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4 avril 2011 1 04 /04 /avril /2011 20:36

Au JT de 19H30 de la RTBF du 3 avril 2011, on pouvait voir un petit reportage sur un phénomène en hausse constante: les allergies.

 

On pouvait notamment entendre que les allergies constituent la 4° cause de maladies chroniques dans notre société et qu' en 2020, 1 personne sur 2 sera allergique, en général.

 

Ces chiffres devraient nous interpeller car cela n'est pas du tout normal et parce qu' il s'agit d'un phénomène invalidant. Qui plus est, cette hausse constante, dans une société qui vaccine de plus en plus, constitue une tendance inquiétante.

 

 
 
Au cours de ce reportage, la pneumo-allergologue du CHU de Charleroi interrogée, le Dr Valérie Dufresne expliquait:

 

"Dans nos populations, notre système immunitaire n'est plus habitué à combattre des infections, des bactéries. On vit vraiment dans un monde aseptisé et notre système immunitaire trouve une voie d'échappement. Il commence à produire des anticorps un petit peu contre n'importe quelle molécule qu'il rencontre et voilà, l'allergie se met en route."

 

Ces propos, sans citer explicitement les vaccins, y font assez nettement référence car les vaccins symbolisent, mieux qu'une quelconque autre technique, cette lutte effrénée et cette peur maladive des microbes en tous genres.

 

Ces propos sont d'ailleurs aussi très nettement recoupés par ceux du Pr Lucienne Chatenoud, immunologiste et chercheur à l'INSERM:

 

"L’hypothèse la plus avancée est l’hypothèse hygiéniste. Dans tous les pays industrialisés, on observe une diminution des infections endémiques chez les jeunes enfants, liée aux programmes de vaccination et à l’utilisation des antibiotiques ; or cette diminution est corrélée à une augmentation de la fréquence des maladies auto-immunes ou dysimmunitaires: diabète de type 1, sclérose en plaques, maladies inflammatoires de l’intestin, mais aussi les allergies."

 

Ces propos de spécialistes en immunologie et en allergologie témoignent de ce qu' une partie croissante du corps médical est au courant des effets pervers des vaccins et qu'il sera de plus en plus malaisé, à l'avenir, de faire croire au public que ces risques sont minimes ou qu'ils n'existent pas. Du reste, ces preuves selon lesquelles le monde médical sait rendent de facto la moindre obligation vaccinale encore plus illégitime que ce qu'elle est actuellement.

 

Autre constat, toujours au sujet des allergies (Le Figaro): "La fréquence des allergies alimentaires chez les enfants a doublé en vingt ans." "Les allergies alimentaires touchent entre 3 et 7 % des enfants des pays industrialisés, et tendent également à augmenter dans les pays en voie de développement. Au Québec, on estime que de 6 à 8 % des enfants seraient affectés. Aux États-Unis, entre 1997 et 2007, la prévalence des allergies alimentaires a augmenté de 18 % chez les jeunes de moins de 18 ans."

 

Remarque intéressante: en 20 ans, on est passé de 7 vaccins dans l'enfance (polio, tétanos, coqueluche, diphtérie, rougeole, oreillons, rubéole) à 14 vaccins.

En effet, à l'heure actuelle sont aussi préconisés en routine pour les enfants: le vaccin HiB, le vaccin hépatite B (HB), le vaccin contre le pneumocoque (Prevnar), le vaccin contre le rotavirus et aux USA, aussi le vaccin contre la varicelle, celui contre l'hépatite A ainsi que l'injection antigrippale annuelle, même pour les enfants!

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4 avril 2011 1 04 /04 /avril /2011 20:33
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3 avril 2011 7 03 /04 /avril /2011 12:58

2 février 2011

 

Hépatite auto-immune causée par la vaccination

 

Dans un article du quotitien Aftonbladet, en Suède, on y rapportait dernièrement l’histoire malheureuse d’une jeune adolescente de 16 ans qui, après s’être fait vacciner pour se protéger de la “petite” grippe A H1N1 en 2009, s’est retrouvée avec une maladie pour le reste de ses jours: le Pandemrix serait en cause.

 

Ellinor vit depuis avec une maladie chronique, soit une hépatite auto-immune. Elle doit prendre des médicaments quotidiennement, comme si elle avait reçu une transplantation hépatique, afin que son système immunitaire ne rejette pas son foie, en plus de devoir se rendre à l’hôpital pratiquement chaque semaine. Son histoire a été rapportée dans le Aftonbladet

 

1 le premier avril, mais ce n’est pas un poisson d’Avril.

 

L’histoire d’Ellinor: un cauchemar

 

Dix jours après avoir reçu le vaccin contre la grippe A H1N1 en novembre 2009, le ventre d’Ellinor s’est mis à enfler. Au début,  on ne s’est pas trop inquiété, mais lorsque la fièvre a monté à 41 dégrés celcius, elle a été admise à l’hôpital d’urgence. Elle y est restée durant cinq semaines.

 

À son arrivée à l’hôpital, elle souffrait d’un empoisonnement du sang et elle a reçu des antibiotiques par voie intraveineuse, sans que la fièvre diminue. Les médecins ont remarqué que sa vésicule biliaire était dangereusement enflée, et on a donc pris la décision de la lui enlever. C’est lors de l’opération qu’on s’est rendu compte que le système immunitaire d’Ellinor s’attaquait à son foie. Le Pandemrix  est encore mis en cause, alors que c’est un fait que la vaccination peut causer des maladies auto-immunes. Une autres victimes de la vaccination. Et combien dont on entend pas parler? Les médias étaient rapides pour annoncer les quelques décès de personnes âgées causés par la grippe A H1N1 afin de faire peur au monde, mais où sont les médias pour nous donner l’autre côté de la médaille?

 

Rappelons que dès octobre 2009, et même avant, des médecins et autres spécialistes à travers le monde avaient averti que la pandémie était loin d’être aussi grave que le laissait entendre l’OMS. Imaginez, un pays comme en Pologne où personne ne s’est fait vacciner, on n’a même pas remarqué une augmentation des décès dus à la grippe. Le monde s’est fait totalement leurrer. Et maintenant? Des gens doivent vivre avec des maladies chroniques pour le restant de leur vie. Qui en profite? Encore les pharmaceutiques, qui vendent des médicaments à Ellinor, ou encore à ces dizaines et dizaines d’enfants et adolescents qui vivent avec la narcolepsie causée par le Pandemrix.

 

Notes et références

 

1.   Tog vaccinet – då stöttes levern bort

 

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2 avril 2011 6 02 /04 /avril /2011 20:22
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2 avril 2011 6 02 /04 /avril /2011 00:55

16 mars 2011 (AFP)

 

Une agence sanitaire inefficace, une Haute autorité de santé qui n'a servi à rien, des experts discutables, le rapport du député Bernard Debré et de Philippe Even (Institut Necker) critique frontalement un système du médicament sous influence de l'industrie, après la crise du Mediator.

 

Leur rapport doit être remis ce mercredi au président Nicolas Sarkozy, qui leur avait confié une mission "pour assainir la filière du médicament", selon les termes du député UMP de Paris, ainsi qu'au ministre de la Santé, Xavier Bertrand.

 

Il s'agit, disent-ils, de "parler clair".

 

Pour les deux médecins, qui décrivent "un monde clos, fermé sur lui-même", "l'affaire du Mediator est beaucoup plus qu'un accident isolé, ne concernant qu'un laboratoire sans éthique". Il faut donc procéder à "une réforme complète des structures" et de leur fonctionnement, pour que cette affaire soit "le starter d'un véritable tournant".

 

Ils prennent particulièrement pour cibles la Haute autorité de santé (HAS), qui veille à la qualité de l'information médicale et suggère, par sa Commission de transparence, quels médicaments devraient être remboursés, et l'Afssaps (agence de sécurité sanitaire des produits de santé), dont la HAS a du mal à se démarquer.

 

"Meccano incompréhensible" avec "98 structures entrecroisées communiquant mal ou pas du tout", l'Afssaps doit changer de nom et être complètement remaniée. Ils relèvent qu' il y est beaucoup plus facile d'autoriser un médicament, ce qui nécessite seulement une "probabilité statistique de bénéfice/risque positif", que de le retirer du marché, où "il faut apporter la preuve absolue de sa toxicité".

 

"Un système où le principe de précaution fonctionne à l'envers, au bénéfice des industries et non des patients", disent les rapporteurs.

 

La Commission d'autorisation de mise sur le marché -qui n'a à voir que pour 20% des AMM des médicaments, le reste étant du ressort de l'Europe- est particulièrement critiquée, avec ses 28 membres "choisis sur des critères très contestables" et selon "des procédures opaques très choquantes", qui ne travaillent que "sur la seule base des dossiers fournis par l'industrie".

 

Les conflits d'intérêts sont monnaie courante, les auditions des experts ne sont pas publiques, les compte-rendus de séance sont "peu fidèles". "De nombreux membres ignorent presque tout du dossier sur lequel ils votent, et même de la pathologie en cause".

 

Quant à la Commission de pharmacovigilance, chargée de gérer les alertes éventuelles sur les médicaments, elle agit selon une procédure "extraordinairement lente", qui constitue "un véritable gymkhana, une course d'obstacles et de montagne par étapes, qui privilégie clairement l'intérêt des firmes et non celui des patients".

 

Le rapport parle de "la totale faillite de l'Afssaps", qui "au-delà du Médiator a échoué partout" "parce qu'elle n'a jamais eu de directions d'envergure" mais surtout parce que c'est "une usine à gaz", "un labyrinthe dont rien ne peut sortir".

 

Les rapporteurs avancent plusieurs propositions.

 

D'abord modifier le choix des experts, dont ni "la compétence", ni "l'indépendance" ne sont à la hauteur de la tâche, recrutés "selon des procédures mal définies", basées "sur la cooptation, le relationnel". Ils plaident pour une réglementation de la surveillance des conflits d'intérêts vraiment appliquée, et pour la nomination de quelques superexperts.

 

La HAS doit être recentrée sur sa mission globale de guide de l'exercice de la médecine et de l'organisation des soins. Et la commission de transparence doit revenir à la nouvelle Afssaps qui serait chargée aussi bien de l'évaluation que de la surveillance du médicament.

 

Source: La Dépêche.fr

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2 avril 2011 6 02 /04 /avril /2011 00:00
Mineurs et vaccinés

Anne-Bénédicte BAILLEUX, mère de famille

 

7/09/2009 (La Libre Belgique)

 

 

On vaccine un peu comme on consomme. Avec frénésie. Et nul n'a le droit de résister... Les vaccins nagent à contre-courant de l'esprit du siècle : ils ne sont ni bios ni écolos.

 

La vaccination est considérée aujourd’hui comme le meilleur moyen de protection contre une série de maux susceptibles d’endommager gravement la santé. On vaccine contre tout (ou à peu près) : du rotavirus aux oreillons en passant par - bientôt - la fameuse grippe A/H1N1. Bref, on vaccine un peu comme on consomme. Avec frénésie. Et nul n’a le droit de résister

 

Ma fille fut accueillie, à l’aube de sa vie, par une nuée de fées aux doigts piquants mandées par le grand parrain, l’Etat-Providence, pour veiller sur les enfants-qui-jamais-ne-seront-malades. Leurs cadeaux ? Des poignées d’injections bienfaitrices dont le secret de fabrication, jalousement gardé par quelque firme pharmaceutique philanthrope, renfermait l’un ou l’autre trésor genre cellule de rein de singe (1) dotée d’une infime parcelle de virus SV40 et agrémentée d’un soupçon de mercure. Des ennemis XXL pour une armée de lymphocytes encore bien immatures. Un programme tout en douceur pour bien commencer une vie semée de dangers. Vous l’ignoriez ? Moi aussi, jusqu’à ce que la dame de l’ONE m’apprenne à quel point il est périlleux de vivre : un tétanos au coin d’une épine de rose, une coqueluche dans la cuillère du voisin, la rougeole partout dans l’air qu’on respire sans parler de l’hépatite B, si fréquente chez les petits.

 

Et si ma fille n’attrapait pas ces maladies ? Ou mieux, si vous étiez capable, Madame, de la guérir, le cas échéant ? "Les maladies infantiles tuent encore aujourd’hui !", vous offusquez-vous. Décidément, vos cordes vocales semblent ne vouloir vibrer qu’au son funèbre des vocables "danger" et "mort". Et les gens qui font des bronchites chroniques après un vaccin ? Les morts subites ou les enfants devenus autistes le lendemain d’une vaccination ? Ou les patients qui développent des cancers : de l’ADN contaminant contenu dans un vaccin est venu s’intégrer à leur génome et dérégler le fonctionnement de certains gènes. Ces tristes exemples n’illustrent-ils pas le fait que la vaccination aussi peut-être dangereuse ? Ces gens sont-ils à classer dans la catégorie des pauvres malchanceux, sacrifiés sur l’autel du bien-être collectif ? L’éthique, Madame, ne ferait-elle pas partie de vos préoccupations ? "Les vaccins d’aujourd’hui sont inoffensifs, leurs composants sont parfaitement contrôlés", vous fâchez-vous. Votre point de vue sur l’innocuité des vaccins d’aujourd’hui revient donc à admettre qu’hier, il y eut des vaccins moins bons. Vous reconnaissez ainsi le caractère hypothétique de la science qui se nourrit d’expériences. "La certitude dans le domaine des sciences est le plus sûr allié de l’obscurantisme", disait Popper(2). Le caractère scientifique de la vaccination ne serait-il pas en train de s’effilocher ? Comment pouvez-vous, Madame, affirmer que les composants d’un vaccin ne présentent aucun danger aujourd’hui alors qu’on ne dispose pas d’un recul suffisant pour en juger ? Et que répondez-vous à vote confrère, le docteur Reynders qui, dans "La Libre" du 31juillet, à propos de la grippe A, recommande de ne vacciner que les groupes à risque car "on manque de recul pour ses effets secondaires éventuels " On est d’ailleurs tenté de lui demander : "Pensez-vous vraiment qu’il soit raisonnable d’exposer des personnes particulièrement vulnérables à un vaccin qui risque d’avoir des effets nocifs sur leur santé déjà fragile ?"

 

Les vaccins nagent à contre-courant de l’esprit du siècle : ils ne sont ni bios ni écolos. On sensibilise aujourd’hui sur les dangers liés à ce que nous manipulons, inhalons et ingérons : phtalates, tabac, huiles végétales hydrogénées Se souciera-t-on un jour d’informer les gens sur ce qu’on leur injecte ? Mercure, aluminium, endotoxines. Cocktail explosif. A l’image des pesticides, les composants chimiques des vaccins colonisent nos organismes, s’y tapissent de longues années et y perturbent nos cellules. C’est ainsi qu’on voit germer, longtemps après, des nénuphars dignes d’un bon Boris Vian Mes propos sont inacceptables ? Il est plus confortable sans doute de courber l’échine pour se laisser administrer le prochain vaccin contre la grippe saisonnière. Savez-vous d’ailleurs qu’en vertu du principe de "péché originel antigénique", il n’est pas rare que ce vaccin stimule une mémoire immunitaire inadaptée à la souche saisonnière ? Serait-ce l’ignorance de l’Etat qui le pousse, en pleine récession, à offrir ses millions pour une vaccination qui reste controversée, même parmi les spécialistes ?

 

Il est regrettable, enfin, de voir tant de formules chimiques briser l’équilibre écologique du monde microbien. En allant à l’encontre de la puissante nature, les vaccins nous exposent à des dangers plus graves que ceux qu’on cherche à éviter. On veut éradiquer une bactérie ? Et on en fait fleurir une autre de la même famille ! Cela s’observe aujourd’hui entre autres avec les pneumocoques : on voit croître les infections dues à des sérotypes non contenus dans le vaccin.

 

J’entends les quolibets. Comment peut-on laisser publier de telles inepties ! La vaccination sauve des millions de vie. Possible. Mais elle en abîme aussi beaucoup. Le nier, c’est perdre son crédit de scientifique. Sans doute il est des cas où la vaccination est nécessaire, mais je ne crois pas qu’il soit souhaitable de voir tous les bébés du monde se faire inoculer tant de bacilles atténués. J’avais rêvé pour mon enfant d’une médecine moins peureuse et moins agressive, qui s’adresse à des individus et considère la maladie comme une épreuve nécessaire, même positive sur le parcours d’une vie. Il a maintes fois été démontré que nous n’avons pas la même capacité de réponse face à un agent pathogène. Comment peut-on affirmer dès lors que des vaccins standards conviennent à des individus uniques ?

   

Ce qui m’importe, en tant que maman, c’est de pouvoir choisir à quels risques je préfère exposer mon enfant : ceux liés à sa nature d’être humain vulnérable ou les risques liés à la vaccination. C’est une question personnelle et chacun devrait recevoir l’information suffisante qui lui permette d’y répondre librement, sans être jugé. Cela semble malheureusement impossible dans une société où, pour inscrire son enfant à la crèche, il faut rentrer le formulaire qui atteste qu’il est vacciné. D’autant plus impossible que le monde médical, dans une attitude de repli hostile, n’a que le mépris à offrir en guise de réponse aux médecins qui osent résister. On fait aujourd’hui le procès de l’intolérance mais on encourage la pensée unique. Même les journaux prennent l’autoroute : ils ont réservé dans leurs colonnes un espace pour alimenter la peur. La peur du danger imminent : un discours qui rapporte et qui fait avancer le troupeau dans la bonne direction. Dites-moi, Madame, dans un monde si dangereux, l’ONE recommande-t-elle encore d’avoir des enfants ? Ne faudrait-il pas inventer un vaccin ?

 

1. Substrat couramment utilisé dans la production des vaccins. 2. Philosophe des sciences, 1902-1994.

 

 

 

  

Témoignage d'Audrey. 21/03/2011 (lu sur Pharmacritique):

 

 

"Je comprends à 200 % la maman de ce petit garçon (ndlr: la maman acquittée en première instance à Tournai)

Je crois que notre histoire et notre parcours en matière de vaccination est emblématique du malaise éthique qui entoure aujourd'hui la question.

Cela fait totalement écho au courrier que j'ai envoyé la semaine dernière à une pédiatre qui a suivi mon fils.

Je vous en livre la teneur :

"Docteur,

Cela fait un certain temps pour ne pas dire un an que je voulais prendre la peine de répondre avec tact et mesure à votre courrier du 8 mars 2010 dont je vous remercie.

Je ne vous cache pas qu’il m’avait cependant fort contrariée car pour moi le sujet de la vaccination reste particulièrement sensible.

Je tiens à vous redire que je vous estime beaucoup et que vous avez été une des seules dans le monde médical à nous tendre la main et à nous aider. Aussi ne vous méprenez pas sur mon courrier qui ne vous vise pas personnellement, il est l’expression d’une colère avec laquelle j’ai du apprendre à vivre et que j’ai parfois besoin d’exprimer.

Nous avons pris bonne note de la pseudo « stratégie vaccinale » proposée par INFOVAC qui, de façon très curieuse, ne répond absolument pas au cas particulier et précis de notre fils.

Je ne cesse de me demander pourquoi n’y a-t-il pas d’individualisation du geste vaccinal qui est et demeurera toujours un acte médical à part entière engageant la responsabilité autant médicale que morale et éthique de celui qui le pratique.

Je regrette, en effet, de constater que des questions fondamentales restent et resteront probablement toujours sans réponse.

Je fais référence aux échanges de mails que nous avons eu il y a trois ans, que j’ai soigneusement conservés, aux termes desquels vous estimiez que « je posais de bonnes questions ». Pour mémoire je vous rappelle que je m’étonnais que le titrage des anticorps vaccinaux réalisés après les deux injections en bonne et due forme subies par mon fils montraient une absence totale de réponse vaccinale ce qui d’après tout ce que j’ai pu lire sur la question n’est pas normal.

Vous m’indiquiez alors qu’il n’y avait rien d’étonnant à cela puisque dénutri au moment des injections il n’aurait pas été en capacité de développer une réponse appropriée.

Or je rectifiais alors la chronologie des évènements vous rappelant que loin d’être dénutri au moment des injections sa courbe staturo-pondérale reflétait un bébé se développant au contraire au niveau des moyennes hautes.

Vous me faisiez alors part de l’hypothèse selon laquelle il est possible qu’une hypogamaglobulinémie ait pu préexister mais qu’on ne le savait pas.

J’en avais déduit avec horreur que finalement aucune précaution n’est donc prise à priori pour savoir si un tout petit bébé est en capacité de supporter la vaccination.

On nous a volé un bonheur auquel nous avions droit notamment en nous manipulant par la peur et en ne nous informant pas ou mal.

Dire que je pensais que le prevenar protégeait de la méningite bactérienne…ce que m’avait laissé penser la pédiatre, or tout ce que j’ai pu lire depuis sur la sujet a achevé de me convaincre que ce vaccin est bien plus une machine à cash qu’un réel progrès dans la lutte contre les méningites à pneumocoques ou les otites comme on a même tenté de nous le faire croire à un moment donné ! Mes neurones et mon esprit critique étaient malheureusement en sommeil à ce moment là.

Je vous rappelle que lorsque T a été vacciné il a été incapable de fabriquer des anticorps. Cependant absence de réponse vaccinale ne veut pas dire absence de réponse immunitaire (cf photos jointes = eczéma + intolérance au lait + diarrhées chroniques + dénutrition + asthme allergique….).

Son organisme n’a pas pu se défendre contre l’agression et semble en avoir été définitivement altéré mais on voudrait nous faire croire que c’est anodin, qu’il « conviendrait» de recommencer les injections sans autre précaution puis de voir ce qui se passe….j’avoue que quand j’ai reçu votre courrier je n’en suis pas revenue.

Voilà tout ce qu’on nous propose ! Je trouve cela tout à fait inacceptable pour ne pas dire indécent ! C’est comme si on niait notre cauchemar et nos souffrances.

Dans notre vie et celle de notre fils il y a eu un avant et un après la vaccination tout à fait traumatisant qui a nous changés à jamais.

Un avant avec un bébé en parfaite santé grandissant et grossissant parfaitement normalement et un après avec un enfant que nous avons vu dépérir et souffrir le martyr totalement impuissants, que avons cru perdre et qui souffre aujourd’hui d’allergies respiratoires qui bien qu’à peu prés maîtrisées restent malgré tout socialement largement invalidantes.

Je ne saurai vous décrire la culpabilité et la peine qui m’étreignent toujours prés de six ans plus tard lorsque j’entends mon enfant suffoquer assis sur son lit à deux heures du matin en pleine période de pollinisation, lorsqu’il se lève le matin épuisé, les yeux cernés parce qu’il a toussé toute la nuit, qu’il rentre en pleurant de l’école parce que les autres enfants se sont moqués des plaques rouges qui apparaissent et disparaissent de ses joues….

Sur le papier et dans la théorie quand on cherche à tout prix à se faire bonne conscience l’allergie c’est anodin, dans la vraie vie c’est autre chose. Je ne parle même pas des allergies comme l’arachide où les parents doivent vivre constamment avec la peur de la mort.

Je voudrai redire que je considère qu’il est parfaitement légitime de s’interroger sur l’incidence de la vaccination dans la gravité des pathologies du système immunitaire dont T a souffert ou souffre actuellement.

Personne ne m’empêchera de le faire, de le dire et de l’expliquer sans relâche autour de moi.

Je l’assume et je ne suis pas loin de le revendiquer. Je fais même des émules.

Nous ne sommes plus au moyen âge, la vaccination n’est pas un dogme qu’il est interdit de remettre en cause sous peine de passer pour un hérétique.

J’ai bien compris qu’il s’agissait là d’une piste qui ne serait jamais explorée et quiconque s’y risquerait se verrait immédiatement cloué au pilori. Dans ces conditions vous ne pouviez me faire d’autre réponse que celle de votre courrier du 7 mars de l’année dernière et croyez bien que je ne vous en tiens nullement rigueur.

Il n’en demeure pas moins que c’est pour moi intellectuellement et moralement intolérable.

Croyez-moi, j’ai depuis bien pris la mesure des rapports de force et des enjeux financiers liés à la vaccination massive mais je me demande au quotidien comment si j’étais médecin je pourrai me regarder en face chaque matin :

- En omettant de préciser aux parents que je leur prescris un vaccin pentavalent ou hexa avalent alors que seules trois valences sont légalement obligatoires
- En laissant croire aux parents que le prevenar est un vaccin qui protège de la méningite bactérienne
- En omettant de préciser aux parents que je leur prescris un vaccin hexavalent contenant l’hépatite B parce que c’est pénible d’avoir à répondre à des questions gênantes
- En piquant à la chaîne des centaines de bébés d’à peine quelques mois dont je connais rien du développement neurologique ou du statut immunitaire en me disant je pique d’abord et que je verrai ensuite… « un pourcentage de déchet » étant inévitable.
- En menaçant les parents qui souhaitent simplement différer un peu les vaccins de les mettre à la porte de mon cabinet
- En maniant cet argument redoutable de la psychose de la mise en danger de l’enfant pour emporter à tout prix la conviction de la nécessité de multiplier les injections
- En refusant d’agir avec circonspection lorsque je constate une éventuelle mauvaise réaction….

Je l’ai vécu personnellement ou au travers du récit de jeunes parents dont mon entourage est essentiellement composé. Je ne cesse d’être révoltée par ces pratiques.

A quand un vaccin contre le rhume ? Je suis sure que dans un avenir proche on arrivera à diaboliser et à faire peur avec les nez qui coulent à des fins mercantiles !!!

L’excès conduit toujours au rejet.

J’imagine qu’il doit falloir se répéter sans relâche qu’autant de « malhonnêteté » ne sert qu’à protéger l’humanité. Par curiosité j’aimerai vraiment savoir si les professionnels de santé qui se comportent de la sorte y croient vraiment ou s’il s’agit de se raconter une histoire pour pouvoir continuer à piquer à la chaîne sans se poser de questions. La pression est-elle si importante qu’il faille en arriver là ?

J’avoue que c’est une drôle de conception de l’éthique et que cela me paraît en totale contradiction avec la déontologie et la responsabilité médicale.

Une de mes amies vétérinaire individualise bien plus le geste vaccinal vis-à-vis des petits chiots ou chatons qu’elle voit en consultation, c’est assez stupéfiant quand on fait un parallèle avec la vaccination des nourrissons.

Bien sur les statistiques officielles démentent l’éventualité d’effets indésirables de la vaccination mais combien de cas comme celui de Théodore ne rentreront jamais dans les statistiques ?

On m’objectera que rien ne prouve que la vaccination soit en cause, à cela je réponds que de la même façon rien ne démontre qu’elle ne soit pas en cause puisque par principe cette piste n’est même pas investiguée.

Les récents développements dans le monde de l’industrie pharmaceutique n’ont fait que confirmer malheureusement que notre pharmacovigilance est totalement gangrénée par les lobbys pharmaceutiques et les compromissions de toutes sortes.

Je ne me reconnais pas dans les arguments des ligues anti-vaccinales extrémistes mais je réclame le droit d’être sujet et non pas objet dans la façon dont est appréhendée la santé de mes enfants auquel je souhaite offrir autre chose dans ce domaine que la roulette russe.

Les « piqueurs » ne sont pas les « payeurs », nous l’avons appris à nos dépens.

Je ne suis pas anti-vaccins.

Cependant je reprendrai confiance quand :

- je serai convaincue que nous avons une vraie pharmacovigilance
- que le geste vaccinal est individualisé
- qu’on ne m’assure pas avec aplomb qu’il n’existe aucune contre-indication et que les effets indésirables sont minimes et peu nombreux
- que je ne serai pas confrontée en permanence à des arguments non scientifiques constamment culpabilisants mais systématiquement irrationnels basé sur la psychose et qui n’ouvrent la voie à aucune discussion.

Vous le savez comme moi, aujourd’hui il n’est même plus possible de pratiquer les seuls vaccins obligatoires puisque le seul DTP a été retiré opportunément du marché il y a plus de trois ans.

Dès lors l’obligation existe mais les moyens matériels et la liberté de choix n’existent plus, ce qui pose un évident et grave problème juridique qu’il va bien falloir régler. D’autant que nous sommes avec l’Italie (et c’est loin d’être un exemple en matière de démocratie) le seul pays européen à connaître une situation aussi scandaleuse d’obligations extensives forcées.

J’ai la chance d’avoir fait du droit mon métier, ce qui me permet au moins de savoir exactement à quoi je suis tenue et ce qu’on ne peut m’imposer.

Il suffit de parcourir 80 kilomètres et de passer la frontière suisse où il n’existe pas d’obligation vaccinale pour se procurer la forme pédiatrique d’un monovalent tétanos pour les nourrissons sans que les médecins ou les pharmaciens ne trouvent la demande saugrenue ou impossible à satisfaire.

Pour conclure, je dirai simplement que ce n’est pas donné à tout le monde d’avoir le courage d’une Irène Frachon. Je ne suis pas sure que j’en aurai moi même le cran si j’étais concernée….

Je vous prie de croire, docteur, à l’assurance de toute ma considération."

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29 mars 2011 2 29 /03 /mars /2011 22:34

La Cour européenne des droits de l'Homme (CEHD) a condamné ce mardi la Belgique pour atteinte à la liberté d'expression, dix ans après que la justice eut interdit à la télévision publique RTBF de diffuser un reportage, à la demande d'une personne mise en cause. Cela consacré l'interdiction en Belgique de toute censure préventive en matière audiovisuelle.

 

L'affaire concerne un reportage d'investigation qui devait être diffusé le 24 octobre 2001 dans l'émission de la RTBF "Au nom de la loi", qui était consacré aux risques médicaux et aux difficultés de communication entre médecins et patients.

 

Un neurochirurgien, qui s'estimait injustement et gravement mis en cause dans ce reportage, avait obtenu d'un tribunal de Bruxelles, statuant en référé, qu'il en interdise la diffusion - alors même qu'il n'avait intenté aucune action contre des journaux qui avaient également relayé des accusations à son encontre.

 

A l'époque, la RTBF avait crié à la "censure". Elle avait contesté cette décision en appel puis en cassation, en vain : la justice belge avait considéré que les juges des référés avaient le droit d'ordonner des restrictions préventives à la liberté d'expression dans des "cas flagrants de violation des droits d'autrui".

 

Cette analyse a été rejetée mardi par les juges européens: la convention européenne des Droits de l'homme, observent-ils, stipule que les restrictions à la liberté d'expression ne sont possibles que si elles sont clairement "prévues par la loi". Or en l'espèce la loi et la jurisprudence belge sont trop imprécises en la matière, estime la CEDH.

 

L'Etat belge a violé le principe de la liberté de la presse

 

De plus, l'interdiction a priori d'un reportage doit s'inscrire "dans un cadre légal particulièrement strict", car "l'information est un bien périssable dont l'intérêt est susceptible de pâtir même du plus petit retard", a ajouté la Cour de Strasbourg. La Belgique a donc violé la convention européenne des Droits de l'Homme et le fera, selon la jurisprudence définie par l'arrêt, chaque fois qu'un juge belge interdira préventivement la diffusion d'une émission audiovisuelle qui pourrait violer les droits d'autrui. Cela implique que, dorénavant, toute juridiction belge saisie sur ce point devrait se déclarer incompétente. Sauf si la Belgique modifie sa législation.

 

"La RTBF est particulièrement satisfaite de cette décision", a indiqué mardi Stéphane Hoebeke du service juridique de la chaîne publique.

 

En droit belge, il est interdit de pratiquer des censures avant diffusion comme indiqué dans l'article 25 de la Constitution belge, explique Stéphane Hoebeke. Cet article stipule que "la presse est libre, la censure ne pourra jamais être établie". Cette décision de la CEDH signifie donc que l'Etat belge a violé le principe de la liberté de la presse et donc la liberté d'expression de la RTBF; de même que la Convention européenne des droits de l'homme, explique encore le juriste.

 

La thèse de l'interdiction de toute censure préventive en matière audiovisuelle, défendue devant les tribunaux belges par les avocats de la RTBF, est consacrée ainsi par la Cour européenne des droits de l'Homme. La Cour n'octroie pas de dommages et intérêts à la RTBF, car elle juge que "le constat de violation suffit à compenser le préjudice subi". L'Etat belge devra seulement s'acquitter des frais de justice.

 

A.L. avec AFP

 

Source: RTBF INFO

 

 

 

loupe

- Le reportage concernait "les risques médicaux". Tiens, tiens, nous ne serons guère étonnés des enjeux...

 

- La justice belge avait approuvé la censure, aux différents degrés d'instances (1°, appel, cassation).

 

- La Cour européenne rappelle que "l'information est un bien périssable dont l'intérêt est susceptible, même du plus petit retard". C'est en effet, fort utile de le rappeler car la Cour d'Appel de Bruxelles, souvenons-nous en, avait débouté notre demande de publication du Contrat secret d'achat des vaccins H1N1 au prétexte ahurissant qu'il s'agissait là d'une "demande non urgente"!!

Toutes les personnes qui auraient invéitablement choisi de ne pas se faire vacciner à la lecture de ce texte indigne, honteusement signé par notre gouvernement, apprécieront...

 

- L'Etat belge n'en serait pas à son coup d'essai s'il devait s'agir de "modifier sa législation". C'est du reste ce qui est en tout cas envisagé par des personnalités politiques comme Mme Onkelinx ou Mr Richard Miller afin d'arriver à maintenir envers et contre tout l'obligation vaccinale anti-polio, en dépit du jugement pourtant extrêmement clair, rendu par le tribunal correctionnel de Tournai.

Ce jugement, qui donne une priorité logique à la loi de 2002 sur les droits du patient par rapport à l'arrêté poussiéreux de 66 sur l'obligation vaccinale, dérange visiblement assez bien le monde politique qui n'a apparemment pas trop de scrupules à la démanteler.

 

Comment s'en étonner? Il y a une petite dizaine d'années, une maman belge avait attaqué les autorités en justice en raison des exigences scandaleuses et abusives de l'ONE pour l'accueil en crèches. Les parents avaient attaqué pour absence de base légale à de telles exigences.

Ils ont été déboutés. En revanche, peu après, la Communauté française a pondu un arrêté portant règlementation des milieux d'accueil, en février 2003, afin d'avaliser ces exigences et d'éviter que d'autres parents ne réattaquent pour la même raison juridique.

Toutefois, il semble bien que ce très artificiel pare-feu dont la Communauté française a voulu doter l'ONE, est en train de s'effriter inéluctablement. Quand on sait que l'équivalent flamand de l'ONE, Kind en Gezin, n'impose pas ces 7 autres vaccins et qu'ils ne connaissent pas plus d'épidémies, il faut d'urgence faire savoir à l'ONE que ses exigences sont aussi anti-scientifiques qu'anti-démocratiques.

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29 mars 2011 2 29 /03 /mars /2011 22:06

Alors que l'on nous a seriné, pendant des années, que les doutes sur les vaccins n'avaient pas lieu d'être, "que ces produits étaient parmi les plus sûrs", que le corps médical est en majorité en faveur des vaccins et que les populations sceptiques sont très minoritaires et soit-disant d'origine sectaire, une enquête-choc de l'INPES (tellement choc d'ailleurs qu'elle en est restée NON PUBLIEE) démontre tout le contraire.

 

L'INPES (Institut National de Prévention et d'Education à la Santé) a en fait réalisé, en 2005, avec l'Institut de Sondage BVA, une enquête auprès d'un échantillon représentatif de 400 médecins français, généralistes et pédiatres afin d'évaluer leur perception de l'utilité et de la sécurité des vaccins. Les résultats sont si éloquents qu'il fallait, bien entendu, tenter au maximum, d'en dissimuler les résultats au  public....

 

58% des médecins se posent des questions sur l'utilité des vaccins donnés aux enfants.

 

31% des médecins se posent des questions sur la sécurité des vaccins.

 

La référence à cette enquête est donnée, très confidentiellement, aux praticiens dans le document de l'INPES intitulé "Vaccinations, Guide pratique pour le praticien" et est notée comme suit: "BVA. Étude sur les vaccins pédiatriques auprès des médecins généralistes et des pédiatres.  2005 : p. 31 – non publiée."

 

EST-CE VRAIMENT NORMAL, démocratiquement parlant, que de tels résultats soient demeurés aussi longtemps aussi confidentiels?

 

Car, pendant ce temps, la plupart de ces médecins QUI DOUTENT soit de l'utilité soit de la sécurité ont fort probablement continué à vacciner aveuglément de peur de faire part publiquement de leurs doutes, en commençant par leur patientèle!!!

 

Si ces médecins ont ainsi accepté de donner franchement leur avis dans ce type d'enquête, c'est bien entendu parce qu'ils ont forcément dû recevoir une garantie absolue d'anonymat.

 

L'omerta est si forte que, dans les faits, hélas, c'est toujours le sinistre "Faites ce que je dis, pas ce que je fais" qui prévaut. Au détriment du patient bien sûr et de son droit à un consentement libre et éclairé.

 

Il n'en reste pas moins qu'avec de tels chiffres, plus aucune obligation vaccinale d'aucune sorte ne saurait encore trouver la moindre légitimité scientifique ou démocratique.

 

(voir en page 12 du livret de l'INPES (14 du curseur pdf) et en page 35 du livret (37 du curseur pdf)… « non publiée » !)

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29 mars 2011 2 29 /03 /mars /2011 21:30

Le titre est de nous, bien entendu. Car il est somme toute fort peu probable qu'une revue bourrée de publicités en faveur de l'industrie pharmaceutique ait osé ce genre de titre...

 

Voici ce qu'on pouvait lire dans le Généraliste du 27 janvier 2011:

 

 

"Moins mystérieux- et probablement moins étonnants également: les résultats d'une étude qui s'intéressait au taux de vaccination chez les travailleurs de la santé de trois hôpitaux américains, et qui étaient tenus de se fare vacciner contre la grippe. Les personnes qui refusaient se voyaient remettre l'équivalent de notre C4 en guise de remerciement. Le refus de vaccination était cependant accepté lorsqu'il était motivé par des raisons médicales ou religieuses. Environ 1,1% de l'ensemble du personnel a bénéficié de cette mesure et n'a donc pas été vacciné. Le taux de vaccination obtenu était donc excellent, mais l'épée de Damoclès pointée par les autorités locales enlève toute valeur à ce chiffreLa vaccination quasi-obligatoire a d'ailleurs été à l'origine de plusieurs dizaines de procédures en justice de la part de médecins et de paramédicaux. Entre-temps, l'imposition de la vaccination a été mise en veilleuse."

 

Force de conviction

 

"Quoi qu'il en soit, le taux de vaccination anti-H1N1 des femmes enceintes n'était pas extraordinaire aux USA l'année dernière: à peine 33%. Chez les médecins généralistes, une enquête a montré les raisons principales de la faiblesse de ce taux: ils ne seraient pas souvent les premiers à parler de cette prévention vaccinale à leurs patients. Et dans l'affirmative, ils semblaient peu convaincus de l'intérêt réel de cette vaccination. De plus, ils ne répondaient pas toujours correctement aux questions qui leur étaient posées au sujet de la sécurité et de la composition de ces vaccins."

 

 

 

loupe On remarque plusieurs choses qui ne vont pas:

 

- On impose une vaccination "à la soviétique" avec un taux de + de 98% artificiellement atteint. Ce qu'on ne dit cependant pas, c'est combien de malheureux travailleurs seront malades à court, moyen ou long terme, des suites d'une telle vaccination. Là encore, ils seront probablement licensiés et ces dégâts passés sous silence.

 

- Malgré cette obligation scandaleuse et totalement contraire à la dignité humaine et au consentement éclairé ("informed consent"), on remarquera qu'il existe des contre-indications médicales ou religieuses OR, ici chez nous en Belgique, les autorités publiques ont traîné les parents du petit Olivier à Tournai devant le tribunal correctionnel pour non vaccination polio alors qu'ils disposaient de certificats de contre-indication médicale....

 

- Lorsqu'il s'agit de leur santé, certains médecins acceptent de sortir de l'omerta et osent dénoncer, chose qu'ils n'osent pas faire dans la pratique quotidienne, en ce qui concerne la vaccination de leurs patients!

 

Beaucoup de médecins pensent tout bas ce que nous disont tout haut mais ils sont beaucoup trop peu à oser le dire, de peur de perdre leur situation ou qu'on leur fasse des ennuis.

Beaucoup disent nous soutenir totalement et nous remercient pour ce travail de démocratie, de transparence et d'éclaircissement. Beaucoup mènent un combat discret mais déterminé que rien ne pourra désormais arrêter.

 

Toutefois, il semble évident que tout système mafieux et coercitif prospère sur un terreau similaire appelé "OMERTA". Pas d'omerta, pas de mafia.

Dès lors, si chacun dénonce, à son échelle, les abus dont il se sent victime en tant que citoyen, patient ou médecin, le risque de pression et d'intimidation sera minime sur le plan individuel tandis que le bénéfice sera énorme pour l'ensemble de la collectivité.

En cela, on peut dire que ce genre d'"immunité citoyenne collective" contre les abus en tous genres est, de loin, bien plus utile que ne le sera jamais telle ou telle "protection vaccinale collective" contre la grippe ou autre....

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29 mars 2011 2 29 /03 /mars /2011 20:27

Alors que la revue médicale "Le Généraliste" du 20 janvier 2011 expliquait déjà que:

 

"[...] Le programme de vaccination des enfants (contre la grippe) ne se déroule pas vraiment comme espéré outre-Manche.[...] La situation est meilleure du côté des adultes, grâce à la possibilité qu'ont les pharmaciens de certaines régions de réaliser eux-mêmes la vaccination. Celle des enfants se fait lors de rendez-vous spécifiques chez le médecin généraliste, mais il semble qu'il ne s'agisse pas là d'une priorité au sein des grandes pratiques de groupe.[...] Le National Health Service a cependant révélé que, cette année encore, les pharmaciens se verraient offrir une formation complémentaire pour vacciner les enfants contre la grippe au cours de l'hiver prochain."

 

La même revue, toujours sous la plume de David Desmet, titre, dans son édition du 10 février 2011: " Le plan vaccinal britannique se plante."

 

Chose très intéressante, on en apprend plus dans cet article sur les vraies raisons de ce ratage. C'est ainsi qu'on peut lire:

 

"[...]Comme nous l'avions signalé précédemment, la vaccination des enfants contre la grippe saisonnière ne se déroule pas comme prévu. De nombreux médecins généralistes.estiment ne pas être compétents pour la réaliser; d'autres évoquent le manque de temps, principalement des cabinets de groupes qui déplorent un "manque de personnel".

 

Et surtout ceci:

 

"Le plus gros problème rencontré par les généralistes outre-Manche est qu'ils doivent commander eux-mêmes les doses vaccinales auprès des fabriquants. Les autorités (et plus précisément le Ministère britannique de la Santé) n'interviennent pas dans le processus. [...] La raison invoquée par les autorités britanniques pour remettre la vaccination antigrippale entièrement entre les mains des médecins généralistes tient dans le fait qu'elles ne les conseillent qu'à des groupes à risque bien déterminés, et qu'elles considèrent le généraliste comme la personne idéale pour identifier et assurer le suivi des personnes concernées. Chaque médecin est donc supposé capable d'estimer parfaitement la quantité de doses vaccinales dont il a besoin et d'organiser la vaccination de ses patients."

 

Dans le même article de cette revue médicale, non accessible au commun des patients, on peut aussi lire que le Pr Salisbury, célèbre vaccinologue britannique et ardent défenseur de l'industrie pharmaceutique, plaide pour que "la campagne de vaccination contre la grippe saisonnière soit coordonnée par le Ministère de la Santé."

 

"A ce stade, il ne semble pas que les autorités réagiront favorablement à la demande du Pr Salisbury. Le gouvernement britannique entend avant tout ne pas ou ne plus vivre au-dessus de ses moyens, et le transfert de la responsabilité vaccinale n'est donc à l'ordre du jour d'aucun agenda politique."

 

 

   

TOUBIBDECODAGE:

 

Le peu de succès de cette campagne tient au fait que la caution publique fait défaut. Comme nous l'avions déjà expliqué, la caution publique (officielle) est IN-DIS-PEN-SA-BLE pour l'industrie pharmaceutique.

 

C'est grâce à cet apparent "blanc-seing public" que nombre de citoyens sont ainsi dans la croyance que cette vaccination est vraiment utile ou importante.

 

Lorsqu'il s'agit de s'adresser directement à l'industrie, il y a forcément moins de succès car le caractère purement commercial de cette vaccination apparaît beaucoup plus nettement aux yeux des citoyens. En outre, vu les effets secondaires nettement plus nombreux que ce que pourrait croire un public non averti, il est bien évident que les autorités britanniques préfèrent s'en laver les mains et se décharger de cela sur les médecins. Ceux-ci, s'étant bien sûr rendu compte de "ce transfert de responsabilité vaccinale", ils ne sont guère enchantés à l'idée d'être poursuivis par diverses victimes.

 

Il n'est donc guère étonnant que le vaccinologue en question, ardent défenseur des intérêts des industriels, soit partisan d'un retour aux vieilles méthodes du passé avec finalement toute la responsabilité en cas de problèmes sur l'état et surtout sur les citoyens et tous les bénéfices pour les industries concernées!

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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