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10 février 2011 4 10 /02 /février /2011 22:09

Des scientifiques de l'Université d'Oslo viennent de publier une étude sur les épidémies de grippe dans la revue spécialisée International Journal of Infectious Diseases. Portant sur des données relatives aux épidémies de grippe en Suède, Norvège, Etats-Unis, Singapour et au Japon, l'étude compare les taux d'infection et de mortalité avec l'intensité du rayonnement UV du soleil.

 

  

soleil.gif

 

Elle conclut que ces derniers augmentent avec la baisse de l'exposition au soleil et donc avec un apport plus faible en vitamine D.

 

Cette diminution d'apport en vitamine D serait donc l'un des facteurs décisifs du déclenchement et du développement des épidémies de grippe.

 

 

Juzeniene A, Ma LW, Kwitniewski M, Polev GA, Lagunova Z, Dahlback A, Moan J., The seasonality of pandemic and non-pandemic influenzas: the roles of solar radiation and vitamin D., Int J Infect Dis. 2010 Dec;14(12):e1099-105.

 

 

Source: Bio Info n° 106 de février 2011

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10 février 2011 4 10 /02 /février /2011 21:32

Comment les médecins sont-ils informés?
 

Cette information est-elle fiable?

 

Ne met-elle pas en péril la santé des patients?

 

                      

 
 
Concernant les visiteurs médicaux toujours, un article est paru assez récemment dans l'Express...
 
 

 

La vidéo qui fait mal aux laboratoires


Par LEXPRESS.fr, publié le 02/02/2011

Pour motiver ses visiteurs médicaux, le laboratoire Lilly France a parodié une publicité Orangina et mis en scène un médecin dompté à coups de fouet.  

Un médecin esclave d'un visiteur médical qui a les traits de la panthère de la publicité Orangina. Cette idée saugrenue, révélée par Libération, est la trame d'un clip diffusé lors d'un séminaire de la filiale française du laboratoire pharmaceutique Lilly, qui distribue pour le Prozac.   


Dans la vidéo (ci-dessus), un médecin, fouetté et contraint à se déshabiller, est forcé par la panthère (le visiteur médical) à prescrire du Zypadhera, la dernière molécule du laboratoire pour traiter la schizophrénie. "Prescrire, oui je veux prescrire", répète le praticien au centre d'une piste de cirque. Nu comme un ver, le visage tordu de douleur sous les coups de fouet, il laisse finalement place au "packshot" final: "Zypadhera, prescrivez-le sinon ça pourrait mal se passer".   

>> La publicité Orangina Rouge "Naturellement méchante" parodiée par Lilly France   
   
Le détournement de la publicité - interdite en France - devait motiver les visiteurs médicaux pour qu'ils vantent les mérites des médicaments du laboratoire auprès des généralistes. En plein scandale du Mediator et alors que l'Afssaps a rendu public la liste de 77 médicaments sous surveillance renforcée, la vidéo fait évidemment la polémique.   

Les dirigeants de Lilly France se défendent d'avoir eu connaissance du clip avant sa diffusion en interne. "C'est quelque chose qui nous a choqué à un point jamais arrivé. Le laboratoire existe depuis 130 ans et nous n'avons jamais rien connu de tel", a indiqué à Libération Jean-Baptiste Labrusse, directeur des ressources humaines de Lilly France. 

Dans un communiqué publié sur son site, Lilly France en remet une couche et "condamne fermement" la vidéo diffusée sur Internet. Le responsable parle d'un dérapage isolé et attribue l'erreur à "un cadre en début de carrière qui a fait son truc dans son coin". Des sanctions auraient été prises à l'encontre de l'auteur.   

>> Un deuxième clip - diffusé aux employés de Lilly France - parodie une publicité La Jaunie.   

Source: L'Express

 

Scandale du laboratoire Lilly: deux nouvelles vidéos

Par Estelle Saget, publié le 07/02/2011 à 13:57, mis à jour à 17:40

Outre la parodie dégradante d'une publicité Orangina, la filiale française du laboratoire Lilly avait conçu deux faux zappings, où Nicolas Sarkozy et Liliane Bettencourt vantent les mérites d'un antidépresseur maison.
 
Alors que la polémique enfle sur les méthodes employées par le laboratoire Lilly pour motiver ses visiteurs médicaux, L'Express a pu se procurer deux autres vidéos à usage interne conçues sur le même principe que la scandaleuse parodie de la publicité Orangina. Il s'agit de deux séquences de zapping télé dont les images d'origine ont été conservées, alors que la bande son a été entièrement remontée pour vanter les mérites de Cymbalta, un antidépresseur commercialisé par Lilly. 

On y voit notamment Liliane Bettencourt expliquer qu'elle s'est fâchée avec sa fille "qui voulait [lui] imposer un traitement qui ne [lui] convenait pas." Et la milliardaire de préciser: "J'étais sous Seroplex [N.D.L.R.: médicament concurrent du laboratoire Lundbeck] depuis longtemps ; maintenant que je prends Cymbalta, je suis à nouveau moi-même ; fini les Banier, les Patrice de Maistre, je revis."   

Un peu plus tard, c'est le président de la République, Nicolas Sarkozy, qui s'entretient avec la journaliste Claire Chazal: "Ai-je été clair sur le profil du patient Cymbalta, madame Chazal, oui, ou non?" 

Dans une autre séquence, on entend la voix off expliquer que le champion de natation Alain Bernard, "dépressif", prend maintenant du Cymbalta. Et son entraîneur de conclure: "Je suis optimiste pour les prochains championnats d'Europe." 

"Une simple tentative humoristique"

Ces faux zappings ont été diffusés pour la première fois en interne le 16 décembre 2010, lors d'une réunion de cadres au siège de Lilly France, à Suresnes (Hauts-de-Seine), en même temps que les deux parodies des publicités Orangina et des cachous Lajaunie, comme le confirme le directeur des Ressources humaines, Jean-Baptiste Labrusse. Les quatre vidéos ont ensuite été projetées aux visiteurs médicaux au cours de leurs traditionnels séminaires de motivation de la première semaine de janvier. "Ces zappings, qui parodient des personnes publiques, sont regrettables et nous présentons nos excuses à ceux qui pourraient en être blessés, affirme Jean-Baptiste Labrusse. Cependant, je souligne qu'ils n'ont pas le caractère profondément dégradant de la fausse publicité Orangina. On est ici dans une simple tentative humoristique." 

Comme les deux premières vidéos, ces zappings mettent en avant un médicament de la division "système nerveux central" de Lilly France, appelée en interne la division "psy". Le porte-parole du laboratoire s'est refusé à confirmer la responsabilité particulière de ce département dans le scandale. "Lors de notre enquête interne, plusieurs personnes ont été sanctionnées, certaines pour leur manque de discernement, d'autres pour leur manque de vigilance", a simplement précisé Jean-Baptiste Labrusse.

 

Source: l'Express

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10 février 2011 4 10 /02 /février /2011 21:02

Mise à jour le mercredi 9 février 2011

 

Grippe H1N1: Des chercheurs misent sur les anticorps d'anciens malades

 

Des médecins de Hong-Kong tentent de guérir des patients gravement atteints par la grippe H1N1 en leur injectant des anticorps prélevés sur des personnes qui ont attrapé le virus et qui en ont guéri.

 

Cette étude menée par des chercheurs en microbiologie de l'Université de Hong Kong consiste à prélever des anticorps de type « G2 » chez 70 personnes en bonne santé qui ont déjà eu l'influenza de souche H1N1.

 

Selon les chercheurs, le nombre de personnes qui produisent ces anticorps est moins important que l'hiver dernier. Les scientifiques redoutent par ailleurs que la souche de grippe H1N1 de cette année soit plus résistante que les précédentes.

 

Au cours des dernières semaines, la grippe H1N1 a emporté au moins une dizaine de personnes et nécessité plus d'une cinquantaine d'hospitalisations dans les unités de soins intensifs des hôpitaux de Hong Kong.

 

En menant leurs recherches sur le virus de la grippe, les scientifiques ont découvert qu'en combattant ce virus le corps humain abaisse ses défenses contre d'autres types de bactéries. Ce phénomène appelé « effet cytokine » aggrave l'état du patient déjà touché par le virus de la grippe.

 

Or, des études antérieures ont démontré que des patients atteints d'une forme grave de grippe combattaient mieux le virus lorsqu'ils recevaient du plasma sanguin contenant déjà des anticorps de type « G2 » pour combattre cette infection.

 

Les chercheurs ont donc entrepris de récolter le plasma sanguin de personnes qui ont combattu avec succès le virus de la grippe H1N1 afin de créer des concentrés d'anticorps pour traiter les patients les plus gravement atteints par la maladie.

 

L'an dernier, l'influenza de type AH1N1 a tué plus de 80 personnes à Hong Kong.

 

Radio-Canada.ca avecReuters et HC2D.co.uk

 

 

Remarque intéressante:  C'est chez des malades qui ont contracté une infection naturelle qu'on va chercher ces anticorps et non chez des personnes vaccinées...

 

Voilà qui devrait faire réfléchir tout ceux qui ont cru le blabla pseudo-scientifique selon lequel les vaccins anti-H1N1 étaient les "champions'" de la protection avec de forts taux d'anticorps produits. La vérité c'est que jamais les anticorps artificiellement produits, grâce à des mécanismes de leurre du système immunitaire, ne pourront égaler la fiabilité et la robustesse d'anticorps naturellement formés, suite à une infection naturelle. CQFD

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8 février 2011 2 08 /02 /février /2011 21:37

Dans le registre "ON SE FOUT DE VOUS", il faut dire et surtout voir que l'OMS est passée reine!

 

C'est ainsi que l'agence des Nations Unies prône des enquêtes au sujet de la narcolepsie

= langage officiel, afin de paraître respectable & soucieuse des données scientifiques

 

Mais, d'ores et déjà, on se rend compte que les dés sont pipés d'avance:

 

Lors d'un point presse à Genève, la porte-parole de l'OMS, Alison Brunier, a en effet déclaré que "le Pandemrix restait sur la liste des vaccins agréés par l'OMS et que l'étude finlandaise n'aurait pas de conséquences sur ses recommandations en matière de vaccination." (!)

 

L'OMS recommande d'ailleurs, toujours avec force, aux pays de continuer la vaccination des "groupes à risque".

 

Mais finalement, outre le traditionnel discours (si convenu) dès qu'il est question d'effets secondaires de vaccins - "Des études complémentaires sont nécessaires...."-, ce qui est le plus pervers c'est que, sans doute pour ne pas créer de jalousies entre ses différents bâilleurs de fonds, l'agence insiste pour que les études aillent bien au-delà du seul vaccin Pandemrix.

Si cela peut, à première vue, sembler utile, il reste à voir comment s'effectueront les études comparatives pour évaluer la fréquence des cas: est-ce que les vaccinés par Pandemrix seront à chaque fois comparés à des non-vaccinés ou à des personnes vaccinées avec d'autres types de vaccins H1N1 (ce qui pourrait créer un biais et conduire à minimiser les risques réels de tous ces vaccins)?

 

Ne l'oublions pas: tant que l'OMS restera comme elle est, financée en grande majorité par les industriels, il y aura une distorsion constante entre son discours officiel ("il faut des études complémentaires") et ses actes concrets (malgré les risques, on continue, tant pis pour les futures victimes et le principe de précaution!).

C'est donc bien, grâce à ce type de distorsion scandaleuse, qu'apparaît plus nettement encore le vrai visage de cette organisation internationale.

 

Et ce constat n'est hélas pas que théorique, non! Il a déjà eu des répercussions majeures en matière de santé. L'OMS a ainsi toujours nié la portée de différentes études établissant un lien clair entre vaccination anti-hépatite B et sclérose en plaques, entre diabète et vaccination (études de J.B Classen, qui s'est fait "taper sur les doigts" parce que les résultats de ses études ne plaisaient pas aux bâilleurs de fonds de l'OMS à qui cette dernière, bien évidemment, obéit), etc etc

 

L'OMS prône des études sur un lien entre vaccins et narcolepsie

publié le 8/2/11(L'Express)

 

 

L'Organisation mondiale de la santé (OMS) a préconisé mardi des études complémentaires sur l'existence d'un lien possible entre le Pandemrix et d'autres vaccins contre la grippe A (H1N1) et la narcolepsie, un trouble du sommeil.

 

Cette recommandation du comité d'experts de l'OMS survient alors qu' une étude finlandaise a établi que des enfants ayant reçu le Pandemrix mis au point par les laboratoires GlaxoSmithKline présentaient un risque neuf fois plus élevé de souffrir de narcolepsie, qui se caractérise par de brusques accès de sommeil.

 

Lors d'un point de presse à Genève, siège de l'OMS, Alison Brunier, porte-parole de l'organisation mondiale, a souligné que le Pandemrix restait sur la liste des vaccins agréés par l'OMS et que l'étude finlandaise n'aurait pas de conséquences sur ses recommandations en matière de vaccination.

 

"Des études complémentaires sont nécessaires concernant la narcolepsie et la vaccination, pas seulement avec le Pandemrix mais aussi avec d'autres vaccins contre la grippe pandémique H1N1", a-t-elle dit.

 

"A ce stade, les groupes d'étude se sont focalisés sur le Pandemrix. Mais (les experts de l'OMS) sont arrivés à la conclusion qu'il fallait étudier aussi d'autres vaccins pandémiques. Les études iront donc au-delà du seul Pandemrix."

 

Elle a ajouté que les pouvoirs publics devaient continuer les campagnes de vaccination des populations à risques.

 

A Londres, un porte-parole de GSK a dit que le laboratoire britannique s'attendait à cette recommandation de l'OMS et qu'il étudiait lui-même l'existence d'un lien potentiel entre vaccination et narcolepsie. "GSK examine l'étude finlandaise et pense qu'il serait prématuré d'en tirer des conclusions", a-t-il ajouté.

 

D'autres laboratoires pharmaceutiques ont mis au point des vaccins contre la grippe A (H1N1), dont Novartis, Sanofi-Aventis, CSL et Baxter.

 

D'après les chercheurs de l'Institut national finlandais de la santé, l'explication "la plus probable" à cet accroissement du risque narcoleptique serait une combinaison de l'injection de Pandemrix et d'autres facteurs.

 

Selon GSK, plus de 31 millions de doses de Pandemrix ont été injectées à travers le monde. Le laboratoire britannique dit avoir été informé de 162 cas de narcolepsie recensés au 31 janvier dernier, dont 70% en Finlande et en Suède.

 

Par Reuters

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8 février 2011 2 08 /02 /février /2011 21:32

vr 04 feb 2011

 

door Arianne Mantel

 

UTRECHT -  Twee kinderen van vier jaar zijn in ons land na de inenting met het vaccin tegen de Mexicaanse griep getroffen door de slaapziekte narcolepsie.

Het gaat om twee jongetjes die bij de landelijke griepvaccinatie van anderhalf jaar geleden zijn gevaccineerd met het middel Pandemrix.

 

Dat bevestigt het College ter Beoordeling van Geneesmiddelen (CBG) naar aanleiding van de berichtgeving in deze krant dat uit Fins onderzoek blijkt dat er een associatie is tussen het vaccin met Pandemrix en de slaapziekte.

 

Bron: Telegraaf.nl

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8 février 2011 2 08 /02 /février /2011 21:24

3/02/2011

 

Inenting met het vaccin tegen Mexicaanse griep verhoogt bij kinderen en adolescenten mogelijk de kans op narcolepsie, ook wel slaapziekte genoemd. Dat blijkt uit een Finse studie. In België zijn voorlopig geen gevallen bekend, zegt viroloog Marc Van Ranst.

 

Narcolepsie is een neurologische ziekte waardoor de patiënt zelfs bij voldoende nachtrust overdag geregeld in slaap valt. In Finland kregen in 2009 en 2010 zowat 60 kinderen tussen 4 en 19 de ziekte. Dat is drie keer zoveel als de voorgaande jaren. Negentig procent van de patiënten werd ziek tussen de twee en tien weken na de inenting tegen Mexicaanse griep. De kans om narcolepsie te krijgen, ligt volgens het Finse Nationaal Gezondheidsinstituut, die het onderzoek uitvoerde, na inenting bij kinderen negen keer hoger dan normaal.

Enkel Scandinavië

 

"Het verband tussen het vaccin Pandemrix en de ziekte bij kinderen is niet buiten de Scandinavische landen gevonden", zegt de Nederlandse viroloog Ab Osterhaus, die contact had met zijn Finse collega's, in De Telegraaf. Ook IJsland en Zweden startten een onderzoek nadat een verhoging van het aantal gevallen werd vastgesteld. "De meest voor de hand liggende uitleg is dat de ziekte het gevolg is van het vaccin en de combinatie van een aantal andere factoren", aldus het Finse gezondheidsinstituut.

België

 

In België is voorlopig geen verband gevonden tussen de ziekte en het vaccin. Er werden in ons land dan ook slechts een beperkt aantal, 20.000, kinderen ingeënt. "In Finland is nagenoeg de hele bevolking ingeënt. Dat is bij ons niet het geval, enkel de risicogroepen kregen het vaccin", zegt Van Ranst. Volgens de viroloog wordt het verband tussen het vaccin en narcolepsie in België onderzocht en loopt er momenteel ook een Europese studie. De Finse onderzoekers bendrukken dat het onderzoek nog niet volledig is afgerond. Definitieve resultaten worden verwacht in augustus.

Wereldwijd zijn bij campagnes meer dan 90 miljoen mensen ingeënt tegen de H1N1-griep, van wie ongeveer 2,5 miljoen Finnen sinds de herfst van 2009. (belga/ep)

 

Bron: De Morgen

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8 février 2011 2 08 /02 /février /2011 18:03

Souvenez-vous, tout d'abord, des propos du Dr Reynders et des médias à ce sujet, il y a seulement quelques mois:

 

 

 

A présent, les autorités finlandaises reconnaissent le lien évident entre cette maladie et le vaccin Pandemrix......

 

 

Une étude lie un vaccin contre le H1N1 à des cas de narcolepsie. (Le Monde, 1/2/2011)

 

Fabriqué par le laboratoire GlaxoSmithKline, le vaccin Pandemrix contre la grippe H1N1 a probablement contribué à la multiplication subite des cas de narcolepsie chez les enfants et les adolescents finlandais en 2009 et 2010, a estimé mardi 1er février la plus haute autorité sanitaire finlandaise.

 

"Actuellement, l'explication la plus probable est que l'augmentation des cas de narcolepsie est due à l'effet conjoint du vaccin et d'un ou plusieurs autres facteurs", indique l'Institut national finlandais pour la santé (THL) dans un communiqué. Rare, la narcolepsie, ou maladie de Gélineau, est une affection neurologique qui se traduit par des accès de sommeil irrésistibles qui surviennent de façon inopinée et par une fatigue extrême.

 

Soulignant que des recherches plus poussées sont encore nécessaires d'ici à un rapport final promis pour août, l'autorité estime que les enfants et adolescents de 4 à 19 ans ont un risque neuf fois plus élevé de souffrir de narcolepsie s'ils ont été vaccinés avec le Pandemrix. "L'association observée est si évidente qu'il est improbable que d'autres facteurs dits 'collatéraux' puissent expliquer le phénomène", selon le THL.

 

QUATRE-VINGT-DIX MILLIONS DE PERSONNES VACCINÉES

 

Le Pandemrix a été injecté à plus de 90 millions de personnes dans 19 pays lors de campagnes de vaccination contre la grippe H1N1, dont environ 2,5 millions en Finlande depuis l'automne 2009. La Suède, l'Islande et la Finlande ont rapporté une augmentation de cas de narcolepsie et lancé des enquêtes sur les raisons de ce pic, sans que le lien puisse être établi dans le cas islandais. En 2009-2010, les médecins finlandais ont diagnostiqué des cas de narcolepsie chez 60 enfants et adolescents de 4 à 19 ans, soit près de trois fois plus que lors des deux années précédentes.

 

Dans près de 90 % des cas, ceux-ci avaient été vaccinés avec le Pandemrix, et les symptômes s'étaient déclarés dans la plupart des cas de deux à dix semaines après l'injection, selon THL. En août 2010, la France avait signalé 6 cas, sans pouvoir établir de lien avec le vaccin.

 

Source : Le Monde

 

 

LA MAUVAISE NOUVELLE : LE PANDEMRIX A RISQUE

 

MARTINE BETTI-CUSSO ET CHRISTOPHE DORÉ 
07/02/2011

 

Le Pandemrix, vaccin anti H1N1 du laboratoire Glaxo SmithKline, injecté à plus de 90 millions de personnes dans 19 pays lors des campagnes de vaccinations l'an dernier, serait «probablement» responsable de la survenue de nombreux cas de narcolepsie, selon l'Institut national finlandais pour la santé. Cette affection neurologique, caractérisée par une fatigue extrême et des accès de sommeil impromptus, ne connaît pas de traitement curatif. Le Pandemrix rejoindra-t-il la liste des traitements sous surveillance ?



Source: Le Figaro

 

 

 

FINLANDE: LA VACCINATION DES ENFANTS CONTRE LA GRIPPE … PEUT-ETRE UNE ERREUR selon le médecin chef de l'Institut de Santé publique!

 

 

 

 

 

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8 février 2011 2 08 /02 /février /2011 17:19

- Les résultats de la société continuent de figurer parmi les meilleurs en comparaison avec les autres technologies de fabrication de vaccins contre la grippe,-

 

- Le vaccin à particules pseudo-virales de la société induit la production d'anticorps démontrant une réaction croisée avec plusieurs souches de la grippe

 

QUÉBEC, le 1er févr. /CNW/ - Medicago Inc. ("Medicago") (TSX : MDG), société de biotechnologie spécialisée dans la mise au point de vaccins hautement efficaces et compétitifs, et fondés sur des technologies de fabrication exclusive à base de particules pseudo-virales (PPVs), a annoncé aujourd'hui des résultats intermédiaires positifs pour l'essai clinique de phase II chez l'humain de son candidat vaccin PPV contre la grippe aviaire H5N1  vaccin H5N1 »). Le vaccin a été bien toléré par les sujets, il a induit une solide réponse immunitaire et son innocuité a été démontrée.

 

« Nous croyons que les résultats intermédiaires obtenus suite à notre essai de phase II continuent à démontrer les impressionnantes caractéristiques de notre vaccin H5N1. Ils démontrent que notre vaccin H5N1 est non seulement sécuritaire, mais qu'il induit la production d'anticorps qui génèrent une réaction croisée contre plusieurs souches de la grippe H5N1 », a déclaré Andy Sheldon, président et chef de la direction de Medicago.

 

« Nous pensons également que notre vaccin PPV, hautement efficace et produit en moins d'un mois, représente une solution rapide et nécessaire en cas de pandémie de grippe. Ces résultats encourageants vont nous permettre de passer à la partie B de notre essai de phase II, pour laquelle nous prévoyons être en mesure de transmettre les résultats finaux au cours du deuxième trimestre de 2011. »

 

« Ces résultats démontrent que nous avons un produit sécuritaire puisque notre vaccin H5N1 a été bien toléré à tous les dosages », a déclaré Nathalie Landry, vice-présidente, Développement de produits, Medicago. « Nous sommes la première technologie novatrice de fabrication de vaccins à démontrer une telle réponse immunitaire à des doses aussi faibles. Ceci est particulièrement important puisque les vaccins H5N1 sont reconnus pour être faiblement immunogènes chez l'humain. Ces résultats indiquent donc que nous disposons d'une plateforme de fabrication de vaccins très solide, et nous sommes impatients de poursuivre le développement clinique de nos candidats vaccins. »

 

« Ces résultats très prometteurs démontrent clairement le potentiel de la technologie novatrice de fabrication de vaccins PPV à base de plantes exclusive à Medicago », a souligné Doug Dean, premier vice-président, Recherche et développement, Philip Morris International. PMI détient actuellement une participation de 33% dans l'actionnariat de Medicago.

 

Résultats intermédiaires de l'essai

 

L'essai a été mené auprès de 135 volontaires sains qui ont reçu l'une des trois différentes doses du vaccin de Medicago, et ce afin de déterminer la dose optimale. Aucun effet indésirable sérieux n'a été signalé au cours de l'essai, le vaccin a été bien toléré par les sujets à toutes les doses, et son innocuité a été démontrée. Les réactions locales signalées au point d'injection ont été légères et comparables entre les groupes recevant le vaccin H5N1. Pour le groupe d'âge de 18 à 49 ans ayant reçu une dose de 20 microgrammes, 82 % des sujets ont développé une réponse immunitaire contre le virus H5N1 après la deuxième injection, 65 % des sujets ont présenté une multiplication par quatre des titres IH en comparaison avec les valeurs initiales, et 65 % des sujets ont montré un titre d'anticorps séroprotecteur approprié.

 

Tous les sujets avaient obtenu des résultats négatifs au test de dépistage d'anticorps contre la souche A/Indonésie du virus H5N1 avant la vaccination, et aucune réponse n'a été observée chez les sujets ayant reçu le placebo. Ces résultats montrent que le vaccin H5N1 de Medicago induit une forte réaction d'inhibition de l'hémagglutination (IHA) par les anticorps contre la souche H5N1. Les anticorps induits par le vaccin H5N1 se sont également révélés capables de réagir à plusieurs souches de la grippe aviaire H5N1, indiquant le potentiel des vaccins de Medicago de procurer une protection croisée. Conformément à la méthodologie initiale, le suivi des effets indésirables va continuer pendant une période de 6 mois suivant l'administration de la deuxième dose du vaccin.

 

En se basant sur les résultats intermédiaires de l'essai de phase II, un comité va choisir la dose optimale qui sera utilisée pour procéder à la partie B de l'essai clinique de phase II du vaccin H5N1. Dans ce second volet de l'essai, 120 adultes en santé recevront soit une injection du vaccin H5N1 à la dose optimale, soit un placebo. Les résultats finaux de ce second volet sont attendus au cours du deuxième trimestre de 2011.

 

À propos du candidat vaccin de Medicago contre la grippe pandémique

 

Le candidat vaccin H5N1 de Medicago a été préparé pour protéger contre la souche indonésienne du virus de la grippe. Il est fabriqué à partir de Nicotiana benthamiana, plante apparentée au tabac, avec la technologie de particules pseudo-virales (PPVs) exclusive de la société. Les PPVs peuvent présenter plusieurs avantages par rapport aux vaccins antigrippaux traditionnels. Elles  ont une structure faite pour reproduire la structure d'un virus, ce qui leur permet d'être rapidement reconnues par le système immunitaire de l'organisme; cependant, leur déficience en matériel génétique les rend non-infectieuses et incapables de se multiplier. De plus, la technologie de Medicago ne nécessite pas d'échantillon du virus vivant, mais simplement la séquence génétique de la souche virale d'intérêt. Cette différence cruciale permet à la société de fabriquer des vaccins dans les quatre semaines suivant l'obtention de la séquence génétique d'une nouvelle souche pandémique, tandis que les technologies de fabrication actuelles, qui nécessitent l'adaptation de la souche pandémique, ne peuvent livrer de vaccin contre cette souche pandémique que dans les six à neuf mois suivant l'apparition de la pandémie.

 

À propos de Medicago inc.

 

Medicago s'est donnée pour mandat de fournir des vaccins très efficaces et compétitifs reposant sur ses technologies de fabrication exclusives à base de particules pseudo-virales. Medicago met au point des vaccins à particules pseudo-virales visant une protection contre une pandémie de grippe H5N1; pour ce faire, elle fait appel à un système d'expression transitoire qui produit des antigènes de vaccins recombinants dans les cellules de plantes non transgéniques. Cette technologie a le potentiel d'offrir des avantages en matière de vitesse et de coûts par rapport aux technologies concurrentes. Elle pourrait permettre de produire un vaccin prêt pour les essais environ un mois après l'identification et la réception des séquences génétiques d'une souche pandémique. Cette rapidité de production permettrait de vacciner la population avant que la première vague d'une pandémie ne frappe, et de fournir de grandes quantités de vaccins sur le marché mondial. Pour obtenir de plus amples renseignements sur Medicago, veuillez consulter le site www.medicago.com.

 

Énoncés prospectifs

 

Ce communiqué contient des énoncés de nature prospective qui reflètent les attentes actuelles de Medicago, assujettis à certains risques et incertitudes découlant des affaires de Medicago et de l'environnement dans lequel la Compagnie évolue. Les énoncés contenus dans les présentes qui ne constituent pas des faits historiques peuvent être interprétés comme étant des énoncés prospectifs. Ces énoncés s'accompagnent fréquemment de termes tels que : « anticiper », « croire », « planifier », « estimer », « prédire », « projeter » et autres termes ou expressions analogues, dans la mesure où ceux-ci sont liés à Medicago ou à sa direction. Les énoncés prospectifs ne sont pas des faits historiques, mais reflètent les attentes actuelles de Medicago relativement à certains évènements ou résultats futurs. Ces énoncés prospectifs sont assujettis à certains risques et incertitudes qui pourraient entraîner des résultats réels différant considérablement de ceux prévus, incluant les éléments discutés dans la section «Facteurs de risques et incertitudes » de la Notice annuelle déposée le 24 mars 2010. Medicago décline toute obligation de mettre à jour ces énoncés prospectifs ou de mettre à jour les raisons pour lesquelles les résultats réels pourraient différer de ceux reflétés par les énoncés prospectifs.

 

Source: CNW.ca 

 

                                        SACHEZ DECODER L'INFORMATION!

TOUBIB

 

 

 Les éléments-clés à retenir sont donc les suivants:

 

 

- Un vaccin contre la grippe aviaire (décidément, ils y tiennent à celle-là!)

 

- Un vaccin dévéloppé toujours plus vite (risque de développement bâclé)

 

- Un vaccin efficace? La course au plus haut taux d'anticorps n'est PAS un gage de protection!

 

- Un vaccin sûr? La firme n'est pas crédible en l'affirmant CAR le nombre de personnes dans les essais cliniques et très insuffisant ET le suivi des effets secondaires, sur seulement 6 mois, est bien trop court (cela aura pour effet de faire passer le vaccin comme plus sûr qu'il ne l'est en réalité)

 

- Un vaccin recombinant, c'est à dire élaboré par génie génétique (technologie OGM), une technologie rejetée, en matière alimentaire, par plus de 90% des citoyens européens en raison de ses dangers.

 

- Un vaccin pour vacciner un maximum de gens avant la prochaine vague pandémique tant attendue avec grosses capacités mondiales de production (prétexte et moyens idéaux pour vacciner les gens de façon contraignante?)

 

- Que vous aimiez ou non la cigarette, le cigarettier Philippe Moris est actionnaire à raison de 33% de Medicago Inc. Ce qui signifie que ce marchand de cigarettes va s'enrichir sur le dos d'un soit-disant "produit de santé"? Allons bon.... il y a une règle assez courante qui dit que les pollueurs se tiennent souvent entre eux et une autre qui dit qu'on ne fait pas un tissu neuf avec de vieux morceaux...

 

 

 

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8 février 2011 2 08 /02 /février /2011 15:11

Publié par Stephen Kaufman (Rédacteur), le 13 décembre 2010

 

Washington - La Convention sur l'interdiction des armes biologiques ou à toxines (CABT), entrée en vigueur en 1975, visait initialement à interdire la mise au point, la fabrication et le stockage des armes bactériologiques (dites aussi biologiques) ou à toxines par les États signataires. Mais pour contrer les menaces du XXIe siècle, ceux-ci ont entrepris de s'en servir comme d'un mécanisme pour prévenir le bioterrorisme et pour accroître le partage des renseignements et les communications qui peuvent être utiles pour combattre toute épidémie, quelle soit délibérément propagée ou non.

 

Les débats entre les parties membres de la CABT, lors de leur conférence annuelle tenue du 6 au 10 décembre à Genève, ont reflété la prise de conscience que la prévention et les interventions relatives à une maladie disséminée délibérément par une arme bactériologique, ou accidentellement en raison d'une manipulation malencontreuse de matériel biologique, ou encore par des facteurs naturels, par exemple dans le cas du choléra ou de la grippe aviaire, reposaient sur les mêmes dispositifs et sur la coordination entre les gouvernements, les responsables de la santé publique et les scientifiques.

 

Mme Laura Kennedy est représentante permanente des États-Unis à la Conférence sur le désarmement et représentante spéciale pour les questions relatives à la Convention sur les armes biologiques ou à toxines. Elle a dirigé la délégation américaine à la récente conférence où elle a déclaré qu'une collaboration renforcée entre les gouvernements, le personnel de la santé et d'autres experts serait bénéfique à tous, notamment aux pays qui ne possèdent pas les capacités de fabriquer des armes bactériologiques ou qui ne pensent pas en devenir la cible. Une épidémie peut éclater dans n'importe quel pays, c'est pourquoi l'objectif de la CABT est de tendre la main à toutes les nations du monde, a-t-elle souligné.

 

Dans un entretien accordé le 10 décembre de Genève à America.gov, Mme Kennedy a dit que le gouvernement Obama «se félicitait de la coopération croissante entre les milieux de la santé et de la sécurité», qui œuvrent de concert pour améliorer les capacités locales, nationales et internationales à faire face aux flambées de maladies.

 

Les États-Unis souhaitent voir une meilleure focalisation sur le bioterrorisme tout en maintenant l'accent traditionnel de la convention sur les entités étatiques, a ajouté Mme Kennedy. Le président Obama reconnaît le fait «qu'une épidémie bactériologique peut être aussi dévastatrice qu'un incident nucléaire, qu'elle soit le résultat d'un acte perpétré par un État ou par un groupe terroriste ».

 

« Quand vous renforcez les capacités, vous en faites un outil de dissuasion puissant », a dit Mme Kennedy.

 

Mais en ce XXIe siècle, l'utilisation délibérée d'une arme biologique n'est pas l'unique préoccupation, a-t-elle noté. «Il existe toute une gamme de flambées de maladies qui peuvent être provoquées délibérément ou accidentellement ou même par des facteurs naturels. En consolidant les mécanismes visant à relever ces défis, nous pourrons en faire bénéficier l'ensemble des populations.»

 

Haïti lutte actuellement contre une épidémie de choléra. Le virus de la grippe H5N1, connue aussi sous le nom de grippe aviaire, continue de faire des victimes de par le monde. Mme Kennedy a déclaré que les signataires de la CABT voudraient que l'accord sur le contrôle des armements et la non-prolifération serve à réunir les membres des milieux scientifiques et de la santé, ceux de l'application de la loi et les gouvernements afin d'aider les différents pays à mettre au point un dispositif intégré pour la prévention et le traitement des maladies épidémiques.

 

« Il s'agit de coordonner l'assistance internationale et de fournir le savoir-faire pour mener les enquêtes qui permettent de déterminer la nature de la flambée. C'est donc toute une gamme d'outils à notre disposition », a expliqué Mme Kennedy.

 

En plus d'avoir mis en exergue les points communs entre une épidémie délibérée ou naturelle, les participants à la conférence de Genève se sont aussi penchés sur le Règlement sanitaire international (RSI) établi en 2005 par l'Organisation mondiale de la santé (OMS) , qui exige des pays membres de coopérer à la prévention et au traitement des maladies.

 

L'OMS et la CABT siègent toutes deux à Genève et bien que leurs mandats soient différents, leurs rôles sont complémentaires, a souligné Mme Kennedy. La CABT a aussi établi un réseau de points de contact nationaux en cas de flambée de maladie. La représentante du gouvernement des États-Unis a ajouté qu'il était toujours nécessaire d'aider les pays à mieux intervenir face aux épidémies en les aidant à renforcer leurs capacités, leurs lois afférentes et leurs pratiques.

 

« Il s'agit d'éliminer les fossés dans les capacités. Il s'agit d'établir des relations, de partager l'information et de mettre en place des réseaux », aux niveaux local, national et international, a-t-elle précisé. « On y parviendra grâce à la diplomatie multilatérale, en offrant une assistance technique aux pays et en tenant des ateliers avec le concours des États partenaires. »

 

Mme Kennedy a dit que les réunions du 6 au 10 décembre « nous ont placés sur une très bonne trajectoire » pour la Septième conférence d'examen de la CABT, qui doit se tenir du 5 au 22 décembre 2011 à Genève. La CABT prévoit aussi d'organiser en avril de l'an prochain une conférence préparatoire, de même qu'une série d'ateliers régionaux, notamment au Kenya, au Nigéria et en Jordanie, ainsi que des rencontres supplémentaires et des colloques d'experts de par le monde.

 

Le gouvernement Obama se félicite du niveau d'intérêt à l'échelle internationale et espère voir bientôt « tous les États du monde devenir membres actifs de la convention».

 

«C'est certainement notre objectif principal et je pense que nous faisons des progrès en ce sens », a déclaré Mme Kennedy. « C'est un régime sur le contrôle des armes (...) et son application apporte des bienfaits importants à tous les pays du monde.»

 

Source : http://www.america.gov/fr/

 

 

 

L'avis d'Initiative Citoyenne:

 

TOUBIB

 

 

Tout cela est inquiétant à plus d'un titre sur le plan sanitaire comme sur le plan démocratique et il est essentiel de bien comprendre POURQUOI.



- L'alliage des scientifiques et des militaires fait rarement bon ménage.

Il existe une antinomie certaine entre le propre du comportement "scientifique" qui doit, normalement, être libre et indépendant de chercher et celui du militaire dont la vocation est d'obéir à son corps professionnel d'appartenance.

 

- Le bioterrorisme est ici, très clairement, pris comme un prétexte pour le recours à des mesures liberticides, planifiées de longue date. C'est exactement comme l'attentat interne du 11 septembre qui a servi de prétexte bien commode à l'adoption du très liberticide "Patriot Act". Ici, en mélangeant "bioterrorisme" et épidémies naturelles, on escompte créer une confusion et donc une banalisation et une acceptation par le public que l'armée finisse par se mêler d'affaires médicales. C'est une voie extrêmement glissante et contestable.



- On parle de "lois afférentes", de "ceux qui font appliquer les lois", du Règlement Sanitaire International (RSI) de l'OMS. Ca sonne très fort "loi d'exception" et autres plans liberticides dont on a déjà pu voir avec quelle facilité et quelle inertie parlementaire ils étaient adoptés.

 

- On parle du lien entre cette CABT et l'OMS or, on sait ce qu'il en est de l'OMS...

Si ces instances sont complémentaires, et puisque l'OMS sert de façon évidente ceux qui la paient (les industriels), on voit donc fort mal comment la CABT pourrait être au service des citoyens!

 

- On parle ouvertement d'un plan expansionniste dont le but, par principe, est de faire rentrer tous les pays "dans un même moule" idéologique avec des réponses stéréotypées qui auront toutes les chances de faire les choux gras des industriels.

 

C'est assez net. Notamment quand il est question de l'aide aux pays les plus faibles: on a bien vu ce qu'il en était avec l'aide (en vaccins H1N1 inutiles) aux pays africains!

 

- On reparle, à plusieurs reprises, de la si attendue, grippe aviaire (l'inoubliable!) et comme par hasard, quelques mois après ce communiqué, Medicago annonce déjà la mise au point et les essais cliniques de son mirifique vaccin anti-H5N1 qui devrait déjà être prêt pour le second trimestre 2011...

 

- On parle de dates et de délais intéressants puisqu'il est question de 2011, 2012.

On parle d'une "conférence préparatoire" et de "colloques d'experts de par le monde"...

Ah bon: que va-t-on vraiment nous préparer? Comment et sur quelle base les experts qui vont parcourir ainsi le monde vont-ils s'y prendre pour préparer une opinion publique de plus en plus vigilante?



N'oublions du reste pas que l'OMS & l'UNICEF ont co-rédigé leur fameux PROJET DE STRATEGIE MONDIALE DE VACCINATION en 2005 et que les objectifs tyranniques et anti-démocratiques qui ont été fixés, portent sur la période 2006-2015.



Leur premier objectif pour 2015 est un objectif purement idéologique (et non scientifique) puisque celui-ci est "Le but est qu'en 2015, la vaccination soit considérée comme très importante".



Une autres stratégie proposée (ou imposée aux pays?) est que les NON-vaccinés aient au moins 4 contacts par an avec les services de vaccination.



Rien que cette seule phrase devrait, à elle seule, suffire à faire comprendre au grand public que l'OMS se fiche complètement du consentement éclairé et de la volonté réelle des gens. L'OMS méprise leurs choix, tout simplement car elle n'a pas pour but la santé publique mais la santé des industriels, ces derniers ayant un intérêt net à ce que les "choix" du public soient seulement conditionnés dans la direction qui leur est la plus favorable.



Avec une telle phrase, on comprend que ce que veut et espère l'OMS c'est juste "avoir les gens à l'usure" pour qu'ils finissent par céder à tout prix aux vaccins sacrés.

Dans ce contexte, plus aucune réflexion n'est possible, c'est simplement un conditionnement et des techniques de type marketing, exactement comme les gens qui font du racolage téléphonique, jour après jour pour essayer d'embobiner tel ou tel.



Dès lors, comme on l'a vu, la CABT, dont l'action est complémentaire à celle de l'OMS, ne pourra que tendre vers les vues autoritaristes et anti-démocratiques de l'OMS et non vers le bien commun et le respect de la pluralité de la demande des citoyens en terme d'offre de soins.









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8 février 2011 2 08 /02 /février /2011 15:05

Un texte de salut public à lire de toute urgence!!

 

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