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19 février 2013 2 19 /02 /février /2013 21:50

Abraham Lincoln et l’Homéopathie

  

Homeopathy Plus News, 14.02.2013

 

LINCOLN.jpg

 

* Saviez-vous qu’Abraham Lincoln était un grand partisan de l’homéopathie ?

Il utilisait régulièrement les médicaments homéopathiques et s’est entouré de membres du gouvernement qui étaient eux aussi de fervents partisans de l’homéopathie.

 

* Il est arrivé qu’un soir l’un des membres de son cabinet fut poignardé alors qu’il faisait une livraison de remèdes homéopathiques.

 

* Le chef de l’armée de l’Union qui souffrait de fièvre typhoïde fut traité avec succès par homéopathie. Il put dès lors se maintenir aux commandes alors qu’il était encore en cours de traitement.

 

* L’Association Médicale Américaine (AMA) s’est sentie menacée par la popularité dont jouissait l’homéopathie. L’un des médecins de l’AMA devait déclarer : « Trop d’épouses de médecins conventionnels vont consulter les médecins homéopathes et ce qui est pire, c’est que ces dames entraînent aussi leurs enfants chez ces homéopathes. » L’Association Médicale Américaine a, en partie, été fondée pour empêcher le succès croissant de l’homéopathie. Elle a rédigé un code d’éthique pour empêcher la consultation de médecins homéopathes. (Un membre de l’Association Médicale Américaine (AMA) a même été expulsé de sa société médicale locale pour avoir consulté un médecin homéopathe qui n’était autre que sa propre épouse!)

 

* Alors que Lincoln avait déposé une proposition de loi en vue de créer une université enseignant l’homéopathie à Chicago, l’AMA s’arrangea pour s’opposer à la participation des médecins homéopathes dans la guerre civile américano- espagnole. Il en résulta que davantage de soldats moururent de la fièvre typhoïde que des balles de l’ennemi. A cette époque déjà, l’homéopathie traitait la fièvre typhoïde avec succès partout aux Etats-Unis et en Europe. (Il est intéressant de noter que cet antagonisme ne fut pas aussi virulent au cours de la première guerre mondiale : 2.000 médecins homéopathes avaient été engagés et la Croix-Rouge Américaine avait autorisé la création d’un hôpital homéopathique.)

 

De nombreux politiciens, médecins et personnages éminents, le Ministre des Postes, le Secrétaire au Trésor (qui avait eu la vie sauve grâce à l’homéopathie alors qu’une épidémie de choléra sévissait en 1849), le Secrétaire d’Etat William Seward, y compris le Maire de Chicago avaient soutenu le projet de Lincoln.

 

C’est dans la même nuit où Lincoln fut assassiné que le Secrétaire d’Etat William Seward fut poignardé dans un complot d’assassinat dirigé contre l’Union.

 

Source: Homeopathy plus

 

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19 février 2013 2 19 /02 /février /2013 21:25

Cette info est finalement plus importante que le fait de commenter la perspective d'un Xième nouveau vaccin (contre le rhume des foins) qui n'est jamais qu'une vraie fausse solution de plus.

 

La Commission Européenne pousse terriblement, on le sait, à la vaccination: H1N1 mais aussi bien d'autres vaccins. A chaque fois, il faut financer toutes sortes d'initiatives pour augmenter les taux de vaccinations, y compris même, chez les migrants! Tout cela bien sûr au nom du prétendu Bien public.

 

Problème: la Commission Européenne n'en a en réalité rien à caler de la santé publique et l'a ENCORE prouvé une Xième fois récemment.

 

En effet, après avoir multiplié par 3 les taux de cesium radioactif dans les aliments pour ne surtout pas entraver les échanges commerciaux depuis Fukushima, la Commission réautorise à présent pour les poissons d'élevage les farines animales... celles-là même qui sont à l'origine de la crise de la vache folle!

 

C'est très important de faire les liens entre les scandales sanitaires car hélas, ils se tiennent tous et toujours, au nom du profit, on met la santé et la vie des gens en danger. C'est à chaque fois la même chose et avec la vaccination, on n'échappe évidemment pas à la règle!

 

Voici copie, ci-dessous, de l'excellent communiqué du député français Nicolas Dupont-Aignan sur son site (Debout la République) au sujet du retour des farines animales et du rôle de la Commission Européenne:

 

La Commission fait une queue de poisson à la santé des européens

 

En autorisant aujourd'hui le recours aux farines animales pour les poissons d'élevage, la Commission de Bruxelles adresse un bras d'honneur à tous les consommateurs européens.

 

Seulement une semaine après le début du scandale de la viande de cheval, cette décision démontre que la Commission n'a plus peur de rien ni de personne. Il faut rappeler que ce mode d'alimentation était interdit depuis la crise de la vache folle. A raison, les experts avaient estimé que nourrir des poissons avec des farines de porc et de volaille revêtait un risque sanitaire. Afin d'éviter un drame comme celui de la vache folle, les États et notamment la France avaient poussé à leur interdiction. La Commission à la solde des lobbys avait tout fait pour éviter cette interdiction. Aujourd'hui elle a décidé d'autoriser à nouveau leur utilisation.

 

C'est un risque sanitaire immense que Bruxelles fait courir aux consommateurs. Il ne s'agit pas ici d'avoir dans nos assiettes du cheval à la place du bœuf. C'est beaucoup plus grave. En cédant à la pression de certains lobbys, les Commissaires de Bruxelles jouent avec la santé des Européens.

 

Hier Bruxelles donnait une fin de non-recevoir aux exigences de pays comme la France qui réclament un étiquetage des plats préparés en fonction de l'origine des produits. Cette nouvelle annonce démontre qu'il n'y a plus rien à attendre d'une Union européenne sclérosée et obscurantiste. Je demande à François Hollande de prendre ses responsabilités. On ne parle plus simplement d'emplois délocalisés. On parle ici de santé publique menacée par le diktat de Bruxelles. Soit il obtient de la Commission qu'elle recule, soit il en tire les conséquences et interdit sur le territoire français l'utilisation de ces farines.

 

Nicolas Dupont-Aignan


Député de l'Essonne


Président de Debout la République

 

dupont-aignan.png

 

Voir aussi: L'UE veut faire taire les eurosceptiques, exactement comme elle veut imposer les vaccins!

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18 février 2013 1 18 /02 /février /2013 21:00

17. 02. 2013

 

Vasella.jpg                               Daniel Vasella ne pourra pas donner de conseils payants. [Keystone]

 

Le patron de Novartis Daniel Vasella a confirmé vendredi à la télévision alémanique qu'il touchera une indemnité de 72 millions de francs pour ne pas travailler pour la concurrence de l'entreprise.

 

Le patron de Novartis va toucher 72 millions de francs lorsqu'il quittera l'entreprise. Daniel Vasella a confirmé ce chiffre dans l'émission "Tagesschau" de la télévision alémanique. En échange, il a l'interdiction de travailler pour la concurrence.

 

Dans le courant 2010, année durant laquelle Daniel Vasella a quitté le poste de directeur, Novartis a déposé ce montant à la banque privée Wegelin, selon le site d'informations Inside Paradelplatz. Une porte-parole de Novartis a assuré que l'entreprise est "en conformité avec la loi".

 

Dons à des œuvres

 

Daniel Vasella touchera durant six ans au maximum 12 millions de francs par année à titre de dédommagement. Il ne percevra toutefois l'entier de la somme que s'il se tient aux conditions négociées avec le groupe pharmaceutique, en particulier une interdiction de passage à la concurrence et la transmission de son savoir-faire à Novartis.

 

Le patron de Novartis affirme qu'il ne conservera pas cet argent, mais le consacrera tout ou partie à des dons. Dans l'interview accordée au Tagesschau, le téléjournal de SRF, Daniel Vasella évoque comme bénéficiaires potentiels des organisations d'utilité publique et autres institutions.

 

bri/gchi 

  

 

Fortune de 400 millions de francs

 

Fin janvier,  le président du conseil d'administration du géant pharmaceutique a annoncé qu'il ne solliciterait pas de nouveau mandat lors de la prochaine assemblée générale, après avoir piloté le groupe pendant 17 ans.

 
Daniel Vasella a revêtu la double casquette, avec la fonction de directeur général prise elle en 1996 et lâchée en 2010.


Son salaire actuel serait de 13 millions de francs. Sa fortune est estimée à 400 millions de francs selon Bilanz. Daniel Vasella est l'un des principaux actionnaires du groupe pharmaceutique.

 

Source: Rts.ch

 

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17 février 2013 7 17 /02 /février /2013 21:55

Van-Ranst.JPG

Il y a peu, une épidémie de grippe s’est produite dans un home de Vilvorde, a déclaré le Dr Luc de Munck (CRA) au Journal du Médecin (Artsenkrant du 12 février 2013, p. 2). Au cours des quatre dernières semaines, 48 personnes ont manifesté des symptômes typiques de la grippe. Les personnes qui sont tombées malades avaient pourtant été vaccinées contre la grippe. « Mais cela ne suffit pas » a déclaré le professeur Marc Van Ranst.

 

Tout a commencé il y a quatre semaines, explique le docteur Luc de Munck du Home (WZC) de Vilvorde. « En quelques jours, 14 pensionnaires sont tombés sérieusement malades ; ils présentaient les caractéristiques typiques d’une infection virale, alors qu’ils avaient tous été vaccinés contre la grippe. »

 

Le weekend suivant, il y eut encore plus de malades. En accord avec le Dr Marc van Ranst (UZ Leuven), le Dr de Munck demanda que l’on procède à des cultures naso- pharyngiennes de trois pensionnaires. Il fut supposé que la souche B/Victoria du virus de l’influenza B qui, cette année ne faisait pas partie du vaccin, était  responsable de l’infection. Dans l’attente des résultats des examens,  la maison de soins décida de fermer la cafeteria, comme de demander aux pensionnaires de prendre les repas dans leurs chambres, et au personnel de porter des masques et des gants….Mais, malgré les mesures prises, le nombre de malades présentant les symptômes de la grippe ne cessèrent d’augmenter pour atteindre le nombre de 48. Quelques membres du personnel furent aussi touchés et des pensionnaires durent même être hospitalisés.

 

L’influenza A

 

Les cultures effectuées par le Ministère de la Santé publique montrèrent qu’il ne s’agissait pas de la souche Victoria ; les échantillons contenaient en fait l’influenza A(H3N2), une souche qui faisait partie du vaccin utilisé. « Rien d’illogique » déclare le Dr Van Ranst de l’UZ Leuven ! «  Le vaccin contre la grippe ne fonctionne pas d’une manière parfaite. En outre, son efficacité diminue chez des personnes avec un système immunitaire qui vieillit. »

 

N’aurait-on pas pu éviter cette épidémie ? « Peut-être bien, mais avec une stratégie plus large », pense le Pr Van Ranst. « En tout premier lieu, tous les pensionnaires devaient être vaccinés. Ce qui fut le cas à Vilvorde. Mais en outre, il fallait qu’un maximum de membres du personnel soient également vaccinés, parce que c’est par eux que le virus de la grippe est rentré. Dans beaucoup de homes pour personnes âgées, le taux de vaccination est vraiment trop peu élevé. A partir d’études que nous avons effectuées l’année dernière, nous avons pu réaliser qu’à peine un quart du personnel soignant des homes s’était fait vacciner. »

 

Qu’en était-il pour le home de Vilvorde ? Ann Verhaeren, directrice du Centre en question déclare : «  Seulement 26% de notre personnel est vacciné. Quant au personnel soignant proprement dit, seuls 14% se sont fait vacciner. L’an prochain, nous allons bien sûr faire des efforts pour améliorer cette situation. »

 

Irresponsable ?

 

Il n’y a pas que les membres du personnel, les visiteurs peuvent aussi colporter des maladies. « Il faudrait que l’on soit plus sévère par rapport aux visites des petits enfants malades. Je constate que les homes se comportent d’une manière assez « libérale » par rapport aux petits enfants et arrière-petits enfant qui font un gros rhume. D’un côté on peut comprendre la chose, mais il faut savoir que cela comporte aussi des risques. Dans un certain sens, c’est quelque peu irresponsable, car la société investit pas mal de moyens dans les campagnes de vaccination, alors que nous laissons la porte arrière grande ouverte. »

 

Le professeur de virologie de Louvain a-t-il, dans le cas qui nous occupe, utilisé des antiviraux ? «  Dans des circonstances normales, je n’en suis sûrement pas partisan. Mais dans une situation épidémique comme celle qui s’est produite dans ce home, on peut se le permettre pour empêcher que les problèmes durent trop longtemps et ainsi limiter la mortalité et éviter autant que possible des hospitalisations. »        

 

Tijs Ruysschaert

 

Source:  Journal du Médecin

 

Voici la démonstration solennelle de l’inefficacité totale de la vaccination chez les personnes à qui on recommande en priorité le vaccin. Et quand des échecs surviennent, ce qui est monnaie courante, pas seulement dans ce home-là mais aussi dans tous les autres, c’est toujours la faute aux non vaccinés parce qu’ils auraient dû l’être ! Donc quand on voit ce genre d’information-aveu publié, on peut arriver à deux types de conclusions possibles : d’une part que ces experts aux manettes font preuve d’un fanatisme inquiétant et d’autre part, qu’ils sont finalement peu intelligents de publier ce genre d’aveu qui les enfoncent jusqu’au cou ! 

 

Culpabiliser les petits enfants est en outre ridicule, leur visite apporte réconfort et joie de vivre aux résidents, ce qui a un effet positif sur l’immunité. Mais il est vrai qu’avec le nombre de vaccins infligés aux malheureux petits enfants, ceux-ci sont sans cesse malades et choppent bien plus d’infections par ci par là que s’ils avaient eux-mêmes pu être vierges de toute vaccination (les comparaisons entre enfants vaccinés et non vaccinés sont très claires à ce niveau !). Il serait donc plus efficace en termes de vraie prévention et de santé publique de cesser d’une part d’accabler les enfants avec des batteries de vaccins dès leur plus jeune âge, ce qui entrave très lourdement hélas la bonne marche de leur système immunitaire et d’autre part, qu’on fasse enfin de la vraie prévention sans danger profitable aux résidents et pas seulement en matière de prévention antigrippale (dosage du taux de vitamine D, supplémentation y compris en Zinc, en magnésium, vitamine C+++, etc). Voilà ce qui changerait vraiment les choses dans le bon sens. Mais nul doute que cela n’enchanterait pas Van Ranst, on se demande bien ce qu’il aurait à expliquer sur ce sujet qu’il semble totalement ignorer…

 

Souvenons-nous enfin que ce genre d'articles a aussi vocation à préparer petit à petit l'opinion publique à une éventuelle vaccination annuelle généralisée des jeunes enfants contre la grippe, une idée qui a germé en Grande-Bretagne (qui copie en cela les Américains) et qui consistera à administrer un vaccin vivant atténué aux jeunes enfants, une démarche qui ne pourra donc que contribuer à répandre encore plus de virus susceptibles d'infecter les malheureuses personnes âgées dont les vaccins sont inefficaces! Aux USA où cette mesure a été généralisée dès 2002, on a très vite observé une hausse claire des décès liés à la grippe chez les enfants vaccinés... cherchez l'erreur là encore!

 

 

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17 février 2013 7 17 /02 /février /2013 21:30

Michel Georget 1

Libre Journal des sciences et des techniques du 15 février 2013 : “Les risques des vaccins.

 

Par Paul Deheuvels  15 février 2013  Libre Journal des sciences et des techniques  

 

 

Paul Deheuvels, assisté d’Étienne Chaudron, recevait Michel Georget, professeur de biologie émérite et Sylvie Simon, journaliste, écrivain, pour une émission consacrée aux risques des vaccins.

 

Première partie: écouter ici
Seconde partie: écouter ici

 

Paul Deheuvels

 

Paul Deheuvels, de l'Institut, est professeur à l'université Pierre et Marie Curie, directeur du laboratoire de statistique théorique et appliquée (LSTA). Il est membre de l'Académie des sciences depuis l'an 2000.

 

 

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14 février 2013 4 14 /02 /février /2013 22:36

AUSTRALIE : Vaccination obligatoire ?

 

compulsory.JPG

 

Peu importe l’opinion que l’on peut avoir sur les avantages ou les risques relatifs à cette procédure médicale, si l’on pense que chacun a le droit inaliénable de décider de ce qui rentre ou non dans son corps comme dans celui de ses enfants, il devient évident que l’on puisse s’accorder sur le fait qu’une vaccination obligatoire est à la fois moralement et éthiquement odieuse et exécrable.

 

Aucun gouvernement ne devrait avoir le droit de nous contraindre à mettre notre vie ou notre santé en danger si notre recherche nous a fait comprendre que dans certaines situations la vaccination peut faire plus de mal que de bien. Pourtant il semble que le gouvernement australien se prépare à agir de la sorte.

 

Au sein du Parlement fédéral, un comité consultatif a tenu des réunions pour déterminer la meilleure façon d’adopter la vaccination forcée. En fait, le projet de loi nécessaire pour mettre en route pareille loi draconienne a déjà été écrit et la seule raison pour laquelle il n’est pas encore d’application est le problème de l’indemnisation des accidents vaccinaux qui n’est pas encore réglé.

 

Bien que l’idée de perdre notre droit de dire non à quelque chose d’aussi fondamental que des procédures médicales soit terriblement effrayant, on pourrait malgré tout considérer qu’il s’agit peut-être d’une occasion unique de nous réveiller et de déployer les efforts nécessaires pour que pareille loi ne passe jamais.

 

En réalité, pas plus tard que hier, nous avons reçu un appel de la rédaction d’une revue médicale très respectée qui nous a signalé avoir reçu quelque information au sujet de la perspective de vaccination obligatoire en Australie. La rédaction voulait savoir si nous disposions de détails concrets et j’ai dû leur dire que non- mais quand vous continuez d’entendre cette même information encore et encore de la part de plusieurs sources qui ont déjà prouvé de par le passé qu’elles étaient fiables, vous commencez à vous demander si toutes ces fumées ne sont pas réellement indicatrices d’un feu ?

 

Source: Meryl Dorey, de l'Australian Vaccination Network (AVN), newsletter du 13/02/13

 

AVN-logo.PNG

 

Elément-clé à souligner ici, c’est le CARACTERE INSIDIEUX de la loi en préparation destinée à forcer la population à se faire vacciner. Il s’agit d’une loi « fourre-tout » qui obligera la vaccination « au nom de la lutte contre la discrimination ». Ainsi, au prétexte que les gens doivent être traités de la même façon, on finira par imposer à tous les vaccins standards qui font de plus en plus grincer des dents. Des lanceurs d’alerte australiens, soucieux de leur liberté et de celle des autres, tentent de faire insérer une clause dans la loi en préparation selon laquelle aucun acte médical ne pourra être imposé sans le consentement des gens (s’il faut une telle lutte pour faire adopter une telle clause de bon sens consistant à rappeler un droit inné pour éviter qu’on ne nous l’enlève, c’est dire si on est déjà loin dans le degré de tyrannie atteint!!)

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14 février 2013 4 14 /02 /février /2013 22:20

Trinidad.png

On pourrait penser que c'est là une critique "de principe", liée à la croyance que la vaccination anti-HPV pourrait être associée à une émancipation sexuelle plus précoce.

 

Pourtant, il n'en est rien, ce n'est certainement pas là, la raison première des réticences de l'Eglise catholique romaine par rapport au programme vaccinal scolaire contre le HPV dans les écoles de Trinidad et Tobago.

 

L'Eglise locale est en effet opposée à la vaccination HPV en milieu scolaire et l'a fait savoir au Ministre de la Santé. En cause: l'insécurité du vaccin. L’Eglise catholique romaine a précisé que son Conseil d’Administration a évoqué les « graves dangers » résultant de l’utilisation de ce vaccin (y compris des décès) et elle a déconseillé aux parents la vaccination de leur fille avec Gardasil.

 

Après le positionnement gênant de l'Eglise, le Ministre s'est sans doute efforcé de "trouver un arrangement" et l'Eglise a adouci son opposition de départ mais en rappelant qu'il était indispensable que les jeunes filles et leurs parents puissent choisir en toute connaissance de cause, ce qui suppose de leur exposer la liste complète des risques graves, y compris mortels, possibles. En outre, l'Eglise a aussi insisté sur l'importance d'avoir un suivi suffisant des jeunes filles vaccinées dans ces conditions.

 

Il faut dire que le taux de cancers du col est nettement plus élevé dans ces pays que chez nous. Néanmoins, quand on sait que le frottis du col de l'utérus a permis, à lui seul, une réduction de 80% de la mortalité par ce type de cancer, on se dit que le prix de ces vaccins constitue un triste gaspillage au détriment d'un investissement prioritaire dans des programmes de dépistage organisé!

 

Source: Stabroeknews & Trinidad Express

 

Que ce soit Initiative Citoyenne (en 2011), Vie Féminine (en 2012) ou l’Eglise Catholique Romaine de Trinidad (en 2013), nous sommes toutes et tous intellectuellement en mesure de constater que les jeunes et leurs parents sont trompés et qu’ils ne bénéficient hélas pas de l’information honnête minimale suffisante pour choisir en toute connaissance de cause. Les risques graves du vaccin sont en effet constamment minimisés ou tus et les « avantages » du vaccin, sans cesse présentés de façon trop absolue. Nous avions écrit en son temps aux directions d’écoles, à la Ministre, aux associations de parents, comme vous pourrez le voir sur notre site. Vie Féminine aussi avait écrit à la Ministre…

 

En Belgique, seules 20% des jeunes filles visées ont reçu le vaccin HPV dans le cadre scolaire. Et le taux de vaccination a été 4 fois moins élevé dans les écoles de l’enseignement catholique (réseau libre), par rapport au réseau officiel, ce qui laisse supposer que les jeunes filles ont été MIEUX INFORMEES dans ces écoles-là que dans les autres sur les risques graves possibles de ces vaccins.

 

Mais un peu partout dans le monde hélas, la désinformation continue de battre son plein au sujet de ces vaccins. Pas plus tard qu’hier par exemple, un soi-disant expert officiel en vaccinologie à Madagascar, affirmait de façon trompeuse et non scientifique dans un grand quotidien de l’île que le vaccin HPV permettra d’éviter 98% des cancers du col, un chiffre qui ne repose sur absolument aucune preuve, bien au contraire. Ce chiffre de 98% dépasse même en effet les chiffres mensongers des fabricants (qui parlaient eux de 70% de cancers du col évitables) qui étaient déjà remis en cause par plusieurs spécialistes, comme le gynécologue Dr Spinosa qui expliquait bien, résultats d’essais cliniques du Gardasil à l’appui, qu’en réalité, les vaccins ne permettaient qu’une réduction des lésions précancéreuses dues aux souches 16 et 18 de l’ordre de 16,9% !!

 

 

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14 février 2013 4 14 /02 /février /2013 21:30

abus-de-conscience

Voici une interview salutaire du Dr Alain Perrier dans le Journal La Savoie du 7 février 2013 dernier sur les vaccins de l'inconscience médicale.

 

Extraits:

 

" J'ai pris conscience, avec les mamans qui venaient me voir pour leurs enfants qui, après une ou des vaccinations, étaient malades tout atteints des maladies dont ils auraient dû être protégés."

 

"Piquer, piquer, piquer... c'est de la prévention nous dit-on, mais est-ce un acte médical? Un acte médical est avant tout un travail de diagnostic. Tout bon médecin devrait faire un diagnostic, celui de ma protection immunitaire. Sans cela, comment évaluer le remède à prescrire?"

 

"On pique parce que c'est la loi, mais cette loi est dirigée dans l'ombre par les lobbies. Lobbies qui sont en permanence à l'Assemblée à soutenir telle ou telle source de profit."

 

Vacciner, est-ce un acte scientifique? (journaliste)

 

Dr Alain Perrier: "C'est une honte immunologique! Le vaccin entraîne en réalité un effondrement du système immunitaire. Avec lui, on prend le risque d'un antigénisme croisé."

 

"Pourquoi voit-on des maladies se déclencher après une vaccination, des maladies persister malgré tout? Quel est cet homme de demain que la science est en train de nous programmer? Un homme objet, docile, sans conscience? [...] La santé officielle, ne va-t-elle pas faire de nous tous, des malades? "

 

L'avis d'Initiative Citoyenne sur la notion de "contagion":

 

Initiative Citoyenne est un peu plus nuancée que le Dr Perrier sur la notion de contagion mais est d'accord sur le fait que la seule contagion n'explique en effet pas tout: de là en effet le fait que tout le monde ne contracte pas forcément une maladie, fusse-t-elle contagieuse et fussent les gens non immunisés. Le terrain individuel est en effet une notion complètement ignorée par la pseudo-science qu'est la vaccinologie. De là aussi de nombreux accidents, systématiquement niés. On remarquera quand même ici avec bonheur l'ouverture d'un tel média, en déplorant hélas que c'est loin d'être le cas de tous! Certains médecins, bien plus souvent en fin de carrière d'ailleurs, ont aussi plus de courage que d'autres...

 

 

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14 février 2013 4 14 /02 /février /2013 20:02

Le vaccin HiB provoque le diabète

de type 1 : étude du British Medical Journal

 

 

Il est étonnant de voir comment la manipulation des statistiques permet d’accorder un laissez-passer aux vaccins. En voici un exemple : une étude affirme qu’il n’y a aucune augmentation du diabète de type 1 statistiquement significative après la vaccination HiB. Une lecture attentive des chiffres documente cependant une histoire complètement différente.

poison.JPG

Par Heidi Stevenson,12 février 2013. (Gaia Health)

 

Dans une espèce de double langage étonnant, le British Medical Journal (BMJ) a publié une étude dont les conclusions montrent qu’il n’y a pas de lien entre le vaccin HIB et le diabète, bien que les chiffres montrent clairement que ce lien existe.

 

Il reste donc peu de doute quant au fait que le vaccin HiB provoque le diabète de type 1.

 

Comment a-t-on donc réussi cette espèce de prestidigitation ? Grâce aux statistiques bien évidemment.

 

L’étude a examiné trois groupes distincts d’enfants finlandais :

 

 · Cohorte 1 : 128.936 enfants nés entre le 1er octobre 1983 et le 1er septembre 1985, 24 mois avant que le vaccin de Haemophilus Influenzae type B (HiB) ne soit administré.

 

· Cohorte 2 : 59.238 enfants nés entre le 1er octobre 1985 et le 1er septembre 1987 (nombres impairs) auxquels on a administré le vaccin HiB respectivement à 3, 4, 6 mois et à 14 -18 mois.

 

· Cohorte 3 : 57.114 enfants nés entre le 1er octobre 1985 et le 1er septembre 1987 (jours pairs) auxquels on a administré le vaccin HiB une seule fois, soit à 24 mois.

 

Pour simplifier : la Cohorte 1 n’a pas reçu le vaccin HiB. La Cohorte 2 a reçu 4 doses du vaccin HiB à 18 mois et la Cohorte 3 a reçu une simple dose du vaccin à 24 mois.

 

Ci-dessous le tableau reprenant les résultats de l’étude :

 

HIB-tableau-1.jpg

 

Traduction de ces chiffres en pourcentages :

 

 ·  Cohorte 1 (pas de vaccin HiB)) : 0,34% ont fait le diabète de type 1

·  Cohorte 2 ( 4 vaccins HiB) :        0,40% ont fait le diabète de type 1

·  Cohorte 3 ( 1 vaccin HiB) :          0,37% ont fait le diabète de type 1.

 

Comme les taux de diabète de type 1 sont relativement faibles, les auteurs ont pu affirmer qu’il n’y avait pas de différence statistiquement significative dans les taux de diabète de type 1 chez les trois groupes. Dans certains cas, il s’agit d’une approche valable. Toutefois dans le cas qui nous occupe ce n’est certainement pas le cas. Ce qui importe, c’est la relation entre les groupes et non les chiffres globaux.

 

Il est dès lors raisonnable d’affirmer :

 

·  Les enfants qui ont reçu une seule dose du vaccin anti-HiB avaient 8,8% plus de risque de développer un diabète de type 1 que ceux qui n’avaient  reçu aucun vaccin HiB.


 · Les enfants qui ont reçu 4 doses du vaccin anti-HiB avaient 17,6% plus de risque de développer un diabète de type 1 que ceux qui n’avaient reçu aucun vaccin HiB.

 

Il s’agit là d’une découverte importante. Ces résultats viennent confirmer, et s’ajoutent à ceux qui concernent des milliers d’enfants finlandais qui souffrent aujourd’hui de diabète de type 1 à la suite du programme de vaccinations.

 

Les auteurs de l’étude ont complètement ignoré un fait bien connu, à savoir que les effets indésirables ne se présentent pas souvent dans de petits groupes étant donné qu’ils ne sont pas très fréquents. Pour que la réalité se manifeste, il s’agit d’étudier le problème sur de grands groupes. Alors seulement on pourra constater que le vaccin HiB est bel et bien à l’origine du diabète de type 1 chez un grand nombre d’enfants.

 

HiB-tableau-2.jpg

 

Ce graphique provient du rapport du BMJ. Il concerne seulement deux cohortes qui ont reçu le vaccin HiB, mais la distinction entre les deux est évidente : les enfants qui ont reçu le plus de doses de vaccins et qui les ont reçues plus tôt dans leur vie sont précisément ceux qui sont le plus susceptibles de développer un diabète de type 1.

 

Les enfants qui n’ont pas reçu le vaccin HiB ont moins de la moitié de chances de développer un diabète de type 1. (8,8% contre 17,6%).

 

On peut noter ici le tour de passe-passe statistique qui est utilisé pour masquer les véritables résultats. Il est à noter que la fréquence du diabète de type 1 est donnée en termes de personnes/année ? Qu’est-ce que cela veut dire que 300 cas de diabète se produiront au fil des années sur 100.000 personnes ? En fait, cela ne veut pas dire grand-chose. Ces chiffres ne vous disent pas combien d’enfants développent un diabète. La seule chose qu’ils montrent c’est que les enfants qui ont reçu plus de doses du vaccin HiB étaient davantage susceptibles de faire un diabète de type 1 – mais ces chiffres ne nous disent pas combien en plus. Il s’agit d’un faux-fuyant sans éclaircissement.

 

LES VERITABLES IMPLICATIONS

 

Quand on planifie des programmes de vaccinations qui concerneront des millions de personnes, ces différences importent ; elles revêtent même une grande importance.

 

Dans le cas de la vaccination HiB en Finlande - une population de 5,4 millions de personnes et 55.000 bébés qui naissent chaque année – cela signifie 33 cas de diabète de type 1, par an, et cela chaque année.

 

Nous pouvons considérer que le taux de natalité en Finlande est relativement faible, mais si nous extrapolons maintenant aux Etats-Unis avec une population de 314 millions d’habitants, cela fait environ 58 fois plus de personnes. Le calendrier de vaccinations américain est quasi le même que celui de la Finlande.

 

L’administration du vaccin anti-HiB aux Etats-Unis aux mêmes taux qu’il fut administré en Finlande, aurait comme résultat que 1.914 enfants développeraient un diabète de type 1 chaque année.

 

Ce sont donc des milliers de cas supplémentaires de diabète de type 1, et ces cas de diabète ne sont comptabilisés que jusqu’à l’âge de 10 ans!

 

Donc année après année, ce sont des milliers d’enfants qui développeraient un diabète de type 1 à la suite de la vaccination HiB. Toute argumentation qui prétendrait que nos vues ne sont pas réalistes irait à l’encontre du volume de connaissances qui démontrent bel et bien que cette maladie est devenue beaucoup plus répandue.

 

Ces enfants auront sûrement une vie beaucoup plus courte suite à leur état de santé dégradé. Leur développement neurologique est susceptible d’être entravé, leur intelligence diminuée à la suite de dommages cérébraux structurels. Nous savons tous que le diabète est susceptible de provoquer des neuropathies, de la gangrène qui nécessite parfois l’amputation de membres.

 

A mon humble avis, cette étude n’est rien d’autre que de la science de pacotille, une pseudo étude destinée à donner l’impression qu’il n’y a aucun lien entre le vaccin HiB et le diabète de type 1. Il n’empêche que la vérité est clairement révélée par les chiffres mêmes de l’étude. On est en droit de se demander comment les pseudo-scientifiques, les médecins, les gens de Big Pharma, les Agences gouvernementales et les Fondations vouées à la promotion des vaccins peuvent encore se regarder dans la glace.

 

Source:

 

Association between type 1 diabetes and Haemophilus influenzae type b vaccination: birth cohort study, BMJ; Marjatta Karvonen, senior researcher; Zygimantas Cepaitis, researcher; Jaakko Tuomilehto, research professor; BMJ 1999;318:1169

 

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14 février 2013 4 14 /02 /février /2013 16:30

UE--prison-des-peuples.jpg

Il n'y a pas que l'eurodéputé britannique Nigel Farage a s'être aperçu de la tyrannie de l'Union Européenne, nous en avons nous aussi déjà parlé, notamment avec les propos de Mme Testori de la DG Santé qui exprimait son aspiration à ce que ça soit la Commission européenne (non élue) qui décide, comme pour les animaux et le bétail, de qui et combien de gens devront être vaccinés à l'occasion des futures pandémies tant attendues...

 

Seulement voilà, après ce très intéressant (et récent) article britannique du Telegraph du 3 février dernier sur le financement public d'internautes censés contrer l'euroscepticisme sur internet, nous ne pouvions pas manquer la comparaison entre ce qui se passe en politique et ce qui se passe en matière de vaccination (un sujet finalement bien plus politique que scientifique). Car dans les deux cas, nous avons bien affaire à un véritable harcèlement idéologique.

 

Souvenons-nous en effet de la hargne que l'Union avait contre la pauvre Ministre de la Santé polonaise, Ewa Kopacz, qui a choisi de ne pas acheter les vaccins expérimentaux anti-H1N1 et qui pensait sans doute naïvement que l'UE respecterait ses décisions "en bonne mère de famille". Mais c'était en fait sans compter la volonté dictatoriale de vacciner un maximum de gens et surtout, surtout, d'éviter un maximum la possibilité de comparer.

 

Accepter de laisser choisir trop de gens en matière de vaccination, c'est créer la possibilité que le public puisse, à un certain moment, se rendre compte que les non vaccinés sont en bien meilleure santé que les vaccinés. Or l'U.E étant véritablement assiégée par des lobbies en tous genres, il faudra décidément ne jamais relâcher cette propagande assommante et débilitante. De même, accepter de laisser se développer l'euroscepticisme, c'est permettre à un moment donné que des peuples puissent décider souverainement qu'il vaut mieux choisir un autre chemin et se rendre compte qu'il y a plus d'avenir et de prospérité possible en dehors de l'Union que dedans.

 

La possibilité de comparer constitue, en elle-même, un outil puissant d'évolution et d'amélioration mais donc aussi de changement possible par rapport à la politique du statu quo. Or en matière vaccinale, comme en matière européenne, c'est exactement le même discours éculé qu'on nous rabâche en guise de réponse (bien inconsistante) aux critiques émergeant de partout: la solution c'est "plus de vaccins" nous dit-on, plus de rappels, plus de couverture vaccinale et plus de gens à vacciner contre un toujours plus grand nombre de maladies! De même, en matière européenne aussi, le discours est le même: "L'Europe n'est pas le problème, c'est la solution, il faut plus d'Europe!"

 

Soyez-en BIEN CONSCIENTS, toutes les ficelles seront utilisées pour maintenir une propagande écrasante et sectaire en faveur du statu quo: les officiels tenteront d'assimiler les personnes critiques sur les vaccins à des "dérives sectaires", à l'image finalement de cette affligeante charge moralisatrice d'Albert II à l'encontre des eurosceptiques qui se seraient selon lui écartés du seul bon chemin.

 

L'U.E se comporte avec vous comme si vous étiez de petits gamins dociles qu'ils suffit de rappeler à l'ordre pour qu'ils arrêtent de réfléchir ou qu'ils ne puissent réfléchir que dans un cadre contraint. Et c'est exactement pareil avec les vaccins, si vous n'obéissez pas, vous serez culpabilisés, traités de mauvais parents ou d'égoïstes, ou encore de gens fragiles qui auraient été influencés par des "sectes anti-vaccins". Pfffff!

 

GRONDER.jpg

 

Voyons maintenant comment vos députés européens gaspillent VOTRE propre argent afin de lutter sur Internet contre l'euroscepticisme galopant et ce, afin de maintenir LEURS privilèges et LEURS sièges d'eurodéputés....

 

L’Union européenne va-t-elle financer des patrouilles sur l’Internet ? :

  

Publié le : mercredi 13 février 2013

 

À l’approche des élections européennes de 2014, un article du Telegraph britannique du 3 février dernier, et qui n’a été repris par aucun média français, révèle que le Parlement européen envisagerait de financer, à hauteur de 2 à 3 millions d’euros, des agents ou « trolls » afin de contrecarrer tout ce que des eurocritiques pourraient écrire sur l’Internet (sites, Twitter, Facebook, etc.).

  

Ce journal sérieux aurait eu accès à des documents internes faisant état de propositions de dépenses, d’analyse et de planification, en vue d’une propagande sans précédent : « Une attention particulière doit être accordée aux pays qui ont connu une forte augmentation dans l’euroscepticisme. » L’UE « doit avoir la capacité de surveiller les conversations publiques » et « de comprendre les sujets tendances et avoir la capacité de réagir rapidement, de manière ciblée et pertinente, à participer et à influencer la conversation, par exemple, en fournissant des faits et des chiffres afin de déconstruire les mythes ».

 

Paul Nuttall, député de l’UKIP, a attaqué ces propositions, qui, selon lui, violent la neutralité de la fonction publique européenne en transformant des fonctionnaires en « trolls » afin de traquer sur l’Internet tout ce qui est considéré comme étant nuisible sur les réseaux sociaux.

 

Ces documents ajouteraient : « La crise économique et financière actuelle, ainsi que des taux élevés de chômage, en particulier parmi les jeunes, se traduit par une diminution de la confiance dans les institutions européennes (…) il est évident que l’image de l’Union européenne souffre. » « Afin d’inverser la perception que “l’Europe est le problème”, nous avons besoin de communiquer que la réponse aux défis actuels (…) est “plus d’Europe et non moins d’Europe”. »

 

Au final, ces documents confidentiels révélés par la presse britannique démontrent tout simplement que l’UE fédéraliste, mondialiste et ultralibérale, avoue qu’elle n’a pas assez de partisans, tant dans le virtuel que dans le réel. Il est de toute façon intolérable que celle-ci finance, avec des fonds publics, de faux internautes en vue de contrer la liberté d’expression populaire par un harcèlement idéologique en ligne.

 

Ludovic de Danne

 

Source: Egalité & Réconciliation

 

PS: On pourra aussi voir humoristiquement une similitude de plus entre les barbelés "piquants" de l'image d'illustration et les aiguilles des vaccins qu'on ne cesse de nous vendre matin, midi et soir, dans cette presse complaisante et fort peu objective d'une façon générale...

 

Voir aussi: Les grands experts sont dans leurs petits souliers  

 

Vidéo délectable d'un vrai démocrate, Nigel Farage:

 

 

 

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