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18 septembre 2018 2 18 /09 /septembre /2018 11:37

Un adolescent de l'Illinois décède d'une encéphalomyélite aiguë disséminée 3 semaines après avoir été vacciné contre le HPV

 

Par le Staff TVR, 12 septembre 2018

Illinois, USA: Un adolescent décède 3 semaines après sa vaccination anti-HPV d'une encépahlomyélite aiguë disséminée

Christopher Bunch, âgé de 14 ans, est décédé le 14 août 2018 de complications d'une maladie neurologique rare appelée encéphalomyélite aiguë disséminée (ADEM). L'adolescent de Moline a commencé à ressentir des symptômes, y compris des maux de tête, des nausées et des vomissements, le 6 août. Il a passé une grande partie des deux jours suivants à dormir.

Le 8 août, les parents de Christopher se sont inquiétés de la grave détérioration de la santé de leur fils. "Sa progression est passée de zéro à cent en l'espace de quatre heures", a déclaré Elijah Mendoza Bunch, père de Christopher. Christopher a été emmené à l’hôpital universitaire des enfants Iowa Stead, à Iowa City, pour y être soigné. Peu de temps après son admission à l'hôpital, le garçon a commencé à perdre sa capacité à respirer tout seul et à souffrir d'une paralysie complète du côté gauche de son corps. Il a pris des médicaments anti-épileptiques. Le 11 août, Christopher a subi une intervention chirurgicale pour soulager un oedème cérébral, mais il est resté dans un état critique et a été placé sous assistance vitale jusqu'à son décès deux jours plus tard.

Les médecins ont diagnostiqué une ADEM chez Christopher, une maladie qui provoque une inflammation du système nerveux central. L’ADEM «affecte généralement les enfants et peut être précédé par une infection virale ou bactérienne.» Elle peut également «survenir après une vaccination, avec des symptômes allant de la confusion, de la somnolence au coma .”

Christopher aurait reçu le vaccin contre le HPV (virus du papillome humain) Gardasil trois semaines avant sa mort. L’ADEM est un effet indésirable signalé de Gardasil. Il figure dans la notice du Gardasil. (source photo: Facebook)

Source : The Vaccine Reaction

C’est ce même vaccin Gardasil que la députée française Laure de la Raudière a demandé de rendre obligatoire pour les jeunes filles et garçons français dans une récente proposition et ce même Gardasil également que le Pr Brotchi et ses collègues députés « libéraux » essaient aussi d’élargir autant que possible en Belgique francophone en visant de façon agressive et systématique filles et garçons (dans le cadre de la médecine scolaire notamment), sans bien sûr jamais évoquer les risques d’effets secondaires graves risquant de bousiller leur vie à jamais voire de la leur enlever définitivement. Souvenez-vous du nom de ces députés, parce qu'après avoir conseillé, suggéré, fait pression, seront-ils là pour vous indemniser si vous ou votre enfant subit un handicap irréversible après une telle vaccination?

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16 septembre 2018 7 16 /09 /septembre /2018 17:45

Plaidoyer de Robert KENNEDY Jr.

Dégradation de la santé des enfants, ses causes et exigence de justice pour tous les enfants du monde

Jusqu’à mon dernier souffle je me battrai pour la santé des enfants

Jusqu’à mon dernier souffle je me battrai pour la santé des enfants

Je me rappelle parfaitement du jour où mon premier enfant est né. Je n’avais qu‘un seul souhait : qu’il soit en parfaite santé. J’ai beaucoup prié pour cela. D’une certaine manière, peu importait que ce soit un garçon ou une fille, qu’il ou elle soit sportive, étudiante. Je voulais avant tout un bébé heureux et en parfaite santé.

Je puis à peine imaginer le déchirement intérieur, le bouleversement des parents qui, un jour, découvrent le délabrement de la santé de leur enfant, surtout quand ils réalisent que toutes ces souffrances auraient pu être évitées.

Je m’appelle Robert Kennedy Jr. Je suis le président du groupe d’avocats qui s’occupent de la protection de la santé des enfants.

Une génération de malades

La plus grande crise à laquelle doit faire face l’Amérique et qui est sûrement aussi importante et aussi grave que la crise environnementale, c’est l’épidémie de maladies chroniques qui frappe les enfants américains. La génération des enfants américains nés depuis 1990 est vraisemblablement la génération la plus malade de toute l’histoire de notre pays : maladies chroniques, nombre de troubles divers parmi les plus élevés du monde.

Mauvaise santé alarmante des enfants: l'appel pressant de Robert Kennedy

Selon le CDC (Centre de contrôle des maladies) 1 enfant sur 6 a reçu un des diagnostics suivants : troubles du développement, autisme, troubles de l’apprentissage, troubles déficitaires de l’attention avec hyperactivité.

Selon le Ministère de la Santé et des Services sociaux (HHS) 54% des enfants américains souffrent de maladies chroniques comme l’arthrite juvénile ou le diabète.

Mauvaise santé alarmante des enfants: l'appel pressant de Robert Kennedy

Une soupe toxique

Aujourd’hui, nos enfants évoluent dans un environnement toxique. Il faut absolument que le monde scientifique s’occupe de ce problème. Il nous faut absolument savoir quels sont les produits chimiques auxquels sont exposés nos enfants et qui provoquent leurs problèmes de santé.

Mauvaise santé alarmante des enfants: l'appel pressant de Robert Kennedy

Les 54% des enfants qui souffrent de maladies chroniques ne représentent qu’une partie de ce drame.

On enregistre également une baisse sérieuse du quotient intellectuel des enfants de la planète entière. Les chercheurs incriminent des facteurs environnementaux, comme aussi divers types d’éducation, bien avant toute origine génétique.

Mauvaise santé alarmante des enfants: l'appel pressant de Robert Kennedy

Comment se fait-il que nos Agences fédérales ne s’évertuent pas à poser les questions essentielles ?

Qu’est-ce qui endommage vraiment la santé de nos enfants?

Il nous faut obtenir des réponses et tout faire pour empêcher que nos enfants soient exposés à tous ces dangers.                                                               

Et la justice ?

J’ai décidé de me battre pour vous, pour vos enfants. J’ai, pour cela besoin de votre soutien parce que les forces auxquelles je suis confronté sont celles-là même qui ont été capables de compromettre toutes les principales institutions de notre démocratie.

Les personnes qui se dressent contre elles finissent par être brisées, broyées.

Mais je sais comment m’y prendre pour les combattre parce que j’ai passé ma vie à lutter contre les pires scandales, les tyrans et les brutes. C’est à ce genre de personnes que souvent nous avons affaire. C’est cette même espèce que nous combattons ; ces gens puissants et arrogants qui croient pouvoir écarter tout ce qui se trouve sur leur chemin. C’est dans cet esprit qu’ils n’hésitent pas à détruire la santé de nos enfants.

Nous voulons protéger nos enfants

Je ne permettrai pas à ces gens de continuer à faire ce qu’ils font, et pour cela je me battrai jusqu’au dernier jour de ma vie, jusqu’à l’épuisement de mes forces pour qu’enfin justice soit rendue, pour que nous puissions donner naissance à une génération d’enfants en parfaite santé, protégés à jamais de tous ces troubles neurologiques et autres maladies.

Je passerai le restant de mes jours à me battre pour pouvoir être certain qu’aucun enfant de notre pays ou d’ailleurs ne souffre encore de tous ces problèmes parfaitement évitables. Je me battrai jusqu’au bout, de mes forces pour tous ces enfants.

Mauvaise santé alarmante des enfants: l'appel pressant de Robert Kennedy

Pouvons-nous encore sérieusement oser prétendre que les vaccins ne font pas partie de cette soupe toxique, tristement imposée aux enfants dès leurs premiers jours de vie?

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10 septembre 2018 1 10 /09 /septembre /2018 15:08

Multiplication des procès contre le vaccin anti-zona

Multiplication des procès contre le vaccin anti-zona

Par Brian Shilhavy, Health Impact News, 27 août 2018

Drugwatch.com rapporte que Zostavax, le vaccin contre le zona de Merck, fait actuellement l’objet de plusieurs poursuites pour avoir causé le zona, alors que le vaccin était censé protéger contre cette maladie. Dix-huit personnes dans le pays ont intenté des poursuites judiciaires contre Zostavax au New Jersey.

Les plaintes soutiennent que le vaccin a permis le développement du zona. Un cas a entraîné une  hospitalisation avec douleur nerveuse chronique appelée névralgie post-herpétique.

Le texte de la plainte précise : « Merck savait ou aurait dû savoir que son produit pouvait causer une infection virale, et n’était donc pas sans danger ».

Jane Boda fut l’une des premières personnes à déposer plainte au Wisconsin en mai 2018. Au cours du procès, il a été prétendu que Zostavax avait donné le zona à Boda. Elle dit avoir subi des lésions nerveuses chroniques.

Les ventes de Zostavax ont chuté lors du premier trimestre de 2018.

Au premier trimestre de 2018, Merck a rapporté que Zostavax avait permis de réaliser 65 millions de dollars. Ce chiffre est inférieur de 58% à celui du premier trimestre de 2017.

Le nombre de prescriptions de Zostavax a également diminué de 80% au cours du premier trimestre 2018.

La baisse des ventes s’est poursuivie au cours du deuxième trimestre de 2018. Les ventes de Zostavax ont atteint 44 millions de dollars.

Merck attribue les mauvaises ventes à la décision du CDC de recommander le vaccin contre le zona de son concurrent, Shingrix de GlaxoSmithKline, et non à cause des poursuites judiciaires.

Le danger du vaccin contre le zona résulterait d’un vaccin raté contre la varicelle

Plus tôt cette année (août 2018), nous avons publié un article sur le développement du vaccin contre la varicelle-zona, article écrit par Barbara Loe Fisher et Kate Raines.

Ils ont rapporté comment un lanceur d’alertes avait révélé que le CDC avait manipulé les données sur le zona dans le développement du vaccin contre la varicelle.

Gary S. Goldman,PhD a travaillé pendant huit ans (de janvier 1995 jusqu’à sa démission en octobre 2002) en tant que chercheur sur le projet de surveillance active de la varicelle (VASP). Il s’agissait d’un projet de coopération, avec les Centres de contrôle des maladies et de prévention (CDC d’Atlanta).

Goldman a été embauché pour mener des études sur l’impact du vaccin universel contre la varicelle.

Lorsque le Dr Goldman a été empêché de publier ses conclusions sur les effets négatifs de l’utilisation universelle du vaccin contre la varicelle chez les enfants, il a démissionné en 2002.

Dans sa lettre de démission, il a déclaré :

"Lorsque des données de recherche concernant un vaccin utilisé dans des populations humaines sont supprimées et/ou mal représentées, cela est très inquiétant et va à l’encontre de toutes les normes scientifiques. Cela compromet aussi l’éthique professionnelle."

En 2005, le Dr Goldman a publié un article prouvant que le zona disparait naturellement dans les populations humaines grâce à une exposition répétée au virus naturel de la varicelle qui fournit une stimulation asymptomatique protectrice.

Il a prédit que la vaccination à grande échelle contre la varicelle entraînerait une perte d’immunité naturelle, ainsi qu’une augmentation de l’incidence du zona chez les adultes.

Il a noté que l’industrie pharmaceutique s’attendait à une diminution de la varicelle en circulation en vaccinant contre le zona (Déclaration du Dr Goldman).

Utiliser le vaccin contre le zona pour lutter contre les épidémies de zona chez les adultes échouerait probablement parce que les programmes de vaccination chez les adultes se sont rarement avérés efficaces….Il ne semble y avoir aucun moyen d’éviter une épidémie massive de zona chez les adultes qui puisse être efficace sur plusieurs générations.

Le lanceur d’alertes accuse le CDC de manipuler les données sur le zona avec le vaccin contre la varicelle

Ce qui se passe dans le cas de ces dangereux vaccins contre le zona, c’est qu’un vaccin dangereux et non nécessaire, le vaccin contre la varicelle, a eu des conséquences négatives. Il a entrainé le développement d’un autre vaccin dangereux, le vaccin contre le zona.

Aucun de ces vaccins n’est nécessaire si un enfant non vacciné contracte la varicelle et développe une immunité à vie.

C’est alors la population qui souffre, alors que l’industrie amasse des profits.

Alors que les sociétés pharmaceutiques jouissent d’une immunité juridique aux Etats-Unis contre les dommages et les décès causés par les vaccins, elles peuvent néanmoins être poursuivies pour fraude ou pour dissimulation d’effets secondaires connus. C’est bien ce qui semble être à la base des poursuites judiciaires contre Merck.

Source: Health Impact News

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6 septembre 2018 4 06 /09 /septembre /2018 21:28

En septembre 2017, l'association française Canis Ethica avait fait parvenir une plainte à la Commission Européenne pour s'indigner de la liberté étrangement laissée aux pharmas de faire croire à la nécessité de revaccination annuelle des animaux de compagnie français, alors que les mêmes vaccins sont présentés comme au moins valables 3 ans dans d'autres pays de l'UE....

 

La Commission Européenne vient de répondre à Canis Ethica, en noyant le poisson et en renvoyant la patate chaude à l'échelon national. La Commission, toujours si prompte à prôner l'uniformisation et "l'harmonisation" (terme ô combien à la mode!) quand il s'agit d'étendre à la hausse les politiques vaccinales, se rabat sur la liberté des Etats quand il s'agit d'aller dans un sens contraire aux lobbys, véritable gangrène de l'UE. On l'a hélas bien vu aussi en matière de vaccination humaine, avec la résolution du Parlement évoquant la "neutralisation" des voix dissidentes en matière vaccinale ou encore, les récentes mesures de "coopération" entre Etats européens pour faire face aux réticences vaccinales car le dogme est de vacciner toujours plus, indépendamment de la liberté élémentaire des individus et du droit à protéger leur corps, leur intégrité.

 

Nous vous invitons donc à prendre connaissance du travail rigoureux de l'association Canis Ethica qui oeuvre pour le bien-être des chiens et qui démontre avec brio les incohérences d'un système corrompu et à bout de souffle pour lequel le profit prime tristement sur la Vie.


Plainte de Canis Ethica à la Commission Européenne (septembre 2017)

 

Réponse de la Commission Européenne (août 2018)

 

Dernière réponse de Canis Ethica à la Commission Européenne

 

Communiqué de presse de Canis Ethica sur la situation et sur ses démarches

 

Signez ici la pétition pour le bien-être des chiens, et n'hésitez pas à en parler aussi largement autour de vous car des millions d'animaux encourent les risques de la survaccination!

 

Une vidéo de synthèse pour comprendre l'enjeu. N'oubliez pas... vous n'êtes pas que clients-consommateurs mais aussi consom'acteurs...

Visitez le site Canis Ethica et parlez-en à vos proches, amis, vétérinaires, ostéopathes animaliers, dans vos clubs canins ou à vos éleveurs ou clients!

https://www.canisethica.org

 

Ou via la page Facebook de l'association

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1 septembre 2018 6 01 /09 /septembre /2018 21:45

La FDA autorise un nouveau vaccin contre l’hépatite B malgré de graves problèmes de sécurité

Par Rishma Parpia, 3 août 2018

La FDA autorise un nouveau vaccin contre l’hépatite B malgré de graves problèmes de sécurité

En février 2018, le Comité consultatif sur les pratiques d’immunisation (ACIP) du CDC a approuvé la recommandation d’un nouveau vaccin contre l’hépatite B, l’Heplisav-B (HepB-CpG) destiné aux adultes de plus de 18 ans. (1)

Heplisav-B est fabriqué par Dynavax Technologies Corp. Et le nouveau vaccin est administré en deux doses par rapport aux trois doses recommandées pour le vaccin contre l’hépatite B homologué de Merck en 1986 et le vaccin Engerix-B de Glaxo Smith Kline, homologué en 1989.

La Food and Drug Administration (FDA) américaine a rejeté à deux reprises la demande de Dynavax d’autorisation de mise sur le marché de l’Heplisav-B en raison de signaux de sécurité.(2). La FDA a accordé cette licence en novembre 2017, malgré des problèmes de sécurité non résolus. Vous trouverez ci-dessous la séquence de ces événements menant à l’homologation de l’Heplisav-B.

En 2013, la FDA a rejeté pour la première fois la demande de licence de Dynavax concernant l’ Heplisav-B en raison de l’inquiétude de l’organisme de réglementation selon lequel le nouvel adjuvant du vaccin expérimental, conçu pour stimuler l’immunogénicité, pourrait entraîner le développement de maladies auto-immunes. (3)

L’Heplisav-B diffère des autres vaccins homologués contre l’hépatite B en ce sens qu’il contient un nouvel adjuvant synthétique connu sous le nom de cytosine phosphoguanine 1018 (CpG 1018) composé de courtes molécules d’ADN de synthèse. (4)

Les vaccins contre l’hépatite B déjà homologués aux Etats-Unis contiennent des adjuvants à base d’alun (sels d’aluminium) qui stimulent une réponse inflammatoire générale (3). Le CpG 1018 stimule une réponse inflammatoire plus spécifique en produisant des anticorps spécifiques à l’antigène de surface contre l’hépatite B. (3) 

Selon un article publié dans Medscape, la première demande de Dynavax Technologies visant à obtenir une licence pour le vaccin Heplisav-B a été rejetée par la FDA pour la raison suivante :

Bien que les analyses d’innocuité n’aient pas révélé de différences statistiquement significatives entre Heplisav et Engerix-B (GlaxoSmithKline) en ce qui concerne les effets secondaires systémiques, locaux ou les décès, il s’est avéré que le nombre de patients recevant l’Heplisav et qui ont présenté des troubles auto-immuns, y compris des troubles de la thyroïde, était plus important. Ces augmentations n’étaient pas statistiquement significatives, mais les membres du groupe consultatif ont déclaré que la base de données sur l’innocuité était trop petite pour pouvoir détecter des événements indésirables rares. (3)

A l’époque, Melinda Wharton, directrice adjointe du Centre national d’immunisation et des maladies respiratoires du CDC, a déclaré : « Je ne pense pas que la base de données sur la sécurité soit suffisamment vaste pour pouvoir appuyer une recommandation pour l’utilisation de ce vaccin chez les adultes, étant aussi donné le fait que ce vaccin contient un nouvel adjuvant. » (3)

En 2016, la FDA a rejeté une deuxième demande de Dynavax visant à obtenir une licence pour le vaccin Heplisav-B. A cette époque, l’agence s’inquiétait de l’augmentation du taux de problèmes cardiovasculaires et des décès chez des personnes ayant reçu le vaccin Heplisav-B, par rapport à l’Engérix-B. (5)

Au cours d’un essai clinique randomisé portant sur environ 8.400 sujets, 5.600 participants ont reçu Heplisav-B et 2.800 participants ont reçu Engerix B. (6,7). Au cours de l’essai, environ 14 sujets du groupe Heplisav-B ont eu des crises cardiaques en comparaison avec un seul cas pour le groupe des personnes qui avaient reçu Engerix-B. (6,7) Compte tenu du fait que le groupe Heplisav-B était deux fois plus important que le groupe Engerix-B, le risque de crise cardiaque était sept fois plus élevé chez les personnes ayant reçu le vaccin expérimental. (6)

Dans le but de minimiser l’importance du taux accru de complications cardiaques graves, Dynavax a soutenu que le nombre plus élevé de crises cardiaques enregistrées dans le groupe Heplisav-B était dû aux cas « moins nombreux que prévu » survenus dans le groupe Engerix-B. (8)

[…] En juillet 2017, le comité consultatif de la FDA sur les vaccins et les produits biologiques (VRBPAC) s’est réuni pour réévaluer les preuves scientifiques et décider si l’utilisation de l’Heplisav-B aux Etats-Unis devait être ou non approuvée. (6) Une majorité des membres du comité étaient des spécialistes de l’immunologie et des maladies infectieuses. Un seul cardiologue faisait partie de l’équipe, le Dr Milton Packer, chercheur distingué en sciences cardiovasculaires au Baylor University Medical Center de Dallas au Texas. (6)

Selon le Dr Packer, il était possible que la forte réponse inflammatoire induite par le nouvel adjuvant du vaccin Heplisav-B soit liée au nombre plus élevé de crises cardiaques chez les participants à l’étude ayant reçu le vaccin expérimental. Il a précisé :

« Le comité consultatif devait se demander s’il était biologiquement plausible que le nouveau vaccin puisse provoquer des crises cardiaques. Le nouvel adjuvant dans le vaccin a provoqué une réponse inflammatoire de durée incertaine. Nous savons que l’inflammation provoque la rupture des plaques d’athérosclérose dans les artères coronaires, ce qui déclenche la plupart des crises cardiaques. Ainsi, un lien de causalité entre le vaccin et les crises cardiaques n’était pas exclu. Plus important encore, nous devions décider si le déséquilibre des crises cardiaques entre les deux groupes pouvait être dû au hasard. C’était une excellente question, mais à laquelle il fut impossible de répondre ». (6)

Pour savoir si le déséquilibre (7-1) représente un risque réel, nous aurions besoin de données comparatives sur 50.000 personnes. Le meilleur moyen d’obtenir cette preuve serait de procéder à un essai après commercialisation. Mais un essai post-commercialisation ne serait possible que si le vaccin était approuvé pour un usage public. (6).

La FDA a demandé au comité de voter pour savoir si le vaccin contre Heplisav-B était sûr. Douze membres du comité ont voté en faveur de la sécurité du nouveau vaccin, l’un a voté contre et trois se sont abstenus. (6) M. Packer était l’un de ceux qui se sont abstenus. (6)

Le Dr Packer explique pourquoi il s’est abstenu :

« Pourquoi je me suis abstenu ? Sur la base des données disponibles, il était impossible à quiconque de savoir si l’augmentation du risque de crise cardiaque dans le groupe Dynavax était réelle ou fausse. Donc, bien que les questions aient été fascinantes et les discussions formidables, mon vote n’a pas été très compliqué. Il y a une règle très simple dans la vie : si vous ne savez pas, vous devriez dire que vous ne savez pas ». (6)

Après la réunion, la FDA a demandé à Dynavax de plus amples informations sur son étude post-commercialisation (6). Quatre mois plus tard, en novembre 2017, la FDA a autorisé l’Heplisav-B à être utilisé aux Etats-Unis pour les adultes de plus de 18 ans.

Cependant, l’approbation continue doit reposer sur une étude post-commercialisation qui comparera les résultats de santé des personnes ayant reçu l’Heplisav-B avec celles qui ont reçu l’Engerix-B (2).

Sur le site de la FDA, l’agence affirme que « les règlements de la FDA pour le développement des vaccins garantissent leur sécurité, leur pureté, leur puissance et leur efficacité. » (10)

Cependant, le fait que le vaccin Heplisav-B ait été approuvé pour usage public malgré des preuves manifestes, au cours des essais cliniques préalables à l’homologation, que le nouveau vaccin était associé à des problèmes d’auto-immunité, à des crises cardiaques et des décès, remet en cause l'engagement de la FDA à respecter ses propres réglementations.

Références:

1 Centers for Disease Control and Prevention. Heplisav-B (HepB-CpG). CDC.gov Apr. 28, 2018.
2 Lowes R. Heplisav-B Vaccine for Hep B Finally Wins FDA Approval. Medscape Nov. 10, 2017.
3 Tucker M. FDA Rejects Novel Hepatitis B Vaccine. Medscape  Feb. 23, 2013.
4 Dynavax Technologies Corp. Heplisav-B. FDA.gov 2017.
5 National Vaccine Support Group. Heplisav Hep B Vaccine Linked to Heart Attacks, Deaths.
6 Packer M. Is the new Dynavax hepatitis vaccine safe? I couldn’t tell — and I was advising the FDA. StatNews Aug. 4, 2017.
7 Food and Drug Administration. FDA Advisory Committee Briefing Document – Heplisav-B. FDA.gov July 28, 2017.
8 Clarke T. Dynavax hepatitis B vaccine works; raises safety issues: FDA. Reuters July 26, 2017.
9 Dynavax Innovative Immunology. Dynavax Receives Complete Response Letter from U.S. Food and Drug Administration for Biologics License Application for HEPLISAV-B. Dynavax Nov. 14. 2016.
10 FDA. Ensuring the Safety of Vaccines in the United States. July 2011.

Source: The Vaccine Reaction

Et voici ici une très courte vidéo, particulièrement éclairante quant à la façon dont le vote d'une recommandation vaccinale se déroule au sein de l'ACIP, le Comité américain des vaccinations. Ces pantins votent à 100% pour une recommandation fumeuse, malgré les données qu'ils ne possèdent pas (de co-administration avec d'autres vaccins) et malgré les soucis de sécurité (troubles cardiaques, maladies auto-immunes,...). A vous de vous demander si vous souhaiteriez confier votre santé à pareils pantins, lesquels se gardent plus que probablement de soumettre leur propre santé ou celle de leurs enfants à ces recommandations délirantes, dont ils sont bien placés pour connaître le peu de sérieux et de "scientificité" qu'elles possèdent...

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28 août 2018 2 28 /08 /août /2018 06:57

Dédommagements officiels pour effets secondaires des vaccins

L’indemnisation des victimes s’élève à plus de 3,8 milliards de dollars, alors que les fabricants de vaccins empochent les profits

Dédommagements officiels pour effets secondaires des vaccins

                      Par l’équipe du projet World Mercury, 22 mars 2018

 

La loi (National Childhood Vaccine Injury Act) qui est entrée en vigueur en 1988 stipulait que les fabricants de vaccins ne pouvaient être tenus responsables pour les dommages ou les décès résultant de l’utilisation de leurs vaccins, alors qu’ils étaient  recommandés par les Centres Américains de Contrôle des Maladies (CDC). Le programme national d’indemnisation des dommages vaccinaux (NVICP) ou « Tribunal des Vaccins » n’est pas un tribunal ordinaire, mais un programme gouvernemental de recours (financé par les consommateurs) qui emploie des avocats particuliers, des employés des Services de Santé (HHS) plutôt que des juges pour prendre des décisions sur l’indemnisation des victimes. Les fabricants de vaccins sont défendus par les avocats du Ministère de la Justice financés par le gouvernement. D’autre part, les plaignants, tout en souffrant et payant pour les dommages qu’ils ont subis ou que leurs enfants ont subis, se retrouvent mêlés à un système judiciaire, où les cas, selon le Bureau de comptabilité du gouvernement américain, traînent depuis des années.

Les fabricants de vaccins se retrouvent dans une position gagnant-gagnant qui ne serait octroyée à aucune autre industrie américaine. Alors que les profits vont essentiellement aux fabricants de vaccins, les montants accordés aux victimes par le « Tribunal des Vaccins » sont payés par les consommateurs. Comme les fabricants de vaccins ne sont pas tenus responsables pour des produits qui peuvent s’avérer dangereux pour les enfants, ils ne se sentent guère incités à s’assurer que les vaccins qu’ils fabriquent sont sûrs.

Si les chiffres du VAERS et du HHS sont corrects – seulement 1% des dommages vaccinaux sont rapportés et seulement 1/3 des plaintes sont effectivement reçues et dédommagées – alors que 99% des dommages vaccinaux ne sont pas rapportés.

Le total des sommes accordées aux victimes est mis à jour tous les mois par l’Administration des Ressources et Services de Santé (HRSA). Notre groupe World Mercury Project veut partager ces mises à jour avec ses abonnés.

Depuis 1988, plus de 19.178 plaintes ont été introduites auprès du HHS. Au cours de cette période de 30 ans, 17.079 plaintes ont été jugées, dont 5928 ont été considérées indemnisables (environ 30%), tandis que 11.151 plaintes ont été rejetées. La rémunération totale versée (par les consommateurs) pendant cette durée du programme dépasse la somme de 3,8 milliards de dollars. Ce montant ne couvre pas le coût du programme lui-même, ni pour le HHS ni pour les personnes employées par le DOJ qui défendent les produits vaccinaux.

Aussi astronomiques que soient les sommes allouées aux plaignants, il est encore bien plus inquiétant de se pencher sur les allégations du HHS selon lesquelles seulement 1% des dommages vaccinaux sont rapportés au Système de Notification des Effets Indésirables des Vaccins (VAERS). Si les chiffres du VAERS et du HHS sont corrects – seulement 1% des dommages vaccinaux sont rapportés et seulement 1/3 des plaintes sont prises en compte avec indemnisation – alors que jusqu’à 99% des dommages vaccinaux ne sont pas signalés, et les familles ne sont pas indemnisées pour des produits apparemment défectueux.

Dédommagements officiels pour effets secondaires des vaccins
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17 août 2018 5 17 /08 /août /2018 20:54

Des centaines de victimes du vaccin contre le HPV dans les rues de Dublin

                     Par Brian Shilhavy, Health Impact News 15 août 2018

Des centaines de victimes protestent contre le vaccin anti-HPV dans les rues de Dublin

450 filles victimes du vaccin Gardasil oubliées, et dont la confiance a désormais été minée

Le 9 juillet 2018, des centaines de victimes du vaccin HPV sont descendues dans la rue et devant le « Leicester House » pour protester, tandis que le professeur Frazier, l’un des co-inventeurs du vaccin a prononcé un discours à proximité du « Royal College of Physicians ».

Au cours de cette manifestation, 3 victimes du vaccin Gardasil sont tombées malades. Deux d’entre elles ont fait des crises et ont dû être transportées à l’hôpital.

Au cours de la vidéo qui suit, on peut voir l’une de ces jeunes-filles pendant sa crise.

Cette manifestation de protestation a été censurée par les médias « grand public » sponsorisés par les entreprises.

Les survivants irlandais du Gardasil ont décidé de s’unir

Le groupe de soutien R.E.G.R.E.T. a été lancé en 2015 en Irlande par des parents d’adolescentes atteintes de maladies chroniques. Ces parents attribuent la maladie de leurs filles à la vaccination qu’elles ont reçue à l’école. Il s’agit du vaccin Gardasil commercialisé en tant que vaccin contre le cancer du col de l’utérus. R.E.G.R.E.T. est un acronyme pour « Réactions et effets du Gardasil entraînant un traumatisme extrême ».

Voir la vidéo : Les survivants du vaccin Gardasil lancent un groupe de soutien

 

Des centaines de victimes protestent contre le vaccin anti-HPV dans les rues de Dublin

            Fiona Kirby avec les manifestants devant la Haute Cour (Irish Examiner)

Fiona Kirby, infirmière de Kilbegan (Comté de Westmeath) a comparu devant la Haute Cour de Dublin en 2016. Elle s’est battue devant la Haute Cour pour demander que l’autorité de réglementation des produits de santé retire de la vente le vaccin contre le HPV en Irlande.

Cette maman d’une fille dont la santé a été endommagée par le vaccin, a juré de ne pas interrompre ses efforts. L’Irlande est, en fait, un des rares pays de l’Union Européenne à ne pas avoir de programme d’indemnisation pour les dommages dus aux vaccins.

Voir : Lutte contre le vaccin HPV en Irlande et pour la défense des droits humains (Haute Cour de Dublin)

Controverse politique en Irlande au sujet du vaccin Gardasil : les parents n’ont pas été informés des risques du vaccin

Les parents irlandais sont notamment en désaccord avec le fait qu’il n’y a pas eu de consentement éclairé depuis l’introduction du vaccin contre le HPV dans le pays. En fait, l’Irsish Health Authority (HSE) a expressément demandé aux prestataires de soins locaux de ne pas transmettre la notice aux patients.

Au lieu de cela c’est une version diluée, dont les éléments avaient été soigneusement sélectionnés qui avait été donnée aux parents. Cette version exagérait les informations en faveur de la vaccination et minimisait les risques d’effets indésirables. Le sénateur irlandais Paschal Mooney a critiqué la forme de consentement illégale qui accompagnait ces vaccins en Irlande.

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9 août 2018 4 09 /08 /août /2018 12:25

Italie : vote favorable à la suppression de la vaccination obligatoire à la chambre haute 

Italie : vote historique favorable à la suppression vaccination obligatoire A LA CHAMBRE HAUTE (reste encore le passage par la chambre basse)

Important/rectificatif: Le vote concerne une seule des deux assemblées. Il vise à la suspension de l'obligation vaccinale durant un an (selon ce qu'a précisé CNN) mais il reste donc encore le passage par la chambre basse pour que la levée de l'obligation soit effective... voir aussi ici

Compte tenu des informations parcellaires voire contradictoires qui nous parviennent sur la situation italienne, nous ajoutons les données suivantes qui n'iraient pas dans le sens d'une levée de l'obligation: "malgré ses promesses, le mouvement 5 étoiles aurait fait marche arrière et l'obligation serait maintenue. Les parents auraient toutefois un an pour se mettre en ordre, avec une "auto-certification" des vaccins par eux-mêmes (plutôt qu'un médecin) acceptée pendant un délai d'un an. Les amendes seraient maintenues pour les élèves plus âgés (6-18) n'étant pas en ordre mais un amendement permettrait toutefois que les élèves des crèches et des maternelles ne soient pas exclus à la rentrée prochaine pour cause de non vaccination, bien que des régions comme la Toscane et l'Emilie-Romagne aient déjà annoncé qu'elles maintiendront l'exclusion des petits élèves..."

Le leader de La Ligue, Matteo Salvini, a qualifié les vaccins prétendus nécessaires, « d’inutiles », et a poursuivi en déclarant que ces vaccins étaient «souvent dangereux, voire nocifs ».

A partir de maintenant ces vaccins ne seront plus exigés. Par un vote de 148 voix contre 110 à la Chambre haute du Parlement, l’Italie a éliminé les lois ayant trait aux vaccins obligatoires et se veut plus accueillante aux diverses opinions.

Les 10 vaccinations nécessaires pour pouvoir fréquenter l’école maternelle sont désormais suspendues, du moins en termes de lois obligatoires.

Le parti démocrate a adopté la loi sur les vaccins obligatoires en juin 2017, mais aujourd’hui, un an plus tard, et en pleine révolution en Italie, les parents n’auront plus à se conformer à l’obligation. Les démocrates avaient pris le prétexte d’une épidémie de rougeole pour introduire la loi d’obligation.

Le « Five Star Movement » et « la Ligue », deux partis politiques qui se sont développés après la montée de Trump, se sont dits très préoccupés par l’exclusion des enfants de différentes communautés.

Roberto Burioni, microbiologiste, a exprimé son mécontentement sur CNN. L’article de CNN précise que cette décision a « envoyé une onde de choc dans la communauté scientifique » et qu’une de leurs rubriques précisait « pourquoi c’était dangereux ». Les grands médias ne traitent pas du tout cette affaire comme il faudrait.

CNN n’est pas le seul grand défenseur des vaccinations obligatoires, mais c’est un défenseur assidu.

Source : Vaxxter

Voir aussi

Rentrée scolaire et vaccination obligatoire: imbroglio à l'italienne

Article d'Ouest France sur la situation italienne

Article de CNN sur le vote italien (il y est précisé une "suspension d'un an" de l'obligation si la chambre basse valide...)

Vers la fin de l'obligation vaccinale en Italie? Le futur gouvernement s'y prépare

Le gouvernement italien s'apprête à modifier la loi d'obligation vaccinale

Des millions d'Italiens s'élèvent contre la nouvelle loi rendant la vaccination obligatoire

Les Italiens descendent dans la rue pour dire NON aux obligations vaccinales

Vaccins: un rapport parlementaire explosif

La maire de Rome conteste la loi d'obligation vaccinale

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Décès subit du célèbre juge italien anti-mafia Imposimato qui prévoyait une action contre l'obligation vaccinale et la Ministre de la Santé

Obligation vaccinale: le délire validé en Italie et la France qui s'en inspire

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4 août 2018 6 04 /08 /août /2018 22:30

Après le vaccin ROR, Alina a perdu la parole, l’appétit. Elle a souffert d’horribles crises épileptiques et est finalement décédée

Melissa Curtin, 1er août 2018

La plongée en enfer d'Alina après le vaccin ROR, puis son décès

C’est l’histoire déchirante d’une maman australienne, Rajni Sharma, qui a reconstitué  et tracé la chronologie des problèmes de santé et de la mort de sa petite fille après la vaccination ROR (Rougeole-Oreillons-Rubéole) à 18 mois. La maman veut partager sa douloureuse expérience et l’histoire tragique de son unique petite fille. Elle espère que cette histoire en aidera d’autres à prendre des décisions éclairées.

Rajni : ma merveilleuse petite fille a vécu pleinement et merveilleusement chaque jour de sa courte vie avant de recevoir le vaccin ROR. Alina est née à terme le 12 mai 2016. Elle était en parfaite santé ; elle était heureuse et adorait la vie. Elle était mon rêve devenu réalité. C’est avec elle que j’ai appris ce qu’était l’amour d’un enfant, un amour qui n’a pas de limite ou de condition ; un pur amour altruiste. Alina était très aimante, attentionnée. Elle avait le sens de l’humour et aimait beaucoup jouer.

La plongée en enfer d'Alina après le vaccin ROR, puis son décès

Quand elle eût cinq mois, Alina commença à fréquenter la garderie. Elle aimait rencontrer d’autres enfants. Se sentant beaucoup aimée, elle avait un grand sentiment de sécurité. Dès qu’elle voyait Patrick, son père, elle courait se jeter dans ses bras…

La vie était vraiment bonne ! Je vivais mon rêve. C’étaient les derniers moments qu’Alina s’est vraiment sentie heureuse. Puis est venu le moment de la visite médicale de ses 18 mois avec le vaccin ROR.

Après avoir reçu ce vaccin, Alina a commencé à dormir beaucoup; elle a cessé de jouer et a perdu tout attrait pour la nourriture. La garderie m’a fait savoir qu’elle dormait beaucoup et paraissait extrêmement fatiguée. Comme Alina était mon premier enfant, j’ai pensé qu’elle pouvait peut-être faire une poussée dentaire. J’étais à ce point naïve que je n’ai même pas pensé au vaccin. Comme elle n’allait pas bien du tout, nous avons appelé l’ambulance qui l’a transportée à l’hôpital.

Le personnel de l’hôpital n’avait jamais vu ce genre de crise et ne savait quoi faire.

Il nous avait fallu 55 minutes pour nous rendre à l’hôpital. Pendant tout ce trajet Alina n’a pas cessé de faire crise sur crise. A l’hôpital on lui a administré du Midozalam par voie intraveineuse et les crises ont cessé après une heure. J’étais secouée et brisée tout en ne sachant toujours pas qu’il s’agissait d’une réaction indésirable au vaccin parce qu’on m’avait souvent répété que « les vaccins ne tuent pas les bébés ».

La plongée en enfer d'Alina après le vaccin ROR, puis son décès

Deux jours plus tard, Alina a recommencé à faire des crises. Elle a dû être transférée à l’hôpital pour enfants de Randwick pour y subir une IRM. Cette IRM était très claire : pas de tumeur, pas de masse, pas de cicatrice. Le neurologue nous a dit : « Ne vous inquiétez pas pour votre petite fille ; elle ira bien, son IRM semble bonne. C’est le bébé en meilleure forme de toute la salle ; elle ne risque pas de mourir. »

Dans la suite, ils ont diagnostiqué une épilepsie. Les neurologues ont été incapables de déterminer la cause de ses crises car elle n’avait pas de fièvre ou quelqu’autre maladie.

On m’a demandé si les vaccins d’Alina étaient à jour, et j’ai répondu : « Oui, elle a reçu son ROR la semaine dernière. » Je me suis alors arrêtée un moment, puis ai demandé au médecin : «  Pensez-vous que le vaccin puisse être la cause des crises  d’Alina ? » Ils m’ont répondu que ce n’était pas possible. – «  Je croyais encore le médecin parce que je me disais pourquoi un médecin mentirait-il ? Ce n’est pas l’ennemi de mon bébé !

Nous sommes finalement rentrés à la maison. Alina a reçu du Keppra contre l’épilepsie. Au cours de la semaine, elle a refait une crise. Ce fut le dernier jour qu’Alina passa à la maison. Nous étions le 25 novembre 2017.

Après 14 heures de crises quasi ininterrompues Alina fut plongée dans le coma. Elle se réveilla cinq jours plus tard et put me reconnaitre.

Alina dut subir par deux fois des tests pour les troubles  mitochondriaux. Tous les tests sont revenus négatifs. C’est alors, que je fus certaine que la santé d’Alina fut altérée par le vaccin.

A chaque crise, la santé d’Alina se détériorait. Elle a commencé par perdre la mémoire, elle ne nous reconnaissait plus, ni moi, ni Patrick, puis ce furent ses mots, ses jeux et la motricité de sa main gauche. C’est alors que je me suis écriée : «  Pourquoi personne ne m’écoute quand je parle des vaccins ? » - On m’a fait taire parce que « les vaccins ne tuent pas les bébés. »

Le 12 janvier 2018, Alina put à nouveau articuler quelques mots, mais à midi les crises recommencèrent, et ce fut le commencement de la fin de sa petite vie. Les crises se répétèrent pendant le reste du mois de janvier et début février et ce, jusqu’au 26 mars 2018 qui fut le jour de sa mort. Alina est morte dans mes bras. Je tenais le corps raide et froid de mon bébé au lieu de la petite fille pleine de vie que j’avais connue auparavant.

Personne n’a osé admettre que le vaccin ROR avait tué mon bébé. Au lieu de cela, je reçus une lettre de deux pages m’expliquant que mon bébé avait souffert  d’un cas rare de trouble mitochondrial, le CARS2. On nous expliquait que mon mari et moi-même étions porteurs d’une mutation génétique rare et que nous avions transmis ces gènes à notre petite fille.

Mais quelles étaient les chances pour que mon mari et moi-même soient porteurs du même gène récessif ? Nous ne faisons pas partie de la même ethnie, ni du même pays. Je suis indienne de naissance et mon mari est anglais.- Je me méfie de ces conclusions qui font penser que c’est un gène qui est la cause. Mais je sais qu’ils ne sont pas sûrs à 100%.

Ils ont suggéré que le gène CARS2 serait probablement la cause de l’état de notre petite fille. Il est très important de noter que les enfants atteints de troubles mitochondriaux présentent des niveaux élevés de lactate. Alina n’a jamais montré aucun signe de lactate élevé. Je ne crois donc pas qu’Alina ait souffert d’un trouble mitochondrial.

Il se trouve que personne dans ma famille ou dans celle de mon mari ne souffre de maladie génétique rare.- Je me casse la tête pour comprendre pourquoi l’hôpital décrète que les personnes pour lesquelles il ne trouve pas de réponse seraient atteintes d’un problème génétique rare.

La plongée en enfer d'Alina après le vaccin ROR, puis son décès

Des enfants et des nourrissons du monde entier meurent tragiquement des conséquences graves et des horribles risques que présentent les vaccins. Les parents dévastés s’efforcent courageusement de raconter leur histoire afin d’informer le plus grand nombre des tragédies qu’ils ont vécues. Ces parents ne cessent de se demander QUAND les masses se rendront-elles compte que des décès, des handicaps, des troubles neurologiques et auto-immuns sont causés par les vaccins ? Quand le grand public prendra-t-il en compte les avertissements de parents au coeur brisé qui feraient l’impossible pour voir revenir leur petit garçon ou leur petite fille ? Les parents devront-ils eux-mêmes perdre et enterrer leur propre enfant pour enfin ouvrir les yeux ?

Source : Stopmandatoryvaccination

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28 juillet 2018 6 28 /07 /juillet /2018 21:04

101 millions de dollars de dédommagement pour une encéphalopathie causée par le vaccin ROR

Maglio Christopher & Toale. P.A., 17 juillet 2018 (extraits)

101 millions de dollars de dédommagement pour une encéphalopathie causée par le vaccin ROR

Les avocats Maglio Christopher & Toale ont négocié une indemnisation de 101 millions de dollars pour un nourrisson qui a présenté une grave réaction à la suite du vaccin ROR (Rougeole-Oreillons-Rubéole).

La petite fille O.R. âgée d’un an savait déjà marcher et grimpait un peu partout.

Le 13 février 2013, elle a reçu les vaccins contre la rougeole, les oreillons et la rubéole (ROR), le vaccin contre l’hépatite A, l’haemophilus influenzae de type B (Hib), le Prevnar (pneumonie) et le vaccin contre la varicelle.

Le soir même, la maman a remarqué que sa petite fille était irritable et fiévreuse. Le pédiatre consulté conseilla à la maman de donner du Tylénol et du Benadryl. La fièvre s’est, malgré tout maintenue pendant plusieurs jours et la veille de la visite prévue du pédiatre, la petite O.R. a commencé –à faire de graves crises. Elle a de suite été transportée aux urgences. Elle y a fait un arrêt cardiaque et respiratoire. Les médecins l’ont immédiatement placée sous respirateur.

Les médecins ont pu remédier aux crises et le coeur est reparti, mais la petite O.R. a gardé une grave lésion cérébrale, une encéphalopathie avec altération de la vision corticale, hypotonie musculaire et une insuffisance rénale.

Après des mois de traitement à l’hôpital, la petite est rentrée à la maison, mais son handicap nécessite des soins médicaux spécialisés et une supervision 24 heures sur 24 pour le restant de ses jours.

Le dédommagement de 101 millions de dollars servira à payer les soins médicaux de la petite fille pour le restant de ses jours. La famille a reçu une somme forfaitaire de 1 million de dollars pour couvrir les frais médicaux immédiats. Le restant de la somme sera versé sous forme de rente pendant toute la vie de la petite fille.

Source: Mctlawyers

"Pour la quasi-totalité du monde médical à l'échelle de la planète, il n'y a pas de complication grave des vaccins et ceux-ci ont un intérêt majeur dans la promotion de la santé".  Office de la naissance et de l'Enfance (ONE, Belgique), article RTBF du 1er décembre 2011 intitulé "Décès d'un bébé à Charleroi: l'ONE tient à se défendre". 

 

Voir aussi:

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