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20 juin 2012 3 20 /06 /juin /2012 22:08

La vaccination et notamment la vaccination des enfants fait de plus en plus débat.

 

C'est ce que reflète de façon pertinente et équilibrée cet article de Sandra Evrard paru dans la revue de la Ligue de l'Enseignement et de l'éducation permanente de juin 2012.

 

Initiative Citoyenne se réjouit que le corps enseignant et les parents soient ainsi mieux informés de la controverse et des objections solides et objectives qui existent par rapport au discours officiel dogmatique et de moins en moins crédible.

 

Bien entendu, il n'est guère difficile d'imaginer qu'un tel article doit fortement déplaire à l'establishment vaccinaliste officiel dont un des grands objectifs a toujours été de faire croire à la fausse unanimité médico-scientifique derrière la sacrosainte vaccination!

 

Le mur du silence est véritablement en train de s'effriter et c'est là un euphémisme.

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15 juin 2012 5 15 /06 /juin /2012 09:24
ATTENTION ! L’article traduit ci - dessous nous parle de dossiers médicaux « intégrés » informatisés qui vont être testés par l’armée des Etats Unis avant une généralisation prévue mondiale !   Ces dossiers électroniques que l’on met en place un peu partout (en Belgique aussi ! (*) ) et qui vont immanquablement à terme nous retirer le droit de gérer nous - même notre santé et celle de nos enfants  comme nous l’entendons,  sont aussi prévus, une fois au point, pour fonctionner avec des « bénéficiaires » implantés électroniquement, avec une puce électronique portant un numéro renvoyant à ce dossier – ce qui deviendra immanquablement obligatoire d’une manière ou d’une autre – surtout en l’absence d’une opposition ferme et massive qui fait, jusqu’à présent totalement défaut !!! Pour les belges qui l’ignoreraient , nous avons aussi un ‘dossier pharmaceutique’ qui enregistre tout ce que nous achetons.

http://www.positiveidcorp.com/products.html

 

Rappel : La puce RFID et l’information médicale

http://www.sixi.be/La-puce-RFId-et-l-information-medicale_a643.html

 

Lettre ouverte aux intervenants médicaux (Belgique 2006)

http://www.stoppuce.be/docs/Lettre_ouverte.pdf

(*) https://www.ehealth.fgov.be/fr/home 

 

***

Le NMCP sera le site initial pour le nouveau registre intégré de santé électronique

 

Numéro de cette histoire : nns120604-28 date de publication : le 04/06/2012 à 19:18:00

Par Rebecca A. Perron, centre médical naval de Portsmouth affaires publiques

 

Portsmouth, virginie (nns) - sur les talons de l’annonce des ministères de la défense et des anciens combattants selon laquelle le Naval Medical Center Portsmouth (centre medical naval de Portsmouth ou nmcp) serait parmi les premières installations de traitement militaires a déployer le dossier de santé électronique intégré (integrated electronic health record), le directeur du bureau du programme inter institutions du ministère de la défense de virginie, a visité la mncp le 1er juin.

 

Il s’agit de la prochaine étape dans le fait de rendre les dossiers médicaux des patients accessibles par voie électronique et a tout moment, n'importe ou, afin que les médecins puissent voir les antécédents complets d'un patient en un coup d'œil. Mais d'abord, beaucoup de préparation doit être effectuées.

 

Durant cette visite axée sur le programme pilote, le Dr Barclay p. Butler a rencontré le conseil exécutif de commandement du NMCP , débattant avec la direction du commandement des étapes nécessaires au cours des deux prochaines années pour mettre en application ce registre, qui sera accessible par n'importe quelle infrastructure médicale du département de la défense ou de virginie.

 

"Cette réunion a constitué le coup d'envoi en termes d'ouverture des débats, d’engagement et de préparation à cela", a déclaré le commandant Rick Mccarthy, officier en chef de l’information du NMCP . "Cette initiative conjointe du DOD  (ministère de la défense) et de la Virginie représente l'avenir pour ces deux organisations, et être l'un des premiers à en réaliser la phase pilote en 2014 constitue une grande opportunité pour nous."

 

Le registre comprendrait des données de santé provenant de ce que le bureau du programme inter-agences appelle le "premier salut aux derniers honneurs" des membres de services, et fait partie de l’initiative présidentielle « Virtual Lifetime Electronic record » (registre électronique virtuel à vie). Une fois terminé, l’initiative de registre électronique de santé du ministère de la défense et de la Virginie constituera le plus grand réseau intégré du monde, et combinera 254 systèmes de registre électronique de santé (Electronic Health Record ou EHR), dont 153 proviendront de la virginie et 101 proviendront du ministère de la défense.

 

« L'initiative principale est la continuité capable des soins cliniques que le patient reçoit, non seulement lorsqu’il lève la main pour la première fois, mais tout au long de son service et lorsqu’il nous quitte », a expliqué Butler. "c'est une façon de constituer ce dossier unique et de fournir les meilleurs soins, une proposition basée sur la valeur et qui est due au bénéficiaire."

 

Selon Butler, le NMCP et les autres infrastructures militaires proches et de traitement ont été sélectionnés pour le programme pilote pour deux raisons.

 

« Cette région est l'un des deux sites sélectionnés, San Antonio est l'autre (site sélectionné) », a dit Butler. "la principale raison pour laquelle nous avons choisi la région, est qu’elle possède une concentration importante de la marine et de l’armée, de la force aérienne et des anciens combattants également. nous serons en mesure de répondre à toutes les parties prenantes parce qu'elles sont toutes représentées dans cette région. le centre de réadaptation poly-traumatique de Richmond est inclus aussi ».

 

Le NMCP  a également été choisi en raison de son personnel ambitieux et de ses capacités cliniques.

 

« Nous avons fait le bon choix parce que le climat de commandement est extrêmement orienté vers le futur », a dit Butler. « Le personnel est engagé et enthousiaste, et c'est un commandement qui est non seulement capable d'un degré supérieur de capacités cliniques, mais qui est techniquement capable. Quand nous rapprochons ces deux (caractéristiques), nous pouvons améliorer les soins prodigués aux patients ».

 

La première phase de la mise en application consiste à déterminer l'infrastructure qui doit être ajoutée afin de tenir compte des nouvelles capacités cliniques.

 

« Dès que nous le pourrons, nous amènerons les produits et solutions auxquels les cliniciens feront face », a dit Butler. « il a été décidé que les premiers utilisateurs seront le laboratoire et la pharmacie, ainsi que les vaccinations. Il s'agit d'une procédure exclusive pour les entreprises gouvernementales. au cours des deux prochaines années, nous mettrons en application ce système avec une série de communiqués, ce qui se terminera par le fait que l'ensemble des cliniques y auront accès ».

 

« Ce que cela signifie, c'est que nous devons développer un système complet », a dit Mccarthy. « Ils sont très concentrés sur le fait que ceci sera un produit pour notre personnel, en particulier pour notre personnel clinique et les prestataires qui fournissent les soins de santé. cela signifie qu'il faut développer ceci en gardant les cliniciens à l'esprit. le personnel clinique, des techniciens aux infirmières, en passant par l les médecins, tous ceux qui constituent les parties prenantes, auront un rôle dans son développement ».

 

En testant et en mettant en application ce système dans les MTF du sud-est de la virginie et de San Antonio, l'agence aura le temps de le tester et d’effectuer des ajustements basés sur l'expérience dans ce domaine avant qu'il soit prêt a devenir mondial d'ici 2017.

 

"Le système complet sera plus que ce que la personne voit simplement à l'écran, mais (il sera) aussi l'interopérabilité et l'architecture générale qui prennent en charge non seulement la documentation des soins cliniques, ainsi que les capacités analytiques et l'analyse de ces précieuses informations afin d’améliorer les soins de santé contre les soins de santé simples », a dit Mccarthy.

 

Les patients bénéficieront (de tout ceci) parce que le personnel médical sera capable d'extraire des données à partir du nouveau système afin d’aider à prédire qui possède des risques de développer des maladies chroniques, comme les maladies cardiaques ou le diabète. davantage de santé pour la population et un spectre d’analyse plus large seront mis en place afin de relever les principaux indicateurs et de fournir des soins de santé préventifs, plutôt que d'être simplement réactif.

 

«La prochaine étape dans ce processus consiste à s'engager davantage avec ceux qui sont impliques dans le système et de mettre au point les détails qui seront nécessaires pour un déploiement réussi de ce programme», a dit Mccarthy. « Lors de la discussion du Dr Butler, il a dit qu'ils réaliseraient bientôt l’esquisse du calendrier et les détails de ce qui sera fait a tel ou tel point afin de franchir des étapes spécifiques."

 

A la fin de la visite, Butler a dit que ses visites seraient trimestrielles à l'avenir, et il a souligné l'importance de la réussite du programme.

 

« Quant aux secrétaires des deux ministères, ils soutiennent fermement ces efforts », a dit Butler. « Ils ont mis au point une charte spécifique aux capacités opérationnelles initiales, et sont le point de responsabilité unique pour le déploiement du registre intégré de santé électronique ».

 

« Cette amélioration significative de nos soins de santé au ministère de la défense et en virginie les amènent au niveau suivant », a ajouté McCarthy. « le thème plus large, c'est que nous sommes la moitié de la tarte, mais nous servirons afin d’améliorer notre capacité à fournir de meilleurs soins de à nos bénéficiaires. c'est un nouveau départ ».

 

pour plus d'informations, visitez les sites www.navy.mil , www.facebook.com/usnavy  , ou www.twitter.com/usnavy  .

 

pour de plus amples informations provenant du Naval Medical Center Portsmouth, visitez www.navy.mil/local/nmcp /.

 

[Traduction de l'article original par Vicflame]

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14 juin 2012 4 14 /06 /juin /2012 22:24

Paris, le mercredi 13 juin 2012 – La première victime de l’épidémie de grippe A(H1N1) demeure toujours, trois ans plus tard, la vaccination saisonnière contre la grippe. Alors que depuis la fin des années 90, le taux de personnes s’immunisant chaque année contre les virus grippaux ne cessait, lentement, mais sûrement, de progresser passant ainsi de 20 à 26 % en 2009, une diminution « significative » selon le mot du professeur Bruno Lina, président du conseil scientifique du Groupe d’expertise et d’information sur la grippe (GEIG) s’observe depuis deux ans.

Baisse de 25 % chez les sujets atteints de maladies chroniques

Les chiffres présentés hier par le GEIG sur la base d’une enquête réalisée auprès de 6000 personnes de plus de 15 ans par l’institut Kantar Health révèle en effet que seuls 23,4 % des Français se sont fait vacciner contre la grippe cet hiver, contre 26 % il y a deux ans. Certaines régions accusent des résultats plus décevants encore, tels que le quart  sud ouest où à peine plus de 20 % des plus de 15 ans se sont protégés contre le virus grippal cet hiver. Toutes les catégories de population sont concernées, y compris celles qui font l’objet de recommandations de vaccination spécifiques. Ainsi, seuls 62 % des plus de 65 ans se sont vaccinés contre la grippe cette année contre 69 % l’année dernière et 71 % il y a deux ans. De même, chez les patients atteints de maladies chroniques, la couverture vaccinale ne dépasse pas les 49 %, voire même les 43 % chez ceux atteints de broncho-penumopathie chronique obstructive (BPCO), soit une baisse vertigineuse de 25 % par rapport à 2009-2010. Chez les enfants, les résultats sont plus accablants encore : 11 % des petits à risque ont été vaccinés cette année contre 21 % il y a deux ans. Enfin, on compte seulement 3 % de parents de nourrissons protégés contre la grippe en 2011, contre 15 % en 2009-2010.

Le mauvais exemple

Bien sûr, en guise d’explication, les retombées du « fiasco » de la campagne de vaccination contre l’épidémie de 2009 sont citées en priorité. Le professeur Bruno Lina suggère également que le fait que le vaccin de cette année ait été le même que celui de l’année dernière a peut-être incité certains à penser qu’une nouvelle injection n’était pas nécessaire. Un tel état d’esprit confirme le défaut d’information des populations sur la vaccination et sur la grippe en général.

 

Un manque de connaissance probablement directement lié à l’attitude même des professionnels de santé. Si l’on devait leur reconnaître un rôle d’exemplarité en la matière, les raisons des très faibles couvertures vaccinales contre la grippe seraient alors facilement élucidées. L’étude du GEIG révèle en effet qu’en 2011, seuls 60 % des médecins généralistes, 40 % des hospitaliers, 11 à 12 % des infirmières salariées et 3 % des infirmières libérales ont accepté de se vacciner contre la grippe. Des résultats en forme de messages particulièrement contre productifs à l’intention des patients.

 

Il est en tout cas certain d’une chose, les conséquences du recul de la vaccination contre la grippe ne se sont pas faites attendre. Cette année, la mortalité a été plus importante qu’en 2010-2011.

 

Source: JIM

 

Les affirmations sur la hausse de la mortalité prétendument liée à la baisse de la vaccination antigrippale sont peu crédibles étant donné les aveux d’instances officielles sur l’absence de preuves scientifiques d’efficacité chez les sujets âgés et ceux des groupes dit « à risque », de même que plusieurs constatations selon lesquelles aux USA par exemple, une hausse de couverture vaccinale de 50% entre 1980 et aujourd’hui ne s’est pas accompagnée de la moindre baisse de mortalité ou encore que la vaccination systématique des enfants contre la grippe dès 2005 s’est au contraire accompagnée d’une hausse nette de la mortalité dans cette tranche d’âge.

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14 juin 2012 4 14 /06 /juin /2012 19:40

13 juin 2012

 

Dans un communiqué de presse du 13 juin dernier, l'Australian Vaccination Network (AVN) signale le refus des officiels de santé publique australiens d'envoyer un orateur pour relayer leur point de vue au cours d'un débat contradictoire, ouvert aux médecins et au public.

 

Pour cette association citoyenne australienne, il est essentiel de donner la parole à tous les points de vue, pour permettre au plus grand nombre de réaliser une décision réellement libre et éclairée.

 

C'est pourquoi, ils se sont démenés pour essayer d'obtenir la présence d'un expert défendant le point de vue officiel. Et ils évoquent à ce propos leurs nombreuses démarches:

 

"Le Dr Chris Ingall était incapable d'assister à ce séminaire. Mr Vahid Saberi de l'Association Medicare de la côte nord n'a pas répondu à notre fax et à notre email. Le Dr Marianne Trent, Coordinatrice de la Vaccination de l'Unité de la Santé publique de la côté nord du pays a également manqué de répondre à nos appels téléphoniques, nos fax et nos emails. Mais la réponse la plus décevante fut celle de Mr Paul Corben, Directeur de la Santé Publique qui a affirmé que personne de la Santé Publique ne prendrait la parole à ce genre de séminaires et qu'il ne transmettrait à personne d'autre cette demande de notre part, en notre nom."

 

Et cette association de commenter ainsi le caractère ubuesque de pareille couardise:

 

"C'est une chose de dire aux parents qu'ils doivent tous vacciner leurs enfants mais ça en est une autre de leur refuser l'opportunité de pouvoir ainsi confronter les différents points de vue de part et d'autres et de pouvoir poser d'importantes questions au cours d'un débat public! "

 

"En raison de ce refus de la communauté médicale d'être questionnable et accessible par les parents australiens et parce que beaucoup de médecins sont curieux de savoir ce que leurs propres organisations peuvent leur cacher, l'Australian Vaccination Network souhaite ainsi étendre l'invitation gratuite à ce séminaire à chaque médecin de famille, spécialiste ou tout autre professionnel de santé. Tout ce que ceux-ci auront alors à faire sera de prouver leurs qualifications à l'entrée et il ne leur sera demandé aucuns frais d'admission. L'Australian Vaccination Network espère voir beaucoup de professionnels de santé présents, de façon à ce que l'information puisse se diffuser gratuitement et de façon respectueuse."

 

Cette attitude est scandaleuse, mais elle n'est hélas pas propre à l'Australie.

 

En effet, alors que le groupe des Objecteurs de Croissance avait convié des gens de Provac et de la Communauté française à leur débat public sur la vaccination infantile, le 14 octobre dernier à l'ULB, ceux-ci avaient également adopté la politique de la chaise vide.

 

Mais ce n'est pas tout: il y a quelques mois, quand le député Bapt conviait quelques médecins à l'Assemblée Nationale à une "réunion de consensus sur la vaccination HPV", plusieurs officiels ont aussi poussé des hauts cris en s'indignant que quelques députés et médecins puissent prendre ce genre d'initiative et osent ainsi les inviter eux, grands experts, à enfin descendre de leur fragile piédestal pour oser descendre dans l'arène et venir débattre.

 

Cette attitude fut la même pour l'OMS lorsqu'il s'agissait de venir s'expliquer sur les campagnes vaccinales violentes contre la polio dont elle était responsable en Afrique. Malgré sa promesse d'être présente et d'envoyer un représentant, l'OMS avait finalement, elle aussi, appliqué la politique affligeante mais à la fois très démonstrative de la chaise vide.

 

De même, l'ONE craint la presse et la moindre confrontation. Cela n'est en effet pas un hasard si cette instance n'a jamais pu ou voulu répondre sur le fond au courrier extrêmement précis que nous lui avions adressé par recommandé en décembre dernier au sujet de la sécurité vaccinale. L'ONE, qui organisera d'ailleurs une sorte de symposium sur la vaccination ouvert au public le 13 octobre prochain, n'invitera ainsi très probablement que des experts au discours convenu et couru d'avance. L'inverse serait sans doute pour cette instance beaucoup trop risqué.

 

Et vraisemblablement, le fait d'être discrédités publiquement est LA grande crainte des experts. Car ils savent pertinemment qu'ils n'ont pas les réponses aux questions "les plus chaudes" et les plus accablantes, alors, c'est logique, ils préfèrent le confort ronronnant de rester entre eux. Rien là de très surprenant.

 

C'est ce qui explique qu'après le débat audio fracassant du Forum de Midi de mars 2011 sur la vaccination, il n'était certainement plus question d'oser encore remettre le couvert, d'où un Forum de Midi de ce jour aseptisé et "bien délimité" avec les meilleurs protagonistes possibles pour un vrai faux débat par excellence (qui distillaient ainsi par exemple leurs croyances sur l'éradication de la variole par la vaccination alors que même l'OMS a admis le contraire ou qui évoquaient uniquement la vaccination polio orale en termes élogieux sans rien dire des dizaines de milliers de paralysies flasques irréversibles qu'il a engendrées, etc etc)

 

Même s'ils refusent le débat, ce débat s'imposera de plus en plus à cette caste dans les années qui viennent, tout simplement parce qu'ils se sont trop permis. Ils se sont par exemple permis de diffuser une publicité trompeuse (et reconnue comme telle par les instances compétentes), qui comparait la vaccination à un parapluie ou à une ceinture de sécurité, tout en se permettant après coup de continuer à la diffuser en dépit de la décision rendue. Ils se sont donc permis de se placer au-dessus des règles. Exactement comme Mme Onkelinx qui prévenait déjà de la possibilité de remodeler la loi sur les droits du patient de 2002 pour éventuellement maintenir l'obligation vaccinale polio en cas d'évolution jurisprudentielle après le procès de Tournai!

 

Ils croient pouvoir arriver à tout, tout exiger et ne rien assumer. Cette arrogance toutefois les perdra. C'est inévitable.


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12 juin 2012 2 12 /06 /juin /2012 23:19
12 juin 2012
 
«L'arrêt du vaccin obligatoire anti-tuberculose BCG pour les nourrissons en 2007 n'a pas eu d'impact négatif sur le nombre de cas de tuberculose chez les enfants en France, selon une étude publiée mardi dans le Bulletin épidémiologique hebdomadaire (BEH).»
 
Source: Le Monde
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11 juin 2012 1 11 /06 /juin /2012 15:51

Martin Winckler est médecin généraliste et ancien chroniqueur médical. Il dresse dans cet article du Monde un portrait lucide de cette caste qui croit tout savoir sur tout et dont laquelle est issue tous ces bons experts qui entendent édicter des directives sanitaires applicables à tous.

 

A mettre entre toutes les mains, pour démystifier aussi le piédestal indû sur lequel l'opinion publique a placé les médecins en les croyant tous aveuglément dignes de confiance.

 

NB: Si l'article ne s'affiche pas à l'endroit, cliquer sur l'onglet affichage (en haut) puis sur rotation et enfin faites un clic sur "rotation horaire".

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10 juin 2012 7 10 /06 /juin /2012 23:00

Fotolia--medecin.jpg

L'Institut National français de Prévention et d'Education à la Santé (INPES) a édité il y a peu un argumentaire destiné aux médecins, de façon à les aider à mieux fourguer la vaccination rougeole oreillons rubéole (ROR) en deux doses, à leurs patients.

 

Ce document, mis à jour en mars 2012, est organisé sous forme de 10 questions- réponses, censées aider les professionnels à répondre à toutes les questions les plus courantes à ce sujet. Chaque réponse à chacune des 10 questions comporte deux volets, un volet en gras qui sert à répondre aux parents et un volet en italique, davantage destiné à l'information des professionnels eux-mêmes.

 

Qu'on soit simple citoyen, journaliste ou même médecin, la première question à se poser quand on tombe sur pareil document, c'est : est-ce une information fiable, logique et crédible ou n'est-ce rien d'autre qu'un "océan de vérités avec cependant quelques gouttes de mensonges qui invalident tout", autrement dit, une belle propagande bien ficelée?

 

Analysons donc ce document point par point, question après question.

 

1°) La question de la justification de la vaccination (pourquoi vacciner?)

 

Le discours simpliste destiné aux parents se résume à dire que la vaccination permet d'éviter les rares complications de ces trois maladies majoritairement bénignes contre lesquelles il n'existe aucun traitement curatif. Cette réponse est en fait surtout destinée à faire avaler aux parents qu'il est ultra indispensable de vacciner alors que la majorité des générations qui nous ont précédé ont très bien vécu sans.

 

Le volet destiné aux médecins est celui de la dramatisation anxiogène du caractère transmissible et donc de la contagiosité des virus. Ce volet tente aussi de "motiver les médecins à faire du chiffre" en termes de couverture vaccinale puisque qu'il tente de justifier la nécessité de 95% de couverture vaccinale par la seconde dose en indiquant (bel aveu d'échec) que "le virus de la rougeole continue à circuler, même à l'intérieur d'une population bien vaccinée comportant relativement peu de sujets réceptifs." Un passage qui fait donc penser à un précédent aveu d'un professeur français qui avait une fois déclaré au cours d'une émission que c'était normal que "si tout le monde est vacciné, les cas de rougeole surviennent chez des gens... vaccinés!"

 

2°) La question des complications de la rougeole et la différence en termes de fréquence avec les pays en développement.

 

Le volet destiné aux parents consiste notamment à indiquer que sur "3 cas de rougeole en France, 1 cas doit être hospitalisé" (mais bien sûr sans indiquer la responsabilité vaccinale de cette aggravation en valeur absolue des cas qui surviennent car cette vaccination a induit un déplacement d'âge de survenue de la maladie!). On évoque la fatigue que peut induire la rougeole ou encore le risque d'encéphalite, tout en se gardant toutefois bien de dire aux parents que les vaccins ROR peuvent aussi être sources de fatigue chronique et même d'encéphalites pouvant donner lieu à des handicaps mentaux irréversibles.

 

La partie en italique destinée aux médecins évoque la baisse des décès prétendument attribuée à la vaccination mais sans rien dire des décès imputables à cette même vaccination ce qui biaise donc d'emblée toute la crédibilité à accorder à ce genre de deux poids, deux mesures et donne bien sûr une idée du parti-pris idéologique et anti-scientifique de départ.

 

3°) La question de la nécessité d'une seconde dose (au lieu d'une seule)

 

Le discours simpliste destiné aux parents consiste à leur faire croire qu'avec deux doses, leur enfant sera "complètement et efficacement protégé", tout en leur faisant oublier que ces mêmes apprentis-sorciers avaient juré leurs grands dieux à l'époque de l'introduction du vaccin qu'une seule dose protégerait à vie. En vérité, ils n'en savaient rien mais déjà à l'époque, ils prétendaient en savoir plus que ce qui était le cas. A présent, aucune leçon n'est tirée et c'est la même assurance et arrogance délétères qui sont encore et toujours à l'oeuvre puis on dira qu'il faut une troisième dose ou que les échecs sont dus au fait qu'il y aura "seulement" 96% au lieu de 99% de gens vaccinés etc etc

 

Dans le discours destiné aux médecins pour justifier cette seconde dose, on revient sur des chiffres enthousiastes mais issus d'études de chercheurs en conflits d'intérêts, selon lesquels, 5 à 10% des gens ne répondraient pas à la première dose mais dont les 9 dixièmes répondraient cependant à la deuxième. Les médecins sont donc encouragés à vérifier, comme de bons petits soldats bien drillés, que tous les jeunes adultes nés après 1980 ont bien reçu deux doses de cette triple vaccination.

 

4°) La question des cas de rougeole qui surviennent chez des gens vaccinés

 

Le discours destiné au grand public affirme que la rougeole survient surtout chez ceux qui n'ont reçu qu'une dose et que chez ceux qui auraient reçu deux doses, c'est "un évènement rare".

 

Les médecins reçoivent quant à eux un nouveau discours enthousiaste sur l'efficacité du vaccin depuis son introduction en 1983 (sans qu'il leur soit bien sûr rappelé qu'à cette époque et même déjà un peu avant, plusieurs médecins avaient mis en garde contre les risques d'une telle vaccination de masse contre des maladies statistiquement bénignes comme la rougeole)

 

5°) La question centrale des effets secondaires possibles de la vaccination

 

Sensés paraître sincères et objectifs, les propos destinés au public commencent par admettre qu'il peut y avoir des effets secondaires mais se limitent, comme d'habitude à parler du risque de fièvre et de convulsion fébrile, tout en terminant par une phrase extrêmement générale selon laquelle "les effets indésirables sévères sont extrêmement rares".

 

Les médecins ont, eux, droit à un texte (en italique) déjà un peu plus détaillé qui mentionne la possibilité d'éruption chez un vacciné sur 20 mais aussi la mention d'effets secondaires plus graves, notamment d'ordre neurologique (encéphalomyélite) ou auto-immun (thrombocytopénie, c'est à dire une destruction des plaquettes sanguines avec risque hémorragique). Il est d'abord fait mention d'un taux de notification global (toutes gravités confondues) de 1,25 sur 100 000 vaccinations.

 

Lorsqu'on sait que seuls 1 à 10% des effets secondaires (même graves) des vaccins sont effectivement rapportés, ce chiffre est donc déjà de 12,5 à 125 sur 100 000.

 

Ce qui porte le risque individuel, si le sujet subit deux doses à la fourchette de 25 à 250 sur 100 000. Pour faire clair, si on veut bien tenir compte de cette sous-notification carabinée (admise même par l'agence française du médicament!), un sujet qui reçoit deux doses de vaccin ROR encourt donc un risque d'effet secondaire de  1/4000 à 1/400, soit un risque potentiellement supérieur à celui encouru avant la vaccination par les enfants qui contractaient naturellement ces maladies.

 

Mais ensuite, il s'agit de faire frauduleusement croire aux praticiens que le lien entre vaccination ROR & autisme serait uniquement lié aux travaux de Wakefield et que ce lien aurait cessé avec la chasse aux sorcières menée contre Wakefield et ses collègues.

 

En réalité, mais cela on ne le dit pas aux médecins, les travaux de Wakefield ont été reproduits à plusieurs reprises par d'autres équipes de chercheurs qui, eux, n'ont jamais été contestés.

 

Immédiatement après ce rappel partisan sur Wakefield, l'INPES étale alors un petit tableau censé montrer la comparaison entre les risques d'une rougeole naturelle et ceux de la vaccination. Il s'agit bien sûr d'un tableau bidon et totalement non crédible dès lors qu'il est à chaque fois affiché "0" pour ce qui est des otites, pneumonies, diarrhées, panencéphalites sclérosantes subaiguës et décès après vaccination!!

 

tableau-ROR--INPES.JPG

 

Comment peut-on croire une seule seconde à la fiabilité de tels chiffres dès lors que tous les décès post-vaccinaux sont systématiquement niés ou déclarés "sans lien" et qu'ils sont très opportunément minimisés dans les essais cliniques de ce genre de vaccins?

 

qu'il y a une sous-notification notoire des effets secondaires et que donc, toutes les complications jugées peu graves (comme otites ou diarrhées) ne seront donc même jamais rapportées ni par les parents et encore moins par les médecins qui préfèrent utiliser leur temps à autre chose;

 

que plusieurs stastistiques ont déjà démontré que les taux de panencéphalite subaiguë sclérosante se sont, à plusieurs reprises, avérés plus élevés en période post-vaccinale qu'avant l'introduction du vaccin (cfr chiffres précis cités par Michel Georget, biologiste, dans son ouvrage de qualité, "Vaccinations, les vérités indésirables", éditions Dangles)?

 

Cela n'est tout simplement pas sérieux. N'est-ce pas là, la preuve d'une communication frauduleuse à l'attention de vos médecins traitants? N'est-ce pas là aussi la preuve d'une fraude de la confiance même du public, ainsi malhonnêtement incité à se faire vacciner sans connaître tous les tenants et aboutissants, toutes les subtilités d'une telle problématique de santé publique?

 

Le recours aux astérisques dans la seule colonne "des vaccinés" en ce qui concerne l'encéphalomyélite est ici tout à fait exemplaire, à la fois de l'aveuglement idéologique mais aussi de l'incohérence caractéristique, propres au domaine vaccinal.

 

Pourquoi, en effet, prendre la peine de mentionner d'emblée dans la colonne des vaccinés, que les cas concernent à la fois des enfants vaccinés et non vaccinés?

 

C'est là un exemple typique d'incohérence énorme: dans la colonne des vaccinés ne doivent justement pas figurer d'enfants non vaccinés, par définition!!

 

Il existe en outre un contestable deux poids deux mesures puisqu'il n'y a pas d'astérisque en regard des cas dus à l'infection naturelle alors que tous ces cas ne sont pas forcément dus au virus lui-même mais aux particularismes biologiques individuels qui font que tel sujet est plus enclin, plus réceptif ou plus fragile à un moment donné X ou Y.

 

Tout ceci montre donc au mieux, la non fiabilité des statistiques officielles, au pire, les tricheries volontaires qui existent dans ce genre de comptage!

 

En outre, il faut relever que la liste d'effets secondaires graves possibles après vaccination est ridiculement restreinte et il n'est par exemple pas du tout fait mention du risque de méningite et de méningo-encéphalite possible après ce type de vaccination (une précédente version du ROR contenant la souche Urabe pour les oreillons avait justement été retirée du commerce au début des années 90 pour cette raison). Ce document de l'INPES a donc fait le choix de ne parler que des (rares) méningites possibles après avoir contracté naturellement les oreillons sans rien dire du risque de méningite post-vaccinale. On laissera donc aux lecteurs, y compris aux médecins intelligents, le soin de juger de l'honnêteté de ce type de communication.

 

6°) La question de la composition du vaccins (ses ingrédients)

 

Le baratin destiné au public et qui ne répond PAS DU TOUT à cette question, dévie en fait sur le vieux refrain du "'principe du vaccin" avec la description simpliste et donc séduisante des gentils anticorps contre les méchants virus, faisant évidemment fi du rôle clé au cours de l'évolution des maladies infantiles pour la maturation du système immunitaire des enfants, sans même parler des réels bénéfices qui ont été objectivés lorsque de telles maladies sont contractées naturellement (moindre risque d'asthme, d'allergies en cas de rougeole naturelle, protection relative contre le cancer de l'ovaire, qui est un cancer assez redoutable, chez les femmes qui ont fait les oreillons etc)

 

Les médecins se voient expliquer d'une façon plus exacte le genre d'ingrédients contenus dans des vaccins comme le ROR. Des virus atténués, produits à partir de lignées cellulaires (bien qu'on ne leur dise pas qu'il s'agit en réalité de lignées celullaires continues, c'est à dire des lignées cellulaires cancérisées, devenues donc immortelles pour les besoins de la production industrielle mais avec tous les risques que cela comporte pour ceux qui reçoivent de tels vaccins), le tout avec une touche d'antibiotiques, du sorbitol, un peu de gélatine ainsi que la présence  d'ovalbumine, cette dernière n'étant bien entendu (on s'en serait doutés!) une cause de contre-indication absolue!

 

7°) La question de la combinaison des valences vaccinales du ROR ("3 en 1")

 

Le public a encore droit ici au refrain habituel sur le "plus de confort" ou le plus de facilité d'une seule injection ainsi qu'aux affirmations totalement gratuites et péremptoires selon lesquelles le système immunitaire est parfaitement habitué à gérer toutes sortes de substances étrangères en même temps. Bien sûr, on n'explique pas aux gens que les évaluations de ces vaccins, sur des singes notamment, n'ont pas consisté à leur injecter le vaccin triple mais les différents vaccins séparément ce qui déjà, change bien sûr la donne.

 

On ne rappelle pas non plus aux gens - ce qui est pourtant l'élémentaire bon sens- que les gens ne contractent pas deux ou trois de ces maladies à la fois dans la Nature et que si cela ne se produit pas, c'est qu'il y a des raisons! On ne rappelle enfin pas non plus au public l'énorme différence entre l'arrivée naturelle des microbes et autres antigènes (par la peau et les muqueuses) et la voie très anti-physiologique de l'injection qui est bien sûr à même d'expliquer toute une série de "bugs immunitaires" bel et bien liés à la vaccination en général: développement d'allergies, de maladies auto-immunes, inflammatoires et neurologiques etc

 

Le discours en italique destiné aux médecins ose, lui sans rire, reprendre les propos du très contesté Paul Offit, un expert officiel américain particulièrement lié à l'industrie et qui n'avait pas eu peur du ridicule en affirmant qu'un enfant pouvait théoriquement supporter l'injection de 10 000 vaccins à la fois, ce qui faisait dire péremptoirement à Offit qu'onze vaccins à la fois ne mobilisaient que 0,1% du système immunitaire des enfants.

 

Là encore, il est tout simplement ahurissant de constater qu'une instance officielle comme l'INPES ne soit pas gênée de distiller ce genre de discours de foire, qui n'ont plus rien à voir avec la moindre constatation scientifique vérifiable mais qui semblent plutôt relever en vérité du délire. Comment une telle instance a-t-elle pu donc, sans le moindre discernement ou esprit critique, relayer de telles anneries, tout en occultant totalement des éléments pourtant essentiels comme la différence du mode d'introduction des antigènes (peau & muqueuses vs voie injectable) et des constatations millénaires comme quoi on ne fait JAMAIS 3, 4 et encore moins 11 maladies infectieuses à la fois?

 

8°) La question de la vaccination des enfants malades

 

Alors que le bon sens recommande de ne jamais vacciner, même en cas de fièvre légère ou d'infection modérée, les vaccinalistes ont cru bon de banaliser ce genre de vaccination, pensant sans doute éviter un nombre de reports de vaccination qui risquaient ainsi de se solder par une absence de vaccination ultérieure. C'est ainsi que de nombreux accidents graves et même des décès évitables surviennent parce que des médecins de l'ONE, de Kind & Gezin ou tout autre médecin vaccinent des enfants malades, en dépit du bon sens.

La petite Stacy de Charleroi a été vaccinée malade, elle en est morte.

 

Pareil pour le petit Xandro de Renaix, vacciné avec le ROR justement.

 

9°) La question de la non obligation de cette vaccination ROR

 

Bien que non obligatoire, il est rappelé au public que la vaccination ROR est vivement recommandée. Mais ce qui n'est toutefois malhonnêtement pas rappelé, c'est qu'à la différence des vaccinations obligatoires, il n'existe aucune possibilité d'indemnisation par l'Etat qui l'aura recommandé, des victimes d'une telle vaccination non obligatoire, ce qui nous ramène inévitablement à l'adage selon lequel "les conseilleurs ne sont pas les payeurs".

 

On relèvera surtout la "morale" qui est faite aux médecins sur leurs prétendus devoirs envers l'individu mais aussi la société, en tentant de culpabiliser le ou les patients (non vaccinés bien sûr!) qui seraient à l'origine d'une épidémie. La carotte et le bâton, en somme.

 

Il est aussi rappelé l'absence de traitement de ces maladies, du moins en ce qui concerne le seul cadre allopathique puisque de nombreux praticiens doivent rire sous cape à la lecture de ce genre de propos, puisqu'ils connaissent une foule de moyens naturels et sûrs de renforcer le système immunitaire dans toutes une série d'infections (vitamines, oligo-éléments, probiotiques, huiles essentielles, certains remèdes homéopathiques), de façon à minimiser le risque de complications, ce qui est là l'essentiel en fait.

 

10°) La justification de la vaccination des ados et jeunes adultes (qui est en fait celle, non avouée, du déplacement de l'âge de survenue de la maladie, dû au vaccin)

 

Le bon peuple a droit à des affirmations sans toutefois qu'on lui offre l'explication de celles-ci.

 

Ainsi, l'INPES invite les praticiens à expliquer au public que la vaccination est recommandée en raison d'un nombre accru de cas dans cette tranche d'âge et qui sont surtout proportionnellement beaucoup plus graves, mais cette instance se garde toutefois bien d'avouer au public ce que chaque épidémiologiste sait pertinemment bien, à savoir que cette situation du "pire que bien", est la conséquence directe de ces campagnes vaccinales de masse contre des maladies d'enfance bénignes qui avaient tout intérêt à se déclarer dans l'enfance, précisément! D'ailleurs plusieurs médecins éminents avaient prédit cette conséquence et avaient mis en garde à temps contre cet effet pervers.

 

Au lieu de tirer les conclusions de l'échec auprès du public, les autorités n'ont eu de cesse de le camoufler en plongeant plus avant le public dans ce cercle vicieux infernal et en recommandant une dose de plus (double dose).

 

Alors qu'avant, les mères qui avaient majoritairement fait naturellement ces maladies transmettaient des anticorps robustes et protecteurs aux jeunes nourrissons et étaient elles-mêmes protégées à vie, les mères d'aujourd'hui n'ont pour la plupart plus d'anticorps à transmettre à leurs jeunes nourrissons dans leur lait maternel et se retrouvent aussi dans la poche des adultes susceptibles car ne bénéficiant pas d'une immunité naturelle très fiable.

 

On a donc moins de cas en valeur absolue mais proportionnellement plus de cas graves, aux deux extrêmes (jeunes enfants et jeunes adultes), sans surprise à une période de la vie qui n'était pas prévue par la nature pour contracter ces viroses "au moindre coût" et au plus grand bénéfice (immunité durable à vie). Voilà donc le triste bilan des vaccins: un nivellement de la santé publique, grâce à l'inconséquence d'apprentis-sorciers qui se targuent d'être "experts". Affligeant!

 

Il ne reste plus après cela, qu'à conclure, comme tout patient lucide pourrait le faire, à la nécessité de ne pas forcément croire son médecin sur parole mais de chercher à recouper ses affirmations avec d'autres éléments potentiellement plus solides et plus convaincants.

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9 juin 2012 6 09 /06 /juin /2012 18:38

Het Nieuwsblad  van 8 juni 2012 : « Peuter (1,5 jaar) sterft aan hartaanval enkele dagen na vaccinaties », met de opmerking dat er inmiddels autopsie was uitgevoerd en dat de wetsdokter concludeerde dat het hier om een natuurlijk overlijden zou gaan !

 

En natuurlijk konden we hier op wachten... Wij hadden dit al zien aankomen nog voordat de autopsie zou worden uitgevoerd : NOOIT zullen de autoriteiten het toegeven.

 

Het ligt NOOIT aan het vaccin.

 

Herinnert U zich nog die 7 sterfgevallen op 2000 patiënten bij de klinische testen van het H1N1 Pandemrix vaccin ? Ook hier werd NOOIT met een beschuldigde vinger naar het vaccin gewezen. 

 

Tijdens de klinische testen van het anti-rotavirus vaccin Rotateq, overleden 44 kinderen in de twee groepen (gevaccineerde- en placebogroep) en ook daar concludeerden de verantwoordelijken dat het vaccin NIET in verband kon worden gebracht met deze sterfgevallen (terwijl dit toch een hoge doodsoorzaak laat zien, 0,2% of één sterfgeval op 500 kinderen!).

 

Hoelang gaat het publiek dit nog pikken zonder in te zien dat het hier in werkelijkheid ALTIJD gaat over het vrijspreken van een vaccin en het beschermen van de big business, zonder nog maar te spreken over het heilig verklaarde vaccinatiebeleid. 

 

En iedere keer weer hetzelfde scenario : de illusie wekken van een betrouwbaar en onafhankelijk onderzoek. In sommige gevallen wordt  autopsie zelfs categorisch door de rechter geweigerd  zoals de ouders van de kleine Stacy uit Charleroi hebben ondervonden. Bij Xandro leek het weigeren hiervan te riskant, omdat het publiek dan zeker en vast zou hebben geprotesteerd en men kon simpelweg niet anders na het autopsieverbod op de kleine Stacy, dat ook als een « lastig » post-vaccinaal overlijden beschouwd werd.

 

Kind & Gezin verklaarde te delen in het verdriet van de ouders. Wanneer we echter de ondermaatse en kindonvriendelijke houding van de prikkende arts van deze organisatie onder de loep nemen die de anderhalf-jarige Xandro zelfs toesnauwde « een ambetant ventje te zijn, die niet eens even stil kon blijven zitten », terwijl hij het intussen uitkrijste bij het prikken met het BMR vaccin, dan kunnen we toch niet anders dan ons verbijten over de niet te tolereren handelwijze van Kind & Gezin die toch verantwoordelijk geacht wordt te zijn voor de onder hun vlag aangestelde praktiserende zorgverleners.  

 

Ontkennend gedrag en bedriegelijk mededogen zijn dus in feite de sleutelwoorden die dit agressieve vaccinatiebeleid in stand houden.

 

Met het verstrijken van de tijd vallen er meer en meer puzzelstukjes op de plaats : het beschermen van vaccins wordt alom steeds beter georganiseerd (vaccins, niet de kinderen !). In de USA heeft het Hoog Gerechtshof het juridisch vrijwaren vastgelegd voor fabrikanten van « onvermijdelijk gevaarlijke produkten » om faillissementen door claims te vermijden. In Europa zagen we hetzelfde gebeuren bij de aankoopcontracten van het H1N1-vaccin. Ook hier het in bescherming nemen van de fabrikanten die alleen nog een « fabricagefoutje » verweten kan worden, iets wat onmogelijk te bewijzen valt door de slachtoffers. 

 

Het is van het grootste belang om zich nu te buigen over de rol en handelwijze van organisaties zoals Kind & Gezin en het ONE in het voortdurend in bescherming nemen van hun vaccinatiesysteem. Onder het mom van « het bevorderen van het beschermen van kinderen », lijkt het er vooral op dat dit juridisch aspect het ONE en Kind & Gezin in de kaart speelt bij het doorgaan met inenten van de meeste belgische kinderen, waarvan de jongsten statistisch gezien het meeste risico lopen (vergeleken met volwassenen) op een post-vaccinaal overlijden tengevolge van een verzwakt immuunsysteem.  

 

De door Kind & Gezin en het ONE aan hun vaccinatiepersoneel aangeboden interne aansprakelijkheidsverzekering, specifiek handelend over sterfgevallen tengevolge van de vaccins, lijkt dus een zegen te zijn voor deze beroepsgroep bij het wegnemen van hun angst en weerstand, die anders als een zwaard van Damocles boven hun hoofd zal blijven hangen. 

 

Het is dus duidelijk dat de aan de lopende band vaccinerende artsen van het ONE en Kind & Gezin, een groot risico lopen om geconfronteerd te worden met het overlijden van een recentelijk gevaccineerd kind.

 

Het zou daarom goed zijn wanneer deze artsen zich verantwoorden voor hun met name onvoorzichtig en onzorgvuldig handelen bij het vaccineren van een reeds verzwakt kind (dit in tegenstelling tot het nauwgezet en omzichtig praktiseren van zorgverleners in andere beroepsgroepen). Dit zeker ook gezien het stelselmatig met voeten treden van de patiëntenwet van 2002 door het niet informeren van de ouders over ernstige bijwerkingen van vaccins zoals de BMR prik.

 

Het is te hopen dat deze artsen het bewijs moge leveren, indien hen dit tenminste toegestaan wordt, dat zij hun verplichtingen nakomen! Hebben zij bijvoorbeeld de ouders ingelicht onder welke criteria veiligheidstesten met levende virussen worden uitgevoerd, zoals het BMR vaccin ? Het is heel goed mogelijk dat zij hier zelf niet van op de hoogte zijn, maar dat is nog altijd geen excuus.

 

Dit zijn fundamentele elementen voor een grondwettelijke vrije keuze en voorafgaande informatie (« informed consent »). De europese eisen in deze materie zijn uitermate laks.

 

Wat uitgebreidere achtergrondinformatie om de naar waarheid zoekende lezer een juister beeld te geven over dit absoluut onbetrouwbare « marionettentheater » dat zeker niet ten voordele van de patiënt uitvalt :

 

- Allereerst : wanneer gevaccineerde apen binnen de eerste 48 uur na het inenten sterven, wordt dit overlijden als « niet causaal » beschouwd en deze richtlijn blijft van kracht zolang het sterftecijfer maar onder de 20% blijft. Met andere woorden, als 10 of zelfs 19% van de gevaccineerde apen vroegtijdig overlijdt na vaccinatie, gaat alles gewoon door zonder dat het vaccin als schuldige wordt aangewezen.  Een enorme misvatting op veiligheidsniveau en we herhalen nog eens het lichtzinnig optreden van het Europees Agentschap in verband met de tijdens de klinische testen opgedoken problemen met het H1N1 vaccin Pandemrix, waarbij 7 op 2000 patiënten overleden (wat enorm hoog is).  

 

- Dan nog een ander aspect: geïnjecteerde vaccins bij dieren zijn geen combinatievaccins (het BMR vaccin bevat echter 3 componenten, mazelen, bof, rode hond).  We weten maar al te goed dat alle synergetische effecten van toegediende produkten bij levende wezens met de grootste zorg moeten worden bekeken en dan met name in termen van veiligheid ! 

 

[Bron: Methods of Analysis  2.6.18 – Test for neurovirulence of live virus vaccines. EUROPEAN PHARMACOPOEIA, 5th Edition.]

 

Zeker is wel dat de kleine Xandro al ziekelijk was op het moment van deze vaccinatie (één teveel...). Maar wie kan (op basis van deze simpele uitwendige autopsie en waarvan de resultaten alleen worden bevestigd in het ideologisch kader van de wetsdokter, die wetenschappelijk gezien een verband met het vaccin niet mag uitsluiten, en dit enkel en alleen gebaseerd op de summiere vraag in het aan te vinken kadertje : « wel of niet gevonden toxische substanties ») voorbijgaan aan de vermoedelijk bestaande onderzoeken naar veranderingen in het immuniteitsbeeld veroorzaakt door voorgaande vaccinaties. Dit ook gezien in het licht van een hoogstwaarschijnlijk in die mate aangetast immuunsysteem dat gevolgen heeft kunnen hebben voor een voor zichzelf sprekende chronische bronchiolitis (RSV = Respiratory Syncitial virus). 

 

Wie kan bevestigen dat hij ook gestorven zou zijn zonder dit BMR-vaccin ?  

 

Integendeel, bij het ontbreken van welke andere solide onderbouwde conclusie dan ook, lijkt het eerder vanzelfsprekend dat de vaccinatie oorzaak is van dit overlijden, TOT HET TEGENDEEL BEWEZEN IS, want een kindje van deze leeftijd sterft niet zomaar aan een « hartaanval » en bronchitis op zich zou nauwelijks voldoende reden mogen zijn. 

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8 juin 2012 5 08 /06 /juin /2012 22:07

Het Nieuwsblad  du 8 juin 2012 qui porte comme titre "L'enfant d'un an et demi meurt d'une attaque cardiaque quelques jours après la vaccination " signale qu'une autopsie a été pratiquée et que le médecin aurait conclu à une mort naturelle !

 

Bien sûr.... c'était prévisible, nous l'avions déjà annoncé avant la réalisation de cette autopsie: JAMAIS les officiels n'admettront.

 

Ce n'est JAMAIS la faute du vaccin.

 

Souvenez-vous, avec les 7 décès sur 2000 patients dans les essais cliniques du vaccin H1N1 Pandemrix, ce n'était non plus jamais la faute du vaccin.

 

Dans un essai clinique du vaccin anti-rotavirus Rotateq, il y a eu 44 décès d'enfants dans les deux groupes (groupe vacciné et faux groupe placebo) et là aussi les auteurs sont arrivés à conclure que le vaccin n'était lié à AUCUN de tous ces décès (alors que ça fait tout de même, dans les deux groupes confondus, un taux de mortalité  inquiétant de 0,2% soit un décès sur 500 enfants!)

 

Combien de temps encore le public va-t-il gober ces salades, sans voir qu'il s'agit en réalité TOUJOURS d'innocenter le vaccin et de protéger ainsi le juteux business que cela sous-tend, sans parler des sacrosaintes couvertures vaccinales?

 

Le scénario est en réalité le plus souvent le même: donner l'illusion d'une enquête soigneuse et sans parti-pris. Dans certains cas toutefois (pour varier un peu), l'autopsie est carrément refusée comme ce fut le cas pour les parents de la petite Stacy de Charleroi. Dans le cas de Xandro, le refus de l'autopsie aurait été trop risqué car cela aurait alors vraiment commencé à mettre la puce à l'oreille du public et donc, après avoir déjà refusé l'autopsie pour la petite Stacy, il n'était tout simplement plus possible d'opter pour cette même attitude dans cet autre cas de décès post-vaccinal embarrassant.

 

Kind & Gezin a dit partager la peine des parents. Toutefois, lorsqu'on sait l'attitude inqualifiable du médecin vaccinateur de cette institution qui pestait violemment sur Xandro déplorant que c'était "un enfant embêtant qui ne savait même pas rester assis et se tenir tranquille" alors qu'il pleurait avec force après le vaccin ROR qu'il venait de recevoir, on ne peut que mieux se rendre compte du toc de cette fausse compassion de Kind & Gezin, qui porte assurément une responsabilité dans l'engagement des praticiens qui travaillent sous sa bannière et qui bénéficient donc de son assurance professionnelle.

 

Déni & fausse compassion sont donc véritablement les maîtres mots des idéologues qui continuent de faire marcher à plein leur rouleau compresseur vaccinal, aveugle et agressif.

 

Plus le temps passe et plus l'assemblage des différentes pièces du puzzle apparaît net: un peu partout, la protection des vaccins s'organise (mais pas celle des enfants, à ne surtout pas confondre!). Aux USA, où la Cour Suprême a accordé l'impunité juridique totale pour éviter la faillite (sous le poids des poursuites) à ces fabricants de "produits inévitablement dangereux", en Europe avec les contrats d'achat de vaccins H1N1 qui accordaient eux aussi l'impunité concrète aux fabricants puisque seul "un défaut de fabrication", dans les faits totalement impossible à prouver pour les victimes, leur était imputable.

 

A présent et de façon plus pérenne, il importe de se pencher sur le sens et le rôle d'institutions comme Kind & Gezin ou comme l'ONE dans la protection du système vaccinaliste tel qu'il perdure depuis déjà des années. Car sous les étiquettes et bannières extérieures prétendant "favoriser la protection de l'enfance", il semble surtout que tant l'ONE que Kind & Gezin apparaissent juridiquement très pratiques pour couvrir les vaccinateurs d'une majorité d'enfants belges en bas-âge, numériquement les plus vulnérables au risque de décès post-vaccinal en raison de leur immaturité immunitaire (comparativement aux adultes).

Par conséquent, l'assurance professionnelle qu'offre Kind & Gezin ou l'ONE à ses vaccinateurs en cas de décès dus aux vaccins eux-mêmes (et non aux médecins eux-mêmes), constitue donc une véritable aubaine, surtout destinée à éviter la peur et le dégoût de tous les autres professionnels de devoir finalement, tel une épée de Damoclès, faire intervenir leur propre assurance personnelle en cas de pareil évènement.

 

Les médecins de l'ONE et de Kind & Gezin vaccinant à tour de bras, il est évident qu'ils sont ceux qui sont, en termes de probabilités,  les plus susceptibles d'être confrontés à des décès d'enfants fraîchement vaccinés.

 

Il serait par conséquent bon que ces médecins aient à répondre de leurs actes et notamment quant au fait d'avoir manqué de prudence et de vigilance (par rapport à l'attitude normalement prudente et diligente d'un autre professionnel normalement prudent et vigilant), en vaccinant un enfant déjà fragilisé, mais aussi quant au fait qu'ils ont violé la loi d'août 2002 sur les droits du patient en n'informant pas les parents des risques graves de vaccins comme le ROR.

 

Que ces médecins apportent la preuve, s'ils le peuvent, qu'ils ont réellement respecté leurs obligations d'information! Ont-ils par exemple expliqué aux parents comment se déroulent les tests de sécurité de vaccins à virus vivants, comme le ROR? A moins qu'ils ne le sachent même pas eux-mêmes ce qui est aussi très possible mais ne les excuse pas.

 

C'est là des éléments fondamentaux pour la constitution d'un consentement véritablement libre et éclairé. Car les exigences européennes en la matière sont plus que laxistes.

 

Voici à ce sujet, de quoi il retourne car chaque lecteur gagne à bien comprendre l'aberration de ces exigences fantoches et absolument non fiables et non protectrices pour les patients:

 

- Tout d'abord, si des singes vaccinés meurent en-déans les 48 premières heures après la vaccination, leur mort est considérée comme étant de "cause non spécifique" et ils peuvent être ainsi simplement "remplacés", ce test restant valable pour autant que la mortalité n'atteint pas 20%. Cela signifie, en d'autres mots, que si 10 ou même 19% des singes vaccinés enrolés décèdent précocément après leur vaccination, tout continue comme si le vaccin n'était pas incriminable. On imagine l'énorme faiblesse que ce genre de règle induit en matière de sécurité et on se rappellera aussi, à cet égard, la légèreté de l'Agence Européenne qui a fait comme s'il n'y avait pas eu de problèmes avec le vaccin H1N1 Pandemrix au cours des essais cliniques alors qu'il y avait cependant eu 7 décès sur 2000 patients (ce qui est énorme).

 

- Ensuite, autre biais: les vaccins injectés aux animaux ne sont pas des vaccins combinés (or le ROR, comportant 3 valences, rougeole, oreillons, rubéole, est un vaccin combiné!). Pourtant, on sait très bien, vu la complexité des organismes vivants, que les effets synergiques possibles des produits administrés sont un élément très important à prendre en compte! Et donc, en terme de sécurité également bien entendu!

 

[Source: Methods of Analysis  2.6.18 – Test for neurovirulence of live virus vaccines. EUROPEAN PHARMACOPOEIA, 5th Edition.]

 

Certes, le petit Xandro était déjà souffreteux au moment de cette vaccination de trop mais qui peut, sur base de cette simple autopsie (dont les résultats ne peuvent qu'être conformes au cadre idéologique du médecin légiste qui ne peut pourtant scientifiquement exclure une origine vaccinale sur base de sa seule grille de lecture de "substances toxiques retrouvées ou pas"!!), nier le probable travail de sappe immunitaire entamé par ses précédentes vaccinations, celles-là même qui ont vraisemblablement endommagé son immunité au point de le rendre éminemment plus susceptible à une infection opportuniste au virus respiratoire syncytial (RSV), qu'il n'était même plus en mesure de juguler par lui-même?

 

Qui peut aussi affirmer qu'il serait bel et bien mort en l'absence de cette vaccination ROR?

Bien au contraire, en l'absence de toute autre cause solide et patente, il apparaît plutôt vraisemblable que la vaccination soit la cause du décès JUSQU'A PREUVE DU CONTRAIRE, un enfant de cet âge ne mourrant pas si facilement comme ça d'"un arrêt cardiaque" et son infection traînante à RSV pouvant difficilement constituer, à elle seule, une raison suffisante.

 

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6 juin 2012 3 06 /06 /juin /2012 22:24

Xandro 1

Le journal néerlandophone De Morgen rapporte ce jour, sur son site internet, le décès à Renaix de Xandro, un enfant d'un an et demi, une semaine seulement après ses vaccins effectués à Kind & Gezin (l'équivalent néérlandophone de l'ONE).

 

Kind & Gezin dit mener l'enquête sur le décès de cet enfant. Les parents ont dit dans le cadre du journal de VTM que leur enfant était décédé suite à une vaccination mais Kind en Gezin a insisté pour dire qu'il était trop tôt pour tirer la moindre conclusion sur le lien entre le décès et la vaccination.

 

Selon les parents de l'enfant, c'est suite à cette consultation à Kind & Gezin que le bambin a fait un arrêt cardiaque. L'enfant a reçu les injections en dépit d'une santé fragile qui s'était détériorée depuis une infection au virus respiratoire syncytial (RSV), contractée six mois auparavant, ont encore expliqué les parents.

 

"Un médecin de Kind & Gezin a vacciné l'enfant le 25 mai dernier et le 3 juin, l'enfant est décédé" a réagi Leen Du Bois, porte-parole de Kind & Gezin. Celle-ci a bien insisté à ce stade pour dire qu'il était encore trop tôt pour considérer qu'il y a le moindre lien entre le décès et la vaccination. Kind & Gezin est présentement en train d'analyser ce cas a-t-elle aussi déclaré. "Nous allons maintenant, avec toutes les données dont nous disposons, chercher à établir ce qui s'est réellement passé".

 

Enfin, Kind & Gezin souligne que les parents ne devraient pas s'inquiéter inutilement au sujet des vaccinations.  

 

 

Selon cette vidéo, une autopsie a été ordonnée. Les parents déplorent le fait que le médecin ait quand même vacciné leur enfant alors qu'il était malade et estiment que celui-ci aurait dû s'abstenir dans pareilles circonstances. Selon ce que dit cette vidéo, s'il s'avère que Kind & Gezin a commis une faute, les parents introduiront une plainte. Ils ont déjà reçu plus d'une centaine de réactions sur leur page Facebook.             

 

parents-de-Xandro.JPG             Les parents de Xandro, dans une tristesse dont on imagine la profondeur

                                                              

 

Pour ceux qui connaissent un minimum le sujet des vaccins, il y a d'ores et déjà une certitude à ce stade : c’est que JAMAIS les officiels n’admettront le moindre lien entre ce décès et les vaccins et ce, qu’il y ait enquête ou pas.

 

Il est en effet crucial de prendre conscience des points communs entre tous ces cas qui se succèdent, que ce soit celui de cette petite fille paralysée par les vaccins et volée à sa mère par l’Etat en Grande-Bretagne, celui de la petite de Charleroi ou beaucoup d’autres cas encore : A CHAQUE FOIS, les officiels nient tout en bloc, tout simplement parce que reconnaître publiquement le lien entre leurs divins vaccins et le moindre décès éloignerait à fort juste titre des milliers de parents des vaccins qu’ils veulent fourguer à tous avec un minimum d’exceptions et de contre-indications médicales possibles.

 

Et on le voit, le résultat est tragique et horrifiant, c’est celui du sacrifice inacceptable d’enfants dont la vie est à jamais détruite, soit du fait du décès ou de séquelles graves et irréversibles qui sont une tragédie pour les familles en plus d’être un fardeau financier conséquent pour la société.

 

Il semble évident que la mauvaise foi des officiels est à l’œuvre puisqu’ils nient jusqu’au fait, pourtant scientifiquement établi, que les vaccinations affaiblissent le système immunitaire et induisent une immunodépression qui est la source possible de toute une série d’infections opportunistes potentiellement graves.(cfr références scientifiques indiquées au point (18) en page 16/22 du document pdf suivant) Exactement comme ils nient aussi le lien entre mort subite du nourrison et vaccination, une connexion pourtant établie par plusieurs publications scientifiques rigoureuses. Et puis rappelons aussi les travaux du Dr Viera Scheibner d'Australie qui a montré, elle aussi, un lien évident entre vaccination et mort subite du nourrisson avec la mise en évidence de ce qu'elle a appelé "la dynamique des jours critiques" et la démonstration que chaque dose de vaccin altère ainsi la respiration de l'enfant pendant 48 jours!

 

Le déni désespérant et définitif auquel on peut hélas s’attendre est pitoyablement illustré par l’attitude de l’ONE, qui a l’indécence de nier tout lien entre le vaccin anti-hépatite B et la sclérose en plaques alors qu’un tel effet figure pourtant dans la notice des vaccins et qu’ils conseillent pourtant, ironie du sort, de toujours bien lire!

 

Le discours de circonstance est donc toujours le même (« on va mener l’enquête pour savoir exactement ce qui s’est passé ») mais le résultat est étrangement toujours si prévisible et on sait tous que les vaccins sortiront toujours blanchis et que les parents resteront ainsi toujours trahis par rapport à la confiance non méritée qu’ils avaient mise en toutes ces instances qui se targuent pourtant de protéger la santé de l’enfant !

 

En réalité, comment s’étonner de tels décès d’enfants lorsqu’on sait qu’il n’y a JAMAIS de véritables groupes témoins/groupes placebos dans les essais cliniques de vaccins et que donc le taux d'effets secondaires est toujours artificiellement gonflé dans le faux groupe placebo ce qui permet de faire passer les vaccins comme beaucoup plus sûrs que ce qu'ils ne sont réellement ?

 

Comment s’étonner de tels décès d’enfants alors qu’il n’y a jamais, contrairement aux autres médicaments, d’analyse pharmacocinétique imposée aux vaccins, c'est-à-dire des analyses qui étudient le devenir des différents composants du vaccin une fois administré dans le corps après injection ?

 

Tant que les vaccins continueront de bénéficier de tels passe-droits, que l’évaluation de leur prétendue sécurité continuera d’être limitée à quelques jours, qu’ils continueront d’être dispensés de tests pour évaluer leurs potentiels cancérogène, mutagène et tératogène, qu’on ne tiendra pas compte de la sous-notification notoire de leurs effets secondaires et que les conflits d’intérêts régneront en maîtres ici en Belgique, au niveau européen ou celui de l’OMS, ces drames se reproduiront et la roulette russe fera que cela pourra potentiellement tomber sur chacun de vos enfants, à la manière d'un terrible terrorisme sanitaire hélas.

 

Une telle situation est déjà gravissime en soi mais si en plus, les parents ne sont même pas avertis du caractère, par définition, expérimental de TOUS ces cocktails de vaccins qu’on administre à la chaîne à leurs enfants, ils sont en droit et ont même le devoir moral de se retourner contre ces autorités indignes qui les ont ainsi volontairement trompés, en dépit du fait qu’elles ont été plus d’une fois alertées par des associations comme les nôtres.

 

 

Voir aussi:

 

Décès de Xandro: les résultats de l'autopsie n'étaient que trop prévisibles

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