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30 janvier 2016 6 30 /01 /janvier /2016 21:59

La tyrannie médicale et les vaccinations obligatoires :

Une menace pour nos choix et nos libertés

 

La connaissance comme antidote à l’orthodoxie vaccinale

         

Barbara Loe Fisher, National Vaccine Information Center, 18 janvier 2016

La tyrannie médicale et les vaccinations obligatoires

Les êtres humains ont connu deux siècles d’orthodoxie vaccinale. Cette orthodoxie veut nous faire croire que la vaccination est efficace, sans danger, et que les gouvernements doivent la rendre obligatoire. Tout cela a commencé avec l’insistance des médecins pour que tout le peuple accepte le vaccin contre la variole [1]. Cette situation a explosé au cours du siècle dernier quand le gouvernement américain a voulu que chaque enfant reçoive 69 doses de 16 vaccins. [2]

 

Cette orthodoxie vaccinale devait s’appliquer pour chaque maladie, chaque vaccin et chaque personne quels que soient ses besoins ou sa sensibilité.

 

Aujourd’hui, tout le monde connait des personnes qui étaient en bonne santé, qui se sont fait vacciner, et n’ont, dans la suite, plus jamais pu recouvrer la santé. Et quand, pour une personne que nous aimons, les risques de la vaccination sont de 100%, l’attitude la plus logique à avoir est de s’informer davantage pour que pareille chose ne puisse plus jamais arriver.

 

Les pédiatres : gardiens de la connaissance vaccinale

 

Quand j’étais jeune, l’endroit où l’on pouvait acquérir gratuitement des connaissances, c’était la bibliothèque publique de la ville. J’en ai largement profité pour me documenter en histoire, art, biologie, philosophie et littérature. Puis, dans les années 1960, j’ai rejoint le groupe de femmes (15%) qui se sont inscrites à l’université.[3] .J’ai alors pu avoir accès à une bibliothèque universitaire pour apprendre encore davantage. 

 

Quand je suis tombée enceinte à la fin des années 1970, une des premières choses que j’ai faites fut de me rendre à la bibliothèque pour pouvoir lire des livres sur la grossesse, l’accouchement, la nutrition afin que je puisse donner à mon bébé le meilleur départ dans la vie. Mais, bizarrement aucun de ces livres ne contenait d’information sur les risques de la vaccination. Les pédiatres qui étaient les gardiens de la connaissance vaccinale ne partageaient pas l’information sur les réactions des vaccins avec les mamans. Ils voulaient cependant leur faire comprendre qu’ils respectaient le principe hippocratique « d’abord ne pas nuire ».

 

C’est le manque de connaissance qui explique pourquoi je n’ai pas pu identifier les symptômes classiques d’une inflammation du cerveau [4,5] qui s’est produite chez mon enfant dans les heures qui ont suivi la quatrième injection du vaccin diphtérie-tétanos-coqueluche.

 

1982 : Protestations de parents par rapport à la sûreté vaccinale

 

Mécontente de ne pas avoir pu disposer de la connaissance qui aurait permis d’épargner mon enfant, j’ai rejoint le groupe de parents dont les enfants avaient eu la santé endommagée par les vaccins, et ai finalement lancé un nouveau mouvement Américain pour la sécurité vaccinale et le consentement éclairé. [6, 7, 8]

 

Cela se passait 16 ans avant qu’un médecin britannique n’écrive un article au sujet du vaccin ROR et de l’autisme [9] ; et 26 ans avant qu’une vedette d’Hollywood explique comment son fils a développé l’autisme après la vaccination ; [10] et 34 ans avant qu’une somme de 3,3 milliards de dollars soit accordée en dédommagement  aux victimes des vaccins qui avaient souffert de troubles cérébraux et du système immunitaire (National Childhood Vaccine Injury Act) [11]

 

La connaissance, c’est le pouvoir

 

C’est le troisième président des Etats-Unis, Thomas Jefferson qui a dit : « la connaissance, c’est le pouvoir ; la connaissance, c’est la sécurité, et la connaissance c’est le bonheur. [12] Jefferson a toujours été un fameux défenseur de l’éducation et de la libre pensée. C’est lui qui a garanti la liberté de religion, la liberté d’expression, la liberté de la presse. Il considérait que ces libertés constituaient les droits les plus importants repris dans le premier Amendement de la Constitution Américaine [13]

 

Pourtant, aujourd’hui en Amérique, quand nous prenons l’initiative de nous instruire sur la vaccination et les maladies infectieuses, nous sommes publiquement étiquetés d’ « ignorants » et d’ « égoïstes » si les connaissances que nous venons d’acquérir nous amènent à être en désaccord avec l’orthodoxie vaccinale. [14, 15, 16] La connaissance, c’est le pouvoir, et comme l’a si bien dit un poète du 19ème siècle : « le doute grandit avec la connaissance ». [17] Ainsi, il n’est pas étonnant que les médecins gardiens de la connaissance des risques, des secrets et des mythes ayant trait à la vaccination, [18] se sentent, au 21ème siècle, menacés par les personnes qui ont décidé d’avoir libre accès à la « bibliothèque de médecine en ligne » et qui ont l’audace de s’engager dans des conversations non censurées au sujet des vaccins.

 

Les parents instruits rejettent l’orthodoxie vaccinale

 

Des études de plus en plus nombreuses font apparaitre, que les parents instruits de la classe moyenne qui se sont donné la peine de s’informer en arrivent à rejeter l’orthodoxie vaccinale. [20, 21, 22, 23, 24, 25, 26, 27]. En réaction, ceux qui contrôlent et profitent du système de vaccination de masse n’hésitent pas, selon l’orthodoxie, à recourir aux techniques classiques de propagande pour persuader les législateurs de rendre les vaccinations obligatoires pour tous les Américains ou leur faire encourir des sanctions qui foulent aux pieds les droits civils et humains. [29]

 

L’année dernière, à cette époque, nous avons assisté à une campagne médiatique sans précédent, frisant l’hystérie, pour fustiger quelques cas de rougeole à Disneyland. Tout ce cinéma pour pouvoir justifier la suppression des exemptions pour croyances personnelles dans le cadre du système éducatif et de la garde d’enfants en Californie. [30, 31, 32] Les parents qui s’opposaient à l’obligation vaccinale ont été diabolisés. On a même parlé de les emprisonner. [33] On a aussi assisté à une censure en ligne dans le débat public sur les risques et les échecs vaccinaux. [34] On a été jusqu’à retirer la licence de médecins qui s’interrogeaient sur la sécurité des vaccins. [35, 36]

 

Cette année, on a déjà commencé à humilier tous ceux qui rejettent l’orthodoxie vaccinale. La veille du Nouvel An, l’éditorial d’un journal du Colorado n’a pas hésité à qualifier de « bizarres », « fous », et « irresponsables » tous ceux qui ne veulent pas s‘incliner et se conformer aux dictats du gouvernement. Il a même été dit qu’il fallait faire voter une loi pour contraindre ces personnes à se conformer. [37]

 

Deux jours plus tard, un magazine national d’entreprises ciblait le médecin d’une famille juive pratiquant la médecine holistique parce qu’il avait émis des critiques sur la sécurité des vaccins, et s’opposait à l’interdiction faite aux enfants de familles juives de participer à un camp d’été s’ils n’avaient pas reçu chaque dose de vaccins prévus au calendrier vaccinal fédéral. [38] Il a été accusé d’être « une menace pour la santé publique » ! A cette époque, il fut suggéré de retirer la licence d’exercer aux médecins qui, comme lui, critiquaient l’orthodoxie vaccinale.

 

Les décès et dommages causés par les vaccins  ne font aucune discrimination

 

Les décès et les dommages causés par les vaccins ne font aucune discrimination de race, de classes sociales, sauf quand les gens sont maintenus dans l’ignorance, qu’ils sont économiquement dépendants et incapables de faire des choix éclairés. Comme il y a de plus en plus de femmes en Amérique, quelle que soit leur race ou leur classe sociale, qui obtiennent un diplôme universitaire [42], elles ne manqueront pas d’approfondir leurs connaissances sur les risques de la vaccination quand elles seront mamans. Il s’agit là d’une des raisons pour lesquelles nous assistons à une accélération des efforts du gouvernement et de l’industrie pour éliminer le droit au consentement libre et éclairé par rapport au risque vaccinal en Amérique. [43 ,44, 45, 46]

 

Ceux qui s’inclinent devant l’orthodoxie vaccinale ont droit à leurs croyances, mais il ne conviendrait nullement de leur accorder le droit légal de persécuter et de sanctionner les concitoyens qui refusent de se conformer. Quel que soit le nom qu’on lui donne, la tyrannie sera toujours la tyrannie.

 

Se lever pour défendre les libertés civiles et les droits de l’homme

 

Tant que nous disposons encore de la liberté d’expression, de presse, de pensée, de conscience et de religion en Amérique, il nous faut l’exercer à chaque occasion.

 

Si nous nous levons tous pour lutter et défendre les droits dont certains ont malheureusement, déjà été perdus, nous avons toutes les chances de ne pas en perdre davantage demain.

 

La connaissance est l’antidote de l’orthodoxie vaccinale parce que la connaissance, c’est le pouvoir.

 

Abonnez-vous à la Newsletter du NVIC (NVIC Newsletter) et au journal The Vaccine Reaction pour pouvoir vous informer au mieux. Apprenez à identifier et à signaler les réactions vaccinales. Donnez-vous la peine de lire les notices du ou des fabricants de vaccins...

 

Profitez de l’année 2016 pour reprendre votre pouvoir en approfondissant vos connaissances sur la science vaccinale, la politique vaccinale et la loi. N’hésitez pas à devenir enseignant, à transmettre vos connaissances à votre famille, à vos amis, ainsi qu’aux dirigeants de vos communautés. Vous ne savez pas combien de vies vous pourrez peut-être sauver. Il s’agit de votre santé, de votre famille, de votre liberté de choisir !

Références :

 

1 NIH. Smallpox Vaccination. US Library of Medicine July 30, 2013.

2 CDC. Recommended Immunization Schedule for Persons Aged 0 Through 18 Years - United States, 2015.

3 Bidwell A. Women More Likely to Graduate College, but Still Earn Less Than Men. US News & World Report Oct. 31, 2014.

4 Medline Plus. Encephalitis Causes and Symptoms. Dec. 2, 2015.

5 Institute of Medicine Vaccine Safety Committee. Adverse Effects of Pertussis and Pertussis and Rubella Vaccines. Encephalopathy (pp. 86-88). Washington, D.C. National Academies Press 1991.

6 Johnston RD. The Politics of Healing: Histories of Alternative Medicine in Twentieth-Century North America. New York. Routledge 2004.

7 Humphries S. Dissolving Illusions: Disease, Vaccines and the Forgotten History. 2013.

8 Morrison P. Historian Elena Conis takes a look at decades of vaccination skepticism. Los Angeles Times Jan. 27, 2015.

9 Wakefield A, Murch SH, Anthony A et al. Ileal-lymphoid-nodular hyperplasia, non-specific colitis, and pervasive developmental disorder in children . The Lancet 1998; 351: 637-641.

10 McCarthy J. Louder Than Words: A Mother’s Journey in Healing Autism. New York. Penguin Group 2008.

11 HRSA. Vaccine Injury Compensation Program Data & Statistics. Jan. 1, 2016.

12 Jefferson T. Letter from President Thomas Jefferson to George Ticknor, Nov. 25, 1817. Thomas Jefferson Foundation, Monticello.org.

13 FindLaw for Legal Professionals. U.S. Constitution – First Amendment.

14 Editorial. Blame Disneyland measles outbreak on anti-science stubbornness. LA Times Jan. 15, 2015.

15 Chang A. Measles Outbreak Casts Spotlight on Anti-Vaccine Movement. Associated Press Jan. 23, 2015.

16 ABC News Radio. Pediatricians Push Back Against Parents Who Won’t Vaccinate Their Kids. ABC Feb. 2, 2015.

17 Johann Wolfgang von Goethe (1749-1832). “Doubt grows with knowledge.” Brainyquote.com.

18 Fisher BL. The Vaccine Culture War: Are You Ready? NVIC Newsletter Mar. 8, 2015.

19 U.S. National Library of Medicine .

20 Smith PJ, Chu SY, Barker LE. Children Who Have Received No Vaccines: Who Are They and Where Do They Live? Pediatrics 2004; 114(1): 187-195.

21 Salmon DA, Moulton LH, Omer SB et al. Factors Associated With Refusal of Childhood Vaccines Among Parents of School-aged Children . Arch Pediatr Adolesc Med. 2005;159(5):470-476.

22 Salmon DA, Sotir JS, Pan WK et al. Parental Vaccine Refusal in Wisconsin: A Case-Control Study. Wisconsin Medical Journal 2009; 108(1): 17-23.

23 Omer SB, Salmon DA, Orenstein WA, deHart PM, Halsey N. Vaccine Refusal, Mandatory Immunization and the Risks of Vaccine Preventable Diseases. N Engl J Med 2009; 360(19): 1981-1988.

24 Leib S, Libertato P, Edwards K. Pediatricians’ Experience with and Response to Parental Vaccine Safety Concerns and Vaccine Refusals: Survey of Connecticut Pediatricians. Public Health Rep 2011; 126 (Suppl 2): 13-23.

25 Siddiqui M, Salmon D, Omer SB.Epidemiology of vaccine hesitancy in the United States. Hum Vaccin Immunother 2013; 9(1): 2643-2648.

26 Lai YK, Nadeau J, McNutt LA, Shaw J. Variation in exemptions to school immunization requirements among New York State private and public schools . Vaccine 2014; 32(52): 7070-7076.

27 McNutt LA, Desemone C, DeNicola E et al. Affluence as a predictor of vaccine refusal and underimmunization in California private kindergartens . Vaccine Dec. 8, 2015.

28 ChangingMinds.org. Propaganda and Propaganda Techniques.

29 Fisher BL. Testimony opposing SB277, a bill eliminating personal belief vaccine exemption . California State Assembly Committee on Health June 9, 2015.

30 Fisher BL. Measles in Disneyland: Vaccine Exemption Ban and Third MMR Shot? NVIC Newsletter Jan. 28, 2015.

31 Dutro M. Next Up for Vaccines: Requirements for California Child Care Workers? KQED News May 18, 2015.

32 Richardson D. The Fallout from California SB277: What Happens Next? NVIC Newsletter Sept. 5, 2015.

33 Berezow A. Jail 'anti-vax" parents . USA Today Jan. 28, 2015.

34 Kluger J. Facebook Must Shut Down the Anti-Vaxxers. Time Magazine Feb. 19, 2015.

35 Lipson P. Anti-Vaccine Doctors Should Lose Their License . Forbes Jan. 30, 2015.

36 Caplan A. Revoke the license of any doctor who opposes vaccination . Washington Post Feb. 6, 2015.

37 Editorial. Mandatory Vaccination Reform Must Be Among 2016 Colorado Legislative Goals . The Aurora Sentinel Dec. 31, 2015.

38 Lipson P. No Vaccination, No Camp. Finally. Forbes Jan. 2, 2016.

39 Fisher BL. Turning Vaccine Exemptions Into Class Warfare . NVIC Newsletter Sept. 14, 2012.

40 Bakalar N. Rich, White, Refusing Vaccinations. New York Times Dec. 24, 2015.

41 Bonifield J. California’s rich, white unvaccinated kindergartners . CNN Dec. 30, 2015.

42 Rampell C. Data Reveal a Rise in College Degrees Among Americans . New York Times June 12, 2013.

43 Fisher BL. Blackmail and the Medical Vaccine Exemption . NVIC Newsletter May 18, 2015.

44 Fisher BL. Despite High Child Vaccination Rates, CDC Calls for Public Shaming of Schools . The Vaccine Reaction Sept. 2, 2015. Also see: Parents Deserve to Know More Than School Vaccination Rates.

45 Hodge JG, Campos-Outcalt D. Legally Limiting Lies About Vaccines. Jurist Nov. 17, 2015.

46 Billington JK, Omer SB.Use of Fees to Discourage Nonmedical Exemptions to School Immunization Laws in the U.S. Am J Public Health Dec. 21, 2015.

 

Source: NVIC

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29 janvier 2016 5 29 /01 /janvier /2016 21:04

La thèse de Judy Wilyman (Docteur en philosophie) acceptée par l’Université de Wollongong (Australie) 

 

«  Une analyse critique de la position du gouvernement Australien par rapport à sa politique vaccinale »

A-t-on encore le droit de critiquer la politique vaccinale dans une thèse d'université?

RESUME

 

La politique vaccinale en Australie doit être analysée attentivement parce que l’intervention médicale dans la prévention des maladies infectieuses peut avoir de graves conséquences sur la santé et la vie sociale. Les maladies infectieuses et les décès ont été considérablement réduits grâce aux réformes apportées dans le style de vie, comme aussi dans l’environnement avant l’utilisation généralisée de la plupart des vaccins au milieu du 20ème siècle. Des campagnes de vaccination de masse ont été lancées après cette époque comme stratégie essentielle pour la prévention des maladies infectieuses. Ainsi, beaucoup de nouveaux vaccins ont été recommandés pour les Programmes Nationaux d’Immunisation (NIP). La mise en œuvre de ces programmes de vaccinations de masse a eu lieu simultanément avec le développement des partenariats entre les établissements universitaires et l’industrie.

 

Le programme National de Vaccination Australien (NIP) est, comme c’est le cas dans tous les pays membres de l’Organisation Mondiale de la Santé, recommandé par l’Alliance Mondiale pour les Vaccins (GAVI). Il s’agit d’un partenariat entre l’OMS et l’UNICEF qui comprend la Banque Mondiale, le Fonds Monétaire International, la Fédération Internationale de l’Industrie du Médicament (IOFPMA), la Fondation Bill et Melinda Gates (BMGF), la Fondation Rockefeller, le Fonds de Développement des Nations Unies (UNDF) et autres institutions privées de recherche. Tous les membres de ce partenariat public-privé influent sur le développement des politiques de santé de l’OMS.

 

Il est important qu’une recherche indépendante soit menée afin de déterminer si tous les vaccins recommandés à ce jour sont sans danger, efficaces et nécessaires à la protection de la communauté. Il est également important de pouvoir disposer de preuves exhaustives qu’il est sans danger de combiner plusieurs vaccins destinés à être introduits dans le corps de nourrissons en plein développement. La science qui reste à faire devra pouvoir analyser la position du gouvernement Australien qui prétend que les bénéfices des vaccins l’emportent de loin sur les risques. Alors que le gouvernement prétend que les effets indésirables graves des vaccins sont rares, il n’est pas possible de dire que cette affirmation soit étayée par des preuves scientifiques suffisantes en raison des lacunes que l’on retrouve dans les essais cliniques, comme dans la surveillance à long terme.

 

Un examen attentif du vaccin contre la grippe porcine de 2009 et du vaccin contre le papillomavirus humain (HPV) destiné à prévenir le cancer du col de l’utérus, montre à suffisance les lacunes dans ce qui est avancé comme  éléments de preuves pour la justification des vaccins. Notre enquête fait apparaitre qu’il n’a nullement été démontré que tous les vaccins soient sûrs, efficaces et nécessaires. L’enquête conclut également que la position du gouvernement australien qui affirme que les bénéfices des vaccins l’emportent de loin sur les risques ne peut être soutenue en raison des lacunes dans les connaissances scientifiques, et parce que toute une recherche reste à faire. La position du gouvernement ne peut non plus être soutenue parce que le suivi des effets secondaires après vaccination reste lui aussi inadéquat.

 

Thèse de Mme Judy Wyliman: consultable ici

 

Source: Université de Wollongong (Australie)

L'anti-vaccination à l'université

 

Pascal Lapointe, le 15 janvier 2016.

 

(Agence Science-Presse) Elle voulait faire une thèse de doctorat fermement anti-vaccination. Incapable de trouver des médecins ou des infectiologues capables de prendre un tel sujet au sérieux, elle s’est tournée vers les sciences sociales. Elle vient d’obtenir son doctorat.

 

L'anti-vaccination à l'université

 

Réalisée à l’Université de Wollongong en Australie, la thèse est intitulée «Une analyse critique de l’argumentaire du gouvernement australien pour sa politique de vaccination». Et les mouvements anti-vaccination ont déjà commencé à faire de son auteure, Judith Wilyman, leur nouvelle vedette. Elle y défend une théorie du complot impliquant l’Organisation mondiale de la santé (OMS) et l’industrie pharmaceutique; elle revient sur la théorie d’une pandémie de grippe en 2009 «orchestrée» par l’OMS; elle voit une OMS contrôlée par «les grandes corporations et la Banque mondiale». Mais elle n’avance aucune donnée scientifique pour démontrer que les vaccins ne sont pas sécuritaires —en fait, là où elle s’aventure sur le terrain scientifique, elle semble multiplier les erreurs factuelles. Pour la blogueuse Néo-Zélandaise Helen Petousis-Harris, la thèse est tellement mauvaise que «même un koala» s'en serait aperçu.

 

Celle qui peut désormais se faire appeler «Docteur» Wilyman (Faculté de droit, des humanités et des arts) était déjà connue des milieux anti-vaccins australiens pour sa croyance en un lien entre autisme et vaccination. Elle s'occupe aussi d’un site anti-vaccin appelé Vaccine Decisions. En 2012, elle avait qualifié de «menteurs» des parents dont le bébé était mort de la coqueluche, et avait participé à une série d’attaques contre cette famille que les mouvements anti-vaccins avaient accusé d’être payée par les compagnies pharmaceutiques.

 

Le professeur qu’elle a choisi comme directeur de thèse, Brian Martin, est connu pour sa croyance en une conspiration du silence pour cacher le fait que le virus du sida aurait été causé par le vaccin anti-polio. Et il défend lui aussi l’idée d’un lien vaccination-autisme.

 

Les noms des autres professeurs qui ont eu pour tâche de lire cette thèse n’ont pas été dévoilés —un doctorat n’est émis que si la thèse a été lue et approuvée par un comité incluant le directeur et au moins deux examinateurs externes.

 

Placée au centre de la controverse, l’Université de Wollongong (UOW) a émis un bref communiqué le 13 janvier, où elle invoque la liberté d’expression :

 

L’université accorde une grande importance à l’ouverture intellectuelle, la liberté d’opinion, la diversité des idées et le respect mutuel.

 

Brian Martin a également pondu une réponse où il accuse les défenseurs de la vaccination de vouloir brimer la liberté académique.

 

(Ils) croient apparemment que les seules personnes qualifiées pour commenter les politiques de vaccination sont des «experts» qui ont des diplômes et des publications dans des journaux scientifiques.

 

Des médias australiens ont tenté d’interviewer cette semaine Mme Wilyman et M Martin, sans succès jusqu’ici. Selon The Australian, un expert en maladies infectieuses, Peter McIntyre, aurait proposé de conseiller Mme Wilyman pendant son parcours mais aurait retiré son offre parce que, selon ses dires, elle n’aurait pas été désireuse de tenir compte de preuves qui allaient à l’encontre de ses croyances.

 

Source: Sciencepresse.qc.ca

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27 janvier 2016 3 27 /01 /janvier /2016 22:18

La vie de 130 jeunes-filles « ruinée par le vaccin anti-cancer »

 

Par David Maher, 14 décembre 2015

 

Ces jeunes-filles Irlandaises et leurs familles sont convaincues que leur maladie a été causée par le vaccin Gardasil contre le HPV destiné à prévenir le cancer du col de l’utérus.

La vie de 130 jeunes-filles « ruinée par le vaccin anti-cancer »

Il a été affirmé ce soir que la vie d’au moins 130 jeunes-filles a été ruinée par une maladie mystérieuse après qu’elles aient reçu le vaccin contre le cancer du col de l’utérus.

 

Les jeunes irlandaises, ainsi que leurs familles déclarent qu’elles sont convaincues que la maladie a été provoquée par le vaccin Gardasil contre le HPV destiné à prévenir le cancer du col de l’utérus.

 

Le vaccin, ainsi que ses effets secondaires ont fait l’objet d’une enquête qui est passée sur TV3.

 

Depuis 2010, le Gardasil a été administré à plus de 170.000 filles du secondaire du pays (Irlande)

 

De nombreuses jeunes-filles du pays ont, depuis la vaccination, souffert de maladies graves que les parents estiment liées à la vaccination.

 

Certaines de ces filles étaient physiquement très actives, très sportives, mais depuis qu’elles furent vaccinées nombre d’entre elles sont maintenant devenues indolentes et ont été contraintes de s’aliter.

 

Abbey Colohan, 13 ans, habitant Kells est tombée malade après avoir reçu le vaccin Gardasil en septembre de l’année dernière. Etendue par terre sur une natte à l’école, la jeune-fille fut saisie de secousses genre épileptique, de vision floue, de roulements des yeux, de maux de tête et de nausées.

 

Deux jours après avoir été vaccinée, Abbey retourna à l’école mais fut prise d’une nouvelle crise. Elle fut traitée pendant 6 jours aux urgences de l’hôpital de Drogheda.

 

Arthur Carron/Collins

La vie de 130 jeunes-filles « ruinée par le vaccin anti-cancer »

Hôpital de Drogheda

 

Une autre jeune-fille, Hannah Cummins, 16 ans de Galway a expliqué à Pat Kenny sur Newstalk que sa vie avait été profondément bouleversée depuis qu’elle avait reçu l’injection du vaccin.

 

Elle expliquait : «  Je suis alitée près de 22 heures par jour avec de terribles maux de tête, je me sens malade et étourdie.

 

Le président du Comité consultatif national sur l’immunisation, et pédiatre à la retraite, le Dr Kevin Connolly a dit qu’il n’y avait aucune raison de modifier quoi que ce soit à la politique vaccinale. Il a ajouté : «  Un examen récent des vaccins contre le HPV réalisé par l’Agence européenne des médicaments indique qu’il est prouvé qu’aucun lien de causalité n’existe entre les vaccins et le syndrome de douleur chronique, le syndrome de tachycardie orthostatique posturale ou le syndrome de fatigue chronique. »

 

Toutefois, le Gardasil a été abandonné au Danemark et a fait l’objet d’actions en justice aux Etats-Unis, en Australie et en Irlande.

 

Des milliers de filles de par le monde ont rapporté souffrir de symptômes similaires. Elles pensent que leurs problèmes résultent directement d’avoir pris ce vaccin.

 

Ce soir, la Société de relations publiques représentant Sanofi Pasteur MSD, le fabricant du Gardasil en Irlande a aussi fait référence au Comité d’évaluation des risques en matière de pharmacovigilance de l’Agence européenne des médicaments.

 

Dans une déclaration faite le mois dernier, Steve Lockhart, vice-président du développement chez Sanofi Pasteur MSD, a déclaré que la recherche « réaffirmait la sécurité » de ces vaccins.

 

Il a ajouté : « Cet important examen scientifique et indépendant sur la sécurité des vaccins contre le HPV contribue à réaffirmer le profil d’innocuité, ainsi que les avantages du vaccin. Il permet de continuer à rassurer (le public) sur le rôle de la vaccination contre la HPV  pour atteindre un objectif important de santé publique.

 

Source: Irishmirror

La vie de 130 jeunes-filles « ruinée par le vaccin anti-cancer »
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26 janvier 2016 2 26 /01 /janvier /2016 20:21

Des officiels confirment :

la rougeole peut être transmise par des vaccinés

Des officiels confirment : la rougeole peut être transmise par des vaccinés

Sayer Ji, Green Med Info -  Waking Times, 11 janvier 2016

 

Une étude remarquable révèle qu’une personne vaccinée peut, non seulement être infectée par la rougeole, mais peut aussi propager la maladie à d’autres personnes déjà vaccinées - Ceci réfute doublement le fait que deux doses du vaccin ROR (Rougeole-Oreillons-Rubéole) soient « efficaces à 99%, comme on le fait croire au public.

 

Une des erreurs fondamentales au sujet de l’efficacité du vaccin contre la rougeole, est que le fait de recevoir le vaccin ROR équivaudrait à une immunité contre ces agents pathogènes. En effet, il est communément affirmé que recevoir deux doses du vaccin ROR est « efficace à 99% dans la prévention de la rougeole », et ce, malgré un volumineux dossier de témoignages, de preuves du contraire provenant de l’épidémiologie et de l’expérience clinique.

 

Cette manière erronée de penser a conduit le public, les médias et le gouvernement à attribuer l’origine des épidémies, comme celle qui s’est récemment produite à DisneyLand, à des personnes non-vaccinées, bien que 18% des cas de rougeole se soient produits chez des personnes qui avaient été vaccinées contre la rougeole – nous sommes loin d’une vaccination « efficace à 99% » ! Le manque évident de fiabilité du vaccin est aussi corroboré par le fait que le CDC exige maintenant deux doses.

 

Mais les problèmes concernant le manque de fiabilité du vaccin ROR vont beaucoup plus loin. En tout premier lieu, le vaccin comporte de sérieux risques de santé (Nous en avons relevé 25 dans la rubrique: Dangers du vaccin ROR), comprenant également un risque augmenté d’autisme. Un scientifique du CDC a avoué que son Agence l’avait camouflé. En second lieu, non seulement le vaccin ROR ne confère pas toujours l’immunité, mais ceux qui ont été « vaccinés » avec deux doses du vaccin ROR peuvent toujours transmettre l’infection à d’autres – un phénomène que bizarrement personne ne commente, tant l’obsession est grande, en temps d’épidémie, de rejeter la faute sur les non-vaccinés ou ceux qui n’ont pas été suffisamment vaccinés.

 

Les personnes qui ont reçu le vaccin ROR peuvent malgré tout transmettre la rougeole

 

L’année dernière, une étude révolutionnaire publiée dans la revue Clinical Infectious Diseases, dont la paternité comprend des scientifiques travaillant pour le Bureau d’Immunisation du Département de la Santé et de l’Hygiène Mentale de New-York City, le Centre National pour l’Immunisation et les Maladies Respiratoires, les Centres de Contrôle et de Prévention des Maladies (CDC, Atlanta GA) qui après avoir examiné les documents liés à l’épidémie de rougeole de 2011 à New-York a pu mettre à jour les preuves que les personnes précédemment vaccinées contre la rougeole, celles qui étaient immunisées par la vaccination, étaient toutes deux capables d’être infectées par la rougeole et de contaminer d’autres personnes (transmission secondaire).

 

Cette constatation a suscité l’attention des principaux médias, comme en témoigne cet article de Sciencemag.org d’avril 2014 intitulé : « Flambée de rougeole chez des patients complètement vaccinés pour la première fois ».

 

Et comme ce titre : « Epidémie de rougeole chez des personnes dont l’immunité avait été prouvée, Cité de New-York, 2011 » Cette étude novatrice reconnaissait que: « La rougeole peut survenir chez des personnes vaccinées, mais la transmission secondaire de ces personnes n’a pas été documentée.»

 

Afin de savoir si les personnes qui acceptent de se faire vacciner contre la rougeole sont susceptibles d’être infectées et de transmettre l’infection à d’autres, les cas suspects et les contacts exposés furent étudiés pendant l’épidémie de rougeole de 2011 à New-York. Les chercheurs se sont focalisés sur un patient qui avait reçu deux doses du vaccin contre la rougeole et ont constaté ce qui suit : 

 

« Parmi les 88 contacts, on a relevé quatre cas secondaires qui avaient soit reçu deux doses du vaccin contre la rougeole ou qui présentaient des anticorps IgG positifs pour la rougeole. Les recherches de laboratoire, les symptômes cliniques de la rougeole, ainsi que le taux élevé d’anticorps IgG caractéristique d’une réponse immunitaire secondaire ont confirmé l’infection par la rougeole.

 

La conclusion de ces chercheurs est remarquable :

 

« Il s’agit du premier rapport de transmission de la rougeole chez un individu vacciné deux fois. Les données cliniques, ainsi que les examens de laboratoire ont montré qu’il s’agissait de caractéristiques typiques de la rougeole chez un individu. Les cas secondaires ont présenté des taux d’anticorps élevés. Aucun cas tertiaire ne s’est produit malgré le nombre élevé de contacts. Cette flambée de rougeole souligne la nécessité d’enquêtes épidémiologiques et de laboratoire approfondies des cas de rougeole soupçonnés, et ce, indépendamment de leur statut vaccinal. »

 

Avez-vous bien réalisé cela ? Un individu vacciné deux fois au cours d’une épidémie de rougeole à New-York a transmis la rougeole à  quatre de ses contacts, dont deux avaient reçu deux doses du vaccin ROR et avaient vraisemblablement des taux IgG d’anticorps protecteurs.

 

Ce phénomène  - le fait que des personnes ayant reçu le vaccin ROR, et qui infectent d’autres personnes ayant aussi reçu le vaccin ROR – a été ignoré par les agences de santé, comme aussi par les médias. Ces données corroborent la possibilité, qu’au cours de l’épidémie de rougeole de Disneyland, les personnes qui avaient précédemment été vaccinées (dont 18% avaient été infectées) ont pu être infectées ou ont pu répandre le virus de la rougeole à partir d’une vaccination, tout en transmettaient la rougeole aussi bien aux non vaccinés qu’aux vaccinés.

 

Suite au manque d’efficacité du vaccin, Il faut arrêter de jeter le blâme sur les non vaccinés

 

La morale de cette histoire, c’est qu’il n’est pas correct de blâmer les parents qui ne vaccinent pas leurs enfants et de leur imputer une responsabilité par rapport à la morbidité ou à la mortalité dues à des maladies infectieuses, alors que la vaccination ne confère pas nécessairement l’immunité et n’empêche pas les vaccinés d’infecter d’autres personnes. En fait, des épidémies se sont produites depuis des dizaines d’années suite à l’échec du vaccin, comme aussi à l’excrétion du virus dans des populations vaccinées à 99%.  Il est possible de lire plus de détails sur cette question en consultant l’article : L’épidémie de DisneyLand : un piège pour les ignorants.

 

[…] Quand une épidémie de rougeole survient, les médias et les Agences de santé se comportent comme s’il avait été démontré, et sans que les preuves en soient apportées, que les personnes touchées par la rougeole étaient insuffisamment vaccinées ou pas vaccinées du tout. Cela semble être le réflexe habituel.

 

Il devient évident que, dans le débat vacciné/non vacciné, les parties prenantes se doivent d’examiner chaque situation sur base de preuves solides et non en fonction d’une science proclamée ou de plaidoyers d’autorité.

 

Source : Waking Times

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24 janvier 2016 7 24 /01 /janvier /2016 19:27

SCLEROSE EN PLAQUES

 

Des bactéries, comme la Bordetella pertussis, couramment utilisées en tant qu’adjuvants des vaccins seraient susceptibles de déclencher des scléroses en plaques

 

Patricia Inacio, PhD, 12 janvier 2016

Les bactéries Bordetella pertussis utilisées comme adjuvant pourraient déclencher la sclérose en plaques

Dans une étude récente, une équipe de chercheurs a voulu montrer que, contrairement à ce qui a été proposé jusqu’à ce jour, la colonisation subclinique par la Bordetella Pertussis pourrait être une cause importante de la sclérose en plaques. L’étude intitulée : « Le rôle potentiel de la colonisation subclinique par la Bordetella pertussis dans l’étiologie de la sclérose en plaques » a été publiée dans la revue «Immunobiology». 

 

La bactérie Bordetella pertussis et sa toxine ont été largement utilisées au cours des 50 dernières années en tant que puissant adjuvant (comme aussi d’autres substances) ajoutées au vaccin pour augmenter la réponse immunitaire du corps.

 

Lorsqu’elles sont co-administrées avec des antigènes neuronaux, les bactéries peuvent induire une neuropathologie dans l’encéphalomyélite auto-immune expérimentale, chez le modèle animal de référence pour la sclérose en plaques humaine.

 

Les chercheurs ont émis l’hypothèse que la colonisation subclinique du rhinopharynx par la Bordetella Pertussis n’est pas inoffensive et peut effectivement se comporter comme un neuropathogène humain pouvant provoquer la sclérose en plaques.

 

L’équipe a examiné trois cas épidémiologiques qui offrent des preuves à l’appui de leur hypothèse. Le premier est un phénomène épidémiologique majeur du siècle dernier, lié à la sclérose en plaques. Il s’agit de l’épidémie de scléroses en plaques dans les îles Féroé, pendant et immédiatement après la Seconde Guerre Mondiale. Selon leur article, les auteurs qui ont étudié l’épidémie, ont noté que « la sclérose en plaques était le résultat rare et différé d’une maladie infectieuse spécifique, mais inconnue chez les adolescents et à l’âge adulte. »

 

La seconde preuve provient d’études épidémiologiques montrant que, pour la sclérose en plaques, il existe un gradient équatorial. De sorte que plus une personne s’éloigne de l’équateur, plus cette personne serait à risque de développer une sclérose en plaques. Les chercheurs suggèrent qu’au niveau du monde, les risques hétérogènes de faire une sclérose en plaques seraient parallèles aux taux de vaccinations avec la Bordetella pertussis.

 

Enfin, le troisième cas épidémiologique concerne les données du gouvernement américain qui montrent une augmentation de la mortalité par sclérose en plaques chez les enseignants du primaire et du secondaire (par rapport à toutes les autres professions libérales), ce qui suggère un risque accru d’une infection symptomatique ou asymptomatique par la Bordetella pertussis.

 

Les chercheurs ont conclu que ces cas épidémiologiques suggèrent qu’il existe une cause substantielle probable à la colonisation subclinique par la Bordetella pertussis  qui serait la cause de la sclérose en plaques. Comme la Bordetella pertussis est un colonisateur fréquent du nasopharynx humain, en particulier dans des populations hautement vaccinées, l’équipe suggère que de nouvelles études sont nécessaires pour enquêter sur le développement de la sclérose en plaques à la suite d’une colonisation par la Bordetella pertussis.

 

Source : Multiplesclerosisnewstoday.com

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23 janvier 2016 6 23 /01 /janvier /2016 22:29

Vacciner ses enfants : pas forcément une obligation pour tous les parents tchèques

 

21-01-2016,  Alžběta Tichá

 

 

Les parents pourraient désormais refuser pour des raisons graves de faire vacciner leur progéniture. Telle est la décision de la Cour constitutionnelle qui a, pour la toute première fois, rendu son jugement en faveur des partisans de la liberté de vaccination. Très controversée dans le monde médical, cette décision rouvre ainsi le thème de la vaccination obligatoire, qui suscite de nombreux débats au sein de la population tchèque.

 

Les enfants tchèques doivent être obligatoirement vaccinés contre un certain nombre de maladies. En cas de la violation de cette loi, les parents peuvent se voir condamner à payer une amende s’élevant jusqu’à 10 000 couronnes (près de 350 euros). Si cette obligation sauve chaque année, selon le ministre de la Santé Svatopluk Němeček, la vie de 500 enfants et empêche de tomber malade 150 000 autres, elle est souvent critiquée de la part de certains parents qui craignent notamment les séquelles que certains vaccins peuvent avoir sur la santé.

 

Les cas de parents ayant refusé de vacciner leurs enfants sont de plus en plus nombreux et les affaires finissent souvent devant le juge. C’est néanmoins pour la toute première fois que la Cour constitutionnelle a décidé en faveur des parents, même si la vaccination n’était pas en contradiction avec l’état de santé de leurs enfants ou avec leur religion. Le tribunal a ainsi élargi le champ des exceptions à cette vaccination obligatoire en présentant une possibilité pour ses opposants de la refuser en raison de leur conscience, c’est-à-dire afin de défendre l’intérêt supérieur de l’enfant. Le juge constitutionnel, Ludvík David présente les quatre critères selon lesquels un tribunal devrait évaluer la légitimité d’une demande :

 

Ludvík David, photo: Archives de la Cour constitutionnelle «Il s’agit de la constitutionnalité des arguments, de leur urgence – c’est-à-dire dans les cas où la vaccination urgente pourrait causer des séquelles, puis de la consistance et du caractère persuasif de ces arguments et enfin la quatrième raison, des conséquences sociales. »

 

Ludvík David poursuit néanmoins qu’une telle décision ne devrait rester qu’exceptionnelle pour assurer la vaccination et la protection de la majeure partie de la population. Selon lui, l’exception pourrait être retenue par exemple pour les enfants dont les frères ou sœurs ont subi des effets secondaires provoqués par le vaccin. A une augmentation du nombre de cas exceptionnels s’oppose néanmoins une grande partie des médecins qui redoutent le retour de maladies infectieuses graves, comme en témoigne le président de la Société tchèque de vaccinologie et directeur de l’hôpital universitaire à Hradec Králové, Roman Prymula :

 

« Je considère cela comme une défaillance de la Cour constitutionnelle car une modification si vague peut mener à une abolition complète de cette obligation. On parle des exceptions mais quiconque peut venir et déclarer ne pas être d’accord en raison de sa conscience. Et réclamer une amende devient ainsi entièrement illusoire. »

 

D’après l’avocate de la Ligue des droits de l’homme qui a défendu la cause de cette famille, Zuzana Candigliota, cette décision qui représente un pas vers la liberté de vaccination, rapproche la République tchèque des pays de l’Europe de l’ouest. Elle voit pour sa part le plus grand problème dans l’absence de dialogue entre les médecins et les parents :

 

Zuzana Candigliota: « Ceux qui refusent une quelconque vaccination ne représentent qu’une minorité, environ 1 % des familles. La plupart des familles concernées font vacciner leurs enfants seulement partiellement et demandent une approche individuelle. Leurs raisons sont très différentes. Et même en Europe de l’ouest, où la vaccination n’est pas partout obligatoire, le taux de vaccination est assez élevé et seulement peu de familles refusent de faire vacciner leurs enfants. »

 

La position du ministère de la Santé reste inchangée, comme l’a confirmé son chef, Svatopluk Němeček, en indiquant que cette décision de la Cour constitutionnelle ne fait que confirmer la règle à travers la définition de cas exceptionnels et que les cas dans lesquels l’amende serait pardonnée, devraient être rares et basés sur une argumentation clairement formulée. Précédemment, la Cour Constitutionnelle avait également affirmé que les enfants non-vaccinés ne devaient pas être accueillis dans les crèches et écoles maternelles. Cette décision est d’ailleurs à l’origine de cinq plaintes auxquelles la République tchèque doit faire face devant la Cour européenne des droits de l’homme.

 

Source : Radio.cz

La tyrannie vaccinale se fissure partout dans le monde, car elle est tout simplement intenable. Partout dans le monde, des parents de mieux en mieux informés prennent conscience qu’il s’agissait d’un colosse aux pieds d’argile, d’un château de cartes qu’une connaissance suffisante de ses droits suffit à balayer. La vaccination forcée est contraire à l’éthique, au droit, autant qu’à la science et au respect élémentaire du patient en médecine. Il faut se rendre à l’évidence, la vaccination, en tant qu’usage d’un produit toujours franchement expérimental, ne peut exister que pour ceux qui acceptent de s’y soumettre mais certainement pas être imposée aveuglément à tous, sauf à faire des humains du bétail sans aucun droit sur leur propre corps. Et pendant que des pays comme la République Tchèque se mettent sur la seule voie juste et logique de la conscience et de la liberté, la Belgique reste lamentablement embourbée dans les avis prétendument scientifiques de son Conseil Supérieur de la Santé et autres diktats de l’ONE…

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23 janvier 2016 6 23 /01 /janvier /2016 11:59

Dr ANDREW WAKIEFIELD : un discours courageux et exceptionnel dans une mer de silence

 

Par Anne Dachel

 

Cette allocution d’une heure et demie du Dr Andrew Wakefield a été présentée au Wisconsin le 2 décembre 2015. Il s’agit d’une des plus brillantes conférences du Dr Wakefield qui vaut vraiment la peine d’être entendue. Il donne un brillant aperçu de l’état actuel de la controverse sur les vaccins aux Etats-Unis, et il décrit l’avenir sinistre qu’il nous faudra vivre si les choses ne changent pas. Il s’agit d’une crise médicale et aussi des droits de l’homme.

 

Les forces qui nous sont opposées sont énormes et incroyablement bien financées. Le pouvoir et le contrôle de l’industrie pharmaceutique importe plus aux élus que le bien-être de leurs électeurs. Ces forces contrôlent aussi les médias. La plupart des Américains n’ont pas la moindre idée de l’horrible fraude qui se déroule sous leurs yeux.

 

Wakefield parle des événements récents, notamment de l’affaire William Thompson, le lanceur d’alerte du CDC, et la manière dont l’épidémie de rougeole de Disneyland a conduit à faire supprimer  toute possibilité de choix en Californie. Se basant sur le camouflage de l’étude sur le ROR et sur la révélation d’un lanceur d’alerte de Merck, il explique au public comment lutter contre la loi d’obligation vaccinale et comment pouvoir gagner.

 

J’ai résumé et repris les passages les plus importants de la conférence. Je suis certaine que vous serez d’accord avec moi pour saluer son discours courageux et exceptionnel dans une mer de silence. Ses efforts n’auront pas été déployés en vain.

 

Anne Dachel

Dr ANDREW WAKIEFIELD : un discours courageux et exceptionnel dans une mer de silence

Introduction : « Essayez tout juste d’imaginer que vous fassiez ce que vous aimez et que brusquement tout le monde commence à vous critiquer. Pourriez-vous vraiment gérer la situation? Et bien, c’est exactement cela qui fut la vie de cet homme au cours de la dernière décennie… »

 

Andrew Wakefield : « … Quand un gouvernement porte atteinte aux droits des individus qu’il a juré de servir,… quand ces droits sont usurpés par des intérêts particuliers destinés à servir les sociétés, en particulier l’industrie pharmaceutique, par- delà le bien-être des citoyens qui ont mis ces gens en place, alors… la République a pris fin. »

 

Parlant de l’explosion des taux d’autisme et de ce que cela signifie pour l’avenir de notre comté, Wakefield déclare :


« Cette tendance se poursuit et il n’existe aucun signe qu’elle va s’apaiser. »

 

Il cite le Dr Stéphanie Seneff du MIT (Massachusetts Institute of Technology ) qui prédit que le taux d’autisme sera de 1 enfant sur 2  en 2032. «  Pour un enfant qui nait aujourd’hui, le risque d’autisme est d’un enfant sur 25 pour le moins. Il ne s’agit pas de trouble génétique. Il s’agit d’un trouble lié à l’environnement. J’irai plus loin : c’est un trouble d’origine humaine.

 

« Aucune économie, aucun pays, aucun système ne peut se maintenir avec pareil niveau de dégâts. Si vous voulez savoir quelle est la plus grande menace pour ce pays aujourd’hui, et bien, vous avez compris…

 

« Lorsqu’on en arrive à pareille situation, il ne vous reste plus d’armée, de force de police, rien. Soit vous êtes vous-même atteint d’autisme, soit vous vous occupez d’un autiste. La société comme nous la connaissons aujourd’hui cesse d’exister. Voilà le futur auquel nous sommes confrontés et à moins que quelque chose de spectaculaire puisse se passer, c’est la situation à laquelle nous serons confrontés. »

 

Wakefield poursuit en parlant de l’autisme dans le monde, et comment ce drame est à mettre en relation avec l’augmentation spectaculaire du nombre de vaccins que reçoivent les enfants, comme aussi avec la protection dont jouissent les fabricants de vaccins. Il évoque ensuite la législation californienne destinée à mettre fin aux exemptions dans cet état. « Voilà ce que sont les Etats-Unis d’Amérique. Que s’est-il donc passé ? Vous pourriez penser que tout va bien, que vous avez protesté contre les projets de loi que l’on a essayé de faire passer au niveau de l’état. Mais au Congrès, il y a ce récent  projet de loi visant à rendre la vaccination obligatoire au niveau fédéral avec les  dollars de l’ « Obama Care » (Soins de santé) . L’état pourra recevoir ces dollars ou tombera sous la menace de se les voir retirer s’il ne vote pas une loi rendant la vaccination obligatoire. C’est probablement ce qui va se passer. Pour que vos enfants puissent fréquenter l’école, ils devront obligatoirement être vaccinés. Et ce n’est pas tout. Cela concernera bientôt toute personne qui fera partie de quelque rassemblement que ce soit. Les personnes, par exemple, qui voudront se rendre à l’église seront forcées, de par la loi, d’être vaccinées conformément au programme de vaccination. Les enfants qui n’auront pas été vaccinés dans les délais prévus recevront tous les vaccins en même temps pour régulariser leur situation.

 

« Dans toute l’histoire de la planète, il n’y a jamais eu d’étude de sécurité pour pareil type de stratégie…. »

 

Wakefield raconte ensuite l’histoire d’un enfant qui a reçu 8 vaccins en une seule fois et qui est mort peu de temps après. Ce décès a été mis sur le compte de coïncidences et les parents ont été contraints de vacciner les enfants qu’ils ont eus dans la suite. Il a ensuite décrit ce qui est arrivé à son article de 1998. Il explique que la production de vaccins stagnait, que les producteurs étaient dans le marasme jusqu’à ce que ceux-ci reçoivent une protection par rapport à toute responsabilité.

 

C’est alors que « Les vaccins sont devenus l’avenir de l’industrie pharmaceutique. »

 

La discussion a ensuite porté sur les motifs qui ont poussé Brian Deer à attaquer Wakefield.

 

Wakefield a présenté des exemples déchirants d’enfants atteint de maladies intestinales après des vaccinations. Il a montré l’impact que pouvaient présenter des troubles intestinaux sur le cerveau.

 

« Il existe un lien entre les intestins et le cerveau qu’il nous faut encore comprendre. Et si on nous avait autorisés à continuer notre travail…nous serions maintenant beaucoup plus loin dans la prévention de toutes ces souffrances que doivent vivre ces enfants. Ca ne s’est malheureusement pas passé comme cela, parce que l’industrie pharmaceutique était, avec un pragmatisme impitoyable, fondamentalement déterminée à protéger ses intérêts. Ca leur était égal que les vaccins puissent ou non provoquer l’autisme… »

Dr ANDREW WAKIEFIELD : un discours courageux et exceptionnel dans une mer de silence

Wakefield a ensuite cité le cas de la thalidomide qui a provoqué de terribles malformations congénitales chez les enfants dont les mères avaient pris le médicament pour les nausées matinales. «  Il a fallu 50 ans pour que la société pharmaceutique reconnaisse que ses médicaments avaient causé ces problèmes. »

 

Wakefield poursuivit en décrivant les tactiques utilisées par les fabricants de vaccins qui, à l’époque, savaient qu’une version du vaccin ROR provoquait la méningite. Plutôt que de retirer le vaccin, ils lui ont simplement donné un autre nom et l’ont vendu dans différents pays entraînant une énorme augmentation des cas de méningites dans ces pays. « C’est cela la moralité de ces gens avec lesquels nous avons affaire. »

 

Wakefield a ensuite évoqué le cas de William Thompson, chercheur sénior dans la division « vaccins »  au CDC (Centres de Contrôle et de Prévention des Maladies).

 

Wakefield a expliqué que le Dr Thompson avait reconnu auprès du Dr Brian Hooker, père d’un enfant autiste, que, depuis une dizaine d’années, l’agence connaissait  le lien entre le vaccin ROR et l’autisme, et s’était arrangée pour le camoufler. Wakefield a précisé qu’il s’agissait « du début de la mise à jour de la plus grande fraude  de l’histoire médicale.»

 

L’étude à laquelle se référait Thompson portait sur des enfants d’Atlanta. Les chercheurs du CDC avaient découvert que deux groupes d’enfants étaient tout spécialement  sensibles aux dommages que pouvait provoquer le ROR :

 

« Les garçons afro-américains et les autres enfants, quelque soit leur race, s’étaient développés normalement jusqu’à l’âge de 12 mois. Cela fait beaucoup d’enfants. »

 

Wakefield décrit ensuite comment le Dr Frank DeStefano du Programme National de Vaccinations, le Dr Coleen Boyle, ainsi que Marshalyn Yeargin-Allsopp ont réagi à la nouvelle qui évoquait un lien entre le vaccin ROR et l’autisme. « Ils ont décidé qu’ils ne publieraient pas ces données. Ils les ont retravaillées, retravaillées, et retravaillées. Le Dr Thompson a expliqué que quand les gens du CDC trouvent un effet qui ne leur plait pas, ils enferment les scientifiques dans un local jusqu’à ce qu’ils trouvent le moyen de faire disparaitre cet effet. Voilà comment ils gèrent les réactions indésirables des vaccins…

 

« Leur plus importante préoccupation: les enfants le plus à risque…ils ont trouvé que les enfants qui étaient le plus à risque étaient ceux qui avaient reçu le vaccin selon le programme du CDC, les enfants de 12 à 18 mois. Ils avaient défini la période qui mettait les enfants le plus à risque. »

 

Wakefield fait remarquer que le CDC aurait pu utiliser le résultat de ces recherches pour modifier le programme vaccinal, reporter le vaccin ROR à une date ultérieure, et par là même réduire de beaucoup le risque d’autisme chez les enfants. « Ils ne l’ont pas fait. Ils ont sciemment, volontairement et imprudemment mis en danger des millions et des millions d’enfants Américains pour se protéger eux-mêmes, pour protéger la politique vaccinale et peut-être aussi pour protéger leurs amis de l’industrie ». Wakefield a qualifié ce comportement de «totale, totale hypocrisie. Il a expliqué que le CDC avait retardé la publication du document et travaillé pour en modifier les conclusions. Le Dr Thompson a expliqué que quand il a informé les autorités du CDC, notamment le Dr Julie Gerberding, qu’il allait devoir présenter les résultats de l’étude à la réunion de l’Institut de Médecine en 2004, il fut menacé de perdre son poste. «  Il fut retiré de la liste de l’IOM (Institut de Médecine), et le Dr DeStefano qui prit sa place, finit par mentir platement à l’Institut de Médecine. »

 

Wakefield ajoute que la divulgation de ces données frauduleuses a eu pour effet que 5.000 plaintes de parents d’enfants autistes furent rejetées par le « Tribunal des vaccins ». «  Ils ont subi un déni de justice. Donc, le crime du CDC a débuté avec une modification du protocole. Les données ont ensuite été omises ou cachées, puis il y a eu entrave à l’exercice de la justice. Maintenant on peut dire qu’ils ont commis une infraction pénale. »

 

Au cours des « Questions - Réponses » on lui a demandé ce qu’il pensait du calendrier vaccinal. Il a suggéré de retarder et d’espacer les vaccins. Il a aussi avoué que si aujourd’hui, il avait de jeunes enfants, « Je ne les ferais pas vacciner. C’est là la seule réponse honnête que je puis donner. Je ne donne de conseil à personne. Je parle simplement de ma propre expérience et au plus j’approfondis les choses dans ce domaine, au plus mes inquiétudes grandissent… »

 

« Age of Autism » a publié à de nombreuses reprises les questions qui pouvaient se poser à propos du Dr Wakefield. En voici quelques- unes :

 

http://www.ageofautism.com/2014/08/cdc-frauds-connections-between-the-destefano-paper-and-the-thorsen-affair.html

 

http://www.ageofautism.com/2014/09/cdc-admits-possibility-vaccines-rarely-trigger-autism.html

 

http://www.ageofautism.com/2014/09/manifest-injustice-the-end-result-of-scientific-fraud.html

 

http://www.ageofautism.com/2015/09/black-women-vaccine-whistleblower.html

 

Commentaires de Laura Hayes, maman d’un enfant gravement handicapé par la vaccination :

 

Merci beaucoup, Anne, pour cet excellent résumé de la très belle conférence du Dr Andrew Wakefield. J’ai été particulièrement ravie que le Dr Wakefield ait déclaré publiquement qu’il ne ferait pas vacciner ses enfants s’il devait en avoir aujourd’hui…Il aura fallu pas mal de temps pour qu’un médecin puisse prononcer ces paroles…  et comme d’autres médecins informés l’ont aussi fait. On en avait tant besoin et on les apprécie tellement. Merci, Andy, pour vos paroles audacieuses. Il faut espérer qu’elles vont permettre à d’autres de s’enhardir.

 

Je crois qu’Andy a raison de ne pas se braquer sur l’argument du choix personnel. Un certain nombre d’anciens combattants ici en Californie ont essayé sans relâche d’obtenir des réactions par rapport aux informations qu’ils avaient récoltées sur les terribles dangers des vaccinations comme aussi sur leur inexcusable inefficacité, malheureusement trop réels et omniprésents. Mais, ils ont été ignorés et mis en minorité maintes et maintes fois.(Ils ont vraisemblablement été victimes de saboteurs qui ont pris la direction de cette politique et ont gagné plusieurs personnes à leur cause). En 2016, il faut que les gens se réveillent et agissent rapidement et avec pleine détermination. 3 points sont à l’ordre du jour : SUPPRIMER les obligations vaccinales, RESTAURER les droits individuels et parentaux pour la prise de décision en matière d’interventions médicales, y compris en matière de vaccinations et abroger le NCVIA (National Childhood Vaccine Injury Act) de 1986. Quiconque n’est pas d’accord avec ces trois volets à l’ordre du jour, reste une personne passive ou pire encore.

 

Il n’est plus temps de se battre pour maintenir les exemptions. Nous ne devrions pas nécessairement avoir recours aux règles de l’exemption pour n’importe quel traitement ou procédure médicale…Un simple « non merci » devrait toujours suffire. Il est grand temps de revendiquer nos droits et une authentique république.

 

Second commentaire de Laura Hayes :

 

Un autre point pour 2016 :

 

Faites savoir le fait que tout médecin, infirmière ou pharmacien qui voudrait vacciner une personne contre sa volonté, ou un enfant contre le souhait ou la volonté de ses parents, est un monstre qui se livre à un sinistre comportement. Ces gens pourront essayer de rationaliser ou de justifier leur comportement indigne, mais il n’est pas possible de rationaliser ou de justifier l’agression d’une personne informée dont on n’aurait pas au préalable obtenu un consentement libre, volontaire et éclairé.

 

Jusqu’à ce que la tyrannie médicale soit dans notre pays arrêtée dans son élan, les médecins, les infirmières et les pharmaciens ont besoin de se demander s’ils ne se font pas les complices d’agressions médicales de leurs patients, avec les conséquences que cela peut entraîner comme troubles, maladies, handicaps et mort prématurée. Ils peuvent aussi se demander s’il ne serait pas temps de s’engager à faire tout leur possible pour s’assurer que leurs patients ne soient  pas forcés de subir des traitements dont ils ne veulent pas.

 

L’éthique médicale et professionnelle exigera une « désobéissance créative » jusqu’à ce que la médecine obligatoire soit abolie dans notre pays. J’espère très sincèrement que les médecins, les infirmières refuseront activement de s’engager dans une médecine forcée, qu’ils le feront clairement savoir, qu’ils feront tout le nécessaire pour aider leurs patients à éviter une médecine obligatoire, et qu’ils contribueront à aider les personnes de leur profession à trouver la voie morale et juste en utilisant quelque forme que ce soit de désobéissance créative qui s’avérerait nécessaire pour protéger leurs patients parce que leur devoir est d’aider et de soulager.

 

Quelle différence y a-t-il entre un médecin, une infirmière ou un pharmacien qui voudrait vacciner un patient contre sa volonté, ou un enfant contre la volonté de ses parents sans consentement volontaire, libre et éclairé, et une personne qui en contraindrait une autre à se soumettre à quelque type que ce soit d’invasion ou d’agression corporelle contre sa volonté ?

 

Il n’y a pas de différence. Il conviendrait que les médecins, infirmières et pharmaciens aient la sagesse de comprendre !

 

Source: Age of autism

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20 janvier 2016 3 20 /01 /janvier /2016 22:05
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19 janvier 2016 2 19 /01 /janvier /2016 22:38

La sécurité du vaccin HPV: l'illusion d'une science étouffée?

 

«Il n’existe aucune excuse pour ignorer intentionnellement des preuves scientifiques. Il n’existe aucune excuse pour tromper les décideurs mondiaux en matière de vaccination au détriment des intérêts de la santé publique. Il n’existe aucune excuse pour pareille violation flagrante de la confiance du public. » Dr Sin Hang Lee

 

Par Norma Erickson, 15 janvier 2016

La sécurité du vaccin HPV: l'illusion d'une science étouffée?

Nouvelle de dernière minute : Le 14 janvier 2016, le Dr Sin Hang Lee a fait parvenir une lettre ouverte de plainte à la directrice générale de l’Organisation Mondiale de la Santé, le Dr Margaret Chan, aux membres du Comité Consultatif Mondial sur la Sécurité des Vaccins (GACVS), au CDC (Centres américains de contrôle et de prévention des maladies), au Ministre japonais de la santé, du travail et du bien-être, et autres associations au sujet de la manipulation de données et de la dissimulation de la science, afin de maintenir l’illusion de la sécurité des vaccins HPV en dépit des preuves du contraire.

 

Selon la lettre du Dr Lee, une série de courriels récemment découverts via une demande d’accès à l’information présentée en Nouvelle-Zélande, a révélé les preuves que le Dr Robert Pless, président du Comité Consultatif Mondial sur la Sécurité des Vaccins (GACVS), le Dr Nabae Koji du Ministère de la Santé japonais, le Dr Melinda Wharton du CDC, le Dr Helen Petousis-Harris de l’Université d’Auckland, Nouvelle-Zélande, et d’autres (y compris les responsables de l’OMS ) auraient pu être activement impliqués dans un programme visant à faire délibérément induire en erreur la Commission d’enquête d’experts japonais sur la sécurité du vaccin contre le papillomavirus (HPV) et ce, avant, pendant et après l’audition publique du 26 février 2014 à Tokyo.

 

La lettre de plainte affirme que les e-mails fournis démontrent clairement que ce groupe de fonctionnaires de l’OMS, ainsi que les employés du gouvernement chargés de conseiller le comité d’experts du gouvernement japonais sur la sécurité de la vaccination contre le HPV savaient avant  l’audience publique du 26 février 2014 à Tokyo que l’un de leurs experts avait montré les preuves scientifiques que la vaccination contre le HPV faisait augmenter les cytokines, y compris le facteur de nécrose tumorale (TNF), en particulier au niveau du site d’injection, par rapport à d’autres vaccins. Pourtant, ils ont choisi de supprimer ces informations à l’audience publique.

 

Evidemment, cette partie des données scientifiques qui était connue de tous les membres du groupe, est également absente de la Déclaration du GACVS sur la sécurité de la vaccination contre le HPV, et publiée le 12 mars 2014. Malheureusement pour les consommateurs de soins médicaux, c’est la même déclaration du GACVS qui a été utilisée pour assurer les autorités de santé, les décideurs politiques et les professionnels de santé partout dans le monde qu’il n’existe aucun souci par rapport à la sécurité des vaccins contre le HPV.

 

Le Dr Lee a conclu sa lettre de plainte en indiquant clairement qu’il existe au moins un mécanisme d’action connu qui explique pourquoi des réactions indésirables graves se produisent plus souvent chez des personnes qui ont reçu le vaccin contre le HPV, que celles qui ont reçu d’autres vaccins, et pourquoi chez certains individus prédisposés la réaction peut s’avérer mortelle. Il semble que cela fait partie de l’information que les « experts » ont jugée nécessaire de supprimer.

 

Le Dr Lee déclare :

 

Ceux dont les noms apparaissent dans ma plainte, et tous ceux qui rejettent aveuglément les préoccupations de sécurité dans le but de continuer à promouvoir la vaccination contre le HPV, devraient être tenus responsables de leurs actes. Il n’existe aucune excuse pour ignorer intentionnellement des preuves scientifiques. Il n’existe aucune excuse pour tromper les décideurs mondiaux en matière de vaccination au détriment des intérêts de la santé publique. Il n’existe aucune excuse pour pareille violation flagrante de la confiance du public.

 

Lire ICI la lettre de plainte du Dr Lee.

 

Source: SaneVax

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19 janvier 2016 2 19 /01 /janvier /2016 12:47

Etats-Unis

 

Des professeurs d'université bafouent les droits du 1er Amendement concernant la sécurité des vaccins 

 

Le père d’un enfant gravement touché par l’autisme, Joe Harris de Fort Worth m’a raconté qu’il a appelé James Hodge et lui a dit : « Ne croyez-vous pas que les vaccins puissent provoquer l’autisme ? Pouvez-vous me parler de la question ? »

 

Hodge a répondu : « Je ne parle à personne de l’autisme et des vaccins. » Puis, il a raccroché.

 

Pourquoi un professionnel qui fait ce genre de déclaration publique n’est-il pas prêt à la défendre ?

 

Par Anne Dachel, Age of Autism

 

L’UNIVERSITE DE PITTSBURGH ET AL DEVRAIENT AVOIR HONTE

 

C’est complètement fou…un professeur de droit et un professeur de la faculté de médecine unissent leurs forces pour en appeler à la fin de toute discussion sur le lien entre vaccins et autisme. CENSURE – REPRESAILLES.

 

Quel autre sujet, produit ou idéologie pourraient être pareillement traités ????? Je voudrais vraiment le savoir !

 

Nous vivons dans une société où des médicaments sont vendus chaque jour grâce à la publicité télévisée alors que certains d’entre eux présentent des effets secondaires graves potentiellement mortels.

 

Que devons-nous penser des annonces telles que celle-ci : « Vous êtes en droit de réclamer un dédommagement si vous ou l’un de vos proches qui aurait pris tel ou tel médicament et aurait souffert de tel ou tel effet secondaire… »

 

Il y a des risques qui sont reconnus, des contestations, des remises en question quand on parle de n’importe quoi d’autre…

 

MAIS, quand il s’agit des vaccins, tous ces concepts sont jetés par la fenêtre et personne ne se risque à appliquer le même examen.

 

Les législateurs (qui ont d’énormes liens d’intérêt avec l’industrie pharmaceutique) ne se contentent plus de faire des heures supplémentaires pour en arriver à supprimer les droits parentaux par rapport au choix des parents de vacciner leurs enfants, mais nous nous trouvons maintenant face à un appel visant purement et simplement à censurer quiconque se mêlerait de discuter la relation entre les vaccins et l’autisme. Des sanctions seraient même prévues pour ceux qui se risqueraient de ne pas s’incliner face à pareille censure.

 

Deux éminents professeurs de l’Arizona militent pour la fin de la liberté d’expression quand il s’agit du thème ayant trait à l’innocuité des vaccins.

 

La publication Jurist.org du 17 novembre s’intitule : Limiter légalement les mensonges qui circulent au sujet des vaccins (Cette publication est soutenue par la Faculté de Droit de l’Université de Pittsburgh)

 

Faits saillants du document et déni de tout lien entre vaccins et autisme :

 

Des examens complets concernant la sécurité des vaccins réalisés par le CDC, L’OMS, l’Institut de Médecine et autres appuient massivement leur efficacité sur base du calendrier de distribution. Ces évaluations réfutent aussi totalement les prétendus liens avec l’autisme. Les « recherches » antérieures parues dans le journal médical The Lancet ont été discréditées et entièrement rétractées depuis la publication originale… ainsi qu’une liste des contrevenants et des punitions qui leur ont été réservées, qu’il s’agisse d’officiels de santé, de politiciens et de médecins.

 

Clouer le bec à ceux qui colportent des mensonges sur les vaccins ?...

 

La liberté d’expression a ses limites surtout quand il s’agit de déclarations ayant trait à la santé. Dans de nombreux cas, les ramifications juridiques, les pénalités peuvent contrecarrer et faire dérailler certains messages spécifiques.

USA: Des professeurs d'université bafouent les droits du 1er Amendement concernant la sécurité des vaccins

A titre d’exemple si des fonctionnaires de santé publique diffusent de fausses déclarations reliant les vaccins à l’autisme, ils pourraient légalement être censurés ou licenciés. Ces gens ne possèdent aucun droit constitutionnel pour répandre de fausses déclarations qui vont à l’encontre de la mission de leur organisme ou bureau.

 

Des politiciens ou autres personnes qui suggéreraient à tort que les vaccins d’une entreprise pharmaceutique déterminée sont connus pour causer l’autisme, pourraient être poursuivis pour avoir diffamé la compagnie…

 

Les médecins et autres professionnels de santé qui conseilleraient à des parents d’éviter de faire vacciner leurs enfants à cause des risques possibles d’autisme pourraient encourir des sanctions quant à leur permis d’exercer ou pour faute professionnelle au cas où un patient devrait subir un préjudice.

 

James Hodge et Doug Campos-Outcalt ne nous donnent pas ici une démonstration parfaitement scientifique. Ils ne semblent même pas avoir essayé. Leur refrain est tout juste : «  des études ne montrent pas de liens ». Hodge et Campos-Outcalt se retranchent derrière la promesse usée qu’ils ont toute la science de leur côté. En lieu et place d’un véritable savoir, pour lequel les scientifiques ont sérieusement exploré toutes les questions soulevées par ceux qui émettent des critiques sur les vaccins, ils se contentent de citer l’OMS, le CDC et l’Institut de Médecine… trois groupes connus pour être sous le pouvoir et l’influence des fabricants de vaccins.

 

« Des examens complets portant sur le sécurité des vaccins… réfutent complètement » le lien entre les vaccins et l’autisme. Il est difficile d’imaginer déni plus radical. Il est clair qu’il n’a jamais été question ici de la sécurité des vaccins. Il n’existe pratiquement aucune possibilité que de rares officiels, des politiciens ou des médecins puissent seulement évoquer un cas. On doit seulement leur imposer le silence.

 

Hodge et Campos-Outcalt ont volontairement fermé les yeux sur ce que beaucoup de gens savent : les preuves s’accumulent et rien ne pourra les faire disparaitre. Le seul recours qui reste à ces gens est de tenter de détruire cette information.

 

Il est impérieux que Hodge et Campos-Outcal, de même que tous ceux qui écrivent dans le même sens soient contraints de répondre à ces questions particulièrement graves :

 

Comment pouvez-vous citer comme preuves de la sécurité des vaccins des études suspectées d’être liées à l’industrie du vaccin ?

 

Comment pouvez-vous ignorer les volumes d’une science indépendante qui montre que le programme de vaccination (insuffisamment testé) ne présente pas toutes les garanties de sécurité ?

 

Pourquoi devrions-nous faire confiance à ce que dit le CDC quand on sait que ce groupe se contrôle lui-même ?

 

A quel type de duplicité avons-nous affaire quand, d’une part les organismes fédéraux se portent garants de la sécurité des vaccins, alors qu’un tribunal fédéral obscur indemnise les dommages vaccinaux qui comprennent des cas d’autisme et que toutes ces décisions sont finalement gardées secrètes ?

 

Casser la dissidence et les appels à la censure ne marchera jamais. La vérité, nous l’avons devant les yeux. La science bidon financée par les pharmas ne pourra jamais faire le poids par rapport à une recherche légitime et indépendante.

 

La lacune la plus flagrante de l’argumentation présentée par Hodege et Campos-Outcalt est leur incapacité à nous montrer la preuve réelle qu’il n’y a aucun lien. Cette vérité ne peut apparaitre que d’une simple étude comparative entre enfants pleinement vaccinés et enfants qui n’ont jamais reçu le moindre vaccin. Si les enfants qui n’ont jamais été vaccinés présentent les mêmes taux d’autisme que les enfants qui ont reçu tous leurs vaccins, alors nous serons tous convaincus. Les parents qui évitent de faire vacciner leurs enfants dans les délais prévus et qui sont visés par Hodge et Campos-Outcalt, ces parents ont créé un groupe d’étude que la médecine traditionnelle refuse de consulter.

 

Priver les américains du choix parental et de la liberté  d’expression semble être tout ce qui reste à ceux dont le but est de pousser, en Amérique, un calendrier vaccinal passe-partout, permettant à tous ceux qui y sont impliqués d’échapper à toute forme de responsabilité. L’Université de Pittsdburgh, Arizona State University et la Faculté de Médecine de l’Université d’Arizona devraient toutes avoir honte.

 

Cet article a été préparé pour publication par Marisa Rodrigues, rédactrice en chef adjointe pour les commentaires de JURIST. Les questions et commentaires peuvent lui être adressés : commentary@jurist.org

 

Source : Age of Autism 

 

Autisme, le grand camouflage. Comment et pourquoi les médias mentent au public américain

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