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14 juillet 2013 7 14 /07 /juillet /2013 00:22

Un Tribunal Fédéral Américain reconnaît que :

 

Le vaccin contre l’hépatite B a provoqué

le syndrome de fatigue chronique

 

Par MB, 9 juillet 2013

 

Dangrer-vaccins.jpg

 

Un Tribunal Fédéral Américain a jugé qu’ « une dose du vaccin contre l’hépatite B a provoqué [chez un patient] le syndrome de fatigue chronique ».

 

Suite à ce jugement, le patient a reçu 1,1 million de dollars en dédommagement pour les frais médicaux de la première année, ainsi qu’une rente supplémentaire pour les dépenses de soins à vie.

 

Ce jugement devrait pouvoir représenter un avertissement clair pour tous ceux qui envisageraient de se faire vacciner contre l’hépatite B vu que leur santé pourrait être mise en danger.

 

Les femmes enceintes devraient être conscientes que, dans la plupart des hôpitaux,  ce vaccin est administré aux nouveau-nés sans la permission des parents. La chose se passe souvent quand l’enfant est retiré de sa mère peu de temps après la naissance.

 

La notice du vaccin RECOMBIVAX (contre l’hépatite B)  de Merck signale les effets secondaires suivants : fatigue, sclérose en plaques, crises convulsives, encéphalite, lupus et arthrite.

 

Si quelqu’un insiste pour que vous fassiez vacciner votre enfant contre l’hépatite B, vous avez le droit de refuser. 

 

Notice de ce vaccin Recombivax de Merck: ICI

 

Texte intégral du jugement : ICI

 

Source de cet article: The Refusers.com

 

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13 juillet 2013 6 13 /07 /juillet /2013 22:53

Voici l'article du journal Le Soir de ce jour qui aborde ce thème.

 

Le 8 novembre 2011, Initiative Citoyenne avait déja "annoncé la couleur" en titrant un de ses articles "Grippe: Comment on prépare tout doucement l'opinion à la vaccination annuelle généralisée des enfants en Europe."

 

On est donc ici dans la suite logique du processus de folie vaccinatoire et très franchement, il faut maintenant vraiment vivre sur une autre planète pour ne pas se rendre compte que ça tourne à l'obsession et au harcèlement: malades chroniques, enfants, personnel soignant, femmes enceintes,... les patients sont tous transformés progressivement en chair à seringue!

 

Le 11 avril 2012, nous publiions un article consacré au vaccin antigrippal nasal pour enfants en titrant, sur base des informations publiées dans le Figaro "Grippe: la fausse bonne nouvelle du vaccin en spray pour enfants." Dans cet article, on pouvait tout de même lire le fait que ce vaccin nasal (qui est un vaccin à virus vivants) est d'une part une source de contamination des adultes vivant dans l'entourage des enfants ainsi vaccinés et d'autre part qu'il y a une augmentation des hospitalisations des enfants vaccinés avec le vaccin nasal endéans les 6 mois qui suivent cette vaccination!

 

En fait, la vaccination nasale est associée chez ces enfants à un taux d'hospitalisation de 6,1% (soit plus que le risque d'être hospitalisé suite à une grippe naturelle, ça fait tout de même plus d'un enfant vacciné sur 20 qui doit à cause de cela être hospitalisé, rendez-vous compte!!!!!) alors que la vaccination injectable des enfants de cette catégorie d'âge est associée à un risque d'hospitalisation de 2,6%. MAIS ce qu'on oublie toujours de rappeler, c'est que seuls 1 à 10% des effets secondaires graves de vaccins sont comptabilisés et qu'il est donc possible que toute une série d'hospitalisations en post-vaccination aient été bien commodément mises sur le compte d'un tout autre motif qu'une vaccination.

 

Par ailleurs, dans un autre article du 13 octobre 2012, nous rappelions aussi, là encore sur base de résultats d'études que les enfants vaccinés contre la grippe ont TROIS FOIS PLUS DE RISQUE de contracter la grippe et d'être hospitalisés que les non vaccinés.

 

Puisque la vaccination antigrippale classique (injectable) entraîne un risque d'hospitalisation et de grippe multipliés par 3 chez les enfants par rapport à ceux qui ne l'ont pas reçue, et que la vaccination nasale entraîne chez les enfants les plus jeunes, un risque d'hospitalisation encore plus grand que la vaccination injectable, on peut dire que le Centre Fédéral d'Expertise des Soins de Santé se moque vraiment du monde en prétendant qu'il serait "coût-efficace" de vacciner les enfants contre la grippe de façon généralisée avec un vaccin injectable ou nasal!

 

La vaccination des enfants aura en fait pour conséquence inévitable d'accroître les hospitalisations et les complications dans ce groupe d'âge déjà largement survacciné mais aussi, d'accroître le risque de contamination des adultes. En sachant qu'en temps normal, seul 1 adulte sur 10 risque de faire une grippe, il est éthiquement tout à fait inacceptable que des autorités irresponsables à la solde de Big Pharma s'arrogent le droit infâme d'augmenter de façon inutile le risque grippal de la population générale tout en prétendant hypocritement vouloir faire des économies et diminuer les décès liés à la maladie!

 

Puisque les gens sont harcelés quasiment tous les jours pour se faire vacciner,revacciner et rerevacciner et qu'ils s'entendent aussi dire que c'est "par altruisme", "pour le Bien de la Communauté" et "par solidarité" qu'ils doivent accepter de tendre le bras, il est urgent que cet argument fallacieux s'inverse ainsi de façon autrement plus légitime et que les non vaccinés se protègent du danger que représentent des enfants vaccinés contaminants.

 

La situation est loin d'être théorique. Imaginons par exemple le cas très concret d'enseignants qui n'ont pas envie d'attraper la grippe et qui ne l'attrapent jamais ou seulement très rarement mais qui sont obligés d'aller travailler. Ils devraient pouvoir refuser d'enseigner dans des classes où des enfants ayant reçu ces vaccins nasaux risquent de leur transmettre ces virus artificiels.

 

En fait, il semble bien que ces projets grotesques de vaccination (qui relèvent aussi, notons le au passage, toujours de copiage d'autres pays présentés comme des exemples) sont en train d'aider, à l'instar du canular du H1N1, Mr et Mme tout le monde à voir clair sur les intentions de ceux qui décident derrière les étiquettes trompeuses d'experts. Cf les réactions délectables du public sur divers sites de journaux (Dh, La Libre, Vers l'Avenir, etc) dont nous vous présentons un échantillon ci-dessous, à la suite du texte absolument risible du Centre Fédéral d'Expertise des Soins de Santé (KCE). A noter: en temps de crise financière, des universités et des institutions publiques se permettent de gaspiller les deniers publics en allant étudier ... 5600 scénarios potentiels de vaccination... c'est donc dire l'obsession et le poids de l'idéologie sous-jacentes!! Et si on révélait plutôt à la place au public 5600 moyens simples et naturels de renforcer son système immunitaire pour éviter la grippe sans risques?

  

KCE-banniere.png

 

Faut-il vacciner les enfants contre la grippe?

 

Qui veut ?



Le Centre Fédéral d'Expertise des Soins de Santé (KCE) a évalué différentes stratégies de vaccination antigrippale afin de déterminer celles qui génèreraient les plus grands bénéfices en termes de santé par euro dépensé. Des chercheurs de l'Université d'Anvers et de l'Université d’Hasselt ont modélisé plus de 5600 scénarios potentiels de vaccination. La vaccination universelle des enfants contre la grippe pourrait présenter un rapport coût-efficacité comparable à celui d’autres vaccins récemment introduits dans le calendrier vaccinal des enfants, pour autant que le coût de la vaccination puisse être réduit d’au moins 25%. Une telle diminution de coût pourrait être obtenue en administrant le vaccin par les services de santé scolaire ou par l’ONE, et en réduisant le prix des vaccins. Une augmentation de la vaccination des adultes de plus de 50 ans réduirait de manière significative le nombre d'hospitalisations et de décès liés à la grippe, mais entraînerait un coût élevé étant donné qu’il s’agit d’un très grand groupe.



Il est difficile de se l’imaginer au beau milieu de l'été, mais d’ici quelques mois la grippe saisonnière frappera de nouveau à nos portes. Chaque année, un Belge sur 10 est infecté par le virus de la grippe. Chez les sujets en bonne santé, la grippe ne provoque généralement que les symptômes bien connus, fièvre, douleurs musculaires et infections respiratoires, qui redisparaîtront spontanément après une petite semaine. Mais la grippe peut aussi être source de complications graves, comme la pneumonie, parmi les groupes plus vulnérables, tels les personnes âgées, les enfants et les patients souffrant de maladies chroniques.



La vaccination est l'un des moyens les plus efficaces pour protéger les gens contre la grippe. Cependant les vaccins antigrippaux étant encore produits principalement à partir d’œufs, il n'est pas possible d'augmenter aisément la production et le nombre de doses disponibles au niveau national est donc limité. Face à ce risque de pénurie des choix doivent être opérés. La Conférence interministérielle Santé publique a chargé le KCE d'entreprendre une étude pour déterminer quelles stratégies vaccinales génèreraient le plus de bénéfices en termes de santé par euro dépensé. Pour ce faire, les chercheurs de l'Université d'Anvers et de l'Université de Hasselt ont modélisé plus de 5600 scénarios de vaccination différents.



La vaccination des groupes à risque actuels : bon rapport coût-efficacité



Les chercheurs ont démontré un bon rapport coût-efficacité d’une augmentation de la vaccination des groupes à risque actuels, telle que recommandée par le Conseil Supérieur de la Santé. Ces groupes incluent les personnes de plus de 65 ans, les personnes souffrant d’affections chroniques sous-jacentes (entre autres les affections des poumons, du cœur, du foie, des reins, le diabète, les troubles neuromusculaires ou immunitaires), ainsi que les femmes enceintes. La vaccination du personnel soignant s'avère aussi coût-efficace.



La vaccination des enfants



Depuis quelques années, l’élargissement de la vaccination annuelle contre la grippe saisonnière aux enfants suscite un intérêt croissant. La vaccination des enfants, non seulement protégerait ces derniers contre la maladie, mais pourrait également protéger les adultes avec lesquels ils sont en contact, en diminuant la transmission du virus dans la population générale. Aux États-Unis, la vaccination des enfants de plus de 6 mois est recommandée depuis 2004. Le Royaume-Uni a récemment pris la décision de vacciner graduellement les enfants âgés de 2 à 17 ans via les écoles lors des prochaines saisons grippales. D’autres pays européens, tels l'Autriche, la Finlande, l'Estonie et la Slovénie, recommandent la vaccination antigrippale chez les moins de 18 ans.  



La vaccination des enfants n’est coût-efficace que si les coûts diminuent d'un quart



La vaccination universelle des enfants contre la grippe ne permet pas de protéger de manière suffisante les adultes (y compris ceux à risque). Elle ne peut dès lors pas remplacer la vaccination des adultes. En soi, la vaccination universelle des enfants pourrait être aussi coût-efficace que d’autres vaccins récemment évalués par le KCE et introduits dans le calendrier vaccinal, pour autant que le coût de la vaccination puisse être réduit d’au moins 25%. Une telle diminution de coût pourrait être obtenue en administrant le vaccin par les services de santé scolaire ou par l’ONE, et en réduisant le prix des vaccins.



Augmentation de la vaccination des personnes de plus de 50 ans combinée à la diminution de la vaccination chez les jeunes adultes en bonne santé



Une augmentation de la couverture vaccinale de tous les adultes de plus de 50 ans réduirait de manière significative le nombre d'hospitalisations et de décès dus à la grippe, mais entraînerait un coût élevé étant donné qu’il s’agit d’un très grand groupe. Ce coût élevé pourrait toutefois être compensé par une diminution correspondante de la vaccination des adultes en bonne santé entre 18-49 ans.



Les conclusions de cette étude s'appliquent également à la nouvelle génération de vaccins (quadrivalents) attendus prochainement.

 

   

Commentaires délectables du public qui commence à voir de plus en plus clair.... 

 

   12 juillet 2013 18h13 | Roger Hofer 

absurde, plus tu vaccines, plus tu diminues l’immunité naturelle. Sans parler de toutes les saloperies que contiennent les vaccins...

12 juillet 2013 17h43 | Marie Tinant

Pas d’accord avec ces mesures de vaccinations sauvages ! Décidément, les scrupules s’effondrent, lorsque l’appât du gain est en jeu, et on n’hésite pas à spéculer sur l’être humain en s’en servant comme d’une marionnette. Mis à part les personnes immuno-dépressives, Dame Nature nous a dotés de bons moyens de défense, capables de réagir en cas d’offensive, pour autant que l’on respecte une certaine hygiène de vie. Veut-on vraiment être transformé en vaccin ambulant ? À quand, le vaccin contre la manipulation ?

12 juillet 2013 15h20 | Roland Massart

Il faut faire le vaccin. C’est sans doute que Cruella s’est encore trompée dans le nombre de vaccins à commander ! On devrait lui en faire un fameux de vaccin à elle !

12 juillet 2013 15h13 | Roland Massart

Le gouvernement l’a dit il y a quelques semaines : si on veut sauver le pays, il faut consommer plus !

Le 12 juillet 2013 à 12:58, Christiane Baikry a dit :

Ah ! quand on veut s’enrichir, on le fait sur le dos de la population, en leur faisant courir des risques avec des produits hautement nocifs, mais divulgués seulement après bien des années, car bizarrement on se rend compte (?) que tous ces produits étaient dangereux pour la santé (j’ai déjà vu et lu ça quelque part…) et les immunisations que l’on acquiert en vivant normalement s’amenuisent, se détériorent à cause de tous ces vaccins inefficaces, mirobolants et pécuniaires ! Nous devenons les cobayes d’une société dirigeante hors de notre portée, mais qui nous tue plus vite en nous faisant peur. Ils peuvent la garder leur vaccination, et leur stock aussi !

Le 12 juillet 2013 à 12:43, Juliette Boualem a dit :

Je suis outrée de lire ça. Quand je faisais le vaccin, la semaine suivante, je faisais la grippe. Et elle était méchante, elle me clouait 3 à 4 jours au lit. C’est de la fumisterie pour enrichir les producteurs. Les vaccins sont mauvais pour la santé. Notre corps sait se défendre si on évite de couper la fièvre. N’achetez pas cette saloperie, elle vous intoxique avec les produits qu’ils mettent dedans. Les médecins le savent croyez-moi !

Le 12 juillet 2013 à 11:48, Eric Delfosse a dit :

Ça n’irait pas plus vite si la Belgique instaurait une loi obligeant chacun à se faire vacciner une fois par mois contre une maladie différente ? Ça me donnerait un bon prétexte pour quitter définitivement ce pays où la santé est bradée aux plus offrants parmi les industries pharmaceutiques ! Ça me fait ch... déféquer de lire que les vaccins sauvent des vies à tout bout de champ ! Ils en détruisent beaucoup plus qu’ils n’en sauvent ! À quand la promo vaccinale comme aux USA : un soda gratuit ou un bon d’achat alimentaire si vous achetez un vaccin contre la grippe (authentique, hein).                                          

Le 12 juillet 2013 à 11:21, Thierry de Spirlet a dit :

D’accord de vacciner les personnes à risque, mais non pour un processus large, c’est une erreur gravissime pour une maladie dont le taux de mortalité est faible (sauf pour certaines variantes qui l’on identifie la plupart du temps bien à l’avance).

Le 12 juillet 2013 à 10:41, Olivier Zanetti a dit :

@ Patricia : exactement ! J’ai mon dernier enfant qui revient de 2 semaines d’hôpital à cause d’un vaccin. On a tendance à oublier les risques que provoquent ces vaccins sur un pourcentage de la population.

 Le 12 juillet 2013 à 10:28, Grégory Gillardin a dit :

Ça devient vraiment n’importe quoi ! Tout ça pour enrichir un peu plus les sociétés pharmaceutiques ! Personne ne nous dit que la plupart des vaccins sont composés de produits toxiques : aluminium (neurotoxique), mercure, formaldéhyde (cancérigène), pourtant c’est bien le cas. De plus la plupart des vaccins se révèlent souvent inefficaces ! Combien de personnes vaccinées ont quand même eu la maladie pour laquelle ils étaient censés être protégés ? Des dizaines, des milliers…

 

Le 12 juillet 2013 à 10:09, Patricia Godart a dit :

Pourquoi vacciner autant de gens, il faut écouler le stock de vaccins ? Sans compter que faire un vaccin comporte toujours des risques.... On nous fait croire n’importe quoi...

http://www.lavenir.net/article/detail.aspx?articleid=DMF20130713_00335582

13 juillet 2013 15h22 | Marie Tinant

Mis à part les personnes immuno-dépressives, Dame Nature nous a dotés de bons moyens de défense, capables de réagir en cas d’offensive, pour autant que l’on observe une bonne hygiène de vie. Veut-on vraiment être transformé en vaccin ambulant ? À quand, le vaccin contre la manipulation ?

13 juillet 2013 07h47 | Eric Vaguener

C’est surtout une histoire de gros sous !

 

http://comment.lalibre.be/ces/public/view/list/llb-article-51df7acc35707f483cad29aa

 

         Anatole France de Belgique

         12.07.2013 | 22:36

Encore une arnaque des multinationales du vaccin, auxquelles sont inféodés nos dirigeants. Il est prouvé depuis longtemps que les vaccins augmentent dangereusement le risque d’allergies diverses, ce qui fait une seconde fois les choux gras de ces mêmes multinationales, qui proposent des traitements contre les allergies qu’ils ont eux-mêmes provoquées. De plus, à force de vacciner à tour de bras pour varicelle, oreillons et autres maladies infantiles sans conséquence majeure lorsqu’elles sont faites à un jeune âge, on se prépare à des pléiades de varicelles et oreillons chez les adultes, puisqu’on n’a AUCUNE IDÉE de la durée d’efficacité de ces vaccins. Et à l’âge adulte, ces maladies sont autrement plus graves. Les multinationales de l’alimentation et de la pharmacie sont en train d’opérer une OPA catastrophique sur le droit de se nourrir et sur la santé de nos concitoyens, avec la complicité de nos ministres profondément incompétents...

 

         Deedee de Belgique

         12.07.2013 | 09:30

Dans mon entourage, certaines personnes âgées se font systématiquement vacciner contre la grippe. Sous couvert des "effets secondaires", peu après, elles développent TOUTES la grippe, et de façon plus violente. Moi qui ne me fais jamais vacciner contre la grippe, je ne l’attrape quasi jamais, et encore, ça dure 3 jours (merci l’homéopathie). Le calcul est vite fait. Laissez les enfants développer leur immunité. Pour les personnes atteintes notamment de troubles respiratoires, je peux comprendre l’intérêt de la vaccination, mais si vous êtes en bonne santé, la grippe (éventuelle) vous fera juste passer un mauvais moment. Et surtout, évitez de céder à la psychose des rumeurs répandues intentionnellement de soi-disant épidémies.

 

         dorimene de Belgique

         12.07.2013 | 09:06

Laissez les enfants attraper la grippe et faire leur immunité eux-mêmes ! La grippe ne rapporte rien à l’industrie pharmaceutique sauf le vaccin. Mais, il est plus rentable pour les hôpitaux et les labos qu’une personne âgée traîne un cancer 5 ans avant de mourir que de voir partir le pactole qu’elle représente à cause d’une simple grippe.

 

         oyé de Belgique

         12.07.2013 | 07:05

Parole aux VRAIS scientifiques : - Risques réels, avec et sans vaccin ? - État actuel des préventions utiles et des traitements de la grippe ? Commercialement : La vaccination OBLIGATOIRE des tranches de population faciles à obliger (les enfants) assure l’écoulement des pharmacopées fabriquées.

 

         mais encore de Belgique

         12.07.2013 | 06:23

         7 votes favorables

Début de la promotion de la campagne de vaccination... deviendrait-il plus difficile d’écouler le stock prévu ou attendrait-on un coup de pouce de la ministre ?

 

http://www.rtl.be/info/belgique/societe/1017303/grippe-faut-il-vacciner-tous-les-enfants-

 

12/07/13 à 10h27

Posté par itap

En ce qui me concerne : pas question que je fasse vacciner mes enfants contre la grippe... même si ça devient obligatoire.Ils ont été vaccinés contre le H1N1 étant "à risques"... le résultat a été : 10 jours à 41° de température pour les 2... eh oui, ils ont fait la grippe suite au vaccin ! Donc, NON MERCI plus jamais ils n’auront ce vaccin.

 

12/07/13 à 07h46

Posté par Solaressa

Beau coup pour Big Pharma que de forcer un vaccin annuel contre la grippe à tous les enfants... alors qu’on connaît son efficacité très limitée et ses effets secondaires néfastes non négligeables pour l’affaiblissement général du système immunitaire à court et long terme. À lire : "La grippe ? Pas de panique ! Prévenir, soigner, guérir" du Dr François Choffat. Cela coûte moins cher et c’est bien meilleur pour la santé...

 

 

 

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11 juillet 2013 4 11 /07 /juillet /2013 21:30

La revue médicale Prescrire est favorable au vaccin anti-HPV : face à une protestation, elle admet des incertitudes, mais… maintient sa position. Un autre article de la revue en juillet reprend le classique Primum non nocere (D’abord ne pas nuire)

 

Au vu de la masse importante de données accablantes en défaveur des vaccins Gardasil et Cervarix, pourvoyeurs d'un nombre alarmant d'effets secondaires et de décès, nous estimons que cette revue qui se présente comme indépendante, va y perdre des plumes.

 

Mais il faut dire que la position de cette revue sur un vaccin aussi délétère que le vaccin anti-hépatite B était déjà peu courageuse. En médecine, il ne faut pas oublier que les vaccins sont LE tabou des tabous. Par conséquent, sonner le tocsin sur le Mediator était beaucoup moins politiquement incorrect que lever le voile sur le scandale de nettement plus grande ampleur des vaccins.

 

Pour se faire sa propre opinion, nous proposons notamment, de façon non exhaustive, la visite des articles et catégories suivantes:

 

Vaccins anti-HPV: rapport bénéfices/risques défavorable (Annals of Medicine)

 

Catégorie de notre site sur les vaccins anti-HPV

 

Un article de mise au point sur les risques établis du vaccin anti-hépatite B

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11 juillet 2013 4 11 /07 /juillet /2013 21:03

Suisse Centrale. 10 juillet 2013



Pas de vaccin, pas d'école!

 

Pour lutter contre les flambées de rougeole, des écoles ont exclu pendant trois semaines toutes les personnes non-vaccinées. Elles appliquent ainsi à la lettre les recommandations de l'Office de la santé publique.



rougeole.jpg 

Depuis début juin 2013, 29 cas ont été recensés en Suisse centrale et 8 autres cas au Tessin. (photo: Keystone)

 

L’objectif de la Confédération est ambitieux: éliminer la rougeole en Suisse d’ici 2015. Pour cela, l’Office fédéral de la santé publique a introduit en avril des directives de lutte très strictes. Une des mesures vise à exclure des structures collectives toute personne potentiellement transmetteuse et cela pendant 21 jours.

 

 Il y a quelques semaines, plusieurs écoles de Suisse centrale ont appliqué cette règle à la lettre, écrit la «NZZ». A la suite d’un cas de rougeole au lycée d’Ingenbohl (SZ), toutes les personnes non-vaccinées ont été mises en vacances d’été prématurément. D’autres établissements schwytzois ont fait de même, mais se sont contentés à renvoyer uniquement ceux étant dans la même classe que la personne malade. En cas de besoin, les écoles uranaises ont affirmé qu’elles feraient de même.

 

Depuis juin 2013, 29 cas de rougeole ont été recensés en Suisse centrale et 8 au Tessin.

 

(ofu)



Source: 20minutes.ch

 

Nos grands parents auraient dit « Tout ça pour ça ! ». Eux, ils se réjouissaient plutôt que leurs enfants puissent "profiter" de cette occasion pour s'immuniser  à vie et naturellement à l'âge le moins risqué. Ils auraient sûrement trouvé hasardeux de vacciner s'ils avaient disposé d'un vaccin en sachant que celui-ci peut entre autres causer l'autisme.   

 

Mais il est vrai que la Suisse est le pays qui héberge le siège de l’OMS... En attendant, ne pas oublier que les vaccinés aussi peuvent contacter la rougeole et parfois la transmettre aussi.   

 

Voir aussi: La vaccination provoque l'autisme. Voici ce qu'ils savent...

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11 juillet 2013 4 11 /07 /juillet /2013 21:00
C'est vraiment délirant! Vacciner les seniors contre le zona alors qu'il s'agit d'une sorte de "méga vaccin contre la varicelle" (14 fois plus dosé et aussi à virus vivant) , que la grande majorité des gens âgés ont déjà fait cette maladie dans l'enfance et qu'il n'est pas forcément si anodin qu'on le dit de vacciner des gens contre des microbes qu'ils ont déjà précédemment contractés de façon naturelle.
 
Prenons aussi le cas de gens qui n'ont encore jamais contracté la varicelle et qui recevraient ce faux vaccin miracle contre le zona: comme le zona n'est qu'une réactivation d'une précédente infection par le virus de la varicelle, cette vaccination avec un virus vivant atténué les mettrait de facto plus à risque de faire un zona que s'ils ne l'avaient jamais reçu. Ce vaccin peut entraîner des varicelles chez des sujets contacts dont des enfants.
 
Mais qu'importe pour les pseudos experts puisque, disent-ils, au Canada tous les enfants ou presque sont déjà vaccinés contre la varicelle... quelle "merveilleuse" logique! D'autant que la généralisation de la vaccination contre la varicelle a augmenté très clairement l'incidence ... des zonas dans des pays qui l'ont déjà implémentée comme les USA et le Canada, ce qui a été prétexte à recommander la vaccination contre le zona et aussi des rappels de vaccin contre la varicelle... un vrai cercle vicieux qui ne profite donc une fois encore qu'à Big Pharma.
 
En outre, le vaccin contre la varicelle, pas plus que celui contre le zona ne garantissent une efficacité de 100%, les échecs sont loin d'être rares. Pour ce vaccin contre le zona, l'efficacité est assez médiocre puisqu'il y a 30% d'échec entre 50 et 69 ans et 62% d'échec chez les plus de 70 ans!! Mais nul doute bien sûr que certains médecins et "experts" viendront encore justifier que 30% d'efficacité c'est mieux que rien, et que cela justifie de vacciner autant de seniors que possible.
 
Comme d'habitude, la bonne vieille recette vendeuse en matière de vaccins consiste à insister sur le caractère effrayant de la maladie ("on ne sait plus marcher ni dormir en cas de zona" etc). Oui, c'est vrai, le zona est terriblement douloureux, mais on oublie de rappeler que les effets secondaires des vaccins peuvent aussi toucher très durement le système nerveux, engendrer nombre de cas de paralysies irréversibles et autres invalidités et même, dans certains cas, la mort.
 
zona-pub-dramatisante-de-merck.jpg
 
Voir aussi la vidéo publicitaire de Merck, ICI
 
"J'aurais donné n'importe quoi pour diminuer ma douleur pendant des semaines." dit la pub.
 
Nous pensons qu'il est pertinent que vous vous demandiez si vous êtres vraiment prêt à RISQUER N'IMPORTE QUOI, y compris ce genre d'effets-ci qui, eux, durent toute une vie:
 
 
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11 juillet 2013 4 11 /07 /juillet /2013 20:25

Streptococcus_pneumoniae.jpgComment vacciner quasiment 100% d'une population sans en avoir l'air? C'est simple: il suffit de décréter un vaccin nécessaire chez des catégories tellement vastes de malades que dans notre société où les biens portants deviennent progressivement une denrée rare, tout le monde finit par entrer dans le groupe cible qui se superpose progressivement à la population générale.

 

Petit rappel: les pneumocoques sont des bactéries dont il existe environ 90 souches différentes. Ces bactéries peuvent être impliquées dans des otites, des pneumonies, des méningites. Les infections graves restent tout de même statistiquement assez rares. Cela n'a pas empêché que l'on ait initialement recommandé cette vaccination lucrative ET dangereuse à TOUS les jeunes enfants (sans parler qu'on la co-administre avec l'Infanrix hexa ce qui, selon des documents confidentiels des fabricants, multiplie par 3 le risque d'effets secondaires neurologiques.).

 

Le Prevenar est le vaccin le plus lucratif de toute l'histoire des vaccins. C'est vraiment ce qu'on appelle un "blockbuster" et bien sûr, ce jackpot financier n'a été possible QUE parce que les autorités officielles qui considèrent les pharmas comme "leurs partenaires naturels" ont apporté leur concours à cette vaccination en la recommandant et en la remboursant généreusement...

 

Malgré une large vaccination des enfants, et aussi parce que la Nature est plus complexe et plus intelligente que ce que les vaccinologues simplistes imaginent, la première version du Prevenar s'est soldée par une hausse des méningites à pneumocoques, la complication la plus grave qui était censée être diminuée par une vaccination massive. Cette vaccination a donc été un échec flagrant, elle a fait pire que bien. Mais comme il fallait sauver les profits du fabricant (Wyeth, "mangé" depuis par Pfizer), il fallait "trouver une astuce". Elle fut trouvée par la mise sur le marché d'une nouvelle version du Prevenar incluant 13 souches au lieu de 7, ce qui ne fera donc que déplacer le problème dans le temps.

 

En décembre 2011, on apprenait que l'Agence Européenne des Médicaments avait approuvé l'extension de l'autorisation de mise sur le marché du Prevenar pour qu'il puisse aussi être injecté aux plus de 50 ans.

 

Mais voilà qu'après l'étrange recommandation subite de la vaccination contre le méningocoque C aux homosexuels masculins en France, on apprenait récemment que l'on élargissait aussi la recommandation vaccinale du vaccin anti-pneumococcique à toutes sortes de catégories d'adultes, seuls les alcooliques et les fumeurs n'ayant pas été inclus, les officiels n'allant évidemment pas oser aller jusque-là car cela démasquerait trop leur volonté de vacciner vraiment 100% d'une population de façon purement idéologique.

 

Désormais sont donc aussi inclus dans cette recommandation: les asthmatiques, les gens avec bronchopneumopathie chronique obstructive (BPCO), tous les insuffisants respiratoires, les insuffisants rénaux, les diabétiques (même ceux de type 2 s'ils ont la malchance de ne pas être "équilibrés"!), tous les immunodéprimés et tous ceux qui souffrent de maladies hépatiques chroniques aussi. Bref, en rajoutant tous les fumeurs et tous les alcooliques, n'aurait-on pas réussi à englober au moins 60% de l'ensemble de la population adulte?

 

Il ne faut plus seulement prendre en compte le critère d'âge selon le Haut Conseil de Santé Publique, donc en gros, il faut vacciner quand même les gens âgés mais le fait que d'autres gens soient plus jeunes ne doit pas dissuader de les vacciner aussi... ratissons aussi large que possible tant qu'on y est!

 

Pfizer avait obtenu une extension de l'autorisation de mise sur le marché de son vaccin Prevenar pour qu'il soit utilisable jusque 17 ans et aussi pour les 50 ans et + ? Qu'à cela ne tienne, grâce au fameux coup de pouce des autorités, leur vaccin sera sûrement aussi utilisé au-delà de ces "seuls" groupes d'âges déjà très vastes c'est à dire potentiellement à tout âge.

 

Source de cet info: Santemagazine.fr

 

Voir aussi Grande générosité de la Commission Européenne envers Pfizer: le Prevenar 13 désormais pour tous les âges!

 

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11 juillet 2013 4 11 /07 /juillet /2013 15:25

Les services de gènes express de GenScript aident Novavax à accélérer la mise au point d'un vaccin H7N9 en 28 jours

  

ADN-helice.jpg

ISCATAWAY, N.J., le 8 juill. 2013 /CNW/ - GenScript, le plus grand fournisseur mondial de gènes synthétiques, a aidé une importante société biopharmaceutique, Novavax, Inc. (NASDAQ : NVAX), à mettre au point un vaccin candidat contre la grippe aviaire de type A (H7N9) en synthétisant trois constructions contenant des gènes qui codent pour des protéines essentielles de vaccins en seulement six jours ouvrables. Le 10 mai 2013, Novavax a en effet annoncé que son vaccin candidat avait été développé et soumis à des essais précliniques en à peine 28 jours, soit moins de 6 semaines après que les premiers cas d'infections au virus H7N9 aient été signalés le 1er avril dernier.

 

La fabrication des constructions utilisées dans les vaccins candidats H7N9 de Novavax a été rendue possible grâce au service de gènes express (Rush Gene) de GenScript, qui consiste à synthétiser des séquences de gènes en 4 jours seulement. GenScript offre également une optimisation gratuite des séquences génétiques, ce qui est avantageux pour la production de vaccins et de produits biologiques à base de protéines. Habituellement, les chercheurs doivent se résoudre à utiliser des méthodes de laboratoire conventionnelles pendant au moins deux semaines avant de pouvoir assembler des constructions comme celles qui servent à la production d'un vaccin H7N9. Toutefois, la mise au point rapide du vaccin candidat de Novavax montre que la combinaison de l'optimisation génétique, de la synthèse express de gènes et du clonage personnalisé, facilitée par la plateforme de service unique de GenScript, peut réduire considérablement le temps d'assemblage et accélérer ainsi la recherche et le développement.

 

« Notre mission est de sauver des vies en aidant les scientifiques à accélérer leurs recherches. Dans le cas présent, nos services de gènes express sont le parfait exemple de notre dévouement à cette cause », souligne Frank Zhang, Ph.D., chef de la direction de GenScript. « Les progrès réalisés par les scientifiques de Novavax dans un si court laps de temps concernant leur vaccin candidat H7N9 est la raison pour laquelle nous nous engageons à fournir des services de première qualité tous les jours. »

 

Source: Lelezard.com

 

On ne peut pas assurer « des services de première qualité » avec un développement aussi rapide. Il est évident que la sécurité ne peut pas être assurée, puisqu’elle ne l’est déjà pas avec les vaccins dont le développement est plus long….en plus, il s’agit ici de vaccins transgéniques, or les vaccins, quels qu’ils soient, sont et restent dispensés de tests destinés à évaluer leur potentiel cancérogène et mutagène (capacité d’entraîner des mutations de l’ADN pouvant être sources de maladies rares, auto-immunes, neurologiques ou de cancers…). Pourtant, en 1987 déjà, l’OMS signalait dans une conférence d’experts LE RISQUE DE MALIGNITE posé par les vaccins et autres produits biologiques produits par génie génétique, et le fait que ce risque est d’autant plus préoccupant que de jeunes enfants recevront de manière répétée ce genre de produits tout au long de leur vie……..

 

« Un des grands problèmes soulevés [à cette conférence] est le risque de malignité que pourrait représenter à long terme un A.D.N contaminant hétérogène, en particulier s’il s’avère qu’il contient des séquences codantes ou régulatrices potentiellement oncogènes. Ce point est réellement préoccupant, car de nombreuses personnes en bonne santé, notamment des nourrissons, seront peut-être vaccinées avec des produits issus de lignées cellulaires continues, ou les recevront de toute autre manière. » (« Acceptabilité des substrats cellulaires pour la production de substances biologiques », Rapport technique OMS n°747 ; 1987.)

   

Ne soyons donc pas dupes, derrière les habituels slogans lénifiants selon lesquels le but de ces firmes et de « sauver des vies », il s’agit juste d’essayer d’être le plus rapide pour que des instances douteuses comme l’OMS usent de leur pouvoir d’influence et puisse favoriser commercialement telle ou telle firme!

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10 juillet 2013 3 10 /07 /juillet /2013 21:34

 Dédommagement maximum pour la mort d’un bébé

  

« Décès après un vaccin »

La famille reçoit 200.000 Euros de dédommagement

 

Deces-d-un-bebe-italien.JPG

 

Pesaro, 4 juillet 2013, Di Ale.Maz

 

Une petite fille est décédée après avoir reçu le vaccin hexavalent Infanrix hexa.

 

Avant-hier, un juge du Tribunal Civil de Pesaro qui a finalement considéré que le Ministère de la Santé était responsable, a attribué à la famille un dédommagement  de 200.000 euros en  plus d’une rente d’environ 700 euros par mois avec une indemnité complémentaire qui reste à définir.

 

La petite fille de Pesaro avait 6 mois quand elle est morte dans son lit en février 2003. Sur base de l’avis de sommités médicales et de consultants, le tribunal a reconnu un lien de causalité entre la vaccination avec Infanrix hexa et la mort de l’enfant.

 

Cette histoire tragique a été défendue par l’avocat Luc Ventaloro de Rimini, expert des droits de l’enfant. La petite fille, précise l’avocat, a très vite commencé à souffrir d’une série de symptômes qui pouvaient être liés à la vaccination : douleurs articulaires incessantes, perte totale d’appétit, inversion des rythmes veille- sommeil etc. La petite fille est morte pendant son sommeil un soir de février 2003. Une autopsie a déterminé que la cause du décès était une pneumonie interstitielle. Le vaccin hexavalent comprenait les valences suivantes : polio, diphtérie, tétanos, hépatite B coqueluche et haemophilus influenza de type b.

 

Les indemnisations suite à des décès après vaccinations sont régies par la loi 210 de 1992 qui a trait à l’indemnisation « en faveur des sujets dont la santé a été endommagée par des complications de type irréversible à la suite de vaccinations obligatoires et de transfusions.» L’indemnité devra être payée par le Ministère de la Santé

 

Source : ilrestodelcarlino.it

 

Trois choses sont très intéressantes au sujet d’un tel cas :

 

- La première c’est que les tribunaux italiens semblent plus courageux que ceux d’autres pays en matière de reconnaissance du lien entre vaccins et effets secondaires. Songeons notamment au retentissant procès de Rimini sur le lien entre vaccin ROR et autisme.

 

- La deuxième, c’est que l’Agence italienne des Médicaments semble plus honnête que celles d’autres pays en admettant plusieurs fois un lien probable entre décès d’enfants et vaccination avec Infanrix hexa dans ce pays (cfr rapports de décès dans le document confidentiel de GSK sur la pharmacovigilance de l’Infanrix hexa, tel que publié sur ce site)

 

- La troisième, c’est qu’en Italie, un décès post-vaccinal par pneumonie interstitielle est considéré comme pouvant être en lien avec un vaccin comme l’Infanrix hexa alors qu’en Belgique, il aurait sûrement été considéré cela comme indépendant… songeons au décès de la petite Stacy en octobre 2011 dans la région de Charleroi, une semaine seulement après ses 3 premiers vaccins faits à l’ONE dont l’Infanrix hexa… son décès fut attribué à une infection grave avec empoisonnement du sang (septicémie). Mais qui peut affirmer sérieusement que tous ces vaccins administrés à un enfant dont le système immunitaire est encore si immature n’ont pas favorisé l’apparition d’une infection ? Personne sauf les pseudos experts aux bottes des pharmas et/ou ceux englués dans cette idéologie vaccinale anti-scientifique et contraire au plus élémentaire bon sens.

 

 

 

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10 juillet 2013 3 10 /07 /juillet /2013 18:22

La vaccination provoque l’autisme

 

Voici ce qu’ils savent…

 

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Christina England, 4 juillet 2013

 

Depuis de nombreuses années, des parents ont été convaincus que les vaccinations multiples ont provoqué l’autisme chez leurs enfants. Mais partout dans le monde, les gouvernements ont catégoriquement nié cette possibilité. Ils continuent à mettre leur tête dans le sable et à ignorer ce qui se passe. Ils refusent d’effectuer  les études pertinentes et ne veulent répondre à aucune question qui pourrait mettre la vérité sur les vaccins en pleine lumière.

 

Leurs actions sont clairement démontrées dans une vidéo publiée le 11 mai 2013, enregistrée au Congrès Américain et dans laquelle apparaissent les Députés Burton et Bill Posey et le Dr Weldon.

 

Cette vidéo  illustre ce qui s’est passé au fil des années derrière des portes closes. Elle donne aux parents l’occasion rare de pouvoir être les témoins directs des mensonges qui sont racontés au public, ainsi que de l’énormité de la supercherie en ce qui concerne les vaccins. [1]

 

Vaccins, mensonges et vidéo

 

Cette vidéo a commencé à être tournée en l’an 2000.

 

Le Député Dan Burton, président du la Commission de Réforme Gouvernementale sur l’autisme et les vaccinations pour enfants (2000) a ouvert la séance en déclarant que l’autisme, autrefois considéré comme une maladie rare, était quasi devenu une épidémie. Il devait préciser qu’il existait une priorité absolue à effectuer un maximum de recherches sur la relation possible entre les vaccins et l’autisme. Il a terminé son introduction en précisant qu’il nous fallait  cesser de nous mettre la tête dans le sable et ignorer cette possibilité.

 

S’adressant au Dr Coleen Boyle, Directrice du Centre National sur les Malformations Congénitales et les Troubles du Développement du CDC (Centres de Contrôle des Maladies), il a demandé :

 

« Nous avons vérifié tous les dossiers financiers de la FDA, du HHS, du CDC.- Pouvez-vous croire que quelqu’un qui reçoit des fonds de Merck ou d’autres sociétés pharmaceutiques  devrait figurer dans les Comités Consultatifs qui donnent leur avis sur des produits pharmaceutiques en provenance de ces sociétés, ou croyez-vous qu’on a, là affaire, à des conflits d’intérêts ? »

 

Pour la plupart d’entre nous, la réponse à cette question ne devrait poser aucun problème. La chose n’a pas été aussi simple pour le Dr Boyle qui a d’abord semblé être sans voix quand elle a finalement déclaré :

 

« Je pense qu’il est difficile de répondre à cette question. »

 

Le Député Burton s’est alors tourné vers le Dr Paul Offit, et lui a dit :

 

« Vous parlez de collaboration… je suppose que c’est avec la société pharmaceutique Merck ? »

 

A cette question, Offit  commença à bredouiller :

 

« Oui, je, euh, comme je, euh, l’ai écrit dans mon rapport, j’ai collaboré avec Merck & Company depuis 1992 pour le développement du vaccin contre le rotavirus. »

 

Le Député Burton a simplement répondu :

 

« Ce sont eux qui fabriquent le vaccin ROR, (Rougeole, Oreillons,Rubéole) n’est-ce pas ? »

 

Se retournant vers le Dr Boyle, Dan Burton lui demanda pourquoi le CDC n’avait pas, au cours de l’enquête, envisagé la possibilité que certains de ces vaccins aient pu provoquer l’augmentation de l’autisme. Burton lui demanda de vérifier ce fait. En dépit du fait qu’elle marqua son accord, il semble qu’une fois de plus cette tâche relativement simple ait été trop difficile pour le Dr Boyle, parce que treize ans plus tard, nous attendons toujours sa réponse.

 

Après avoir parlé à d’autres membres du Congrès, le Député Burton se retourna vers le Dr Boyle et lui dit sur un ton très ferme :

 

« Pour votre information, Dr Boyle, lors d’une réunion publique dans la région de Brick en 1997 avec le CDC et autres personnes (vous devez être au courant), plusieurs membres de l’auditoire ont posé des questions sur les vaccins et sur le lien possible qui pourrait exister avec l’autisme. Ces personnes ont demandé que des vérifications soient faites. »

 

Il poursuit :

 

« Et je soutiens que c’est peut-être, juste peut-être, parce que la compagnie pharmaceutique qui les fabrique avait  une certaine influence sur les gens assistant à cette réunion vu qu’ils ont dit : Hey, nous ne voulons pas entrer dans ces détails… Et je précise que si c’est le cas, cela frise le criminel ! »

 

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Député Dan BURTON : audition au Congrès Américain

 

Mon petit-fils, comme des milliers d’enfants étaient en parfaite santé, jusqu’à ce qu’ils reçoivent ces vaccins multiples…Je veux que vous puissiez VOIR ce que ces parents doivent endurer avec ces enfants

 

 

Cfr temps entre 3'36'' et 4'00 environ

 

 

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En concluant la séquence 2000, je pense que c’est le Dr Rimland qui a fourni la réponse la plus honnête de la journée quand, après avoir écouté tous les commentaires et effectué sa propre recherche scientifique,  il a répondu à la question du Député Burton qui voulait savoir s’il existait une possibilité que les vaccins puissent contribuer à l’augmentation des cas d’autisme.

 

Dr-Rimland.JPG

 

Le Dr Rimland a répondu :

 

« Il y a non seulement une possibilité, mais une très forte probabilité à partir de toutes les preuves disponibles…Il est assez intéressant de constater que la plupart des autorités officielles ont choisi d’affirmer que l’augmentation des cas d’autisme n’avait aucun rapport avec les vaccinations. – J’ai l’habitude de m’en référer à une citation qui m’apparaît très juste : l’histoire des progrès de l’humanité s’est accomplie sur la réfutation d’arguments d’autorité. »

 

Ce sont là des mots forts. Pourquoi n’a-t-il pas été entendu ?

 

Les organismes gouvernementaux continuent d’ignorer les appels

 

Si l’on s’en réfère à l’année 2002, il semble bien que rien n’ait beaucoup changé. Le Député Dan Burton a une nouvelle fois présidé une réunion de Comité. Il a décidé d’ouvrir cette cession avec le film poignant et émouvant d’un enfant souffrant d’une forme grave d’autisme pour permettre à l’assemblée de se rendre compte de ce que des parents ont à souffrir jour après jour. Ce bout de film a ému l’assistance jusqu’aux larmes. Le Député Burton a ajouté que comme son petit fils, il y avait des milliers d’enfants dans le pays qui étaient parfaitement normaux jusqu’à ce qu’ils reçoivent des vaccins multiples. Il a poursuivi en des termes extrêmement durs :

 

« Nous ne pouvons pas permettre à l’industrie pharmaceutique et à notre gouvernement de camoufler ce gâchis, car il ne va pas disparaître et va coûter des milliards de plus aux contribuables si nous permettons à la FDA, au HHS et aux agences de santé de continuer à se cacher derrière une façade où ils prétendent que des études prouvent le contraire de manière concluante, alors que tout cela est faux ! »

 

En fait, comme le montre la vidéo, tout ce débat houleux dure depuis plus d’une décennie. Chaque année, ce sont les mêmes problèmes qui sont discutés, les mêmes questions qui sont soulevées et la Commission en arrive toujours aux mêmes conclusions que les études nécessaires n’ont pas été réalisées pour établir le lien entre vaccinations et autisme.

 

Alors, pourquoi pareille situation et pourquoi rien n’a-t-il été fait ?

 

La représentante (chercheuse) du gouvernement s’est montrée hésitante

 

En 2012, le Député Bill Posey a tenté à nouveau d’interroger l’insaisissable et maintenant grisonnante Dr Boyle du CDC sur les vaccinations et l’autisme. 

 

Le Député Posey pose alors la question :

 

« Dr Boyle, mon prédécesseur, le Député Welder est un médecin très compétent et respecté de tous. C’est de lui que j’ai appris qu’il pensait avec beaucoup de certitude que le thimérosal dans les vaccins était certainement un facteur qui contribuait à provoquer l’autisme. Je me demande donc si le CDC a déjà organisé ou facilité une étude qui comparerait des enfants vaccinés à des enfants non vaccinés. L’avez-vous fait ? »

 

Comme on pouvait s’y attendre, au lieu de répondre à la question posée, le Dr Boyle évite complètement la question et répond :

 

« Nous avons réalisé un certain nombre d’études portant sur la relation entre le thimérosal et l’autisme et autres troubles du développement. »

 

Sans renoncer à sa première question, le Député Posey reformule sa question dans l’espoir d’obtenir une réponse claire et directe. Il demande :

 

« Donc, clairement, nettement et sans équivoque, avez-vous étudié des vaccinés comparativement à des non vaccinés ? »

 

Ce à quoi, le Dr Boyle a répondu :

 

« Nous n’avons pas étudié des vaccinés comparativement à des non vaccinés. »

 

Comme le Dr Boyle essayait de poursuivre dans une langue de bois, le Député Posey l’arrêta en disant :

 

« Peu importe, c’était le sens de ma question, vous m’avez fait perdre deux minutes de mon précieux temps. »

 

Il lui a alors demandé :

 

« Quelles sont les mesures qu’a prises le CDC pour s’assurer de l’intégrité de la recherche réalisée par le Dr Thorsen qui, comme vous le savez, a été inculpé pour faute grave par rapport à une mauvaise utilisation des ressources ? »

 

Une fois encore, on peut s’apercevoir que Boyle essaie d’esquiver la question. Au lieu de répondre directement au Député Posey, elle a essayé de s’en référer à des données incorrectes qui avaient trait au fait que le Dr Thorsen avait été co-investigateur dans seulement deux des études réalisées. Cette réponse fut immédiatement démentie par Posey qui a alors demandé si on pouvait l’autoriser à divulguer l’information selon laquelle le Dr Thorsen avait en fait été impliqué dans 21 des 24 études réalisées.

 

A aucun moment, et dans n’importe quelle partie de la vidéo, le Dr Boyle n’a répondu aux questions posées sans essayer d’éluder la question qui lui était posée, et même quand Posey lui a demandé :

 

« Etes-vous revenue pour valider les différentes études auxquelles Thorsen a participé ? Ce que je veux dire, c’est que vous savez pertinemment bien que ce type est  un monstrueux malfrat, un des hommes les plus recherchés de la planète, et c’est sur lui que vous comptez pour vous fournir les données qui vous permettront de décider si le thimérosal a des effets pervers ? »

 

Plutôt que d’admettre les défaillances du Dr Thorsen, le Dr Boyle s’est immédiatement attelée à la défense de Thorsen, alors même que cet homme se trouve en tête de liste des hommes  les plus recherchés de l’état fédéral pour 22 chefs d’accusation pour fraude électronique, blanchiment d’argent…. qui devraient lui valoir 260 ans de prison pour ses crimes. [2]

 

Conclusion

 

Après avoir vu la vidéo, il est évident  que pas une seule personne interrogée par le Député Burton ou par la Commission ne possédait la moindre preuve que les vaccins ne pouvaient pas provoquer l’autisme.

 

Au lieu de cela, les personnalités ont donné de fausses informations et ont tenté d’éviter toutes les questions qui leur étaient posées. Nombreuses étaient les personnes ayant des conflits d’intérêts avec l’industrie qui fabrique les vaccins et qui paradoxalement n’y voyaient aucun problème.

 

Les membres du CDC et de la FDA et autres organismes qui régulent le problème des vaccinations se doivent d’être totalement indépendants. Si, comme Paul Offit, ils détiennent des brevets relatifs aux vaccins ou collaborent avec les entreprises qui fabriquent les vaccins, il ne leur est pas possible d’être réellement indépendants comme de faire totalement preuve d’impartialité.

 

Il est certain que les parents qui font toute confiance aux fonctionnaires en ce qui concerne la vie de leurs enfants, méritent mieux que cela. Il est grand temps que les choses changent. Les parents qui font confiance au programme de vaccinations doivent impérativement être en possession des preuves concrètes que les vaccins qu’on leur propose sont sans danger. Au lieu d’ajouter sans cesse de nouveaux vaccins au programme et de tenter de les rendre obligatoires, les gouvernements et leurs représentants doivent d’abord répondre aux questions qui leur sont posées.

 

Cette vidéo représente une preuve concluante que ce n’est  toujours pas le cas.

 

The-rise-in-autism.JPG

 

Le plus grand crime jamais perpétré contre le public Américain

 

Député Dan Burton : « C’est pire qu’une épidémie; c’est un désastre absolu ! »

 

Références

 

1. http://www.youtube.com/watch?v=3wwDPcNdxJQ   (VIDEO)

2. http://www.sciencebasedmedicine.org/the-curious-case-of-poul-thorsen-fraud-and-embezzlement-and-the-danish-studies/

 

Source: Vactruth

 

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10 juillet 2013 3 10 /07 /juillet /2013 13:20

 Les vaccins, mieux que la saignée ? 

 

saignee-2.jpg

 

I - Plus un médicament est puissant et actif, plus ses effets secondaires peuvent être défavorables.

 

Mais les vaccins échappent, de façon surprenante, à cette règle de la biologie. Il serait temps de se demander pourquoi ?

 

En effet, les vaccins sont parmi les médicaments les plus puissants puisqu'ils sont capables d'agir sur de longues durées : 1 an, 5 ans, 10 ans, voire plus. Et cependant on nous affirme que les effets secondaires sont rarissimes !

 

Notons en plus que si les médicaments sont donnés à des malades, les vaccins, eux, sont injectés à des personnes en bonne santé.

 

Les vaccins auraient donc des effets favorables au long cours.

 

Alors que leurs effets défavorables ne sont reconnus que dans les quelques jours qui suivent leur injection. Par exemple le VAERS, l'Agence gouvernementale américaine qui recense les accidents post-vaccinaux, n'accepte de reconnaître ces accidents que s'ils se manifestent dans les 7 jours après l'injection. Légalement cela signifie que si votre enfant décède le 8ème  jour après la vaccination, ou au delà, ce décès ne pourra être attribué au vaccin. Et vous ne pourrez prétendre à aucune compensation.

 

Sur ce même sujet des effets au long cours,  le potentiel cancérogène des vaccins n'a jamais été étudié, comme on peut s'en rendre compte en consultant le PDR (Physicians’Desk Reference). Et cependant des études montrent qu'entre 1960 et 1980,  l'augmentation des cancers des enfants n'a jamais eu son pareil dans l'histoire de l'humanité.

 

II - On sait, qu’au delà de 3 médicaments pris en même temps, des effets secondaires imprévisibles et aléatoires peuvent se présenter.

 

Mais les vaccins échappent à cette règle, sans poser aucun problème, prétendument. Ainsi les vaccins sont censés agir contre 3, 4, 5 et même 6 maladies d'un coup, peut-être même plus à l’avenir, sans que cela n’éveille de questionnement !

La nature quant à elle, n'apporte qu'une maladie à la fois, sauf de très rares exceptions.

 

III - On sait que le système immunitaire des enfants ne se met en place que progressivement et lentement.

 

Mais les vaccins n'ont pas besoin qu'il soit constitué !. Dés la première année, en France (pays champion de la vaccination obligatoire, mais aussi recommandée), le calendrier vaccinal prévoit que l'enfant va recevoir, 27 sollicitations. Dans l'histoire de la médecine, seul le crédit accordé à la saignée a réussi à provoquer autant d'acharnement.

 

Depuis 30 ans, les études sur le stress ont fait apparaître que le système immunitaire était beaucoup plus complexe que nous ne le soupçonnions, lors des premiers pas de la vaccination entre Pasteur (1880) et la mise au point du vaccin polio (1950). Les chercheurs parlent maintenant de l'axe Psycho-Neuro-Immunologique.

 

Les vaccinologistes, quant à eux, en sont toujours au premier étage. Ces découvertes laissent donc entendre que toute perturbation du système immunitaire peut influencer tout le système nerveux, mais aussi tout l'espace psychique des personnes. Une zone d'ombre inattendue et inquiétante dans la compréhension  simplificatrice de la vaccinologie. Quand cet assemblage diaboliquement complexe se dérègle, les conséquences peuvent être lourdes et graves. Il semble que cela ait échappé aux recherches à court terme de la vaccinologie.

 

IV - Il y a lieu de se pencher et de réfléchir au grave problème posé par le franchissement de la barrière des espèces.

 

Cette situation est en train de prendre une tournure qui semble peu angoisser les chercheurs, les politiques et les populations.

 

Mais on est obligé de constater que les vaccins ont été et restent un des plus grands acteurs de ce franchissement de la barrière des espèces. Toute la vaccinologie repose sur des mécanismes de transfert, qui au fond ne sont que des franchissements de la barrière des espèces. Ces mécanismes ont été de plus en plus élaborés, à partir du moment où on a commencé à comprendre l'interrelation entre les virus et les noyaux cellulaires. Ces premiers transferts ont été utilisés pour la mise au point du vaccin contre la polio. On s'est alors aperçu, tardivement, que ces vaccins étaient contaminés par le virus SV 40 du singe. Ce virus est, de façon surprenante, un cousin proche du virus du SIDA, dont les chercheurs estiment qu'il vient du singe, lui aussi.

 

Si on se penche sur les premiers OGM, dans l'industrie biomoléculaire, on constate que la première filière mise au point a été élaborée par la vaccinologie avec la production des vaccins contre l'hépatite B. C'est ce que décrit le professeur François Gros, ancien directeur de l'Institut Pasteur, qui rapporte l'épopée de la découverte du code génétique et de ses applications industrielles, dans un livre synthétique : « Les secrets du gène ».  De façon surprenante, les français qui semblent un des peuples le plus opposés aux OGM, sont cependant ceux qui ont été les plus vaccinés par ce premier vaccin OGM. Ce serait peut être l'explication de la polémique,  spécifiquement franco-française paraît-il, qui persiste toujours concernant l'innocuité et la sûreté prétendue de ce vaccin.

 

V - Et nous voici au niveau des lois, de la justice et de l'éthique.

 

Là un petit détour historique semble nécessaire pour éclairer notre lanterne. Il s'agit de se pencher sur la situation juridique des experts scientifiques et donc aussi souvent médicaux. En France, nous avons un lourd héritage de ce côté, si on regarde ce qui est advenu dans l'affaire du sang contaminé. Tout en se souvenant que la France, parmi les pays avec un développement comparable, a été le pays le plus gravement atteint par l'ampleur considérable de la contamination,  et même si d'après l'OMS, nous avons la meilleure qualité de soins au monde.

 

Les principaux acteurs ont été poursuivis et condamnés à la prison. Notamment le Dr Garetta avec 3 ans de prison.  Les politiques à leur tour ont été poursuivis par la justice, mais tous sauf un ont été blanchis après 10 ans de procédure. Qu'est-il arrivé aux experts-conseillers de ces ministres ? 15 ans de procédure ont abouti à un non lieu général, le 18 juin 2003.

 

Ainsi les experts scientifiques n'ont pas de compte à rendre de leurs agissements. 

 

Une réussite exceptionnelle de la démocratie, sans doute ?

 

Or, dans la longue polémique qui entoure le vaccin contre l'hépatite B, une conférence de consensus a été organisée rapidement, au mépris des règles de constitution de telles conférences, pour quelle se tienne dans les trois mois, soit le 11 septembre 2003. Elle a conclu que les avantages du vaccin contre l'hépatite B l'emportaient sur les risques d’effets secondaires.

 

Les experts en vaccin avaient compris la leçon délivrée trois mois plus tôt. Ils n'ont pas de compte à rendre. Ne sont-ils pas au dessus des lois ?

 

Conclusion : les vaccins sont au dessus des règles et des lois de la logique, de la biologie et de l’éthique !

 

Les vaccins sont un véritable défi au bon sens et aux règles touchant tous ces domaines. La vaccination est parvenue à s'imposer au point qu'elle a réussi ce qu'aucune religion ou idéologie n'avait réussi avant elle : d'être acceptée non seulement par toute l'humanité (aucune religion ou idéologie n'a réussi à convaincre tous les humains !) mais bien plus, à être injecté à tous les humains.

 

Un triomphe de la rationalité, de la science, de la technologie ? Un défi au bon sens ? Une mystification planétaire ?

 

Un mystère confondant en tout cas, où la peur et la manipulation ont réussi à contaminer tout un chacun au point de rendre incontestable une fausse réussite construite sur un aveuglement ou un mensonge collectif prolongé.           

                                                          

Dr Didier TARTE

 

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