Nous avons appris cela mardi matin....
Dans son arrêt, la juge estime l'appel recevable mais non fondé et a donc débouté sur toute la ligne.
Vous pouvez lire cet arrêt dans son intégralité ICI
Nous avons appris cela mardi matin....
Dans son arrêt, la juge estime l'appel recevable mais non fondé et a donc débouté sur toute la ligne.
Vous pouvez lire cet arrêt dans son intégralité ICI
Bien qu'ayant relayé un message extrêmement clair, nos nouvelles demandes n'ont plus été relayées par la presse grand public.....
Dommage!
Car celles-ci sont plus que jamais fondées! En effet, nous avons demandé:
1°) L'abrogation pure et simple de cette loi d'exception qui reste totalement injustifiée!
2°) La démission de tous les acteurs belges impliqués dans la gestion plus que chaotique de ce dossier.
3°) La sortie de la Belgique du groupe des pays membres de l'OMS.
Pourquoi? Parce que cette institution opaque, où règnent en maîtres les conflits d'intérêts, n'est plus du tout digne de confiance et, on l'a vu avec la modification des critères de pandémie sans lesquels jamais toute cette hystérie n'aurait pu "prendre" auprès du public...
De plus, nous avons également expliqué pourquoi Initiative Citoyenne lance sa grande enquête transnationale sur les effets secondaires du vaccin Pandemrix. Chaque victime peut ainsi témoigner anonymement en ayant la garantie que les résultats seront traités par des médecins totalement indépendants ce qui n'est pas le cas de l'Agence belge des médicaments qui dépend de l'état fédéral lequel est lié avec le fabricant GSK par un contrat qui impose notamment des clauses de confidentialité portant sur la sécurité du produit...
Initiative Citoyenne n'en restera toutefois pas là et poursuit sa mission d'information.
A cet effet, nous vous signalons dès à présent la conférence du Dr Marc Girard, médecin et spécialiste du médicament, le 8 janvier prochain dès 19H30 à l'hôtel Mercure de Louvain La Neuve, 61 Bvd de Lauzelle. (7 euros) Voir ICI l'affiche de la conférence.
Vous pouvez soit réserver dès à présent en effectuant un virement bancaire (7 euros/personne) au compte d'Initiative Citoyenne en mentionnant en communication "Conférence Dr Girard".
CB n°: 363-0594444-68
Soit payer sur place en fonction des places restantes.
La salle a une capacité d'environ 170 places.
Namur, le 1° décembre 2009
Communiqué de presse d’Initiative Citoyenne sur la décision du tribunal dans l’affaire des femmes enceintes pour un vaccin sans adjuvant :
Initiative Citoyenne vient tout juste de prendre connaissance de la décision du tribunal dans cette affaire. Dans son ordonnance du 1° décembre 2009, le juge a en effet déclaré la demande recevable… mais non fondée.
Initiative Citoyenne ne peut comprendre cette décision compte tenu des éléments de preuve fournis en appui de la demande ET de la décision de plusieurs autres pays en Europe et ailleurs de se procurer des vaccins sans adjuvant pour les groupes « à risque ». |
Outre que les femmes enceintes de notre pays continuent d’être discriminées par rapport à celles des USA, du Canada, de France, d’Espagne ou encore du Luxembourg où un vaccin sans adjuvant est mis à leur disposition, il est à noter que l’ordonnance fait fi de la liberté thérapeutique, pourtant consacrée dans l’Arrêté Royal sur l’art de guérir (article 11 de l’AR n° 78 sur l’Art de guérir).
Ce jugement participe de la confiance aveugle que les institutions continuent d’avoir envers les instances internationales comme l’agence européenne du médicament (EMEA) et l’OMS tout en ne parvenant pas à expliquer pourquoi la Belgique s’entête là ou d’autres Etats se sont adaptés en cours de route.
L’état belge a estimé devoir invoquer la « plasticité du principe de précaution », c'est-à-dire sa capacité de s’adapter alors que sa rigidité actuelle ne fait que démontrer qu’il s’enfonce dans un tunnel et devra en supporter les conséquences.
Ainsi, si on peut lire dans un article du 26 novembre que Madame Onkelinx a récemment rencontré les victimes du Softenon (Thalidomide) et a affirmé vouloir « voir comment on peut continuer à s'excuser des erreurs du passé » il est à déplorer qu’elle ne fasse pas tout son possible pour éviter d’avoir à s’excuser ultérieurement des dommages qui seront d’autant plus douloureusement vécus qu’ils auraient pu être évités[1]…. |
L’équipe d’Initiative Citoyenne.
Rédaction en ligne
mercredi 18 novembre 2009, 17:18
Les parties demanderesses, représentées par Mes Georges-Henri Beauthier et Philippe Vanlangendonck, considèrent qu’à partir du moment où les autorités sanitaires belges estiment qu’elles appartiennent à un groupe à risque pour le virus H1N1 et qu’elles doivent se faire vacciner à bref délai, elles ont le droit de bénéficier de toutes les garanties quant à la qualité du vaccin.
Aussi, elles entendent faire condamner l’Etat à leur délivrer « un vaccin contre le virus H1N1 qui ne contient pas d’adjuvant squalène, ni le conservateur thimérosal et qui soit fabriqué selon des normes classiques de fabrication antigrippe, c’est-à-dire un vaccin à virus fragmentés et non produit à base de lignées cellulaires continues, soit des lignées cancéreuses ».
Les parties demanderesses réclament une astreinte de 500 euros par jour et par requérante, si l’Etat ne leur délivre pas le vaccin réclamé dans un délai de huit jours, à dater du prononcé de l’ordonnance attendue dans ce litige.
(d’après Belga)
source: Le Soir
13.11.09 - 15:59
Quatre femmes enceintes ont intenté une action en référé contre l'État belge pour réclamer la mise à disposition de vaccins sans adjuvant. Ce n'est pas le cas du Pandemix, seul vaccin disponible en Belgique, un contrat d'exclusivité ayant été signé entre le gouvernement et GSK.
Cette action en référé nous a été communiquée par Initiative Citoyenne qui soutient la démarche. Initiative citoyenne est une association qui réclame plus de transparence et d'informations sur l'efficacité et les risques du vaccin. Elle rappelle que "la Belgique a conclu un contrat exclusif avec le fabricant de vaccins GSK pour l'achat du vaccin pandémique adjuvanté (avec squalène) Pandemrix" alors que "des critiques s'élèvent partout dans le monde pour dénoncer l'absence totale d'évaluation sérieuse d'un vaccin avec ce type d'adjuvant, notamment chez les femmes enceintes". Et de citer l'exemple du Canada qui a acheté 200 000 doses de vaccins sans adjuvants pour les femmes enceintes.
Des recommandations contre le Pandemrix
Initiative Citoyenne explique également qu'en France, le Haut Conseil de Santé publique recommande d'utiliser un vaccin sans adjuvant pour les femmes enceintes. Quant à l'agence suisse du médicament Swissmedic, elle n'autorise pas l'usage du vaccin adjuvanté Pandemrix pour les moins de 18 ans, les femmes enceintes et les plus de 60 ans, est-il écrit.
Un manque d'impartialité
Dans son communiqué, l'association critique la ministre de la Santé, Laurette Onkelinx, qui "n'a cessé de vanter le squalène pour son absolue sécurité. Elle a continué de confondre les effets de cette molécule prise par voie orale avec ceux de la même molécule quand elle est injectée".
Le 3 novembre dernier, le Groupement des Gynécologues Obstétriciens de Langue Française de Belgique a fait savoir "qu'il recommande vivement, à l'instar de la cellule Influenza, l'usage du vaccin avec adjuvant de GSK chez les femmes enceintes estimant que les risques sont faibles et non chiffrables". "Mais", écrit Initiative Citoyenne, ce que tout le monde ne sait pas, "c'est que cette association professionnelle compte la firme GSK parmi ses "sponsors 2009"".
Un courrier sans réponse
Un courrier a été envoyé le 3 novembre dernier à la ministre Onkelinx par des deux femmes enceintes. "N'ayant pas reçu de réponse dans les délais habituels et estimant qu'elles encouraient un préjudice pour leur santé, ces femmes ont décidé, rejointes par deux autres femmes enceintes, d'intenter une action en référé contre l'état belge. Ce qu'elles demandent c'est la mise à disposition de vaccins sans adjuvant. Au nom du principe de précaution, tout simplement", est-il écrit.
Une démarche soutenue par Initiative Citoyenne qui "estime que le choix de ces femmes doit pouvoir être respecté".
Notons qu'Initiative Citoyenne précise qu'elle n'est pas un groupement anti-vaccins mais avant tout "un collectif partisan du libre arbitre".
C. Biourge
source: RTBF INFO
Comme vous le savez la Belgique a conclu un contrat exclusif avec le fabricant de vaccins GSK pour l'achat du vaccin pandémique adjuvanté (avec squalène) Pandemrix. Ce vaccin est donc le seul disponible en Belgique et ce malgré que des critiques s'élèvent partout dans le monde pour dénoncer l'absence totale d'évaluation sérieuse d'un vaccin avec ce type d'adjuvant, notamment chez les femmes enceintes.
Alors que le Canada a acheté 200 000 doses de vaccins sans adjuvants pour les femmes enceintes, rien de cela en Belgique;
Alors que le Haut Conseil de Santé publique en France recommande préférentiellement un vaccin sans adjuvant à cette catégorie de la population, rien de cela en Belgique!
Le 30 octobre c'est l'agence suisse du médicament Swissmedic qui indiquait qu'elle n'autorisait PAS l'usage du vaccin adjuvanté Pandemrix pour les moins de 18 ans, les femmes enceintes et les + de 60 ans.
Mais chez nous, en Belgique, Mme Onkelinx n'a cessé de vanter le squalène pour son absolue sécurité. Elle a continué de confondre les effets de cette molécule prise par voie orale avec ceux de la même molécule quand elle est injectée. Récemment encore, face à des voix comme celle de Mme Catherine Fonck qui ont demandé l'achat de vaccins sans adjuvants pour les femmes enceintes, Mme Onkelinx, préférant rester dans ses certitudes, a continué de défendre mordicus qu'elle avait fait un choix raisonnable en n'achetant que le seul vaccin Pandemrix.
Le 3 novembre 2009, le Groupement des Gynécologues Obstétriciens de Langue Française de Belgique faisait savoir qu'il recommande vivement, à l'instar de la cellule Influenza, l'usage du vaccin avec adjuvant de GSK chez les femmes enceintes estimant que les risques sont faibles et non chiffrables MAIS, ce qui a hélas trop peu filtré dans le public c'est que cette association professionnelle compte la firme GSK parmi ses "sponsors 2009"...
http://www.ggolfb.be/public/default.aspx?docid=341878b3-f8e7-42c7-b191-8f4b369b7af6
http://www.lesoir.be/actualite/sciences_sante/2009-11-13/vaccin-a-h1n1-les-gynecologues-obstetriciens-soupconnes-de-partialite-737891.shtml
Comme vous le savez, Initiative Citoyenne est un collectif de plus de 2000 citoyens et comprenant une cinquantaine de médecins qui s'inquiètent de la gestion chaotique de cette grippe depuis des semaines par les autorités publiques.
5 membres d'Initiative Citoyenne (dont 2 médecins) avaient assigné l'état belge en référé en date du 15 octobre en vue de faire suspendre une campagne de communication et de vaccination basée sur des informations incomplètes et unilatérales sur le rapport bénéfices/risques du vaccin.
En date du 9 novembre dernier, la justice s'est déclarée compétente mais a estimé que notre demande était irrecevable et nous a donc déboutés.
Pour résumer, la justice a estimé que nous n'avions pas d'intérêt personnel à agir et qu'il s'agissait dès lors d'une action de "vox populi" par laquelle nous voudrions nous faire défenseurs de l'intérêt général. La justice a estimé que, pour ce qui est du cas des médecins, le risque d'ingérence dans leur art de guérir et donc de stigmatisation par rapport à la pratique d'autres confrères n'était que théorique/hypothétique et nullement démontré.
Le juge a basé sa décision sur le fait que la vaccination n'étant pas obligatoire, chacun restait libre de faire ce qu'il voulait.
Ce jeudi 12 novembre après-midi, les 5 requérants de la précédente citation ont interjetté appel de cette décision qui ne nous paraît pas appropriée.
En effet, le fait que la vaccination ne soit pas obligatoire ne constitue en rien une garantie suffisante de nos droits subjectifs personnels.
Tout d'abord parce que, que la vaccination soit obligatoire ou non et que nous choisissions de nous faire vacciner ou non, il existe un risque vaccinal dont on ne parle jamais et qui nous concerne tous, autant à titre individuel qu'à titre collectif: le risque de mutation que la vaccination peut induire ou faciliter. Des précédents existent en effet avec d'autres vaccins (comme le vaccin hépatite B en Italie, comme pour les vaccinations à méningocoque C, les pneumocoques etc) qui ont débouchés sur l'apparition de virus mutants plus méchants, plus virulents suite à des campagnes soutenues de vaccination. Dès lors, l'establishment qui invoque hélas trop souvent l'altruisme afin d'inciter les gens (et les soignants) à se faire vacciner devrait, par souci d'honnêteté intellectuelle, reconnaître qu'il peut aussi exister un altruisme à ne pas se faire vacciner eu égard à ce risque bien réel de provoquer une mutation, un moyen naturel du virus de s'adapter aux obstacles sur sa route car la Nature a de remarquables facultés d'adaptation. Une mutation qui pourrait porter autant préjudice aux gens vaccinés que non vaccinés!
Nous estimons avoir dès lors un intérêt à agir clair et évident à cet égard comme sur le plan d'une pression et d'une stigmatisation des gens non vaccinés eu égard à l'information simpliste et partiale diffusée par les autorités compétentes.
Et bien sûr, le fait que nous avons un intérêt personnel et direct à agir n'empêche nullement que d'autres citoyens, non parties à l'action puissent indirectement tirer profit des mesures que nous exigeons à titre individuel. Ce risque de mutation due au vaccin qui concerne à la fois les gens vaccinés et les gens non vaccinés illustre d'ailleurs fort bien les liens évidents qui existe entre l'intérêt de l'individu et celui de la collectivité...
Par ailleurs, dans le cadre de cet appel, nous demandons notamment la production du contrat conclu entre GSK et l'état belge. En effet, le journal le Point révélait en date du 30 octobre la teneur du contrat conclu entre GSK et l'état français et celui-ci contenait des clauses de confidentialité avec une "liste verte" et une "liste rouge", cette dernière comprenant notamment les informations relatives à la sécurité du produit!
Nous nous posons la question: qu'en est-il des clauses du contrat belge?
L'audience d'introduction de cette procédure en appel aura lieu au palais de Justice de Bruxelles, place Poelaert, le jeudi 19 novembre 2009 au matin.
Texte de la requête d'appel: ICI
Mis en ligne le 12/11/2009
Collectif. Le tribunal de première instance de Bruxelles, siégeant en référé, a déclaré irrecevable, la demande d’un collectif de citoyens de suspendre la campagne d’information et de vaccination du gouvernement contre la grippe H1N1, a-t-on appris, mardi. Initiative citoyenne, qui va aller en appel, souhaitait obtenir la suspension tant que ne seraient pas apportés publiquement des éléments permettant de juger en connaissance de cause les avantages et inconvénients d’une telle vaccination. La demande visait entre autres la suspension de la vaccination au moyen du "Pandemrix" aux motifs notamment que les adjuvants auraient des effets secondaires incalculables. Le tribunal a estimé que les citoyens ne justifiaient pas d’un intérêt à l’action. Ils ont été condamnés aux dépens, soit un montant de 1 200 euros. (Belga)
[NB: Voir le texte de l'ordonnance rendue ICI ]
source: La Libre
Hier, le 20 octobre 2009, la Lettre du Médecin assimilait Initiative Citoyenne à une secte.
C'est pourquoi, nous leur avons fait parvenir le même jour, un droit de réponse en bonne et due forme. Vous pouvez lire ce droit de réponse ICI.
Passage incriminé (LdM, 20/10/09 N° 301, 4° année) :
« Un cinquième décès des suites de la grippe A/H1N1: la LdM ne publiera plus ces communiqués.
Le Commissariat interministériel Influenza a publié un de ses communiqués détaillés habituels sur le décès d'une cinquième victime de la grippe A/H1N1. La Lettre du Médecin a décidé de ne plus publier ces communiqués et de ne plus faire état, un par un, des cas de décès, pour ne pas embrayer sur une dérive de l'information de la part des pouvoirs publics. Une panique aux effets d’ailleurs très paradoxaux, puisqu’elle redonne du poil de la bête à la secte des anti-vaccinateurs, défendus publiquement par le très médiatisé avocat Georges-Henri Beauthier. »
A lire aussi, l'article paru le 31 octobre 2009 dans la DH, sous la plume de Rosetta Flochon et intitulé "Grippe A/ H1N1: Faut-il ou non se faire vacciner? "
Ainsi, 11 jours après notre lettre au rédacteur de la Lettre du Médecin, paraissait un article qui stipulait notamment que "Elles sortent les griffes à l’évocation des mots secte et fantasmes qui ont été prononcés à propos de leur action. Marie-Rose Cavalier, Muriel Desclée et Sophie Meulemans ne sont pourtant pas des illuminées. Leur discours en atteste, tout comme l’épais dossier, truffé de références scientifiques, avec lequel elles viennent – rejointes par deux médecins – d’assigner l’État belge en justice pour contester le vaccin et la vaccination contre la grippe A/H1N1."
initiative.citoyenne[at]live.be