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27 novembre 2016 7 27 /11 /novembre /2016 23:28

LAOS

Cas rare d’un petit garçon de 8 ans qui décède d’un virus polio d’origine vaccinale

 

                                    Par Ariana Eunjung, 12 octobre 2016 

Un agent sanitaire administre un vaccin polio oral à un petit Pakistanais

Un agent sanitaire administre un vaccin polio oral à un petit Pakistanais

L’Organisation Mondiale de la Santé a rapporté qu’un virus de la polio a paralysé un petit garçon Laotien de 8 ans qui est décédé 5 jours plus tard.

 

Ce cas est considéré comme étant la première infection dans le pays depuis 1993. Il fait partie d’une réémergence alarmante de la poliomyélite dans le monde au cours des derniers mois.

 

L’Ukraine et le Mali – deux autres pays où le virus avait été éradiqué – ont également signalé de nouveaux cas de poliomyélite.

 

Les responsables de l’OMS ont indiqué que la séquence génétique avait montré que le virus provenait d’un vaccin oral et qu’il pouvait circuler dans la province de Bolikhamxay au Laos  depuis plus de deux ans. Le vaccin antipoliomyélitique oral contient un virus affaibli, et quand un enfant est vacciné, le virus se réplique dans l’intestin et est excrété par l’individu. Dans les endroits où il y a des problèmes d’hygiène et d’assainissement, ce virus peut infecter d’autres personnes de la communauté avant de disparaître.

 

Quand une population est fortement sous-immunisée, ce virus peut circuler pendant longtemps et muter sous une forme qui peut créer des paralysies. Le district où l’enfant a vécu au Laos avait des taux de vaccination chroniquement faibles : 40 à 66% entre 2009 et 2014 et 44% en 2015 pour 3 doses du vaccin polio oral. Avant cette récente infection, le Laos était exempt de poliomyélite depuis 1993, date à laquelle son dernier cas de poliovirus sauvage indigène a été signalé.

 

L’OMS a fait savoir que le Ministère de la Santé du pays, en collaboration avec l’OMS, l’UNICEF et le CDC américain  a envoyé une équipe au village où avait vécu le petit garçon pour recueillir des échantillons de selles, et ensuite activer une vaccination d’urgence pour la province et autres provinces adjacentes.

 

Les responsables de la Santé ont indiqué que le risque de propagation du virus du Laos vers d’autres pays, à partir, et vers la zone concernée était faible, étant donné que les déplacements vers ces régions étaient relativement limités et que des vaccinations d’urgence avaient été envisagées.

 

En septembre, l’OMS a déclaré que le poliovirus était de nouveau présent en Europe après un sursis de 5 ans, paralysant des enfants de 4 ans et de 10 mois en Ukraine. Les deux cas furent détectés dans la partie sud-ouest du pays- à la frontière avec la Roumanie, la Hongrie, la Slovaque et la Pologne. La souche responsable de ces cas était d’origine vaccinale (vaccin polio type 1) et pouvait encore constituer une menace pour la région.

 

Le même mois, l’Afrique a connu la première infection polio quand un enfant de 19 mois de nationalité Guinéenne fut paralysé.

 

L’OMS a insisté sur le fait que le risque d’infection par la polio provenant de virus vaccinaux « pâlissait en importance » par rapport aux avantages pour la santé associés au virus polio oral. Il est dit que chaque année des  centaines de milliers de cas de polio sauvage sont empêchés par les vaccins.

 

Source: Washingtonpost

 

Voir aussi:

 

Inde : La maladie causée par le vaccin : deux fois plus meurtrière

 

Dr S.Humphries : les vaccins ont-ils vraiment éradiqué la polio

 

Vaccination polio : désinformation et intimidation des communes

 

Vaccination polio dans le Tiers Monde : l’envers du décor ?

 

Deux jumelles décèdent après la vaccination polio

 

Pr Luc Montagnier : les vaccinations de masse ont été désastreuses

 

Vaccination polio : SV40 et cancer

 

Le vaccin polio qu’on prétend si sûr

 

Un nouveau virus type polio provoque des paralysies

 

Réponse d'Initiative Citoyenne à l'Association belge des paralysés (ABP)

 

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26 novembre 2016 6 26 /11 /novembre /2016 13:52

Ils ont perdu toute leur joie de vivre… tous leurs sourires…

Des triplés deviennent autistes après le vaccin Prevenar (pneumocoques)

VAXXED Stories Channel, 27 octobre 2016

 

Richie, Robbie et Claire étaient des triplés en parfaite santé. Ils étaient heureux et très actifs. A la suite du vaccin antipneumococcique qu’ils ont reçu à neuf mois, leur santé s’est dégradée. Ils ont finalement reçu le diagnostic de graves troubles du spectre autistique. Sept ans plus tard, les parents  ont appris que le vaccin qu’avaient reçu leurs enfants était contaminé, et qu’il avait été retiré du marché une ou deux semaines après que leurs enfants furent vaccinés. Ce vaccin avait aussi tué un enfant de deux ans.

Des triplés deviennent autistes après le vaccin Prevenar (pneumocoques)

Quand les parents refusèrent que leurs enfants soient à nouveau vaccinés, ils furent exclus des services pédiatriques. On leur expliqua aussi qu’ils ne pouvaient pas s’engager dans des poursuites. Les parents n’avaient pas non plus eu connaissance de l’existence du « National Vaccine Injury Compensation Program » qui leur aurait permis de déposer une requête en indemnisation, mais la date limite était malheureusement dépassée.

 

Les parents ont dépensé des centaines de milliers de dollars pour essayer de rendre la santé à leurs enfants.

 

« Ils ne s’intéressaient plus à rien ni à personne; ils avaient perdu leur sourire ; ils vivaient enfermés dans leur petit monde; ils ne se regardaient plus, ne se serraient plus la main…Les dommages causés par les vaccins sont bien réels. On nous a dit que le problème était génétique. Plus tard, des généticiens nous ont dit qu’il n’était pas possible que trois enfants se referment ainsi sur eux-mêmes le même jour. La chose était statistiquement impossible, d’autant plus qu’il s’agissait de deux garçons et d’une fille. »

Source : Vaccinechoiceprayercommunity

 

Commentaire de Laura Hayes :

 

Nous voulons espérer que cette bouleversante histoire sera susceptible de réveiller beaucoup de monde à l’affreuse vérité… que les dommages causés par les vaccins sont bien réels et pas si rares qu’on veut bien nous le faire croire. Je voudrais fortement recommander de prendre 15 minutes pour découvrir l’histoire de ce couple et de ce qui est arrivé à leurs trois petits enfants dans les heures qui ont suivi l’administration d’un seul vaccin à l’âge de 9 mois. Leur histoire est claire et malheureusement tragique, et les dommages causés par le vaccin indéniables.

 

Cette histoire souligne qu’aucun de ceux qui profitent des vaccins ne peut, en aucune manière, être rendu responsable des graves et irréversibles dommages  infligés à ces trois précieux bébés…pas un seul ! Comme toujours, les parents sont abandonnés à leur triste sort…inadmissible !

 

Voir aussi

 

Le vaccin Prevenar est-il un vaccin sûr et sans danger?

 

Prevenar 13: documents confidentiels accablants/ risques neurologique de la double vaccination

 

PREVENAR DE 7 A 13 : LE MARKETING VACCINAL DANS TOUS SES ETATS.

 

Prevenar: les coulisses d'une médiatisation bien huilée

 

La presse et les conflits d'intérêts avec cette vaccination antipneumococcique

 

Un  autre regard sur le vaccin Prevenar

 

Livio, handicapé à 80% suite aux vaccins Prevenar et Infanrix Quinta

 

Vaccination (Prevenar) dans le Tiers Monde: le principe des soldes

 

Réaction grave aux vaccins Infanrix Quinta et Prevenar: témoignage

 

Ayana dans le coma le lendemain de sa vaccination par Infanrix hexa + Prevenar

 

Suspension des vaccins Prevenar et Rotateq au Portugal après effets secondaires graves

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23 novembre 2016 3 23 /11 /novembre /2016 20:02

Décès après vaccination en Namibie : 

des parents intentent un procès

Décès après vaccination en Namibie : des parents intentent un procès

Par Tuyeimo Haidula, 05.08.2016

 

SIX parents dont les bébés sont décédés après avoir été vaccinés ont contacté le Centre d’Assistance Juridique pour  qu’il les aide à poursuivre le Ministère Namibien de la Santé.

 

Le journal The Namibian a enregistré que 21 bébés sont morts dans le pays depuis 2006 après avoir reçu les vaccins qui sont normalement administrés à des enfants de six semaines et douze semaines. Ces enfants seraient morts  de ce qu’on a appelé le « syndrome de la mort subite du nourrisson ».

 

Cinq de ces cas enregistrés en juillet de cette année dans la seule région de Windhoek ont été provoqués par des complications qui ont fait suite à la vaccination contre la rougeole et la rubéole.

 

Le Ministère de la Santé et des Services Sociaux n’a pas répondu aux questions détaillées envoyées au Bureau des Relations Publiques, il y a une semaine.

 

Des tentatives de contacter le Ministre Bernard Haufiku, ainsi que le Secrétaire permanent Andreas Mwoombola ont aussi eu lieu.

 

Le téléphone du Ministre avait été débranché, et Mwoombola ne répondait pas aux messages qui lui étaient adressés.

 

Le Dr Theopolina Tueumuna, ancien médecin namibien spécialisé en santé publique, santé maternelle et infantile, a défendu les campagnes en disant que la plupart des enfants souffraient de malnutrition en Namibie et qu’il était probable que certains enfants en meurent. Le Dr Tueumuna a déclaré que lors de l’épidémie de rougeole d’octobre 1986 à janvier 1987 principalement traitée à l’hôpital d’Oshakati, 83 des 554 enfants de trois ans et demi qui avaient été admis à l’hôpital sont morts de complications de la rougeole, principalement de pneumonie.

 

« Aucun des 83 enfants décédés n’avait préalablement reçu le vaccin contre la rougeole. Parmi les survivants, six sont devenus définitivement aveugles. La quasi-totalité des 554 enfants qui avaient été assez malades pour être admis à l’hôpital souffraient d’un certain degré de malnutrition.

 

Certains de mes patients qui sont morts de la rougeole étaient âgés de 10 à 12 ans », a déclaré Tueumuna.

 

Elle comparait les enfants namibiens à ceux qu’elle avait connus à Londres et qu’elle disait bien nourris. Elle ajoutait que ces enfants vivaient dans de bonnes maisons, avaient accès à des traitements de soutien et étaient bien alimentés.

 

L’avocat Sharen Zenda du Projet concernant la justice sociale et l’assistance légale (LAC – Legal Assistance Center) a confirmé que certains parents avaient contacté le Centre pour obtenir de l’aide.

 

Zenda a cependant spécifié qu’elle ne pouvait divulguer d’autres détails.

 

L’un des médecins, Yuri Vasin, qui a fait l’autopsie de certains enfants à Windhoek, a déclaré que le taux de décès des enfants namibiens de 6 à 12 semaines et liés aux vaccinations était inacceptablement élevé.

 

Le Dr Vasin de l’hôpital central de Windhoek a effectué une autopsie sur Jonas Paulus, un enfant de 6 mois, fils de Denny Mwanyekange, l’un des parents qui avait contacté le Centre ALC pour obtenir de l’aide.

 

Jonas est mort dans les bras de son père quatre heures après avoir reçu un vaccin en janvier de l’année dernière.

 

Le Dr Vasin  affirme que les bébés présentaient des symptômes identiques avant leur mort, peu de temps après avoir été vaccinés.

 

Bien que le Dr Vasin ne puisse pas donner de chiffres, il dit que la situation le préoccupait réellement. En 2008, il a écrit une lettre au Ministère de la Santé.

 

Il a demandé au Namibian d’exiger les résultats d’une enquête menée par le Ministère de la Santé, en collaboration avec l’Organisation Mondiale de la Santé au sujet des enfants concernés.

 

The Namibian comprend qu’après que les résultats des examens post-mortem du Dr Vasin aient été remis aux parents, ces derniers ont été confrontés au Ministère de la Santé qui leur a fait comprendre que ce médecin n’était pas qualifié pour établir pareils diagnostics.

 

Le Dr Vasin n’est pas d’accord sur ce point.

 

« Je possède une longue expérience dans ce domaine. Tous les bébés présentaient des symptômes identiques avant qu’ils ne décèdent peu de temps après avoir été vaccinés. Nous nous sommes inquiétés parce qu’il s’agissait bien plus que d’une coïncidence, et les chiffres étaient en augmentation », a-t-il souligné.

 

Il a également déclaré qu’en aucun cas il n’avait été contacté par le Ministère pour quelque contribution que ce soit au sujet des consultations avec les parents concernés.

 

Les parents  déclarent qu’ils ne sont pas satisfaits de la façon dont le Ministère de la Santé a traité leur cas.

 

Angelina Lazarus (23 ans) a conduit son fils le 9 avril dernier pour le faire vacciner. Quand elle est rentrée chez elle dans l’après-midi, le bébé a refusé d’être allaité. Il ne pouvait s’arrêter de pleurer.

 

Après avoir pleuré très longtemps, le bébé a fini par boire et à s’endormir.

 

« Aux environs de 16h.30, j’ai réalisé qu’il ne respirait pas. Sa langue était devenue noire, et il saignait du nez » déclare-t-elle, ajoutant qu’elle essaie toujours de faire face à la perte de son petit.

 

Son frère, Robert Lithete qui avait contacté le LAC, déclare que sa sœur souffrait énormément de l’absence de réponses – la police a refusé de lui rendre sa carte de santé et de lui donner les résultats de l’autopsie. Mwanyekange dont le fils Jonas Paulus avait été vacciné à la clinique d’Okuryangava à Windhoek, déclare que le bébé avait aussi refusé d’être allaité après avoir été vacciné et qu’il avait pleuré  d’une manière hystérique.

 

Le père désespéré explique qu’il a pris l’enfant pour essayer de le calmer. Mwanyekange a ajouté qu’il croyait que tout était redevenu normal quand l’enfant avait cessé de pleurer.

 

« Pendant que la maman préparait le repas, j’étais assis sous un arbre avec le bébé. Quand la maman voulut reprendre l’enfant, je l’ai aussitôt entendu hurler. Je voyais du sang qui sortait du nez et de la bouche du bébé », précise le père.

 

Le certificat d’examen post-mortem de Jonas Paulus montre que la mort du nourrisson était liée au vaccin.

 

Les parents ont expliqué au Namibian qu’il était très difficile pour eux de faire le deuil de leur petit à cause  des réponses vagues qu’ils avaient obtenues du Ministère.

 

« C’est la raison pour laquelle nous avons décidé de contacter le LAC. Nous voulons absolument savoir ce qui a provoqué la mort de notre fils. Bien que le médecin qui a réalisé l’autopsie ait déclaré que la mort était due au vaccin, le Ministère de la Santé nous a dit que ce médecin n’était pas qualifié. »

 

« Pourquoi dès lors engagent-ils des gens non qualifiés pour pouvoir déterminer la cause d’un décès ? On peut alors aussi se demander si les infirmières ne sont pas non plus qualifiées pour administrer des vaccins. Je vais les poursuivre en justice pour mon enfant », a-t-il souligné.

 

Mwanyekange déclare qu’il éprouve des difficultés à se concentrer à cause de l’image de l’enfant «ensanglanté» qui hante son esprit.

 

La façon dont il saignait était à ce point horrible à voir que j’ai tenté de me suicider. Il ne m’était plus possible de me concentrer sur mon travail. On m’a finalement donné congé. » a-t-il déclaré.

 

Victoria Kangala, dont le bébé de trois mois est décédé après avoir reçu le vaccin à la même clinique, a déclaré que son bébé n’était pas malade.

 

Kangala ajoute que le certificat de décès stipule que son fils est mort de pneumonie, bien qu’elle sache que c’est la vaccination qui l’a tué.

 

« Sa jambe était toute molle et il pleurait. Il a refusé d’être allaité; ses yeux étaient tout gonflés » dit Kangala qui ajoute qu’elle fut contrainte deux jours plus tard de conduire son fils à l’hôpital parce qu’il n’avait pas arrêté de pleurer et que tout son côté gauche était gonflé. Son poids et sa température n’avaient pas changé. Je rêve sans cesse de lui. Ce n’est vraiment pas facile, » déclare-t-elle.

 

Linus Festus a raconté au Namibian qu’il a perdu sa petite fille Natasha Soetmelk en décembre 2014.

 

Le rapport d’autopsie montre également que Natasha est morte des suites d’une vaccination.

 

Il explique que quand l’enfant est rentré à la maison à 15 heures après avoir reçu le vaccin, sa température a commencé à monter et il pleurait de façon incontrôlable.

 

« Après avoir fait quelques courses, nous sommes rentrés et nous sommes mis au lit.- Quand je me suis réveillé, explique Festus, j’ai vu que du sang sortait des yeux et de la bouche de Natasha et…elle avait cessé de respirer. »

 

Il explique aussi que la maman de l’enfant n’a pas pu s’arrêter de pleurer et lutte pour ne pas vouloir mourir.

 

«  Nous avons demandé de l’aide au LAC, car le Ministère nous a fait savoir que le médecin qui avait pratiqué l’autopsie n’était pas qualifié. Nous voulons des réponses. Pourquoi les résultats de cette autopsie ne seraient-ils pas corrects, alors que ce médecin a pratiqué de très nombreuses autopsies ? » a demande Festus.

 

Le Dr Vasin a expliqué au Namibian  que ce médecin avait pratiqué entre 8.000 et 9.000 autopsies. Il est en poste depuis 15 ans et explique que la plupart des cas proviennent de Khomas, Omaheke, Kharas, Hardap et Otjozondjupa.

 

Le Dr Vasin a expliqué que la tendance s’était remanifestée à Oshakati en 2007/2008 où de nombreux cas ont été enregistrés. La situation est devenue alarmante parce que rien de spécial ne s’était passé auparavant.

 

«  J’ai gardé une liste qui m’a permis de voir ce qui se passait à la vaccination de 6 semaines et si des décès se produisaient le même jour ou le lendemain. L’une des caractéristiques cliniques relevées était des cris profonds. Pas grand-chose n’a été signalé du côté du Ministère. Des lettres ont cependant été écrites. La tendance a repris fin 2015, début 2015 quand 3 cas ont été enregistrés dont deux dans notre département. Dans un cas aucune autopsie n’a été réalisée. »

 

Le Dr Vasin a déclaré que la vaccination exige des évaluations appropriées étant donné que toute procédure médicale peut avoir des effets secondaires légers ou graves, y compris la mort.

 

Source: Namibian

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22 novembre 2016 2 22 /11 /novembre /2016 21:43

« SYNDROME DU BEBE SECOUE » 

 

Le Dr W. Squier gagne en appel, mais il lui est interdit de dire la vérité au tribunal sur la question du « Bébé Secoué »

 

Par Christina England, Health Impact News, 15 novembre 2916 (Extraits)

Le Dr W. Squire gagne en appel, mais il lui est interdit de dire la vérité au tribunal sur la question du « Bébé Secoué »

« …Tout professionnel qui est prêt à dire la vérité et aller à l’encontre de l’establishment médical, comme dans le cas du « bébé secoué » devrait, en conséquence, également être prêt à perdre sa carrière. »

 

Le Dr Waney Squier gagne en Appel mais il lui est interdit de dire la vérité au tribunal

 

En mars 2016, le Dr Waney Squier, neuropathologiste pédiatrique et témoin expert de la Défense, a été reconnue coupable de « tromper ses pairs, d’être irresponsable, malhonnête, mettant la réputation de la profession médicale dans le discrédit. Le Dr Squier a ainsi été humiliée publiquement et a vu sa carrière détruite par le General Medical Council (GMC) ».

 

Le GMC en avait conclu que l’affaire était close, mais il se trompait. En effet, huit mois plus tard, le Dr Squier faisait appel de leur décision, et cette fois, elle n’était plus seule.

 

Plus de trois cents médecins, scientifiques et juristes ont signé une lettre de protestation.

 

Après que le Dr Squier ait été discréditée quelques mois auparavant, 350 médecins, scientifiques et juristes se sont, dans un mouvement sans précédent, rassemblés pour la soutenir. Remettant en question la décision du GMC, ils ont fait parvenir une lettre de protestation au British Medical Journal.

 

La BBC, rapportant l’histoire a écrit :

 

Les personnes qui ont soutenu le Dr Squier croient qu’il est sans précédent, de voir tant de savants distingués écrire au BMJ pour soutenir un médecin radié. […]

 

Les professionnels n’ont pas été les seuls à réclamer des réponses. Depuis la décision du GMC, ce dernier a été bombardé de pétitions, de lettres de parents et de supporters du monde entier.

 

Une lettre très importante écrite par le groupe « Protecting Innocent Families » débute comme suit :

 

Notre lettre concerne la défense du Dr Waney Squier, neuropathologiste pédiatrique qui a été radiée de l’Ordre des Médecins pour avoir agi en dehors des pratiques courantes d’expertise tout en ignorant l’opinion de ses pairs et en déconsidérant la réputation de la profession médicale par son opinion et ses écrits dans une série de cas ayant trait au « Syndrome du Bébé Secoué » dont elle a pris la défense entre 2007 et 2010.

 

Nous savons, par expérience personnelle, que le modèle prédominant du « Syndrome du Bébé Secoué » est biaisé. Ce fait est également soutenu dans la littérature examinée par les pairs. Bien que le fait de secouer un bébé puisse causer des blessures graves et même la mort, les résultats d’analyses intracrâniennes et rétiniennes actuellement associés au « Syndrome du Bébé Secoué » ne prouvent aucunement l’abus. Ceci est l’essentiel du message que le Dr Squier veut apporter au débat. Nous sommes consternés que le Conseil la sanctionne pour avoir le courage et l’honnêteté intellectuelle d’exprimer ses propres vues. Celles-ci ne sont peut-être pas populaires, mais sont fondées sur une pensée scientifique solide ; ce qui constitue la meilleure preuve disponible. De nombreux diagnostics  sont basés sur des résultats non spécifiques (faible hématome sous-dural, hémorragies rétiniennes et encéphalopathie) qui peuvent être associés à un certain nombre de conditions médicales, de traumatismes accidentels ainsi qu’à des blessures. C’est une erreur de conclure que parce qu’un abus a pu causer ces problèmes que la présence de ces problèmes prouve l’abus.

 

[…] Il a été conclu que les traumatismes crâniens graves diagnostiqués couramment comme des dommages provoqués par des secousses nécessitent un réel impact et que le secouement seul d’un bébé, autrement normal, soit peu susceptible de provoquer le « Syndrome du bébé secoué ».

 

La lettre signée par un total de 24 parents et professionnels indignés s’est terminée par ce paragraphe:

 

Le Dr Squier est un brillant médecin dont le travail est connu et respecté sur un plan international par la communauté scientifique, à l’exception de certains experts qui s’occupent d’abus d’enfants. Les écrits du Dr Squier  sont fondés sur la science et la méthode scientifique. Sa perspicacité, son professionnalisme et sa probité sont irréprochables.

 

Il semble que l’énorme soutien de ces professionnels ait eu l’effet souhaité puisqu’en octobre 2016, le Dr Waney Squier a gagné en appel.

 

La victoire du Dr Squier teintée de tristesse

 

Cependant, malgré sa victoire en appel comme prévu, elle n’a pu éviter un piège. Bien que le nom du Dr Squier  ait été repris au registre médical, il lui fut interdit de témoigner comme expert pour une période de trois ans. Certains pensent qu’il s’agissait  du châtiment pour avoir osé tenir tête à l’establishment.

 

Le Dr Squier a déclaré ce qui suit au journal Daily Mail :

 

J’ai vécu une vie d’enfer depuis près de sept ans et je suis très reconnaissante envers mes collègues, amis et famille pour leur compréhension et leur patience durant cette longue et difficile période. Je suis soulagée que mon honnêteté ne soit plus mise en cause et que mon nom ait été repris dans le registre médical. Je suis cependant très amère par rapport à tout ce qui s’est passé.

 

En fait, j’ai été ciblée par la police métropolitaine parce que je contestais l’exactitude de la théorie du « Bébé Secoué ».

 

L’avocat des Droits Civiques Clifford Stafford-Smith a évoqué le cas du Dr Squier comme étant un exemple de « chasse aux sorcières ». Il a signalé au Daily Mail que :

 

Le Dr Squier n’est toujours pas autorisée à contester l’absence de preuves pour le « Syndrome du Bébé Secoué » Ceci élimine la véritable science de la salle d’audience. […]

 

Ne contestez jamais l’autorité

 

Dans un article écrit en 2005, le site web « Justice Denied » a déclaré qu’au début de sa carrière, le Dr Waney Squire avait accepté la validité de la théorie du « Bébé Secoué ».

 

Ils ont écrit :

 

«  Le Dr Squier a accepté la validité de la théorie du SBS et a témoigné lors d’un certain nombre de procès en tant que témoin à charge. Pour elle, la triade de signes soutenait que le bébé avait été blessé ou était décédé à la suite d’un traitement abusif. Le procès de Lorraine Harris en 2000 pour homicide involontaire ayant entraîné le décès de son fils Patrick, âgé de quatre mois, a été l’un des procès durant lesquels le Dr Squier a témoigné que la triade de signes de SBS était présente. Mme Harris a été condamnée à trois ans de prison.

 

Après la condamnation de Mme Harris, le Dr Squier a appris que les recherches effectuées par le neuropathologiste britannique Jennian Geddes avait mis en valeur le fait que les dommages associés à la triade SBS pouvaient se produire naturellement, y compris le saignement qui peut se produire chez certains bébés par manque d’oxygène. Le Dr Geddes a suggéré qu’il devait y avoir des preuves physiques qu’un bébé ait subi un traumatisme physique avant de déterminer qu’un abus (SBS) se soit produit.

 

En fait, ce n’est qu’après avoir étudié les preuves qu’apportait le Dr Geddes et lu tous ses articles que le Dr Squier a commencé à remettre en question la validité de la théorie du SBS. Elle a expliqué au groupe Justice Denied :

 

Une lumière se fit dans mon esprit. J’ai commencé à m’inquiéter par rapport à toute la base de la théorie du « bébé secoué » qui me paraissait bien faible.

 

Le Dr Squier a décidé de réexaminer les éléments de preuve qu’elle avait présentés au tribunal en référence au cas de Lorraine Harris et à remettre en question ses propres décisions. Dans une initiative sans précédent, elle a décidé de préparer un rapport pour Madame Harris dans lequel elle expliquait qu’elle croyait maintenant que son témoignage était incorrect parce que son bébé ne portait pas de blessure physique, et qu’il était possible que son bébé soit mort de causes naturelles.

 

« Justice Denied » a alors déclaré :

 

D’après les nouvelles preuves du rapport du Dr Squier dont le jury n’avait pas pu disposer, la Cour d’Appel d’Angleterre a annulé la condamnation de Madame Harris le 21 juillet 2005.

 

Jusqu’à ce point, personne n’avait mis en cause le Dr Squier qui était considérée comme une professionnelle de premier plan dans le domaine du SBS. Cependant, c’est au moment où elle a commencé à remettre en question la théorie officielle et à parler au nom de parents que les choses ont commencé à changer.

 

Trois grands pathologistes accusent la police d’une campagne de diffamation

 

Pendant de nombreuses années, le Dr Squier a été l’une des professionnelles qui ont pensé que la police métropolitaine discréditait délibérément tout témoin expert qui osait s’exprimer au nom des parents dans les affaires de SBS.

 

Trois grands pathologistes ont accusé la police métropolitaine de tenter de discréditer les témoins experts dans les affaires du « Bébé Secoué ».

 

[…]  Malheureusement, le Dr Irene Scheimberg et le Dr Marta Cohen ont décidé de ne plus témoigner dans les procès concernant des cas de SBS. Dans une interview avec John Sweeney de la BBC, le Dr Scheinberg a expliqué pourquoi. Elle a déclaré à l’équipe de la BBC que la raison pour laquelle elle ne donnait plus de preuves au cours des procès était parce qu’elle avait peur des conséquences possibles. Tout ceci prouve en tout cas une chose, c’est que tout professionnel qui est prêt à dire la vérité en allant à l’encontre de la position de l’establishment médical dans un cas de « Bébé Secoué » devrait, en conséquence, également être prêt à voir sa carrière brisée.

 

Source: Healthimpactnews

 

Voir aussi :

 

350 médecins et scientifiques soutiennent le Dr Waney Squire qui remet en question la théorie du bébé secoué

 

Syndrome du bébé secoué souvent diagnostiqué à tort et induit par les vaccins

 

Syndrome du bébé secoué- parents et gardiennes sont parfois accusés à tort

 

Nouveau documentaire explosif sur le syndrome du bébé secoué

 

Syndrome du bébé secoué : croire ou savoir ?

 

Une célèbre neuropathologiste voit sa carrière détruite pour avoir voulu réfuter la théorie dite du syndrome du bébé secoué

 

Certaines accusations infondées de maltraitance d’enfants cachent les funestes effets des vaccinations

 

Audenarde : encore un bébé décède trop rapidement, classé dans les morts naturelles

 

Les vaccins modifient-ils les gènes au point de causer la fragilité des os chez les nourrissons ?

 

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22 novembre 2016 2 22 /11 /novembre /2016 21:42

350 médecins et scientifiques soutiennent le Dr Waney Squire qui remet en question la théorie du « Bébé secoué »

350 médecins et scientifiques soutiennent le Dr Waney Squire qui remet en question la théorie du « Bébé secoué »

Par Brian Shilhavy,25 octobre 2016

 

Au début de cette année notre site (Health Impact News) a signalé que le Conseil de l’Ordre britannique des Médecins (GMC) a radié le Dr Waney Squier du registre médical, lui interdisant de pratiquer la médecine. Cette décision mettait en fait fin à sa carrière.

 

L’expert du « Syndrome du Bébé Secoué » et neuropathologiste de réputation internationale interdite de pratiquer la médecine

 

Connue comme toute première scientifique du Royaume Uni dans le domaine de la neuropathologie pédiatrique, le Dr Waney Squier a aussi travaillé pendant 32 ans en tant que consultante à l’hôpital John Radcliffe. Son crime : avoir découvert que le diagnostic médical du « Bébé Secoué »(SBS) n’était qu’une ânerie «  rubbish », et n’avait aucun mérite scientifique.

 

Le diagnostic du Syndrome du Bébé Secoué a été utilisé dans de nombreux tribunaux pour condamner des parents souvent innocents qui auraient abusé de leurs enfants en les secouant. Nombreuses sont les condamnations qui ont été revues aux Etats-Unis.

 

Source: Medicalkidnap

 

Voir aussi

 

L’Agence Suédoise de Santé rejette la « Science » ayant trait au Syndrome du Bébé Secoué

 

Le Dr Waney Squier gagne en appel mais il lui est interdit de dire la vérité au tribunal sur la question du bébé secoué

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17 novembre 2016 4 17 /11 /novembre /2016 08:07

Trump : les vaccins causent l’autisme. La chose va être étudiée de près

 

                                Par Baxter Dimitri, 13 novembre 2016

Trump: les vaccins causent l’autisme. La chose va être étudiée de près.

Le président élu, Donald Trump, estime que les vaccins sont responsables de l’épidémie d’autisme. Lorsqu’il prendra ses fonctions en janvier, Il promet de faire ressortir la vérité et  de « sauver nos enfants ainsi que leur avenir ».

 

Trump a rejeté l’affirmation officielle selon laquelle il n’y a pas de lien entre les vaccins et l’autisme. Il affirme que l’on a camouflé la vérité et que  « les détracteurs comprendront bientôt ».

 

« Nous avons eu tellement de cas [rapportés par] les gens qui travaillent pour moi. Il y a peu, un enfant de deux ans et demi, un merveilleux petit gosse  s’est fait vacciner. Une semaine plus tard il a fait une très forte fièvre et est devenu très, très malade. Aujourd’hui il est autiste. »

 

Au cours d’un débat du parti républicain avec Trump, le Dr Carson a affirmé qu’il n’y avait pas de « preuve documentée » que les vaccins étaient responsables de l’autisme. Le Dr Carson, neurologue, a cependant admis qu’ « il était vrai que nous administrons probablement trop de vaccins dans un trop court laps de temps. »

 

La réponse de Trump fait écho à celle qu’il a donnée sur Fox News en avril 2012, dans laquelle il avait également raconté l’histoire d’un enfant d’un de ses employés dont la santé avait été endommagée après qu’il ait reçu des vaccins. 

 

«  Je suis devenu assez familier avec le sujet », a expliqué Trump à Fox News’ Fox Friends. « Vous savez, j’ai une théorie – c’est une théorie en laquelle croient certaines personnes à propos des vaccinations. Nous n’avions jamais connu une chose pareille. C’est maintenant devenu une épidémie. Cela s’est surtout passé au cours des 10 dernières années. La situation s’est encore aggravée au cours des deux dernières années. Quand vous conduisez un bébé qui pèse à peine 12 livres chez un médecin et qu’on lui injecte plusieurs vaccins combinés – je suis pour les vaccinations- mais je pense que quand on administre en une seule fois tous ces vaccins, et que deux mois plus tard, le bébé a tellement changé, c’est que plusieurs choses se sont réellement passées. J’ai vraiment connu ce genre de cas. »

 

Le lien entre vaccins et autisme a récemment été soumis à examen au niveau fédéral lorsque le Député de Floride, Bill Posey, a exposé devant un comité de la Chambre le témoignage  du lanceur d’alerte Bill Thompson du Centre de Contrôle des Maladies (CDC). Celui-ci a expliqué que l’Agence avait agi en collusion avec des chercheurs pour détruire des documents établissant un lien entre des milliers de vaccinations et des cas d’autisme.

 

Le 29 juillet, Bill Posey, membre du Congrès a fait sa dernière déclaration à la Chambre. Au cours des 5 minutes qui lui avaient été accordées pour parler, il a dénoncé les mensonges du CDC dans l’infâme étude de 2004 qui a exonéré le vaccin ROR, tout en prétendant qu’il n’y avait aucun rapport avec l’autisme.

 

Le mensonge était « qu’il n’y avait pas de lien avec l’autisme ».

 

Le Député Posey a lu une déclaration du chercheur William Thompson, l’un des auteurs de l’étude pédiatrique de 2004 visant à déterminer une fois pour toutes si le vaccin ROR avait contribué à l’épidémie d’autisme.

 

« …Les co-auteurs du CDC ont organisé une réunion pour détruire les documents liés à l’étude [du vaccin ROR]. Quatre co-auteurs se sont réunis et ont apporté une grande poubelle dans la salle de réunion. Ils ont passé en revue tous les documents-papier qu’ils pensaient devoir éliminer en les jetant dans une énorme poubelle. »

 

Quand Trump sera à la Maison Blanche et disposera des pleins pouvoirs exécutifs, le lien entre le vaccin et l’autisme sera sur le point de subir l’examen le plus minutieux dont il ait jamais fait l’objet.

 

Source : Yournewswire.com

 

Visionnez très attentivement cette interview qu’avait donnée feu le Dr Bernadine Healy, ex directrice du National Institute of Health (NIH) des USA en 2008 sur CBS sur le sujet du lien entre autisme et vaccins :

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16 novembre 2016 3 16 /11 /novembre /2016 21:30

L’Agence Suédoise de Santé rejette la « Science » ayant trait au Syndrome du Bébé Secoué

 

 

Comme nous l’avons déjà signalé sur Health Impact News, les tribunaux américains sont de plus en plus sceptiques au sujet de la « science » ayant trait au diagnostic médical pédiatrique du « Syndrome du Bébé Secoué » (SBS) qui a été utilisé pour arracher des milliers d’enfants à leurs parents, et dans certains cas, incarcérer les parents en fonction du diagnostic SBS.

 

Tout récemment, La Faculté de Droit de l’Université du Michigan (Innocence Clinic), a reçu $ 250.000 pour former des avocats qui pourraient lutter contre des condamnations injustifiées à propos du Syndrome du Bébé Secoué. Voir ici:

 

La Faculté de Droit de l’Université du Michigan a reçu 250.000$ pour apprendre aux avocats à défendre les cas ayant trait au Syndrome du Bébé Secoué

 

Cette semaine, le Conseil Suédois de technologie, d’évaluation sociale et d’éthique médicale est également arrivé à la conclusion que la « science »  qui explique le SBS est en fait très faible.

 

Preuves peu fiables (fragiles) du Syndrome du Bébé Secoué

 

Par Ingrid Lund (Extraits), 29 octobre 2016

 

C’est sur un plan médical comme aussi légal que le Syndrome du Bébé Secoué a été remis en question. Maintenant, le rapport du SBU et Smers soutient lui aussi que la preuve du Syndrome du Bébé Secoué (Skavald) ne fait pas le poids.

 

Le Conseil Suédois de Technologie, d’Evaluation Sociale et d’éthique Médicale a conjointement étudié les bases scientifiques du diagnostic du « Syndrome du Bébé Secoué ».

 

Après avoir examiné la littérature scientifique, le Rapport du SBU et Smers estime qu’il n’y a pas suffisamment de preuves scientifiques qui permettent d’établir que les dommages caractéristiques sont certainement provoqués par le « Syndrome du Bébé Secoué »

 

«  Le Syndrome du Bébé Secoué » contesté devant la Cour Suprême

 

En 2014, la Cour Suprême a conclu que les preuves scientifiques n’étaient pas assez fortes pour pouvoir juger qui que ce soit après que le diagnostic du Syndrome du Bébé Secoué ait été établi. Ceci a été déclaré après que les experts aient témoigné que les symptômes présentés par les enfants ont aussi bien pu être causés par le traumatisme de la naissance et non par le fait d’avoir secoué le bébé (Sakvald). Plusieurs parents ont pu, par la suite, échapper à des soupçons qui ont nui à leur enfant.

 

Source: Health Impact News

L’Agence Suédoise de Santé rejette la « Science » ayant trait au Syndrome du Bébé Secoué

Finalement, un juge parle du diagnostic du bébé secoué comme d’un « article de foi » et libère Jennifer Del Prete, qui avait été condamnée à 10 ans de prison pour meurtre.

 

Voir aussi: 

 

Syndrome du bébé secoué et vaccinations – Parents et gardiennes sont parfois accusés à tort

http://www.initiativecitoyenne.be/article-syndrome-du-bebe-secoue-vaccinations-parents-et-gardiennes-sont-parfois-accuses-a-tort-116000817.html

 

Syndrome du Bébé Secoué : croire ou savoir ?

http://www.initiativecitoyenne.be/article-syndrome-du-bebe-secoue-croire-ou-savoir-123671999.html

 

Le père d’une petite fille emprisonné à perpétuité

http://www.initiativecitoyenne.be/article-le-pere-d-une-petite-fille-emprisonne-a-perpetuite-sans-possibilite-de-liberation-conditionnelle-apr-122144785.html

 

Un bébé de 5 mois meurt après avoir reçu 8 vaccins – Les parents sont accusés de meurtre

http://www.initiativecitoyenne.be/article-un-bebe-de-5-mois-meurt-peu-apres-avoir-re-u-8-vaccins-les-parents-sont-accuses-de-meurtre-119597927.html

 

Certaines accusations infondées de maltraitance d’enfants cachent les funestes effets des vaccinations

http://www.initiativecitoyenne.be/article-certaines-accusations-infondees-de-maltraitance-d-enfants-cachent-les-funestes-effets-des-vaccinatio-123035217.html

 

Encore un bébé qui décède trop rapidement

http://www.initiativecitoyenne.be/article-audenarde-encore-un-bebe-decede-trop-rapidement-classe-dans-les-morts-naturelles-119703192.html

 

Procès d’une gardienne à Ciney : Maltraitance, vaccins ?

https://www.youtube.com/watch?v=OdGk-z0PbEI

 

Syndrome du bébé secoué : un diagnostic abusif ?

http://expovaccins.over-blog.com/article-syndrome-du-bebe-secoue-un-diagnostic-abusif-116667990.html

 

De dangereux vaccins peuvent provoquer les symptômes du bébé secoué

http://expovaccins.over-blog.com/article-de-dangereux-vaccins-peuvent-provoquer-les-symptomes-du-bebe-secoue-118680194.html

 

Une police endoctrinée poursuit des parents pour protéger les vaccins

http://expovaccins.over-blog.com/article-une-police-endoctrinee-poursuit-des-parents-pour-proteger-les-vaccins-112317512.html

 

Les effets secondaires des vaccinations et les fausses accusations détruisent des familles

http://expovaccins.over-blog.com/article-les-effets-secondaires-des-vaccinations-et-les-fausses-accusations-detruisent-des-familles-109420845.html

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15 novembre 2016 2 15 /11 /novembre /2016 22:37

Le papa du petit Milow est certain que son petit garçon est décédé des suites de la vaccination

 

HLN, 13 novembre 2016

Le papa du petit Milow est certain que son petit garçon est décédé des suites de la vaccination

Au mois de mars de cette année, des convulsions fébriles ont abouti à la mort du petit Milow Vangheluwe, un bambin de 15 mois de Westrozebeek. C’est ce que déclare le parquet de Ypres sur base des résultats de l’autopsie et des examens toxicologiques.

 

Le papa de l’enfant n’accorde aucune crédibilité à ces résultats et exige des recherches complémentaires. « Milow est mort des suites des vaccins combinés qui lui avaient été injectés. Nous pensons à faire nommer nous-mêmes un pathologiste. » déclare le papa.

 

Le fait que les résultats de l’autopsie et des examens toxicologiques se soient si longtemps fait attendre semble montrer que le parquet  ait procédé avec beaucoup de prudence.

 

La famille du petit garçon est convaincue que leur petit garçon est mort le 12 mars dans son sommeil à la suite des vaccins combinés qu’il avait reçus deux jours plus tôt dans les services de « Kind en Gezin » (pendant néerlandophone de l’ONE).

 

Le parquet nie cette version mais le père, ainsi que les grand parents maintiennent leur position. « Milow était en parfaite santé », disent-ils. « La vaccination contre sept maladies différentes qui a été administrée en à peine cinq minutes ne lui a rien valu de bon. Ce sont ces vaccins qui ont entrainé sa mort.

 

Dans les semaines qui ont suivi le décès de notre petit garçon, nous avons été contactés par trois autres couples de Flandre Occidentale qui avaient également perdu un enfant peu de temps après que ces enfants aient reçu des vaccins combinés. »

 

Peu de temps après le décès de Milow « Kind en Gezin »  a lancé sa propre enquête. Cette dernière  a montré que la vaccination s’est faite rapidement et qu’il n’y avait aucun problème avec les vaccins.

 

« Compte tenu que l’examen approfondi indique que le petit Milow est décédé d’une mort naturelle, nous avons clôturé l’enquête et fermé le dossier » a déclaré le porte-parole du procureur Johan Lescrauwaet.

 

Le papa du petit garçon décédé veut maintenant engager un avocat et faire nommer un pathologiste indépendant pour effectuer un examen plus approfondi. « La famille a bien sûr ce droit, » a déclaré M. Lescrauwaet. «  Le dossier peut même être ré ouvert au cas où la famille dépose plainte au Civil. »

 

Source:  HLN.be

 

Voir aussi

 

Belgique: "deux jours après ses vaccinations, notre petit garçon était mort"!

 

Vaccins: comment l'OMS manipule les critères pour camoufler les décès

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13 novembre 2016 7 13 /11 /novembre /2016 22:40

Vaccins: comment l'OMS manipule les critères pour camoufler les décès

 

Le Dr Jacob Puliyel, pédiatre indien, chef de service à l'hôpital St. Stephan's de Delhi, a récemment publié sur son site un commentaire à une publication parue dans la revue Vaccine pour dénoncer la façon biaisée dont l'OMS et ses experts traitent et soi-disant "enquêtent" quand des décès d'enfants surviennent après vaccination dans les pays pauvres. Il est clairement ici question une fois encore d'idéologie; il s'agit de sauver à tout prix l'image des vaccins plutôt que la vie des enfants. Nous avons donc très logiquement procédé à la traduction intégrale du commentaire éclairant de ce médecin à cette parution dans Vaccine, revue ayant pignon sur rue en matière de vaccinologie, fausse science s'il en est! Pour notre part, cela fait déjà des années que nous dénonçons sur notre site ainsi qu'auprès des journalistes l'inconsistance, la corruption et le manque total de crédibilité de l'OMS en matière de sécurité vaccinale ou de vaccins tout court, l'épisode du H1N1 n'ayant hélas pas du tout été le seul, bien qu'il fut cependant déjà très éclairant pour quiconque a des yeux... 

Dr Jacob Puliyel, pédiatre indien- lanceur d'alerte en matière de vaccination

Dr Jacob Puliyel, pédiatre indien- lanceur d'alerte en matière de vaccination

Commentaire : Etablissement de la causalité dans la survenue d’effets indésirables individuels après vaccination (AEFI/ EIAV) : un outil de l’OMS pour un usage mondial. Tozzi AE. Vaccine. 2013.

 

Jacob Puliyel

 

Download (PDF)

 

In: PubMed Commons [Internet]. Bethesda (MD): National Library of Medicine; 2014 Feb 4. Available from: http://www.ncbi.nlm.nih.gov/myncbi/puliyel/comments/

 

LES DECES DANS LES PAYS EN DEVELOPPEMENT COMPTERONT POUR MOINS

 

Tozzi et al. décrivent l’établissement de la causalité pour les effets indésirables post-vaccinaux en utilisant les critères du groupe de travail sur la pharmacovigilance de l’OMS/ CIOMS (Council for International Organizations of Medical Sciences). Les effets indésirables après vaccination (AEFI) constituent tout type d’évènement médical indésirable après vaccination, qu’il soit considéré ou non lié au médicament (une relation causale n’est pas nécessaire dans cette définition). La collaboration de Brighton a classé les réactions selon qu’elles sont : très probables/certaines ; probables ; possibles ; improbables ; non liées ; inclassables, basées sur des critères temporels et des preuves d’explication étiologique alternative. Les décès survenus peu après la vaccination sans explication alternative ont été classés dans la rubrique « probablement liés au vaccin ».

 

LE BESOIN D’UNE NOUVELLE CLASSIFICATION

 

Avec l’usage du vaccin pentavalent (diphtérie, tétanos, coqueluche, Hib et hépatite B) dans les pays en développement, il y a eu beaucoup d’effets indésirables post-vaccinaux mortels. Les experts de l’OMS ont investigué ces décès au Sri Lanka. Ils n’ont pas pu trouver d’explication alternative pour trois décès. Les experts écrivent dans leur rapport qu’ils ont effacé les catégories « probables » et « possibles » de la classification de Brighton et après cela, bien qu’ils ne pouvaient pas imputer ces décès à une autre cause, ceux-ci furent déclarés comme « probablement pas liés au vaccin ». Normalement, l’association à la vaccination aurait dû être classée comme « probable ». Le British Medical Journal (BMJ) a publié une lettre au sujet de cette situation (Saxena KB, 2010).

 

Le rapport du CIOMS/OMS est arrivé après la lettre du British Medical Journal. Le comité, composé de 40 membres (dont 19 étaient des représentants de l’industrie pharmaceutique) ont proposé des changements dans la manière dont les effets indésirables post-vaccinaux sont investigués et rapportés. Le document de 194 pages a de sérieuses conséquences pour les pays en développement.

 

Les définitions des différents cas de figure pour les différents effets indésirables ont été détaillés. Illogiquement, les critères d’inclusion pour les définitions de cas proposées sont trop stricts pour avoir une valeur scientifique dans la plupart des pays. Par exemple, pour diagnostiquer une encéphalite, on a besoin qu’un enfant fiévreux vive au moins 24H après la survenue de l’effet indésirable, qu’il ait subi une ponction lombaire, un électro-encéphalogramme ou une imagerie du système nerveux et au moins un de ces examens doit être revenu positif pour atteindre un niveau 2 de diagnostic (cf p. 73).
 

Supposons qu’une enfant en bonne santé soit vaccinée. Supposons qu’elle développe une forte fièvre endéans les deux heures suivantes, qu’elle soit prise de convulsions, tombe dans un coma puis décède endéans les 10 jours (des variations de pareil scénario se sont produites de façon répétée avec le vaccin pentavalent). En utilisant les définitions du CIOMS/OMS, comme l’encéphalopathie a duré moins de 24H, elle ne peut pas être classée dans la rubrique des encéphalites. Dans beaucoup de pays, les moyens pour la réalisation d’une ponction lombaire peuvent faire défaut, encore plus pour un électro-encéphalogramme (EEG) ou un CT scan/IRM. Sous ce schéma de rapport de cas, ce cas sera classé dans la rubrique des cas pour lesquels « l’information est insuffisante pour distinguer l’encéphalomyélite aigüe disséminée et l’encéphalite » et donc dans les cas « impossibles à classer de façon définitive ».

 

Plus loin, à la page 170 (écrit en très petit), le rapport précise que ce genre de cas doit être classé comme « n’étant pas un effet indésirable post-vaccinal » (« not an AEFI »). Cette dernière étape, qui classe un effet indésirable post-vaccinal en son contraire (un non-effet indésirable post-vaccinal) s’avère de façon flagrante non scientifique, illogique et digne d’Orwell.

Théorie de la dissonance cognitive: quand un acte survient et qu'il est contraire aux croyances (des évaluateurs), ceux-ci tentent de réduire la contradiction en faveur de leurs croyances, d'où qu'ils suppriment des catégories (ex: probable et possible) pour que, dans le doute, cela soit d'office classé comme "non lié"

Théorie de la dissonance cognitive: quand un acte survient et qu'il est contraire aux croyances (des évaluateurs), ceux-ci tentent de réduire la contradiction en faveur de leurs croyances, d'où qu'ils suppriment des catégories (ex: probable et possible) pour que, dans le doute, cela soit d'office classé comme "non lié"

Le scénario décrit pourrait bien avoir été causé par une réaction généralisée de plusieurs systèmes corporels en réaction à un ou plusieurs composants des vaccins. (p. 50) L’encéphalopathie, la fièvre, les convulsions pourraient faire suite à une réponse inflammatoire mais le CIOSM n’a pas de définition pour cela, et leur incapacité à exclure les causes d’encéphalopathie, est suffisante pour classer cette réaction comme n’étant « pas un effet indésirable post-vaccinal ».



Le risque n’est pas simplement théorique. En mars 2013, l’OMS a investigué 12 décès survenus au Vietnam après ce même vaccin pentavalent. Le rapport vietnamien indique qu’ « aucun effet indésirable post-vaccinal mortel n’a jamais été associé à ce vaccin ». Les experts de l’OMS avaient déjà antérieurement classé les décès au Sri Lanka comme étant des « effets indésirables post-vaccinaux probablement pas liés au vaccin ». Le rapport vietnamien établissant qu’aucun effet indésirable post-vaccinal n’a jamais été associé au vaccin suggère que les effets indésirables post-vaccinaux survenus au Sri Lanka ont maintenant été reclassifiés comme n’étant « pas un effet indésirable post-vaccinal ».



Tossi et al. proposent que suite à des évènements pour lesquels il existe une relation temporelle mais avec des preuves insuffisantes que le vaccin en soit la cause, selon des études épidémiologiques bien conçues, des études complémentaires soient encouragées si d’autres évènements similaires ont été également identifiés. Il y a eu 54 décès temporellement liés au vaccin en Inde. Au lieu de les considérer comme un groupe de cas, le nouveau système recherche des cas individuels d’effets indésirables post-vaccinaux pour ensuite les étiqueter comme « n’étant pas liés au vaccin », ouvrant ainsi la voie à beaucoup d’autres décès.
 


Tozzi et ses collègues rapportent différents scénarios cliniques (matériel supplémentaire). Le scénario en Asie vaut aussi la peine d’être considéré. Le vaccin pentavalent est promu de façon sélective dans les pays en développement dotés de systèmes de surveillance insuffisants. 83 décès après la vaccination par le vaccin pentavalent ont été recensés dans les pays asiatiques. Il n’y a pas d’autre explication alternative plausible. La plupart des décès sont survenus après la première dose de vaccin, un peu moins après la deuxième et beaucoup moins encore après la troisième. Ce profil de répartition des décès plaide en défaveur du simple hasard. Ce qui n’empêche pas l’OMS de maintenir qu’une relation de cause à effet n’a pas été établie.

 

Ceci contraste avec ce qui s’est passé en 1998 quand le vaccin Rotashield a été approuvé aux Etats-Unis. Quand les malrotations intestinales ont été rapportées au système de pharmacovigilance américain  (VAERS) et que seuls 12 enfants en furent affectés, le vaccin a été retiré du marché. Personne n’avait alors besoin d’une certitude (pour agir).
 

Un expert de santé publique en Inde, le Dr Y. Jain, a introduit une demande (d’intérêt public) en justice auprès de la Cour suprême pour que ces décès soient investigués. Sa requête stipule que dans les six premiers mois, quand 40 000 doses furent administrées aux enfants dans l’état du sud de Kerala, au moins 5 enfants sont morts. Si on extrapole ces proportions aux 25 millions de bébés nés chaque année en Inde, on pourrait s’attendre à 3125 décès liés au vaccin chaque année. En utilisant les meilleures preuves issues de l’étude de Minz (2008), l’incidence de la méningite à haemophilius influenza b (Hib) en Inde est de 7 cas pour 100 000 enfants de moins de 5 ans. En utilisant la méthode rapide de l’Unicef pour estimer les cas de pneumonie par Hib, 350 cas de pneumonie mortelle par Hib seront évités sur une période de 5 ans en vaccinant une cohorte de 25 millions de nouveau-nés. 3125 décès post-vaccinaux ne peuvent pas être acceptables pour prévenir 350 décès liés au Hib.
 

Le taux de mortalité infantile (IMR) à Kérala est de 14. Sept de ces décès surviennent au cours du premier mois. Les autres sept cas se produisent dans les 11 mois restants de la première année de vie. Le vaccin pentavalent est administré six semaines après la naissance aux bébés qui ont survécu à la période néonatale. Sur les cinq premiers décès post-vaccinaux, quatre se sont produits entre 24 et 48H après la première dose de ce vaccin. Le taux de mortalité des bébés dans les premiers jours après vaccination est de deux à 4 fois plus élevé que le taux habituel de mortalité infantile à Kérala.

 

Les premiers 14 décès au Kérala ont été investigués par les experts en effets indésirables post-vaccinaux. Ils ont rapporté que 6 enfants avaient des facteurs de co-morbidité et que les 8 autres sont décédés de « mort subite du nourrisson » (MSN). Ce taux de mort subite du nourrisson le jour suivant la vaccination est plus élevé que toutes les autres causes de mortalité infantile.

 

Sous ce nouveau schéma, des effets indésirables post-vaccinaux mortels survenant dans les pays en développement seront faussement enregistrés comme n’étant pas liés au vaccin, simplement parce qu’un délai ou certains critères d’évaluation ne seront pas réunis. Le décès est le pire effet indésirable possible. La poursuite de l’usage de ce schéma d’investigation du CIOMS/OMS conduira à manquer des occasions importantes de détecter des signaux d’alerte qui permettraient de sauver des vies. Ceci est dangereux. Peut-être devrions-nous revenir à l’ancienne classification de Brighton.


Source : Jacob.puliyel.com  

 

Le powerpoint complet du Dr Puliyel (en anglais) sur l'investigation biaisée des effets secondaires post-vaccinaux (AEFI)

Vaccins: comment l'OMS manipule les critères pour camoufler les décès

Voir aussi

 

Vaccins: l'OMS avoue qu'elle met la santé du monde en danger

 

Le pipot hypocrite de l'OMS sur son site qui prétend, malgré ce genre d'attitude, veiller à la sécurité des vaccins... !!

 

OMS, faites ce que je dis... mais pas ce que je fais, Editorial de la revue Prescrire de septembre 2007. (Permet de mieux comprendre la schizophrénie de l'OMS, ses doubles discours et le pourquoi d'articles hypocrites comme ceux ci-dessus...)

 

L'OMS continue de trafiquer ses propres critères!

 

L'OMS modifie une nouvelle fois ses critères de pandémie! 

 

Vaccins: l'OMS avoue qu'elle met la santé du monde en danger

 

L'OMS: pourquoi il ne faut plus la suivre ni en faire partie

 

Politique et corruption à l'OMS (Dr Pascal Sacré) 

 

L'OMS: une menace pour notre santé et nos libertés?

 

L'OMS embourbée dans un nouveau conflit d'intérêts!

 

L'OMS refuse de publier un rapport sur l'utilisation d'uranium appauvri par les Américains en Irak

 

26 enfants décèdent dans des pays pauvres après un vaccin qui avait été approuvé par l'OMS

 

L'histoire tragique de 37 décès d'enfants à la suite d'un "bon vaccin"

 

L'Unicef pétoche et surveille le "sentiment anti-vaccins" sur les sites internet et dans les médias sociaux

 

Mortalité infantile plus élevée dans les pays qui vaccinent le plus

 

Les experts indiens en matière de vaccination s'interrogent sur le programme de vaccination

 

Vaccination polio en Inde: la maladie causée par le vaccin, deux fois plus meurtrière

 

"Le public devrait être averti que les vaccins peuvent avoir des effets secondaires à long terme" (Dr J.B Classen, BMJ)

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10 novembre 2016 4 10 /11 /novembre /2016 21:31

Matthew gravement handicapé après la vaccination (varicelle)

Matthew gravement handicapé après la vaccination contre la varicelle

La maman : c’est mon fils Matthew. Sa santé s’est détériorée après la vaccination contre la varicelle.

 

Quand il est né, tout était normal. Tous les tests et examens étaient parfaits. C’était un bébé heureux et en pleine santé.

 

 

C’est quand il a reçu le vaccin contre la varicelle que sa santé a commencé à se détériorer. Il n’a plus voulu ni parler, ni marcher.

 

Un jour, son grand-père l’a emmené à la foire et a voulu le mettre sur le cheval de bous d’un carrousel. Il l’avait à peine installé que Matthew est tombé. Il n’y avait en lui plus aucune notion de ce qu’était l’équilibre du corps.

Matthew gravement handicapé après la vaccination contre la varicelle

Sans arrêt, il faisait de la fièvre. Il pleurait et criait tant il souffrait.

 

Dans la suite, il n’a plus pu rester assis ou même se traîner et ramper.

 

Les médecins nous ont dit qu’il faisait un Guillain-Barré, mais que ça allait passer et nous ont renvoyés à la maison.

 

Au cours d’examens ultérieurs, on nous donna le diagnostic d’encéphalomyélite aiguë. Les médecins nous précisèrent qu’il ne fallait pas nous tracasser, que tout finirait par s’arranger.- Mais les choses ne s’arrangèrent guère !

Matthew gravement handicapé après la vaccination contre la varicelle

Une fois de plus, nous nous sommes rendus dans un hôpital où finalement un médecin a reconnu qu’il s’agissait des suites du vaccin contre la varicelle. Il nous a expliqué que certains éléments du vaccin ont conduit son système immunitaire à se retourner contre lui.

 

C’est à la suite de toutes les limités qui étaient imposées à Matthew que notre calvaire est devenu le plus pénible. Le vaccin lui avait volé toutes ses possibilités de vivre normalement, et cela pour le restant de ses jours !

 

Chaque jour, nous avons dû affronter des problèmes différents : une fois c’étaient des convulsions, le jour suivant c’étaient des problèmes respiratoires, puis des problèmes pour pouvoir l’alimenter. On ne savait jamais ce que le lendemain nous réserverait.

Matthew gravement handicapé après la vaccination contre la varicelle

C’est terrible et tellement triste de voir la santé de votre enfant se détériorer de jour en jour devant vos yeux. Et c’est d’autant plus terrible que ces malheurs sont arrivés à cause de ce stupide vaccin pour lequel on n’avait même pas eu le choix. Avant la vaccination, les seuls effets secondaires dont on nous a parlé : un peu de fièvre, des éruptions, le nez qui coule, mais rien de bien grave !

 

Plus tard, un médecin a quand même reconnu que tout cela était dû au vaccin.

 

Malgré la gravité des handicaps de Matthew, nous n’avons pu recevoir aucun dédommagement !

Matthew gravement handicapé après la vaccination contre la varicelle
Matthew gravement handicapé après la vaccination contre la varicelle
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