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9 mars 2017 4 09 /03 /mars /2017 13:21

La santé d’une jeune-fille de 18 ans détruite par le vaccin HPV

 

Larry Cook – Stop mandatory vaccinations, 8 février 2017

La santé d’une jeune-fille de 18 ans détruite par le vaccin HPV

Pour ceux qui ne me connaissent pas, je suis une jeune-fille de 18 ans qui souffre de plusieurs maladies chroniques débilitantes après avoir été vaccinée contre le HPV. L’apparition des symptômes est apparue après la deuxième injection.

 

Avant que je ne sois malade, je faisais des tas de choses que les filles de 12 ans peuvent faire : randonnées, vélo de montagne, roller dans les magasins, cinéma, réunions, fêtes d’anniversaires avec des amis…

 

J’étais heureuse. J’avais une vie artistique et sportive très occupée. Je dansais 6 jours par semaine. Après l’école, j’adorais faire du sport et de la danse. Je me réjouissais chaque matin pour les activités qui m’attendaient. Je vivais au maximum de mes possibilités. Toutes les activités de la vie étaient si importantes pour moi. J’avais dansé pour me sentir libre. Je voulais faire de mon corps une belle œuvre d’art.

 

Aujourd’hui, je suis totalement coupée du monde réel. J’utilise maintenant mes souvenirs comme moyen et outil d’adaptation pour pouvoir faire face à une vie remplie de déceptions, de difficultés, de maladies et de douleurs. Je rêvais d’être danseuse professionnelle. Mon cœur saigne aujourd’hui et je suis mise à la torture quand je réalise que je ne pourrai jamais plus marcher, encore moins danser.

 

Chaque jour est un combat contre des symptômes qui n’en finissent pas. Je me bats contre la douleur, contre l’épuisement, contre ces terribles souffrances quand on me « gave » de médicaments et de nourriture. Il y a aussi toutes ces choses que personne ne voit : nausées, migraines, problèmes de vue, sensibilité à la lumière et au bruit, plaies qui se forment aux sites des multiples injections. Les amis ne voient pas que mon estomac est paralysé, l’inflammation et l’ulcération du colon, le problème des terminaisons nerveuses, les signaux qui sont bloqués dans le cerveau et la moelle épinière, avec une douleur chronique intense. Les personnes qui me rendent visite ne se rendent pas bien compte car je dois rester forte courageuse, sauver la face et… pleurer après leur départ.

La santé d’une jeune-fille de 18 ans détruite par le vaccin HPV

La réaction indésirable que j’ai eue à la suite de ce vaccin et les problèmes de santé qui se sont manifestés au cours des années ont eu un énorme impact sur ma vie. Maintenant ma vie est très compliquée et mon avenir tout à fait incertain. Demain est bien sûr un autre jour, mais je ne puis m’empêcher de penser à ce qu’il pourra m’apporter. Il m’est impossible de planifier quoi que ce soit. Je ne sais pas non plus s’il me sera possible d’avoir des enfants car je connais beaucoup de filles de 18 ans qui sont devenues stériles après avoir reçu le Cervarix ou le Gardasil.

 

Bien que mon corps soit brisé et qu’il me désobéisse constamment, j’ai la chance d’avoir malgré tout un bon moral qui me permet de m’adapter au mieux à tout ce que j’ai à subir ;. Il m’arrive de trouver un peu de bonheur malgré tous ces problèmes. Il m’arrive de pouvoir trouver un peu de paix intérieure malgré toutes ces douleurs. J’espère que cela est susceptible de pouvoir en aider d’autres qui se trouvent dans ma situation, et qu’ils/elles pourront ainsi chasser les démons de la dépression.

 

Mais je dois reconnaître que toute cette volonté de positivité ne pourra changer l’immense douleur que j’éprouve, la perte de ma mobilité, des sensations du corps qui était autrefois, quand je dansais et faisais du sport, en tellement bonne santé !

 

Je suis maintenant certaine que mon futur ne sera pas comme je l’avais imaginé. Mais je veux qu’il soit rempli de détermination et de dévouement pour pouvoir contribuer à élever le niveau de conscience dont le monde a tant besoin.

« Une personne qui réussit sa vie est une personnes qui la construit sur une base solide avec les briques que la vie lui a jeté à la figure ». – Chloé.

 

Source: Sarasotavaccinationchoice 

 

 

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4 mars 2017 6 04 /03 /mars /2017 23:21

Le « Tribunal des Vaccins » confirme  qu’un garçon de 13 ans EST DEVENU TETRAPLEGIQUE APRES LE VACCIN CONTRE LA VARICELLE

 

                                          Dr Kelly info, 31 janvier 2017 (extraits)

Un garçon de 13 ans devient tétraplégique après le vaccin contre la varicelle

Le débat sur la question de savoir si les vaccins causent de graves dommages est terminé. Quiconque prétend que les vaccins ne causent aucun préjudice est volontairement ignorant de la réalité. Les tribunaux américains ont conclu maintes et maintes fois qu’il était démontré que les vaccins pouvaient provoquer des dommages graves et permanents à la santé des enfants.

 

La dernière décision de ce genre a concerné un garçon de 13 ans qui est devenu tétraplégique (perte de la fonction des quatre membres) après la vaccination contre la varicelle. Après cinq ans de lutte avec le « Tribunal (secret) des Vaccins» dirigé par le Health and Human Services qui fut créé pour soustraire les cas d’enfants touchés au système judiciaire ordinaire – les preuves du préjudice causé par le vaccin étaient à ce point irréfutables et concluantes que le HHS n’a pas pu avoir d’autre choix que de déclarer que les dommages causés à l’enfant ont été uniquement causés par le vaccin.

 

VacTruth décrit comment les choses se sont passées :

 

"La maman du garçon explique qu’à ce moment-là, une seule dose du vaccin contre la varicelle était nécessaire. Le garçon avait déjà reçu cette dose. C’est au cours de la visite médicale suivante, qu’une seconde dose fut administrée à l’enfant, et c’est elle qui fut la cause des horribles dommages subis par le garçon. Ce n’est que dans la suite que les parents ont réalisé, mais malheureusement trop tard, que cette seconde dose n’était pas nécessaire.

 

Environ 14 jours plus tard, le garçon a commencé à ressentir une douleur atroce, des picotements, des engourdissement puis la paralysie de ses membres. C’est après de nombreux tests et plusieurs interventions envahissantes que le diagnostic tomba : myélite transverse.

 

Les parents du garçon ont déposé plainte au « Tribunal des Vaccins ». Il a fallu plus de cinq ans pour que l’affaire soit réglée, années pendant lesquelles la famille a dû faire face à quantité de difficultés. Il est horrible de réaliser que ce garçon devra subir ces infirmités dues au vaccin pour le restant de ses jours.

 

La myélite transverse est une maladie au cours de laquelle le malade souffre de spasmes douloureux, de paralysie partielle ou totale des bras, des jambes ou des deux, de dysfonction sexuelle et très souvent de dépression et d’anxiété."

 

Les partisans des vaccins refusent toujours de reconnaître les dommages causés à des millions d’enfants par des vaccins peu sûrs.

 

[…] Si les vaccins n’ont pas d’effets secondaires, pourquoi l’industrie des vaccins a-t-elle eu besoin d’une loi du Congrès pour lui accorder l’immunité légale contre toute poursuite ?

 

[…] En 1986, une loi américaine instaura le « National Childhood Vaccine Injury Act» (NCVIA). Cette législation protégeait les fabricants de vaccins de toute responsabilité et poursuites résultant de l’administration d’un vaccin. Ce programme a déjà dédommagé des individus et des familles victimes des vaccins pour environ 3,4 milliards de dollars. Ces sommes proviennent de taxes prélevées sur la vente des vaccins.

 

[…] L’industrie du vaccin exploite les enfants pour le profit… et est hors contrôle.

 

Source : Dr Kelley.info

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1 mars 2017 3 01 /03 /mars /2017 23:02

LES BREVETS DES VACCINS

 

Par Ginger Taylor, MS, 17 janvier 2017 (Extraits)

 

Examen de la déclaration de Robert F. Kennedy Jr. qui explique que le CDC (Centre Officiel Américain de Contrôle et de Prévention des Maladies) «possède plus de 20 brevets de vaccins ».

Brevets de vaccins: les Centres de Contrôle des Maladies américains (CDC) en possèdent une vingtaine et sont en conflits d'intérêts

R.F. Kennedy se trouve en territoire très sûr quand il révèle que le CDC possède plus de 20 brevets qui créent de vastes conflits d’intérêts non divulgués sur la sécurité des vaccins.

 

La semaine dernière le nouveau Président élu a invité Robert F. Kennedy Jr. à un entretien qui pourrait mener à la création d’une commission dirigée par R.F. Kennedy Jr. sur la sécurité des vaccins.

 

La couverture médiatique de la réunion a été très large, mais aussi déchaînée.

 

L’industrie des vaccins et ses valets ne veulent pas que leur corruption soit étalée dans un forum officiel. Ils ont manifesté leur fureur à l’égard de M. Trump et de M. Kennedy.

 

Au cours de la semaine dernière, nous avons assisté à de nombreuses publications sur Kennedy et ses allégations relatives à la sécurité des vaccins et à la corruption. Ce qui est intéressant à ce sujet, est ceci: Kennedy a été engagé dans la lutte contre le mercure depuis très longtemps. Il a aussi enquêté depuis plus de dix ans sur les plaintes des parents dont les enfants furent victimes des vaccins. Ces articles ont eu comme effet de braquer les projecteurs sur la corruption quand il fut découvert que le programme de vaccinations endommageait la santé de nos enfants.

 

Ces anciens éléments d’information ont finalement fait leur chemin du fait que l’attention des médias a soudainement été réveillée par la déclaration de M. Kennedy qui affirmait que « Le CDC possédait plus de 20 brevets de vaccins ».

 

Ma recherche sur la sécurité des vaccins et la corruption a commencé peu de temps après que la santé de mon fils ait été endommagée par les vaccins en 2003.

 

J’ai entendu cette allégation circuler depuis que j’ai commencé à plaider dans ce domaine, mais je n’ai jamais vu de preuve de cette affirmation.

 

En 2003, Mark Benjamin, journaliste de l’UPI, a rédigé une étude approfondie sur les conflits d’intérêts (CDC) dans le domaine des vaccins intitulée « UPI Investigates : The vaccine conflict ». Nous voulons remercier M. Benjamin pour avoir porté à l’attention du public les brevets et COIs détenus par les membres du Comité consultatif sur les pratiques vaccinales du CDC, y compris les revendications de plus en plus absurdes de Paul Offit. Dans cet article, Offit affirme que le fait de détenir des brevets de vaccins et être financé par Merck pour l’achat et la distribution des vaccins aux médecins, (son livre exalte les vertus des vaccins) ne compromet en rien son objectif comme membre du comité et qui détermine ce qui est, ou qui n’est pas une bonne pratique vaccinale.

 

[…] M. Kennedy a répété sa déclaration le mois dernier dans une interview à EcoWatch en précisant : « Le CDC est une filiale de l’industrie pharmaceutique. L’Agence possède plus de 20 brevets de vaccins. Elle achète et vend chaque année des vaccins pour 4,1 milliards de dollars » Encore une fois, aucune source.

 

J’ai passé suffisamment de temps sur la question pour savoir que les déclarations sur les vaccins doivent être vérifiées et revérifiées. Et comme il s’agit d’une affirmation très ancienne que je voudrais pouvoir confirmer, j’ai décidé de poursuivre mes recherches.

 

J’ai la chance d’avoir comme partenaire pour le plaidoyer un parent qui s’est occupé d’autisme, Max Blaxill, expert en propriété intellectuelle qui a été employé par des sociétés de milliardaires pour gérer leurs brevets. Blaxill est l’homme qui a découvert que le HHS (U.S. Department of Health and Human Services), par le biais du NIH (National Institute of Health), possède des brevets sur tous les vaccins contre le HPV, et reçoit un pourcentage sur les bénéfices faits sur chaque dose de Gardasil ou de Cervarix administrée n’importe où dans le monde. Il a publié cette étonnante révélation dans un exposé en trois parties intitulé : « Une licence pour tuer ? Partie 1 : Comment un partenariat public-privé a fait du gouvernement le partenaire pour le Gardasil de Merck »

 

Lorsque j’ai contacté Blaxill pour lui demander comment pouvoir faire une recherche sur les brevets, il a eu la gentillesse de la faire pour moi. Il a trouvé 57 brevets américains dans lesquels le CDC était présenté comme cessionnaire.

 

Après un examen rapide des brevets, j’ai constaté qu’un brevet n’était pas applicable à la vaccination, mais simplement référencé comme étant un article sur la vaccination. Cela nous laisse 56 brevets du CDC à examiner.

 

Voici ce que j’ai trouvé :

 

Il existe des brevets du CDC applicables aux vaccins contre la Grippe, le Rotavirus, l’Hépatite A, le HIV, l’Anthrax, la Rage, la Dengue, le Virus du Nil occidental, le Streptocoque du groupe A, le Pneumocoque, le Méningocoque, le RSV, la Gastro-entérite, l’Encéphalite japonaise, le SRAS, la Fièvre de la vallée du Rift, et  le Chlamydophila pneumoniae.

 

Il existe un brevet CDC pour les « vaccins à base d’acides nucléiques pour la prévention de l’infection par le flavivirus qui a des applications dans les vaccins contre le Zika, le virus du Nil occidental, la Dengue, le virus de l’Encéphalite à tiques, la Fièvre jaune, le virus Palm Creek et le virus Parramatta.

 

Le CDC possède également plusieurs brevets concernant l’administration de divers « plans » pour l’administration de « vaccins » sous forme d’aérosols.

 

Le CDC possède un brevet pour les adjuvants utilisés dans certains vaccins pour enfants prématurés et jeunes bébés…

 

(La lite des brevets continue)

 

Cela ressemble-t-il à un organisme de santé publique qui fait des recommandations « indépendantes » pour les vaccins ou s’agirait-il d’une compagnie privée dotée d’un portefeuille impressionnant auprès de laquelle on pourrait chercher des possibilités d’investissements ?

 

Le CDC est réputé être un organisme gouvernemental indépendant qui fait des recommandations au public sur les vaccins uniquement pour le bien du public. Le CDC est aussi chargé de vérifier la sécurité des vaccins par l’intermédiaire de son Bureau sur la sécurité des vaccins. (Immunization Safety Office).

 

Il est à noter qu’ils disent fièrement qu’ils rendent compte à l’ACIP – le même comité dans lequel Paul Offit a servi de manière tristement connue, comme si ce rapport ajoutait, d’une manière ou d’une autre une légitimité à leur travail sur la sécurité des vaccins. Le même comité que le Congrès a excusé pour sa longue histoire de conflits d’intérêts.

 

Nulle part sur le site du CDC, je ne peux trouver la divulgation du fait que l’Agence est un partenaire à but lucratif des fabricants de vaccins et pour qui il est censé assurer le suivi de la sécurité.

 

M. Kennedy se trouve dans une position très sûre quand il signale que le CDC a plus de 20 brevets qui créent de vastes conflits d’intérêts non divulgués au sujet de la sécurité des vaccins. Mais il sous-estime le problème de plus de la moitié.

 

Ce bref examen des brevets actuels détenus par le CDC mérite une étude approfondie afin de pouvoir déterminer exactement quelles sont actuellement les relations financières avec les fabricants de vaccins et quelles sont les répercussions actuelles de ces sources de revenus sur les postes qui ont trait à la sécurité vaccinale. Il faut, en outre, examiner de près les relations financières entre le CDC et les fabricants de vaccins auxquels il fait actuellement la cour afin d’inclure l’exploitation potentielle de nouveaux brevets pour un gain financier. Ce ne sont là que quelques lignes d’enquête, parmi des centaines, qui doivent être examinées et pourquoi la Commission RFK sur la sécurité des vaccins doit être mise en œuvre.

 

Il n’est pas étonnant que l’industrie des vaccins (et ne nous trompons pas, le CDC EST l’industrie des vaccins)  et, c’est pourquoi leurs médias se battent avec une telle fureur pour empêcher la commission RFK de se former.

 

Heureusement, M. Kennedy a déjà déclaré qu’il combattrait cette corruption qui touche à la santé de nos enfants jusqu’à son dernier souffle. Il semble également que le nouveau Président ne s’occupe guère de ce que les Pharmas et les grands médias lui lancent comme critiques. Les abus et la corruption dans le programme de vaccinations durent depuis plus de 20 ans. Si ce programme est bien examiné, il pourrait pour le moins entraîner des réformes qui réduiraient considérablement les bénéfices de l’industrie.

 

Cette industrie des vaccins est actuellement une industrie de 30 milliards de dollars par année. Des organisations comme l’Organisation Mondiale de la Santé ont insisté sur l’augmentation des investissements, projetant que l’industrie des vaccins deviendra une industrie de 100 milliards de dollars par année d’ici 2025. Il est évident que le CDC et ses partenaires commerciaux ont besoin du public non seulement pour les 69 doses de vaccins recommandées pour les enfants, mais aussi pour s’orienter vers les 100 doses de vaccins recommandés pour le nouveau programme destiné aux adultes. Ces gens seraient aussi prêts à injecter aux familles les 271 vaccins supplémentaires qui sont actuellement en développement dans le pipeline.

 

Ce boom financier ne pourra pas se produire si la corruption dans l’industrie, comme les énormes dommages non évalués sur la santé des enfants (et maintenant adultes) sont mis en pleine lumière pour que le public puisse enfin voir. L’industrie de 30 milliards de dollars par an risque de devenir une industrie de  moins de 10 milliards de dollars…

 

Nous devons continuer à faire pression sur l’administration Trump pour que la sécurité vaccinale soit réexaminée et réformée, comme aussi le droit universel de pouvoir renoncer à tous les vaccins sans qu’il y ait la moindre contrainte. […]

 

Source : Greenmedinfo.com

 

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26 février 2017 7 26 /02 /février /2017 23:25

               EXCLUSIF : « La sûreté vaccinale en question »                        

          Débat d’experts à Bruxelles         

                                                                                         

Global Media, 15.02.2017

La sûreté vaccinale en question: débat d'experts à Bruxelles

« N’attendez pas grand-chose des médecins et des politiciens. Les choses ne bougeront que grâce à nous, les gens ordinaires, conscients et déterminés.»  Dr Kris Gaublomme, président du EFVV.

 

C’est le 9 février de cette année qu’a eu lieu à Bruxelles la journée-débat : « La sûreté des vaccins en question ». Cette journée a été organisée par le Forum Européen de Vaccinovigilance dont fait également partie « L’Association Croate pour la Promotion du Droit des Patients », ainsi que par la Député européenne Michèle Rivasi.

Michèle Rivasi, députée européenne

Michèle Rivasi, députée européenne

La première partie de l’événement qui devait avoir lieu au Parlement Européen a été supprimée quelques jours avant la date, ce qui a obligé les organisateurs à trouver une autre salle. Aucune explication officielle n’a été donnée à cette modification du programme initial. Sur un plan non officiel, on pense que ce fut le résultat de pressions exercées par le parti français des Verts dont Michèle Rivasi fait partie.

 

VAXXED : de la dissimulation à la catastrophe

 

L’événement a débuté par la projection du film VAXXED : from Cover-up to Catastrophy réalisé par Andrew Wakefield. Il s’agit d’un documentaire qui révèle au grand jour les manipulations de la recherche scientifique au CDC, principal Institut américain qui s’occupe des problèmes de santé et de sécurité. Cet Institut a délibérément camouflé le lien entre l’autisme et le vaccin ROR (Rougeole-Oreillons-Rubéole). D’une part le film donne un compte-rendu de ce qu’a pu révéler un scientifique qui a participé à la recherche et a fait part de la fausse interprétation qui a été faite des données. D’autre part, le film dévoile l’obstruction scandaleuse à la vérité ourdie par l’establishment médical et la propagande vaccinaliste. Le film présente aussi les histoires bouleversantes et douloureuses de parents dont les enfants sont devenus malades et qui sont convaincus que leurs problèmes de santé ont été causés par les vaccins.

Dr Andrew Wakefield- VAXXED : from Cover-up to Catastrophy

Dr Andrew Wakefield- VAXXED : from Cover-up to Catastrophy

Le film a tellement touché le public qu’un long silence a marqué la fin de la projection. Plus d'une minute s’est écoulée avant que se déchaînent les applaudissements.

De gauche à droite : Michèle Rivasi,  Luc Montagnier, Andrew  Wakefield, Stefano Montanari.

De gauche à droite : Michèle Rivasi, Luc Montagnier, Andrew Wakefield, Stefano Montanari.

Après la projection du film, diverses personnalités ont, non seulement discuté du film, mais aussi des problèmes de la vaccination en général en répondant aux questions de l’assemblée.

 

Le premier message que Michèle Rivasi a adressé à l’assemblée portait sur la sécurité des vaccins qui devait être abordé dans un débat professionnel et politique.

 

 Le Directeur du film, Andrew Wakefield, donna un bref aperçu de son engagement, comme aussi des manœuvres de diffamation et de discrédit dont il fut l’objet en tant que scientifique. La santé et le bien-être des enfants ont été les seules motivations qui ont présidé à la création de ce film, explique-t-il La meilleure preuve que ce que raconte le film est vrai, c’est que personne n’a osé lui intenter procès pour quelque partie du film que ce soit. Le Dr Wakefield a abordé plus d’une fois la situation aux Etats-Unis où le nombre des enfants autistes est en rapide croissance. Ce fait risque de pousser au bord de la banqueroute des états comme la Californie. Si Hillary Clinton avait été élue aux dernières élections, le pays tout entier serait passé aux mains des compagnies pharmaceutiques. Mais la situation aux Etats-Unis est en train de s’améliorer rapidement, non seulement grâce à la prise de conscience du public, mais aussi grâce aux réactions des pédiatres et même de certains politiciens.

 

Quand le Dr Gaski lui demanda s’il croyait que le vaccin ROR était la cause de l’autisme du fait que les études cliniques n’avaient pas été conduites comme il le fallait, Wakefield s’est dit heureux d’entendre pareille question. Il répondit que rien ne pouvait être affirmé en toute certitude, mais il ajouta qu’il croyait que c’était bien le cas.

Pr Luc Montagnier, Prix Nobel de Médecine

Pr Luc Montagnier, Prix Nobel de Médecine

Luc Montagnier, Prix Nobel de Médecine pour avoir découvert l’agent causal du Sida fut le troisième intervenant. Il n’hésita pas non plus à exprimer ses inquiétudes par rapport à la sûreté des vaccins. Il a, ensuite, présenté le résultat de ses recherches qui suggèrent un lien entre les microbiomes, c’est-à-dire la flore intestinale, et l’immunité. Des modifications de la flore intestinale jouent un rôle important dans l’étiologie de l’autisme, mais parallèlement des interventions dans cette zone peuvent entrainer sa régression. ; c’est pourquoi, je dis que l’autisme peut être traité. Quand il fut question de la vaccination, le Prix Nobel souligna l’importance des 4 « P » - prévention, prédiction, personnalisation et participation. Ce dernier point a trait à l’implication et à la participation active des parents. […] 

 

Pr. Stefano Montanari, scientifique italien

 

Le scientifique italien Stefano Montanari a présenté le fruit des recherches qu’il a réalisées avec son épouse. Tous deux sont chercheurs en matière de nanotechnologie. Ils ont prouvé que les vaccins étaient contaminés par des nanoparticules de différents métaux dont la présence dans les vaccins ne pouvait être expliquée. Il est cependant bien connu que ces particules peuvent provoquer de graves problèmes de santé. Le Pr. Montinari demande que les organismes de règlementation ne puissent approuver que les vaccins qui ne sont pas contaminés. Il prétend que les médecins ne savent pas comment vacciner. […] 

               

Deuxième partie de la journée

 

C’est au cours de cette seconde partie qu’a eu lieu une table ronde sur la sûreté des vaccins. Des experts et des activistes ont participé à la discussion, y compris Srecko Sladoljev, immunologiste de l’Institut d’Immunologie de Zagreb. Le Dr Sladoljev a présenté quelques remarques d’introduction sur la médecine préventive en Croatie. Il a mis l’accent sur le fait que jusqu’il y a peu cette médecine préventive n’incluait pas la vaccination. Il a évoqué la tradition, ainsi que la qualité des produits de l’Institut d’Immunologie. Il a aussi évoqué le cas de la « grippe porcine » comme celui de la lutte qu’il a fallu entreprendre pour préserver l’Institut. Il a déclaré qu’il ne fallait pas administrer des vaccins (avec des seringues). La raison de cela réside dans le fait que, contrairement aux contacts naturels avec des agents  pathogènes, l’aiguille des vaccins traverse la peau  en diffusant des éléments susceptibles d’aggraver la situation parfois plusieurs mois après l’injection. Ces éléments pouvant conduire à un dérèglement du système immunitaire, comme à des dommages à divers organes.

 

Senta Depuydt & Srecko Sladiljev immunologiste à l’Institut d’Immunologie de Zagreb.

Senta Depuydt & Srecko Sladiljev immunologiste à l’Institut d’Immunologie de Zagreb.

Le pédiatre allemand Stefan Schmidt Troschke a évoqué les controverses scientifiques ayant trait à la vaccination. Il a aussi parlé des études indépendantes qui ont montré des taux décroissants d’asthme et d’allergies chez des enfants non vaccinés. Il souhaite qu’une recherche adéquate et indépendante sur les effets secondaires des vaccins soit créée aux Etats-Unis. Les communautés scientifiques et médicales doivent faire preuve d’une plus grande honnêteté pour pouvoir regagner la confiance du public.

 

Une autre table ronde a abordé d’autres sujets comme par exemple celui du gouvernement français qui a cédé à la pression du public en acceptant de réintroduire le vaccin trivalent (DTC) parallèlement au vaccin hexavalent toujours sur le marché.

 

C’est le Dr Kris Gaublomme, Président du Forum Européen de Vaccinovigilance qui a exposé les points et les directives les plus importants pour l’avenir. Il a souligné l’augmentation des cas de maladies auto-immunes, de même aussi que des maladies neurodégénératives, tout en s’en référant à une abondante littérature médicale relative aux vaccins. Il a évoqué les discours alarmistes de l’industrie pharmaceutique et des professionnels de santé comme véritable « modus operandi». Il a aussi souligné à quel point l’obligation vaccinale bafoue les droits de l’homme. Pour lui, la chose la plus importante qu’il faut absolument obtenir c’est la liberté de choix. Nous avons besoin d’un système qui puisse adéquatement reconnaître les effets secondaires des vaccins. Pour atteindre cet objectif, des recherches doivent s’échelonner sur plusieurs années. A titre d’exemple, la neurotoxicité du vaccin contre l’hépatite B peut ne se manifester qu’après 3 ans. Il est donc essentiel qu’un système approprié d’enregistrement des effets secondaires soit mis en place. Ce problème devrait être discuté par les professionnels en collaboration avec le public.

 

Les compagnies pharmaceutiques se doivent d’indemniser les dommages causés par les vaccins et l’Organisation Mondiale de la Santé devrait fonctionner en dehors de tout conflit d’intérêt. Il est aussi important d’agir au niveau politique. « N’attendez cependant pas trop des médecins et des politiciens » a précisé Kris Gaublomme. «Les choses ne bougeront que grâce à nous, les gens ordinaires, conscients et déterminés. »

Srecko Sladoljev & Helen Kimball-Brooke

Srecko Sladoljev & Helen Kimball-Brooke

Helen Kimball-Brooke (Efvv), Journée internationale des victimes de vaccins, chaque 3 juin.

Helen Kimball-Brooke (Efvv), Journée internationale des victimes de vaccins, chaque 3 juin.

Source: Globalmediaplanet

 

Voir aussi: 

 

La vidéo de l'évènement à Londres, le 14 février dernier (remise du prix du EFvv au Dr Wakefield): 

Une équipe forte, qui déjoue la censure pour le profit des citoyens

Une équipe forte, qui déjoue la censure pour le profit des citoyens

Plusieurs participants motivés, à la soirée exceptionnelle à Paris, le 13 février dernier

Plusieurs participants motivés, à la soirée exceptionnelle à Paris, le 13 février dernier

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26 février 2017 7 26 /02 /février /2017 13:07

LE DEFI : 100.000 dollars pour le journaliste qui prouvera que le mercure (EHg) dans les vaccins est sans danger !

 

Catherine Frompovich, 15 février 2017

LE DÉFI : 100.000 dollars pour le journaliste qui prouvera que le mercure  dans les vaccins est sans danger !

Le 15 février 2017 est le jour qui devrait être marqué du sceau de l’infamie !

 

Pourquoi ? Parce que c’est la date à laquelle l’avocat indépendant Robert F. Kennedy Jr, Esq. qui a toujours exigé la sécurité des vaccins, a offert une récompense de 100.000 dollars à tout journaliste qui « pourrait trouver une étude scientifique revue par les pairs, démontrant que les quantités de Thimérosal contenues dans les vaccins administrés aux enfants américains et aux femmes enceintes, sont sans danger. »

 

En quoi cela a-t-il pour but de relever le seuil de la recherche scientifique sur les vaccins? Il fallait, en outre, que ce soit un consommateur et un simple parent qui prenne la chose en main plutôt que ce soit l’industrie des vaccins, Big Pharma, le CDC ou la FDA qui n’ont nullement le courage d’admettre que leur science est non seulement biaisée et trompeuse, mais qu’elle contribue à endommager la santé d’enfants innocents, de tout petits, comme aussi des fœtus.

 

Le projet World Mercury (Projet Mondial Mercure), dont Robert Kennedy est Président, parraine aujourd’hui le défi de 100.000 dollars.

LE DÉFI : 100.000 dollars pour le journaliste qui prouvera que le mercure  dans les vaccins est sans danger !

Kennedy  a expliqué que le World Mercury Project (WMP) payerait 100.000 dollars au premier journaliste ou à tout individu qui pourrait trouver une étude scientifique revue par les pairs démontrant que les quantités de Thimérosal contenues dans les vaccins actuellement administrés aux enfants américains et aux femmes enceintes, sont sans danger. Kennedy croit que  même « un maigre effort de recherche » pourrait montrer que ce genre d’affirmation ne serait nullement soutenu pas la science [1].

 

Je pense  que je dois partager avec mes lecteurs le fait que les censeurs d’internet ne me permettraient pas d’accéder à la conférence de presse donnée à Washington DC ! Mon ordinateur a été bloqué et verrouillé  avec le message suivant : interruption d’accès à internet. Qu’est-ce que cela vous dit ?

 

Comme je comprends les choses, l’éthylmercure [eHg], (le Thimérosal qui contient 49,6% d’éthylmercure) est utilisé dans la fabrication et dans le traitement de tous les vaccins, bien que non ajouté comme conservateur dans les vaccins comme cela avait été fait régulièrement dans le passé. Cependant, au cours du traitement visant à éliminer le Thimérosal, des quantités résiduelles se retrouvent encore dans tous les vaccins. Ci-dessous une preuve émanant du CDC (Centres de Contrôle et de Prévention des Maladies) :

 

« Pourquoi le Thimérosal est-il utilisé dans certains vaccins ? »

 

Pour deux vaccins infantiles, le Thimérosal est utilisé pour prévenir la croissance de microbes au cours du processus de fabrication. Lorsque le Thimérosal est utilisé de cette manière, il est prévu qu’il soit enlevé dans la suite du processus de fabrication. Il ne reste que des traces (vraiment minuscules). Les seuls vaccins infantiles d’aujourd’hui qui possèdent des traces de Thimérosal sont le vaccin DTCa et un vaccin combiné DTCa-Hib. » [2]

 

« Pourquoi le Thimérosal se trouve-t-il encore dans certains vaccins que les enfants peuvent recevoir. […] Ce conservateur est nécessaire pour empêcher la contamination du flacon lorsque des doses individuelles en sont extraites. C’est ainsi que les enfants peuvent recevoir des vaccins en toute sécurité contre la grippe qui contiennent du Thimérosal. [2]

 

N’est-ce pas là une déclaration scientifique audacieuse ? Les enfants peuvent « en toute sécurité » recevoir du Thimérosal ? C’est bien là l’information que répand le CDC dans la littérature qu’il publie sur un plan mondial, notamment dans d’autres pays qui dépendent du CDC pour leur « science exacte ».

 

Robert Kennedy propose :

 

« D’une part, le gouvernement dit aux femmes enceintes qu’elles doivent éviter de consommer du poisson contaminé par le mercure pour empêcher que cela ne nuise à leur fœtus, et d’autre part, le CDC  encourage l’injection de vaccins contenant du mercure chez les femmes enceintes, les nourrissons et les enfants. « Cela défie toute logique et tout bon sens ». 

 

Le WMP a également annoncé le lancement d’une campagne de crowdfunding sur  Indiegogo pour soutenir leurs efforts éducatifs. Voyez le site www. WORLDMERCURYPROJECT.org pour en apprendre davantage sur les spécificités du défi et ses règles.

 

Une dernière note qui provient de John Gilmore, directeur exécutif d’Autism Action Network, qui m’a autorisé à publier son « appel à l’action ».

 

Il est temps qu’un décret interdise le mercure dans les vaccins.

 

Il est temps que le mercure soit retiré des vaccins en Amérique.

 

Robert F.Kennedy, Robert De  Niro, Del Bigtree, le Révérend Tony Muhammand et Nicholas LaHood ont tenu une conférence de presse à Washington DC, réclamant,  entre autres réformes cruciales, des vaccins sans mercure aux Etats-Unis. Ils offrent une somme de 100.000 dollars à tout journaliste qui pourrait produire une étude scientifique révisée par des pairs et qui prouverait que le mercure dans les vaccins est sans danger (sûr).

 

[Veuillez consulter la page d’accueil de « Autism Action Network » : http://autismactionnetwork.org pour trouver un lien vers les lecteurs du courrier électronique qui peuvent contacter le Président pour lui demander  une ordonnance exécutive afin d’arrêter l’utilisation du mercure dans les vaccins aux Etats-Unis.

 

Le mercure a été interdit pendant des décennies dans la majeure partie du monde en tant qu’ingrédient vaccinal, mais pas ici aux Etats-Unis, même si en 1999, le gouvernement fédéral avait publié une directive stipulant que le mercure devait être retiré de tous les vaccins américains « aussitôt que possible ». Ceci après une étude interne du CDC dirigée par Thomas Verstraeten qui avait trouvé 7 fois plus de cas d’autisme chez les enfants qui avaient reçu des vaccins contenant du mercure par rapport à ceux qui n’avaient pas reçu ces vaccins. (Google Simpsonwood) Dix-huit ans plus tard on le trouve encore dans un tiers des vaccins américains contre la grippe. Et, à l’époque, les vaccins antigrippaux n’étaient pas recommandés pour les femmes enceintes et les enfants de moins de 4 ans, alors qu’ils le sont aujourd’hui.

 

Le mercure dans les vaccins américains n’est pas la seule source d’inquiétude au sujet de la sécurité des vaccins en Amérique, mais le fait qu’on le trouve encore dans les vaccins américains donnés aux femmes enceintes et aux petits enfants montre à quel point l’industrie des vaccins se soucie de leur sécurité.

 

Veuillez s’il vous plait appeler la Maison Blanche pour faire savoir courtoisement que vous souhaiteriez que le Président fasse passer un décret-Loi pour mettre un terme à l’utilisation du mercure dans les vaccins aux Etats-Unis. Il possède l’autorité pour le faire. La chose aurait déjà dû être faite depuis longtemps.

 

La Maison Blanche : (202) 456-1414

 

On a fini par réaliser certaines choses pour dévoiler les dessous éhontés de la pseudoscience vaccinale. N’accepteriez-vous pas de partager cette information pour le futur de l’humanité- les enfants et les fœtus, s’il vous plaît ?

 

Merci beaucoup!

 

Source: Activistpost

 

Voir aussi:

 

De Niro promet 100 000 dollars à qui prouvera que les vaccins sont sans danger

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24 février 2017 5 24 /02 /février /2017 00:26

Un professeur de sciences de l'Ontario réfute l'accusation d’être « antivaccination »

 

22 février 2017

Le professeur Timothy C. Sullivan Photo : Radio-Canada/Trevor Dunn/CBC

Le professeur Timothy C. Sullivan Photo : Radio-Canada/Trevor Dunn/CBC

Un professeur de sciences de l'Ontario accusé de dire à ses élèves du secondaire qu'ils pourraient mourir des suites d'une vaccination n'en était pas à ses premières déclarations antivaccin. C'est ce qui a été mis au jour durant une audience disciplinaire, mardi.

 

Une infirmière en santé publique qui est allée à l'école à Waterford, en Ontario, pour administrer des vaccins il y a près de deux ans, a confié à l'Ordre des enseignantes et des enseignants de l'Ontario qu'elle se sentait menacée par Timothy C. Sullivan, un enseignant qui a remis son travail en question à plusieurs reprises ce jour-là.

 

Angela Swick affirme que M. Sullivan l'a accusée de ne pas avoir tout dit aux élèves au sujet des injections. Elle dit aussi que M. Sullivan a tenté d'interférer avec son travail.

 

Le directeur de l'école, quant à lui, a reconnu que les parents et les étudiants s’étaient plaints des opinions de M. Sullivan par le passé, ajoutant que l'enseignant avait dit à ses élèves qu'il existe un lien entre les vaccins et l'autisme - une opinion dénoncée par la communauté scientifique.

 

L'école ne peut être nommée en raison d'une interdiction de publication protégeant l‘identité des étudiants.

 

Inconduite professionnelle

 

M. Sullivan est accusé d'inconduite professionnelle. Il aurait dit aux étudiants que les vaccins pourraient avoir des effets secondaires mortels. Il aurait été agressif envers l'infirmière lors de sa visite le 9 mars 2015. Il a été suspendu sans salaire pour une journée en avril 2015.

 

Il a nié les allégations et a déclaré mardi qu’il se demandait si les enfants pouvaient donner un consentement éclairé, mais qu’il ne contestait pas l’administration des vaccins.

 

« Je suis pour le consentement informé, je suis pro-science et j’encourage les gens à poser des questions », a-t-il dit.

 

Mme Swick, une infirmière de l'Unité de santé Haldimand-Norfolk, a déclaré que M. Sullivan aurait été agressif envers elle et ses collègues quand ils ont visité l'école. Elle a décrit plusieurs rencontres avec M. Sullivan. Elle a affirmé être « mal à l'aise » en sa présence.

 

L'enseignant est venu à la cafétéria alors qu'elle et ses collègues administraient quatre types de vaccins. Il a demandé des informations au sujet des médicaments administrés, a-t-elle dit.

 

« Il s'est retourné, puis est revenu vers moi et a jeté ses mains devant moi [sur le bureau]. Il a dit : "J'espère que vous informez ces étudiants que ces vaccins pourraient les tuer" », a affirmé Mme Swick durant l’examen.

 

Mme Swick dit qu'elle a immédiatement envoyé un message à son superviseur parce qu'elle craignait que M. Sullivan revienne à la charge plus tard dans la journée. Il est, effectivement, revenu à la charge, et « a demandé aux enfants s'ils savaient ce qui était dans le vaccin et a crié qu’ils ne devaient pas l’accepter. »

 

Mme Swick a dit qu'elle a alerté le directeur, et que celui-ci qui s’est rendu à la cafétéria en compagnie d’un autre professeur. Ceux-ci ont guetté la porte latérale pour s’assurer que M. Sullivan ne revienne plus.

 

La troisième rencontre était similaire, dit-elle.

 

« Nous nous sommes sentis vraiment intimidés et effrayés », a déclaré Mme Swick. « Nous allons à l'école pour rendre service, et nous sommes chanceux de pouvoir aller dans les écoles. Nous n’avions jamais eu une telle interaction par le passé. »

 

M. Sullivan, qui se représente lui-même, a questionné Mme Swick au sujet du consentement lors de son contre-interrogatoire. Il a demandé à l'infirmière si elle avait discuté des effets secondaires rares, mais potentiellement graves avec les enfants, ce à quoi Mme Swick a répondu qu'elle ne prévient pas les élèves des effets secondaires graves des vaccins dans le cadre de sa routine. Mais elle informera les élèves de certains effets secondaires si cela semble pertinent. Elle affirme qu’elle pose des questions de dépistage et que ce sont les réponses des élèves qui la guident.

 

« S'ils prennent des médicaments pour le coeur, alors nous discutons d'hypertension », a déclaré Mme Swick.

 

L'infirmière a dit qu'elle était inquiète à l’idée de retourner à la même école dans le cadre d’une autre séance de vaccination qui se tiendra la semaine prochaine, mais a souligné que d'autres membres du personnel y participeraient.

 

Brian Quistberg, le directeur de l'école au moment de l'incident, a déclaré que le comportement de M. Sullivan envers l'infirmière et ses collègues avait « clairement outrepassé les bornes ».

 

M. Quistberg a demandé à M. Sullivan de ne plus revenir après le premier incident. Malgré tout, M. Sullivan est revenu à la cafétéria, où se tenait la clinique de vaccination, à deux reprises.

 

M. Quistberg a ajouté que les infirmières avaient peur. « Elles ont été bouleversées, à tel point qu'elles s’inquiétaient qu'il en rajouterait », a déclaré le directeur.

 

M. Quistberg a également lu des notes d'étudiants et d'enseignants qui se plaignaient des enseignements de Sullivan au sujet des vaccins, qui, selon lui, étaient dangereux en raison de la quantité d'aluminium contenu dans les injections.

 

Après l’audience, M. Sullivan a déclaré aux journalistes qu'il continuerait de discuter de vaccins avec ses étudiants.

 

« Il serait irresponsable de parler seulement des avantages sans mentionner les effets secondaires », a-t-il dit.

 

L'audience devrait reprendre mercredi.

 

Source : Radio Ici Canada

 

Soutien et respect à un enseignant intègre et courageux comme M. Sullivan; il manque même à vrai dire énormément de M. Sullivan dans les écoles pour sauver bien des santés, ménager bien des droits (quotidiennement bafoués par la routine idéologique de la vaccination !). Car oui, il s’agit comme le dit l’infirmière d’une routine, basée sur un dogme et une idéologie inquestionnables. Mr Sullivan est traité d’hérétique, exactement comme on décrétait du temps de l’Inquisition qui méritait ou non le bûcher. La Vaccination a juste prix la place de la religion, mais cela ne la rend pas scientifiquement légitime pour autant….

 

Combien de jeunes et d’ados lamentablement estropiés par cette pratique vaccinale périmée pratiquée à tout va, notamment en médecine scolaire, n’auraient pas tout donné pour avoir la chance qu’un Mr Sullivan leur offre une dernière occasion de refuser in extremis les poisons qui allaient leur occasionner une épilepsie, une sclérose en plaques, une maladie auto-immune dont ils ne se remettraient jamais ? L’attitude complice de l’école et de la direction offre un spectacle assez pitoyable sur le plan pédagogique car elle enseigne finalement aux élèves la partialité et le suivisme/le conformisme au lieu d’encourager l’ouverture, l’esprit critique et l’objectivité. Il est cependant évident que les parents qui ont été crédules et qui ont accepté de laisser vacciner leurs enfants par pure « confiance en l’autorité » le plus souvent, de même que les jeunes fraîchement piqués, se sentent perturbés et insécurisés par les propos de quelqu’un qui vient de façon désintéressée leur apporter après coup des informations qui auraient pu modifier à temps leur décision.

 

Quant aux infirmières, il semble patent à la lecture de cet article qu’elles tentent d’accabler ce professeur qui était parfaitement dans son rôle face à la constatation que le droit de ses élèves (et de leurs parents) à un consentement libre et éclairé était violé de façon aussi flagrante. Les infirmières (exactement comme l’ONE en Belgique par exemple) estiment qu’il n’y a pas lieu d’informer « en routine » sur les effets secondaires graves (y compris mortels, comme il ressort d'ailleurs des propres documents CONFIDENTIELS des fabricants, y compris l’autisme, oui oui, disons-le, la communauté scientifique n’a absolument pas réfuté dans son ensemble cette association !) Elles se placent au-dessus des législations censées protéger les intérêts des patients… faut-il alors s’étonner qu’elles se disent elles-mêmes « chanceuses » de pouvoir opérer dans pareil climat de « tranquillité, d’inquestionnabilité et d’opacité/irresponsabilité » au sein des écoles….

 

Parents, vous le voyez, protégez vos enfants, formez-les à l’esprit critique et osez soutenir ouvertement ces trop rares enseignants qui pensent en priorité à la santé de votre progéniture et à leur mission première d’éducation et d’information loyale et rigoureuse, même au risque d’être sanctionné pour leur intégrité professionnelle! Plus que jamais de mise une fois encore ici, la phrase-vérité de Ghislaine Lanctôt (auteure de la Mafia médicale): "Applaudissons ceux que les autorités condamnent!"

 

NB: Pour les parents d'élèves préférant SAVOIR plutôt que CROIRE et qui tiennent à la santé de leurs enfants, pensez à confronter les affirmations de M. Sullivan aux FAITS évoqués dans les différentes vidéos suivantes....

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23 février 2017 4 23 /02 /février /2017 00:13

Voici ma fille Mia qui vient d’avoir 12 ans. Quelques mots sur les terribles supplices que Mia a dû traverser au cours des 5 derniers mois. On peut voir à quel point elle n’est pas bien depuis qu’elle a, le 21 septembre de l’année dernière, reçu, à l’école, son vaccin contre le HPV.

 

On peut voir qu’elle est atteinte de spasmes involontaires. Elle ne sait plus faire usage de ses bras et de ses jambes.

La dernière vidéo a été réalisée la semaine dernière. On voit qu’elle peut à peine cligner des yeux, parler un peu, et toujours avec les mêmes spasmes involontaires. Depuis maintenant 11 semaines elle ne peut plus bouger le moindre membre. En dehors de quelques nuits passées à la maison, elle a tout le temps été hospitalisée. Au cours des deux dernières semaines, sa santé a continué à se détériorer. Elle vomit matin et soir. Aujourd’hui, elle s’est vraiment sentie mal 34 fois en 40 minutes. On pourrait presque dire qu’elle pourrit dans un lit d’hôpital alors que presque personne ne s’en occupe !

 

Nous espérons qu’en diffusant cette information nous pourrons trouver quelqu’un qui pourra nous venir en aide. Nous espérons que notre témoignage pourra aider d’autres filles qui ont aussi été touchées.

 

Vous pourrez trouver toute son histoire grâce au lien suivant : http://yournewswire.com/gardasil-destroying-daughters/

 

Merci à toutes les personnes qui pourront faire un don pour nous venir en aide : http://www.gofundme.com/mias-recovery-fund - Nous souhaiterions aussi que notre témoignage soit partagé par le plus grand nombre possible de personnes.

 

Tout ceci nous tient très fort à cœur parce que grâce à vous, nous pourrons trouver les personnes qui pourront venir en aide à Mia.

 

En conclusion, nous pensons utile de laisser la parole aux experts, aux vrais d'abord, et puis ensuite à ceux qui n'en portent que l'étiquette officielle.... rien de mieux en effet qu'une comparaison à temps pour votre santé et celle de vos enfants!

 

Dr Diane Harper, médecin qui a participé aux essais cliniques des vaccins HPV Gardasil & Cervarix:  « Il n’existe pas de données qui permettent de confirmer que les avantages l’emportent sur les risques. La vérité est que nous savons très peu de choses sur les effets secondaires du vaccin contre le HPV ».

 

Dr Bernard Dalbergue (ancien médecin chez Merck, fabricant du Gardasil): "Le Gardasil sera le plus grand scandale médical de tous les temps". 

 

ONE (Office de la Naissance et de l'Enfance, Belgique): "Pour la quasi totalité du monde médical à l'échelle de la planète, il n'y a PAS de complication grave des vaccins".

 

Pr Noni Mc Donald (pédiatre canadienne et "experte" auprès de l'OMS), le 18 mai 2016 à l'Assemblée générale du Conseil Supérieur belge de la Santé: "Il n'y a pas de plus sûr vaccin que le vaccin HPV"!

 

Dr Hélène Born (gynécologue à l'hôpital Bichat, à Paris): "J'aimerais beaucoup (que la vaccination HPV soit rendue obligatoire, c'est un rêve de gynécologue"! $$$$$$ voir à ce propos d'ailleurs ici le business vaccinal des pédiatres et généralistes (est-ce donc surprenant que des gynécologues puissent lorgner sur leur part du gâteau avec des souhaits d'obligations vaccinales aussi sottes, mais rentables que pour eux seuls?)

 

Voir aussi:

 

Traitements orthomoléculaires des effets secondaires des vaccins HPV Gardasil et Cervarix

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19 février 2017 7 19 /02 /février /2017 14:46

Le calvaire du petit Brensen et l'endettement de ses parents après 5 vaccins

 

                    Interview des parents par Polly Tomey de l’équipe VAXXED

Le calvaire du petit Brensen et l'endettement de ses parents après 5 vaccins

La maman Victoria : Nous voulons partager notre histoire parce que quand on parle de dommages vaccinaux, les gens pensent presque toujours à l’autisme ou à une quelconque maladie neurologique. Mais ce qui est arrivé à notre petit Brensen, c’est une maladie auto-immune de la peau.

 

Quand Brensen est né en 2008, tout était normal. Il a été en parfaite santé jusqu’à sa première visite médicale à deux mois. J’ai vu qu’ils avaient préparé 6 vaccins sur la table. J’ai posé des questions sur le 6ème vaccin que je ne connaissais pas. On m’a dit qu’il s’agissait du Rotavirus. Comme je n’avais pas d’information sur ce vaccin, notre enfant n’a donc reçu que 5 vaccins ce jour- là.

 

Le soir même, notre enfant n’était plus le même. Je ne pouvais plus le mettre dans son berceau et ne pouvais interrompre de le nourrir. Il n’était pas bien du tout, il gémissait ; il avait des problèmes d’estomac ; ses selles étaient vertes, moussantes et douloureuses. J’ai très vite réalisé qu’il réagissait aux vaccins. Il a fini par perdre tous ses cheveux et d’horribles taches apparurent sur son visage. Ces taches finirent par se répandre sur tout son corps.

 

Nous avons alors pris rendez-vous chez un médecin et nous avons évoqué les vaccins comme cause possible de l’état de Brensen. Il nous a immédiatement déclaré qu’il s’agissait d’un simple eczéma qui allait progressivement disparaître, mais ces réactions ne disparurent pas et nous avons connu 6 ans et demi d’enfer sans le moindre soutien des médecins qui n’avaient présenté comme solution que de la crème à base de stéroïdes que je savais dangereuse.

Le calvaire du petit Brensen et l'endettement de ses parents après 5 vaccins

Suite à notre position et à nos interrogations, le pédiatre a fini par refuser de nous recevoir.

 

Le système digestif de notre enfant a continué à se détériorer. Son visage ressemblait à celui d’un enfant  qui sortait d’une maison incendiée. Quand nous sortions, son visage effrayait les gens. Ne sachant plus à quel saint nous vouer, nous sommes passés de médecin en médecin. Nous avons consulté un nombre impressionnant de médecins, de cliniques.

Le calvaire du petit Brensen et l'endettement de ses parents après 5 vaccins

N’obtenant pas de résultats, nous nous sommes rendu compte que la médecine classique ne pouvait pas nous aider. Nous nous sommes alors tournés vers les médecines holistiques pour tenter de sauver la vie de notre petit.- J’ai dû changer tout mon régime alimentaire pour pouvoir allaiter dans les meilleures conditions possibles et ainsi permettre à son intestin devenu poreux de guérir. Je crois que c’est surtout le vaccin contre l’hépatite B qui a endommagé son système digestif.

 

A cette époque notre petit Brensen était si mal  que, pour le laver, je devais déployer toutes sortes de moyens pour le maintenir sous la douche tant il hurlait de douleur et tremblait. Nous devions sans cesse renouveler les draps de lit tant ils étaient régulièrement couverts de sang. Je n’exagère nullement. Tous ces problèmes ont vraiment détruit nos vies.

Le calvaire du petit Brensen et l'endettement de ses parents après 5 vaccins

C’est ainsi que notre terrible cauchemar s’est perpétué, parce qu’en outre, nous nous retrouvions tout seuls.

 

Les allergies de notre petit Brensen étaient telles qu’il ne pouvait presque plus rien manger. Plus question de rendre visite à des amis, aller au restaurant. Nous nous sommes retrouvés tellement seuls, comme abandonnés.

 

A l’époque tout le monde disait que les vaccins ne causaient pas l’autisme, ce que d’ailleurs je ne crois pas. Mais le véritable problème, c’est que les vaccins provoquent  quantités d’autres problèmes, à commence par l’affaiblissement du système immunitaire. Nous nous retrouvions face à des médecins qui ne savaient pas quoi faire ! Ayant été ostracisés par la médecine traditionnelle, nous avons dû payer tous les traitements de notre poche. Les assurances ne voulaient rien rembourser en dehors de la médecine classique. A cela s’ajoutait la nourriture très spéciale dont notre fils avait besoin, les suppléments alimentaires, dont principalement les probiotiques. On avait souvent des factures de 600 dollars rien que pour les compléments alimentaires.

 

Le public sait-il aussi que du glutaraldéhyde se trouve dans les vaccins, notamment le DtaP, et que pour manipuler ce genre de produit il faut pratiquement être revêtu d’ une espèce de scaphandre pour se protéger.

Le calvaire du petit Brensen et l'endettement de ses parents après 5 vaccins

Comment se fait-il que l’on injecte pareils produits à nos bébés ? Il y a tellement de problèmes avec les vaccins que l’on est obligé de sans cesse se tenir informé, et poursuivre sans arrêt la recherche, alors que les officiels continuent de nous raconter que les vaccins sont sûrs.

 

C’est pourtant, La Cour Suprême des Etats-Unis qui a déclaré que les vaccins étaient inévitablement dangereux («unavoidably unsafe»)

Le calvaire du petit Brensen et l'endettement de ses parents après 5 vaccins

Dans ce genre de situation ce sont les parents qui doivent tout assumer. Les amis ne seront pas avec vous dans les heures les plus sombres de la nuit quand votre enfant crie, pleure et saigne.

 

A une époque, j’aurais voulu être infirmière. Ce qui m’aurait normalement amenée à devoir injecter des vaccins. Je puis affirmer que cela je ne l’aurais jamais fait. En conséquence, j’aurais été virée.

 

Je continue à me documenter parce que, dans ce domaine, on n’en sait jamais assez. Après 8 ans, je continue à faire mes recherches.

Le calvaire du petit Brensen et l'endettement de ses parents après 5 vaccins

Robert et Victoria, les parents

 

Source: Steemit.com

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12 février 2017 7 12 /02 /février /2017 23:44

C'est une grande chance pour tous les francophones que cette vidéo du Dr Wakefield ait été intégralement sous-titrée en français... après toutes ces années et ces calomnies sur le Dr Wakefield, il était grand temps de faire place nette à la vérité car les fraudeurs ne sont pas là où l'establishment veut vous le faire croire!

Andrew Wakefield répond aux accusations qui lui sont adressées.

 

1. Expérience

 

Je suis médecin. J'ai été diplômé en 1981. J'ai commencé à pratiquer comme chirurgien avec un intérêt particulier pour les maladies inflammatoires des intestins. Je suis devenu ensuite un chercheur qui gérait une équipe de 19 personnes chargées d'étudier la maladie inflammatoire des intestins, et durant cette période de 10 ans j'ai publié environ 130-140 articles scientifiques sur ce sujet particulier.

 

Le 17 Mai 1995, cette date est imprimée dans mon cerveau, une mère m'a appelé et m’a dit: "Mon enfant se développait de façon parfaitement normale, ensuite il a eu le vaccin ROR, et il a ensuite régressé vers l’autisme. J'ai dit: "Je suis gastroentérologue, comment puis-je vous aider?". Et elle a dit: "Mon enfant a de terribles problèmes gastro intestinaux et personne ne les prend au sérieux". Et l'histoire était tellement captivante, cette mère était très claire, elle décrivait cela très bien, et elle a dit: " Docteur Wakefield, il y a beaucoup, beaucoup de parents dans la même situation. Les enfants dans un état exactement comme le mien". Nous l'avons pris très au sérieux. Ce fut le début d’une aventure fascinante.

 

2. Le lien entre l’autisme et le vaccin ROR (1:24)

 

Le lien entre le syndrome que nous avons observé et le vaccin ROR est venu des témoignages de parents. Les parents disaient : « Je n’étais pas anti-vaccin. J’ai emmené mon enfant pour faire le vaccin ROR au moment indiqué. » Ce vaccin était injecté seul à ce moment-là, conformément au calendrier vaccinal du Royaume-Uni, il était donc facile, selon eux, de voir que le vaccin ROR pouvait en être la cause. A partir de ce moment, leurs enfants avaient développé une très forte fièvre, des convulsions et un sommeil profond prolongé, à l’issue duquel certains s’étaient réveillés totalement différents de ce qu’ils étaient avant. D’autres avaient perdu l’usage du langage et de la parole, les interactions avec leurs frères et leurs sœurs, et étaient devenus profondément malades.

 

Pour étudier les maladies humaines, les syndromes, que ce soit l’autisme, la maladie de Crohn ou d’Asperger, cela commence toujours par un regroupement de plusieurs patients, parfois pas plus de quatre, parfois quinze, qui présentent des symptômes similaires. Leurs résultats cliniques sont si semblables qu’ils méritent de faire l’objet d’un article. Cela s’appelle une cohorte. C’est comme cela que nous décrivons les maladies et les syndromes en premier lieu. Cela mène à des études plus approfondies où sont ensuite testées les hypothèses de causalité. Les faits rapportés par les parents sont-ils exacts ? L’enfant avait-t-il régressé après le ROR, et le ROR était-il la cause du problème ?

 

Vous pouvez vous poser la question : « Oui, mais tous les enfants vaccinés avec le ROR ne deviennent pas autistes, alors quel est le risque ? » Pourquoi ? Pourquoi ces enfants-ci et pas d’autres ? Une de nos hypothèses était l’âge auquel l’enfant avait été vacciné. La base de cette hypothèse, c’est que nous savons que les maladies telles que la rougeole présentent plus de risques de complications chez les sujets plus jeunes. Si un enfant attrape la rougeole en dessous de l’âge d’un an, les risques de complications suite à cette maladie sont beaucoup plus importantes que lorsqu’un enfant attrape la maladie à un âge ultérieur.

 

3. La Sécurité du Vaccin ROR –( 3:28)

 

Maintenant, à ce stade, en tant que chercheur, j'avais examiné en détail les études de sécurité du ROR. J'ai été très, très inquiet par le fait que ces études étaient totalement inappropriées. Ce n'est pas seulement mon opinion, parce que par la suite, la revue Cochrane, qui est l'une des meilleures références de la littérature médicale, a étudié les données et a fait le même constat accablant. Leurs propos étaient que les études de sécurité pour la mise sur le marché du vaccin ROR étaient en grande partie inadéquates, en particulier par rapport aux vaccins monovalents.

 

En d'autres termes, les études de sécurité des vaccins monovalents étaient meilleures. Par exemple, imaginons que je sois allé à la FDA et que j'ai alors trois médicaments contre la tension artérielle, et que je dise : « J'ai ces trois médicaments. J'ai une autorisation de mise sur le marché pour chacun d'entre eux individuellement, mais je voudrais les mettre ensemble dans le même comprimé. Puis-je mettre les trois autorisations dans un dossier et vous remettre le tout et obtenir une autorisation pour le médicament combiné? »

 

Ils rejetteraient ma demande et, à juste titre. Ils diraient : « Revenez quand vous aurez fait une étude comparative de chaque médicament en combinaison avec l'autre, et comparez-les avec le médicament isolé pour les effets secondaires, et aussi pour les effets indésirables». Cela aurait dû être fait avec le vaccin ROR et cela ne l'a pas été. Il y avait beaucoup d'hypothèses sur la sécurité de ce vaccin trivalent, et je crois que les enfants paient maintenant le prix pour ces hypothèses.

 

4. L’étude du Lancet – (5:05)

 

L’étude du Lancet elle-même est née de l’observation de plusieurs enfants dans la même situation. Développement normal, régression, et diagnostic d’un trouble du spectre autistique, ainsi que des symptômes gastro-intestinaux et une inflammation de l’intestin.

 

Il s’agissait de regrouper ces histoires ensemble et de dire : “Voici les douze premiers enfants que nous avons vus. Voici ce que nous avons trouvé. C’est vraiment remarquable, c’est cohérent. Cela indique l’émergence d’un nouveau syndrome de maladie humaine."

 

Dans la plupart des cas, les parents expliquaient que la régression était survenue après le vaccin ROR.

 

C’est maintenant à l’étude comme hypothèse. D’autres études devraient être menées pour élucider si oui ou non cela est vrai.

 

Ceci a été publié en tant que dossier d’étude dans le Lancet en février 1998. Une conférence de presse a été tenue à la requête du doyen de l’école de médecine. Les résultats y ont été expliqués.

 

5. Conflit d'intérêt –( 6:13)

 

Au Royaume-Uni, un procès a donc été lancé, par les familles [des enfants malades], contre les fabricants du vaccin. J’ai été impliqué dans ce procès ainsi que les patients de l’étude du Lancet. Dès qu’ils avaient été diagnostiqués et qu’ils étaient convaincus que c’était bien ce qui s’était passé, ils se sont joints à la procédure.

 

Il a été prétendu que l’étude avait été faite uniquement pour servir le procès et qu’elle avait été financée par les avocats. Ceci n’est pas vrai. Ce n’était tout simplement pas le cas. J’ai alors accepté d’être expert médical et en fait je me suis senti obligé d’agir comme tel, en leur nom, parce qu’il y avait un grand nombre de médecins dans le camp adverse, prêts à se faire rémunérer par l’industrie pharmaceutique en tant qu’experts.

 

Une des accusations portées à mon encontre était que j’avais agi au nom des avocats, et que j’avais été payé par eux pour réaliser l’étude du Lancet. En fait, j’étais payé par un programme d’Etat de compensation pour agir en tant qu’expert médical. Cela n’avait rien à voir avec l’étude du Lancet qui avait été financée par le Service National de Santé. Le règlement effectué par le conseil d’aide juridique ne m’avait pas été remis à moi, initialement; il avait été remis à l’école de médecine afin qu’ils réalisent cette étude pour rechercher la présence du virus de la rougeole dans les intestins atteints de ces enfants. C’est précisément ce qui a été fait. Cette information était connue du rédacteur en chef du Lancet, depuis environ un an avant la publication de la recherche. L’avocat lui avait envoyé des documents qui disaient : « Nous travaillons avec le Dr. Andy Wakefield sur cette problématique. » Il le savait, ou devait le savoir, mais d’une manière très commode, il a oublié de mentionner ce fait, lorsqu’il est venu témoigner sous serment devant le Conseil de l’Ordre [anglais], et ce n’est que par la suite qu’il a été découvert qu’il le savait depuis le début.

6. Coup monté contre Dr. Wakefield – (8:21)

 

C’est dès lors qu’il y a eu cette menace de procès juridique, qu’ils s’en sont pris très durement à moi.

 

Ce qui s’est passé, c’est qu’il y avait un journaliste qui s’appelle Brian Deer, un journaliste indépendant travaillant pour News International, Rupert Murdoch, qui m’a attaqué et a inventé une histoire, une fable si fantastique de ce "médecin diabolique vivant dans un manoir et nuisant aux enfants du monde" dans le but de s’enrichir et de devenir un héros dans l’histoire de la médecine.

 

Il a pris l’histoire de ma vie et il l’a réécrite, et c’était une stratégie, une stratégie délibérée, une stratégie des relations publiques, pour dire “Nous discréditons cet homme, on l’isole de ses collègues, nous détruisons sa carrière, et ensuite on dira aux autres médecins qui peuvent oser s’en mêler "c’est ce qui va vous arriver".

 

Et c’est très triste parce que beaucoup de bons médecins, de médecins honnêtes ont dit: “Andy, je sais que c’est vrai. Je sais que c’est vrai", et ils ont écrit que c’était vrai, les communications internes confirment leurs convictions que c’était vrai, mais quand le temps est venu de faire le meilleur choix pour ces enfants alors cela n’allait pas être bon pour leurs carrières et ils ont fait marche arrière.

 

In fine, la stratégie a eu l’effet escompté.

 

Ai-je la sensation d’avoir été la victime d’un coup monté par l’industrie pharmaceutique? Oui, je pense que c’était le cas.

 

Pourquoi moi en particulier?

 

Il y avait en fait 13 auteurs. Beaucoup d’entre eux figuraient parmi les chercheurs les plus éminents de leur domaine.

 

Ils m’ont choisi parce que j’agissais dans le procès comme expert contre les fabricants. Et j’ai écrit à mes collègues que je ne pouvais plus soutenir l’utilisation de ce vaccin, ROR; que j’allais continuer de soutenir vigoureusement l’utilisation des vaccins monovalents les vaccins séparés rougeole, oreillons et rubéole mais que je ne pouvais pas soutenir l’utilisation du vaccin trivalent.

 

Je pense que c’est parce que j’avais pris cette position franche qu’ils s’en sont pris à moi en particulier.

 

Une autre accusation est que j’étais dans ma caverne à créer secrètement un vaccin monovalent, un concurrent au ROR et qui le battrait sur le marché en le discréditant et puis je lancerais mon propre vaccin sur le marché.

 

C’était l’idée de Brian Deer.

 

Ce que nous avions à ce moment là était un brevet, détenu par l’école de médecine pas par moi.

 

C’était un brevet sur une substance qui s’appelle le "facteur de transfert", c’est un complément alimentaire naturel qui se trouve dans le lait maternel, par exemple, et qui peut renforcer les défenses immunitaires.

 

S’il marche ou non est une autre question. C'est ce que nous cherchions à découvrir. Mais il stimule la réponse immunitaire face à une infection comme la rougeole.

 

Il ne pouvait pas empêcher les enfants de contracter la rougeole, il n'agissait pas du tout comme le ROR. Ce qu'il faisait , c'est qu’il aidait à éliminer le virus quand des enfants étaient déjà malades. Il n’aurait jamais pu concurrencer le vaccin ROR, jamais, parce qu’il ne fonctionnait pas de la bonne manière, c’est un effet thérapeutique et non préventif.

 

Cela a été expliqué, en détail, mais Brian Deer a tout simplement complètement ignoré cela.

 

Il est resté sur l’idée que c'était un concurrent au ROR et que j'essayais tout simplement de me faire un paquet d’argent en mettant ce produit sur le marché.

 

La relation entre Brian Deer et le fabricant de vaccins, Smith Kline Beacham, qui est devenu par la suite Glaxo Smith Kline, était très proche, une relation très intime. Il avait été à l'origine un critique de leur médicament AZT, mais depuis lors avait reçu des droits exclusifs sur certaines de leurs données sur les effets indésirables de médicaments, le résultat de certains échanges, un accord quelconque entre eux.

 

Et par la suite, je pense qu'il est devenu en quelque sorte leur chien d'attaque.

 

Comment un seul journaliste pouvait-il réaliser ce que Brian Deer a réussi à faire de façon si efficace?

 

C'était la volonté du gouvernement, c'était la volonté de l'industrie pharmaceutique et c'était la volonté des médias.

 

À cette époque, James Murdoch, fils de Rupert Murdoch, travaillant au News International, était membre du conseil d'administration de Glaxo Smith Kline.

 

En tant qu’administrateur non exécutif, son travail au sein du conseil d'administration de ce fabricant de vaccins était de protéger la réputation de l’industriel dans les médias.

 

Il y avait donc cette cabale très incestueuse à laquelle participaient le gouvernement, les médias et l'industrie et ils voulaient tous ce résultat, et ils allaient donc l'obtenir.

 

Et contre eux, il y avait: moi.

 

Alors vous accusez un chercheur de fraude, en 30 secondes, et il faut une vie entière pour s’en remettre.

 

Et ils le savaient. Ils savaient à quel point les médecins sont vulnérables, que les accusations de fraude étaient complètement fausses.

 

Mais vous n'avez pas à me croire sur parole.

 

Il y a maintenant une enquête approfondie, un examen des données originales utilisées dans le document du Lancet par un ancien scientifique de l'Environmental Protection Agency, le Dr David Lewis.

 

Je ne l'avais jamais rencontré auparavant.

 

Il a pris tous les dossiers originaux et les a analysés, et a démontré catégoriquement et définitivement que je n'avais jamais commis aucune fraude mais que la fraude avait eu lieu de la part de Brian Deer et du British Medical Journal.

 

Ils avaient falsifié frauduleusement notre travail au Royal Free Hospital afin d'atteindre le but finalement atteint, et ça, c'est la perception mondiale que cette étude était fausse; qu’elle avait été inventée et qu’elle n’était pas solide.

7. Les échantillons de sang (14:25)

 

Oui, les échantillons de sang lors de la fête d’anniversaire de mon fils.

 

Afin d’étudier les enfants atteints d’autisme (nous faisions des analyses de leur sang), nous avions besoin d’échantillons de sang provenant d’enfants en pleine santé.

 

Et bien sûr à l’hôpital on ne trouve pas d’enfants en pleine santé.

 

On n’y voit que des enfants malades.

 

Alors ma femme a proposé que lors de la fête d’anniversaire à venir, nous collections des échantillons de sang de nos enfants et des enfants invités.

 

J’ai pensé que c’était une idée raisonnable. Cela a été fait avec le consentement pleinement éclairé de tous les parents et des enfants.

 

C’était tout à fait éthique. Ce n’était pas pire que, par exemple, d’aller au centre de vaccination et recevoir un vaccin, en fait peut-être même beaucoup mieux.

 

Cela a été réalisé par un médecin très expérimenté, pas par moi et il n’y a eu absolument aucun problème.

 

Le seul problème c’est que nous n’avions pas eu l’accord du comité d’éthique de l’hôpital. Mais ça ne le rend pas contraire à l’éthique.

 

C’était fait, comme j’explique, avec le consentement pleinement informé des parents et des enfants.

 

Voilà l’histoire.

 

Est-ce que je le regrette ? Oui. Pas parce que c’était contraire à l’éthique - ça ne l’était pas - mais parce que ça a donné au Conseil de l’Ordre anglais un argument pour me retirer mon droit d’exercer.

 

C’était une erreur et si je devais le refaire, je le referais avec l’accord éthique approprié, donc c’est quelque chose que je regrette, mais était-ce à aucun moment contraire à l’éthique? Non.

 

8. Le journal “ le Lancet “ se rétracte – (16:12)

 

L'article du Lancet a été retiré sur la base de deux accusations.

 

La première est que les recherches sur chaque enfant ont été faites de manière consécutive ; en d'autres termes, les enfants sont arrivés dans le programme l'un après l'autre. Ce que cela signifie, c'est que notre méthode de travail n'était pas d'avoir pris uniquement les enfants choisis parce que leur histoire était celle que nous voulions entendre, et que nous aurions laissé de côté les autres. Non, on prend les enfants au fur et à mesure qu'ils arrivent pour pouvoir justement inclure tous les enfants; cela évite les biais. Et c'est comme cela qu’il faut faire.

 

La seconde raison est que, Brian Deer avait demandé à ce que la publication soit retirée. Et par la suite le Conseil de l’Ordre aussi, parce qu'il n'y avait pas eu d'approbation éthique. En Amérique, ça veut dire l’approbation par la commission de recherche institutionnelle pour l’étude elle-même. Mais c'était une étude clinique qui ne nécessitait pas d'approbation éthique. En revanche, les analyses de biopsies intestinales, oui. Et il y a eu une approbation éthique pour cela. Brian Deer le savait pertinemment quand il a poursuivi, puisque c'était un document qu'il avait en mains. Il a donc délibérément retenu cette information du Conseil de l’Ordre. C'était une obstruction à la justice [et à la vérité].

9. Radiation de l’ordre des médecins – (17:21)

 

Le Conseil de L’Ordre des médecins au Royaume-Uni s’appelle le Conseil Médical Général (General Medical Council) et on est jugé par ses pairs (médecins) ainsi que par des non-médecins.

 

Au CMG, il y avait trois accusés : Professeur Walker-Smith, qui était, à l’époque, le meilleur gastroentérologue pédiatrique du monde, un homme expérimenté avec un parcours impeccable et une carrière irréprochable; ainsi qu’un de ses adjoints, le Docteur Simon Murch ; et moi-même. Nous avons tous les trois été déclarés coupables. Simon Murch n’a pas été radié mais Walker-Smith et moi-même nous l’avons été. Il a ensuite été financé pour faire appel auprès de la haute cour anglaise. J’ai moi-même fait appel mais pour des raisons financières, il était impossible pour moi de continuer et en fait, ce n’était pas le premier objectif de me faire réintégrer en tant que médecin, car il y avait des choses plus importantes à faire.

 

En revanche, Professeur Walker-Smith a fait appel et lors de cet appel, c’est-à-dire la première fois que cette affaire avait été jugée par un jury convenable, le juge a détruit la décision du Conseil de l’Ordre. Il a effectivement dit qu’ils avaient été incompétents et qu’ils n’étaient pas en mesure de juger les éléments de preuves, qu’ils avaient commis des erreurs, qu'ils avaient mal compris les faits, qu'ils avaient falsifié les preuves, et, le pire de tout, qu’ils n’étaient pas objectifs.

 

Le Conseil de l’Ordre s’était mis en tête depuis le début que nous étions coupables, et ce juge a complètement renversé leur décision et a dit qu’en effet, ceci ne devrait plus jamais arriver. Walker-Smith a été réintégré dans l’ordre des médecins et toutes les allégations contre lui ont été rejetées. 90% des accusations contre Walker Smith étaient les mêmes que celles portées contre moi. L’étude aurait dû être réhabilitée, mais le rédacteur en chef du Lancet a refusé afin de protéger sa réputation et son emploi.

 

Cette histoire a-t-elle été médiatisée ? Brièvement. Dans un seul journal. Histoire importante : très brève mention. Personne ne parle de ça maintenant; tout le monde parle du fait que nous avons été discrédités, radiés et que la recherche a été retirée. Mais l’histoire réelle reste encore à raconter.

 

10.Conséquences – (19:56)

 

Eh bien, c'est très intéressant car à l'époque, je faisais une recommandation que les parents devaient pouvoir choisir pour utiliser des vaccins monovalents [ rougeole, oreillons , rubéole mais séparés ].

 

En d'autres termes, je recommandais non pas de ne pas protéger leurs enfants contre ces infections, mais de pouvoir le faire de la façon dont les parents le choisiraient, et à cette époque, au Royaume-Uni et aux États-Unis, les vaccins monovalents étaient disponibles.

 

Ainsi les parents pouvaient choisir:

 

«Je ne suis pas d'accord pour faire le ROR, mais je veux vacciner mon enfant, alors je vais opter pour les vaccins séparés».

 

Et ils protégeaient parfaitement bien, par exemple contre la rougeole.

 

Cette option était donc possible.

 

Je n'aurais pas fait cette recommandation si cela n'avait pas été le cas.

 

Mais, au Royaume-Uni, six mois plus tard, le gouvernement a retiré l'autorisation d'importation des vaccins monovalents.

 

Aux États-Unis, idem, quelques années plus tard, Merck a arrêté unilatéralement la production des vaccins monovalents.

 

En fait, ils les produisent séparément afin de les mettre ensemble, mais ils ont cessé de les rendre disponibles séparément sur le marché, de sorte que c'était un ROR ou rien: notre décision ou le néant.

 

Cela privait les parents du choix.

 

Ils étaient toujours inquiets au sujet du ROR, donc ils n'ont pas vacciné: et la rougeole est revenue: c'était entièrement de leur faute.

 

Comme je le dis dans le film, j'ai demandé à un membre haut placé au Ministère de la Santé: «Pourquoi faites-vous cela si vous voulez réellement protéger les enfants contre ces maladies infectieuses graves? Pourquoi supprimer ce choix pour les parents ?”

 

Cette personne m'a répondu “parce que si nous donnons le choix aux parents alors cela anéantirait notre programme ROR".

 

En d'autres termes, le souci était de protéger le programme et non pas les enfants. Et c'était une erreur désastreuse:

 

La rougeole est revenue, c'était entièrement prévisible, mais bien sûr, ils n'ont pas manqué de rejeter la responsabilité sur moi.

 

Et quand ils parlent de l'incidence des refus du ROR au Royaume-Uni, ce qu'ils ne disent pas c'est l'augmentation au même moment de l'usage des vaccins monovalents avant leurs retraits du marché.

 

11. Projets – 21:48

 

Je ne vais pas prétendre que tout cela a été facile à vivre mais c’est une situation d’urgence sur la plan médical qui ne me laisse pas le choix.

 

Lorsque je m’apitoie un peu sur mon sort, à cause de la radiation de l’ordre ou de ce qu’on dit dans les médias, je n’ai qu’à regarder le prochain enfant autiste afin de réaliser qu’en fait je n’ai pas de problème.

 

J’ai une famille merveilleuse et quatre enfants en pleine santé.

 

Il n’y a pas d'autisme dans ma famille.

 

Je regarde le prochain enfant atteint d’autisme et je pense que c’est cet enfant qui a un problème.

 

Moi, je n’ai pas de problèmes. Donc je me dis "arrête de t’apitoyer sur ton sort, reprends toi et fais le boulot".

 

Source: Suretevaccins.com

 

Dans la préface de ce livre important du Dr Wakefield, on peut notamment lire l'avis du Dr Peter Fletcher, ex haut officiel de l'Agence Britannique de sécurité des Médicaments reconnaître que s'il avait été en poste au moment où l'autorisation de mise sur le marché du vaccin ROR a été accordée (de façon trop hâtive et sur base de données d'évaluation tout à fait insuffisantes), il aurait émis d'autres exigences...

Commentaire d'Initiative Citoyenne: Remerciements et félicitations à l'équipe de Sûreté Vaccins pour ce remarquable travail de traduction, hyper utile à la collectivité et contribuant à une juste réinformation en ces temps de propagande vaccinaliste éhontée...

 

Nous invitons vraiment le plus grand nombre possible de citoyens à s'informer par eux-mêmes sur cet épisode du scandale vaccinal car énormément de faussetés ont été relayées par une presse docile/servile vraiment peu reluisante sur le Dr Wakefield. C'est la raison pour laquelle, en complément des réponses du Dr Wakefield, nous souhaitions ajouter ci-dessous quelques éléments d'investigation additionnels sur ce dossier dont vos médias traditionnels ne vous parleront bien sûr jamais mais qu'il est essentiel de connaître et de faire aussi largement connaître autour de vous, car combien d'entre nous n'avons pas déjà entendu des médecins ou des proches nous déclarer fièrement que "Wakefield est un tricheur" ou un fraudeur? C'est le moment tant attendu maintenant où le rideau tombe sur une tout autre vérité et où, alors que la France compte déjà plus de 600 000 autistes, la Belgique, plus de 100 000 et plus d'un million aux Etats-Unis, il y a vraiment urgence de parler et d'agir....

 

Le Dr Wakefield blanchi par un tribunal (lui et ses collègues ont été victimes d'une chasse aux sorcières, estime la justice britannique!)

 

Les travaux du Dr Wakefield ont été reproduits et confirmés par d'autres chercheurs

 

CDC: ils ont dissimulé au public 340% de risques d'autisme liés aux vaccins!

 

Un enfant sur 2 pourrait être autiste d'ici 2025 selon une chercheuse du MIT

 

Clairement moins d'autisme et de troubles comportementaux chez les enfants NON vaccinés (= 0 vaccins!) comparativement aux enfants vaccinés

 

Le Lancet (= journal qui a publié les travaux du Dr Wakefield avant de se rétracter hyper tardivement) et le British Medical Journal (= qui a aussi sali Wakefield) ont un partenariat de "formation continue" avec Merck, grand fabricant de vaccin ROR...

 

Autre article sur la triste prostitution de la Science

 

L'évaluation des vaccins est trop laxiste, TOUS sont expérimentaux! (un biologiste vous explique de façon limpide pourquoi...)

 

Tous les médecins ne sont pas d'accord avec la médecine autoritaire qui nie les risques des vaccins, tout en estropiant les enfants de façon inacceptable...

 

Un président américain s'empare du sujet du scandale vaccinal:

 

- sa femme ose prendre position sur les vaccins

- lui parle du lien vaccins et autisme et estime qu'il faut investiguer

- il nomme un Kennedy dans une commission sur la "sécurité" des vaccins

 

L'ex directrice de l'Institut national de Santé américain (NIH) avouait en 2008 au micro de CBS que la question "vaccins et autisme" n'est toujours pas tranchée en raison de la méthodologie inadaptée des études officielles, elle déplore la fausse science qui refuse de chercher de peur de ce qu'elle peut trouver et reconnaît qu'il y a des inquiétudes à avoir en matière de vaccination (bien qu'au tout début, elle aussi ait pensé que c'était "fou".... et pourtant!!)

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12 février 2017 7 12 /02 /février /2017 21:32

Non gênées de fouler aux pieds les dispositions constitutionnelles les plus fondamentales quant à la liberté d'expression, outre celles déjà quotidiennement bafouées par les obligations vaccinales (non respect du droit à l'intégrité physique et au respect de la vie privée), les instances officielles (Europe, groupes parlementaires, mairies, etc.), pourtant toujours si promptes à donner des leçons de démocratie au monde entier, s'en sont données à coeur joie pour censurer un documentaire de salut public, ne se rendant même pas compte qu'elles ne rendraient en fait que plus manifeste encore aux yeux du public l'urgence de s'informer sur ce scandale vaccinal d'une ampleur sans précédent dans l'histoire de l'humanité....

La maire socialiste de Paris, Anne Hidalgo, a montré au monde entier ses capacités d'esprit critique en suivant visiblement le mot d'ordre de sa brillante collègue Marisol Touraine "la vaccination, ça ne se discute pas!"

La maire socialiste de Paris, Anne Hidalgo, a montré au monde entier ses capacités d'esprit critique en suivant visiblement le mot d'ordre de sa brillante collègue Marisol Touraine "la vaccination, ça ne se discute pas!"

Après la censure au Parlement européen, la maire de Paris, Anne Hildago, censure Vaxxed...mais la liberté sera la plus forte!
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