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11 mai 2012 5 11 /05 /mai /2012 21:05

jeudi 10 mai 2012

 

CHARLEVILLE-MÉZIÈRES (Ardennes). Le témoignage de Catherine Demarez, atteinte de myofasciite à macrophages, suite à l'injection d'un vaccin, fait réagir Joan Malicet, 26 ans, aussi malade. Il met en cause l'armée.

 

Les yeux creusés, le pas lent, à 26 ans, Malicet est un garçon épuisé. Devant lui, une dizaine de boîtes de médicaments, et pourtant à peine de quoi se soigner quelques jours.


La myofasciite à macrophages a officiellement fait son apparition dans sa vie en 2009, une maladie encore méconnue, qui se déclenche chez certaines personnes sensibles, quelques mois à quelques années après l'injection d'un vaccin contenant de l'aluminium.


C'est ce qui est arrivé à Catherine Demarez dont nous avons recueilli le témoignage dans notre édition du 4 avril dernier.


Les symptômes de cette maladie, Joan Malicet les ressent depuis ses 19 ans, depuis qu'un week-end de juillet 2005, le jeune engagé, rentré en permission à Nouzonville, est pris d'un malaise et s'effondre d'épuisement.


Il n'a pas encore 20 ans et pourtant la fatigue ne le quitte plus. Celui qui avait été déclaré apte à son incorporation en février « n'(a soudain) plus aucune aptitude et se retrouve hospitalisé sur son lieu d'incorporation à Bordeaux. Le 16 décembre 2005, il est rayé des effectifs », explique son avocate, Marie Lardaux.

« Accident du travail »

Cette dernière accompagne ce jeune père de famille de trois enfants dans son nouveau combat devant le tribunal des pensions militaires à Charleville-Mézières : « Faire valoir (ses) droits. » en faisant reconnaître sa maladie comme un « accident du travail » ou plutôt « un fait de service » en langage militaire.


Une démarche rendue légitime car le jeune homme a contracté la myofasciite à macrophages après avoir « subi un vaccin obligatoire dans le cadre de son travail » (Le Revaxis, qui contient de l'aluminium et remplace depuis 2008 le DTpolio qui n'en contenait pas).


Mais l'avocate se dit « pessimiste » car la difficulté est de parvenir à faire reconnaître le lien entre la maladie et le vaccin. Or l'expert retenu « ne veut pas être catégorique ».


Une réticence que l'avocate met sur le compte du « cadre judiciaire. Ça ouvrirait des droits à M. Malicet et cela créerait un précédent jurisprudentiel ».


Dans tous les cas, l'avocate n'est pas prête à baisser les bras et envisage de « monter au moins jusqu'à la cour nationale » si nécessaire avec une contre-expertise et un « diagnostic le plus fin possible. Il faut des médecins qui se mouillent ».


L'heure n'est pas à « se retourner contre le laboratoire », « procédure dont l'objet est complètement différent ».


Difficile combat pour Joan Malicet car « la maladie est pesante : maux de tête, tension dans le cou, malaise, troubles cognitifs, pertes de mémoire… » Mais un combat qui lui tient à cœur, lui qui a toujours rêvé de s'engager : « Ceux à qui ça arrive, on n'a pas de chance je suis d'accord. Mais quand on cherche à faire valoir nos droits, il ne faut pas bloquer les choses. C'est pour nos familles qu'on fait ces démarches-là. Ce serait un tel réconfort. C'était un désir d'enfant de m'engager dans l'armée et j'ai été obligé de la quitter. C'est pour ma famille, ma femme qui se sacrifie. Que l'armée assume son rôle que je puisse faire vivre ma famille comme tout père de famille ».


Nathalie DIOT

 

Source: L'Union

 

Voir aussi cet autre article sur cette autre victime de vaccins aluminiques:

 

L'aluminium l'empoisonne (4 avril 2012)



Catherine-Demarez.jpg

CHARLEVILLE-MEZIERES (Ardennes) A 42 ans, Catherine Demarez est atteinte de myofasciite à macrophages. Une maladie rare liée aux adjuvants aluminiques des vaccins. Elle tire la sonnette d'alarme.



«Je me suis fait empoisonner ». Derrière la douceur et le sourire de Catherine Demarez, la colère. À 42 ans, cette maman de deux enfants (de 21 et 12 ans), employée à l'Adapah, vient de découvrir qu'elle est atteinte d'une maladie rare, la myofasciite à macrophages, déclenchée à cause de l'aluminium contenu dans les vaccins


Pendant des années, alors qu'elle pensait agir pour sa santé et celle d'autrui en se vaccinant, Catherine Demarez se faisait en fait injecter la dose du poison qui aujourd'hui lui pourrit la vie et pourrait bien l'empêcher à terme de travailler. « L'adjuvant aluminique provoque un effet inflammatoire. Il met le feu aux poudres », explique la présidente de l'association d'entraide aux malades de la myofasciite à macrophages (E3M basée à Niort), Sophie Chevry, 42 ans, elle-même diagnostiquée en 2002.


Douleurs persistantes, épuisement, problèmes neurocognitifs… Les symptômes ressemblent au premier abord à ceux de la fibromyalgie, maladie dont Catherine Demarez se croyait atteinte depuis des années… à tort.

 

Une confusion entretenue par la méconnaissance des médecins face à cette nouvelle pathologie qui plus est invisible. IRM et prises de sang ne révèlent aucune anomalie. Seule une biopsie du deltoïde (l'endroit où sont pratiqués généralement les vaccins) peut révéler l'affection.

 

Une démarche qu'a entreprise Catherine Demarez avec l'accord de son médecin. Il y a quelques mois, elle s'est donc rendue à l'hôpital Henri-Mondor de Créteil où se trouvent plusieurs spécialistes de la maladie.


C'est notamment là que s'est tenue, en 2011, la première journée consacrée à cette maladie. Et le verdict est finalement tombé : elle est la première Ardennaise à être diagnostiquée. Aujourd'hui Catherine Demarez tire la sonnette d'alarme : «Peut-être d'autres personnes comme moi ont-elles été mal diagnostiquées ».


Certes connaître le problème suffisamment tôt ne permet pas d'en guérir mais cela permet au moins d'espérer stabiliser la maladie en limitant au maximum l'apport d'aluminium. Ce qui n'est pas si facile car l'aluminium est présent au quotidien. Ainsi Catherine Demarez regarde les étiquettes à la loupe : déodorant, produits cosmétiques, écran total, alimentation…

 

Et elle tremble aussi pour ses enfants, notamment pour Johanna encore scolarisée et pour qui la vaccination devrait être obligatoire d'ici peu. Car si la maladie est encore méconnue, de fortes suspicions pèsent sur son caractère génétique.

 

Ainsi cette maman explique : « J'attends pour ma fille qu'il y ait des vaccins sans aluminium ». Une des demandes répétées de l'association : « Nous ne sommes pas contre la vaccination. Nous voulons vacciner en toute sécurité », précise Sophie Chevry. Mais le sujet reste « tabou […] car il remet en cause l'organisation de l'industrie pharmaceutique. Il y a eu une problématique économique, que va-t-on faire des stocks ? Les autorités sanitaires françaises sont mises en cause et les industriels qui n'ont pas fait d'étude correcte à long terme. »

 

« C'est comme l'amiante et le sang contaminé ou le Mediator », estime Catherine Demarez, « on va vers un scandale sanitaire ».


Nathalie DIOT



Source: L'Union 

 

Ce qu’on peut constater ici c’est surtout la grande méconnaissance du public du lien possible entre ce genre de symptômes et de pathologie et LES VACCINS. D’ailleurs, on le voit, c’est suite au témoignage de Catherine Demarez que Joan Malicet a pu faire le lien lui aussi. C’est donc bien parce que le sujet est tabou, que la presse a trop peu pu en parler jusqu’à présent que trop peu de victimes ont pu établir la connexion et se manifester. Or la révolution et le changement ne tiennent qu’à ça : à la dynamique citoyenne destinée à faire (enfin) toute la lumière sur l’ampleur des dégâts et à pouvoir enfin valablement tous les comparer aux supposés bienfaits des vaccins. On aurait sans doute de belles surprises, commercialement peu avantageuses, c’est sûr…

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11 mai 2012 5 11 /05 /mai /2012 17:47

Reçu par Initiative Citoyenne, le 9 mai 2012

 

"J'ai écouté l'interview suivante et je dois dire que je sais trop bien de quoi il s'agit.

 

Dans ma pratique quotidienne, ce sont surtout les minéraux – qui ont été interdits par des imbéciles de la “Sécurité des compléments alimentaires" de l'Union Européenne, qui aident le plus spectaculairement mes patients.

 

Avant les nouvelles réglementations européennes, mon pharmacien au coin de la rue vendait pour des milliers d’euros de ces suppléments directement à mes patients.  Maintenant, le pharmacien recevra une amende de plusieurs dizaines de milliers d’euros s’il vend à mes patients ce qui faisait tellement de bien, selon ce qu'ils avaient eux-mêmes remarqué.

 

Maintenant j’ai deux types de patients : ceux que je peux bien soigner, car ils savent se procurer via une carte de crédit et internet ce qui leur fait du bien, et les « analphabètes d’internet », qui sont voués à recevoir les substances médiocres que leur pharmacien belge est autorisé à leur fournir, suite aux nouvelles réglementations européennes.

 

J’espère que nous pourrons bientôt de nouveau vendre les minéraux chélatés en acides aminés dans les pharmacies, mais il faudra d’abord que les pharmaciens eux-mêmes se mobilisent.  S’ils ne se mobilisent pas, ils ne peuvent pas être considérés comme des partenaires crédibles pour garantir la bonne santé, mais comme de simples vendeurs de produits commerciaux de qualité inférieure, selon ce que les bureaucrates européens les auront autorisé à faire. (Liste « Positive » des suppléments alimentaires autorisés par les bureaucrates européens).

 

D’ici la, il faut soit être un Globe Trotter, soit avoir une connaissance de l'anglais, d’internet et posséder une carte de crédit, afin de se procurer les compléments alimentaires qui sont les plus puissants pour nous sortir de nos états de maladie.

 

Un mouvement est nécessaire pour garantir le droit aux bons soins SAINS, pour les citoyens qui n’ont pas ces connaissances ou ressources."

 

Dr B., médecin généraliste à Bruxelles

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10 mai 2012 4 10 /05 /mai /2012 22:04

Ce qui se passe avec le Dr Moulinier est une honte bien sûr, d'autant que cela ne date pas d'hier que l'oligarchie médicale tente de le saborder (voir ICI l'historique de ses précédents déboires avec l'oligarchie médicale). Non content de ne pas y être parvenu jusqu'à présent, le système s'acharne. Exactement comme il s'est acharné sur le Dr Philippe Bry, sur le Dr Martine Gardénal, sur le Dr Dumas, sur le Dr Delépine, etc etc

 

A chaque fois bien sûr, c'est le patient qui est perdant car il faut noter que ces ennuis qui sont faits à ces praticiens réfléchis, passionnés et anti-conformistes ne sont jamais initiés par des patients mais par leurs confrères ou leur hiérarchie!!

 

Ecoutez donc cet appel du Dr Moulinier, à relayer bien sûr sans modération:

 

 
 

Tout ceci rappelle donc plus que jamais l'extrême nécessité de s'unir pour pouvoir protéger ses droits à la santé et à la guérison (au moindre risque d'effets secondaires) parce que ce n'est pas quand on est déjà malade qu'il est encore temps de se poser ce genre de questions. Non, c'est dès maintenant qu'il faut prendre conscience que même si on ne vise qu'à protéger égoïstement ses seuls droits personnels à la santé, il n'y a tout simplement pas d'autre choix que d'agir collectivement pour leur sauvegarde, tant nous sommes confrontés à un véritable rouleau compresseur institutionnel, plus préoccupé du business des vendeurs de maladies que de notre bien-être ou de notre santé.

 

Lire aussi ici l'exemple concret et bouleversant d'un enfant inutilement amputé, parce que le système en place mettait déjà des bâtons dans les roues du Dr Delépine, vue comme une dangereuse concurrente!

 

Signez la pétition en faveur de la liberté thérapeutique.

 

Le 12 juin au Conseil National de l'Ordre des Médecins à Paris (convocation du Dr Moulinier):

  

Moulinier 7

 

Le 25 septembre dernier, le Dr Moulinier était condamné à 1 an de suspension! Il ne pourra donc plus donner de soins aux assurés sociaux français à compter du 1er janvier 2013. Il s'agit véritablement d'un acharnement scandaleux à son encontre puisqu'il avait déjà écopé d'une suspension d'un mois en 2001 et de 6 mois (avec 3 mois de sursis) en 2005.

 

On retrouve, au niveau de ce jugement que le Dr Moulinier conteste à présent devant la Cour de Cassation, les stigmates d'une arrogance sans limite de la part de cet establishment médical dictatorial:

 

"[...] compte tenu qu'en 2001 déjà, le Dr Moulinier s'était vu infliger, pour la mise en oeuvre par lui de thérapeutiques insuffisamment érpouvées, la sanction de l'interdiction d'exercer la médecine pendant 1 mois; qu'en 2005, à nouveau, une sanction de même nature pour une durée de 6 mois, dont trois avec sursis, lui a été infligée pour la mise en oeuvre de thérapeutiques dangereuses; que compte tenu de la gravité des fautes commises par le Dr Moulinier, de la permanence de sa part d'une pratique médicale s'écartant sans justification des données acquises de la science et des dangers qui en résultent pour les patients, il y a lieu de retenir à son encontre la sanction de l'interdiction du droit de donner des soins aux assurés sociaux pendant 1 an."

 

Pour le Dr Moulinier, et c'est d'ailleurs aussi l'avis d'Initiative Citoyenne et de nombreux autres collectifs et citoyens, SEULE une révolte citoyenne permettra d'endiguer la marchandisation de la santé ainsi que la pensée unique qui l'accompagne hélas inexorablement, transformant  lamentablement les médecins en vulgaires commerciaux sans cervelle. Il est en outre hallucinant de voir à quel point les patients sont infantilisés, comme s'ils étaient trop demeurés pour décider en toute connaissance de cause du médecin dont ils se satisfont!

 

 

Le 13 avril 2013 dernier, le Dr Moulinier indiquait sur son site internet une première bonne nouvelle avec la décision positive du Conseil d'Etat qui a décidé d'un sursis à l'exécution. La décision finale sur le fond n'est toutefois pas encore tombée. Et la prudence reste donc de mise.

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10 mai 2012 4 10 /05 /mai /2012 21:11

livre-vaccines-illusion.JPG

Suite au nombre croissant des préoccupations quant à la sécurité des vaccins, notre société a fini par se polariser entre, d’un côté les vaccinalistes convaincus, et de l’autre les opposants aux vaccins. Dans le débat sur la sécurité des vaccins nous avons malheureusement perdu de vue un problème plus important encore, à savoir que le fait d’utiliser les vaccins élimine nos chances de pouvoir mettre au point une  prévention naturelle de la maladie.

 

Ecrit par une immunologiste, « VACCINE ILLUSION » nous explique pourquoi les vaccins ne peuvent nous donner une immunité durable par rapport aux différentes maladies et pourquoi ces vaccins mettent en danger notre immunité naturelle, ainsi que notre santé.

 

Introduction au nouveau livre de Tetyana Obukhanych (PhD en immunologie de l’Université de New York. 22.03.2012)

 

Je connais plusieurs médecins et même quelques pédiatres qui n’ont plus recours aux vaccinations. Cependant je n’ai pas encore eu la chance de rencontrer un thérapeute de mon genre, à savoir un scientifique faisant partie de la recherche biomédicale officielle qui ne considère pas les vaccins comme la plus importante invention de la médecine.

 

Je n’aurais jamais imaginé me retrouver un jour dans la position que j’occupe aujourd’hui et surtout pas dans les débuts de ma recherche et de formation en immunologie. A cette époque le principe de la vaccination m’enthousiasmait, comme c’est d’ailleurs le cas pour tous les immunologistes. Cependant, après des années de recherche en immunologie, après avoir observé les activités scientifiques de mes supérieurs, analysé les différents problèmes liés à la vaccination, j’ai réalisé que la vaccination était l’une des inventions scientifiques parmi les plus trompeuses que la science ait jamais voulu convaincre le monde d’accepter.

 

Comme nous entendons de plus en plus parler des dommages causés par les vaccinations, beaucoup de personnes en sont arrivées à voir la vaccination comme un mal nécessaire qui, dans ses débuts, a aidé l’humanité à vaincre les épidémies, mais qui aujourd’hui apporte malheureusement plus de dommages qu’elle n’offre de bénéfices pour nos enfants.

 

En tant qu’immunologiste, je me situe dans une perspective différente et peut-être même unique. J’ai réalisé que l’invention de la vaccination au 18 ème siècle nous avait empêché de tenter de comprendre ce que représente vraiment l’immunité naturelle aux maladies.

 

Si nous avions pris une autre route et négligé ce raccourci, nous aurions pu profiter d’une connaissance approfondie de l’immunité naturelle. Nous aurions pu aussi développer une méthode vraiment efficace et sans danger pour nous prémunir des maladies, comparativement à tout ce que peuvent offrir les vaccinations.

 

Le terme immunité renvoie à un phénomène qui a été observé depuis toujours : l’insensibilité à quantité de maladies infectieuses grâce à une expérience antérieure.

 

Du fait qu’il existe une similarité phonétique entre les termes « immunologie » et « immunité », il est tentant de supposer que l’immunologie est une science qui étudie l’état d’immunité, ce qui n’est malheureusement pas le cas. L’immunologie est une science qui étudie un processus artificiel d’immunisation – à savoir la réponse d’un système immunitaire à l’injection d’une substance étrangère au corps. L’immunologie ne tente pas d’étudier, et dès lors ne peut fournir une compréhension des maladies naturelles, de même que de l’immunité qui s’ensuit.

 

Néanmoins la « connaissance » concernant la fonction du système immunitaire au cours du processus de la maladie est imprudemment déduite d’expériences immunologiques artificielles qui consistent à injecter des microorganismes (vivants ou morts) ou des éléments de ceux-ci dans des animaux de laboratoire afin de pouvoir représenter, interpréter l’état d’infection. Etant donné que les expériences en immunologie constituent des simulations irréalistes des processus naturels, la compréhension de la nature que possèdent les immunologistes reste limitée à la compréhension de leurs propres modèles. Les immunologistes ont limité la portée de leurs connaissances à leur boîte de modélisation expérimentale et ils n’ont aucune envie d’aller voir au-delà de cette boîte. Le fait de penser dans les limites de la boîte ne peut que renforcer la notion de vaccination et ne peut permettre de trouver d’autres solutions au problème des maladies.

 

Du fait que la base biologique de l’immunité naturellement acquise n’est toujours pas comprise, les pratiques médicales actuelles ne peuvent que mettre l’accent sur la manipulation artificielle de la réponse immunitaire pour assurer « l’immunité » sans tenir compte du véritable processus de la maladie. Le processus induit par les vaccins, bien que ne ressemblant pas à une maladie naturelle, reste néanmoins un processus de maladie comportant ses propres risques. Ce n’est pas l’immunité que la vaccination nous apporte mais un piteux substitut d’immunité. C’est pour cette raison que, dans son essence, la vaccination n’est ni sûre, ni efficace par rapport à la prévention des maladies. Mais les immunologistes n’ont rien de mieux à nous offrir parce qu’ils ne peuvent « manœuvrer » que dans les limites profondément engrammées que les dogmes de leur science immunologique leur imposent.

 

Trois facteurs importants ont contribué à ma désillusion concernant les paradigmes immunologiques et leurs applications – les vaccins.

 

En premier lieu plusieurs incohérences significatives au cœur même de la théorie immunologique dans ses tentatives d’expliquer l’immunité. En second lieu, j’ai pu observer comment des immunologistes chevronnés se permettaient d’omettre de mentionner le résultat d’expériences cruciales pour faire passer leurs publications sur les stratégies de  développement de nouveaux vaccins comme très prometteuses. Tout cela m’a rendue méfiante par rapport au processus de développement des vaccins en général et pressée de m’informer sur l’autre face du débat concernant la vaccination.

 

Le troisième facteur fut la naissance de mon enfant. Cet événement m’a obligée à arrêter ma recherche de laboratoire pendant quelques années. J’ai complètement mis de côté mon identité de chercheur pour me consacrer à mon rôle de mère, décidée à élever mon enfant, comme à lui assurer la meilleure santé possible. J’ai vite réalisé à quel point j’étais désemparée à propos de ce qui importait vraiment pour la santé en dépit de mes compétences par rapport à toutes ces théories immunologiques fantaisistes glanées au cours de ma formation dans cette Tour d’Ivoire. Pour l’amour de mon enfant je me suis sentie obligée de revoir tout ce que je connaissais en matière d’immunologie.

 

Enfant-Vaccine-illusion.jpg

 

J’ai creusé de plus en plus profondément pour trouver la racine des problèmes que nous rencontrons aujourd’hui avec les vaccins et finalement tout m’est apparu nettement plus clair.

  

Le livre que j’ai écrit est destiné à fournir aux parents les fondements essentiels de l’immunologie pour leur permettre de prendre leurs propres décisions en matière de vaccinations. Le fait de prendre des décisions en matière de vaccination constitue une responsabilité personnelle importante. Cette responsabilité ne devrait jamais être laissée aux mains des autorités médicales ou scientifiques. Les parents devraient s’informer, se documenter de la manière la plus complète sur les vaccins et les maladies afin de pouvoir se sentir absolument confiants et bien préparés à prendre totalement leurs responsabilités en ce qui concerne les conséquences de leurs décisions.

 

Il est important de pouvoir estimer les risques des effets secondaires des vaccins par rapport aux risques d’exposition aux microorganismes visés par les vaccinations. Mais la recherche des parents ne devrait pas s’arrêter là. J’exhorte chaque parent à prendre en compte la manière dont les vaccins agissent ; je les exhorte à réaliser si les bénéfices souhaités correspondent véritablement à ce qu’ils attendent pour leurs enfants et pour la société. Ni en tant que parent, ni en tant que scientifique, les implications des vaccinations ne m’ont paru acceptables. Le livre que j’ai écrit représente la somme des efforts que j’ai déployés pour en expliquer le pourquoi aux parents.

 

Un autre objectif que j’ai poursuivi en écrivant ce livre est d’augmenter le niveau de conscience dans notre société par rapport à l’urgente nécessité de changements fondamentaux dans la recherche immunologique qui permettra finalement une véritable compréhension de l’immunité naturelle. Il appartient aux générations futures d’immunologistes de sauver cette science, comme de la remettre sur la bonne voie. Les bénéfices que pourra en retirer l’humanité sont énormes et la peur des complications vaccinales, comme le peur des maladies ne seront finalement plus qu’une chose du passé. Pour rendre tout cela possible, le champ de l’immunologie doit être débarrassé des mauvaises herbes que représentent les dogmes immunologiques.

 

Je m'efforce finalement d'apporter, avec ce livre, une solution à ce schisme qui existe aujourd’hui entre ceux qui s’opposent aux vaccins à la suite des inquiétudes concernant leurs effets secondaires et ceux qui s’opposent au mouvement anti-vaccinaliste dû à la peur des maladies. Ce schisme nous a apporté d’énormes souffrances en divisant les familles, les amis et les thérapeutes.

 

Nous avons cependant toujours le même but : c’est toujours le meilleur que nous voulons pour nos enfants. Ce n’est qu’en unissant nos efforts que nous pourrons trouver une solution au problème des maladies sans mettre en danger la santé de nos enfants par les vaccins

 

Sources: Gary Null & the refusers.com

 

Essentiellement, la vaccination n'est ni une méthode sûre ni une méthode efficace de prévention des maladies. Dr Tetyana Obukhanych, immunologiste

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10 mai 2012 4 10 /05 /mai /2012 19:49

rtl labrique

10 mai 2012

 

Benjamin Labricque a introduit, mercredi, un recours en annulation et une demande d'annulation d'extrême urgence devant le Conseil d’État contre la décision de la Ville de Bruxelles d'exclure de la crèche son fils Raoul, âgé de huit mois, pour défaut de vaccination.

 

Pour rappel, Benjamin Labricque a refusé de faire injecter à son fils la troisième dose des vaccins rendus obligatoires dans les milieux d'accueil de la Communauté française sur l'avis de son médecin traitant qui a constaté que Raoul avait mal réagi aux premières prises.

 

Sur base du dossier, le pédiatre de l'ONE (Office de la Naissance et de l'Enfance) a estimé les effets secondaires mentionnés insuffisants pour bénéficier de la procédure d'exonération de vaccination existante. Raoul a, par conséquent, été exclu de la crèche communale Princesse Joséphine Charlotte.

 

L'avocat de Benjamin Labricque a envoyé, lundi, à la ville de Bruxelles, un courrier pour souligner que l'injonction de l'ONE mentionnait que l'enfant devait être en ordre de vaccination seulement à ses un an. Mais l'avocat de la Ville a rejeté la demande de suspendre l'exclusion de Raoul jusqu'à cet âge en se référant au guide de médecine préventive selon lequel "il est nécessaire qu'il (l'enfant) ait reçu 2 doses de vaccin contre la coqueluche avant 6 mois et que les vaccinations de la première année soient finies lors du bilan de santé des 9 mois".

 

Belga

 

Source: RTBF info

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7 mai 2012 1 07 /05 /mai /2012 23:03

MDesclee.pngInitiative Citoyenne, c'est aussi Muriel Desclée et Muriel Desclée, c'est aussi Initiative Citoyenne. Mais Muriel ne s'intéresse bien sûr pas qu'aux vaccins, c'est un peu ce qu'a voulu montrer cet article paru dans Bio Info de Mai.

 

A noter toutefois, c'est là une précision importante, que ni Muriel ni Initiative Citoyenne ne luttent "contre les vaccinations" comme cela est écrit de façon un peu simpliste mais sans doute par souci de brièveté, dans cet article.

 

C'est important de le dire et de le redire, par souci d'objectivité: l'information critique que nous apportons ne vise nullement à priver les gens de vaccins ou à se substituer à leur libre arbitre mais bien à leur donner toutes les chances de décider en toute connaissance de cause, de façon à ce qu'ils n'aient pas à regretter après coup une vaccination au sujet de laquelle ils estimeraient avoir été insuffisamment informés, par une communication officielle souvent partiale et édulcorée.

 

Par ailleurs, il est aussi toujours utile de rappeler l'absence totale d'intérêts personnels des membres d'Initiative Citoyenne dans le fait que Mme X ou Mr Y refuse ou accepte une vaccination là où en revanche, les experts des instances officielles en conflits d'intérêts ou les médecins praticiens qui administrent les vaccins ont un intérêt financier évident à défendre, promouvoir ou recommander aveuglément ces vaccins.

 

En revanche, il est exact que Muriel Desclée, tout comme Initiative Citoyenne s'opposent aux obligations et pressions vaccinales, estimant que la liberté vaccinale est plus que jamais nécessaire dans un secteur où il n'y a pas d'unanimité médicale et où la désinformation et l'opacité règnent en maîtres.

 

Initiative Citoyenne demande donc aux officiels, à l'instar de ce qu'avait d'ailleurs déjà demandé Barbara Loe Fisher, présidente du National Vaccine Information Center (NVIC): Donnez- nous TOUTE la Science (y compris celle qui dérange) et laissez nous le choix !

 

Voir aussi l'article paru dans le Soir ce 28 août 2012: ICI

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7 mai 2012 1 07 /05 /mai /2012 19:09

Christina England du site Vactruth, rapporte dans un article de ce jour, que les spectateurs comme les athlètes sont pressés de se faire vacciner contre la rougeole à l'occasion du grand rassemblement des JO de Londres, en juillet prochain.

 

Avec la perspective des centaines de milliers de touristes attendus à Londres à cette occasion, les experts canadiens et américains en maladies infectieuses craignent que ces touristes ne rapportent comme "souvenir" la rougeole dans leurs bagages et exhortent donc les voyageurs à s'assurer qu'ils sont en ordre de vaccination.

 

Etant donné que GlaxoSmithKline est le sponsor n°1 des Jeux Olympiques 2012, il apparaît assez évident que les vaccinations constituent une des principales priorités inscrites à l'agenda.

 

GSK a donc dû être au septième ciel lorsqu'ils ont signé le contrat avec les JO pour les tests anti-dopage.

 

Andrew Witty, le Directeur exécutif de GlaxoSmithKline, a déclaré:

 

"Les Jeux Olympiques et paralympiques constituent pour GSK une énorme opportunité de faire partie de l'organisation d'un évènement remarquable d'ampleur mondiale. Je suis ravi de l'alliance que nous avons conclue avec le King's College de Londres afin de garantir ensemble cette excellente science qui peut jouer un rôle clé, de façon à s'assurer que les Jeux se déroulent sous les meilleurs standards éthiques et que les athlètes puissent mener des vies plus saines."

 

Cependant, Andrew Witty n'a-t-il pas bien d'autres choses à l'esprit lorsqu'il ne fait qu'évoquer la question des tests anti-dopage?

 

Pour plusieurs professionnels de santé, dont le Dr Jane Donegan, médecin généraliste homéopathe, nous vaccinons inutilement contre un tas de maladies infantiles alors que "les décès liés à maladie comme la rougeole avaient déjà baissé de 95% avant l'introduction du vaccin."

 

Plusieurs épidémies ont déjà éclaté dans des populations hautement vaccinées et qui avaient reçu toutes les doses recommandées.

 

Par ailleurs, comme l'estime Cynthia Cournoyer, une autre analyste des questions vaccinales, "Les maladies infectieuses vont et viennent; elles font partie de la biosphère. Penser que nous pouvons simplement les éliminer par le biais de moyens techniques est d'une incroyable témérité."

 

Une fois encore, les conseilleurs ne sont pas les payeurs et il est clair que des milliers de spectateurs ou d'athlètes sont susceptibles de souffrir de graves effets secondaires vaccinaux dont on ne leur parle jamais, parmi lesquels des troubles neurologiques, de l'autisme, du diabète, des allergies invalidantes etc

 

Au lieu de constituer une merveilleuse occasion d'unité des nations autour du sport, ce que les Jeux Olympiques sont censés permettre, les JO de 2012 ne seront qu'une occasion de plus pour les pharmas de s'en mettre plein les poches.

 

 

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7 mai 2012 1 07 /05 /mai /2012 16:38

Le 5 mai dernier, dans le cadre du dossier du JT de 19H30, la RTBF diffusait un reportage de 3 minutes sur la controverse liée aux obligations vaccinales en crèches.

 

Ce reportage comprenait notamment des interventions de Sophie Meulemans, de notre collectif, ainsi que du Dr Marie-Christine Mauroy, directrice médicale à l'ONE.

 

Outre la disproportion manifeste du temps de parole que nous n'avons même pas discutée ici, la journaliste contredit de façon inexacte et non fondée les propos de Sophie Meulemans d'Initiative Citoyenne, ce qui est de nature à entacher injustement la crédibilité d'Initiative Citoyenne comme de Sophie Meulemans en particulier.

 

C'est la raison pour laquelle Initiative Citoyenne a envoyé ce jour une demande de droit de réponse, sur base de la loi du 23 juin 1961 relative au droit de réponse dans la presse écrite et audiovisuelle.

 

Cette demande a été envoyée par mail et par recommandé postal avec accusé de réception à Mr Jean-Pierre Jacqmin, Directeur de l'Information à la RTBF, ainsi qu'à Mme Julie Morelle, journaliste à la RTBF et à l'adresse générale de la rédaction de la RTBF.

 

Recepisse Recommandé RTBF 7 mai 2012

 

N'ayant pas reçu la moindre réponse de la part de la RTBF, nous avons alors renvoyé un second recommandé en date du 14 mai dernier

  

Recepisse recommandé 14 mai 2012

 

Le 16 mai, la RTBF envoyait sa réponse, par le biais de son Administrateur général (réponse qui ne nous est parvenue que le 23 mai). Une réponse qui tentait visiblement d'éluder le point crucial du litige à savoir une erreur factuelle notoire sur le terme "selon la même enquête", alors que cela n'était précisément pas la même. Et cela change bien sûr tout.

 

Voici ICI la réponse qui a été faite à Mr Philippot, avec copie à Mrs Jacqmin et Dauriac et à Mme Julie Morelle.

 

Par son courrier du 26 mai dernier, la RTBF a cru bon de maintenir sa position.

 

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7 mai 2012 1 07 /05 /mai /2012 16:30

Miller, vaccins multiples

Geachte heer Top,

Hierbij neem ik de vrijheid u het volgende onder de aandacht te brengen.

We zijn hoogst verbaasd te lezen dat op de website van Zorg en Gezondheid het volgende (nog steeds) de ronde doet :


Het immuunsysteem van een kind heeft voldoende capaciteit (aantal en aanmaaksnelheid van witte bloedcellen) om tegen 10.000 vaccins tegelijk immunologisch te kunnen antwoorden. Het gebruikt slechts 0.1% van zijn immuunsysteem om te antwoorden op een vaccinatie (bronnen 2,6,7).

http://www.zorg-en-gezondheid.be/Ziektes/Vaccinaties/Veelgestelde-vragen/Veel-gehoorde-beweringen-en-halve-waarheden-over-vaccinatie

MAAR :


het schijnt dat men zich hierbij gebaseerd heeft op één interpretatie van één vaccininsider, Dr. Paul Offit. Deze uitspraak wordt echter niet door feiten onderbouwd, is niet realistisch en gebaseerd op louter theoretische speculatie en zou als niet relevant zijnde direct ingetrokken moeten worden.

Dit wordt al geruime tijd wereldwijd in vele talen gebruikt als extra argument om ouders en zorgverleners
over de streep te trekken wanneer getwijfeld wordt aan het nut en de veiligheid van vaccins.

Wordt er niet van alle kanten aangedrongen op het zorgvuldig omgaan met verspreiden van op internet circulerende studies/rapporten ?


http://gaia-health.com/gaia-blog/2012-04-16/10000-vaccines-safety-claim-simple-hype-or-sinister-intent/

Wij doen hierbij dan ook een dringend beroep op de verantwoordelijken van Zorg en Gezondheid om deze claim zo snel mogelijk van de website te verwijderen of hier een (terechte) kritische kanttekening bij te plaatsen.

Met vriendelijke groet en mede uit naam van vele bezorgde burgers,

Ellen Vader



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6 mai 2012 7 06 /05 /mai /2012 20:49
 
NB: On remarquera le temps de parole "très équitable" entre Mme Mauroy de l'ONE (48 secondes pour ses 2 interventions) et Sophie Meulemans d'Initiative Citoyenne (22 secondes), totalement cohérent avec les implications de la mission de la RTBF telle que décrite le site de la Fédération Wallonie-Bruxelles qui a à la fois la tutelle sur l'ONE et sur la RTBF, cette mission exigeant, entre autres, selon ce site: "que la RTBF rassemble les publics les plus larges possibles tout en répondant aux attentes des minorités socio-culturelles, et reflète sans discrimination les courants d’idées présents dans la société."
 
Par ailleurs, la journaliste Julie Morelle contredit de façon inexacte et abusive les propos de Sophie Meulemans d'Initiative Citoyenne, ce qui est de nature à entacher la crédibilité d'Initiative Citoyenne et de Sophie Meulemans en particulier, raison pour laquelle Initiative Citoyenne a introduit ce lundi une demande de droit de réponse, sur base de la loi du 23 juin 1961 relative au droit de réponse dans la presse écrite et audiovisuelle.
 
Les propos du Dr Mauroy sont par ailleurs peu convaincants lorsqu'il s'agit de la prétendue indépendance des instances de pharmacovigilance, Mme Mauroy faisant notamment référence sans la citer à l'Agence européenne du Médicament, qui est financée à 80% par les redevances des industriels et dont l'ancien directeur, Thomas Lönngren, travaillait directement pour l'industrie alors qu'il était encore au poste de Directeur de l'Agence!
 
Il apparaît en réalité que la situation ne sera jamais assez inquiétante que pour que des décisions rationnelles et courageuses soient prises en matière de vaccination. Un peu à l'instar de ce qui se passe avec le Gardasil, qui a déjà, jusque mars 2012, provoqué officiellement aux Etats-Unis 25 132 effets secondaires dont 826 infirmes et 110 décès, il semble hélas qu'il faille que tous les enfants vaccinés ou presque manifestent des effets graves spectaculaires que pour qu'on daigne admettre qu'il y a un vrai problème de sécurité.
 
On sacrifie ainsi dans l'indifférence générale des gens et des enfants dont les cas sont systématiquement assimilés à "des coïncidences". En témoigne encore la récente décision du Conseil d'Etat français qui a reconnu, plus de 17 ans après les faits, le vaccin pédiatrique Pentacoq responsable du handicap à 95% d'une enfant et condamné les autorités à une somme 3 millions d'euros, le Ministre ayant jusque là toujours tout fait pour étouffer et faire traîner cette affaire. Mais bien d'autres témoignages de victimes fleurissent sur les forums, y compris en Belgique, comme ces deux témoignages issus des sites de RTBF Info et Vivacité:
 
"Cas personnel. Mon frère à fait une réaction instantanée au vaccin polio coqueluche, avec crises d'epilepsie quelques heures après la vaccination, puis à fait une encéphalite.. Il est maintenant lourdement handicapé et fait toujours des crises d'épilepsie. Il a 23 ans et c'est un grand nounours... Merci les vaccins, merci l'obligation, merci la vie! "
 
de kRISSSS (à Karin Rondia suite aux propos qu'elle avait tenus, tout à fait similaires à ceux du Dr Mauroy): "Chère Madame, Mes parents nont pas, comme vous dites, réfléchit une seconde avant de me faire vacciner contre la polio. Devinez quelle est la maladie qui m'oblige à l'usage permanent de la chaise roulante ? Alors, c'est un peu facile, je trouve, d'utiliser le pouvoir du micro pour faire valoir votre point de vue légitimement contesté. Si l'Etat trouve bon d'obliger les gens à faire vacciner il devrait aussi accepter de se faire condamner pour empoisonnement involontaire et dédommager ses victimes en conséquences. Je vous souhaite une bonne journée."
 
Enfin, plusieurs parents et personnes qui ne s'étaient justement jamais posé de questions sur l'efficacité et la sécurité des vaccins ont par ailleurs déjà pu se rendre compte par eux-mêmes que l'on pouvait avoir la polio tout en étant vacciné (l'Encyclopedia Universalis rapporte ainsi en 1988 une hausse de 300% des cas de polio dans les pays tropicaux suite aux intenses campagnes vaccinales menés dans ces pays) ou pire, faire une paralysie flasque aigue due au vaccin (deux fois plus mortelle que la polio). De même, il est tout à fait possible que des enfants puissent décéder de la coqueluche, en dépit d'une vaccination en bonne et due forme, comme en témoignent d'ailleurs les chiffres les plus officiels qui attestent de la recrudescence des cas de coqueluche chez des sujets ayant reçu toutes les doses requises dans l'enfance.
 
A force de tenir ainsi un discours simpliste et littéralement cousu de fil blanc, l'ONE perd de de plus en plus sa crédibilité, comme en témoignent aujourd'hui sur des forums, des réactions qu'on aurait pas lue il y a 10 ou 15 ans et dont Mme Mauroy ferait bien de prendre de la graine:
 
"Il existe un dogme vaccinatoire à l'ONE, dès que l'on souhaite réduire (crèche ou pas) les vaccins, une campagne culpabilisatrice se met en route sans nécessairement d'explications argumentées. C'est du vécu! "En 30 ans que je suis à l'ONE vous êtes peut-être la 2ème personne qui souhaite réduire au strict obligatoire". La culpabilisation ne s'arrête pas la, le pharmacien embraye et enfin la société en général vu qu'ils ont fusionné certains vaccins obligatoires avec d'autres recommandés, donc besoin d'acheter individuellement ces vaccins de quoi s'ensuit un remboursement réduit ou nul pour certains! Mais qui sont-ils pour dicter nos choix? Cette thématique est bel et bien controversée! Pour moi, l'ONE n'a plus de crédit depuis qu'ils acceptent des médecins traitants à la place de pédiatres, ces même médecins qui cumulent petites erreurs de diagnostic et qui viennent ensuite jouer aux moralisateurs!?! Pour terminer il serait peut-être opportun de rappeler que l'ONE ne représente pas une autorité (ni même morale ou administrative). Toutefois certain(e)s TMS jouent ce rôle (cultive leur égo?), il serait grand temps que ces services aient une politique de services et non plus de personnes car les incohérences relevées sont légion!" Neg8
 
"Imposer un vaccin est une atteinte à l'intégrité physique de la personne ! L'ONE n'a pas a se situer au dessus des lois, mais simplement à remplir sa mission définie par la loi. Mais tout système étatique veut toujours prendre plus de pouvoir, se rendre indispensable et incontournable afin de préserver son avenir; c'est connu, regardez l'ONU qui à génère une multitude de filiales incontrolable. Le vaccin est un choix personnel et pas societal. La preuve de l'inefficacité des vaccins, c'est que même vacciné vous n'etes pas protégé. Mais cela fait la fortune de sociétés pharmaceutiques et surtout de leurs actionnaires que l'on retrouve comme par hasard dans le monde politique. Notre corps est une machine merveilleuse qui a tout ce qui faut pour se défendre; regardez les animaux et vous comprendrez, peut être ! Le but : facturer chaque vaccin et les multiplier afin de se remplir les poches. [...] Heureusement, il reste les crèches privées qui ne sont pas "soumises" à leurs dicktats, vu qu'elles ne sont pas subsidiées par le système que l'on ne connaît que trop bien en Wallonie." Alain 
 
 
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