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17 janvier 2011 1 17 /01 /janvier /2011 13:07

Un internaute nous a demandé notre avis par mail suite à une position de HoaxBuster au sujet du Dr Russel Blaylock, que nous citions, notamment dans deux articles au sujet de la vaccination des femmes enceintes (1 et 2).

 

Voici le commentaire que nous venons d'envoyer au site Hoaxbuster (qui ne le publiera pas forcément étant donné qu'il y a une "modération" au préalable...) suite à un de leurs articles et que nous devions signaler au plus grand nombre:

 

Par Initiative Citoyenne, Belgique (envoyé le 17/01/2011)

 

"Cet article est douteux parce qu'il continue de se baser sur des sources non objectives comme l'OMS, les experts liés à l'industrie pharmaceutique, etc On peut en effet se poser la question de savoir qui ce site sert, c'est évident....

 

Autant ce site avait sa valeur pour essayer de tirer au clair le caractère "hoax ou non hoax" de messages tirés par les cheveux pour récolter des fonds, autant là, sur la vaccination, ce site a complètement perdu sa crédibilité et nous aussi, nous l'avons complètement retiré de nos favoris.

 

En fait, il s'agit de copiers-coller de l'OMS et des officiels tout en niant les preuves accablantes de corruption qui les concernent depuis pourtant des années.

 

Dans cet article, Hoaxbuster ose parler de l"INNOCUITE du MF59" '(= adjuvant à base de squalène) ce qui est grotesque quand on sait quels sont les propos tenus par un médecin de la firme NOVARTIS elle-même, qui a inclus cette substance dans ses vaccins:


"Nous n'avons pas testé la cancérogénicité de l'adjuvant MF59 ni d'aucun de nos vaccins préventifs. Nous ne l'avons pas fait et nous ne prévoyons pas de le faire." Dr Deborah Novicki. (dans une séance de travail au sein de la FDA américaine, cfr p.391)

 

Si cela est si sûr, tellement sans danger, pourquoi ne pas réaliser ces tests qui sont de mise pour d'autres types de produits pharmaceutiques?


Pourquoi des clauses de contrat entre pharmas et gouvernements qui INTERDISENT d'analyser l'adjuvant du vaccin? Rationnellement parlant, force est de constater que c'est du jamais vu.

 

En fait, on s'aperçoit que ce site n'ose pas critiquer des personnes critiques, à partir du moment où celles-ci ne touchent pas au véritable tabou vaccinal: la question de la dangerosité/innocuité. Il est un fait certain que la population préfère savoir que sa vaccination a été inutile plutôt que dangereuse et que cette dernière considération menace formidablement les parts de marchés potentielles des firmes pour leurs prochains vaccins à écouler.

 

Il fallait donc un site comme Hoabuster pour amalgamer grossièrement théorie du complot et critiques essentielles sur les données de sécurité, affirmer péremptoirement que "le vaccin H1N1 n'est pas plus ni moins dangereux que les autres vaccins" (alors que même les contrats le définissent explicitement comme un vaccin aux expérimentations non finies c'est à dire un vaccin expérimental), et des listings rigolos de faux  "leaders d'opinion anti-vaccins" qui y incluent par exemple des gens comme Marc Girard, pas du tout contre tous les vaccins.

 

Au final, dans le meilleur des mondes, on aurait tous dû voir figurer le Pr Bruno Lina dans les Hoax avec ses mélanges et traficotages douteux de virus dans son P4 de Lyon où il est payé par l'état pour faire se croiser le virus H1N1 et H5N1(!) mais non, c'est hélas suffisamment triste et vrai que pour que Le Progrès de Lyon l'ait annoncé aux Français et au monde:

 

http://www.leprogres.fr/fr/france-monde/article/2859863,192/A-Lyon-on-essaie-de-croiser-les-virus-H1N1-et-H5N1de-la-grippe.html

 

Pauvre Science!

 

http://www.initiativecitoyenne.be "

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17 janvier 2011 1 17 /01 /janvier /2011 00:39

9 janvier 2011

 

Photo: Des soldats coréens portent un masque de protection contre la grippe H1N1, lors d’un entraînement militaire dans une base de Séoul, mercredi 4 novembre 2009. Ce pays s’est déclaré en état d’alerte au plus haut niveau afin d’éviter la diffusion du virus.(Yonhap, Kim Ju/AP)

 

 

SOURCE: Grippe A et Etat d'exception 

 

  

 

 

Corée sud: la grippe aviaire se propage, la fièvre aphteuse continue ses ravages. AFP, 9 janvier 2011

La Corée du Sud a annoncé trois nouveaux foyers de grippe aviaire dimanche dans des élevages de canards portant le nombre de cas à sept depuis le 31 décembre, alors que la péninsule doit aussi faire face à une épidémie de fièvre aphteuse sans précédent qui donne peu de signes de répit.

Trois nouveaux cas ont été confirmés dans le comté de Yeongam (sud-ouest) et au moins 396.000 poulets, canards et autres volailles devaient être abattues, selon le site du ministère sud-coréen de l'Agriculture.

C'est la première fois depuis avril 2008 que le pays est à nouveau frappé par la présence de ce virus hautement pathogène. Les autorités ont instauré un cordon sanitaire autour des foyers contaminés, imposant une désinfection de la population et des véhicules, en particulier ceux pratiquant le transport d'animaux d'élevage.

Dimanche, Séoul a aussi confirmé deux nouveaux cas de fièvre aphteuse dans un élevage porcin du comté de Bongwha (sud-est) et une ferme bovine du comté de Cheongwon (centre-ouest), portant à 108 le nombre de cas depuis le 29 novembre 2010. Un nombre record de têtes de bétail -- près d'un million de porcs et bovins -- a dû être abattu dans une quarantaine de villes et de comtés, soit environ 7% du total et une perte financière de plus de 890 million de dollars.

Plus de 68.000 militaires ont été déployés pour aider à enrayer l'épidémie, le président Lee Myung-Bak appelant à "des mesures radicales" notamment pour garantir davantage la vaccination. Environ 1,5 million de porcs et bovins ont été vaccinés dans une tentative désespérée de contenir l'épidémie. L'embargo sur les exportations risque de se prolonger davantage.

Il faut du temps pour qu'un pays utilisant la vaccination recouvre son statut de pays non contaminé auprès de l'Organisation mondiale pour la santé animale (OIE). Le ministère sud-coréen de l'Agriculture a indiqué qu'environ 1,2 million de cochons et bovins supplémentaires allaient être vaccinés dans les prochaines semaines et jusqu'à 6,5 millions d'animaux d'ici à la fin du mois.

La fièvre aphteuse affecte les animaux comme les bovins, les porcs, les cerfs, les chèvres et les moutons. De précédents épisodes épidémiques en janvier et avril 2010 avaient entraîné l'abattage de 50.000 têtes environ.

 

 

A NOTER: La vaccination contre la fièvre aphteuse est contestée sur le plan international!

L'Office Vétérinaire Suisse avait refusé de recourir à une telle vaccination sur son sol.

Quant aux instances européennes, elles précisent dans un document que "des animaux vaccinés ne sont pas forcément sains- les antigènes produits par la vaccination peuvent masquer la présence de fièvre aphteuse dans un animal." (!)

C'est d'ailleurs la raison pour laquelle plusieurs pays européens refusaient les importations d'animaux vaccinés, qu'ils jugeaient impropres. Suite à cela, la vaccination a été abandonnée (1991) car le commerce et les exportations d'animaux s'en trouvaient trop entravés.

 

 

FIEVRE APHTEUSE- USAGE MILITAIRE

LE SAVIEZ-VOUS?

 

SURPRIS.gif

 

 

Pendant la Seconde Guerre mondiale, les Britanniques avaient développé un programme de guerre bactériologique qui comprenait des armes diffusant l'agent de la fièvre aphteuse

 

Sources : Wikipédia, The Guardian, Le Point

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17 janvier 2011 1 17 /01 /janvier /2011 00:30

MEDICAGO INC.

 

Medicago a été sélectionnée pour collaborer avec l'IDRI dans le cadre d'une subvention de plusieurs millions de dollars accordée à l'IDRI par le département de la Défense des États-Unis

-Mise au point d'un vaccin à dose unique contre la grippe H5N1 pouvant être administré rapidement et à grande échelle en cas de pandémie de grippe aviaire -

-Approuvé pour distribution publique illimitée-

 

QUÉBEC, le 11 janv. /CNW/ - Medicago Inc. ("Medicago") (TSX : MDG), société de biotechnologie spécialisée dans la mise au point de vaccins hautement efficaces à coûts abordables, fondés sur des technologies de fabrication exclusive à base de particules pseudo-virales (PPVs), a annoncé aujourd'hui qu'elle avait été sélectionnée pour collaborer avec l'Infectious Disease Research Institute (IDRI) dans le cadre d'une subvention de plusieurs millions de dollars accordée à l'IDRI par la Defense Advanced Research Projects Agency (DARPA) du département de la Défense des États-Unis, pour la mise au point d'un vaccin à dose unique contre la grippe H5N1 pouvant être administré rapidement et à grande échelle en cas de pandémie de grippe aviaire.

 

Cette importante subvention accordée par la DARPA couvre l'étude clinique de phase I d'un vaccin H5 intradermique contenant l'adjuvant à base d'AGL de l'IDRI. Le projet d'une durée d'un (1) an met en commun la technologie de fabrication de vaccin H5 à particules pseudo-virales à base de plantes de Medicago et la technologie d'adjuvant pour vaccin de l'IDRI, ainsi qu'un dispositif d'administration intradermique à micro-aiguilles. Ces trois technologies de pointe pourraient renforcer l'immunité, réduire la quantité de produit requise et simplifier la distribution et l'administration du vaccin.

 

« Notre collaboration avec l'IDRI et la DARPA témoigne de la qualité et de l'efficacité de notre vaccin antigrippal à particules pseudo-virales », a déclaré Andy Sheldon, président et chef de la direction de Medicago. « Cette collaboration de recherche pourrait contribuer à fournir des solutions uniques permettant d'accélérer la vaccination en cas de pandémie de grippe, tout en utilisant de plus faibles doses de vaccins et un mode d'administration plus simple. Nous continuons de faire progresser le développement clinique de notre vaccin H5 contre la grippe aviaire, pour lequel nous prévoyons obtenir les résultats intermédiaires de la phase II dans les semaines qui suivent.»

 

« La technologie de fabrication de vaccins à particules pseudo-virales à base de plantes de Medicago est l'une des nouvelles technologies les plus prometteuses pour la fabrication des vaccins de prochaine génération. Leur technologie à base de plantes a déjà démontré qu'elle permet de produire des souches émergentes plus rapidement que les technologies traditionnelles utilisant les œufs ou la culture cellulaire », a souligné le DSteve Reed, fondateur et directeur de la recherche et du développement de l'IDRI. « Nous sommes ravis de collaborer avec Medicago, car nous pensons que nos technologies complémentaires pourraient mener à la mise au point de vaccins plus efficaces contre une pandémie de grippe et ainsi contribuer à prévenir les maladies infectieuses dans le monde entier. »

 

Institut de recherche sur les maladies infectieuses (IDRI)

 

L'IDRI est un organisme à but non lucratif établi à Seattle, aux États-Unis, qui vise à mettre en application les innovations de la science au profit de la recherche et au développement de produits visant à prévenir, détecter et traiter les maladies infectieuses dans les pays pauvres. En intégrant les nouvelles technologies, l'IDRI s'efforce de trouver un moyen efficace de mettre en application les innovations scientifiques obtenues en laboratoire pour en faire bénéficier les personnes qui en ont le plus besoin. Pour obtenir de plus amples renseignements, consultez www.idri.org.

 

À propos de Medicago inc.

 

Medicago s'est donnée pour mandat de fournir des vaccins très efficaces et abordables reposant sur ses technologies de fabrication exclusives à base de particules pseudo-virales. Medicago met au point des vaccins à particules pseudo-virales visant une protection contre une pandémie de grippe H5N1; pour ce faire, elle fait appel à un système d'expression transitoire qui produit des antigènes de vaccins recombinants dans les cellules de plantes non transgéniques. Cette technologie a le potentiel d'offrir des avantages en matière de vitesse et de coûts par rapport aux technologies concurrentes. Elle pourrait permettre de produire un vaccin prêt pour les essais environ un mois après l'identification et la réception des séquences génétiques d'une souche pandémique. Cette rapidité de production permettrait de vacciner la population avant que la première vague d'une pandémie ne frappe, et de fournir de grandes quantités de vaccins sur le marché mondial. Pour obtenir de plus amples renseignements sur Medicago, veuillez consulter le site www.medicago.com.

 

Énoncés prospectifs

 

Ce communiqué contient des énoncés de nature prospective qui reflètent les attentes actuelles de Medicago, assujettis à certains risques et incertitudes découlant des affaires de Medicago et de l'environnement dans lequel la Compagnie évolue. Les énoncés contenus dans les présentes qui ne constituent pas des faits historiques peuvent être interprétés comme étant des énoncés prospectifs. Ces énoncés s'accompagnent fréquemment de termes tels que : « anticiper », « croire », « planifier », « estimer », « prédire », « projeter » et autres termes ou expressions analogues, dans la mesure où ceux-ci sont liés à Medicago ou à sa direction. Les énoncés prospectifs ne sont pas des faits historiques, mais reflètent les attentes actuelles de Medicago relativement à certains évènements ou résultats futurs. Ces énoncés prospectifs sont assujettis à certains risques et incertitudes qui pourraient entraîner des résultats réels différant considérablement de ceux prévus, incluant les éléments discutés dans la section «Facteurs de risques et incertitudes » de la Notice annuelle déposée le 24 mars 2010. Medicago décline toute obligation de mettre à jour ces énoncés prospectifs ou de mettre à jour les raisons pour lesquelles les résultats réels pourraient différer de ceux reflétés par les énoncés prospectifs.

 

Renseignements:

 

Contact :

Medicago inc.
Andrew J. Sheldon
Président et chef de la direction
(418) 658-9393

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Medicago inc.
Christina Cameron
Responsable des relations avec les investisseurs
(418) 658-9393 x156

 

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16 janvier 2011 7 16 /01 /janvier /2011 21:42

Les choses bougent et la prise de conscience évolue, y compris dans les médias.

C'est ce qu'on peut conclure quand on voit la manière salutaire dont le titre de cet article est noté sur le site du journal anglais Daily Mail:

 

 

"Grandmother dies from swine flu AFTER she has the jab"

 

"Une grand-mère meurt de la grippe porcine APRES qu'elle ait été vaccinée."  (traduction)

 

14 janvier 2011

 

Une grand-mère, mère de 3 enfants se croyait protégée de la grippe porcine après qu'elle ait reçu le vaccin il y a quelques mois.

 

Mais Eleanor Carruthers, de Merseyside, 68 ans est devenue la dernière victime en date de l'épidémie de samedi.

 

Mme Carruthers était sérieusement malade, souffrant d'emphysème et d'un cancer du poumon mais avait reçu la vaccination en octobre pour se protéger de la maladie.

 

Malgré cela, elle a été emmenée d'urgence au Royal Liverpool Hospital la semaine passée et y est décédée un peu plus tard. Le virus H1N1 de la grippe porcine a été enregistré comme étant une des possibles causes de son décès.

 

Elle laisse derrière elle trois enfants et son mari, Alf de 69 ans. Aujourd'hui, sa fille de 46 ans, Carole, a dit qu'ils avaient tous été choqués par la rapidité avec laquelle sa santé s'est détériorée.

 

Elle a dit: " Ce que nous ne comprenons pas, c'est que maman avait reçu le vaccin en octobre, parce qu'elle était dans un "groupe à risque"."

 

"Et bien qu'elle était malade, elle allait bien jusqu'à se que sa respiration ne s'altère très rapidement ce samedi matin."

 

"Cela s'est produit si soudainement. Elle est décédée cette nuit."

 

"J'ai été malade au Nouvel An et j'avais demandé aux médecins si je devais rester à l'écart de ma mère mais ils m'ont dit que le vaccin la protégerait contre la grippe."

 

Carole ajoute: " Je me sens totalement perdue sans elle et mes deux frères Alan et John  ne savent pas quoi faire eux non plus."

 

"Mon père est également tellement perdu, il connaissait ma mère depuis qu'il avait 7 ans et cela faisait 47 ans qu'ils étaient marriés."

 

"Elle était une femme heureuse et aimante, elle se serait sacrifiée pour vous. Elle était à ce point pleine de vie que la famille sera bien vide sans elle, qui en était le centre."

 

Les services nationaux de santé (NHS, National Health Services) disent que le vaccin octroie une protection de l'ordre de 70 à 80% contre la grippe.

 

Une porte-parole de la section des soins de premières lignes de Liverpool a dit: "Bien que nous ne pouvons pas commenter des cas individuels, c'est évidemment un triste évènement pour la famille de la personne concernée et nos pensées vont à eux."

 

"Les avis des experts de l'OMS, du comité de liaison sur les vaccinations et du ministère de la santé consistent à dire que la vaccination antigrippale est une vaccination hautement efficace et le meilleur moyen pour les groupes à risque de se protéger du virus."

 

Suivant les dernières statistiques en dates, la grippe a fait 112 décès depuis octobre et le nombre d'entre eux a plus que doublé par rapport à la semaine passée.

 

Parmi ces décès, 95 personnes étaient porteuses de la souche H1N1 et la majorité d'entre eux sont survenus chez des gens de moins de 65 ans.

 

L'Agence pour la Protection de la Santé a dit que bien que les décès liés à la grippe aient plus que doublé par rapport aux 50 survenus jusqu'à la semaine passée, la plupart d'entre eux sont survenus en décembre.

 

"En raison de la surcharge de travail accumulée suite aux vacances d'hiver, ces cas ont seulement été confirmés cette semaine." a expliqué un porte-parole.

 

Le Pr John Watson, chef du service des maladies respiratoires à l'Agence de Protection de la Santé s'est exprimé en disant: " Notre dernier rapport sur la grippe suggère que le nombre de consultations pour symptômes grippaux a atteint son pic mais cela pourrait être trompeur vu la récente période de vacances."

 

Le nombre de gens en soins intensifs en Angleterre a baissé de 783 personnes la semaine dernière à 661. La majorité de ces cas concernent des adultes dans la force de l'âge avec 70 décès parmi les 15-64 ans. Il y a eu 9 cas parmi les 5-14 ans et 6 décès chez des enfants de moins de 5 ans.

 

 

Source: The Daily Mail

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15 janvier 2011 6 15 /01 /janvier /2011 22:19

Voici ce que nous apprend le Pr Marc Gentilini, au cours de l'émission "Médicaments: scandale ou psychose?" (C'est dans l'Air, France 5) du 6 janvier dernier:

 

 

 
 
 
Voici ce qu'il faut comprendre quant à l'utilité de ces fausses mesures humanitaires:
 
 
 
 

 

 

                          Ce scandale peut ainsi se résumer par ce dessin:

   

BACHELOT-AFRIQUE.jpg

 

Prudence donc quand on nous parle d'aide humanitaire sous couvert de l'OMS et des agences satellites qui appliquent "ses consignes"! Sachons à qui nous donnons de l'argent et vérifions s'il aide réellement les gens, sur le terrain... 

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15 janvier 2011 6 15 /01 /janvier /2011 21:13

C'est paru dans le journal anglais The Guardian, le 6 janvier 2011.

 

Les officiels de santé britanniques vont puiser dans leur stock de millions de doses de vaccins H1N1 Pandemrix de 2009. Et donc, la consigne est donnée aux médecins de terrain de les réutiliser.

 

Dans cet article, on peut lire que l'Agence de Santé britannique a fait état de 45 décès attribués au H1N1 et 5 au virus de souche B. Des chiffres sont cités au sujet de la répartition des décès en fonction de l'âge. Et d'autres chiffres parlent des gens hospitalisés en soins intensifs.

 

Le tableau dressé est très noir mais il fallait aussi une touche émotionnelle.

Elle fut toute trouvée dans la réaction de parents dont la fille est décédée 2 semaines après avoir accouché, des suites d'une infection H1N1: "Nous pressons toutes les personnes à risque, et particulièrement les femmes enceintes, de se faire vacciner contre la grippe."

 

Voilà bien un message de type émotionnel dont la rationalité  ne résiste pas à une analyse sérieuse: non seulement leur fille aurait pu quand même décéder tout en étant vaccinée (comme divers cas l'ont montré en Grande-Bretagne notamment) mais en plus, les décès et infections grippales pourraient bien se doubler de décès et de complications graves post-vaccinales en cas de vaccination massive de la population.

 

Ne l'oublions pas: Aux USA, les médicaments causent annuellement au moins 106 000 décès (!!) selon une étude publiée dans le Journal of American Medical Association en 1998 [Lazarou J; Pomeranz BH; Corey PN. Incidence of adverse drug reactions in hospitalized patients: a meta-analysis of prospective studies. JAMA, 1998 Apr 15, 279(15):1200-5. ]

 

Et rien qu'en France, il était estimé dès 97' dans un rapport remis au ministre de la santé de l'époque, Bernard Kouchner, que les médicaments causent 18 000 décès et 150 000 hospitalisations par an.

 

En admettant même que les chiffres anglais soient moitié moins élevés que les chiffres français, en raison d'une consommation médicamenteuse moindre (pour une population aussi nombreuse d'environ 60 millions d'habitants), cela resterait très au-dessus des chiffres de décès et d'hospitalisations attribués au H1N1 actuellement dans ce pays...

 

Ce type de rappel est hélas rarement de mise dans ce type d'articles qui préfèrent leur substituer une sorte de "sensationnalisme" où la peur fait figure de fond de commerce et empêche en réalité toute réflexion de fond.

 

Après le fiasco du H1N1, certains s'interrogent même sur la réalité de ce type d'"information", se demandant si ce n'est tout simplement pas un coup de pub que d'annoncer ainsi une "pénurie de vaccins". Allez bonnes gens, y en aura pas pour tout le monde...(et il faut dire qu'ils ont le temps de voir venir avec leurs stocks de plusieurs millions de doses de vaccins de 2009 pas encore écoulés suite à l'immense polémique qu'ils ont suscitée!)

 

 

 

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6 janvier 2011 4 06 /01 /janvier /2011 15:37

30 décembre 2010

 

 L'épidémie de grippe 2010 : c'est le virus B qui domine ! [extrait]

 

Abréviations :

InVs= Institut de Veille Sanitaire en France

Grogs= Groupes régionaux d’observation de la grippe

 

 

On nous l'avait prédit : le virus pandémique H1N1 allait écraser tous ses concurrents. Une fois de plus les experts sont pris à revers par les virus qui semblent avoir plus d'un tour dans leur sac. Si le H1N1 nouveau est présent en France pour la semaine de Noël 2010, le H3N2 est là aussi. Tous les deux sont du type A mais c'est surtout le virus de type B qui domine comme le titre le bulletin InVS du 29 décembre 2010

 

Pour la semaine 52, la dernière de l'année 2010 (du 27/12/2010 au 02/01/2011), les réseaux Sentinelles, Grogs et l'InVS viennent de publier leurs bulletins respectifs sur la grippe. Les Grogs semblent prendre leurs désirs pour la réalité puisqu'ils annoncent que le virus H1N1 semble devenir majoritaire alors que le réseau a lui-même identifié davantage de virus B que (H1N1)v au cours de la semaine 52 : 76 de type B contre 47 de type A(H1N1)v !

 

Regardons donc cette anomalie de plus près.

 

Le bulletin InVS du 5 janvier 2011 écrit : 

 

«La distribution du virus dans la population générale est étudiée a partir des prélèvements réalisés par le Réseau des Grog qui a permis d’identifier 357 virus grippaux depuis le début de la surveillance. Ils se repartissent de la façon suivante :

 

- 53% (n=188) virus grippaux de type A : 32% A(H1N1)v, 12% A(H3N2), 9% A non sous-types,

- 47% (n=167) virus grippaux de type B,

- 1% (n=2) virus grippaux de type C. »

 

En faisant les différences avec les totaux de la semaine 51 données auparavant dans cet article, on trouve en plus pour la semaine 52 :

 

(H1N1)v : 47; H3N2 : 9;  Type B: 76

 

De plus, les CNR (Centres national de référence) ont trouvé, toujours selon le bulletin InVS :

  

« Les CNR ont caractérisé antigéniquement 160 des 795 virus depuis le début de la surveillance :

39 virus A(H1N1)v, 35 virus A(H3N2) et 86 virus B, tous apparentes aux souches vaccinales, sauf 1 virus B de lignage Yamagata. »

 

En faisant de même les différences avec la semaine 51 on trouve :

 

H1N1 : 19; H3N2 : 14; Type B : 29

 

Pour les 2 centres d'observations, Grogs et CNR, le virus de type B a été plus fréquemment trouvé que le H1N1, ce qui n'empêche pas les responsables du réseau Grogs de titrer dans le bulletin de la semaine 52 :

 

« Les trois types de virus A(H1N1)2009,  A(H3N2) et B continuent de co-circuler, mais le virus grippal A(H1N1)2009 semble devenir majoritaire. »

 

alors que l'InVS, plus prudente, se contente d'écrire :

 

« Tendance à la hausse de la proportion du virus A(H1N1)V dans les prélèvements effectués en population générale »

 

Notons que le réseau des Grogs est en partie financé par l'Institut Pasteur :

 

« Financement 2009

 

Le budget est financé à 80 % par la Direction Générale de la Santé et l’Institut de Veille Sanitaire.

Autres financements : Institut Pasteur, URML Midi-Pyrénées etc... »

 

Ajoutons qu'en faisant les mêmes comparaisons entre les semaines 50 et 51 (bulletins InVS) je trouve 30 virus de type A(H1N1)v en plus contre 39 de type B. Si on regarde les variations des nombres de virus testés par les Grogs entre les semaines 51 et 52 on constate :

 

Semaine

Type A(H1N1)v

Type B

51

30

39

52

47

76

Rapport

1,57

1,95

 

Conclusion : l'accroissement du nombre de virus de type B a été plus importante que celle du typeA( H1N1)v ...

 

 

Notons également que, dans le même article, il est fait mention d'un cas sérieux chez un patient vacciné:

 

Réseau Sentinelles de réanimation

 

Celui-ci précise, pour la semaine 51 (Noël) (bulletin InVS):

 

« Parmi les 15 cas graves du réseau, 8 étaient liés au virus A(H1N1), 1 au virus A(H3N2), 2 au virus B , 3 étaient en attente de typage et 1 cas n’a pas été confirmé. Six personnes n’avaient pas de facteur de risque connu. Un patient était vacciné. Une personne est décédée : elle n’avait pas de facteur de risque. »

 

 

Source: La question des Vaccins

 

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4 janvier 2011 2 04 /01 /janvier /2011 17:39

Dans un communiqué de presse daté du 6 décembre 2010, l'Agence Européenne du Médicament (EMA) signale que la firme Sanofi Pasteur lui a officiellement notifié le retrait de sa demande d'autorisation de mise sur le marché pour son vaccin EMERFLU, un vaccin contre la grippe pandémique H5N1 ( à virion fragmenté, inactivé et adjuvanté) de souche A/Vietnam/1194/2004 NIBRG- 14, dosé à 30 µg d'hémaglutinine + hydroxyde d'aluminium (comme adjuvant), en suspension pour injection.

 

Ce médicament était prévu pour être utilisé comme prophylaxie de la grippe en cas de situation pandémique déclarée. Un dossier de base avait été déposé dans le contexte de prévention grippale dans une situation de pandémie déclarée, conformément à la procédure des "vaccins prototypes" ("mock up vaccine")

 

La demande d'autorisation de mise sur le marché (AMM) avait été introduite le 27 avril 2007. EMERFLU a reçu un avis négatif du comité d'évaluation des médicaments à usage humain (CHMP) le 19 mars 2009 et au moment du retrait de cette demande, une décision de la part de la Commission Européenne était en attente.

 

Dans sa lettre officielle, la compagnie a déclaré que sa décision de retrait était basée sur l'avis du Comité d'évaluation des médicaments à usage humain (CHMP), lequel avait estimé que les données fournies ne lui permettaient pas de conclure à un rapport bénéfices/risques favorable.

 

Plus d'informations concernant Emerflu et le stade d'avancement de l'évaluation scientifique au moment du retrait, seront disponibles dans un document de questions/réponses.

Ce document, accompagné de la lettre de la compagnie seront publiés sur le site internet de l'Agence après le prochain meeting du CHMP du 13-16 décembre 2010.

 

 

Ce communiqué comporte notamment, sous forme de notes de bas de page:

 

- un lien renvoyant au présent communiqué et à la lettre de la firme (nous n'avons pas pu trouver la lettre, qui sait, peut-être avons-nous mal cherché?)

 

- un lien vers un document de questions/réponses sur le site de l'Agence

 

- le point 3, plus que piquant puisqu'il indique textuellement: "Le retrait d'une demande ne supprime en rien la possibilité pour la compagnie d'introduire une autre demande, à un stade ultérieur."

 

 

L'avis d'Initiative Citoyenne:

 

Ce texte est intéressant à plus d'un titre!

 

Tout d'abord, il renseigne sur des dates intéressantes.

Une demande d'AMM en 2007 pour ce très obsédant virus aviaire (encore et toujours).

 

Ensuite, le renvoi à une utilisation "en cas de situation pandémique déclarée" mais, nous le savons tous, la responsabilité de cette déclaration revient à.... l'OMS! Une agence, désormais tellement peu crédible qu'elle est de moins en moins mentionnée.

 

On se trouve encore et toujours avec cette fameuse procédure des vaccins-maquettes qui a bon dos mais permet à l'industrie de faire passer ses vaccins comme plus sûrs qu'ils ne sont, alors que pour divers médicaments, le simple changement d'un excipient impose des révisions des dossiers d'AMM qui prennent des mois et des années!

 

Ensuite, dans le document de questions/réponses sur le site de l'Agence, on peut lire que la raison invoquée de la part de l'Agence est surtout un manque de production d'anticorps suscité par le vaccin et on peut voir qu'ils ne s'attardent certainement pas sur les risques concrets du vaccin, aucun détail, rien.

 

Faut-il le rappeler, il est toujours préférable de ne pas affoler le public dans la perspective d'autres vaccins (on parle tellement de futures pandémies!) ET DONC de dire "le vaccin n'était pas assez efficace" plutôt que "le vaccin était trop dangereux".

 

Dans l'émission diffusé sur Arte, fin 2007, "le vaccin, un geste anodin?", on pouvait entendre un scientifique anciennement membre de l'Institut allemand Paul Ehrlich, expliquer que lors du retrait du vaccin pour nourrisson "Hexavac", l'Agence Européenne du médicament avait là aussi évoqué "une production insuffisante d'anticorps contre la valence hépatite B" plutôt que la vérité, moins flateuse pour la firme productrice Sanofi, à savoir que le vaccin provoquait un excès de décès de nourrissons par oedèmes cérébraux!

Là aussi, invoquer cette raison a permis de favoriser le fabricant qui a pu retirer en douce son produit sans faire trop de vagues et sans que les enquêtes de sécurité soient menées! 

 

 

 

TOUBIB

 

 

Puisque ce refus d’autorisation remonte déjà à mars 2009 et qu’il n’avait pas fait le moindre bruit, on peut se demander pourquoi nous en sommes avertis si tard de façon plus bruyante et donc si ce communiqué de l’Agence Européenne ne tombe pas à pic à présent, juste après le fiasco du H1N1, comme pour faire croire que « pour certains vaccins, ils savent quand même dire NON », en somme que cette agence mérite encore un peu de crédibilité. En attendant l’arrivée de futures pandémies et de futurs vaccins qui risqueront de faire couler encore beaucoup d’encre quant à la confiance du public…

 

Autre question qui s'impose également dans ce dossier c'est POURQUOI & COMMENT ce même vaccin refusé le 19 mars 2009 par l'Agence Européenne du Médicament a-t-il pu obtenir une autorisation de mise sur le marché de l'Agence Australienne du médicament le 26 mars 2009 soit une semaine plus tard?!



Pourquoi un tel vaccin prépandémique a-t-il été autorisé par l'agence américaine (FDA) dès 2007 alors qu'un an auparavant, cette agence avait indiqué que la firme Sanofi Pasteur produisait des vaccins antigrippaux contaminés (Fluzone)? Surtout que cette contamination des vaccins grippaux saisonniers s'était produite sur le même site de fabrication du vaccin aviaire de Sanofi, en Pennsylvanie....

 

 

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2 janvier 2011 7 02 /01 /janvier /2011 02:04

Un vaccin universel contre la grippe constitue, dans l'esprit des scientifiques, un produit qui ne devrait être administré qu'une seule fois et qui serait efficace contre tous les types de virus grippaux soit pas seulement de façon sélective, comme ils le conçoivent année après année, avec le vaccin saisonnier traditionnel.

 

Pour plusieurs chercheurs, découvrir un tel vaccin universel contre la grippe serait une fort bonne chose: les plus naïfs d'entre eux pensent que cela permettrait de rendre le vaccin saisonnier (inefficace) plus efficace et que cela améliorerait la compliance c'est à dire la docilité avec laquelle les gens accepteront de se faire vacciner.

 

Outre les risques inévitables de "retour de bâton" de la part de la Nature (si un vaccin prétend faire barrage à tous les types connus de virus grippaux, la réponse sera forcément au rendez-vous avec la création naturelle de nouveaux virus de la même espèce ou d'autres, pour compenser, car la Nature a horreur du vide), il y a aussi un inévitable risque d'ordre démocratique posé par une telle "innovation".

 

Et de fait, cette prétendue "avancée" qui sera plus que probablement présentée comme un "progrès scientifique" et proclamée comme telle sans l'ombre d'un débat contrdictoire, risque d'être réclamée par différents secteurs privés (employeurs etc) voire imposée par la puissance publique, pieds et poings liés avec les lobbies du secteur.

 

Ce risque démocratique n'est, hélas, en rien un fantasme ou une exagération. Il est réel.

Et l'on en prend d'autant plus conscience quand on lit un passage d'un article paru tout récemment dans "Le Généraliste" n° 991 du 16 décembre 2010:

 

"Les avantages du vaccin universel sont légion. Les vaccins antigrippaux actuels sont produits dans des unités de hautes technologie, avec une limitation liée à la culture sur oeufs et à la vitesse limitée de la production. Un vaccin universel contre la grippe peut recourir à d'autres procédés et être produit assez facilement en très grandes quantités. La production à grande échelle permet également de ne plus se poser la question des personnes à vacciner en premier lieu, ce qui arrive lorsque l'offre est limitée."

 

 

Une fois encore, il est bon de décoder car le public n'a pas accès à ce type d'article.

Une fois encore transparaît la volonté d'une vaccination de masse. Par principe.

Le débat est impossible, il n'a pas eu lieu et déjà on parle de production "en très grandes quantités" et on évoque finalement à demi-mots, une vaccination bien au-delà des "publics-cibles" habituels. De quoi donc s'interroger à nouveau sur la possibilité d'une future obligation vaccinale....

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1 janvier 2011 6 01 /01 /janvier /2011 23:52

Selon un article de la BBC du 28 décembre dernier, "les enfants de moins de 5 ans n'ont pas été inclus dans le programme de vaccination antigrippale de cette année pour des raisons médicales et non financières" a dit le gouvernement.

 

Le secrétaire d'état à la Santé, Andrew Lansley, a accepté les avis indépendants de ne pas répéter l'injection aux enfants comme l'année dernière.

 

Ce même comité (JCVI) avait pourtant recommandé la vaccination antigrippale H1N1 aux moins de 5 ans, l'année passée.

 

Dans son rapport, ce comité a rappelé n'avoir jamais recommandé la vaccination antigrippale saisonnière chez les moins de 5 ans n'appartenant pas à un groupe à risque.

 

Le Pr Oxford a expliqué qu'avec le virus H1N1 (inclus dans le vaccin saisonnier actuel), il faut plutôt se concentrer sur la jeunesse parce que la population plus âgée y est moins sensible mais a admis que " les jeunes gens sont les plus difficiles à persuader qu'ils ont besoin de consulter un médecin ou de prendre un médicament."

 

Le Ministre de la santé s'est cependant empressé de dire qu'il n'y a pas de souci à se faire sur le vaccin, que c'est un mode de prévention efficace etc..

 

Le parti politique du Labour a critiqué la décision en estimant que cela laissait les enfants démunis face à la grippe.

 

Le Ministre a critiqué le Labour qu'il accuse d'opportunisme politique en pointant du doigt le fait que critiquer des avis indépendants risquait de diminuer la confiance du public vis-àvis des programmes de vaccination.

 

Le Ministre a également estimé qu'il était inutile d'investir des grosses sommes d'argent dans une campagne généralisée de vaccination pour l'ensemble de la population.

 

 

----------------------------------------------------------------------------

 

 

Cette décision est une décision de bon sens.

Si nous analysons le graphe ci-dessous, nous pouvons en effet VOIR que lorsque les CDC américains ont imposé une vaccination antigrippale aux enfants de moins de 5 ans, en 2002, cela s'est soldé par une hausse très conséquente de la mortalité par la grippe chez cette tranche d'âge. En d'autres termes, ce vaccin est d'une inutilité TOTALE dans ce groupe d'âge, pire, il aggrave le risque et il empire la situation:

 

 

Under 5 deaths

 

 

 

Mais, alors que les Britanniques reçoivent des avis qui ne sont pas en faveur de la vaccination des moins de 5 ans, ici, en Belgique, on peut lire tout l'inverse!!

 

En effet, un article paru dans la revue belge "Le généraliste" (n°984), est même intitulé: "Vacciner contre la grippe: un peu plus encore?"

 

"Pour le professeur Van Damme, les recommandations et les objectifs de la vaccination contre la grippe pourraient encore évoluer et entraîner des besoins accrus en doses vaccinales. Cela pourrait passer par de nouveaux vaccins et de nouvelles méthodes de production."

 

"La question de la vaccination des enfants a été très discutée au cours de la pandémie H1N1. La Belgique avait commandé deux doses de vaccin par enfant.

Mais pourquoi notre jeune descendance ne fait-elle pas partie des groupes cibles dans les recommandations contre la grippe saisonnière?"

 

Pierre Van Damme explique: " Bien que la morbidité liée à la grippe saisonnière classique soit limitée chez l'enfant, plusieurs pays- comme les Etats-Unis et le Japon- ont pourtant choisi de vacciner ce groupe d'âge. Le but recherché est de limiter bien plus la transmission que la morbidité chez l'enfant. Le virus circule très vite dans les structures où les enfants entrent souvent en contact les uns avec les autres- comme les crèches ou les écoles- ce qui peut représenter une source importante de contamination pour les adultes. De telles communautés peuvent constituer le point de départ potentiel d'une épidémie. Cependant, il est clair que tout le monde n'emboîte pas le pas à la stratégie américaine et japonaise: les autorités de nombreux pays demandent plus de données sur la sécurité de cette vaccination chez les enfants avant de les vacciner systématiquement et de manière répétée. Par ailleurs, une telle stratégie ne peut qu'augmenter fortement les besoins en doses de vaccin."

 

" Les besoins plus élevés qu'entraînent les campagnes de sensibilisation et les modifications des recommandations nous font rechercher des méthodes qui, d'une part, permettraient de produire plus rapidement et plus facilement des antigènes et, d'autre part, seraient plus économes en antigènes- par l'adjonction de substances facilitatrices ou par d'autres modes d'administration. Un de ces progrès a été réalisés sous la forme d'un vaccin vivant atténué, d'ores et déjà disponible aux Etats-Unis."

 

 

DECODAGE

 

 

Il est très important de décoder ce qui se trouve dans ce texte publié dans une revue médicale, destinée aux médecins et dont le contenu échappe par définition au public tout venant....

 

Le Pr Van Damme, expert notoirement lié à différents fabricants de vaccins, est aussi membre de la section "Vaccination" du Conseil supérieur de la Santé (CSS), en Belgique.

 

Dans cet article, se trouvent différents aveux plus ou moins implicites ou explicites:

 

1°) Dans son optique vaccinaliste, vacciner les enfants aura un bénéfice individuel proche de zéro. Cela est seulement supposé avoir un effet favorable sur la collectivité.

D'ailleurs, il le dit, les enfants ont une faible morbidité liée à la grippe, ce qui veut dire qu'ils ne font que rarement des complications liées à cette maladie. La vaccination ne protégera donc pas d'un grand risque individuel, son bénéfice est donc bien proche de zéro au niveau individuel (N'est-ce pas là le vieux principe d'une société totalitaire/primitive: le sacrifice d'une minorité pour le soi-disant bien de la majorité?)

 

2°) On remarque de façon évidente son enthousiasme pour la vaccination des enfants. Or il est membre du Conseil supérieur de la Santé MAIS AUSSI LIE A L'INDUSTRIE QUI A TOUT INTERÊT à de telles mesures "expansionnistes".

 

3°), Quand il est question de la production vaccinale, il parle en tant que "nous", autrement dit, il parle au nom de cette industrie à laquelle il est lié de façon inextricable (mélange et confusion d'intérêts à leur paroxysme)

 

4°) Il est également question de "modifications des recommandations" (qui varient au gré des industriels de la pharmacie) ainsi que de "sensibilisation" (autrement dit, de manipulation via des subterfuges grossiers comme des mesures de gratuité ou la culpabilisation des gens avec des slogans détestables adressés au personnel de santé comme "Ne Soyez pas égoïstes: faites-vous vacciner!"

 

 

 

Ne-soyez-pas-egoistes.jpg

 

 exemple de "sensibilisation" aux allures de propagande avec sa sauce culpabilisante 

 

 

 

 

Au sujet des enfants, mêmes réticences chez le personnel soignant

 

 

De la même façon que le personnel soignant ne court pas se faire vacciner contre la grippe, il ne se précipite pas non plus pour vacciner ses propres enfants.

 

On peut donc d'autant plus se poser la question du double discours quand on sait que, selon la revue "Le généraliste" n°992, seul 1 enfant sur 5 (21,1%) était vacciné contre le H1N1 au sein du personnel paramédical et 1 enfant sur 3 (32,7%) chez les enfants de médecins.

 

Mais, pendant que le personnel soignant reste en grande partie imperméable à la propagande vaccinale pour lui-même, il y a de quoi s'inquiéter de l'impact de cette propagande pour la santé des patients avec qui ce personnel travaille. Car il faut dire que la propagande ne manque pas. Pour la vaccination des enfants et des femmes enceintes non plus bien sûr.

 

Les exemples d'articles partiaux ne manquent ainsi pas. Citons par exemple celui-ci:

"Vaccin antigrippal chez la future mère= protection du nouveau-né"

 

Nous avons vu dans un précédent article à quel point cette affirmation est scientifiquement contestable.  

 

 

"Gare à la grippe préop' ignorée"

 

Dans cet autre article, on peut notamment lire:

 

"Faudrait-il réaliser-surtout en période grippale- un test diagnostique avant l'admission en clinique chez les enfants qui sont programmés pour une intervention non urgente? Ou les vacciner d'office? "

 

 

 

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