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24 août 2010 2 24 /08 /août /2010 20:11

GRIPPE : ALERTE URGENTE

PROJET  SCANDALEUX EN PERSPECTIVE

 

 J. Mercola & Barbara Loe Fisher (présidente du NVIC)

  

23 août 2010 

 

 

BARBARA

 

Babara Loe Fisher, présidente du NVIC

 

 

Le vaccin de cet automne sera combiné. Il contiendra à la fois le vaccin contre la grippe saisonnière et le vaccin contre la grippe porcine – vous n’aurez pas la possibilité de choisir l’un ou l’autre vaccin séparément.

 

Barbara Loe Fisher explique :

 

« En février 2009, le CDC a annoncé que chaque américain à partir de l’âge de 6 mois et ce jusqu’à la mort devait recevoir le vaccin anti grippe saisonnier – donc chacun de nous qu’il soit en bonne santé ou malade.

 

En Mars 2009, on découvrit ce mystérieux virus influenza hybride H1N1 (aviaire-porcin-humain).

 

Nous y voilà… chacun doit recevoir chaque année le vaccin contre la grippe. Nous abordons maintenant la période de grippe 2010-2011… [Mais] ils ont décidé que le vaccin saisonnier de cette année contre l’influenza contiendrait trois types de virus A et B, et l’un de ces virus serait le H1N1.»

 

Il s’agit ici du même type de vaccin dont l’Australie a récemment supprimé l’usage pour les enfants en dessous de cinq ans parce qu’il a entraîné un nombre étonnamment élevé de rapports concernant des enfants qui avaient souffert de fièvres élevées, de vomissements et de convulsions fébriles.

 

Mais les enfants ne sont pas le seul groupe de personnes qui semblent réagir plus fortement au vaccin trivalent qui contient le H1N1.

 

Un comité gouvernemental spécial a été mis sur pied pour évaluer le vaccin monovalent H1N1 de l’année dernière pour voir s’il pouvait provoquer un taux plus élevé de certains types de réactions. Ce que le comité a découvert à titre provisoire c’est qu’il y avait trois sortes de problèmes possibles avec le vaccin H1N1 utilisé l’an dernier.

 

Fisher explique :

 

« L’un de ces problèmes était le syndrome de Guillain-Barré (GBS), qui, comme nous le savons a été associé au vaccin contre l’influenza depuis 1976 quand le premier vaccin contre la grippe porcine a été utilisé. Il existe aussi une indication de trouble sanguin appelé thrombocytopénie. (insuffisance de plaquettes dans le sang). Il s’agit là  d’un type de réaction auto-immun.

 

Le gouvernement dit qu’il ne sait pas si ces problèmes sont significatifs ou non, mais  des alertes ont quand même été lancées. »

 

Nous nous dirigeons maintenant vers la saison grippale 2010-2011 avec un vaccin qui pourrait être très réactif.

 

« Je suis inquiète », déclare Fisher. «  Plus de 300 millions de personnes [aux USA sont supposées recevoir ce vaccin contre l’influenza. Et nous assistons à un conditionnement très agressif des médias et autres qui suivent les directives gouvernementales. Tout cela pourrait mener à une situation très grave. »

 

Le vaccin contre la grippe ne fonctionne pas chez les personnes âgées. En conséquence, la dose sera quadruplée !

 

Pour les seniors la nouvelle pourrait même être encore plus sinistre. Quand le H1N1 a frappé l’année dernière, le CDC a déclaré que les seniors ne feraient pas partie de la première vague de vaccinations parce que des études avaient montré que le risque d’infection était moindre à cet âge que chez les plus jeunes.

 

Mais maintenant que le H1N1 est incorporé au vaccin saisonnier, le CDC et l’OMS adoptent  des projets costauds pour les mêmes seniors qui, l’année dernière avaient été déclarés (par eux) moins susceptibles d’attraper le H1N1.

 

Dans les Recommandations Provisoires de l’ACIP du 24 février concernant l’utilisation des vaccins influenza on peut lire :

 

« Une formule avec dose plus élevée du vaccin saisonnier inactivé (Fluzone Haute-Dose, fabriquée par Sanofi Pasteur, agréée par la FDA le 23 décembre 2009) sera disponible pour les personnes de 65 ans ou plus pour la saison influenza 2010.

 

« Le Fluzone Haute-Dose contient quatre fois la dose d’antigène de l’influenza comparativement à d’autres vaccins saisonniers contre la grippe…

 

Des études sont en cours pour évaluer l’efficacité relative du Fluzone-Haute-Dose comparativement au vaccin anti grippe standard inactivé, mais les résultats de ces études ne seront pas disponibles avant la période influenza 2010-2011, je tiens à le souligner !

 

Oui, vous lisez bien : si vous êtes âgé de 65 ans ou plus, le CDC veut que cet automne vous vous fassiez inoculer un vaccin qui, comme il l’affirmait, non seulement contient un antigène pour lequel vous possédiez probablement  déjà des anticorps (H1N1), mais un vaccin qui est aussi quatre fois plus puissant. Tout ceci sans oublier qu’une évaluation quant à la sécurité du vaccin ne sera disponible qu’ APRES le début de la campagne !

 

Une fois de plus, le CDC vous demande de faire partie d’une vaste expérimentation de santé publique.

 

C’est la raison pour laquelle nous prenons les devants pour vous avertir, car pratiquement personne n’est au courant de ces choses. Tout ceci n’a pas été annoncé et en tout cas n’a pas fait l’objet d’une large publicité.

 

Un autre aspect ironique et à peine croyable de l’histoire concerne les vaccins qui contiennent du mercure sous forme de thimerosal (conservateur) et qui n’ont pas été utilisés ou dont la date d’expiration est dépassée. La loi interdit que ces vaccins soient éliminés dans les ordures habituelles par ce qu’ils sont considérés comme déchets dangereux. On estime cependant que le fait de vous les injecter dans le corps ne présente aucun danger – et ce, dans le cas du vaccin contre la grippe une fois par an, et chaque année de votre vie !

 

Le vaccin est-il sans danger pour les femmes enceintes ?

Personne ne le sait !

 

La politique actuelle veut que chaque américain se fasse vacciner la saison prochaine contre la grippe, à partir de six mois et ce, jusqu’au dernier jour de sa vie. Ceci signifie que chaque clinique, chaque médecin en possession de ce vaccin vont tout faire pour se conformer à la politique prévue. Même pour les femmes enceintes.

 

« Je suis très inquiète par rapport à la vaccination contre la grippe des femmes enceintes et plus particulièrement encore avec ce dernier vaccin », déclare Fisher. « Nous ne disposons pas d’un nombre suffisant d’études scientifiques concernant les effets que ces vaccins peuvent avoir sur les femmes enceintes et ceci est tout particulièrement vrai pour ce vaccin H1N.

 

L’été dernier le NIH a annoncé qu’ils étaient en train de faire des études chez les enfants, les adultes et les femmes enceintes avec le vaccin contre la grippe porcine H1N1. 120 femmes enceintes environ ont été enrôlées dans une étude début septembre…Nous attendons toujours l’annonce du résultat de ces études.»

 

Il est choquant de penser que l’on conseille aux femmes enceintes de prendre un vaccin qui ne présente aucune garantie scientifique quant à la sécurité de la mère ou de l’enfant à naître.

 

« Du Berceau à la Tombe » – Est-il sage de se faire ainsi vacciner contre la grippe ?

 

 Fisher explique :

 

 « Je pense qu’il nous faut très sérieusement réfléchir à cette politique « du berceau à la tombe » pour le vaccin contre la grippe. Nous devons exiger que des études scientifiques correctes et honnêtes soient réalisées.

 

Pour les personnes qui veulent se faire vacciner : pas de problème, c’est leur droit le plus strict. Mais nous devrions à tout prix éviter que ce vaccin ne devienne obligatoire dans ce pays. […] Je suis très inquiète à ce sujet parce que nous devrions tous avoir le droit de faire des choix par rapport aux soins de santé que nous souhaitons, par rapport aux produits que nous souhaitons utiliser, et ceci doit évidemment aussi concerner les vaccins. »

 

Il faut absolument se rappeler que des produits comme les vaccins contiennent des additifs comme du mercure et de l’aluminium qui peuvent provoquer des dégâts au cerveau et même entraîner la mort. Si par hasard  vous êtes dans le cas de personnes avec hauts facteurs de risques sur les plans biologique et génétique, vous pourriez souffrir plus que d’autres des effets secondaires possibles du vaccin.

 

Il faut également envisager le problème de la contamination des vaccins, comme cela s’est récemment passé avec le vaccin rotavirus qui contenait de l’ADN de porc potentiellement dangereux.

 

En vérité, nous n’avons aucune véritable compréhension de ce que peuvent représenter les implications graves, que dire alors des ramifications long terme dans les seconde et troisième générations.

 

Heureusement grâce à notre lutte, le vaccin H1N1 n’a pas été rendu obligatoire l’an passé. Ce fut une belle victoire pour cette liberté qui nous tient tant à cœur. Aujourd’hui, je me permets de vous inviter à vous informer, à répandre l’information, à faire savoir à vos connaissances et amis ce que va représenter le projet vaccinal de cette année parce qu’ils n’en entendront pas parler dans les médias conventionnels.

 

[…]  Votre engagement peut être décisif par rapport à la protection de votre liberté, de celle de votre famille. Il s’agit de  protéger les enfants innocents de maux qu’ils ne méritent pas. Faisons tout pour que jamais nous ne soyons forcés de subir l’obligation d’une vaccination contre la grippe qui n’a pas été démontrée sûre, efficace ou même nécessaire.

  

Abréviations :

 

CDC= Center for Disease Control= Centre de Contrôle des maladies, un organisme d’état qui émet toutes sortes d’avis et de recommandations mais dont les membres ne sont pas indépendants du lobby pharmaceutique.

 

FDA= Food and Drug Administration= agence américaine d’évaluation des médicaments. C’est elle qui donne les autorisations de mise sur le marché. Elle équivaut, aux USA, à l’agence européenne des médicaments (EMEA). Comme l’EMEA, elle plie trop souvent sous le poids de l’industrie pharmaceutique qui contribue au financement de telles agences.

 

NIH= National Institute of Health= Institut National de la Santé. Organisme américain qui équivaut un peu à notre « Conseil supérieur de la Santé ». Là aussi, pas d’indépendance stricte vis-à-vis de l’industrie.

 

ACIP= Advisory Committee on Immunization Practices= equivalent américain du Comité Technique des vaccinations (CTV) en France. Une fois encore, les personnes qui y siègent ont le plus souvent des liens avec les firmes productrices de vaccins.

 

NVIC= National Vaccine Information Center= Centre National d’information sur les vaccins. Cette association américaine sans but lucratif a été fondée en 1982 par des parents d’enfants rendus handicapés par des vaccins. C’est une association 100% indépendante des lobbies pharmaceutiques ce qui en fait, aux USA, une des sources les plus sûres et les plus fiables en matière d’information sur les vaccinations.

 

 

 Source (en anglais): ICI

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22 août 2010 7 22 /08 /août /2010 22:33

VACCINATION H1N1 : L’Agence européenne du médicament rassure sur Pandemrix®

 

20 août 2010- EMA

 

Alors que l’Agence médicale suédoise vient d’ouvrir une enquête sur les 6 rapports d’événements indésirables de narcolepsie signalés en association possible avec le vaccin Pandemrix®, le dernier rapport de pharmacovigilance de l’EMA, rassure sur l'efficacité et l’innocuité du vaccin. L’European centre for disease control (ECDC) reprend également ces jours-ci, la publication de ses rapports épidémiologiques et décrit une quasi-absence d’activité grippale dans les pays de l'UE.

 

Le syndrome grippal (SG) et des infections respiratoires aiguës (IRA) ont été signalés en très faible intensité par 19 pays de l’UE. Au cours de la dernière semaine, un seul cas de SARI « Syndrome d’infection respiratoire aiguë) sans identification de l'agent pathogène. L'OMS signale dans son rapport du 13 août qu’au niveau mondial, la transmission du virus H1N1 reste localement intense dans certaines parties de l'Inde et de Nouvelle-Zélande.

Rappelons qu’en Europe, la grippe H1N1 a fait 2900 décès.

 

Les vaccins européens disposent désormais d’une AMM « complète » : Depuis le 10 août 2010, l’OMS a annoncé la fin officielle de la phase 6 de pandémie de grippe et le début de la période post-pandémique. Dans ce contexte, le Comité de l'Agence des médicaments humains (CHMP) a recommandé que 3 des vaccins autorisés et utilisés durant la pandémie en Europe reçoivent une autorisation de mise sur le marché (AMM) complète permettant leur utilisation en dehors d'une période pandémique.

 

Bénéfice/risque de Pandemrix® : La mise à jour de l’EMA, est basé sur les rapports de réactions indésirables aux médicaments reçus par EudraVigilance jusqu'au 8 août 2010 et sur au moins 38,6 millions de personnes vaccinées avec Celvapan, Focetria ou Pandemrix en Europe au 8 août. Lorsque les informations disponibles pour les vaccins autorisés de manière spécifique au niveau national sont incluses, le total s'élève à au moins à 46,2 millions de personnes. Le CHMP a pu réévaluer ainsi le profil bénéfice / risque de Pandemrix et confirme que le profil bénéfice-risque de ces vaccins continue d'être positif, la grande majorité des effets signalés à EudraVigilance étant considérés comme non graves.

 

Efficacité de Pandemrix® : Sur la base de données épidémiologiques, une estimation préliminaire de l'efficacité du vaccin réalisée en l'Allemagne, publiée dans Eurosurveillance, indique pour Pandemrix® une excellente efficacité sur les personnes âgées de 14-59 ans (96,8%, 95% intervalle de confiance (CI): 95,2 -97,9) et modérément élevée chez les personnes âgées de 60 ans ou plus (83,3%, IC 95%: 71,0 à 90,5. Autres données publiées par l'Écosse ont fait état d'une VE de 95,0% (IC à 95% de 76,0 à 100,0). Les données préliminaires provenant de 8 pays (France, Hongrie, Irlande, Italie, Roumanie, Portugal, Espagne et Royaume-Uni) confirment également l'efficacité du vaccin contre la grippe H1N1.

 

L’Agence suédoise des produits médicaux communique actuellement avec les autres agences de santé européennes pour rechercher d’éventuels effets secondaires similaires intervenus dans d'autres pays.

 

 

Source : EMA « Updates on pandemic safety monitoring-19/08/10 », ECDC «Bi-weekly influenza surveillance overview 13/08/10), mise en ligne Yann-Mickaël Dadot, le 20 août 2010

 

 

Santé Log

 

 

Rappel: Un vaccin est réputé "efficace" si, après vaccination, le seuil d’anticorps atteint un stade donné chez X milliers d'individus OR les gens peuvent faire la maladie même s’ils ont développé des anticorps dirigés contre tel ou tel agent infectieux, de nombreuses études scientifiques le confirment!

 

Les effets secondaires (y compris les effets graves et mortels) des médicaments sont dramatiquement sous-estimés car la pharmacovigilance actuelle n’est pas du tout au point.

Ainsi, comme stipulé dans la Déclaration de Berlin sur la Pharmacovigilance (de 2003), seuls 5% des effets secondaires des médicaments sont répertoriés dans le meilleur des cas.

Ceci s’explique notamment par l’incompétence et l’ignorance de différents experts mais surtout par une avalanche de conflits d’intérêts puisque ces agences d’évaluation sont majoritairement financées par les industriels.

 

Dans le cadre de ces vaccins pandémiques et aussi dans le futur, il faut savoir que ce sont les industriels, juges et parties donc, qui sont chargés de cette pharmacovigilance, en réalité réduite à un simple « plan de gestion des risques » qui n’a donc lieu qu’en post-commercialisation sur des cobayes qui ignorent jouer ce rôle !

 

Dans ces conditions, on COMPREND que les déclarations rassurantes de ces agences officielles n’ont aucune valeur car elles ne reposent sur aucun fondement statistique fiable.

 

 

 

 

 

 

 

 

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18 août 2010 3 18 /08 /août /2010 22:32

STOCKHOLM — L'Agence suédoise des produits médicaux (Läkemedelsverket) a ouvert une enquête sur l'éventuelle propension d'un des vaccins contre la grippe H1N1, le Pandemrix, à provoquer la narcolepsie, a-t-elle annoncé mercredi.

 

"L'Agence a reçu six notifications de professionnels de la santé suggérant la narcolepsie comme un possible effet secondaire d'une vaccination contre la grippe porcine avec le Pandemrix. L'Agence va (...) évaluer le possible lien entre la vaccination et les réactions rapportées", annonce le Läkemedelsverket dans un communiqué.

 

Les rapports concernent des adolescents de 12 à 16 ans ayant développé "des symptômes compatibles avec la narcolepsie" un à deux mois après l'injection du vaccin, souligne l'Agence, précisant qu'à l'heure actuelle il n'y avait pas suffisamment d'informations prouvant un lien de cause à effet entre le vaccin et la maladie provoquant des accès irrésistibles de sommeil.

 

L'Agence suédoise dit être en contact avec d'autres pays de l'Union européenne à ce sujet.

 

En Finlande, l'Institut national pour la santé (THL) étudie également le risque de lien entre la maladie du sommeil et le vaccin contre le virus H1N1, en particulier le Pandemrix, après une augmentation de cas de narcolepsie constatée ce printemps chez les enfants, rapportait mercredi l'agence finlandaise STT.

 

Les résultats préliminaires de l'enquête finlandaise sont attendus d'ici la fin de l'année.

 

Dans l'Union européenne, environ 30 millions d'individus ont été vaccinés avec le Pandemrix produit par le groupe pharmaceutique britannique GlaxoSmithKline, précise la Läkemedelsverket.

 

La Suède a acheté 18 millions de doses de Pandemrix, suffisamment pour offrir deux injections à ses 9,3 millions d'habitants.

 

Selon le THL, plus de 2,5 millions de Finlandais ont été vaccinés contre la grippe H1N1 et environ 750 d'entre eux ont fait part d'effets secondaires (généralement fièvre, maux de tête, toux). Un cas était lié à la narcolepsie.

 

SOURCE: AFP

 

 

Narcolepsie (définition médicale- Wikipédia):
 

"La narcolepsie ou maladie de Gélineau est une affection neurologique grave caractérisée par deux symptômes principaux que sont la narcolepsie et la cataplexie. Le principal symptôme est la présence quotidienne d'épisodes irrépressibles de sommeil. La cataplexie se manifeste dans 3 cas sur 4 environ. La structure du sommeil est toujours perturbée. Quand une personne souffre de narcolepsie, elle passe directement de l'état d'éveil au sommeil paradoxal sans étape intermédiaire. D'autres symptômes secondaires peuvent se manifester, comme des hallucinations hypnagogiques ou hypnopompiques, des paralysies du sommeil, des actes automatiques. Elle fait partie des dyssomnies, ou troubles du sommeil. La narcolepsie peut être diagnostiquée par un électro-encéphalogramme (EEG)."
  
Plus d'information sur cette maladie, voir notamment ICI.
  
  
Encore une donnée que cette fameuse cellule "Ecosoc" qui était, en Belgique, soit disant chargée d'évaluer le rapport coût/bénéfices des différentes mesures mises en oeuvre comme la vaccination, n'a pas prise en compte.... sans parler de la sous-notification notoire des effets secondaires en général. Seuls 5% des effets secondaires des médicaments sont rapportés dans le meilleur des cas stipule l'ISDB dans la déclaration de Berlin sur la pharmacovigilance (*) Donc pour 1 cas recensé, il peut y en avoir au moins 20 autres, parfois 100 autres! Le calcul est vite fait, et ça ne donne guère envie de sourire!

 

En attendant qu'on recense tous les effets invalidants de cette Xième vaccination, ce qui pourra prendre des années, inutile de dire que le trou de la Sécu va encore très lourdement se creuser!

 

(*) International Society of Drug Bulletins, Déclaration de Berlin sur la Pharmacovigilance:

http://www.isdbweb.org/documents/uploads/Declaration/BerlinFrenc.pdf

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12 août 2010 4 12 /08 /août /2010 23:12

Rédaction en ligne

mercredi 11 août 2010, 20:56

 

L’OMS a révélé les noms des quinze experts de son comité d’urgence qui ont servi de conseillers durant toute la pandémie de grippe H1N1. Cinq d’entre-eux ont indiqué avoir eu des rapports avec des laboratoires pharmaceutiques.

 

 

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L’Organisation mondiale de la santé (OMS) a révélé mercredi les noms des quinze experts de son comité d’urgence qui ont servi de conseillers durant toute la pandémie de grippe H1N1, dont cinq ont collaboré étroitement avec des laboratoires durant leur carrière.

 

Accusée d’avoir subi l’influence des groupes pharmaceutiques dans sa gestion de la pandémie de grippe H1N1 qui a fait près de 18.500 morts dans le monde depuis avril 2009, l’OMS avait toujours assuré qu’elle publierait la liste secrète de ses conseillers spéciaux après la fin de la pandémie, annoncée mardi. Seul le nom du président du comité, l’Australien John Mackenzie, était jusqu’à présent connu.

 

La liste publiée mercredi révèle que ces experts sont pour la majorité des épidémiologistes originaires de tous les continents, du Chili aux Etats-Unis en passant par le Sénégal ou encore la Chine. Cinq d’entre-eux ont indiqué à l’OMS avoir eu des rapports avec des laboratoires pharmaceutiques, précise l’organisation à la fin de sa liste.

 

A commencer par l’Américaine Nancy Cox, du Centre de contrôle et de prévention des maladies (CDC) dont l’unité a reçu une aide de la Fédération internationale des producteurs et associations pharmaceutiques (IFPMA) pour des recherches sur des virus grippaux.

 

Le professeur américain Arnold Monto a pour sa part déclaré à l’OMS avoir fait des consultations sur les pandémies et grippes saisonnières pour les laboratoires britannique GlaxoSmithKline (GSK), suisses Novartis et Roche, américain Baxter ou encore français Sanofi. Il a également indiqué qu’il avait reçu une bourse de Sanofi pour des recherches cliniques en 2007-2008 liés à des vaccins de grippes.

 

Par ailleurs un autre expert britannique du comité, John Wood, a expliqué que son unité de l’Institut national sur les standards biologiques et les contrôles (NIBSC) avait effectué des recherches pour le groupe français Sanofi, l’IFPMA, Novartis et d’autres.

 

Le laboratoire de Maria Zambon, du Centre britannique de protection sanitaire pour les infections, a également reçu des soutiens de plusieurs fabricants de vaccins tels Sanofi, Novartis, Baxter et GSK.

 

Enfin le professeur britannique Neil Ferguson, un conseiller du comité, a travaillé comme consultant pour Roche et GSK jusqu’en 2007.

 

L’OMS a estimé que ces situations ne provoquaient pas « de conflits d’intérêts » avec le rôle joué par ces personnes auprès de l’organisation. L’agence onusienne a toujours fermement démenti que ces conseillers aient pu être influencés par les laboratoires pour la déclaration de la première pandémie grippale du siècle.

 

Alors que la maladie s’est avérée nettement moins dévastatrice que redouté, les groupes pharmaceutiques ont largement profité des commandes massives de vaccins et antiviraux des gouvernements, dont une grande majorité est restée inutilisée après de grandes campagnes de vaccination boudées par les populations.

 

(afp)

 

source: Le Soir

 

Pour consulter la liste des 15 experts, voir ICI.

 

 

Les commentaires qui se trouvent à la suite de cet article sur le site du Soir sont des plus encourageants, nous estimons important d'en reprendre plusieurs ci-dessous:

 

 

"30% déclaré, 70% non déclaré, bref, 100% à la solde du fric, et non de la population ... ça craint."

 

"Bourses,soutiens,consultants..." rien que de beaux mots non ? et en "Français populaire",ça donnerait quoi ? faut-il vraiment en parler ou est-ce encore un secret de polichinelle ? et dire que ces gens sont les "décideurs",là j ai comme une nausée (surtout concernant la santé) qui me vient subitement que..je vaque à mes occupations l esprit encore plein me réconfortant sur la véracité de mes petites idées supposées.Le pire,c est que ces gens seront encore là le coup suivant.Bizarre non ? "

 

 

"L'OMS a perdu toute crédibilté pour les citoyens. L'OMS n'est qu'un grand machin de plus à la solde des labos pharmaceutiques."

 

 

"Mais au début de la "pandémie", ceux qui n'y croyaient pas n'étaient que de vilains adeptes de la théorie du complot. Tss tss tss..."

 

"EN BELGIQUE En Belgique, on connaît au moins le nom de la personne qui a amené le gouvernement à signer un contrat aux termes proprement scandaleux avec une seule et unique firme pharmaceutique ! Merci d'ailleurs au Soir pour cette enquête comme il y en a bien trop peu (pour ne pas dire jamais) dans nos quotidiens ! "

 

 

"Ces institutions qui vendent le monde Je pense qu'aujourd'hui, la majorité des citoyens qui se posent les bonnes questions ont compris que les institutions pyramidales avec au sommet au réseau d'actionnaires, agissant généralement dans le secret, ne peuvent plus rien pour nous, si ce n'est nous soutirer plus d'argent. Est-ce le seul objectif dans la vie ? Pour la question des vaccins acheté, grâce à la complicité de Mme O., avec le denier public, cela devrait simplement nous inciter à remettre en cause l'imposition et la manière dont elle est utilisée par nos dirigeants qui font du grand n'importe quoi..."

 

 

" pom pom pom... C'est pas tout, c'est pas tout... Sir Roy Anderson ( GIVIS- OMS)donnent ses précieux conseils en ce qui concerne l'Influenza au gouvernement anglais. Mais il est aussi le consultant en chef et membre de la direction de GSK. Au niveau du SAGE, c'est pas mieux: Arnold Monto est lié à ViroPharma, MedImmune, GlaxoWellcome; Frederik Heyden est lié à GlaxoWellcome, SmithKlineBeecham, RWJohnson et Roche; Malik Peiris est lié à GSK, SanofiPasteur et Baxter; Peter Figuerora est lié à Merck; Juhani Eskola est lié à Novartis et GSK et Albert Ostenhuis possède deux firmes de biotechnologie qui travaillent sur les vaccins grippaux... Pom pom pom... Mais quand on disais ça, en novembre, "on" nous traitait d'infâmes sectaires anti- sciences. Pom pom pom..."

 

 

"Moi ce qui me révolte c'est que ces gens ont manipulé les opinions pour leurs intérêts en biaisant les infos, voire en mentant carrément. Que ce gens, puissent mentir de la sorte et s'en tirer sans que nous bougions est INCROYABLE. Aujourd'hui pour plein de trucs c'est pareil. On SAIT aujourd'hui que les EU et l'UK ont MENTI sur les ADM en Irak. et ces gens ne sont pas inquiétés. On SAIT aujourd'hui que des gens ont MENTI sur le h1n1 et ces gens ne sont pas inquiétés."

 

 

" Grâce à la mondialisation, tout cartel d'une taille certaine est capable de tondre ce qui reste de laine sur le dos des moutons qui ont perdu tout sens critique. Ré-apprenez à lire entre les lignes, à repérer à qui profite les "crises", quelles qu'elles soient. Et comme Saint Thomas, ne croyez que ce que vous voyez. Surtout pas ce que vous raconte les medium subventionnés ou au main de groupes industriels puissants."

 

 

Merci à tous ces citoyens actifs pour leurs contributions et la manifestation de leur opinion... elle reflète celle de centaines de milliers de Belges et de millions d'autres citoyens du Monde!

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11 août 2010 3 11 /08 /août /2010 00:13

2 février 2010

 

Dr Broussalian

Comme je vous l'avais prédit, l'histoire de la pandémie de grippe H1N1, créée de toute pièces, et de son vaccin risquent de provoquer auprès du public le retentissement de l'affaire du collier dans l'ancien régime.

 

Les cadavres commencent à sortir des placards. En voici un très beau: les études qui montraient l'activité du Tamiflu ont été falsifiées, les "gênantes" ayant été passées à la trappe pour gonfler les chiffres.

 

LaNutrition.fr, le 17/12/2009

 

Pendant des années, Roche, le fabricant du Tamiflu a assuré que son médicament prévient les complications de la grippe. Au prix de quelques contorsions mises en lumière par une enquête britannique. Récit édifiant.
Thierry Souccar



Est-ce l’histoire d’une manipulation ? Beaucoup de chercheurs le croient. En tous cas, pendant des années, le laboratoire suisse Roche a bercé les gouvernements de nombreux pays à propos des mérites merveilleux du Tamiflu, son médicament antiviral vedette. Pour qu’on y croie, Roche s’est bien gardé de publier les résultats d’études qui auraient pu susciter quelques réserves sur cette belle histoire. Voici le récit de cet escamotage et de la manière dont il a été mis à jour.



Les protagonistes de cette belle histoire



L’oseltamivir ou Tamiflu est fabriqué par Roche et prescrit dans les infections grippales. Selon le laboratoire suisse, le Tamiflu réduit les hospitalisations de 61%, les complications secondaires de la grippe (bronchite, pneumonie, sinusite…) de 67% et les infections respiratoires basses traitées par antibiotiques de 55%.

De son côté, le groupe Cochrane est un réseau de chercheurs, spécialisés en épidémiologie et statistiques, qui compile les résultats de plusieurs études sur les traitements médicaux pour en dégager une tendance et juger de leur efficacité. L’équipe qui évalue les traitements et les vaccins de la grippe est dirigée par le Dr Tom Jefferson. Cette équipe a publié en 2006 (1), puis mis à jour en 2008 une évaluation de l’oseltamivir ou Tamiflu, dont il ressort que le médicament, aux doses de 75 mg et 150 mg par jour diminue les symptômes de la grippe. Toujours selon cette analyse, le Tamiflu 150 mg réduit de 68% les complications respiratoires basses.


Mais voilà. Pour arriver à cette conclusion, l’équipe Cochrane s’est appuyée comme elle le fait d’habitude sur les résultats publiés d’études cliniques individuelles mais aussi, chose moins courante, sur l’analyse globale de 10 études, faite en 2003 par Laurent Kaiser, de l’université de Genève. L’analyse faite par Kaiser est une compilation (méta-analyse) d’études plus petites, financées par Roche. La conclusion de Kaiser pèse lourd dans le verdict obtenu par Cochrane : selon Kaiser, le Tamiflu réduit de 55% les complications bactériennes d’une grippe (2). Huit des dix études sur lesquelles le Dr Kaiser s’est basé reposent sur des résultats conservés par Roche, ou seulement publiés sous la forme de résumés (à l’inverse des données brutes). Donc ces données n’ont jamais été mises à disposition de la communauté scientifique. Seul Kaiser a pu les utiliser. Parmi les deux études publiées, une a trouvé que le Tamiflu réduit le risque de complications, l’autre qu’il n’a aucun effet.



 

Un tsunami venu du Japon



En prenant connaissance de l’étude Cochrane, un pédiatre japonais, le Dr Keiji Hayashi, s’inquiète des résultats d’une analyse – celle de Kaiser – dont personne ne peut vérifier le bien-fondé. Hayashi est originaire d’un pays qui jusqu’à une date récente a englouti 80% de la production de Tamiflu. De plus, des effets secondaires chez l’enfant, rares mais graves, y ont été rapportés par le Dr Rokuro Hama, qui a longtemps dirigé l’Institut japonais de pharmacovigilance. Hayashi veut s’assurer que le rapport bénéfice-risque est bien en faveur de l’usage du Tamiflu. En juillet 2009, Hayashi fait part de son trouble dans un courrier adressé à Tom Jefferson, de Cochrane : « Vous avez dit que l’oseltamivir 150 mg prévient les complications respiratoires basses. Mais cette conclusion est essentiellement basée sur une analyse conduite par Kaiser et son équipe et pas sur votre propre analyse des données. » Hayashi ajoute qu’outre le Dr Kaiser - le seul à n’avoir pas de lien financier avec le laboratoire - les auteurs de cette analyse étaient quatre employés de Roche, et un consultant de Roche, le Pr Frederick Hayden, de l’université de Virginie.


Hayashi demande en conséquence à Jefferson et son équipe de procéder à leur propre analyse à partir des résultats bruts des études, et non pas à partir de ce que Kaiser en a fait.

Le hasard veut que le 28 juillet les autorités sanitaires britanniques demandent expressément au groupe Cochrane de mettre à jour leur analyse de 2008 sur le Tamiflu.


Le 10 août, le Dr Tom Jefferson demande par email au Pr Frederick Hayden (université de Virginie), co-auteur de l’analyse Kaiser, de lui fournir les « données brutes » des études non publiées. Le 14 août, Hayden répond ceci : « J’ai cherché, mais je n’arrive pas à remettre la main sur les dossiers originaux en liaison avec cette publication de 2003. Avant et après les deux années passées à l’Organisation mondiale de la santé à Genève, j’ai été obligé de changer de bureau à l’université plusieurs fois et de me séparer de certains dossiers. Il semble que les dossiers de ces études aient été jetés. Si vous avez besoin des données originales ou des études non publiées, vous devrez probablement les obtenir de Roche, qui a sponsorisé ces études. » Jefferson reçoit une réponse similaire du Dr Kaiser.



Un pas en avant, deux pas en arrière



Peu de temps après avoir reçu ces réponses négatives, Jefferson est approché par Tom Clarke, un journaliste scientifique de la chaîne britannique Channel 4 News qui enquête sur les vaccins et les antiviraux. Jefferson explique à Clarke qu’il doit se rapprocher de Roche pour récupérer les données brutes des études. La chaîne de télé propose alors de lui donner un coup de main en interrogeant le service de presse de Roche. Philip Carter, un producteur de Channel 4 News contacte donc Pam Dann, une des responsables de la communication de Roche et lui explique que Kaiser et Haydn ont conseillé à Jefferson de s’arranger avec Roche pour se procurer les résultats bruts. Le 10 septembre, Carter donne à Roche les coordonnées de Jefferson. Ce sera le dernier contact entre la chaîne de télévision et le laboratoire.



Le 11 septembre, le Dr Michelle Rashford, directeur médical de Roche indique à Jefferson qu’elle a fait suivre sa demande à l’équipe de développement clinique du laboratoire. Trois semaines se passent sans que Jefferson reçoive la moindre information, mais le 1er octobre, Michelle Rashford se manifeste à nouveau. Elle fait savoir à Jefferson que le laboratoire exige de lui un accord de confidentialité avant de lui confier les données brutes. L’accord de confidentialité rédigé par Roche stipule qu’il doit rester secret et que Jefferson ne pourra pas publier l’intégralité des résultats des études. Troublé par ces exigences, Jefferson demande des éclaircissements : « Pourrons-nous, écrit-il au laboratoire, publier les données et en tirer des conclusions ? »



Non seulement Roche ne répond pas, mais le 8 octobre, la société suisse met un terme aux discussions dans un courrier signé par Hannah Rind, un responsable de la communication : « Suite aux discussions que nous avons eues avec nos équipes médicales au Royaume-Uni et à Bâle, nous n’avons malheureusement pas pu vous envoyer les données que vous demandiez car une méta-analyse similaire est en cours et nous craignons qu’elle entre en conflit avec votre demande. Nous avons en effet été approchés par un groupe d’experts indépendants et nous leur avons donné accès aux études de Roche pour conduire leur méta-analyse. Je peux confirmer que ces rapports ont dans le passé été remis aussi bien à la FDA qu’aux autorités sanitaires européennes. »



Jefferson va alors tenter de persuader Roche que le travail de Cochrane ne peut pas gêner celui de l’autre équipe et qu’au contraire une double analyse donnera plus de poids aux conclusions. Le 21 octobre, six semaines après la demande originale de Jefferson, le Dr David Reddy, responsable de l’unité de pandémies chez Roche, envoie à Jefferson des extraits des 10 études utilisées par Kaiser, y compris les tableaux sur les infections respiratoires et la prescription d’antibiotiques. A partir de ces tableaux, Jefferson va tenter de reconstruire les données compilées par Kaiser, mais sans succès. Pour le groupe Cochrane, Roche a fourni des données incomplètes et le dit au laboratoire le 24 octobre : « Nous n’avons pas pu reconstruire les dénominateurs de l’étude Treanor de 2000. Le résumé semble avoir été constitué de plusieurs de ces études sans qu’il soit précisé lesquelles. Les étapes de la randomisation, du double aveugle, les critères de sélection n’apparaissent pas dans les extraits et les maladies dont souffraient les volontaires sont rarement décrites (quand elles le sont), donc nous ne pouvons pas être totalement sûrs que nous avons affaire à des adultes en bonne santé. »


Le 28 octobre, Roche fait savoir à Jefferson que le laboratoire « travaille sur les questions que vous avez soulevées et qu’il enverra des informations supplémentaires la semaine prochaine. » Mais pour Cochrane, la date butoir était arrivée et Jefferson a fait savoir à Roche qu’il était trop tard pour cette fois.



Le Tamiflu peu efficace pour prévenir les complications



La nouvelle analyse publiée dans le BMJ par Cochrane sur le Tamiflu ne tient donc pas compte des résultats publiés par Kaiser – soit deux-tiers des patients qui étaient dans la première analyse. Du coup, Cochrane trouve que le Tamiflu ne réduit plus le risque de complications de 67% mais de 45% seulement, ce chiffre n’étant pas significatif au plan statistique, ce qui fait dire à Jefferson et son équipe que les preuves à leur disposition « suggèrent que l’oseltamivir ne réduit pas les complications de l’appareil respiratoire bas qui sont liées à la grippe. » (3)



Aujourd’hui, pour justifier le refus de Roche de livrer ses résultats bruts à Jefferson, David Reddy, qui rappelons-le dirige l’unité « pandémies » du fabricant, explique que les données de ces études incluaient des informations privées sur les patients (il s’agissait en réalité des… initiales et dates de naissance). Légalement, dit-il, les agences sanitaires, les chercheurs, médecins et managers de Roche peuvent les voir, mais personne d’autre sauf sous le sceau de la confidentialité. « Nous ne comprenions pas pourquoi la chaîne de TV était impliquée, » ajoute aujourd’hui Reddy. « Nous avons donc demandé au Dr Jefferson de signer un accord de confidentialité, ce qu’il a refusé. »


Roche s’est finalement décidé à mettre en ligne les résultats des études qu’il avait gardées jusqu’ici confidentielles. Consulter les résultats de ces études . Mais au premier examen, il semble bien que ces études aient une portée limitée. Dans un courrier adressé au BMJ peu de temps avant la publication de Jefferson, Kaiser et Hayden, les principaux auteurs de l’analyse de 2003 reconnaissent d’ailleurs que « les différences entre les groupes placebo et ceux qui ont reçu l’oseltamivir ne sont pas significatives au plan statistique dans les sous-groupes analysés. » Ils avouent finalement que leur analyse était limitée « par le petit nombre de complications sérieuses chez les patients » et laissent entendre qu’aucune conclusion ferme ne peut en être tirée. Pourquoi dans ce cas ont-ils affirmé dans leur conclusion de 2003 que « le traitement de la grippe par le Tamiflu réduit les complications respiratoires basses, l’usage des antibiotiques et les hospitalisations aussi bien chez les adultes en bonne santé que les adultes à risque. » ?



En conclusion, il apparaît aujourd’hui que les nouveaux documents publiés par Roche montrent que le Tamiflu n’est pas ou est peu efficace pour prévenir les complications de la grippe. Cette information était en possession de l’Agence européenne du médicament et de l’Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé (Afssaps) et de la Food and Drug Administration des Etats-Unis (FDA). Pourtant, l’Agence européenne assure dans son analyse du Tamiflu de 2009 que celui-ci diminue l’usage d’antibiotiques.

 

Quant à l’Afssaps elle estime que « les antiviraux réduisent potentiellement les risques de complications. »  Et conseille depuis le 9 décembre de donner du Tamiflu dans tous les cas de grippe ! (Lire l'article La distribution de Tamiflu contredite par les autorités scientifiques) Seule la FDA a procédé à une interprétation correcte des études de Roche. Dans son analyse de 2008, l’agence précise bien que selon elle le Tamiflu ne prévient pas les infections bactériennes consécutives à la grippe. Si le Tamiflu n’est pas plus efficace que le paracétamol, il faudra se demander un jour pourquoi et dans quelles conditions le gouvernement français en a acheté 24 millions de doses. (Lire l'article Comment Roche a poussé à l'achat de son Tamiflu)



A lire aussi dans l'Humanité, grippe A : « Ils ont organisé la psychose »; le président de la commission santé du Conseil de l’Europe, l’allemand Wolfgang Wodarg accuse les lobbys pharmaceutiques et les gouvernants.



Digne héritière du positivisme d'Auguste Comte, la secte médicale étazunienne au pouvoir actuellement, le bras armé de Big Pharma, nous inflige depuis quelques années la notion de l'EBM. Evidence Based Medicine, la médecine basée sur les preuves.



Mais de quelles preuves s'agit-il? Il est temps que les médecins honnêtes et le public se rende compte que l'affaire du Tamiflu constitue la règle et non pas l'exception. Les "preuves cliniques", les "zétudes" sont forgées de toutes pièces par Big Pharma.



La recherche de la vérité est toujours incompatible avec la recherche du profit.



Ceci est particulièrement vrai dans l'homéopathie où les médecins à la recherche d'une vérité clinique ont dès le début bravé les moqueries, les sarcasmes, les persécutions.

 

 

source: Planet Homéo

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10 août 2010 2 10 /08 /août /2010 23:58

Mise à jour le lundi 9 août 2010 à 12 h 42

 

L'entreprise sherbrookoise Q&T Recherche poursuit ses analyses sur le vaccin contre la grippe A (H1N1), même s'il a déjà été administré à des millions de Canadiens.



Rappelons que Santé Canada avait choisi d'homologuer le vaccin, tout en poursuivant les recherches pour bien mesurer ses effets.



Les tests effectués par le centre de recherche sherbrookois, ainsi que par ceux de Montréal et de Halifax, visent à peaufiner le vaccin en vue d'une prochaine pandémie.



Un peu plus de 400 personnes sont mortes de la grippe H1N1 au Canada, tandis que la grippe saisonnière fait en moyenne entre 2000 et 8000 victimes chaque année.



Malgré tout, le directeur de Q&T Recherche, Pierre Gervais, estime que la grippe H1N1 aurait pu avoir des conséquences beaucoup plus graves. « Le H1N1 avait les caractéristiques pour devenir une pandémie très mortelle. Il n'y a pas eu autant de décès que certains pouvaient craindre. Toutefois, même s'il y a eu moins de décès, les décès ou les hospitalisations qu'il y a eu étaient surtout chez des personnes plus jeunes », fait-il valoir.



Les résultats préliminaires des analyses effectuées sur le vaccin contre la H1N1 ont démontré qu'il provoque principalement des douleurs musculaires.



Les résultats complets seront connus à l'automne.



source: Radio Canada

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10 août 2010 2 10 /08 /août /2010 23:07

mardi 10 août 2010 à 15h27


L'Organisation mondiale de la santé a déclaré mardi la fin de la  pandémie de grippe H1N1, la première du 21ème siècle, qui a fait quelque 18.500 décès dans le monde depuis sa découverte en avril 2009.

"Le monde n'est plus en phase six d'alerte pandémique. Nous entrons maintenant  dans une période de post-pandémie", a annoncé la directrice de l'organisation, Margaret Chan, lors d'une téléconférence.

 

"Le nouveau virus H1N1 est en fin de course", a-t-elle ajouté. Mme Chan a suivi les recommandations de son comité d'experts, réuni mardi matin, pour faire le point sur l'évolution de la pandémie  et décider s'il fallait mettre un terme à la pandémie déclarée le 11 juin 2009 face à un virus d'origine porcine, aviaire et humaine jugé menaçant. (LEE)

Source: Belga

 

 

 

 

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10 août 2010 2 10 /08 /août /2010 23:02

(10/08/2010 20:56)

 

Alors que l'Organisation mondiale de la Santé (OMS) a déclaré mardi la fin de la pandémie de grippe H1N1, le commissariat interministériel Influenza considère que la pandémie est terminée depuis six mois en Belgique, selon Marc Van Ranst, virologue de la cellule Influenza. Plus aucun nouveau cas de grippe H1N1 n'a été identifié en Belgique depuis six mois mais cela ne signifie pas que le virus ne réapparaîtra pas en hiver, souligne M. Van Ranst. "Il faut rester vigilant mais, si une autre pandémie venait à se déclarer, nous sommes prêts. Nous avons toujours des vaccins de stock."

 

La cellule Influenza estime que, durant la pandémie, 20 à 40% des Belges ont contracté la grippe H1N1 ou ont été en contact avec le virus naturel. "En Belgique, on a dénombré une vingtaine de décès dus à cette forme de grippe", estime Marc Van Ranst. Par ailleurs, 10 à 15% de la population belge a été vaccinée contre le virus. Au total, ce sont donc 30 à 55% des Belges qui sont actuellement protégés contre le virus et ce, pour une durée d'environ un an. Dans le monde, la grippe H1N1 a fait 18.500 morts depuis avril 2009. Cependant, celle-ci s'est révélée moins dévastatrice qu'une simple grippe saisonnière, selon l'OMS. (AUM) (CHN)


© BELGA
BRUXELLES 10/08 (BELGA)

 

source: La DH

 

 

 

 

ATTENTION A LA DESINFORMATION!

  

 

pinochio mensonge

                            image tirée du site  Collectif FLINS sans F1

 

 

 

Il est en effet tout à fait NON scientifique de prétendre que "au total, ce sont donc 30 à 55% des Belges qui sont actuellement PROTEGES contre le virus et ce, pour une durée d'environ un an."

 

- Tout d'abord, la fiabilité des informations distillées par "la cellule influenza" reste sujette à caution (ils avaient aussi prétendu que les vaccins H1N1 étaient sûrs et suffisamment testés... la publication du contrat a montré ce qu'il en était).

Ici, ils avancent des chiffres qui vont du simple au double (de 20 à 40%) pour le nombre de gens qui auraient été infectés naturellement et ce, alors que c'est depuis juillet 2009 que les médecins ont reçu, en Belgique, un courrier les enjoignant à ne plus pratiquer de dépistage sérologique pour confirmer l'origine H1N1 de l'infection.

 

Les études dites de "séroprévalence" (càd celles qui concernent l'évaluation du nombre de personnes qui ont été au contact du virus et dont le système immunitaire a réagi) sont faites par extrapolation d'études restreintes et celles-ci peuvent pas tenir compte de paramètres importants comme l'âge. Il faut plusieurs études qui puissent être recoupées pour avoir une estimation relativement proche de la réalité. Les chiffres donnés par la cellule Influenza pourraient très bien être supérieurs d'autant que le virus peut souvent passé inaperçu...

 

-  Ensuite, cet article fait un amalgame très malheureux entre "vaccination" et "protection" et entre les gens immunisés naturellement (et donc protégés durablement, probablement à vie) et les gens vaccinés dont la protection n'est pas systématique et peut souvent être beaucoup plus éphémère qu'un an, sans compter le fait que le système immunitaire réagit de moins en moins au fil des vaccinations anti-grippales successives gardant l'"empreinte" de l'infection initiale comme "modèle de réponse" sur le plan antigénique.

 

Une fois encore, il faut rappeler que vaccination n'est pas égale à protection et ce, même si des anticorps sont produits. La présence détectable d'anticorps n'étant PAS un gage fiable de "protection" effective, de très nombreuses études ayant déjà pu mettre en évidence l'éclosion de multiples maladies tant virales que bactériennes contre lesquelles des individus étaient censés être "prémunis" par diverses vaccinations!

 

 

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10 août 2010 2 10 /08 /août /2010 22:56

Pour lire l'article, se rendre ICI.

 

Hélas, le journaliste qui l'a rédigé ne travaille plus là a-t-on appris fin juin en nous rendant à la rédaction de Métro, à Bruxelles....

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10 août 2010 2 10 /08 /août /2010 22:34

Interview (samedi 24 juillet 2010, mise à jour: dimanche 25 juillet 2010)

 

Bernard Debré a fait partie de la commission d’enquête sur la grippe qui a rendu son rapport le 13 juillet. Il y a un an, jour pour jour, il déclarait dans nos colonnes que cette pandémie n’était qu’une "grippette". Aujourd’hui, il met en cause le rapport parlementaire écrit par Jean-Pierre Door (UMP) et adopté par la majorité. Droit de suite.

 

soldes chez roselyne!-copie-1

 

 

Vous aviez vertement critiqué Roselyne Bachelot pour sa gestion de la vaccination de la grippe A. Une commission d’enquête parlementaire vient d’"absoudre" le gouvernement. Des regrets?
 

Ce rapport n’avait qu’un objet: réhabiliter la politique du gouvernement! Ce travail parlementaire n’est pas sérieux. Il est lénifiant et évite soigneusement de poser les questions dérangeantes.

 

 Mais vous étiez membre de cette commission…

 Comme mes collègues, je n’ai pas eu le droit de participer à la rédaction de ce document. On a eu vingt-quatre heures pour aller consulter le texte sur place. Nous n’avions même pas l’autorisation de le photocopier pour y réfléchir à tête reposée. C’est une mascarade à laquelle je n’ai pas voulu participer.

Quelles sont ces "questions dérangeantes" restées sans réponse?

Elles sont nombreuses. Je vais vous donner quelques exemples. L’Organisation mondiale de la santé (OMS) a changé la définition de l’état de pandémie le 5 juin 2009. Avant cette date, une pandémie se caractérisait par la large diffusion du virus, sa virulence. La dangerosité est devenue "accessoire". Cette pirouette sémantique est à l’origine de la mise en ordre de bataille des Etats et des commandes de vaccins. Pourquoi la commission d’enquête évacue cet aspect en quelques phrases? Quels rôles les laboratoires pharmaceutiques, proches des experts de l’OMS, ont-ils joué? L’OMS refuse de recevoir les députés français. Personne ne s’en émeut. Nous sommes pourtant au cœur du sujet.

Vous accusez l’OMS?

Je constate la proximité de cette organisation avec les labos. Je pense qu’une commission digne de ce nom aurait dû apporter une réponse claire aux Français. Je remarque qu’il n’y a jamais de double vaccination dans le cas d’une grippe. Or l’OMS l’avait pourtant préconisé pour la grippe A en prétextant qu’elle s’inspirait du modèle mis en place pour le vaccin contre le H5N1. Belle réponse! Ce vaccin n’a jamais reçu d’autorisation de mise sur le marché en France… On sait que pour stopper une épidémie, il faut vacciner de 30 à 35% de la population. La France a pris commande de 120 millions de vaccins. Ce qui correspond à 100%.

Vous exagérez un peu les chiffres…

Pas du tout. Aujourd’hui, les pouvoirs publics n’évoquent plus que les commandes fermes. Mais si vous intégrez les options, on dépasse les règles scientifiques communément admises. Je vous rappelle d’ailleurs qu’il a rapidement été établi qu’il était inutile de vacciner les plus de 65 ans et les moins de 5 ans…

N’êtes-vous pas en train de régler vos comptes avec la ministre de la Santé, qui s’est moquée de vous et de votre "grippette"?

J’accuse les experts, qui, au mépris de toute prudence, ont annoncé des chiffres inquiétants. Antoine Flahaut, le directeur de l’Ecole des hautes études en santé publique, a tout de même évoqué plus de 30.000 morts en France. Ce n’était pas convenable. J’accuse l’OMS de conduire une politique pour le moins incompréhensible, sauf à imaginer qu’elle est aux mains des laboratoires. J’accuse également la commission d’avoir avant tout songé à couvrir le gouvernement au lieu de répondre aux interrogations légitimes des Français.

C’est un réquisitoire d’opposition?

Non, c’est l’indignation d’un médecin des hôpitaux. Même en tant qu’urologue, je sais suffisamment comment fonctionne un service pour savoir que la vaccination aurait été possible à l’hôpital et moins coûteuse.

La facture a été moins lourde que prévu?

Qui peut croire le chiffre de 600 millions du rapport? Je vous ferai remarquer que GSK n’a toujours pas accepté officiellement la transaction proposée par le gouvernement.

Propos recueillis par Marie-Christine Tabet pour le JDD

 

Source : Journal du Dimanche 

 

 

bachelot crevée!

 

 

 

 

  

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