Une vidéo (certes de quasi 2H), pour ne plus jamais vous faire embobiner par quelque discours simpliste sur le sujet du moindre médecin, "expert" officiel, médecin ONE/PMI etc....
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Un manque d’études sur la sécurité des vaccins dans :
Questions éditoriales du British Medical Journal (BMJ)
By TVR Staff, 14 nov. 2018
Dans un éditorial publié dans le British Medical Journal et intitulé : « Nous avons besoin d’un aperçu des politiques et des programmes de vaccination », Allan Cunningham, MD écrit qu’il souscrivait au récent témoignage de Bernadette Pajer, paru de l’Informed Choice Washington, à l’adresse du Conseil de santé de l’Etat de Washington concernant la nécessité d’examiner de manière réfléchie l’effet des politiques de vaccination sur le public américain. [1,2,3]
Le Dr Cunningham a déclaré : « Bernadette Pajer a absolument raison de reprocher à la communauté médicale de ne pas avoir pris du recul pour examiner l’impact global des programmes de vaccination sur la santé publique. » [1]
Le Dr Cunningham a déclaré que, tout en estimant que les vaccins avaient contribué à la réduction de l’incidence de maladies infectieuses, telles que la rougeole et la polio, il était important d’inclure une évaluation des «effets bénéfiques ou néfastes non spécifiques à plus long terme » des programmes de vaccinations actuellement recommandés. Il a déclaré : « A mesure que les calendriers de vaccination se sont développés, notre ignorance des risques et des avantages globaux s’est également élargie. » [1]
Le Dr Cunningham semble craindre que la science vaccinale, comme celle de leurs effets secondaires ne soit pas aussi bien définie que le pensent beaucoup de responsables de la santé publique, ainsi que des médecins. Il a cité un lien présumé entre les vaccins et l’autisme. « Je doute que les vaccins soient une cause majeure de l’augmentation de l’autisme, mais sans essais contrôlés, nous ne pouvons ni prouver, ni exclure le lien de causalité, contrairement à ce que nous disent sans cesse les autorités responsables de la politique vaccinale », a déclaré Cunningham, qui a cité une étude marquante de la sante publique.
L’épidémiologiste Andrew Mawson compare les résultats pour la santé des enfants vaccinés et des enfants non vaccinés. [1]
« Une étude menée auprès d’enfants américains scolarisés à domicile a révélé que les troubles du développement neurologique, y compris l’autisme, étaient 3 à 4 fois plus fréquents chez les enfants vaccinés que chez les enfants non vaccinés : p<0,001. Les enfants partiellement vaccinés présentaient des risques intermédiaires », a déclaré Cunningham. [1,4]
Selon Claire Dwoskin, fondatrice de l’Institut de recherche sur la sécurité médicale des enfants (CMSR), « l’étude [Mawson] a conclu que les enfants vaccinés étaient beaucoup plus susceptibles d’avoir reçu un diagnostic de maladie chronique (y compris des allergies et des troubles de l’apprentissage) que des enfants non vaccinés. En outre, 7,5% des 666 enfants de l’étude avaient été diagnostiqués avec un trouble neurodéveloppemental (DDN). » [5]
Cunningham a également évoqué les « maladies mystérieuses » et le peu d’attention qui a été prêté à la possibilité d’une association avec des vaccins ou le calendrier de vaccinations. Il a souligné :
« Il existe d’autres « maladies mystérieuses » telles que le syndrome de la mort subite du nourrisson (SMSN) et la maladie de Kawasaki qui ont été associées à la vaccination, et qui ont été rejetées par les autorités responsables, là encore sans essais contrôlés. La dernière maladie mystérieuse est la myélite flaccide aiguë (MFA). Cette maladie affecte principalement les enfants qui rentrent à l’école en septembre. Un rôle a été suggéré par rapport aux vaccinations : la « paralysie par provocation ». Jusqu’à présent, les autorités de santé publique n’en ont pas encore étudié la possibilité. » [1]
Cunningham a spécifiquement cité le cas de Jonathan Daniel Ramirez Porter, âgé de 6 ans, habitant Ferndale, dans l’état de Washington, et qui est décédé des suites d’une « maladie de type MFA avec encéphalite. » le 30 octobre 2016. « Il avait reçu plusieurs vaccins, dont un vaccin contre la grippe, 14 jours avant le début de la maladie qui lui fut fatale, écrit Cunningham ». [1,6]
Les vues de Cunningham coïncident avec celles de Barbara Loe Fisher du Centre national d’information sur les vaccins (NVIC), qui a souvent souligné le problème de la pénurie d’études méthodologiques épidémiologiques, biologiques et rationnelles pouvant démontrer clairement la sécurité des vaccins pour les enfants.
En 2013, Fisher a déclaré que l’Institut de médecine (IOM) avait « souligné à maintes reprises l’étonnant manque d’études scientifiques de qualité qui pourraient prouver la sécurité du nombre de doses recommandées par le CDC et du calendrier de vaccinations des enfants de 0 à 6 ans. »
Le comité a confirmé l’existence d’importantes lacunes dans les connaissances, en particulier concernant les enfants présentant une susceptibilité biologique accrue aux réactions et aux dommages dus à la vaccination. [7,8]
Références :
1 Roy We DO need a broad look at vaccination policies and programs. The BMJ Sept. 25, 2018.
2 Informed Choice Washington. Brave Mom Exposes Vaccine Corruption to Washington Board of Health. The Vaccine Reaction (via YouTube.com) Nov. 7, 2018.
3 Informed Choice WA. InformedChoiceWA.com.
4 Mawson AR, Ray BD, Bhuiyan AR, Jacob B. Pilot comparative study on the health of vaccinated and unvaccinated 6- to 12-year-old U.S. children. J Transl Sci 2017; 3:1.
5 Dwoskin C. First of Its Kind Survey Shows Vaccinated Children Get Sicker. The Vaccine Reaction Aug. 19, 2017.
6 Hurley D. More cases reported of a mysterious polio-like illness that killed a 6-year-old. The Washington Post Nov. 3, 2016.
7 Fisher BL. IOM Issues Report on Safety of the Child Vaccine Schedule: When Will the Real Science Begin? NVIC Newsletter Jan. 16, 2013.
8 Cáceres M. Safety of Childhood Vaccination Schedule Still Unproven. The Vaccine Reaction Jan. 10, 2018.
9 Responses to "BMJ Editorial Questions Lack of Vaccine Safety Studies"
Source : The Vaccine Reaction
Le Mans : lourdement handicapé après son vaccin contre la variole, il demande 400.000 € à l’Etat
Lu sur Actu.fr, 6 nov. 2018.
Un habitant du Mans, lourdement handicapé après son vaccin contre la variole en 1969, a porté l'affaire devant la justice. Il a partiellement obtenu gain de cause.
La cour administrative d’appel de Nantes a donné en partie raison, ce lundi 5 novembre 2018, à un quinquagénaire du Mans(Sarthe), handicapé à 70 % depuis qu’il a reçu le vaccin obligatoire contre la variole en octobre 1969 à l’âge de 10 mois.
Bertrand – représenté en justice par sa mère, devenue sa représentante légale – demandait initialement une provision de 400.000 € à l’Office national d’indemnisation des accidents médicaux (Oniam) après l’aggravation de son état de santé en décembre 2009 : alors âgé de 41 ans, il avait commencé à perdre la vue, ce qui l’avait privé de la possibilité de conduire.
Un an plus tard, une « hypoacousie » l’avait contraint à porter une prothèse auditive.
Un coma après sa vaccination et une chute en 1969
Pour rappel, ses tout premiers symptômes étaient survenus une semaine après sa vaccination, en 1969, quand il était encore enfant : il avait fait sans raison apparente deux chutes dans la même journée. La seconde avait alors entraîné un coma, avec une hémorragie méningée et un hématome sous-dural.
En avril 2018, le juge des référés du tribunal administratif de Nantes n’avait donc accordé qu’une provision de 50.000 € au requérant.
L’Oniam avait fait appel de la décision, estimant que l’indemnisation devait se limiter à 20.000 € tout au plus : son état initial était « particulièrement lourd » et avait été jugé « consolidé » en 1986, il y a trente-deux ans.
La mère de Bertrand avait également contesté cette ordonnance, pour que le montant alloué à son fils soit sensiblement réévalué.
"Il n’est pas contesté (…) que les troubles visuels et auditifs subis par M. Hérault (…) constituent une aggravation de son état de santé en lien avec l’accident dont il a été victime à la suite d’une vaccination obligatoire, dont les conséquences doivent être prises en charge (…) par la solidarité nationale », tranche la cour administrative d’appel de Nantes.
« En l’état de l’instruction, l’existence d’un préjudice d’agrément, d’une perte de revenus et d’un préjudice professionnel n’est pas établie, en l’absence (…) de pièces justificatives », poursuivent les juges.
En revanche, (…) M. Hérault a subi (…) un déficit fonctionnel temporaire qui s’ajoute au déficit fonctionnel permanent arrêté en 1986. »
L’aggravation de son handicap, passé de 60 à 70 %, nécessite ainsi l’assistance par une « tierce personne » trois heures de plus dans la semaine.
La cour administrative d’appel de Nantes a donc porté à 80.000 € la provision que l’Oniam devra verser à la mère du requérant. A cette somme, devront s’ajouter 1.500 € pour ses frais de justice.
Compte-rendu Guillaume Frouin/ PressPepper
Source: Actu.fr
L'encadré ci-dessous ainsi que l'image ne sont pas de l'article original:
Cette décision est absolument capitale car elle montre plusieurs choses :
- La prétendue « solidarité » évoquée par les officiels pour pousser un max de gens à se faire vacciner est évidemment un leurre géant (puisque par la suite, quand le mal est fait, l’ONIAM donc l’Office d’indemnisation des accidents médicaux, organisme d’Etat, agit CONTRE l’intérêt des patients en faisant des pieds et des mains pour payer le moins possible et tout contester !)
- Les vaccins obligatoires constituent, de par leur risques graves évidents, en mesure de ruiner des vies et des familles entières, une atteinte à l’intégrité physique et au respect de la vie privée et familiale.
- Il doit y avoir un nombre très nettement supérieur à ce que vous auriez pu penser en première intention de personnes abîmées, handicapées à 70,80,90% ou + qui moisissent dans leur coin, sans aide suffisante parce qu’elles ou leurs parents ont été manipulés par le corps médical, constamment dans le déni au sujet des risques vaccinaux graves. Imaginez un peu si toutes les victimes graves saisissaient la justice… le mythe des « grands vaccins sauveurs » s’effondrerait instantanément…
- L'élargissement des obligations vaccinales va inévitablement multiplier des cas comme celui-là, que cela soient avec de futures actions en justice ou "des cas de l'ombre" avec la même détresse, mais la médiatisation en moins.
- Cette décision montre aussi qu’il y a moyen de saisir la justice longtemps après le préjudice vaccinal et attire l’attention aussi sur les effets à long terme des vaccins : bien loin des seules « douleur, rougeur au point d’injection ou fièvre », il y a quantité d’effets neurologiques, auto-immuns et autres qui seront à subir toute une vie durant, comme conséquence de la folie furieuse vaccinaliste qui a cru agir avec discernement, en réalité au nom d’un scientisme qui ne dit pas son nom.
Voir aussi:
Variole: aveux explosifs a posteriori sur le vaccin
Variole et polio: aveux explosifs sur des vaccins reçus par des centaines de millions de gens
Vaccins (variole): ce que des médecins en disaient déjà en 1875
Vacciné contre la variole, un laborantin se pique et l'attrape quand même
Variole: le mythe de la vaccination éradicatrice [s'informer avant que ça ne recommence!]
Leicester: haut lieu de la résistance à l'idéologie vaccinale
Un nourrisson de 14 semaines en bonne santé reçoit 8 vaccins et meurt en moins de 24 heures
Melissa Curtin, 19 octobre 2018
Matthew et Angeline Le Grange d’Afrique du Sud ont récemment perdu leur plus jeune fils, Malakai, après les 8 vaccins qu’il reçut le 22 septembre 2018. Il n’avait que trois mois et demi. Malakai était un bébé dynamique, heureux et en bonne santé, et pour qui les parents avaient pris rendez-vous pour sa visite médicale de 14 semaines. Malakai est décédé un jour après avoir reçu son dernier vaccin.
Aucune famille ne devrait jamais avoir à enterrer son enfant à la suite du processus destructeur de la vaccination. Les histoires de familles déchirées liées aux décès d’enfants à travers le monde continuent d’être rapportées, criées aux quatre coins du monde. Nous avons plus d’une douzaine de ces histoires de décès liés aux vaccins uniquement sur ce site web. Nous voudrions vous prier d’écouter nos voix, les voix de parents qui évoquent leur agonie, leur chagrin, leurs larmes. La douleur que doivent supporter ces papas et ces mamans est insondable et insupportable. Pourtant ces récits émanent de parents désintéressés qui ont le coeur brisé, mais qui ont décidé de parler de leurs tragédies pour que d’autres soient, à temps, informés et avertis.
Malakai Le Grange est né le 12 juin 2018 à l’hôpital de Pretoria en Afrique du Sud. Il pesait 4,1 Kg et mesurait 55 cm. Notre petit garçon, en très bonne santé, était nourri au sein et grandissait rapidement. Il a eu un moment quelques coliques, mais à part cela, il n’était que sourires.
C’est le 21 septembre que ses parents l’ont amené à la clinique Dis-Chem pour son bilan de 14 semaines et pour ses vaccinations. On lui a administré le vaccin Rotavirus par voie orale, le Prevenar 13 dans la cuisse droite et une troisième dose de l’hexavalent (DTaP-IPV-Hib-HBV) dans la cuisse gauche.
Son carnet de vaccinations montre qu’à la naissance, il a reçu le vaccin BCG (tuberculose) et la première dose du VPO. A six semaines, il reçut la seconde dose du VPO, sa première dose du Rotavirus, le Prevenar 13, et sa première dose d’Hexavalent (DTaP-IPV-Hib-HBV). Lors de sa visite de 10 semaines, il a aussi reçu la deuxième dose de l’Hexavalent (DTaP-IPV-Hib-HBV).
L’infirmière a demandé à Angeline, la maman, de lui donner une dose de Calpol de 3,5ml dès le retour à la maison.- Angeline était seule avec Malakai lorsque l’infirmière lui a administré les vaccins. L’infirmière était assez agitée lorsqu’elle a tiré sur les jambes du bébé pour lui injecter les vaccins. J’ai eu l’impression qu’elle avait malmené le corps de notre petit.
Environ deux heures après que Malakai eut reçu ses injections, Angeline lui a administré une dose de 2 ml de Calpol et a étroitement surveillé son petit garçon, car il lui semblait que Malakai n’était plus lui-même. Malgré tout, nous avons considéré cette situation comme normale, car notre fils aîné Zachariah (20 mois) avait été comme un peu sonné après avoir été vacciné.
Ce soir là, Malakai est resté éveillé un peu plus tard que d’habitude et nous avons joué avec lui. Nous avons essayé de le divertir ; nous lui avons chatouillé les orteils et avons apprécié de retrouver son rire et les petits bruits qu’il émettait. . Le 22 septembre, vers 3 heures du matin il a pris le sein pour la dernière fois. Vers 4 heures du matin, Malakai s’est réveillé; il semblait avoir faim. Aux alentours de 6h45, la maman se réveilla parce qu’elle sentait que quelque chose n’allait pas. Après s’être levée, elle remarqua que Malakai ne se réveillait pas et ne respirait plus. « Nous avons tenté de réanimer le petit et avons remarqué que ses poumons semblaient fortement encombrés. Nous nous sommes précipités vers la voiture pour conduire au plus vite Malakai à l’hôpital le plus proche. Les médecins et les infirmières ont tenté de réanimer le petit de toute urgence. Après ce qui nous a paru être des jours entiers, les médecins sont venus nous trouver pour nous dire qu’ils avaient fait tout ce qui était possible, mais le petit avait manqué d’oxygène au cerveau et ils avaient finalement dû abandonner. Ils ont déclaré que Malakai était mort à 8h.10, le 22 septembre 2018.
Les infirmières nous ont introduits dans une chambre privée pour nous permettre de dire « au revoir » à notre petit garçon. Elles ont ensuite appelé le médecin légiste et la police, car ils disaient que la mort du petit n’était pas naturelle.
Comme il y eut un problème de communication entre l’hôpital et la police, nous avons dû attendre quatre heures dans cette chambre froide avec le corps de notre petit. Nous avons tenu ses petites mains qui sont vite devenues froides puis raides. Du sang et du mucus sortaient de la bouche de Malakai. Finalement son petit corps fut emmené pour l’autopsie afin d’établir la cause du décès. - Nos vies venaient d’être détruites. Bien que nous ayons perdu notre petit, il nous fallait encore être forts pour notre premier-né qui voyait son père et sa mère se séparer. Il n’arrêtait pas de réclamer son petit frère. - Nous avons dû aller identifier le corps de Malakai à la morgue. La pathologiste a voulu parler en privé avec Matthew, le papa. Elle voulait des informations générales sur la grossesse, et lui a demandé combien de temps le bébé avait été malade. Elle a eu l’air choquée quand Matthew lui a dit que le bébé allait parfaitement bien avant les vaccinations. Elle n’avait pas trouvé la cause du décès, mais avait découvert un gonflement du cerveau ainsi qu’une accumulation de liquide dans le cerveau, des contusions au niveau des poumons qui étaient assez encombrés. Elle avait pris tous les échantillons nécessaires pour envoyer au laboratoire. Matthew a ensuite été conduit dans une autre pièce pour y être identifié.
Matthew, le papa : j’ai regardé au travers d’une petite fenêtre et ai pu voir mon petit garçon enveloppé dans des couvertures de l’hôpital. Il avait l’air très paisible, mais ses lèvres étaient violètes. La pathologiste a eu la gentillesse de couvrir les parties du corps qui avaient été ouvertes pour l’autopsie… Aucun père, ni aucune mère ne devraient jamais voir leur enfant en pareilles conditions.
Un enquêteur a contacté Angie et a pris sa déclaration. Il allait faire en sorte que l’enquête soit réglée le plus rapidement possible. Mais il a averti la maman que les analyses de sang, ainsi que les autres échantillons prélevés pourraient prendre jusqu’à neuf ans, étant donné les problèmes avec les services de médecine légale en Afrique du Sud.
Nos vies ont été déchirées quand nous avons tenté de réanimer notre petit Malakai. L’identification de son corps à la morgue nous a plongés dans une grande fatigue, ainsi que dans une terrible dépression.
Dans la suite, nous avons contacté beaucoup de mamans qui ont perdu un enfant de la « mort subite du nourrisson » ou de cause inconnue. TOUTES ont perdu leur enfant dans les 24 heures qui ont suivi la vaccination. Nous essayons de notre mieux de leur venir en aide, alors que nous nous battons nous-mêmes à chaque instant pour tenir le coup. En nous demandant si nos vies pourraient, un jour, redevenir normales.
Malakai était un bébé en bonne santé avant ses injections. Nous avons pris une vidéo de lui la nuit précédant son décès et vous pouvez le voir soulever son corps et rire avec nous. Découvrir son corps sans vie nous a pratiquement rendus fous.
Les parents de Malakai :
Quelque chose ne va pas du tout avec la mort de tous ces bébés en bonne santé. Ces drames ne sont pas rares du tout; cela se passe quasi tous les jours. Le drame, c’est que nos enfants meurent ! Nous devons nous aider les uns les autres.
Source: Stopmandatoryvaccination
L'anesthésie générale peut être donnée pour forcer la vaccination chez les enfants aux besoins spécifiques
Erin Elizabeth, 30 septembre 2018
En juin dernier, à l'occasion de la Conférence Nationale sur la Vaccination à Adelaïde, en Australie, Julie Leask, Professeure associée à l'Université de Sidney,a fait une déclaration dérangeante, annonçant que certains enfants "dont le cas est médicalement complexe" pourront nécessiter une sédation ou même une anesthésie générale afin de leur faire un rattrapage des vaccinations. Et, comme si cela n'était pas encore assez choquant, elle a aussi annoncé que les parents qui refuseront seront privés d'allocations familiales.
Voici un extrait de sa présentation:
Mais gardez à l'esprit que même l'anesthésie générale comporte ses propres risques; en réalité, une étude réalisée en 2015 a lié l'anesthésie générale à "une réduction de QI et à des changements dans la structure du cerveau". [1]
Voici quelques effets secondaires possibles de l'anesthésie générale tels qu'indiqués sur le site du Ministère de la Santé de l'Etat de Victoria [2]:
- Blessure au site d'injection
- Infection
- Troubles respiratoires
- Dommages nerveux à court terme
- Réactions allergiques (ex: crise d'asthme)
- Sensations et douleurs durant l'opération
- Dommages à la bouche, aux dents, aux lèvres et à la langue
- Dommages causés aux cordes vocales ou au larynx
- Lésions pulmonaires
- Attaque cardiaque
- Dommages cérébraux
- Accident vasculaire cérébral
- Insuffisance rénale
- Insuffisance hépatique
- Paraplégie
- Quadriplégie
Maintenant, puisqu'il ne s'agit ici que des risques liés à l'anesthésie générale, pouvez-vous imaginer ce qui pourrait se passer lorsque les vaccins sont administrés en même temps? Cela a-t-il déjà été étudié en termes de sécurité? Et peut-être aussi la question la plus importante de toutes: pourquoi ces enfants complexes sur le plan médical ne bénéficient-ils pas plutôt d'exemptions à la vaccination?
Bien que le Pr Leask n'ait pas expliqué en quoi consiste "un enfant médicalement complexe", il est prudent de supposer qu'il s'agit d'enfants atteints de troubles neurologiques, tels que l'autisme, qui peut d'ailleurs avoir été initialement causé par la vaccination. [3]
Quelle cruelle ironie dès lors! Nos pensées vont aux parents de ces enfants qui pensent ne pas avoir le choix. Nous ne pouvons pas imaginer une telle situation!
Références:
[1] Australian Vaccination-risks Network Inc, September 29, 2018.
[2] Australian Vaccination-risks Network Inc, September 29, 2018.
[3] Australian Vaccination-risks Network Inc, September 29, 2018.
Sources: Healthnutnews & Australian Vaccination Network (AVN)
Commentaire additionnel d'Initiative Citoyenne:
Il ne faut, du reste, pas oublier non plus que l'anesthésie générale comporte, en elle-même, des effets d'immunosuppression (bien connus et préoccupants, notamment en matière de chirurgie oncologique puisqu’on peut notamment lire dans des publications médicales à ce sujet, nous citons : « La chirurgie carcinologique est à l’origine d’un chaos immunologique périopératoire, favorable à la prolifération de cellules cancéreuses » ; que « Les agents hypnotiques de l’anesthésie ont un effet sur l’activité des cellules NK. » (NB : les « NK » = « natural killers » = un type de globule blancs particulier) ou encore : « Les opioïdes ont un effet direct et un effet indirect sur la prolifération de cellules cancéreuses, in vitro. L’effet résultant serait en faveur d’une immunosuppression des défenses de l’hôte. ».) ; cela signifie donc qu'à l'instar de divers médicaments très connus (ex: cortisone), l'anesthésie et ses effets sur l'oxygénation du corps constitue un stress particulier pour le système immunitaire, lequel est justement celui mis à contribution au 1er chef avec les vaccinations, qui déjà, constituent un stress très supérieur à ce que serait celui occasionné par une infection naturelle, non seulement parce que l'organisme, dans la nature, ne sera pas exposé à tous ces germes à la fois, mais aussi parce que ces germes entreront par des voies précises, harmonieuses et progressives (en commençant par la barrière cutanéo-muqueuse que la vaccination court-circuite allègrement). Diverses études ont déjà montré que la vaccination induit une immunodépression dans ses suites (inversion du rapport des lymphocytes T4/T8, comme ce que qui se passe en cas de SIDA mais de façon plus temporaire, pendant parfois plusieurs semaines, expliquant de facto pourquoi les sujets vaccinés sont nettement plus vulnérables que les non vaccinés à quantité d'infections opportunistes dans leurs suites, certaines pouvant hélas s'avérer mortelles). Conclusion: on va solliciter ici un système immunitaire immature, mis en état de stress maximum alors que tant l'anesthésie que les vaccins vont provoquer un effondrement immunitaire relatif, imposant dès lors aux organismes déjà fragilisés des injonctions contradictoires (faire travailler le système immunitaire et le faire taire)... une fois encore, bonjour les dégâts! |
Voir aussi:
Le Dr Didier Moulinier, diplômé en cancérologie, lance un nouveau SOS compte tenu du harcèlement administratif dont il est à nouveau l'objet. Il dénonce le fascisme des autorités administratives qui voient les charlatans où ils ne sont pas, et qui malmènent des médecins intègres, respectueux du patient de l'humain et soucieux de leur efficacité. Il appelle à venir le soutenir à Bordeaux, le samedi 10 novembre 2018, de 9H à 9H30 devant le siège du Conseil de l'Ordre des Médecins, 84 quai des Chartrons.
Nous relayons son appel qui est évidemment très important pour la défense de la liberté thérapeutique. Le patient doit retrouver pleinement ses pouvoirs, il doit pouvoir se tourner vers des médecins humains qui auront à coeur de trouver les meilleures manières de les soigner, ce qui signifie aussi essayer de mettre en oeuvre les thérapeutiques présentant le moins de risques possibles pour une efficacité maximale! Ou bien les patients se résignent à ce que leurs médecins ne soient que les valets d'une industrie pharmaceutique cynique et cupide qui ne pense qu'aux profits et à la standardisation des soins au détriment de leur efficacité, ou bien ils arrêtent de se comporter en caniches, dociles (pour reprendre une expression du Pr P. Even) et exigent que leur praticien soit réellement en mesure d'exercer son art, lequel ne saurait souffrir de guidelines rigides et contraires à la nécessaire individualisation des soins.
Plus d'informations ici sur le site du Dr Moulinier.
La vidéo du Dr Moulinier sur l'esprit de sa démarche et de sa pratique:
Vidéo ici sur le contexte d'une Big Pharma cynique toute puissante:
«La profession médicale est achetée par l’industrie pharmaceutique, non seulement en termes d’exercice de la médecine, mais aussi en termes d’enseignement et de recherche. Les établissements universitaires de ce pays se permettent d’être les agents rémunérés de l’industrie pharmaceutique. Je trouve ça honteux.» – Arnold Seymour Relman (1923-2014), professeur de médecine à Harvard et ancien rédacteur en chef du New England Journal of Medicine.
Voir aussi:
POLOGNE : premier projet de loi citoyenne pour la liberté de choix en matière vaccinale
Les premiers représentants d’un comité appelé Association nationale pour la connaissance de la vaccination ont obtenu 121.000 signatures de parents déterminés à présenter au Parlement polonais un projet de nouvelle loi. C’est le 3 octobre 2018 que la première lecture du projet a lieu.
Le projet de loi vise principalement à supprimer les vaccinations obligatoires, à instaurer la vaccination volontaire, ainsi qu’à renforcer les moyens pouvant assurer la sécurité des enfants.
Une qualification médicale précise, destinée à prévenir les réactions indésirables. Le médecin doit s’interroger non seulement sur la santé en général, mais aussi sur les allergies, l’asthme, les maladies immunitaires et neurologiques, ainsi que sur les effets indésirables de vaccinations antérieures tant chez la personne vaccinée que dans sa famille.
Une information écrite donnée avant la vaccination par rapport aux risques possibles.
Une information sur les types de vaccins, ainsi que plus spécialement sur les vaccins produits à partir de lignées de cellules humaines issues d’un avortement.
Un compte-rendu médical précis après la vaccination afin de pouvoir enregistrer les réactions indésirables.
La possibilité, pour les parents, de signaler les réactions indésirables post-vaccinales, ainsi qu’un contrôle judiciaire de leur enregistrement.
Possibilité de consultation publique des modifications du calendrier vaccinal.
Le projet laisse la possibilité d’introduire des vaccins en cas d’épidémie, comme dans les pays où il n’y a pas de vaccinations obligatoires et où les parents ont le choix. La vaccination continuera à être financée par le gouvernement, mais les parents devront être traités comme des partenaires et non comme des esclaves du système.
Le rassemblement des signatures a été l’aboutissement de la manifestation internationale contre la vaccination obligatoire qui s’est déroulée le 3 juin à Varsovie, ainsi qu’à la suite de manifestations dans d’autres pays du monde.
Le 3 octobre 2018, le Parlement polonais entendra pour la première fois le projet de loi qui sera lu par la représentante de la Commission, Justyna Socha qui est également présidente de STOP NOP.
Le même jour, une grève des familles a eu lieu à Varsovie et la manifestation se déroulera sur le site du Parlement. Les parents qui luttent pour un choix libre en matière vaccinale se rassembleront pour une manifestation. Parmi eux, se trouveront beaucoup de personnes ayant présenté des effets indésirables au sein de leur famille après la vaccination, comme aussi des personnes qui en ont payé le prix fort : la santé ou la vie même d’un enfant.
La mobilisation a été annoncée à travers tout le pays.
L’Association STOP NOP compte sur le fait que, comme promis par le gouvernement actuel, aucune initiative législative ne sera rejetée, et que le Parlement approuvera le projet pour une procédure ultérieure.
A la suite de cette initiative de parents polonais conscients, nos frères italiens de Liberta di Scelta Proposta Legge di Initiativa Popolare, ont emboîté le pas et ont engagé le combat pour la liberté. Ils ont recueilli 100.000 signatures en un temps record. Ces signataires font appel au gouvernement pour qu’il respecte les décisions parentales. Nous leur souhaitons bonne chance, ainsi qu’un examen positif rapide par le Parlement de Rome de leur projet citoyen. Nous espérons que de nombreux autres pays suivront ces exemples.
S’il existe un risque, le libre choix s’impose.
12 octobre 2018
Rapport pour Messieurs et Mesdames de la Représentation nationale.
G Delépine. Chirurgien cancérologue, diplômé de statistiques médicales.
Déclaration d’intérêts : l’auteur précise qu’il n’a aucun lien d’intérêt, ni avec un laboratoire pharmaceutique, ni avec une quelconque association anti vaccinale.
L’obligation vaccinale française a déclenché une véritable guerre de religion entre ceux qui croient en l‘effet toujours bienfaisant des vaccinations, et ceux qui ne comptabilisent que leurs complications. Afin de dépassionner le débat, je ne présenterai ici que des résultats avérés, officiels et indiscutables extraits des registres officiels et m’abstiendrai dans ce texte de commentaires et hypothèses qui pourraient pourtant permettre de mieux les expliquer.
Après 12 ans de commercialisation du Gardasil et plus de 200 millions de doses vendues, l’examen des registres officiels du cancer permet de tirer un premier bilan objectif d’efficacité anticancéreuse qui se révèle angoissant.
En effet on observe, dans tous les pays qui ont mis en œuvre un programme de vaccination, une augmentation importante et significative de la fréquence des cancers invasifs touchant préférentiellement les groupes les plus vaccinés.
Cette fréquence est exprimée en incidence brute (nombre de nouveaux cas annuel pour 100 000 femmes) et en incidence standardisée (incidence brute ramenée à une population mondiale « standard » corrigeant ainsi les variations dues aux différences démographiques d’une période à l’autre ou d’un pays à l’autre) permettant de comparer l’évolution entre les pays.
En Australie, premier pays à organiser la vaccination pour les filles (dès 2007) puis pour les garçons (2013), d’après l’Australian Institute of Health and Welfare[1], l’incidence standardisée dans la population globale n’a plus diminué depuis la vaccination. Cette stabilisation globale résulte de deux tendances contradictoires qui n’apparaissent qu’à l’examen des évolutions selon les groupes d’âge. Les femmes des groupes d’âge vaccinés ont vu leur risque augmenter fortement :100% d’augmentation d’incidence pour celles de 15 à 19 ans (de 0.1 en 2007 à 0.2 en 2014), 113% d’augmentation (de 0.7 à 1.5) pour celles de 20 à 24 ans vaccinées alors qu’elles avaient entre 13 et 17 ans, et 33% (de 5.9 à 8 pour le groupe 25-29 et de 9.9 à 13.2 pour celles de 30-34) pour celles de 25 à 34 ans moins vaccinées, car seulement exposées aux vaccinations « de rattrapage ». Durant la même période, les femmes plus âgées (et donc non vaccinées) ont vu leur risque diminuer : -17% pour les femmes de 55 à 59 ans (de 9.7 à 8.1), -13% pour celles de 60 à 64ans (de 10.3 à 8.9), -23% pour celles de75 à 79 ans (de11.5 à 8.8) et même -31% pour celles de 80 à 84 ans (de 14.5 à 10).
La Grande Bretagne a organisé la vaccination pour les filles de 12 à 13 ans avec un rattrapage pour les 14-18 ans dès 2008. Les promoteurs de la vaccination s’attendaient à ce que les taux de cancer du col chez les femmes âgées de 20 à 24 ans diminuent à partir de 2014, à mesure que les cohortes vaccinées entraient dans leur deuxième décennie. Cependant en 2016, les statistiques nationales ont montré une augmentation brutale et importante du taux de cancer du col utérin dans ce groupe d’âge d’autant plus inquiétante que l’incidence standardisée dans la population globale a tendance à réaugmenter depuis la vaccination passant de 9.4 en 2007 à 9.6 en 2015. Dans ce pays l’analyse par groupe d’âge révèle des évolutions très contrastées[2]. Les anglaises de 20 à 24 ans qui constituaient la cible préférentielle de la campagne de vaccination ont vu leur incidence de cancer doubler de 2007 à 2015 (de 11 à 22) après une augmentation de 70% entre 2012 et 2014[3], alors les femmes de 25 à 34 ans (moins vaccinées car seulement exposées aux vaccinations « de rattrapage ») ont vu leur risque augmenter de 18% (de 17 en 2007 à 20 en 2014). Les femmes plus âgées, non vaccinées ont vu leur risque diminuer (-13% pour les femmes âgées de 65 à 79 ans et -10% pour celles de plus de 80 ans).
MEME PHENOMENE PARADOXAL EN SUEDE
En Suède, le Gardasil est utilisé depuis 2006 et le programme de vaccination a été généralisé en 2010 avec une couverture vaccinale des adolescentes âgées de 12 ans de près de 80%. En 2012–2013, avec un programme de rattrapage, la quasi-totalité des jeunes filles de 13 à 18 ans étaient vaccinées.
Dans ce pays, l’incidence standardisée du cancer du col de l’utérus a augmenté progressivement depuis la vaccination passant de 9.6 en 2006, à 9.7 en 2009, 10.3 en 2012 et 11,49 en 2015. Cet accroissement est presque exclusivement dû à l’augmentation de l’incidence des cancers invasifs chez les femmes de 25 à 49 ans (11 en 2006 versus 17 en 2015) groupe d’âge qui inclus toutes les vaccinées L’incidence du cancer invasif du col de l’utérus a augmenté de 19% chez les femmes de 20 à 29 ans (de 6.69 à 8.01), de 47% chez celles de 30 à 39 ans (de 14.78 à 21.81) et de 40 % chez celles de 40 à 49 ans (de 14.68 à 20.50).
A l’opposé, en Suède comme en Australie et comme en Grande Bretagne, une diminution de l’incidence de cancer invasif a été observée chez les femmes de plus de 50 ans, groupe qui n’a pas été concerné par le programme de vaccination. L’incidence du cancer invasif du col de l’utérus a ainsi baissé entre 2007 et 2015 de 6% pour les femmes âgées de 50 à 59 ans (de 14.24 à 13.34), de 4 % pour celles de 60 à 69 ans (12.63 à 12.04,) de 17% pour celles de 70 à 79 ans (de 15.28 à 12.66) et de 12 % pour celles de plus de 80 ans (de 15.6 à 13.68).
En Norvège, depuis la vaccination, le registre du cancer montre une augmentation de l’incidence standardisée du cancer invasif du col de l’utérus de 12.2 en 2009, à 13.2 en 2012 et 14.3 en 2015.
Cette augmentation est due presque exclusivement aux jeunes femmes qui regroupent toutes celles qui ont été vaccinées ainsi qu’en témoigne la forte diminution de l’âge moyen de survenue du cancer du col passé de 48 ans en 2002 -2006 à 45 ans en 2012-2016.
Entre 2007 et 2015 l’incidence du cancer invasif du col de l’utérus a augmenté de 8% chez les femmes de 20 à 29 ans (de 7.78 à 8.47), de 65% chez celles de 30 à 39 ans (de 16.92 à 28.11) et de 50 % chez celles de 40 à 49 ans (de 19.62 à 29.56).
Durant la même période une diminution de l’incidence du cancer invasif a été observée chez les femmes plus âgées qui n’ont pas été concernées par le programme de vaccination : -11% pour les femmes âgées de 55 à 64 ans (15.47 à 13.7), -16% pour celles de 65 à 74 ans (17.7 à 14.71) et -29% pour celles de 75 à 85 ans (18.39 à 13). Résultats semblables à ceux de l’Australie de la Grande-Bretagne et de la Suède.
Aux USA, d’après le Cancer Statistics Review 1975-2015 [4] l’incidence standardisée du cancer invasif du col avait diminué de 33% entre 1989 et 2007 (de 10.7 à 6.67) avant la commercialisation du Gardasil, mais ne diminue plus (+0.1) depuis la vaccination. Dans ce pays où la couverture vaccinale est moins élevée que dans les pays précédents (proche de 60%,) on observe la même discordance selon les groupes d’âge mais d’amplitude moindre : les femmes de plus de 50 ans, qui ont échappé à la vaccination bénéficient d’une diminution de 5% de leur risque (de 10.37 en 2007 à 9.87 en 2015), tandis que les femmes plus jeunes, qui regroupent les vaccinées, ont vu leur risque augmenter de 4% (5.24 en 2007 à 5.47 en 2015).
L’évolution de ces pays à forte couverture vaccinale peut être comparée à l’évolution constatée en France métropolitaine où la couverture vaccinale anti HPV est très faible (environ 15%) et qui peut être considérée pour cette raison comme un pays témoin. En France[5], l’incidence du cancer du col de l’utérus a constamment diminué passant de 15 en 1995 à 7,5 en 2007, 6,7 en 2012 et 6 en 2017. Cette diminution de l’incidence s’est accompagnée d’une diminution de la mortalité de 5 en 1980 à 1,8 en 2012 et 1,7 en 2017.
Ainsi dans tous les pays qui ont atteint un taux de couverture vaccinale anti HPV élevée, les registres officiels du cancer révèlent une augmentation de l’incidence des cancers invasifs du col de l’utérus, qui apparaît 3 à 5 ans après le début de la campagne de vaccination et qui affecte exclusivement les groupes d’âge qui ont été les plus vaccinés.
Dans ces mêmes pays, durant la même période les femmes plus âgées, qui n’ont pas été vaccinées, ont vu leur risque de cancer du col poursuivre sa diminution. De même, en France métropolitaine, pays à faible taux de couverture vaccinale, l’incidence du cancer du col continue de décroître à un rythme comparable à celui de la période pré vaccinale.
Ce risque de faciliter le cancer additionné aux effets secondaires connus enlève toute légitimité à cette vaccination. Les défenseurs du vaccin plaident pour la rareté supposée des « effets indésirables », mais peuvent-ils aussi prétendre que l’objectif officiel de la vaccination, diminuer l’incidence du cancer du col a encore des chances d’être atteint ?
Catastrophe sanitaire avérée. Peut-on éviter un nouveau scandale ?
L’augmentation du risque de cancer du col constatée dans tous les pays à forte couverture vaccinale constitue d’ores et déjà une catastrophe sanitaire qui justifie de diligenter en urgence des études complémentaires par des acteurs indépendants pour expliquer ce résultat paradoxal et de suspendre immédiatement la recommandation de ce vaccin.
En l’absence de mesures de précaution fortes, cette catastrophe sanitaire risque de se transformer en scandale sanitaire. Après les scandales du Vioxx, du Médiator, des pilules de dernière génération et les pantouflages éthiquement condamnables de la directrice du CDC américain et d’un président de l’EMA, la confiance de la population dans les dirigeants des agences sanitaires et les ministres de la santé accusés d’être trop sensibles aux discours des firmes pharmaceutiques, est fortement ébranlée.
Ce ne sont pas des réponses évasives des experts officiels aux inquiétudes des familles des jeunes victimes qui pourront la rétablir [6] [7].Ni non plus l’attitude du CDC américain qui continue de faire la promotion du vaccin pour les filles et les garçons suivant ainsi l’exemple du capitaine du Titanic négligeant les avertissements et commandant « plus vite » Cette surdité aux résultats avérés et aux appels de prudence des experts indépendants constitue un argument majeur des anti vaccins qui soulignent à juste titre les passe-droits invraisemblables qui ont entouré les essais[8] puis la mise sur le marché précipitée[9] du Gardasil sans preuve d’efficacité sur la maladie qu’il était censée traiter et qui sont à l’origine de la catastrophe actuelle.
Il est temps que les politiques ne soient plus dupes d’experts aux conflits d’intérêts prédominants. Si vous ne refusez pas l’amendement qui vise à rendre obligatoire le Gardasil, que direz-vous aux familles des filles comme Sarah Tait, mortes de cancer du col après la vaccination qui devait éviter ce calvaire, quand elles apprendront que c’est peut-être la vaccination qui a été responsable ? Cette responsabilité sera, à l’évidence, très difficile à assumer.
En attendant les résultats d’études approfondies indispensables pour préciser les raisons de cet échec avéré du Gardasil, le principe de précaution exige de ne plus recommander, ni de faciliter, et encore moins d’imposer ce vaccin et d’arrêter de financer les publicités trompeuses voire mensongères afin de permettre à chaque citoyen d’évaluer librement le rapport bénéfice/ risque de la vaccination
« Ceux qui ne savent pas ont le devoir d’apprendre »
« Ceux qui ont le privilège de la connaissance ont le devoir d’agir » Albert Einstein
Références:
[1] Australian Institute of Health and Welfare (AIHW) 2017 Australian Cancer Incidence and Mortality (ACIM) books : cervical cancer Canberra : AIHW. <Http ://www.aihw.gov.au/acim-books>.
[2] Web content : Cancer Research UK, https://www.cancerresearchuk.org/health-professional/cancer-statistics/statistics-by-cancer-type/cervical-cancer/incidence?, statistics Accessed 09] [2018].
[3] A Castanona et al Is the recent increase in cervical cancer in women aged 20–24 years in England a cause for concern? Preventive Medicine Volume 107, February 2018, Pages 21-28
[4]https://seer.cancer.gov/archive/csr/1975_2014/results_merged/sect_05_cervix_uteri.pdf#search=cervix%20cancer%20incidence
[5] Francim, HCL, www.Santé publique France, INCa. Projections de l’incidence et de la mortalité par cancer en France métropolitaine en 2017 – Tumeurs solides [Internet]. Saint-Maurice : Santé publique France [mis à jour le 02/01/2018 ; consulté le 09/05/2018 https://www.santepubliquefrance.fr
[6] A Castanona et al Is the recent increase in cervical cancer in women aged 20–24 years in England a cause for concern? Preventive Medicine Volume 107, February 2018, Pages 21-28
[7] Également très lié aux laboratoires commercialisant les vaccins
[8] Examen selon une procédure fast track injustifiée par la maladie, utilisation de critères substitutifs dont la pertinence n’était pas connue, puis définition à postériori de la population choisie pour juger l’essai…
[9] En 9 mois record absolu à l’époque.
Source: site du Dr Nicole Delépine
Voir aussi:
Gardasil: présentation des résultats avérés sur le cancer du col (présentation du Dr G. Delépine aux députés de la Communauté Française le 24 septembre 2018)
Un nouveau livre paraîtra le 25 octobre sur le scandale du vaccin Gardasil:
Des incitants financiers pour les médecins qui vaccinent le plus d'enfants possible
Paul Fassa, Health Impact News
Il y a des primes financières pour les médecins et les autres praticiens de santé conventionnels qui maintiennent des forts taux d'adhésion des patients à diverses visites médicales et prescriptions médicamenteuses (y compris les vaccins).
Ces incitants pour avoir plus de patients dans leurs cabinets et pour recevoir autant de vaccins et de médicaments que possible viennent du secteur des assurances.
En 2016, la preuve de ces backchichs médicaux était révélée sur internet par un pamphlet des grosses compagnies d'assurance (Blue Cross (BC), Blue Shield (BS), Blue Cross Network (BCN)).
Voici une capture d'écran de la page 15 de leur brochure sur le programme incitatif pour les dispensateurs de soins en 2016, lequel offre donc des récompenses financières pour le respect des calendriers vaccinaux du CDC:
10 vaccins différents à fourguer par enfant: diphtérie, tétanos, coqueluche (DTaP), polio (IPV), ROR (MMR), varicelle (VZV), haemophilius influenza (HiB), hépatite B, pneumocoques (PCV), hépatite A, rotavirus (RV) et grippe (influenza)
Explications de la page Résultats en matière de soins de santé
La capture d'écran ci-dessus détaille les conditions pour que les médecins puissent toucher les primes, en fonction du pourcentage d'enfants vaccinés, de 2 ans ou plus jeunes.
Seuls les enfants inscrits à un programme d'une de ces trois compagnies d'assurances susmentionnées (BC, BS, BCN) sont éligibles au programme pour les prestataires qui les ont en charge.
Quand cela a été découvert, plusieurs praticiens de santé holistique préoccupés et quelques sites de santé alternatifs ont manifesté leur mécontentement face au dépliant incitatif pour les prestataires de 2016.
Début 2017, les informations de 2016 ont été retirées de l'accès public en ligne. Mais il y avait au moins un site qui a réussi à conserver l'original. Les vaccins combinés qui incluent plus d'un vaccin dans une injection sont énumérés à côté du titre «Description».
L'élément «Critères d'exclusion» explique que «Les enfants qui présentent une réaction anaphylactique au vaccin ou à ses composants» ne peuvent pas être inclus. Cela pourrait être un facteur intervenant dans l'attitude des médecins et des infirmières ne signalant pas d’effets indésirables au système VAERS (Système de notification des effets indésirables des vaccins), géré par le CDC et indiquant aux parents que les réactions observées étaient normales. Les médecins et les autres praticiens de la médecine traditionnelle signalent très rarement des événements indésirables.
Le pourcentage «cible» de 63% est obtenu en divisant le nombre d'enfants ayant terminé les vaccinations décrites par le nombre d'élèves éligibles, c'est-à-dire ceux qui sont couverts par l'assurance. Le prix est de 400 $ par enfant.
Voici un exemple de la façon dont cela fonctionne. Un pédiatre a 100 patients inscrits chez lui et s'il en vaccine pleinement 63 dans les délais prescrits jusqu'à l'âge de deux ans, l'objectif de 63% est atteint.
Les 63 personnes vaccinées donnent lieu à une récompense annuelle de 25 200 $ pour le bureau de pédiatrie. Cela pourrait être plus ou moins selon la charge de travail du médecin ou de la clinique.
N'oubliez pas que les enfants et les bébés sont les seuls types de patients traités par les pédiatres. Il pourrait donc y avoir beaucoup plus que ce que montre cet exemple simpliste.
Une étude de recherche pédiatrique menée en 1999 a déterminé que le nombre moyen de patients par pédiatre était de 1 546. C'était un décompte en nombre de patients, pas de visites. Ainsi, si une clientèle compte 1 546 personnes et que, sur ce total, 150 sont à la compagnie Croix Bleue et que le pédiatre en a vaccinés cent, le montant annuel sera de 40 000 $.
Ce programme de récompenses comporte des effets pervers, comme d’imposer à un enfant plus de vaccinations et à un rythme plus rapide que ce qu’il pourrait supporter, avec plus de vaccins par visite. Cela est arrivé avec plusieurs effets indésirables signalés par les parents après vaccination, alors que les médecins nient tout lien.
Source: Health Impact News
Voir aussi:
La vaccination, un juteux business, aussi pour les médecins...
Des auditions ont eu lieu ce 24 septembre au parlement de la Communauté Française pour discuter de la pertinence de la proposition de résolution déposée par M. Brotchi et ses collègues le 12 juin dernier, visant à renforcer et élargir encore la vaccination HPV[1] (qui était déjà, depuis 2011, proposée gratuitement dans le cadre scolaire avec le vaccin Cervarix à toutes les jeunes filles de 2e secondaire en Communauté Française avec un taux d’acceptation d’environ 25-30% tout au plus contre plus de 80% en Flandre).
En résumé, cette proposition demande une extension des publics-cibles avec augmentation des tranches d’âges de vaccination (de 9 à 14 ans + rattrapage de 15 à 26 ans) et inclusion des jeunes hommes au nom de « l’égalité hommes-femmes » ainsi que des immunodéprimés, mais elle préconise également, au nom d’un prétendu « progrès » un changement de vaccin, en faveur du Gardasil 9 (plus cher) ; enfin, elle réclame un changement préoccupant de modalité vaccinale puisqu’elle demande de se calquer sur la Flandre et de « vacciner d’office » selon la règle du « Qui ne dit mot consent » (opting-out) plutôt que de ne vacciner que les jeunes dont les parents en auraient fait la demande (opting in).
Dans le cadre de cette proposition, Initiative Citoyenne a été contactée par mail en juillet dernier par le CDH qui disait chercher « une ou plusieurs personnes qui pourraient apporter une opinion divergente et sensibiliser les parlementaires aux dangers potentiels, voire avérés de cette vaccination ».Un conseiller politique nous a remerciés pour les noms d’experts et les infos données, les qualifiant de « très préoccupantes » et a fait part du souhait du parti d’avoir un « débat contradictoire et réellement démocratique ». Initiative Citoyenne avait également accepté d’intervenir lors de ces auditions mais compte tenu du peu de temps alloué par intervenant (15-20 minutes maximum normalement) et de la triste habitude des experts officiels à bloquer tout débat au nom de l’argument d’autorité (Ce serait eux et eux seuls les experts fiables et sérieux –comme on l’a vu avec le H1N1 notamment !), nous avions demandé des garanties pour que puissent être diffusés aux parlementaires présents deux extraits vidéos cruciaux (un extrait de « Médicaments sous Influence »[2], diffusé sur France 5 en 2015 et un autre diffusé sur Arte en 2017 sur « la fronde danoise contre le Gardasil »[3], pays qui a vu la couverture vaccinale par ce vaccin passer de 90% en 2010 à 23% suite aux effets secondaires conséquents et invalidants), garanties que nous n’avons pas reçues, car ces 27 minutes étaient soi-disant trop longues (sur 3H environ d’auditions et ce alors qu’il y aurait eu tout au plus 3 intervenants critiques sur la vaccination pour 7 autres en faveur !), raison pour laquelle nous avons décidé de décliner l’invitation estimant que le débat était biaisé d’avance. C’est d’ailleurs aussi la conclusion à laquelle est parvenu le Pr Romain Gherardi, du Centre des pathologies neuromusculaires du CHU Henri Mondor de Créteil, dont nous avions donné le nom au CDH. Celui-ci, a estimé : « après lecture attentive de l’ordre du jour de la réunion, tout est déjà verrouillé », et ne pas souhaiter « jouer les alibis d’un jeu pseudo-démocratique », ce que nous comprenons parfaitement.
Ces extraits vidéo que nous souhaitions voir diffuser au parlement, lors de ces auditions, sont cruciaux car ils donnent la parole à des experts de tout premier plan pour éclairer le véritable rapport bénéfices-risques de cette vaccination, des experts internationaux dont la Communauté française n’avait alors même pas à financer le voyage. Des gens qui savent ce qu’ils disent puisqu’ils parlent « de l’intérieur » du système. Parmi eux : le Dr Bernard Dalbergue, ex médecin de chez Merck qui a déjà dit précédemment que « Le Gardasil sera le plus grand scandale médical de tous les temps »[4] mais aussi le Dr Diane Harper qui a participé aux essais cliniques pré-commercialisation du Gardasil et a décrit comme « très effrayante » la stratégie commerciale de Merck qu’elle a découverte après coup et qui consisterait à « faire passer des lois » pour promouvoir aveuglément et pour tous ce vaccin lucratif. Autre personnalité à être interviewée, le Pr Carlos Alvares-Dardet, professeur d’épidémiologie et de santé publique à l’université d’Alicante qui a lancé une demande de moratoire dès 2008 sur cette vaccination promue sans raison valable par des politiciens se faisant la voix des lobbys. 3500 personnes l’ont signé dont la moitié des spécialistes de santé publique du pays. Parmi les signataires se trouvait également Ildefonso Hernandez Aguado, Directeur général de la Santé publique espagnole de 2008 à 2011. Il a déclaré à France 5 : « Il était clair que, dès les premiers jours, des intérêts particuliers influençaient les décisions. » Il ajoute « Qui décide de l’agenda scientifique ? Les entreprises pharmaceutiques. Quand je suis arrivé au Ministère, c’est ce que j’ai constaté. L’agenda politique, qui était contrôlé par une série d’actions imperceptibles, qui semblent naturelles, comme si de rien n’était. Les entreprises influencent les politiques, chaque fois que c’est nécessaire. Ils disent qu’ainsi, ils contrôlent bien la situation mais en réalité, en agissant ainsi, ils influencent les politiques en touchant tous les niveaux du pouvoir, depuis le chef de l’Etat à tout en bas de l’échelle si nécessaire, c’est leur manière de faire. C’était visible, notamment à propos de gens que je connais personnellement et qui ont reçu des pressions directes pour changer leur opinion en faveur de l’industrie pharmaceutique ».
Il est clair que c’est une fois encore ce dont il est question aujourd’hui : une poussée de plus de l’industrie pharmaceutique qui instrumentalise les députés pour arriver à ses fins. Le même phénomène se passe aussi actuellement en France où une proposition étrangement proche de celle de Mr Brotchi a été déposée cet été demandant même l’inclusion de cette vaccination HPV parmi la liste des vaccinations obligatoires[5]. Le processus est toujours le même à la base : on grossit un problème en le transformant en « grave problème de santé publique » car, comme Merck a répondu à la chercheuse Diane Harper « la peur fait vendre » ! Dans les années 90’ déjà, lors de la folle campagne de vaccination anti-hépatite B qui a consisté à vacciner la moitié du pays (sans aucune baisse des complications graves liées à la maladie en bout de ligne), une note interne de Sanofi Pasteur disait textuellement : « Sur le marché des vaccinations, les adolescents sont un segment très porteur, il faut dramatiser »[6].
Pas un mot non plus, bien entendu, dans la proposition de M. Brotchi sur les risques graves possibles qu’on va faire encourir aux jeunes en les vaccinant de façon aussi systématique. En 2008, Mme Fonck s’était déjà positionnée en défaveur d’une vaccination scolaire[7] puisque ce cadre est évidemment très peu propice au respect du droit du patient à un consentement réellement libre et éclairé. L’association Vie Féminine s’était, elle aussi, préoccupée de cette question, déplorant dès 2012, la partialité inquiétante des informations diffusées par Provac[8]. Le médecin scolaire sera-t-il réellement en mesure (et est-il seulement même au courant ?) d’informer les jeunes sur le risque de paralysie ? De maladies auto-immunes ? D’infertilité[9] ? De décès[10] ? Car tous ces risques hélas sont bien réels ! En témoignages les statistiques des registres d’effets secondaires (VAERS), les actions en justice, les protestations et manifestations de rue dans plusieurs pays (Colombie, Irlande, Japon, etc.), les publications scientifiques.
Il faut tout de même savoir que le vaccin Gardasil 9 contient deux fois plus d’aluminium que l’ancienne version du vaccin, l’aluminium étant une substance neurotoxique, qui va se stocker dans le cerveau sans plus pouvoir en ressortir. Des chercheurs de l’Institut National de Cardiologie mexicain ont publié en 2017 dans Clinical Rheumatology[11], en indiquant notamment les subterfuges utilisés par les firmes pour biaiser leurs données d’étude sur la « sécurité » des vaccins. Ils y expliquent notamment que sur les 16 essais randomisés du vaccin HPV, seuls 2 ont recouru à un placebo salé inerte, les 14 autres ayant impliqué soit un autre vaccin à base d’aluminium, soit une solution d’aluminium seule (neurotoxique en elle-même) et que la firme s’est arrangée pour grouper volontairement les résultats de ses groupes « solution saline » et « aluminium seul », de façon à diluer le contraste énorme entre la solution neutre et le Gardasil évalué et présenter son vaccin comme prétendument sûr. Ces chercheurs ont également mis en lumière d’autres informations accablantes et alarmantes qui ne peuvent tenir du hasard : a) 2,3% des jeunes filles vaccinées (ou ayant reçu l’injection d’aluminium seul) ont développé des indicateurs de maladies auto-immunes dans les 6 mois de l’évaluation. b) En Espagne, l’incidence des effets secondaires liés au vaccin HPV est dix fois supérieure à celle des autres vaccins. c) Taux anormalement élevé de visites aux urgences dans les 42 jours qui suivent la vaccination. La « réponse » des autorités sanitaires officielles est toujours une attitude de déni (« pas de relation de causalité »). Comme rapporté à Arte par le médecin danois Dr Jesper Mehlsen, directeur de recherche à l’hôpital de Frederiksberg, qui a investigué les effets secondaires du Gardasil dans son pays, il ne s’attendait nullement à ce que l’Agence Européenne du Médicament/EMEA (financée à 80% par des redevances de l’industrie pharmaceutique) effectue une analyse objective, estimant que les dés étaient pipés d’avance. Le Dr Mehlsen a été auditionné par l’EMEA mais a affirmé : « Tout était déjà décidé avant qu’on arrive ». La Collaboration Cochrane, qui a mis la main sur un rapport confidentiel, interne à l’EMEA prouvant que l’Agence Européenne a balayé toute voix discordante ».
En 2011, Initiative Citoyenne s’était déjà adressée aux directions d’écoles secondaires et aux associations de parents pour les alerter sur cette vaccination dans un cadre scolaire. En 2013, nous leur avions réécrit pour leur faire notamment part de la décision japonaise, en 2013 de suspendre la recommandation officielle de la vaccination anti-HPV[12].
Entre-temps, de nouveaux éléments fondamentaux sont encore venus s’ajouter, et notamment, le fait gravissime que cette vaccination accroît en réalité le risque de cancer invasif du col pour les vaccinées, ce qui est un comble ! Comme le montrent les données officielles dans plusieurs pays qui ont massivement vacciné (Australie, Suède, Norvège, etc…), le cancer du col de l’utérus qui avait tendance à baisser avant la vaccination, principalement grâce au frottis de dépistage, non seulement ne baisse plus, mais a commencé à réaugmenter trois à cinq ans après le début des campagnes, sans que cette hausse ne concerne toutefois les femmes plus âgées qui ont échappé à la vaccination. C’est ce que le Dr Gérard Delépine, chirurgien oncologue et statisticien explique, données officielles à l’appui dans plusieurs articles et qu’il appelle « l’effet Titanic du Gardasil »[13]. Alors que l’histoire de ces cancers est une histoire longue (sur 10, 15, 20 ans pour qu’il se développe), les excès de cancers du col liés à la vaccination HPV sont déjà observables dans les 3 à 5 ans qui suivent le lancement des campagnes, lesquelles incluent aussi pour des raisons de business, les jeunes filles ayant déjà commencé leur vie sexuelle et ayant donc déjà pu être contaminées précédemment par des HPV sans le savoir (ce qui n’empêche pas Mr Brotchi, peu soucieux de cette efficacité négative, de préconiser cependant un « rattrapage pour les 15 à 26 ans » !).
Pour conclure, nous voudrions rappeler simplement quelques chiffres qui donnent le tournis : 430 décès de jeunes après vaccination anti-HPV déjà enregistrés au système américain VAERS au 15 juillet dernier, depuis la commercialisation initiale en 2006, et près de 60 000 effets secondaires dont plus de 8600 graves (en sachant que seuls 1 à 10% des effets secondaires graves sont comptabilisés dans ce genre de système)[14]. 200 millions au moins de jeunes femmes déjà vaccinées dans le monde et 100 milliards de dollars déjà dilapidés pour ces vaccins n’ayant encore aucunement apporté la preuve qu’ils avaient été en mesure d’éviter le moindre cas de cancer invasif du col[15]. La santé de nos jeunes devra-t-elle être broyée dans cette machine commerciale ? Il est clair qu’il appartient maintenant surtout aux médias et aux associations de parents (bien plus qu’aux politiciens dont on n’a plus grand-chose à attendre, selon nous) de diffuser ces informations essentielles et de ne pas embrayer dans le tournant autoritaire et si peu libéral que Mr Brotchi souhaite promouvoir avec une vaccination aussi agressive et indistincte. Le modèle flamand qui plaît tant à Mr Brotchi et « son secret » en termes de docilité et de censure médiatique se trouve résumé de façon simple et directe par le Pr Marc Van Ranst, virologue et épidémiologiste à la KUL : « Dans les régions dont les habitants peuvent se permettre de questionner le risque d’épidémie et l’utilité des vaccins, les critiques de la vaccination trouvent en effet plus d’écho. Les réseaux sociaux, qui relaient considérablement les messages, quels qu’ils soient, jouent aussi un rôle prépondérant. Nous pouvons nous estimer heureux que nos médias flamands soient responsables à ce sujet et n’essayent pas de marquer des points au moyen de nouvelles sensationnelles sur le bien-fondé ou les dangers des vaccins »[16].
[2] Cf. entre temps 40’00’’ et 1H00’ au lien suivant : https://www.youtube.com/watch?v=BFUlfr2lRuQ&t=3599s
[6] Cf. temps 2’40’’ : https://www.youtube.com/watch?v=Vzt2G7fJH70
[7]https://www.7sur7.be/7s7/fr/1517/Canal-You/article/detail/536106/2008/12/08/Fonck-ne-veut-pas-imposer-le-vaccin-contre-le-cancer-du-col-de-l-uterus.dhtml
[8] Cf. p. 4 notamment, ici : http://www.viefeminine.be/IMG/pdf/Analyse_vaccin_HPV.pdf
[9] Plusieurs cas d’insuffisance ovarienne ont été recensés. Des plaintes en justice ont été déposées à ce sujet et des communications scientifiques établies. Une publication de 2018 mentionne une baisse des taux de natalité aux Etats-Unis, possiblement en lien avec la vaccination HPV : de 118 pour 1000 femmes en 2007 chez les femmes de 25 à 29 ans (au début de la vaccination HPV) chez les femmes de 25 à 29 ans à 105 pour 1000 dans la même catégorie en 2015. 60% environ des femmes n’ayant pas reçu le vaccin HPV ont été enceintes au moins une fois, alors que seulement 35% des femmes qui avaient reçu le vaccin avaient pu concevoir. Pour les femmes mariées, 75% d’entre elles qui n’avaient pas été vaccinées ont pu concevoir, tandis que seulement 50% des femmes vaccinées ont pu être enceintes. Si 100% des femmes avaient été vaccinées contre le HPV, il y aurait eu jusqu’à 2 millions de naissances en moins… Voir les liens suivants à ce sujet :
https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/29889622
http://casereports.bmj.com/content/2012/bcr-2012-006879.abstract
[10]http://initiativecitoyenne.be/2018/01/deces-de-colton-berrett-un-jeune-homme-paralyse-par-le-vaccin-anti-hpv-gardasil.html
[11] https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/28730271
Commenté (en anglais et avec les tableaux), ici : https://www.collective-evolution.com/2017/08/12/new-study-vaccine-manufacturers-fda-regulators-caught-hiding-risks-of-hpv-vaccines/
[12] http://initiativecitoyenne.be/article-japon-le-ministere-retire-sa-recommandation-en-faveur-des-vaccins-hpv-gardasil-cervarix-118509090.html
Voir aussi les extraits vidéos suivants, essentiels pour protéger sa santé et celle de ses enfants. Ces extraits vidéos que la Communauté Française n'a pas souhaité voir diffuser aux parlementaires au motif fumeux que ça aurait été trop long... 27 petites minutes pour sauver combien de vies et de santés d'une cynique et cruelle arnaque commerciale. A voir, à partager un maximum avant que leur folle campagne vaccinale agressive et partiale ne vienne encore mettre un peu plus de vies en danger.... NB: ce jour au Parlement de la Communauté Française, Céline Danhier, Directrice de Sida'Sos, a déclaré qu'il y aurait tout un gros travail à faire pour déconstruire les discours et fake news du lobby anti-vaccinal pour augmenter encore et toujours cette couverture vaccinale à tout prix... Nous laissons aux lecteurs, jeunes et moins jeunes, le soin de comparer les explications des experts internationaux interviewés par France 5 et Arte au ton et à la rigueur de la communication simpliste et partiale de cette association, sur base d'une capture d'écran de leur site.
Voir tout d'abord ici, du temps 40'00'' au temps 1H00' (Médicaments sous influence, France 5, 2015):
Reportage d'Arte sur la Fronde danoise contre le Gardasil (2017):
Le triste précédent de la vaccination anti-hépatite B, vendue aussi dès les années 90 à la jeunesse française à coup de mensonges gros comme des maisons ("ça se transmet par la salive" etc.). Non seulement ce vaccin n'a pas permis de réduire le moins du monde les complications graves de l'hépatite B mais il a considérablement augmenté les cancers du foie chez l'homme (et ce malgré la baisse de la consommation d'alcool...). Faire peur pour vendre, comme on le voit dans ce reportage diffusé au JT de France 2:
Et maintenant le "sérieux" de l'association Sida'Sos résumé en une image sur leur site:
Un lobby "pro pénis" ou... pro Big Pharma? Qui devra démontrer en quoi Drs Dalbergue, Harper, Carlos Alvares-Dardet et tous les autres seraient dans les "fake news" avec leurs mises en garde!
Voir aussi:
Gardasil: présentation des résultats avérés sur le cancer du col (présentation du Dr G. Delépine aux députés de la Communauté Française le 24 septembre 2018)
"Le vaccin Cervarix est déjà dépassé"
Gardasil: nouvelles salves de publicités trompeuses et/ou manipulatrices. Décodons les fake news
Vaccin Gardasil et cancers ORL, une indication médicale ou une recherche de nouveaux marchés?
initiative.citoyenne[at]live.be