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29 mars 2011 2 29 /03 /mars /2011 19:06

C’est confirmé: le pandemrix, vaccin en prévention de la grippe H1N1, augmente de quatre fois le risque de narcolepsie chez les enfants et les adolescents.

 

L’Agence des médicaments en Suède1 , dans une étude commune avec entre autres Karolinska Institutet et plusieurs régions de la Suède, arrivent à la conclusion que le pandemrix causerait la narcolepsie, particulièrement chez les enfants. Le pandemrix est un vaccin en prévention de la grippe H1N1 et une trentaine de millions de personnes se le sont fait injecter, parmi elles beaucoup d’enfants.

 

On a comparé les cas de narcolepsie déclarés entre deux groupes, soit les enfants et les adolescents vaccinées et les non vaccinés. Pour le groupe des vaccinés, on a remarqué que 0.97 cas sur 100 000 de narcolepsie ont été rapportés. Chez les vaccinés, c’est 4.06 cas sur 100 000 personnes. Donc, le risque de se faire diagnostiquer la narcolepsie est quatre fois plus élevé si l’on a été vacciné avec le pandemrix.

 

Rappelons que le pandemrix est fabriqué par Glaxosmithkline et est en quelque sorte l’équivalent de l’arepanrix du Canada. Le pandemrix avait été approuvé par la Commission européenne le 29 septembre 2009.

 

La narcolepsie

La narcolepsie, selon la Revue médicale suisse2 , est un trouble primaire du sommeil. La est une dyssomnie chronique avec présence d’une hypersomnolence due à des attaques irrésistibles de sommeil survenant plusieurs fois par jour, ayant une durée de quelques secondes à plusieurs minutes. L’hypersomnolence ne doit pas être confondue avec une fatigue chronique, dans laquelle il n’y a pas d’endormissement. Ainsi, entre risquer une bonne grippe ou d’être pris avec la narcolepsie, plusieurs préféreront la grippe. Il sera difficile de convaincre les gens de se faire vacciner la prochaine fois.

 

Notes et références

 

1.  lakemedelsverket.se []

2.  Narcolepsie: le point actuel []

 

 

Source: Sante.ameriquebec

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29 mars 2011 2 29 /03 /mars /2011 18:54

Communiqué de presse du 28 mars 2011 (ULB). Extrait

 

Grippe aviaire H5N1 : les zones à risque en Chine se précisent  

 

 

"Ces résultats montrent que les régions à risque de circulation de la grippe aviaire sont beaucoup plus restreintes que ce que l’on pensait précédemment et offrent ainsi des perspectives nouvelles pour orienter la surveillance et les interventions de contrôle."

 

Voir l'ensemble du communiqué ICI  

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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19 mars 2011 6 19 /03 /mars /2011 20:45

Alors que ce qui se passe au Japon est une véritable catastrophe (le mot est faible) et que le Commissaire européen à l'Energie avait même, très tôt, parlé d'"apocalypse", l'OMS, elle minimise.

 

A la fin, il ne faut plus s'en étonner. Après avoir minimisé tous les risques des vaccins, quels qu'ils soient (ceux contre le H1N1 ou les autres), ceux des OGM et les effets néfastes des ondes électromagnétiques sur la santé, l'OMS remet ça avec les dégâts incommensurables du nucléaire.

 

Ainsi, le 14 mars soit 4 jours après le début de la catastrophe, le porte-parole de l'OMS, Gregory Hartl affirmait:

 

"Les risques pour la santé publique causés par les fuites radioactives survenues dans des centrales nucléaires au Japon sont minimes."

 

ou encore:

 

"D'après ce que l'on sait pour l'instant sur les niveaux de radiation, le risque de santé publique est minime pour le Japon."

 

"Cela veut dire que si quelqu'un est touché, les risques ne sont pas très grands", a-t-il précisé

 

M. Hartl a souligné que "très peu" de radiations "se sont échappées des vapeurs" des réacteurs nucléaires endommagés au Japon. "En plus, a-t-il ajouté, tout le monde était déjà évacué" lorsque les différents incidents ont été enregistrés.

 

Selon l'OMS, pour l'instant 22 personnes résidant dans les environs de centrales nucléaires ont enregistré de "faibles niveaux de radiation".

 

Pour rappel, c'est la même personne (Mr Hartl) qui affirmait que l'OMS n'avait rien à cacher au cours de la saga du H1N1 et qu'il était tout à fait normal, selon lui, que l'OMS emploie les "meilleurs experts" qui sont inévitablement liés à l'industrie, avait-il dit en substance.

 

Le 18 mars soit 4 jours plus tard encore, l'OMS continuait de s'obstiner en ne conseillant toujours pas d'annuler les voyages au Japon!

 

Le même porte-parole de l'OMS, Gregory Hartl, a déclaré que l'organisation «ne suggérait pas de restrictions des déplacements vers le Japon» à l'extérieur de la zone d'exclusion de 30 kilomètres autour du complexe nucléaire de Fukushima.

 

M. Hartl a indiqué que cela comprenait Tokyo, où «les niveaux de radiation ont très légèrement augmenté, mais se situent toujours bien en bas des niveaux absolus où cela représenterait un danger pour la santé publique».

 

Le porte-parole a poursuivi en précisant «qu'en ce moment, le risque pour la santé publique à l'extérieur de la zone d'exclusion est petit».

 

Il a ajouté «qu'en général, les voyageurs revenant du Japon ne représentent pas un risque médical».

  

Vendredi, des responsables japonais ont reclassé à la hausse le niveau de l'incident nucléaire à la centrale de Fukushima, du niveau quatre au niveau cinq sur une échelle de sept, soit l'équivalent de l'accident de la centrale de Three Mile Island en 1979. Selon cette échelle, un accident de niveau quatre a des conséquences locales, tandis que le niveau cinq implique des conséquences plus importantes.

 

Affiche OMS-AIEA

D'où vient un discours aussi peu crédible et en tel déphasage avec la réalité des faits? Du mariage entre l'OMS et l'A.I.E.A.

 

L'OMS ne peut prendre aucune position ou tenir le moindre discours en matière d'impact du nucléaire sur la santé sans l'accord de l'A.I.E.A. En d'autres mots, elle obéit au lobby du nucléaire (comme elle a obéi aux lobbies pharmaceutiques pour les vaccins).

 

Ce mariage mortel et mortifère pour la santé publique explique donc ces propos absurdes et irresponsables.

 

Car il faut en effet se souvenir que l'OMS avait estimé à 56 le nombre de morts directs dus à Tchernobyl là où le Ministère de la Santé ukrainien l'avait chiffré entre 50 000 et 150 000 dans un document datant de 1995 (comme rapporté par Wikipédia mais cela a fini par être censuré sur leur site, peu après la parution de cet article.)

 

L'OMS modifie donc ses alertes et ses prises de positions aux gré de ceux qui la paient ou à qui elle est liée pour le meilleur mais surtout pour le pire.

 

Tantôt des dangers sérieux comme ceux d'une vaccination expérimentale à l'échelle mondiale ou d'un nouveau Tchernobyl sont minimisés tantôt la grippe H1N1 est présentée comme une "urgence sanitaire".

 

En fait, l'OMS se permet de jouer avec les pieds des citoyens. Constamment. Et ceci ne s'arrêtera pas tant que les citoyens n'auront pas compris le caractère douloureusement répétitif des scandales avec, à chaque fois, comme point commun, les conflits d'intérêts. Réagissons, nous le valons bien!

 

OMS-AIEA.jpg

 

Sources: Les Echos, Cyberpress.ca et Wikipedia.

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18 mars 2011 5 18 /03 /mars /2011 00:28

Tout d'abord, puisqu'il s'agit d'une "interview croisée", voici ICI, celle du Pr José Ramet, Président de la Société belge de Pédiatrie.

 

Ensuite, la nôtre, ICI.

 

Enfin, nous avons écrit à La Libre et au Pr José Ramet afin de leur faire part de notre réaction aux propos de ce dernier.

 

Nous avons tenu à rappeler que nous sommes bien plus pour la liberté et le droit à l'information que contre les vaccins (car nous n'avons rien à y gagner).

 

Mais que, compte tenu d'inexactitudes scientifiques flagrantes dans les propos attribués au Pr Ramet, nous souhaitions en tenir informés les lecteurs de ce journal, preuves scientifiques à l'appui.

 

Voici donc, ICI, notre réaction aux propos du Pr Ramet (La Libre du 17 mars 2011).

 

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16 mars 2011 3 16 /03 /mars /2011 20:22

16.03.2010

 

Depuis ce mercredi et l’acquittement d’un jeune couple de Lessinois au tribunal de Tournai, le vaccin contre la poliomyélite n’est plus obligatoire en Belgique.

 

La décision rendue, ce mercredi midi, par le tribunal de Tournai implique que le vaccin contre la poliomyélite n’est plus obligatoire en Belgique. Pour rappel, la justice reprochait à un couple lessinois de ne pas avoir fait vacciner leur enfant contre la polio. Le couple a été acquitté ce mercredi, ce qui a pour conséquence directe d’annuler la loi de 1966. Désormais, c’est la loi de 2002 qui prévaudra. Celle-ci donne le droit aux patients de se faire vacciner ou non. La décision rendue par le tribunal de Tournai pourrait également avoir des répercussions en France, désormais seul pays où le vaccin est obligatoire.



 Source: Sud Presse

 

 

 
 
Chaque année des centaines de parents oublient ou se font tirer l'oreille pour finalement obtempérer, mais les parents d'Olivier, eux, n'ont pas voulu céder. Leur avocat, Philippe Vanlangendonck, explique qu'ils exigent avant tout des informations sur le produit qu'on injectera à leur enfant. "Ils demandent des précisions et surtout des assurances permettant d'être rassurés par rapport à certaines craintes concernant la composition du vaccin puisqu'il contient certains produits comme du formaldéhyde qui sont à considérer comme produits toxiques et cancérigènes".

 

Et puis il y a ces effets secondaires que d'autres scientifiques soulèvent régulièrement. Enfin, les parents ne s'expliquent pas pourquoi ce vaccin est obligatoire en France, en Belgique, mais ne l'est plus en Allemagne ou au Pays Bas.

 

Les parents d'Olivier eux ont donc enfreint une loi de 1966. Ils devaient connaître leur sort ce mercredi. Le tribunal a prononcé leur acquittemment.

 

Un jugement qui pourrait faire jurisprudence



Si le parquet ne va pas en appel, l'affaire pourrait faire jurisprudence. Le tribunal a donc acquitté la maman du petit garçon, considérant que le droit du patient, était prioritaire sur la loi de 1966, la loi qui rend ce vaccin obligatoire. Le droit du patient lui est inscrit dans une loi de 2002, il consacre le droit à l'information nécessaire pour obtenir le consentement éclairé du patient ou de sa famille avant tout acte médical. Et c'est bien ce que demandait la maman d'Olivier, une information complète sur la nature du produit injecté et sur les conséquences, les effets secondaires du vaccin. Ce qu'elle n'a pas pu obtenir. Le tribunal ordonne aussi qu'on apporte des réponses aux différentes questions que les parents se posent légitimement. Cet acquittement pourrait donc mettre un terme à l'obligation de vacciner contre la polio, une maladie qu'on n'a plus détectée en Belgique depuis 1979.



L'Allemagne, les Pays-Bas et la Grande Bretagne ont déjà retiré le vaccin contre la polio de la liste des vaccins obligatoires, ce qui n'est pas le cas de la France et de l'Italie."



M. Delporte (extraits)

 

Source: RTBF INFO

 

 

"La justice avait été saisie par le ministère fédéral de la Santé.
 
Pour le ministère public, la loi de 1996 doit être respectée.
 
Le tribunal a estimé pour sa part qu'une question préjudicielle mérite d'être posée devant la Cour de justice européenne."

 

Source: Belga & 7 sur 7 

 

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15 mars 2011 2 15 /03 /mars /2011 20:54

8 mars 2011

 

Les méta-analyses occultent les liens entre des chercheurs et des sociétés pharmaceutiques

 

Ce communiqué est disponible en anglais.

 

Des conflits d'intérêts financiers se glissent par la porte arrière dans des recherches pharmaceutique publiées, prévient une équipe internationale de recherche que dirigent des chercheurs de l'Institut Lady Davis de recherches médicales rattaché à l'Hôpital et de l'Université McGill de Montréal.

 

Les politiques et les ordonnances médicales sont de plus en plus dictées par des méta-analyses, soit des études d'essais qui combinent statistiquement les résultats de plusieurs essais pharmaceutiques individuels.

 

Dirigée par Dr Brett Thombs et Michelle Roseman, étudiante diplômée de l'Université McGill, l'équipe a constaté que de cruciales déclarations de conflits d'intérêts financiers liées à des essais pharmaceutiques individuels disparaissaient lorsque ces derniers étaient fondus dans une méta-analyse. Les conclusions des chercheurs seront publiées dans le numéro du 9 mars du JAMA (Journal of the American Medical Association).

 

Mme Roseman, l'auteure principale de l'étude, et le reste de l'équipe ont passé en revue 29 récentes méta-analyses de traitement pharmaceutique publiées dans des revues médicales à fort rayonnement. Ces méta-analyses comprenaient les résultats de 509 essais pharmaceutiques. L'équipe s'est penchée sur les sources de financement et les liens financiers entre l'industrie et les auteurs des 509 essais de même que sur la mention des sources de financement des essais qu'étudiaient les méta-analyses.

 

«Seulement deux des 29 méta-analyses mentionnaient la question du financement des essais pharmaceutiques initiaux, et celles-ci l'ont fait à des endroits très obscurs dans les articles publiés », précise Dr Thombs, psychologue et professeur adjoint au Département de psychiatrie de l'Université McGill.

 

«Aucune des méta-analyses n'indique si les chercheurs qui ont mené les essais étaient à l'emploi de l'industrie ou avaient touché des fonds de celle-ci

 

«La plupart des gens veulent que leur médecin choisisse leur traitement en s'appuyant sur des données scientifiques objectives de pointe, poursuit Mme Roseman. Les auteurs d'une méta-analyse devraient savoir qui finance les essais étudiés et évaluer le risque de partialité des conclusions en raison du financement des sociétés pharmaceutiques

 

L'équipe a repéré sept méta-analyses où tous les essais pharmaceutiques étudiés étaient financés, au moins en partie, par le fabriquant du médicament ou dont des chercheurs avaient des liens financiers avec la société pharmaceutique. Néanmoins, dans six de ces sept méta-analyses, aucune mention n'était faite du financement des essais pharmaceutiques.

 

«Le consommateur peut davantage être assuré de l'efficacité d'un médicament si au moins une évaluation indépendante le confirme, déclare Dr Thombs. Lorsque toutes les études existantes sont financièrement liées à une société pharmaceutique, il existe un risque de désinformation des patients et des médecins

 

«De nombreux chercheurs qui effectuent des méta-analyses ne semblent pas conscients de ces importantes questions, s'étonne Mme Roseman. Un sondage mené auprès des auteurs des 29 méta-analyses révèle que seulement sept déclarent avoir seulement noté les sources de financement des essais pharmaceutiques étudiés, et uniquement deux ont publié l'information. En outre, seuls deux auteurs ont noté les liens financiers entre les auteurs et l'industrie, et aucun n'a publié l'information.»

 

Dr Thombs, Mme Roseman et leurs collègues demandent la modification de la politique concernant la publication des données relatives aux méta-analyses d'un traitement pharmaceutique. «À moins que les auteurs d'une méta-analyse ne les fournissent au consommateur, ces données seront perdues, affirme Dr Thombs. Les patients et les médecins veulent cette information, et il est dans le meilleur intérêt de chacun que celle-ci soit disponible.»

 

« Peu de gens achèteraient un véhicule dont le rendement et la sécurité n'auraient été évalués que par le fabricant ou encore une maison sur la seule parole du vendeur sans une inspection indépendante, renchérit Dr Thombs. Pourtant, la plupart des médicaments que les gens consomment ont été évalués par les entreprises qui les fabriquent et tirent profit de leur vente. À tout le moins, les médecins et patients doivent savoir qui évalue l'efficacité et l'innocuité des médicaments prescrits. »

 

 
Source: Eurekalert

 

 

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11 mars 2011 5 11 /03 /mars /2011 14:48
You will find, below, different translations of a very important press release, all done by native speakers :
 
French/Français 
 
 
Dutch/Nederlands 
 
German/ Deutsch
 
SpanishEspañol
 
Italian/Italiano
 
Portuguese/Português  
  
 
If you want to listen directly to the horryfing words of Mrs Testori (EU Commission), please go to this link, choose your own language and fast forward to 11H47'13"":
  
  
image IC 29 juin 2010
               From left to right: Sophie Meulemans, Marie-Rose Cavalier, Dr Marc Girard and our
               two lawyers, Me Philippe Vanlangendonck and Me George Henri Beauthier. 
 
 
 
To know more about us/ Pour en savoir plus à notre sujet:
  

Initiative Citoyenne is a group of Belgian citizens and health professionals whose aim, since the beginning, has been to achieve greater transparency with respect to swine flu. We have filed through our lawyers, Me G.H. Beauthier and Me P. Vanlangendonck, a number of legal proceedings against the State in an attempt to get the vital answers to our initial questions. When, in May 2010, the secret vaccine purchase contract was made public, here in Belgium, it was clear to us how much of it was incompatible with democracy and human dignity. This disgraceful text, that forbids any analysis of vaccine ingredients (e.g. the adjuvant) and shields the manufacturers against potential claims from the victims, constitutes firm evidence that most of the health ministers throughout the world are insufficiently informed and worse still, not really concerned about public interest. Unfortunately, it appears that only money and profit count. When it comes to health, this is simply unacceptable. The Polish Health Minister has shown the world that political courage is really possible. With swine flu, public awareness has awakened across the world and various initiatives have been created in many countries. We have produced a small film to encapsulate our activities since the beginning of this saga and to give people the opportunity to know us better.

 

It would be a mistake to think that the swine flu saga is simply over. Nothing is really definitively over and as history is a process of constant renewal, we must pay careful attention, remain vigilant and understand that the future may bring more pandemics, so frequently announced but also so strangely predictable.

  

Initiative Citoyenne est un groupe de citoyens et de professionnels de santé belges qui essaient, depuis le début, d'obtenir plus de transparence dans le dossier du H1N1. Avec nos avocats, Me G.H Beauthier et Me P. Vanlangendonck, nous avons mené différentes actions en justice contre l'état afin d'obtenir les réponses à nos questions initiales. Lorsque le contrat secret d'achat de vaccins a été révélé en Belgique, en mai 2010, nous avons compris à quel point cela était indigne pour la démocratie et la dignité humaine. Ce texte scandaleux qui interdit par exemple de faire analyser les vaccins ou qui empêche les citoyens de se retourner contre le fabricant est la preuve que la plupart des ministres de la santé ne se préoccupent plus assez de l'intérêt du citoyen. Seul l'argent et le profit comptent. En matière de santé, c'est inacceptable. La Ministre de la Santé polonaise a, elle, montré au monde que le courage politique n’était pas un vain mot. 

Avec le H1N1, la conscience populaire s'est réveillée un peu partout dans le monde et différentes initiatives ont été menées dans différents pays. Nous avons réalisé un petit film qui synthétise nos actions et démarches jusqu'à présent afin que les gens puissent mieux nous connaître. 

Ce serait une erreur de penser que le H1N1, c'est du passé. Rien n'est jamais terminé et l'histoire n'est jamais qu'un éternel recommencement. Nous devons être vigilants et comprendre que l'avenir sera à d'autres "pandémies" tant annoncées et si étrangement prévisibles. 

 

 
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11 mars 2011 5 11 /03 /mars /2011 10:45

10 mars 2011.

 

Matthieu Perreault

La Presse

 

 

Les gouvernements devraient entamer dès maintenant la vaccination contre une souche grippale qui pourrait être à la source de la prochaine pandémie, la H2N2. Telle est la proposition faite ce matin dans le magazine Nature par trois chercheurs du prestigieux Centre de recherche sur les vaccins des Instituts nationaux de la santé des États-Unis.

Cette souche a notamment été responsable des pandémies de 1957 et 1968, qui ont respectivement fait 2 millions et 1 million de morts (70 000 et 35 000 victimes aux États-Unis, 10 fois moins au Canada). La pandémie H1N1 de 2009-2010 a fait 428 morts au Canada.

«La plupart des personnes qui sont nées après les pandémies de 1957 et 1968 n'ont pas de protection contre le H2N2», explique en entrevue téléphonique Gary Nabel, auteur principal de l'étude de Nature. «On a vu avec le H1N1 que c'est très risqué: les victimes sont souvent plus jeunes que pour la grippe saisonnière. On peut évidemment attendre que la pandémie se présente et faire des vaccins appropriés à ce moment, mais il peut y avoir des milliers de morts avant qu'ils ne soient prêts. Il faut aussi compter avec les difficultés logistiques et sociales d'une vaccination de masse d'urgence; plusieurs pays ont eu de la difficulté à convaincre leur population à se faire vacciner contre le H1N1.»

Selon le plan du virologue américain, les autorités pourraient vacciner quelques millions de personnes dans chaque pays chaque année contre la grippe H2N2, en utilisant le vaccin de 1968, pour créer une «immunité de masse» réduisant la contagion. Selon M. Nabel, vacciner 10 millions de personnes en Amérique du Nord coûte 250 millions en temps normal. À titre de comparaison, la vaccination contre la grippe H1N1 a coûté plus d'un milliard en 2009-2010, sans compter les subventions de mise au point du vaccin. «On connaît déjà les risques et la performance des vaccins de 1957 et 1968, alors on économiserait», avance M. Nabel.

Prudence au Québec

Au ministère de la Santé du Québec, la relationniste Noémi Vanheuverzwijn indique que les autorités québécoises attendent un signal de l'Organisation mondiale de la santé, qui n'a pas encore pris position sur le plan de M. Nabel. «Cette souche ne circule pas encore au Québec ou au Canada, dit Mme Vanheuverzwijn. Personne ne peut prédire la souche qui formera la prochaine pandémie. Ce qui est présenté dans Nature est une hypothèse

 Karl Weiss, microbiologiste à l'hôpital Maisonneuve-Rosemont, est tout aussi sceptique. «Honnêtement, je ne pense pas qu'on en est rendu à préparer la prochaine pandémie, dit le Dr Weiss. La nature nous dicte qu'il ne devrait pas y en avoir une prochainement, disons pour la prochaine décennie. Il est aussi très difficile de faire des prévisions. Tout le monde attendait la grippe aviaire H5N1 d'Asie, la H1N1 est venue du Mexique et du porc. Il ne faut pas oublier que la technologie de la vaccination a beaucoup progressé. On cherche à rendre le vaccin plus durable et à avoir d'autres formulations qui se développent plus rapidement, à moindre coût.»

Source: Cyberpress.ca

 

 

NB: Il est intéressant de mettre cet article en lien avec un autre, que nous avions récemment publié sur ce site, au sujet des stocks d'anciens vaccins H5N1 soit-disant encore très utiles en vue d'une prochaine pandémie si" certaine" semble-t-il...

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11 mars 2011 5 11 /03 /mars /2011 09:11
Condamnée pour "charlatanisme" parce que plusieurs de ses patients ne voulaient plus docilement se soumettre aux traitements anti-cancéreux classiques, ce médecin est accusé de ne pas avoir fait preuve de "suffisamment d'autorité" vis à vis de ceux-ci afin de les faire changer d'avis! Cela signifie donc que le médecin a le devoir de penser à la place du patient et que les chartes et lois sur les droits des patients sont foulés au pied quotidiennement, même par les plus grandes juridictions nationales et internationales:
 
 
 
"Il faut savoir une chose dont les gens n'ont absolument pas conscience c'est que Conseil de l'Ordre, corps médical, Sécurité sociale marchent main dans la main avec les lobbies pharmaceutiques ce qui veut dire que nous sommes dans un cadre et que nous n'avons pas le droit de sortir de ce cadre." Dr Martine Gardenal, présidente de la société des médecins homéopathes.
 
 
"Pour ces patients, c'était un choix personnel. Il y avait 3 personnes. Elles étaient toutes accusées de ne pas se soigner par allopathie. Sauf que, ce qui a toujours été occulté, deux d'entre elles avaient déjà reçu chimio, rayons etc et elles en étaient ressorties tellement mal et pas convaincues qu'elles avaient décidé de quitter ce milieu-là. Au moins dans un temps, faire une pause et puis après passer éventuellement à d'autres choses. Et donc finalement, il m'a été reproché un "manque d'autorité", c'est quand même incroyable! Et donc c'est à cause de ça que j'ai été accusée de charlatanisme."
 
"Kouchner avait fait passé une loi. Chacun était libre de décider de ce qui était bon pour lui ou pas bon pour lui. Mais ce que j'ai découvert après, c'est qu' en 2005, il y avait une loi qui était passée et qui disait que, quand un patient n'était pas dans le cadre de l'allopathie (= médecine classique ndlr), dans le cadre défini par l'Académie de Médecine, le Conseil de l'Ordre ET la Sécurité Sociale, c'est à dire le cadre allopathique, soyons clairs, quand un patient refusait de rentrer dans ce cadre et que nous, médecins, n'arrivions pas à le persuader de rentrer ou de rester dans ce cadre, nous avions l'obligation de le dénoncer par recommandé avec accusé de réception auprès de la Sécurité sociale ET auprès du Conseil de l'Ordre. Officiellement, c'est une mesure "pour nous protéger". Moi, j'appelle ça de la délation. Je ne suis pas née pendant la guerre mais ça me rappelle quand même des choses épouvantables que j'ai lues et entendues de la part de mes grands parents qui étaient résistants."
 
"Mme Kahn-Bensaude, qui est vice présidente du Conseil National de l'Ordre des médecins, qui a en charge tous les dossiers de charlatanisme, l'autre jour elle a été interviewée dans une émission sur Direct 8 sur les magnétiseurs et globalement ses propos étaient "il vaut mieux mourir scientifiquement que guérir empiriquement". C'est lourd et grave de conséquences. Ca mériterait pratiquement un procès. Parce que pouvoir tenir des propos comme ça, c'est se sentir investi d'un pouvoir absolument considérable et quand on est médecin, on n'a pas le droit de vie et de mort sur les gens. C'est ahurissant!"
 
"J'ai toujours exercé mon métier en mon âme et conscience, le plus efficacement possible. Je n'ai jamais hésité à dire à mes patients, "je ne sais pas" ou "je ne peux pas" parce que là aussi, il est important de connaître ses limites et moi, j'ai toujours su où étaient mes limites. Dans ces conditions, être accusée de "charlatanisme", c'est quand même un peu fort. On sait que les laboratoires pharmaceutiques ne jouent pas forcément le rôle qu'on s'attendrait à les voir jouer."
 
"A partir de 2006, j'ai accepté de parler, en me disant que j'allais rendre service à tous les confrères. Parce que je ne suis pas la seule dans ce cas. Je ne suis pas la seule à être  accusée, traînée dans la boue, montrée du doigt, diffamée, etc et je me suis dit qu'il fallait que mon procès serve à de  nombreux autres confrères et consoeurs pour pouvoir montrer comment nous sommes traités alors que nous exerçons pour le plus grand bien des patients et qui d'ailleurs le disent tous. C'est pour ça que j'ai accepté de répandre l'information et que j'ai expliqué l'histoire de mon procès."
  
Voir aussi: "Les médecins homéopathes sont-ils des charlatans?" sur le site de Jean-Luc Martin Lagardette (Ouvertures)
 
QUI NOUS DIT DONC QUE LES PATIENTS REFUSANT UN OU PLUSIEURS VACCINS (intouchables en allopathie!) NE SONT PAS DEJA DENONCES AUPRES DE LA SECURITE SOCIALE OU DE L'ORDRE DES MEDECINS?
Citoyennes, citoyens, il faut réagir avant qu'il ne soit trop tard! 
Votre santé en dépend.
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10 mars 2011 4 10 /03 /mars /2011 15:35

Comme vous le savez, Initiative Citoyenne est un groupe mixte qui a donc à la fois des contacts avec des citoyens mais aussi avec divers professionnels de santé.

 

C'est dans le cadre de ces contacts qu'un travailleur du Centre Néonatal du CHR de Namur nous a signalé une hausse tout à fait anormale des cas d'atrésie duodénale du nourrisson sur un laps de temps déterminé.

 

Alors que, des dires mêmes de cette personne, ils ne rencontrent habituellement aucun cas de cette pathologie sur l'année, ils en ont vu 6 en l'espace d'un an et demi.

 

L'atrésie duodénale, qui fait partie des anomalies congénitales, est une atteinte rare mais grave qui correspond à une interruption de la partie initiale de l'intestin grêle (duodénum) nécéssitant une intervention chirurgicale en urgence. Le site Orphanet explique aussi que "20 à 30% des enfants ayant une atrésie duodénale sont porteurs de trisomie 21 et 20 à 25% ont des anomalies cardiaques." Et le site de préciser que d'autres malformations associées ont été fréquemment décrites.

 

Au niveau épidémiologique, l'incidence habituelle de l'atrésie duodénale se chiffre entre 1/5000 et 1/10 000 naissances vivantes. Sur les 120 000 naissances annuelles en Belgique, cela correspond à un nombre d'enfants atteints par an oscillant entre 12 et 24 enfants pour l'ensemble du pays.  Sur un laps de temps d'environ un an et demi, ces chiffres devraient donc normalement varier dans une fourchette moyenne de 18 à 36 cas, sur l'ensemble du territoire.

 

Au vu de ces chiffres, il apparaît en effet quelque peu anormal qu'un seul hôpital comme le CHR de Namur ait pu être confronté, à lui seul, en un an et demi, au tiers ou même au sixième du nombre de cas normalement attendu pendant cette période sur l'ensemble de la Belgique.

 

Contactée par nos soins, une autre employée ayant travaillé de longues années dans le même centre néonatal, nous a d'ailleurs confirmé n'avoir vu que 5 à 6 cas en l'espace de 15 ou 16 années.

 

Certains nous rétorqueront que l'atrésie duodénale faisant partie des embryopathies c'est à dire des maladies s'installant durant les 4 premiers mois de vie intra-utérine (phase embryonnaire), il est peu probable qu'une vaccination des mères au cours du troisième trimestre en soit à l'origine. Mais il faut savoir que la vaccination des femmes enceintes a été conseillée dès le début du deuxième trimestre et ce sur les saisons hivernales 2009-2010 et 2010-2011. Sans parler des femmes qui ont pu être vaccinées au cours du premier trimestre, sans savoir qu'elles étaient déjà enceintes.

 

Sur la période 2009-2010, le vaccin préconisé aux femmes enceintes par les autorités et nombre de gynécologues était le vaccin adjuvanté de GSK, le Pandemrix.

Sur la période 2010-2011, le vaccin préconisé était le traditionnel vaccin saisonnier trivalent, ne comportant pas de squalène mais contenant la fameuse souche H1N1.

 

Or, nous tenons à rappeler qu'un document issu de la firme GSK elle-même, et relative a son vaccin H1N1 adjuvanté destiné au marché canadien, l'Arepanrix (de même composition que le Pandemrix) stipule:

 

 

"Deux études de reproduction menées chez des rats sur le vaccin H5N1 contenant  l’adjuvant AS03 ont évalué l’effet du vaccin sur le développement embryo-foetal, péri et postnatal suivant son administration intramusculaire. Bien qu’aucune conclusion définitive n’a pu être tirée quant au lien possible avec le traitement au moyen du vaccin H5N1 avec ou sans l’adjuvant AS03 et que d’autres observations ont été jugées normales, les constatations suivantes sont dignes de mention. Dans le cadre de la première étude, on a observé une incidence accrue de malformations foetales avec déformation et épaississement marqués des côtes et inclinaison de l’omoplate sur le plan médian ainsiqu’une incidence accrue de dilatation de l’uretère et de retard de la maturation neurocomportementale. Dans la deuxième étude, on a observé une incidence accrue de perte post-implantatoire ainsi qu’une modification au niveau de la dilatation de l’uretère du foetus. Ces constatations n’ont pas toutes été observées dans les deux études, leur importance sur le plan toxicologique est donc incertaine."

 

 

En outre, en ce qui concerne les vaccins saisonniers "classiques", sans squalène, et recommandés aux femmes enceintes lors de cette dernière saison 2010, il convient tout de même de rappeler que les fabricants ne disposent pas de données d'innocuité suffisantes sur la population des femmes enceintes. C'est entre autres, ce qu'avaient rappelé les scientifiques du Réseau Santé Environnement, dans leur communiqué de presse du 21.09.09, faisant notamment référence à la notice du vaccin Vaxigrip qui fait état de "données limitées" pour cette population.

 

En conclusion, ce délai d'un an et demi nous semble étrangement compatible avec le timing de la vaccination des femmes enceintes sur les saisons 2009-2010 et 2010-2011 et il nous apparaît qu'une investigation approfondie de la vaccination éventuelle des mères concernées doit être menée.

 

Nous attirons également l'attention de parents d'enfants qui auraient souffert de la même pathologie alors que la maman a été vaccinée, enceinte, ainsi que celle de tous les personnels soignants de l'ensemble du pays, confrontés à cette pathologie.

  

Hélas, lorsqu'il est question des effets secondaires de vaccins, force est de constater qu'il existe un tabou difficile à briser. Il est en effet difficile pour le personnel soignant de considérer qu'un acte censé prévenir peut s'avérer contre-productif et même dommageable.

Comme l'a si bien dit le Pr George Dick dans le British Medical Journal, en 1971, «Peu de médecins sont disposés à attribuer un décès ou une complication à une méthode qu'ils ont eux-mêmes recommandée et à laquelle ils croient

 

Voilà pourquoi il y a sans doute fort peu de chances que le médecin assistant du CHR de Namur qui a, selon nos informations, l'intention de faire une publication sur ces cas d'atrésie duodénale, prenne vraiment la peine de considérer la possible vaccination des mères comme une des causes possibles de ce surnombre de cas sur un si court laps de temps.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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