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21 janvier 2012 6 21 /01 /janvier /2012 23:13

La plupart des parlementaires impliqués dans les missions post-Mediator et travaillant notamment sur les problématiques de conflits d'intérêts appartiennent à un club directement financé par le laboratoire pharmaceutique GlaxoSmithKline : le Club Hippocrate.

 

Lire la suite de cet article sur Agoravox: ICI

 

Lire aussi la suite de cette saga dans cet autre article d'Agoravox intitulé "Enquête sur Mediator : les parlementaires effacent discrètement leurs conflits d’intérêt d’un site internet compromettant."

 

Et suite à cet article-là du 18 mars 2011 d'Agoravox, le Sénat français se mettait à censurer Wikipedia, à l'affût des informations gênantes sur les conflits d'intérêts de certains élus qui non contents d'être volontairement entre deux chaises, ne sont même pas fichus d'assumer ces conflits d'intérêts dont ils ont visiblement honte: voici donc les preuves de la censure sur Wikipedia!

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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21 janvier 2012 6 21 /01 /janvier /2012 21:29

Une directrice de crèche nous a fait parvenir les documents que l'ONE diffuse à tous les milieux d'accueil pour diffusion aux parents, preuve que la médiatisation du cas de la petite Stacy a dû en faire réfléchir plus d'un, à juste titre....
 
Là où l'ONE affirme un peu TROP VITE que la petite est morte "des suites d'une infection fulminante due à une bactérie contre laquelle elle n'avait pas été vaccinée", il faut bien sûr rappeler que plusieurs études scientifiques (déjà mentionnées par Initiative Citoyenne dans ses courriers aux Ministres, cfr point (18) page 16 ) prouvent  que la vaccination peut déprimer et affaiblir le système immunitaire au point de faciliter des infections opportunistes graves pouvant s'avérer mortelles, infections que le sujet aurait pu ne jamais avoir ou qu'il aurait pu juguler en temps normal, en l'absence de stimulation immunitaire intempestive d'orgine vaccinale.
 
Mais il est vrai que l'ONE ne connaissait déjà aucune étude internationale sur les risques graves des vaccins là où il en existe des centaines et même sans doute des milliers!

Soulignons à ce propos l'énorme dérobade de l'ONE qui ne nous a apporté aucune réponse précise à nos questions adressées par recommandé sur la sécurité des vaccins au prétexte qu'une action en justice est pendante contre la Fédération Wallonie-Bruxelles au sujet de l'obligation vaccinale en crèches.

 

Quant à l'avancement de l'enquête sur l'origine exacte du décès de la petite Stacy, le moins qu'on puisse dire est que tous les efforts ne sont pas accomplis puisqu'une loi belge de 2003 impose de réaliser une autopsie pour tout décès inopiné d'un enfant de moins de 18 mois or ici elle est refusée aux parents depuis plusieurs semaines et ce, alors qu'ils l'avaient demandée avant le délai crucial des 60 jours et qu'ils étaient aussi, en cela, soutenus par les médecins de leur assurance!

 

 

 

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21 janvier 2012 6 21 /01 /janvier /2012 19:13

Le film Contagion aurait pu planter son décors dans n'importe quelle autre région géographique.

Mais voilà, il se trouve que c'est dans le Wisconsin que cela se passe.

Or, étrangement, c'est aussi dans le Wisconsin (Université de Madison) qu'a lieu une des recherches hasardeuses sur le H5N1 destinées à rendre ce dangereux virus aussi très transmissible. En effet, à côté de l'équipe de Ron Fouchier de l'Erasmus Medical Center de Rotterdam, il y a aussi l'équipe de Kawaoka, de l'Université du Wisconsin. Soit 2 équipes différentes qui ont reçu la mission officielle des autorités de faire muter ce virus aviaire dans le prétendu but de... mieux protéger le public.

 

Source: Imaginggenetics

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21 janvier 2012 6 21 /01 /janvier /2012 18:57

20 janvier 2012- La DH

 

Selon Raphaël Sirjacobs et Béatrice Dupont, la mort de leur fillette est imputable à ces vaccins dont un a été retiré dans certains pays

 

BRUXELLES Une trentaine de citoyens ont marché symboliquement vendredi de la gare du Midi, à Bruxelles, au Service public fédéral (SPF) Santé publique afin de réclamer la liberté vaccinale pour leurs enfants et le droit à l'information. L'action a été organisée par Raphaël Sirjacobs et Béatrice Dupont, les parents de Stacy, un nourrisson décédé en octobre 2011 après avoir été vacciné au Prevenar, à l'Infanrix hexa et au Rotarix. Officiellement, Stacy est décédée d'une méningite à méningocoques mais selon ses parents, sa mort est due à la triple vaccination effectuée malgré des antécédents familiaux d'allergies. Selon Raphaël Sirjacobs et Béatrice Dupont, la mort de leur fillette est imputable à ces vaccins dont un, à la suite de décès d'autres nourrissons, a été retiré dans certains pays.

Les parents ont dénoncé l'absence d'information concernant les effets secondaires de ces vaccins et ont réclamé la liberté vaccinale. Raphaël Sirjacobs a également pointé du doigt "le harcèlement de l'ONE (Office de la Naissance et de l'Enfance) qui pousse les parents à vacciner leurs enfants qui, sans cela, ne sont pas admis dans les crèches et donc, exclus."

Les parents souhaitent à présent démontrer que les risques secondaires des vaccins sont sous-estimés alors qu'ils peuvent être graves voire mortels. L'application de la loi de 2002 sur le patient, autorisant ce dernier à recevoir toutes les informations disponibles sur son traitement, était également au coeur des revendications des manifestants.

 

Source: La DH

 

 

Lire le discours de Me Philippe Vanlangendonck, l'avocat des parents: ICI

 

 

 

 

 

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20 janvier 2012 5 20 /01 /janvier /2012 23:01

C'est notamment ce qui ressort de la récente publication des scientifiques canadiens Shaw & Tomljenovic dans Annals of Medicine le 22 décembre dernier: Gardasil & Cervarix entraînent très nettement plus d'effets secondaires  que les autres vaccins:

 

 

 

 

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20 janvier 2012 5 20 /01 /janvier /2012 10:00

La participation aux essais cliniques sur les vaccins ne devrait-elle pas devenir OBLIGATOIRE?

 

Si le développement prometteur des vaccins, du laboratoire à la clinique, ne doit pas être modifié, et étant donné qu'il y a pénurie de recrutement et que l'incitation financière représente une solution éthiquement inacceptable, d'autres stratégies doivent être envisagées. L'enrôlement obligatoire dans les études sur les vaccinations constitue une alternative qui n'est pas aussi étrange qu'elle puisse paraître au premier abord.

 

Traduction d'un extrait d'une publication de: American Medical Association Journal of Ethics, Janvier 2012, vol. 14,N°1:35-38

 

Et comme par hasard, la Commission Européenne propose de rendre possible l'expérimentation humaine SANS CONSENTEMENT "dans des situations d'urgence", cfr ici:

 
Le point commun entre ces deux évènements? LA VACCINATION (PANDEMIQUE!), au motif de l'urgence bien entendu!


Si des informations de ce genre ne sont pas dignes d'être relayées par les médias et ce de façon urgente, c'est à n'y plus rien comprendre et c'est à désespérer car après, il sera trop tard. Des groupes indépendants comme Initiative Citoyenne s'inquiètent à juste titre de ce genre de projets anti-démocratiques et non éthiques par excellence qui refont inévitablement penser à une répétition des heures les plus sombres de l'Histoire, comme si tant de gens étaient morts en vain au cours de la dernière guerre mondiale...

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15 janvier 2012 7 15 /01 /janvier /2012 20:19

Le tandem de chercheurs canadiens en neurologie Shaw & Tomljenovic, qui avait récemment publié une étude sur le bienfondé de la vaccination anti-HPV dans Annals of Medicine, vient, le 10 janvier dernier, de publier dans un journal académique indépendant une autre étude sur les mécanismes toxicologiques de l'aluminium vaccinal chez les enfants et le lien avec des maladies auto-immunes.

 

Une fois encore, une telle étude est extrêmement importante.

Pourquoi: parce que là où les officiels continuent de répéter un même refrain théorique et non prouvé, ces chercheurs s'attachent  réellement à examiner les preuves scientifiques existantes pour apporter des réponses quant au rapport bénéfices/risques de tels vaccins aluminiques. Pour ce faire, ils ont passé près de 90 autres études scientifiques en revue. En outre, ces chercheurs sont totalement indépendants, ce qui est non négligeable!

 

Que dit cette étude? Voici quelques extraits éclairants:

 

"L’Aluminium (Al) est hautement toxique. Il a été démontré qu’il pouvait perturber le développement du cerveau en phases prénatales et postnatales tant chez l’homme que chez l’animal. (1-2) Il possède en outre des propriétés neurotoxiques. L’Al. est un puissant stimulateur du système immunitaire. C’est la raison pour laquelle il est utilisé comme adjuvant. (3-8).Compte tenu de ceci, il est surprenant de constater qu’en dépit d’une utilisation de plus de 80 années, la sécurité de l’aluminium continue d’avoir pour base des suppositions plutôt que des preuves scientifiques. Rien n’est par exemple connu de la toxicologie, de la pharmacocinétique des adjuvants à l’aluminium chez les nourrissons et les enfants. (9)"   

 

"Une préoccupation supplémentaire concernant l’utilisation d’une substance neurotoxique comme l’Aluminium dans les vaccins destinés aux nourrissons et à des enfants est le fait que ces jeunes enfants ne devraient pas être considérés comme de « petits adultes » quand il s’agit d’envisager des risques toxicologiques." 

 

A la question de savoir si l'aluminium vaccinal présente un risque toxicologique pour le développement de l'enfant, les auteurs expliquent que 5 observations sont à prendre en compte:

 

"En premier lieu, au cours du développement du cerveau, il existe des périodes critiques au cours desquelles de subtils défis immunitaires (y compris ceux qui sont induits par les vaccinations) peuvent conduire à des altérations préjudiciables et permanentes du cerveau comme des fonctions immunitaires. (15-17) En effet, un simple vaccin anti-hépatite B adjuvanté à l’aluminium et administré à de jeunes primates dans les 24 heures après leur naissance, s’avère suffisant pour provoquer des retards neuro-développementaux dans l’acquisition de réflexes essentiels à la survie. (17). En second lieu, les enfants d’âge pré scolaire sont exposés régulièrement à des quantités significatives d’adjuvants à l’aluminium au travers de multiples vaccinations. (3), (18)   L’exposition à des doses aussi élevées d’Aluminium, répétées à des intervalles relativement courts pendant les périodes critiques du développement neurologique représentent un défi neuro-immuno-toxicologique significatif pour les nouveau-nés et les jeunes enfants. (18) En troisième lieu, en dépit des conceptions habituelles selon lesquelles les réponses immunitaires périphériques n’affectent nullement les fonctions du cerveau, les résultats accablants de la recherche démontrent clairement le contraire.   

 

[…] En quatrième lieu, les mêmes composants du système régulateur neuro-immunitaire  qui jouent des rôles-clés, tant dans le développement du cerveau que dans la fonction immunitaire (cytokines immunitaires)  (19,20,25) sont fortement ciblés par les adjuvants aluminiques (Tableau 1)

 

 

En cinquième lieu, les preuves expérimentales montrent que l’effet puissant d’un adjuvant peut vaincre la résistance génétique à l’auto immunité. (26)"   

 

A la question de savoir COMMENT, par quels mécanismes l'aluminium vaccinal peut intoxiquer les enfants et dégrader leur santé, les auteurs apportent plusieurs réponses extrêmement claires et compréhensibles:  

  

L’utilisation  en pédiatrie d’une substance neurotoxique comme l’aluminium comme stimulant immunitaire présente aussi d’autres problèmes. Tout d’abord, au cours du développement prénatal et postnatal le développement du cerveau est extrêmement vulnérable aux agressions neurotoxiques. Ces périodes de développement rapide du cerveau sont non seulement extrêmement délicates mais aussi, la barrière hémato-encéphalique n’est pas complètement formée et est donc davantage perméable aux substances toxiques. (11,12, 29).  A cela s’ajoute l’immaturité du système rénal des nouveaux-nés qui compromet de manière significative leur capacité d’éliminer les toxiques environnementaux. (11,12) C’est pour toutes ces raisons, qu’avec les adjuvants aluminiques, les enfants courent de plus grands risques que les adultes. Il convient de préciser par ailleurs aussi que, historiquement les essais cliniques des vaccins ont de manière routinière exclu les individus vulnérables présentant toute une série de problèmes de santé préexistants (prématurés, histoire personnelle ou familiale de retards de développement, troubles neurologiques comprenant des convulsions de quelque origine que ce soit, l’hypersensibilité aux constituants des vaccins, y compris l’Aluminium etc.) (51-53).  Du fait de ces différents biais de sélection, la survenance d’effets secondaires graves (ADRs) résultant des vaccinations peut être considérablement sous-estimée. Autant d’éléments qui devraient susciter des préoccupations ; d’autant plus que les conditions qui viennent d’être citées sont précisément celles qui, dans les directives actuelles de vaccinations, sont considérées comme des « fausses contre-indications » aux vaccinations. (54) Pour toutes ces raisons, les véritables risques des vaccinations restent inconnus.  

 

Les auteurs concluent donc  que "du fait que les nourrissons et les enfants courent le maximum de risques de faire des complications vaccinales, il est aujourd’hui nécessaire et urgent qu’une évaluation plus rigoureuse des effets secondaires potentiels des vaccins chez les enfants soit réalisée."

 

Pourtant, les officiels (Académie Française de Médecine, Afssaps, ONE, etc) continuent de nous dire qu'il n'y a pas de quoi s'alarmer et qu'il n'y a aucun problème.  

 

Or pour vraiment comprendre l'impact de cette étude et de ses conclusions, il est certainement utile de faire un rapide "tour d'horizon" des avis officiels faussement rassurants, en France, comme en Belgique et dans d'autres pays. 

 

En 2010, on pouvait lire l'avis du Pr Pierre Bégué, de l'Académie française de Médecine dans le magazine français Top Santé

 

"Pour le professeur Bégué "la polémique n'existe pas", et les "dangers annoncés ne sont ni connus ni reconnus". [...] La désinformation sur les risques liés à l'aluminium viendrait d'une recherche qui n'a pas été à ce jour publiée. "Créer de la panique et l'inquiétude auprès des patients, sans apporter la preuve me semble irresponsable", insiste Professeur Bégué."   

 

En réalité, il y avait déjà à cette époque non pas une mais des tas d'autres études scientifiques sur la toxicité de l'aluminium vaccinal (tant et si bien que le travail de compilation du Dr Jean Pilette qui existe déjà depuis plusieurs années comporte pas plus de 1700 références scientifiques!). D'ailleurs, le 6 décembre 2010, la chaîne France 3 diffusait un reportage intitulé "Aluminium, poison au quotidien" dans lequel on pouvait notamment entendre la présentatrice expliquer:  

 

"Alertées depuis plus de dix ans, y compris  par des publications et des études scientifiques récentes, les autorités de santé ne reconnaissent pas de lien entre ces maladies et l'aluminium des vaccins. L'Agence de pharmacovigilance s'appuie sur une hypothèse qui n'a pas été validée scientifiquement."   

 

Par conséquent, ce qui semble surtout le plus irresponsable et le moins légitime c'est d'imposer des vaccins contenant de l'aluminium dont la dangerosité a été bien établie!

 

L'ONE également dans son fameux Guide de Médecine préventive 2011 (dernière version) continue dans ce même registre des affirmations gratuites en déclarant par exemple: 

 

"Les sels d'aluminium sont largement utilisés comme adjuvants et sont généralement considérés comme sans danger." ou encore: "Le Comité consultatif mondial de la Sécurité vaccinale (GACVS) a étudié à de nombreuses reprises la question générale de l'innocuité des adjuvants. Rien n'indique à l'heure actuelle que les vaccins contenant de l'aluminium ou du squalène (huile naturelle), présentent un risque pour la santé ou qu'un changement des pratiques vaccinales actuelles soit justifié."

 

On a vu ce qu'il en était de la sécurité du squalène avec la narcolepsie, effet grave le plus médiatisé à côté de combien d'autres.

 

 

Traduction française partielle de cette étude : ICI

 

 

Voir aussi l'article à ce sujet sur le site Ouvertures: ICI

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15 janvier 2012 7 15 /01 /janvier /2012 13:50

Il y a environ deux semaines, à l'occasion de la grosse médiatisation autour de l'étude de Shaw & Tomljenovic (Annals of Medicine) sur les rapports bénéfices/risques et coût/bénéfices clairement défavorables des vaccins anti-HPV, Mme Laanan a été contactée par la presse qui souhaitait obtenir sa réaction.

 

Celle-ci a dit ne pas vouloir commenter cette étude et a affirmé en guise de réponse que "des mesures de vigilance sont prises"... cette réponse n'est-elle pas un peu courte?

 

 

Par ailleurs, pour ce qui est de sa collègue Laurette Onkelinx, il aura fallu toute cette médiatisation autour de cette étude mais aussi et surtout des articles de presse sur une victime bruxelloise du Gardasil pour qu'elle daigne enfin "demander un rapport complet" à l'Agence Fédérale du Médicament (AFMPS) sans qu'on sache vraiment quelle sera l'utilité d'une telle démarche. Ne s'agit-il pas là d'une réaction politicienne? Comment analyser une telle réaction?

 

loupe

Une telle attitude n’a rien de prévoyant ou d’avant-gardiste. Laurette Onkelinx agit ainsi car elle n’a politiquement pas le choix et sans doute parce que le choix politique de sa collègue socialiste Laanan se trouve considérablement mis en cause. Cette attitude est beaucoup trop tardive car la controverse autour de ces vaccins est mondialisée et existe depuis plus de 4 ans déjà. En outre, il faut rappeler que c’est Mme Onkelinx elle-même qui, dans le cadre de son plan cancer de 2008 avait encore étendu le remboursement du vaccin anti-HPV jusqu’à l’âge de 18 ans (au lieu de 15 ans précédemment), contrairement à l’avis du Conseil Supérieur de la Santé. Car elle se disait en effet à l’époque sollicitée par des associations de patients dont on sait bien que la vaste majorité sont pourtant financées par les firmes pharmaceutiques. Interrogée par le Vif fin 2008, Mme Onkelinx répondait qu’elle ne voyait pas de raison de douter de l’intégrité des experts bien que 4 des 5 experts officiels qui ont rédigé ce rapport du Conseil Supérieur de la Santé de fin 2007 sur ces vaccins avaient des conflits d’intérêts avérés avec les fabricants.

 

A présent, la même Ministre demande un rapport complet à l’Agence belge du Médicament, la même agence qui a réussi à attribuer au hasard tous les décès après vaccin H1N1 en Belgique et dont le Directeur disait face caméra ne même pas être au courant des 7 décès sur 2000 patients dans les essais cliniques du vaccin Pandemrix. Sans parler de la récente dérobade de cette agence que nous avions sollicitée suite à la publicité trompeuse de la Fédération Wallonie Bruxelles, pourtant manifestement dissonnante avec la récente campagne de l'agence contre la banalisation des médicaments.

Par conséquent, peut-on sincèrement s’attendre à une décision objective et protectrice de pareille agence ou de pareils ministres ?  

 

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15 janvier 2012 7 15 /01 /janvier /2012 12:16

Une pétition publiée début novembre dernier par le Comité pour la Médecine préventive et le soin des patients, appelle les citoyens à stopper les propositions de la Commission Européenne destinées à permettre, dans des situations d'urgences, l'expérimentation humaine sans consentement.

 

La Commission Européenne a en effet, selon ce texte comme projet, de modifier la Directive 2001/20/EC sur les bonnes pratiques cliniques et donc d'abolir le droit des patients de décider des produits qu'on peut leur administrer en cas d'urgence (par exemple en cas d'attaques ou d'autres accidents graves).

 

Il s'agit donc d'une pétition fondamentalement logique et dont les signatures seront envoyées au Parlement européen, au premier semestre 2012, lorsque ces propositions seront débattues.

 

Mais prenons surtout bien conscience qu'une telle proposition pourrait tout à fait être élargie à la vaccination au cours d'un "état d'urgence décrété", ce qui est tout à fait cohérent avec les récentes informations de l'AFP selon lesquelles le Commissaire européen à la Santé John Dalli a récemment formulé des propositions suite à la crise du H1N1 dont celle de "permettre à la Commission Européenne de déclarer une situation d'urgence sanitaire au niveau européen."

 

De là, on voit qu'une étape de plus est en passe d'être franchie puisqu'après les propos-chocs de Mme Testori (DG Santé & Consommateurs, CE.) du 5 octobre 2010 qui appelait à une vaccination humaine à la façon d'un troupeau de bétail, on voit qu'on est ici ni plus ni moins en train de préparer le terrain pour le recours forcé à des produits expérimentaux dont les vaccins pandémiques font bien sûr partie comme en témoigne d'ailleurs le contenu des contrats que les fabricants ont conclu avec les Etats.

 

Cette situation doit vraiment nous amener à mieux "aiguiser" notre vigilance sans qu'il soit question de paranoïaque car même si c'est toujours au prétexte d'une "plus grande sécurité du consommateur", il est essentiel de percevoir sur un plan pratique que c'est ainsi, par palliers progressifs, que les droits fondamentaux s'érodent et s'étiolent et que, in fine, l'étau se ressert sans qu'on ait forcément la garantie que, le moment venu, on ait encore la possibilité d'échapper à des traitements ou à des produits produits indésirables.

 

SIGNER CETTE PETITION: ICI

 

 

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"La métaphore de la grenouille met en évidence les conséquences funestes de l’inconscience du changement, qu’il affecte notre santé, nos relations, l'évolution sociale ou l’environnement. Conscience ou cuisson, il faut choisir !" Olivier Clerc

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14 janvier 2012 6 14 /01 /janvier /2012 21:41

D'innombrables faits le montrent: la sécurité des vaccins n'a jamais été une priorité.

 

Ainsi, en dépit des nombreux discours creux officiels selon lesquels "la sécurité est la priorité N°1", on peut par exemple s'apercevoir que les essais cliniques soi-disant destinés à évaluer la sécurité des vaccins sont biaisés dès le départ via le recours à de faux placebos!

 

Mais d'autres anomalies méthodologiques doivent aussi attirer notre attention comme par exemple celles ayant trait à l'évaluation de la sécurité des vaccins dits à virus vivants ou encore celles qui sont pourtant clairement lisibles et exprimées sur les notices professionnelles de plusieurs vaccins (consultables à partir d'un site comme celui du Compendium Suisse des Médicaments).

 

Donnons quelques exemples pour prendre la mesure de telles énormités.

 

Voici ce qu'on peut par exemple lire dans la notice professionnelle du vaccin antigrippal saisonnier de Crucell, l'Inflexal V dont on avait d'ailleurs récemment évoqué les effets secondaires:

 

Pharmacocinétique:

 

D'une façon générale, il n'est pas possible de formuler des propriétés pharmacocinétiques pour les vaccins.

 

Or, qu'est-ce que la pharmacocinétique? C'est rien de moins que l'analyse du devenir d'un médicament une fois dans l'organisme! Elle comprend 4 phases se déroulant successivement:

 

- l'absorption

- la distribution

- le métabolisme

- l'excrétion du principe actif et de ses métabolites

 

La lecture d'un passage de la notice professionnelle de l'Engerix B (vaccin anti-hépatite B de GSK) confirme bien cette définition:

 

Pharmacocinétique:

 

Les études d’absorption, de distribution et d’élimination ne sont généralement pas effectuées pour les vaccins.

 

N'est-ce pas pourtant fondamental? Sans doute que ce que les officiels estiment être "une faible répétition" des doses constitue leur excuse pour ne surtout pas avoir à réaliser ce type d'analyse, exactement comme ils osent invoquer "l'éthique" pour ne pas avoir à comparer des gens vaccinés avec des gens réellement non vaccinés.

 

De là, il n'apparaît guère étonnant que des maladies comme la myofasciite à macrophages sont en pleine expansion car il s'agit justement d'une maladie due à une absorption locale d'aluminium avec distribution puis stockage dans d'autres zones du corps comme le cerveau. "Alertées depuis plus de dix ans, y compris  par des publications et des études scientifiques récentes, les autorités de santé ne reconnaissent pas de lien entre ces maladies et l'aluminium des vaccins. L'Agence de pharmacovigilance s'appuie sur une hypothèse qui n'a pas été validée scientifiquement.":

 

 
NB: Anne Castot est cette même personne qui a défendu bec et ongles le traitement hormonal substitutif de la ménopause (THS), pourtant connu comme cancérigène et pourvoyeur d'autres effets nocifs sur le long terme comme la démence...
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