Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
21 octobre 2010 4 21 /10 /octobre /2010 23:02

Voir ICI

Partager cet article
Repost0
21 octobre 2010 4 21 /10 /octobre /2010 22:43

DAILY MAIL ONLINE, 16 OCTOBRE 2010

Jo Macfarlane

  

Précédemment, le gouvernement avait toujours insisté sur le fait qu'il n'y avait pas de preuves permettant d'établir un lien entre la paralysie et le vaccin H1N1.

 

Le dernier rapport du MHRA signale que la position du gouvernement aurait changé. Une légère élévation du risque de Guillain Barré (GBS) à la suite de la vaccination H1N1 ne pourrait plus être exclue. Les études épidémiologiques se poursuivent pour vérifier cette possibilité.

 

On ne sait pas exactement ce qui provoque la paralysie (GBS) mais la maladie attaque la gaine des nerfs, ne leur permettant plus de transmettre correctement les signaux aux muscles

 

 * * *

 

Madame Hilary Wilkinson, 58 ans mère de deux enfants a développé un GBS après une infection des poumons. Elle a dû être hospitalisée pendant 3 mois pour réapprendre à parler et à marcher. Elle déclare: " C'est une maladie terrible. Je pense que davantage de recherches doivent être réalisées sur les effets possibles du vaccin contre la grippe".

 

Source: Daily Mail

Partager cet article
Repost0
21 octobre 2010 4 21 /10 /octobre /2010 22:31

19.10.10

 

C'est ce qui résulte des analyses conduites au Canada où 59% des cas sévères de syndromes grippaux étaient dûs à des rhinovirus ou des entérovirus contre seulement 7% au H1N1 pandémique.

 

Cette étude a été menée dans la province d'Ontario au Canada entre le 1er juillet et le 31 décembre 2009, donc en pleine période dite pandémique.

 Elle a été réalisée par ''The Ontario Public Health Laboratory'' et portait sur 297 infections respiratoires sévères ou prolongées pour lesquelles une analyse virale avait été demandée par des médecins. Un pathogène a été identifié pour 234 de ces prélèvements et le tableau 1 de la publication [1] récapitule les résultats que voici  :

 

174 (58,6% des 297 cas étudiés) correspondaient à des entérovirus ou rhinovirus.

22 pour l'influenza A de type H1N1 2009 (7,4%)

26 aux para-influenza de types 1, 2, 3 ou 4 (8,75%)

2 au métapneumovirus

2 au  virus syncytial A ou B.

 

Le virus syncytial est responsable des bronchiolites. Les rhinovirus sont particulièrement adaptés aux voies nasales et sont le principal agent causal du rhume et de la rhinite. Ces virus sont extrêmement résistants dans l’environnement et peuvent survivre longtemps sur une surface inerte. Pour plus de précisions on peut consulter Wikipédia.

De même pour les para-influenza dont Wikipédia donne les informations suivantes :

 

« Les infections à virus para-influenza sont assez peu connues du grand public, elles constituent cependant, avec le virus respiratoire syncytial (RSV), une des causes principales d'hospitalisation des nourrissons. Ces infections peuvent également avoir des conséquences graves chez les personnes âgées et les patients immuno-déprimés. Les répercussions économiques dues à ces virus commencent seulement à être mesurées.  Aucun traitement efficace n'existe. Il n'existe pas de vaccin. »

 

Ajoutons qu'il y a eu 13 décès dont 4 ont été associés au rhinovirus. Des données cliniques sont disponibles pour 7 de ces 13 décès. Six d'entre-eux ont été attribués à une pneumonie ou une infection respiratoire.

 

Pour résumer, le rhume aurait été beaucoup plus dangereux que la grippe pandémique !

 

[1] http://www.cdc.gov/eid/content/16/9/PDFs/10-0476.pdf

 

 

 

Source: La question des vaccins

Partager cet article
Repost0
14 octobre 2010 4 14 /10 /octobre /2010 22:52

24 septembre 2010. Par JACKY SANUDO

 

La campagne de vaccination contre la grippe saisonnière vient tout juste de commencer. La souche H1N1 sera présente dans le vaccin trivalent car le virus a muté.

 

Le nouveau vaccin antigrippe est arrivé dans les pharmacies. Il est toujours gratuit pour les plus de 65 ans, et votre médecin traitant ou votre infirmière est à même de vous administrer la piqûre. Après le fiasco de la vaccination contre la grippe A, on pourrait penser que l'on revient à une activité normale. À ceci près que les nouveaux vaccins proposés contiendront tous la souche H1N1, y compris celui contre la grippe saisonnière.

 

«Le virus qui était responsable de la pandémie est en train d'évoluer pour se transformer en ce qu'on appelle un virus grippal saisonnier. Il s'est adapté et entraîne des phénomènes moins sévères, moins inhabituels. C'est la raison pour laquelle l'OMS [NDLR : Organisation mondiale de la santé] a recommandé qu'on intègre dans le futur vaccin la valence qui correspond à ce virus qui devient saisonnier », explique Didier Houssin, directeur général de la Santé.

 

Trois souches virales

 

Dans cette campagne de vaccination qui commence, deux vaccins seront prescrits. Le premier comprendra trois souches virales différentes, dont celle de la grippe A/H1N1. Ce vaccin sera sans adjuvant. Le deuxième, dit « monovalent », sera essentiellement réservé à une hypothétique flambée pandémique.

 

« Nous avons effectivement gardé en stock une réserve de doses de vaccin monovalent. A priori, nous n'aurons pas besoin de les utiliser, mais on se méfie quand même », explique Didier Houssin. Il précise que le stock est de 17 millions de doses, dont 7 millions vont arriver à leur date de péremption en septembre, octobre et novembre. « On aura donc 10 millions de doses qui seront encore valides jusqu'à environ la fin de l'année 2011 », assure le directeur général de la Santé.

 

Réserve « au cas où »

 

Pour lui, ce n'est pas une manière d'écouler les stocks restés entre les mains du gouvernement après la campagne de vaccination désastreuse de l'an dernier, pour laquelle 94 millions de doses avaient été achetées, au prix de 869 millions d'euros.

 

«La recommandation va être l'utilisation du vaccin trivalent saisonnier. Le stock de monovalents, purement H1N1, va être gardé comme une réserve au cas où, de façon inattendue, la situation prendrait un mauvais tour et qu'on décide d'élargir brutalement la recommandation de vaccination », affirme Didier Houssin.

 

Il convient de signaler que la pandémie est officiellement déclarée terminée depuis le mois d'août même si le virus H1N1 est toujours en circulation. Si vous décidez de vous faire vacciner contre la grippe saisonnière, sachez que la souche épouvantail de l'an dernier sera dans la seringue. Que vous le vouliez ou non.

 

(Didier Houssin)

 

Source: Sud Ouest

Partager cet article
Repost0
14 octobre 2010 4 14 /10 /octobre /2010 21:16

PARIS - Un rapport de la Cour des comptes présenté jeudi devant la Commission des Finances de l'Assemblée nationale évalue "à au moins 61 euros hors taxes" le coût de chaque dose de vaccin contre la grippe pandémique A/H1N1 utilisée, pour un prix moyen de la dose livrée de 7,2 euros.

 

Les conditions d'achat des vaccins contre la grippe pandémique A/H1N1 et la renégociation des contrats "font apparaître de multiples faiblesses", indique cette enquête, demandée par la Commission des Finances et des Affaires sociales.

 

Elle portait sur "les comptes et la gestion de l'Etablissement de préparation et de réponse aux urgences sanitaires (Eprus) depuis sa création".

 

Placé sous la tutelle du ministère de la Santé, l'Eprus a été créé en 2007, pour gérer le stock des produits de santé constitué pour faire face à une éventuelle attaque terroriste ou pandémie grippale.

 

La gestion de la campagne contre la grippe H1N1 "a constitué pour lui un "baptême du feu", souligne le rapport de la Cour des comptes.

 

A propos de l'achat des vaccins, il relève que "les conditions dans lesquelles ont été conduites tant la passation des contrats que leur renégociation font apparaître de multiples faiblesses qui relèvent cependant d'avantage de la stratégie de négociation définie par la tutelle que des tâches de pure exécution réservées à l'établissement".

 

Il cite : "recours discutable à l'article 3-7 du code des marchés publics, absence de clauses conditionnelles permettant un ajustement aux incertitudes sur les délais et les quantités, exigences imposées par les fournisseurs en matière de prix, de mode de conditionnement ou de clauses d'irresponsabilité, caractère tardif de la dénonciation unilatérale des contrats".

 

"Un montant total d'indemnisation de 48,5 millions d'euros porte à près de 365,3 millions d'euros hors taxes (382,7 millions d'euros TTC) le coût des quelque 44 millions de doses de vaccins qui auront été livrées", indique le rapport.

 

"Un bilan quantitatif de la vaccination met en lumière la très faible proportion de doses effectivement utilisées sur le territoire national (13,4% des livraisons) ainsi que la part élevée (1/3) des vaccins mis en place qui ont été perdus ou devront être détruits", ajoute-t-il.

 

Il évalue ainsi le coût unitaire de la dose de vaccin employée "à au moins 61 euros hors taxe, pour un prix moyen de la dose livrée de 7,2 euros HT".

 

Les "nombreuses et substantielles interventions du ministre chargé de la Santé et de son cabinet ont considérablement restreint le champ des responsabilités et les marges de manoeuvres dont disposait l'Eprus pour conduire et conclure les négociations dont il était chargé en titre", souligne le rapport.

 

(©AFP / 14 octobre 2010 17h02)

 

 

Source: Romandie

Partager cet article
Repost0
14 octobre 2010 4 14 /10 /octobre /2010 18:06
Audition publique H1N1

 

La commission environnement a organisé ce mardi 5 octobre 2010 une audition publique sur la gestion de l'Union européenne de la pandémie H1N1.

 

Elle s’est tenue dans le cadre d’un rapport d’initiative concédé aux députés qui avaient à l'origine demandé une véritable commission d’enquête. Malgré l’obtention de la signature de plus de 200 députés pour obtenir une telle commission d’enquête, alors qu’il en suffisait de 189, la conférence des Présidents en a refusé la constitution.

 

Il n’y aura donc qu’un rapport d’initiative, dans le cadre duquel est organisée cette audition. Elle a réuni les actuels et anciens responsables des agences du médicament et de la prévention des maladies, des représentants de la Commission européenne, ainsi que les présidences suédoise et belge.

 

Quelle impression a suscité cette audition dont il faut se féliciter qu’elle ait pu avoir lieu ?

 

-         d’abord, un refus général de reconnaître le fiasco de cette gestion pour renvoyer sur les Etats membres la responsabilité des choix finaux, et sur l’OMS  celle de l’annonce de la pandémie ;

 

-         Ensuite, la prétention d’une coopération entre les Etats membres alors qu’il apparaît qu’elle a été quasi-inexistante : le prix des vaccins, leur nombre, le choix des populations à vacciner a en réalité varié d’un pays à l’autre, pour le malheur des finances publiques et de la confiance des Européens dans leurs institutions de santé ;

 

-         Enfin, une entente entre les acteurs pour défendre la thèse du « circulez, il n’y a rien à voir… » (j’invite ceux que cela intéresse à écouter la question que j’ai posée à l’ancienne directrice de l'ECDC, le Centre européen de prévention et de contrôle des maladies, et sa non-réponse).

 

Certes, de bonnes paroles nous ont été prodiguées pour nous convaincre que les leçons étaient tirées de tout cela.

 

Mais, force est de constater que pour qu’il en soit ainsi, nous devrions comprendre :

 

-         pourquoi alors que l'ECDC avait, grâce à ses experts en interne, développé les bons éléments d‘information et la bonne stratégie, il n’en n’a finalement pas été tenu compte ;

 

-         pourquoi, alors que les Etats membres disposaient d’informations communautaires, n’ont-ils pas coopéré et imposé aux laboratoires des règles dans l’intérêt des populations, et, en particulier, pourquoi n’ont-ils pas négocié collectivement les prix, ni appliqué la règle communautaire de responsabilité du fabricant pour les effets secondaires, et pourquoi se sont-ils fait abuser, comme en France, sur la prétendue nécessité d’une double dose ?

 

-         Enfin, pourquoi le sujet a-t-il été traité jusqu’en février 2010 à la Commission par la Direction Générale Entreprise, et non la DG Santé, et que l’EMA, l'agence du médicament, essentiellement financée par les laboratoires pharmaceutiques, l’a-t-elle emporté sur l'ECDC, agence quant à elle financée par des fonds de l’Union et disposant de ses propres experts ?

 

Si aucune réponse n'est apportée  à ces questions, alors nous n’avancerons pas. Or, la gestion de la pandémie H1N1 est triplement catastrophique : par son coût financier; par la défiance généralisée qu’elle a généré à l’égard des autorités de santé ; et par l’échec de gestion européenne qu’elle traduit.

 

Notre devoir est de répondre efficacement à ce triple échec.

 

Source: le blog de Corinne Lepage

Partager cet article
Repost0
9 octobre 2010 6 09 /10 /octobre /2010 21:07

ZURICH (Suisse) - Le groupe pharmaceutique suisse Novartis a annoncé jeudi avoir conclu un accord avec la société américaine Synthetic Genomics Vaccines (SGVI) pour accélérer le développement de vaccins contre la grippe.

 

Dans le cadre de ce partenariat d'une durée de trois ans, le laboratoire suisse va employer la technique du "génome synthétique" pour accélérer la production de virus souches de la grippe, a-t-il précisé dans un communiqué.

 

Les virus souche sont utilisés comme base dans la production de vaccin à grande échelle.

 

Novartis et SGVI vont développer une base de données de virus souches synthétiques disponibles pour démarrer la production de vaccins contre la grippe dès que l'Organisation mondiale de la santé (OMS) aura identifié le type de grippe.

 

"Cette technologie pourra réduire le temps de production des vaccins jusqu'à deux mois, ce qui est particulièrement important dans le cas d'une pandémie", a précisé le groupe helvétique.

 

Novartis développe et commercialise des vaccins contre la grippe saisonnière et a fait partie des laboratoires qui ont produit un vaccin contre la grippe H1N1.

 

A la Bourse suisse, cette annonce n'a guère influencé le titre Novartis, qui progressait légèrement de 0,18% à 55,80 francs suisses dans un marché en baisse de 0,05% à 07H18 GMT.

 

(©AFP / 07 octobre 2010 09h24)

 

Source: Romandie

 

 

L'avis d'Initiative Citoyenne: Alors que ces vaccins H1N1 expérimentaux au développement bâclé ont déjà fait des milliers de victimes sans parler des décès et autres évènements graves survenus au cours des essais cliniques, voilà que se confirme bel et bien le souhait inquiétant, tant des officiels de santé que de la part des industriels, d'accélérer encore le processus de fabrication de ces produits. Sans doute pour mieux parvenir à l'avenir à faire croire à la "grande efficacité" de cette méthode? Quoi qu'il en soit, on parle de nouveau ici de future pandémie (à noter que l'article fait état d'un partenariat d'une durée de 3 ans), de production de vaccins A GRANDE ECHELLE.

On parle du reste de la technique du "génome synthétique", une technique qui consiste à vouloir imiter la Nature (et soi disant faire Mieux ou tout aussi bien!) avec tous les risques inhérents à ce type d'arrogance.

 

Au sujet de cette technique, il faut savoir qu'à l'occasion de la création de la première cellule au génome artificiel (synthéthique) en mai 2010, Jennifer Miller, directrice de Bioethics International a expliqué: “Avec une nouvelle technologie, il vous faut toujours considérer les bénéfices ET LES RISQUES, souligne Jennifer Miller, directrice de Bioethics International. Il y a le risque de voir cette technologie tomber entre de mauvaises mains, telles celles d’un bioterroriste. Il y a aussi des risques importants mais plus subtiles liés au fait que vous ne savez pas ce qu’il se passera quand ces nouveaux organismes ou ces nouvelles espèces auront été libérées dans la nature.”

 

L'usage des vaccins hépatite B ne s'est pas révélé sûr, à tel point que les industriels sont déjà en train de fabriquer de nouveaux vaccins anti-hépatite B. On peut donc se demander pourquoi si ceux-ci étaient tellement "au point". Il est à noter que ces vaccins sont des vaccins recombinants (transgéniques), obtenus via des OGM pour la culture des virus...

 

En conclusion, quand on lit ces "projets" alarmants et inquiétant, on en revient toujours au même constat: les instances "publiques" (en tout cas celles qui sont crues comme telles et se présentent ainsi officiellement) et même les états n'ont plus AUCUN pouvoir sur ces gigantesques firmes pharmaceutiques qui peuvent se permettre de faire la loi, tout simplement parce qu'elles en ont les moyen et qu'elles constituent, avec tout l'argent accumulé, un véritable "rouleau compresseur" en terme de démocratie et de santé.

 

Tout cela, ce ne sont bien sûr pas des affirmations gratuites: on a bien vu l'arrogance et l'autoritarisme "du maître" quand Novartis s'effarouchait de voir l'Etat français vouloir résilier une partie des doses préalablement commandées et menaçait de ne plus "livrer" de futurs vaccins en cas de futures pandémies...

 

Partager cet article
Repost0
4 octobre 2010 1 04 /10 /octobre /2010 21:59

Ce film représente plus d'un an de démarches, d'actions en justice, de confrontations rigoureuses du discours officiel avec la réalité des faits...

Dans cette vidéo de synthèse, vous pourrez découvrir ou redécouvrir la position de différents médecins sur le sujet, voir ou revoir des extraits de JT, des extraits de nos conférences de presse mais aussi la réaction de plusieurs citoyens interrogés au cours de différents microtrottoirs. Ce film, c'est nous, c'est vous, c'est le reflet fidèle et rigoureux d'un ras-le bol généralisé face aux mensonges et à la manipulation. Enfin, c'est la preuve de l'impérative nécessité de structures citoyennes de vigilance, viables et fonctionnelles.

 

PARTIE 1/3

 

     
 
PARTIE 2/3

 
PARTIE 3/3
 

 

 
Partager cet article
Repost0
3 octobre 2010 7 03 /10 /octobre /2010 00:45

23 septembre 2010

Prevent Disease .com

 

L’Agence de Santé Publique Canadienne a, une fois de plus, donné son feu vert pour l’injection d’un dangereux cocktail de produits chimiques toxiques qu’on appelle le vaccin trivalent. Ce vaccin 2010-2011 d’Astra Zeneca, le Flumist, contiendra plusieurs souches de virus vivants dont le H1N1 et le H3N2, ainsi que du MSG et d’autres neuro et immunotoxines.

 

Comme ce fut le cas l’an dernier pour l’Arepanrix, le Flumist a été approuvé sans que sa sécurité et son efficacité aient été complètement évaluées sur un seul citoyen Canadien.

 

Ces vaccins (de type nasal-) ont spécialement été recommandés pour les enfants étant donné que le spray nasal peut être présenté de façon moins « invasive » avec un système de délivrance nasal plutôt qu’une injection nécessitant des piqûres d’ aiguilles. Le chef du département médical de l’Ontario a ainsi présenté cette vaccination non injectable comme  une « option attractive ». Le produit existe sur le marché américain depuis ces sept dernières années.

 

 

 

read the label 

Lisez la notice, refusez un vaccin toxique

 

 

Astra Zeneca Canada est occupée à s’assurer que tous les pharmacies canadiennes se préparent à stocker leur vaccin cet automne. Ce vaccin anti-grippal sera l’un des vaccins disponibles parmi d’autres pour le marché  canadien.

 

Le 26 août 2010, Santé Canada a délivré un document d’approbation à Astra Zeneca pour le vaccine Flumist.

  

Information sur le vaccin trivalent Flumist

 

Trois virus vivants

 

Le virus influenza Type A (H1N1)

Le virus influenza Type A (H3N2)

Le virus influenza Type B

 

Composants  (non médicinaux)

 

Hydrolysat de gélatine (porcin Type A)

Sucrose

Arginine

Gentamicine

 

Composants additionnels toxiques

 

Phosphate de potassium monobasique. Immunotoxine

Arginine hydrochloride. Toxique pour les poumons et les membranes muqueuses.

Monosodium glutamate Neurotoxine, excitotoxine.

Gentamicine . toxique pour les reins.


Il n’existe actuellement aucune étude clinique qui permettrait de justifier la sécurité long-terme et l’efficacité de ce vaccin. Les agences de régulation sanitaire refusent de reconnaître ce fait ou la nature des niveaux de toxicité de ce vaccin et de ses composants. La toxicité des composants repris ci-dessus, pourtant parfaitement documentée, est simplement ignorée.

 

Pas d’études sur la cancérogénicité, la pharmacocinétique ou la fertilité

 

L’absorption par le corps, la distribution, le métabolisme et l’excrétion des constituants du vaccin ne sont pas connus ou même pris en compte sur le plan de la sécurité.

 

Le vaccin n’a pas été testé quant à ses potentiels cancérogène et mutagène, ni non plus quant à la possibilité qu’il puisse induire l’infertilité.

Il n’existe aucune étude réalisée sur la reproduction animale, ni non plus sur les femmes enceintes ou allaitantes. On ignore également si le vaccin pourrait être excrété dans le lait maternel.

 

Hospitalisations et décès

 

On a observé un taux plus élevé d’admissions à l’hôpital (pour n’importe quelle cause) des enfants de 6 à 11 ans au cours des 180 jours qui ont suivi la vaccination.

 

Huit décès ont été rapportés au cours des 180 jours qui ont suivi la vaccination. Les décès ont été attribués à de la diarrhée, à un état septique, à des encéphalopathies, à de la suffocation…

 

Effets secondaires

 

Douleurs

Rougeurs

Gonflement

Fatigue

Maux de tête

Arthralgie

Myalgie

Frissons

Transpiration

Gonflement des glandes lymphatiques

Fièvre

Vomissements

Engourdissement des mains et des pieds

Souffle court

Vasculite (inflammation des vaisseaux sanguins)

 

Effets secondaires graves

 

Exacerbation des symptômes d’encéphalopathie (Syndrome de Leigh)

Réactions anaphylactiques œdème facial et urticaire

Syndrome de Guillain-Barré, paralysie de Bell

Epistaxis

Rash

 

L’information ci-dessus démontre clairement que l’agence de Santé publique Santé Canada n’a pas la volonté d’assurer les précautions les plus élémentaires pour protéger la santé des Canadiens.

 

L’an dernier, au moment où la grippe se répandait, les autorités sanitaires ont averti les canadiens de ne pas acheter des remèdes naturels et de s’en tenir strictement aux anti-viraux et vaccins autorisés par le département de la santé.

 

Finalement 172.000 doses ont dû être retirées à la suite de graves effets secondaires, notamment au niveau des poumons et du cœur. Des centaines de décès furent enregistrés.

 

S’il vous plaît, protégez-vous de manière naturelle contre la grippe. Renseignez-vous pour comprendre ce que représentent un rhume et une grippe et n’oubliez pas votre bon sens.

 

Dave Mihalovic

 

Dave Mihalovic est médecin naturopathe spécialisé en recherche sur les vaccins, prévention du cancer et approche naturelle des problèmes de santé.

 

 

 

Source: Prevent Disease

Partager cet article
Repost0
3 octobre 2010 7 03 /10 /octobre /2010 00:26

«Une mode domine chaque époque sans que la plupart des gens soient capables de voir les tyrans qui imposent leur volonté »  Albert EINSTEIN

 

 

 VACCINATION OBLIGATOIRE POUR LE PERSONNEL DE SANTE (USA)

 

ET APRES …A QUI LE TOUR ?

 

Barbara Loe Fisher,NVIC (USA)

 

 

La Direction Médicale de l’Hôpital des Enfants de Philadelphie a décrété que tous ses employés devraient se faire vacciner chaque année ou être renvoyés chez eux pour deux semaines afin de pouvoir « réfléchir ». La personne qui après ce laps de temps persisterait dans son refus serait tout simplement licenciée.

 

60 pour cent de tout le personnel de santé aux Etats-Unis ne veut pas se faire vacciner contre la grippe saisonnière. Ce chiffre correspond au nombre de citoyens Américains qui ont choisi de ne pas se faire vacciner, même en cas de pandémie. Des études montrent que les professionnels de santé sont informés du fait que la vaccination contre la grippe peut provoquer des effets secondaires méchants et inattendus chez certains, comme des paralysies et des convulsions.

 

Pas uniquement les médecins et les infirmières : tout le monde

 

Tour ceci n’a pas empêché les organisations médicales de lancer une véritable croisade nationale pour obliger toutes les personnes travaillant dans le domaine de la santé à se faire vacciner chaque année contre la grippe, peu importe que ces personnes aient un contact direct avec les patients ou pas. Une exception pourrait cependant être faite si les médecins responsables acceptaient « une exemption médicale » à la vaccination, chose qui à l’heure actuelle est aussi difficile à obtenir qu’un travail.

 

Il n’est guère réjouissant de voir des médecins se comporter davantage comme des gangsters et des brutes que comme des soignants et des guérisseurs. Quand des médecins menacent de ruine financière ceux qui refusent de se taire en pliant l’échine, il y a quelque chose qui ne tourne plus rond du tout.

 

C’est alors la peur et la colère qui remplacent la confiance. C’est alors que les questions fusent : sur qui va peser la prochaine menace, sur qui va tomber la punition pour avoir refusé le vaccin contre la grippe ?

 

La réponse c’est VOUS, moi, et chaque Américain ! Nous sommes les prochains à être visés parce que quand les médecins acceptent d’échanger leurs blouses blanches contre des uniformes militaires et même s’ils sont les premiers à passer dans le collimateur, le reste de la population ne peut tarder à suivre ! Si jamais on permet à l’actuelle usurpation de pouvoir de créer un précédent en Amérique, la seule question à propos de l’avenir sera celle-ci : combien de vaccins va-t-on nous obliger à subir sous peine de perdre notre emploi, notre assurance santé, notre accès à l’hôpital, nos soins de santé, un billet d’avion, la réservation d’un hôtel si nous ne pouvons pas prouver que nous avons été vaccinés ?

 

NVIC, 30 SEPTEMBRE 2010 Issue

“Forcing Flu Shots on Health Care Workers”

Partager cet article
Repost0

                    

Recherche

Contact

 

initiative.citoyenne[at]live.be

Courriers Aux Autorités & Autres Documents Importants

Ce site refuse de cautionner le label HONcode.

Ce site refuse de cautionner le label HONcode    

Ce site soutient Nurpa pour la liberté d'internet

Boutton de soutien à la NURPA