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4 avril 2010 7 04 /04 /avril /2010 20:13

Vous pouvez télécharger ce communiqué de presse d'Initiative Citoyenne, ICI

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25 février 2010 4 25 /02 /février /2010 00:29

Nous avons appris cela mardi matin....

Dans son arrêt, la juge estime l'appel recevable mais non fondé et a donc débouté sur toute la ligne.


Vous pouvez lire cet arrêt dans son intégralité
ICI


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27 janvier 2010 3 27 /01 /janvier /2010 08:58

BALE — Le groupe pharmaceutique suisse Novartis, qui produit un des vaccins contre la grippe pandémique H1N1, a mis mardi en garde les gouvernements contre les annulations de commandes, avertissant que les Etats "fiables" seraient à l'avenir servis les premiers.

"Les mêmes gouvernements qui ont exercé beaucoup de pression sur l'industrie (pharmaceutique) pour livrer très rapidement des vaccins sont les mêmes gouvernements qui ont dit +on ne veut plus ce qu'on a commandé+", a indiqué à l'AFP le PDG de Novartis Daniel Vasella.

Le patron du géant pharmaceutique a averti que "la prochaine fois qu'il y aurait une pandémie - et il y aura une pandémie - les gouvernements qui avaient été des partenaires fiables seraient traités de manière préférentielle".

 
Lire la suite ici :
http://www.google.com/hostednews/afp/article/ALeqM5iBkMeySnhyQ8g-xrngv5d_NixafQ 





Remarque: Comment pouvait-on imaginer ce tableau de fausse pandémie sans le chantage des firmes pharmaceutiques? Un chantage qui n'a jamais cessé d'exister: avant la "pandémie", pendant et après....
Comme toujours! Rien de neuf sous le soleil ;-)
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27 janvier 2010 3 27 /01 /janvier /2010 08:43

Les Verts, Alliance Libre européenne, au parlement Européen.


COMMUNIQUÉ DE PRESSE - Bruxelles, le 26 janvier 2010
 
Grippe H1N1
Michèle Rivasi demande une commission d'enquête parlementaire sur la gestion de la crise dans l'UE

Alors que le Conseil de l’Europe organise ce mardi 26 janvier une audition de l’OMS et des fabricants de vaccins sur la transparence de la gestion de pandémie H1N1, Michèle Rivasi, eurodéputée du Groupe des Verts/ALE (Europe Ecologie), interpellera ce même jour la Commission européenne pour demander la mise en place d’une Commission d’enquête parlementaire sur la gestion par l’UE de cette  pandémie.   

"Je demande à  faire toute la lumière sur les conflits d’intérêts possibles entre des organismes européens  tels que  l’Agence  Européenne pour l’Evaluation des  Médicaments (EMEA), le Centre Européen de Prévention et de Contrôle des Maladies (ECDC), et les laboratoires pharmaceutiques" déclare Mme Rivasi.

Pour l’eurodéputée spécialiste des questions de santé « le bilan de la gestion de la pandémie de grippe H1N1 est une gabegie financière dans chaque Etat-Membre et nous amène à nous interroger sur les velléités de certains organismes à mettre en place de telles campagnes de vaccination massive en fustigeant notamment les milliards d’euros dépensés pour une grippe que l’on savait bénigne depuis août 2009 et les risques pris envers les populations par rapport aux effets indésirables.

Autant, en avril, le principe de précaution pouvait justifier de telle mesure" poursuit l'eurodéputée "mais le bilan modéré de la grippe H1N1, connu dès la fin de l'été 2009, aurait du amener nos institutions à réviser leur stratégie. Cela n'a pas été le cas et cela s'est traduit, en particulier en France, par une campagne et un acharnement vaccinal non justifié. "

La France déplore 220 décès et 3 000 effets  indésirables différents alors que la Pologne, qui a refusé de mettre en place une campagne de vaccination, compte au total 120 morts et aucun effet secondaire. J’aimerais donc des explications précises sur les choix ayant conduit à la mise en place de telles opérations compte tenu du  faible rapport bénéfice/risque".  

Pour rappel, Michèle Rivasi organisera au Parlement européen de Bruxelles, mercredi 27 janvier 2010, de 12h30 à 15h00, salle 6Q1 Bât. József Antall, une audition d’experts sur la pharmacovigilance intitulée "Gérer les Risques" pour discuter des propositions, en cours de débat, de la Commission Européenne visant à revoir le cadre législatif de la pharmacovigilance.

 

Note de background:

En juin 2009, l'Organisation mondiale de la santé a déclaré la phase 6 du niveau d'alerte pandémique pour le virus H1N1, juste après avoir modifié, un mois plus tôt, la définition de la notion de pandémie de façon à ce que la gravité de la maladie n'entre plus en ligne de compte, mais seulement son extension géographique.

La Commission  Européenne a admis dès septembre 2009 que la grippe A (H1N1) ne provoquait que des "symptômes modérés" et que la plupart des patients ne souffrait que d'une affection bénigne et limitée. Malgré cela, la Commission a déterminé comme cible potentielle de la vaccination des groupes représentant de 34 % à 60,5 % de la population totale.

Selon les informations du Centre européen de prévention et de contrôle des maladies, le nombre des décès annoncés depuis le début de la pandémie par les États membres de l'Union européenne ou de l'Association européenne de libre-échange  totalise 1045 cas en 2009. Par ailleurs, la Commission estime que la grippe saisonnière cause près de 40 000 décès en année ordinaire et 220 000  en cas de  grippe particulièrement sévère. 

 

 

Question orale de Michèle Rivasi à la Commission européenne - Mardi 26 janvier 2010, à partir de 17h30

 

Audition « Gérer les risque – Mercredi 27 janvier 2010 , de 12h30 à 15h  

http://europeecologie.eu/Audition-publique-comment-gerer

La retransmission de l’audition des experts pourra être suivie en direct sur le web :

http://greenmediabox.eu/live

L’enregistrement vidéo pourra également être téléchargé par la suite.

 

Ces événements sont visibles en direct sur internethttp://www.europarl.europa.eu/meetdocs/2009_2014/documents/envi/cm/801/801843/801843fr.pdf  

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27 janvier 2010 3 27 /01 /janvier /2010 08:28

Mis en ligne le 26/01/2010 à 13h39

STRASBOURG (Conseil Europe) (AFP)


L'Organisation mondiale de la Santé a été malmenée mardi lors d'une audition au Conseil de l'Europe où elle s'est défendue d'avoir subi la pression de laboratoires pour déclarer en juin l'état de pandémie de grippe H1N1.

L'OMS avait été conviée à répondre aux interrogations de parlementaires de l'organisation paneuropéenne. Certains élus avaient évoqué début janvier une "fausse" pandémie et souhaité une enquête.

L'agence onusienne a réfuté les accusations de l'expert épidémiologiste allemand, le Dr Wolfgang Wodarg qui a accusé l'OMS d'avoir exagéré la menace de la grippe en la qualifiant de "pandémie" sous la pression des laboratoires.

"Nos enfants ont été vaccinés inutilement, l'OMS a fait une erreur grave et ne mérite pas notre confiance" a-t-il déclaré.

"Les laboratoires n'attendaient que cela alors que la maladie était relativement peu sévère", a-t-il affirmé, soutenant que les fabricants de vaccins en attendaient "des recettes juteuses".

Il les a accusés d'avoir "utilisé des substances aux effets mal connus", faisant courir d'éventuels risques de santé aux personnes vaccinées. "On ne peut exclure une éventualité de cas de cancer" à venir, a-t-il même avancé.

Le conseiller spécial de l'OMS sur les pandémies, Keiji Fukuda, a répliqué que son organisation "n'a pas été indûment influencée par les laboratoires".

Il a rappelé que les experts consultés "doivent signer une déclaration relative à leurs intérêts privés".  (*)

Critiqué pour un manque de transparence, le numéro 2 de l'OMS s'est défendu, sans convaincre, en expliquant que certaines données n'étaient publiables conformément à la loi.

Une polémique s'est aussi ouverte sur la définition d'une pandémie.

Selon M. Wodarg, elle est avant tout reliée à la morbidité.

Selon M. Fukuda, il y a pandémie "lorsqu'un nouveau virus se répand dans le monde". "On ne peut pas savoir immédiatement combien de victimes il fera et il faudra au moins deux ans pour une estimation définitive", a-t-il ajouté.

Un comité d'experts des huit pays les plus exposés a estimé à l'unanimité que les critères étaient réunis pour déclarer la pandémie en juin 2009, s'est-il défendu.

Au nom des producteurs européens de vaccins (EVM), le docteur Luc Hessel a déclaré que "sur 38 millions de personnes vaccinées en Europe, les problèmes constatés étaient de catégorie "faible à modérée".

La commission Santé a mandaté le travailliste britannique Paul Flynn pour faire un rapport à l'Assemblée du Conseil de l'Europe (APCE) qui s'en saisira lors d'une prochaine session et adoptera une recommandation.

La grippe pandémique H1N1 a tué au moins 14.142 personnes dans le monde depuis son apparition en mars-avril sur le continent américain, selon le dernier bilan publié par l'OMS.


Vu sur le site de
la Libre.



(*) Selon plusieurs scientifiques, la simple déclaration d'intérêts ne suffit PAS à éliminer le problème des conflits d'intérêts, les gens liés par différents biais à l'industrie restant sujets une certaine réciprocité.



Pour suivre le déroulement des auditions à Strasbourg, il faut se rendre à l'adresse suivante:

http://www.coe.int/defaultFR.asp

Aller à "Audition publique sur la gestion de la pandémie H1N1", cliquer sur "Vidéo de l'audition"
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27 janvier 2010 3 27 /01 /janvier /2010 00:56

RICARDO GUTIERREZ

vendredi 15 janvier 2010, 07:50

 

La facture des vaccins contre la grippe A/H1N1 sera moins lourde. La ministre fédérale de la Santé, Laurette Onkelinx (PS), a négocié un accord avec la firme GSK, jeudi soir, pour revoir à la baisse la commande de 12,6 millions de doses de vaccin Pandemrix, sans indemnité de résiliation.
 

Le cabinet de la ministre précise que les parties se sont accordées sur une réduction de près d’un tiers de la commande initiale, soit environ 4 millions de doses. Economie réalisée : quelque 33 millions d’euros, sur une dépense totale qui avait été évaluée à 120 millions, en comptant les honoraires des médecins prescripteurs.

 

Les juristes du cabinet Onkelinx et de la firme GSK travaillent à la rédaction d’un avenant au contrat initial qui sera signé par les parties dans le courant de la semaine prochaine.

 

Pour l'heure, 1,5 à 2 millions de doses ont été administrées, alors que l'épidémie est éteinte, depuis la mi-décembre. En soustrayant les 1,2 million de doses que la Belgique s'est proposée de donner aux pays en voie de développement, par l'intermédiaire de l'Organisation mondiale de la Santé (OMS), la Belgique se retrouvait avec un excédent de 8 millions de vaccins… Un surplus qui vient donc d'être diminué de moitié. Restent 4 millions de doses, qui sont partiellement réutilisables, pendant 5 ans, mais dont personne ne sait si elles seront vraiment utiles ou nécessaires. 


Source: Le Soir

Remarque:  Alors que  Mme Onkelinx disait encore NON à la renégociation du contrat en date du 7/01 , elle finit par changer d'avis quelques jours après... Peut-être est-ce pour "faire bonne figure" et tenter de rester à son poste malgré le fait que sa gestion de la crise est de plus en plus remise en cause de par les demandes d'enquêtes au niveau national et international?

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26 janvier 2010 2 26 /01 /janvier /2010 19:28

6 janvier 2010  | Quelques mois après les annonces fracassantes et inquiétantes de l’arrivée de la grippe AH1N1, le moment est venu de tirer les premières conclusions concernant cette pandémie annoncée, les politiques de vaccination qui ont été recommandées aux pays par l’OMS ainsi que sur l’avenir des stocks de vaccins. Aux yeux d’Ecolo-Groen !, il y a en effet de nombreuses questions à poser, notamment par rapport au rôle de l’industrie pharmaceutique dans ce dossier. C’est la raison pour laquelle les Verts soutiennent totalement l’idée d’une enquête internationale sur la gestion de cette « grippe ».


En observant a posteriori les mécanismes de décision aux niveaux international, via l’OMS, européen et national, on ne peut que s’interroger quant à l’indépendance des scientifiques qui ont évalué la gravité de la pandémie et décidé des quantités de vaccins à administrer. Si les décisions qui ont été prises en matière de vaccination ont été dictées par les intérêts économiques des firmes pharmaceutiques, comme certains le soupçonnent, il faut pouvoir l’établir. Il y va du principe de transparence et de l’intérêt des finances publiques.


Les Verts demandent donc que la Ministre belge de la santé porte au sein du conseil européen des Ministres de la santé une demande d’enquête au niveau européen et international sur les mécanismes de gestion de cette pandémie, sur les dispositifs mis en place par l’OMS et sur les conflits d’intérêts éventuels qui auraient existé entre les experts scientifiques de l’OMS, les experts des différents Etats consultés par l’OMS, les responsables politiques et les firmes pharmaceutiques. Il importe en effet que l’OMS puisse conserver sa légitimité et sa crédibilité en matière de santé.


Le groupe ECOLO-Groen ! se demande également ce qu’il va advenir des doses excédentaires en Belgique. A l’heure actuelle, 5,3 millions de vaccins restent à produire sur les 12 millions initialement commandés, sur la base de l’information donnée par les experts scientifiques selon laquelle qu’il faudrait 2 doses par personne pour immuniser celle-ci.


Pour les Verts, il devient, au vu des informations disponibles sur l’évolution de la pandémie, inutile de poursuivre la fabrication immédiate de nouvelles doses tant d’adjuvant que d’antigène puisqu’il en reste plus d’un million, déjà fabriquées, disponibles. Le vaccin n’a en effet d’utilité que de manière préventive. De plus les personnes à risque qui voulaient se faire vacciner l’ont majoritairement fait et les personnes qui deviendraient nouvellement « à risques » ne devraient pas être plus nombreuses que celles déjà déclarées.

 

Si un danger plus grand devait apparaître, il résulterait d’une mutation du virus qui pourrait nécessiter une deuxième vague de vaccination mais il faudrait alors modifier la composition de la partie antigène du vaccin. Il est dès lors inutile, voire absurde de produire aujourd’hui des doses d’antigènes qui ne pourraient pas être utilisées parce qu’inadaptées.


Nous demandons dès lors au gouvernement et plus particulièrement à la Ministre de la santé d’entrer en négociation avec la firme GSK pour obtenir la suspension de toute production supplémentaire tant d’antigènes que d’adjuvants. Il s’agira par la suite d’utiliser cette interruption pour négocier la diminution du nombre de vaccins à produire avec pour maximum un nombre équivalent celui de la première vaccination.


SOURCE: http://web4.ecolo.be/spip.php?article2195

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26 janvier 2010 2 26 /01 /janvier /2010 16:40

Pour accéder au document intitulé " 6°CP,Une pharmacovigilance non fiable et autres infos...", cliquez ICI.

Pour accéder au communiqué de presse du 25 janvier, synthèse de notre 6° conférence de presse, cliquez
ICI.

 

Avertissement/Précision/Correction concernant la dépêche Belga relayée dans le journal La Libre Belgique du 26 janvier 2010 dans l'article intitulé "H1N1: cinq décès liés au vaccin?  (et peut-être aussi relayée dans d'autres journaux?)

Dans un passage de cette dépêche, on peut notamment lire ceci :

"En Belgique, cinq décès survenus à la suite de l’administration du vaccin contre la grippe A/H1N1 ont été recensés, disent-ils. Pour le collectif Initiative citoyenne, ces décès sont clairement liés au vaccin. "Il y a toujours une bonne excuse. Le sujet avait une maladie sous-jacente ou alors le patient était trop jeune ou trop vieux. Toujours est-il que des personnes en bonne santé au départ, sont décédées après s’être fait vacciner", explique Sophie Meulemans, d’Initiative citoyenne. Des effets secondaires ont également été rapportés comme des maux de tête, des problèmes neurologiques ou rénaux." 


ATTENTION!  Cette interprétation ne provient pas d'Initiative Citoyenne et, comme chacun pourra le constater, nulle part cela n'est indiqué expressément ni même insinué dans les documents officiels que nous avons communiqués à la presse au sujet de la pharmacovigilance.

Ce que nous avons tenu à mettre en lumière c'est qu'il est extrêmement peu crédible de prétendre A CHAQUE FOIS qu'il n'y a aucun lien entre la vaccination H1N1 et des effets graves ou mortels et ce, pas seulement en Belgique mais dans bien d'autres pays qui ont vacciné avec ces vaccins pandémiques!

Nous ne nous sommes jamais avancés à affirmer que les 5 décès en Belgique étaient "clairement liés au vaccin" car nous ne saurions en être sûrs. Ce que nous disons c'est que nous ne gobons pas aveuglément les dires des officiels comme quoi "aucun de ces décès ne serait dû au vaccin", ce qui est différent et comporte une nuance.

Notre opinion, c'est important de le souligner, ne découle donc pas uniquement des 5 décès officiellement recensés suite à la vaccination H1N1 en Belgique mais de la situation relative à des dizaines d'autres décès survenus dans différents pays d'Europe et du monde. Lorsque qu'on compare le discours officiel, on ne peut pas ne pas se rendre compte que le déni est trop systématique pour encore être crédible.


C'est bien cela ce que nous disons: statistiquement, il est véritablement abracadabrant de prétendre comme le fait par exemple aussi l'agence européenne du Médicament (EMEA) à laquelle l'Agence Belge des Médicaments se réfère sur son site, que pas un seul des 26 décès officiellement constatés en post-vaccination H1N1 en une semaine de temps ne seraient dûs à la vaccination H1N1. Or c'est le mensonge énorme que l'EMEA profère.


A ce stade, selon cette agence, il y aurait quand même une cinquantaine de décès constatés en post-vaccination avec le produit Pandemrix et oser prétendre comme cette agence le fait qu'il n'y a jamais de lien avec le vaccin est du plus haut ridicule.

Il suffit de savoir que, chaque année dans un pays comme la France, il y a

pas moins de 140 000 hospitalisations dues aux effets secondaires des médicaments en général et plus de 18 000 décès liés à ces mêmes effets secondaires des médicaments. Comment considérer dès lors que les vaccins qui ne sont pas parmi les médicaments les mieux testés du marché ne puissent jamais entraîner des effets graves ou mortels?

Pour rappel, l'expert Dr Marc Girard mettait déjà en lumière des proportions d'effets secondaires qui lui semblaient anormalement élevées dans les sous-groupes de patients vaccinés: 2 hépatites auto-immunes sur un groupe de 400 enfants vaccinés contre le H1N1; 7 décès sur environ 2000 patients adultes vaccinés....

Tous ces constats démontrent donc qu'il existe un TABOU et une sous-notification notoire des effets secondaires réels, pas que tous les décès en post-vaccination soient forcément à 100% de probabilité dûs et donc causés par un vaccin quel qu'il soit!

Pour lever toute ambiguïté sur le véritable sens de nos propos, nous avons adressé ces remarques aux journalistes  de la Libre et de Belga et, après avoir pu prendre connaissance de l'intégralité de la dépêche de Belga à l'origine de l'article de la Libre, il apparaît que l'erreur d'interprétation de nos propos sur ce point très précis incombe bien à Belga et non à la Libre.


La journaliste de Belga a reconnu ne pas avoir suffisamment insisté sur le côté "déni SYSTEMATIQUE" et nous a expliqué que le titre de sa dépêche avait été modifié (ce que la Libre a tout a fait le droit de faire notez bien), que son titre original était ""Grippe A/H1N1: Initiative Citoyenne appuie la demande d'enquête auprès de l'OMS" et qu'elle avait axé son contenu sur les demandes de notre collectif de retrait de la Belgique de l'OMS notamment. La journaliste de Belga a estimé que le fait que sa dépêche n'ait pas été publiée en entier lui retirait un peu de son sens.

 

La Libre, qui n'est pas du tout en cause ici a, quant à elle, a tenu à souligner le fait que, dans le titre choisi par ses soins, il y avait un point d'interrogation et qu'il ne participait donc pas d'une affirmation comme la phrase que nous contestions.

Voici ci-dessous l'intégralité de cette dépêche Belga:

"Grippe A/H1N1: Initiative Citoyenne appuie la demande d'enquête auprès de l'OMS"

 

Les membres d'Initiative Citoyenne, un collectif qui vise à enquêter sur le vaccin contre la grippe A/H1N1 Pandemrix, ont fait le point lundi sur la procédure d'appel qu'ils ont introduite contre l'Etat belge à propos du manque de transparence concernant la campagne de vaccination. Ils se sont réunis alors que des membres du Conseil de l'Europe viennent de demander des enquêtes sur l'Organisation Mondiale de la Santé (OMS) concernant ces vaccins. "Une action qui vient crédibiliser la raison de notre combat", estiment-ils. En Belgique, cinq décès survenus à la suite de l'administration du vaccin contre la grippe A/H1N1 ont été recensés. Pour le collectif Initiative Citoyenne, ces décès sont clairement liés au vaccin. "Il y a toujours une bonne excuse. Le sujet avait une maladie sous-jacente ou alors le patient était trop jeune ou trop vieux. Toujours est-il que des personnes en bonne santé au départ, sont décédées après s'être fait vacciner", explique Sophie Meulemans, d'Initiative Citoyenne.
Des effets secondaires ont également été rapportés comme des maux de tête, des problèmes neurologiques ou rénaux. Selon les autorités, ces effets ne sont pas directement liés au vaccin mais Initiative Citoyenne estime pourtant qu'ils sont causés par le Pandemrix.
En septembre 2009, le collectif a envoyé une lettre à la ministre de la Santé Publique, Laurette Onkelinx, mais "aucune réponse satisfaisante n'a été donnée", expliquent les membres, qui ajoutent avoir étayé leur cause avec des documents officiels, des notices et des étiquettes de vaccins qui prouveraient "clairement" la dangerosité du vaccin.
Initiative Citoyenne reproche également à l'Etat belge d'avoir des liens suspects et peu transparents avec la firme GlaxoSmithKline (GSK), qui produit les vaccins adjuvantés en Belgique. Un contrat entre GSK et l'Etat belge est publié sur le site de la cellule Influenza. Celui-ci est daté de janvier 2009 alors que la pandémie n'a débuté qu'en avril 2009. De plus, des parties du contrat auraient été effacées.
Selon Me Beauthier, un des avocats d'Initiative Citoyenne, "l'OMS a été l'objet de pressions. Il y a eu une interférence que l'on ne soupçonnait pas entre les firmes pharmaceutiques, les experts et l'OMS".
Les réclamations d'Initiative Citoyenne sont claires: elle demande la sortie de la Belgique de l'OMS, la démission de tous les acteurs nationaux qui ont participé à ce "scandale sanitaire", une pharmacovigilance entièrement indépendante des firmes productrices ainsi que la fin immédiate de l'administration de vaccins que le collectif considère comme clairement expérimentale.
Initiative Citoyenne compte aujourd'hui 2.000 membres. Le 23 février prochain, ils obtiendront une réponse aux demandes énoncées dans le cadre de leur procédure d'appel. Dans les prochains jours, une demande du contrat complet entre l'Etat et GSK va être introduite auprès de la Commission d'accès aux documents administratifs (CADA).

 
en jaune : la phrase résultant d'une interprétation imparfaite de nos propos

en violet: la partie de la dépêche Belga non publiée par la Libre dans son article intitulé "H1N1: cinq décès liés au vaccin?"

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26 janvier 2010 2 26 /01 /janvier /2010 15:05

article paru le 7 janvier 2010


HUMANITE WODARGPrésident de la commission santé du Conseil de l’Europe, l’allemand Wolfgang Wodarg a obtenu le lancement d’une enquête de cette instance sur le rôle joué par les laboratoires dans la campagne de panique autour du virus.
Ex-membre du SPD, Wolfgang Wodarg est médecin et épidémiologiste. Il a obtenu à l’unanimité des membres de la commisionn santé du Conseil de l’Europe une commision d’enquête sur le rôle des firmes pharmaceutiques dans la gestion de la grippe A par l’OMS et les états..



                                                                       


Qu’est ce qui a attiré vos soupçons dans la prise d’influence des laboratoires sur les décisions prises à l’égard de la grippe A ?


Wolfgang Wodarg. Nous sommes confrontés à un échec des grandes institutions nationales, chargées d’alerter sur les risques et d’y répondre au cas où une pandémie survient. En avril quand la première alarme est venue de Mexico j’ai été très surpris des chiffres qu’avançait l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) pour justifier de la proclamation d’une pandémie. J’ai eu tout de suite des soupçons : les chiffres étaient très faibles et le niveau d’alarme très élevé. On en était à même pas mille malades que l’on parlait déjà de pandémie du siècle. Et l’alerte extrême décrétée était fondée sur le fait que le virus était nouveau. Mais la caractéristique des maladies grippales, c’est de se développer très vite avec des virus qui prennent à chaque fois de nouvelles formes, en s’installant chez de nouveaux hôtes, l’animal, l’homme etc. Il n’y avait rien de nouveau en soi à cela. Chaque année apparaît un nouveau virus de ce type « grippal ». En réalité rien ne justifiait de sonner l’alerte à ce niveau. Cela n’a été possible que parce que l’OMS a changé début mai sa définition de la pandémie. Avant cette date il fallait non seulement que la maladie éclate dans plusieurs pays à la fois mais aussi qu’elle ait des conséquences très graves avec un nombre de cas mortels au dessus des moyennes habituelles. On a rayé cet aspect dans la nouvelle définition pour ne retenir que le critère du rythme de diffusion de la maladie. Et on a prétendu que le virus était dangereux car les populations n’avaient pas pu développer de défense immunitaires contre lui. Ce qui était faux pour ce virus. Car on a pu observer que des gens âgés de plus de 60 ans avaient déjà des anticorps. C’est-à-dire qu’ils avaient déjà été en contact avec des virus analogues. C’est la raison pour laquelle d’ailleurs il n’y a pratiquement pas eu de personnes âgées de plus de 60 ans qui aient développé la maladie. C’est pourtant à celles là qu’on a recommandé de se faire vacciner rapidement.Dans les choses qui ont suscité mes soupçons il y a donc eu d’un côté cette volonté de sonner l’alerte. Et de l’autre des faits très curieux. Comme par exemple la recommandation par l’OMS de procéder à deux injections pour les vaccins. Ça n’avait jamais été le cas auparavant. Il n’y avait aucune justification scientifique à cela. Il y a eu aussi cette recommandation de n’utiliser que des vaccins brevetés particuliers. Il n’existait pourtant aucune raison à ce que l’on n’ajoute pas, comme on le fait chaque années, des particules antivirales spécifiques de ce nouveau virus H1N1, « complétant » les vaccins servant à la grippe saisonnière.On ne l’a pas fait car on a préféré utiliser des matériaux vaccinales brevetés que les grands laboratoires avaient élaborées et fabriqué pour se tenir prêts en cas de développement d’une pandémie. Et en procédant de cette façon on n’a pas hésité à mettre en danger les personnes vaccinées


Quel danger ?


Wolfgang Wodarg. Pour aller vite dans la mise à disposition des produits on a utilisé des adjuvants dans certains vaccins, dont les effets n’ont pas été suffisamment testés. Autrement dit : on a voulu absolument utiliser ces produits brevetés nouveaux au lieu de mettre au point des vaccins selon des méthodes de fabrication traditionnelles bien plus simples, fiables et moins coûteuses. Il n’y avait aucune raison médicale à cela.Uniquement des raisons de marketing.


Comment a-t-on pu justifier de cela ?


Wolfgang Wodarg. Pour comprendre il faut en revenir à l’épisode de la grippe aviaire de 2005 - 2006. C’est à cette occasion là qu’ont été définis les nouveaux plans internationaux destinés à faire face à une alarme pandémique. Ces plans ont été élaborés officiellement pour garantir une fabrication rapide de vaccins en cas d’alerte. Cela a donné lieu à une négociation entre les firmes pharmaceutiques et les Etats. D’un côté les labos s’engageaient à se ternir prêts à élaborer les préparations, de l’autre les Etats leur assuraient qu’ils leur achèteraient bien tout cela. Au terme de ce drôle de marché l’industrie pharmaceutique ne prenait aucun risque économique en s’engageant dans les nouvelles fabrications. Et elle était assurée de toucher le jack pot en cas de déclenchement d’une pandémie.


Vous contestez les diagnostics établis et la gravité, même potentielle, de la grippe A ?


Wolfgang Wodarg. Oui, c’est une grippe tout ce qu’il y a de plus normal. Elle ne provoque qu’un dixième des décés occasionnés par la grippe saisonnière classique. Tout ce qui importait et tout ce qui a conduit à la formidable campagne de panique à laquelle on a assisté, c’est qu’elle constituait une occasion en or pour les représentants des labos qui savaient qu’ils toucheraient le gros lot en cas de proclamation de pandémie.


Ce sont de très graves accusations que vous portez là. Comment un tel processus a-t-il été rendu possible au sein de l’OMS ?


Wolfgang Wodarg. Un groupe de personnes à l’OMS est associé de manière très étroite à l’industrie pharmaceutique.


L’enquête du conseil de l’Europe va travailler aussi dans cette direction ?


Wolfgang Wodarg. Nous voulons faire la lumière sur tout ce qui a pu rendre cette formidable opération d’intox. Nous voulons savoir qui a décidé, sur la base de quelles preuves scientifiques, et comment s’est exercé précisément l’influence de l’industrie pharmaceutique dans la prise de décision. Et nous devons enfin présenter des revendications aux gouvernements. L’objectif de la commission d’enquête est qu’il n’y ait plus à l’avenir de fausses alertes de ce genre. Que la population puisse se reposer sur l’analyse, l’expertise des instituions publiques nationales et internationales. Celles ci sont aujourd’hui discréditées car des millions de personnes ont été vaccinés avec des produits présentant d’éventuelles risques pour leur santé. Cela n’était pas nécessaire. Tout cela a débouché aussi sur une gabegie d’argent public considérable.


Avez-vous des chiffres concrets sur l’ampleur de cette gabegie ?


Wolfgang Wodarg. En Allemagne ce sont 700 millions d’euros. Mais il est très difficile de connaître les chiffres précis car on parle maintenant d’un côté de reventes de vaccins à des pays étrangers et surtout les firmes ne communiquent pas, au nom du principe du respect du « secret des affaires » les chiffres des contrats passés avec les Etats et les éventuelles clauses de dédommagements qui y figurent.


Le travail de « lobying » des labos sur les instituts de santé nationaux sera-t-il aussi traité par l’enquête du conseil de l’Europe ?


Wolfgang Wodarg. Oui nous nous pencherons sur l’attitude des instituts comme le Robert Koch en Allemagne ou Pasteur en France qui aurait dû en réalité conseiller leurs gouvernements de façon critique. Dans certains pays des institutions l’ont fait. En Finlande ou en Pologne, par exemple, des voix critiques se sont élevées pour dire : « nous n’avons pas besoin de cela ».



La formidable opération d’intox planétaire n’a-t-elle pas été possible aussi parce que l’industrie pharmaceutique avait « ses représentants » jusque dans les gouvernements des pays les plus puissants ?


Wolgang Wodarg. Dans les ministères cela me paraît évident. Je ne peux pas m’expliquer comment des spécialistes , des gens très intelligents qui connaissent par coeur la problématique des maladies grippales, n’aient pas remarqué ce qui était en train de se produire.



Que s’est-il passé alors ?

Wolfgang Wodarg. Sans aller jusqu’à la corruption directe qui j’en suis certain existe, il y a eu mille manières pour les labos d’exercer leur influence sur les décisions. J’ai pu constater très concrètement par exemple comment Klaus Stöhr qui était le chef du département épidémiologique de l’OMS à l’époque de la grippe aviaire, et qui donc a préparé les plans destinés à faire face à une pandémie que j’évoquais plus haut, était devenu entre temps un haut cadre de la société Novartis. Et des liens semblables existent entre Glaxo ou Baxter (etc) et des membres influents de l’OMS. Ces grandes firmes ont « leurs gens » dans les appareils et se débrouillent ensuite pour que les bonnes décisions politiques soient prises. C’est à dire celles qui leur permettent de pomper le maximum d’argent des contribuables.


Mais si votre enquête aboutit, ne sera-t-elle pas un appui pour les citoyens d’exiger de leurs gouvernements qu’ils demandent des comptes à ces grands groupes ?


Wolfgang Wodarg. Oui, vous avez raison, c’est l’un des grands enjeux lié à cette enquête. Les états pourraient en effet se saisir de cela pour contester des contrats passés dans des conditions, disons, pas très propres. S’il peut être prouvé que c’est la prise d’influence des firmes qui a conduit au déclenchement du processus alors ils faudra les pousser à ce qu’ils demandent à être remboursés. Mais ça c’est uniquement le côté financier, il y a aussi le côté humain, celui des personnes qui ont été vaccinés avec des produits qui ont été insuffisamment testés.


Quel type de risque ont donc pris, sans qu’ils le sachent, ces gens en bonne santé en se faisant vacciner ?


Wolfgang Wodarg. Je le répète les vaccins ont été élaborés trop rapidement, certains adjuvants insuffisamment testés. Mais il y a plus grave. Le vaccin élaboré par la société Novartis a été produit dans un bioréacteur à partir de cellules cancéreuses. Une technique qui n’avait jamais été utilisée jusqu’à aujourd’hui.

Pourquoi, je ne suis évidemment pas un spécialiste, mais comment peut-on prétendre faire un vaccin à partir de cellules malades ?


Wolfgang Wodarg. Normalement on utilise des œufs de poules sur lesquels les virus sont cultivés. On a besoin en effet de travailler sur des cellules vivantes. Car les virus ne peuvent se multiplier que de cette manière et donc, par définition, les préparations antivirus qui vont avec. Mais ce procédé présente un gros défaut, il est lent, il faut beaucoup d’œufs. Et il est long et complexe sur le plan technique. Une autre technique au potentiel remarquable consiste à cultiver les virus sur des cellules vivantes dans des bio-réacteurs. Pour cela il faut des cellules qui croissent et se divisent très vite. C’est un peu le procédé que l’on utilise pour la culture du yaourt que l’on réalise d’ailleurs aussi dans un bio-réacteur. mais dans ce contexte la cellule a été tellement bouleversée dans son environnement et sa croissance qu’elle croit comme une cellule cancéreuse. Et c’est sur ces cellules au rendement très élevé que l’on cultive les virus. Seulement pour fabriquer le vaccin il faut extraire à nouveau les virus de ces cellules sur lesquelles ils ont été implantés. Et il peut donc se produire que durant le processus de fabrication du vaccin des restes de cellule cancéreuse demeurent dans la préparation. Comme cela se produit dans la fabrication classique avec les oeufs. On sait ainsi que dans le cas d’une vaccination de la grippe classique des effets secondaires peuvent apparaître chez les personnes qui sont allergiques à l’ovalbumine que l’on trouve dans le blanc d’oeuf.Il ne peut donc pas être exclu que des protéïnes, restes d’une cellule cancéreuse présentes dans un vaccin fabriqué par bio-réacteur, n’engendre une tumeur sur la personne vaccinée. Selon un vrai principe de précaution il faudrait donc, avant qu’un tel produit ne soit autorisé sur le marché, avoir la certitude à 100% que de tels effets sont réellement exclus.


Et cela n’a pas été fait ?

Wolfgang Wodarg. On ne l’a pas fait. L’AME ( Agence Européenne du Médicament), une institution sous la responsabilité du commissaire européen à l’économie, basée à Londres, qui donne les autorisations de mise sur le marché des vaccins en Europe, a donné son feu vert à la commercialisation de ce produit en arguant, en l’occurrence, que ce mode de fabrication ne constituait pas un risque « significatif ». Cela a été très différemment apprécié par de nombreux spécialistes ici en Allemagne et une institution indépendante sur le médicament, qui ont au contraire alerté et fait part de leurs objections. J’ai pris ces avertissements au sérieux. J’ai étudié le dossier et suis intervenu dans le cadre de la commission santé du Bundestag dont j’étais alors membre pour que le vaccin ne soit pas utilisé en Allemagne. J’ai fait savoir que je n’étais certainement pas opposé à l’élaboration de vaccins avec cette technique. Mais qu’il fallait d’abord avoir une garantie totale d’innocuité. Le produit n’a donc pas été utilisé en Allemagne où le gouvernement a résilié le contrat avec novartis.


Quel est le nom de ce vaccin ?


Wolfgang Wodarg. Obta flu.


Mais cela veut dire que dans d’autres pays européens comme la France le produit peut être commercialisé sans problème ?


Wolfgang Wodarg. Oui , il a obtenu l’autorisation de l’AME et peut donc être utilisé partout dans l’Union Européenne.


Quelle alternative entendez vous faire avancer pour que l’on échappe à de nouveaux scandales de ce type ?


Wolfgang Wodarg. Il faudrait que l’OMS soit plus transparente, que l’on sache clairement qui décide et quelle type de relation existe entre les participants dans l’organisation. Il conviendrait aussi qu’elle soit au moins flanquée d’une chambre d’élue, capable de réagir de façon très critique où chacun puisse s’exprimer. Ce renforcement du contrôle par le public est indispensable.



N’est ce pas la question d’un autre système capable de traiter une question qui relève en fait d’un bien commun aux citoyens de toute la planète qui affleure ?


Wolfgang Wodarg. Pouvons nous encore laisser la production de vaccins et la conduite de ces productions à des organisations dont l’objectif est de gagner le plus possible d’argent ? Ou bien la production de vaccins n’est-elle pas quelque chose du domaine par excellence , que les Etats doivent contrôler et mettre en œuvre eux même ? C’est la raison pour laquelle je pense qu’il faut abandonner le système des brevets sur les vaccins. C’est à dire la possibilité d’une monopolisation de la production de vaccin par un rand groupe. Car cette possibilité suppose que l’on sacrifie des milliers de vies humaines, simplement au nom du respect de ces droits monopolistiques. Vous avez raison , cette revendication là a pris en tout cas pour moi l’aspect de l’évidence.



Entretien réalisé par Bruno Odent

source: l'Humanité

NB: Pour consulter le texte de proposition de recommandation des membres du Conseil de l'Europe, voir ICI.

 

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15 décembre 2009 2 15 /12 /décembre /2009 02:33

Bien qu'ayant relayé un message extrêmement clair, nos nouvelles demandes n'ont plus été relayées par la presse grand public.....


Dommage!

Car celles-ci sont plus que jamais fondées! En effet, nous avons demandé:

1°) L'abrogation pure et simple de cette loi d'exception qui reste totalement injustifiée!

2°) La démission de tous les acteurs belges impliqués dans la gestion plus que chaotique de ce dossier.

3°) La sortie de la Belgique du groupe des pays membres de l'OMS.
Pourquoi? Parce que cette institution opaque, où règnent en maîtres les conflits d'intérêts, n'est plus du tout digne de confiance et, on l'a vu avec la modification des critères de pandémie sans lesquels jamais toute cette hystérie n'aurait pu "prendre" auprès du public...


De plus, nous avons également expliqué pourquoi Initiative Citoyenne lance sa grande enquête transnationale sur les effets secondaires du vaccin Pandemrix. Chaque victime peut ainsi témoigner anonymement en ayant la garantie que les résultats seront traités par des médecins totalement indépendants ce qui n'est pas le cas de l'Agence  belge des médicaments qui dépend de l'état fédéral lequel est lié avec le fabricant GSK par un contrat qui impose notamment des clauses de confidentialité portant sur la sécurité du produit...


Initiative Citoyenne n'en restera toutefois pas là et poursuit sa mission d'information.



A cet effet, nous vous signalons dès à présent la conférence du Dr Marc Girard, médecin et spécialiste du médicament, le 8 janvier prochain dès 19H30 à l'hôtel Mercure de Louvain La Neuve, 61 Bvd de Lauzelle. (7 euros) Voir ICI l'affiche de la conférence.

Vous pouvez soit réserver dès à présent en effectuant un virement bancaire (7 euros/personne) au compte d'Initiative Citoyenne en mentionnant en communication "Conférence Dr Girard".
CB n°:
363-0594444-68

Soit payer sur place en fonction des places restantes.
La salle a une capacité d'environ 170 places.






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