scandale de nettement plus grande ampleur des vaccins.

 

Pour se faire sa propre opinion, nous proposons notamment, de façon non exhaustive, la visite des articles et catégories suivantes:

 

Vaccins anti-HPV: rapport bénéfices/risques défavorable (Annals of Medicine)

 

Catégorie de notre site sur les vaccins anti-HPV

 

Un article de mise au point sur les risques établis du vaccin anti-hépatite B

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11 juillet 2013 4 11 /07 /juillet /2013 21:03

Suisse Centrale. 10 juillet 2013



Pas de vaccin, pas d'école!

 

Pour lutter contre les flambées de rougeole, des écoles ont exclu pendant trois semaines toutes les personnes non-vaccinées. Elles appliquent ainsi à la lettre les recommandations de l'Office de la santé publique.



rougeole.jpg 

Depuis début juin 2013, 29 cas ont été recensés en Suisse centrale et 8 autres cas au Tessin. (photo: Keystone)

 

L’objectif de la Confédération est ambitieux: éliminer la rougeole en Suisse d’ici 2015. Pour cela, l’Office fédéral de la santé publique a introduit en avril des directives de lutte très strictes. Une des mesures vise à exclure des structures collectives toute personne potentiellement transmetteuse et cela pendant 21 jours.

 

 Il y a quelques semaines, plusieurs écoles de Suisse centrale ont appliqué cette règle à la lettre, écrit la «NZZ». A la suite d’un cas de rougeole au lycée d’Ingenbohl (SZ), toutes les personnes non-vaccinées ont été mises en vacances d’été prématurément. D’autres établissements schwytzois ont fait de même, mais se sont contentés à renvoyer uniquement ceux étant dans la même classe que la personne malade. En cas de besoin, les écoles uranaises ont affirmé qu’elles feraient de même.

 

Depuis juin 2013, 29 cas de rougeole ont été recensés en Suisse centrale et 8 au Tessin.

 

(ofu)



Source: 20minutes.ch

 

Nos grands parents auraient dit « Tout ça pour ça ! ». Eux, ils se réjouissaient plutôt que leurs enfants puissent "profiter" de cette occasion pour s'immuniser  à vie et naturellement à l'âge le moins risqué. Ils auraient sûrement trouvé hasardeux de vacciner s'ils avaient disposé d'un vaccin en sachant que celui-ci peut entre autres causer l'autisme.   

 

Mais il est vrai que la Suisse est le pays qui héberge le siège de l’OMS... En attendant, ne pas oublier que les vaccinés aussi peuvent contacter la rougeole et parfois la transmettre aussi.   

 

Voir aussi: La vaccination provoque l'autisme. Voici ce qu'ils savent...

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11 juillet 2013 4 11 /07 /juillet /2013 21:00
C'est vraiment délirant! Vacciner les seniors contre le zona alors qu'il s'agit d'une sorte de "méga vaccin contre la varicelle" (14 fois plus dosé et aussi à virus vivant) , que la grande majorité des gens âgés ont déjà fait cette maladie dans l'enfance et qu'il n'est pas forcément si anodin qu'on le dit de vacciner des gens contre des microbes qu'ils ont déjà précédemment contractés de façon naturelle.
 
Prenons aussi le cas de gens qui n'ont encore jamais contracté la varicelle et qui recevraient ce faux vaccin miracle contre le zona: comme le zona n'est qu'une réactivation d'une précédente infection par le virus de la varicelle, cette vaccination avec un virus vivant atténué les mettrait de facto plus à risque de faire un zona que s'ils ne l'avaient jamais reçu. Ce vaccin peut entraîner des varicelles chez des sujets contacts dont des enfants.
 
Mais qu'importe pour les pseudos experts puisque, disent-ils, au Canada tous les enfants ou presque sont déjà vaccinés contre la varicelle... quelle "merveilleuse" logique! D'autant que la généralisation de la vaccination contre la varicelle a augmenté très clairement l'incidence ... des zonas dans des pays qui l'ont déjà implémentée comme les USA et le Canada, ce qui a été prétexte à recommander la vaccination contre le zona et aussi des rappels de vaccin contre la varicelle... un vrai cercle vicieux qui ne profite donc une fois encore qu'à Big Pharma.
 
En outre, le vaccin contre la varicelle, pas plus que celui contre le zona ne garantissent une efficacité de 100%, les échecs sont loin d'être rares. Pour ce vaccin contre le zona, l'efficacité est assez médiocre puisqu'il y a 30% d'échec entre 50 et 69 ans et 62% d'échec chez les plus de 70 ans!! Mais nul doute bien sûr que certains médecins et "experts" viendront encore justifier que 30% d'efficacité c'est mieux que rien, et que cela justifie de vacciner autant de seniors que possible.
 
Comme d'habitude, la bonne vieille recette vendeuse en matière de vaccins consiste à insister sur le caractère effrayant de la maladie ("on ne sait plus marcher ni dormir en cas de zona" etc). Oui, c'est vrai, le zona est terriblement douloureux, mais on oublie de rappeler que les effets secondaires des vaccins peuvent aussi toucher très durement le système nerveux, engendrer nombre de cas de paralysies irréversibles et autres invalidités et même, dans certains cas, la mort.
 
zona-pub-dramatisante-de-merck.jpg
 
Voir aussi la vidéo publicitaire de Merck, ICI
 
"J'aurais donné n'importe quoi pour diminuer ma douleur pendant des semaines." dit la pub.
 
Nous pensons qu'il est pertinent que vous vous demandiez si vous êtres vraiment prêt à RISQUER N'IMPORTE QUOI, y compris ce genre d'effets-ci qui, eux, durent toute une vie:
 
 
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11 juillet 2013 4 11 /07 /juillet /2013 20:25

Streptococcus_pneumoniae.jpgComment vacciner quasiment 100% d'une population sans en avoir l'air? C'est simple: il suffit de décréter un vaccin nécessaire chez des catégories tellement vastes de malades que dans notre société où les biens portants deviennent progressivement une denrée rare, tout le monde finit par entrer dans le groupe cible qui se superpose progressivement à la population générale.

 

Petit rappel: les pneumocoques sont des bactéries dont il existe environ 90 souches différentes. Ces bactéries peuvent être impliquées dans des otites, des pneumonies, des méningites. Les infections graves restent tout de même statistiquement assez rares. Cela n'a pas empêché que l'on ait initialement recommandé cette vaccination lucrative ET dangereuse à TOUS les jeunes enfants (sans parler qu'on la co-administre avec l'Infanrix hexa ce qui, selon des documents confidentiels des fabricants, multiplie par 3 le risque d'effets secondaires neurologiques.).

 

Le Prevenar est le vaccin le plus lucratif de toute l'histoire des vaccins. C'est vraiment ce qu'on appelle un "blockbuster" et bien sûr, ce jackpot financier n'a été possible QUE parce que les autorités officielles qui considèrent les pharmas comme "leurs partenaires naturels" ont apporté leur concours à cette vaccination en la recommandant et en la remboursant généreusement...

 

Malgré une large vaccination des enfants, et aussi parce que la Nature est plus complexe et plus intelligente que ce que les vaccinologues simplistes imaginent, la première version du Prevenar s'est soldée par une hausse des méningites à pneumocoques, la complication la plus grave qui était censée être diminuée par une vaccination massive. Cette vaccination a donc été un échec flagrant, elle a fait pire que bien. Mais comme il fallait sauver les profits du fabricant (Wyeth, "mangé" depuis par Pfizer), il fallait "trouver une astuce". Elle fut trouvée par la mise sur le marché d'une nouvelle version du Prevenar incluant 13 souches au lieu de 7, ce qui ne fera donc que déplacer le problème dans le temps.

 

En décembre 2011, on apprenait que l'Agence Européenne des Médicaments avait approuvé l'extension de l'autorisation de mise sur le marché du Prevenar pour qu'il puisse aussi être injecté aux plus de 50 ans.

 

Mais voilà qu'après l'étrange recommandation subite de la vaccination contre le méningocoque C aux homosexuels masculins en France, on apprenait récemment que l'on élargissait aussi la recommandation vaccinale du vaccin anti-pneumococcique à toutes sortes de catégories d'adultes, seuls les alcooliques et les fumeurs n'ayant pas été inclus, les officiels n'allant évidemment pas oser aller jusque-là car cela démasquerait trop leur volonté de vacciner vraiment 100% d'une population de façon purement idéologique.

 

Désormais sont donc aussi inclus dans cette recommandation: les asthmatiques, les gens avec bronchopneumopathie chronique obstructive (BPCO), tous les insuffisants respiratoires, les insuffisants rénaux, les diabétiques (même ceux de type 2 s'ils ont la malchance de ne pas être "équilibrés"!), tous les immunodéprimés et tous ceux qui souffrent de maladies hépatiques chroniques aussi. Bref, en rajoutant tous les fumeurs et tous les alcooliques, n'aurait-on pas réussi à englober au moins 60% de l'ensemble de la population adulte?

 

Il ne faut plus seulement prendre en compte le critère d'âge selon le Haut Conseil de Santé Publique, donc en gros, il faut vacciner quand même les gens âgés mais le fait que d'autres gens soient plus jeunes ne doit pas dissuader de les vacciner aussi... ratissons aussi large que possible tant qu'on y est!

 

Pfizer avait obtenu une extension de l'autorisation de mise sur le marché de son vaccin Prevenar pour qu'il soit utilisable jusque 17 ans et aussi pour les 50 ans et + ? Qu'à cela ne tienne, grâce au fameux coup de pouce des autorités, leur vaccin sera sûrement aussi utilisé au-delà de ces "seuls" groupes d'âges déjà très vastes c'est à dire potentiellement à tout âge.

 

Source de cet info: Santemagazine.fr

 

Voir aussi Grande générosité de la Commission Européenne envers Pfizer: le Prevenar 13 désormais pour tous les âges!

 

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11 juillet 2013 4 11 /07 /juillet /2013 15:25

Les services de gènes express de GenScript aident Novavax à accélérer la mise au point d'un vaccin H7N9 en 28 jours

  

ADN-helice.jpg

ISCATAWAY, N.J., le 8 juill. 2013 /CNW/ - GenScript, le plus grand fournisseur mondial de gènes synthétiques, a aidé une importante société biopharmaceutique, Novavax, Inc. (NASDAQ : NVAX), à mettre au point un vaccin candidat contre la grippe aviaire de type A (H7N9) en synthétisant trois constructions contenant des gènes qui codent pour des protéines essentielles de vaccins en seulement six jours ouvrables. Le 10 mai 2013, Novavax a en effet annoncé que son vaccin candidat avait été développé et soumis à des essais précliniques en à peine 28 jours, soit moins de 6 semaines après que les premiers cas d'infections au virus H7N9 aient été signalés le 1er avril dernier.

 

La fabrication des constructions utilisées dans les vaccins candidats H7N9 de Novavax a été rendue possible grâce au service de gènes express (Rush Gene) de GenScript, qui consiste à synthétiser des séquences de gènes en 4 jours seulement. GenScript offre également une optimisation gratuite des séquences génétiques, ce qui est avantageux pour la production de vaccins et de produits biologiques à base de protéines. Habituellement, les chercheurs doivent se résoudre à utiliser des méthodes de laboratoire conventionnelles pendant au moins deux semaines avant de pouvoir assembler des constructions comme celles qui servent à la production d'un vaccin H7N9. Toutefois, la mise au point rapide du vaccin candidat de Novavax montre que la combinaison de l'optimisation génétique, de la synthèse express de gènes et du clonage personnalisé, facilitée par la plateforme de service unique de GenScript, peut réduire considérablement le temps d'assemblage et accélérer ainsi la recherche et le développement.

 

« Notre mission est de sauver des vies en aidant les scientifiques à accélérer leurs recherches. Dans le cas présent, nos services de gènes express sont le parfait exemple de notre dévouement à cette cause », souligne Frank Zhang, Ph.D., chef de la direction de GenScript. « Les progrès réalisés par les scientifiques de Novavax dans un si court laps de temps concernant leur vaccin candidat H7N9 est la raison pour laquelle nous nous engageons à fournir des services de première qualité tous les jours. »

 

Source: Lelezard.com

 

On ne peut pas assurer « des services de première qualité » avec un développement aussi rapide. Il est évident que la sécurité ne peut pas être assurée, puisqu’elle ne l’est déjà pas avec les vaccins dont le développement est plus long….en plus, il s’agit ici de vaccins transgéniques, or les vaccins, quels qu’ils soient, sont et restent dispensés de tests destinés à évaluer leur potentiel cancérogène et mutagène (capacité d’entraîner des mutations de l’ADN pouvant être sources de maladies rares, auto-immunes, neurologiques ou de cancers…). Pourtant, en 1987 déjà, l’OMS signalait dans une conférence d’experts LE RISQUE DE MALIGNITE posé par les vaccins et autres produits biologiques produits par génie génétique, et le fait que ce risque est d’autant plus préoccupant que de jeunes enfants recevront de manière répétée ce genre de produits tout au long de leur vie……..

 

« Un des grands problèmes soulevés [à cette conférence] est le risque de malignité que pourrait représenter à long terme un A.D.N contaminant hétérogène, en particulier s’il s’avère qu’il contient des séquences codantes ou régulatrices potentiellement oncogènes. Ce point est réellement préoccupant, car de nombreuses personnes en bonne santé, notamment des nourrissons, seront peut-être vaccinées avec des produits issus de lignées cellulaires continues, ou les recevront de toute autre manière. » (« Acceptabilité des substrats cellulaires pour la production de substances biologiques », Rapport technique OMS n°747 ; 1987.)

   

Ne soyons donc pas dupes, derrière les habituels slogans lénifiants selon lesquels le but de ces firmes et de « sauver des vies », il s’agit juste d’essayer d’être le plus rapide pour que des instances douteuses comme l’OMS usent de leur pouvoir d’influence et puisse favoriser commercialement telle ou telle firme!

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10 juillet 2013 3 10 /07 /juillet /2013 21:34

 Dédommagement maximum pour la mort d’un bébé

  

« Décès après un vaccin »

La famille reçoit 200.000 Euros de dédommagement

 

Deces-d-un-bebe-italien.JPG

 

Pesaro, 4 juillet 2013, Di Ale.Maz

 

Une petite fille est décédée après avoir reçu le vaccin hexavalent Infanrix hexa.

 

Avant-hier, un juge du Tribunal Civil de Pesaro qui a finalement considéré que le Ministère de la Santé était responsable, a attribué à la famille un dédommagement  de 200.000 euros en  plus d’une rente d’environ 700 euros par mois avec une indemnité complémentaire qui reste à définir.

 

La petite fille de Pesaro avait 6 mois quand elle est morte dans son lit en février 2003. Sur base de l’avis de sommités médicales et de consultants, le tribunal a reconnu un lien de causalité entre la vaccination avec Infanrix hexa et la mort de l’enfant.

 

Cette histoire tragique a été défendue par l’avocat Luc Ventaloro de Rimini, expert des droits de l’enfant. La petite fille, précise l’avocat, a très vite commencé à souffrir d’une série de symptômes qui pouvaient être liés à la vaccination : douleurs articulaires incessantes, perte totale d’appétit, inversion des rythmes veille- sommeil etc. La petite fille est morte pendant son sommeil un soir de février 2003. Une autopsie a déterminé que la cause du décès était une pneumonie interstitielle. Le vaccin hexavalent comprenait les valences suivantes : polio, diphtérie, tétanos, hépatite B coqueluche et haemophilus influenza de type b.

 

Les indemnisations suite à des décès après vaccinations sont régies par la loi 210 de 1992 qui a trait à l’indemnisation « en faveur des sujets dont la santé a été endommagée par des complications de type irréversible à la suite de vaccinations obligatoires et de transfusions.» L’indemnité devra être payée par le Ministère de la Santé

 

Source : ilrestodelcarlino.it

 

Trois choses sont très intéressantes au sujet d’un tel cas :

 

- La première c’est que les tribunaux italiens semblent plus courageux que ceux d’autres pays en matière de reconnaissance du lien entre vaccins et effets secondaires. Songeons notamment au retentissant procès de Rimini sur le lien entre vaccin ROR et autisme.

 

- La deuxième, c’est que l’Agence italienne des Médicaments semble plus honnête que celles d’autres pays en admettant plusieurs fois un lien probable entre décès d’enfants et vaccination avec Infanrix hexa dans ce pays (cfr rapports de décès dans le document confidentiel de GSK sur la pharmacovigilance de l’Infanrix hexa, tel que publié sur ce site)

 

- La troisième, c’est qu’en Italie, un décès post-vaccinal par pneumonie interstitielle est considéré comme pouvant être en lien avec un vaccin comme l’Infanrix hexa alors qu’en Belgique, il aurait sûrement été considéré cela comme indépendant… songeons au décès de la petite Stacy en octobre 2011 dans la région de Charleroi, une semaine seulement après ses 3 premiers vaccins faits à l’ONE dont l’Infanrix hexa… son décès fut attribué à une infection grave avec empoisonnement du sang (septicémie). Mais qui peut affirmer sérieusement que tous ces vaccins administrés à un enfant dont le système immunitaire est encore si immature n’ont pas favorisé l’apparition d’une infection ? Personne sauf les pseudos experts aux bottes des pharmas et/ou ceux englués dans cette idéologie vaccinale anti-scientifique et contraire au plus élémentaire bon sens.

 

 

 

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10 juillet 2013 3 10 /07 /juillet /2013 18:22

La vaccination provoque l’autisme

 

Voici ce qu’ils savent…

 

Autisme-fille-contre-un-mur.jpg

 

Christina England, 4 juillet 2013

 

Depuis de nombreuses années, des parents ont été convaincus que les vaccinations multiples ont provoqué l’autisme chez leurs enfants. Mais partout dans le monde, les gouvernements ont catégoriquement nié cette possibilité. Ils continuent à mettre leur tête dans le sable et à ignorer ce qui se passe. Ils refusent d’effectuer  les études pertinentes et ne veulent répondre à aucune question qui pourrait mettre la vérité sur les vaccins en pleine lumière.

 

Leurs actions sont clairement démontrées dans une vidéo publiée le 11 mai 2013, enregistrée au Congrès Américain et dans laquelle apparaissent les Députés Burton et Bill Posey et le Dr Weldon.

 

Cette vidéo  illustre ce qui s’est passé au fil des années derrière des portes closes. Elle donne aux parents l’occasion rare de pouvoir être les témoins directs des mensonges qui sont racontés au public, ainsi que de l’énormité de la supercherie en ce qui concerne les vaccins. [1]

 

Vaccins, mensonges et vidéo

 

Cette vidéo a commencé à être tournée en l’an 2000.

 

Le Député Dan Burton, président du la Commission de Réforme Gouvernementale sur l’autisme et les vaccinations pour enfants (2000) a ouvert la séance en déclarant que l’autisme, autrefois considéré comme une maladie rare, était quasi devenu une épidémie. Il devait préciser qu’il existait une priorité absolue à effectuer un maximum de recherches sur la relation possible entre les vaccins et l’autisme. Il a terminé son introduction en précisant qu’il nous fallait  cesser de nous mettre la tête dans le sable et ignorer cette possibilité.

 

S’adressant au Dr Coleen Boyle, Directrice du Centre National sur les Malformations Congénitales et les Troubles du Développement du CDC (Centres de Contrôle des Maladies), il a demandé :

 

« Nous avons vérifié tous les dossiers financiers de la FDA, du HHS, du CDC.- Pouvez-vous croire que quelqu’un qui reçoit des fonds de Merck ou d’autres sociétés pharmaceutiques  devrait figurer dans les Comités Consultatifs qui donnent leur avis sur des produits pharmaceutiques en provenance de ces sociétés, ou croyez-vous qu’on a, là affaire, à des conflits d’intérêts ? »

 

Pour la plupart d’entre nous, la réponse à cette question ne devrait poser aucun problème. La chose n’a pas été aussi simple pour le Dr Boyle qui a d’abord semblé être sans voix quand elle a finalement déclaré :

 

« Je pense qu’il est difficile de répondre à cette question. »

 

Le Député Burton s’est alors tourné vers le Dr Paul Offit, et lui a dit :

 

« Vous parlez de collaboration… je suppose que c’est avec la société pharmaceutique Merck ? »

 

A cette question, Offit  commença à bredouiller :

 

« Oui, je, euh, comme je, euh, l’ai écrit dans mon rapport, j’ai collaboré avec Merck & Company depuis 1992 pour le développement du vaccin contre le rotavirus. »

 

Le Député Burton a simplement répondu :

 

« Ce sont eux qui fabriquent le vaccin ROR, (Rougeole, Oreillons,Rubéole) n’est-ce pas ? »

 

Se retournant vers le Dr Boyle, Dan Burton lui demanda pourquoi le CDC n’avait pas, au cours de l’enquête, envisagé la possibilité que certains de ces vaccins aient pu provoquer l’augmentation de l’autisme. Burton lui demanda de vérifier ce fait. En dépit du fait qu’elle marqua son accord, il semble qu’une fois de plus cette tâche relativement simple ait été trop difficile pour le Dr Boyle, parce que treize ans plus tard, nous attendons toujours sa réponse.

 

Après avoir parlé à d’autres membres du Congrès, le Député Burton se retourna vers le Dr Boyle et lui dit sur un ton très ferme :

 

« Pour votre information, Dr Boyle, lors d’une réunion publique dans la région de Brick en 1997 avec le CDC et autres personnes (vous devez être au courant), plusieurs membres de l’auditoire ont posé des questions sur les vaccins et sur le lien possible qui pourrait exister avec l’autisme. Ces personnes ont demandé que des vérifications soient faites. »

 

Il poursuit :

 

« Et je soutiens que c’est peut-être, juste peut-être, parce que la compagnie pharmaceutique qui les fabrique avait  une certaine influence sur les gens assistant à cette réunion vu qu’ils ont dit : Hey, nous ne voulons pas entrer dans ces détails… Et je précise que si c’est le cas, cela frise le criminel ! »

 

Depute-Dan-Burton.JPG

 

Député Dan BURTON : audition au Congrès Américain

 

Mon petit-fils, comme des milliers d’enfants étaient en parfaite santé, jusqu’à ce qu’ils reçoivent ces vaccins multiples…Je veux que vous puissiez VOIR ce que ces parents doivent endurer avec ces enfants

 

 

Cfr temps entre 3'36'' et 4'00 environ

 

 

Femmes-qui-pleurent.JPG

 

En concluant la séquence 2000, je pense que c’est le Dr Rimland qui a fourni la réponse la plus honnête de la journée quand, après avoir écouté tous les commentaires et effectué sa propre recherche scientifique,  il a répondu à la question du Député Burton qui voulait savoir s’il existait une possibilité que les vaccins puissent contribuer à l’augmentation des cas d’autisme.

 

Dr-Rimland.JPG

 

Le Dr Rimland a répondu :

 

« Il y a non seulement une possibilité, mais une très forte probabilité à partir de toutes les preuves disponibles…Il est assez intéressant de constater que la plupart des autorités officielles ont choisi d’affirmer que l’augmentation des cas d’autisme n’avait aucun rapport avec les vaccinations. – J’ai l’habitude de m’en référer à une citation qui m’apparaît très juste : l’histoire des progrès de l’humanité s’est accomplie sur la réfutation d’arguments d’autorité. »

 

Ce sont là des mots forts. Pourquoi n’a-t-il pas été entendu ?

 

Les organismes gouvernementaux continuent d’ignorer les appels

 

Si l’on s’en réfère à l’année 2002, il semble bien que rien n’ait beaucoup changé. Le Député Dan Burton a une nouvelle fois présidé une réunion de Comité. Il a décidé d’ouvrir cette cession avec le film poignant et émouvant d’un enfant souffrant d’une forme grave d’autisme pour permettre à l’assemblée de se rendre compte de ce que des parents ont à souffrir jour après jour. Ce bout de film a ému l’assistance jusqu’aux larmes. Le Député Burton a ajouté que comme son petit fils, il y avait des milliers d’enfants dans le pays qui étaient parfaitement normaux jusqu’à ce qu’ils reçoivent des vaccins multiples. Il a poursuivi en des termes extrêmement durs :

 

« Nous ne pouvons pas permettre à l’industrie pharmaceutique et à notre gouvernement de camoufler ce gâchis, car il ne va pas disparaître et va coûter des milliards de plus aux contribuables si nous permettons à la FDA, au HHS et aux agences de santé de continuer à se cacher derrière une façade où ils prétendent que des études prouvent le contraire de manière concluante, alors que tout cela est faux ! »

 

En fait, comme le montre la vidéo, tout ce débat houleux dure depuis plus d’une décennie. Chaque année, ce sont les mêmes problèmes qui sont discutés, les mêmes questions qui sont soulevées et la Commission en arrive toujours aux mêmes conclusions que les études nécessaires n’ont pas été réalisées pour établir le lien entre vaccinations et autisme.

 

Alors, pourquoi pareille situation et pourquoi rien n’a-t-il été fait ?

 

La représentante (chercheuse) du gouvernement s’est montrée hésitante

 

En 2012, le Député Bill Posey a tenté à nouveau d’interroger l’insaisissable et maintenant grisonnante Dr Boyle du CDC sur les vaccinations et l’autisme. 

 

Le Député Posey pose alors la question :

 

« Dr Boyle, mon prédécesseur, le Député Welder est un médecin très compétent et respecté de tous. C’est de lui que j’ai appris qu’il pensait avec beaucoup de certitude que le thimérosal dans les vaccins était certainement un facteur qui contribuait à provoquer l’autisme. Je me demande donc si le CDC a déjà organisé ou facilité une étude qui comparerait des enfants vaccinés à des enfants non vaccinés. L’avez-vous fait ? »

 

Comme on pouvait s’y attendre, au lieu de répondre à la question posée, le Dr Boyle évite complètement la question et répond :

 

« Nous avons réalisé un certain nombre d’études portant sur la relation entre le thimérosal et l’autisme et autres troubles du développement. »

 

Sans renoncer à sa première question, le Député Posey reformule sa question dans l’espoir d’obtenir une réponse claire et directe. Il demande :

 

« Donc, clairement, nettement et sans équivoque, avez-vous étudié des vaccinés comparativement à des non vaccinés ? »

 

Ce à quoi, le Dr Boyle a répondu :

 

« Nous n’avons pas étudié des vaccinés comparativement à des non vaccinés. »

 

Comme le Dr Boyle essayait de poursuivre dans une langue de bois, le Député Posey l’arrêta en disant :

 

« Peu importe, c’était le sens de ma question, vous m’avez fait perdre deux minutes de mon précieux temps. »

 

Il lui a alors demandé :

 

« Quelles sont les mesures qu’a prises le CDC pour s’assurer de l’intégrité de la recherche réalisée par le Dr Thorsen qui, comme vous le savez, a été inculpé pour faute grave par rapport à une mauvaise utilisation des ressources ? »

 

Une fois encore, on peut s’apercevoir que Boyle essaie d’esquiver la question. Au lieu de répondre directement au Député Posey, elle a essayé de s’en référer à des données incorrectes qui avaient trait au fait que le Dr Thorsen avait été co-investigateur dans seulement deux des études réalisées. Cette réponse fut immédiatement démentie par Posey qui a alors demandé si on pouvait l’autoriser à divulguer l’information selon laquelle le Dr Thorsen avait en fait été impliqué dans 21 des 24 études réalisées.

 

A aucun moment, et dans n’importe quelle partie de la vidéo, le Dr Boyle n’a répondu aux questions posées sans essayer d’éluder la question qui lui était posée, et même quand Posey lui a demandé :

 

« Etes-vous revenue pour valider les différentes études auxquelles Thorsen a participé ? Ce que je veux dire, c’est que vous savez pertinemment bien que ce type est  un monstrueux malfrat, un des hommes les plus recherchés de la planète, et c’est sur lui que vous comptez pour vous fournir les données qui vous permettront de décider si le thimérosal a des effets pervers ? »

 

Plutôt que d’admettre les défaillances du Dr Thorsen, le Dr Boyle s’est immédiatement attelée à la défense de Thorsen, alors même que cet homme se trouve en tête de liste des hommes  les plus recherchés de l’état fédéral pour 22 chefs d’accusation pour fraude électronique, blanchiment d’argent…. qui devraient lui valoir 260 ans de prison pour ses crimes. [2]

 

Conclusion

 

Après avoir vu la vidéo, il est évident  que pas une seule personne interrogée par le Député Burton ou par la Commission ne possédait la moindre preuve que les vaccins ne pouvaient pas provoquer l’autisme.

 

Au lieu de cela, les personnalités ont donné de fausses informations et ont tenté d’éviter toutes les questions qui leur étaient posées. Nombreuses étaient les personnes ayant des conflits d’intérêts avec l’industrie qui fabrique les vaccins et qui paradoxalement n’y voyaient aucun problème.

 

Les membres du CDC et de la FDA et autres organismes qui régulent le problème des vaccinations se doivent d’être totalement indépendants. Si, comme Paul Offit, ils détiennent des brevets relatifs aux vaccins ou collaborent avec les entreprises qui fabriquent les vaccins, il ne leur est pas possible d’être réellement indépendants comme de faire totalement preuve d’impartialité.

 

Il est certain que les parents qui font toute confiance aux fonctionnaires en ce qui concerne la vie de leurs enfants, méritent mieux que cela. Il est grand temps que les choses changent. Les parents qui font confiance au programme de vaccinations doivent impérativement être en possession des preuves concrètes que les vaccins qu’on leur propose sont sans danger. Au lieu d’ajouter sans cesse de nouveaux vaccins au programme et de tenter de les rendre obligatoires, les gouvernements et leurs représentants doivent d’abord répondre aux questions qui leur sont posées.

 

Cette vidéo représente une preuve concluante que ce n’est  toujours pas le cas.

 

The-rise-in-autism.JPG

 

Le plus grand crime jamais perpétré contre le public Américain

 

Député Dan Burton : « C’est pire qu’une épidémie; c’est un désastre absolu ! »

 

Références

 

1. http://www.youtube.com/watch?v=3wwDPcNdxJQ   (VIDEO)

2. http://www.sciencebasedmedicine.org/the-curious-case-of-poul-thorsen-fraud-and-embezzlement-and-the-danish-studies/

 

Source: Vactruth

 

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10 juillet 2013 3 10 /07 /juillet /2013 13:20

 Les vaccins, mieux que la saignée ? 

 

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I - Plus un médicament est puissant et actif, plus ses effets secondaires peuvent être défavorables.

 

Mais les vaccins échappent, de façon surprenante, à cette règle de la biologie. Il serait temps de se demander pourquoi ?

 

En effet, les vaccins sont parmi les médicaments les plus puissants puisqu'ils sont capables d'agir sur de longues durées : 1 an, 5 ans, 10 ans, voire plus. Et cependant on nous affirme que les effets secondaires sont rarissimes !

 

Notons en plus que si les médicaments sont donnés à des malades, les vaccins, eux, sont injectés à des personnes en bonne santé.

 

Les vaccins auraient donc des effets favorables au long cours.

 

Alors que leurs effets défavorables ne sont reconnus que dans les quelques jours qui suivent leur injection. Par exemple le VAERS, l'Agence gouvernementale américaine qui recense les accidents post-vaccinaux, n'accepte de reconnaître ces accidents que s'ils se manifestent dans les 7 jours après l'injection. Légalement cela signifie que si votre enfant décède le 8ème  jour après la vaccination, ou au delà, ce décès ne pourra être attribué au vaccin. Et vous ne pourrez prétendre à aucune compensation.

 

Sur ce même sujet des effets au long cours,  le potentiel cancérogène des vaccins n'a jamais été étudié, comme on peut s'en rendre compte en consultant le PDR (Physicians’Desk Reference). Et cependant des études montrent qu'entre 1960 et 1980,  l'augmentation des cancers des enfants n'a jamais eu son pareil dans l'histoire de l'humanité.

 

II - On sait, qu’au delà de 3 médicaments pris en même temps, des effets secondaires imprévisibles et aléatoires peuvent se présenter.

 

Mais les vaccins échappent à cette règle, sans poser aucun problème, prétendument. Ainsi les vaccins sont censés agir contre 3, 4, 5 et même 6 maladies d'un coup, peut-être même plus à l’avenir, sans que cela n’éveille de questionnement !

La nature quant à elle, n'apporte qu'une maladie à la fois, sauf de très rares exceptions.

 

III - On sait que le système immunitaire des enfants ne se met en place que progressivement et lentement.

 

Mais les vaccins n'ont pas besoin qu'il soit constitué !. Dés la première année, en France (pays champion de la vaccination obligatoire, mais aussi recommandée), le calendrier vaccinal prévoit que l'enfant va recevoir, 27 sollicitations. Dans l'histoire de la médecine, seul le crédit accordé à la saignée a réussi à provoquer autant d'acharnement.

 

Depuis 30 ans, les études sur le stress ont fait apparaître que le système immunitaire était beaucoup plus complexe que nous ne le soupçonnions, lors des premiers pas de la vaccination entre Pasteur (1880) et la mise au point du vaccin polio (1950). Les chercheurs parlent maintenant de l'axe Psycho-Neuro-Immunologique.

 

Les vaccinologistes, quant à eux, en sont toujours au premier étage. Ces découvertes laissent donc entendre que toute perturbation du système immunitaire peut influencer tout le système nerveux, mais aussi tout l'espace psychique des personnes. Une zone d'ombre inattendue et inquiétante dans la compréhension  simplificatrice de la vaccinologie. Quand cet assemblage diaboliquement complexe se dérègle, les conséquences peuvent être lourdes et graves. Il semble que cela ait échappé aux recherches à court terme de la vaccinologie.

 

IV - Il y a lieu de se pencher et de réfléchir au grave problème posé par le franchissement de la barrière des espèces.

 

Cette situation est en train de prendre une tournure qui semble peu angoisser les chercheurs, les politiques et les populations.

 

Mais on est obligé de constater que les vaccins ont été et restent un des plus grands acteurs de ce franchissement de la barrière des espèces. Toute la vaccinologie repose sur des mécanismes de transfert, qui au fond ne sont que des franchissements de la barrière des espèces. Ces mécanismes ont été de plus en plus élaborés, à partir du moment où on a commencé à comprendre l'interrelation entre les virus et les noyaux cellulaires. Ces premiers transferts ont été utilisés pour la mise au point du vaccin contre la polio. On s'est alors aperçu, tardivement, que ces vaccins étaient contaminés par le virus SV 40 du singe. Ce virus est, de façon surprenante, un cousin proche du virus du SIDA, dont les chercheurs estiment qu'il vient du singe, lui aussi.

 

Si on se penche sur les premiers OGM, dans l'industrie biomoléculaire, on constate que la première filière mise au point a été élaborée par la vaccinologie avec la production des vaccins contre l'hépatite B. C'est ce que décrit le professeur François Gros, ancien directeur de l'Institut Pasteur, qui rapporte l'épopée de la découverte du code génétique et de ses applications industrielles, dans un livre synthétique : « Les secrets du gène ».  De façon surprenante, les français qui semblent un des peuples le plus opposés aux OGM, sont cependant ceux qui ont été les plus vaccinés par ce premier vaccin OGM. Ce serait peut être l'explication de la polémique,  spécifiquement franco-française paraît-il, qui persiste toujours concernant l'innocuité et la sûreté prétendue de ce vaccin.

 

V - Et nous voici au niveau des lois, de la justice et de l'éthique.

 

Là un petit détour historique semble nécessaire pour éclairer notre lanterne. Il s'agit de se pencher sur la situation juridique des experts scientifiques et donc aussi souvent médicaux. En France, nous avons un lourd héritage de ce côté, si on regarde ce qui est advenu dans l'affaire du sang contaminé. Tout en se souvenant que la France, parmi les pays avec un développement comparable, a été le pays le plus gravement atteint par l'ampleur considérable de la contamination,  et même si d'après l'OMS, nous avons la meilleure qualité de soins au monde.

 

Les principaux acteurs ont été poursuivis et condamnés à la prison. Notamment le Dr Garetta avec 3 ans de prison.  Les politiques à leur tour ont été poursuivis par la justice, mais tous sauf un ont été blanchis après 10 ans de procédure. Qu'est-il arrivé aux experts-conseillers de ces ministres ? 15 ans de procédure ont abouti à un non lieu général, le 18 juin 2003.

 

Ainsi les experts scientifiques n'ont pas de compte à rendre de leurs agissements. 

 

Une réussite exceptionnelle de la démocratie, sans doute ?

 

Or, dans la longue polémique qui entoure le vaccin contre l'hépatite B, une conférence de consensus a été organisée rapidement, au mépris des règles de constitution de telles conférences, pour quelle se tienne dans les trois mois, soit le 11 septembre 2003. Elle a conclu que les avantages du vaccin contre l'hépatite B l'emportaient sur les risques d’effets secondaires.

 

Les experts en vaccin avaient compris la leçon délivrée trois mois plus tôt. Ils n'ont pas de compte à rendre. Ne sont-ils pas au dessus des lois ?

 

Conclusion : les vaccins sont au dessus des règles et des lois de la logique, de la biologie et de l’éthique !

 

Les vaccins sont un véritable défi au bon sens et aux règles touchant tous ces domaines. La vaccination est parvenue à s'imposer au point qu'elle a réussi ce qu'aucune religion ou idéologie n'avait réussi avant elle : d'être acceptée non seulement par toute l'humanité (aucune religion ou idéologie n'a réussi à convaincre tous les humains !) mais bien plus, à être injecté à tous les humains.

 

Un triomphe de la rationalité, de la science, de la technologie ? Un défi au bon sens ? Une mystification planétaire ?

 

Un mystère confondant en tout cas, où la peur et la manipulation ont réussi à contaminer tout un chacun au point de rendre incontestable une fausse réussite construite sur un aveuglement ou un mensonge collectif prolongé.           

                                                          

Dr Didier TARTE

 

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9 juillet 2013 2 09 /07 /juillet /2013 19:15

VACCINS en Chine : plus de mal que de bien ?

 

Pour sauver une seule vie, les vaccins endommagent la santé de plus de 1000 enfants en Chine !!!

 

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D’après : China Daily, 6 juillet 2013 – Asia News Network

 

 

CHINE – Plus d’un milliard de vaccins sont administrés aux Chinois chaque année, mais pour chaque vie qu’ils contribuent à sauver de la maladie – le redoutable vaccin nuit également à la santé de plus de 1.000 enfants, selon le Centre Chinois pour le Contrôle et la Prévention des Maladies.

 

Ces enfants dont la santé a été endommagée par les vaccins souffrent de problèmes allant de lésions nerveuses jusqu’à la mort.

 

La plupart des pays possèdent des systèmes de vaccinovigilance en ligne, mais en Chine, tout le monde est d’accord pour dire que l’on pourrait faire beaucoup plus pour améliorer la politique de vaccination.

 

Wang Yu, directeur du CCDCP, dit qu’il existe des technologies vaccinales plus avancées utilisées dans certains pays. Mais la technologie chinoise de vaccination s’améliore très lentement ou même pas du tout. La Chine utilise encore les techniques de production d’il y a 30 ans.

 

Le professeur Wang Yuedan de l’Université de Pékin met en cause un manque de savoir faire.

 

« La raison de cette importante disparité est une question de talent. Dans le domaine de l’immunologie, les talents ont fait défaut suite aux bas salaires et au pauvre développement des carrières. L’immunologie est le cœur même de la biomédecine et, par rapport à la technologie vaccinale, l’Occident garde jalousement ses secrets. Si nous ne changeons pas de système, les talents vont continuer à nous faire défaut et il n’y aura pas d’amélioration substantielle dans ce domaine. »

 

Le vaccin contre le méningocoque

  

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Li Baoxiang, dont le fils est resté paralysé après un vaccin contre la grippe H1N1 dans la ville de Linyl (Province de Shandong), écrit : «  La seringue du vaccin a atterri dans notre famille comme une bombe nucléaire; elle a détruit nos enfants et notre famille…Comme aucun pays ne peut assurer à 100% que le vaccin est sans danger, il devrait y avoir un système d’aide efficace pour ceux qui souffrent des effets indésirables. »

 

Le journal Southern Metropolis Daily a passé trois ans à suivre près de 50 familles qui ont connu des cas similaires.

 

Parmi elles, relevons le cas de Lu Jiarun. Elle avait à peine 7 mois et pouvait se tenir debout. Elle se réveillait chaque matin en criant « papa ». Ce papa se sentait l’homme le plus heureux du monde quand un vaccin qui était censé empêcher sa petite fille de tomber malade a fait tout le contraire et a ruiné son bonheur pour toujours.

 

C’est en 2009 que la maman de la petite fille la conduisit à un Centre local de santé pour la faire vacciner contre la méningite. A peine rentrée à la maison, la petite fille à commencé à pleurer avant de faire des convulsions. Après avoir subi des traitements dans plusieurs hôpitaux, l’état de santé de la petite fille se détériora. Les médecins ont reconnu que son état était dû à la réaction qu’elle avait faite à la suite du vaccin.

 

Après de nombreux rebondissements, et de démarches auprès de l’administration, la famille a finalement obtenu un dédommagement de 120.000 yuan du gouvernement local. Après des années de traitement l’enfant n’a toujours pas récupéré.

 

Le vaccin contre la grippe H1N1

 

En 2009, Fei Jingming, 17 ans avait une merveilleuse voix d’opéra et se réjouissait de suivre des cours dans une école d’art. En novembre, elle demanda à ses parents si elle devait se faire vacciner contre la grippe H1N1. Son père qui s’était déjà fait vacciner, lui conseilla d’accepter le vaccin. Mais dans la famille, ils regrettèrent tous cette décision.

 

Après l’injection, Fei commença à éprouver des douleurs dans les articulations. Le jour suivant, ses yeux commencèrent à saigner. Le diagnostic tomba : troubles sanguins. Les médecins lui expliquèrent que le seul traitement possible était une greffe de moelle. Mais il ne fut malheureusement pas possible de trouver, à temps, un donneur compatible et, à partir du 8 mars 2010 sa santé se détériora et elle finit par mourir.

 

Dans la suite, la maman apprit que la compagnie qui avait produit le vaccin avait été suspendue pour avoir produit des vaccins contrefaits.

 

«  Comment est-il possible que des vaccins contrefaits puissent passer les différents tests et être achetés par le gouvernement ? Combien d’autres familles ont-elles dû subir la perte de leurs enfants à cause de vaccins contrefaits ? » a demandé la maman.

 

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Le vaccin contre le méningocoque (encore)

 

En mai 2009, la naissance de Dong a apporté beaucoup de joie dans la famille. Sept mois plus tard, elle fut vaccinée contre la méningite. Très vite, elle développa des complications. Le jour même, elle fit de la fièvre et par après des convulsions.

 

Quelques jours plus tard, un médecin dut expliquer à la famille que l’enfant souffrait de lésions cérébrales irréversibles. La famille reçut finalement un dédommagement de 300.000 yuan.

 

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Le vaccin contre la rougeole

 

Zhang Wen était une jeune fille en parfaite santé. Elle jouait de la batterie et se réjouissait de rentrer à l’école d’art.

 

En octobre 2009, un vaccin contre la rougeole est venu bouleverser sa vie. Une semaine après l’injection, Zhang commença à tousser et son nez n’arrêtait pas de couler. Plus tard, elle commença à souffrir de maux de dos. Elle éprouvait aussi de grosses difficultés pour aller aux toilettes. Elle avait aussi l’impression qu’elle portait des chaussures brulantes…Comme elle préférait mourir, elle demanda plusieurs fois qu’on arrête les traitements.

 

Après des années de traitement, Zhang est encore faible et ne peut fréquenter l’école qu’une demi- journée. Son kit de batterie qui a été rangé dans la cave est couvert de poussière.

 

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Sources: Asiaone & SaneVax

 

Ainsi donc l’excuse officielle serait que les vaccins chinois seraient tellement moins sûrs que les vaccins occidentaux….Comment se fait-il alors que l’OMS ait pré-qualifié en 2011 l’Agence Nationale Chinoise des Médicaments après une « collaboration technique approfondie » ?? Margaret Chan a également précisé que « quand des vaccins individuels sont pré-qualifiés par l’OMS, la capacité d’un pays à produire une grande quantité de vaccins à des prix très bas, est de nature à révolutionner le marché des vaccins et leur prix. »

 

La vérité, c’est que l’objectif vaccinal de l’OMS est purement idéologique, il est de vacciner un maximum de gens contre un maximum de maladies toujours et tout le temps et pas en tout premier lieu d’assurer la meilleure santé globale possible. C’est entre autres ce qui explique que le premier poste budgétaire de l’OMS en 2012-2013 reste consacré aux maladies infectieuses et aux vaccins alors que des dépenses fondamentales en faveur de l’eau et de la nourriture n’arrivent qu’en 5° position ! 2,6 milliards de gens sur terre ne disposent toujours pas d’un système d’assainissement de base pour l’eau et 1,1 milliard de gens n’ont même pas accès à une source d’eau potable. Dans le même temps aussi, seuls 3% des enfants atteints de formes sévères de malnutrition profitent des pâtes nutritives prêtes à l’emploi et 87% de ces enfants continuent de mourir de cette absence vitale de nourriture alors qu’on continue de les inonder par contre de vaccins.

 

Dans un tel contexte, il semble bien que la question du prix des vaccins est plus prioritaire aux yeux de l’OMS que leur sécurité. Les pré-qualifications de vaccins par l’OMS ne sont absolument pas une garantie. La preuve notamment avec le Quinvaxem qui avait été pré-qualifié lui aussi par l’OMS et qui a provoqué le décès de plusieurs dizaines d’enfants dans des pays pauvres.

 

La vérité, dure à admettre pour ceux qui avaient encore toutes leurs illusions, c’est que la sécurité des vaccins est mauvaise, où que l’on se trouve dans le monde ! Les vaccins ne sont pas et n’ont jamais été scientifiquement évalués en plus de 200 ans d’utilisation. Alors forcément, ça se ressent fortement en termes de santé publique globale. Nous sommes de plus en plus atteints de maladies chroniques et nos enfants aussi, y compris et même encore plus dans les pays les plus riches qui ont accès au plus grand nombre de vaccins, fussent-ils « améliorés ».

 

Alors que seuls 1 à 10% des effets secondaires graves de vaccins sont comptabilisés dans nos pays dits "avancés", il ne nous étonne nullement que le fait de sauver une vie (donc réduction de la mortalité d'un seul point) impose de rendre malades 1000 autres enfants. Quel nivellement de la santé publique par le bas! En fait, la vaccination ne consiste pas à assurer la santé de tous au prix d'un nombre soi-disant infime de victimes mais consiste au contraire à rendre patraque quasiment toute une population (qui ne s'en rend pas forcément compte car l'altération de la santé peut être subtile et progressive) pour ne sauver qu'une infime minorité de gens, le nombre de décès possibles étant statistiquement très très faible dans des pays comme les nôtres.

 

Et pendant ce temps-là, l’OMS, qui dit vouloir contribuer au bien-être de tous les citoyens du monde, rêve d’un monde idéal où les vaccins seraient enfin appréciés de tous

 

Ce n’est vraiment pas pour demain ! En Chine comme ici !!

 

 

 

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Vu sur le site de l'Alliance Gavi, partenaire mondial de l'OMS et de la Fondation Gates en matière de vaccination

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8 juillet 2013 1 08 /07 /juillet /2013 11:15

Par Sylvie Simon . 6 juillet 2013

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Cela fait des années que la chimiothérapie est dénigrée par de très nombreux cancérologues, français et américains et non des moindres qui ont osé exprimer leur doute quant aux guérisons obtenues par les voies classiques.

 

Hardin B Jones, alors professeur de Physique médicale et de Physiologie à Berkeley, avait déjà communiqué en 1956 à la presse les résultats alarmants d’une étude sur le cancer qu’il venait de mener durant vingt-trois ans auprès de cancéreux et qui l’avait conduit à conclure que les patients non traités ne mourraient guère plus vite que ceux qui recevaient la chimiothérapie, bien au contraire.

 

« Les patients qui ont refusé tout traitement ont vécu en moyenne douze ans et demi. Ceux qui se sont soumis à l’intervention chirurgicale et aux autres traitements traditionnels ont vécu en moyenne trois ans seulement. » [1]

 

Et le Dr Jones soulevait aussi la question des sommes fabuleuses engendrées par le « Cancer business ». Les conclusions déstabilisantes du Dr Jones n’ont jamais été réfutées. (Walter Last, The Ecologist, vol. 28, n°2, Mars-avril 1998.)

 

Le 4 octobre 1985, le Pr. Georges Mathé confirmait à L’Express : « Il y a de plus en plus de cancers parce que le dépistage est beaucoup plus précoce, mais on ne les maîtrise pas aussi bien qu’on le dit, malgré la chimiothérapie qui est surtout prônée par les chimiothérapeutes et par les laboratoires de ce qu’il appelait la « cancer-connection », et pour cause : ils en vivent. Si j’avais une tumeur, je n’irais pas dans un centre anticancéreux » (cf. Le Monde, 4 mai 1988).

 

À son tour, le Dr Martin Shapiro écrivait dans un article « Chimiothérapie : Huile de perlimpinpin ? »: « Certains cancérologues informent leurs patients du manque d’évidence que ce traitement soit utile, d’autres sont sans doute égarés par l’optimisme des parutions scientifiques sur la chimiothérapie. D’autres encore répondent à une stimulation économique. Les praticiens peuvent gagner davantage en pratiquant la chimiothérapie qu’en prodiguant consolation et apaisement aux patients mourants et à leurs familles. » (cf. Los Angeles Times, 1er septembre 1987).

 

Cet avis est largement partagé par les docteurs E. Pommateau et M. d’Argent qui estiment que la chimiothérapie « n’est qu’un procédé de destruction de cellules malignes comme la chirurgie ou la radiothérapie. Elle ne résout pas le problème capital des réactions de l’hôte qui devrait être, en dernier ressort, les seules à rechercher pour arrêter la poussée cancéreuse » (Leçons de cancérologie pratique).

 

Pour sa part, le Pr Henri Joyeux, cancérologue à Montpellier, a déclaré à maintes reprises que « ce sont des intérêts financiers gigantesques qui permettent d’expliquer que la vérité scientifique soit encore aujourd’hui trop souvent occultée : 85 % des chimiothérapies sont contestables, voire inutiles ». 

 

Pour eux, comme pour bien d’autres médecins, les seuls cas de guérison avec cette thérapeutique sont des cas qui peuvent guérir spontanément, c’est-à-dire dans lesquels l’hôte peut organiser ses propres défenses. Il est difficile d’être plus clair : la chimiothérapie ne sert à rien !

 

Et pour la progression des cas de guérisons, le Dr Jean-Claude Salomon, directeur de recherche au CNRS, cancérologue, estime que le pourcentage de survie à cinq ans après le diagnostic initial s’est accru pour la seule raison que l’on sait faire des diagnostics plus précoces, mais que s’il n’est pas accompagné d’une baisse de la mortalité, l’augmentation du pourcentage de survie à cinq ans n’est pas un indice de progrès.

 

« Le diagnostic précoce n’a souvent pour effet que d’allonger la durée de la maladie avec son cortège d’angoisse. Cela contredit bien des affirmations concernant les prétendues avancées thérapeutiques. » (cf. Qui décide de notre santé. Le citoyen face aux experts, Bernard Cassou et Michel Schiff, 1998)

 

Le Dr Salomon précise qu’on comptabilise sans distinction les vrais cancers et des tumeurs qui n’auraient sans doute jamais provoqué de maladie cancéreuse, ce qui contribue à augmenter artificiellement le pourcentage des cancers « guéris ». Cela augmente aussi, évidemment, celui des cancers « déclarés ».

 

Encore un fait confirmé par le Dr Thomas Dao, qui fut directeur du département de chirurgie mammaire au Roswell Park Cancer Institute de Buffalo de 1957 à 1988 : « Malgré l’usage répandu de la chimiothérapie, le taux de mortalité par cancer du sein n’a pas changé ces 70 dernières années. » Ainsi que par John Cairns, Professeur de microbiologie à l’université d’Harvard, qui a publié en 1985, une critique dans le Scientific American : « À part quelques rares cancers, il est impossible de déceler une quelconque amélioration par la chimiothérapie dans la mortalité des cancers les plus importants. Il n’a jamais été établi que n’importe quel cancer peut être guéri par la chimiothérapie. »

 

Nouvelle confirmation du Dr Albert Braverman, hématologue et cancérologue New Yorkais, dans Le Lancet : « De nombreux cancérologues recommandent la chimiothérapie pour pratiquement toutes les tumeurs, avec un optimisme non découragé par un échec quasi immanquable (…) aucun néoplasme disséminé, incurable en 1975, n’est guérissable aujourd’hui. » (cf. La Cancérologie dans les années 1990, vol. 337, 1991, p.901).

 

Quant au Dr Charles Moertal, cancérologue de la Mayo Clinic, il admet que : « Nos protocoles les plus efficaces sont pleins de risques et d’effets secondaires ; et après que tous les patients que nous avons traités aient payé ce prix, seule une petite fraction est récompensée par une période transitoire de régression incomplète de la tumeur. »

 

Alan Nixon, ancien Président de l’American Chemical Society, est encore plus radical : « En tant que chimiste, entraîné à interpréter des publications, il m’est difficile de comprendre comment les médecins peuvent ignorer l’évidence que la chimiothérapie fait beaucoup, beaucoup plus de mal que de bien. »

 

Ralph Moss est un scientifique non médecin qui étudie le cancer depuis des lustres. Il écrit des articles sur le sujet dans de prestigieux journaux, tels que Le Lancet, le Journal of the National Cancer Institute, le Journal of the American Medical Association, le New Scientist, et a publié un ouvrage The Cancer Industry [2] : « Finalement, il n’existe aucune preuve que la chimiothérapie prolonge la vie dans la majorité des cas, et c’est un grand mensonge d’affirmer qu’il existe une corrélation entre la diminution d’une tumeur et l’allongement de la vie du patient. »  Il avoue qu’il croyait autrefois en la chimiothérapie, mais que l’expérience lui a démontré son erreur : « Le traitement conventionnel du cancer est tellement toxique et inhumain que je le crains davantage que mourir d’un cancer. Nous savons que cette thérapie ne marche pas — si elle marchait vous ne craindriez pas davantage le cancer qu’une pneumonie. (…) Cependant, la plupart des traitements alternatifs, quelles que soient les preuves de leur efficacité, sont interdits, ce qui oblige les patients à se diriger vers l’échec car ils n’ont pas d’alternative. »

 

Le Dr Maurice Fox, professeur émérite de biologie au MIT (Massachusetts Institute of Technology) [3] a constaté, comme nombre de ses pairs, que les cancéreux qui refusaient les soins médicaux avaient un taux de mortalité inférieur à ceux qui les acceptaient. Le Centre du Cancer de l’université McGill au Canada a envoyé un questionnaire à 118 médecins spécialisés dans le cancer des poumons afin de déterminer le degré de confiance qu’ils accordaient aux produits que les scientifiques de l’université étaient en train d’évaluer. On leur demandait d’imaginer qu’ils avaient un cancer et de dire quel médicament ils choisiraient parmi six autres en cours d’essais. Il y eut 79 réponses des médecins, parmi lesquelles 64, soit 81 % n’accepteraient pas de participer aux essais de chimiothérapie à base de Cisplatine qu’ils étaient en train de tester et 58 autres médecins parmi les mêmes 79, soit 73 %, estimaient que les essais en question étaient inacceptables, étant donne l’inefficacité des produits et leur degré élevé de toxicité. [4]

 

De son côté, le Dr Ulrich Abel, épidémiologiste allemand du Centre du cancer de Heidelberg-Mannheim, a passé en revue tous les documents publiés sur la chimiothérapie par plus de 350 centres médicaux à travers le monde. Après avoir analysé, pendant plusieurs années, des milliers de publications, il a découvert que le taux global de réussite de la chimiothérapie à travers le monde était « lamentable », seulement 3 %, et qu’il n’existe tout simplement aucune preuve scientifique indiquant que la chimiothérapie pouvait « prolonger de façon sensible la vie de patients souffrant des cancers organiques les plus courants ». Il qualifie la chimiothérapie de « terrain vague scientifique » et affirme qu’au moins 80 % de la chimiothérapie administrée à travers le monde est inutile et s’apparente aux « habits neufs de l’empereur », alors que ni le docteur ni le patient ne souhaitent renoncer à la chimiothérapie.

 

Le Dr Abel a conclu : « Nombre de cancérologues tiennent pour acquis que la chimiothérapie prolonge la vie des patients. C’est une opinion fondée sur une illusion qui n’est étayée par aucune des études cliniques ». [5] Cette étude n’a jamais été commentée par les grands médias et a été entièrement enterrée. On comprend pourquoi.

 

En résumé, la chimiothérapie est très toxique et ne peut faire la différence entre les cellules saines et les cellules cancéreuses. Elle détruit peu à peu le système immunitaire qui ne peut plus protéger le corps humain des maladies ordinaires. Quelque 67 % des gens qui meurent pendant le traitement de leur cancer le doivent à des infections opportunistes qui n’ont pas été combattues par le système immunitaire.

 

L’étude la plus récente et significative a été publiée par le journal Clinical Oncology [6] et menée par trois fameux oncologues australiens, le Pr Graeme Morgan du Royal North Shore Hospital de Sydney, le Pr Robyn Ward [7] de l’Université de New South Wales-St. Vincent’s Hospital et le Dr Michael Barton, membre de la Collaboration for Cancer Outcomes Research and Evaluation du Liverpool Health Service à Sydney.

 

Leur travail minutieux est basé sur l’analyse des résultats de toutes les études contrôlées en double aveugle menées en Australie et aux États-Unis, concernant la survie de 5 ans mise au crédit de la chimiothérapie chez les adultes durant la période de janvier 1990 à janvier 2004, soit un total de 72 964 patients en Australie et de 154 971 aux États-Unis, tous traités par chimiothérapie. Cette vaste étude démontre qu’on ne peut plus prétendre, comme de coutume, qu’il ne s’agit que de quelques patients, ce qui permet aux systèmes en place de les balayer avec mépris du revers de la main. Les auteurs ont délibérément opté pour une estimation optimiste des bénéfices, mais malgré cette précaution, leur publication prouve que la chimiothérapie ne contribue qu’à un peu plus de 2 % à la survie des patients après 5 ans, soit 2,3 % en Australie, et 2,1 % aux États-Unis.

 

« Certains praticiens restent pourtant optimistes et espèrent que la chimiothérapie cytotoxique [8] prolongera la vie des cancéreux », ont déclaré les auteurs dans leur introduction. Ils demandent à juste raison, comment il se fait qu’une thérapie qui a si peu contribué à la survie des patients au cours des 20 dernières années, continue à obtenir un tel succès dans les statistiques des ventes. Il est vrai qu’on peut leur répondre que les patients peu curieux ou simplement affolés n’ont aucun choix : on ne leur propose rien d’autre.

 

Massoud Mirshahi, chercheur à l’université Pierre et Marie Curie et son équipe ont découvert en 2009 que de nouvelles cellules du micro-environnement tumoral seraient impliquées dans la résistance à la chimiothérapie des cellules cancéreuses et les récidives avec l’apparition de métastases.

 

Ces cellules ont été appelées « Hospicells », car elles servent de niches qui ont la propriété de fixer un grand nombre de cellules cancéreuses et de les protéger de l’action de la chimiothérapie. Les « Hospicells » proviennent de la différenciation des cellules souches de moelle osseuse, et sont présentes dans les épanchements chez les malades atteints de cancers (liquide d’ascite, épanchements pleuraux). Les cellules cancéreuses, agglutinées autour d’une « Hospicell », forment de véritables petits nodules cancéreux.

 

Dans ces nodules ont été également identifiées des cellules immuno-inflammatoire. La microscopie électronique a démontré qu’il y avait des zones de fusion entre les membranes des « Hospicells » et celles des cellules cancéreuses, permettant le passage de matériel d’une cellule à l’autre. De plus, les chercheurs ont observé le transfert de matériel membranaire de l’« Hospicell » vers les cellules cancéreuses, phénomène appelé trogocytose. Plusieurs autres mécanismes, comme le recrutement des cellules immunitaires suppressives ou la sécrétion de facteurs solubles par les « Hospicells » aident aussi à la résistance des cellules cancéreuses contre la chimiothérapie. Compte-tenu de cette importance, il est suggéré que les cellules cancéreuses « nichées » sur une « Hospicell » pourraient être considérées comme responsables de la maladie résiduelle. Pour la recherche, il importe donc de trouver des drogues susceptibles à la fois de détruire les cellules cancéreuses et les « Hospicells ». [9]

 

D’autres études ont paru dernièrement : La première, publiée dans la revue Nature, indique qu’une grande majorité des études sur le cancer sont inexactes et potentiellement frauduleuses. Les chercheurs n’arrivent que rarement à répliquer les résultats des grandes études « de référence ».

 

Parmi 53 études importantes sur le cancer, pourtant publiées dans des revues scientifiques de haut niveau, 47 n’ont jamais pu être reproduites avec des résultats semblables. Ce n’est pas une nouveauté d’ailleurs, puisque, en 2009, des chercheurs de l’University of Michigan’s Comprehensive Cancer Center avaient également publié des conclusions de célèbres études sur le cancer, toutes biaisées en faveur de l’industrie pharmaceutique.

 

Et il reste de notoriété publique que certains médicaments contre le cancer provoquent des métastases. Cette longue liste de publications, toutes négatives et non exhaustives quant aux « bienfaits » de la chimiothérapie, pourraient s’expliquer par les travaux de certains chercheurs de la Harvard Medical School à Boston (USA), qui ont constaté que deux médicaments utilisés en chimiothérapie provoquent le développement de nouvelles tumeurs, et non pas le contraire ! Il s’agit de ces nouveaux médicaments qui bloquent les vaisseaux sanguins qui « nourrissent » la tumeur. Les spécialistes les appellent traitements « anti-angiogénèse ».

 

Ces médicaments, le Glivec et le Sutent (principes actifs, imatinib et sunitinib), ont un effet démontré pour réduire la taille de la tumeur. Cependant, ils détruisent de petites cellules peu étudiées jusqu’à présent, les péricytes, qui maintiennent sous contrôle la croissance de la tumeur. Libérée des péricytes, la tumeur a beaucoup plus de facilité à s’étendre et à « métastaser » dans d’autres organes. Les chercheurs de Harvard considèrent donc maintenant que, bien que la tumeur principale diminue de volume grâce à ces médicaments, le cancer devient aussi beaucoup plus dangereux pour les patients ! (Cancer Cell, 10 juin 2012).

 

Le Professeur Raghu Kalluri, qui a publié ces résultats dans la revue Cancer Cell, a déclaré : « Si vous ne prenez en compte que la croissance de la tumeur, les résultats étaient bons. Mais si vous prenez du recul et regardez l’ensemble, inhiber les vaisseaux sanguins de la tumeur ne permet pas de contenir la progression du cancer. En fait, le cancer s’étend. »

 

Enfin, une étude publiée dans la revue Nature Médicine en 2012, pourrait changer l’idée que l’on se fait de la chimiothérapie. Les chercheurs du Fred Hutchinson Cancer Research Center de Seattle auraient en effet découvert que celle-ci déclencherait chez des cellules saines la production d’une protéine alimentant les tumeurs.

 

Alors que des chercheurs travaillaient sur la résistance à la chimiothérapie dans des cas de cancers métastasés du sein, de la prostate, du poumon et du colon, ils ont découvert par hasard que la chimiothérapie, non seulement ne guérit pas le cancer, mais active plutôt la croissance et l’étendue des cellules cancéreuses. La chimiothérapie, méthode standard de traitement du cancer aujourd’hui, oblige les cellules saines à libérer une protéine qui en réalité alimente les cellules cancéreuses et les fait prospérer et proliférer.

 

Selon l’étude, la chimiothérapie induit la libération dans les cellules saines d’une protéine, WNT16B, qui aide à promouvoir la survie et la croissance des cellules cancéreuses. La chimiothérapie endommage aussi définitivement l’ADN des cellules saines, préjudice à long terme qui persiste longtemps après la fin du traitement par chimio.

 

« Quand la protéine WNT16B est sécrétée, elle interagirait avec les cellules cancéreuses proches et les ferait grossir, se répandre et le plus important, résister à une thérapie ultérieure », a expliqué le co-auteur de l’étude Peter Nelson du Centre de Recherche Fred Hutchinson sur le cancer à Seattle, concernant cette découverte totalement inattendue. « Nos résultats indiquent que dans les cellules bénignes les réponses en retour peuvent contribuer directement à une dynamique de grossissement de la tumeur.», a ajouté l’équipe au complet selon ce qu’elle a observé. Ce qui revient à dire : Éviter la chimiothérapie augmente les chances de recouvrer la santé. Comment se fait-il qu’une thérapie qui a si peu contribué à la survie des patients au cours des 20 dernières années continue à obtenir un tel succès dans les statistiques des ventes.

 

Il est vrai que les patients peu curieux ou simplement affolés n’ont aucun choix : on ne leur propose rien d’autre que « le protocole ». À quelle pression le cancérologue actuel est-il soumis pour choisir le traitement du patient ? Jadis, le bon médecin choisissait en son âme et conscience, selon le serment d’Hippocrate, le meilleur traitement pour son patient. Il engageait ainsi sa responsabilité personnelle après un entretien prolongé avec son malade. « Depuis les années 1990 — et singulièrement de façon de plus en plus autoritaire depuis le plan cancer de 2004 — la liberté de soigner du cancérologue a disparu en France et dans certains pays occidentaux. Au prétexte fallacieux de la qualité des soins, tous les dossiers de patients sont “discutés” en réunion multidisciplinaire où, de fait, l’essai thérapeutique en cours testant les drogues nouvelles est imposé par la “communauté”. Le praticien qui souhaite déroger à ce système encourt tous les ennuis possibles, en particulier celui de voir le service auquel il participe perdre son autorisation de pratiquer la cancérologie. » Le Dr Nicole Delépine résume ainsi ce qui peut arriver quand on s’éloigne des stricts protocoles pour les adapter à la situation personnelle des malades. Pourtant, trois médecins sur 4 osent refuser la chimio pour eux-mêmes, en cas de cancer, en raison de son inefficacité sur la maladie et de ses effets dévastateurs sur la totalité de l’organisme humain. Mais ce détail reste bien caché aux malades.

 

Le Docteur Jacques Lacaze, diplômé de cancérologie et ardent défenseur des travaux du Dr Gernez sur le sujet, estime que la seule vraie solution est la prévention. « En effet, un cancer a une vie cachée de 8 ans en moyenne. Durant cette longue période, l’embryon de cancer est très vulnérable, un rien peut le faire capoter. TOUS les spécialistes admettent cette réalité, mais très peu d’entre eux préconisent une politique de prévention. Pourtant, elle est facile à mettre en œuvre. Nous savons que la courbe d’incidence du cancer démarre vers 40 ans, donc qu’un futur cancer s’installe vers 32 ans. L’étude SUVIMAX a montré qu’une simple complémentation en vitamines et sels minéraux suffisait à faire baisser cette incidence de cancers d’environ 30 %. Cette étude a duré 8 ans. Aucune conséquence en politique de santé publique n’en a été tirée. Bien entendu, l’industrie pharmaceutique ne veut pas en entendre parler : on ne scie pas la branche sur laquelle on est assis. Le corps médical est sous la coupe des “grands patrons” qui font la pluie et le beau temps et qui sont grassement rémunérés par cette industrie (cherchez sur internet, vous verrez que la plupart de ces grands patrons émargent d’une façon ou d’une autre à un laboratoire). Et la majorité des médecins de base suivent sans broncher ! Et malheur à ceux qui pensent le contraire et qui contestent chimiothérapie ou vaccins ou antibiothérapie. (…) Je dois ajouter, car cela correspond à ma pratique et à des études réelles faites par quelques services spécialisés, de nombreux produits qualifiés de complémentaires ou alternatifs sont efficaces, mais interdits et pourchassés par les autorités aux ordres de l’industrie pharmaceutique. »

 

Pour en savoir plus, sur la prévention des cancers, vous pouvez consulter le site gernez.asso.fr

 

Il ne faut pas oublier dans cette affaire que seule la pression des personnes concernées, c’est-à-dire nous tous, fera plier ce système.   

 

Sylvie Simon

 

[1]  Transactions of the N.Y. Academy of Medical Sciences, vol 6, 1956.

 

[2]  Equinox Press, 1996.

 

[3]   Membre de la National Academy of Sciences   , de l’Institute of Medicine    et de l’American Academy of Arts and Sciences   

 

[4]  Cité par le Dr Allen Levin, dans son ouvrage The Healing of Cancer.

 

[5]  Abel U. « Chemotherapy of advanced epithelial cancer, a critical review ». Biomed Pharmacother. 1992 ; 46(10) : (439-52).

 

[6]  « The Contribution of Cytotoxic Chemotherapy to 5-year Survival in Adult Malignancies », Clin Oncol (R Coll Radiol). 2005 Jun ; 17(4) : 294.

 

[7]  Le Pr Ward fait également partie du département du ministère de la Santé qui conseille le gouvernement australien sur l’effet des médicaments autorisés, semblable à la Food and Drug Administration américaine.

 

[8]  Propriété qu'a un agent chimique ou biologique d'altérer et éventuellement détruire des cellules.

 

[9]  Oncologic trogocytosis of an original stromal cells induces chemoresistance of ovarian tumours. Rafii A, Mirshahi P, Poupot M, Faussat AM, Simon A, Ducros E, Mery E, Couderc B, Lis R, Capdet J, Bergalet J, Querleu D, Dagonnet F, Fournié JJ, Marie JP, Pujade-Lauraine E, Favre G, Soria J, Mirshahi M.

 

Sources: Altermonde-sans-frontières  & site de Sylvie Simon  

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