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7 mars 2016 1 07 /03 /mars /2016 10:58

De plus en plus de parents inquiets nous contactent après coup (une fois que les vaccins ont été injectés) car ils se demandent quoi faire au vu des effets observés chez leurs enfants et ne savent pas comment cela va évoluer. Parmi les effets les plus courants, on retrouve la fatigue, l'irritabilité, la perte d'appétit, les perturbations du rythme veille-sommeil et celles de la courbe de croissance ....

Perte d'appétit après un vaccin: faut-il s'inquiéter?

Le plus grand danger et la plus grande erreur pour votre enfant serait de banaliser et minimiser ces signaux d'alerte et de continuer envers et contre tout à vacciner. Or c'est hélas l'attitude tout à fait irresponsable du corps médical, littéralement obsédé par le dogme des vaccins, mais le fait est que cet entêtement se solde en pratique par un nombre dramatique d'effets secondaires bien plus graves et irréversibles qui auraient encore pu être évités si les parents avaient arrêté à temps les vaccinations, c'est-à-dire s'ils avaient tout simplement correctement observé les signes chez leurs enfants et en avaient suffisamment tenu compte. Le bon sens commande en effet que: dans le doute, il faut s'abstenir et non s'obstiner!

 

Voici un exemple de mail que nous recevons à la pelle et la réponse d'Initiative Citoyenne à partager et à faire connaître autour de vous dans l'intérêt des enfants:

 

"Bonjour

 

j'ai une petite fille de 2 mois et 1/2, qui a été vaccinée avec Infarix Hexa à l'âge de 2 mois et Prévenar. 

 

Elle a toujours eu un petit appétit mais depuis le jour où elle a été vaccinée, elle a fortement réduit les quantités qu'elle mange, et cela dure encore. Est-ce possible selon vous que ce soit à cause du vaccin? Que pouvons-nous faire?


Merci pour votre réponse, nous sommes plutôt inquiets."

 

Réponse d'Initiative Citoyenne:

 

Bonjour,
 
Non seulement ces effets sont connus, notés dans les notices mais en plus ici il y a un facteur temporel évident et l'absence selon ce que vous nous décrivez d'une autre cause plus évidente. Les vaccins entraînent très fréquemment des cassures de la courbe de croissance.
 
Il faut aussi savoir que selon un rapport officiel de 2009 de l'ONE (Office de la Naissance et de l'Enfance ici en Belgique, qui équivaut aux PMI françaises), 5% des enfants vaccinés doivent reconsulter endéans les 48H pour effets secondaires après un vaccin (cf. p. 43/54) mais ce que ce rapport ne dit pas, c'est quel pourcentage d'enfants doivent reconsulter endéans la semaine, les deux semaines, le mois, les 6 mois? Et cela A CAUSE DES EFFETS SECONDAIRES DES VACCINS!
 
Mais le plus grand danger (dans l'immédiat pour votre enfant) est que les médecins banalisent ces effets en disant "c'est rien, ça va passer" pour vous inciter à continuer envers et contre tout à vacciner et ce qui se passe de plus en plus fréquemment (nous sommes bombardés de témoignages et de demandes y compris avec des dossiers en justice d'enfants déjà handicapés à vie ou même décédés) c'est qu'en continuant les vaccinations, les enfants s'enfoncent de plus en plus et à la Xème dose, ça peut donner une mort subite du nourrisson, un cas d'autisme, une épilepsie irréversible, un diabète-insulino-dépendant etc. etc. Et dans ces cas-là, inutile de vous dire qu'on ne sait plus faire machine arrière contrairement aux maladies infectieuses naturelles qui elles, sont en très vaste majorité, réversibles et temporaires!
 
Donc déjà, la première des choses à faire est de vous informer suffisamment sur les risques absolument démentiels (et nous pesons nos mots!) que représentent les vaccins qui sont tous des produits clairement expérimentaux qui n'ont encore jamais été évalués de façon réellement scientifique, voir notamment les articles suivants mais qui ne sont pas exhaustifs. Prenez-le temps de les lire un à un, vous verrez comment ils vous renseigneront précisément sur les produits reçus par votre enfant et leurs réels effets possibles.... rien ne vous empêche après sur base de ces infos d'interroger un médecin et de voir alors si les réponses qu'il fera vous satisferont!
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
Ensuite, quand vous aurez compris que la chose la plus grave est de ne pas tenir compte des signaux d'alerte déjà manifestés par le corps de votre enfant face à cette agression chimique et immunologique, le mieux est d'aller voir un thérapeute holistique pour entamer un traitement homéopathique et compléter au besoin avec d'autres types de soins doux et respectueux du corps et de la physiologie de votre enfant. Il existe de nombreux guides bien faits (cf Amazon.fr) écrits par des thérapeutes qualifiés sur les méthodes de soins intelligentes chez les enfants: homéopathie pour enfant, aromathérapie pour enfants (cf "Ma bible des huiles essentielles" de la pharmacienne Danièle Festy qui comprend une partie "enfants") etc. etc. Ces guides sont intéressants pour vous donner une certaine autonomie mais ne remplacent pas purement et simplement la relation personnalisée avec votre thérapeute holistique. NB: il n'est pas strictement nécessaire de recourir à un pédiatre pour les enfants; beaucoup de parents croient qu'un pédiatre est absolument incontournable mais dans les faits, il s'avère hélas que ces médecins -à quelques exceptions près tout de même- sont de grands zélateurs de vaccins et très peu pratiquent une médecine réellement personnalisée et donc adaptée à l'individualité biologique de votre enfant; Le Dr Mendelsohn, qui était pédiatre lui-même dénonçait la dangerosité de la plupart de ses confrères pédiatres..... Le livre gratuit de ce pédiatre vous évitera bien des bêtises dommageables pour votre enfant et vous explique quand consulter et quand ne pas consulter ou se méfier des "conseils" des médecins pouvant parfois être plus dangereux que bénéfiques. Tout le livre est une merveille. Le chapitre n°19 traite exclusivement de l'avis de ce pédiatre sur les vaccins....
 
Bien cordialement,
L'équipe d'Initiative Citoyenne
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6 mars 2016 7 06 /03 /mars /2016 21:14

Réponses de Michel Georget à l'article : ET SI ON ARRÊTAIT DE VACCINER ! (Propos du Pr François Bricaire, membre de l'Académie de Médecine): 

Michel Georget, 16 février 2016 à 23:33

 

Permettez-moi de vous apporter la contradiction sur plusieurs points, en me référant à des données scientifiques vérifiables.


Tout d'abord, pour ceux que vous appelez les anti-vaccinaux « le déclin des maladies infectieuses ne serait pas dû aux vaccins, mais à l’hygiène », mais c'est l'OMS elle-même qui l'a déclaré en ces termes : « On peut se demander si l'abaissement du taux de mortalité n'a pas été trop aisément attribué à l'action sanitaire. Au cours du processus de développement, qui fut long et relativement lent dans la plupart des pays actuellement industrialisés, le développement économique, surtout au stade initial, a probablement contribué plus efficacement que la santé publique et la médecine clinique à réduire la mortalité. (1) » 

Venons-en maintenant à deux exemples emblématiques : la variole et la diphtérie.


Tout d'abord, la variole : Dans le rapport de son éradication publié par l'OMS et consultable sur internet, on peut lire : « Les campagnes d'éradication reposant entièrement ou essentiellement sur la vaccination de masse furent couronnées de succès dans quelques pays mais échouèrent dans la plupart des cas. […] Il eût été extrêmement coûteux et logistiquement difficile, sinon impossible, d'atteindre des niveaux beaucoup plus élevés de couverture. Avec les moyens disponibles, il fallait absolument changer de stratégie. » 


Ce qui fut fait en adoptant la stratégie de surveillance-endiguement au sujet de laquelle le porte-parole de l'OMS put déclarer au journal Le Monde (21-12-1977) : « Sur le plan stratégique, l'abandon de la vaccination de masse en faveur de l'approche de surveillance-endiguement revêtit une importance capitale. Avec ce type d'approche, on parvenait à faire complètement échec à la transmission, même lorsque l'incidence variolique était élevée et les taux d'immunisation faibles. » Il est difficile d'être plus clair pour montrer l'insignifiance de la vaccination antivariolique.

(1) Rapport sur les statistiques sanitaires mondiales, OMS, 1974, 27 (5).

http://img1.blogblog.com/img/blank.gif

Michel Georget, 16 février 2016 à 23:45

 

Venons-en maintenant à la diphtérie. 


Il ne faudrait pas oublier que les épidémies ont une vie : elles naissent, se développent et meurent. La diphtérie en est un bel exemple.


Dans un opuscule de l'OMS publié en 1962(1), on peut lire ceci : « il est vrai que la fréquence des cas nouveaux de diphtérie peut augmenter et diminuer indépendamment des programmes de vaccination. Il y a une centaine d'années [en 1858] Sir John Simon, premier titulaire du poste de Medical Officer au Conseil privé de Grande Bretagne, disait : la diphtérie est une maladie qui, bien qu'elle ait été autrefois répandue, est presque inconnue de la génération actuelle des médecins britanniques.» Or, à cette époque le vaccin n'existait pas!

 

Par ailleurs, vous écrivez : « La diphtérie a régressé complètement partout où la vaccination a été introduite et respectée ». Une publication fort intéressante (2) a montré qu'entre 1940 et 1950 les épidémies de diphtérie se sont développées de la même façon en France, Hollande, Norvège, Suède, Danemark, Finlande, avec une crue jusqu'en 1945 suivie d'une régression très rapide, quel que soit le degré d'immunisation.

Vaccinations: un biologiste remet les pendules à l'heure

Ces auteurs mettent en relief le cas de la Norvège qui a vu le nombre de décès dus à la diphtérie chuter de 555 à 2 entre 1908 et 1939 alors que la vaccination était peu pratiquée (notamment parce que le vaccin ne fut mis au point qu'en 1923) alors que le nombre de décès est remonté à 747 en 1943 en dépit d'une vaccination obligatoire depuis 1941.

Vous écrivez également « un arrêt ou un relâchement de la protection vaccinale a toujours été suivi de reprise de cas .» Le cas emblématique de l'Allemagne vient à l'encontre de cette affirmation.


Ce pays connaissait depuis longtemps une incidence diphtérique élevée (3). En 1941, la vaccination devint obligatoire. Dès 1942, 80% des enfants des enfants de la ville de Berlin étaient vaccinés. Or la mortalité diphtérique sextupla en cinq ans de vaccination obligatoire. Au vu de cet échec et des maigres moyens financiers dont disposait l'Allemagne à la fin de la guerre , l'obligation de vaccination fut suspendue . En dépit de conditions de vie difficiles (sous-alimentation, problèmes de logement liés aux destructions de la guerre, promiscuité) morbidité et mortalité diphtériques s'effondrèrent en l'espace de cinq ans seulement alors que tout pouvait faire craindre le contraire(3).


Ces quelques exemples permettent vraiment de douter de l'impact des vaccinations dans la régression de la diphtérie. Et en France me direz-vous ? Il y eut pour commencer l'obligation de vacciner les hommes au service militaire à partir de 1931 puis l'obligation de vacciner la population enfantine en 1938. Des campagnes massives de vaccination furent entreprises en 1942, ce qui n'empêcha pas le triplement du nombre de cas de diphtérie dès 1943 et jusqu'en 1945, comme en atteste l'Annuaire statistique de la France. L'inefficacité était patente. Comment a-t-elle pu ne pas apparaître au grand jour ? Tout simplement en considérant, comme cela figure dans les manuels scolaires, que les vaccinations n'ont débuté qu'en 1945, ce qui est manifestement faux. Un tel comportement n'a rien d'honnête et encore moins de scientifique.

Vaccinations: un biologiste remet les pendules à l'heure

(1) Cahiers de santé publique n°8, OMS. 1962, Le rôle de l'immunisation dans la lutte contre les maladies transmissibles.

(2) Madsen T. et S. : Danish medical bulletin, 1956, 3 (4) : 112-121.
(3) Rendu R. Résultats comparés de la vaccination et de la non-vaccination dans la lutte contre la diphtérie. Journal de médecine de Lyon, 1954, 35 (819) : 147-160. 

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5 mars 2016 6 05 /03 /mars /2016 10:51

Dr Suzanne Humphries, M.D., néphrologue

 

VACCINS : « Consentement fabriqué ». Le doute, même fondé, est interdit ! (Extraits)

Vaccins: comment le doute est interdit et le consentement fabriqué!

Conférence du Dr Suzanne Humphries, néphrologue, au Danemark, en novembre 2015.

 

Vous pourriez vous demander pourquoi je vous parle aujourd’hui du « consentement fabriqué » au lieu de vous parler du « consentement éclairé ». Il existe à cela plusieurs raisons. L’une d’elles est le changement que j’ai pu observer dans le système médical qui s’efforce de faire accepter aux gens le type de comportement que le système veut qu’ils adoptent.

 

Vous pourriez croire, comme c’est le cas avec d’autres pratiques médicales, que c’est sur la véritable science (« solid science ») que repose le consentement éclairé. Les faits montrent cependant que les choix que vous faites n’ont jamais été basés sur un consentement libre et éclairé.

 

En 1997, l’OMS a forgé une stratégie qui a été publiée dans le livre « The Strategic Plan ». Cet ouvrage était destiné à modifier complètement la manière dont les gens envisagent les vaccinations. Ce plan comportait des points-clés et devait se servir des médias pour élaborer des messages destinés à conditionner l’opinion publique, et à convaincre les leaders d’opinion à tous les niveaux de la société. Il fallait des porte-paroles à tous les niveaux pour véhiculer un message, et un seul message.

 

Ce plan met l’accent sur le partenariat privé/public, ainsi que sur le concept de philanthropie. Tout ceci dans le but de faire accepter l’idée que les vaccins constituent un élément de base, un élément essentiel de la vie en société. Tous ceux qui lisent cet ouvrage pourront réaliser clairement que ce plan ressemble à la parabole de la grenouille dans l’eau froide. Comme l’eau est réchauffée très progressivement, très graduellement, la grenouille ne peut se rendre compte de ce qui se passe jusqu’à ce qu'arrive le moment où elle est finalement cuite. Comme la grenouille, nous sommes conduits progressivement à une situation dans laquelle il ne nous sera plus possible de voir autre chose que le dogme que l’on veut nous imposer. 

Vaccins: comment le doute est interdit et le consentement fabriqué!

Les gens qui font partie de ce plan s’appellent les parties intéressées (acteurs privés). Cette situation a pris de l’ampleur au cours des 20 dernières années, mais jamais aussi clairement qu’en 2015. Toutes les apparences en ce qui concerne les vaccins ont été modifiées, et une grande partie de ces modifications est due à l’intervention du secteur privé.

 

En 2010, la Fondation Bill & Melinda Gates a donné 10 milliards de dollars pour permettre de faire de l’époque 2010-2020 « La décennie des vaccins ».

 

A cette époque, je n’aurais jamais pu imaginer ce que 10 milliards de dollars auraient la possibilité de réaliser.

 

Avec cet argent, les acteurs privés sont parvenus à planter leur drapeau partout dans le monde, et avec des résultats étonnants. En 2015, par exemple, il fut question aux Etats-Unis de rendre la vaccination obligatoire pour tout le monde. Le succès a été assuré dans plusieurs régions du pays. C’est ainsi que les vaccinations ont commencé à devenir obligatoires du berceau à la tombe.

 

Le plan stratégique de l’OMS a d’abord été publié en 1993 pour être revu en 1997. Il s’agit d’une stratégie mondiale de vaccination à laquelle Bill Gates fait souvent référence dans sa publicité. – Aujourd’hui, nous avons l’Alliance d’un milliardaire, d’une industrie pharmaceutique, d’une Académie, du Département Américain pour la Sécurité Intérieure, ainsi que l’Organisation Mondiale de la Santé.

 

Ce genre d’alliance a de quoi faire réfléchir parce que les buts poursuivis concernent la restriction de nos libertés dans le domaine de la santé, dans la censure de ce que nous pouvons lire et dire, comme dans les choix que nous pourrions faire par rapport à ce qui peut ou non rentrer dans notre corps.

 

On se souviendra de l’année 2015 comme de l’année d’une guerre sans précédent contre tous ceux qui HESITENT à se faire vacciner (…).

 

Nous assistons maintenant à des manifestations de censure de toutes les vues qui ne sont pas pro-vaccinales. On traite les contestataires de fous et de stupides obstinés. Nous assistons également à des efforts énormes de propagande vaccinale. (…)

 

Pour parer aux fissures qui apparaissent de plus en plus dans le « barrage », il convient que les journalistes soient également censurés. Le Dr Paul Offit est la figure pro-vaccins n°1 aux Etats-Unis. C’est lui qui fait les recommandations aux médecins et aux groupes de consultance. C’est ce même personnage qui n’hésite pas à dire que les journalistes qui publient ou discutent les arguments ou les faits présentés par ceux qui remettent les vaccins en question, devraient être jetés en prison ! De ce fait, les journalistes ont de plus en plus peur de perdre leurs sponsors et sont de plus en plus terrifiés. Mais les choses vont plus loin encore : ainsi, le Registre Fedéral du Ministère de la Santé Américain (Federal Register of Health and Human Services) de 1984 n’hésite pas à publier : « tous les doutes possibles à propos de la sécurité du vaccin, qu’ils soient parfaitement fondés ou non, ne peuvent être autorisés à exister ».

Vaccins: comment le doute est interdit et le consentement fabriqué!

[Alors que : « Une véritable science a pour moteur sa propre mise en cause », A.Imbert, et "Le monopole, c'est le dogme" - Georges Clemenceau. -  NDT]

 

Les personnes qui s’opposent aux vaccins font l’objet de toutes les menaces possibles. Partout, des médecins sont menacés de se voir retirer leur licence. Peter Lipson n’hésite pas à dire que les médecins qui ne seraient pas d’accord avec la politique vaccinale officielle devraient faire l’objet d’avertissements et d’enquêtes. Ils devraient également perdre leur licence d’exercer et devraient être contraints de subir une propagande (lire: lavage de cerveau), soit 150 heures de recyclage !

Vaccins: comment le doute est interdit et le consentement fabriqué!

Le message : il suffit de le faire ! C’est bon pour votre enfant et pour n’importe qui. Vous devez vous montrer cruel pour être gentil !

 

L’essentiel de l’histoire de la vaccination est parfaitement sélective pour ne faire apparaitre que de très rares problèmes parmi tous ceux qui se passent dans la réalité de tous les jours. Il est donc beaucoup plus facile de se mettre la tête dans le sable que d’avoir le courage d’affronter des vérités moins agréables (…).

 

En tant que néphrologue, je vois les problèmes pédiatriques augmenter dans des proportions importantes… Les gens ne peuvent s’empêcher de constater que leurs enfants deviennent malades après les vaccinations, et ils en ont marre d’entendre qu’il s’agit de coïncidences. Beaucoup de parents aussi commencent à comprendre que tout le système est basé sur la peur.

 

Ce que les officiels de la santé appellent « bon pour vous » doit être traduit par « totalement conforme ».

 

Vous disposez d’une totale liberté… tant que :

 

  • Vous ne posez pas de questions,
  • Faites les « bons choix »,
  • Vous vous soumettez,
  • Vous suivez les directives
Vaccins: comment le doute est interdit et le consentement fabriqué!

CONFORMITE

 

En cas de problèmes, il s’agit surtout que les parents n’établissent pas de liens avec les vaccins.

 

Mais que se passe-t-il quand les parents s’interrogent ? En général, les médecins rejettent automatiquement toute relation des problèmes de santé avec la vaccination, et si les parents persistent à poser des questions, ils s’attirent le dédain et l’hostilité du corps médical. Les médecins n’hésitent alors pas à traiter les personnes de paranoïaques, d’hystériques, ou de dangereuses. J’ai, en tant que médecin, été traitée avec la même hostilité. On m’a dit que j’avais du sang sur les mains !

 

J’éprouve de réelles difficultés à prendre le Dr Paul Offit au sérieux quand il répond, par exemple, aux parents qui s’inquiètent du nombre de vaccins que l’on administre aux enfants. Offit n’hésite en effet pas à déclarer qu’un nourrisson pourrait tolérer de 10.000 à 100.000 vaccins à la fois!

 

Il est bon de savoir que le Dr Paul Offit est l’inventeur d’un vaccin. C’est à lui que l’on s’en réfère pour savoir le nombre de vaccins que les enfants doivent recevoir. C’est lui qu’il faut écouter dans le domaine des vaccins !

 

Aujourd’hui, nous savons que Paul Offit n’est pas seulement un expert des « bénéfices » que pourrait avoir l’aluminium sur les fœtus, mais il est aussi un lanceur d’alertes sur les problèmes psychologiques dont devraient souffrir tous ceux qui ne sont pas d’accord avec lui ! Il semble bien clair que les inquisiteurs d’aujourd’hui ont reçu la mission précise d’éradiquer chaque différence d’opinion qui menacerait l’absolutisme vaccinal.

 

Les médecins qui ont compris la réalité de la situation risquent d’en perdre le sommeil. Ils hésitent à parler publiquement parce qu’ils savent que cela peut leur coûter cher.

Vaccins: comment le doute est interdit et le consentement fabriqué!

Selon ses recherches, le Dr Offit prétend « qu’en théorie des enfants sains auraient la capacité de recevoir jusqu’à 100.000 vaccins à la fois ».

 

Les médecins sont aussi terrifiés par rapport au sort qui pourrait les attendre, comme ce fut le cas pour le Dr A.Wakefield. Il est certain que le Dr Wakefield était pro-vaccins et que tout ce qu’il a fait a été de suggérer un lien possible entre l’autisme et le vaccin contre la rougeole en se basant sur des études cliniques et sur des biopsies du colon d’enfants autistes vaccinés. Mais il faut ici se rappeler qu’il n’est pas permis que le moindre doute existe. C’est ainsi que le nom du Dr Wakefield a été associé à la fraude par les pro-vaccins qui continuent à manipuler les faits.

Vaccins: comment le doute est interdit et le consentement fabriqué!

ASSIMILE AU DR WAKEFIELD 

        

Ou ostracisé                                      Les parents ne partiront pas

Ou radié                                             Les enfants ne partiront pas

Ou charlatan                                     Je ne partirai pas – Dr Andrew Wakefield

 

Les mots d’ordre pour l’année 2015, l’année de la bataille de l’esprit :

 

  • 100% de conformité,
  • Pas de questions
  • ZERO dissident

 

On fait comprendre aux médecins qu’ils doivent persuader les parents en lieu et place de les informer.

Vaccins: comment le doute est interdit et le consentement fabriqué!

Le Dr Offit, ainsi que d’autres instruisent des armées de médecins qui ne prennent pas la peine d’étudier la littérature sur la question, mais se contentent d’exécuter les décrets, les ordres des experts et… de croire ! Ces médecins, comme les grands médias se contentent de répéter les slogans comme des perroquets…

 

Les médecins américains ont dit que la peur constituait le facteur n°1 pour faire accepter les vaccinations par les parents.

 

Système médical : restons simples

PERSUADER PLUTÔT QU’INFORMER

 

  • Votre bébé pourrait mourir
  • Votre enfant pourrait être estropié par la maladie
  • Vous avez le devoir de protéger la communauté
  • Wakefield est un charlatan : il n’y a pas de lien avec l’autisme
  • Les vaccins font beaucoup plus de bien que ce que vous pourriez jamais imaginer
Vaccins: comment le doute est interdit et le consentement fabriqué!
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3 mars 2016 4 03 /03 /mars /2016 18:39

Des enfants récemment vaccinés répandent la coqueluche partout !

 

Barbara Loe Fisher, The Vaccine Reaction, 16 février 2016

Des enfants récemment vaccinés répandent la coqueluche partout !

Les médias ont fait beaucoup de bruit le mois dernier au sujet d’une étude qui portait sur 26 enfants en âge pré-scolaire et qui étaient tombés malades ; ils avaient attrapé la coqueluche ou ont présenté des symptômes de la coqueluche  pendant 5 mois en 2013. [1] Tous ces enfants, âgés de un à cinq ans qui fréquentaient l’école maternelle de Tallahssee avaient reçu 3 ou 4 doses du vaccin contre la coqueluche (DTCa) selon les recommandations du CDC (Calendrier vaccinal). Les médecins qui étaient devenus nerveux, et les experts des grands médias défendant l’orthodoxie vaccinale ont fait savoir que les critiques des vaccins risquaient d’en faire toute une histoire. [2]

 

Examinons un peu ces éléments pour voir s’il est logique ou non de faire toute une histoire parce que des enfants d’une école maternelle s’infectent l’un l’autre, tout en infectant d’autres enfants restés à la maison, alors que tous avaient été vaccinés contre la coqueluche.

 

Le vaccin contre la coqueluche ne serait efficace qu’à 45% chez des enfants d’école maternelle

 

L’étude a été réalisée par des responsables de la Santé publique de Floride le 15 janvier 2016, et a été publiée dans le journal médical Emerging Infectious Diseases. Elle a mis en valeur le fait que, chez les enfants en âge de fréquenter l’école maternelle, l’efficacité du  vaccin contre la coqueluche était estimée à 45%. Le nombre moyen de jours entre la dernière vaccination et l’apparition des symptômes de la coqueluche chez les enfants était de 22 mois. Sept enfants avaient été vaccinés l’année précédente.

 

Au cours de leur enquête, les autorités sanitaires ont constaté « qu’il est apparu que de nombreux médecins ont hésité à effectuer les tests nécessaires, comme à fournir le diagnostic de la coqueluche étant donné l’histoire de la vaccination de ces enfants, et en dépit du fait que les rapports de laboratoire confirmaient une épidémie de coqueluche. » Ces autorités sanitaires ont ajouté que, « la vaccination contre la coqueluche ne devait pas dissuader les médecins de diagnostiquer, de tester ou de traiter les personnes  atteintes de maladies compatibles avec les symptômes de la coqueluche. »

 

Le fait que des médecins ne se donnent pas la peine de vérifier si les enfants vaccinés sont infectés par la coqueluche et transmettent la maladie ne devrait pas surprendre les responsables de la Santé publique et les associations professionnelles médicales comme l’American Academy of Pediatrics. Ils ont passé des décennies à clairement enseigner aux pédiatres et aux médecins qui administrent les vaccins qu’ils devaient croire que les vaccins étaient efficaces à près de 100% et sans aucun danger, et que toute personne qui croyait autre chose ne serait qu’une imbécile ignorante, un danger pour la santé publique, et que cette personne devrait être soumise à une rééducation ou subir une sanction. [3, 4, 5 ]

 

Les pédiatres ne diagnostiquent pas la coqueluche chez les enfants vaccinés

 

Les auteurs de l’étude de Floride  ont mis le doigt sur l’évidence : le fait que les pédiatres et les vaccinateurs ne diagnostiquent pas la coqueluche chez un enfant vacciné tiendrait du fait qu’ils ne jugent pas ce diagnostic utile. Ils expliquent les choses de cette manière : « le spectre de la coqueluche chez les enfants vaccinés peut très fort varier d’un cas à l’autre. La maladie est souvent légère avec peu de symptômes classiques de la maladie elle-même. Mais l’hésitation des vaccinateurs à rapporter une coqueluche présumée retarde la réaction des responsables de la Santé publique qui permettrait de mieux prévenir la transmission de la coqueluche dans la communauté », ont-ils déclaré.

 

Il est compréhensible que les pédiatres ne veulent pas admettre, tant pour eux-mêmes que pour les parents, qu’un vaccin contre la coqueluche qu’ils ont fortement recommandé pour les enfants et les femmes enceintes ne soit pas efficace la plupart du temps. Pourquoi les pédiatres pourraient-ils suspecter qu’un enfant vacciné ne présentant que quelques symptômes ou même pas de symptômes de la coqueluche puisse être infecté et puisse transmettre la coqueluche, alors que le CDC (Centres de Contrôle et de Prévention des Maladies) et l’AAP (Académie Américaine de Pédiatrie) leur ont appris à croire que l’orthodoxie vaccinale était la vérité et rien que la vérité ? Les médias n’hésitent pas non plus à renforcer le mythe vaccinal en ne mettant jamais en question cette orthodoxie. [6]

Les officiels du CDC et de l’AAP n’ont qu’à se blâmer eux-mêmes pour le fait que les pédiatres se mettent la tête dans le sable alors que ce sont ces gens du CDC et de l’AAP qui, pendant 50 ans, ont transmis le message que « la coqueluche peut être évitée grâce au vaccin », et qu’ils continuent à le prétendre. [7] Il est cependant clair que pour les petits enfants de Floride récemment vaccinés contre la coqueluche, le vaccin n’a été efficace que dans la moitié des cas !

 

Si une ceinture de sécurité ne fonctionnait que la moitié du temps, elle serait immédiatement retirée du marché.

 

Le vaccin DTCa ne protège plus les adolescents de Californie après un an

 

Dans la foulée de l’étude des petits enfants de Floride, une autre étude de Kaiser Permanente publiée dans Pediatrics a conclu que l’efficacité du vaccin DTCa ne fut efficace qu’à 69% chez 1200 adolescents de Californie qui avaient reçu le vaccin au cours des épidémies de coqueluche entre 2010 et 2014. [8] L’efficacité du vaccin a diminué à moins de 9% après 4 ans. Et, en dépit d’une couverture vaccinale de plus de 90% du vaccin DTCa en Californie du nord, les adolescents ont présenté la plus forte incidence parmi tous les groupes d’âge en 2014.

 

Le Dr Nicola Klein explique que dans un communiqué de presse de Kaiser Permanente du 5 février 2016, l’auteur principal de l’étude a estimé que les vaccins de routine DTCa pour les adolescents avaient représenté un échec dans le contrôle de la maladie.

 

Du fait que le vaccin DTCa fournit une protection raisonnable à court terme, il pourrait tenir la coqueluche en échec de manière plus efficace s’il était administré aux adolescents en prévision d’une épidémie locale au lieu d’être administré sur une base régulière à 11 ou 12 ans. [9]

 

Les législateurs de Californie auraient dû prendre note de la situation alors qu’ils ont passé une loi interdisant l’accès à l’école aux enfants qui n’ont pas reçu le vaccin DTCa de rappel à 11 ou 12 ans. [10]

 

Selon une autre étude, les frères et les sœurs d’une famille seraient la cause principale de la coqueluche chez les nourrissons

 

Il est intéressant de noter que l’attention médiatique accordée à l’étude des enfants de l’école maternelle en Floride (DTCa) et à l’étude de Kaiser Permanente chez des adolescents (DTCa) a éclipsé une histoire bien plus importante de l’échec du vaccin contre la coqueluche et qui a été révélée dans une étude publiée en octobre 2015 de Pediatrics [11] Cette étude menée par des fonctionnaires de la Santé publique a évalué les cas de coqueluche rapportés aux Etats-Unis entre 2006 et 2013 pour les enfants de moins d’un an. Cette étude a révélé que, dans une famille donnée, l’existence de frères et sœurs représentait le principal réservoir d’infection. Les chercheurs ont conclu que les nourrissons étaient davantage susceptibles de contracter la coqueluche de leurs frères et soeurs que de leurs propres mères.

 

Quand les sources d’infection de la coqueluche furent connues (chez 44% des nourrissons), il a pu être possible de déterminer que : 36% provenaient des frères et soeurs, 21% des mères, 10% des pères, 15% des grands-parents, oncles et tantes et 11% d’autres sources.

 

Les auteurs de l’étude ont conclu

 

  • Qu’il existait une augmentation des cas de coqueluche : «  En dépit d’une couverture vaccinale élevée et croissante avec les vaccins anticoquelucheux, l’incidence de la maladie a augmenté lentement dans un certain nombre de pays, avec des pics épidémiques notables au cours des dernières années » ;
  • Que la plupart des cas de coqueluche apparaissaient chez les enfants vaccinés : La plupart des cas de coqueluche aux Etats-Unis apparaissent chez « des enfants et des adolescents récemment vaccinés » ;
  • Les changements avec le vaccin DTCa ont commencé à se produire en 2008 : «  Nous avons commencé à observer le « glissement » de la mère aux frères et sœurs en 2008, trois ans après l’introduction du DTCa aux Etats-Unis pour une utilisation courante chez les adultes et les adolescents. »
  • L’augmentation du nombre de vaccins s’est avérée inutile : « Des doses supplémentaires de DTCa se sont avérées peu susceptibles de réduire le fardeau global de la coqueluche » ;
  • Le « cocooning » ne fonctionne pas : « La revaccination des membres adultes de la famille proches des nourrissons s’avère peu efficace pour arrêter la transmission de la maladie aux nourrissons si les frères et les sœurs sont les principaux réservoirs de l’infection » ;
  • Transmission de la coqueluche sans qu’il y ait de symptômes : « Même dans les cas où tous les contacts familiaux sont à jour de vaccination contre la coqueluche, la transmission asymptomatique de la coqueluche peut se produire. Ceci empêche le succès de la stratégie du cocooning » ;
  • Les sources d’infection sont souvent inconnues : « Une source d’infection n’est identifiée que dans moins de la moitié des cas. Ceci fait penser soit à une infection provenant d’une personne extérieure à la famille soit d’une transmission asymptomatique de la maladie. »

 

Des enfants et des adultes transmettent la coqueluche alors qu’ils présentent peu ou pas de symptômes

 

Ce qui est gênant par rapport au vaccin anticoquelucheux est le fait que pas mal d’enfants et d’adultes transmettent la maladie sans présenter les symptômes classiques de celle-ci, sans que des analyses de laboratoire soient effectuées. Cette situation présente un problème majeur pour les chercheurs qui tentent d’identifier la source de l’infection chez les nourrissons de moins d’un an. Ils ajoutent : les sources potentielles asymptomatiques ou les maladies bénignes sans toux ont pu ne pas apparaitre dans notre étude du fait que nous nous sommes appuyés uniquement sur des rapports de parents sans tests de laboratoire des différents membres du ménage ou d’autres contacts proches des nourrissons.

 

Un autre problème rencontré par les chercheurs est le fait qu’ils ne savaient pas si les gens qui présentaient les symptômes de la toux avaient la coqueluche ou un autre type d’infection bactérienne ou virale des voies respiratoires. Ils ont admis : « …En outre, sans confirmation de laboratoire, nous avons été incapables de déterminer si B. Pertussis était la cause réelle de la toux dans les différentes sources d’infection. »

 

Pour le vaccin contre la coqueluche l’immunité de groupe relève du mythe

 

L’orthodoxie vaccinale nous dit que si 90% ou plus de personnes faisant partie d’une communauté se font vacciner, cette communauté sera protégée des maladies infectieuses incriminées. Les objectifs de couverture vaccinale du gouvernement fédéral « Healthy People 2020 » confirment ce principe de l’orthodoxie vaccinale. [12]

 

Cependant, le CDC admet maintenant tranquillement sur son site internet que « les bactéries qui causent la coqueluche sont en constante évolution au niveau génétique », qu’il existe « une baisse de l’immunité » du vaccin et qu’une augmentation des cas rapportés a commencé à se manifester aux Etats-Unis dans les années 1980 [13] quand plus de 94% des enfants d’écoles maternelles avaient reçu 4 ou 5 vaccins DTC à germes entiers. [14] Aujourd’hui, 94 à 98% des enfants de maternelle reçoivent 4 ou 5 vaccins DTC acellulaires [15], alors qu’en plus 88% des enfants de 13 à 17 ans avaient reçu un rappel supplémentaire du vaccin DTCa. [16]

 

Il parait clair que six doses du vaccin contre la coqueluche administrées à des enfants entre deux mois et 16 ans ne peuvent empêcher l’infection de la coqueluche de même que la transmission asymptomatique de l’infection par des personnes vaccinées. La vaccination anti-coquelucheuse  n’empêche pas les enfants et les adultes complètement vaccinés de transmettre l’infection aux nourrissons de moins de deux mois qui sont les plus susceptibles de mourir de complications de la coqueluche.

 

Pour le vaccin contre la coqueluche l’immunité de groupe relève du mythe

 

En dépit de trois décennies de vaccination contre la coqueluche (à germes entiers et acellulaires) des enfants américains atteignant un taux de 94% ou plus - taux de couverture vaccinale qui dépasse le taux d’immunisation de 90% qui était l’objectif du gouvernement (Healthy People 2020) – la bactérie de la coqueluche B. Pertussis continue de circuler. Elle circule souvent d’une manière silencieuse dans toute la population sans avoir été diagnostiquée. C’est là ce qui s’est produit depuis bien longtemps. [17]

 

La solution  que les officiels ont trouvée?  Vacciner les femmes enceintes

 

Quelle est donc la solution qu’ont trouvée les officiels de la Santé publique ? La chose est tout à fait irrationnelle et complètement non scientifique, mais la voici : « vacciner toutes les femmes enceintes » !

 

Après avoir confirmé l’inefficacité du vaccin contre la coqueluche pour prévenir l’infection ainsi que la transmission asymptomatique parmi les enfants vaccinés, les auteurs officiels (Santé publique) de l’étude de Pediatrics d’octobre 2015, ont néanmoins conclu que :

 

Un appui solide de la vaccination pendant la grossesse était nécessaire pour maximiser la protection des enfants au cours des premiers mois critiques de la vie.

 

Quelle tristesse ! Au lieu de simplement informer le public que le vaccin contre la coqueluche avait été un échec, les autorités sanitaires se sont désespérément accrochées à l’orthodoxie vaccinale, faisant du même coup courir les risques du vaccin aux femmes enceintes vulnérables. Cette situation a duré depuis 2011, sans que la sécurité et l’efficacité de cette politique soit démontrée. [18]

 

Lire tout l’article sur le site The Vaccine Reaction

 

Références:

 

1 Matthias J, Pritchard S, Martin SW et al. Sustained Transmission of Pertussis in Vaccinated, 1–5-Year-Old Children in a Preschool, Florida, USA. Emerging Infectious Diseases Jan. 15, 2016.  
2 Saunders R. Florida Whooping Cough Outbreak Fuels Anti-Vaxxers. The Daily Beast Jan. 16, 2016.
3 DHHS. Vaccines Are Effective. Vaccines.gov.
4 Diekema DS. Response to Parental Refusals of Immunization of Children. Pediatrics 2005; 115(5).
5 Walker EP. AAP: Dismissing Patients over Refusal to Vaccinate Okay, Doc Says. MedPage Today Oct. 21, 2009.
6 Oregonian Editorial Board. Putting other kids in harm’s way: Vaccine refusal leaves many doors open to dangerous whooping cough infection. Oregonian July 4, 2010.
7 CDC. Pertussis Frequently Asked Questions. CDC Sept. 8, 2015.
8 Klein NP, Bartless S, Fireman B, Baxter R. Waning Tdap Effectiveness in Adolescents. Pediatrics Feb. 3, 2016.
9 Kaiser Permanente. Kaiser Permanente study finds effectiveness of routine Tdap booster wanes in adolescents. Eureka Alert Feb. 5, 2016.
10 California Senate Bill 277 signed into law by Governor Jerry Brown on June 29, 2015.
11 Skoff TH, Kenyon C, Cocoros N et al. Sources of Infant Pertussis Infection in the United States. Pediatrics 2015; 136(4): 635-641.
12 DHHS. Healthy People 2020 Immunization Goals. March 2015.
13 CDC. Pertussis Frequently Asked Questions. CDC Sept. 8, 2015
14 Hinman A, Orenstein WA, Schuchat A. Vaccine Preventable Diseases, Immunization and MMWR 1961-2011. MMWR Oct. 7, 2011; 60(04): 49-57.
15 CDC. Vaccination Coverage Among Children in Kindergarten–United States, 2014-15 School Year. Aug. 28, 2015: 64(33): 897-904.
16 CDC. National, Regional, State and Selected Local Area Vaccine Coverage Among Adolescents Aged 13 to 17 Years–United States, 2014. MMWR 2015; 64(29): 784-792.
17 Fisher BL. Whooping Cough Outbreaks and Vaccine Failures. NVIC Newsletter July 8, 2010.
18 Fisher BL. Vaccination During Pregnancy: Is It Safe? NVIC Newsletter Nov. 9, 2013.

 

Source: Vaccine Impact

 

Voir aussi

 

La moitié des cas de coqueluche surviennent chez des sujets vaccinés

 

La vaccination anticoquelucheuse augmente la colonisation par le bacille B. Parapertussis

 

Le vaccin contre la coqueluche ne fonctionne pas"-  GSK déclare "Nous n'avons jamais pris la peine de vérifier"

 

Coqueluche: l'échec cuisant de la vaccination cocoon

 

Coqueluche: culpabiliser pour mieux vacciner

 

Quadriplégique après un vaccin contre la coqueluche

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1 mars 2016 2 01 /03 /mars /2016 23:03

Un journal médical retire brusquement une étude qui remet en cause la sécurité du vaccin HPV

Un journal médical retire brusquement une étude qui remet en cause la sécurité du vaccin HPV

Tom Blackwell, 17 février 2016

 

Une prestigieuse revue médicale a soudainement retiré une étude Canadienne co-rédigée qui jette le doute sur l’innocuité du vaccin contre le papilloma virus humain (HPV), en raison des craintes qu’une science douteuse ne puisse saper un outil important de santé publique.

 

L’étude conclut que les souris auxquelles on a injecté le vaccin Gardasil contre le HPV ont présenté des anomalies de comportement. L’étude suggère de mettre un frein aux programmes de masse prévus pour immuniser les jeunes-filles contre un virus pouvant provoquer le cancer.

 

Le journal médical «Vaccine» n’a pas indiqué pourquoi l’étude avait été « temporairement » retirée de son site cette semaine – après qu’elle ait cependant déjà été examinée par des pairs. Le journal signale que l’article pourrait bientôt être remplacé, ou que « l’article pourrait être rétabli ».

 

 

Mais certains critiques disent que la méthode a été entachée de graves irrégularités et que les conclusions vont à l’encontre de nombreuses grandes études qui montrent que le vaccin est sûr.

 

« C’est vraiment un mauvais article », a déclaré Tania Watts qui détient la chaire d’immunologie humaine Sanofi Pasteur à l’Université de Toronto. « Je suis surprise que cette étude ait pu passer (à l’examen d’origine par les pairs) Je ne l’aurais pas laissé passer. »

 

Les deux chercheurs de l’Université de Colombie Britannique qui ont contribué à réaliser cette étude – Christopher Shaw du département d’ophtalmologie et la post-doctorante Lucija Tomljenovic – sont bien connus pour le travail qu’ils ont réalisé et qui établissait un lien entre les vaccins et des problèmes neurologiques.

 

La science focalisée sur « l’adjuvant » aluminium qui augmente le potentiel immunisant des vaccins, a aussi été critiquée comme étant trompeuse et partiale.

 

Les scientifiques Canadiens – largement financés par des fondations anti-vaccins- affirment que leur dernière étude pourrait avoir été retirée en raison de la pression des compagnies pharmaceutiques ou des gouvernements qui n’appréciaient pas les résultats de leur étude.

 

« Il est plus que certain que ce fut le cas », a rétorqué fermement Tomljenovic.

 

«Les recherches solides sont étouffées et interdites. Le lobby pharmaceutique a répandu partout sa propagande comme des métastases », a répondu Lucija Tomljenovic dans un e-mail qui répondait à des questions.

 

Le Dr Gregory Poland, expert de la vaccination à la Clinique Mayo, et éditeur de la revue médicale Vaccine n’a pas pu être contacté pour présenter un commentaire.

 

Les deux types de vaccin contre le HPV actuellement sur le marché se sont montrés efficaces pour prévenir les souches du virus qui causent 70% des cancers du col de l’utérus, du pénis, de l’anus, de la gorge, ainsi que les cancers du vagin. Environ 1.500 femmes canadiennes reçoivent un diagnostic de cancer du col chaque année, et 380 en décèdent.

 

« On corrige la mauvaise science par une science meilleure, et pas  en la retirant de la littérature comme si elle n’avait jamais existé. »

 

La vaccination de routine des jeunes-filles a débuté à la fin de l’année 2000 dans la plupart des provinces. Des études qui ont porté sur des centaines de milliers de vaccinées dans le monde entier n’ont trouvé aucun signe de problèmes graves concernant la sécurité du vaccin.

 

Pourtant ce vaccin a attiré pas mal d’opposants. Parmi eux, une petite clique de scientifiques, l’Eglise catholique et le mouvement anti-vaccin.

 

Les articles scientifiques ont eu un effet puissant dans le passé, notamment avec une petite étude britannique reliant le vaccin contre la rougeole, les oreillons et la rubéole à l’autisme. Cette étude a entrainé une méfiance généralisée par rapport à la vaccination – avant qu’elle ne soit finalement jugée frauduleuse.

 

La plupart des recherches réalisées par Shaw et Tomljenovic ont été publiées dans des revues « d’impact relativement faible », mais Vaccine est considéré comme la principale publication internationale dans le domaine.

 

La nouvelle étude – menée par un groupe israélien dirigé par le Dr Yehuda Shoenfeld de l’Université de Tel Aviv et financé par la fondation anti-vaccinale Dwoskin – a réparti des souris en quatre groupes de 19 qui ont reçu le vaccin, un placebo ou juste de l’aluminium.

 

Les chercheurs ont conclu que les souris auxquelles on avait administré le Gardasil et l’aluminium étaient plus susceptibles de simplement flotter sur l’eau que de nager au cours d’un « test de nage forcée » - Les chercheurs ont considéré qu’il s’agissait là d’un signe de dépression. – Au cours d’un test de labyrinthe, les souris se sont comportées d’une manière qui suggérait une perte de mémoire à court terme.

 

Watts a déclaré qu’il y aurait pu y avoir des biais dans l’étude par rapport aux groupes de souris. Les chercheurs auraient également fait une « énorme extrapolation » à partir d’une étude douteuse sur des animaux qu’ils auraient ensuite rapportée à une expérience humaine avec un vaccin très bien testé, a-t-elle dit.

 

Et l’analyse statistique que les scientifiques ont utilisée suggère des différences entre les groupes de souris qui auraient très bien pu être le résultat « d’un pur hasard » précise une critique détaillée par David Gorski, chirurgien du cancer de l’Université Wayne State du Michigan…

 

« Cette étude est sans valeur » a écrit Gorski. «  Je peux voir pourquoi le Dr Poland a été probablement horrifié de découvrir que cet article a été publié dans son journal ».

 

Shaw s’en est tenu à sa recherche, en précisant qu’elle n’est pas « hostile » vis-à-vis du vaccin, mais il veut souligner que ces effets comportementaux ont déjà été enregistrés chez l’homme. Il a voulu préciser que ce qu’il voulait dire semblait correspondre à une tendance dirigée contre des journaux qui ont retiré des articles faisant l’objet de controverses, tout spécialement quand il s’agit d’articles critiques à l’encontre des vaccins, comme la phrase suivante peut l’illustrer :

 

« C’est vraiment un pauvre article. Je suis surpris qu’il ait pu passer. »

 

« Je ne pense pas que la littérature  qui présente des éléments qui ne vous plaisent pas doive être supprimée, a-t-il précisé. », « On corrige la mauvaise science par une science meilleure, et pas en la retirant de la littérature comme si elle n’avait jamais existé. »

 

Alors que la plupart des essais de vaccins contre le HPV ont été financés par les fabricants de ces produits, le laboratoire de Shaw à l’UBC a reçu 860.000 $ de la Fondation Dwoskin, 23.000$ de la Fondation anti-vaccinale Kaitlyn Fox, et 862.280 de la succession Luther Allyn Shourds Dean, une autre source de fonds privés qui soutient la recherche critique sur les vaccins depuis 2011.

 

Shaw et Tomljenovic cherchent « sans relâche » à « incriminer les vaccins », a déclaré le Dr Eduardo Franco, directeur de la Faculté d’épidémiologie à l’Université McGill.- Une sommité mondiale sur le lien entre le cancer et le HPV, Franco a reçu un financement de fabricants de vaccins.

 

Source : News.nationalpost.com

 

P.S. En dernière minute, nous apprenons que le Dr Poland est  président d'un comité d'évaluation pour la sécurité des essais de vaccins menés par Merck Research Laboratories (= le fabricant du vaccin HPV Gardasil). Le Dr. Poland offre, en consultation, des conseils sur le développement de nouveaux vaccins pour Merck & Co., Inc., Avianax, Sciences Theraclone (anciennement Spalted Corporation), MedImmune LLC, Liquidia Technologies, Inc., Emergent BioSolutions, Novavax, Dynavax, EMD Serono, Inc., Novartis Vaccines and Therapeutics et PAXVAX.

 

Source : newsnetwork.mayoclinic.org

 

Mais pendant ce temps, les autorités françaises continuent de désinformer en diffusant ce genre de publicité mensongère sans aucune base scientifique sérieuse:

Faites attention à la propagande mensongère! Ces vaccins HPV ne sont PAS sans danger... le savoir à temps vous évitera de regretter après coup d'y avoir laissé votre santé...

Faites attention à la propagande mensongère! Ces vaccins HPV ne sont PAS sans danger... le savoir à temps vous évitera de regretter après coup d'y avoir laissé votre santé...

On comprend mieux maintenant comment on en arrive, vu cette censure dans les journaux médicaux sponsorisés, à nier si facilement tout lien entre ces vaccins et diverses maladies...

On comprend mieux maintenant comment on en arrive, vu cette censure dans les journaux médicaux sponsorisés, à nier si facilement tout lien entre ces vaccins et diverses maladies...

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26 février 2016 5 26 /02 /février /2016 15:10

Un extrait absolument sine qua non de l'émission "Complément d'enquête" sur les vaccins diffusée ce jeudi 25 février dernier sur France 2.

A noter toutefois que le taux d'effets secondaires GRAVES des vaccins est infiniment supérieur à ce qui est dit dans ce reportage en introduction (à savoir 2 sur 100 000)!! Pour se faire une idée, dans les essais cliniques du fabricant du vaccin Prevenar, il y en avait 3%. Dans une autre étude du fabricant GSK qui avait comparé la "sécurité" de son vaccin HPV Cervarix à un autre de ses vaccins (contre l'hépatite A, le Havrix), il y avait respectivement 9% d'effets secondaires qualifiés de graves par le fabricant dans le groupe Cervarix contre 8,9% dans le groupe Havrix... on est donc bien au-delà du 2 sur 100 000. Il faut aussi remarquer que pendant des décennies, et jusqu'il y a encore très peu de temps, on nous affirmait sans cesse que c'était "1 cas sur 1 million"! Là, on en vient à nous dire que ce serait 2/100 000 soit déjà 20 fois plus. La vérité est que ces chiffres sont encore des chiffres gratuits et déconnectés des données objectivables issues du terrain. Si on veut être rigoureux et s'en tenir aux chiffres réels, tenir compte de la sous-notification notoire telle qu'admise et évaluée de longue date dans les revues médicales officielles, on peut par exemple voir que les vaccins contre le méningocoque C sont des dizaines à des centaines de fois plus risqués que la maladie naturelle, et ce sur base des chiffres officiels!

 

Si les effets secondaires graves et invalidants de vaccins étaient si rares que cela, nous ne connaîtrions pas tous dans notre entourage un parent, un ami qui est victime... De même, les bénévoles des associations n'auraient pas vu à eux seuls passer des centaines de cas de scléroses en plaques post-vaccinales alors qu'avant les vaccinations de masse, ce type de maladies étaient considérées comme assez rares par les médecins de terrain qui, eux, voient des patients toute la journée! La Cour Suprême des Etats-Unis n'aurait pas non plus eu besoin d'accorder une impunité juridique aux fabricants de vaccins dans ce pays pour leur éviter de faire faillite sous le poids des poursuites. Car il faut aussi le rappeler, les autorités américaines ont déjà déboursé à ce jour plus de 3 MILLIARDS de dollars en indemnisation des victimes de vaccins (depuis 1986) alors que 2/3 des plaintes sont pourtant rejetées d'emblée! Il est donc devenu urgent de se réveiller et de comprendre que les véritables maladies les plus dangereuses sont les mensonges des "experts" officiels qui s'avèrent désormais beaucoup plus dangereux en eux-mêmes pour la santé de vos enfants que les maladies naturelles qui font partie du risque même de la vie (car vivre est par définition un risque). 

 

Voir aussi

 

Les vaccins ont détruit leurs enfants: témoignages vidéos de parents

 

Tous les vaccins sont expérimentaux: voici pourquoi

 

Vaccins: le vrai scandale des faux placebos

 

Dr Saluzzo de Sanofi Pasteur: "On ne sait pas comment marchent les vaccins!"

 

Infanrix hexa: le document confidentiel accablant

 

Prevenar 13: les documents confidentiels accablants

 

Le vaccin Prevenar est-il un vaccin sûr et sans danger?

 

Méningite C: le vaccin plus risqué que la maladie (les chiffres sont là!)

 

La sécurité des vaccins pose vraiment problème: les officiels le savent!

 

Ce que les médecins pensent de la vaccination: l'enquête-choc, non publiée de l'INPES

 

La vaccination, un juteux business, aussi pour les médecins...

Stanislas Geoffrit, papa de Livio: "Moi je vais me battre, ils ont bousillé la vie de mon fils, et je vais leur donner la mienne!"

Stanislas Geoffrit, papa de Livio: "Moi je vais me battre, ils ont bousillé la vie de mon fils, et je vais leur donner la mienne!"

Derrière les "murs feutrés" des familles, combien de drames concrets provoqués de toutes pièces par les vaccins? Cela pourrait être votre famille... à regarder d'urgence... jusqu'au bout! Parce que se faire vacciner "par solidarité" n'est plus alors qu'un slogan. En matière de vaccinologie, il n'y a aucune solidarité qui soit de mise et tous ces cas abandonnés à leur triste sort le prouvent de façon si effrayante!!

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24 février 2016 3 24 /02 /février /2016 12:02

Par Canis Ethica, 24 février 2016

 

En 1992, le Dr Michel Aubert prouvait, qu’après vaccination, les chiens adultes en France, restent protégés au moins cinq ans durant. Pourtant, 24 ans plus tard, en France, les chiens sont toujours revaccinés chaque année contre la rage contrairement au reste du Monde. 

Survaccination : un scandale sanitaire canin

Quatre firmes commercialisent des vaccins contre la rage : MERIAL, VIRBAC, ZOETIS et INTERVET. Ce sont ces laboratoires qui fixent en France la fréquence de revaccination contre la rage selon l’arrêté du 10 octobre 2008 relatif aux conditions et modalités de la vaccination antirabique (contre la rage) des animaux domestiques (lire ici). En Europe, en Amérique du Nord, même au Japon, leurs vaccins contre la rage sont valables deux ans, plus souvent trois ans mais pas en France où leurs vaccins pourtant identiques ne sont valables qu’un an. Les laboratoires pharmaceutiques évoquent des procédures administratives lourdes et complexes pour ne pas faire évoluer la situation. Seul MERIAL, dans une volonté de mieux-être canin et d’harmonisation des protocoles au niveau européen, propose en France un vaccin rage valable 3 ans depuis 2014, ce que la plupart des français ignorent.

 

D’après le Dr. Jean-Claude Rouby, chef du Département d’Immunologie à l’Agence Nationale du Médicament Vétérinaire, les laboratoires ont carte blanche pour démontrer la durée d’immunité de leurs vaccins dès lors qu’ils utilisent la même souche vaccinale que celle commercialisée en France. 

 

Il ne viendrait à aucun être humain l’idée de se refaire vacciner chaque année de sa naissance à sa mort contre la fièvre jaune. Et pourtant, 24 ans, après la découverte du Dr Aubert, les chiens en France sont toujours revaccinés chaque année contre la rage.

 

La vaccination contre la rage est obligatoire chaque année en France pour les chiens de catégorie 1 et 2 (chiens dangereux) et ceux voyageant en dehors du territoire (vérifications à la douane). Pour les autres chiens, elle reste « recommandée ». Comme il existe un risque de voir son chien abattu pour présomption de rage d’après l’article L223-9 du Code rural (lien ici), la plupart des maîtres vaccinent leurs chiens chaque année d’autant plus que depuis 2001, 11 cas de rage ont été apportés sur le territoire dont le dernier en mai 2015.

 

 

Pour Canis Ethica, une association française dont la pétition « Stop à la survaccination des chiens » a récoltée prés de 12000 signatures en une semaine sur « mesopinions.com », une littérature scientifique prolifique met en garde contre une survaccination des chiens adultes qui peut engendrer des maladies auto-immunes et cancers. Par ailleurs, tous les français n’ont pas accès au vaccin de MERIAL contre la rage, ce qui est source d’inégalité devant la santé de leurs protégés. La France compte un chien ou un chat dans un foyer sur 2. En 2014, les français ont dépensé plus de 4,3 milliards d’euros pour eux. Les maitres expriment leurs difficultés croissantes à régler leurs factures vétérinaires qui, en une décennie, ont bondi de 70%.

 

Devant cette discrimination pouvant fragiliser la santé des chiens en France, Canis Ethica écrit au Dr ELOIT, la nouvelle Présidente de l’Organisation Mondiale de la Santé Animale (OIE) pour qu’elle fasse entendre raison à VIRBAC, INTERVET et ZOETIS. Dr ELOIT connait bien le dossier car elle a validé l’Arrêté du 10 octobre 2008 qui autorise les laboratoires pharmaceutiques à fixer en France la durée d’immunité de leurs vaccins.

 

Les laboratoires entendront-ils les voix des 12000 propriétaires de chiens ayant signé la pétition ?

 

Pour plus d’informations :

  • Pétition : Cliquez ICI
  • Arrêté du 10 octobre 2008 relatif aux conditions et modalités de la vaccination antirabique : Cliquez ICI
  • Courriers + réponses des laboratoires pharmaceutiques et courrier à la Présidente de l’OIE : Cliquez ICI
  • Etude de 1992 du Dr Michel Aubert : Cliquez ICI

 

Contacts pour en savoir plus :

Mme Thilo HANE présidente-fondatrice de Canis Ethica

Tel : 06 70 27 63 52

Mail : contact@canisethica.org 

Site internet : www.canisethica.org

Facebook : www.facebook.com/CanisEthicaFrance 

Twitter : https://twitter.com/CanisEthica

 

Source: Agoravox

 

Initiative Citoyenne salue et soutient cette démarche. Merci de relayer très largement....

 

Voir aussi:

 

Vaccination des chats et des chiens: 99% des effets secondaires ne sont pas rapportés

 

Des vaccins qui tournent mal et un cheval qui finit euthanasié

 

Gravissime: voici la preuve indubitable que les adjuvants huileux (aussi utilisés chez les animaux) sont ultratoxiques!

 

Vaccination humaine vs vaccination animale: une comparaison surprenante!

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23 février 2016 2 23 /02 /février /2016 16:13

C’est à vous de décider !

Les risques et les bénéfices de la vaccination ROR (Rougeole-Oreillons-Rubéole)

 

Par Michelle Goldstein, 18 février 2016 

Bénéfices-risques du vaccin ROR: c'est à VOUS de décider!

La plupart d’entre nous pèsent le pour et le contre des procédures médicales avant de s’y soumettre. Nous signons alors un formulaire de consentement éclairé quand nous avons compris les risques potentiels par rapport aux avantages présentés.

 

Dans le cas de la vaccination, la grande majorité des parents n’hésitent pas à faire vacciner leurs enfants parce qu’ils sont influencés par la propagande et par les tactiques de peur qui sont utilisées par les médecins. Ceux-ci assurent les parents que la vaccination est sans danger et qu’il est utile de protéger les enfants contre toute une série de maladies qui peuvent s’avérer mortelles. Si, comme il m’est arrivé de le faire, nous faisons aveuglément confiance aux médecins, il ne nous reste finalement qu’à accepter.

 

Il est important que nous utilisions notre esprit critique avant de donner notre accord pour n’importe quelle vaccination. Les vaccins sont en effet des actes médicaux qui peuvent, dans certains cas, comporter des risques graves avec seulement quelques bénéfices « théoriques ».

 

Qu’est-ce que la vaccination ROR (Rougeole-Oreillons-Rubéole) ?

 

Les Centres de Contrôle et de Prévention des Maladies (CDC) signalent que ces trois maladies sont très graves. Le CDC reconnait aussi qu’avant les vaccinations ces maladies étaient très fréquentes, surtout chez les enfants. La rougeole provoque souvent des éruptions cutanées, de la toux, le nez qui coule, des irritations oculaires et de la fièvre. Les oreillons peuvent provoquer de la fièvre, des maux de tête, des douleurs musculaires, une perte d’appétit et des ganglions enflés. La rubéole peut provoquer des éruptions cutanées, ainsi qu’une légère fièvre chez les enfants.

 

Le CDC signale que le vaccin ROR peut protéger les enfants et les adultes de ces trois maladies.

 

On recommande deux doses du vaccin ROR. La première à 12-15 mois. La deuxième est recommandée entre 4 et 6 ans.

 

Dans de très rares cas, la rougeole a conduit à des infections de l’oreille, à des pneumonies, des convulsions, des lésions cérébrales et même à la mort. Les oreillons chez les adultes peuvent provoquer la surdité, des méningites, le gonflement douloureux des testicules, des ovaires ou la stérilité. Pour une femme enceinte, le fait d’être infectée par la rubéole peut provoquer des fausses couches ou des malformations chez le bébé. [1]

 

Quels sont les bénéfices réels du vaccin ROR ?

 

En théorie, le vaccin ROR protège contre la rougeole, les oreillons et la rubéole. En vérité, la seule chose qui ait pu être prouvée pour le vaccin ROR, comme pour tous les autres vaccins, c’est qu’il entraine une augmentation des anticorps vis-à-vis de ces trois maladies.

 

Le Dr R. Blaylock, neurochirurgien et chercheur a écrit et donné de nombreuses conférences pour montrer que si les vaccinations augmentent les anticorps vis-à-vis de certaines maladies, elle dépriment l’immunité cellulaire qui est le type d’immunité le plus important pour la protection contre les maladies. [2]

 

Le Dr Blaylock a aussi précisé que l’immunité réelle obtenue grâce aux vaccinations, si immunité il y a,  est relativement faible et limitée dans le temps, [3]

 

Preuves supplémentaires des échecs vaccinaux dans les cas de rougeole et d’oreillons.

 

Les graphiques montrent que les taux de plusieurs maladies infantiles avaient considérablement diminués AVANT l’introduction et la pratique généralisée des vaccinations. La diminution des maladies doit avant tout être attribuée à l’hygiène, à l’assainissement des conditions de vie et à l’amélioration des qualités de l’eau, et non à la vaccination. [4], [5]. 

Taux de mortalité par rougeole aux Etats-Unis – Introduction du vaccin en 1963.

Taux de mortalité par rougeole aux Etats-Unis – Introduction du vaccin en 1963.

Le Dr Viera Scheibner a fait état de plusieurs épidémies récentes de rougeole chez des enfants complètement vaccinés. Cet argument réfute celui de l’efficacité de la vaccination contre la rougeole. [6]

 

Le Dr Russel Blaylock a également signalé que, parmi des cas de rougeole récemment infectés, la majorité, et, dans certains cas, cent pour cent des personnes avaient reçu le vaccin ROR. Cette information vitale n’a pas été signalée dans les médias traditionnels. [7]

 

Des reportages ont également relié de récentes épidémies d’oreillons chez des personnes qui avaient été vaccinées contre cette maladie. [8]

 

Il faut absolument que l’on se pose la question : Pourquoi des individus vaccinés ont-ils été infectés par les maladies contre lesquelles ils auraient dû être protégés ?

 

Rougeole, Oreillons, Rubéole : des maladies de l’enfance relativement bénignes

 

Dans le passé, on a traité les cas de rougeole, rubéole et oreillons comme des maladies bénignes de l’enfance. L’hystérie de masse que l’on voit aujourd’hui n’existait tout simplement pas. Les enfants restaient simplement quelques jours à la maison jusqu’à ce que leurs symptômes disparaissent. [9]

 

Dommages de santé provoqués par la vaccination ROR

 

Les effets secondaires suivants ont été rapportés pour la vaccination ROR. Dans ses rapports de pharmacovigilance pour le ROR, Merck rapporte: l’inflammation du cerveau, le dysfonctionnement cérébral chronique, ainsi que les problèmes de santé suivants :

 

  • Rougeole atypique
  • Syncope (évanouissement, soudaine perte de conscience)
  • Vasculite (inflammation des vaisseaux sanguins)
  • Pancréatite (inflammation du pancréas)
  • Diabète sucré
  • Purpura thrombocytopénique (Maladie du sang)
  • Leukocytose (nombre élevé de globules blancs)
  • Choc anaphylactique
  • Spasmes bronchiques
  • Arthrite et arthralgie
  • Myalgies (douleurs musculaires)
  • Polynévrite (Inflammation de plusieurs nerfs)

 

Le Centre National d’Information sur les Vaccins (NVIC) rapporte :

 

« En utilisant le moteur de recherches MedAlerts qui facilite la recherche des effets secondaires de vaccins sur base de données du VAERS (Adverse Events Reporting System) on s’aperçoit qu’en date du 14 décembre 2014 que 6.962 effets secondaires liés au vaccin contre la rougeole ont été rapportés au VAERS depuis 1990. La moitié de ces effets secondaires se sont produits chez des enfants de 3 ans ou de moins de 3 ans. Parmi ces effets secondaires on a relevé 329 décès dont plus de la moitié se sont produits chez des enfants de moins de 3 ans. »

 

Les effets secondaires rapportés au VAERS à la suite de la vaccination ROR comprennent :

 

  • Le lupus (Trouble auto-immun du tissu conjonctif)
  • Le syndrome de Guillain Barré (inflammation des nerfs)
  • L’encéphalite
  • La méningite aseptique (Inflammation de la muqueuse du cerveau)
  • Surdité
  • Cardiomyopathie (Affaiblissement du muscle cardiaque)
  • Episodes d’hypotonie-hyporéactivité (Collapasus/ Choc)
  • Convulsions
  • Panencéphalite sclérosante subaiguë
  • Ataxie (Perte de la capacité de coordonner les mouvements)
  • Paresthésie (engourdissements, brûlures, picotements, démangeaisons, irritation des nerfs. [10]

 

La vaccination ROR et l’autisme

 

L’autre énorme risque associé à la vaccination ROR est l’autisme. En dépit des démentis des médias traditionnels et des groupes médicaux conventionnels, la connexion est très forte. L’autisme est désormais monnaie courante, avec un enfant sur 50 qui reçoit le diagnostic de cette maladie débilitante. [11]

 

Plus récemment, un énorme scandale a eu lieu dans lequel un scientifique du CDC a avoué avoir caché une étude de 2001 qui montrait une augmentation significative des taux d’autisme pour les garçons afro-américains qui avaient reçu le vaccin ROR. [12]

 

C’est maintenant à vous de décider !

 

Il est clair que quand on fait l’analyse des risques par rapport aux bénéfices de la vaccination ROR, on sait qu’il existe des risques. Mais on ne peut  cependant pas dire que le vaccin soit sûr comme l’a affirmé l’industrie du vaccin : 6.962 rapports d’effets secondaires graves est quand même assez significatif. Les 329 décès chez de jeunes enfants sont réellement tragiques. L’association avec une augmentation de l’autisme est particulièrement grave.

 

S’ils existent, les avantages pour la santé de cette vaccination sont limités. Il y a aussi ceux qui font une maladie généralement bénigne après s’être fait vacciner.

 

Il est très important  d’évaluer les risques et les avantages avant de se lancer dans pareilles procédures médicales. Ce n’est qu’après avoir fait une enquête sérieuse sur les risques et les avantages qu’il faudra que vous preniez personnellement position et que vous décidiez de ce qu’il faudra faire ou ne pas faire.

 

Références:

 

  1. http://www.cdc.gov/vaccines/hcp/vis/vis-statements/mmr.html
  2. Blaylock, Russell. Outsmarting … And Beating … Infections. The Blaylock Wellness Report. Vol. 19, No. 4. April 2012.
  3. http://www.h4cblog.com/vaccines-and-the-myth-of-herd-immunity
  4. http://www.healthsentinel.com/joomla/index.php…
  5. http://www.whale.to/vaccines/decline1.html
  6. http://healthimpactnews.com/2013/…
  7. http://www.newsmax.com/Newsmax-Tv…
  8. http://www.inquisitr.com/1177096/…
  9. http://www.ageofautism.com/2015/01…
  10. http://www.nvic.org/vaccines-and-diseases/…
  11. http://www.whiteoutpress.com/timeless/…
  12. http://www.greenmedinfo.com/blog/…

Source: Vactruth

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21 février 2016 7 21 /02 /février /2016 21:53

Encore un article donc qui montre en filigrane que les vaccins sont une aberration immunologique (qui ne peut par définition pas être sans conséquences calamiteuses à large échelle...) dès lors qu'ils sont l'uniformisation par excellence qui entend imposer à tous une même stimulation chimique et artificielle pour laquelle nos systèmes immunitaires n'ont jamais été faits....

 

Nos défenses naturelles sont plus influencées par notre quotidien que par les vaccins

Le système immunitaire a besoin de variété et d'adaptation: tout l'inverse donc de l'uniformisation vaccinale brutalement imposée!

 

Vendredi 19 février, France Inter

 

Au micro de Mathieu Vidard et Axel Villard, Alexandre Bignon, chercheur en immunologie à l’Université de Cambridge et le médecin généraliste Dominique Dupagne.

 

Le but de ses travaux ?

 

A. B : Étudier les facteurs non génétiques capables de moduler le système immunitaire sur trois ans.

 

Comment fait-on pour suivre ces facteurs ?

 

A.B : L’équipe Belge a fait des prélèvements sanguins pendant six mois et a observé le comportement de 54 paramètres de notre système immunitaire.

 

Quel est le plus intéressant dans ces résultats ?

 

D.D : Ils confirment deux choses que l’on savait déjà. A savoir que les deux grands piliers de l’immunité sont la diversité (il faut vivre avec des gens différents) et l’adaptabilité (on s'adapte à son milieu).

 

A. B : Il s’agissait vraiment de sortir de l’organisme pour voir comment l’environnement influence notre système immunitaire. Quand on compare le système immunitaire de deux individus en couple, avec au moins un enfant, on constate une convergence du système immunitaire vers un point d’équilibre. Notre système immunitaire est plus proche de notre conjoint que d’un individu lambda.

 

Est-ce qu’on sait si c’est bon pour la santé ? Et quelles sont les raisons de ce rapprochement immunitaire ?

 

A. B : Cette étude ne porte aucun jugement de valeur. C’est un fait observé. Le rôle de l’environnement est important dans le rapprochement immunitaire : notre habitation, mode de vie, alimentation. Et puis l’enfant est un vecteur capable de pouvoir moduler de façon similaire le système immunitaire de ses parents. Dans ce contexte, une hypothèse fédératrice est le partage du microbiote. Des membres d’une même famille ont un microbiote similaire (pour rappel le microbiote est un ensemble d’organismes vivant dans un environnement spécifique, comme par exemple sur le tube digestif ou la peau). On sait qu’un dialogue se fait entre notre microbiote et le système immunitaire. Il est donc tentant de penser que ce rapprochement de microbiote entre les individus pourrait influencer notre système immunitaire.

 

D. D : Et on sait que c’est ce qui a permis aux primates de survivre depuis toutes ces années. Ce qui me frappe, c’est que les deux piliers (diversité et adaptabilité) ne sont pas fréquents dans notre organisation sociale. On essaie d’uniformiser les choses. Or on sait que c’est d’être différent qui permet de survivre. Le vivant a survécu parce que souvent face à une crise infectieuse, il y avait des mutants. Si un jour le système immunitaire a fonctionné comme un système militaire, le vivant qui survit c’est celui qui a préparé une ligne de défense spécifique. Quand on compare cela avec notre organisation sociale où l’on veut toujours tout planifier, prévoir à l’avance, on emploie des méthodes totalement opposées à ce qui a marché dans l’évolution.

 

Est-ce que cette influence de système immunitaire au sein d’un couple le renforce ou l’affaiblit (le système immunitaire) ?

 

A. B : Si vous êtes en bonne santé, votre système immunitaire sera capable de se défendre. Et s’il est soumis à une agression, il s’en souviendra. Cela peut être positif comme négatif.

 

Le vieillissement influence énormément notre système immunitaire ?

 

A. B : Oui, il provoque un déclin de la qualité de la réponse immunitaire. Cela peut expliquer pourquoi les personnes âgées sont plus susceptibles aux infections et pourquoi elles réagissent moins bien aux vaccins.

 

D. D : Je me permets de nuancer ces propos parce que la personne âgée a du mal à créer de nouvelles défenses immunitaires mais en revanche son système a en mémoire les agressions passées et peut donc répondre à d’autres attaques.

 

►►► ALLER PLUS LOIN | l'émission scientifique "La Tête au carré" présentée par Mathieu Vidard dans son intégralité

 

►►► LIRE | La revue (en anglais) Nature 

 

Source: France Inter

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21 février 2016 7 21 /02 /février /2016 21:51

Paris : un célèbre herboriste condamné pour «exercice illégal de la pharmacie»

© Le Parisien

© Le Parisien

Il affirmait pouvoir combattre 80% des maladies avec des plantes : l'herboriste Jean-Pierre Raveneau a été condamné ce mercredi à un an de prison avec sursis pour «exercice illégal de la pharmacie en récidive».

 

Le tribunal correctionnel de Paris l'a également condamné pour «commercialisation ou distribution de médicaments (...) dépourvus d'autorisation de mise sur le marché, ouverture d'un établissement pharmaceutique sans autorisation et contrebande de marchandises prohibées». Il a assorti la condamnation d'une mise à l'épreuve de trois ans.

 

Un an de prison ferme et 50.000 euros d'amende avaient été requis à son encontre.

 

Tisanes, huiles essentielles… dans cette célèbre herboristerie parisienne de la rue d'Amsterdam (VIIIe), près de la place Clichy, une des plus vieilles d'Europe, les amateurs pouvaient se fournir, entre balance en cuivre et pilon, en plantes médicinales en vrac et en mélanges préparés sur place dans un petit laboratoire.

 

Hypertension, virus H1N1, troubles de la prostate, psoriasis, paludisme, fibromes, herpès génital ou constipation extra-forte, Jean-Pierre Raveneau expliquait à ses clients pouvoir combattre 80% des maladies.

 

Un combat contre le «monopole pharmaceutique»

 

Problème, depuis 1941, la loi réserve aux seuls pharmaciens de l'ordre et à leurs officines le quasi-monopole de l'exploitation des plantes médicinales à l'exception de 150 d'entre elles, jugées non-toxiques. Le dernier herboriste diplômé a lui disparu en 2000 à 95 ans. Et Jean-Pierre Raveneau, bien que docteur en pharmacie, n'était plus inscrit à l'ordre et n'exerçait pas dans une officine.

 

«J'ai toujours estimé qu'il était possible avec un diplôme de pharmacien d'exercer dans l'herboristerie», avait justifié Jean-Pierre Raveneau à l'audience, expliquant avoir passé une bonne partie de sa vie à s'opposer au «monopole pharmaceutique» en obtenant la déclassification de la vitamine C, de minéraux et d'oligo-éléments, assimilés auparavant à des médicaments.

 

Mercredi, le tribunal a également condamné la propriétaire de l'établissement et d'une autre herboristerie parisienne, Nicole Sabardeil, à trois mois de prison avec sursis et 2000 € d'amende et sa société Pharma Concept à 50 000 € d'amende. Un revendeur, Mamadouba Camara, a écopé de 3000 € d'amende avec sursis. L'ensemble des prévenus devront en outre verser solidairement 2000 € de préjudice moral à l'ordre des pharmaciens qui s'était constitué partie civile.

 

«Mon but a toujours été d'apporter du bien-être»

 

«Pour vendre les produits retrouvés dans leurs herboristeries, M. Raveneau et Mme Sabardeil auraient dû être inscrits à l'ordre des pharmaciens», a jugé le tribunal. Leurs établissements ne sont pas des officines alors qu'ils dispensaient au détail «des médicaments» et qu'on y exécutait «des préparations magistrales ou officinales».

 

«M. Raveneau a constitué un circuit parallèle en suivant la mode des médecines alternatives», avait expliqué à l'audience un contrôleur de l'agence régionale de santé. «Les plantes, c'est l'origine du médicament. Elles ont des vertus mais peuvent aussi être du poison. En 2009, on avait dit à Raveneau qu'il exerçait une activité illégale, il n'en a pas tenu compte.»

 

«Je ne délivre pas d'ordonnances, rien que des conseils. J'ai vendu des plantes et des mélanges mais pas des médicaments. Mon but a toujours été d'apporter du bien-être. Quand je parle de combattre (une maladie), c'est s'y opposer mais je n'ai jamais prétendu guérir telle ou telle pathologie», avait plaidé le prévenu.

 

Source : MSN

En revanche, les médecins qui continuent de désinformer au quotidien (et au mépris de la loi sur les droits du patient!) sur les risques graves des vaccins, eux, continuent d'agir en toute impunité et sont même invités à s'exprimer à la télé, ce qui contribue encore à mettre un peu plus de patients en danger....

 

Voici ci-dessous quelques liens et quelques vidéos qui suffiront à vous faire prendre conscience du "deux poids deux mesures" devenu intolérable de par les effets mortifères qu'il inflige à la santé publique, dramatiquement prisonnière d'une idéologie marchande et scientiste anti-humaniste!

 

Ce que les médecins pensent de la vaccination: l'enquête-choc de l'INPES

 

La vaccination, un juteux business, aussi pour les médecins...

 

Les vaccins ont détruit leurs enfants: témoignages vidéos de parents

 

Vaccins: un business mortel déguisé en mascarade de santé publique

 

Le Dr Guy Roche (du Journal International de Médecine) ne faisant en plus que reprendre sans le citer, comme un docile perroquet, l'appel récent de l'"expert" américain en vaccins, Dr Paul Offit (le même qui avait déjà dit qu'administrer 10 000 vaccins à la fois aux enfants ne posait aucun problème et même que l'aluminium participait au développement de l'enfant!) à envoyer en prison tous les médecins contestataires de la vaccination vient de déclarer dans le Journal International de Médecine:

 

"Poursuites pénales 

 


Tous les professionnels de santé qui déblatèrent sur les vaccinations en émettant des arguments sans la moindre valeur scientifique doivent être poursuivis en pénal car leur activisme entraînent des décès et ils doivent être condamnés à des lourdes amendes et même de la prison en cas de récidive. Les ligues anti-vaccination doivent être poursuivies au civil et condamnées aussi à de lourdes amendes de plus en plus lourdes si elles poursuivent leurs élucubrations. Enfin, ceux qui les subsidient et qu'on connaît parfaitement, doivent aussi être poursuivis et leur nom affiché dans toutes les pharmacies. "

 

C'est la même "liberté" scientifique qui est aussi une liberté de conscience et de jugement fondamentale, et que dénie complètement ce Dr Guy Roche, qui a été refusée au service du Dr Nicole Delépine, pédiatre oncologue qui osait faire autrement que la sacrosainte pensée unique médicale hélas si médiocre en termes de résultats concrets pour le public....

La vaccination, un juteux business, aussi pour les médecins...

Réveillons-nous, il y a urgence... et si vous ne bougez pas et restez ainsi à lire ce type d'articles tout en étant d'accord sur le fond mais sans rien essayer de faire de concret ou sans rien relayer à votre entourage, alors ce seront vos propres enfants et petits-enfants qui pâtiront assurément de cette médecine de moins en moins efficace et de plus en plus oppressante... vous pardonneront-ils alors votre inertie??

 

Voir aussi:

 

Médecine intégrative ou coercitive: l'urgence de choisir

 

Belgique: les naturopathes saisisissent le Conseil d'Etat pour obtenir leur reconnaissance

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