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8 novembre 2016 2 08 /11 /novembre /2016 10:41
Polly Tommey: "Comment osez-vous mutiler, estropier et massacrer nos enfants?"

POLLY TOMMEY : «  COMMENT OSEZ-VOUS

MUTILER, ESTROPIER ET MASSACRER NOS ENFANTS ? »

Polly Tommey: "Comment osez-vous mutiler, estropier et massacrer nos enfants?"

Polly Tommey est une actrice anglaise dont le fils Billy est devenu autiste après une série de vaccins. Elle est la co-réalisatrice du fameux documentaire : «  VAXXED , de la dissimulation à la catastrophe »

 

« Je suis ici en Californie, et je m’exprime au nom de parents du monde entier.- Parents de Grande Bretagne, de Nouvelle Zélande, d’Australie… nous sommes maintenant vraiment avec vous dans un même combat.

 

Je veux que vous sachiez que je me bats depuis 19 ans. J’ai parlé à des parents de très nombreux pays, et au cours des 3 derniers mois, je n’ai cessé de m’adresser aux parents vivant aux Etats-Unis.

Polly Tommey: "Comment osez-vous mutiler, estropier et massacrer nos enfants?"

Je suis vraiment en colère, terriblement en colère. Voici vraiment ce que je pense :

 

Comment osez-vous vous en prendre à des bébés de quelques mois, les malmener dans les bureaux de pédiatres et dire aux parents que s’ils ne vaccinent pas leurs enfants, ils signent en quelque sorte leur certificat de décès ?

 

Comment avez-vous osé tuer Mason Bundy ? Comment avez-vous osé clouer le petit garçon de Josh dans un fauteuil roulant pour le restant de ses jours ?

 

Comment osez-vous mutiler, estropier et détruire les cerveaux de nos enfants ? Il s’agit bien de la future génération dont la santé est cruellement endommagée.

 

Sénateurs Pam et Allen, vous devriez savoir ce que vous faites avec cette loi SP277.

 

Vous risquez de tuer encore plus de bébés, d’endommager les cerveaux de quantités d’enfants. Ce que vous avez fait va vous mettre du sang sur les mains.

 

Je veux vous dire que nous n’avons plus peur. Nous avons décidé de nous lever en masse. Les parents des Etats-Unis et du monde entier sont en train de se lever ; ils n’ont désormais plus peur. Ils sont debout, forts et courageux.

Polly Tommey: "Comment osez-vous mutiler, estropier et massacrer nos enfants?"

Nous vous combattrons parce que vous nous avez brutalisé pendant si longtemps, alors que nous vous faisions entière confiance avec ce que nous avions de plus précieux : la santé de nos petits-enfants. Nous vous avions fait entière confiance pour tout. Je vous dis maintenant que vous avez bel et bien des raisons d’avoir peur parce que nous allons quitter vos écoles et nous éloigner des pédiatres. Nous allons nous unir et combattre comme une armée.- Merci ! »

Polly Tommey: "Comment osez-vous mutiler, estropier et massacrer nos enfants?"
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6 novembre 2016 7 06 /11 /novembre /2016 18:33
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6 novembre 2016 7 06 /11 /novembre /2016 11:20

VACCINATIONS ET AUTISME

Un Procureur du Texas, père d’un enfant autiste, témoigne publiquement

Vaccination et autisme: un procureur du Texas, père d'un enfant autiste, témoigne publiquement

D’une manière catégorique le Procureur de San Antonio (Texas) affirme que les vaccins peuvent provoquer l’autisme et le provoquent 

 

De par l’expérience qu’il a eue avec ses enfants, de par son travail de recherche, d’enquêtes légales, le Procureur sait qu’il existe des raisons solides d’entamer des poursuites par rapport aux dommages causés par les vaccins et tout spécialement l’autisme. (C. J. Frompovich)  Le Procureur Da Lahood pense qu’il existe des preuves claires et précises qui montrent que les vaccins peuvent provoquer l’autisme. Il évoque, pour VAXXED, la régression autistique de son propre fils de 18 mois, ainsi que l’eczéma handicapant de son premier enfant.

 

Au cours de l’interview que le Procureur et sa femme ont donnée à Polly Tommey, co-productrice du film documentaire VAXXED, le Procureur raconte l’histoire terrifiante et révélatrice d’un de ses proches amis, un scientifique de chez Merck, dont la femme est infirmière, et qui ont décidé de ne pas vacciner leurs quatre enfants parce que le scientifique de Merck, sachant ce qui se trouve dans les vaccins, ne voulait pas les administrer à ses propres enfants !

 

A la marque 4.25 de cette vidéo de 11 minutes, on peut entendre l’histoire de George et Stéphanie qui n’acceptent pas que leurs enfants soient vaccinés ! «  Vous ne pouvez pas me prouver à moi qui suis un scientifique que la chose est bonne pour votre enfant. »

 

Le Procureur Da LaHood serait prêt à entamer des poursuites et à ouvrir un procès. Il plaiderait que les vaccins peuvent causer l’autisme ! Mrs. C.J. Frompovich estime qu’il y aurait lieu de mettre avant tout à l’avant les horreurs que peuvent provoquer les vaccinations, de même que la triste obligation vaccinale. Nous devons, précise-t-elle épargner aux enfants les dommages vaccinaux et mettre un terme à la « pandémie »  d’autisme.

Vaccination et autisme: un procureur du Texas, père d'un enfant autiste, témoigne publiquement

Le Procureur et son épouse interviewés par Polly Tommey de l’équipe VAXXED

Vaccination et autisme: un procureur du Texas, père d'un enfant autiste, témoigne publiquement

Polly : Pouvez-vous nous parler de votre rôle ?

 

Procureur : Je suis le Procureur élu de San Antonio, Texas. Toutes les personnes qui sont arrêtées pour possession de drogue, meurtre, abus sexuels sur enfants doivent se présenter dans mon bureau, ensuite nous engageons des poursuites. En tant que Procureur nous avons fait le serment de chercher à découvrir la Justice. Ce que je fais, c’est prendre en compte les preuves. Je présente ensuite le cas devant un jury, en lui demandant de réfléchir à mes observations et recherches.

 

Polly : revenons-en à ce problème de vaccins, à ce que vous en pensiez initialement avant de faire vacciner vos enfants.

 

Procureur : Nous avons eu des formations différentes. Mon épouse est née en Californie, mais elle a été élevée à Mexico. Pour elle, les vaccins étaient destinés à sauver des gens. En ce qui me concerne, je n’ai jamais remis en cause ce que pouvait dire un médecin. Pour moi, un médecin c’était un médecin. Je n’avais pas d’opinion particulière sur les vaccins.

 

Epouse du Procureur : Pour notre petite Maya, nous avons suivi les recommandations qui nous avaient été faites et avons conduit notre petit bout à l’hôpital pour y recevoir ses vaccins. Alors qu’elle avait toujours été un bébé en parfaite santé, elle a commencé à faire des réactions cutanées. On a d’abord cru qu’il s’agissait d’un eczéma – Procureur : les médecins ont finalement pensé qu’il s’agissait d’une maladie auto-immune.-

Vaccination et autisme: un procureur du Texas, père d'un enfant autiste, témoigne publiquement

Comme elle n’arrêtait pas de se gratter parfois jusqu’au sang, nous avons dû lui attacher les bras pour dormir ; c’était affreux !

 

Polly : La notice fait cependant état de diverses réactions au vaccin.

 

Epouse du Procureur : Les médecins ne vous disent pas ce qui peut arriver après avoir reçu des vaccins ; ils ne nous ont pas parlé des effets secondaires possibles. Vous avez tout juste à leur présenter votre enfant et à leur faire confiance.

 

Procureur : notre petit Mike, notre deuxième enfant porte le nom de mon frère. C’était un bébé en parfaite santé et heureux; il riait tout le temps, babillait. Voyez comme il vous regardait franchement dans les yeux.

Vaccination et autisme: un procureur du Texas, père d'un enfant autiste, témoigne publiquement

Epouse du Procureur : A 18 mois, après une série de vaccins, il a commencé à présenter des sortes de tics, des attitudes anormales, tout son corps et surtout sa tête se raidissaient. Il la tournait violemment sur le côté. Nous avons alors vite compris que quelque chose n’allait pas du tout. Il a ensuite perdu le contact visuel. Cela a représenté un grand changement. Sur le plan moteur, il n’y avait plus aucun progrès. Il ne répondait plus quand on l’appelait par son nom. Il ne se développait plus normalement, alors qu’à son âge il aurait pu parler sans arrêt ! Mais il ne sait plus  communiquer ! C’était terrible.

Vaccination et autisme: un procureur du Texas, père d'un enfant autiste, témoigne publiquement

Le Procureur : en tant que Procureur, je recherche la vérité où qu’elle puisse me conduire. C’est dans cet esprit que je veux traiter ce problème. A cette époque, Georges, l’un de mes plus proches amis, travaillait en tant que scientifique chez Merck. Il n’a fait vacciner aucun de ses quatre enfants.- Il m’a dit qu’en tant que scientifique : je ne puis pas te dire que les vaccins sont bons pour tes enfants.

 

L’épouse du Procureur : Stéfanie, son épouse était infirmière, et c’est en tant que maman qu’elle m’a dit ne pas avoir vacciné ses quatre enfants.

                                           

Le Procureur : Quand j’écoute ce que dit mon ami, ce que m’ont appris mes recherches, mes discussions, je puis  dire que je suis fâché parce que je déteste littéralement la tromperie. Ma foi me fait également détester le mensonge. Ce que notre gouvernement nous a imposé relève de la tromperie. Que ce soit intentionnel ou non, le résultat est le même. Qu’une personne soit mal intentionnée ou faible, le résultat est le même, peu importe leur intention à un moment donné. La personne mal intentionnée va essayer de vous faire du mal, tandis que la personne faible laissera faire. Le résultat sera toujours le même, c’est vous qui aurez à souffrir ! Peu m’importe qu’un officiel du gouvernement, qu’une compagnie soient trop faibles ou qu’ils soient motivés par la cupidité, les résultats seront les mêmes. C’est là une chose facile à expliquer aux familles.

 

Certaines fois, je voudrais dire à mes enfants que je regrette, mais j’ai cependant fait le mieux que j’ai pu avec l’information dont je disposais à l’époque. En fait, je n’ai pas protégé mes enfants et cela me fait vraiment très mal.

Vaccination et autisme: un procureur du Texas, père d'un enfant autiste, témoigne publiquement
Vaccination et autisme: un procureur du Texas, père d'un enfant autiste, témoigne publiquement

Votre équipe VAXXED a réalisé un travail fantastique en faisant apparaitre au grand jour ce qu’on a toujours voulu cacher au public. Il est impossible que quiconque a vu ce documentaire puisse jamais dire : « ils ont tout inventé ! » Comment pourrait-on prétendre pareille chose avec les preuves éclatantes apportées par ce documentaire, à savoir que les vaccins peuvent provoquer l’autisme ?

 

Au cours des années 1970, on relevait 1 cas d’autisme sur 10.000.  Aujourd’hui nous avons 1 cas d’autisme sur 43. – On nous dit qu’aujourd’hui, on fait de meilleurs diagnostics. – Le Procureur demande à son épouse : « où se trouvent les autistes de ton époque ? Où sont les autistes de la mienne ? Il n’y en a pas. » Donc, nous devons chercher ce qui s’est passé et qui puisse expliquer pareille situation. 

Vaccination et autisme: un procureur du Texas, père d'un enfant autiste, témoigne publiquement

La réponse à ce problème a été donnée par le Dr Thompson, lanceur d’alerte du CDC : nous avons menti au peuple Américain ; le CDC possédait les études que les Américains ne pouvaient pas connaitre. - Nous possédons les preuves circonstancielles : des documents photographiques, vidéos et autres AVANT la vaccination et les mêmes documents APRES la vaccination. Il s’agit ici de fortes preuves circonstancielles.

Vaccination et autisme: un procureur du Texas, père d'un enfant autiste, témoigne publiquement

Procureur : Supposons que je passe devant une maison ; j’entends deux coups de feu. Je rentre dans la maison et je découvre une personne étendue morte sur le sol, alors qu’une personne s’enfuit par l’arrière de la maison. On peut me demander : avez-vous vu que cet homme tirait sur la victime ? – Non ! Mais, comme il n’y avait personne d’autre dans la maison, il y a ici de fortes preuves circonstancielles que la personne qui a fui soit le meurtrier.

 

Je crois qu’il y a ainsi des milliers de cas avec de fortes preuves circonstancielles, avec des photos, des vidéos d’enfants tout à fait normaux. Nous avons-nous-même conservé ces premiers documents. Et puis… à un moment donné, après les vaccinations, vous retrouvez un enfant complètement différent. On pourrait prendre la comparaison d’un enfant qui aurait été blessé après avoir été renversé par une voiture. C’est de cette manière que je vois les choses : il s’agit bel et bien d’événements. – en dehors de notre cas personnel, je serais réconforté dans mon analyse si un cas semblable était tranché par un jury qui établirait que les vaccins peuvent provoquer l’autisme.

 

Polly : que pensez-vous tous les deux qu’il faille faire ? Les vaccins ne sont-ils pas des actes barbares ?

 

Procureur : Oui, c’est barbare.- Ce qu’il faut, c’est de la véritable information, l’éducation du public. Je ne le dirai jamais assez.

 

C’est Osée (4 :6) qui a dit : «  Mon peuple se meurt par manque de connaissance ».

 

Les gens sont détruits faute d’avoir assez de connaissances.

 

C’est exactement cela qui nous arrive par manque de connaissance, par ignorance. Les personnes qui sont en position d’autorité ont le devoir de nous informer, de nous éduquer.

 

Témoignage du Procureur à l’issue du film VAXXED

 

Mon épouse et moi-même aurions aussi pu figurer dans ce documentaire. Notre second fils est devenu autiste. Notre histoire est la même que celle de toutes les autres victimes. Nous avons les photos, les vidéos de notre enfant qui se développait tout à fait normalement. – Tout ceci concerne nos enfants ; cela n’a rien à voir avec un parti politique, mais bien avec notre avenir à tous. Les statistiques sont horribles !

 

Vaccination et autisme: un procureur du Texas, père d'un enfant autiste, témoigne publiquement

L’équipe VAXXED sillonne les Etats-Unis, allant de ville en ville pour y présenter le documentaire

Vaccination et autisme: un procureur du Texas, père d'un enfant autiste, témoigne publiquement
Vaccination et autisme: un procureur du Texas, père d'un enfant autiste, témoigne publiquement
Vaccination et autisme: un procureur du Texas, père d'un enfant autiste, témoigne publiquement
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5 novembre 2016 6 05 /11 /novembre /2016 09:28

Le vaccin contre le HPV testé pour pouvoir être administré aux nourrissons

 

Par Gary Barnes, 18 septembre 2016

Le vaccin contre le HPV testé pour pouvoir être administré aux nourrissons

Il faudrait être naïf pour ne pas avoir pensé à la possibilité inquiétante de faire administrer le Gardasil à des nourrissons. Il parait évident que les pouvoirs en place pourraient ajouter ce vaccin au programme vaccinal actuel.

 

Quand il s’agit des sociétés pharmaceutiques et de leur mission, les raisons de la multiplication de leurs produits (basée sur le profit) ne doit pas être stipulée en termes clairs et  accessibles à tous. Il est supposé qu’il s’agit d’une vérité et que les décisions prises le sont toujours pour les meilleures raisons du monde.

 

Un nouvel essai clinique est en cours ; il est commandé par Merck pour étudier les effets du vaccin contre le HPV chez les nourrissons. Cela ne parait pas être une très bonne nouvelle.

 

Il est connu que le vaccin Gardasil contre le HPV a causé des dommages et d’innombrables souffrances dans le monde entier. Le Japon a refusé de recommander ce vaccin. En dépit de tous les dommages de santé relevés un  peu partout dans le monde, ce vaccin continue à figurer au programme de vaccination de nombreux pays. Il est même possible, dans certains états où la liberté de choix des parents a été bafouée, que ce vaccin soit ajouté à la liste des vaccins obligatoires.

 

Les compagnies pharmaceutiques ont bien compris depuis longtemps que les deux meilleures manières d’accroître la distribution de leurs produits étaient :

1) De pousser à la création de lois rendant les vaccinations obligatoires. 

2) D’élargir la tranche d’âge à laquelle les vaccins devraient être administrés. C’est en élargissant les tranches d’âges que les ventes du produit peuvent exploser. Les compagnies pharmaceutiques appliquent ce concept systématiquement. C’est ce dont il semble bien s’agir ici : élargir la tranche d’âge pour y inclure des nourrissons sans défense. Tout est bien pensé pour le bien de la grande machine à profits.

 

Source: Truthkings

 

Voir aussi

 

Déclaration fallacieuse au sujet des vaccins contre le HPV

 

Vaccins contre le HPV:  de graves effets secondaires à long terme

 

Désastre du vaccin HPV au Danemark: le documentaire

 

"Voilà ce que le vaccin HPV a fait à ma fille..."

 

Japon: le Ministère retire sa recommandation en faveur des vaccins HPV Gardasil et Cervarix

 

Vaccins anti-HPV: rapport bénéfices-risques défavorable (Annals of Medicine)

 

Une ado hospitalisée et mise sous sédation chaque fois qu'elle a ses règles depuis le vaccin Gardasil

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3 novembre 2016 4 03 /11 /novembre /2016 15:21

Déclaration fallacieuse au sujet des vaccins contre le HPV

Déclaration fallacieuse au sujet des vaccins contre le HPV

Par Claire Dwoskin, Children’s Medical Safety Research Institute, 11 octobre 2016

 

Dans la théorie du chaos, on évoque une métaphore familière connue sous le nom « d’effet papillon ». Cette métaphore suggère qu’au début de petits changements (le battement des ailes d’un papillon) peuvent entraîner des différences importantes dans la suite (un ouragan, par exemple).

 

Dans le domaine de la sécurité des vaccins, nous avons constaté la chose à plusieurs reprises. Tout récemment, la présentation erronée, à Tokyo en 2014, des données de l’étude sur les composants infimes des vaccins contre le HPV a donné lieu à la proclamation à l’échelle mondiale de la sécurité du vaccin. C’est sur les termes de cette proclamation que les médecins se sont basés pour faire leurs recommandations concernant la vaccination contre le HPV. – alors que nombre de jeunes filles continuent de souffrir.

 

Dans une lettre ouverte à la direction de l’Organisation Mondiale de la Santé, le Dr Sing Hang Lee, M.D., Directeur du laboratoire de diagnostic moléculaire à Milford, Connecticut, affirme que les membres du Comité Consultatif Mondial sur la sécurité des vaccins (GACVS) ont délibérément manipulé les données scientifiques ayant trait à la sécurité des vaccins Gardasil et Cervarix contre le HPV.

 

La lettre stipule que les e-mails obtenus grâce à une demande spéciale d’information (Freedom of Information Request) démontre clairement que les membres de la GAVCS, le CDC et le Ministère de la Santé, du Bien-Etre et du Travail japonais savaient bien avant l’audition publique du  26 février 2014 à Tokyo  que l’un de leurs propres experts avait apporté les preuves scientifiques que la vaccination contre le HPV augmentait les cytokines, y compris le facteur de nécrose tumorale (TNF), en particulier au niveau du site d’injection par rapport à d’autres vaccins. Cette augmentation pouvant être attribuée à des fragments d’ADN du gène L1 du HPV ; les fragments d’ADN viral des vaccins contre le HPV se liant à des adjuvants aluminiques. Ce mécanisme explique pourquoi des réactions indésirables graves peuvent se produire plus souvent chez des personnes qui ont reçu le vaccin contre le HPV que chez les personnes qui auraient reçu d’autres vaccins, et pourquoi certains individus prédisposés pourraient, en conséquence, mourir d’une façon inexpliquée et soudaine. Pourtant, le GAVCS a choisi de supprimer ces informations pour l’audience publique à Tokyo, ainsi que dans un rapport technique du CDC sur lequel ces autorités fondaient leur déclaration concernant la sécurité du vaccin.

 

Ce subterfuge a été réalisé en déformant les propos des auteurs de deux documents importants, l’un basé sur une étude financée par le CMSRI : « Décès après la vaccination contre le papilloma virus humain : coïncidence ou causal ? par Lucija Tomljenovic et Christopher A.Shaw, publié dans « Pharmaceutical Reg. Affairs », 2012.

 

L’autre document concernait un rapport de Sing Han Lee : Detection of Human Papillomavirus L1 Gene DNA Fragments in Postmortem Blood and Spleen after Gardasil vaccination,publié dans « Advances in Bioscience and Biotechnology », 2012.

 

Dans un article bien documenté de Norma Erickson de Sanevax, Inc., qui incluait des copies des e-mails divulgués, le Dr Lee illustre comment les différences entre les effets des particules virales du HPV L1 (VLPs) et les fragments d’ADN du gène L1 du HPV ont volontairement été confondues par le président, le Dr Robert Pless afin d’induire en erreur les lecteurs et les décideurs politiques qui ne sont pas experts dans ces domaines.

 

L’un d’eux était le Dr Helen Petousis-Harris de Nouvelle-Zélande dont Pless a sollicité l’appui en tant qu’expert en dépit de son propre aveu (je ne sais pas si je suis expert dans ce domaine…), son manque d’études publiées et examinées par des pairs (elle n’avait fait qu’écrire dans un blog de médias sociaux sur le vaccin HPV) ; et les commentaires qui ont révélé qu’elle ne comprenait pas la nature fondamentale du HPV LI VLP en tant que protéine.

 

Dans un de ses échanges de courriels avec Pless, Petousis-Harrisson a écrit : « Cher Rob,Oh mon cher ! Je suis tellement attristée d’apprendre l’ampleur de l’impact que les activités de Lee, Shaw et Tomljenovic ont pu avoir. Je vais certainement faire quelque chose pour pouvoir aider. »

 

La liste épouvantable et longue de contradictions, d’obscurité, de présentations déformées de Pless, Petousis-Harrisson et autres apparait dans l’article de SaneVax, ainsi que l’appel lancé par le Dr Lee pour demander des comptes à tout qui « rejetterait aveuglément la toxicité potentielle du gène HPV L1  ADN/AAHS nouvellement créé dans le but de pouvoir continuer à promouvoir les vaccins HPV.

 

Nous sommes tout à fait d’accord. En ce qui concerne la santé et la vie de nos enfants, nous devons insister pour faire ressortir le fait que chaque « battement d’aile d’un papillon » doive être honnêtement et rigoureusement étudié si nous voulons  dorénavant éviter les dommages et les maladies qui ont déjà semé la dévastation sur cette génération.   

 

Source: Vaccineimpact      

 

Voir aussi:

 

Vaccins contre le HPV:  de graves effets secondaires à long terme

 

Désastre du vaccin HPV au Danemark: le documentaire

 

"Voilà ce que le vaccin HPV a fait à ma fille..."

 

Japon: le Ministère retire sa recommandation en faveur des vaccins HPV Gardasil et Cervarix

 

Vaccins anti-HPV: rapport bénéfices-risques défavorable (Annals of Medicine)

 

Une ado hospitalisée et mise sous sédation chaque fois qu'elle a ses règles depuis le vaccin Gardasil

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2 novembre 2016 3 02 /11 /novembre /2016 12:48

Un bébé de 4 mois donne ses organes après avoir reçu 7 doses de vaccin (Extraits)

Un bébé de 4 mois donne ses organes après avoir reçu 7 doses de vaccin

Des parents du Wisconsin pleurent la perte de leur petit-garçon nouveau-né après la vaccination de routine. Moins d’un jour après avoir reçu sept doses de vaccin, leur bébé de quatre mois, Zaïre Corvell-Thomas, a fait un arrêt cardiaque et a cessé de respirer pendant son sommeil. Sa mère et les services d’urgence sont intervenus immédiatement pour lui sauver la vie.

 

Une fois arrivé à l’hôpital Zaïre a été conduit aux soins intensifs. Au cours des douze heures qui ont suivi, les parents de Zaïre ont été poussés à donner les organes du petit. On avait à peine donné à Zaïre une chance de se rétablir quand, quatre jours plus tard, il fut décidé de prélever le cœur battant et le foie de son corps vivant.

 

Avant que tout cela n’arrive, la maman de Zaïre croyait que les vaccins étaient sans danger. Elle avait, elle-même, accepté le principe de rejoindre les rangs des donneurs d’organes. Elle a, depuis, changé d’avis et demande aux parents d’effectuer des recherches sur les vaccins avant d’autoriser qu’ils soient administrés à leurs enfants.

 

Il a fallu qu’elle perde son petit pour qu’elle puisse réaliser qu’il ne serait jamais protégé par aucun vaccin  et que cette affaire était une question d’argent. Après avoir été informés des pratiques trompeuses utilisées pour obtenir le consentement au don d’organes, les parents de Zaïre se demandent si leur petit n’aurait quand même pas pu survivre.

 

Les parents de Zaïre vivent une telle souffrance et une telle culpabilité qu’ils auraient souhaité avoir été plus conscients de la vérité. Ils se sentent coupables d’avoir contribué à nuire à la santé de leur petit garçon en faisant beaucoup trop confiance aux médecins. Ce drame a détruit leur vie. Suite à la perte de leur bébé, les parents de Zaïre veulent partager leur histoire dans l’espoir d’attirer l’attention sur le problème des vaccins et du don d’organes.

 

Les vaccins ne m’ont pas protégé !

 

Peu après sa naissance, Zaïre reçut une injection de vitamine k, de même que sa première injection du vaccin contre l’hépatite B.- Zaire a semblé bien supporter ces deux injections. Sa maman a continué de l’allaiter régulièrement.

 

Deux mois plus tard, sa maman le conduisit chez le pédiatre pour sa visite médicale de deux mois. C’est à la clinique de l’université du Wisconsin que Zaire a finalement reçu ses huit doses de vaccins : contre la diphtérie, le tétanos, la coqueluche acellulaire, l’hépatite B, le Hib, le pneumocoque, la poliomyélite, le vaccin anti rotavirus qui furent administrés par deux infirmières en même temps.

 

C’est au cours des semaines qui ont suivi que la santé de Zaire a commencé à se détériorer. Il a souffert de reflux acides, de vomissements, d’irritabilité, de mauvaise humeur. Suite à cette situation sa maman l’a conduit chez le médecin. Ce dernier n’a pas voulu le mettre sous médicaments parce qu’il continuait à prendre du poids et lui paraissait être en bonne santé. Sa maman estime qu’il n’a pas été bien soigné car son état de santé n’a fait qu’empirer.

 

Le 28 février 2016, sa maman a conduit Zaire aux urgences parce qu’elle l’avait trouvé très pale, et parce qu’il souffrait de difficultés respiratoires. Zaire a été relié à un respirateur pendant 10 minutes avant l’arrivée d’un étudiant en médecine qui a de suite débranché l’appareil. Le personnel de l’hôpital aurait dû reconnaître que les problèmes de Zaire devaient être des réactions dues aux vaccins, mais personne ne se risqua à en souffler mot.

 

Cet étudiant en médecine dit que Zaire avait probablement des troubles d’estomac et lui a administré du pedialyte. Felicia, la maman, pense que les médecins ne se sont pas préoccupés de ses inquiétudes et qu’ils auraient dû maintenir Zaire plus longtemps sous respirateur.

 

C’est le 3 mars 2016, que Felicia conduisit son bébé à sa visite médicale de quatre mois. Felicia expliqua au médecin tout ce qui s’était passé quand son bébé était aux urgences. Le médecin aurait dû se rendre compte à quel point la santé de Zaire s’était dégradée depuis les dernières vaccinations et aurait dû dire à la maman qu’il n’était plus question de lui administrer quelque vaccin que ce soit. Mais au lieu de cela, le pédiatre n’a pas semblé très inquiet et a décrété qu’il était sans danger de lui administrer les vaccins prévus pour le programme des quatre mois.

 

Malgré le fait que Zaire n’était pas bien, et éprouvait toujours des difficultés respiratoires, le pédiatre a demandé à deux infirmières d’administrer les sept doses de vaccin recommandées par le programme officiel. Le même jour à 3 heures, Zaire a commencé à hurler comme il ne l’avait jamais fait et il laissa échapper du sang caillé de sa bouche. Un quart d’heure plus tard, on leur dit qu’ils pouvaient rentrer à la maison.

 

Une fois rentrés à la maison, le comportement de Zaire avait changé. C’était bizarre ; il ne s’était jamais comporté de pareille façon. Il éprouvait toujours des difficultés respiratoires. […]

 

Un moment donné, la maman Felicia appela son petit par son nom. Elle ne reçut aucune réponse ; ce qui était tout à fait inhabituel. Inquiète, elle s’avança vers le berceau ; toucha son petit garçon et remarqua que son bébé ne bougeait plus et n’émettait plus le moindre son.

 

Zaire avait arrêté de respirer pendant son sommeil

 

Lorsque Felicia a touché Zaire et qu’il ne bougeait plus, elle a réalisé que quelque chose clochait. Elle l’a rapidement pris dans ses bras et a remarqué qu’il était sans vie et ne respirait pas. Felicia a crié à son cousin : « appelle le 911 parce qu’il ne respire plus ». Elle a ensuite couché son petit sur le lit et a commencé  les manœuvres de réanimation. Pendant qu’elle pratiquait les exercices de réanimation, elle a remarqué que du liquide coulait du nez de l’enfant.

 

La police est arrivée. Ils ont de suite poursuivi les manœuvres de réanimation. Trente secondes plus tard, l’ambulance est arrivée. Ils ont emporté Zaire, mais la maman ne fut pas autorisée à les accompagner.

 

Zaire a été branché sur oxygène et son état a semblé se stabiliser. Les ambulanciers ont dit à la maman  que si elle n’avait pas pratiqué les manœuvres de réanimation, le petit n’aurait pas pu survivre. Après être arrivé aux urgences les plus proches, Zaire fut transporté par hélicoptère à l’hôpital des enfants de Madison. Zaire fut transporté à l’unité de soins intensifs avec un pronostic assez critique.

 

Quand les parents arrivèrent à l’hôpital, ils furent conduits dans une chambre et interrogés par rapport à ce qui s’était passé, mais curieusement pas le médecin qui avait prétendu que Zaire était bien en état de recevoir tous ces vaccins alors qu’il était malade. Les deux autres enfants de Felicia furent également interrogés.

 

Zaire fut relié à un respirateur. Il dut également subir un scanner et un électroencéphalogramme.

Cette photo a été prise après que les parents eurent accepté que le cerveau de Zaire ait été irrémédiablement endommagé et qu’ils aient été poussés à consentir au don d’organes.

Cette photo a été prise après que les parents eurent accepté que le cerveau de Zaire ait été irrémédiablement endommagé et qu’ils aient été poussés à consentir au don d’organes.

Moins de douze heures après l’arrivée de Zaire, l’équipe qui s’occupait du don d’organes avait déjà été avertie parce que Zaire était  entre la vie et la mort.

 

Les avis des équipes qui s’occupaient de Zaire étaient contradictoires. Les parents étaient perdus ne sachant plus qui croire. Le personnel s’est ensuite réuni ; les soignants ont discuté sans que les parents puissent comprendre ce qu’ils disaient. Finalement certains membres du personnel ont expliqué aux parents que le cerveau de leur enfant était endommagé et qu’il ne pourrait plus récupérer.

 

Le 6 mars 2016, les parents ont été informés que l’activité cérébrale de Zaire s’était réduite progressivement. Le personnel de l’hôpital a fini par enlever les électrodes de la tête de Zaire. Felicia a dû quitter la chambre parce que tout ce qui se passait était trop pénible à supporter. Avant  de sortir de la chambre, elle avait intérieurement dit à son petit : « Moi, je veux que tu restes avec nous; mais si tu dois vraiment partir, j’accepte que tu puisses partir. »

 

Les parents ont fini par accepter ce qu’avaient dit les médecins, notamment qu’il n’était plus possible de sauver le petit. Les parents ont ensuite été poussés à consentir au don d’organes.

 

C’est après le dernier scanner que l’on avertit les parents que Zaire était cérébralement était mort.

 

Finalement les parents acceptèrent le don d’organes parce que Felicia croyait bien faire, espérant que ce geste pourrait sauver d’autres vies.

 

Les parents de Zaire ont manifesté le souhait de pouvoir prendre leur fils dans les bras après que les machines aient été débranchées. On leur expliqua que la chose était impossible parce que le respirateur artificiel devait rester branché jusqu’à ce que les organes aient été prélevés pour qu’ils soient viables pour la transplantation. Le cœur du petit devait donc continuer à battre.

 

La maman Felicia ne savait plus parler ni marcher, elle ne savait plus que prier pendant que Zaire restait attaché aux appareils qui permettaient à son cœur d’encore fonctionner jusqu’à ce qu’il fut temps de prélever ses organes. - Ses parents lui avaient acheté de nouveaux habits et l’avaient fait baptiser à l’hôpital.

 

L’équipe de prélèvement d’organes a conseillé aux parents de prendre des photos avant l’opération. C’est le 8 mars 2016 que l’équipe qui devait prélever les organes du petit fut mise en place pour procéder à la chirurgie. Au cours des deux dernières heures quand Zaire était toujours vivant, ses parents reçurent l’autorisation de le prendre dans les bras tandis que l’équipe chirurgicale se préparait à prélever les organes.

 

Zaire  fut ensuite mis sur une civière, toujours relié au respirateur, pour le transporter à la salle d’opération. La maman a demandé à l’équipe médicale de prendre soin de son petit garçon. L’équipe voulut manifestement en tenir compte parce qu’ils étaient tous en larmes.

 

Les parents furent ensuite informés par une infirmière que le cœur de Zaire avait cessé de battre à 4h.49, le 8 mai 2016.

 

Après que l’équipe chirurgicale eût prélevé le cœur, le foie, une partie de la rate et du pancréas, on signifia aux parents qu’ils pourraient une dernière fois tenir leur bébé dans les bras avant que l’autopsie soit réalisée. Il leur fut cependant signifié que le poids du bébé ne serait plus le même.

 

Lavelle et Felicia, les parents ne purent supporter ce qui leur avait été proposé. Ils ne voulaient en aucun cas garder pareil souvenir de leur petit. Ils se sont contentés de caresser ses mains, de l’embrasser sur le front et de prier. Après, les parents se sont sentis comme paralysés. Jamais ils n’auraient voulu quitter l’hôpital sans leur petit garçon. Perdus, ils ne savaient plus quoi faire.

 

On expliqua ensuite aux parents que le cœur de Zaire serait transplanté chez un bébé de 5 mois en Ohio et que son foie serait donné à une personne de l’Utah. On leur expliqua aussi que les poumons de Zaire étaient trop petits et que les reins n’auraient plus pu fonctionner normalement. La peau et les yeux ne purent non plus être prélevés en raison de leur petite taille.

 

Ils ont ensuite emmené Zaire pour l’autopsie. C’est un examinateur affilié à l’Université du Wisconsin qui a fait l’examen. Cette personne était consciente que Zaire avait été récemment vacciné.

Empreinte de la main et du petit pied de Zaire réalisée juste après son décès

Empreinte de la main et du petit pied de Zaire réalisée juste après son décès

Les vaccins n’ont pas été mentionnés dans le rapport d’autopsie de Zaire

 

Le médecin légiste adjoint du Comté de Dane a certifié que la cause du décès de Zaire était une lésion cérébrale causée par l’anoxie et due à un arrêt cardio-respiratoire avec complication d’hypocalcémie et d’hypovitaminose D. C’est ainsi que ce type de décès fut qualifié de naturel.

 

Les vaccins que Zaire avait reçus moins de 24 heures avant qu’il ne soit placé aux soins intensifs ont été complètement omis de son rapport d’autopsie, malgré que le médecin légiste devait être au courant que Zaire avait été récemment vacciné. Les Centres de Contrôle des Maladies et de Prévention (CDC), comme les fabricants de vaccins admettent que chaque vaccin peut causer la mort… Pas une seule fois, les risques associés aux vaccins n’ont été pris en compte. [2,3]

 

Les hôpitaux comme celui de l’Université du Wisconsin, ainsi que les cliniques qui sont en partenariat avec le CDC, sont financés par le CDC pour effectuer des recherches sur la mort subite du nourrisson. Pour les parents de Zaire, cette situation présente un conflit d’intérêts, étant donné le fait que leur bébé avait été vacciné par un médecin travailant à l’Université du Wisconsin. [4]

Un bébé de 4 mois donne ses organes après avoir reçu 7 doses de vaccin

Lorsque les choses ont pour objectif le profit, et que le CDC finance la recherche faite à l’Université du Wisconsin où Zaire a été traité, les médecins travaillant pour l’Université du Wisconsin ont une tendance à ne pas mentionner les vaccins dans les rapports d’autopsie parce que cela risquerait de présenter une mauvaise image du CDC qui recommande tous ces vaccins qui nuisent aux bébés.

 

Quand un médecin légiste ne fait aucune mention des vaccins dans le rapport d’autopsie, cela contribue à protéger le programme de vaccination. Ceci contribue également à protéger les autres médecins qui vaccinent les enfants et qui sont payés pour chaque dose administrée.

 

[…] Si le cerveau de Zaire avait été endommagé parce qu’il avait connu des problèmes cardiaques, pourquoi les médecins ont-ils pris la décision de prélever son cœur pour le greffer à un autre petit garçon de 5 mois en Ohio et de donner son foie à une personne de l’Utah ?...

 

[…] Les familles d’enfants endommagés par les vaccins n’ont pas la possibilité de poursuivre les fabricants de vaccins ou les médecins qui, dans le cas de Zaire ont vacciné un enfant malade, ce qui représente une contre-indication. Les parents doivent en tout premier lieu s’adresser au tribunal des vaccins qui n’est pas une instance judiciaire normale.

 

[…] Nous envoyons plein d’amour à Zaire pour tout ce qu’il a vécu et pour tout ce que sa très courte vie nous a appris. Souvenons-nous de lui et rendons hommage à toutes les vies qui ont été perdues à cause des vaccinations. Nous osons espérer que le cœur de Zaire continue de battre.

 

A la tendre mémoire de Zaire Corvell Thomas

(22 octobre 2015- 7 mars 2016)

 

Références:

 

  1. https://www.cms.gov/Medicare/Provider-Enrollment-and-Certification…pdf
  2. http://www.cdc.gov/vaccines/vac-gen/side-effects.htm
  3. http://www.immunize.org/fda/
  4. https://www.chawisconsin.org/documents/IP5SUIDreport.pdf
  5. http://www.hngnews.com/sun_prairie_star/news…
  6. http://www.wkow.com…closer-look-at-new-dane-county-medical-examiners-facility
  7. http://www.publichealthmdc.com/family/documents/FIMR2012.pdf
  8. http://rc.rcjournal.com/content/58/3/532.full
  9. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/20068502
  10. http://www.truthaboutorgandonation.com/index.html
  11. http://cid.oxfordjournals.org/content/30/6/857.full
  12. http://www.hrsa.gov/vaccinecompensation/
  13. http://www.hrsa.gov/about/index.html
  14. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC4646954/
  15. http://www.washington.edu…health-system-lauded-for-transplant-organ-donation-excellence-2/
  16. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/books/NBK355268/
  17. http://www.childrenshospital.vanderbilt.org/services.php?mid=4604
  18. http://www.uwhealth.org/organ-donation/consent-workshop/46464
  19. http://www.nvic.org/Vaccine-Laws/state-vaccine-requirements/wisconsin.aspx

 

Source : Vactruth

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1 novembre 2016 2 01 /11 /novembre /2016 10:40

Voilà une information (datant déjà de quelques mois, il est vrai, mais restant néanmoins très actuelle) qu'on ne répétera jamais assez en ces temps de période vaccinale contre la grippe. Elle démontre que les prétendues "solutions" d'hier sont, en vaccinologie, les fracassants échecs d'aujourd'hui... A méditer en cette fête des (vaccins) morts!

Les Centres Américains de Contrôle des Maladies (CDC)  mettent fin à l’utilisation du vaccin (Spray nasal) contre la grippe

Le fiasco prévisible du vaccin nasal contre la grippe (pourtant jadis vanté lui aussi comme indispensable...)

Il y a quelques jours, un Comité consultatif des Centres de Contrôle des Maladies (CDC) a voté contre l’utilisation du vaccin nasal contre la grippe pour la prochaine campagne de vaccination contre la grippe en raison de son extrême inefficacité. Le groupe de travail du CDC connu sous le nom de Comité consultatif sur les pratiques d’immunisation (ACIP) a annoncé que le vaccin vivant atténué n’avait que 3% d’efficacité pour les enfants de 2 à 17 ans. Ce groupe d’experts des vaccins a déclaré qu’ « aucun effet protecteur ne pouvait vraiment être mesuré ».

 

Dans la population générale, l’efficacité globale du vaccin contre la grippe était de seulement 49% [1]

 

L’Académie Américaine de Pédiatrie avait déjà officiellement recommandé de mettre fin à l’utilisation du vaccin à spray nasal contre la grippe. [2]

 

Ce vote qui marque l’absence de confiance dans ce vaccin nasal intervient après trois saisons d’inefficacité.

 

A propos du vaccin spray nasal contre la grippe

 

Le vaccin à pulvérisation nasale contre la grippe est connu dans les  milieux médicaux comme le vaccin vivant atténué contre la grippe. Il est connu du public sous le nom « Flumist ». Il a été autorisé en 2003 comme vaccin « trois en un ». Depuis lors, et selon le fabricant, 116 millions de doses ont été distribuées dans le monde entier. [3] Les ventes du vaccin Flumist aux Etat-Unis au cours de l’exercice 2015 se sont élevées à 206 millions de dollars. Les ventes à l’échelle mondiale ont été de 290 millions de dollars.

 

Les données suggèrent que jusqu’à un tiers des enfants qui ont jusqu’à présent été vaccinés contre la grippe l’ont été au moyen du vaccin nasal. Pour la prochaine saison, le vaccin à spray nasal était censé représenter huit pour cent des doses de vaccin contre la grippe aux Etats-Unis.

 

Un manque d’efficacité

 

Les données du CDC montrent, qu’au cours des dernières saisons de grippe, le vaccin à pulvérisation nasale a été inefficace pour prévenir la grippe chez les enfants. Au cours de la saison 2013-2014,  ce vaccin n’a montré « aucune efficacité mesurable ». Au cours de la saison 2014-2015, aucun de ces vaccin  n’a bien fonctionné contre la grippe chez les enfants âgés de deux à huit ans. [4]

 

Encore plus choquant, le CDC admet sur son propre site web que les vaccins contre la grippe sont inefficaces dans la prévention de la grippe chez les enfants.« Depuis que le CDC a commencé à mesurer l’efficacité du vaccin en 2004-2005, les estimations d’efficacité ont varié de 10% à 60%. »

 

AstraZeneca, le fabricant du FluMist, a contesté les conclusions du CDC, mais déclare que son vaccin à spray nasal contre la grippe a eu une efficacité de 48-56% au cours de la dernière saison de grippe.

 

Ce vaccin à spray nasal contre la grippe, possède la possibilité de répandre le virus de la grippe d’une personne vaccinée à une autre personne. Une étude a été menée chez des enfants d’une garderie, et la probabilité de contracter le virus de la grippe à partir d’un enfant qui avait reçu le vaccin à spray nasal a été estimée à 2,4%. Suite à cette possibilité d’excrétion du virus, ces vaccins à spray nasal pourraient théoriquement avoir causé plus de cas de grippe qu’ils n’en aient empêchés. [5]

 

Le Dr Margot Savoy, membre de l’Académie Américaine des Médecins de Famille, a mis en garde ses collègues médecins. «  Vous ne devriez pas utiliser le LAIV (Live Attenuated Influenza Vaccine) que vous auriez commandé pour des adultes ou des enfants…Ce vote ne laisse aucune place pour l’utilisation du LAIV dans aucune population. » [6]

 

Une recherche dans les rapports du VAERS montre qu’avec l’utilisation du FluMist, 2.893 effets secondaires ont été rapportés. [7]

 

Conclusion

 

Enfin, après des années de recueil de données, il n’est plus possible de cacher le manque d’efficacité de ce vaccin. Même le gouvernement et les organisations professionnelles ont été obligées de prendre bonne note du fait que  les vaccins contre la grippe ne fonctionnent pas.

 

Les parents informés savent qu’il existe des moyens plus sûrs et plus efficaces de garder leurs enfants en bonne santé sans qu’il soit nécessaire de leur injecter des vaccins qui contiennent des ingrédients toxiques.

 

Vous faites-vous vacciner ou faites-vous vacciner vos enfants contre la grippe ? S’il vous plaît, ayez la gentillesse de partager l’information de cet article avec d’autres !

 

Références:

 

  1. http://www.cdc.gov/media/releases/2016/s0622-laiv-flu.html
  2. http://www.aappublications.org/news/2016/06/22/InfluenzaVaccine…
  3. https://www.astrazeneca.com/media-centre/press-releases/2016…
  4. http://www.cdc.gov/media/releases/2015/s0226-acip.html
  5. http://www.fda.gov/downloads…ApprovedProducts/UCM294307.pdf
  6. http://www.aafp.org/news/health-of-the-public/20160623laivvote.html
  7. https://vaers.hhs.gov/data/data

 

Source: Vactruth

En 2002, les CDC américains ont "la bonne idée" de recommander la vaccination annuelle de tous les enfants de - de 5 ans contre la grippe: il s'en suit une HAUSSE de la mortalité liée à la grippe chez les enfants.... BRAVO!

En 2002, les CDC américains ont "la bonne idée" de recommander la vaccination annuelle de tous les enfants de - de 5 ans contre la grippe: il s'en suit une HAUSSE de la mortalité liée à la grippe chez les enfants.... BRAVO!

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1 novembre 2016 2 01 /11 /novembre /2016 09:42

Une étude établit un rapport entre la survaccination, l’autisme, le diabète et l’obésité

 

Par Sayer Ji, 2 octobre 2016 (Extraits)

Une étude établit un rapport entre la survaccination, l’autisme, le diabète et l’obésité

Une étude publiée dans Molecular and Genetic Medicine met l’accent sur la connexion inquiétante qui existe entre l’expansion spectaculaire de la quantité de vaccins administrés de routine aux enfants et une augmentation correspondante de troubles inflammatoires.

 

Cette étude est intitulée : Examen de la surcharge immunitaire induite par les vaccins et les épidémies qui en résultent. Epidémies de Diabète de type 1 et le syndrome métabolique. L’accent est mis sur le risque de Pré-diabète, ainsi que d’autres maladies à médiation immunitaire.

 

L’étude montre que la surcharge immunitaire induite par les vaccins est un facteur déterminant dans un certain nombre d’épidémies de l’enfance qui ne cessent de croître comme :

·         L’autisme

·         Le diabète de type 1

·         L’asthme

·         Les allergies alimentaires

·         De nombreuses maladies auto-immunes

·         L’obésité

·         Le diabète de type 2

·         Les maladies du foie non liées à l’alcool (NAFL)

·         La maladie métabolique

 

L’étude tente de fournir une théorie qui pourrait expliquer que la surcharge vaccinale pourrait expliquer de nombreuses observations réalisées sur les changements qui se produisent actuellement au cours d’épidémies. Le problème fondamental, selon l’étude, est que la vaccinologie suppose une approche passe-partout (one size fits all) qui induit une surexcitation du système immunitaire chez de nombreux vaccinés :

 

« Un des problèmes majeurs ayant trait aux vaccins est le concept du vaccin « passe partout », celui d’une approche uniformisée, identique pour tous. Les notices de presque tous les vaccins recommandent cependant une dose en fonction de l’âge. Pour qu’un vaccin puisse avoir un succès commercial, il convient qu’il puisse induire une réponse immunitaire protectrice chez plus de 90% des enfants. Pour que cet objectif puisse être atteint, l’administration d’une dose en fonction de l’âge, doit pouvoir stimuler une réponse immunitaire protectrice chez les personnes ayant les systèmes immunitaires les plus faibles. Chez la plupart des enfants, le système immunitaire est sur-stimulé. Le fait de régulièrement sur-stimuler le système immunitaire augmente le risque de maladies inflammatoires telles que les maladies auto-immunes et les allergies qui provoquent encore plus d’inflammation. »

 

A la suite de vaccinations, le résultat d’une sur-stimulation du système immunitaire peut varier d’une personne à l’autre, et dépend entièrement de la bio-individualité du sujet qui donne une réponse physiologique unique à l’inflammation. La cascade inflammatoire provoque d’autres effets indésirables en aval :

 

« L’inflammation provoque la libération de cytokines qui peuvent déclencher des maladies auto-immunes, mais aussi stimuler la production de cortisol et donc favoriser des réactions très négatives du système immunitaire. Selon la théorie, l’inflammation provoquée par le cortisol varie en fonction de la race. [3] La chose peut s’expliquer par la présence de gènes susceptibles de modifier la production de cortisol. Les individus qui produisent beaucoup de cortisol en réponse à l’inflammation ont tendance à développer une réponse du type du syndrome de Cushing, comme l’obésité, le diabète de type 2, l’hypertension, la dyslipidémie qu’on appelle aussi syndrome métabolique ». Pour les actionnaires, ce sont les mêmes tendances du programme de vaccination qui se sont perpétuées au cours des 15 dernières années : « au plus de vaccins, au mieux ». Le programme de vaccination est à tel point surchargé que chaque nouveau vaccin augmente d’une façon mathématique les risques d’une surcharge immunitaire :

 

« Depuis 1999, le programme de vaccination de routine [9,10] comprend 80 vaccins. Ce nombre provient du fait que les vaccins multivalents contiennent des vaccins spécifiques pour chaque souche. Les vaccins suivants ont été ajoutés : le pneumocoque (13 valences), le méningocoque (4 valences) le virus du papillome humain (4 valences), l’hépatite A (1 valence), le rotavirus (4 valences), la grippe (3 valences par an X 18= 54 ».

 

L’étude a fourni des  explications détaillées sur les différentes façons dont un vaccin qui induit une sur-stimulation du système immunitaire peut contribuer à provoquer des maladies chroniques telles qie le diabète de type 1, l’obésité, le NAFL. Mais le lien qui est proposé par rapport à l’autisme est le plus remarquable, étant donné que le fait de lier les vaccins à un trouble du spectre autistique est un sujet particulièrement  tabou. - L’auteur principal de l’étude fait référence à une étude qu’il a publiée en 2013 et intitulée intitulé : la prévalence de l’autisme est positivement associée à l’incidence du diabète de type 1, mais négativement associée à l’incidence du diabète de type 2  […] tout ceci suggère un rôle possible des vaccins dans des épidémies simultanées. Il est clair que si les vaccins sont capables de  sur-stimuler le système immunitaire et/ou de rompre une auto-tolérance immunologique, on pourrait dès lors comprendre que tout ceci pourrait s’exprimer dans une large gamme de différentes manières : le système immunitaire pourrait, par exemple, attaquer les cellules bêta productrices d’insuline dans le pancréas (diabète de type 1) ou dans le cerveau (autisme). Les permutations et les effets sur la santé sont sans fin.

 

L’auteur fait remarquer que les théories de l’auto-immunité induite par les vaccins ont été extrêmement difficiles à prouver parce que les études de post-commercialisation et de surveillance épidémiologique, comme celles des essais prospectifs sur les vaccins effectués pour obtenir les permis, sont soit trop réduites, de trop courte durée ou mal contrôlées (utilisation d’autres vaccins en guise de placebos) pour pouvoir apprécier de manière appropriée la relation entre les vaccins et les épidémies.

 

L’auteur fait aussi remarquer que «  Bien que l’idéal serait de pouvoir disposer de plus de données de tests cliniques, l’industrie et le gouvernement ont été réticents à fournir pareilles informations. Il faut se rappeler que les conclusions concernant la toxicité de nombreux produits, y compris les cigarettes et l’amiante ont été établies sans essais cliniques […]

 

Nous pensons que l’auteur a raison de lancer pareil avertissement. Même si le problème ne relève pas directement du domaine académique, il n’en reste pas moins qu’il y va de la santé actuelle et future de nos enfants.

 

Si l’actuel calendrier de vaccinations pédiatriques qui ne cesse de croître, se traduit par la sur-stimulation et la dysrégulation de l’immunité des enfants, ce qui pourrait expliquer le mystère qui se cache derrière l’atroce épidémie « idiopathique » d’autisme. Si cette approche s’avère exacte, le programme doit être immédiatement suspendu et réévalué pour la sécurité, au moyen d’essais cliniques contrôlés de manière appropriée (avec d’authentiques placebos) pour pouvoir enfin apporter les preuves nécessaires comme bases et justification à la vaccination comparativement  à une optimisation nutritionnelle, à l’assainissement, à l’hygiène, à la médecine à base de plantes comme première ligne de défense stratégique pour la prévention des maladies infectieuses. Rien de moins que cela relèverait d’une attitude pseudo-scientifique et violerait clairement le consentement éclairé.

 

Source : Thesleuthjournal.com

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31 octobre 2016 1 31 /10 /octobre /2016 19:27

Le Dr Sin Hang Lee recommande que la Chine reporte les vaccinations contre le HPV

 

Par Norma Erickson, Sanevax, Inc. , 22 août 2016

 

Le Dr Sin Hang Lee, pathologiste en chef, a fait parvenir une lettre ouverte au Président Chinois, ainsi qu’à son premier Ministre, pour leur demander de postposer la vaccination qui avait été programmée pour les enfants chinois et les jeunes femmes de 9 à 25 ans.

Le Dr Sin Hang Lee recommande que la Chine reporte les vaccinations contre le HPV

La population chinoise se compose d’environ  143 millions de femmes de 9 à 25 ans. [1] Si les fabricants du vaccin contre le papillomavirus humain réussissent à convaincre le gouvernement chinois de faire vacciner chaque femme de ce groupe, au moyen des 3 doses du vaccin, grâce à un programme financé par l’Etat Chinois tel que proposé par deux de leurs consultants payés [2], le chiffre d’affaires qui pourrait être généré pourrait atteindre  les 64 milliards de dollars (en prenant comme référence le prix des vaccins HPV vendus aux Etats-Unis à 150 $ la dose). Cette énorme somme d’argent aurait un impact énorme sur leurs bénéfices. Mais la question reste de savoir à quel prix ?

 

GlaxoSmithKline (GSK) était en effet plus proche du but à quand ils ont annoncé, le 18 juillet 2016 qu’ils avaient réussi à persuader la Food and Drug Administration Chinoise d’accorder une licence pour le Cervarix, comme premier vaccin contre le HPV en vue de prévenir le cancer du col de l’utérus en Chine. Selon l’annonce de GSK, le lancement commercial du Cervarix en Chine serait attendu pour le début de l’année 2017. - La mise en œuvre d’une campagne massive de vaccination contre le HPV en Chine pour les jeunes femmes de 9 à 25 ans, a provoqué de graves inquiétudes parmi de nombreux citoyens informés tant en Chine qu’à l’étranger. Une des personnes parmi les plus concernées est le Dr Sin Hang Lee, MD, médecin américain originaire de Chine qui a effectué sa formation médicale et le début de sa carrière en Chine. Le Dr Lee a pratiqué en Amérique depuis plus de 50 ans dans le domaine du diagnostic du cancer. Il possède une vaste expérience des tests ADN du HPV qu’il a utilisés dans des échantillons provenant de patients. Il a aussi une grande connaissance de tout ce qui touche au vaccin Gardasil contre le HPV.

 

Sur la base de sa connaissance des impacts sur la santé que peuvent avoir les vaccins contre le HPV, le Dr Sin a fait état de ses énormes préoccupations pour la population féminine de Chine. Ses inquiétudes l’ont poussé a écrire une lettre ouverte au président Xi Jinping, ainsi qu’au premier Ministre Li Keqiang de la République Populaire de Chine, en leur demandant d’utiliser leur pouvoir pour retarder la mise en œuvre de tout le programme de vaccination contre le HPV en Chine jusqu’à ce que les risques et les avantages de la vaccination de masse des enfants et des jeunes femmes contre le HPV soient évalués de manière adéquate par des experts médicaux et scientifiques indépendants. Le Dr Lee estime qu’il est essentiel que ces experts ne soient pas financièrement liés aux fabricants ou autres parties prenantes dans l’affaire du vaccin contre le HPV.

 

Dans sa Lettre Ouverte, le Dr Sin soulève une série de préoccupations scientifiques au sujet du programme de vaccination proposé contre le HPV :

 

  1. Il y a zéro preuve scientifique qu’il ait été prouvé que les vaccins HPV aient pu prévenir un seul cas de cancer du col de l’utérus dans quelque pays que ce soit.
  2. Pour promouvoir le vaccin HPV, GSK a créé une peur inutile du cancer du col pour pouvoir créer un marché basé sur la peur et non sur les faits.
  3. En raison de différences génétiques, les vaccins contre le HPV qui ont été initialement développés et testés en Amérique du Sud, pourraient ne pas être efficaces dans diverses ethnies chinoises.
  4. Contrairement à la vaccination, le dépistage du cancer du col connu depuis longtemps, et de faible coût, est un moyen sûr, efficace et éprouvé pour lutter contre le cancer du col utérin. En tant que tel, ce dépistage devrait figurer en tout premier plan dans le programme de Santé publique. Il permettrait d’économiser des milliards de dollars et pourrait sauver d’innombrables vies.
  5. La vaccination contre le HPV n’offre aucune valeur ajoutée aux programmes existants de dépistage du cancer du col de l’utérus.
  6. A l’échelle du monde, des dizaines de milliers de réactions indésirables graves se sont produites après l’administration du vaccin contre le HPV, y compris des décès.
  7. Les fabricants de vaccins ont utilisé de manière inappropriée leur principal adjuvant aluminique pour stimuler l’immunité au cours des tous les essais cliniques. Ce fait a permis de masquer les risques que comportent les vaccins contre le HPV.

 

Les préoccupations du Dr Lee à propos de la vaccination contre le HPV s’appliquent aussi à d’autres pays, où un certain nombre d’enquêtes sont en cours et qui portent sur la sécurité et l’efficacité des programmes de vaccination contre le HPV.

 

Lire la Lettre Ouverte du Dr Lee postée par M. I-Wan Chen, consultant politique en République Populaire de Chine.

 

Références :

 

[1] Demographics of China 2015.

https://en.wikipedia.org/wiki/Demographics_of_China#Population_of_China_by_age_and_sex_.28demographic_pyramid.29

[2] Castle PE, Zhao FH. Population effectiveness, not efficacy, should decide who gets vaccinated against human papillomavirus via publicly funded programs. J Infect Dis. 2011;204:335-7.

 

Source : SaneVax

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30 octobre 2016 7 30 /10 /octobre /2016 22:58

 

13 juillet 2016

 

64 plaintes de jeunes femmes introduites devant 3 tribunaux japonais pour les dommages de santé subis après avoir été vaccinées contre le HPV (cancer du col de l’utérus)

Vaccins HPV: 64 plaintes de jeunes femmes japonaises devant 3 tribunaux après effets secondaires graves

Les jeunes-femmes qui ont subi les effets secondaires des vaccins contre le cancer du col utérin ont été photographiées en mars lors de l’annonce de leur plainte en justice. Le premier groupe de 12 jeunes femmes qui avaient porté plainte est maintenant passé à 64.

 

Le groupe d’avocats qui défendent les 64 jeunes-femmes ayant souffert de problèmes de santé à la suite des vaccins contre le cancer du col de l’utérus ont déclaré mardi que les victimes allaient porter plainte le 27 juillet devant quatre tribunaux contre le gouvernement et deux compagnies pharmaceutiques qui fabriquent ces vaccins.

 

Sur ces 64 jeunes-femmes, 23 déposeront plainte devant le tribunal de Tokyo, 6 devant le tribunal de Nagoya, 16 devant le tribunal d’Osaka et 14 devant le tribunal de Fukuoka.

 

Dans un premier temps, les victimes, principalement des adolescentes, exigeront chacune un dédommagement de 15 millions de Yens pour un total de 960 millions de yens. Le montant des sommes réclamées pourrait augmenter en fonction des symptômes qui pourraient se produire dans la suite. Les problèmes de santé des victimes comprennent essentiellement des douleurs dans tout le corps.

 

La moyenne d’âge des jeunes-filles qui vont déposer plainte devant le tribunal de Tokyo est de 18 ans. Elles ont été vaccinées quand elles avaient entre 11 et 16 ans.

 

Constatant que les vaccins contre le cancer du col de l’utérus avaient, entre autres, causé des troubles nerveux suite à des réactions immunitaires excessives, les avocats ont estimé que l’approbation de ces vaccins inefficaces était tout simplement illégale et que les fabricants étaient aussi responsables.

 

Masumi Minaguchi, l’un des avocats a déclaré : « Au travers du procès, notre objectif est de clarifier les responsabilités du gouvernement et des fabricants pour que les victimes puissent, dans la mesure du possible, vivre sans inquiétude. »

 

Les vaccins contre le cancer du col de l’utérus ont été introduits dans le programme de vaccination en avril 2013. Le gouvernement a cependant cessé de recommander ces vaccins en juin de la même année après avoir reçu des rapports de plaintes concernant des dommages causés à la santé des personnes qui avaient reçu ces vaccins.

 

Entre-temps, la Société pédiatrique japonaise, ainsi que 16 autres institutions ont, en avril, recommandé l’utilisation active de ces vaccins, en précisant qu’il était clair que ces vaccins étaient efficaces dans la prévention du cancer du col de l’utérus.

 

Source: Japan Times

 

Voir aussi

 

Japon: le ministère retire sa recommandation en faveur des vaccins HPV Gardasil et Cervarix

 

Japon: avertissement de chercheurs sur les effets secondaires des vaccins HPV

 

Une jeune virtuose japonaise détruite par le vaccin Cervarix

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