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5 février 2013 2 05 /02 /février /2013 21:55

 

Promotion des vaccins

Des scientifiques évoquent la corruption

  Heidi Stevenson

 

CORRUPTION-GAIA-HEALTH.jpg

 

Utilisant le vaccin Gardasil comme cas d’espèce, une enquête se penche sur le contrôle quasi total de Big Pharma  sur les décisions des agences gouvernementales, comme sur l’absence de réelle préoccupation des décideurs. En dépit de cette situation, des scientifiques ont décidé de prendre la parole, et voici ce qu’ils disent.

 

Des chercheurs parlent aujourd’hui ouvertement de corruption de la science en matière de vaccins. Ils sont certes minoritaires, mais leur compétence et les preuves solides qu’ils ont pu rassembler ont fini par être publiées dans des journaux médicaux.

 

Le problème des vaccinations qui ont causé des dommages à tant d’enfants est devenu le point central qui permet aujourd’hui de mieux éclairer la manière dont Big Pharma s’est accaparé la science au point de tomber dans la fraude pure et simple en vue de promouvoir ses produits.

 

Les scientifiques Lucija Tomljenovic, Christopher A.Shaw, Judy Wilyman,, Eva Vanamee et Toni Bark se sont penchés sur le Gardasil de Merck, le vaccin contre le papillomavirus humain, pour pouvoir démontrer que l’activisme déployé pour lancer le vaccin HPV n’est pas basé sur la science, mais plutôt sur de fausses interprétations de la science.

 

Dans une lettre, ces cinq scientifiques relèvent plusieurs failles par rapport aux prétentions des fabricants du Gardasil (Merck) et du Cervarix (Pfizer) [1]

 

1.  Il n’a jamais été démontré que les vaccins HPV pouvaient prévenir le cancer du col de l’utérus.

 

2.  Les paramètres utilisés dans les études sont basés sur des infections et des lésions qui guérissent habituellement spontanément. Dès lors comment peut-on démontrer l’efficacité  des vaccins dans la prévention du cancer plusieurs années plus tard ?

 

3.  Les essais manquent d’objectivité et produisent de faux négatifs. Ils ne permettent donc pas une estimation précise du risque de développer un cancer.

 

4.  Les méthodes passives de vaccinovigilance  ne permettent pas de refléter avec précision le nombre d’effets secondaires qui se produisent réellement.

 

5. Des estimations précises de la fréquence réelle des effets secondaires des vaccins contre le HPV ne peuvent évidemment être faites compte tenu que ces effets sont systématiquement rejetés, au prétexte qu’ils ne seraient pas liés au vaccin.

 

6.  Les femmes ne sont pas informées que, dans certains cas, les vaccins contre le HPV peuvent augmenter le développement des anomalies déjà existantes qui sont susceptibles de provoquer les cancers dont elles sont censées être protégées.

 

7.  Lorsque l’information sur les risques et les limites du vaccin contre le HPV n’est pas fournie aux femmes, celles-ci se trouvent dans l’impossibilité de prendre des décisions éclairées sur l’opportunité ou non de se faire vacciner.

 

8. Les autorités de Santé prennent des décisions basées sur des informations fournies par les mêmes compagnies qui espèrent en retirer du profit. Comment leur est-il dès lors possible de prendre des décisions rationnelles sur base de pareilles informations limitées et biaisées ?

 

Enquête sur les opérations troubles entre Merck et le gouvernement

 

« Le rôle des firmes pharmaceutiques dans l’élaboration des politiques officielles de vaccination » est une enquête sur le lobbying de Merck pour promouvoir le vaccin contre le HPV, le Gardasil.[2] Cette enquête stipule :

 

« Merck est engagé à des degrés divers dans le lobbying dans tous les pays que nous avons étudiés. Merck a, de manière proactive, contacté les législateurs pour discuter de stratégies en vue de maximiser l’adoption du Gardasil, soit directement par les salariés de l’entreprise, à l’aide de consultants locaux politiques, d’éminents médecins ou de cabinets de relations publiques.

 

De nombreuses personnes interrogées ont déclaré que les représentants des entreprises ont proposé une législation spécifique, souvent la rédaction de projets de loi et la recherche d’un sponsor. Dans la plupart des pays, les efforts se sont concentrés sur un mandat pour l’entrée à l’école. Les personnes interrogées ont souligné que les activités de Merck  ne sont pas inhabituelles, mais que le public semble ignorer que des entreprises privées ont joué un rôle dans le processus législatif. L’une des personnes interrogées a déclaré : «  Presque toutes les obligations vaccinales que nous avons obtenues récemment ont été le résultat, au moins partiellement, des efforts de l’industrie du médicament [souligné par l’auteur de l’article] »

 

On a demandé aux personnes interrogées parmi lesquelles on trouvait des législateurs, des officiels de la Santé, des professionnels médicaux, des organisations professionnelles, des journalistes, des assureurs dans le domaine de la Santé, des chercheurs en matière clinique, quel serait le rôle que devraient jouer les fabricants de produits pharmaceutiques. Les personnes interrogées ont estimé que les fabricants de produits pharmaceutiques devaient fournir des informations scientifiques sur leurs produits et qu’il était approprié que les représentants de Merck puissent participer à des groupes de travail et à des réunions. Pire encore, pas une seule personne n’a perçu que la participation de Merck à l’élaboration des lois posait problème!

 

Quand j’ai lu l’article, il m’est apparu que certaines personnes interrogées avaient tendance à se camoufler derrière le fait que Merck avait donné certains vaccins ; quelques-uns cependant avaient trouvé la participation de Merck inappropriée.

 

Les femmes du gouvernement (Women in Government (WIG) ont reçu un financement de Merck, chose qui fut largement approuvée par les personnes interrogées, même si certaines opinions variaient encore sur ce point. Il ne faut dès lors pas s’étonner que les femmes dans le gouvernement (WIG) ont fortement favorisé le lancement du vaccin Gardasil. [3]

 

Cette enquête a permis de documenter l’influence extrêmement inquiétante qu’exercent les compagnies pharmaceutiques sur les décisions en matière de santé qui nous concernent tous.

 

Réponse à l’enquête ayant trait à l’influence de Merck sur le gouvernement

 

« A qui profite l’acceptation non critique des estimations biaisées concernant l’efficacité et la sécurité du vaccin ? » [4] Cette question est capitale en ce qui concerne l’influence de Merck sur la politique vaccinale. Tomljenovic et Shaw répondent :

 

« …Un examen minutieux des essais cliniques réalisés pour le Gardasil montre que leur conception, la communication des données comme leur interprétation sont largement insuffisantes. »

 

Ils poursuivent en signalant que l’optimisme que susciteraient les avantages cliniques du Gardasil repose « sur une base extrêmement faible, se fondant sur un certain nombre d’hypothèses non vérifiées et une interprétation erronée des faits. »

 

Ils citent les exemples suivants :

 

  • Il n’existe aucune donnée clinique permettant d’affirmer que le Gardasil permettra une réduction de 70% des cancers du col de l’utérus.
  • L’affirmation selon laquelle l’administration de trois doses de vaccin permettra une protection à vie n’a en fait aucun fondement du fait que les études ont duré tout au plus cinq ans.
  • L’affirmation selon laquelle les effets néfastes du Gardasil seraient mineurs ne repose en fait que sur « une conception très imparfaite de la notion de sécurité ».
  • Ils soulignent également  qu’il existe «  des preuves de partialité et de communication sélective par rapport aux résultats des essais cliniques ».

Leur conclusion est la suivante :

 

« Gardant à l’esprit que «  l’intérêt principal d’une compagnie pharmaceutique est de mettre au point et de vendre ses produits », il convient de se demander si les décisions ayant trait à une politique rationnelle de vaccination devraient être fondées sur les conclusions tirées d’une acceptation non critique d’estimations imparfaites concernant  la sécurité et l’efficacité des vaccins, et fournies par le fabricant de vaccins lui-même. Négliger de se conformer aux principes d’une médecine fondée sur les preuves par rapport à la promotion et à l’élaboration des politiques de vaccination avec Gardasil, nous oblige à nous demander si nous avons tiré la moindre leçon du lamentable fiasco du Vioxx. »

 

En effet ! Il semble vraiment que rien n’a été appris de la désastreuse destruction de vies par Big Pharma. Combien de fois nous faudra-t-il passer par de telles souffrances ? Le lourd tribut qu’il a fallu payer pour le Gardasil a, en quelque sorte, été glissé sous le tapis, mais les preuves continuent de s’accumuler comme Tomljenovic et Shaw l’ont montré par leur recherche.

 

Combien d’autres personnes devront encore souffrir avant que nous décidions de prendre du recul par rapport au mastodonte pharmaceutique et que nous refusions de laisser manipuler et contrôler notre système de santé ?

 

Source: Gaia Health

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5 février 2013 2 05 /02 /février /2013 19:20

Il y a 3 jours, voici comment le Figaro commençait un de ses articles, au sujet du Mediator:

 

Mediator : les experts truquent les dossiers des victimes

 

Le fonds d'indemnisation sous-évalue les pathologies de nombreux malades.

  

 

L'Agence de presse médicale (APM) a soulevé jeudi un véritable lièvre. Alors que l'Office national d'indemnisation des accidents médicaux (Oniam) rendait publiques les résultats de ses expertises (64 victimes du Mediator seront indemnisées sur les 863 dossiers étudiés, soit un très faible nombre de malades), l'APM relevait que les experts minimisent la gravité des dossiers en réinterprétant les comptes-rendus des examens.

 

 

Lire la suite : ICI

 

Pour le Mediator, l'attitude (pourtant habituelle) des experts serait "une surprise" et sa dénonciation consisterait donc à soulever "un véritable lièvre"? Quelle hypocrisie quand on sait le tabou bien plus gigantesque qui prévaut dans un secteur où les enjeux financiers sont sans commune mesure avec le Mediator, comme celui des vaccinations!!



En matière de vaccination, il est même régulier pour les victimes de s'entendre dire que tout est dans leur tête ou psychosomatique! C'est notamment ce qu'un médecin a osé sous-entendre à Laetitia Celli, victime du Gardasil et qui a dû consulter plus de 60 médecins tant ce vaccin a délabré sa santé. C'est aussi ce que les experts ont prétendu au sujet d'une quarantaine d'enfants de Gouro au Tchad, pourtant paralysés! Récemment, l'Académie de Médecine (qui nie tout danger concret lié à l'aluminium des vaccins entre autres dénis) a par exemple aussi qualifié l'électrohypersensibilité de "maladie psychosomatique" alors que cette sensibilité accrue aux ondes électromagnétiques toxiques affecte pourtant 1 personne sur 15!!

 

 

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4 février 2013 1 04 /02 /février /2013 22:08

Le Soir, 4 février 2013

 

Essai décevant pour un nouveau vaccin anti-tuberculose :
 

Un vaccin anti-tuberculose, destiné à améliorer l’efficacité du traditionnel BCG, s’est montré décevant lors d’un test mené auprès de jeunes enfants sud-africains, selon un article publié lundi dans la revue britannique The Lancet . 

 

Le candidat vaccin MVA85A, conçu pour doper la réaction immunitaire initiée par le BCG, n’a pas été en mesure d’offrir une “protection statistiquement significative” contre la tuberculose, selon l’article. 

 

Quelque 2.800 enfants vaccinés à la naissance par le BCG ont reçu quatre à six mois plus tard une vaccination par MVA85A ou bien un placebo puis ont été surveillés pendant 37 mois. Parmi le groupe traité avec MVA85A, 32 ont développé la tuberculose. 

 

Dans le groupe ayant reçu un placebo, 39 ont eu la maladie. L’écart n’est pas suffisant pour considérer le vaccin comme efficace. Point positif de l’essai conduit par l’ONG britannique Wellcome Trust et l’Université d’Oxford, le nouveau vaccin a été bien toléré et n’a pas engendré d’effet secondaire.  (très crédible, tout le monde le croit bien entendu!)

 

Les résultats “ne sont pas ceux que nous espérions”, mais l’analyse des données de cet essai devrait fournir des données précieuses sur le mécanisme immunitaire à l’œuvre contre la tuberculose, indique l’auteur principal de l’article Helen McShane de l’Université d’Oxford. Deux spécialistes de la tuberculose, Christopher Dye (OMS) et Paul Fine (London School of Hygiene and Tropical Medicine), suggèrent que ce vaccin pourrait se montrer plus efficace chez les adolescents et les adultes

 

Le vaccin BCG (Bacille de Calmette et Guérin), élaboré en 1921, est efficace chez l’enfant mais son niveau de protection est bien moindre pour les adolescents et les adultes. Avec 1,4 million de décès et 8,7 millions de nouveaux cas (chiffres 2011 de l’OMS), la tuberculose est la maladie infectieuse la plus meurtrière derrière le sida. D’autres essais pour de nouveaux vaccins anti-tuberculose sont en cours mais les tests du MVA85A sont les plus avancés.

 

Réaction d'Initiative Citoyenne:

 

Le vaccin BCG, efficace chez les enfants? C'est sans doute pour cela que l'obligation innique imposée aux enfants français a été enfin levée en 2007, après qu'elle ait été instaurée en 1950 la veille de Noël et dans une Assemblée quasi déserte, avec comme Président du Sénat  le PDG de l'Institut Pasteur!! Les journalistes du Soir ne semblent visiblement pas très au courant de ce genre de détails. Ils devraient du reste aussi mieux lire le Pr Didier Raoult, infectiologue, qui rappelait encore, dans Le Point du 17 janvier dernier, que "le BCG est relativement inefficace".

 

On pourra remarquer aussi que l'inefficacité du vaccin BCG est pointée par des scientifiques depuis 1961. Ici, il s'agissait de coupler un vaccin inefficace à un autre vaccin censé "le faire décoller"... c'est finalement toujours cette même stratégie de "faire du neuf" avec du vieux, prétendre créer le progrès avec de vieilles idéologies dépassées par rapport aux données actuelles de la Science! Utiliser un maximum les vaccins disponibles, peu importe les réticences légitimes qu'ils suscitent, en élargissant la cible vaccinale ou en la modifiant (passer par exemple des enfants aux adolescents et adultes au niveau des essais cliniques par exemple, comme évoqué supra, ou par exemple en élargissant aussi la vaccination anti-HPV aux jeunes gays, etc.).

 

La tuberculose est avant tout une maladie de la pauvreté (statistiquement, c'est en tout cas indéniable) or il est un fait incontestable que 1, 1 milliard de gens sur terre n'ont toujours pas accès à une source d'eau améliorée et 2,6 milliards ne bénéficient toujours pas d'un assainissement de base; 1 être humain sur 8 ne mange pas à sa faim et seuls 3% des enfants atteints de formes sévères de malnutrition bénéficient des pâtes nutritives distribuées par des ONG. Avec tout l'argent englouti dans les programmes vaccinaux par pure idéologie et finalement aussi par cynisme compte tenu des chiffres qui viennent d'être rappelés ci-dessus, combien de vies auraient réellement pu être sauvées sans aucun effet secondaire en contrepartie? Mais la Fondation Gates n'a visiblement aucune envie de payer pour l'accès à l'eau et à la nourriture, et quant aux budgets de l'OMS pour 2012-2013, ils sont respectivement  de 680 millions d'euros pour la vaccination et les maladies infectieuses contre seulement 1,3 million d'euros pour l'eau, la nourriture et autres situations d'urgence. Cette idéologie vaccinale est donc mortifère, elle détourne non seulement des fonds précieux des objectifs prioritaires auxquels ils devraient être affectés mais surtout, elle dénature les salutaires principes de base d'une médecine responsable ("d'abord ne pas nuire"), qui devraient par exemple conduire à favoriser maintenant et pour tous l'accès à une solution que l'on sait déjà efficace mais qui ne relève pas de la vaccinologie: la phytothérapie et l'aromathérapie qui contrairement à la croyance populaire, ne sont pas uniquement destinées à "soigner des petits bobos" sans conséquence!!

 

Voici à ce propos un extrait d'un article sur le site du Magazine Rebelle Santé:

 

« Des formes de tuberculose ultrarésistantes – c’est-à-dire résistantes à tous les antibiotiques connus – sont apparues, en particulier dans les pays d’Europe de l’Est. Les huiles essentielles phénolées (ajowan, serpolet, origan...) constituent sans doute l’une des meilleures réponses naturelles à ce nouveau défi thérapeutique. Sans compter que le monde de la phyto ne nous a pas encore révélé tous ses secrets. Pour preuve, au Mexique, on a récemment mis en évidence l’efficacité d’un extrait d’une plante appelée Lantana hispida (2) contre toutes les souches multirésistantes de tuberculose! Par ailleurs, un extrait d’Amborella trichopoda, un arbuste endémique de Nouvelle-Calédonie (3), a montré une action comparable à celle de deux antituberculeux de référence.


On estime qu’un être humain sur trois est infecté par le bacille de Koch (si, si !), mais cette infection demeure à l’état latent chez l’écrasante majorité des personnes concernées.


Bien entendu, celles dont le terrain est très fragilisé courent davantage le risque de contracter la maladie. La tuberculose représente ainsi aujourd’hui la première cause de mortalité chez les malades du sida. »

 

Sources


2 Lantana hispida fait partie de la pharmacopée traditionnelle des populations locales, comme chez les Maya K’iché (Guatémala) où l’on s’en sert pour soigner les infections respiratoires aiguës.


3 L’Amborella trichopoda est considéré à ce jour comme la plus vieille plante à fleurs du monde !


Didier Le Bail

 

 

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4 février 2013 1 04 /02 /février /2013 21:30

Le Journal du Médecin le prouve une fois de plus dans sa Lettre du Médecin n°1127 de ce 4 février 2013, il ne craint absolument pas le ridicule!

 

Au point n°4 de cette newsletter en effet, voici ce qu'on pouvait lire:

LDM-4-fevrier-2013-enfants-mercure.PNG

 

Pas un seul instant le Journal du Médecin n'ose évidemment rappeler la présence de mercure toxique dans plusieurs vaccins antigrippaux pourtant préconisés aux femmes enceintes et qui alourdiront par conséquent immanquablement "la barque toxique" dans laquelle le bébé va naître, une barque faite de mercure mais aussi de formaldéhyde cancérigène (aussi contenu dans les vaccins antigrippaux, lisez donc les notices svp!!) et d'aluminium car plusieurs vaccins sont à présent recommandés en cours de grossesse, comme par exemple des rappels diphtérie-tétanos-coqueluche (Boostrix), comme cela se fait au Royaume-Uni notamment... au prétexte de "protéger" le nourrisson!! Le Boostrix contient une belle dose d'aluminium, un neurotoxique notoire impliqué dans l'autisme et les troubles du développement de l'enfant. Il est évidemment beaucoup plus "politiquement correct" de se contenter de conclure "qu'il faut notamment remplacer le thon par d'autres poissons" mais il serait pourtant ô combien plus honnête et surtout plus efficace d'informer les parents sur les dangers des amalgames dentaires au mercure ainsi que sur l'administration insensée et totalement injustifiée du moindre vaccin pendant la grossesse et l'allaitement! Rappelons en effet, comme l'ont fait des chercheurs de l'INSERM en France, que l'exposition précoce (au cours de la vie foetale ou postnatale) à divers polluants chimiques, fait courir un risque d'altération de l'ADN avec en conséquence, l'apparition possible de maladies graves à l'âge adulte (apparition différée donc... qui pensera dès lors à "faire le lien"??).

 

Il est aussi nocif de sous-entendre et absurde de laisser croire qu'il y aurait certains seuils "sûrs" ou non problématiques de substances qui sont toujours toxiques pour tous les êtres vivants!

 

Songez-y surtout bien à temps, et rappelez-vous bien que votre enfant à naître ou déjà là ne peut compter QUE SUR VOUS pour penser à le protéger de ce genre de risque concret qui est hélas hypocritement ignoré par les autorités!!

 

Lire aussi ce dossier sur le lien entre mercure et désordres du spectre autistique(comme on le voit, plusieurs métaux toxiques différents peuvent donc être impliqués dans la genèse d'une même maladie)

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3 février 2013 7 03 /02 /février /2013 00:00

Bonjour à vous tous,

 

plus jamais ça!!C'est pour vous dire en passant que je fais partie des 99% des cas d'effets secondaires non comptabilisés des vaccins. En 2008, j'ai fait une pneumonie (à pneumocystis) 2 jours après une vaccination grippale suivie d’une hospitalisation. Bien sûr, on met cette pneumonie sur le compte de ma séropositivité, mais il n’empêche qu’avant cette vaccination, j’étais en parfaite santé. Paradoxalement, quand on est séropositif, le médecin te recommande fortement tous les vaccins existants possibles, dont bien sûr celui contre la grippe, en nous disant qu'on est plus à risque...Eh bien en 2008 ça été la goutte qui a fait déborder le vase. Un vaccin de trop. Et deux jours après, pneumocytose…

 

J'ai bien failli y rester, les antibiotiques ne faisaient pas effet, malgré 3 tentatives. Six mois plus tard, c'est le psychodrame H1N1 qui m'a ouvert les yeux face aux vaccins. Jamais plus on ne m'y prendra. On m'en a offert par 3 fois, et je les ai tous refusés. Depuis cette dernière vaccination en 2008 qui m'a presque coûté la vie, je n'ai plus jamais été malade, même pas une petite grippe.

 

VACCIN_GRIPA-NON_MERCI.gifC’est pour ça aussi que je vous écrivais, parce qu’après avoir lu votre article sur la vaccination des patients dits « à risque » et notamment les séropositifs, je ne pouvais que réagir et faire part de mon expérience. A croire qu’ils veulent vraiment « nous achever » avec ce genre de conseils !


Autre chose: on annonce aussi en grande pompe dans les médias québécois, qu'on est proche de trouver un vaccin pour prévenir et même supposément guérir l'alzheimer...  

 

Pourtant, il y a de forte chance, à cause de l'aluminium comme adjuvant, que les vaccins soient une des causes de cette maladie...c'est complètement fou! Imaginez les gens qui vont se ruer sur ce vaccin quand il sera disponible!!! J'entendais aussi une pub qui disait qu'il existait un vaccin contre le Zona, encore ici les vaccins en sont possiblement la cause...un vaccin contre la sclérose en plaques et l'autisme tant qu'à faire!!!! Ça m'enrage cette folie vaccinale pour toutes les maladies!!! Qu'ils trouvent plutôt les véritables causes de toutes ces maladies au lieu de sortir leurs supposés vaccins miracles!!!

 

Jonathan (région de Lanaudière, Québec)

   

Jonathan n’est pas le seul à nous faire part d’une telle expérience. Pas plus tard qu’il y a une semaine, une thérapeute du Namurois nous signalait avoir récemment eu deux personnes dans sa clientèle qui ont également failli mourir après cette même vaccination.  Combien de cas en tout, dans la réalité ? Combien de gens ne vous ont-ils pas dit avoir jamais été aussi malades de leur vie qu’après cette vaccination ?

 

Pour nos « grands experts », tout cela n’est jamais que coïncidence et eux, eux seuls, ont « la Science ». On voit ce que ça donne leur « Science »… des gens en paient le prix fort de leur vie (hélas) !

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2 février 2013 6 02 /02 /février /2013 20:40

Nous partageons totalement l'avis de Jean-Paul Pellet d'Alis lorsqu'il titre "Le temps de l'impunité des vaccinateurs doit cesser!" 

 

Voici en effet ce qu'il écrit dans un document inspirant, qui a tout lieu de nous éclairer aussi sur les recours juridiques possibles et transposables en droit belge, contre des médecins ONE imprudents qui ne reconnaissent quasiment aucune contre-indication aux vaccins ou des médecins n'ayant tout simplement pas fait leur devoir d'information en matière de vaccination.

 

Le temps de l’impunité des vaccinateurs doit cesser !

 

Il n’appartient qu’à nous de le décider. Alors décidons-le !

 

Pourquoi ?

 

1. En cas d’accident vaccinal, le principal responsable est bien celui qui a réalisé l’acte vaccinal, et non celui qui fabrique le vaccin. De même, quand un criminel tue, il est bien plus responsable que la firme qui a fabriqué l’arme, c’est lui qui a commis l’acte et qui doit répondre de son geste. Il faut cesser de couvrir le « bon » médecin de famille et appeler un chat un chat : un médecin qui estropie son patient est un coupable qui doit rendre des comptes. Et qu’on ne vienne pas nous dire que les médecins sont désinformés : même la presse médicale française, qui est connue pour son manque d’indépendance, évoque les accidents médicaux.

 

2. Le système compte sur les médecins pour relayer sa politique vaccinale. Mais ne croyez pas qu’ils subissent cela contre leur gré. Au contraire, la plupart des médecins se prêtent au jeu car la vaccination est pour eux une rente. Si les procès se multipliaient contre eux, ils changeraient d’attitude et cesseraient d’être les valets de l’administration sanitaire.

 

Sur quelles bases légales attaquer ?

 

 Les éléments ne manquent pas.

 

 Lire la suite: ICI

  panique des médecins, ils sont responsables!

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2 février 2013 6 02 /02 /février /2013 19:25

C'est à l'association française ALIS (Association Liberté Info Santé) et plus particulièrement à Jean-Paul Pellet, du service juridique, que l'on doit cette belle victoire juridique au finish.

 

Jusqu'alors, la vaccination contre la leptospirose était exigée pour les égoutiers de la ville de Paris. Cette vaccination, peu efficace, était en effet tout à fait abusive. Le Tribunal Administratif a exigé, dans son jugement du 27 décembre dernier, que la Mairie de Paris supprime l'obligation vaccinale litigieuse.

 

Comme l'explique très bien Jean-Paul Pellet d'ALIS, la portée d'un tel jugement est considérable car plus aucun employeur ne pourra plus exiger de ses employés des vaccinations, si celles-ci n'ont pas été prévues par le législateur (et donc notifiées dans une loi). A défaut, les employés pourront lui opposer ce jugement.

 

On ne sait pas encore à l'heure actuelle s'il sera fait appel ou non dudit jugement.

 

Lire ici l'historique de ces démarches juridiques d'ALIS.

 

Voici ici la délibération de 1979 du Conseil de Paris qui imposait la vaccination

 

Et ici, le jugement du Tribunal Administratif qui a donné raison à ALIS.

   

vaccin de trop, zut!

 

Bravo à tous les acteurs impliqués dans cette salutaire victoire!

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2 février 2013 6 02 /02 /février /2013 14:56

Collusions entre sénateurs et labos

Si certains d’entre nous croient encore que nos gouvernements, quels qu’ils soient, ne sont pas les valets des laboratoires et feront un jour le ménage chez nos sénateurs et autres hommes politiques, ils devraient lire l’excellent article de Patrick Mathieu du 1er février 2013, dans Altermonde-sans- frontières. Nous y apprenons que depuis qu’il a été élu sénateur UMP du Vaucluse en septembre 2004, le Dr Alain MILON a pris progressivement les leviers de tout ce qui touche au domaine de la santé au Sénat. 

Il est de notre devoir à tous de faire passer l’information.

Sylvie Simon

Alain Milon, un sénateur trop lié à l'industrie pharmaceutique?

 

Alain-Milon.jpgLe Dr Alain MILON « est devenu : membre de l’Office Parlementaire d’Évaluation des politiques de santé, vice-Président de la Commission des affaires sociales, membre du Haut Conseil du financement de la protection sociale, vice-président de la Mission d’Évaluation et de Contrôle de la Sécurité Sociale (MECSS). De plus, il préside, ou joue le rôle de rapporteur, dans de nombreuses commissions concernant la santé, l’accès aux vaccins ou le remboursement des médicaments.

« Mais étrangement et conjointement, nous le trouvons aussi intimement lié aux acteurs de l’industrie pharmaceutique : « Dès le 24 octobre 2005, il préside les « Premières Rencontres Sociales du Sénat – consacrées à la santé ». À la table-ronde qu’il anime nous trouvons Mme Véronique France-Tarif la lobbyiste de Pfizer ; [1] Le 13 septembre 2007, Alain Milon et Jean-Marie Le Guen organisent et président les « 2èmes Rencontres Parlementaires la Santé mentale » financées par le cartel pharmaceutique Janssen-cilg, Pfizer et Sanofi-Aventis ; [2] Le 14 septembre 2009, les médecins de l’industrie pharmaceutiques (réunis aux sein de l’association AMIPS) invitent plusieurs personnalités à un colloque afin de s’assurer de ne pas être oubliés dans le projet de loi HPST (Hôpital, Patients, Santé, Territoires). Alain Milon anime une table ronde à nouveau en présence de Mme Véronique France-Tarif la lobbyiste de Pfizer. Ce colloque est organisé, au sein même du Palais du Luxembourg, par le cabinet [AEC Partners présidé par François Sarkozy ; [3] Le 16 octobre 2012, nous retrouvons Alain Milon invité à une réunion sur « La médecine personnalisée » organisée par Pfizer et coordonnée par le cabinet de lobbying « Euro Politic » ; [4]  Par ailleurs, Alain Milon est membre du conseil d’administration de la « Fondation Fondamental » (tournée vers la recherche scientifique des maladies mentales) présidée par David de Rothschild et financée par le Groupe Dassault et les laboratoires pharmaceutiques Astra-Zeneca, Bristol-Myers-Squibb, Janssen-Cilag, Lilly, Lundbeck et Servier. [5]

« Vu sa position clé dans le domaine de la santé au sénat et ses liens forts avec le complexe pharmaco-industriel, ne sommes nous pas en droit de nous poser la question "un peu, beaucoup, passionnément" du conflit d’intérêts ? En mars 2010, après le scandale de la gestion de la crise de la grippe H1N1 par le gouvernement UMP de l’époque, le sénateur communiste François Autain obtient la création d’une commission d’enquête sur le rôle des firmes pharmaceutiques dans cette affaire. Bien que Autain fût président de cette commission, avez-vous entendu parler de sanctions contre les laboratoires pharmaceutiques ? Non ! C’est normal, le Dr. Milon avait été nommé Rapporteur de cette commission pour la vider de tout risque.

« Autre coïncidence troublante : depuis novembre 2012, Milon se retrouve président d’une commission d’enquête sénatoriale contre le danger des sectes dans le domaine la santé. Comprenez : « Commission d’enquête sénatoriale contre le danger des médecines douces pour l’industrie pharmaceutique ! »

« Comme les questions posées par Mr Milon sont entièrement à charge contre les thérapies naturelles et les mouvements anti-vaccins, il n’est pas difficile de deviner que les mesures qui seront proposées par cette commission seront celles du complexe pharmaco-industriel. »

Références

 

[1] senat.fr

[2] cifpr.fr

[3] ebookbrowse.com

[4] europolitic.fr

[5] fondation-fondamental.org

Patrick Mathieu, sur AlterMonde sans frontières 

Voir aussi l'article du Figaro sur "Le système Servier" et la mise en examen de deux ex cadres de l'Agence Française du Médicament pour leurs liens financiers avec les labos.

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1 février 2013 5 01 /02 /février /2013 22:50

Universite.jpg

Médecines alternatives: les doyens défendent leur pré carré !

 

C’est avec consternation que nous avons pris connaissance de la volonté commune des doyens de mettre un terme au financement (déjà très maigre) des médecines non-conventionnelles comme l’ostéopathie, l’homéopathie ou l’acupuncture, pourtant de plus en plus prisées par les citoyens. Mais c’est sans doute précisément là que réside la menace aux yeux de ces doyens, apparemment très préoccupés d’éviter la moindre concurrence à la sacrosainte médecine allopathique.

 

Car, n’est-ce pas là le problème: la médecine chimique et agressive, sans cesse présentée comme « la seule efficace », est en fait en perte de vitesse. Le public, et à raison d’ailleurs, a perdu à ce sujet beaucoup de ses illusions d’antan et est dès lors désireux de revenir aux sources de la vraie médecine, celle d’Hippocrate, celle du « D’abord, ne pas nuire », et non pas celle d’aujourd’hui, largement dénaturée par le profit.

 

Les motifs évoqués par les doyens, autant d’ailleurs que leur arrogance affichée, ne peuvent, selon nous, laisser indifférent. En effet, prétexter, en se basant sur l’avis du Centre Fédéral d’Expertises des Soins de Santé (KCE), « l’absence de toute démonstration d’efficacité de ces pratiques à l’exception de quelques domaines particuliers du traitement des maux de dos pour l’ostéopathie. » ou encore affirmer comme ils le font que « la médecine qu’ils pratiquent est basée sur des preuves scientifiques », appelle selon nous un devoir d’analyse et d’esprit critique.

 

Ces mêmes doyens ont-ils oublié que le KCE qui se prétend pourtant indépendant, a déjà rendu de nombreux avis favorables en matière de vaccination (HPV, rotavirus, pneumocoques, etc.)[1] alors que plusieurs experts rédacteurs de ces rapports étaient en conflits d’intérêts notoires avec les fabricants de vaccins et que, de l’aveu même d’une revue d’Evidence Based Medicine comme Minerva[2], tout conflit d’intérêts est de nature à interférer avec le jugement clinique et à nuire à l’intérêt des patients ?

 

Nieraient-ils aussi le fait que les effets secondaires des médicaments font chaque année plus de 100 000 décès aux Etats-Unis et 18 000 en France[3] ? Combien chez nous ?  Et avec quel coût colossal si on tient compte de tous les gens hospitalisés annuellement suite aux effets secondaires de leurs traitements ?

 

Nieraient-ils également les résultats particulièrement décevants des chimiothérapies (ultra coûteuses et intégralement remboursées) tels qu’évoqués dans Clinical Oncology en 2004, soit 2,2% dans le meilleur des cas et encore, même pas en termes de guérison mais de « survie à 5 ans »[4] ? Nieraient-ils le résultat d’enquêtes (ex : Université Mc Gill) selon lesquelles 75% des cancérologues refuseraient la chimiothérapie pour eux-mêmes, s’ils avaient un cancer, et qu’ils dissuaderaient aussi leurs proches d’y recourir [5] ?

 

Ne serait-il pas grand temps que ces responsables se souviennent de qui paient les impôts ? Et partant de là, on voit assez mal au nom de quoi les doyens auraient la moindre légitimité pour  se substituer, sur base de pseudos prétextes financiers, à la volonté du public, dans un esprit paternaliste d’arrière-garde.

 

Ils souhaiteraient que ce soit aux médecins de référer leurs patients à des thérapeutes alternatifs ? Mais comment cela serait-il possible étant donné que ces médecins ne sont pas formés  (qu’ils ne connaissent strictement rien) aux méthodes et mécanismes desdites médecines ??

 

Et lorsqu’on lit que les comités inter-universitaires d’étudiants en médecine emboîtent docilement le pas aux déclarations de leurs doyens en s’insurgeant, nous citons, contre « le remboursement des pseudo-médecines », nous ne pouvons que déplorer cette méconnaissance totale de l’Histoire des Sciences et de la Médecine avec des succès incontestables à charge de ces thérapies. Une mortalité 5 à 10 fois plus faible lors de la grippe espagnole pour les patients traités homéopathiquement par rapport à ceux traités conventionnellement[6], des succès officiellement constatés de l’homéoprophylaxie contre la leptospirose à Cuba[7] ou encore la méningite à méningocoques au Brésil dans les années 70 et 90 (constatée dans des études officielles financées par les autorités)[8]. Des méthodes nettement plus sures et moins coûteuses que les vaccinations par exemple, et qui sont du reste de plus en plus contestées.

 

Mais il n’y a pire aveugle que celui qui ne veut pas voir.

 

Assimiler à des « placebos » ces médecines qu’ils ne comprennent pas et qui ont pourtant fait leurs preuves chez les animaux et les bébés chez lesquels cet effet placebo est difficile à invoquer, démontre finalement toute l’étroitesse du cursus offert à ces futurs médecins. Et l’avenir n’a pas de quoi nous réjouir… s’ il est un fait certain que la médecine reste facteur de progrès dans des domaines comme l’urgence vitale ou la chirurgie, son bilan dans les maladies chroniques reste plus qu’affligeant et semble avoir fait l’objet d’une certaine « amnésie sélective » de la part des doyens : 80% des + de 65 ans en Belgique souffrent déjà d’au moins une maladie chronique et ils sont 85% chez les + de 75 ans à souffrir… d’au moins 3 maladies chroniques, selon un document des Mutualités Libres intitulé « L’avenir des soins de santé en Belgique »[9].

 

Dans le Soir du jeudi 31 janvier dernier, on pouvait lire l’avis du Dr Jacques de Toeuf, président de l’Absym, et opposé à tout remboursement de ces pratiques. Fait intéressant, il lâchait notamment à ce sujet « Quand il s’agit de médecins, on espère qu’ils ne sont pas exclusifs ni intégristes. Mais quand ce ne sont pas des médecins, nous trouvons qu’ils n’ont pas à se mêler de ça. »[10]

 

Un intégrisme qui ne semble hélas pas déranger lorsqu’il s’agit des sacrosaintes vaccinations que personne n’a le droit de questionner. Selon les tenants de cette médecine allopathique érigée au rang de religion, seules leurs méthodes seraient prouvées et scientifiquement établies. Ah bon ? Cela méritait bien qu’on reprenne les propos éclairants du Dr Arlette Blanchy, docteur en médecine vétérinaire et également homéopathe, sur la RTBF le 24 mai 2011 :

 

« Si on demande le même niveau d’efficacité et d’ « idéal » qu’on exige de la part des remèdes homéopathiques, on se rend compte que seulement 11% des médicaments classiques répondraient aux critères exigés pour l’homéopathie. » [11]

 

Télécharger ce texte en pdf

 

Voir aussi: 

  

"L'homéopathie vue par le KCE: la paille et la poutre."

 

 

Nouvelle charge organisée contre l'homéopathie en Une du Soir du 21 mars 2013

 

[Ne manquez pas en page 2 les propos de Guy Vanderstraeten, représentant des facultés de médecine flamande, qui prouvent qu'il a lu notre site.... mais visiblement assez mal vu que plusieurs données scientifiques sur l'efficacité de l'homéopathie y sont présentées!] 

 

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1 février 2013 5 01 /02 /février /2013 21:15

alcoolisme

Alcoolisme : un vaccin pourrait bientôt voir le jour

 

Publié le 30 janvier 2013 par Emmanuel Perrin

 

Des chercheurs chiliens viennent de mettre au point un vaccin contre l’alcoolisme qui sera expérimenté sur une vingtaine de personnes en novembre prochain, d'après le journal chilien La Tercera.

Alors qu’en France, l'alcool entraînerait 37.000 décès par an, selon l'Observatoire français des drogues et des toxicomanies, c'est une nouvelle d'importance que vient de révéler le journal chilien La Tercera. Des chercheurs chiliens seraient parvenus à mettre au point un vaccin contre l’alcoolisme. D'après le journal, celui-ci aurait déjà été testé sur des rongeurs menant à des résultats encourageants : les chercheurs auraient constaté une réduction de 50% de la dépendance à l'alcool des sujets. 

Suite à ces résultats, les scientifiques ont lancé d'autres tests sur les animaux afin de déterminer la présence d'éventuels effets secondaires. Les résultats devraient être connus au cours des prochains mois mais l'équipe a déjà reçu l'autorisation de passer à des tests sur les humains. Un premier groupe de 20 personnes devrait ainsi expérimenter le vaccin à partir du mois de novembre, a indiqué La Tercera. Le vaccin agirait en fait sur le processus de dégradation de l'alcool par les enzymes du foie.

Pour cela, les scientifiques ont utilisé un gène présent chez 20% des Asiatiques et connu pour provoquer une forte intolérance à l'alcool. Se basant sur une technique de thérapie génique, ils ont transféré ce gène dans un adénovirus modifié mais conservant sa capacité à infecter des cellules. Lorsque ce dernier est injecté, il voyage dans l'organisme jusqu'au foie où il infecte les cellules permettant au gène d'entrer en action : celui-ci bloque l'enzyme responsable de la dégradation de l'alcool (l'acétaldéhyde déshydrogénase).

Une intolérance dès les premières gorgées

Ainsi, les premières gorgées d’alcool bues par le sujet vacciné entraînent rapidement des symptômes habituellement présents suite à une consommation excessive : maux de tête, nausées ou tachycardie. Le vaccin provoquerait de cette manière une véritable intolérance à l’alcool qui permettrait au sujet de réduire drastiquement sa consommation. "L'envie de prendre de l'alcool est grandement réduite en raison des réactions", explique le responsable du programme de recherche, le Dr Juan Asenjo.

En vérité, des médicaments ont déjà été mis au point sur ce principe mais ils nécessitent une prise quotidienne. C'est ainsi la première fois qu’un vaccin ne nécessitant qu’une seule injection et ciblant spécifiquement les cellules hépatiques voit le jour. Selon les chercheurs cités par La Tercera, une seule dose suffirait à garantir une efficacité d’un an.

 

Source: Maxisciences.com

 

Va-t-on finir par substituer la vaccination annuelle anti-alcoolisme à l’annuelle (et inutile) vaccination antigrippale, en perte de vitesse ? Ca semble peut-être une idée folle à certains mais les Pharmas ont l’habitude de rattraper d’une main les marchés qu’ils perdent de l’autre. Or quand on sait que l’alcoolisme toucherait au moins 1 million de Belges, on ne peut que se rendre compte des enjeux financiers qui sont ici à l’œuvre. Manipuler les gènes puis les injecter sans la moindre garantie qu’ils n’affecteront pas négativement d’autres zones du corps est une HONTE mais cela montre finalement très bien le peu de respect que les autorités qui autorisent ces tests sur humains, ont pour nos contemporains !!

 

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