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24 décembre 2016 6 24 /12 /décembre /2016 12:29

L'Ordre des Médecins, institution poussiéreuse créée sous le régime de Vichy, vient encore d'illustrer ses préférences. En radiant le Pr Even et en soutenant le Pr Joyeux, cet Ordre aide de facto les citoyens-patients à comprendre en quoi et pourquoi une personnalité comme Philippe Even est jugée beaucoup plus gênante et dérangeante que le très convenu Pr Joyeux (lequel se dit d'ailleurs ouvertement partisan de l'obligation vaccinale...) qui n'avait hélas pas hésité à recommander à la radio la vaccination antigrippale des fumeurs -qui sont déjà plus à risque de cancer-, tout en ayant pourtant dénoncé au préalable la présence de formaldéhyde cancérigène dans les vaccins pour enfants (pourtant aussi présent dans les vaccins antigrippaux, lesquels sont aussi dispensés de tests de leur potentiel cancérogène!).

 

Le Pr Even, ex doyen de la fac de médecine de Necker est notamment le co-auteur avec Bernard Debré du livre "Guide des 4000 médicaments utiles, inutiles ou dangereux".

 

Le Pr Even, qui connaît très bien les rouages de la mafia médico-pharmaceutique, avait tenu un langage beaucoup plus impitoyable et porté un regard beaucoup plus lucide que le Pr Joyeux sur la triste réalité du caractère expérimental des vaccins, comme l'illustre notamment la vidéo suivante: 

Il avait aussi dénoncé le caractère bidon et non fiable des essais cliniques, une réalité qu'Initiative Citoyenne dénonce déjà depuis des années, preuves à l'appui, en ce qui concerne les vaccins.

 

Sa radiation est une réaffirmation, comme un (triste) sceau dans la cire, des valeurs véritables de l'Ordre des Médecins pour qui la confraternité et la moralité consistent surtout en la promotion éhontée du tout médicamenteux, bien avant l'intérêt premier des patients et leur droit à l'information...

 

Le Pr Philippe Even radié de l'Ordre des médecins

 

SANTE Il « a manqué à ses obligations de moralité et à son devoir de confraternité», selon la chambre disciplinaire…

 

20 Minutes avec AFP

Philippe Even dans son bureau. Paris, le 10 janvier 2011. - SIMON ISABELLE/SIPA

Philippe Even dans son bureau. Paris, le 10 janvier 2011. - SIMON ISABELLE/SIPA

Publié le 16.12.2016

 

C’est une lourde sanction. Le Pr Philippe Even, auteur de nombreux ouvrages controversés dont le Guide des 4.000 médicaments utiles, inutiles ou dangereux écrit avec le Pr Bernard Debré, a été radié de l’Ordre des médecins.

 

Cette décision qui n’est pas encore définitive, a été prise après la publication d’un ouvrage intitulé Corruption et crédulité en médecine publié aux Editions du Cherche-Midi en septembre 2015, a précisé la chambre, confirmant une information du Quotidien du Médecin.

 

« Des propos méprisants et diffamatoires »

 

Dans sa décision rendue publique le 13 décembre, la chambre reproche au Pr Even d’avoir tenu « des propos méprisants et diffamatoires » face à des confrères qu’il avait notamment traités de « putains académiques » ou qu’il avait comparés à une « mafia ».

 

En faisant cela, le Pr Even « a manqué à ses obligations de moralité et à son devoir de confraternité et « a gravement déconsidéré la profession médicale » ajoute la chambre qui a décidé de le radier du tableau de l’Ordre. La décision de radiation de la chambre disciplinaire, présidée par une magistrate, prendra effet le 1er avril 2017, si à cette date elle est devenue définitive, faute d’appel du pneumologue.

 

« Je me fiche éperdument de l’avis du Conseil de l’Ordre »

 

Le Pr Even, 84 ans, ancien doyen de la faculté de médecine de Necker, a indiqué qu’il n’avait pas l’intention de faire appel et qu’il considérait même qu’il s’agissait d’une « décoration ».

 

« Je n’exerce plus depuis 16 ans », précise-t-il, « et j’ai obtenu ma désinscription du tableau de l’Ordre le 27 septembre 2015, quelques jours après la publication de Corruption et crédulité en médecine, un ouvrage dans lequel il dénonce la collusion entre les laboratoires et certains médecins. « J’avance dans ce que je crois être ma vérité, je me fiche éperdument de l’avis du Conseil de l’Ordre », ajoute-t-il.

 

Source : 20minutes.fr

 

Voir aussi:

 

Montpellier : le Pr Joyeux soutenu par l’Ordre des médecins

 

Ordre des médecins, l’improbable réforme ?

 

>> A lire aussi : Le Pr Even accuse les labos de faire du « business »

 

>> A lire aussi : L'Ordre des médecins fustige le dernier livre à charge du Pr Even

 

Tous les vaccins sont expérimentaux: voici pourquoi

 

Vaccins: le vrai scandale des faux placebos

 

Dr Saluzzo de Sanofi Pasteur: "on ne sait pas comment marchent les vaccins"!

 

La fausse science vaccinale ne s'appuie que sur des dogmes et des postulats, elle ne veut surtout rien vérifier... c'est bien trop risqué!

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23 décembre 2016 5 23 /12 /décembre /2016 19:04

« Tous les parents doivent savoir ce qui arrive à nos enfants »

 

    Donovana Interviewée par Polly Tommey, VAXXED  Tour, décembre 2016

Vaccins: tous les parents doivent savoir ce qui arrive à nos enfants !

Mon histoire commence en 2007 quand mon neveu Donovan est né. Il était en parfaite santé et rayonnait la joie. Alors qu’il allait avoir deux ans, il a, comme cadeau de Noël, reçu un petit train. Il s’exprimait déjà très bien et répétait : « Voici l’express, tout le monde en voiture ! »

Vaccins: tous les parents doivent savoir ce qui arrive à nos enfants !

Quelques mois plus tard mon frère amena Donovan chez moi. Il avait le nez cassé, des problèmes aux yeux. On aurait dit qu’il n’était plus présent. Je me rappelle m’être demandé : mais que diable a-t-il bien pu arriver à ce petit ? J’ai très vite pensé que quelqu’un avait dû le maltraiter. Je l’ai conduit à l’hôpital pour qu’on me dise ce qui était arrivé à mon petit neveu. Comme il n’était pas beau à voir, les médecins et infirmières ont immédiatement fait appel au CPS. Le personnel médical m’a tout de suite fait comprendre que l’enfant avait vraiment dû être maltraité, qu’on l’avait peut-être poussé dans les escaliers tant il était mal arrangé.

Vaccins: tous les parents doivent savoir ce qui arrive à nos enfants !

Mon frère m’a expliqué que le petit se frappait la tête contre la table, contre le mur, contre tout ce qui était à sa portée. Les médecins, eux, m’ont dit que des enfants aussi jeunes ne pouvaient pas se faire du mal de pareille façon. Ils continuaient à prétendre que quelqu’un avait dû le maltraiter. Nous ne comprenions rien à toute cette affaire.

 

Quelques mois plus tard, on a retrouvé mon petit neveu sur l’autoroute ! Il avait alors deux ans. La police est parvenue à le récupérer et à le ramener chez mon frère qui, à ce moment, était en train de dormir.

 

Ayant été avertie, je me suis précipitée chez mon frère, et lui ai dit qu’il devait un peu mieux surveiller son petit garçon qui était encore si jeune. Mon frère m’a affirmé qu’il avait pris toutes les précautions de sécurité, que toutes les portes étaient fermées à clef et qu’il ne savait pas du tout comment il avait pu s’échapper. J’étais malgré tout fâchée sur mon frère qui ne parvenait pas à garder son petit à la maison.

 

Un mois plus tard, ce sont des voisins qui ont retrouvé l’enfant sur la rue. Ils l’ont ramené chez eux en attendant l’arrivée de la police. C’était la troisième fois que la police devait intervenir pour cet enfant pour maltraitance ou négligence.

 

Je me suis dit qu’il fallait que tout cela cesse. Je ne veux plus voir mon petit neveu avec toutes ces blessures et contusions. J’ai alors pris le téléphone et appelé le CPS. Je leur ai expliqué qu’il y avait quelque chose qui ne tournait pas rond. Le petit avait en outre arrêté de parler; il hurlait aussi pendant des heures, ne me regardait plus. Il ne supportait plus d’être touché; cet enfant n’était plus du tout le même. Quelqu’un avait dû le traumatiser gravement.

 

Comme il s’agissait du troisième rapport de police, l’enfant devait être placé. On a fait savoir à mon frère que le petit serait placé à cause des mauvais traitements qu’il avait reçus. C’est alors que mon frère s’est suicidé. La dernière chose qu’il a faite fut de m’appeler pour me dire : « J’aime mon petit garçon ; je ne l’ai jamais maltraité, mais personne ne veut me croire. Je te demande de bien vouloir t’en occuper ; tu seras une excellente maman pour lui. Je t’aime beaucoup ». 

Vaccins: tous les parents doivent savoir ce qui arrive à nos enfants !

C’est la police qui m’a ensuite fait savoir qu’il était mort.- Et maintenant, le pire de tout. Quand nous avons pu obtenir la garde de Donovan, les services sociaux m’ont fait savoir que le pédiatre avait enregistré que ses bilans de santé avaient été normaux jusqu’à Noël. C’est à cette époque qu’il avait perdu le contact visuel, ne savait plus parler et qu’il avait changé à un tel point qu’on nous a recommandé de le faire examiner pour savoir s’il ne souffrait pas d’autisme.

 

A cette époque je faisais mes études de médecine. Je croyais savoir un peu ce qu’était l’autisme. J’ai néanmoins conduit Donovan pour ces examens tout en pensant que je perdais mon temps.

 

Le psychologue m’a dit qu’il lui semblait que j’étais dans le déni parce que Donovan était bel et bien atteint d’une forme très sérieuse d’autisme.

 

En effet, il ne sait plus vous regarder, il ne sait plus parler, aller aux toilettes. Lors des examens, il a continué à se taper la tête sur la table. Le psychologue m’a dit qu’il était vraiment très malade et qu’il était grand temps que je cherche un institut pour lui parce que quand il serait plus grand il serait capable de vous frapper et vous ne pourriez plus le supporter.

 

Alors que le psychologue m’expliquait ces choses, je n’ai pas pu m’empêcher de penser que nous avions été complètement dans l’erreur : personne n’avait jamais  maltraité Donovan. Il s’est blessé lui-même parce qu’il avait régressé et était devenu autiste.

 

Bien que je croyais connaitre l’autisme, tous les signes que l’enfant donnait m’ont en fait échappé parce que ce qu’on m’avait appris sur l’autisme était totalement différent. On avait toujours attiré mon attention sur le fait que quelqu’un avait agressé Donovan. On ne m’avait jamais dit qu’un autiste pouvait s’échapper, se blesser, se frapper la tête contre les murs. On m’avait toujours dit qu’il n’était pas possible que l’enfant se frappe la tête contre des objets au point de se casser le nez.

 

J’ai tellement regretté ne pas m’être mieux informée. Je voudrais tellement pouvoir dire à mon frère que je regrette. Mais il est maintenant trop tard.

 

Nous avons donc adopté Donovan et faisons l’impossible pour le soigner. Heureusement, il va de mieux en mieux. Il ne devra pas être pris en charge par un institut spécialisé. Il sait maintenant se rendre à la toilette; il va même à l’école.

 

J’ai personnellement dû réapprendre ce qu’était l’autisme aujourd’hui, comment la maladie se manifeste et qu’elle n’est pas nécessairement irréversible.

 

J’ai voulu quitter la Faculté de médecine, car chaque fois que j’ai voulu parler de ce qui était arrivé à mon neveu, on me répondait qu’il n’était pas question d’aborder ce sujet !

 

J’ai eu l’occasion de voir une vidéo de Jimmy McCarthy qui parlait de son fils en précisant qu’aujourd’hui sa santé s’était améliorée.

 

Donovan  a tout perdu : sa maman, son papa, et il a commencé à souffrir d’autisme. On nous avait toujours dit qu’il resterait autiste pour le restant de ses jours.

 

J’ai commencé à acheter pas mal de livres, à consulter de nombreuses études et ai appris beaucoup plus que je n’aurais jamais pu imaginer par rapport à ce qui arrive à nos enfants. Ce que j’ai appris m’a bouleversée. Ce fut comme une immense vague.

 

Je ne pourrai jamais oublier qu’à sa visite médicale du 24 mai, soit 3 mois après qu’il aimait de dire : « tout le monde en voiture, l’express va partir », ils lui ont administré 8 injections pour un total de 14 vaccins. Cela s’est passé deux semaines avant que je le voie avec son nez cassé, les yeux abîmés et une blessure au front. Je n’avais, jusque là jamais pensé à rapprocher les deux choses jusqu’à ce que je lise une étude sur l’encéphalite. J’ai alors su dans mes tripes; mon frère me le soufflait au cœur : personne n’a jamais maltraité Donovan. Ce qui lui a fait perdre la santé, c’est tout autre chose. Ca été dur pour moi de voir les choses d’une toute autre façon. J’étais jusqu’alors pénétrée de tout ce que j’avais appris en biologie, biochimie, médecine.

 

Après avoir lu tous ces livres, épluché toutes ces études, ces données, il ne pouvait plus y avoir pour moi d’autre conclusion possible. Nous avons finalement compris que la santé de cet enfant avait été endommagée par les vaccins qu’il avait reçus.

 

C’est exactement à partir du moment où nous avons commencé à traiter Donovan pour ses dommages vaccinaux qu’il a commencé à guérir. Quand cet enfant a commencé à parler, j’ai réalisé que tout ce qu’on m’avait dit à propos du caractère incurable de cette maladie n’était pas exact.

 

J’ai fait la promesse à mon frère que je raconterais cette histoire à tout le monde et que je crierais sur tous les toits que la santé de ces enfants peut s’améliorer, et que cette maladie peut être évitée.

 

Je voudrais maintenant m’adresser à toutes les personnes qui sont passés par ces souffrances et je leur dis : je vous en prie, écoutez-moi, veuillez partager votre histoire avec le plus grand nombre de personnes possible, je vous en prie. Votre histoire est tellement importante; tous les parents doivent savoir ce qui arrive à nos enfants.

Vaccins: tous les parents doivent savoir ce qui arrive à nos enfants !

  Je vous en prie… !

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22 décembre 2016 4 22 /12 /décembre /2016 12:24

Une scientifique digne de ce nom, la chercheuse canadienne en neurologie Lucia Tomljenovic explique le problème de façon limpide et c'est vraiment une chance pour tous les visiteurs de ce site que cette petite vidéo ait été sous-titrée en français, grâce à l'engagement de l'association citoyenne E3M, association des victimes de myofasciite à macrophages, une des innombrables maladies mais pas la seule imputable au dogme vaccinal:

Nous vous invitons aussi à voir ou revoir cette autre vidéo-ci, dans laquelle le Pr Philippe Even, ex doyen de faculté de médecine, expliquait lui aussi le caractère expérimental des vaccins qui ne peut fort malheureusement plus être nié de nos jours tant les preuves de ce triste fait sont aussi nombreuses qu'explosives....

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21 décembre 2016 3 21 /12 /décembre /2016 22:23

Alors que 23 sociétés médicales ont récemment soutenu la proposition du Comité français d'orientation sur la politique vaccinale, à savoir de rendre 11 vaccins pour enfants obligatoires, il est plus que jamais essentiel de se demander ce que ce genre d'obligations pourraient engendrer sur le terrain comme handicapés supplémentaires et comme familles brisées à jamais... sur base de ce qu'on constate déjà aujourd'hui!

 

De nos jours, on peut clairement parler de démolition. Des enfants sains sont démolis par les vaccins; des enfants déjà malades et affaiblis le deviennent encore plus avec ces vaccins censés les protéger et cela, sans même parler des adultes. Il ne se passe pas un jour, une heure, sans que l'on entende parler de cas  tous plus dramatiques et irréversibles les uns que les autres. A chaque démolition par les vaccins (contrôlée ou incontrôlée, car le caractère laxiste des essais cliniques de vaccins montre de facto que ceux qui les injectent n'ont absolument aucune idée de l'ampleur du domino morbide que leurs injections peuvent déclencher!), soyons-en bien certains, les officiels brandiront leur unique "argument", si on peut appeler ça ainsi: "c'est une coïncidence!", tout en se cantonnant strictement à l'affirmation générale qui ne les engage pas à prouver quoi que ce soit que "les vaccins, comme tout médicament, peuvent comporter des risques mais c'est une question de balance bénéfices/risques". Sauf qu'en matière de vaccins, on attend toujours la preuve que le ratio bénéfices/risques serait positif! Mais on tourne bien sûr en rond car ce genre d'affirmation totalement gratuite de la part des officiels repose sur les résultats d'essais cliniques bâclés et biaisés et d'une sous-notification notoire des effets secondaires, même graves! C'est donc le serpent qui se mord la queue et la seule façon pour que le vaccin ne morde pas à jamais votre vie ou celle de vos enfants est donc de vous informer A TEMPS sur les conséquences concrètes qui pendent véritablement au nez de toutes et de tous!

 

Premier exemple (parmi beaucoup d'autres...), celui du petit Luke Maguire, pris de convulsions irrépressibles depuis ses vaccins effectués à l'âge de 4 mois... 

Les parents du petit témoignent:

 

"Mon petit Bobby est né le 22/1/2016. Quatre mois plus tard, notre monde a changé pour le pire. Bobby qui avait eu ses vaccins à 4 mois a fait de la température et a été pris de spasmes dans tout le corps. Depuis le vaccin, il n’a plus jamais été le même bébé. Il a commencé à faire des convulsions. Un jour, nous nous sommes levés à 4 heures du matin. Nous avons été terrifiés en découvrant que Bobby avait le visage tout bleu  et éprouvait de grosses difficultés à respirer. A partir de ce moment, les problèmes ne se sont plus arrêtés : il a fait jusqu’à 14 convulsions par jour et 6 pendant la nuit. Il se réveillait, puis ça recommençait sans que l’on puisse s’y attendre. Quand il a commencé à faire ses convulsions, j’ai tout de suite su que c’était à cause des vaccins.                                                                                                            

Les médecins, les infirmières et les services de santé ont fait tout ce qu’ils pouvaient pour étouffer l’affaire. Comme je tentais de faire l’impossible pour prouver que c’était bien les vaccins qui l’avaient mis dans cet état, ils ont essayé de prendre mon bébé sous prétexte que je mettais sa santé en danger en recherchant toute l’information possible sur les vaccins. Mes recherches sur les vaccins m’ont beaucoup stressé comme le fait de pressentir qu’ils étaient prêts à détruire une jeune famille pour étouffer ce que ces sales vaccins avaient provoqué. Il faut absolument faire quelque chose. Ils endommagent la santé de nos enfants. Ils n’ont aucun droit. En outre, ils ne vaccinent pas leurs propres enfants. Des médecins m’ont dit qu’ils ne pouvaient mentir ! Le fait qu’ils poussent les parents à faire vacciner leurs enfants montre à quel point ils sont malfaisants.

 

Je voudrais vous prier de transmettre notre histoire au plus grand nombre possible de personnes et de nous aider, mon petit garçon et moi-même. Je vous en remercie d’avance. Je veux tout juste que mon petit retrouve sa santé d’avant. Si quelqu’un me dit que les vaccins ne sont pas en cause qu’il le prouve. Je ne veux causer de problème à personne. Je veux tout simplement rendre les gens conscients."

 

Mais voyez à présent cet autre cas, dramatique s'il en est! Il s'agit du cas d'un enfant australien qui a notamment reçu le vaccin ROR et le vaccin contre l'hépatite B. Malgré la tragédie dans laquelle lui et sa famille se trouvent, les autorités australiennes (qui ont conditionné depuis le 1er janvier 2016 les allocations familiales à la réalisation de tous les vaccins!) continuent d'exiger qu'on continue malgré tout à le vacciner... oui, vous lisez bien, on a affaire à ce genre de fous furieux et plus que dangereux, prêts à tout pour vacciner jusqu'à la mort et sans aucune pitié pour les victimes, ni aucun respect pour les libertés les plus fondamentales et le droit à l'intégrité des patients!!!!

 

Le message que cette vidéo veut faire passer est de montrer l’absurdité d’un système qui fait perdre à la famille de ce garçon gravement handicapé par les vaccins qu’il a reçus tous les avantages sociaux, si elle décide de ne pas se mettre en ordre avec la suite du programme de vaccination. Les services médicaux veulent continuer à  vacciner l’enfant, ce qui est le comble de l’absurde. Tout ceci en accord avec la politique gouvernementale australienne: «pas de vaccin, pas d’argent ! »

 

La maman évoque les deux vaccins que son fils a reçus : le vaccin contre l’hépatite B à l’hôpital, bien qu’elle-même n’était pas positive ainsi que le triple vaccin rougeole-oreillons-rubéole. Tant l’interviewer que la maman de l’enfant sont en colère contre cette politique qui veut que tout un chacun se fasse vacciner pour le bien de la communauté tout en ignorant et  abandonnant  les personnes dont la santé a été endommagée par les vaccins, ainsi que leurs familles.

 

Voir aussi:

 

La mesure qui fait honte à l'Australie: conditionner les allocations familiales aux vaccins des enfants

 

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19 décembre 2016 1 19 /12 /décembre /2016 12:56

Vaccination anti-HPV: le ver est dans le fruit depuis dix ans


Par Catherine Riva et Dr Jean-Pierre Spinosa

 

La vaccination anti-HPV agite à nouveau les médias: vendredi 9 novembre, Le Monde1 faisait état du conflit qui oppose depuis mai 2016 le Nordic Cochrane Centre à l’EMA. Le Nordic Cochrane Centre reproche notamment à l’autorité de régulation européenne sa gestion d’un rapport portant sur plusieurs dizaines de cas d’effets indésirables survenus après la vaccination. Il fonde nombre de ses reproches sur un rapport confidentiel, qui remet sérieusement en question la crédibilité du travail de l’EMA et montre que son fonctionnement est plus proche de celui d’une société secrète que de celui qu’on serait en droit d’attendre d’une autorité de régulation oeuvrant pour l’intérêt général. lire la suite ici.  

Vaccination anti-HPV (Gardasil, Cervarix): le ver est dans le fruit depuis dix ans

Un triste exemple concret (parmi des dizaines de milliers d'autres!) de la façon dont ces vaccins inutiles transforment des jeunes femmes rayonnantes en handicapées à vie, ce qui n'empêche pas de pseudos experts comme le Pr Noni Mc Donald, une des afficionada de l'OMS, de déclarer ... qu'il n'y a "pas de plus sûr vaccin que le vaccin HPV"! 

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17 décembre 2016 6 17 /12 /décembre /2016 20:20
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15 décembre 2016 4 15 /12 /décembre /2016 09:12

Qui n'a jamais déjà entendu de la bouche de tel ou tel médecin-perroquet qu'en se vaccinant contre le tétanos, on ne pouvait plus faire cette maladie, que le vaccin était "une arme absolue"? Mais que dit vraiment la littérature médicale à ce sujet? La question mérite d'autant plus d'être posée que TOUT vaccin antitétanique contient notamment du formaldéhyde qui est un cancérigène certain (alors que le potentiel cancérogène des vaccins n'est jamais testé!) ainsi que de l'aluminium neurotoxique qui va notamment, rappel après rappel, s'accumuler de façon irréversible au niveau cérébral en favorisant des maladies neurologiques comme Alzheimer, nettement plus fréquentes que les cas rarissimes de tétanos (une vingtaine de cas annuels à tout casser dans un pays comme la France, pour se faire une idée).

 

NB: En Belgique, et ce depuis 2003, tout vaccin contre le tétanos est TOUJOURS couplé au minimum avec la valence diphtérique (pas si anodine que cela, mais au contraire assez réactogène, encore plus chez l'adulte) suite à une décision de nos "bons experts" au sujet de la sacrosainte "couverture vaccinale"[info diphtérie ici].

Infection tétanique chez un patient qui avait un taux "protecteur" d'anticorps...

Un cas d’infection tétanique chez un adulte avec un niveau protecteur d’anticorps antitétaniques

 

Vollman KE, Acquisto NM., Bodkin RP

Am J Emerg Med. 2014 Apr;32(4):392.e3-4. doi: 10.1016/j.ajem.2013.10.025. Epub 2013 Oct 15. Am J Emerg Med. 2014 Apr;32(4):392.e3-4. doi: 10.1016/j.ajem.2013.10.025. Epub 2013 Oct 15.

 

Résumé

 

Le tétanos est une infection bactérienne causée par le clostridium tetani. La maladie prend le plus souvent l’aspect d’un trismus ou d’autres spasmes musculaires. Malgré le développement du vaccin contre le tétanos, une infection tétanique n’a pas pu être éradiquée. En outre, alors que l’hypothèse a été émise que des taux suffisants d’anticorps étaient protecteurs, il peut arriver que l’infection tétanique puisse cependant se produire chez des personnes parfaitement vaccinées.

 

Nous rapportons ici le cas d’un homme de 31 ans qui s’est présenté  aux urgences, alors que depuis 2 jours il souffrait de douleurs au cou et à la mâchoire. Cet homme explique que 10 jours avant il s’est perforé la main avec un clou rouillé. Il a expliqué qu’il avait reçu son dernier rappel 13 ans plus tôt. Aux urgences, on lui administra le vaccin antitétanique, des immunoglobulines antitétaniques, ainsi que du métronidazole. Ses symptômes s’améliorèrent au cours des deux jours qui suivirent et le problème fut résolu le sixième jour. Malgré le fait qu’il présentait une infection tétanique et que d’autres causes qui auraient pu expliquer ses symptômes aient été exclues, son taux d’anticorps antitétaniques était de 8,4 U/mL*, un taux qui est jugé protecteur. Un taux d’anticorps antitétanique qui est suffisant pour assurer une immunité protectrice ne devrait pas empêcher un traitement de l’infection tétanique. L’histoire de ce cas démontre qu’il est nécessaire qu’une histoire complète du cas soit examinée, qu’un examen physique soit effectué et que d’autres causes possibles soient écartées pour pouvoir guider un traitement quand une infection tétanique est à craindre.

 

Source: Pubmed

 

** Le taux protecteur minimal est de 0,01UI/ml de sang (soit 10UI/l). Les instances comme OMS et les services d'urgence se basent sur des tests pour lesquels le taux d'anticorps soi-disant protecteur est de 0,1UI/ml (voire 0,15 UI/ml). Le patient dont le cas est présenté ci-dessus présentait donc un taux plus de 80 fois supérieur à ce qui est jugé satisfaisant dans les services d'urgences...

 

Cette publication scientifique peut-être notamment complétée par les données suivantes (en anglais):

 

"Immunization does not rule out tetanus" (= "La vaccination ne permet pas d'exclure le (diagnostic) de tétanos"), Dr Vinson, British Medical Journal, 2000.

 

Tetanus toxoid  vaccination: An overview by Dr Kris Gaublomme

 

Sur le caractère "scientifique" des recommandations vaccinales en matière de tétanos, une maladie qui est, rappelons-le, non immunisante (donc pour laquelle, la Nature n'a PAS prévu que des anticorps naturels puissent prévenir d'une nouvelle atteinte), on appréciera notamment le sérieux du différentiel des recommandations entre la France et la Belgique. En France, en effet, il est préconisé aux adultes de - de 65 ans, une revaccination tous les 20 ans, alors qu'en Belgique, le calendrier vaccinal maintient le rappel tous les 10 ans. Pourtant, il convient de savoir à ce sujet deux aspects très importants:

 

- " Des études cliniques ont montré que les patients étaient porteurs d’antitoxines à des taux dits protecteurs pour 95 % d’entre eux après 5 ans et 91 % d’entre eux après 10 ans. " (source: Document de la Haute Autorité de Santé française, 2009, voir p. 6/36)

 

- Plus haut est le taux résiduel d'anticorps au moment d'une revaccination, plus élevé sera aussi le risque d'effets secondaires (et la raison simple en est qu'au lieu que le corps fabrique surtout de nouveaux anticorps à partir du vaccin,  les anciens anticorps, liés aux précédentes vaccinations, vont s'accoupler de façon privilégiée aux antigènes de la nouvelle vaccination et former ce qu'on appelle des "complexes immuns", susceptibles de migrer au niveau des vaisseaux, des articulations, en donnant lieu à de fâcheuses complications comme des arthrite, des vascularites etc.)

 

> En conclusion: Pour ceux désirant absolument se faire vacciner contre le tétanos, il est aberrant (et même illogique tout en restant strictement dans le cadre de leurs propres croyances!) d'accepter le principe de rappels automatiques, à date fixes. En lieu et place, nous préconisons à ces personnes de faire pratiquer à tout le moins un dosage d'anticorps préalable à toute revaccination (tout en sachant, comme on l'a vu ci-dessus, que même avec un taux d'anticorps soi-disant "protecteur", les sujets peuvent cependant encore faire la maladie).

 

Par ailleurs, la loi sur les droits du patient (4 mars 2002 en France; 22 août 2002 en Belgique) stipule ce que doit comprendre normalement un consentement libre et éclairé: une information SUFFISANTE sur les risques du traitement, même sur les risques soi-disant "rares" (nature, fréquence, gravité) mais aussi sur l'efficacité attendue ET sur les alternatives possibles en prévention comme en traitement. En matière de vaccins plus que dans tout autre domaine médical, il est coutume de répéter qu'il n'y a RIEN D'AUTRE DE POSSIBLE/FAISABLE. Ahh bon?! En est-on vraiment si sûr?

Comparaison de la mortalité tétanique avec et sans traitement à la vitamine C chez les sujets de 1 à 30 ans (il est évident qu'il ne s'agit pas des doses ridiculement faibles et insuffisantes, telles que préconisées dans les "AJR"/apports journaliers recommandés de l'ordre de quelques centaines de mg!) Mais quel médecin vous parlera donc de ça?

Comparaison de la mortalité tétanique avec et sans traitement à la vitamine C chez les sujets de 1 à 30 ans (il est évident qu'il ne s'agit pas des doses ridiculement faibles et insuffisantes, telles que préconisées dans les "AJR"/apports journaliers recommandés de l'ordre de quelques centaines de mg!) Mais quel médecin vous parlera donc de ça?

En lien avec la dia ci-dessus et de façon complémentaire, ne manquez pas non plus cet excellent article-ci sur la pertinence du chlorure de magnésium !

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14 décembre 2016 3 14 /12 /décembre /2016 21:28

Certains vaccins pourraient doper les virus au lieu de les éradiquer

Légende "savoureuse" de cette photo sur le site de Sud Ouest disant: "Les vaccins humains actuels sont "parfaits", mais des risques persistent pour les vaccins en cours d'élaboration © AFP ALIX GUIGON

Légende "savoureuse" de cette photo sur le site de Sud Ouest disant: "Les vaccins humains actuels sont "parfaits", mais des risques persistent pour les vaccins en cours d'élaboration © AFP ALIX GUIGON

28/07/2015 (mais reste hélas tout à fait actuel...)

 

Des chercheurs britanniques ont constaté l'aggravation des symptômes d'un virus chez les animaux alors qu'ils avaient subi préalablement une grande campagne de vaccination

 

Certains vaccins pourraient doper la virulence de maladies, selon une recherche sur le virus de la maladie de Marek chez les volailles. C'est la première fois que ce phénomène est observé lors d'une expérience, ce qui conforte une hypothèse controversée.

 

De tels vaccins dit imparfaits protégeraient les individus vaccinés tout en permettant au virus de survivre et d'évoluer pour devenir plus virulent. Il infecterait ainsi les sujets qui n'ont pas eu le vaccin, les rendant encore plus malades, expliquent ces chercheurs dont les travaux paraissent dans la revue américaine PLOS Biology.

 

"Les tests effectués avec le vaccin imparfait contre le virus de la maladie de Marek chez des poulets vaccinés et non-vaccinés, ont révélé que les non-vaccinés sont morts en dix jours tandis que ceux avec le vaccin ont survécu mais en continuant à transmettre un virus plus dangereux aux autres volailles avec lesquelles ils étaient en contact", explique le professeur Venugopal Nair, un des principaux co-auteurs de ces travaux.

 

Ces chercheurs n'ont pas pu prouver que le vaccin était directement responsable de l'évolution de ces souches plus virulentes. Ce n'est pas aussi clair que le phénomène d'évolution des microbes qui deviennent résistants aux antibiotiques.

 

Mais cette recherche montre la forte corrélation entre la vaccination et le développement de souches du virus qui sont devenues, avec le vaccin, beaucoup plus dangereuses pour les volailles. Avant les vastes campagnes de vaccination pour protéger les élevages, cette maladie n'était pas mortelle et sa contagion était beaucoup plus lente, rappellent ces scientifiques. 

 

Inquiétude pour les vaccins en développement 

 

Mais ce phénomène n'a été observé, jusqu'à présent, qu'avec des vaccins contre des agents pathogènes affectant les animaux. Les vaccins humains actuels sont "parfaits", permettant à la fois de protéger les personnes contre les virus et d'empêcher la transmission.

 

"Quand un vaccin fonctionne parfaitement comme ceux contre la variole, la polio ou la rougeole pour les enfants, les sujets vaccinés sont non seulement protégés, mais ils ne transmettent pas le virus aux non-vaccinés", a souligné Andrew Read, un autre co-auteur.

 

Ces vaccins sont conçus pour reproduire une forte réaction immunitaire que le corps humain développe naturellement après avoir été exposé à ces maladies.

 

Mais il y a une inquiétude pour les futurs vaccins actuellement en développement contre Ebola, le paludisme ou dans le futur, contre le VIH, le virus responsable du sida, ont estimé ces scientifiques.

 

Dans la mesure où il est quasiment impossible de développer une immunité naturelle totale contre ces infections il est probable que les premiers vaccins efficaces qui seront produits seront "imparfaits" avec un risque d'intensifier la virulence de ces virus, estiment les chercheurs.

 

Mais ils s'accordent à dire avec d'autres scientifiques qu'un vaccin même "imparfait" sera mieux que rien et représentera malgré cela une percée très importante contre ces maladies dévastatrices. 

 

Source : Sud Ouest

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13 décembre 2016 2 13 /12 /décembre /2016 19:04

Les vaccins ROR et DTC ont littéralement détruit la vie de Caroline pour toujours

 

Par Melissa Alsop – Larry Cook, 26 décembre 2015

Les vaccins ROR et DTC ont littéralement détruit la vie de Caroline pour toujours

Je veux parler de ma belle-sœur, Caroline. Elle est le quatrième enfant de ma belle-mère qui était infirmière depuis 15 ans quand Caroline est née. Caroline était un bébé heureux comme tous les autres enfants de ma belle-mère. Elle progressait normalement.

 

Ma belle-mère croyait aux vaccins et pensait qu’ils étaient sans danger. C’est la raison pour laquelle, elle avait fait vacciner tous ses autres enfants sans le moindre incident.

 

Quand Caroline eut 18 mois, elle passa une visite médicale au cours de laquelle elle reçut les vaccins ROR et DTC.

 

Une fois rentrée à la maison, elle fit une grave réaction dans l’après-midi : une très forte fièvre, des convulsions. Il n’était pas possible de contrôler ses cris et ses pleurs; impossible de la consoler. Ma belle-mère se rendit vite compte qu’il s’agissait de convulsions. Elle fit ce qu’elle pensait devoir faire en pareil cas. Finalement, elle conduisit sa fille chez le médecin. Ce dernier suggéra de lui donner du Tylenol pour faire baisser la fièvre et pour que son état s’améliore. Cela ne semblait présenter aucun problème. Mais les réactions de ma belle-sœur finirent par durer 18 heures; c’était vraiment grave. Quand elle se réveilla, ce n’était plus du tout le même enfant.

 

En tant qu’infirmière, ma belle-mère avait travaillé aux soins intensifs, ainsi qu’en oncologie. Elle avait déjà vu pareilles réactions qui s’étaient produites suite à la prise de médicaments. Elle a dès lors de suite compris ce qui se passait chez sa fille. Pour elle, c’était clair, sa fille était atteinte de dommages cérébraux. Caroline avait commencé à apprendre à marcher, mais elle ne savait pas parler. Elle prononçait parfois quelques mots. Il devenait de plus en plus clair qu’elle souffrait d’autisme. Caroline a des atteintes cérébrales graves, de claires tendances autistiques. Les parents qui ont un enfant autiste connaissent les terribles défis auxquels ils sont jour après jour confrontés. Caroline est gentille, mais elle est, à jamais, incapable de s’occuper de ses propres besoins.

 

Ses parents ont dû veiller à ce que l’on s’occupe d’elle d’une façon très particulière ; ils ont constamment dû veiller à ce qu’elle soit protégée. Ses condisciples ont cependant abusé d’elle parce qu’elle ne savait pas parler.

 

Il est cependant heureux qu’elle puisse faire comprendre quand elle a faim, quand elle doit se rendre aux toilettes. Pour en arriver à ce résultat, ma belle-mère a dû « se battre » pendant plusieurs années.

 

Les parents de Caroline ont finalement pu trouver une école adaptée à son cas afin qu’elle puisse recevoir une éducation qui lui permette de survivre dans ce monde.

 

Quand je fus enceinte de mon premier bébé, ma belle-mère a voulu fermement me rappeler ce qui s’était passé avec Caroline ; elle pensait qu’il pouvait y avoir une possible prédisposition génétique. Elle voulait aussi que nous discutions avec notre médecin de la sécurité et de l’efficacité des vaccinations. C’est alors que j’ai commencé à effectuer mes propres recherches. J’ai vite pu réaliser qu’il ne s’agissait pas d’un cas sur un million qui fait de mauvaises réactions, comme on le raconte. J’ai vite réalisé que c’était beaucoup plus que cela. Je puis personnellement citer une quinzaine d’enfants qui ont eu des réactions négatives : accès de fièvre, enfants qui ne se sentaient pas bien pendant plusieurs semaines, jusqu’à des réactions plus graves comme celles de Caroline qui sont chaque jour source de nombreux soucis, angoisses et sérieux problèmes pour les parents qui se demandent qui va s’occuper de Caroline une fois qu’ils seront disparus.- « Qui pourra lui donner tout l’amour que nous lui donnons. Personne ne pourra jamais l’aimer autant que nous », assurent les parents.

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11 décembre 2016 7 11 /12 /décembre /2016 10:14

Tous les vaccins sont susceptibles de causer de graves effets secondaires. Qu'ils contiennent ou non de l'aluminium, qu'ils soient oraux ou injectables, tués ou vivants atténués, inactivés ou génétiquement modifiés, les vaccins restent, tous autant qu'ils sont et depuis toujours, mal évalués et expérimentaux. L'objet de cet article concerne cette fois une Xème préoccupation de plus, un Xème risque de plus (qui n'annule ou ne doit aucunement occulter tous les autres mais qui, tristement, s'y rajoute): la présence avérée de nanoparticules dans plusieurs vaccins pour enfants, et pas que dans le seul vaccin Meningitec (contre le méningocoque C). Le témoignage que vous allez lire ci-dessous concerne bien entendu beaucoup d'autres enfants qui souffrent en silence sans que leurs parents ne pensent jamais à établir la relation....

 

La présence de nanoparticules dans un vaccin comme l'Infanrix hexa (lire aussi ici le rapport confidentiel du fabricant qui était déjà suffisamment éclairant comme ça...) est dûment prouvée, des analyses rigoureuses ont été effectuées et l'on attend toujours les preuves que ces nanoparticules seraient innocentes ou anodines en plus de tous les autres risques donc, déjà évoqués....

 

Lire le rapport sur la présence de nanoparticules dans le vaccin Infanrix: ICI

(traduction française synthétique des données: ICI)

 

Merci aux parents qui ont bien voulu témoigner sur le cas de leur fils, Stéphane (prénom d'emprunt), pour éviter ce calvaire à d'autres enfants! Le vaccin contre les méfaits des vaccins, cela passera inévitablement par la parole, la communication et la diffusion du récit de toutes ces innombrables tragédies individuelles, qui se sont inévitablement transformées au cours du temps en une gigantesque tragédie collective.

Nanoparticules dans les vaccins: quand le soleil se couche sur la santé des enfants (un témoignage édifiant de plus...)

Voici en quelques mots l’histoire résumée de notre fils Stéphane, né en janvier 2013.

 

Stéphane est notre premier enfant. Ma grossesse a été difficile, beaucoup de vomissements, des contractions et des douleurs au col. Toutes les échographies étaient normales et Stéphane a toujours bougé beaucoup in utero.

 

Je me suis présentée plusieurs fois à la maternité au cours du dernier mois de grossesse car j’avais de grosses douleurs au col de l’utérus, beaucoup de contractions mais je suis rentrée à la maison à chaque fois. (Cela a été pareil lors de ma seconde grossesse pour notre petite fille née en août 2016.)

 

J’ai accouché en janvier 2013 à terme. Ce fut un accouchement provoqué et par voie basse. Stéphane a été placé sous néopuff pendant 10 minutes à sa naissance pour l’aider à stabiliser sa respiration.

 

Stéphane avait une attitude tête tournée à droite et les pédiatres que nous avons vus nous ont dit qu’il avait un torticolis congénital et, par la suite, une petite plagiocéphalie droite. En réalité c’était un syndrome de KISS KINDER qui a été traité par le Dr L. (Paris) en thérapie manuelle quand Stéphane a eu un an. Nous sommes sortis de la maternité au bout de 3 jours avec un nourrisson en parfaite santé, allaitement maternel exclusif.

 

Stéphane a babillé très tôt, à 3 semaines, puis a joué avec des objets suspendus avant ses 2 mois et supportait à 1 mois et une semaine quelques minutes la position couchée sur le ventre en appui sur les bras. Dans les bras nous lui tenions très peu la tête à 2 mois et il la redressait, même s’il semblait gêné par son « torticolis ». Il était un bébé dans le contact qui pleurait peu et était nourri au sein exclusivement. C’était un petit garçon souriant, éveillé et tonique. Il jouait sur son tapis d’éveil et était symétrique dans ses mouvements de bras et jambes. Il avait un strabisme intermittent comme beaucoup de bébés de son âge et était gêné par contre par un reflux.

 

J’ai repris mon travail d’infirmière libérale alors que Stéphane allait avoir deux mois et l’épuisement causé par mes tournées chargées a fait se tarir mon lait. Nous sommes donc passés au lait maternisé, non sans mal, car Stéphane n’a pas vraiment apprécié les biberons et le lait différent, a eu des coliques, des épisodes de constipation et une majoration du reflux.

 

Puis il a été vacciné le 15 mars 2013 pour ses 2 mois : Infanrix hexa + Prevenar 13 + Rotateq.

 

De là, tout a commencé à aller mal. Il a, suite aux vaccins et comme la PMI m’avait prévenue, eu un pic fébrile le soir même à 39 de température et ce, jusqu’au lendemain. Il était moins réactif et « mou » alors, j’ai donné du paracétamol comme conseillé et la fièvre est tombée. Le 18 mars, Stéphane s’est mis à avoir de la température à nouveau, amorphe et atone et cela m’a inquiétée mais la PMI m’a rassurée, c’était un effet secondaire normal et courant. J’ai signalé aussi qu’il avait de fortes diarrhées et beaucoup de difficultés à s’alimenter et ce pendant 10 jours. Je suis retournée à la PMI et cela a été constaté également car il avait perdu du poids. On m’a conseillé d’aller à l’hôpital si son état de santé se dégradait.

 

Je l’ai soigné à la maison avec des solutés de réhydratation. L’épisode de diarrhées a fini par s’arrêter.

 

Mais dès lors, sur le plan digestif, tout s’est dégradé, il ne supportait plus rien, nous avons dû changer plusieurs fois de lait pensant au début que le problème venait de là. Stéphane est devenu un bébé constipé chronique à qui nous devions régulièrement faire des lavements. Ses reflux sont devenus majeurs, et il y a eu très peu de prise de poids. (8 kg à deux ans).

 

Stéphane, qui était un bébé calme et souriant est devenu crispé, douloureux et pouvait hurler pendant des heures avec des cris stridents à vous déchirer le cœur. Le contact visuel s’est amoindri, notre bébé s’est renfermé sur lui-même, grimaçant et se tordant, gémissant sans arrêt. Nous étions désemparés. Par moments, Stéphane babillait et tout à coup semblait « absent », le bras droit en l’air. Rien de tout ce que nous avons signalé n’a été pris au sérieux, les douleurs de coliques étant la piste privilégiée par le corps médical, il fallait que son système digestif « se fasse ».

 

Le 26 avril 2013, à 3 mois, il a reçu le vaccin Pentavac avec toujours, suite à cela, une apathie les jours suivants, de fortes fièvres mais d’après les pédiatres, c’étaient des effets secondaires « normaux » et nous ne devions pas nous inquiéter outre mesure. Notre petit garçon s’est mis à regarder en arrière, est devenu plus « mou » et semblait beaucoup moins mobiliser son côté droit. Ses cris se sont accentués et sont devenus stridents, il semblait avoir des céphalées. Nous avons remarqué qu’il ne bougeait plus de façon symétrique et qu’il mobilisait son hémicorps droit difficilement.  Il souffrait, se tordait dans tous les sens mais les médecins ont encore mis l'accent sur les coliques et sur le fait que j’étais une mère trop stressée…Stéphane ne dormait plus que très peu.

 

Nous avons en tout changé cinq fois de pédiatre car nous étions désespérés et voyions bien que quelque chose n'allait pas mais nos appels n’ont pas été pris en compte.

 

La seule réponse répétitive que nous avons entendue a été qu'il n'y avait aucun problème et qu'au deuxième enfant, nous serions moins angoissés. Peu à peu notre enfant est devenu de plus en plus hypotonique et souffrant, de moins en moins souriant, de plus en plus« absent ».

 

Le 27 mai 2013 pour ses 4 mois, Stéphane a reçu les vaccins Infanrix hexa+Prevenar 13.

 

Je suis allée en consultation accompagnée de ma sœur, n’ayant plus le courage ni la force d’affronter seule les réponses du pédiatre, à qui j’ai fait part de mes craintes au sujet de l’état de Stéphane qui se dégradait chaque mois après chaque série de vaccins et de son manque de tonus musculaire. Réponse toujours la même : « vous êtes stressée, votre enfant va bien »., Il a pris Stéphane dans les bras, l’a remué pour évaluer sa tenue de tête, et nous a dit qu’il était un « feignasse » et que ça lui passerait. Nous avons, après insistance, pu obtenir une prescription pour un EEG effectué quelques jours plus tard qui s’est avéré anormal, sans explication franche car « atypique ».

 

Quelques jours après cette 3e série de vaccins, l’état de Stéphane s’est très vite dégradé, enchaînant les révulsions, absences, et les EEG réalisés ont montré une augmentation de l’état épileptique et une majoration des pointes ondes. Notre enfant était alors de plus en plus hypotonique, interagissait de moins en moins, avait des pics fébriles sans explications et toujours extrêmement douloureux.

 

Il a été hospitalisé au CH Valence (26) début juin 2013 puis transféré à l’HFME de Bron en neuropédiatrie (Lyon, 69) mi-juin dans un état très préoccupant. Notre enfant était alors complètement atone, amorphe, il refusait de s’alimenter et hurlait de douleurs.

 

De là ont été faits de nombreux examens génétiques, métaboliques qui sont revenus normaux. Les EEG  étaient toujours « atypiques » avec de nombreuses pointes ondes.

 

Fin juin l’état apathique de Stéphane s’est aggravé, il enchaînait les absences et les révulsions oculaires. Stéphane semblait extrêmement douloureux et renfermé sur lui-même.

 

Nous avons signalé la corrélation entre la dégradation mensuelle de Stéphane et ses séries de vaccins, expliquant qu’à chaque vaccination, l’état de Stéphane s’est dégradé et qu’il a comme « récupéré » un peu quelques semaines plus tard mais cela est allé en se dégradant à chaque nouvelle série jusqu’à ce que ses acquisitions s’abolissent totalement. Mais le sujet semblait être « tabou ». Des collègues infirmières m’ont quand même confirmé voir de plus en plus souvent des enfants arriver aux urgences pédiatriques avec des symptômes similaires à ceux de notre enfant suite à des vaccinations.

 

Nous sommes rentrés chez nous après plusieurs jours d’hospitalisation et de surveillance intensive sans solution, plusieurs aller-retours en neuropédiatrie sans diagnostic et sans réponse, avec un enfant que nous ne reconnaissions plus. Aucun professionnel jusqu’alors rencontré n’a voulu prendre la peine de signaler à l’ANSM les effets indésirables que nous avons rencontrés lors des 3 séries de vaccination de notre enfant. Le sujet en France semblait être « tabou ». Nous n’avions de réponse que de médecins étrangers pour qui cela semblait être un problème rencontré très souvent dans leurs pays et eux pouvaient en discuter librement, la vaccination n’étant d’ailleurs pas obligatoire dans les autres pays européens. (sauf en Italie). Nous sommes donc rentrés chez nous résignés de devoir nous occuper d’un enfant handicapé, mais aucunement décidés à laisser cette situation sans réponse.

 

A force de faire énormément de recherches et contraints de supporter le silence du corps médical français, nous avons eu la chance de rencontrer des médecins ouverts sur la question des effets indésirables de la vaccination. Nous avons pu avancer doucement pour aider au mieux Stéphane et le traiter notamment pour un rotavirus permanent, découvert à ses 2 ans quand le médecin a constaté qu’il ne prenait pas de poids malgré une alimentation saine, variée et enrichie. Rotavirus qu’il traînait indéniablement depuis sa primo-vaccination par Rotateq à ses 2 mois…

 

Stéphane aura bientôt 4 ans et ses premières tristes années ont été parsemées d’embûches, car c’est un petit garçon affaibli qui a été souvent malade : hospitalisations pour des bronchiolites, des bronchites, des fièvres inexpliquées, des cris incessants...

 

Il est extrêmement douloureux au quotidien (reflux, douleurs neuro-musculaires, osseuses, céphalées, vertiges ...) et aucun spécialiste n’a pu le soulager.

 

Il ne parle pas, ne tient pas encore assis tout seul malgré, par semaine, 3 séances de rééducation par kiné par semaine depuis 3 ans, une séance de psychomotricité, une séance de méthode Padovan et une séance d’orthophonie. Il a tenu sa tête vers 1 an et demi et commence à arriver à pousser sur ses bras quand il est allongé sur le ventre. Nous avons énormément travaillé pour qu’il retrouve une mobilité de son hémicorps droit, et ma mère l’a rééduqué pendant 1 année pour qu’il puisse déglutir sans s’étouffer, et perdre un réflexe nauséeux très important.

 

Nous allons régulièrement à l’étranger dans des centres de rééducation intensive, temps pris sur nos vacances, à nos frais, pour faire progresser notre enfant, puisqu’il n’existe aucune structure en France pour les jeunes enfants...

 

Le quotidien est lourd, puisque nous avons décidé de le rééduquer aussi à la maison: j’ai travaillé à mi-temps pendant 2 ans et demi et j’ai dû arrêter ma profession d’infirmière libérale il y a quelques mois pour me consacrer à mon fils et à sa rééducation quotidienne.

 

Mes parents, censés être à la retraite et pouvoir enfin souffler, viennent aussi au quotidien chez nous pour nous aider. Notre enfant souffre sans pouvoir exactement nous montrer où se situent ses douleurs, même si son système digestif semble en être une des causes la plus probable (malabsorption intestinale, intolérances alimentaires, hernie hiatale et RGO avérés). Nous n’avons quasiment plus de vie sociale, peu de nuits car Stéphane se réveille en pleurs toutes les nuits, surexcité entre 2h et 5h du matin et rongé par la douleur.

 

Il va à l’école depuis le mois d’octobre avec une AVS  8h par semaine, et nous n’avons personne d’assez formé et habilité à garder Stéphane la journée, malgré plusieurs tentatives et différents modes de garde testés. 

 

Pourquoi avoir accepté la vaccination de mon enfant si nous pensions dès le départ que le problème venait de là ?

 

Je suis infirmière libérale et j’ai toujours cru jusqu’alors aux bienfaits de la vaccination, pensant à l’abolition des épidémies, aux vies sauvées grâce à ce progrès de la médecine. Mais comme tout médicament, il existe des effets indésirables, des effets secondaires graves qu’aucun médecin rencontré au moment de la vaccination n’avait mentionnés. Seule la fièvre a été décrite et présentée comme un élément banal et courant. Aucune fois les risques d’encéphalite ou d’hypotonie n’ont été mentionnés…

 

Quand nous avons voulu nous en tenir uniquement au DTP, le vaccin n’était plus disponible avec ces seules valences et quand j’ai demandé un délai ne sachant pas que j’avais jusqu’aux 18 mois de Stéphane pour être en règle avec l’obligation de primo-vaccination, les médecins rencontrés m’ont dit qu’étant infirmière libérale en activité, j’étais inconsciente de vouloir reporter la vaccination des 2, 3 et 4 mois de mon fils, et que si je voulais la mort de mon enfant je m’y prenais très bien ! On m’a dit aussi que j’étais fichée à la PMI puisque j’y étais allée pour peser mon fils les premières semaines, et que je serais donc contrôlée en cas de non vaccination dans les règles de mon enfant.

 

Mon fils a donc reçu 3 séries d’injections en 3 mois d’affilée comme le recommandait à l’époque l’ancien calendrier vaccinal, chose qui, 3 mois plus tard, n’était plus d’actualité avec de nouvelles recommandations de vaccinations finalement à 2 et 4 mois « seulement » !

 

Tout ce que nous attendons est que justice soit faite, que la vérité au sujet des effets secondaires EXISTANTS concernant les vaccins puisse être acceptée, reconnue, et que l’on arrête de mentir aux familles comme cela a été fait dans le passé avec le Distilbène, la Thalidomide, le Mediator et aujourd’hui la Dépakine.

 

Le vaccin a beau être mis sur le marché avec la promesse de protéger la population, sous couvert de présenter un intérêt de santé publique, il n’en reste pas moins un MEDICAMENT que chacun d’entre nous risque de ne pas pouvoir obligatoirement supporter, selon ses antécédents familiaux, son terrain, son histoire et selon le mode d’utilisation, comme il l’a été fait pour mon fils, en série, alors que nous avons appris par la suite que l’association infanrix-prévenar est contre-indiquée, par exemple, et que les vaccins présentent tous des nanoparticules cancérogènes et délétères en quantité importante. (de nombreuses analyses ont été effectuées et en apportent la preuve )

 

Merci d’avoir pris le temps de nous lire.

 

Les parents de Stéphane. 

Nanoparticules dans les vaccins: quand le soleil se couche sur la santé des enfants (un témoignage édifiant de plus...)
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