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16 octobre 2012 2 16 /10 /octobre /2012 16:23

12 septembre 2012

 

Une nouvelle étude effectuée par une équipe de médecins du Québec remet en question l'âge auquel les enfants sont vaccinés contre la rougeole.

 

Cette étude arrive à la même conclusion qu'une autre menée en 2011 par les mêmes chercheurs québécois, qui laissait entendre que le vaccin serait plus efficace s'il était administré quelques mois plus tard qu'il ne l'est présentement.

 

L'auteur principal de l'étude, le Dr Gaston De Serres, de l'Institut national de santé publique du Québec, a présenté les résultats de ses recherches hier lors d'une conférence internationale sur les maladies infectieuses à San Francisco.

 

Le Québec a connu une éclosion de rougeole en 2011, durant laquelle plus de 700 cas ont été rapportés. Étonnamment, plusieurs adolescents infectés avaient reçu les deux doses du vaccin recommandées.

 

Une étude réalisée l'an dernier par le Dr De Serres avait montré que ceux qui avaient eu la première dose à 12 mois avaient trois fois plus de risques de contracter la maladie que ceux qui avaient reçu leur première dose à 15 mois.

 

La nouvelle étude parle maintenant d'un risque six fois plus important pour les enfants vaccinés à un an.

 

Une spécialiste de la rougeole du Centre pour le contrôle et la prévention des maladies des États-Unis a toutefois affirmé que les autorités doivent viser juste en établissant le moment propice pour immuniser les bambins contre cette maladie.

 

La Dre Jane Seward a expliqué que la rougeole pouvait être fatale pour les bébés et que l'objectif était donc d'administrer le vaccin dès qu'il est efficace. Mais ce dernier ne fonctionne pas chez les très jeunes bébés parce que les anticorps qu'ils ont reçus de leur mère lorsqu'ils étaient dans son ventre le neutralisent.

 

Les risques et les avantages d'attendre quelques mois pour administrer la première dose ne seraient pas les mêmes au Canada, où les cas de rougeole sont rares, que dans des pays comme l'Inde, où la maladie demeure endémique.

 

Le Dr Gaston De Serres a tout de même affirmé que le Canada ne changerait probablement pas l'âge auquel les petits Canadiens sont vaccinés pour le moment, mais a conseillé aux autorités de continuer à surveiller la situation.

 

 Source: La Presse Canadienne, Toronto.

 

NB : En Belgique, les « grands experts » relayant les « bons conseils » de l’OMS et consorts recommandent l’administration de la première dose de ROR à l’âge de 12 mois, en même temps qu’un rappel du très lucratif mais inutile Prevenar. Pour les enfants fréquentant une collectivité (crèche ou gardienne agréée), ces bons experts recommandent même une vaccination ROR dès l’âge de 9 mois.

 

A 15 mois, la place est déjà prise pour d’autres vaccins, à savoir la quatrième dose de vaccin hexavalent et l’injection simultanée du vaccin contre le méningocoque C qui s’avère plus risquée que la maladie elle-même comme les chiffres officiels le montrent !

 

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16 octobre 2012 2 16 /10 /octobre /2012 15:30

Une vidéo de sensibilisation pour en parler, pour agir et pour réagir:

 

Liste des noms de vaccins contenant de l'aluminium (et maladies contre lesquelles ils sont dirigés):

 

Revaxis (Diphtérie, tétanos, polio)

Boostrix (D, T, C) et Boostrix Polio (D, T, C, P)

Tevax (tétanos)

DT Vax (tétanos, diphtérie)

Tedivax (tétanos, diphtérie)

Act-Hib (Haemophilius influenzae)

Infanrix Tetra, Penta et Hexa (pour nourrissons; le penta comporte le Hib et l'hexa aussi l'HB)

Tetravac (D, T, C, P)

Pentavac  (D, T, C, P, Hib)

Engerix B (hépatite B)

HB Vax (hépatite B)

Menjugate Kit (méningocoque C)

Meningitec (méningocoque C)

NeisVac (méningocoque C)

Meninvact (méningocoque C)

Vaqta (hépatite A)

Avaxim (hépatite A)

Twinrix (hépatite A et B)

Prevenar (pneumocoques)

Synflorix (pneumocoques)

Gardasil (papillomavirus/HPV)

Cervarix (papillomavirus/HPV)

FSME Immun, Ticovac, Encepur (encéphalite à tiques)

Mencevax, Menveo (méningocoque ACWY)

etc... lisez les notices!!

 

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14 octobre 2012 7 14 /10 /octobre /2012 14:57

Ours-en-peluche-injection--vaccin.jpg

Voici le parcours instructif d'une maman qui a choisi de ne pas faire vacciner ses deux filles et qui ne le regrette absolument pas...

 

Comme c'est le cas pour l'immense majorité de ces parents-là, le courage et la détermination sont de mise ainsi que le temps consacré à une solide recherche contradictoire sur le sujet.

 

On est donc loin ici des habituels poncifs véhiculés sans le moindre esprit critique par la presse grand public ou la simple lecture des brochures et autres dépliants partiaux de l'ONE!

 

S'informer, confronter, décider, résister... voilà quelques mots qui résument assez bien le parcours de cette maman dont la ténacité et le bon sens inspirent vraiment le respect.

 

Lire ce témoignage.

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14 octobre 2012 7 14 /10 /octobre /2012 13:00

grippe--mouchoir.jpg

Extraits traduits d'un article de NaturalNews.

 

Une étude publiée récemment dans The Lancet et intitulée "Efficacy and effectiveness of Influenza vaccines: a systematic review and meta-analysis." démontrait que...

 

Le vaccin antigrippal n’empêche la grippe que chez 1,5% des adultes vaccinés !

 

Mais voyons d’abord les résultats chiffrés de l’étude.

 

Le « groupe contrôle » se composait de 13.095 personnes non vaccinées qui étaient surveillées pour voir si elles ne faisaient pas la grippe. Plus de 97% d’entre elles ne firent pas de grippe. Seules 357 personnes ont fait une grippe, ce qui veut dire que seuls 2,7% de ces adultes contractèrent la grippe.

 

Le« groupe traité » était composé d’adultes qui furent vaccinés avec le vaccin trivalent inactivé contre la grippe. Parmi ce groupe, selon l’étude, seul 1,2% a fait une grippe.

 

La différence entre ces deux groupes est donc de : 2,7%- 1,2% = 1,5%

 

Si vous faites confiance aux résultats de cette étude, et même si vous croyez à toute la propagande vaccinale, la véritable conclusion « scientifique » que l’on peut tirer de tout ceci vous semblera assez étonnante :

 

Les vaccins contre la grippe ne préviennent la maladie que chez 1,5 adulte sur 100 qui ont été vaccinés !

 

Il est intéressant de noter que ces résultats s’avèrent être très proches de ma propre analyse datant de septembre 2010 qui avait été publiée dans un article s’intitulant : « Vaccinations basées sur des preuves : un aperçu scientifique de l’absence de science dans la campagne de vaccinations contre la grippe. »

 

Dans cet article, j’ai proclamé que les vaccins contre la grippe « ne sont pas efficaces chez 99 personnes sur 100 ». Si par contre vous vous basez sur cette dernière étude, il semble que je m’étais seulement trompé d’un demi pourcent (au moins chez les adultes ; plus loin nous parlerons de l’efficacité chez les enfants).

 

Mais alors, où donc les médias vont-ils chercher une efficacité de « 60% » ?

 

On appelle cela « traficoter les chiffres », c’est en fait un des vieux trucs statistiques de l’industrie du vaccin (comme de l’industrie pharmaceutique). Ces trucs sont utilisés et réutilisés pour faire croire aux gens que leurs produits inefficaces fonctionnent.

 

Si l’on divise le pourcentage de 1,18% du groupe traité qui a reçu le vaccin par les 2,73% du groupe contrôle qui a fait la grippe, on obtient le chiffre de 0,43.

 

On peut donc dire que le chiffre 0,43 représente « 43% de 2,73 », et ainsi prétendre que le vaccin a pu permettre « une réduction de 57% » des infections grippales. Dans ces conditions certains peuvent donc prétendre à un « taux d’efficacité de 57% ».

 

Les taux « d’efficacité de  60% » proviennent de données supplémentaires concernant l’efficacité des vaccins chez les enfants, dont les chiffres étaient plus élevés que chez les adultes. Il y a eu d’autres problèmes concernant les données ayant trait aux enfants.

 

Donc quand les médias (ou votre médecin, votre pharmacien ou les officiels du CDC) vous disent que ces vaccins sont à « 60% efficaces », ce que cela veut dire, c’est qu’il faudrait vacciner 100 adultes pour éviter une grippe chez 1,5 personnes.

 

Vous avez sûrement déjà imaginé que les grands médias n’oseront jamais publier ces révélations statistiques. Ils préféreront plutôt induire tout le monde en erreur en faisant faussement croire que les vaccins contre la grippe sont « efficaces à 60% ».

 

Mentir avec des statistiques

 

Ces petites techniques mensongères statistiques sont aussi très populaires dans l’industrie du cancer.

 

Vous avez peut-être appris, par exemple, qu’un médicament était efficace à 50% pour prévenir le cancer du sein !

 

Mais qu’est-ce que cela veut dire ? Cela pourrait vouloir dire que 2 femmes sur 100 du groupe de contrôle feraient un cancer et que seulement 1 femme sur 100 ferait la maladie dans le groupe traité. Cela montrerait donc que le médicament ne fonctionnerait que chez 1 femme sur 100.

 

Mais comme 1 représente 50% de 2, ils arrangeront les choses pour pouvoir revendiquer « un taux de 50% de prévention du cancer »! Et la plupart des consommateurs de soins médicaux tomberont dans le panneau parce qu’ils ne peuvent comprendre la manière dont l’industrie pharmaceutique s’arrange pour mentir avec des statistiques. Les gens finalement penseront : « Wow, si je prends ce médicament, j’ai 50%  de chances d’éviter le cancer !  

 

Et cependant, ce sera totalement faux. En fait, il n’y aurait selon l’étude que 1%  de chances d’éviter le cancer !

 

 

Un journaliste nous a récemment demandé de lui expliquer pourquoi la plupart du corps médical répétait ce même chiffre de « 70% d’efficacité de la vaccination antigrippale »… nous pensons que cet article répond amplement à sa question !

 

 

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13 octobre 2012 6 13 /10 /octobre /2012 21:59

autisme-photo.jpg

Témoignage: Vaincre l'autisme et les troubles du développement.... aujourd'hui, c'est possible!

 

Il y a quelques semaines j'ai été invitée à écouter le témoignage et combat d’une maman qui a vu son enfant fortement régresser.

 

Jusqu’à l’âge de 1,5 an Louis (nom d’emprunt) est un enfant rayonnant qui prononce ses premiers mots et joue avec entrain. Ensuite il commence à régresser lentement jusqu’à l’âge de 3 ans où Louis ne parle plus, s’isole, crie sans cesse, se réveille 6 fois par nuit, court en papillonnant, a des absences, se fracasse la tête à terre etc. Le diagnostic tombe « autisme régressif et retard mental » Les parents sont abasourdis et ne comprennent pas ce qui s’est passé. S’en suit une longue période de recherches. Les parents refusent de s’arrêter au diagnostic  et à l'idée que l’autisme est prédéterminé, incurable et définitif. En cherchant sur internet, ils découvrent des témoignages d'enfants qui ont guéri grâce, par exemple grâce à des régimes et des traitements nutritionnels avec l'aide d'experts auprès de l'« Autism Research institute » .

 

Ne perdant rien à essayer, ils entament immédiatement un régime sans produits laitiers et sans gluten. En 48h,  ils retrouvent un contact visuel avec Louis et  après 3 semaines, il cesse de se taper la tête à terre. Ces améliorations considérables leur donnent espoir pour poursuivre recherches et traitements.

 

Les parents consultent alors un médecin américain spécialisé dans le traitement des enfants autistes, recommandé par le même institut.  Commence alors un régime alimentaire strict, et un traitement nutritionnel intensif (vitamines, minéraux etc. dans des formes et dosages particuliers) pour suppléer les carences et restaurer le métabolisme déficient.  Après quelques mois, ils poursuivent par une cure d'élimination des métaux appelée chélation. Très vite ils obtiennent des améliorations. 

 

Entretemps, Louis est accueilli dans une école qui lui permet de grandir à son rythme et dans un cadre sain.  La collaboration avec l'école permet de poursuivre son régime et l'administration des compléments, d'autant qu'on le voit progresser de manière régulière.

 

Dans le cas de l’autisme, le régime et les compléments alimentaires sont spécifiques à chaque cas. Il existe d'ailleurs plusieurs types régimes dont les plus connus sont sans lait ni gluten, sans oxalates, sans féculents ni sucres…Il est très important  d'observer l’enfant, de noter ses réactions, ce qu'il a mangé, son comportement etc afin d'adapter au mieux son alimentation, car les 'tests' d'allergie ou intolérance alimentaire ne montrent pas toujours les sensibilités qu'ils ont.  

 

Mais des examens médicaux approfondis sont certainement très utiles.  Ceux de Louis ont révélé des carences en vitamines, acides gras, minéraux, acides aminés, des problèmes de candidose, un problème d’inflammation au niveau cellulaire et enfin la présence de plomb et de mercure. Ce 'tableau catastrophique' est typique chez les enfants autistes, même si beaucoup de médecins continuent de l'ignorer.

 

Les parents de Louis rencontrent d’autres parents d’enfants autistes. Et  ils sont surpris d’entendre que ceux-ci mettent en cause les vaccins. Cette thèse leur paraît peu probable, car il était peu vacciné... Bébé, il avait fait de fortes réactions (40° de fièvre pendant plusieurs jours) et ils avaient donc attendu longtemps avant de faire des rappels, s'en tenant au minimum (polio et tétanos).  Mais un jour, ils retrouvent d'anciennes vidéos de leurs enfants  petits, et s'aperçoivent que la régression de Louis a commencé quelques jours après ces rappels de vaccin.  Ils sont consternés. Même si le plomb provenait d'une autre source (pollution de l'eau ou de l'air sans doute) et que la dose élevée de mercure était probablement liée à la pose d'amalgames dentaires chez la maman durant l'allaitement, les vaccins semblent bien avoir été l'élément déclencheur de la régression.   

 

Il aura fallu deux ans de traitement intensif, suivant un régime strict où tout écart se payait cash, des quantités de suppléments par jour, …un investissement à temps plein, énormément de patience, beaucoup de recherches, de budget pour récupérer la santé de Louis… 

 

Mais ces efforts n’ont pas été vains, d’un diagnostique « incurable et définitif » l’enfant est devenu en 3 ans tout à fait « normal »  et a rattrapé tout son retard. Aujourd’hui, plus personne ne pourrait le reconnaître dans la classe parmi les autres enfants. Ce n’était donc pas un diagnostic incurable et définitif. Malheureusement, c’est encore trop souvent le message que les autorités médicales communiquent. Heureusement qu’avec internet et les réseaux sociaux, des témoignages de rétablissement se transmettent et donnent espoir à ces familles chamboulées. Le cas de Louis n’est pas isolé, aujourd’hui, d'autres enfants autistes ou ayant des troubles du développement voient leur santé s’améliorer. Tous n’ont pas eu cette réussite, mais beaucoup d’entre eux  ont vraiment progressé.

 

Un tout grand merci pour ce témoignage. (Initiative Citoyenne qui a pu écouter ce témoignage également au même moment, se joint à ces remerciements.)

 

Source : Mange mon amour

 

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13 octobre 2012 6 13 /10 /octobre /2012 20:48

injection--seringue.jpg

Papillomavirus: un candidat-vaccin thérapeutique prometteur… :

 

"D’après une étude parue dans la dernière édition de la revue Science Translational Medicine, des chercheurs auraient mis au point un candidat-vaccin thérapeutique contre les papillomavirus (HPV) des types 16 et 18

Ce dernier permettrait de réduire les risques de survenue de cancer de l’utérus chez les femmes déjà infectées.

 

Deuxième cancer le plus fréquent chez la femme, le cancer du col de l’utérus est la conséquence d’une infection aux papillomavirus humains (HPV), un agent pathogène qui se transmet au cours d’un rapport sexuel. 75 % des cas de tumeur étant dus aux HPV de types 16 et 18, justifie qu'ils sont particulièrement étudiés par les chercheurs. 

  

D’ailleurs, les deux vaccins préventifs existants (Gardasil et Cervarix) sont surtout efficaces contre ces deux souches. S’il est possible d’empêcher l’infection, aucun traitement ne permet d’enrayer le processus menant potentiellement au développement d’un cancer du col de l’utérus. D’après les dernières données prévisionnelles de l’Organisation mondiale de la santé, dans les 20 années à venir, cinq millions de décès dans le monde pourraient être dus à ce type de tumeur.


Face à ce triste constat, la communauté scientifique s’active à développer des traitements pour réduire les risques de développer un cancer du col de l’utérus. Plusieurs essais cliniques ont été menés à travers le monde, sans grand succès.


Pour la première fois, les premiers résultats d’une étude menée sur un candidat-vaccin thérapeutique à ADN contre le HPV semblent encourageants. Ce dernier contient les séquences ADN de deux oncogènes qui permettent de lutter contre l’évolution dans l’organisme des HPV 16 et 18. Testé sur 18 femmes âgées de 29 ans en moyenne et déjà infectées, le vaccin, qui est bien toléré, induit une réponse immune spécifique à ces virus.


En parallèle, un essai clinique de phase II est en cours. Les premières données sont plutôt encourageantes et ouvrent la voie à la mise en place, dans un avenir proche, d'un essai de phase III en vue de la commercialisation de ce vaccin dans moins de dix ans…."

 

Source: Information Hospitalière

 

Comment décrypter cette actualité ?

 

- Il est étonnant qu’on investisse (sans doute des sommes colossales) dans le développement de vaccins thérapeutiques alors que la clé pour la réduction des cas de cancers du col réside essentiellement dans le frottis et, éventuellement, la mise en place des mesures curatives existantes, déjà hautement efficaces et satisfaisantes, que sont le traitement laser et la conisation (= opération chirurgicale locale consistant à enlever mécaniquement les cellules malades). Aussi, si tout cet argent mal investi pour développer ces vaccins thérapeutiques l’était dans l’accessibilité financière au frottis pour toutes les femmes, cela sauverait plus sûrement de nombreuses vies !

 

- Il est incroyable que ces sérotypes HPV 16 et 18 continuent d’être présentés comme responsables d’une majorité de cas d’infections et de dysplasies puisqu’une étude américaine de 2009 a montré que ces souches-là de HPV n’étaient impliquées exclusivement que dans 2,3% des infections de toutes les femmes américaines tout au plus ! 60% des femmes présentant des dysplasies du col le doivent à des souches exclusivement NON vaccinales. Et par conséquent, ces vaccins thérapeutiques ne leur seront d’aucune utilité !

 

- Il semble bien qu’il faille stratégiquement faire croire que « le vaccin » règlera tous les problèmes des femmes : Gardasil & Cervarix pour les femmes jeunes et les futurs vaccins thérapeutiques ceux des « pôvres » femmes qui n’auront pas eu l’immense chance de recevoir Gardasil et Cervarix !

 

- Il est aussi illusoire de tout ramener à la production d’anticorps puisqu’il a déjà été prouvé que les anticorps ne sont pas forcément nécessaires pour la défense de l’organisme contre des infections virales. Et d’ailleurs, environ 1/3 des gens éliminent les HPV sans jamais avoir eu besoin de développer d’anticorps ...c’est donc bien qu’ils les éliminent d’une autre façon, le système immunitaire étant quelque chose de très complexe.

 

- Il est aussi affirmé que le vaccin est « bien toléré » mais uniquement sur base de tests réalisés sur 18 femmes (très petit nombre de candidates donc !)

 

- Enfin, il est indiqué que ce candidat vaccin thérapeutique comprend des séquences ADN des deux sérotypes (16 et 18) de HPV mais il est intéressant de signaler à ce propos que des séquences ADN de HPV indésirables ont été systématiquement retrouvées dans des échantillons de Gardasil provenant de divers pays et que, par ailleurs, les femmes déjà infectées sans le savoir par les sérotypes 16 et 18 de HPV au moment de leur vaccination par Gardasil, ont 44,6% plus de risques de pathologie cervicale (dysplasie susceptible d’évoluer en cancer, cf. p. 13/30). Après le décès de la jeune Jasmine Renata de Nouvelle Zélande, qui avait reçu sa dernière dose de Gardasil 6 mois avant son décès, son autopsie a révélé qu’elle restait porteuse d’ADN recombinant de HPV (=impureté issue du procédé de fabrication du Gardasil) et que celui-ci avait été détecté au niveau de la rate et du cerveau notamment ! Selon le Dr Lee, pathologiste américain, il est possible que ces séquences ADN indésirables aient pu persister anormalement longtemps dans le corps en raison d’un ferme attachement à l’aluminium du vaccin. On ne peut selon lui pas prouver mais pas exclure non plus, que la persistance au long cours de ces séquences ADN, ait pu jouer un rôle dans les mécanismes ayant mené au décès subit de la jeune femme. L’introduction d’un ADN étranger dans le corps humain par une voie immunologiquement non prévue n’est donc jamais un acte anodin. Méfions-nous donc des affirmations selon lesquelles un vaccin thérapeutique à base d’ADN serait « bien toléré » alors que seulement utilisé sur 18 femmes et sans aucune évolution à long terme à ce stade ! En outre, rien ne dit que l’évaluation de ce genre de vaccin portera sur ce genre de vérification, les études sont loin d’aller toujours aussi loin, on ne pense pas toujours à tout évaluer. Et puis de quoi sera composé exactement ce futur vaccin thérapeutique ? Cela aussi méritera une analyse le moment venu.

 

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13 octobre 2012 6 13 /10 /octobre /2012 20:12

Publié le Jeudi 11 octobre 2012

 

La société biopharmaceutique Fab’entech, située au cœur du Lyonbiopôle et spécialisée dans le développement d’anticorps polyclonaux spécifiques contre les maladies infectieuses émergentes, vient d’annoncer le lancement du premier essai chez l’homme de ses immunoglobulines polyclonales contre le virus H5N1 responsable de la grippe aviaire.

 

Si les résultats prometteurs obtenus lors des essais chez l’animal se confirment, ces immunoglobulines pourraient constituer une nouvelle approche spécifique dans le traitement des sujets potentiellement infectés par le virus H5N1.

 

L’immunothérapie passive consiste à injecter au patient des anticorps (immunoglobulines) polyclonaux spécifiques, capables de reconnaître de manière ciblée et de neutraliser le virus. Grâce à un procédé parfaitement maîtrisé, Fab’entech est capable de proposer au niveau de production industrielle des immunoglobulines hautement purifiées, sous forme de fragments [F(ab')2] d’immunoglobulines nécessaires à la neutralisation du virus.

 

« En lançant un essai clinique de phase I, nous franchissons une étape importante dans la mise à disposition d’une solution innovante pour lutter contre les infections humaines à virus H5N1 » a déclaré le Dr Bertrand Lépine, fondateur et Président-Directeur Général de Fab’entech.

 

« Cet essai va se dérouler à Singapour, dans une région où le risque de propagation du virus H5N1 est l’un des plus élevés. La disponibilité d’anticorps polyclonaux spécifiques contre le virus H5N1 pourrait ainsi permettre de conférer une protection immédiate à ceux qui auront été infectés ou exposés au virus. »

 

La tolérance et l’efficacité du produit de Fab’entech ont été largement documentées lors des études menées en collaboration avec l’Inserm dans le laboratoire P4-Jean Mérieux de Lyon. L’essai clinique qui débute va impliquer 16 adultes volontaires sains qui vont être suivis pendant 5 semaines. Cette étude sera effectuée en double aveugle versus placebo, dans le strict respect des Bonnes Pratiques Cliniques (BPC).

 

Source:  Fab'en tech & Mypharma-editions

 

Comment décrypter cette actualité ?

 

- Tout d’abord, on voit que la grippe aviaire inspire commercialement beaucoup trop… dur, dur de concilier à ce niveau les affirmations de bon sens selon lesquelles « une pandémie est imprévisible » et le fait que tous les nombreux investissements se focalisent sur la grippe aviaire en particulier !

 

- Ensuite, on peut souligner la « production industrielle » qui laisse supposer là encore la notion d’utilisation de masse… et éventuellement de contraintes, de pressions, voire de futures d’obligations ?

 

- En évoquant la sécurité/tolérance « largement documentée », on doit être prudent car c’est également toujours le discours officiel qui a été tenu au sujet des vaccins. Toutefois, on ne peut qu’être surpris qu’il y ait eu ici, pour ce qui n’est PAS un vaccin, une évaluation versus placebo… pourquoi donc alors n’en est-il JAMAIS de même avec les vaccins qui sont dispensés de toute évaluation contre placebo au nom de … l’éthique ?!! C'est donc bien, comme nous le dénonçons depuis le début, que la fabrication des sacrosaints vaccins ne respecte PAS les "Bonnes Pratiques Cliniques". CQFD!

 

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13 octobre 2012 6 13 /10 /octobre /2012 16:55
Infanrix Tetra Quinta Hexa, poudre et suspension pour suspension injectable en seringue préremplie - Laboratoire GSK - Retrait de lots
11/10/2012
 

MED 12/A031/B035

 

 

En accord avec l'ANSM, le Laboratoire GlaxoSmithKline procède, par mesure de précaution, au rappel de lots d'InfanrixTetra, Infanrix Quinta et Infanrix Hexa indiqués ci-dessous. Ce rappel fait suite à une non-conformité détectée lors d'un contrôle environnemental au sein de l'atelier de production. Aucune contamination n'a été constatée dans les produits eux-mêmes.

 

INFANRIX TETRA, suspension injectable IM

  • Lot : AC20B199AC
    Péremption : janvier 2014
  • CIP : 3400935524676

 

INFANRIX QUINTA, poudre et suspension pour suspension injectable IM

  • Lots A20CA742A - A20CA743A - A20CA744B
    Péremption : janvier 2014
    CIP : 3400935524737

 

INFANRIX HEXA, poudre et suspension pour suspension injectable IM

  • Lot : A21CB337A
    Péremption : janvier 2014
    CIP : 3400935495839

 

Source: ANSM (= Agence Nationale Française du Médicament)

 

Simple réflexion de bon sens : Si le principe de précaution avait réellement un jour été de mise avec les vaccins, comment se fait-il alors que le gouvernement américain ait déjà déboursé pas moins de 2,5 MILLIARDS de dollars en indemnisation des victimes de vaccins depuis 1986 et ce, alors que 2/3 des plaintes sont rejetées ?

 

Pourquoi aussi y a-t-il eu besoin que la Cour Suprême accorde aux fabricants l’impunité juridique en cas d’effets secondaires, à part, comme les analystes juridiques l’ont évoqué, pour éviter le risque de faillite des entreprises concernées ?

 

Nous souhaitons sur ce, une bonne réflexion à tous et… la lucidité nécessaire !

 

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13 octobre 2012 6 13 /10 /octobre /2012 16:45

flu-naturalnews.jpg

11 octobre 2012, Natural News, par Craig Stellpflug .

 

Les vaccins antigrippaux triplent le taux d'hospitalisations chez les enfants, mais n'attendez pas que les autorités s'en préoccupent.

 

Le thimérosal à base de mercure est utilisé comme conservateur pour "tuer des organismes". Ne sommes nous-pas des organismes humains? La plupart des vaccins antigrippaux contiennent 25 microgrammes de mercure, une quantité considérée comme n'étant pas sûre selon l'Agence de Protection de l'Environnement (EPA) pour toute personne de moins de 250 kg. A présent, prenez les deux doses de vaccin antigrippal recommandées et ça vous fait déjà 50 microgrammes de mercure toxique. Avez-vous déjà rencontré des femmes enceintes ou des bébés de 500 kg? (2X 250 kg puisque 2X le seuil toxique). L'argent de Big Pharma pèse apparemment plus lourd que des bébés morts et par conséquent, circulez, y a rien à voir, et continuez surtout à vous faire vacciner contre la grippe.

 

Le gouvernement américain  ne sait même pas accorder ses différentes agences sur la question du thiomersal toxique utilisé dans les vaccins. L'Institut de Médecine déconseille l'administration de vaccins contenant du mercure aux femmes enceintes, aux nourrissons et aux enfants en raison des effets dommageables et largement établis du thiomersal sur le système immunitaire, le métabolisme et le système nerveux.

 

Mais ce n'est pas ce qu'a raconté au Centre de Contrôle des Maladies (CDC) l'expert embauché par les pharmas, le Dr Jay Lieberman. Lieberman est consultant pour Merck, GSK et Sanofi Pasteur et fait partie du pannel de conférenciers de ces trois fabricants de vaccins. Toutes ces firmes pharmaceutiques utilisent du thiomersal pour la fabrication de leurs vaccins et Lieberman a fait une présentation au CDC qui ignorait l'amas d'études revues par les pairs, en se basant à la place sur un petit nombre d'études financées par l'industrie dont la méthodologie et les données épidémiologiques biaisées sont hautement contestables et qui ne relèvent donc sans surprise aucune association entre mercure et des dommages quelconques.

 

Dès le 7 juillet 1999, l'Académie Américaine de Pédiatrie (AAP) et le Département d'Etat de la Santé Publique publiaient un communiqué conjoint appelant "au retrait du thiomersal des vaccins le plus tôt possible en raison des effets neuro-développementaux possibles après exposition au thiomersal." Cela n'a toujours pas été fait à ce jour. Les niveaux de mercure ont été réduits dans certains vaccins infantiles mais selon le Dr Boyd Haley, de l'Université du Kentucky, le mercure est toujours bien présent dans tous les vaccins pédiatriques.

 

Même un extrait d'un "Questions-Réponses" qui se trouvait sur le site du Centre de Contrôle des Maladies en 1999, stipulait: "Q: Qui est le plus vulnérable au mercure? R: Deux groupes sont le plus vulnérables au méthyl mercure: le foetus et les enfants de moins de 14 ans." Bien sûr, cette déclaration contradictoire et fort embarrassante a depuis longtemps été retirée du site du CDC mais peut facilement être retrouvée via d'autres sites internet comme celui-ci:

http://www.cidpusa.org/pregnantVaccines.htm

 

Les enfants qui reçoivent le vaccin contre la grippe ont trois fois plus de risques d'être hospitalisés à cause de la grippe. Dans une étude destinée à déterminer si les vaccins antigrippaux réduisent les hospitalisations chez tous les enfants, des enfants âgés de 6 mois à 18 ans furent suivis à la clinique Mayo du Minnesota et chacun d'entre eux était atteint d'une infection au virus de l'influenza préalablement confirmée par un test de laboratoire. Il a été démontré que les enfants vaccinés avaient 3 fois plus de risques d'être hospitalisés comparativement aux enfants non vaccinés, avec un risque significativement accru d'hospitalisation pour les enfants asthmatiques vaccinés. Les enfants qui reçoivent le vaccin antigrippal encourent donc plus de risques d'être hospitalisés que ceux qui n'ont pas reçu ce vaccin, selon l'étude présentée au 105 ième Congrès de la Société américaine de Médecine Thoracique, à San Diego.

 

Devriez vous recevoir le vaccin antigrippal ou non?

 

Si vous aviez reçu une vaccination antigrippale saisonnière à l'automne 2009, vous encouriez alors déjà deux fois plus de risques de contracter la grippe A H1N1, selon une large étude canadienne. Le vaccin Pandemrix a provoqué un risque 17 fois plus grand de narcolepsie parmi les enfants vaccinés contre la grippe selon une étude et, selon le Dr Hugh Fudenberg et ses collègues, il apparaît que les gens de 55 ans et plus qui ont ont été vaccinés 5 années de suite contre la grippe ont un risque de maladie d'Alzheimer multiplié par 10. Une autre étude, publié dans le Lancet, avait rapporté que les vaccins antigrippaux n'avaient aucun effet protecteur chez 98,5% des adultes mais qu'ils causaient des troubles neurologiques chez 7,5% des personnes vaccinées.

 

Il n'existe aucune preuve que les vaccins contre la grippe diminuent l'incidence de cette maladie mais il y a en revanche des preuves qu'ils génèrent des effets secondaires et qu'ils causent du tort. Mais le choix reste toujours le vôtre au final. Tâchez de le faire de façon éclairée!

 

Sources :

 

Advanced Registered Nurse Practitioner Care Volume 10, Number 7 Official Neswletter of ARNPs United

http://www.cdc.gov

http://www.greenhealthwatch.com

 

Article original: NaturalNews

 

Incroyable : alors que toute autre cause qui provoquerait une multiplication par 3 du risque d’hospitalisation chez les enfants ferait immédiatement l’objet d’une communication et de conseils dûment médiatisés des associations de pédiatrie ou du Ministère de la Santé, ici, RIEN…c’est encore et toujours cette désespérante chape de plomb (qui est malgré tout en train de céder).

 

Et dire qu’on continue de recommander et de rembourser ces vaccins pour tous les enfants dits « à risque » (en ce compris les malheureux enfants atteints de cancer et qui sortent des chimiothérapies déjà redoutables en termes d’effets secondaires sur l’immunité !).

 

C’est vraiment sordide et plus que révoltant mais cela démontre hélas remarquablement bien le profond mépris et la profonde hypocrisie, tant des autorités que des fabricants de vaccins, à l’égard de ce public vulnérable.

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11 octobre 2012 4 11 /10 /octobre /2012 20:20

Les Oreillons Protègent Contre le Cancer de l’Ovaire :

Le Vaccin prive de cette Protection

 

Le cancer ovarien figure parmi les plus meurtriers. On sait depuis longtemps que le fait de faire les oreillons fournit une protection contre ce type de cancer. Aujourd’hui une étude vient montrer comment le vaccin contre les oreillons pourrait entraîner le décès de femmes par cancer de l’ovaire.

 

Fillette-Mumps.jpg

Photo Morgue File (morguefile.com)

 

Par Heidi Stevenson, 9 octobre 2012. Télécharger cet article en pdf

 

Les oreillons n’ont jamais été une maladie terrifiante. La meilleure manière pour un adulte d’éviter la stérilité à la suite des oreillons est de faire les oreillons au cours de l’enfance.

 

Aujourd’hui, la vaccination contre les oreillons est devenue routinière – et les taux de cancers de l’ovaire sont en augmentation.

 

On peut déjà entendre les opposants rétorquer : « Mais il n’y a pas de preuve de causalité ».La chose est certainement vraie, mais je ne prétends pas que le vaccin contre les oreillons provoque le cancer de l’ovaire. Ce que fait le vaccin, c’est interférer avec la fonction de prévention naturelle de la maladie destinée à prévenir le cancer ovarien. Ce point vient d’être scientifiquement documenté.

 

Depuis longtemps, on a soupçonné qu’il existait un lien entre la vaccination contre les oreillons et le fait de faire un cancer de l’ovaire. Une nouvelle étude publiée dans Cancer Causes and Control commence par cette phrase :

 

« Des études épidémiologiques ont montré que les oreillons pouvaient protéger contre le cancer de l’ovaire. Pour expliquer cette association, nous avons examiné si les oreillons pouvaient engendrer l’immunité contre le cancer de l’ovaire au moyen d’anticorps contre la protéine MUC1, antigène associé au cancer exprimé d’une manière anormale dans la glande parotide enflammée. »

 

En d’autres termes, il est bien admis que faire les oreillons fournit aux femmes une protection contre le cancer de l’ovaire  Il ne s’agit pas d’une protection absolue, mais il est un fait que la chose est connue depuis longtemps et semble bien être vraie.  

 

Une Etude Identifie les Facteurs de Protection Contre le Cancer de l’Ovaire

 

L’étude a porté sur la glycoprotéine MUC1, un constituant élémentaire du mucus, qui se trouve être l’un des éléments les plus importants du système immunitaire. Ci-dessous, le raisonnement qui a conduit à cette étude :

 

*   De fortes réactions inflammatoires associées à la ligature des trompes et à la mammite   protègent contre le cancer de l’ovaire (Les mêmes chercheurs avaient déjà démontré la chose dans une étude antérieure)

 

*   Les tissus au niveau des trompes ligaturées et dans la mammite (aussi appelée mastite) expriment le MUC1.

 

*   De fortes manifestations inflammatoires dans les cas de ligature des trompes et de  mammites provoquent une sur expression du MUC1 ;

 

*   La sur expression du MUC1 – qui entraîne l’apparition d’anti corps anti-MUC1 – pourrait expliquer pourquoi la ligature des trompes et la mammite contribueraient à la protection du cancer de l’ovaire.

 

*   Si la sur expression du MUC1 existe aussi dans les oreillons, on peut donc en conclure que les oreillons fournissent une protection contre le cancer de l’ovaire.  

 

Ils ont prélevé des échantillons de sérum (une forme liquide d’échantillons sanguins) de 161 personnes qui avaient eu les oreillons et de 194 personnes qui ne les avaient pas contractés. Tous les échantillons ont été testés en aveugle. C'est-à-dire que les échantillons de sang analysés l’ont été par des gens qui ne savaient pas si les échantillons provenaient de personnes avec ou sans oreillons.

 

La conclusion des chercheurs

 

L’étude a montré que les personnes avec des oreillons actifs et celles qui avaient récemment développé les oreillons, ont un niveau significativement plus élevé d’anticorps anti-MUC1que ceux qui n’ont pas, ou n’ont pas fait récemment cette maladie. Ils ont conclu :

 

« Clairement, la vaccination contre les oreillons crée uniquement des anticorps antiviraux et ne mène pas à la production d’anticorps anti-MUC1, qui, comme nous l’avons montré, requièrent une parotidite active. S’il est vrai que les oreillons symptomatiques protègent du cancer ovarien au travers de la réaction immunitaire, la conséquence logique est que l’on doit s’attendre à un taux supérieur de cancers de l’ovaire vu que les infections des oreillons ont été réduites par la vaccination.

 

En d’autres mots, les chercheurs ont montré que faire les oreillons entraîne la production d’anticorps contre le MUC1 et que ces anticorps contribuent à la protection contre le cancer des ovaires. Ils signalent aussi qu’il est tout à fait logique que la vaccination contre les oreillons ne devrait pas protéger contre le cancer des ovaires, parce que la vaccination ne suscite pas d’anticorps anti MUC1. Les chercheurs recourent à des termes particulièrement forts dans leurs conclusions au sujet du vaccin contre les oreillons et de la nature relativement bénigne de la maladie elle-même :

 

« Avant la vaccination, les oreillons était une maladie généralement bénigne mais qui pouvait donner lieu à de sévères séquelles incluant l’orchite et la stérilité, la méningite et la surdité, ainsi que la pancréatite. Néanmoins, notre étude suggère qu’il pourrait y avoir à long terme des bénéfices anti-cancer non anticipés d’une infection contre les oreillons, comme nous l’avons décrit dans cette publication. »

 

Nous pouvons résumer les résultats de cette façon :

 

*   Les oreillons sont une maladie bénigne.

*   Les oreillons induisent rarement des séquelles.

*   Les oreillons fournissent un bénéfice anticancer à long terme.

 

Nous savons que beaucoup de cancers sont en hausse. Quelle part de la hausse des cancers, en l’occurrence ici ovariens, est-elle imputable au vaccin contre les oreillons ?

 

Malheureusement, toutefois, les chercheurs ont semblé manquer cette question essentielle dans le reste de leur conclusion :

 

« Comprendre la portée et les mécanismes des bénéfices potentiels des maladies infantiles pourrait permettre aux immunologistes de reproduire ces effets bénéfiques avec la vaccination qui fournit le moyen d’éviter une infection naturelle et ses possibles conséquences immédiates. De plus amples études d’individus en cours d’infection des oreillons, plus spécialement focalisées sur l’immunité mucine pourraient fournir des pistes pour dupliquer ces effets bénéfiques de la parotidite ourlienne suggérés par cette étude. »

 

Au lieu de considérer que le vaccin contre les oreillons pourrait faire plus de mal que de bien, les auteurs nivellent la réflexion par le bas. Ils suggèrent d’essayer de susciter artificiellement les mêmes bénéfices que les oreillons procurent naturellement. Au lieu de considérer qu’un autre effet secondaire « imprévu » pourrait se produire – et qui, probablement se produira – ils suggèrent de suivre la même approche périmée consistant à bafouer la nature.

 

Au lieu de questionner l’erreur que pourrait constituer la vaccination contre les oreillons elle-même, ils suggèrent d’essayer de contourner le seul inconvénient qu’ils semblent avoir compris. Ils n’envisagent même pas qu’ils puissent s’être trompés de voie et, en dépit de leur démonstration que le vaccin pourrait faire plus de mal que de bien, ils ne remettent même pas le vaccin lui-même en question !

 

Est-ce que le temps viendra un jour où ils pourront prendre le recul suffisant pour se rendre compte que leurs découvertes ne sont pas une excuse pour continuer dans cette même direction funeste et qu’il est, au contraire, grand temps de considérer que leurs postulats de base pourraient bien être erronés.

  

Sources :

 

1. Mumps and ovarian cancer: modern interpretation of an historic association

2. Ovarian cancer incidence statistics

3. Possible role of mumps virus in the etiology of ovarian cancer.

 

Article original: Gaia Health [Traduction copyleft: Initiative Citoyenne]



Cet article en pdf: ICI 

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