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22 mars 2014 6 22 /03 /mars /2014 09:15

Japon : avertissement de chercheurs sur les effets

secondaires des vaccins HPV

 

Par Norma Erickson, 19 mars 2014

 

Le Colloque international sur les effets indésirables rencontrés par les jeunes filles vaccinées contre le HPV s’est tenu à Tokyo les 25 et 26 février derniers : il a suscité un débat de haut niveau sur la sécurité, l’efficacité et l’utilité des vaccins contre le HPV. 

 

Japon-HPV-symposium--1-.jpg

Audience publique du Conseil consultatif du Ministère de la Santé, 26 février 2014

 

L’organisation des chercheurs qui ont lancé l’alerte sur les effets indésirables induits par les vaccins contre le HPV était présidée par le Dr Harumi Sakai, ancien professeur à la Faculté de Médecine de Tokai, et ancien chef de l’équipe de recherche immunologique de l’université de Galveston (Texas). Faisaient également partie du Colloque le Dr Sin Hang Lee, MD, ancien professeur à l’université de Yale et actuellement pathologiste à l’hôpital Milford, le Dr François-Jérôme Authier, MD, professeur de l’université de Paris XII et médecin à l’hôpital Henri Mondor de Paris, ainsi que le Dr Lucija Tomljenovic, chercheuse à l’université de British Columbia.

 

Les participants ont présenté les preuves de risques liés aux vaccins contre le HPV et tenu deux conférences de presse, ainsi qu’une audience publique parrainée par le gouvernement, le 26 février.

 

L’audience publique a été suivie par huit médecins du Conseil consultatif du gouvernement japonais sur les effets indésirables présumés des vaccins contre le HPV, plusieurs fonctionnaires de premier plan du ministère de la Santé, des médecins, ainsi que des journalistes des principaux journaux et chaînes de télévision du pays.

 

Les universitaires non japonais, ainsi que le Dr Sakai ont présenté des données scientifiques à l’appui de plusieurs mécanismes d’action biologiquement plausibles par lesquels les vaccins contre le HPV pourraient causer des maladies auto-immunes ou auto-inflammatoires dévastatrices et dont les symptômes correspondent à ceux rapportés par les personnes vaccinées au Japon et dans le monde entier.

 

Sommaire des preuves scientifiques/ médicales présentées 

  

Dr Sin Hang Lee – HPV L-1 Gene DNA dans le Gardasil et ses effets potentiels

 

Dr François-Jérôme Authier –Biopersistance et migration de neuroparticules après injection intramusculaire – Impact des adjuvants aluminiques sur la sécurité à long terme.

 

Lucija Tomljenovic, PhD –Trois décès après la vaccination contre le papillomavirus humain : coïncidence ?

 

Dr Mirna Hajjar - Une jeune fille de 16 ans avec perte visuelle bilatérale et hémiparésie suite à une vaccination contre le papillomavirus humain. Rapport d’un cas.

 

Japon HPV Colloque groupe A (2)

De gauche à droite : Keiko Sakaguchi et le Dr Rokuro Hama MD, Pr François-Jérôme Authier, Lucija Tomljenovic PhD, Dr Mirna Hajjar, Dr Sin Hang lee, Dr Harumi Sakai, MD, Dr Shunichi Shiozawa MD, PhD.

 

L’information scientifique présentée par des experts médicaux aux conférences de presse et à l’audience publique pourra aider les législateurs japonais et autres décideurs à prendre les bonnes décisions, comme à formuler des recommandations concernant l’avenir de la politique de vaccination contre le HPV pour le plus grand bien des citoyens.

 

La théorie officielle sur laquelle le gouvernement s’appuie actuellement pour expliquer les nombreux témoignages de symptômes graves chez des adolescentes vaccinées contre le HPV – Gardasil et Cervarix – a été publiée en janvier dernier par le ministère de la Santé, du Travail et de la Prévoyance.

 

Le document du gouvernement comprend neuf paragraphes et est intitulé : « Synthèse des délibérations concernant les vaccins contre le papillomavirus humain lors du conseil consultatif sur les effets indésirables présumés des vaccins contre le HPV. »

 

Le document officiel stipule :

 

« Des délibérations ont eu lieu sur les cas qui ont été signalés comme effets secondaires des vaccins contre le HPV. Ces cas concernaient principalement des douleurs intenses dans différentes parties du corps des personnes vaccinées, et des faiblesses dans les mouvements dues à des problèmes d’articulations… »

 

[…] « Explications possibles des symptômes rapportés en lien avec le problème actuel : (1) troubles neurologiques, (2) empoisonnement, (3) réactions immunitaires, (4) réactions psychosomatiques. Comme les théories (1) à (3) ne peuvent pas expliquer ces symptômes, ces derniers doivent donc être envisagés comme des conséquences de réactions psychosomatiques comme dans le (4). »

 

Le dernier paragraphe dit que le Conseil consultatif « établira un rapport au gouvernement et tiendra des débats sur la pertinence du redémarrage d’une recommandation active de la vaccination contre le HPV, lors de la prochaine réunion du Conseil prévue le 26 février et lors de réunions ultérieures. »

 

Mais le Dr Sin Hang Lee a déclaré que, même si le gouvernement cherche à expliquer les effets indésirables rencontrés par ces jeunes vaccinées par des réactions psychosomatiques, cette théorie n’est ni logique ni scientifique.

 

Le Dr Lee souligne qu’à l’issue de l’audience publique du 26 février lors de laquelle il avait fait part de ses découvertes - notamment de fragments d’ADN de HPV dans 16 flacons scellés de Gardasil envoyés au laboratoire Milford Medical Inc. et provenant de neuf pays, ainsi que dans les échantillons post mortem de sang et de rate d’une Néo-Zélandaise de 18 ans, décédée après avoir reçu le vaccin Gardasil –, aucun scientifique n’a soutenu que des réactions psychosomatiques auraient pu entraîner la mort subite de jeunes filles pendant leur sommeil ou causer des lésions patentes enregistrées par IRM, ainsi que des lésions histopathologiques d’encéphalomyélite et de sclérose en plaques chez des personnes qui avaient reçu le vaccin Gardasil.

  

Quand le Dr Lee a évoqué les lésions mises en évidence par l’IRM et par les preuves photographiques de l’inflammation du cerveau chez une jeune fille du Connecticut qui avait complètement perdu la vue, dix jours après la seconde injection du Gardasil en 2007, il parlait au nom du médecin traitant, le Dr Mirna Hajjar qui était également présente à l’audience publique de Tokyo.

 

En 2007, cette jeune fille qui avait toujours été en bonne santé a dû être conduite aux urgences alors qu’elle avait perdu la vue depuis 48 heures et souffrait d’hémiparésie gauche. « Il a été découvert que cette jeune fille souffrait à la fois d’une lésion démyélinisante tuméfactive et de névrite chiasmatique lors d’une encéphalomyélite démyélinisante aiguë », selon le rapport médical qui a été publié dans le numéro de mars 2010 du Journal of Child Neurology (Vol. 25, pp. 321-327).

 

[…] Le Dr Hajjar qui a joué un rôle crucial en présentant son courageux témoignage scientifique le 26 février à la conférence de Tokyo est l’un des trois auteurs du rapport médical publié dans The Journal of Child Neurology.

  

Interrogé sur les points forts de l’audience publique, le Dr Sin Hang Lee a déclaré :


« En tant que pathologiste, il est de mon devoir de rechercher les mécanismes susceptibles d’entraîner une mort subite, ainsi qu’une encéphalomyélite aiguë disséminée, après vaccination contre le HPV. J’ai dès lors proposé un mécanisme scientifiquement plausible sur base de la “transfection” d’ADN par des nanoparticules d’aluminium/ complexes d’ADN.

 

Selon mes contradicteurs, les signes et symptômes qui se sont manifestés après la vaccination contre le HPV seraient le fait de réactions psychosomatiques.

 

Je ne crois pas que des réactions psychosomatiques puissent provoquer la mort subite au cours du sommeil, ou les lésions inflammatoires dans le cerveau que montrent les clichés IRM et l’étude histopathologique d’une biopsie du cerveau avec lymphocytes, macrophages périvasculaires et démyélinisation.

 

En séance publique, j’ai demandé aux scientifiques de lever la main s’ils croyaient vraiment que des réactions psychosomatiques pourraient provoquer une mort subite pendant le sommeil et une inflammation du cerveau.

 

Je n’ai vu personne lever la main dans l’assemblée… »

 

Le terme « transfection » utilisé au cours du témoignage du Dr Lee s’applique à l’introduction d’ADN étranger dans des cellules humaines par le biais de véhicules non viraux comme les nanoparticules de complexes aluminium-ADN.  

 

Japon-symposium-HPV-experts-internationaux.jpg

Experts scientifiques internationaux qui ont présenté les mécanismes possibles de l’action dommageable des vaccins contre le HPV: Dr Myrna Hajjir, Lucija tomljenovic, PhD, Pr François-Jérome Authier, Dr Sin Hang Lee et Dr Shunichi Shiozawa MD, PhD.

 

Au Japon, le débat sur la politique de vaccination HPV n’est pas terminé. Un groupe présidé par le Dr Lee et le Pr Authier a proposé des mécanismes d’action scientifiquement plausibles.

 

Le gouvernement japonais de son côté explique que ces événements sont le fait de réactions psychosomatiques.

 

Toutefois ces scientifiques étrangers et certains intellectuels japonais sont, grâce à leur courage, devenus les catalyseurs grâce auxquels les problèmes de santé liés au vaccin HPV sont aujourd’hui débattus dans les médias du pays, dans l’intérêt du public.

 

Il reste à espérer que politiciens et intellectuels du monde entier suivent leur exemple en lançant de tels débats dans leurs pays respectifs. Il en va de la santé de millions de jeunes filles.

 

Espérons que les preuves scientifiques l’emporteront sur la théorie psychosomatique qui menace d’induire le public en erreur en attribuant tous les symptômes des victimes vaccinées à des problèmes psychologiques.

 

Si des théories aussi irrationnelles et irresponsables devaient se propager à travers le monde sans que des scientifiques consciencieux ou des intellectuels se lèvent pour les réfuter, la santé de nombreuses jeunes filles serait menacée.

 

Source: SaneVax

 

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11 mars 2014 2 11 /03 /mars /2014 13:00

GARDASIL : je veux que ma fille retrouve sa santé !

 

Par Anja Brix Larsen, 9 mars 2014

 

 

  

Avant de recevoir son vaccin Gardasil, Natasja avait toujours mené une vie très active, étant en parfaite santé. Je vous prie de bien vouloir jeter un  coup d’œil à ce qui lui est arrivé depuis que ce vaccin lui a été injecté.  

 

Ma fille Natasja a reçu les 3 doses du vaccin Gardasil en mai, août et décembre 2011.

   

Après son deuxième vaccin elle a commencé à faire de terribles maux de tête ; elle avait une vision « tunnel » et perdit à court terme sa vision périphérique. Nous avons, bien entendu consulté un médecin.  

 

Après sa troisième injection, Natasja souffrit d’un important mal de gorge. Elle ne savait plus manger et souffrait de douleurs partout dans le corps. Pendant 14 jours Natasja a été vraiment très malade.

   

Ses douleurs n’ont pas diminué tout au cours de l’année 2012, elles n’ont même cessé d’augmenter. Au début de 2013, sa santé s’est encore davantage détériorée. Les douleurs étaient constantes. Elle avait aussi des troubles sensoriels sur le côté droit de son visage, ainsi que le long de son bras droit. Sa vision était floue et les maux de tête constants. Natasja a finalement dû être hospitalisée. On lui a fait une ponction lombaire qui a fait apparaître des troubles neurologiques, ainsi que la Borrélia, ou maladie de Lyme.

  

Ce fut son premier diagnostic. La situation ne s’améliora guère tout au cours de 2013. La situation devint même très frustrante parce que sa santé empirait. Ses maux de tête étaient plus douloureux, elle vomissait souvent, souffrait de palpitations cardiaques et éprouvait d’énormes difficultés à se concentrer. Il n’y avait pratiquement aucune partie du corps de Natasja qui n’était pas dans la souffrance.

  

Natasja fut à nouveau envoyée à l’hôpital où elle reçut quelques séances de physiothérapie. En mars 2013, un second diagnostic tomba: douleurs intenses et pression intracrânienne bénigne.

   

La situation ne s’améliora guère tout au cours de l’année. Ses douleurs s’accentuèrent, les articulations de ses genoux commencèrent à gonfler. Certaines fois, elle n’était pratiquement plus capable de se rendre à l’étage. Ses crampes d’estomac ne cessèrent d’augmenter. Elle souffrait en outre de graves diarrhées. Nous avons alors été consulter un rhumatologue et un endocrinologue.

 

Cette fois, le diagnostic évoqua une céphalalgie provoquée par la dilatation des artères cérébrales, de contractions musculaires ou de réactions à des médicaments.

   

Les maux de tête et les malaises qui n’ont pas cessé ont très sérieusement perturbé la vie de Natasja. Les médecins ne pouvaient déterminer l’origine de la perte de sensation dans sa jambe gauche. J’ai finalement évoqué le vaccin HPV au médecin qui suivait Natasja. C’est alors qu’il décida de mettre Natasja sous amitriptyline 10mg.  Elle devait augmenter la dose jusqu’à arriver à sept comprimés par jour.

 

Natasja éprouvait de plus en plus de difficultés à suivre les cours à l’école bien que celle-ci lui avait aménagé un lit pour pouvoir s’allonger quand c’était nécessaire. Finalement, l’école autorisa Natasja à ne suivre que quelques heures de cours par jour et à ne suivre que les cours pour lesquels elle n’éprouvait pas trop de difficultés.

 

En octobre 2013, Natasja fut à nouveau admise à l’hôpital où on diagnostiqua le syndrome de tachycardie orthostatique posturale. Il s’agit d’une maladie qui a trait au mauvais fonctionnement du système nerveux autonome. Certains des médicaments qui lui ont été prescrits ne semblent pas beaucoup l’aider. Les médecins ont dit qu’ils allaient s’atteler à revoir la situation sur ce plan. Bien que Natasja ait perdu beaucoup de poids, son corps est gonflé comme s’il y avait une importante rétention d’eau. Ce sont ses jambes qui souffrent le plus de ces gonflements.

 

Comme nous entrons en 2014, la situation ne s’améliore toujours pas. Pour que Natasja puisse dormir, nous avons dû faire appel aux services d’urgence qui lui ont administré des comprimés de morphine. En janvier, elle a de nouveau été admise à l’hôpital.

 

Ci-dessous la liste des symptômes qu’elle a connus depuis la vaccination :

 

*  Graves maux de tête ; forte pression dans la tête

 

*  Troubles visuels

 

*  Vertiges et confusion ; difficultés à se concentrer

 

*  Insomnies

 

*  Eruptions cutanées inexpliquées

 

*  Difficultés à prendre des décisions

 

*  Mains tremblantes et froides, jambes froides. Alternance du chaud et du froid

 

*  Douleurs thoraciques et palpitations

 

*  Nausées et vomissements fréquents

 

*  Douleurs musculaires, douleurs d’estomac, douleurs dans les jambes

 

*  Les jambes et le corps tout entier sont gonflés ; difficultés à marcher

 

*  Tensions et douleurs dans la nuque et le dos ;

 

*  Amygdales gonflées, ganglions lymphatiques enflés

 

*  Ulcères buccaux, sécheresse de la bouche

 

*  Fatigue, faiblesse

 

*  Palpitations cardiaques.

 

 

Natasja est maintenant à la maison. Les médecins n’ont pu trouver de véritable explication à tous ses symptômes. Ils ont essayé un traitement psychiatrique et  lui ont promis un séjour de ski en France pour le 5 avril 2014 afin qu’elle puisse faire un peu d’exercice physique et avoir des contacts avec d’autres jeunes.

 

Elle a maintenant des hauts et des bas. Les douleurs qu’elle a dans la tête, l’estomac et les jambes la font terriblement souffrir. Elle a commencé l’enseignement à domicile. Elle a également essayé l’équitation pour handicapés, mais les douleurs ont été si intenses qu’elle a dû abandonner après deux jours et passer les deux jours suivants au lit. Elle s’est entretenue avec un psychiatre de l’hôpital. Les psychiatres ont dit que la raison de ses maux de tête relevait de la psychiatrie.

 

Je pense que les médicaments qu’elle a pris pour son syndrome de tachycardie orthostatique posturale commencent à donner des résultats. La fréquence des vertiges a diminué. Quand ses vertiges réapparaissent cependant, elle doit immédiatement s’allonger sur le sol.

 

Je me demande encore comment il est possible qu’une personne qui avait une aussi bonne santé puisse brusquement présenter tous ces symptômes et faire toutes ces maladies. Mon plus grand souhait serait que quelqu’un puisse l’aider à retrouver la santé qu’elle avait, à soulager ses douleurs et à retrouver l’activité et la joie de vivre qu’elle a jadis connues.

 

Je veux qu’elle guérisse, qu’elle redevienne enfin elle-même. Ce n’est sûrement pas trop demander.

 

Source : SaneVax  

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4 mars 2014 2 04 /03 /mars /2014 15:00

GARDASIL : ma famille souffre avec moi

 

Par Heidi Juul Petersen, 1er mars 2014

 

Famille de Heidi

 

 

Mon mari et moi avons trois enfants. Avant que je ne reçoive le Gardasil, toute la famille était très active ; nous avions plusieurs activités avec nos enfants, nous étions très heureux. Personnellement je marchais beaucoup, entre 15 et 20 Km par jour. Comme j’étais assistante sociale, il m’arrivait aussi de faire 20Km à vélo en une seule journée. Il y a plus d’un an maintenant, j’ai reçu l’injection du vaccin Gardasil. Je suis toujours en congé de maladie essayant de récupérer des effets secondaires de ce vaccin.

 

C’est le 15 février 2013 que j’ai reçu la première injection du vaccin Gardasil.

 

J’ai choisi de me faire vacciner parce que je pensais que c’était la chose la plus sûre à faire du fait que j’avais trois petits enfants. J’en ai parlé à mon médecin. Il fut d’accord. Il ne m’a pas dit que, pour moi, ce n’était pas nécessaire du fait que mon mari et moi étions ensemble depuis 13 ans.

 

Le 15 février, le jour de mon premier vaccin, j’ai été un peu surprise de constater que mes règles avaient commencé un peu plus tôt que d’habitude, mais je n’ai pas pensé plus loin parce que je me réjouissais du voyage que nous allions faire pendant ces jours de congé.

 

Après avoir eu des pertes de sang pendant 14 jours, j’ai un peu commencé à m’inquiéter. J’ai ensuite remarqué que mon stérilet se détachait. J’ai alors pris rendez-vous avec le médecin pour qu’il puisse l’enlever. Je fus donc mise sous pilule.

 

J’avais toujours de petites pertes de sang, mais je pensais alors que la chose était due à l’enlèvement de mon stérilet. Mes règles suivantes sont apparues en avril. Cette fois encore elles durèrent plusieurs semaines. Mais je me sentais comme étourdie et sur le point de m’évanouir. Au cours de la visite médicale, j’appris que ma tension était très basse. Le médecin ne put en trouver la raison. A cette époque, personne ne soupçonnait le vaccin.

 

L'un de mes mystérieux symptômes

L’un de mes mystérieux symptômes

 

Quelques jours plus tard, le 18 avril 2013, je reçus ma seconde injection. Deux jours après, soit le 20 avril, ma vie avait complètement changé. Brusquement je n’ai plus été capable de faire quoi que ce soit. Je traînais comme je pouvais ma jambe qui était paralysée. Mon mari devait m’aider pour tout parce qu’un moment, mes bras étaient aussi paralysés. Mes doigts s’étaient recroquevillés sur eux-mêmes ; je ne parvenais pas à les desserrer. Finalement la situation s’est améliorée, mais les problèmes suivants sont apparus dans la suite :

 

*  Perte de mémoire

*  Maux de tête

*  Grande fatigue

*  Engourdissements/douleurs qui apparaissent brusquement dans tout le corps et  

   qui durent de quelques minutes à plusieurs jours.

*  Manque de concentration

*  Vertiges

*  Faible pression sanguine

*  Pouls élevé

*  Rash

*  Perte de poids

*  Fièvre - un moment je gèle, le moment suivant, je suis toute en transpiration

*  Problèmes de vue

*  Douleurs au niveau des mâchoires, du cou et du dos

*  Crampes dans le dos

*  Palpitations

*  Douleurs abdominales

*  Acouphènes

*  Jambes lourdes

*  Impossibilité de parler de manière cohérente

*  Anémie pernicieuse – Carence en vitamine B12

*  Moins de force dans les mains et les jambes

*  Diarrhée

*  Nausées

 

En novembre 2013, on a diagnostiqué le syndrome de tachycardie posturale. Mon pouls était de 100 -115. Les palpitations que je ressens me font me sentir mal. Quand je vis cette situation, je ne puis plus courir ou jouer avec mes enfants.

 

J’ai encore des troubles sensoriels et des douleurs qui apparaissent puis disparaissent. J’ai de tels problèmes avec mes jambes que je puis à peine marcher.

 

Il arrive que je puisse reprendre ma fille après l’école, mais n’ai plus la force d’aller chercher les deux garçons à la maternelle et à la crèche. Mon mari doit alors s’en charger.

 

Ma tête me fait parfois tellement mal que je dois rester allongée toute la journée. C’est dur pour les enfants de comprendre pareille situation. Heureusement mon plus jeune garçon peut marcher maintenant parce que je n’ai plus la force de le soulever.

 

J’aimerais partager avec vous un dessin de ma petite fille Rebecca, ainsi que les commentaires qui sont écrits en danois. Voici ce que ma petite fille de 7 ans a dit de moi dans un devoir qu’elle devait faire pour l’école :

 

Dessin famille danoise

 

*  Malade

*  Sur le canapé

*  A la maison

*  Malade

*  Si longtemps !

 

Je me bats comme je peux. Je veux trouver pourquoi tout cela m’est arrivé. Je veux me rétablir. Je veux retrouver ma santé. Je veux espérer que le futur me permettra de participer à nouveau à toutes les tâches de la maison : changer les langes, passer l’aspirateur, laver le sol, faire la lessive, le nettoyage des vitres etc. toutes ces choses que je n’ai pu faire depuis que j’ai été vaccinée. C’est là mon objectif. Je veux pouvoir, comme dans le passé, jouer et m’amuser avec mes enfants.

 

Cette terrible expérience n’a pas affecté que moi: elle continue de nous affecter tous les cinq.

 

J’ai écrit au Premier ministre du Danemark, au ministre de la santé et à plusieurs autres personnalités danoises, mais n’ai reçu aucune réponse utile.

 

Ce ne sont pas ces réponses dont j’ai besoin. Ce que je veux c’est de l’ACTION, comme celle qu’ont entreprise toutes ces personnes qui, comme moi, ont été victimes du Gardasil au Danemark (ou partout ailleurs dans le monde). Nous avons tous besoin d’être diagnostiqués correctement. Nous avons besoin de recevoir les traitements adéquats qui nous rendront la vie et la santé. C’est MAINTENANT que nous avons besoin de tout cela – et pas dans un an ou deux !

 

Source: SaneVax

 

 

«Ce vaccin est une expérimentation vaccinale à grande échelle sur des jeunes filles cobayes. Il est non seulement inefficace mais éthiquement indéfendable.[…] Ce qui est plus inquiétant, c’est que les articles scientifiques parlent de cas d’insuffisance ovarienne, ce qui correspond à une ménopause précoce et donc à une stérilité.»

 Dr Pascal Büchler, médecin généraliste à Yverdon et membre du Groupe Médical suisse de réflexion sur les vaccins. (Publié sur le site de l'Association des Médecins du Canton de Genève).

 

 

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25 février 2014 2 25 /02 /février /2014 15:36

 Colloque international sur les risques des vaccins Gardasil & Cervarix 

 

« Pour la première fois dans l’histoire des campagnes publiques de vaccination, des fonctionnaires du gouvernement sont prêts, au sujet des politiques vaccinales, à écouter la voix de scientifiques et de professionnels de la Santé réellement indépendants. C’est une chose qui aurait dû avoir lieu il y a plusieurs décennies. Il est possible que ces réunions au Japon puissent annoncer le début d’un nouveau paradigme médical. » - Norma Erickson

  

Japon colloque 2 seringues

 

 

Par Norma Erickson, Présidente de SaneVax Inc., 24 février 2014

 

Le 25 février, 2 heures 30, heure de Tokyo marquera le début d’un Symposium international sur les effets indésirables qui ont affecté des jeunes-filles  vaccinées contre le papillomavirus humain. Ce Symposium  a été organisé par un groupe de chercheurs qui ont voulu émettre une mise en garde au sujet des effets indésirables induits par les vaccins contre le papillomavirus humain, avec la collaboration du Dr Harumi Sakai, ancien professeur à la Faculté de Médecine de l’université de Tokai, du Dr Shohei Matsuzaki, professeur émérite de la Faculté de Médecine  de l’université de Tokai, de Mutsuo Fukushima  de Kyoto News International, et de SaneVax Inc.

 

Cet événement servira en quelque sorte de porte-parole à des milliers de jeunes-femmes et leurs familles qui dans le monde entier ont souffert des effets secondaires débilitants et parfois mortels de la vaccination contre le HPV. On a expliqué à beaucoup de ces familles que ces problèmes étaient psychosomatiques ou dus à des coïncidences.

 

En effet, le 20 janvier 2014, le conseil consultatif du gouvernement japonais a publié un rapport officiel tout à fait typique de ceux qui ont été publiés dans d’autres pays et qui rejetait tous les symptômes qui s’étaient manifestés dans le corps des jeunes-filles vaccinées comme étant les conséquences de « réactions psychosomatiques », de réactions mentales de filles qui, comme le suggérait le conseil consultatif de manière sophistiquée, auraient pu être influencées par des mères qui ne savaient pas comment discipliner leurs filles. Selon Mutsuo Fukushima, reporter à Kyoto News, le promoteur de cette théorie est le Dr Yutaka Ohno de l’université de Keio qui a déclaré publiquement :

 

« Il est impossible de trouver des causes physiques pour les effets indésirables allégués et  présumés de ces jeunes-filles vaccinées. Dès lors, on ne peut s’empêcher de conclure que leurs soi-disant réactions indésirables sont les simples conséquences de réactions psychosomatiques. Le gouvernement devrait prodiguer des conseils à ces filles afin qu’elles puissent être libérées de leurs réactions psychosomatiques.»

 

Les organisateurs de ce Symposium, ainsi que d’innombrables autres personnes trouvent que ce manque cynique de préoccupation pour les victimes de ces réactions indésirables des vaccinations HPV est franchement épouvantable. Ils veulent que le monde sache qu’il existe plusieurs mécanismes d’action biologiquement plausibles par lesquels le Gardasil et le Cervarix pourraient précipiter ces événements. Ils veulent que le monde sache ce que leur recherche a pu montrer dans l’espoir de mettre un terme aux campagnes de vaccination contre le HPV jusqu’à ce que ces mécanismes d’action soient identifiés et quantifiés pour que les personnes les plus à risque puissent être écartées de tous les programmes de vaccination contre le HPV. Ils veulent par-dessus tout que le monde sache que nombreux sont ceux qui sont décidés à ne jamais abandonner jusqu’à ce que prenne fin le désastre lié aux suites de la vaccination HPV de masse.

 

Symposium Building

Tokyo, Symposium building

 

 

Participants au Symposium:

 

- Organisateur: Harumi Sakai, MD, former Professor, Tokai University School of Medicine

- Co-organisateur: Shohei Matsuzaki, MD, Professor Emeritus, Tokai University School of Medicine

- Interprête: Mutsuo Fukushima, Reporter, Kyodo News, International Department

- Sin Hang Lee, MD, former Yale University Associate Professor, Pathologist at Milford Hospital, Director of Milford Medical Laboratory, Inc.

- Franҫois-Jerome Authier, MD, Universite Paris XII, Systeme Hospital Henri Mondor de Paris

- Lucija Tomljenovic, PhD, Research Associate, British Columbia University, Canada

- Mirna Hajjar, MD, Department of Neurology, Hartford Hospital, Hartford Connecticut

- Masayuki Sasaki, MD, National Center of Neurology and Psychiatry, Director of Child Neurology

- Shunichi Shiozawa, MD, Professor, Kyushu University Hospital

- Uhide Kiyoshi, MD, Assistant Professor, Kanazawa University

- Rokuro Hama, MD, Director, Japan Institute of Pharmacovigilance (non-profit organization) 

 

Matsuo Fukushima, journaliste au Kyoto News a informé le groupe Sanevax que, selon certaines rumeurs, une délégation du ministère de la santé japonaise avait l’intention de se rendre à Londres en octobre pour entamer des discussions sur les vaccins HPV avec des fonctionnaires du ministère britannique de la santé et de l’Agence de régulation des produits de santé (MHRA). Certains ont pensé que cette délégation pourrait être disposée à échanger avec des experts scientifiques et médicaux indépendants de l’industrie pharmaceutique.

 

Avant la confirmation officielle de cette réunion, Norma Erickson, présidente de Sanevax et Freda Birrell, la secrétaire avaient pris l’initiative de fournir à leurs futurs contacts quantité d’informations relatives à de nombreux cas de jeunes-filles dont la santé avait été endommagée à la suite de la vaccination contre le HPV (Gardasil et Cervarix) dans d’autres parties du monde. Les effets secondaires rapportés au Japon étaient pratiquement identiques à ceux qui avaient été rapportés dans les pays où ces vaccins avaient été administrés. Ce simple fait semble bien indiquer que les effets indésirables ne doivent pas être considérés comme des coïncidences. Toute l’équipe de SaneVax  a pensé qu’il était essentiel de démontrer qu’il s’agissait d’un problème mondial. Les jeunes femmes japonaises n’étaient en fait pas les seules à souffrir après avoir reçu le vaccin contre le HPV. Au plus les contacts japonais ont reçu de l’information,  au plus tous se sont mis d’accord sur la nécessité d’entendre des experts indépendants.

 

Après de nombreuses discussions, SaneVax obtint confirmation de M. Tetsuya Miyamoto, directeur du bureau sur la politique vaccinale au Ministère de la Santé, du Travail et du Bien-être, ainsi que d’un médecin expert pour une mission concernant les vaccins HPV. M. Tetsuya, que lui et son équipe seraient prêts à rencontrer des scientifiques indépendants, ainsi qu’un médecin de Londres le 7 octobre 2013 au « Double Tree » près de l’hôtel Hilton à Londres.

 

La réunion devait commencer à 14 heures et durer deux heures. L’équipe japonaise comprenait des médecins de premier plan et provenant de deux des six hôpitaux universitaires japonais qui avaient reçu la mission de faire la lumière sur la relation possible de cause à effet entre les vaccins HPV et les effets secondaires subis par des jeunes-filles au Japon.

 

Les participants du groupe SaneVax à cette réunion importante étaient : le Dr Sin Hang Lee, MD, pathologiste de l’hôpital Milford, directeur du laboratoire Milford , ancien professeur agrégé de pathologie à l’université de Yale, le professeur François Jerome Authier, MD, PhD, Centre de référence pour les troubles neuromusculaires, Hôpital Henri Mondor à Paris et le Dr Damien Downing, MB, BS, MIBiol de Londres et pionnier en médecine écologique. Assistaient également à cette réunion Madame Freda Birrell, secrétaire de SaneVax Inc. et son mari David Birrell, analyste et chercheur dans les données du VAERS.

 

Notre équipe à Londres a été traitée avec le plus grand respect par M. Miyamoto et ses collègues médecins. Ils ont écouté attentivement tout ce qui a été dit, et suivi avec grande attention l’excellente présentation power-point qu’il a fallu arrêter à plusieurs reprises pour permettre de répondre à des questions très importantes. Un interprète japonais était également présent.

 

A cette époque, nous avons réalisé qu’une autre réunion serait envisageable à Washington DC quand la délégation japonaise se rendrait à la FDA et au CDC. Cette réunion à Washington n’a malheureusement pas pu avoir lieu en raison de différents facteurs.

 

De ce fait, la réunion de Londres a pris une importance toute particulière, car elle s’est avérée être le catalyseur  d’événements historiques qui auront lieu au Japon les 25 et 26 février 2014.

 

Pour la première fois dans l’histoire des campagnes publiques de vaccination, des fonctionnaires du gouvernement sont prêts, au sujet des politiques vaccinales, à écouter la voix de scientifiques et de professionnels de la Santé réellement indépendants. C’est une chose qui aurait dû avoir lieu il y a plusieurs décennies. Il est possible que ces réunions au Japon puissent annoncer le début d’un nouveau paradigme médical.

 

A tout le moins, ces réunions serviront en quelque sorte de porte-paroles pour les milliers de jeunes et leurs familles qui ont à faire face aux effets parfois débilitants de la vaccination contre le HPV.

 

L’équipe de SaneVax  tient à exprimer ses sincères remerciements aux personnes qui ont organisé ce colloque. Ce fut un grand honneur pour nous de faire partie d’un tel événement historique. Cela pourrait être le commencement de la fin pour les troubles dévastateurs que certaines familles ont dû subir après les vaccinations contre le HPV.

 

Source: SaneVax

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22 février 2014 6 22 /02 /février /2014 11:00

LE VACCIN GARDASIL A CHANGE MA VIE

 

Par Mia Hahn Zeerow, 20 février 2014

 Gardasil Témoignage Mia Hahn Zeerow 

Je suis une jeune-fille danoise de 17 ans. Le vaccin contre le HPV a malheureusement endommagé ma santé comme c’est le cas pour des milliers de filles dans le monde.. Je n’aurais jamais imaginé que ce vaccin aurait pu me voler tant d’énergie. Pendant deux ans, j’ai presque tout fait pour améliorer ma situation de santé. Avant que l’on ne m’injecte le Gardasil, j’étais toujours pleine d’énergie. J’étais très positive, j’adorais la gymnastique et j’étais instructeur assistante dans un groupe de jeunes. C’était vraiment là que je me relaxais et que je m’amusais beaucoup. Mes week-ends étaient généralement réservés à des tournois, des fêtes, des achats etc. Je me réjouissais toujours de voir arriver le week-end.

 

Janvier/Mars/Septembre 2009 : C’est au cours de ma huitième année de classe que j’ai reçu tous les vaccins Gardasil. Ma sœur jumelle les a reçus en même temps que moi. Nous n’avions pas la moindre inquiétude au sujet de ces vaccins du fait que les autorités nous encourageaient à nous faire vacciner au travers de nombreuses campagnes d’information. Nous n’avions aucune appréhension par rapport à d’éventuels effets secondaires parce que les filles que nous connaissions et qui s’étaient faites vacciner ne nous avaient jamais dit quelles avaient eu des réactions graves. Nous avons eu les trois vaccins et rien de spécial ne s’est passé pendant un an et demi après la vaccination. Puis, soudainement, les choses ont commencé à changer.

 

[Note de l’éditeur :les dommages causés par le vaccin sont inquiétants, mais il existe un autre aspect insidieux à cette procédure médicale supposée empêcher les maladies, et c’est le déclenchement à long terme de problèmes auto-immuns.]

 

Dans la vidéo présentée ci-dessous, le Dr Yehuda Shoenfelf, immunologiste, explique que la plupart des vaccins peuvent déclencher la formation d’auto-anticorps six mois après la vaccination, et que des maladies auto-immunes peuvent apparaître jusqu’à huit années plus tard. (1)

 

Eté 2011 : Tout à coup, toutes sortes de maladies ont commencé à apparaître. C’était l’été ; j’étais à l’entraînement quand j’ai commencé à sentir des troubles digestifs surtout quand je mangeais des aliments qui contenaient du gluten. J’ai commencé à avoir des nausées tous les jours. A ce moment-là, je ne pensais pas qu’il puisse y avoir quelque rapport que ce soit avec le Gardasil, du fait que j’avais reçu le vaccin un an et demi plus tôt. J’ai commencé à éliminer les produits qui contenaient du gluten, mais malheureusement sans résultat. J’ai tout fait pour ignorer mes problèmes dans l’espoir qu’un jour mes symptômes disparaîtraient.

 

Automne/Hiver 2011/ 2012 : Au cours de cette période, j’ai continué à avoir des nausées et des ballonnements. Je me sentais beaucoup plus mal. Au cours de l’automne 2011, j’ai connu une période au cours de laquelle je ne parvenais plus à digérer quoi que ce soit.  Je me sentais malade chaque fois que j’essayais de manger quelque chose ; je devais me forcer pour le peu que je parvenais à manger. C’est à cette même époque que j’ai brusquement réalisé  que mes mains et mes pieds devenaient violets bien qu’il ne faisait pas froid du tout.

 

Ces ennuis ont disparu pendant un petit temps, mais les symptômes sont réapparus au printemps 2012 ; j’ai alors perdu 3 kilos. Ces symptômes se sont maintenus jusqu’à la fin de 2012

 

Mars – Mai 2013 : mes nausées et mes ballonnements ont continué. J’étais en plus atteinte de fatigue chronique, de crampes, de constipation alternant avec des diarrhées. Le médecin que j’avais consulté m’avait dit que j’étais dépressive. Je n’étais pas dépressive, j’étais tout simplement malade. Au cours de ces mois, j’ai vu tout mon monde s’effondrer. La plupart du temps je me sentais mal et je commençais à pleurer chaque fois que je rencontrais mes compagnes de classe. J’ai finalement dû rester à la maison pendant une semaine avec l’espoir que les choses pourraient s’arranger.

 

Mai 2013 : Une fois de plus, j’ai dû consulter le médecin qui m’a suggéré de ne plus consommer de produits contenant du gluten et ce, pendant au moins trois mois. L’alimentation sans gluten a pu m’aider pendant les deux premiers mois, puis mon estomac a commencé à gonfler comme si j’étais enceinte, j’étais en plus constipée. Je me sentais très mal. Je me souviens avoir pleuré pendant des jours parce que les souffrances étaient intolérables.

 

Septembre 2013 :après avoir cru tout un temps que le gluten était la cause de mes problèmes, j’ai appris que mes parents étaient par hasard tombés sur un article qui décrivait les effets secondaires du vaccin Gardasil. Suite à cette information, il ne m’a pas fallu longtemps pour réaliser qu’il y avait aussi d’autres filles qui avaient subi des effets indésirables du vaccin. Je me suis rendue à une réunion que ces filles organisaient pour pouvoir échanger avec elles et me rendre compte de ce qu’elles avaient vécu depuis la vaccination. Il ne m’a pas fallu longtemps pour réaliser qu’en comparant mes symptômes aux leurs, ma santé avait aussi dû être endommagée par le Gardasil. J’ai décidé de ne plus prendre de produits laitiers. Cette mesure m’a aidée par rapport à mes ballonnements.

 

Décembre/ Janvier 2013/2014 : Je souffrais de mauvaise digestion et bien que j’avais perdu tout appétit, mon estomac a recommencé à gonfler. Je me sentais  à nouveau malade toute la journée. Je suis passée de 53 Kg à 50,4 Kg ; Je souffre encore de constipation tenace malgré tous les pruneaux et les raisins que je prends. Rien ne semble marcher.

 

Les effets indésirables que j’ai connus :

 

- Douleurs abdominales

- Constipation chronique

- Allergie au gluten et aux produits laitiers

- Vertiges

- Insomnies

- Perte de poids

- Troubles de mémoire, douleurs lombaires, crampes

- incapacité à se concentrer

- Nausées, ballonnements

- Mains et pieds froids virant au violet

- Fatigue

- peau tachetée par périodes

 

En comparant mes notes avec celles des filles dont la santé a été affectée par le Gardasil, et en continuant mes recherches pour trouver ce qui peut apporter de l’aide, je fais tout ce que je peux pour tenter d’améliorer ma santé. Au plus profond de mon cœur, je sais que mes problèmes de santé sont dus au Gardasil.

 

Référence :

 

1. http://vaccinesafetyconference.com/videos.html

 

Source: SaneVax

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21 février 2014 5 21 /02 /février /2014 12:30

Pourquoi la vaccination contre le HPV devrait être arrêtée immédiatement (en attendant les études de sécurité)

 Fille-que-l-on-vaccine--HPV-.jpg

http://www.drfranklipman.com/what-you-need-to-know-about-the-hpv-vaccine/

 

Par Sayer Ji, 17 février 2014

 

Une nouvelle étude publiée dans Autoimmunity Reviews en janvier 2014 et intitulée « Sur la relation entre le vaccin contre le papillomavirus humain et les maladies auto-immunes » (*) est susceptible de rouvrir la controverse sur les dommages induits par la vaccination. En effet, quantité d'effets secondaires sont apparus depuis que le Gardasil de Merck & Co est arrivé sur le marché et que cette vaccination a été largement utilisée . [i]

 

L’étude souligne : « Avec l’introduction des vaccins contre le HPV, plusieurs cas d’apparition ou d’aggravation de maladies auto-immunes après la vaccination ont été rapportés dans la littérature et dans les données de pharmacovigilance. Ces cas ont déclenché des préoccupations quant à la sécurité du vaccin. »

 

Après un examen approfondi de la littérature médicale, les auteurs ont énuméré les conditions dans lesquelles la vaccination contre le HPV  est  probablement liée au développement de maladies auto-immunes (avec la remarque qu’il s’agit seulement de liens possibles et non de liens totalement confirmés). Il s’agit des maladies suivantes :

 

- Encéphalomyélite aiguë disséminée et autres maladies démyélinisantes du  système nerveux central

-Sclérose en plaques

- Insuffisance ovarienne primaire

- Syndrome de Guillain-Barré                               

- Dermatite Iga de Bullosus

- Purpura rhumatoïde

- Vascularite cutanée

- Maladie de Kikuch-Fujimoto

- Erythème polymorphe

- Ataxie cérébrale aiguë

- Purpura thrombocytopénique immunitaire

 

Les auteurs soulignent que « la décision de vacciner avec le vaccin contre le HPV est une décision personnelle et non une décision prise pour une question de santé publique. Le HPV n’est pas une maladie mortelle dans 95% des infections; les 5% restants peuvent être détectés et traités au cours de stades précancéreux. »

 

Les vaccins contre le HPV pourraient permettre au système immunitaire de se retourner pour attaquer le corps

 

Comment est-il possible qu’un vaccin qui a été déclaré sûr et efficace dans le monde entier soit éventuellement lié à un tel éventail de maladies auto-immunes ?

 

Une partie de l’explication réside dans le phénomène appelé « mimétisme moléculaire ». Dans pareil cas, le système immunitaire  pourrait confondre une structure propre au corps avec un peptide étranger (provenant généralement d’un pathogène) et ainsi causer des lésions auto-immunes. Les anticorps, par exemple, qui sont produits contre un agent pathogène spécifique peuvent réagir de façon croisée avec des protéines du corps qui ont une séquence identique ou similaire.

 

Cette possibilité est abordée dans un article révolutionnaire intitulé « Quantifier le risque possible de réactivité croisée d’un vaccin HPV16 », publié en 2009 dans le Journal of Experimental Therapeutics and Oncology. Cet article décrit l’arrière-plan du sujet comme suit :

 

Les effets indésirables potentiels associés à la vaccination contre les maladies infectieuses soulignent la nécessité d’une analyse et d’une définition efficaces des effets secondaires possibles du vaccin. En utilisant le protéome du HPV16 comme modèle, nous avons quantifié les risques réels et théoriques de la vaccination anti-HPV16, et défini le spectre potentiel de la maladie provenant de réactions croisées concomitantes à l’organisme humain.

 

Le protéome du HPV16 est tout le spectre des protéines produites par le virus HPV16 qui sont présentes dans les vaccins Cervarix et Gardasil. Chaque protéine comporte un risque d’induire une réponse immunitaire qui pourrait, en théorie,  se « retourner » contre les structures propres au protéome humain. Ayant cette possibilité à l’esprit, les chercheurs ont utilisé une méthode particulière pour déterminer la probabilité d’un tel événement […]

 

Les résultats de leur recherche ont mis à jour un profond degré de correspondance : le protéome humain contient 82 heptapeptides et deux octapeptides trouvés dans le HPV16.

 

[…] Le nombre de correspondances virales, ainsi que leur localisation font que l’apparition de réactions croisées auto-immunes secondaires chez l’hôte humain après la vaccination à base de HPV16 est pratiquement inévitable (Souligné par l’auteur de l’article).

 

Le caractère soi-disant « inéluctable » de « réactions croisées auto-immunes chez l’être humain après vaccination à base de HPV16 » est profondément inquiétant, tout spécialement si l’on réalise qu’il y a 4 souches au total dans le vaccin Gardasil et deux dans le Cervarix. Ceci augmente de manière significative la gamme de chevauchement protéomique entre protéines virales  et protéines humaines en tant que mimétisme moléculaire.

 

Il est aussi important de reconnaître que le vaccin n’a jamais empêché un seul cas de décès à la suite du cancer du col de l’utérus, alors que des millions de personnes sont exposées à ce que l’on peut probablement qualifier de risques de santé inévitables.

 

Les vaccins HPV ne fonctionnent pas comme prévu et leur sécurité n’est pas assurée

 

Dans un article paru en 2013 dans le journal Infectious Agent Cancer, intitulé « Vaccins contre le HPV et prévention du cancer-  la science contre l’activisme », la raison d’être des programmes actuels de vaccination contre le HPV dans le monde entier est remise en question.

 

Le principe de base des campagnes mondiales de vaccination est décrit comme suit : 1) les vaccins contre le HPV éviteront des cancers du col de l’utérus et sauveront des vies, 2) les vaccins ne comportent pas de risques d’effets secondaires graves.

 

Dès lors, des efforts devraient être déployés pour vacciner un maximum de pré-adolescentes pour réduire le fardeau du cancer du col utérin.

 

Malgré cela, les auteurs affirment : « Une analyse minutieuse des données pré- et post autorisation montrent que ces deux  prémisses sont en contradiction avec des preuves concrètes, et proviennent en grande partie d’une mauvaise interprétation significative des données disponibles. »

 

Comment cela ?

 

Les auteurs expliquent :

 

En dépit de beaucoup d’optimisme injustifié et prématuré, il est un fait que les vaccins contre le HPV n’ont jusqu’ici pas empêché un seul cas de cancer (encore moins un décès par cancer du col utérin). Au lieu de cela, ce que les essais cliniques ont montré c’est que les vaccins contre le HPV peuvent prévenir certaines lésions pré-cancéreuses (CIN 2/3) associées aux infections à HPV-16 et HPV-18. Une grande partie de ces infections peut se résoudre spontanément indépendamment du statut vaccinal. [2-4]. Par exemple, chez les adolescentes et les femmes de 13 à 24 ans, 38% des lésions CIN2 se résolvent après un an, 63% après deux ans et 68% après trois ans. [5]. En outre, la validité des CIN2 qui seraient des précurseurs du cancer est douteuse en raison des taux élevés d’erreurs de classification et d’une mauvaise reproductibilité dans les diagnostics, ainsi que des taux élevés de régression. [6-9]  Selon Castle et al. [7], le CIN2 est le moins reproductible de tous les diagnostics histopathologiques et peut refléter en partie l’erreur d’échantillonnage.

 

Alors que le CIN3 est un marqueur plus fiable pour la progression du cancer que le CIN2, l’utilisation de ce marqueur n’est pas non plus sans présenter de réserves. [2,10]. En outre, la sécurité présumée des vaccins contre le HPV n’est pas étayée par les faits :

 

De même, l’idée que les vaccins contre le HPV ont un profil de sécurité impressionnant ne peut être pris en considération qu’à la suite d’une conception très imparfaite des tests de sécurité. [2,13] et est contraire à l’accumulation des preuves émanant des données de surveillance et de rapports de cas qui continuent de lier la vaccination contre le HPV à des effets indésirables graves (y compris des décès et des invalidités permanentes. [2, 4,14]. Par exemple, et par rapport à tous les autres vaccins faisant partie du calendrier vaccinal des Etats-Unis, le Gardasil à lui seul est associé à 61% de toutes les réactions indésirables graves (y compris 63,8% de tous les décès et 81,2% des cas d’invalidités permanentes) chez les femmes de moins de 30 ans. [12]

 

Bien qu’un rapport de surveillance (de l’innocuité des vaccins) ne prouve pas par lui-même que le vaccin ait provoqué une réaction indésirable, la fréquence anormalement élevée des effets indésirables liés aux vaccins contre le HPV déclarés dans le monde entier, ainsi que leur tendance constante (troubles liés au système nerveux ayant la fréquence la plus élevée) indiquent une potentielle relation causale [2]. En outre, et en correspondance avec les données de surveillance, on observe un nombre croissant de rapports de cas d’effets indésirables graves liés à l’administration du vaccin contre le HPV avec des troubles auto-immuns et du système nerveux les plus fréquemment rapportés dans la littérature médicale. [15-24]

 

Les auteurs de l’article résument comme suit leurs recherches :

 

En résumé, les déclarations optimistes selon lesquelles les vaccins HPV préviendront des cancers du col utérin, sauveront des vies, et sont des vaccins extrêmement sûrs, ces déclarations reposent sur des hypothèses qui sont mal interprétées et qui sont présentées au public comme étant des preuves factuelles.

 

Nous concluons donc que l’objectif de réduction des cancers du col utérin pourrait être mieux atteint en optimisant le dépistage (qui ne comporte aucun risque grave pour la santé) tout en préférant cibler d’autres facteurs favorisant la maladie que d’avoir recours aux vaccins qui ont des profils d’efficacité et de sécurité douteux. [2,25]

 

Remarques finales :

 

En prenant en compte le fait que l’on vient de découvrir que les vaccins HPV ne sont pas efficaces pour assurer la protection des femmes Afro-Américaines, les décideurs doivent s’  atteler à reformuler leur message pour un large éventail de raisons. Le fait que ces vaccins ne présentent pas l’efficacité qui avait été annoncée et que l’assurance de leur sécurité n’a pas été parfaitement et indépendamment établie, renvoie à la question du consentement éclairé. Si on ne fournit pas au public les informations nécessaires pour un consentement éclairé, si la politique de vaccination est basée sur la culture de la foi en une autorité supérieure et non sur les preuves et faits eux-mêmes, le temps est clairement venu pour le public de prendre le contrôle de sa propre santé, en commençant peut-être par une recherche plus approfondie sur le sujet.

 

Pour une recherche complémentaire sur les effets secondaires du vaccin HPV, voir : http://www.greenmedinfo.com/anti-therapeutic-action/vaccination-hpv-gardisil

 

Notes:

 

(*)http://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/?term=autoimmunity+reviews+hpv+vaccination

(NB: l'étude intégrale est payante d'où que toutes les références mentionnées ci-dessus ne sont pas consultables gratuitement); l'auteur du présent article traduit ci-dessus a, lui, acheté l'étude intégrale et pu consulter ces références.)

 

[i] Merck Reports Double-Digit Earnings-Per-Share Growth for Second Quarter 2007

 

Cet article a d’abord été publié en anglais sur GreenMedinfo le 17 février 2014 et retransmis par Catherine Frompovich le 19 février 2014

 

Source: Greenmedinfo


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18 février 2014 2 18 /02 /février /2014 17:10

GARDASIL : Ashlie a été jusqu’au seuil de la mort !

 

Par Shawna Snyder, 17 février 2014  

  Ashlie--Guillain-Barre.jpg

 

Qui aurait jamais pu penser qu’une seule injection du vaccin contre le HPV, le Gardasil aurait pu conduire ma fille chérie au bord de la mort ? Mes deux filles Ashlie et Lyndsie ont toutes les deux reçu le vaccin Gardasil le même jour. Heureusement Lyndsie n’a pas connu d’effet secondaire. Ashlie n’a pas eu la même chance. Ashlie avait toujours été pleine de vie. Elle parvenait à gérer n’importe quoi. A quatre ans, Ashlie avait décidé qu’elle serait danseuse. Comme elle était quelque peu timide et n’aimais pas trop qu’on la regarde, nous nous étions dit que son projet ne se maintiendrait pas. Nous n’aurions pas pu davantage nous tromper. Quand elle devint plus âgée, nous avons bien dû nous rendre compte qu’elle avait trouvé et sa passion et sa carrière pour la vie. Elle était pratiquement sur le point de devenir danseuse professionnelle ; elle était en tout cas en bonne voie.

 

Comment aurions nous pu savoir  qu’un vaccin allait changer sa vie et nos vies d’une manière aussi radicale ?

 

C’est à la mi-juin 2009 qu’Ashlie a reçu son premier et unique vaccin Gardasil. Je remercie le ciel que Lyndsie qui a reçu le Gardasil le même jour n’ai pas eu de réaction négative au vaccin.

 

Environ 16 jours plus tard, Ashlie a commencé à se plaindre parce que, disait-elle, ses jambes ne fonctionnaient pas correctement. Personnellement je ne savais pas ce qui se passait et je lui ai donné du tylenol. Le lendemain matin quand je suis descendue, Ashlie était étendue sur le canapé en train de regarder la télévision. Elle m’expliqua qu’elle avait dû ramper de sa chambre comme pour descendre les escaliers pour pouvoir atteindre le canapé. Elle m’expliqua qu’elle ne savait plus marcher. Je lui ai alors demandé d’essayer de se tenir debout. Elle a tout fait pour y parvenir puis elle est tombée sur le sol.

 

Nous l’avons immédiatement conduite aux urgences. Le médecin a levé les mains en l’air en disant qu’il ne savait pas ce qui se passait ; il constatait que c’étaient simplement des douleurs qui étaient en train d’augmenter. On lui donna des béquilles et une prescription pour des stéroïdes. J’ai reconduit ma fille à la maison convaincue que le médecin avait tort, parce que j’avais eu 5 filles et je n’avais jamais vu des douleurs qui augmentaient de pareille façon.

 

Quand elle avait dix ans on avait décelé de l’épilepsie chez Ashlie. J’ai pensé qu’elle était peut-être en train de faire une nouvelle crise et j’ai téléphoné à un neurologue. Ce dernier m’a assuré qu’il ne pouvait pas s’agir d’une crise d’épilepsie. Il m’a demandé de conduire ma fille aux urgences le matin pour qu’elle soit examinée le plus vite possible et qu’elle puise rentrer le plus tôt possible à la maison.

 

Ce soir-là, j’ai dî aider Ashlie à rentrer et à sortir de la baignoire. J’ai voulu lui tendre quelque chose et à ma grande horreur, j’ai dû réaliser que ses bras et ses mains ne fonctionnaient pas non plus. Elle n’est pas parvenue à saisir ce que je lui présentais.

 

Après quelques coups de fil, j’ai à nouveau reconduit Ashlie aux urgences. Il n’a pas fallu une heure pour qu’elle soit à nouveau examinée. J’avais téléphoné à mon père dont l’ami est médecin. Ce dernier lui conseilla de demander s’il ne s’agissait pas d’une « paralysie ascendante ». Après avoir posé cette question au médecin, celui-ci répondit Que « oui ».Il semblait qu’Ashlie souffrait du syndrome de Guillain-Barré (SGB)

 

Le médecin ma demandé si elle avait été malade. Je répondis que non. Je ne pouvais absolument pas imaginer qu’elle avait pu attraper une chose pareille.

 

Elle resta aux urgences jusqu’à ce qu’une chambre se libère. A ce moment-là, je ne réalisais toujours pas l’extrême gravité du problème. Une fois qu’elle fut dans sa chambre, on me proposa des articles sur le syndrome de Guillain-Barré. La réponse à la toute première question que je me posais se trouvait maintenant en toutes lettres dans la première phrase que j’ai lue, Le Guillain-Barré peut s’attraper par un vaccin et Ashlie venait d’être vaccinée. Elle avait reçu une dose de Gardasil au début du mois. 

 

Ashlie-Syndrome-de-Guillain-Barre.jpg

  Ashlie après sa première injection du Gardasil

 

Quand j’ai vu Ashlie dans son lit d’hôpital je ne pouvais plus reconnaître la jeune fille pleine de santé et dynamique que j’avais connue. Maintenant, elle ne savait plus marcher ; elle était incapable de se lever toute seule, d’aller aux toilettes. Elle ne savait plus manger. On devait la nourrir au travers d’un tube qui lui rentrait par le nez. On lui avait administré des immunoglobulines par voie intraveineuse pour pouvoir arrêter la paralysie.

 

Elle a commencé à délirer, à parler comme un bébé dans son sommeil. Elle souffrait beaucoup et en ce qui me concerne, je ne savais que faire. Je ne réalisais même pas pleinement à quel point le Guillain-Barré était grave.

 

En 24 heures la situation empira encore. Son système respiratoire ne fonctionnait pratiquement plus. Elle fut alors transportée aux soins intensifs. A peine arrivée dans la salle, elle arrêta de respirer. Il fallut d’urgence parer à la situation. Je ne parvenais pas à croire ce que j’étais en train de voir. Ma fille chérie était en train de mourir sous mes yeux.

 

Elle ne savait plus parler et essayait de faire des signes pour tenter de communiquer. On a dû la mettre sous respirateur et le 1er juillet 2009, elle fut intubée car elle ne pouvait plus respirer par elle-même. C’était la machine qui devait l’aider à respirer. Son cœur s’emballait 160-180 bpm. Elle avait l’impression que son cœur allait sortir de sa poitrine. Au cours des deux semaines et demi qui ont suivi, j’étais assise à côté d’elle et je voyais que la situation empirait.

 

Le syndrome de Guillain-Barré est plus fréquent chez des personnes âgées, mais pas chez des enfants. C’était le cas le plus grave qu’ils avaient vu à l’hôpital depuis 3  ans. L’hôpital a dû adapter les traitements prévus pour adulte au cas d’Ashlie qui n’avait que 12 ans. Elle reçut encore des immunoglobulines par voie intraveineuse, passa un IRM et plusieurs tests pour le système nerveux. Les dommages neurologiques qu’elle avait subis étaient horribles. Le Guillain-Barré n’avait pas seulement détruit sa myéline, mais il avait commencé à détruire l’axone.

 

Finalement la maladie commença à régresser et son corps commença peu à peu à guérir. Après avoir été entubée pendant 3 semaines, elle a commencé à respirer par elle-même et fut extubée. Elle souffrait alors atrocement. Elle souffrait tellement qu’elle avait l’impression qu’on lui arrachait la peau si on la touchait. Après être encore restée une semaine dans cet hôpital, elle fut transportée à l’hôpital des enfants  pour réhabilitation. C’est ainsi qu’Ashlie dut encore passer 4 semaines loin de la maison pour  des thérapies 7 jours par semaine. Elle était fatiguée de tout cela, tout son corps lui faisait mal et on la voyait souvent pleurer. Après qu’elle eût fêté son 13ème anniversaire à l’hôpital, nous avons décidé qu’il était temps pour elle de rentrer à la maison pour commencer une nouvelle vie.

 

A la maison Ashlie a poursuivi ses thérapies. Nous avons tout fait pour lui rendre la vie la plus normale possible. Elle a doucement repris des cours de danse, mais d’une manière très limitée. Elle se rendait aussi régulièrement à l’hôpital pour compléter ses thérapies.

 

Après 6 mois les thérapeutes nous ont dit qu’ils ne pouvaient pas en faire plus. Ce n’était évidemment pas la réponse que je souhaitais entendre. Elle n’avait que 13 ans.

 

Nous avons continué à multiplier les contacts, les recherches. Finalement on nous a conseillé la méthode Pilates qui améliora quelque peu la situation. Malgré que certains points s’amélioraient, la santé d’Ashlie se modifiait : il lui était maintenant impossible de garder les aliments. Dès qu’elle mangeait, elle devenait très malade et vomissait. Elle avait aussi des étourdissements et s’évanouissait. Ses douleurs nerveuses aussi étaient telles que personne ne pouvait la toucher. De nouveau elle avait l’impression qu’on lui arrachait le peau. Combien de fois aussi ne l’ai-je pas vue perdre connaissance et devoir lutter pour respirer. Son pouls est aussi beaucoup trop rapide. Nous avons continué à la conduire chez des médecins, des spécialistes. On a une fois été à un doigt de devoir faire une chirurgie cardiaque pour éviter le pire. Pendant 30 jours  elle a été reliée à des moniteurs cardiaques alors qu’elle voulait reprendre la danse.

 

Au cours des 4 dernières années, nous l’avons conduite dans plusieurs services d’urgence et chaque fois on nous a dit la même chose: les médecins disaient qu’ils ne détectaient rien et que tout se passait dans sa tête.

 

Finalement au cours de l’été 2013, j’ai eu l’occasion de lire l’histoire d’une fille dont la santé avait été endommagée par le Gardasil. D’habitude, je ne lis jamais les commentaires au sujet de ces articles parce que je les trouve trop critiques ou trop grossiers.

 

Dans cet article, une dame parlait d’un médecin qui avait beaucoup aidé sa nièce. Je profitai de l’occasion pour les contacter tous les deux. Nous avons consulté le médecin en septembre 2013 et avons commencé un traitement en octobre. La route a été longue. – Ashlie a complètement dû changer ses habitudes alimentaires et prendre de nombreux suppléments. Elle consulte ce médecin toutes les 4 à 6 semaines.

 

L’un de ses objectifs principaux était de retrouver sa souplesse. En tant que danseuse, c’était pour elle très important. Elle y arrive petit à petit. Il y a quelques jours je l’ai vue faire un exercice dont je la croyais totalement incapable. J’étais quasi certaine qu’elle ne pourrait jamais plus y arriver.

 

Tous les jours je regrette de lui avoir fait administrer ce vaccin, mais d’autre part, je suis heureuse qu’elle a été battante et n’a jamais abandonné la lutte. La mère et la fille ont été ensemble dans cette épreuve et jamais elles n’abandonneront. Nous espérons également que tout ce que nous pourrons réaliser pour Ashlie pourra profiter à beaucoup d’autres dont la santé a aussi été gravement endommagée par le vaccin Gardasil.

 

VAERS  (Vacccine Adverse Events Reporting System)

 

Organisme officiel américain de vaccinovigilance qui recueille les rapports d’effets secondaires possibles des vaccins aux Etats-Unis. Il est contrôlé par le CDC et la FDA.

 

Mise à jour des chiffres au mois de Janvier 2014  pour les Vaccins contre le cancer du col de l’utérus.

 

Rapports d’effets secondaires (publié par Sanevax)

 

Description

Total

Infirmes

1.048

Décès

157

N’ont pas récupéré

6.653

Frottis du col anormaux

554

Dysplasies du col de l’utérus

234

Cancers du col de l’utérus

72

Cas où le pronostic vital a été engagé

606

Visites aux urgences

11.223

Hospitalisations

3.424

Séjours hospitaliers prolongés

244

Effets secondaires graves

4.557

Effets secondaires

32.995

 

P.S. Seuls 1 à 10% des effets secondaires seraient généralement rapportés

 

Source : SaneVax

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16 février 2014 7 16 /02 /février /2014 14:17

Canard-Enchaine-du-12-fevrier-2014.JPG

 

Mise à jour au 10/09/14: Le sinistre projet de vaccination scolaire se poursuit en France: VOIR ICI

En Belgique francophone, il a d'ailleurs fait un flop, moins de 20% des parents des jeunes filles ciblées ayant accepté. Voir aussi ICI et ICI

L'aveu que ces programmes de vaccination HPV ne remportent un taux élevé d'adhésion que dans les pays qui la pratiquent dans un cadre scolaire constitue un AVEU d'échec d'adhésion spontanée et véritable car il y a toujours dans ce type de situation un nombre conséquent de gens qui pensent à tort qu'une vaccination effectuée en milieu scolaire est obligatoire et bien sûr, les officiels jouent évidemment pleinement sur une telle ambiguïté. D'où leur illusion de "succès". Le programme français (de vaccination scolaire) pourrait toutefois s'avérer à long terme "un mal pour un bien" s'il entraîne fort logiquement encore plus de victimes, ce qui induira un relai médiatique croissant etc. (jusqu'à ce que le public comprenne avec évitement à long terme d'un nombre encore plus grands de victimes "silencieuses"). Une autre option, plus crédible vu le contexte déjà existant de prise de conscience de la dangerosité de cette vaccination parmi d'autres, est que cette initiative soit un flop, comme en Belgique. A ceci près que le projet français prévoit explicitement de faire face au refus et réticences des parents en essayant de les contourner et de faciliter ainsi la vaccination de jeunes filles (bonjour la manipulation et l'esprit de troupeau, bien connu en psychologie sociale!) à l'insu des parents...

Et de façon convergente avec la stratégie de vaccination scolaire, il est aussi question d'essayer de vacciner les jeunes filles de + en + tôt contre le HPV, dès l'âge de 9 ans! Ce faisant, les officiels veulent cette fois agir non plus sur les réticences des parents mais sur la possibilité/probabilité que les jeunes filles puissent décider par elles-mêmes, en allant par exemple lire sur internet (ce que les jeunes filles de 9 ans ont sans doute moins le réflexe de faire sur des sujets de santé que les jeunes de 15 ou 16 ans). Dans les deux cas, la vaccination scolaire et l'abaissement de l'âge de la vaccination, il s'agit donc d'une approche négative, une approche par l'évitement: éviter que plus de gens encore refusent la vaccination effrénée. Il n'empêche, le Titanic de la vaccination sombre chaque jour un petit peu plus et ce ne sont pas ces ficelles ultra-voyantes synonymes d'échec qui vont redonner confiance aux gens...


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12 février 2014 3 12 /02 /février /2014 12:10

GARDASIL : Le voyage de Jordan dans l’inconnu

 

Par Kami Wightman, Bitley Michigan, 11 février 2014

 

Jordan-Sanevax.jpg

 

Ma fille était une véritable athlète ! Le volley, le wakeboard étaient toute sa vie. Aujourd’hui, nous sommes très heureux quand elle peut tenir une journée à l’école sans parler de son accès au sport. -  Tout ceci a commencé une semaine après que ma fille ait reçu sa première injection de Gardasil. Ses articulations ont commencé à gonfler et à lui faire terriblement mal. Son genou était tout particulièrement en mauvais état, il était vraiment très gonflé comme l’étaient d’ailleurs aussi son cou  et ses chevilles. Les médecins ont pensé qu’elle était atteinte d’arthrite rhumatoïde juvénile. Un an plus tard, on ne constate toujours aucune amélioration. En fait les choses se sont même aggravées.

 

Maintenant, Jordan a des problèmes d’estomac ; elle a des nausées et n’a pratiquement jamais envie de manger. Elle a également des douleurs thoraciques et d’horribles maux de dos. Tout ce que j’entreprends de faire pour pouvoir l’aider, soulager ses douleurs ne semble servir à rien. Pour compliquer la situation, les doigts de Jordan deviennent bleus, elle a des éruptions sur tout le corps, des problèmes oculaires, des essoufflements et de terribles maux de tête.

 

Ce qui nous a le plus effrayés dans les tout derniers temps est le fait que Jordan s’évanouit et fait des convulsions. Au début, elle faisait des convulsions une fois par mois jusqu’à deux fois par semaine mais maintenant elle fait ses convulsions tous les jours et parfois plusieurs fois par jour.

 

Pour pouvoir obtenir de l’aide, nous nous sommes rendus dans plusieurs hôpitaux. Nous ne pouvons réaliser qu’ils ne puissent pas nous aider à comprendre le pourquoi de ces crises qui sont si éprouvantes.

 

C’est très pénible pour moi de voir ma fille dans cet état en me sentant impuissante à pouvoir lui venir en aide.

 

Si les problèmes de ma fille étaient dus à un médicament, elle pourrait arrêter de le prendre et guérir progressivement. Mais le vaccin… impossible désormais de le lui enlever ! Je donnerais n’importe quoi pour que l’on puisse parvenir à éliminer complètement le Gardasil de son corps.

 

Source : SaneVax

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7 février 2014 5 07 /02 /février /2014 14:49

GARDASIL : la décision que nous regretterons toujours !

 

D’après Kim Robinson, 4 février 2014

 

Gardasil Katie

Katie

 

Nous regrettons profondément d’avoir donné notre accord pour le vaccin Gardasil. Nous n’avions alors aucune idée des effets secondaires graves que ce vaccin pouvait déclencher. Chaque jour, nous pensons que nous aurions dû être mieux informés. Vous, les parents, réfléchissez bien à deux fois avant de suivre aveuglément le calendrier de vaccinations que vous propose votre médecin. Ne vous imaginez surtout pas que votre médecin sait tout. Vous devez faire votre propre recherche et poser mille et une questions.

 

A tous points de vue, notre fille a toujours eu une santé normale avant de recevoir le vaccin contre le HPV. Katie réussissait bien à l’école. Elle adorait avoir de beaux résultats. Elle aimait la danse et avait pris des cours de danse depuis ses trois ans. Elle dansait partout où elle pouvait. Elle était très active et en pleine forme.

 

Nous nous sommes fort préoccupés de la santé de nos enfants. Nous leur faisions passer des tests chaque année et suivions les recommandations de notre pédiatre quant au programme de vaccinations. Le pédiatre nous a recommandé le vaccin Gardasil qui faisait aussi l’objet d’une énorme publicité à la télévision. Nous avons lu la notice. Elle disait que ce vaccin ne devait pas être administré aux personnes atteintes du Sida. Comme Katie n’avait pas le Sida, nous avons signé le document marquant notre accord.

 

C’est le 2 septembre 2010 alors qu’elle avait 11 ans que Katie reçut la première dose du vaccin Gardasil. C’est le 7 septembre 2010 qu’elle est rentrée à l’école secondaire. Nous avons attribué la fatigue qu’elle manifestait et ses maux de tête au fait qu’elle devait se lever beaucoup plus tôt que d’habitude pour aller à l’école. En fait, elle n’a jamais pu s’adapter à sa nouvelle vie d’étudiante, et ses symptômes n’ont pas tardé à exploser. Elle nous disait souvent : «  je ne sais pas ce qui m’arrive , je ne me sens vraiment pas bien. » Elle a alors commencé à dormir énormément – plus de 12 heures par jour et davantage au cours des week-ends. Elle récupérait alors un peu pour s’effondrer à nouveau dans la suite. Elle a dû s’absenter plusieurs jours de l’école et de ses cours de danse. Sa maladie devint bientôt visible de l’extérieur. On voyait qu’elle n’était pas bien. Elle avait de grands cercles noirs en-dessous des yeux, sa peau était livide et elle était devenue apathique.

 

Il nous semblait que ses symptômes devaient être reliés au Gardasil. Ses premiers symptômes étaient apparus tout juste après l’injection du vaccin. Nous avons effectué des recherches sur internet, mais n’avons trouvé que des informations vagues, en fait rien qui ne correspondait aux symptômes que présentait notre fille. Nous avons demandé à notre pédiatre, ainsi qu’à d’autres spécialistes s’il ne pouvait pas y avoir de lien avec le Gardasil. Ils ont de suite répondu qu’il n’y avait aucun lien avec sa maladie. Voici les premiers symptômes dont souffrait Katie au début de sa maladie : migraines ou maux de tête ininterrompus qui ne répondaient à aucun analgésique, douleurs aux oreilles, au ventre, nausées, douleurs articulaires, fatigue que des heures de sommeil ne parvenaient pas à diminuer. Nous avons conduit Katie chez toutes sortes de spécialistes : neurologues, gynécologues…et avons dû plusieurs fois nous rendre aux urgences. Elle a eu  de nombreuses prises de sang, examens TDM, IRM. Rien ne pouvait soulager Katie. En fait, les médicaments prescrits pour la soulager ne faisaient qu’aggraver son état. Notre pédiatre et les autres médecins que nous avons consultés nous ont suggéré que la maladie de Katie pouvait être symptomatique. Ils nous ont conseillé d’aller voir un psychologue.

 

Nous avons vite réalisé que nous étions livrés à nous-mêmes par rapport à ce problème médical auquel personne ne comprenait rien, mais nous n’arrêtions pas de tout essayer pour soulager notre fille. Nous avons pensé un moment qu’il pouvait éventuellement s’agir de la maladie de Lyme mais les médecins nous ont fait comprendre que ce n’était pas le cas.  En avril 2011, Katie n’a plus pu se rendre à l’école ni à ses cours de danse ; - les douleurs et la fatigue étaient trop importantes. Rien de ce que les médecins prescrivaient ne pouvait l’aider. Ils refusaient tous d’envisager qu’il pourrait s’agir d’une maladie de Lyme ou d’une suite du vaccin Gardasil.

 

La liste des symptômes de katie comprenait : migraines, maux de tête, d’oreille, hyperacousie, fatigue, douleurs abdominales, nausées douleurs articulaires, constants maux de gorge, troubles visuels, sensibilité à la lumière, troubles cognitifs, problèmes de mémoire et de compréhension graves, engourdissement, picotements, faiblesse généralisée (Katie éprouvait de grandes difficultés à s’asseoir, à prendre une douche), étourdissements, évanouissements et palpitations cardiaques. Elle dormait de longues heures et se réfugiait dans sa chambre pour échapper aux bruits de la vie quotidienne.

 

En mai, nous avons demandé des tests d’un laboratoire spécialisé dans le dépistage des maladies de tiques. Les résultats furent positifs pour Bartonella Henselae, une maladie transmise par les tiques , connue aussi comme étant une co-infection de la maladie de Lyme. Les résultats de laboratoire étaient aussi positifs pour le Mycoplasma Pneumoniae. Les tests ont aussi montré que son système immunitaire était en difficulté. Le test Western Blot de katie pour la maladie de Lyme s’est finalement avéré négatif.

 

Nous avons transmis tous ces résultats à un Centre de diagnostic, comme aussi à un neurologue. Katie présentait l’éruption classique du Bartonella (genre de vergetures rouges violètes) autour des seins et des hanches ce qui semblait bien confirmer que l’infection à Bartonella était active. Les médecins nous ont cependant fait remarquer que les résultats de ces tests montraient que Katie avait été « exposée »  au Bartonella, mais que cela ne signifiait pas qu’elle avait eu une infection active. Les deux médecins consultés sont arrivés à la même conclusion, à savoir que les éruptions n’étaient finalement que des vergetures. Nous avons eu beaucoup de peine à croire à ce diagnostic. Katie avait toujours été mince mais bien musclée suite à tous ses exercices de danse. Aucun de ces deux médecins ne parut préoccupé par l’infection « Mycoplasma Pneumoniae », ni par le fait que le système immunitaire avait été affaibli.

 

Le Centre de diagnostic avait relevé le fait que Katie présentait les première formes de la dysautonomie (mauvais fonctionnement du système immunitaire). Il nous fut précisé qu’il n’existait pas de remède et que les symptômes devaient être gérés par des médicaments.

 

Le neurologue n’était pas d’accord avec les indications du Centre de diagnostic. En fait, il s’en est tenu à son tout premier diagnostic : migraine chronique et douleurs chroniques de l’oreille. Ce neurologue nous a demandé de poursuivre le même traitement de 20 comprimés par jour, bien que ce traitement ne faisait rien d’autre qu’augmenter les nausées et les douleurs à la tête ! Nous ne croyions plus à rien, nous étions désespérés et pleins de colère.

 

Un groupe de soutien de personnes souffrant de la maladie de Lyme nous a orientés vers un spécialiste de ces maladies. (LLMD) Nous avons obtenu un rendez-vous en juin 2011. Le médecin a passé une heure entière à examiner les rapports, les analyses et nous a posé quantité de questions qui ne nous avaient jamais été posées. Il a posé le diagnostic de maladie de Lyme et a confirmé ce que de précédents tests avaient révélé quant à l’infection Bartonella Henselae et au Mycoplasma Pneumoniae. Il nous précisa que Katie était très malade. -  Ironie du sort, après avoir entendu son avis, nous avons éprouvé du soulagement parce qu’en fait depuis le début de la maladie de katie, c’était le premier médecin qui reconnaissait vraiment que katie était bel et bien malade. Depuis cette époque, Katie a reçu le diagnostic suivant : Strep chronique, HHV6, hypo-coagulation, susceptibilité à des bio-toxines et maladie auto-immune de la thyroïde.

 

Il y a trois ans et demi que Katie a reçu le vaccin Gardasil et depuis, elle est toujours et encore malade chronique. Elle n’a pas pu suivre les cours en 7ème et en 8ème . Katie a décidé de refaire sa 8ème. Bien que son horaire ait été aménagé, elle est toujours trop malade pour pouvoir suivre les cours régulièrement. Des professeurs viennent à la maison pour l’aider à revoir ses matières, mais certains jours, les douleurs sont tellement fortes qu’elle ne peut même plus se faire aider. Bien qu’elle rêve de pouvoir danser un jour, elle est contrainte de passer ses journées à dormir dans sa chambre ou à essayer de supporter ses douleurs.

 

A 14 ans, la vie de Katie ressemble davantage à celle d’une personne âgée malade, alors qu’elle devrait être une adolescente débordante de vie.

 

Après que le diagnostic ait révélé que la maladie de katie était due à des tiques, nous avons mis de côté notre suspicion initiale que ses problèmes pouvaient être dus au Gardasil. Comme le traitement des maladies dues aux tiques évolue régulièrement, je me suis fait un devoir de consulter régulièrement internet pour y découvrir une information sur les derniers traitements de cette maladie. A mon plus grand étonnement, je suis tombée sur un article qui expliquait que le vaccin Gardasil pouvait activer une infection latente à Bartonella qui, autrement aurait été supprimée par un système immunitaire en bon état comme il l’était avant la vaccination. Suite à cette information, nous nous rendons maintenant compte que nos premiers soupçons étaient bien fondés.

 

Nous avons trouvé beaucoup d’histoires sur les effets dévastateurs des vaccins. Pour katie, la plupart de ces histoires lui paraissaient très familières. On sait maintenant que le vaccin Gardasil peut activer des infections latentes comme l’Epstein Barr et la Bartonella. En déréglant le système immunitaire, le vaccin Gardasil permet le développement de virus et d’infections qui ne se seraient pas produits avec un système immunitaire robuste et sain. On a aujourd’hui des preuves que le vaccin HPV est lié au développement de maladies auto-immunes.

 

Nous avons récemment consulté deux médecins qui s’étaient occupés d’elle et qui avaient examiné ses dossiers. Tous les deux ont reconnu que le système immunitaire de katie avait été endommagé par le vaccin Gardasil et que ce dernier avait servi de catalyseur à ses problèmes de santé en cascade et à sa maladie chronique.

 

L’un de ces médecins traite maintenant Katie pour les dommages causés par le vaccin comme pour les maladies de tiques, d’autres infections et pour la maladie auto-immune de sa glande thyroïde.

 

Au point où nous en sommes, l’assurance ne nous couvre plus et presque tout est à nos frais. Les frais occasionnés par les traitements de katie dépassent largement nos propres revenus. Mais le coût le plus important est de loin celui de la dégradation de la santé et du bien-être de katie. Nous nous demandons si elle sera en mesure de retrouver un jour sa santé pour pouvoir vivre normalement et sans douleurs.

 

Nous regrettons profondément d’avoir donné notre accord pour le vaccin Gardasil. Nous n’avions alors aucune idée des effets secondaires graves que ce vaccin pouvait déclencher. Chaque jour, nous pensons que nous aurions dû être mieux informés. Vous, les parents, réfléchissez bien à deux fois avant de suivre aveuglément le calendrier de vaccinations que vous propose votre médecin. Ne vous imaginez surtout pas que votre médecin sait tout. Vous devez faire votre propre recherche et poser mille et une questions. C’est de la manière la plus dure que notre famille a dû découvrir qu’un vaccin peut avoir des effets secondaires durables et dévastateurs.

 

Source: SaneVax 

 

VAERS  (Vacccine Adverse Events Reporting System)

= Organisme officiel américain de vaccinovigilance qui recueille les rapports d’effets secondaires possibles des vaccins aux Etats-Unis. Il est contrôlé par le CDC et la FDA

 

Mise à jour des chiffres au mois de DECEMBRE 2013  pour les vaccins contre le cancer du col de l’utérus. - Rapports d’effets secondaires      

                                              

Description

  Total

 

 

Infirmes

1.025

Décès

155

N’ont pas récupéré

6.549

Frottis du col anormaux

554

Dysplasies du col de l’utérus

233

Cancers du col de l’utérus

71

Cas où le pronostic vital a été engagé

600

Visites aux urgences

11.148

Hospitalisations

3.367

Séjours hospitaliers prolongés

244

Effets secondaires graves

4.477

Effets secondaires

32.995

 

P.S: Seuls 1 à 10% des effets secondaires sont généralement rapportés

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