Augmentation de 4.250 % des cas de mortalité fœtale signalés au VAERS (*)
après le vaccin contre la grippe administré aux femmes enceintes.
Christina England, 23 novembre 2012
Une augmentation des cas de mortalité fœtale a été signalée au VAERS après que des femmes enceintes ont reçu des vaccins contre la grippe.
La documentation reçue de la Coalition Nationale des Femmes Organisées (NCOW) stipule qu’entre 2009 et 2010, les rapports d’effets secondaires communiqués au VAERS sur les vaccins multi-souches contre la grippe et additionnés de mercure ont augmenté de 4.250% chez les femmes enceintes.
Eileen Dannemann, directrice du NCOW, a expliqué clairement que, bien que ces chiffres étaient connus des Centres de Contrôle des Maladies (CDC), le vaccin inactivé multi-souche contre la grippe additionné de mercure (Thimerosal) a, une fois de plus, été recommandé comme étant un vaccin sûr pour les femmes enceintes (pour cette saison.)
Outrée par le mépris total du CDC pour la vie humaine, Madame Dannemann a accusé le CDC de « fraude intentionnelle », précisant que ces personnes sont responsables de la mort de milliers de bébés à naître. Elle a déclaré que le CDC a délibérément trompé les obstétriciens et les gynécologues ; elle a accusé le CDC de connivence avec l’American Journal of Obstetrics and Gynecology (AJOG) pour tromper le public en faisant croire que le vaccin contre la grippe était sans danger pour les femmes enceintes alors que ces gens savaient parfaitement bien que ce vaccin était en train de causer un pic massif de mortalité fœtale.
Dans une lettre qu’elle écrivait au Dr Joseph Mercola, Madame Dannemann précisait:
« Non seulement le CDC ne divulgue pas la flambée vertigineuse des rapports de mortalité fœtale en temps réel pour la saison 2009 de pandémie (et qui aurait pu permettre de réduire le nombre des pertes fœtales), mais nous disposons aussi d’un texte du Dr Marie McCormick, présidente du Groupe de Travail sur l’Evaluation des Risques Vaccinaux (VSRAWG) datant du 3 septembre 2010 qui nie toute forme d’effet secondaire chez les femmes enceintes au cours de la période pandémique de 2009. »[1]
Camoufler les preuves
Du fait que le vaccin pandémique H1N1 n’avait jamais été testé sur les femmes enceintes, et dans le but de réduire les peurs relatives à des risques inconnus, le Dr Marie McCormick du CDC a été désignée pour garder trace de tous les effets indésirables au cours de la saison pandémique de 2009, y compris ceux qui devaient survenir chez des femmes enceintes. Le Dr McCormick était responsable de l’envoi mensuel de rapports reprenant des événements suspects indésirables au Secrétaire de la Santé et des Services Sociaux (HHS).
Selon Madame Dannemann, le NCOW a pu obtenir accès à ces rapports mensuels. Après avoir adressé une demande d’accès à l’information du CDC, il lui fut précisé qu’elle devrait attendre 36 mois pour pouvoir accéder à la partie de ces rapports qui pouvait être publiée.
Suite de la lettre au Dr Mercola :
« Le Comité Consultatif sur les vaccins administrés aux enfants (ACCV), ainsi que le CDC ont, à Washington, été confrontés aux données du VAERS le 3 septembre 2010, puis à nouveau au cours d’une conférence le 10 septembre, et enfin à Atlanta le 28 octobre 2010. Tant le 3 septembre que le 10 septembre, le Dr Marie Mc Cormick a clairement nié qu’il existait le moindre effet indésirable du vaccin anti grippe pour les femmes enceintes pour la période de 2009. »
La version médicale de la dissimulation
En vue de clarifier et de renforcer sa position, le NCOW a demandé au Dr René Tocco de présenter les résultats des recherches effectuées au siège du CDC à Atlanta (Géorgie).
Le Dr Shimabkauru du CDC a fait un exposé sur les principaux effets indésirables du vaccin contre le H1N1, citant par exemple des cas de Guillain-Barré qui semblaient avoir augmenté de 3%, mais qu’il voulait considérer comme un signal non significatif.
Aucune mention ne fut faite des événements indésirables liés aux femmes enceintes.
Les tentatives du Dr Shimabkauru de jeter de la poudre aux yeux ont, malheureusement pour lui, été déjouées quand un membre de l’auditoire qui le contestait a demandé si le vaccin avait provoqué des effets indésirables chez les femmes enceintes. Se sentant acculé, il s’est résigné à fouiller dans ses documents pour finir par timidement présenter une diapositive qui corroborait les données du NCOW et qui confirmait que le CDC était bel et bien au courant du pic de mortalité fœtale au cours de l’automne 2010. [2]
Alors, pourquoi le Dr Shimabkauru disposait-il d’une diapositive qui présentait des preuves compromettantes ? Pourquoi avait-il décidé de ne pas inclure cette diapositive dans son exposé ? S’il avait préparé un diaporama reprenant ces données cruciales, il aurait été logique d’inclure la diapositive dans sa présentation.
Après tout, une augmentation de 4.250% de la mortalité fœtale est beaucoup plus importante qu’une augmentation de 3% des Guillain-Barré !
Madame Dannemann estime que l’existence de cette diapositive, avec le fait que cette dernière avait été supprimée lors de la présentation, confirme que le CDC était au courant du pic de mortalité fœtale au cours de l’automne 2010 et a tenté par tous les moyens de ne pas rendre cette information publique.
Reprenant la suite des événements, Madame Dannemann croit que les dissimulations continuelles du CDC mettent la vie des femmes enceintes comme de leurs enfants à naître en danger. Elle a maintenu :
« La poursuite du programme des vaccinations sans que l’on se donne la peine d’informer le public et les professionnels de santé des données du VAERS concernant les fausses couches ou les enfants morts nés, semble bien relever d’une décision délibérée.
Le CDC bien que parfaitement au courant des premières données qui lui étaient communiquées sur les événements indésirables de ce vaccin a clairement décidé de permettre aux obstétriciens de continuer, sans que ces derniers s’en rendent compte, de faire mourir et de causer des dommages aux enfants à naître… »
Collaboration et corruption
En dépit des preuves confirmant que le CDC était au courant de l’augmentation de 4.250% de mortalité fœtale dans les rapports de 2009/20010 et en vue de pouvoir poursuivre le programme de vaccinations pour les femmes enceintes, le CDC a publié une étude dans l’AJOG et rédigée par le Dr Pedro Moro à l’automne 2010.
L’étude précise qu’il n’y avait eu que 23 fausses couches provoquées par le vaccin contre la grippe en 19 ans (de 1990 à 2009), donc une moyenne de 1,2 fausse couche par an. C’est cette étude qui a servi de base à la campagne de publicité du CDC organisée sur un plan mondial, et qui précisait que la vaccination contre la grippe était sans danger pour les femmes enceintes, tout en excluant délibérément et stratégiquement les données de 2009, alors qu’ils disposaient bel et bien de ces informations.
Madame Dannemann poursuit :
« Tant le CDC que l’AJOG étaient bien conscients du fait que les médecins et le grand public étaient dans l’attente des résultats du vaccin H1N1 de 2009 non testé sur les femmes enceintes. Au début de la saison pandémique, le public avait reçu de solides assurances que le CDC était parfaitement préparé pour recueillir toutes les réactions négatives au vaccin, étant donné qu’il avait créé un groupe de travail présidé par le Dr Marie McCornick (VSRAWG) pour évaluer les risques vaccinaux. »
Madame Dannemann a précisé qu’en incluant les données de la saison grippale 2008/2009, mais en excluant les données de 2009 de la saison grippale 2009/2010, dans l’étude publiée par l’AJOG, le Dr Moro a pu donner l’impression que la saison pandémique 2009/2010 était comprise dans les données, ce qui n’est pas du tout le cas. Madame Dannemann croit que ce fut un acte délibéré de sa part parce qu’au cours de la préparation de l’étude, il était conscient des données qui faisaient état du pic de morts fœtales de 2009/2010. Il aurait donc volontairement exclu de l’étude les données de 2009 dans le but de dissimuler ces faits.
A l’automne 2010, juste à temps pour la nouvelle saison grippale, les médias du monde entier ont publié l’étude de l’AJOG revue par les pairs (Dr Moro) présentée comme preuve irréfutable que le vaccin contre la grippe était sans danger pour les femmes enceintes. Les documents du NCOW ont, à la même époque, contribué à prouver et à faire connaître très largement l’avis selon lequel toutes les femmes enceintes devaient recevoir le vaccin combiné contre la grippe. A la même époque, le CDC a entrepris de faire signer une lettre commune à dix organismes sans but lucratif pour inciter les obstétriciens et les gynécologues à faire vacciner leurs patientes enceintes.
L’une de ces organisations signataires de la lettre était « The March of Dimes » [3] qui a exhorté les personnels de santé à recommander le vaccin contre la grippe aux les femmes enceintes comme à celles qui allaient le devenir. La recommandation suivante a été adressée à tous les personnels de santé :
Les conseils d’un professionnel de santé jouent un rôle important dans la décision que doit prendre une femme en cours de grossesse, et peu après la naissance, de se faire vacciner contre la grippe saisonnière. L’Académie Américaine des Médecins de Famille (AAFP), l’Académie Américaine de Pédiatrie (AAP), l’American College of Nurse-Midwives (ACNM), Le Collège Américain des Obstétriciens et Gynécologues (The College), l’Association Médicale Américaine (AMA) , l’Association Américaine des Infirmières (ANA), l’Association Américaine des Pharmaciens (APHA), L’Association pour la Santé des Femmes, Obstétrique et Néonatalogie (AWHONN), l’Association « March of Dimes », les Centres de Contrôle et de Prévention des Maladies (CDC) ont besoin de votre aide pour exhorter vos patientes enceintes, et celles venant d’accoucher, à se faire vacciner contre la grippe saisonnière.
Le Comité consultatif sur les pratiques d’immunisation (ACIP) recommande cette année la vaccination contre la grippe saisonnière aux femmes enceintes et post-partum, même si elles ont déjà reçu le vaccin contre la grippe saisonnière ou le vaccin H1N1 en 2009. Un manque de connaissances par rapport aux avantages de la vaccination et les inquiétudes concernant la sécurité des vaccins sont les obstacles habituels à la vaccination antigrippale des femmes enceintes et de celles venant d’accoucher. Des représentants des dix organisations ont signé la lettre.
Ce que le CDC a omis de dire aux femmes enceintes
Le 27 septembre de cette année 2012, le journal « The Human and Environmental Toxicology Journal » (HET) a publié l’étude du Dr Gary Goldman qui confirme les données du NCOW, soit une augmentation de 4.250 % des fausses couches et de morts fœtales signalées au VAERS pour la saison grippale 2009/2010. [4] L’étude souligne un fait étonnant que personne n’avait vu jusqu’à la publication de l’étude de Goldman dans le HET : le CDC a recommandé un double dosage du vaccin pour les femmes enceintes, un premier contre la grippe saisonnière avec mercure et un deuxième vaccin H1N1 au mercure, non testé.
Dans son résumé Goldman a écrit :
« Le but de cette étude a été de comparer le nombre de rapports de fausses-couches et de cas de mortalité fœtale liés au vaccin inactivé contre la grippe et qui avaient été rapportés au VAERS au cours de trois saisons grippales consécutives débutant en 2008/2009, ainsi que d’évaluer les rapports relatifs à la mortalité fœtale associés à la double vaccination pour la saison 2009/2010. »
Les faits exposés par Goldman sont extrêmement inquiétants ; Il met en évidence le fait que la sécurité et l’efficacité du vaccin A-H1N1 n’ont jamais été établies chez les femmes enceintes et que la combinaison de deux vaccins différents contre la grippe n’a jamais été testée pour les femmes enceintes.
Encore plus inquiétant est le fait que les notices de différents fabricants portaient cet avertissement :
« On ne sait pas si ces vaccins sont susceptibles de provoquer des dommages fœtaux s’ils sont administrés aux femmes enceintes ou s’ils peuvent affecter la capacité de reproduction. »
Le Dr Goldman a également souligné que le fœtus est indirectement exposé au mercure quand des vaccins qui contiennent du thimérosal sont administrés aux femmes enceintes. Il a également présenté une étude de A.R. Gasset,M. Itoi, Y. Ischii et R.M. Ramer qui ont examiné ce qui s‘est produit après que des lapins aient été vaccinés au moyen de vaccins contenant du mercure radioactif. Goldman a déclaré que d’une à six heures après l’injection, le niveau de mercure radioactif dans le sang avait diminué de plus de 75%. Cependant, à partir de deux à six heures après l’injection, les niveaux de radioactivité avaient significativement augmenté dans le cerveau, le foie et les reins.
Le Dr Goldman a conclu que, parce que les taux de fausses couches signalés au VAERS pour le vaccin unique contre la grippe étaient relativement faibles, les autorités de santé ont développé un faux sentiment de sécurité et cru que les vaccins contre la grippe administrés aux femmes enceintes étaient sans danger. Le Dr Goldman a expliqué que même si un seul vaccin avait été testé et considéré comme relativement sûr, cela ne signifie pas que la vaccination des femmes enceintes avec deux ou plusieurs vaccins contenant du thimérosal soit sans danger pour ces femmes ou leurs enfants à naître. Dans l’ensemble, le Dr Goldman croit fermement que le VAERS sous-estime grossièrement les taux réels de fausses-couches et autres effets indésirables dans la population américaine. Il suffit de se rappeler que l’on estime que moins de dix pourcents des effets secondaires sont rapportés au VAERS et que 1% des effets graves y compris des décès sont rapportés comme le signale l’étude de l’ancien commissaire de la FDA, le Dr David A. Kessler. [5]
Comme on le voit dans l’étude de Goldman, avec l’utilisation d’un seul vaccin contre la grippe, les rapports relatifs aux morts fœtales ont significativement diminué comparativement aux taux élevés de morts fœtales pour les deux doses de vaccin préconisées lors de la saison 2009/2010. Cependant des taux plus élevés de morts fœtales continuent d’être signalés au VAERS.
Par ailleurs, l’étude de Goldman recommande que les bébés qui ont survécu à la dose meurtrière de deux doses in utero fassent l’objet d’un bon suivi :
« En outre, en raison de l’ordre de grandeur des taux de morts fœtales, passant de 6,8 par million de femmes vaccinées avec une simple dose en 2008/2009 à 77,8 pour les deux doses de la période 2009/2010, des études long terme sont nécessaires pour évaluer les effets secondaires négatifs chez les enfants survivants. Des recherches supplémentaires se justifient concernant les facteurs de risques potentiels de synergie liés à l’administration de vaccins contenant du thimérosal. L’association exposition-effet devrait être vérifiée au cours d’études toxicologiques avec davantage de cas-témoins. »
Mis à part les morts fœtales, l’initiative du CDC visant à augmenter la prise de vaccins chez les femmes enceintes continue de faire augmenter les niveaux d’anomalies neurologiques, de troubles du comportement, ainsi que les maladies chroniques chez les enfants survivants. Suite à l’omission du CDC de rapporter les décès de fœtus, celui-ci continue de jouir d’un succès qui lui permet d’augmenter le nombre de vaccins destinés aux femmes enceintes. Le comité consultatif pour les pratiques d’immunisation (ACIP) recommande maintenant aux femmes enceintes, non seulement le vaccin contre la grippe (avec mercure), mais aussi le vaccin contre la coqueluche (DTaC)
Conclusion
Les travaux du NCOW et du Dr Goldman ont prouvé que des vies d’enfants sont détruites avant même qu’ils ne puissent prendre leur premier souffle. Les fœtus en développement qui ont eu la chance de survivre à l’assaut des vaccinations actuellement recommandées aux femmes enceintes sont en fait l’objet d’une forme de roulette russe à partir du jour où ils sont nés. Tout cela parce que leurs parents attentionnés auront suivi les conseils de professionnels de santé délibérément mal informés.
Eileen Dannemann et son équipe ont prouvé par leur remarquable travail que l’on a menti au public comme aux professionnels de santé. Toutes ces personnes ont été trompées par les organisations en place, comme par le gouvernement qui met au point les programmes de vaccinations.
Et plus tôt le public commencera à s’informer pour se rendre compte que tous ces vaccins comportent de sérieux risques, plus tôt ces folles expériences pourront prendre fin.
(*) VAERS – Vaccine Adverse Event Reporting System (Système officiel américain d’enregistrement des effets secondaires des vaccins)
Communication de Madame Eileen Dannemann à propos du calcul de pourcentage et des NOTICES de différents vaccins contre la grippe (26/11/2012) :
"Quand on lit l’étude de Goldman et que l’on regarde les tableaux, on peut s’apercevoir que, pour la saison 2008/2009, 4 rapports de mort fœtale ont été publiés par le VAERS, tandis que pour 2009/2010, il y en a eu 179, soit une augmentation de 4.475%." (la diapositive du médecin du Centre de Contrôle des Maladies (CDC) indiquant quant à elle 170 au lieu des 179, c'est ce chiffre inférieur, connu et admis des officiels, qui a donc été retenu pour la rédaction de cet article ( 170/4= 42, 5 fois plus soit 4250%) )"
NOTICES de différents vaccins contre la grippe:
Fluzone
Grossesse catégorie C : des études sur la reproduction animale n’ont pas été réalisées. – On ne sait pas si le Fluzone peut provoquer des dommages fœtaux quand le vaccin est administré à une femme enceinte. On ne sait pas non plus si le vaccin peut affecter la reproduction. (8.1)
Fluzone n’a pas été évalué quant à ses potentiels cancérogènes et mutagènes ou pour une éventuelle détérioration de la fertilité. (13.1)
Fluvirin
Grossesse catégorie C : des études sur la reproduction animale n’ont pas été réalisées. – On ne sait pas si le Fluvirin peut provoquer des dommages fœtaux quand le vaccin est administré à une femme enceinte. On ne sait pas non plus si le vaccin peut affecter la reproduction. (8.1)
Afluria
Grossesse catégorie C : des études sur la reproduction animale n’ont pas été réalisées. – On ne sait pas si l’Afluria peut provoquer des dommages fœtaux quand le vaccin est administré à une femme enceinte. On ne sait pas non plus si le vaccin peut affecter la reproduction. L’Afluria ne doit être administré à des femmes enceintes que s’il est clairement établi que le vaccin leur est nécessaire (8.1)
La sécurité et l’efficacité de l’Afluria n’ont pas été établies pour les femmes enceintes ou allaitantes de même que pour la population pédiatrique en dessous de 6 mois (8.1, 8.3, 8.4)
L’Afluria n’a pas été évalué quant à ses potentiels cancérogènes et mutagènes ou pour une éventuelle détérioration de la fertilité. (13.1)
Références
1.Official transcript CDC’s Dr. Marie McCormick denies miscarriages, Sept. 3, 2010 ACCV. See page 37.
2.Influenza Vaccine Safety Monitoring (slide 20).
CDC’s Dr. Tom Shimabukuro confirms NCOW data , Oct. 28, 2010 ACIP
3. Letter from March of Dimes, inlcuded in this article.
4. Dr Gary Goldman Comparison of VAERS fetal-loss reports during three consecutive influenza seasons: Was there a synergistic fetal toxicity associated with the two-vaccine 2009/2010 season? http://het.sagepub.com/content/early/2012/09/12/0960327112455067.abstract?rss=1 (abstract only)
5. Kessler, D.A. The Working Group. Natanblut, S. Kennedy, D. Lazar, E. Rheinstein, P. et al. Introducing MedWatch: A New Approach to Reporting Medication and Device Adverse Effects and Product Problems. JAMA 1993 June 2. 269 (21): 2765-2768
Source: Vactruth