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2 octobre 2010 6 02 /10 /octobre /2010 21:51

"Il n'y a pas de raison de croire que le vaccin soit capable de prévenir ou de diminuer la grippe et ses complications. Ceux qui fabriquent ce vaccin savent qu'il ne sert à rien mais ils continuent à le vendre quand même."

Dr Anthony Morris (ancien chef du Contrôle des vaccins auprès de la FDA)

 

Plusieurs publications sérieuses évoquent l'inefficacité d'une telle vaccination. Mais cela n'empêche pas les autorités d'affirmer de façon dogmatique et anti-scientifique que "la vaccination est le seul moyen efficace de protection."

 

Mais on pourrait aussi rappeler que les Drs Snacken et Van Ranst osaient prétendre en 2005 "cette vaccination ne présente que des avantages pour notre pays."

 

Les officiels et les médecins hygiénistes persuadés de cette croyance sans véritable fondement insistent sur la notion d'"altruisme" en espérant ainsi que plus de gens cèderont aux sirènes de la vaccination. Tout cela n'est en fait que pure manipulation.

 

Car ces gens font croire à un faux consensus qui n'a JAMAIS existé au sein du monde scientifique sur cette question.

 

Par exemple, ils oublient de dire aux patients et à la population en générale qu'aux Etats-Unis, la couverture vaccinale contre la grippe est passée de 15% à 1980 à 65% de nos jours (soit une hausse de 50%), sans que cela n'engendre pour autant la moindre baisse des décès ou des complications liées à la grippe!

 

Taux mortalité grippe USA

 

 Les officiels aux Etats-Unis ont recommandé pour la saison grippale 2010-2011 que "TOUTES les personnes âgées de 6 mois au moins devraient recevoir la vaccination annuelle pour la saison 2010-2011 de la grippe."

 

Cela implique donc aussi les enfants.  Pourtant, il se trouve que les faits sont là, implacables et que depuis la vaccination systématique anti-grippale imposée à tous les enfants de moins de 5 ans dans ce pays, le taux de mortalité lié à la grippe a littéralement explosé dans cette catégorie de la population comme le montre le graphique suivant:

 

Under-5-deaths.jpg

 

Efficacite-enfants.jpg

 

 

0% d'efficacité chez les enfants de moins de 2 ans et un effet péjoratif et exacerbateur sur la mortalité liée à la grippe chez les moins de 5 ans....N'importe quel scientifique honnête, n'importe quel politicien intègre devrait , par conséquent, s'élever avec force contre cette politique de l'entêtement anti-scientifique, c'est évident!

 

Sommes-nous mieux lottis en Belgique? Pas tant que ça puisque le Conseil Supérieur de la santé se montre extrêmement dictatorial dans son Guide des vaccinations (Conseil Supérieur de la Santé; Guide de vaccination, Bruxelles, 2009- N°8586):

 

"Les recommandations habituelles concernent les personnes âgées ainsi que les personnes à risque de complications. Les nouvelles recommandations insistent sur la nécessité de vacciner les personnes à partir de cinquante ans même si elles sont en bonne santé puisqu'une personne âgée sur trois ignore qu'elle est à risque. La mortalité liée à la grippe augmente sérieusement à partir de cet âge."

 

Les personnes dès 50 ans apprécieront d'être taxées de "sujets âgés" pour le plus grand bonheur de Big Pharma... En fait, c'est ici la très célèbre ficelle du Dr Knock qui est utilisée: "tout bien portant est un malade qui s'ignore". Qui tombera encore dans ce panneau?

 

Mais ce n'est pas tout, voici encore une Xième énormité du Conseil Supérieur de la santé dans ses "recommandations" aux allures d'"obligations":

 

"1. DOIVENT IMPERATIVEMENT ETRE VACCINEES:

 

Les personnes à risque de complications, c'est à dire toute personne de 65 ans et plus, même en bonne santé et les personnes institutionnalisées, [...]."

 

Parmi les personnes institutionnalisées, on trouve des handicapés, des personnes atteintes de maladies neurologiques graves comme les patients Alzheimer ou ceux atteints de démence sénile, tous des groupes en somme qui n'ont, dans les faits, pas la capacité de décider en toute connaissance de cause s'ils veulent ou non courir ce risque de la vaccination anti-grippale pour un bénéfice proche de zéro %!

 

Car, des gens naïfs ou insuffisamment informés pourraient penser que si les membres du Conseil Supérieur de la Santé sont si insistants et si sûrs d'eux-mêmes, c'est qu'il n'existe pas de preuve solide que cette vaccination soit inefficace dans les groupes considérés....

 

Erreur! Voici un graphe élaboré à partir des résultats d'une étude de la très célèbre collaboration scientifique Cochrane qui démontre que la vaccination anti-grippale n'est pas ou très peu efficace chez LES SUJETS ÂGES ET LES GENS EN INSTITUTION!

Cherchez l'erreur...

 

Efficacite-gens-ages.jpg

 

A noter, cette Collaboration Cochrane, qualifiée de "nec plus ultra en matière épidémiologique" par l'expert en pharmacologie Dr Marc Girard, a analysé, pour arriver à ce type de conclusions,  pas moins de 64 études sur 40 années de pratique de la vaccination anti-grippale ce qui fait, en conséquence, que les afficionados de la vaccination à tout crins auront évidemment beaucoup de peine à balayer cela d'un simple revers de la main!

 

En fait, le business de la vaccination antigrippale est énorme et c'est cela et uniquement cela l'enjeu de tant de propagande en faveur d'un moyen de prévention aussi douteux.

 

Influenza Vaccine market

 

Face à ce véritable rouleau compresseur que constituent les moyens disproportionnés de Big Pharma pour désinformer, il ne reste hélas que trop peu de place pour un juste débat qui consisterait à discuter de: l'inefficacité de la vaccination anti-grippale, l'exagération artificielle des décès et des complications réellement attribuables à l'influenza (cfr analyse du Dr Tom Jefferson, et son exposé lors de l'audience du Conseil de l'Europe en janvier 2010) et l'occultation dramatique des effets secondaires de ces produits insuffisamment évalués.

 

Car tout citoyen a le droit de savoir, même si son médecin l'ignore ou feint de l'ignorer que: 

 

- La vaccination anti-grippale est très peu, voire pas du tout efficace.

 

- Même les fabricants de ce type de vaccins ont reconnu qu'il n'existe pas de corrélation entre le taux d'anticorps produits et le degré de "protection" conféré.

 

- La vaccination anti-grippale initiale génère une "empreinte immunitaire" prédominante qui rendra les autres vaccinations de moins en moins efficaces au fil du temps.

 

- La vaccination anti-grippale installe les patients dans une dépendance vis-à-vis du système médical avec l'engrenage que constitue la nécessité de rappels annuels.

 

- Bien que ne comportant la plupart du temps pas de virus vivant (hormis le Flumist nasal aux USA), la vaccination peut tout de même favoriser ou déclencher un syndrôme grippal ou pseudo grippal parce que toute vaccination a un effet immunosupresseur lequel, en affaiblissant nos défenses naturelles, peut nous rendre vulnérable à des infections que nous aurions pu juguler en temps normal (toutes les affirmations péremptoires comme quoi des sujets "malades comme des chiens" après vaccination anti-grippale ne le sont pas à cause du vaccin mais parce qu'ils ont attrapé "un autre virus" sont donc d'une absurdité et d'une mauvaise foi indicibles!)

 

- La vaccination anti-grippale contient de nombreux ingrédients toxiques comme le formaldéhyde qui est une substance notoirement cancérigène et dans la plupart des cas, le conservateur mercuriel thiomersal/thimérosal qui attaque le système nerveux et nuit aux fragiles équilibres physiologiques. L'effet de ces composants n'a d'ailleurs jamais été évalué sur le long terme.

 

- La vaccination anti-grippale peut constituer une pollution d'autant plus lourde que ses effets peuvent s'additionner à d'autres pollutions passées ou présentes comme celle occasionnée par les amalgames dentaires au mercure.

 

- La vaccination anti-grippale peut provoquer des pics d'hypertension (Dr Ronan Zolta, MD in "Natural Alternatives to Vaccination"), elle peut exacerber le diabète et l'asthme (Michel Georget dans "Vaccinations, les vérités indésirables", références scientifiques à l'appui.)

 

- La vaccination anti-grippale est liée à un risque accru de maladie d'Alzheimer. Certains scientifiques mettent en avant le rôle des ARN double brins utilisés dans certains vaccins anti-grippaux qui perturbent les gènes et le fonctionnement normal des neurones, d'autres incriminent davantage le mercure, présent sous forme de thiomersal. Pour le Pr Fudenberg, neuro-immunologiste américain, une personne qui reçoit 5 injections anti-grippales annuelles successives voit déjà son risque de maladie d'Alzheimer multiplié par 10!

 

- Il n'existe aucune donnée sérieuse d'évaluation des effets de cette vaccination chez la femme enceinte comme admis par les fabricants. Il ne peut donc être a priori exclu qu'une telle vaccination puisse être source de complications chez la mère comme chez le foetus (fausse couche, malformations etc). Etant donné qu'il n'existe aucun seuil sûr de mercure, on voit mal comment, par l'intermédiaire du placenta qui peut pourtant se comporter comme une "éponge", le bébé ne pourrait pas subir la toxicité du redoutable poison mercuriel, même à ces dosages, sans parler des autres sources additionnelles de contaminations au mercure de la mère (poisson, amalgames dentaires au mercure etc)

 

- Le rapport coût/bénéfices de la vaccination anti-grippale ne s'est pas révélé favorable dans l'enquête menée par la Caisse Primaire d'Assurance Maladie (CPAM) de Nantes, en 1993 puisque dans celle-ci, les patients vaccinés étaient plus touchés par la grippe que les non vaccinés et qui plus est, consommaient davantage en soins de santé dans une même période donnée que les non vaccinés.

 

 

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1 octobre 2010 5 01 /10 /octobre /2010 22:31

Voici une plaquette promotionnelle d'un fabricant de vaccins contre la grippe saisonnière, la firme Abbott, qui produit l'Influvac. C'est ce type d'"information"/communication que votre médecin reçoit de la part de l'industrie pharmaceutique:

 

Influvac PREM

   

Influvac-DEUXIO.jpg

 

Influvac-TROISIO.jpg

 

Influvac DEUX-copie-1

 

 

Cette publicité appelle plusieurs réflexions et plusieurs questionnements:

 

- "Vaccinez en toute sérénité"... tiens donc, cela voudrait-il donc dire que de plus en plus de médecins sont inquiets et ceci, plus encore, après avoir pu observer le fiasco du H1N1, des autorités et la lucidité du public??

 

- Le fabricant prend soin de stipuler "SANS ADJUVANT" et il indique également, juste au-dessus, "plus de confort pour le patient; moins de réactions locales et systémiques."

 

C'est étrange car les officiels de santé, en Belgique notamment où seul un vaccin adjuvanté (le Pandemrix) était disponible, n'ont eu de cesse de répéter que le vaccin adjuvanté ne donnait pas lieu à plus de réactions secondaires que le vaccin non adjuvanté! Une fois encore, la preuve est ici patente qu'on prend vraiment les gens pour des imbéciles... les masques tombent!!

 

Autre information et non des moindres, on peut lire en page 1 de Vax Info n°57 de septembre 2010 que:

 

"Le vaccin trivalent contre la grippe de cette année ne contient pas d'adjuvant, car les études actuellement disponibles sur l'efficacité ET LA SECURITE des adjuvants dans un vaccin trivalent sont insuffisantes." (!!!)

 

Ah bon? Fort étrange là aussi car on aperçoit mal comment les vaccins adjuvantés monovalents (contre le faux virus pandémique, H1N1) ont pu être déclarés "efficaces et sûrs" avec le squalène qu'ils contiennent et le développement bâclé qui a été le leur si des vaccins grippaux saisonniers avec le même type d'adjuvants sont ainsi jugés hasardeux et non suffisamment étudiés! Ici encore, les masques tombent car la Ministre de la Santé et son Commissaire Influenza claironnaient pourtant très fièrement qu'il n'y avait aucun problème avec les adjuvants et qu'un vaccin anti-grippal saisonnier, le Fluad (de Chiron) qui contient un adjuvant, avait déjà été utilisé, soi disant "sans problèmes" sur des millions de personnes...

Là encore, les masques tombent!

 

Autre point à relever, le même document (Vax Info n°57) indique en page 4 sous la rubrique "Flash sécurité" que "la sécurité des adjuvants est confirmée par l'EMEA" (=agence européenne du médicament).

 

On pourrait penser à un "aveuglement" de cette revue Vax Info quand on sait que l'EMEA est financée à plus de 70% par l'industrie pharmaceutique, juge et partie et que donc, cette agence aura bien plus tendance à favoriser les produits soumis par Big Pharma qu'à les critiquer. Mais quand on lit, en page 8 sous la rubrique "Les objectifs de Vax Info", ne s'agit-il pas plutôt de collusion contestable avec l'industrie pharmaceutique? 

 

"Transmettre aux médecins intéressés des informations concrètes et pratiques en matière de vaccination. "

 

"Faire part des réflexions d'experts quant aux perspectives d'avenir d'une politique vaccinale en Belgique et dans le monde."

 

Puis, enfin:

 

" Possible grâce à un "unrestricted educational grant" de GlaxoSmithKline" (GSK étant le producteur d'un des vaccins adjuvantés, le Pandemrix)

 

 

Cette revue, Vax Info, dans ce même numéro, rappelle aussi ceci en page 1:

 

"La quantité d'antigènes contre le virus A (H1N1) -dans la vaccination saisonnière 2010-2011 donc- est similaire à celles des deux autres antigènes (15µg, soit 4 fois plus importante que dans le vaccin monovalent adjuvanté pandémique utilisé durant la saison 2009)"

 

Ici aussi les masques tombent: pour des raisons purement commerciales, on a utilisé un adjuvant insuffisamment testé dont les conséquences ne font seulement que commencer à se manifester, on l'a vu avec la narcolepsie mais ce n'est sans doute hélas qu'un début.

 

Dans l'émission de la Première (RTBF radio) de ce vendredi 1er octobre à midi, on entendait notamment les Drs Van Laethem et Trefois au sujet de la vaccination...

Le Dr Trefois, pour ne prendre qu'un exemple est chargé du secrétariat de la rédaction de Vax Info comme visible en page 8 du feuillet. Une revue qui, nous l'avons vu, reçoit un soutien "éducatif" inconditionnel de la firme GSK. Cependant, le Dr Trefois s'est bien gardé de mentionner de tels liens d'intérêts auprès des éditeurs de la Première. Quel dommage!

 

vax-info.jpg

 

En page 8 du Vax Info toujours, on peut notamment lire "Grippe: texte de consensus."

 

"Un texte de consensus sur la vaccination contre la grippe saisonnière en 2010 est disponible notamment sur les sites suivants: www.ssmg.be et www.griepvaccinatie.be. Dans ce texte de consensus établi au sein d'un groupe de travail, les auteurs tentent d'apporter une réponse à diverses questions fréquemment posées et de clarifier quelques malentendus."

 

Mais qui sont ces membres du groupe de travail?

 

Parmi eux, les Prs Van Laethem et Van Ranst.

 

Comme par hasard, là aussi, il se fait que le Pr Van Ranst tenait des propos très (trop?) en faveur du vaccin, en avril 2009, en marge d'un symposium sur la vaccination, sponsorisé par la firme Abbott (producteur de vaccins dont l'Influvac on l'a vu).

 

Comme on peut le lire, il ne faut pas lésiner à vacciner les personnes atteintes de maladies auto-immunes qui peuvent être vaccinées comme les autres (alors que même le Pr Van Laethem admettait et rappelait encore ce vendredi midi sur la RTBF radio que la vaccination, contrairement aux autres médicaments donc les effets cessent à l'arrêt ou peu après avoir cessé de les consommer, peut agir pendant des années sur le fonctionnement du système immunitaire!!).

 

Vu que le nombre de personnes atteintes de maladies auto-immunes en tous genres s'accroît énormément chaque année -et continuera inévitablement d'augmenter avec la frénésie vaccinale -, la part de marché des fabricants s'accroît d'autant.

 

Et comme ceux-ci n'en ont jamais assez, il fallait bien sûr encore étoffer tout ça en "ratissant large". Ce fut possible en incluant la tranche des 50 à 64 ans, toutes les personnes de cette tranche-là, même si elles ne souffrent pas d'une pathologie à risque accru de complications!

 

En Belgique, quand on consulte la pyramide des âges, il ne faut pas être statisticien pour voir que c'est une tranche d'âge, quantitativement large et donc intéressante.

 

Sans parler des femmes enceintes qui sont à présent précisées dans les recommandations de vaccination saisonnière systématique dès le deuxième trimestre. Et ce alors que les notices des fabricants précisent toujours qu'aucune donnée n'existe pour ce type de catégorie! En Belgique, le business des femmes enceintes correspond à une fourchette de 120 à 150 000 femmes par année.

 

Aux Etats-Unis, la vaccination antigrippale obligatoire, sous peine de licenciement est déjà de mise dans certaines structures hospitalières. Alors que des actions en justice de professionnels de santé, à New York notamment,  avaient de justesse permis d'échapper à une vaccination obligatoire du personnel avec le vaccin pandémique, la tyrannie agit, tel un rouleau compresseur et au mépris du consentement éclairé des travailleurs!

 

Economiquement parlant, c'est encore un business de plus pour les fabricants d'inclure à terme tous les professionnels de santé surtout que ceux-ci sont chargés, plus ou moins explicitement d'une mission d'"entraînement" en ce sens qu'ils sont censés "motiver" leurs patients en leur donnant "le bon exemple". A l'heure où les taux de vaccination anti-grippale saisonnière plafonnent à 30% environ en Belgique, au sein des professionnels de santé, c'est évidemment un enjeu de plus dans la perspective tant annoncée d'"autres pandémies".

 

Et puis comme si ça ne suffisait pas encore, il est déjà question de vaccination systématique voire obligatoire des enfants, y compris contre la grippe saisonnière donc comme c'est le cas pour les enfants depuis 2002 aux Etats-Unis, avec d'ailleurs un effet tout à fait contraire sur la mortalité liée à la grippe qui n'a fait que croître chez les plus jeunes depuis que cette mode en forme de diktat a été imposée. Les enfants aussi, représentent un marché juteux et surtout docile, pour lesquels les parents sont des proies faciles à manipuler en leur faisant toujours miroiter que c'est "pour le bien et la protection de leur enfant".

 

Mais beaucoup de choses restent tues, encore et toujours, comme le fait par exemple que plusieurs vaccins antigrippaux saisonniers contiennent des ARN double brins, c'est à dire des séquences génétiques capables d'interférer avec notre propre patrimoine génétique et ainsi donner lieu à diverses maladies dont l'Alzheimer, une affection en hausse constante et dont la progression est bien plus inquiétante que toutes les "épidémies" infectieuses actuelles.

 

Dans un article co-signé notamment par le Dr Marie Hélène Groussac, le généticien Christian Vélot et le Pr Herzog, cancérologue, on peut lire ceci de très sérieux et de très préoccupant à ce sujet:

 

"Les redoutables vaccins anti grippe dont on ne parle qu'en coulisse. Nos amis les retraités en danger de dégénérescence

L'ouverture hier (13 novembre) à Stockholm de la cérémonie des Prix Nobel a vu le prix de Médecine attribué à deux chercheurs américains, Andrew Fire et Craig C. Mello, pour leur découverte des mécanismes biologiques contrôlant les flux d'informations génétiques. Leurs travaux originaux portaient sur l'étude des ARN interférence double brin chez le nématode Caenorhabditis elegans.

Le prix Nobel de Médecine et Physiologie 2006, sur l'ARN interférence, explique comment une régulation du noyau et donc des gènes des cellules, est exercée par des ARN double brin. Ces doubles ARN bloquent sur la chaîne d'ADN certains gènes.

Le vaccin anti-grippe est constitué de fragments d'ARN double brin, il bloque donc certains gènes. Ce dernier, injecté à des personnes âgées, dont les gènes des cellules se ralentissent ou diminuent leur production, va donc bloquer certains gènes déjà déficients,comme exposé par le prix Nobel.

Il en résulte un fonctionnement anormal des cellules, au premier plan desquelles les neurones ! D'où la floraison actuelle grandissante des cas d'Alzheimer qui grèvent le budget et la vie des citoyens et qu'on tend à nous faire croire inéluctable et pourvoyeuse d'emplois !

Faire à gogo du vaccin anti-grippe est aussi grave que le vaccin hépatite B. Le faire chez le nourrisson comme c'est programmé (élections présidentielles obligent !) va entraîner, c'est prévisible, des maladies par arrêt de fonctionnement de certains types cellulaires mais surtout va retentir sur les neurones, complétant le programme de dégénérescence de la population entamé par le vaccin hépatite B !

Dr M-H Groussac – Recherches en Biologie Moléculaire
Dr Christian Velot Maître de conférence – Génie Génétique
Professeur Herzog – Cancérologie
Et bien d'autres chercheurs et scientifiques de haut niveau.

Document transmis par le Dr Groussac le 12/11/06 à Mr Tomana Hibakusha « irradié pour la France » et publié sur son site lescobayesdelarépublique.fr le 14/11/06

Note

Précisions sur les vaccins anti-grippe : en 2005, 11 vaccins étaient utilisés.

7 comportent des doubles ARN : Fluarix, Immugrip, Mutagrip, Prévigrip, Vaxigrip (1+2)

N'en comportent pas : Agrippal, Fluvirine, Gripguard, Influvac.

 

Malgré cela, les recommandations 2010 du Center for Disease Control (CDC) incluaient, pour ce qui est des lignes directrices 2010 en matière de recommandations vaccinales pour la grippe saisonnière, la mention suivante:

 

"TOUTES LES PERSONNES AGEES DE 6 MOIS AU MOINS DEVRAIENT RECEVOIR LA VACCINATION ANNUELLE POUR LA SAISON 2010-2011 DE LA GRIPPE."

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1 octobre 2010 5 01 /10 /octobre /2010 21:50

Le 12 septembre 2010

 

La désinfection régulière des mains avec un gel hydroalcoolique recommandée par les autorités sanitaires pendant la pandémie de grippe H1N1 ne fait pas grande différence dans le taux d'infection assure une étude américaine.

 

La mesure avait été pourtant jugée primordiale pour endiguer tout risque d'épidémie. La désinfection régulière des mains avec un gel hydroalcoolique recommandée par les autorités sanitaires pendant la pandémie de grippe H1N1 ne fait pas de grande différence dans le taux d'infection et les maladies qui en découlent, selon une étude publiée dimanche.
 
"Un désinfectant des mains à base d'alcool n'a pas réduit de façon notable la fréquence de l'infection avec des rhinovirus -responsables notamment du rhume- ou du virus de la grippe", écrivent les auteurs de cette étude. Celle-ci a été présentée au premier jour de la 50e conférence annuelle de l'ICAAC (Interscience conference on Antimicrobial Agents and Chemotherapy), principal congrès mondial sur les maladies infectieuses.

 

L'ICAAC réunit quelque 12.000 infectiologues à Boston (Massachusetts, nord-est) du 12 au 15 septembre.

 

Pas de réduction significative

 

Dans le groupe des participants à cette recherche qui se sont désinfectés les mains toutes les trois heures pendant dix semaines (du 25 août au 9 novembre 2010), il y a eu 42 infections sur cent sujets avec des rhinovirus, comparativement à 51 pour cent dans le groupe témoin. De façon similaire, 12 participants sur cent qui s'étaient aussi régulièrement désinfectés les mains ont été infectés avec le virus de la grippe pandémique, contre 15 chez ceux n'ayant pas recouru à un désinfectant. "La désinfection régulière des mains n'a pas non plus réduit de façon significative la fréquence des maladies provoquées par ces virus", écrivent les auteurs de cette recherche menée par le Dr Ronald Turner, de l'Université de Virginie (sud-est).

 

Source: LCI 



gels-hydro.jpg

 

L'avis d'Initiative Citoyenne: Alors qu'un bon savon de Marseille est moins cher et au moins aussi efficace, c'est la peur qui a une fois de plus permis au consommateur de payer plus facilement pour ces produits "tendance" et dans l'air du temps. Par ailleurs, cette vision guerrière des "méchants microbes" à tuer absolument ne résiste pas à l'examen: comme cette étude en apporte une preuve indirecte de plus, c'est la résistance immunitaire dépendant de l'hygiène de vie individuelle qui fait la différence et non des artifices extérieurs qui pourraient se substituer à la raison d'être de notre système immunitaire lui-même. "Le microbe n'est rien, le TERRAIN est tout" a même fini par avouer Pasteur sur son lit de mort...

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1 octobre 2010 5 01 /10 /octobre /2010 20:30

Par Constance Jamet


19/03/2010

 

Ces municipalités, parmi lesquelles Paris, Lyon ou encore Strasbourg, réclament à l'Etat le remboursement total des frais engagés lors de la campagne de vaccination. La facture totale s'élève à près de 3,8 millions d'euros.

 

Avec la fin de l'épidémie de grippe A H1N1 en France vient l'heure des comptes. Vingt-deux grandes villes réclament à l'Etat le remboursement de la totalité des frais générés par la campagne publique de vaccination, selon l'Association des maires de grandes villes de France (AMGVF).

 

Selon une étude commandée par l'association, le montant total s'élève à 3.796.815 millions d'euros pour ses municipalités. Si la plupart sont tenues par la gauche, on trouve parmi les protestataires des communes administrées par la droite. Ainsi Aix, Angers, Besançon, Bordeaux, Brest, Caen, Clermont-Ferrand, Dijon, Lyon, Marseille Metz, Montpellier, Montreuil-sous-Bois, Nantes, Paris, Perpignan, Rennes, Roubaix, Strasbourg, Tourcoing, Tours, Villeurbanne ont envoyé par courrier une demande de remboursement.

 

Cette demande comprend les dépenses de gardiennage des locaux, leur entretien, les travaux d'aménagement ainsi que les frais de personnel administratif comme les fonctionnaires municipaux spécialement détachés. «Les bases de paiement prévues par l'Etat laissent craindre un remboursement partiel», confie un porte-parole de l' AMGVF au figaro.fr. Des avances ont été effectuées par les préfectures auprès de certaines collectivités, sur la base de forfaits, mais ils ne couvrent pas les frais réels.

 

 

 

  

 «Un débat qui n'a pas lieu d'être»

 

Au cœur du mouvement, Villeurbanne. La ville socialiste, qui a alerté l'AMGVF, a été la première ville à saisir l'Etat, début mars. La campagne, qui a permis la vaccination de 10.000 habitants, a coûté 96.400 euros à la commune. Déduction faite de l'avance de 17.000 euros octroyée par la préfecture, elle souhaite que l'Etat lui rembourse près de 80.000 euros.

 

Cette démarche n'est pas politique, souligne le maire Jean-Paul Bret au figaro.fr. «Nous avons répondu sans traîner des pieds à une demande de service. Et lorsque la campagne de vaccination s'est terminée, comme n'importe quel prestataire, la ville a envoyé la note». «Il ne s'agit pas de mettre le couteau sous la gorge de l'Etat, celui-ci a 30 jours pour nous payer». En outre rappelle Jean-Paul Bret, une circulaire du 22 octobre précise que les réquisitions de locaux imposent une indemnisation des dépenses engagées frais d'installation, de ménage, chauffage, électricité etc. Si l'Etat ne s'acquitte pas de sa facture, ce serait une «spoliation» dénonce l'élu. «L'Etat commande, prescrit mais ne paye pas».

 

Deux semaines après l'envoi de sa lettre, Villeurbanne n'a pas encore reçu de réponse des autorités. En cas de refus, les villes pourraient poursuivre leur action devant le tribunal administratif, indique l'AMGVF.

 

Pourtant, vendredi, le maire de Bordeaux Alain Juppé se dit vivement surpris par la polémique. Il reconnaît avoir «transmis le montant des sommes dépensées pour cette campagne» à l'AMGVF, qui n'avait pas «indiqué que ces données avaient pour objet de provoquer un débat qui n'a pas lieu d'être». «S'agissant de Bordeaux, et je ne pense pas qu'il en aille autrement dans les autres collectivités concernées, le processus de remboursement est bien engagé», affirme Alain Juppé.

 

Contacté par lefigaro.fr, le ministère de l'Intérieur, dont relève le dossier, doit bientôt s'exprimer.

 

Source: Le Figaro

 

 

 bonne année 2010

 

 

H1N1 Frais de vaccination contre la grippe A : Villeurbanne, première ville remboursée par l'État

 

Publié le 10/05/2010

 

L'État a remboursé quasi intégralement la ville de Villeurbanne pour ses frais engagés à l'occasion de la campagne de vaccination contre la grippe H1N1, a annoncé lundi la municipalité socialiste, pionnière d'un mouvement de demande de remboursement devenu national. Villeurbanne, dans la banlieue de Lyon, avait en effet été la première grande commune en France à envoyer sa facture à l'État, le 1er mars. 21 autres grandes villes ont fait la même demande le 18 mars.

 

"La préfecture vient d'informer la ville qu'elle serait remboursée à hauteur de 84.000 euros" sur les 96.000 dépensés par Villeurbanne, précise la municipalité dans un communiqué. Pour arriver à ce chiffre, la ville a additionné les dépenses de gardiennage et de nettoyage du site de vaccination, ainsi que la mobilisation du personnel administratif et la consommation en énergie. Entre le 12 novembre 2009 et le 30 janvier 2010, le centre de vaccination de Villeurbanne a vacciné environ 10.000 habitants de la ville et de la commune voisine de Vaulx-en-Velin.

 

Selon une étude menée par l'Association des maires de grandes villes de France (AMGVF), la facture s'élèverait à près de quatre millions d'euros au total pour les 22 communes concernées par la demande de remboursement. Ces villes sont Aix-en-Provence, Angers, Besançon, Bordeaux, Brest, Caen, Clermont-Ferrand, Dijon, Lyon, Marseille, Metz, Montpellier, Montreuil, Nantes, Paris, Perpignan, Rennes, Roubaix, Strasbourg, Tourcoing, Tours et Villeurbanne.

 

Source : Le Point

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1 octobre 2010 5 01 /10 /octobre /2010 19:48

U.S.A. -  AVERTISSEMENT POUR TOUTES LES FEMMES ENCEINTES:

 

LE NOMBRE DE FAUSSES-COUCHES POURRAIT ATTEINDRE

LES 3.587 CAS

 

Un rapport choquant de l'Union Nationale des Femmes (NCOW, 11 août 2010) fait état de documents émanant de deux sources différentes et qui montrent que les vaccins H1N1 de 2009-2010 auraient contribué à provoquer, selon l'estimation,1.588 fausses-couches. La correction de cette première estimation pourrait faire apparaître qu'il y aurait en fait eu 3.587 cas. (cfr ici)

  

L'Union Nationale des Femmes a récolté ses données auprès de femmes enceintes de 17 à 45 ans. Les données brutes disponibles sont accessibles sur le site <ProgressiveConvergence.com>

 

En général on estime qu'approximativement 15% seulement des cas de fausses-couches en relation avec la vaccination sont rapportés. (cfr ici)

 

L'Union Nationale des Femmes souligne le fait que le CDC a négligé de porter à la connaissance des fournisseurs de vaccins les données concernant les derniers rapports d'éventuelles morts fœtales.

  

loupeEt ceci ne doit pas nous faire oublier qu'aux USA, le vaccin utilisé était SANS adjuvant, le squalène, une substance notoirement connue pour EXCITER le système immunitaire et présente dans plusieurs vaccins H1N1 dont le Pandemrix...

 

En quoi le squalène peut-il être particulièrement craint chez la femme enceinte?

 

1. Chez la femme enceinte, le système immunitaire est naturellement affaibli et ce pour permettre au corps de la mère de tolérer la présence du bébé dont l'ADN est différent de l'ADN maternel (un mix d'ADN maternel ET paternel) et donc de mener la grossesse à terme. On peut donc parler d'"immunomodulation physiologique".

 

Le squalène, dans la mesure où il excite le système immunitaire et sert à le faire réagir fortement à une substance étrangère (antigène) contre lequel le corps ne réagirait pas du tout sans la présence d'un adjuvant, peut dérégler ce phénomène naturel d'immunomodulation et provoquer une fausse couche. Bien entendu, le corps médical (surtout celui qui aura recommandé la vaccination) aura tendance à nier cette éventualité tout à fait rationnelle.

 

2. Le squalène, générateur de nombreuses maladies auto-immunes chez l'animal a montré un profil inquiétant en matière de reprotoxicité dans les études sur les rats.

De l'aveu même de GSK, les études faites sur les rats avec le vaccin adjuvanté ont donné lieu:

 

- à des fausses couches

- à des décès chez la mère

- à des malformations (notamment de l'uretère)

 

3. Malgré ces données, pourtant très concrètes, les agences de validation ont affirmé de façon mensongère que les essais n'avaient donné lieu à aucun résultat problématique ou inquiétant et ont prôné le recours aux vaccins H1N1, même ceux adjuvantés, chez les femmes enceintes!

Et ce, alors que le propre règlement de telles agences était bafoué...

 

En effet, le 30 septembre 2009, Initiative Citoyenne qui se trouvait à Ciney, pour assister à "une séance d'information" donnée par le Dr Daniel Reynders de la cellule Influenza, a eu l'occasion de demander à ce dernier comment l'agence européenne du médicament (EMA) avait pu donner la recommandation de vacciner les femmes enceintes alors que dans les "guidelines" de cette agence, il était indiqué que des tests de reprotoxicité sont nécessaires avant d'utiliser le produits chez cette catégorie. Nous lui avons alors demandé OU SONT CES ETUDES? Le Dr Reynders nous a alors benoitement répondu qu'il ne pouvait pas donner de réponse à la place de l'EMA et qu'il n'était pas au courant de telles études ni si elles ont ou n'ont pas été faites! Oui, vous avez bien lu, le coordinateur stratégique, celui qui était pendant des mois sur les plateaux télés, en radio, dont les propos étaient relayés dans les journaux et qui recommandait la vaccination aux femmes enceintes n'avait AUCUNE connaissance d'études spécifiques de tolérance pendant la grossesse et en post-accouchement! Et puis, comme si la cellule Influenza n'avait pas à ce point déjà accumulé suffisamment de contradictions comme ça, voilà que le Pr Van Ranst déclarait le 20 octobre 2009 en commission santé de la chambre que: " Les tests assortis d'une médication ne sont en effet jamais réalisés sur les femmes enceintes. L'EMEA dispose pourtant de suffisamment d'éléments attestant que la vaccination de femmes enceintes est sûre. Les tests en laboratoire et les tests réalisés sur des animaux se sont déroulés sans problème."

 

Inlassablement, les officiels ne faisaient que répéter que "les femmes enceintes ont 4 fois plus de risques de complications de la grippe A", sans même se soucier d'évaluer aussi l'autre côté de la balance c'est à dire les risques du vaccin chez cette population spécifique!

 

Nous avons là une preuve éclatante, mais non moins préoccupante de la négligence coupable des autorités "scientifiques' qui se sont donc révélées être, une fois de plus, en plein dogmatisme!  Si ces "autorités" n'avaient pas été dans l'idéologie du "tout vaccin", alors elles auraient comparé des "bénéfices" aux risques réels, chose qui ne s'est pas produite... et des femmes enceintes en ont fait les frais bien entendu, y compris en Belgique!

 

Mais, qu'à cela ne tienne, ça n'empêche pas ces folles autorités scientifiques de remettre le couvert en recommandant encore et toujours la vaccination antigrippale saisonnière aux femmes enceintes à partir du 2° trimestre et cela, alors même que les fabricants stipulent dans leurs notices ne pas avoir de données sur l'administration de ces produits dans ces populations!!

 

Belgique & femmes enceintes vaccinées: quelle est la situation?

 

En Belgique, de nombreux médecins s'étaient positionné fort logiquement en défaveur de la recommandation vaccinale (H1N1) chez les femmes enceintes. Citons par exemple, le Dr Eric Beeth d'Initiative Citoyenne mais aussi le Dr Erpicum, médecin généraliste (cfr émission "Question à la Une" du 17/02), le Dr Michel Vermeulen, médecin généraliste sur son blog (ICI), le Dr Philippe Vandermeeren, président du Groupement Belge des Omnipraticiens (GBO) qui laissait également entendre ses réticences personnelles à cet égard à Nathalie Malleux, l'automne dernier...

 

Bien sûr, le groupement des gynécologues-obstétriciens de langue française avait fortement recommandé ladite vaccination des femmes enceintes mais, faut-il le rappeler, cette association médicale comptait la firme GSK (fabricant du Pandemrix) parmi ses sponsors officiels sur son site...

 

Tout récemment encore, une personne, que nous remercions ici, nous a fait transféré un courriel échangé avec le commissaire interministériel Influenza, le Pr Marc Van Ranst. Voici ce qu'il  a osé affirmer au sujet des femmes enceintes vaccinées:

 

"Toutes les mères qui ont été vaccinées pendant leur grossesse ont mis au monde des bébés en parfait état de santé. Il y a maintenant plus de 9 mois que la campagne de vaccinations a eu lieu. Toutes ces femmes ont accouché. Un calcul rapide sur un bout de papier ( sans citer toutes les sources): Dans le vaccin on il y a 4,86 milligrammes de polysorbate à O,4%. Ce qui représente 0,4% de O,5 ml = 0,002 ml injecté dans le corps d'une femme d'un poids moyen de 50Kg = 0,00004 ml/kg de poids corporel.

 

Au cours de l'expérience sur des jeunes rats (20 grammes) on a utilisé 0,1 ml d'une solution à 5%. Ce qui représente 5% de 0,1ml = 0,005 ml dans un rat de O,02 Kg = 0,25 ml/kg de poids corporel. La différence: une dose 6250 fois plus forte chez ces petits rats...

 

Si on reçoit une balle de badmington ( 5;5g) sur la tête: aucun problème.

Si par contre on reçoit un bloc de 34Kg ( c.a.d. 6250 X plus lourd) on est mort.

Tout le monde peut rester 10 secondes sous l'eau sans respirer. Si on reste 17 heures (c.a.d.6250 X plus longtemps) sous l'eau sans respirer, on est certainement mort. Tout peut donc être comparé à tout.  Informer les gens et leur permettre de réfléchir est excellent. Mais il s'agit de leur donner une information correcte et non une information trompeuse qui n'est pas de l'information." (Dr Marc Van Ranst)



[Pour l'information des lecteurs, il faut savoir que le polysorbate, un des nombreux ingrédients du vaccin Pandemrix (un émulsifiant) s'est révélé avoir un effet stérilisant chez la souris. Il convient aussi de savoir que, d'une espèce à l'autre, les seuils de toxicité peuvent être extrêmement variables, raison pour laquelle l'expérimentation animale est très critiquée, l'extrapolation aux humains pouvant s'avérer excessivement dangereuse. Ainsi, des doses très hautes chez une espèce peuvent être à tort interprétées comme "sûres" chez l'humain qui, peut très bien être déjà sensible à des doses infimes, sans compter les autres sources d'intoxication et de pollutions connexes.]



Nous avons, pour notre part, reçu des informations tout à fait contradictoires par rapport aux affirmations du Pr Marc Van Ranst....



Bien sûr, lesdites informations n'ont pas été officiellement publiées (qui s'en étonnera?) mais nous nous devons, dans un souci d'honnêteté et de transparence d'en faire part au public. Nous tenons ces informations d'infirmières, de sages-femmes, de médecins et de gens proches du personnel médical. Ces informations nous remontent aussi bien de Bruxelles que d'autres zones comme Liège et la province du Luxembourg.



- Une accoucheuse de la Province de Liège rapporte en effet fin juillet que:

"les fausses couches et les bébés morts nés ont été plus fréquents il y a un mois ou deux et la majorité des mères étaient vaccinées contre le H1N1."



- Une infirmière de Bruxelles s'étant renseignée auprès du personnel d'une grande maternité nous a aussi rapporté un nombre accru d'enfants morts nés.



- Des médecins bruxellois nous ont rapporté leur discussion avec des médecins en néonatologie au sujet d'enfants prématurés, tous ou presque nés de mères vaccinées.



- Une autre personne enfin nous rapportait ceci de tristement significatif:



"Une amie de mes amies travaille dans un hôpital à Bruxelles. Elle est super POUR les vaccins mais elle a raconté que cette année-ci, ils ont eu 5 femmes enceintes avec un accident vasculaire cérébral (chose rare). Point commun entre elles: toutes vaccinées contre la grippe A. L'hôpital se posait quand même des questions. Je n'ai pas vu cette information reprise dans les articles officiels d'effets secondaires."



En effet, 5 femmes enceintes avec un AVC dans un même hôpital, c'est plus que troublant !



4. Le cynisme du monde politique est lui aussi sans limites...Songeons par exemple aux propos de Laurette Onkelinx qui disait, le 20 octobre 2009, en commission Santé de la Chambre que:



"Pourquoi propose-t-on de vacciner les femmes enceintes? Parce qu'avec un syndrôme de grippe, elles risquent plus que d'autres de faire une fausse couche. Elles vont devoir en parler avec leur gynécologue et comparer ce risque-là avec les effets secondaires du vaccin." (Laurette Onkelinx)



Jusque là, les choses pourraient sembler "normales" au simple quidam MAIS...

Comment donc les patientes auraient pu avoir une bonne chance de recevoir des informations objectives de leur gynécologue au vu de la position de leur groupement professionnel (cfr supra), sponsorisé officiellement par le producteur du vaccin, GSK?

Comment aussi les médecins pouvaient-ils correctement informer leur patientèle dès lors que le contrat secret conclu entre l'état belge et GSK contenait une foule de dispositions gravissimes et contraires à la santé publique?

 

Bien qu'ayant signé ce contrat secret, au nom de l'état belge, en juillet 2009, Mme Onkelinx osait pourtant encore affirmer ceci le 20 octobre 2009 en commission Santé de la Chambre, soit postérieurement à sa signature:



"Tout d'abord, nous voulons travailler en toute transparence. Rien ne sera caché. Tout sera connu. Tout sera public. Toutes les informations figureront sur les sites et les brochures d'information. Comme la vaccination est volontaire, la décision de se faire ou de ne pas se faire vacciner relève de la responsabilité individuelle. Pour prendre cette décision, il faut être bien informé. Nous avons donc à coeur de poursuivre un travail d'information très spécifique. Il suffit d'aller consulter le site Influenza qui vient d'être relancé pour voir combien nous avons la volonté d'être précis en la matière." (Laurette Onkelinx, 20 oct 2009, Commission Santé de la Chambre)



La vérité c'est que seuls 4% de la totalité du contrat était disponible sur le "très précis" et "très fiable" site Influenza et que les 96% autres (les plus importants) ont été cachés au public jusqu'à la révélation du texte intégral, le 6 mai 2010, soit après la période-clé de décision pour des centaines de milliers de Belges... En signant un tel texte en juillet 2009, Mme Onkelinx savait donc pertinemment bien qu'elle s'engageait à une clause de confidentialité stricte (au sujet de laquelle GSK a expliqué que l'état en était, au moins en partie, demandeur!), ce qu'elle a elle-même avoué dans le JT de RTL du 6 mai 2010 dernier. Elle a donc permis, par sa signature, que les parlementaires ne puissent pas contrôler la validité du marché et la valeur du produit. Quant aux parlementaires, ils ont permis par leur docilité et leur manque de curiosité que ces informations restent si longtemps tues et ne "sortent" pas plus tôt.



Pour d'autres détails concernant la vaccination expérimentale chez les femmes enceintes, voir l'article "Arepanrix: une expérimentation illégale; Vaccination des femmes enceintes avec Pandemrix" par le Dr Eric Beeth, ICI.

 

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21 septembre 2010 2 21 /09 /septembre /2010 22:16

Alors que la supercherie a été, et ce plus d'une fois,  très clairement mise à jour depuis cette scandaleuse campagne vaccinale militaire, en France notamment, voilà que des gens de l'Institut national de veille sanitaire (InVs) et de l'European Center for Disease Control (ECDC) rédigent un article déplorant l'insuffisance de "couverture vaccinale" contre le H1N1, un virus bénin et insignifiant contre lequel il était logique, légitime et scientifiquement fondé de ne pas chercher à se protéger avec des mesures hasardeuses et plus risquées encore...

Comme chacun pourra le constater, il est préoccupant pour la santé publique -la vraie-  que des soi disant scientifiques continuent de s'entêter dans une vision irréaliste et purement idéologique, tout cela pour ne surtout pas avoir à se remettre en question!

 

Comme l'a dit avec bon sens Claude Bernard:

 

"Quand le FAIT que l'on rencontre ne s'accorde pas avec une théorie régnante, il faut accepter le fait et abondonner la théorie."

 

Ici, comme toujours, quelle était la théorie (non vérifiée d'ailleurs)?

Que la vaccination est le seul moyen de protection et qu'il faut se protéger du méchant virus H1N1....

 

Et le fait?

Que le virus est bénin, qu'il n'y a pas besoin de tout un arsenal et qu'il existe d'autres solutions plus douces et plus efficaces pour renforcer son immunité d'une façon générale (et pas seulement contre le H1N1)

 

Voici à présent à quoi les scientifiques payés par les contribuables perdent leur temps:

 

 

"Insuffisance de couverture vaccinale grippale A(H1N1)2009 en population générale et dans les groupes à risque durant la pandémie 2009-2010 en France"

 

Date de soumission: 22/07/2010

 

1/ Institut de veille sanitaire, Saint-Maurice, France
2/ EPIET- European Programme for Intervention Epidemiology, ECDC, Stockholm, Suède

 

 

RÉSUMÉ

 

La campagne de vaccination contre la grippe A(H1N1)2009 a débuté en France le 20 octobre 2009. Une invitation de vaccination gratuite dans un centre dédié a été envoyée par la Caisse nationale d’assurance maladie à tous les assurés sociaux en commençant par les groupes prioritaires. Les données individuelles ont été saisies dans une base de données centralisée contenant 64,9 millions d’enregistrements. Nous avons estimé la couverture vaccinale globale et dans des groupes à risque spécifiques. Celle-ci a été définie comme le nombre de personnes ayant reçu au moins une dose de vaccin pandémique dans un groupe donné sur l’ensemble de la population invitée à se faire vacciner dans le même groupe.

 

La couverture globale était de 7,9%. Elle variait avec l’âge : elle était la plus élevée chez les enfants de 6-23 mois (20,7%), diminuait ensuite pour atteindre 3,1% chez les personnes âgées de 18-24 ans, augmentait pour se situer entre 5 et 8% chez les adultes plus âgés et était de 7,6% chez les personnes âgées de 65 ans ou plus. Les femmes jeunes (25-44 ans) étaient mieux vaccinées que les hommes jeunes (8,2% versus 5,9%, p<0,001), alors que les hommes étaient mieux vaccinés que les femmes après 45 ans (8,2% versus 6,0%, p<0,001). Les estimations de couverture dans les 22 régions de France métropolitaine variaient de 6,1% (Languedoc-Roussillon) à 12% (Bretagne) (médiane=8,2%). La couverture chez les femmes enceintes était de 22,7%.

 

Ces faibles couvertures vaccinales confirment que la population française a été peu réceptive aux messages délivrés par les autorités sanitaires, et reflètent probablement les controverses concernant le vaccin A(H1N1)2009 et l’organisation de la campagne vaccinale, ainsi que la faible perception du risque lié à la grippe pandémique par la population. Ces résultats sont importants pour préparer les mesures à prendre en prévision de la nouvelle saison grippale et pour les futures pandémies.

 

 

 

Dans le reste de l'article, on peut notamment lire ceci:

 

"L’ensemble de ces données confirment que la population française a été peu sensible aux messages délivrés par les autorités sanitaires. Elles reflètent très probablement l’impact négatif des controverses aussi bien autour du vaccin (notamment les rumeurs selon lesquelles les vaccins auraient été produits trop rapidement et leur innocuité pas complètement démontrée, en particulier pour les vaccins adjuvantés), qu’autour de l’organisation de la campagne vaccinale, basée sur des centres de vaccination mis en place spécifiquement pour cette occasion [4]. Elles sont aussi le reflet d’une perception de la grippe A(H1N1)2009 par la population comme étant une maladie peu grave [13]. Ces raisons, parmi d’autres [8], ont vraisemblablement conduit la population française à douter de la nécessité de se faire vacciner. Ceci s’est traduit par des couvertures vaccinales très faibles qui doivent faire réfléchir au contenu des messages et à la manière dont ils devront être délivrés lors de la prochaine saison grippale et lors d’une éventuelle nouvelle situation pandémique. En particulier, une réflexion pourrait être menée sur une communication spécifiquement orientée vers les sujets les plus à risque de complications."

 

 

Source: Bulletin Epidémiologique hebdomadaire (BEH) n°3 du 16 septembre 2010

 

Vous voilà prévenus de deux choses:

 

- Il faut fourguer du vaccin à tout prix, par principe (car pour des gens formatés, microbe veut forcément dire vaccins, ils ne connaissent que ça)

 

- Il est partout question de "nouvelle pandémie", de "nouvelle situation pandémique"...

 

 

 

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21 septembre 2010 2 21 /09 /septembre /2010 21:58
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21 septembre 2010 2 21 /09 /septembre /2010 21:26

Enorme mais vrai. Alors que les officiels de santé ne cessent de clamer que la vaccination antigrippale est salutaire, sûre et efficace, voilà que ceux-là même qui la produisent doivent avouer le contraire....

 

Comme les propres propos de GSK dans la notice du vaccin Flulaval le démontrent, les Drs Snacken et Vergison sont complètement à côté de la plaque: il n'y a pas que des avantages au vaccin et il n'a jamais été démontré qu'il était "important", "efficace" ou faisant partie d'une "bonne pratique médicale"!

 

C'est dans la notice d'un de ses vaccins antigrippaux destinés au marché américain, le Flulaval, que la multinationale pharmaceutique GSK l'admet: OUI, il y a des effets secondaires graves qui sont liés à la vaccination et OUI, vous lisez bien, "il n'existe aucun essai contrôlé qui ait démontré une diminution de la maladie après vaccination avec Flulaval."

 

Pour bien comprendre l'importance d'une telle affirmation, il importe de savoir que des officiels de santé comme le Pr Marc Van Ranst et le Dr René Snacken, membre de l'ECDC (European Center for Disease Control) et aussi de l'ESWI (groupe scientifique se présentant comme indépendant alors qu'officiellement sponsorisé par tous les industriels du secteur comme on peut voir sur le site de ce groupe) et ancien conseiller du Ministre, osaient écrire dans un livre blanc sur la grippe, en 2005 que "la vaccination antigrippale ne présente que des avantages pour notre pays, tant au niveau individuel, économique ou social que du point de vue de la santé publique."

 

Dans la même veine, la pédiatre infectiologue-hygiéniste de l'Hôpital universitaire des Enfants Reine Fabiola (HUDERF), Dr Anne Vergison n'a elle non plus pas peur du ridicule quand elle ose déclarer "Pour être cohérent, à partir du moment où nous pensons- et démontrons- que le vaccin contre la grippe est important et qu'il fait partie d'une bonne pratique médicale, je me demande parfois s'il ne faudrait pas songer à le rendre obligatoire."

 

 

FLULAVAL GSK

 

Voir notice vaccin Flu Laval de GSK (p.1): ICI

 

Dans le document sur le vaccin antigrippe FLULAVAL de GSK (révisé en mai 2010) et qui serait destiné à la vente aux E.U. cette saison avec le Fluarix, on peut, entre autres, relever les éléments suivants :

 

[…]  Le Flulaval est un vaccin (inactivé) contre l’influenza provoquée par les sous-types A et B  indiqué pour l’immunisation des adultes de 18 ans ou plus. L’indication est basée sur la réponse immunitaire obtenue (par le Flulaval).

Il n’existe pas d’essais contrôlés démontrant une diminution de la maladie (grippe) après la vaccination au moyen du vaccin Flulaval (1, 14)  (Voir études cliniques (14)

 

 

6.2     EXPERIENCES POSTMARKETING

 

Les effets secondaires suivants ont été identifiés après que l’autorisation de mise sur le marché ait été accordée. Du fait que ces événements ont été rapportés volontairement par une population dont l’importance est incertaine, il n’est pas toujours possible d’estimer sérieusement l’incidence de la vaccination ou d’établir une relation causale avec la vaccination.

 

Les effets secondaires décrits ci-dessous sont repris dans le texte parce que :

 

a) Ils représentent des réactions dont on sait qu’elles surviennent après les vaccinations en général ou après des vaccinations contre la grippe d’une manière plus spécifique.

 

b) Ces effets sont potentiellement graves.

 

c) La fréquence avec laquelle ils sont rapportés.

 

Troubles Sanguins et Lymphatiques : Lymphadénopathie.

 

Troubles oculaires : Conjonctivite, douleurs oculaires, photophobie.

 

Troubles gastro-intestinaux/ Vomissements, dysphagie.

 

Troubles généraux, problèmes au site de l’injection : Douleurs thoraciques, inflammation au site d’injection, asthénie, rash au site d’injection, symptômes pseudo-grippaux, marche anormale, abcès stérile au site d’injection.

 

Troubles du système immunitaire : Œdème allergique de la face, œdème allergique de la bouche, anaphylaxie, œdème allergique de la gorge.

 

Infections : pharyngite, rhinite, laryngite, cellulite.

 

Troubles des muscles et du squelette: faiblesse musculaire, maux de dos, arthrite.

 

Troubles du système nerveux : Vertiges, paresthésie, hypokinésie, somnolence, syncope, Syndrome de Guillain-Barré, convulsions/attaques, paralysie des nerfs crâniens ou faciaux, encéphalopathie, paralysie des membres.

 

Troubles psychiatriques : Insomnie

 

Troubles respiratoires, thoraciques, troubles du médiastin : Dyspnée, dysphonie, bronchospasme, tensions dans la gorge.

 

Troubles de la peau et des tissus sous cutanés : urticaire, rash localisé ou généralisé, prurit, œdème périorbital, transpiration.

 

Troubles vasculaires : rougeur, .pâleur

 

8.1. GROSSESSE

 

Grossesse catégorie B

 

Une étude toxicologique a  été réalisée sur la reproduction et le développement des rats femelles à une dose environ 56 fois la dose utilisée pour l’homme (sur base de mg/kg)

 

Il n’existe cependant pas d’études adéquates et correctement contrôlées sur les femmes enceintes. Du fait que les études réalisées sur animaux ne peuvent pas toujours être prédictives par rapport aux réactions chez l’homme, le Flulaval ne devrait être administré à la femme enceinte que quand la chose est clairement indiquée.

 

8. 4   UTILISATION PEDIATRIQUE

 

La sûreté et l’efficacité du Flulaval en pédiatrie n’a pas été établie.

 

13.1     CANCEROGENESE, MUTAGENESE, TROUBLES DE LA FERTILITE

 

Flulaval n’a pas été testé quant à son potentiel cancérogène, mutagène ou pour les troubles de la fertilité.

 

14.     ETUDES CLINIQUES

 

Dans 2 études activement contrôlées et randomisées sur le Flulaval, les réponses immunitaires spécifient les taux d’anticorps HI pour chaque souche de virus dans le vaccin. Ces taux ont été obtenus 21 jours après l’administration du Flulaval.

Aucun essai contrôlé n’a été réalisé pour montrer une diminution de la maladie après la vaccination.

 

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10 septembre 2010 5 10 /09 /septembre /2010 22:28

PAR YURI OIWA THE ASAHI SHIMBUN

02.09.2010

 

Des chercheurs ont montré que la souche d’un virus hautement pathogène de la grippe aviaire (H5N1) qui avait muté en Indonésie était susceptible d’infecter l’homme.

 

La découverte a été réalisée par une équipe dirigée par le virologue Yoshihiro Kawaoka de l’Institut de Science Médicale de l’Université de Tokyo.

 

Kawaoka a précisé : «il est inquiétant de réaliser qu’un virus de la grippe hautement pathogène qui pourrait facilement se transmettre à l’homme, puisse se répandre sans que l’on s’en rende compte. Il est impératif de vérifier la présence de ces virus chez les porcs, même s’ils ne manifestent aucun symptôme.»

 

Kawaoka, ainsi que d’autres chercheurs japonais, en coopération avec l’Université Indonésienne d’Airlangga ont examiné des échantillons de matières nasale, fécale, ainsi que le sérum de 702 porcs pris au hasard dans 14 provinces de 2005 à 2009.

 

Des souches de la grippe aviaire ont pu être retrouvées chez 7, 4 % des porcs examinés entre 2005 et 2007. Des recherches ultérieures ont montré que ces souches provenaient d’une épidémie qui s’était déclarée parmi la volaille des environs.

 

Parmi les 39 échantillons de virus analysés, il a été découvert que l’un de ceux-ci pouvait se fixer sur des cellules humaines du nez ou de la gorge.

 

Au cours d’une expertise réalisée sur des porcs en 2008-2009, on a pu relever des traces d’anciennes infections, bien qu’aucun virus n’ait pu être isolé.

 

L’homme n’est généralement pas infecté par la grippe aviaire. Mais du fait que les porcs sont réceptifs tant à la grippe aviaire qu’à la grippe humaine, on pense que la souche de grippe en question pourrait avoir muté chez un porc infecté.

 

Dans l’édition online du journal «Emerging Infectious Diseases» des Centres de Contrôle et de Prévention des Maladies, le groupe de chercheurs japonais a déclaré : «Les éléments  en notre possession  nous permettent de penser qu’au cours d’épidémies causées par le virus A(H5N1) les porcs sont, non seulement susceptibles d’être infectés, mais peuvent jouer le rôle d’intermédiaires permettant au virus de s’adapter aux mammifères.»

 

 

Source: Asahi

 

 

 

 

loupe 

Souvenons-nous tout de même que :

1/ La Belgique comme d’autres états européens possède déjà des stocks de vaccins anti-H5N1, achetés à la va-vite il y a quelques années déjà et stockés on ne sait où….

 

2/ Les industriels (et les scientifiques liés à eux par une pléthore de conflits d’intérêts) tiennent très fort à leur « prophétie » de « pandémie mondiale » très destructrice. On l’a encore vu en février avec les pitoyables déclarations du Pr Osterhaus qui réactivait le spectre d’une pandémie aviaire

 

3/ On tient visiblement aussi tellement à d’autres « pandémies » dont celle de H5N1 que le laboratoire du Pr Lina, à Lyon, un laboratoire « P4 » (donc de très haute surveillance, où des virus et miasmes potentiellement très dangereux sont manipulés…) est financé à hauteur de 200 000 euros par l’état français lui-même. Les recherches qui s’y déroulent, tenez-vous bien, consistant justement à faire se croiser les virus H5N1 et H1N1, ceux-là même que les officiels disaient craindre qu’ils se rencontrent !

 

4/ Tout récemment encore, une équipe de scientifiques chinois a procédé à des expérimentations sur des porcs d’élevage, consistant notamment à infecter volontairement des animaux avec des virus H1N1 mutés réassortis. Quand on sait qu’un animal comme le porc peut être un réservoir viral, qu’on détecte des virus H1N1 mutés chez lui et qu’on joue aux apprentis sorciers en réinjectant chez d’autres porcs ces virus réassortis, il ne faut pas s’étonner qu’on en arrive à des variantes pouvant devenir incontrôlables car non naturellement provoquées.

Il est URGENTISSIME que les citoyens s’enquièrent de savoir comment et surtout pourquoi ces chercheurs, financés par la collectivité, sont ainsi autorisés par les officiels à jouer à ce point avec le feu…

 

 

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10 septembre 2010 5 10 /09 /septembre /2010 20:30

31 août 2010

 

UNE INVENTION SCANDALEUSE:

LE DERNIER RAPPORT SUR LES DECES PAR GRIPPE

(“Latest Report on Flu Fatalities: A Shocking Fabrication”) 

 

 

Nous vous avons récemment parlé des fausses données émanant du gouvernement.

En voici un nouvel et énorme exemple – bien qu’aucun des  principaux médias ne semble être au courant et en tout cas ne semble nullement s’en préoccuper.                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                 

Depuis des années les Centres de Contrôle des Maladies (CDC) ont fait état d’une estimation de 36.000 décès annuels de la grippe. Ce chiffre a été utilisé pour justifier la vaccination obligatoire pour les enfants contre la grippe. Cette estimation a été stupidement répétée partout dans le monde sans que la question de sa validité ne soit posée. La semaine dernière le CDC a publié de nouveaux chiffres : au lieu de 36.000, la moyenne des décès des trois dernières décades serait actuellement de 26.607, soit un tiers de décès en moins que ce qui avait été annoncé précédemment.

 

Mais, ces nouveaux chiffres eux-mêmes sont en fait fabriqués de toutes pièces et complètement faux.

 

Le CDC s’est toujours fié à une évaluation mathématique basée sur l’hypothèse que si un certificat de décès mentionnait les termes «maladie respiratoire ou circulatoire» comme causes de décès, dans ce cas il devait être classé parmi les décès «dus à la grippe»!                                                                                                                             

                                                                                                                                          

The Journal of American Physicians and Surgeons ( Le Journal des Médecins et Chirurgiens Américains) a été très critique par rapport à la méthodologie adoptée par le CDC en la matière. 

 

Un examen plus approfondi  des statistiques du CDC ( CDC’s National Center for Health Statistics ( NCHS) montre qu’en 2001 il n’y a eu que 257 décès directement attribuables à la grippe, alors que le virus de la grippe avait été identifié dans seulement 18 cas. Entre 1979 et 2002, les données du NCHS font état d’une moyenne de 1.348 décès annuels par grippe – soit tout simplement 5,7% de la nouvelle estimation de la mise à jour. (1)

(British Medical Journal : «Les statistiques US concernant le nombre des décès par grippe relèvent-elles davantage de la Propagande que de la Science ? »)

 

L’article publié dans The British Medical Journal conclut que, si la grippe n’est en fait pas une cause majeure de décès, l’approche qu’en ont faite les relations publiques gouvernementales est sûrement exagérée. En outre, en reliant arbitrairement la grippe à la pneumonie et à d’autres troubles respiratoires, les chiffres actuels sont statistiquement biaisés. Tant que les statistiques actuelles n’auront pas été corrigées, tant que des statistiques non biaisées n’auront pas été publiées, les chances d’un dialogue clair, comme d’une juste politique de santé sont particulièrement limitées.

 

 

vaccin ou pas vaccin!-copie-1

 

Au cours des années précédentes on nous a dit que les cas de grippe seraient tellement nombreux que le monde en serait stupéfié. Ces inquiétudes se sont avérées totalement infondées. La pandémie de grippe porcine qui est ensuite apparue a fait acheter au gouvernement quelque 71 millions de doses du vaccin H1N1 pour une somme de 260 millions de dollars et pour être distribués sans que les tests appropriés ne soient réalisés. Qu’en est-il de cette médecine prestigieuse aujourd’hui ? … Foutaise !

 

Mais le CDC continue de répandre  des données « bidon » pour maintenir l’hystérie – attitude qui conduirait n’importe quel individu ou compagnie privée à être poursuivis pour escroquerie.

 

Le véritable problème c’est que notre gouvernement est devenu partenaire à part entière des  compagnies pharmaceutiques qui fabriquent des vaccins. Tout ceci a créé un climat capitaliste propice à la collusion et aux relations malsaines. Dans ce climat il n’est plus possible de faire confiance au gouvernement pour nous dire la vérité.

 

Il faut noter que les médias n’ont, par exemple, rien publié sur l’authentique prévention de la grippe que représente la vitamine D (dont la carence est fréquente au sein de la population).

 

(1) British Medical Journal « Are US Flu Death Figures More PR Than Science ?” Peter Doshi    http://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC1309667/  “

 

Source: Anh-Usa

 

 

 

La déréglementation, ce n’est pas la loi de la jungle au profit de lobbies : c’est l’appropriation par les lobbies de l’autorité et de la puissance de l’Etat au bénéfice de leur prédation. » Selon l’économiste James Galbraith      

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