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25 juin 2013 2 25 /06 /juin /2013 15:50

La variole n'avait-elle pas été déclarée "éradiquée" par l'Organisation Mondiale de la Santé en 1980?

 

Pourtant, le Comité des Médicaments à Usage Humain de l'Agence Européenne des Médicaments (CHMP) a remis le 30 mai dernier un avis positif sur le vaccin Imvanex de la société Bavarian Nordic.

 

 

bavarian nordic

 

Le vaccin Imvanex est un vaccin transgénique (càd produit par génie génétique) à virus vivant atténué, mais qui n'induit soi-disant pas de réplication virale au sein de l'organisme contrairement à la précédente version du vaccin, prétexte évidemment saisi par l'Agence Européenne du Médicament pour le décréter utilisable tant chez l'adulte sain que chez les patients immunodéprimés... et comme les gens sont de plus en plus malades, il s'agissait de ne pas "perdre" toutes ces cibles vaccinales-là...

 

Le vaccin est censé viser autant les gens qui n'ont encore jamais été vaccinés contre la variole que ceux qui ont déjà été précédemment vaccinés.

 

Le Comité a décidé que les bénéfices étaient plus grands que les risques sur base de 5 études principales. Toutefois, comme la variole n'existe plus et que des essais cliniques (dans le cadre desquels les gens auraient la possibilité d'être naturellement infectés) ne peuvent être menés, ce vaccin a été approuvé dans l'Union Européenne "sous des circonstances exceptionnelles".

 

En matière de sécurité, le Comité affirme que le vaccin est "généralement bien toléré", les effets secondaires les plus courants étant des maux de tête, des douleurs musculaires, des nausées, de la fatigue, un érythème et une douleur au site d'injection.

 

Comme il est à prévoir, la Commission Européenne dont l'accord purement formel suffit à valider définitivement l'autorisation de mise sur le marché, va suivre docilement l'avis de l'Agence Européenne des Médicaments.

 

Mais ce qui doit alerter ici, c'est le caractère étonnamment familier de ces affirmations venant de ce genre d'instances. Souvenez-vous leurs déclarations sur la soi-disant "bonne tolérance" du vaccin expérimental anti-H1N1 Pandemrix à base de squalène.... un vaccin qui lui, avait fait l'objet d'essais cliniques dans le cadre desquels il y a eu 7 décès sur 2000 patients.... un vaccin qui a engendré combien de centaines de cas de narcolepsies, une maladie neurologique auto-immune incurable et particulièrement invalidante.

 

Et répétons-le encore une fois, le Pandemrix, lui, avait pourtant fait l'objet d'essais cliniques, certes bâclés et aux conclusions bidouillées selon nous mais des essais cliniques tout de même. Ici, pour l'Imvanex, non. Mais on affirme qu'il est "généralement bien toléré". Mais quid si vous, votre conjoint ou votre enfant faisait partie sans évidemment le savoir à l'avance, de ceux dont la vie va dérailler à jamais après ce vaccin?

 

Si on prend par exemple un autre document, celui rédigé par le Centre Européen de Contrôle des Maladies (ECDC) à l'automne dernier sur l'introduction de la vaccination anti-HPV dans divers pays européens, on peut s'apercevoir que c'est le même angélisme qui est de mise, avec des affirmations tout à fait similaires selon lesquelles "ces vaccins (GARDASIL et CERVARIX donc) sont généralement bien tolérés". Et là, ces affirmations mensongères interviennent pourtant après plusieurs années d'utilisation et de controverse puisque rien qu'aux USA, alors que seuls 1 à 10% des effets secondaires graves des vaccins sont comptabilisés, plus de 30 000 effets secondaires et 136 décès ont déjà été notifiés depuis 2006 en lien avec l'usage du Gardasil et du Cervarix! Les autorités américaines ont déjà déboursé à ce stade plus de 6 millions de dollars pour indemniser une cinquantaine de plaignants dont deux familles dont la fille est morte après ces vaccins "généralement bien tolérés".

 

Et dernièrement, la décision japonaise de ne plus recommander officiellement les vaccins Gardasil et le Cervarix, suite à près de 2000 rapports d'effets secondaires, a elle aussi contribué à montrer tout le sérieux et toute la crédibilité qu'on peut encore accorder à ces Comités et instances européennes quand elles affirment, sur base d'arguments d'autorité que tel ou tel (nouveau ou ancien) vaccin est "généralement bien toléré".

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24 juin 2013 1 24 /06 /juin /2013 17:24

Flu-gate: l'agence américaine de santé manipulerait les chiffres de la grippe

 

Par Bernard Dugué, le 23 juin 2013 (AGORAVOX)

 

flu-gate

Si ce qu’affirme le journaliste d’investigation Jon Rappoport dans son billet daté du 20 juin 2013, ce pourrait être le scandale du siècle, aussi choquant que l’espionnage des citoyens et tout aussi grave que les manigances géopolitiques ciblant le Moyen Orient. Ayant eu accès au dernier rapport du CDC (center for disease control) livrant des données statistiques sur la grippe, Rappoport n’hésite pas affirmer que cette agence de santé ment sur toute la ligne, rebaptisant non sans facétie le CDC en CDIC (center for information disease control). Son argument semble bien fondé. Page 89, ce rapport fait état des données suivantes : 50 097 décès par combinaison de grippe et pneumonie répartis en 500 décès par grippe et le reste, 49 597 décès, est dû à une pneumonie diagnostiquée.

 

Rappoport dénonce ensuite la communication de cette agence envers le public. 36 000 décès annuels, c’est le chiffre annoncé et clamé dans les médias par les experts médicaux. Plus récemment, ces mêmes experts chiffrent les décès causés par la grippe avec une fourchette comprise entre 3000 et 50 000 mais selon un autre document, la grippe ferait bien moins de 3 000 morts par an. Pour évaluer le nombre de morts d’origine purement grippale, il faudrait réaliser des analyses sur les dépouilles des patients décédés. C’est du reste ce qui a été fait selon Rappoport qui cite une étude publiée en 2001 par le CDC faisant état de la confirmation de 18 décès par grippe sur les 257 attribués (sans analyse virale) à la grippe, selon les diagnostics établis par les médecins traitants.



Lire la suite de cet article: SUR AGORAVOX

 

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21 juin 2013 5 21 /06 /juin /2013 22:01

Médecins hors la loi, médias complices ?

 

Le 4 juin dernier, les sites du Nouvel Observateur et d'Atlantico publiaient un article sur le lien entre le cancer de la gorge de l'acteur Michael Douglas et les papillomavirus (HPV), en donnant unilatéralement la parole au Dr Joseph Monsonego. Ce gynécologue y regrettait même que cette vaccination controversée ne soit toujours pas recommandée aux garçons dans nos pays. Dans ces articles cependant, on ne trouvait aucune mention des conflits d'intérêts pourtant avérés de cet expert avec les fabricants de vaccin HPV, contrairement à ce que l'article 26 de la loi Kouchner du 4 mars 2002 impose aux professionnels de santé qui s'expriment dans les médias.

 

C'est dans ce contexte où il y a lieu de s'interroger sur la complicité des médias, que plusieurs citoyens, médecins et parents de victimes de vaccins ont décidé de rédiger une lettre commune de protestation. Une autre lettre commune a aussi été envoyée au Conseil Départemental de l'Ordre des Médecins de la Ville de Paris pour réclamer la sanction du médecin fautif.

 

La loi du 4 mars 2002 relative aux « droits des malades et à la qualité du système de santé » oblige les médecins à faire état de leurs liens d’intérêts et cela à l’occasion de chaque manifestation publique : « Les membres des professions médicales qui ont des liens avec des entreprises et établissements produisant ou exploitant des produits de santé ou des organismes de conseil intervenant sur ces produits sont tenus de les faire connaître au public lorsqu'ils s'expriment lors d'une manifestation publique ou dans la presse écrite ou audiovisuelle sur de tels produits

 

Cet article de loi stipule également que « les conditions d'application (…) sont fixées par décret en Conseil d'Etat. »

 

C’est finalement le 25 mars 2007, cinq ans après la promulgation de la loi sur la transparence de l’information médicale et suite à une plainte, que paraît le décret précisant les modalités de déclarations des liens d’intérêts :

 

« L'information du public sur l'existence de liens directs ou indirects entre les professionnels de santé et des entreprises ou établissements mentionnés à l'article L 4113-13 est faite, à l'occasion de la présentation de ce professionnel, soit de façon écrite lorsqu'il s'agit d'un article destiné à la presse écrite ou diffusé sur internet, soit de façon écrite ou orale au début de son intervention, lorsqu'il s'agit d'une manifestation publique ou d'une communication réalisée pour la presse audiovisuelle. »

 

Hélas, comme le détaille l'UFC Que Choisir, cette loi n'est toujours pas appliquée...

 

Faut-il pour autant se résigner ? Prendre cela comme une fatalité ?

 

NON selon un collectif de citoyens déterminés, parmi lesquels des médecins, et des parents d'enfants victimes de divers vaccins.

 

A nos yeux, seule l'action citoyenne permettra d'éviter les dérives les plus graves. Or il est hélas évident que les médias ont un rôle central dans ces dérives. Ils les rendent en général possibles en ne faisant pas suffisamment preuve d'objectivité et/ou en n'alertant le public que trop tardivement après un danger donné.

 

A l'heure où le Japon vient pourtant de cesser de recommander ces vaccins et où certains médias font mine de façon affligeante de s'étonner d'une telle décision, il est bon de s'interroger sur la légitimité d'une sorte de publicité déguisée en faveur des vaccins HPV en perte de vitesse.

 

Les médias doivent selon nous respecter des exigences éthiques et déontologiques. Ils doivent pouvoir réagir et compléter leur information si de solides preuves leur sont apportées, comme c'est le cas ici. Les médias ont aussi selon nous un rôle à jouer dans le contrôle des conflits d'intérêts des experts qu'ils interrogent et dans la vérification que ceux-ci sont bien correctement déclarés, de façon à ne pas désinformer leur lectorat.

 

Quant à l'Ordre des Médecins, si prompt à considérer le refus de vaccins obligatoires comme "de la maltraitance aux enfants", il doit lui aussi assumer sa responsabilité et ne pas couvrir de façon complaisante des praticiens qui violent la loi. Stop aux deux poids, deux mesures !

 

C'est fort de ces convictions de bon sens, aussi partagées par des millions d'autres citoyens, que nous avons écrit aux médias concernés ainsi qu'au Conseil Départemental de l'Ordre des Médecins de la Ville de Paris, tout en informant aussi de notre démarche l'UFC Que Choisir et l'Observatoire de la Déontologie de l'Information (ODI).

 

Vous pouvez lire ces courriers :

 

aux médias : ICI

 

et à l'Ordre des Médecins de Paris : ICI 

  

N'hésitez pas à nous indiquer par mail, sur notre site, si vous souhaitez vous aussi que votre nom s'ajoute à la liste des signataires.

 

Nous vous tiendrons informés via la partie "commentaires" de la suite réservée à ces courriers.

 

Un texte aussi publié sur AGORAVOX

 

Actualisation du 2 juillet 2013:

 

Le Dr Jean-Jacques Avrane de l'Ordre des Médecins de la Ville de Paris nous a indiqué par mail en date du 25 juin dernier qu'il fallait envoyer la plainte par voie postale avec l'adresse des signataires, ce que nous avons fait, et aussi, mentionner les manquements déontologiquement éventuellement reprochés.

 

Voici donc le courrier additionnel qui mentionne les manquements déontologiques du médecin en question, le Dr Joseph Monsonego.

 

Recepisse plainte Ordre Médecins

 

NB: A noter que l'Ordre des Médecins nous a répondu peu après que notre plainte n'était pas valide parce que non signée (manuscritement) par tous les signataires. Ceux-ci résidant en France, et en Belgique, il est malaisé de scanner les signatures de tous et de se renvoyer entre nous le document bien qu'évidemment, tous les signataires avaient dûment fait savoir leur accord par mail à Initiative Citoyenne quant à cette démarche commune. Cela montre en fait surtout la position corporatiste de l'Ordre des Médecins, qui loupe en fait une belle occasion de plus de joindre le geste à la parole au lieu de publier un Code de Déontologie auquel il accorde si peu de respect! 

 

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21 juin 2013 5 21 /06 /juin /2013 21:24

Un "question-réponse-réplique" entre le député Ecolo Patrick Dupriez et la Ministre PS Laanan, qui vaut le coup d'être lu. Et qui en dit long sur la "compétence" des Ministres et leur amour du principe de précaution...

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20 juin 2013 4 20 /06 /juin /2013 22:59

Jenny Tetlock, Californie

 

1994-2009

 

jenny--victime-du-Gardasil.jpg

 

Jenny était une jeune fille de 15 ans luttant contre une maladie dégénérative rapide, dont certains médecins pensent qu'elle était liée au vaccin anti-HPV Gardasil qu'elle avait reçu peu de temps avant que ses symptômes n'apparaissent. Et bien qu'il n'existe aucune preuve spécifique formelle d'un côté, le Dr Diane Harper qui a conçu et mené les essais de phase 2 et 3 avant la mise sur le marché du Gardasil et qui fut consultante pour Merck, estime que la possibilité que le vaccin puisse déclencher une maladie génétique familiale doive être sérieusement envisagée.

 

Ci-dessous, voici un extrait du "Parcours de Jenny", un site internet entretenu par la famille et les amis de Jenny dans le but d'aider à localiser d'autres cas similaires:

 

"Un après-midi ensoleillé de mai 2007, une Jenny en larmes a expliqué à sa mère comment sa classe de gym de septième année s'est moquée d'elle quand elle a trébuché sur un obstacle que tous franchissaient aisément. Quelques semaines plus tard, Jenny s'est mise à boiter. Progressivement, elle est devenue de plus en plus faible et ses muscles se sont atrophiés. Tout son univers s'est restreint.

 

Les parents de Jenny se sont alors tournés frénétiquement vers toute une panoplie de  spécialistes, en vain. Au printemps 2008, Jenny était devenue quadriplégique et ne pouvait plus respirer qu'avec l'aide d'une machine. Elle s'accrochait à la vie depuis plus d'un an mais elle n'a jamais pu connaître un autre printemps.

 

Personne ne sait exactement quand la maladie de Jenny a commencé ni quelle maladie elle avait. Des neurologues de renommée mondiale pensent qu'elle avait la maladie de Lou Gehrig (aussi appelée "maladie de Charcot" ou "sclérose latérale amyotrophique (SLA) ) Ce tueur implaccable épargne l'esprit, tout en détruisant méthodiquement les neurones moteurs de l'organisme, jusqu'à ce que le corps verse dans une paralysie irréversible.

 

Pour autant, les avis médicaux ne sont pas unanimes. Le Centre de Contrôle des Maladies estime le risque de SLA chez les adolescents à 1 sur 3 millions de sujets, soit inférieur au risque d'être frappé par la foudre. Parmi les causes beaucoup plus fréquentes de paralysie chez les adolescents, on retrouve les maladies auto-immunes."

 

Jenny est décédée le 15 mars 2009, entourée de sa famille.

 

Visitez le site "Le Parcours de Jenny" ("Jenny's Journey") pour plus de détails sur la maladie soudaine de cette jeune fille après le vaccin Gardasil. La famille de Jenny essaie également de localiser d'autres parents et d'identifier les symptômes vécus par leurs enfants également décédés après ce vaccin, de manière à pouvoir éviter que d'autres cas ne se reproduisent encore.

 

Source: SaneVax

 

Le livre « Le nouveau dossier noir du vaccin contre l’hépatite B » de Lucienne Foucras raconte le calvaire de son mari, décédé d’une sclérose latérale amyotrophique, après avoir reçu le vaccin anti-hépatite B.  Selon le neurologue canadien Christopher Shaw, qui a beaucoup étudié l’aluminium vaccinal (utilisé comme adjuvant dans de nombreux vaccins, comme le vaccin anti-hépatite B, le Gardasil ou le Cervarix), ce métal toxique favorise diverses maladies neurologiques comme le Parkinson, l’Alzheimer et la sclérose latérale amyotrophique. Chez les souris qu’il a évaluées après leur avoir injecté des vaccins à base d'aluminium, il a pu observer après seulement quelques semaines une destruction de 35% des cellules nerveuses dans la zone du mouvement !

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20 juin 2013 4 20 /06 /juin /2013 21:25

Le médecin et journaliste du Monde (qui écrit aussi pour le site Slate.fr) Jean-Yves Nau, fait mine dans son article de ne pas comprendre le sens de la décision japonaise de ne plus recommander les vaccins HPV....

Il embarque dans ses affirmations péremptoires tout le "vieux continent" qui ne comprend soi-disant  pas  les allégations contre les vaccins HPV et prétendre que ces notifications d'effets secondaires ne correspondent pas à ce qui a été enregistré en Europe.

En réalité, un nombre croissant de gens (y compris des victimes de ces vaccins) ne sont absolument pas étonnées que les effets délétères de cette vaccination soient dénoncés un peu partout dans le monde. En épluchant les documents confidentiels de pharmacovigilance des fabricants aux autorités européennes et nationales (des documents qui existent bien quelque part, comme ceux relatifs par exemple à l'(in)sécurité du vaccin Infanrix hexa qu'on prétendait si sûr), on aurait de grosses surprises sur la prétendue bonne tolérance de ces vaccins!

Lorsqu'on lit l'article autrement plus référencé et argumenté qu'Initiative Citoyenne a fait publier sur le site Agoravox et qui explique les nombreuses preuves d'insécurité propre à ces vaccins HPV, on se rend compte qu'on se trouve en fait face à un problème d'honnêteté intellectuelle et de bonne ou mauvaise foi.

Jean-Yves Nau ose réaffirmer dans son article, sans crainte du ridicule l'absence de preuves entre le risque de scléroses en plaques et la vaccination anti-hépatite B, un comble quand on sait que 5 études existent en faveur d'une telle relation, avec des chiffres français particulièrement accablants lorsqu'on analyse les cas de scléroses en plaques et d'affections démyélinisantes année par année en fonction des années où on a le plus vacciné en France.

Le Pr Marc Tardieu n'a-t-il pas été "interdit de conférence de presse" (selon Libération du 14 octobre 2008) parce qu'il avait osé montrer un risque accru de sclérose en plaques chez les jeunes vaccinés contre l'hépatite B? Par quelle pirouette Jean-Yves Nau tenterait-il d'expliquer ce tabou-là?

Il est vrai que la décision du Ministre japonais ressemble à celle de Bernard Kouchner qui n'avait fait lui aussi que prendre "une demi-mesure" face aux effets secondaires du vaccin anti-hépatite B. Tant au Japon qu'en France, les pressions internationales, à commencer par l'OMS et ses bailleurs de fonds, sont considérables et c'est précisément cela qui explique que les Ministres concernés n'aient tout simplement pas eu la liberté d'être plus cohérents et à juste titre plus radicaux dans leurs décisions, à savoir de cesser de rembourser ces vaccins et d'en ordonner le retrait du marché national.

Le vaccin contre l'hépatite B, selon le rapport Dartigues, est responsable d'une des plus grandes séries d'effets secondaires de toute l'histoire française de la pharmacovigilance (tout de même). Les vaccins anti-HPV induisent quant à eux encore plus d'effets secondaires que les autres vaccins: 3 fois plus d'effets indésirables pour le Gardasil que pour tous les autres vaccins du programme américain réunis; et de 24 à 104 fois plus d'effets secondaires pour le Cervarix que pour n'importe quel autre vaccin du programme britannique pris tour à tour. Des données précises et concrètes que n'aborde évidemment pas Jean-Yves Nau!

Finalement, cet article de Jean-Yves Nau est un superbe exercice de vigilance citoyenne. Nous ne pouvons que conseiller aux lecteurs de lire intégralement cet article de Jean-Yves Nau d'abord et ensuite,  de visionner l'une après l'autre chacune de ces trois vidéos qui répondent tour à tour aux affirmations trop fragiles de ce journaliste médecin:

SUR LA SECURITE DU GARDASIL (NB: à ce stade, il y a plus de 136 décès aux USA, beaucoup plus que ce qui est donc dit à l'époque dans cette vidéo-là de M6.. mais pour l'ANSM et Jean-Yves Nau, c'est sans doute à chaque fois une "coïncidence"... très crédible!!)


 

SUR LA SECURITE DU VACCIN ANTI-HEPATITE B (et le bienfondé de la campagne):

 

 

SUR L'IDEOLOGIE VACCINALE qui est toujours à promouvoir en dépit des doutes:

 

 

Voir aussi la réponse inconsistante de la Ministre belge Fadila Laanan suite à la décision japonaise concernant ces vaccins

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20 juin 2013 4 20 /06 /juin /2013 20:47

Par Antoine Flahaut, 13 juin 2013

 

La ronde des virus grippaux ne s'arrêtera donc jamais ? Après les craintes et la mobilisation internationale contre le risque d'une émergence pandémique de la grippe avaire H5N1, dans le sud-est asiatique, au début des années 2000, la pandémie que je dénommerai "de la controverse" en 2009 prenant tout le monde à contre-sens, le virus étant d'origine porcine, venant du Mexique, et s'appelant H1N1, et faisant moins de victimes que la grippe saisonnière, voilà qu'une autre menace semble se profiler, avec le virus H7N9, d'origine chinoise. Que doit-on craindre au juste ?

 

Les directeurs du National Institute of Allergies and Infectious Diseases (composante du NIH) a publié en date du 5 juin dernier en accès libre (en anglais) un commentaire dans le New England Journal of Medicine faisant le point sur le sujet. Pour résumer la position des auteurs (dont le chercheur Jeffery Taubenberger), il y a 17 variantes de l'hémagglutinine et 10 neuraminidases (protéines de surface qui donnent respectivement les combinaisons de lettres et de chiffres Hx et Ny au sous-type viral), mais seuls trois sous-types de mémoire d'homme ont été responsables de pandémies de grippe chez l'homme, H1, H2, et H3. Les autres sous-types infectent les mammifères, les volailles et des oiseaux sauvages, mais pas l'homme. Des hommes peuvent occasionnellement être infectés au contact étroit avec des animaux porteurs, mais alors il s'agit d'un "cul de sac" virologique, la transmission inter-humaine ne se produit pas en aval. En effet, l'homme est alors exposé dans ces cas (H5N1 ou H7N9 par exemple) à une sorte de "douche" de particules virales et pour ainsi dire à une intoxication par le virus qui peine ensuite à se multiplier dans nos cellules, n'étant pas équipé pour le faire. Le virus n'a pas les clés pour rentrer dans nos cellules et faire fonctionner notre matériel génétique pour sa propre multiplication. Certes des mutations peuvent intervenir qui "humanisent" le virus. C'est ce qui se produit sur les souches les plus récentes de H7N9 que l'on a pu identifier chez des hommes. Mais on l'avait aussi repéré de telles mutations humanisantes pour d'autres souches de virus de grippe aviaire, comme H5N1, sans qu'à ce jour ces virus n'aient jamais acquis de potentiel pandémique. Les scientifiques sont donc divisés sur la question du risque pandémique. Les uns pensant qu'il n'y aura jamais d'autres pandémies que H1, H2, H3 qui diffèrent de ceux qui pensent au contraire qu'un jour viendra la mutation scélérate, celle qui autorisera la transmission inter-humaine (ce que des chercheurs hollando-américains pensent avoir mis au point en laboratoire de haute sécurité l'an dernier avec H5N1).

 

Les auteurs du billet du NEJM concluent quant à eux que même improbable, il est important de rester vigilants et de se préparer à une possible pandémie beaucoup plus meurtrière que celles que nous avons connues. En 1918, "seuls" 2% des personnes infectées en sont décédées, alors que la létalité est respectivement de 59 et 28% pour H5N1 et H7N9 actuellement.

 

Pour ma part, je rejoins ceux qui pensent que l'on joue un peu ici à se faire peur (nous soutenions cela déjà en 2003, au moment de l'émergence H5N1). Certes l'hypothèse d'un scénario catastrophe n'est pas impossible, mais quelle est la probabilité qu'il se produise ? Et pendant que l'on distrait les investissements et les énergies à se préparer dans un désert des Tartares, ou à construire je ne sais quelle ligne Maginot (= les plans pandémiques), on ne se prépare pas ou mal à affronter les grippes saisonnières qui chaque hiver fauchent de nombreuses victimes, engorgent les hôpitaux, représentent un coût considérable en termes d'arrêts de travail et d'hospitalisations évitables. Je rejoins aussi certains de mes collègues qui ont la conviction que personne ne sait se préparer aux véritables catastrophes (notamment à celles que l'on n'a jamais connues), mais que l'on ne porte pas assez d'intérêt ni d'investissements à se préparer aux scénarios plus banals et communs, que représentent les risques de tous les jours : les virus saisonniers de la grippe, des gastroentétites, des arborviroses (dengue, chikungunya), nos addictions au tabac, à l'alcool, aux matières grasses, sucrées et salées, à notre sédentarité... Peut-être parce que cela semble moins fun à beaucoup de nos élus et de leurs électeurs ? Peut-être aussi, parce que nous ne savons pas bien porter les messages associés à la "normalité", préférant de beaucoup les grandes peurs, les catastrophes improbables, les pestes noires...

 

Source: Les Carnets de l'Université Paris Descartes

 

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20 juin 2013 4 20 /06 /juin /2013 20:05

gardasil-ventes.jpgLe vaccin Gardasil quadrivalent de Merck a été mis sur le marché en 2006. Il couvre 4 souches de HPV, à savoir les sérotypes 6,11, 16 et 18, seuls les deux derniers étant en fait considérés comme "à haut risque" sur une bonne dizaine d'autres souches à haut risque parmi la centaine de papillomavirus existants. Selon une étude officielle (JAMA, Tome297, page 813, 2007), les souches 16 et 18 ne touchent que 2,3% des femmes aux USA!!

 

Dans deux précédents articles de notre site, nous évoquions le phénomène non surprenant de "compensation" des autres souches de HPV non couvertes par les vaccins, qui est à prévoir. (voir ici et ici)

 

Il semble bien que cette situation était elle aussi prévue par Merck puisque dans un article de BioPharm Insight du 30 juillet 2012, on peut lire que le géant pharmaceutique travaille déjà sur un autre vaccin anti-HPV, le V503, qui couvrira 5 fois plus de souches à haut risque que le Gardasil. Merck a donc déjà entamé des essais cliniques dans lesquels il compare des jeunes filles vaccinées avec le Gardasil à d'autres vaccinées avec le V503. Ces essais ont dû être prolongés parce que le taux d'infections aux virus HPV repris dans le vaccin V503 était trop faible, preuve que l'intérêt du vaccin sera faible et le rapport bénéfices/risques encore moins évident.

 

On remarquera aussi le nom de ce futur vaccin, le V503, un autre vaccin de Merck ayant été abandonné au cours des essais cliniques étant le V710... Va-t-on vers un système où les vaccins n'auront plus que des noms codés de ce style, une facilité de plus pour Big Pharma puisqu'ainsi formulés, il deviendra beaucoup plus difficile aux victimes de communiquer au reste du public le nom du ou des vaccins problématiques, que personne ne retiendra, en confondant tel vaccin à tel autre en fonction des chiffres.

 

Par ailleurs, dans  cet article préoccupant, on voit que toute une série de "leaders d'opinion" sont déjà en train de soutenir cette idée d'un autre vaccin (contre les effets pervers épidémiologiques du premier)

 

Alors que les vaccins anti-HPV rebutent de plus en plus, toutes les ficelles sont cependant bonnes pour en "remettre une couche"!

 

Se mettre à vacciner les garçons, envisager une vaccination HPV en 2 doses au lieu de 3 (car dixit ces "leaders d'opinion", il vaut mieux avoir reçu 2 doses qu'une seule ou même pas aucune, sic!), et même... préparer le terrain à un vaccin de nouvelle génération dont on pourra alors dire de façon facile et fausse qu'il protège contre 80 à 85% des cancers du col au lieu des très médiatisés 70%!

 

L'article prend le soin de préciser que les jeunes filles déjà vaccinées avec Gardasil ne devront pas être revaccinées avec cette nouvelle version (peu le voudraient de toute façon!) mais que les filles qui seront vaccinées dans le futur, le seront avec ce nouveau vaccin plutôt que le Gardasil... une affirmation qui interpelle et qui donne le sentiment que Merck sait en fait déjà d'avance qu'il obtiendra une nouvelle autorisation de mise sur le marché pour ce nouveau vaccin, quoi qu'il arrive.

 

Et bien entendu, une des fausses justifications de la "nécessité" de ce nouveau vaccin est que... l'adhésion des jeunes filles aux vaccins actuels est encore trop faible, "seules" 30% environ des filles de 13 à 17 ans aux USA ayant été vaccinées selon le texte! Encore donc la faute du public, une nouvelle couche de culpabilisation en prime! Finalement, cette affaire de couverture vaccinale est vraiment l'aubaine des aubaines pour l'industrie pharmaceutique puisque cela lui permet de généraliser avec la complicité des autorités et au nom de "la santé publique" ses produits à la quasi totalité d'une population donnée et de justifier la moindre inefficacité par une couverture insuffisante, motif pour redoubler ses profits et pousser à une fuite en avant avec de nouvelles versions, de plus en plus lucratives.

 

Que ne faut-il pas faire pour protéger des marchés!

 

Voir aussi: Un nouveau Gardasil vient d'être approuvé... pour mieux masquer l'inefficacité du précédent! (décembre 2014)

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20 juin 2013 4 20 /06 /juin /2013 16:45

Nous apprenions il y a peu par un praticien attentif que le Pr Van Laethem, infectiologue au CHU St-Pierre de Bruxelles et aussi membre de la section "vaccination" du Conseil Supérieur de la Santé (sans oublier son poste dans la Commission "Transparence" du Ministère fédéral de la Santé et dans le fameux comité Influenza qui a recommandé à L. Onkelinx l'achat de tous ces vaccins H1N1), est venu faire une petite présentation aux médecins du CHU Brugmann le vendredi 24 mai dernier.

 

Son titre "Le petit monde négligé de la vaccination de l'adulte: Couverture vaccinale de 17 à..."

 

Un titre qui ne manque déjà pas de "saveur" quand on sait à quel point la population, y compris adulte, est déjà largement survaccinée, entre autres, à l'occasion du moindre voyage  en cas de passage par les fameuses "travel clinics".

 

La présentation que le Dr Van Laethem a faite devant ces médecins et que nous avons pu nous procurer est très intéressante, parce qu'elle confirme en fait le double discours omniprésent en matière de vaccinations et de médicaments, suivant que les informations sont données aux professionnels de santé OU au grand public.

 

Ce double discours était aussi présent avec le vaccin H1N1, saga au cours de laquelle la presse a mis en évidence, suite à nos indications, le scandale des doubles notices (notices patients versus notices professionnelles). Avec les vaccins pour enfants faits à l'ONE, les parents ne reçoivent aussi qu'une information biaisée et incomplète, là où les documents confidentiels de pharmacovigilance des firmes à destination des autorités recèlent des listes de centaines de complications possibles, dont plusieurs gravissimes et même mortelles. En 2005, l'Institut National de Prévention et d'Education à la Santé (INPES) a réalisé une enquête parmi un échantillon représentatif de 400 pédiatres et médecins généralistes français. Les résultats, trop dérangeants n'ont pas été publiés mais montraient que 58% de ceux-ci s'interrogent sur l'utilité des vaccins faits aux enfants et 31% sur leur sécurité, des chiffres qui tranchent donc avec la fausse unanimité médicale affichée officiellement en faveur des vaccins. Là encore donc, le public a droit à un double discours puisque ce que les médecins osent répondre anonymement, ils n'osent pas forcément l'avouer à leurs patients.

 

Avoir compris ce point important, permettra alors aux gens d'ouvrir les yeux sur la valeur des conseils officiels de santé qui peuvent leur être donnés par de prétendus "experts" gouvernementaux à qui les médias déroulent (trop) facilement le tapis rouge...

 

Dans cette présentation du Dr Van Laethem, il y a plusieurs perles à tel point qu'on ne sait pas toutes les énumérer.

 

La "perle centrale" est vraiment la suivante: Malgré le peu d'études randomisées et de qualité sur l'intérêt de la vaccination antigrippale chez le sujet âgé [...], il serait éthiquement difficile de supprimer un moyen prophylactique, peu coûteux, ponctuel et sans effets secondaires notables"!

 

Sans effets secondaires notables.... vraiment??

 

Que dire alors de ceci ou encore du cas de cette infirmière victime qui aurait sûrement de quoi répondre aux affirmations gratuites et péremptoires de l' "expert" Van Laethem...

 

 

 

 

Le Dr Van Laethem prétend aussi dans sa présentation que la vaccination antigrippale des sujets âgés réduit les hospitalisations pour infections pulmonaires alors qu'en réalité la vaccination antigrippale multiplie par 5,5 le risque d'infections pulmonaires par rapport aux non vaccinés...

 

Il a aussi cru bon de recommander la vaccination antigrippale des adultes en bonne santé pour des raisons "socio-économiques" mais "à condition de ne pas spolier les groupes prioritaires" (sic!) alors que, comme il l'a pourtant avoué, il y a un manque d'études randomisées et de bonne qualité pour attester l'utilité de cette vaccination chez les sujets âgés, qui font pourtant partie de ces fameux "groupes prioritaires". En effet, ils sont en fait le public N°1 auquel on impose cette vaccination sur base d'une propagande et aussi souvent d'une culpabilisation/intimidation, comme dans la plupart des maisons de retraite où quantité de personnes âgées démentes ou désorientées sont vaccinées chaque année sans avoir jamais leur mot à dire... 

 

Yves Van Laethem banalise et recommande aussi la vaccination des femmes enceintes. NO COMMENT tant c'est gros et ça manque du plus élémentaire bon sens (cfr notre rubrique sur la femme enceinte)

 

Ahh oui, le mot de la fin qui a toute son utilisé... le Dr Van Laethem est en conflits d'intérêts avec les différents fabricants de vaccins. A-t-il pensé le déclarer à son petit public de médecins du CHU Brugmann comme il l'avait fait lors d'une précédente présentation sur le H1N1 à l'INAMI (Assurance belge Maladie Invalidité)? Et si oui, pourquoi là encore ce double discours avec des conflits d'intérêts communiqués à ses collègues et pas au grand public à chaque fois qu'il l'abreuve de ses "bons conseils" via divers médias ayant pignon sur rue?!

 

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19 juin 2013 3 19 /06 /juin /2013 22:58

Arrêt de la distribution d'un vaccin contre la typhoïde après une contamination

 

Par AFP le 19 juin 2013

 

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Le laboratoire Sanofi Pasteur MSD a arrêté temporairement la distribution de son vaccin Typhim contre la fièvre typhoïde après la découverte d'une contamination bactérienne sur un des composants du vaccin fabriqué sur son site de Marcy-l'Etoile près de Lyon, a-t-on appris auprès du laboratoire.

 

"Nous avons détecté la présence d'une bactérie particulière et arrêté la production d'un des composants du vaccin le 10 juin", a déclaré un porte-parole de Sanofi-Pasteur, confirmant en partie des informations parues dans Le Canard enchaîné.

 

Il a ajouté que cet incident avait conduit le laboratoire à bloquer la distribution du vaccin "pour une durée indéterminée" mais qu'il n'existait "pas de risque de rupture de stock" pour l'instant.

 

"Le laboratoire a signalé un défaut qualité, en l'occurrence une contamination, sur sa chaîne de production qui a été arrêtée", a confirmé pour sa part l'agence du médicament ANSM.

 

Mais comme le défaut qualité porte sur des lots non distribués, aucun rappel de lots ne devrait intervenir, a-t-elle ajouté.

 

Le site de Marcy-l'Etoile est un site de recherche et de production de vaccins, destinés en majorité à l'exportation.

 

La production du vaccin Typhim avait déjà été perturbée en septembre dernier lorsque le laboratoire avait décidé de procéder au retrait de deux lots de ces vaccins après avoir découvert "des concentrations antigéniques hétérogènes", c'est-à-dire des doses ne permettant pas, dans certains cas, de produire suffisamment d'anticorps après l'injection.

 

Le retrait de ces lots avait entraîné des problèmes d'approvisionnement qui risquent de se reproduire si l'arrêt de production actuel perdure, relève l'ANSM.

 

L'agence précise avoir inspecté le site de Marcy-l'Etoile à plusieurs reprises dans le passé, la dernière en date remontant à fin 2012-début 2013.

 

Selon Sanofi Pasteur, l'agence américaine du médicament FDA procède actuellement à une inspection "de routine" sur le site, comme le droit international l'y autorise puisque les vaccins sont massivement utilisés sur le territoire américain.

 

L'inspection fait suite à une première inspection effectuée l'an dernier par la FDA.

 

Le vaccin Typhim est utilisé dans la prévention de la fièvre typhoïde, une maladie provoquée par l'ingestion d'eau ou d'aliments ayant subi une contamination fécale d'origine humaine par des Salmonella typhi.

 

La vaccination est recommandée aux adultes et aux enfants de plus de 2 ans séjournant dans des pays endémiques de manière prolongée ou dans de mauvaises conditions d'hygiène.

 

Source : Notre Temps

 

Voici une actualité intéressante à commenter !

 

Remarquez bien la phrase suivante : « Mais comme le défaut qualité porte sur des lots non distribués, aucun rappel de lots ne devrait intervenir . »

 

Comme c’est merveilleux ! Quel heureux hasard, aucun vaccin contaminé n’a donc été injecté à qui que ce soit ? ! Et nous sommes franchement censés les croire sur parole ?! CAR…. Légèrement plus bas dans l’article, ils attribuent à « des concentrations hétérogènes en antigènes » la suspension du même vaccin à l’automne 2012.

 

Toutefois, en 2005, Sanofi retirait son vaccin Hexavac du marché et le faisait sous de faux prétextes d’efficacité insuffisante pour la valence anti-hépatite B. Cette Xième affaire trouble est bien racontée dans le dernier livre de Virginie Belle « Faut-il faire vacciner son enfant ? » Grâce à la complicité de l’Agence Européenne des Médicaments, la firme a pu ne pas justifier ce retrait par le fait que ce vaccin était suspecté d’induire des œdèmes cérébraux mortels du nourrisson.

 

Il est moins dérangeant de dire qu’on retire un vaccin parce qu’il est moins efficace que prévu plutôt que parce qu’il est plus risqué que prévu….

 

En 2008, Sanofi retirait le vaccin DTP sans aluminium sous le prétexte non crédible de réactions allergiques soudaines alors que sa composition n’avait pas varié depuis des décennies (et alors que les vaccins ne sont jamais retirés définitivement du marché pour cette seule raison temporaire). Là encore les raisons réelles de ce retrait ont été réarrangées pour masquer la vérité au public, car il s’agissait en fait de pouvoir substituer à ce vaccin un vaccin plus combiné et au moins 4 fois plus cher, qui inonde les corps d’aluminium en plus de forcer la main aux parents. Cet épisode-là est également bien expliqué avec de plus amples détails dans le livre précité de Virginie Belle.

 

Par conséquent, il s’agit de prendre avec la plus grande circonspection les causes officielles de retrait ou de suspension de vaccins, les vaccins en général les plus risqués n’étant jamais retirés du marché alors qu’à l’inverse, d’autres vaccinations peuvent être retirées pour des raisons de stratégie commerciale et financière.

 

Article du 19 juin 2013 du Canard Enchaîné

 

Canard enchaîné, 19 juin 2013, typhoïde

 

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