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15 avril 2011 5 15 /04 /avril /2011 20:35

Les médecins font des choix pour eux-mêmes différents de leurs recommandations aux patients

 

Face à une décision médicale difficile, ce qu'un médecin recommande pour un patient est susceptible d'être différent de ce qu'il déciderait pour lui-même, selon une étude publiée dans les Archives of Internal Medicine.

Peter A. Ubel de l'Université Duke et ses collègues ont mené deux enquêtes auprès de médecins. Dans la première, ils leur demandaient d'imaginer qu'eux-mêmes ou un de leurs patients avaient reçu un diagnostic de cancer du côlon. Ils avaient deux options chirurgicales pour le traiter, les deux guérissant la maladie 80% du temps. Mais, l'une avait un taux de mortalité plus élevé, 20%, et moins d'effets secondaires indésirables. L'autre option avait un taux de mortalité plus bas, 16%, mais avait des effets secondaires tels que la diarrhée chronique et colostomie.

Sur les 242 médecins qui ont retourné le questionnaire, 38% choisissaient pour eux-même l'option avec un taux de mortalité plus élevé mais moins d'effets secondaires. Alors que seulement 24,5% recommandaient la même option pour un patient.

 

Source: Psychomedia

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15 avril 2011 5 15 /04 /avril /2011 20:24

12/04/2011

 

H1N1: Le Monde n'est pas prêt pour une nouvelle pandémie

 

Le monde n'est pas prêt à faire face à une nouvelle pandémie de grippe, neuf mois après l'annonce de la fin de celle du virus H1N1, a estimé mardi le groupe de travail de l'Organisation mondiale de la santé (OMS) sur la préparation pour les pandémies grippales.

 

"Les pandémies représentent des menaces pour la vie humaine ainsi que pour la santé et la sécurité dans le monde", a déclaré le président du groupe de travail, l'ambassadeur mexicain Juan José Gómez Camacho.



Quatre ans après la création de ce groupe composé de représentants d'Etats membres et malgré l'expérience du H1N1 déclarée première pandémie du siècle en juin 2009, il a estimé que le monde n'était toujours pas armé correctement contre un virus pandémique.

  

"Le monde n'est pas préparé, il n'est pas prêt à faire face à des pandémies de façon efficace", a estimé M. Camacho, considérant que les pays devaient encore relever plusieurs "défis".

 

Il a ainsi souligné la nécessité d'"augmenter de façon spectaculaire les capacités de production de vaccins (...) en particulier dans les pays en développement".

  

Le responsable mexicain a également insisté sur l'importance de développer les infrastructures requises pour distribuer les vaccins et s'assurer que ces derniers soient "abordables" pour tous.

  

Il a par ailleurs souligné l'importance de suivre des recommandations coordonnées et élaborées sur le plan mondial par l'OMS, estimant que lors de l'épisode de la grippe H1N1 certains pays avaient eu une gestion de la crise trop en solo.

 

Ces différents points sont discutées cette semaine par le groupe de travail. Un document final pourrait être adopté vendredi, a indiqué M. Camacho, expliquant que le texte serait par la suite proposé à la prochaine assemblée générale de l'OMS en mai.

 

L'ambassadeur mexicain a par ailleurs indiqué que le groupe de travail avait pu rencontrer jeudi dernier des représentants des laboratoires pharmaceutiques pour discuter des recommandations concernant notamment les vaccins, indiquant que "l'industrie avait donné des signaux très positifs".

L'OMS a déclaré formellement en août 2010 la fin de la pandémie de grippe H1N1, qui avait affolé la planète mais qui s'était finalement avérée moins meurtrière qu'une simple grippe saisonnière.

Sources: AFP & Lesechos.fr

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15 avril 2011 5 15 /04 /avril /2011 00:38

 

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13 avril 2011 3 13 /04 /avril /2011 18:37

Étoffer les « réservistes » pour faire face aux crises

 

7 avril 2011, par Alvezio Buonasorte

 

Tous les professionnels de santé sont concernés, y compris les pharmaciens.

 

Il n’y a en Alsace que 17 professionnels de santé prêts à être déployés pour faire face aux situations d’urgence, alors qu’il en faudrait plusieurs centaines.

 

«La leçon que nous avons tirée de la grippe A (H1N1), c’est qu’il faut disposer de professionnels aguerris pour faire face à une crise sanitaire d’urgence », explique Thierry Coudert, reconnaissant qu’il aurait été impossible à l’époque de vacciner l’ensemble de la population en quelques jours. L’ancien directeur de cabinet du préfet du Bas-Rhin est aujourd’hui directeur général de l’Eprus (Établissement de préparation et de réponse aux urgences sanitaires), structure chargée de la gestion de la réserve sanitaire, de la constituer, de la former et de la déployer.

 

« Actuellement, nous disposons de neuf réservistes dans le Bas-Rhin et de huit dans le Haut-Rhin, pour un effectif total en France de 500 réservistes », a-t-il indiqué mardi, à Strasbourg. Alors qu’il existe 25 000 professionnels de santé en activité en Alsace.

Professionnels, étudiants ou retraités

Il a lancé son tour de France du recrutement dans notre région en rencontrant les corps intermédiaires — les ordres des médecins, des sages-femmes et des pharmaciens, les pompiers, les représentants des étudiants, des médecins libéraux… — pour les sensibiliser à cette problématique. « Nous avons besoin de plusieurs centaines de volontaires dans chaque département. Nous lançons un appel à candidatures pour instruire les dossiers et constituer ce corps de réservistes volontaires dont nous avons besoin », poursuit-il, confiant qu’à sa connaissance, ce type d’organisations était unique au monde.

 

« Un contrat sera signé entre le volontaire, son employeur et l’Eprus. Ce dernier prendra en charge la logistique et la rémunération du volontaire, qui pourra être déployé hors de France, comme c’est le cas en ce moment au Japon, en Lybie, en Tunisie ou en Côte d’Ivoire auprès des ressortissants français, ou sur notre territoire en cas de crise », détaille Thierry Coudert. Il précise que tous les professionnels de santé peuvent y participer, ainsi que les retraités de moins de cinq ans et les étudiants en fin de cursus de formation.

 

L’Eprus a été créé en 2007 à partir des enseignements de la canicule et de l’épidémie de chikungunya. L’Eprus est également chargé de gérer l’ensemble des stocks stratégiques de produits sanitaires : masques, pastilles d’iode, antiviraux…

 

Source: l'Alsace.fr

 

NB: L'Eprus, c'est aussi ce groupe opaque "qui a signé pour le compte du ministère de la Santé les marchés avec les fabricants de vaccins (H1N1)" comme rappelé par Le Point.

Contrats verreux, s'il en est...

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13 avril 2011 3 13 /04 /avril /2011 17:33

PARIS — L'Association d'entraide aux Malades de myofasciite à macrophages (AE3M), une maladie inflammatoire, a demandé mardi aux autorités sanitaires de revenir sur une décision prise en 2004 par l'Agence sanitaire du médicament, sous l'effet, dit-elle, de conflits d'intérêts.

 

La myofasciite à macrophages est une inflammation grave des muscles se traduisant par des douleurs musculaires et articulaires et une forte fatigue. Elle est fortement soupçonnée de se produire sous l'effet de l'aluminium contenu dans nombre de vaccins, chez des personnes génétiquement prédisposées.

 

Après une étude faisant apparaître la possibilité de liens entre aluminium des vaccins et la maladie, le CHU de Bordeaux avait suggéré en 2003 des études complémentaires, rappelle l'AE3M dans un communiqué. En 2004 le Conseil scientifique de l'Afssaps avait cependant choisi de ne pas recommander de nouvelles études. Or, selon l'AE3M, plus de la moitié des participants à la réunion du Conseil étaient "en situation de conflits d'intérêts patents".

 

Pour réclamer une nouvelle étude, l'AE3M s'appuie sur des déclarations du ministre de la Santé Xavier Bertrand, qui, à la suite de l'affaire du Mediator, a martelé que toute décision prise par une commission concernée par un conflit d'intérêt serait "nulle et non avenue".

 

L'association relève que, depuis 2004, de nouvelles recherches explicitent la pénétration des particules aluminiques "dans des organes distants comme le cerveau où elles s'accumulent progressivement, pour ne plus en ressortir". Des études canadiennes, selon l'AE3M, auraient aussi montré sur des souris "la neurotoxicité de l'hydroxyde d'aluminium utilisé comme adjuvant vaccinal".

 

L'association note aussi que depuis 2008 "il n'est plus possible de trouver de vaccins sans aluminium pour le DTPolio" et que le vaccin contre l'hépatite B se trouve dans la liste publiée le 31 janvier par l'Afssaps des médicaments et produits faisant l'objet d'une surveillance renforcée, "en relation notamment avec la myofasciite à macrophages".

Selon l'Afssaps, "l'actualisation des données est en cours".

 

L'association demande que soit annulé l'avis de l'Afssaps de 2004 et que l'on "reprenne ce dossier".

 

Lors de l'audition du nouveau directeur de l'Afssaps, Dominique Maraninchi, le député PS Gérard Bapt lui a rappelé cette affaire. "Vous allez être de suite placé au pied du mur pour restaurer la confiance avec les patients", lui a-t-il lancé.

 

Source: AFP

 

 

Plus d'infos dans ce dossier sur la myofasciite à macrophages, paru dans une revue professionnelle de kinésithérapie en 2009:  ICI 

 

 

Reportage diffusé sur France 3, le 6 décembre 2010, sur l'aluminium:

 

 

 

 

En tant que citoyenne, Sophie Meulemans, a écrit à tous les parlementaires belges de la Commission Santé de la Chambre (membres effectifs & suppléants) le 8 octobre 2010, en mentionnant ce dossier scientifique paru dans cette revue de kinésithérapie, et en posant toute une série de questions précises. Elle n'a, à ce jour, encore reçu aucune réponse...

 

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12 avril 2011 2 12 /04 /avril /2011 23:30

Bien que datant de 2001 (parue dans Le Soir), l'interview de ce pédiatre est plus d'actualité que jamais car l'ONE n'a toujours pas réduit la voilure et continue d'exiger 8 à 9 vaccins là où son équivalent flamand, Kind & Gezin n'impose que la vaccination polio....

 

Voici un extrait de cette interview du Dr Jean-Louis Laloy, pédiatre homéopathe, plein de bon sens et de lucidité:

 

"Je trouve ainsi indigne que l'ONE (singulièrement du côté francophone), qui contrôle toutes les crèches, s'arroge le droit d'imposer aux gens toute une série de vaccins mais n'en assume nullement la responsabilité! Le médecin est toujours personnellement responsable des actes qu'il pose et je ne suis pas très bien le corps médical qui obéit sans réfléchir aux ukases des gens qui fabriquent les vaccins. L'information diffusée sur le sujet est le plus souvent partiale."



 

L'intégralité de cette interview: ICI

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9 avril 2011 6 09 /04 /avril /2011 22:41

La revue Medi-Sphere du 31 mars 2011 titre, sous la plume de Johan de Neve :

 

"9° Symposium de la Saint-Valentin d'Anvers

Vacciner en toute sécurité en 2011"

 

Dans cet article, sous la rubrique "Interactivité", on peut notamment lire "Le thème central- à savoir la sécurité de la vaccination- a été déterminé, entre autres, sur la base de formulaires d'évaluations collectés à la fin de l'édition précédente en 2009. Ce choix a été renforcé par les discussions sur les données de sécurité menées à l'occasion de différents forums dans le sillage de la pandémie H1N1. A l'occasion des séances de questions/réponses, un panel d'experts (le Dr Pieter Neels, le Pr Karel Hoppenbrouwers, le Dr Heidi Theeten, le Dr Geert Top, le Dr Iris Deschutter et le Pr Pierre Van Damme, qui était également modérateur) a répondu, sur la base des données scientifiques actuelles, à des questions envoyées au préalable ou posées "spontanément" par le public. Enfin, le symposium représentait aussi l'occasion idéale d'annoncer le thème de la semaine européenne de la vaccination."

 

 

 Van Damme

                                              http://www.mediattitudes.info/2010_11_01_archive.html

 

 

En première page de cet article, on trouve des aveux extrêmement importants, de la part de ceux-là même qui défendent toujours plus de vaccins pour toujours plus de monde à tout prix.

 

 

Ethique-1.jpg

 

 

 

Là où un caractère scientifique élémentaire aurait imposé avant toute vaccination massive de réelles études long terme entre des gens vaccinés et des gens jamais vaccinés (au risque de créer un biais), cela n'a jamais été fait en plus de 200 ans d'histoire des vaccinations, et ceci, au nom d'un prétexte "éthique" fumeux qui ne fait que démontrer le postulat intouchable "les vaccins sont bons, en priver quiconque est donc non éthique"! On touche là non plus à la science mais à la croyance et au domaine de l'idéologie qui sont particulièrement dangereux quand il s'agit de santé publique.

 

Cette comparaison, sans cesse biaisée, est la raison principale expliquant le fossé entre le discours officiel théorique et dogmatique (rassurant) et la dure réalité du terrain, constatée voire vécue par nombre de gens et de praticiens, même quand ceux-ci n'établissent pas le lien. Cette comparaison, sans cesse biaisée, est ce qui permet aux producteurs de vacciner sans cesse plus et d'affirmer constamment que leur nouveau vaccin "présente un profil de tolérance acceptable par rapport au (faux) groupe contrôle," ayant reçu un autre vaccin.

 

Tant que ce postulat idéologique des vaccins "bénéfiques à priori" demeurera ainsi intouchable, le public se verra constamment opposer un discours faussement rassurant et potentiellement dangereux pour sa santé individuelle mais aussi pour l'état global de santé de la collectivité avec les conséquences financières que l'on sait.

 

Mais continuons à lire dans cette revue médicale les illogismes et autres prévisions d'apprentis-sorciers:

 

donnees-securite.jpg

 

C'est l'arroseur arrosé. Comment peut-on prétendre déplorer l'absence de données sur l'incidence "normale" de certaines maladies alors que précisément, dans le même temps, on organise et on soutient cette absence permanente de comparaison fiable entre vacciné et gens (absolument) non vaccinés? On a donc tout biaisé, dès le départ. Et ce genre d'incohérences venant de soit-disant "experts" donne véritablement froid dans le dos quand on sait que ce sont ce type de personnalités qui "conseillent" nos dirigeants et sont censées le faire "pour le bien du public"!

 

Poursuivons donc car nous ne sommes pas au bout de nos (désagréables) surprises...

Sous la rubrique "Vaccins sûrs", on peut lire que "Il  est notamment stipulé (dans les documents de l'Agence Européenne du Médicament en ce qui concerne les étapes requises pour l'obtention d'une autorisation de mise sur le marché) "qu'un vaccin doit avoir été administré au minimum à 3000 reprises dûment documentées avant d'être mis sur le marché."

 

Non seulement c'est un chiffre insignifiant et hautement insuffisant (destiné à préparer le public à d'autres vaccins "pandémiques" expérimentaux à venir) mais en plus, même quand il se produit un nombre effrayant de décès au cours des essais cliniques comme les 7 décès sur les 2000 patients ayant reçu le Pandemrix, les autorités européennes agissent comme si de cela ne s'était jamais passé, les fabricants de vaccins et les officiels belges de la santé le nient à la télé (avant de revenir lamentablement sur leur déni pour essayer de sauver la face!)

 

Quand on sait que le "suivi" de ces patients vaccinés se borne à quelques jours, quelques semaines ou tout au plus quelques mois, on ne peut que s'étonner du contraste effarant avec les précautions beaucoup plus draconiennes de l'Europe des lobbies envers les plantes traditionnelles.

 

Là où on peut lire dans Medi-Sphere qu' "afin que les vaccins soient disponibles plus rapidement pour la protection de la population en cas de grippe pandémique, un certain nombre de procédures spécifiques ont été introduites par l'Union européenne. Ces procédures (gérées par l'EMA) assurent l'approbation plus rapide d'un vaccin antigrippe, par comparaison à la période de 18 à 24 mois généralement requise pour approuver un médicament dans l'Union Européenne. La procédure dite "mock-up" permet de mettre au point et d'approuver un vaccin préalablement à toute pandémie sur la base de données indiquant qu'une souche virale pourrait être à l'origine d'une pandémie. En ce qui concerne ces vaccins, des dispositions prévoient par ailleurs une surveillance étroite consécutivement à la mise sur le marché. La procédure d'urgence assure l'approbation accélérée d'un nouveau vaccin lorsqu'une pandémie a d'ores et déjà été annoncée."

Voyons maintenant, par contraste, ce que prévoit la Directive 2004/24/CE du Parlement et du Conseil au sujet des médicaments traditionnels à base de plantes:

 

 

"(5)L'ancienneté du médicament permet de réduire la nécessitéde réaliser des essais cliniques puisque son efficacitéest plausible du fait de l'ancienneté de l'usage et del'expérience. Les essais précliniques ne semblent pasnécessaires dès lors que le médicament, sur la base desinformations relatives à son usage traditionnel,démontre son innocuité dans les conditions d'emploi spécifiées. Cependant, même l'ancienneté n'écarte pastoute préoccupation liée à la sécurité du produit, de sorte que les autorités compétentes devraient être habilitéesà demander toutes les données nécessaires pour évaluer la sécurité. L'aspect qualitatif du médicament estindépendant de son usage traditionnel, ce qui explique qu' aucune dérogation ne devrait être prévue en ce quiconcerne les essais physicochimiques, biologiques et microbiologiques requis."

 



(7)"L'enregistrement simplifié ne devrait être acceptable que si le médicament à base de plantes peut se prévaloird'un usage médical d'une durée suffisamment longuedans la Communauté. L'usage médical à l'extérieur dela Communauté ne devrait être pris en considérationque si le médicament a été utilisé dans la Communauté pendant une période déterminée."

 

La même Directive précise que les produits traditionnels à base de plantes doivent être utilisés depuis au moins 30 ans dont 15 au sein de la Communauté européenne!!

C'est là où on se rend compte que l'accélération privilégiée de la mise sur le marché des vaccins est bien plus une affaire de pouvoir et d'argent qu'une affaire de santé...

 

Dans la suite de cet article de Medi-Sphere, ils poursuivent à la rubrique "Rapport temporel versus causal":

 

" La vaccinovigilance est difficile à mettre en oeuvre. Il existe en effet une différence entre un évènement médicamenteux indésirable (adverse drug event) et une réaction médicamenteuse indésirable (adverse drug reaction), de même qu'une différence entre un lien temporel et causal. Nous n'avons pas non plus naturellement tendance à rapporter spontanément des effets indésirables. De plus, la sécurité ne peut être évaluée en tant que telle, chaque évènement de vaccinovigilance nécessitant une analyse complète des risques et des avantages. Pour de nombreuses maladies, nous ne disposons pas d'une quantité de données suffisante en ce qui concerne l'incidence "normale". Tout lien temporel avec la vaccination est considéré comme "un signal" mais il manque une définition claire du terme "signal". S'il existe des risques partout, nous avons cependant besoin de données nous permettant de vivre avec ces risques..."

 

Il est clair qu'avec tous les liens (plus que) temporels qui se sont déjà manifestés en + de 200 ans de pratique de vaccinations, il leur manque la définition de "signal"  et ceci d'autant plus que l'industrie qui influence ces "experts" a un intérêt certain à ce que tout signal de ce type soit ignoré ou minimisé. En outre, comme rappelé par le Pr George Dick dans le British Medical Journal en juillet 1971: "Peu de médecins sont disposés à attribuer un décès ou une complication à une méthode qu'ils ont eux-mêmes recommandée et en laquelle ils croient."

 

Sur la troisième et dernière page de cet article réservé à ce symposium, on peut lire sous la rubrique "Vaccinations de rattrapage: recommandations versus casuistique" qu'il est question des enfants "insuffisamment vaccinés". Surréaliste à un moment où de plus en plus de parents se rendent compte qu'une survaccination notoire est à l'oeuvre et est de plus en plus incriminée par les rares scientifiques indépendants qu'il reste, aux quatre coins du monde...

 

Dans cet article, relatant le déroulement de ce symposium, on peut lire qu'ils persistent et signent(!): "Dans la pratique quotidienne, nous devons toutefois (trop) souvent faire face à un schéma de vaccination non conforme ou insuffisant chez certains enfants. [...] Par ailleurs, nous ne disposons pas toujours de données probantes claires sur l'immunologie de base (comment le système immunitaire peut-il agir à tout moment?), les schémas alternatifs ou les autres schémas appliqués à l'étranger, et leur contrôle."

 

 

Incroyable! Alors qu'il s'agit d'un symposium sur la sécurité de la vaccination, que les principaux intervenants reconnaissent ne pas disposer de véritables comparaisons entre vaccinés et non vaccinés, ne pas savoir comment le système immunitaire peut réagir à tout moment, ils supportent encore l'idée que certains enfants ne sont malgré tout jamais assez vaccinés!

 

 

 Ces "experts" semblent vraiment se moquer du monde. Et comme si ça ne suffisait pas ils rappellent la prochaine "Semaine européenne de la vaccination" qui se tiendra du 23 au 30 avril prochain. (Toutes les "grandes causes" ont une journée mondiale mais, pour la vaccination, un jour ne suffisait pas, il fallait le "tapis rouge" de la semaine entière)

Cette année disent-ils (en 2011), le thème sera identique à celui de 2010 à savoir "la vaccination et la grossesse". "Le groupe cible se compose de femmes manifestant un désir de grossesse, de femmes enceintes et de jeunes mères. Le point de départ de la campagne est lié au fait que les futures mères peuvent idéalement se faire vacciner avant la grossesse, mais la vaccination est également recommandée pendant la grossesse dans un certain nombre de cas."

 

Et de préciser que "la date du vendredi 10 février 2012 est d'ores et déjà réservée dans notre agenda. Ce jour-là, le dixième Symposium de la Saint-Valentin sur la vaccination est organisé à Anvers, sur le thème de la vaccination "à vie". Nous escomptons, à l'occasion du dixième anniversaire de cet évènement et dans le droit fil des éditions précédentes, un programme exceptionnel ainsi que, peut-être, quelques surprises..."

 

Les mauvaises surprises (pour les citoyens) ne dureront que le temps que nous croirons ces "experts" qui agissent à l'encontre même du principe de prudence et de précaution mais sur une base purement idéologique, le plus souvent sous-tendue par une logique commerciale forte. Ainsi, savez-vous que l'industrie pharmaceutique a 450 nouveaux vaccins en développement? 450, oui. Vous avez bien lu. Il va donc falloir créer de toutes pièces de faux besoins pour "ouvrir des marchés". Et cela consistera à vous faire peur, à appeler à "votre civisme pour vous faire vacciner", "votre responsabilité de parent" ou "votre éthique de professionnel de santé". Autant d'arguments "bon marché" qui ne devront pas émousser votre sens critique, plus que jamais nécessaire!

 

 

Il faudra aussi "s'informer pour deux" car votre ou vos enfant(s) sera/seront de plus en plus ciblés, y compris les adolescents dans le cadre de la médecine scolaire. Les adolescents constituant un public vulnérable et facilement manipulable, certains "experts" se montrent de plus en plus favorables à l'abaissement de l'âge auquel le consentement des parents ne sera plus indispensable pour pouvoir vacciner l'enfant. On devine alors toutes les manipulations dont pourront faire l'objet les jeunes, souvent bien plus préoccupés par leurs séries télé ou leur nouveau lecteur mp3.

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9 avril 2011 6 09 /04 /avril /2011 22:37

Le Figaro, 5 avril 2011

 

En France, depuis mars, un décret oblige les éditeurs à conserver pendant un an les mots de passe des internautes. 

Pseudonyme, adresse e-mail, mot de passe, date et heure de la connexion, opération effectuée…: toutes les informations confiées par un internaute lorsqu’il crée un compte sur un site comme YouTube ou Dailymotion doivent être conservées par les éditeurs de ces plates-formes pendant un an. C’est ce que prévoit depuis un mois le décret paru au Journal officiel le 2 mars dernier. Ces données peuvent être réclamées lors d’enquête par la police, la douane, le fisc, la répression des fraudes…

 


«Choquée» par ce texte, l’Association des services Internet communautaires (Asic), qui réunit notamment Facebook, Google, Dailymotion et Priceminister, engage mercredi un recours en annulation contre ce décret devant le Conseil d’État. «Plusieurs éléments posent problème, notamment le fait qu’il n’y a pas eu notification de la Commission européenne», a déclaré, mercredi, Benoît Tabaka, secrétaire de l’Asic et directeur juridique du site Priceminister. Il a pris Bruxelles directement à témoin, s’exprimant lors d’une conférence débat sur le statut des plates-formes d’expression en ligne à laquelle était convié Jean Bergevin, chef d’unité de la direction générale marché intérieur et services de la Commission européenne.

 

Les éditeurs de sites Web 2.0 contestent aussi l’obligation de conserver et transmettre les mots de passe des comptes de ses utilisateurs. «Ce n’est pas une donnée d’identification», estime Benoît Tabaka. Par ailleurs, chaque changement de mot de passé prolonge la période de conservation des données. Un coût supplémentaire pour les éditeurs, qui s’inquiètent d’une conservation indéfinie de ces données personnelles. Forte de 26 membres, l’Asic n’exclut pas de voir d’autres acteurs du Net se joindre à son recours.


Il s’inscrit dans un combat plus général des éditeurs de sites Web participatifs contre un Internet de la surveillance. Aujourd’hui, la loi est claire, les hébergeurs ne sont pas responsables a priori mais doivent retirer les contenus illicites signalés par les ayants droit. Si cette obligation de surveillance devenait générale, de nombreux contenus seraient exclus a priori de toute mise en ligne, dont - potentiellement - des contenus licites avec des citations ou à vocation parodique.

Beuth, Marie-Catherine


 

Source: Le Figaro 

 

 

 

 

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8 avril 2011 5 08 /04 /avril /2011 20:42

 

 

 

 

 

On consomme de plus en plus d'antibiotiques. Ce qui signifie de façon incontournable que les gens sont de plus en plus malades(car même si les médecins prescrivent à tort des antibiotiques dans des cas d'infections virales, ils ne les prescrivent tout de même pas, en routine, à des gens en pleine santé!).

Les infections récurrentes et opportunistes sont de plus en plus nombreuses et fréquentes.

 


Parallèlement à cela, la population est de plus en plus vaccinée: plus de vaccins dans l'enfance, toujours plus de rappels à l'âge adulte, des rappels et d'autres vaccins à l'occasion des voyages à l'étranger (Travel Clinics), des vaccins antigrippaux annuels dès 65 ans ou même avant.

 


La situation semble évidente: ON FATIGUE le système immunitaire à force de l'assommer sans cesse avec différentes vaccinations et leurs cocktails d'ingrédients toxiques que notre organisme n'a pas été habitué à gérer.
C'est ainsi qu'un nombre impressionnant de gens sont victimes d'infections diverses dans les jours et les semaines qui suivent l'une ou l'autre vaccination mais ils ne font même pas le lien, pour la plupart, ni leur médecin car ils ignorent que toute vaccination quelle qu'elle soit entraîne une baisse du système immunitaire (cfr.réf n°18 de ce texte)

 

Le mythe du "vaccin renforçant le système immunitaire" est faux et constitue une approche simpliste donc inexacte des mécanismes immunologiques complexes à l'oeuvre.

Le système immunitaire des enfants n'est pas mature avant 6 ou 7 ans. Pourtant, on commence à les vacciner dès 2 mois et cela sans répit jusqu'à leur deuxième année.

 

Une étude indépendante, menée au cours des 5 premières années de vie des enfants et comparant des enfants complètement vaccinés (selon le programme officiel hollandais) avec des enfants n'ayant jamais reçu le moindre vaccin, a montré des chiffres extrêmement clairs. Selon cette étude, les enfants non vaccinés consomment près de 3 fois MOINS d'antibiotiques et sont globalement en bien meilleure santé.

 

 

               http://www.thinktwice.com/Dutch.pdf

Belle-Sante--graphe-1.jpg

 

 

 

L'inflation vaccinale de ces dernières années (toute prête à aller en empirant, logique du marché oblige) entraînera donc inévitablement une hausse encore plus grande de la consommation d'antibiotiques avec les phénomènes dramatiques de résistance accrue auxquels il faut s'attendre. Et l'OMS a beau jeu de venir à présent verser "sa larme de crocodile" au sujet de la hausse de consommation d'antibiotiques, elle porte une gigantesque responsabilité dans ce phénomène avec son idéologie vaccinatoire aveugle, qui n'a d'ailleurs plus rien de scientifique.

 

 

 

Les antibiotiques sont-ils indispensables en cas d'infection bactérienne?

 

 

NON, contrairement à ce qui a pu être dit dans le reportage télé ci-dessus!

Il s'agit là d'un discours institutionnel basé sur la seule "logique" consummériste des grands groupes pharmaceutiques dominants, plutôt que sur les faits.

Si, dans certains cas d'urgence ou d'échec d'autres méthodes, une antibiothérapie classique peut s'avérer indispensable, c'est loin d'être le cas de toutes les infections bactériennes!

Les huiles essentielles sont de puissantes substances qui ont déjà fait l'objet de plus de 10 000 études scientifiques rigoureuses démontrant leur efficacité dans de très nombreux domaines. Elles excellent notamment dans la sphère infectieuse où elles offrent l'avantage d'être très sûres (hormis personnes allergiques ou un état de grossesse ou un jeune âge en fonction des H.E employées) et d'offrir un effet tant anti-viral qu'anti-bactérien, là où les antibiotiques classiques ne sont qu'anti-bactériens.

 

Pour déterminer les huiles essentielles les plus indiquées, on peut réaliser un aromatogramme (dans un laboratoire spécialisé), qui repose sur la même méthode que l'antibiogramme. On peut alors déceler là où les puis puissantes et les séparer de celles dont l'efficacité sera plus restreinte voire nulle dans un cas donné.

 

 

 

Aromatogramme.JPG

    Image issue de la conférence sur les huiles essentielles de Brigitte-Alix Le Fur (septembre 2010)

 

 

 

 

Dans quel type de cas concrets les huiles essentielles peuvent-elles être utiles?

 

 

En cas d'infection sérieuse, il est important de s'adresser à un aromathérapeute, médecin ou pas (quitte à ce que les deux travaillent de concert). Mais d'ores et déjà, il est bon de savoir que les huiles essentielles peuvent aider dans les cas d'infections bactériennes suivantes:

 

- infections à méningocoques - huiles essentielles de bergamote, menthe des champs, ...

 

- infections à pneumocoques - huiles essentielles de citron, eucalyptus globuleux

 

- infections à Clostridium difficile- huiles essentielles d'anis étoilé (badiane), d'arbre à thé, cannelle de ceylan, sarriette des montagnes, ...

 

- infections à Staphylocoque (doré ou autre) - huiles essentielles de niaouli, d'eucalyptus globuleux, d'arbre à thé, thym, origan, sarriette, romarin, menthe des champs, ..

 

- infections à streptocoques - huile essentielle de thym, de romarin, eucalyptus globuleux, ...

 

- Pseudomonas- huile essentielle de cannelle,...

 

- infections par les salmonelles (thyphoïde) - huile essentielle de lavande, de citron, etc

 

- Helicobacter Pilori- huiles essentielles d'origan compact, thym vulgaire à thymol, arbre à thé, cannelle de Ceylan, girofle, ...

 

- Collibacilloses (cystites, vaginites, etc) -huile essentielles de santal, sarriette, eucalyptus globuleux,...

 

- Tuberculose  - huile essentielle de thym, de girofle, serpolet, origan, ajowan, niaouli, etc

("Courmont P. et al. ont démontré, au cours de tests, qu'une solution à 0,05% d'eugénol, issu d'huile essentielle de clou de girofle, était suffisante pour détruire le bacille de la tuberculose.")

 

 

[Une maladie comme la tuberculose ne se soigne pas forcément qu'avec des huiles essentielles! Les H.E peuvent agir de façon complémentaire au traitement classique, seules, selon la gravité de la maladie ou en association avec d'autres traitements phytothérapeutiques dans les cas de TB multirésistantes aux traitements antibiotiques classiques:

 

Par ignorance ou par idéologie, il est cependant regrettable que des médecins privent leurs patients de chances de traitements, d'autant plus quand ceux-ci sont plus efficaces ou tout aussi efficaces mais mieux tolérés!

 

Par exemple, la plante Lantana Hispida s'avère efficace dans le traitement de tuberculoses multirésistantes (MDR-TB):

 

Jimenez-Arellanes A, et al. “Activity against multidrug-resistant Mycobacterium tuberculosis in Mexican plants used to treat respiratory diseases.” Phytother Res. 2003 Sep;17(8):903-8.

 

Jiménez-Arellanes A, et al., « Antimycobacterial triterpenoids from Lantana hispida (Verbenaceae). »,

J Ethnopharmacol. 2007 May 4;111(2):202-5.

 

La plante Amborella Trichopoda, une des plus vieilles plantes à fleurs du monde s'est avérée, elle, aussi efficace, que deux traitements anti-tuberculeux de référence (pyrazynamide & ethambutol) dans une étude menée par des chercheurs attachés à l'Université de Paris Sud et au CNRS:



Billo M, et al., « Screening of some New Caledonian and Vanuatu medicinal plants for antimycobacterial activity.” J Ethnopharmacol.2005 Jan 4;96(1-2):195-200

 

 

 

aromatogramme-2.JPG

                   Image issue de la conférence sur les huiles essentielles de Brigitte-Alix Le Fur (septembre 2010)

 

 

 

Les modes d'administrations variés des huiles essentielles

 

 

 

Les huiles essentielles peuvent être utilisées par de nombreuses voies.

 

- Inhalation: on peut les respirer sur un mouchoir, faires des inhalations

 

- Instillations nasales, gargarismes

 

- En diffusion (pour assainir les pièces, endiguer les épidémies dans les espaces publics, les commerces); différentes sortes de diffuseurs existent dans le commerce.

 

- Par voie orale (dans du miel ou un peu d'huile d'olive, sur un comprimé neutre, dans des gellules gastro-résistantes préparées par votre pharmacien, des oléocapsules, sur un bout de pain)

 

- En massages/par voie cutanée: sur les poignets, sur les tempes (migraines), sur le plexus solaire, sur la plante des pieds, etc [certaines huiles, dermocaustiques nécessitent d'être diluées au préalable, dans des huiles végétales]

 

- En suppositoires (très utiles en cas d'infections, y compris chez les enfants)

 

- En ovules gynécologiques

 

etc

 

 

 

Pourquoi les grands médias et les experts n'en parlent pas plus?

 

 

Il faut bien comprendre que les huiles essentielles sont à la fois anti-virales et anti-bactériennes et qu'elles n'entraînent pas ce phénomène de résistance. Il faut aussi comprendre que ce faisant, elles concurrencent directement tant les vaccins que les antibiotiques qui sont généralement produits par les mêmes firmes.

Les firmes qui vendent leurs vaccins s'enrichissent donc doublement quand les populations survaccinées en viennent à consommer des antibiotiques pour traiter les effets secondaires des vaccins...

 

Dans le chef des médecins, il n'y a bien sûr aucune mauvaise intention et il ne s'agit pas d'un grand complot. Simplement, on ne leur enseigne pas les effets bénéfiques des substances naturelles dans le cursus facultaire de base. Ils sont constamment "informés" via l'industrie pharmaceutique qui envoie ses visiteurs médicaux, sponsorise leurs revues médicales et leurs congrès, qui jouent sur le contenu du cursus universitaire, etc

 

Les méthodes naturelles constituent un moyen d'être plus autonome pour les patients.

On comprend donc facilement que les grosses industries pharmaceutiques ont des intérêts contraires: entretenir la consommation par le biais de marchés captifs.

 

Au niveau politique, il n'y a d'ailleurs pas de véritable volonté d'amélioration à ce niveau: le lobbying des grosses firmes est énorme (on l'a encore vu avec le contrat secret d'achat de vaccins H1N1 que la ministre fédérale belge avait osé signer!) et celles-ci recourent au besoin, au chantage à l'emploi. C'est ainsi qu'au nom de 6000 ou 7000 emplois, on prive des dizaines de milliers de Belges des traitements au rapport bénéfices/risques le plus performant.

 

 

 

Les huiles essentielles constituent-elles une voie d'avenir face aux résistances d'antibiotiques et à l'inflation vaccinale?

 

 

"Face au problème soulevé depuis plusieurs années par la résistance des bactéries, la seule alternative fiable à l’usage des antibiotiques semble être celle des huiles essentielles. Connue de façon empirique depuis des siècles, leur efficacité anti-infectieuse a été scientifiquement démontrée in vitro et in vivo." (Nutranews)

 

"La fonction antibactérienne des huiles essentielles est utilisée depuis des siècles mais n'a été reconnue que récemment. Découverte scientifiquement au début du XX° siècle par le Dr Grattefossé, son utilisation s'est développée pour devenir depuis une trentaine d'années une véritable alternative aux antibiotiques lors des infections." (tpe-huiles-essentielles-emonsite)

 

 

Comment trouver plus d'informations sur l'usage des huiles essentielles (aromathérapie)?

 

 

De nombreux ouvrages ont été écrits à ce sujet. Citons notamment:

 

- "Ma Bible des Huiles Essentielles", Danièle Festy (pharmacienne aromathérapeute), Leduc Editions. Site internet de Danièle Festy:  http://www.danielefesty.com/

 

- " Les huiles essentielles, médecine d'avenir", Dr JP Willem

 

- "Aromathérapie", Dr Jean Valnet

 

- "L'aromathérapie- Se soigner par les huiles essentielles", Dominique Baudoux, éd. Amyris

 

- Les huiles essentielles, un pouvoir antimicrobien avéré (Nutranews)

 

etc etc

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8 avril 2011 5 08 /04 /avril /2011 12:38

Scandalisé par les propos d'Initiative Citoyenne, parus dans La Libre du 17 mars 2011, Mr Daniel Peltzer, président de l'Association Belge des Paralysés (ABPasbl) nous a envoyé un mail, en date du 3 avril 2011.

 

Nous avons répondu, de façon détaillée, à son mail, en mettant bien sûr en copie, tous ceux qu'il avait initialement ajoutés à son courriel, mais en rajoutant aussi quelques autres personnalités journalistiques ainsi que Mr Richard Miller.

 

Notre réponse: ICI.

 

(Comme c'est souvent le cas pour les pdf, il peut s'avérer nécessaire de copier-coller le lien exact des références mentionnées dans la barre d'adresse du navigateur pour les consulter)

 

En date du 22 avril 2011, Mr Peltzer nous a envoyé un second courrier, ayant cette fois fait appel à deux médecins. L'intégralité du courrier de ces trois messieurs est consultable ICI

 

En date du 22 avril également, le Pr Van Den Bergh, un des médecins sollicités par Mr Peltzer, a envoyé un mail, y compris à Initiative Citoyenne dont le contenu peut être lu ICI

 

Notre réponse, sous forme de lettre ouverte aux citoyens, aux médecins et aux politiques peut être consultée ICI  [+ Annexe à ce courrier: ICI]

 

Etant donné les informations récentes, transmises par le Pr Van Den Bergh, au sujet de la survenue de cas de polio en Côte d'Ivoir, il serait hautement utile qu'une méthode simple, peu coûteuse comme le chlorure de magnésium puisse bénéficier aux gens ayant déjà la maladie, pour qui il est trop tard de vacciner ou qui ont attrapé la maladie en dépit d'une vaccination antérieure. Car une méthode qui mérite d'être essayée existe. Mais certains se refuseront hélas à l'utiliser pour aider ces malheureux à qui rien n'est plus proposé pour améliorer leur sort...

 

Dr-Neveu--A-.jpg

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