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8 janvier 2013 2 08 /01 /janvier /2013 20:00

Requête acceptée par la Cour Suprême de l’Inde 

 

concernant de graves allégations à l’encontre des essais cliniques du vaccin HPV impliquant des milliers de jeunes filles

 

D’après Christina England (Vactruth),

8 janvier 2013

 

Jeune-fille-indienne.jpg

 

Les représentants du Centre de Ressources pour les Femmes de l’Andhra Pradesh ont, le 7 janvier 2013, publié un communiqué de presse précisant que la Cour Suprême de l’Inde avait jugé recevable leur requête/plainte concernant les essais cliniques et la licence accordée au vaccin HPV (contre le cancer du col de l’utérus), et qui impliquait le Contrôle des Médicaments de l’Inde, PATH, ICMR et autres. La Cour Suprême Indienne a demandé au gouvernement de répondre immédiatement à son interpellation.

 

La plainte était dirigée contre :

 

  • Le Contrôleur Général des Médicaments de l’Inde,
  • Le Conseil Indien de la Recherche Médicale
  • L’Etat de l’Andhra Pradesh,
  • L’Etat du Gujarat,
  • PATH International (Program for Appropriate Technology in Health)
  • GlaxoSmithKline Asia Private Limited
  • MSD Pharmaceuticals Private Limited

 

La plainte énumère une série de graves allégations concernant les vaccins HPV Gardasil et Cervarix, le fait que ces deux vaccins ont été illégalement importés dans les états d’Andhra Pradesh et de Gujarat et ensuite administrés à des milliers de jeunes enfants indiens avant que l’information sur la sécurité de ces vaccins soit connue.

 

Selon les auteurs de la plainte, bien que le gouvernement Indien et les organisations précitées savaient  que les vaccins HPV étaient d’une valeur douteuse, présentant des avantages hypothétiques, ils ont continué à autoriser un essai en utilisant à la fois les vaccins Gardasil et Cervarix sans tenir compte de la mise en danger potentielle de la vie des adolescentes.

 

La plainte (requête) a précisé comment les organisations reprises ci-dessus ont fait vacciner des milliers de jeunes-filles vulnérables de 10 à 14 ans, puis les ont abandonnées sans fournir aucune information sur les effets indésirables potentiels, le suivi et les traitements post-vaccinaux éventuels.

 

UNE EXPERIENCE CONTRAIRE A L’ETHIQUE  

 

Les vaccins ont été introduits dans le domaine public au travers d’un essai clinique portant sur 16.000 adolescentes de 10 à 14 ans dans les états d’Andhra Pradesh et du Gujarat. Les auteurs de la plainte pensent qu’en vaccinant des jeunes filles avec les vaccins contre le HPV, tout en étant pleinement conscients des dangers potentiels de ces vaccins, les organisations impliquées ont sciemment mis en danger la vie de dizaines de milliers de jeunes, les exposant à des risques d’effets secondaires indésirables potentiellement graves, comme à des décès.

 

Les plaignants ont déclaré que les vaccins non homologués contre le HPV n’ont reçu leur homologation qu’en plein milieu du projet :

 

« Ces vaccins n’ont pas été évalués par rapport à la sécurité et à l’efficacité pour la population indienne où, généralement, les adolescentes souffrent en grande majorité d’anémie et de malnutrition. Aucune mesure n’a été prise pour assurer la santé et la sécurité des jeunes filles. Elles n’ont pas été examinées de manière adéquate pour permettre de détecter des contre-indications. Au contraire on leur a dit que les vaccins ne présentaient pas d’effets secondaires néfastes, même pas ceux qui étaient reconnus par les fabricants. On n’avait donc pas prévu de traitement pour les effets indésirables graves ; les médecins privés et les hôpitaux publics ne savaient pas que les jeunes filles qui venaient les consulter dans un état grave avaient participé à des essais cliniques de vaccins.- Aucun suivi ne fut effectué. Aucune correction du « cap » ne fut apportée. Après la vaccination, les jeunes filles ont été abandonnées sans suivi. »

 

Pour appuyer davantage leur requête, les plaignants ont fait connaître une déclaration qui avait été publiée sur le site de l’OMS :

 

« Les courtes périodes (2-3 ans) de surveillance post-commercialisation de ces vaccins ne permettent pas l’évaluation finale d’effets secondaires néfastes rares ou à long terme.» [4]

 

Toutes les jeunes filles furent vaccinées par l’ONG américaine (Organisation Non Gouvernementale) et PATH (Program for Appropriate Technology in Health).

 

MORT ET TROMPERIE 

 

Comme indiqué dans la plainte, le projet a été interrompu après que plusieurs organisations de femmes aient rapporté :

 

  • des décès parmi les participants
  • la vaccination d’une population vulnérable
  • l’absence de consentement éclairé

 

Les plaignants ont accusé les chefs du projet de falsification de documents. Ils ont souligné le manque grave de suivi, indiquant que PATH et le Conseil Indien de la Recherche Médicale (ICMR), ainsi que les autorités de l’Etat ont dissimulé les effets secondaires et les décès qui avaient été mentionnés dans la requête.

 

« Certaines jeunes filles sont décédées. Certaines ont souffert de graves effets secondaires ; certaines ont développé des maladies auto-immunes nécessitant des soins à vie. Les fabricants eux-mêmes ont reconnu des effets indésirables tels le choc anaphylactique, des convulsions, des paralysies, des maladies neurologiques, des thromboses, des troubles oculaires, troubles des oreilles, des problèmes vasculaires, des problèmes affectant le système nerveux, le système immunitaire, le système squelettique, le système musculaire, le système lymphatique, le système respiratoire, le système gastro-intestinal et vasculaire. Dans le projet PATH, tous ces effets secondaires, ces événements indésirables ont été largement sous-déclarés et camouflés. Les dossiers ont été falsifiés. Les décès qui ont eu lieu ont été déclarés comme n’ayant rien à voir avec l’administration des vaccins et ont été décrits comme des décès dus à des suicides, des empoisonnements par insecticides ou morsures de serpents. »

 

Dans une interview, Kalpana Mehta a déclaré qu’il y avait eu des anomalies flagrantes dans les dossiers liés à des décès ; ce qui montre que l’on a voulu camoufler pas mal de choses.

 

Dans un cas de décès, même l’âge de la jeune-fille décédée ne correspondait pas aux éléments repris dans le dossier.

 

Kalpana Mehta a expliqué :

 

«  Les dates des autopsies étaient inexactes et mal documentées et au lieu d’être reprises dans le dossier de l’hôpital, plusieurs dates avaient été notées sur des feuilles de papier ordinaire et sans signatures

 

CONFLITS D’INTERETS

 

Les citoyens de l’Inde ont vraiment le droit d’être inquiets. Il semble que les fonctionnaires du gouvernement ont été la proie de la collusion avec des organismes internationaux et des organisations non gouvernementales (ONG), y compris la Fondation Bill et Melinda Gates, PATH et l’OMS. Ce sont ces organismes qui ont fait en sorte que des dizaines de milliers de jeunes indiens vulnérables soient enrôlés dans une expérimentation avec le vaccin HPV et ce, sans aucun bénéfice.

 

Madame Mehta déclare :

 

« Même une commission gouvernementale d’enquête a trouvé des irrégularités flagrantes par rapport au processus du consentement. La loi indienne prévoit une indemnisation pour violation de la procédure de consentement éclairé en plus d’une indemnisation en cas de décès et de dommages subis au cours d’essais cliniques. Même après deux ans, le gouvernement n’a pas réussi à agir en fonction de sa propre enquête.

 

Cette commission d’enquête avait également relevé qu’en acceptant des vaccins gratuits de la part des fabricants, le projet devenait la proie de conflits d’intérêts…»

 

PREOCCUPATIONS CONCERNANT LA STERILITE

 

A cette époque, 24.000 jeunes-filles avaient déjà été vaccinées et selon les plaignants, la plupart de ces jeunes femmes avaient été obligées d’accepter le vaccin. On rassura les parents à bon compte sans le moindre fondement scientifique en leur précisant que ces vaccins n’auraient aucune incidence sur la future fertilité de leurs enfants.

 

Concernant cette dernière information, les plaignants précisent :

 

« Des nouvelles alarmantes proviennent d’Australie concernant une ménopause survenue chez une jeune-fille de 16 ans. Son médecin a trouvé que le Gardasil était la seule cause probable de cet accident rare.» [5]

 

Depuis que la requête a été présentée, de nouvelles informations en provenance d’Australie ont décrit des cas semblables. Le Sunday Telegraph a publié une histoire qui fut d’abord rapportée par le British Medical Journal. C’est l’histoire d’une jeune-fille de 16 ans qui était en parfait état de santé et dont la ménopause prématurée a pu être mise en relation avec le vaccin Gardasil. [6]

 

Selon le journal The Telegraph, le Dr Ward a déclaré aux journalistes que la fécondité des femmes devait être protégée à tout prix… [7]

 

CONCLUSION

 

Il n’existe aucune preuve que les questions cruciales évoquées ci-dessus aient jamais été prises en considération par ces organisations qui ont mis au point ces essais cliniques.

 

Selon les termes de la plainte, PATH a nié avoir organisé un essai clinique en Inde. Il insiste sur le fait qu’il ne s’agissait que d’une étude post-homologation. Selon l’enquête du gouvernement Indien, cette explication a été jugée inacceptable. Le gouvernement a conclu que, quel que soit le vocable sous lequel PATH a accepté de faire son expérimentation (en fonction de la loi Indienne sur les médicaments et les cosmétiques), il s’agissait bien en fait d’un essai clinique pour lequel toutes les garanties auraient dû être apportées. Pourtant PATH et l’OMS ont salué le succès retentissant de cet essai pour permettre de poursuivre la vaccination d’autres communautés vulnérables du Tiers Monde au moyen de vaccins dangereux et potentiellement meurtriers.

 

Sans se laisser décourager par le silence du gouvernement et les déclarations de l’OMS , les plaignants ont fortement recommandé au tribunal d’annuler les licences du Gardasil et du Cervarix, comme de retirer ces deux vaccinations du marché jusqu’à ce que leur innocuité et leur efficacité soient prouvées selon les lois indiennes. Leur position sur les licences fait bon ménage avec la démocratie vu que le Comité Parlementaire Indien sur la Santé et le Bien-Etre de la Famille a clairement fait savoir que les règlements sur les médicaments favorisaient indûment les entreprises pharmaceutiques, laissant les consommateurs à la merci de formules irrationnelles et non suffisamment testées.

 

Extrait du communiqué de presse indien du 7 janvier 2013:

 

« En extrapolant à partir des données des essais cliniques, les requérants ont estimé que, dans les deux états, 1200 jeunes-filles au moins ont souffert de graves effets secondaires ou ont développé des maladies auto-immunes qui nécessitent des traitements médicaux ininterrompus. »

 

Références:

 

1. http://holyhormones.com/womens-health/cancer-womens-health/cervical-cancer…

 

2.  http://holyhormones.com/womens-health/cancer-womens-health/cervical-cancer/india-supreme-court-accepts-writ-of-petition-on-gardasil-cervarix-licensing-trial-violations/

 

3.  http://www.ehow.com/facts_6739641_meaning-writ-petition_.html

 

4.  http://www.who.int/immunization/HPV_ Grad_Adol_girls.pdf

 

5.  http://pop.org/content/teenage-girl-becomes-infertile-after-gardasilvaccination

 

6.  http://www.dailytelegraph.com.au/news/hpv-vaccine-link-to-infertility-needs-to-be-tested-says-miranda-devine/story-e6freuy9-1226528052334

 

7.  http://vactruth.com/2010/01/13/website-documents-over-300-gardasil-horror-stories/

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20 décembre 2012 4 20 /12 /décembre /2012 22:02

- article complété et mis à jour-

 

Le 18 décembre dernier, le Journal du Médecin publiait un article sur les nouvelles tactiques que comptent déployer la Communauté Française et ses idéologues vaccinaux pour mieux camoufler l'échec retentissant qu'a été la première année de vaccination anti-HPV dans le cadre scolaire en 2011-2012 (seulement 30% de parents ayant accepté qu'on vaccine leurs filles!) 

 

Ne sachant tout simplement pas reconnaître leur erreur et surtout LE CHOIX des gens, la Ministre Laanan, secondée en cela par la très peu indépendante cellule interuniversitaire Provac, sont ainsi bien décidés à fourguer leurs vaccins envers et contre tout sous les prétextes les plus fallacieux qui soient ("la précarité des jeunes filles, la gratuité des vaccins" et autres appâts pour gens trop crédules...). Que voulez-vous, les vaccins ayant été achetés avec l'argent public (ainsi gaspillé), il faut bien tout faire pour ne pas être accusé de gaspillage après coup, quitte à ce que cette opération estropie au passage plusieurs dizaines de jeunes filles...

 

C'est dans ce cadre que les officiels vont donc "mettre le paquet", à la fois auprès des écoles, des parents mais aussi auprès des médecins pédiatres et généralistes. Fort heureusement toutefois, ceux-ci ne sont pas tous aveugles ou idiots et, au contraire, un nombre croissant d'entre nous font parvenir des informations qui les scandalisent comme ces nouveaux plans de manipulation des masses. Voyez donc ici à quel point les médecins commencent vraiment par s'ENERVER (le mot est faible) par rapport au dangereux manque de bon sens des autorités de santé.

 

"Une fiche sera réalisée sur l'efficacité et la sécurité de la vaccination HPV dans le but d'améliorer la qualité de la vaccination en milieu scolaire."

 

Traduction pour les néophytes: "Un nouveau document de propagande va être rédigé sur cette vaccination sans quoi il ne sera pas possible de lutter contre la désaffection pour cette vaccination dont les effets secondaires et l'inutilité se font de plus en plus connaître."

 

Le but du document ne sera donc pas de donner l'information réelle PUIS le choix mais de faire en sorte qu'on augmente le taux de vaccination et qu'on racole donc le plus de crédules possible. Ne pas s'attendre donc à ce que Provac ou Dieu sait qui vous parle du véritable compteur morbide des effets effets secondaires dramatiques de ces vaccins, par exemple!

 

Comme l'écrit ce médecin qui nous a contacté et transmis l'info, qu'en sera-t-il des données communiquées aux parents et aux jeunes filles sur... "la sécurité post-mortem?!"

 

On est vraiment bien au pays du surréalisme!

 

JDM-hpv-a-tout-prix-.jpg

                Ce que les médecins nous envoient, et visiblement ça les saoûle et les énerve de + en +...

 

Nous avions initialement intitulé cet article "HPV: la Fédération Wallonie-Bruelles veut fourguer ses vaccins à tout prix". Entre-temps, nous sommes tombés sur un discours du baron Jean Stéphenne, ex PDG de GSK Vaccins, le 11 février 2010, devant tout le gratin de la classe politique belge. Il y était notamment question de répondre à la question "Comment assurer LA CROISSANCE (de GSK donc)?

 

Parmi ses réponses, voici l'extrait suivant à COMPARER à ce qui a été annoncé ci-dessus dans le Journal du Médecin sur les politiques à venir en matière de vaccination HPV:

 

"Dans le domaine des vaccins pour adolescents, et plus particulièrement en matière de protection contre le cancer du col de l’utérus, notre vaccin Cervarix est le seul à avoir démontré une protection croisée qui peut protéger contre 85 % des cancers. Son utilisation universelle est recommandée jusqu’à 25 ans. Bien qu’il y ait des recommandations précises en Belgique, et un plan très clair de lutte contre le cancer, et que la vaccination soit remboursée pour les filles de 12 à 18 ans, il y a à peine 50 % des jeunes filles vaccinées. GSK souhaite travailler en collaboration avec les autorités belges pour rendre l’accès à ce vaccin plus facile pour les jeunes filles appartenant à des classes de personnes économiquement plus faibles, afin d’assurer à chaque jeune fille belge jusqu’ à 25 ans la même chance de pouvoir se prémunir contre le cancer du col de l’utérus." (cf page 7/11)

 

Question logique après cela: Mr Jean Stéphenne est-il prophète ou bien lui obéit-on tout simplement au doigt et à l'oeil en haut lieu?!

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5 décembre 2012 3 05 /12 /décembre /2012 18:20

"Inqualifiable", c'est ainsi qu'un des médecins qui nous envoient régulièrement des informations, a commenté cette nouvelle: face à ce que les officiels considèrent comme "un échec" de couverture du vaccin HPV en France, les "grands experts" recommandent à présent de vacciner les jeunes filles dès 10 ou 11 ans!

 

Ils l'avouent: cela permettrait d'augmenter le nombre de filles vaccinées.

En effet, à cet âge-là, les jeunes filles concernées ont statistiquement moins de chances d'obtenir des infos via internet sur les effets secondaires graves, et elles sont donc davantage soumises à la seule décision de leurs parents, là où les ados sont plus susceptibles de refuser la vaccination et de s'opposer au choix parental.

 

Autre "trouvaille" fumeuse des officiels pour écouler à tout prix ces vaccins: 

 

prétendre que "seules 2 doses" (au lieu de 3) pourraient alors suffire à vacciner les filles plus jeunes, parce que leur immunité le permettrait là où celle des ados de 15 ans et plus ne le permettrait pas! Ce sont là de pseudo-explications qui sont bien entendu cousues de fil blanc et il faut rappeler à cet égard qu'ils ont fait exactement le même coup avec le vaccin anti-hépatite B qui se faisait en 3 ou 4 doses et puis qui, comme par enchantement, se fait à présent en 2 doses chez les ados et les adultes, là encore dans le seul but de vacciner à tout prix un maximum de gens avec un maximum de vaccins. Pendant des années, ces gens-là n'ont pas arrêté de dire au public qu' "il faut absolument le schéma complet" sans quoi la personne vaccinée n'est pas protégée. Mais voyant que la vaccination rebute de plus en plus, c'est un peu le principe "des soldes" qui est donc appliqué par les enragés de la vaccination. En somme, un tiens vaut mieux que deux tu l'auras....

 

Rappel: les deux vaccins anti-HPV (Cervarix et Gardasil) contiennent une belle dose d'aluminium, une substance très toxique pour le système nerveux notamment, et qui est la base de la grève de la faim de plusieurs Français qui en sont victimes.

 

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24 novembre 2012 6 24 /11 /novembre /2012 22:11

L’Espagne s’interroge sur la pertinence

de la vaccination HPV

  

Espagne-carte-Sanev-jpg

 

SANEVAX ,16 Novembre 2012

 

Le récent décès d’une jeune fille de 13 ans après la seconde injection du vaccin a poussé les citoyens espagnols à exprimer leurs inquiétudes par rapport à la pertinence du programme de vaccination HPV dans le pays. Le fait que la jeune fille ait reçu une deuxième injection en dépit du fait qu’elle avait fait une réaction asthmatique grave après la première dose du vaccin nécessitant une hospitalisation, soulève d’autres questions. Les autorités gouvernementales de santé fournissent-elles des informations adéquates sur les effets secondaires possibles ? Les citoyens espagnols veulent savoir. Le Parlement Européen fournira-t-il des réponses aux questions posées ?  (Sanevax)

 

Source : Registre du Parlement Européen, 22 octobre 2012

 

Veuillez noter que la réponse à la question sera donnée endéans les 8 semaines

 

Question pour réponse écrite E-009047/20120 LA Commission, Article 17, Andres Perello Rodriguez (S&D)

 

Sujet : Réactions indésirables au vaccin contre le papilloma virus humain (HPV)

 

En 2007, le ministère espagnol de la Santé a approuvé le vaccin contre le papillomavirus humain (HPV) pour l’inclure dans son programme de vaccinations. Le ministère a non seulement recommandé l’utilisation de ce vaccin, mais il a contribué à son financement, afin qu’il puisse être offert gratuitement à toutes les jeunes filles de 14 ans.

 

De nombreux effets secondaires ont été enregistrés dans d’autres pays qui avaient déjà commencé à administrer ce vaccin. Une partie importante du personnel des soins de santé s’est interrogé sur la décision prise et a exprimé ses doutes par rapport à la qualité, l’efficacité, ainsi qu’au prix élevé du vaccin. En dépit de cela, les autorités de Santé espagnoles ont mis sur pied une campagne de vaccination systématique, en omettant de mentionner les risques liés à l’administration de ce vaccin. Les autorités ont fortement insisté sur le fait que le vaccin était sans danger bien qu’il ait été assez récemment mis sur le marché. Ni la notice destinée au patient, ni non plus la campagne d’information n’ont mentionné les réactions indésirables possibles, comme par exemple le risque encouru par les patients sujets à l’empoisonnement aux métaux. Les autorités n’ont pas non plus informé les jeunes filles ou leurs parents des alternatives possibles au vaccin, de la prévalence du virus ou de son lien avec le cancer.

 

En Espagne on a signalé 750 cas d’effets secondaires au vaccin, dont certains furent particulièrement graves, comme le récent décès d’une jeune fille de 13 ans à Gijon après une crise d’asthme liée au vaccin.

 

La Commission est-elle bien informée des cas d’effets indésirables relatifs au vaccin contre le papillomavirus humain ?

 

La Commission a-t-elle effectué des recherches sur les causes de ces effets indésirables ?

 

La Commission s’est-elle assurée que les gouvernements nationaux fournissent une information adéquate aux citoyens de l’Union Européenne au sujet des réactions indésirables à ce vaccin ?

 

Etant donné le nombre des cas rapportés, la Commission est-elle en mesure d’expliquer les causes et les suites de ces effets secondaires ?

 

Commentaires

 

16 novembre 2012 - Sandy Lunoe écrit :

 

Un cas tragique de plus après ce vaccin Gardasil !

 

Qu’en aurait-il été si Merck n’avait pas eu recours à ses propres critères d’exclusion au cours des essais cliniques ?

 

Il est à noter que, pour ces essais, le vaccin a été testé sur des groupes triés sur le volet parce qu’ils étaient le moins susceptibles de présenter de graves effets secondaires indésirables. Ces groupes n’étaient certainement pas représentatifs de ceux qui ont été ou qui seront vaccinés.

 

Critères d’exclusion de Merck :

 

1.   Allergies à un des composants du vaccin

2.   Histoire d’une allergie grave

3.   Histoire connue d’une allergie à des aliments ou à des médicaments

4.   Immunodéprimés, immunodéficients ou personnes atteintes de maladies auto- immunes

5.  Toute autre condition de santé, thérapie, anomalies dans des examens de  laboratoire ou autre circonstance qui ne favoriserait pas la participation à l’étude.

6.   Résultats cliniquement significatifs de maladie au cours du dépistage ou de l’examen physique qui, de l’avis de l’investigateur, serait susceptible de  compromettre l’issue de l’étude.

7.   Système immunitaire affaibli ou autres problèmes d’immunité.

 

Il est tout à fait irresponsable et contraire à l’éthique de tester ce vaccin ou tout autre vaccin sur des groupes triés sur le volet et « filtrés » à ce point, en vue de pouvoir affirmer que le vaccin est sans danger – et qu’en conséquence il peut être mis sur le marché et administré à un nombre considérable de personnes qui pourraient présenter des états de santé tels que ceux qui ont été délibérément éliminés des essais cliniques.

 

Il s’agit ici d’une raison supplémentaire pour laquelle la sécurité des vaccins doit impérativement être remise en question.     

  

Source: SaneVax 

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4 novembre 2012 7 04 /11 /novembre /2012 11:49

Des scientifiques de Colombie Britannique réclament des études plus approfondies sur le vaccin HPV

 

Lucija-Tomljenovic-nov.-2012.jpgDeux scientifiques des Facultés de Médecine de l’Université UBC, Lucija Tomljenovic (ci-dessus) et Chris Shaw ont récemment publié une étude dans laquelle ils font part de leurs inquiétudes concernant les risques, ainsi que les effets secondaires des vaccins contre le HPV.

 

Edition spéciale

 

Gail Johnson, 1er novembre, 2012

 

Les deux chercheurs de l’UBC déclarent que, dans certains cas, le vaccin contre le papillomavirus humain (HPV) est susceptible de déclencher des maladies auto-immunes neurologiques et même mortelles. Leurs conclusions apparaissent à un moment où les autorités publiques de santé, qui maintiennent que ces vaccins sont sûrs, pressent les jeunes femmes de se faire vacciner pour prévenir le cancer du col de l’utérus.

 

Chris Shaw, spécialiste en neurosciences et Lucija Tomljenovic, PhD en biochimie  et post-doctorante senior de la Faculté de Médecine UBC déclarent que la recherche sur le vaccin HPV Gardasil (administré en 3 injections sur une période de 6 mois) soulève de graves inquiétudes et que le risque d’effets indésirables est largement minimisé. Au cours d’une interview réalisée dans leur laboratoire, ils ont voulu préciser que le vaccin devait faire l’objet d’études beaucoup plus approfondies avant que les officiels de la Santé se lancent dans des campagnes publiques de promotion du vaccin. 

  

« Pour des raisons qui ne sont pas encore parfaitement comprises, certaines personnes présentent d’effroyables réactions à ce vaccin » déclare Shaw. « La plupart des personnes qui reçoivent ce vaccin se portent bien mais certaines sont plus sensibles… Elles peuvent tomber malades après ces vaccins. Prétendre  qu’à part une douleur au bras, il n’y a pas d’effets secondaires à ce vaccin ne correspond strictement pas à la vérité. »

 

Shaw et Tomljenovic qui travaillent au département d’ophtalmologie et font partie du groupe de recherches « Neural Synamics » ont, le mois dernier, publié une étude dans Pharmaceutical Regulatory Affairs, s’intitulant « Décès après le vaccin quadrivalent contre le papillomavirus humain : cause ou coïncidence ? » (voir la traduction française du résumé de cette étude ici)

   

L’étude porte sur le cas de deux jeunes-filles qui ont été vaccinées avec le Gardasil et qui sont décédées. Les symptômes qu’elles avaient présentés ressemblaient à ceux d’une vascularite (inflammation des vaisseaux sanguins dans le système nerveux central). Les autopsies n’ont révélé aucun élément anatomique, microbiologique ou toxicologique qui pourrait expliquer ces décès. L’étude de Shaw et Tomljenovic a montré que la vascularite auto-immune pouvait avoir été déclenchée par certains anticorps anti-HPV collés aux parois des vaisseaux sanguins du cerveau.

 

Le fait que de nombreux symptômes rapportés aux bases de données de vaccinovigilance concernant la vaccination contre le HPV soient révélateurs  de vascularite cérébrale, (bien que non reconnus en tant que tels : migraines intenses et persistantes, syncopes, convulsions, tremblements, picotements, myalgies, troubles locomoteurs et cognitifs) représente pour ces chercheurs une très sérieuse inquiétude. Ils écrivent :« Il semble que dans certains cas, la vaccination ait pu être le déclencheur de problèmes auto-immuns et neurologiques mortels. Les médecins devraient être conscients de ces liens. »

 

Shaw et Tomljenovic admettent que leur étude comporte des limites : il s’agit d’une étude de deux  cas avec aucun groupe de contrôle. Leur recherche se poursuit.

 

Ils précisent que l’étude la plus fréquemment mentionnée sur l’innocuité du vaccin provient du géant pharmaceutique Merck & Co., qui a mis au point le Gardasil, l’un des deux vaccins approuvés pour le Canada ; l’autre étant le Cervarix de GlaxoSmithKline.

 

L’étude de Merck  a porté sur environ 190.000 femmes (ou jeunes-filles) qui ont reçu au moins une dose de vaccin entre 2006 et 2008. Publiée le 1er octobre 2012 dans l’édition online d’Archives of Pediatrics & Adolescent Medicine, l’étude a signalé «  qu’elle n’a pas pu déceler de preuves de nouveaux problèmes de sécurité chez les femmes de 9 à 26 ans à la suite de la vaccination avec le HPV4 [Gardasil] ». « Ces résultats confirment la sécurité générale de la vaccination systématique avec le vaccin anti-HPV quadrivalent pour prévenir le cancer. »

 

Shaw et Tomljenovic notent que cette étude de Merck a ses limites. « En premier lieu, nous n’avons pu détecter que des cas récents nécessitant les services d’urgence ou des hospitalisations dans les 60 jours qui ont suivi la vaccination ; l’étude n’a pas été conçue pour étudier la sécurité à long terme ou les risques de récidive ou de progression de maladie »  précise l’étude de Merck. « En second lieu, malgré son ampleur, il est possible que cette étude n’ait pas été à même de détecter  des cas très rares. »

 

« L’étude a été financée par Merck ; son auteur principal a reçu le soutien de Merck, GlaxoSmithKline, ainsi que d’autres compagnies. Le commanditaire de l’étude Merck et Co.a apporté une contribution importante à la conception même de l’étude et du plan analytique » a signalé Merck. « En collaboration avec l’équipe de l’étude Kaiser, le promoteur a examiné les analyses de données. Il a collaboré à la rédaction et à la révision du manuscrit. »

 

Le Dr Monika Naus, directrice médicale du Centre de Contrôle des Maladies de Colombie Britannique, des services de prévention des maladies et des programmes de vaccinations, déclare que les vaccins contre le HPV sont sûrs. Elle fait remarquer que  les infections HPV provoquent presque tous les cas de cancers du col de l’utérus. On estime que le vaccin peut prévenir jusqu’à 70% des cas comme aussi  les modifications précancéreuses du col utérin qui nécessiteraient un traitement agressif. Au cours de la Semaine de Sensibilisation aux Problèmes soulevés par le Cancer du Col de l’Utérus, l’organisation a encouragé les femmes nées entre 1991 et 1993 à se faire vacciner gratuitement. En 2008, la Colombie Britannique a commencé à offrir le vaccin gratuitement aux filles de 6 à 9 ans.

 

« Les frottis restent importants pour la prévention du cancer du col mais se faire vacciner contre 70% des éléments qui sont susceptibles de provoquer le cancer du col représente un avantage énorme », déclare Naus au cours d’une communication téléphonique. « Il s’agit de vastes essais cliniques qui ont porté sur des milliers de femmes. »

 

« Il peut arriver que des gens puissent vivre des choses négatives qu’ils soient vaccinés ou pas, ajoute-t-elle. » « On peut mourir pour toute une série de raisons »…Certaines données de pharmacovigilance ont montré que les problèmes qui étaient apparus étaient finalement à attribuer à l’utilisation de contraceptifs oraux ; chose qui est fréquente dans ce groupe d’âge. C’est une raison pour laquelle  nous avons besoin de contrôles. Il s’agit d’être en mesure de déterminer les causes de manière appropriée. Des données concernant la sécurité de ces vaccins sont disponibles dans plusieurs pays et rien de spécial n’est signalé. »

 

Naus ajoute que les personnes qui sont préoccupées par la sécurité de ces vaccins doivent en discuter avec leur médecin et chercher l’information sur des sites fiables et non sur des sites affichés « anti-vaccins ». «  Ces vaccins sont très efficaces et très sûrs », déclare-t-elle.

 

Shaw et Tomljenovic, quant à eux, veulent que soit reconnue la possibilité d’effets secondaires. «  Nous ne donnons pas de conseils médicaux ; nous ne sommes pas médecins » dit Shaw « Mais si on recommande ce vaccin, on doit reconnaître qu’il puisse y avoir des effets secondaires importants. C’est alors aux gens concernés à faire un choix éclairé... L’UBC (Université de Colombie Britannique) croit au consentement éclairé; l’Association Médicale Canadienne croit aussi au consentement éclairé.

 

Les deux sont au courant de la controverse qui existe sur les vaccins en général et veulent souligner le fait qu’ils ne sont pas anti-vaccins. Ils ne peuvent cependant pas s’empêcher de se demander si leurs conclusions ne risquent pas d’être écartées simplement parce que le sujet est tellement brûlant.

 

« La Science évolue grâce à l’investigation et au questionnement » dit Shaw. «  Nous ne faisons pas de politique, mais nous pensons qu’il y a encore pas mal de questions à se poser et pas mal de recherches à faire. Il ne s’agit pas de claquer la porte. Tout est loin d’être terminé…En science, le débat n’est jamais terminé. »

 

Source: Straight.com

    

Madame Naus nous fait penser à nos « grands experts nationaux » avec ses pseudo-arguments répétés en boucle mais sans aucun fondement scientifique. Reprenons-les un à un de façon à démasquer ses mensonges :

 

- Bobard n°1 : faire croire que parce que presque tous les cas de cancers du col de l’utérus sont associés aux virus HPV, les vaccins vont tout résoudre. La nuance, que cette femme ne peut ignorer ( !) est que les vaccins concernés ne visent respectivement que 4 (Gardasil) et 2 souches (Cervarix) alors qu’il en existe plus d’une centaine ! Dire que les vaccins préviendront 70% des cas de cancers du col est en fait complètement FAUX et malhonnête puisque :

 

a) Le Dr Spinosa, chirurgien-gynécologue, qui a été décortiquer toutes les études officielles des fabricants ayant servi à l’obtention de l’autorisation de mise sur le marché du Gardasil, n’a retrouvé qu’un taux de réduction des dysplasies (càd des lésions précancéreuses) que de 16,9%. Déjà ici donc on est loin des 70% théoriques et au contraire, jamais vérifiés. Mme Naus  ne se rend-t-elle donc pas ici coupable de publicité trompeuse? N'est-ce pas grave de devoir déjà se poser la question au poste qu'elle  occupe?

 

b) Diverses études épidémiologiques sérieuses ont démontré que les HPV visés par ces vaccins n’étaient impliqués exclusivement que dans une minorité de cas de cancers du col de l’utérus, ce qui signifie que la majorité des cas de cancers du col ne seront nullement évités par ces vaccins : ainsi aux USA, les souches 16 et 18 ne sont impliquées que dans 2,3% de toutes les infections HPV des femmes de ce pays ; au Brésil, c’est 2,7%... en Espagne, les HPV 16 et 18 ne sont impliqués que dans 28% des lésions précancéreuses ! Une étude parue dans Gynecologic Oncology fin 2008 précisait que seuls 28,2% des lésions du col de grade 2 et 3 impliquaient exclusivement les souches 16 et 18 de HPV incluses dans ces deux vaccins, ce qui devait modérer les espoirs selon cette publication. Mme Naus l’a-t-elle seulement lue ?

 

c) En 2008 déjà, le Pr Béraud expliquait dans Le Monde que selon un modèle mathématique, « Si le vaccin est efficace à 100%, il n’y aura qu’une baisse de seulement 10% des cancers et de 13% de la mortalité en 2060 en vaccinant… 85% des jeunes filles! ». C'est-à-dire un « succès » tout à fait marginal et décevant qui sera d’ici là largement compensé par le flot d’effets secondaires assurés par ces vaccins en contrepartie ! C’est d’ailleurs parce que cette efficacité n’est pas du tout au rendez-vous et que cette efficacité douteuse peut s’échanger au prix fort (c'est-à-dire au prix de décès) que l’intelligente ministre médecin de la Santé en Autriche a tout bonnement déremboursé ces vaccins inutiles au profit du frottis, plus sûr et plus efficace.

 

d) Pire, il s’avère en fait que ces vaccins vont augmenter à terme les cas de cancers du col de l’utérus, en raison d’un phénomène compensateur des autres souches non incluses : la nature ayant horreur du vide, ce qui s’est passé avec le vaccin Prevenar arrivera aussi avec les vaccins HPV. Déjà après 6 ans de vaccination HPV aux USA, les données indiquent une hausse des sérotypes non vaccinaux et notamment des sérotypes non vaccinaux à haut risque chez les jeunes filles déjà vaccinées. Une étude britannique de mai 2012 indique une hausse possible de 3 à 10% des cas de cancers du col de l’utérus dus à des sérotypes non vaccinaux, suite à ces campagnes vaccinales de masse. Triste « succès » ! Sans parler des hausses de risques chez les jeunes filles déjà infectées sans le savoir aux HPV 16 et/ou 18 au moment de leur vaccination, celles-là auront 44,6% plus de risques de pathologie du col

 

- Bobard n°2 : Ces essais cliniques qui ont porté sur « des milliers » de femmes seraient fiables? Non bien sûr puisque ceux-ci sont biaisés, et n’ont notamment pas recouru à de vrais groupes contrôles ! Ainsi, au lieu d’avoir un vrai placebo pour évaluer valablement la sécurité du vaccin, les jeunes filles du faux groupe témoin ont reçu soit de l’aluminium qui est toxique en lui-même soit une fausse solution saline englobant tous les autres composants du vaccin Gardasil (sans les antigènes et l’aluminium) ! Pour le Cervarix, les jeunes filles du faux groupe témoin ont reçu un vaccin anti-hépatite qui contient aussi de l’aluminium et dont la toxicité doit à peu près être équivalente. Ce genre d’astuces signent la mauvaise foi. Nous ne sommes plus ici dans le champ de la science, si ce n’est la science de la manipulation ! Comment est-il possible d’évoquer le nombre de jeunes filles comme seul critère de fiabilité alors qu’on a suivi leurs effets secondaires sur 14 jours après chaque dose reçue ? Et qu’on n’a fait aucune étude pour voir si ces vaccins ne pouvaient pas en eux-mêmes causer des cancers ? Ce genre d’évaluations qu’on fait passer aux autres médicaments ne sont pas de mise pour les vaccins car leur richesse en composants toxiques et notamment cancérogènes font craindre à certains des résultats qui plomberaient commercialement ces produits à jamais !

 

- Bobard n°3 : « Rien de spécial n’est signalé avec ces vaccins ; les effets secondaires étaient attribuables à … la pilule !». Il est incroyable de pouvoir mentir à ce point-là, affirmer que rien n’est signalé au sujet de ces vaccins frise vraiment la criminalité ! Il est facile de fermer l’esprit critique des gens en étiquetant tous les sites internet indépendants gênants comme « non fiables » ou « anti-vaccins ». C’est là une astuce habituelle pour ne pas avoir à s’expliquer sur les centaines de décès que ces vaccins ont d’ores et déjà provoqués dans le monde sans parler des dizaines de milliers d’effets secondaires graves à l’échelle du monde. Les chiffres américains parlent d’eux-mêmes. Nous n’affirmons pas ici que tous sont forcément à 100% imputables à ces vaccins mais ce que nous disons, c’est que le discours de gens comme Naus ou autres qui tentent de faire croire qu’aucun de ces effets gravissimes n’est imputable à ces vaccins est tout bonnement non crédible ! En plus, si on tient compte de la sous-notification notoire de ces effets secondaires (seuls 1 à 10% étant effectivement recensés), on se rend compte qu’il est bien plus risqué de se faire vacciner que de ne faire que le frottis seul ! Et encore, en France, sans même tenir compte de la sous-notification de ces effets secondaires, on voyait déjà que le risque d’effets secondaires graves est supérieur à l’incidence du cancer du col de l’utérus dans ce pays : fin 2011, le taux d’effets secondaires graves du Gardasil (sans redressement pour la sous-notification donc !) était de 8,1 cas/ 100 000 contre une incidence du cancer du col de l’utérus de 6,4/ 100 000 (chiffres Inca) !

 

Que la pilule soit loin d'être anodine, on est d'accord mais utiliser la pilule comme paravent commode est aussi absurde que de relier à 100% tous les cas de cancers au tabagisme pour ne surtout pas incriminer d'autres pollutions politiquement moins correctes à critiquer!

 

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24 octobre 2012 3 24 /10 /octobre /2012 21:40

Une étude à paraître en 2013 dans la revue Current Pharmaceutical Design passe pas moins de 127 études scientifiques en revue pour évaluer:

 

- l'efficacité des vaccins anti-HPV (Gardasil & Cervarix)

- la sécurité de ces vaccins

- la méthodologie employée jusqu'ici dans une majorité d'études pour évaluer ces vaccins

- la meilleure façon, la plus efficace et la plus sûre de se prémunir du cancer du col de l'utérus.

 

Voici le contenu de cette revue détaillée de la littérature, effectuée par les Drs Jean-Pierre Spinosa (chirurgien gynécologue), Christopher Shaw (chercheur en neurologie) et Lucia Tomljenovic (également chercheuse en neurologie).

 

Et voici ici une traduction française du résumé de cette publication (abstract).

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20 octobre 2012 6 20 /10 /octobre /2012 00:24

Le Gardasil détruit les ovaires d’une jeune fille

L’impact sur les ovaires n’aurait jamais été recherché !

 

Les ovaires d’une jeune-fille ont été détruits ; le Gardasil étant la seule cause possible. Pire encore, Merck n’aurait pas pris la peine d’examiner les effets potentiels du vaccin sur les ovaires ou les aurait camouflés – alors que ce fabricant avait fait des études sur les effets du vaccin sur les testicules des rats mâles.

 

Gardasil-ovaires-jeune-fille.jpg

Féminité volée

 

Le British Medical Journal (BMJ) a publié le cas d’une jeune australienne de 16 ans en parfaite santé dont la féminité semble avoir été volée par le vaccin Gardasil. Avant de devenir femme, cette jeune-fille a été propulsée dans un état de ménopause à part entière, ses ovaires s’étant définitivement arrêtés de fonctionner. Les auteurs, Deidre Therese Little et Harvey Rodrick Greenville Ward [1], ont directement attiré l’attention sur le fait que malgré que la jeune-fille avait été complètement examinée et testée, il n’y avait pas, à son état, d’explication connue autre que la série des trois vaccins Gardasil qu’elle avait reçus.

 

Le plus terrible, c’est qu’il y a peut-être beaucoup d’autres cas semblables, mais la plupart d’entre eux sont probablement masqués par le traitement de routine des menstruations irrégulières ou rares, au moyen de contraceptifs oraux. En effet, c’est parce que la jeune-fille a refusé ces traitements que la vérité sur son état de santé a pu être établie. Combien d’autres jeunes-filles ont, sans le savoir, perdu leur chance d’un jour pouvoir devenir mamans parce que la vérité sur leur état reste voilée ?

 

Les auteurs de l’article ont noté que, bien que la Therapeutic Goods Administration Australienne (TGA) fournisse, dans le rapport public d’évaluation pour le vaccin quadrivalent (Papilloma virus humain) des données sur l’histologie des testicules et l’épididyme du rat, aucune information n’est fournie concernant les ovaires de rats femelles.

 

Ils ont cependant envoyé une demande d’information sur l’histologie de l’ovaire du rat après vaccin quadrivalent HPV au cas où cette étude aurait été réalisée par le promoteur et transmise à la TGA

 

  • Note : il n’existe qu’un seul vaccin HPV quadrivalent. C’est le Gardasil

 

Voici leur rapport au sujet des ces importantes données manquantes :

On ne sait pas si cette insuffisance ovarienne prématurée est liée au vaccin quadrivalent contre le HPV. Une information plus détaillée concernant l’histologie de l’ovaire du rat, ainsi que de la fécondité après vaccination HPV a été demandée à la « Therapeutic Goods Administration ».

 

Bien que le rapport public d’évaluation du vaccin quadrivalent contre le HPV de la TGA australienne réalisé en février 2011 ait communiqué une information sur l’histologie des testicules des rats vaccinés et des épididymes, aucun rapport histologique n’a été disponible pour les ovaires des rats vaccinés…

 

Pourquoi le fabricant a-t-il fourni des informations sur les testicules des rats mâles, et pas sur les ovaires des rats femelles ? La chose est plus que choquante. C’est absolument accablant ! N’aurait-on pas le droit de remettre en question la sincérité tant du fabricant Merck et de la TGA – sans parler des autres organismes comme la FDA américaine et le MHRA Britannique.

 

Risque potentiel du Gardasil pour les ovaires

 

Est-il concevable que Merck n’ait pas envisagé la possibilité de dommages aux ovaires ?

 

En fait, il n’est pas raisonnable de penser qu’ils n’étaient pas au courant du risque potentiel pour les ovaires. Un ingrédient du Gardasil, le polysorbate 80 (appelé aussi Tween 80, Alkest ou Canarcel) est connu pour provoquer des déformations de l’ovaire, des follicules dégénératifs, des modifications hormonales, des modifications de l’utérus et du vagin chez les rats. [2], [3] Pire, il est connu que des injections de polysorbate 80 provoquent des dégâts aux ovaires – or c’est ce même produit qui est injecté avec le Gardasil.

 

Un autre ingrédient du Gardasil, la L-histidine, un acide aminé naturel, comporte aussi des risques significatifs et qui ressemblent à ceux que peut provoquer le squalène. C’est une substance qui est naturellement présente dans le corps humain, mais dont l’injection pourrait provoquer une réaction auto-immune vis-à-vis de cette substance où qu’elle se trouve dans le corps. Il y aurait encore plus à dire sur ce sujet, mais tout cela aurait dû être étudié et prévu.

 

Toute une partie de la vie de cette jeune-fille a été détruite, et la seule explication plausible est la vaccination avec le Gardasil. Ce vaccin est vendu pour protéger contre le cancer du col de l’utérus, bien qu’il n’ait jamais été démontré qu’il ait pu prévenir un cancer de quelque espèce que ce soit. La prévention du cancer n’a jamais été plus qu’une supposition fondée sur un lien possible entre le papilloma virus et le cancer du col de l’utérus. Aucune relation de cause à effet n’a jamais été documentée. Les rapports de décès et de complications ne cessent cependant d’affluer. Comme le montre le cas de cette jeune-fille, le Gardasil ne peut être considéré comme sûr. Les données manquantes sont hautement significatives et suspectes.

 

Nous ne savons évidemment pas si Merck a volontairement omis de faire des études sur les ovaires ou si la firme refuse de dévoiler les données au vu de leur caractère accablant.

 

Il est certain que la combinaison de tous ces éléments : la perte des ovaires chez cette jeune-fille, la probabilité d’autres cas semblables et le mépris tout à fait impitoyable pour les effets potentiellement dévastateurs de ce vaccin, représente une raison plus que suffisante pour éliminer le Gardasil du marché. Il doit en tout cas être éliminé des listes gouvernementales de vaccins obligatoires.

 

Heidi STEVENSON , 17 octobre 2012, Gaia Health

 

Heidi-Stevenson--1-.jpg

 

Sources :

 

1.Premature ovarian failure 3 years after menarche in a 16-year-old girl following human papillomavirus vaccination, BMJ Reports 2012, Deirdre Therese Little, Harvey Rodrick Grenville Ward, doi:10.1136/bcr-2012-006879

2.Polysorbate 80 Causes Infertility, An Emulsifier That Can Damage Your Reproductive Health

3.Delayed effects of neonatal exposure to Tween 80 on female reproductive organs in rats. Gajdová  M, Jakubovsky J, Války J.,  Food and Chemical Toxicology, 1993 Mar;31(3):183-90.

 

Voir aussi la suite de cet article: "Les effets secondaires graves étaient prévisibles" 

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13 octobre 2012 6 13 /10 /octobre /2012 20:48

injection--seringue.jpg

Papillomavirus: un candidat-vaccin thérapeutique prometteur… :

 

"D’après une étude parue dans la dernière édition de la revue Science Translational Medicine, des chercheurs auraient mis au point un candidat-vaccin thérapeutique contre les papillomavirus (HPV) des types 16 et 18

Ce dernier permettrait de réduire les risques de survenue de cancer de l’utérus chez les femmes déjà infectées.

 

Deuxième cancer le plus fréquent chez la femme, le cancer du col de l’utérus est la conséquence d’une infection aux papillomavirus humains (HPV), un agent pathogène qui se transmet au cours d’un rapport sexuel. 75 % des cas de tumeur étant dus aux HPV de types 16 et 18, justifie qu'ils sont particulièrement étudiés par les chercheurs. 

  

D’ailleurs, les deux vaccins préventifs existants (Gardasil et Cervarix) sont surtout efficaces contre ces deux souches. S’il est possible d’empêcher l’infection, aucun traitement ne permet d’enrayer le processus menant potentiellement au développement d’un cancer du col de l’utérus. D’après les dernières données prévisionnelles de l’Organisation mondiale de la santé, dans les 20 années à venir, cinq millions de décès dans le monde pourraient être dus à ce type de tumeur.


Face à ce triste constat, la communauté scientifique s’active à développer des traitements pour réduire les risques de développer un cancer du col de l’utérus. Plusieurs essais cliniques ont été menés à travers le monde, sans grand succès.


Pour la première fois, les premiers résultats d’une étude menée sur un candidat-vaccin thérapeutique à ADN contre le HPV semblent encourageants. Ce dernier contient les séquences ADN de deux oncogènes qui permettent de lutter contre l’évolution dans l’organisme des HPV 16 et 18. Testé sur 18 femmes âgées de 29 ans en moyenne et déjà infectées, le vaccin, qui est bien toléré, induit une réponse immune spécifique à ces virus.


En parallèle, un essai clinique de phase II est en cours. Les premières données sont plutôt encourageantes et ouvrent la voie à la mise en place, dans un avenir proche, d'un essai de phase III en vue de la commercialisation de ce vaccin dans moins de dix ans…."

 

Source: Information Hospitalière

 

Comment décrypter cette actualité ?

 

- Il est étonnant qu’on investisse (sans doute des sommes colossales) dans le développement de vaccins thérapeutiques alors que la clé pour la réduction des cas de cancers du col réside essentiellement dans le frottis et, éventuellement, la mise en place des mesures curatives existantes, déjà hautement efficaces et satisfaisantes, que sont le traitement laser et la conisation (= opération chirurgicale locale consistant à enlever mécaniquement les cellules malades). Aussi, si tout cet argent mal investi pour développer ces vaccins thérapeutiques l’était dans l’accessibilité financière au frottis pour toutes les femmes, cela sauverait plus sûrement de nombreuses vies !

 

- Il est incroyable que ces sérotypes HPV 16 et 18 continuent d’être présentés comme responsables d’une majorité de cas d’infections et de dysplasies puisqu’une étude américaine de 2009 a montré que ces souches-là de HPV n’étaient impliquées exclusivement que dans 2,3% des infections de toutes les femmes américaines tout au plus ! 60% des femmes présentant des dysplasies du col le doivent à des souches exclusivement NON vaccinales. Et par conséquent, ces vaccins thérapeutiques ne leur seront d’aucune utilité !

 

- Il semble bien qu’il faille stratégiquement faire croire que « le vaccin » règlera tous les problèmes des femmes : Gardasil & Cervarix pour les femmes jeunes et les futurs vaccins thérapeutiques ceux des « pôvres » femmes qui n’auront pas eu l’immense chance de recevoir Gardasil et Cervarix !

 

- Il est aussi illusoire de tout ramener à la production d’anticorps puisqu’il a déjà été prouvé que les anticorps ne sont pas forcément nécessaires pour la défense de l’organisme contre des infections virales. Et d’ailleurs, environ 1/3 des gens éliminent les HPV sans jamais avoir eu besoin de développer d’anticorps ...c’est donc bien qu’ils les éliminent d’une autre façon, le système immunitaire étant quelque chose de très complexe.

 

- Il est aussi affirmé que le vaccin est « bien toléré » mais uniquement sur base de tests réalisés sur 18 femmes (très petit nombre de candidates donc !)

 

- Enfin, il est indiqué que ce candidat vaccin thérapeutique comprend des séquences ADN des deux sérotypes (16 et 18) de HPV mais il est intéressant de signaler à ce propos que des séquences ADN de HPV indésirables ont été systématiquement retrouvées dans des échantillons de Gardasil provenant de divers pays et que, par ailleurs, les femmes déjà infectées sans le savoir par les sérotypes 16 et 18 de HPV au moment de leur vaccination par Gardasil, ont 44,6% plus de risques de pathologie cervicale (dysplasie susceptible d’évoluer en cancer, cf. p. 13/30). Après le décès de la jeune Jasmine Renata de Nouvelle Zélande, qui avait reçu sa dernière dose de Gardasil 6 mois avant son décès, son autopsie a révélé qu’elle restait porteuse d’ADN recombinant de HPV (=impureté issue du procédé de fabrication du Gardasil) et que celui-ci avait été détecté au niveau de la rate et du cerveau notamment ! Selon le Dr Lee, pathologiste américain, il est possible que ces séquences ADN indésirables aient pu persister anormalement longtemps dans le corps en raison d’un ferme attachement à l’aluminium du vaccin. On ne peut selon lui pas prouver mais pas exclure non plus, que la persistance au long cours de ces séquences ADN, ait pu jouer un rôle dans les mécanismes ayant mené au décès subit de la jeune femme. L’introduction d’un ADN étranger dans le corps humain par une voie immunologiquement non prévue n’est donc jamais un acte anodin. Méfions-nous donc des affirmations selon lesquelles un vaccin thérapeutique à base d’ADN serait « bien toléré » alors que seulement utilisé sur 18 femmes et sans aucune évolution à long terme à ce stade ! En outre, rien ne dit que l’évaluation de ce genre de vaccin portera sur ce genre de vérification, les études sont loin d’aller toujours aussi loin, on ne pense pas toujours à tout évaluer. Et puis de quoi sera composé exactement ce futur vaccin thérapeutique ? Cela aussi méritera une analyse le moment venu.

 

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4 octobre 2012 4 04 /10 /octobre /2012 16:00

1.10.2012

 

"Décès d’une jeune fille de 13 ans. Prises de position officielles

 

A la mi-septembre, une jeune Espagnole de 13 ans, originaire de Gijón (Asturies) a fait une crise sévère d’asthme dix heures après l’administration de la deuxième dose de Gardasil, censé protéger contre deux souches de papillomavirus humains (HPV 16 et HPV 18) impliquées dans certains cancers du col de l’utérus. La jeune fille est décédée.

 

Des investigations sont en cours, notamment par les services de santé des Asturies (Consejería de Sanidad del Principado de Asturias) et par le ministère fédéral de la Santé, des Affaires sociales et de l’Egalité (Ministerio de Sanidad, Servicios Sociales e Igualdad).

 

Mais, sans attendre les conclusions de l’enquête, des sociétés savantes ont déjà déclaré que rien ne laissait supposer un lien de causalité entre le Gardasil et cette crise d’asthme

 

Ainsi, le 17 septembre, la Société espagnole de pédiatrie (AEP : Asociación Española de Pediatría) a repris les conclusions de son comité technique des vaccinations et a émis un communiqué réaffirmant la sécurité et l’efficacité du Gardasil et du Cervarix et rappelant qu’ils ont fait l’objet d’une homologation par les diverses agences du médicament : la FDA (Food and Drug Administration) aux Etats-Unis, l’EMA (European Medicines Agency) en Europe, l’AEMPS (Agencia Española de Medicamentos y Productos Sanitarios) en Espagne. Sans oublier l’OMS." [...] 

 

Selon la Société espagnole de pédiatrie, le Gardasil et le Cervarix ne seraient pas contre-indiqués chez les asthmatiques. Dans ce communiqué – « Comunicado de la AEP sobre la vacuna VPH y el caso de la niña de Asturias » -, l’AEP affirme que les seuls effets indésirables fréquents seraient la rougeur locale (à l’endroit de l’injection) et, dans une moindre mesure, des épisodes fébriles. La société de pédiatrie appelle à la poursuite de la vaccination, disant que les 100 millions de doses déjà administrées dans le monde servent de preuve de la bonne tolérance et de la sécurité du vaccin, bref, d’un rapport bénéfices/risques clairement favorable.

 

[…] L’association des victimes des vaccins HPV Asociación de Afectadas por la Vacuna del Papiloma, fondée à Valence suite aux effets indésirables sévères subis par deux jeunes filles de 14 ans, appelle à signer la pétition.

 

Les signataires demandent aux professionnels de santé d’informer correctement et complètement les parents et les jeunes filles ; ils demandent aux autorités sanitaires de créer un fond de compensation pour les victimes d’effets indésirables, de retirer le Gardasil du calendrier vaccinal et de ne plus le rembourser, de renoncer aux projets d’extension de la vaccination aux garçons. […] Cette pétition est notamment soutenue par l’Association espagnole des médecins indépendants.

 

Lire l’article original: sur Pharmacritique

 

Comme d’habitude, chaque effet secondaire grave est nié et « les sociétés savantes » (généralement non indépendantes des firmes) appellent à continuer la vaccination comme si de rien n’était, au motif grotesque que les vaccins ont été approuvés par les instances ad hoc (elles aussi bien sûr non indépendantes des firmes!) 

 

Il est cependant intéressant de noter que l’Association italienne de Pédiatrie a une position différente puisqu’elle avait, déjà en 2008, initié une pétition pour faire cesser cette même vaccination anti-HPV… 

 

DERNIERES NOUVELLES, publiées sur le site de SaneVax :

 

Vous pouvez aider l’Espagne à faire interdire le vaccin HPV

 

Madrid : des professionnels de santé, des victimes des vaccinations, des experts en santé publique, des scientifiques, des promoteurs de la sécurité vaccinale ont joint leurs efforts pour demander officiellement au Ministère de la Santé et de la Politique Sociale de retirer le vaccin HPV du programme vaccinal et de créer un fond d’indemnisation pour les personnes qui ont été victimes des vaccinations.

 

AAVP

Vaccins HPV: dites NON !

 

Ce mardi 9 octobre 2012, Don Carlos Alvarez Dardet, Professeur de Médecine Préventive et de Santé Publique à l’Université d’Alicante et Dona Alicia Capilla Lanagran, Vice Présidente de l’AAVP (Association des Victimes de vaccins HPV) présenteront une conférence de presse pour expliquer les raisons de cette requête.

 

Ce n’est pas la première fois que des professionnels de santé et des citoyens espagnols manifestent leurs inquiétudes en ce qui concerne les programmes de vaccinations HPV dans leur pays. En juillet 2009 plus de 10.000 professionnels de santé et d’Associations de scientifiques ont signé un document intitulé « Justifications d’un moratoire sur l’utilisation des vaccins HPV en Espagne » qui a été remis au Département de la Santé. Il semble que les officiels du gouvernement n’ont pas pensé que les inquiétudes de plus de 10.000 professionnels étaient suffisamment significatives pour pouvoir apporter des modifications au programme de vaccination.

 

Il n’empêche que le nombre d’effets secondaires graves et de décès ayant fait suite aux vaccinations HPV n’a cessé de croître. En dépit de la propagande passée dans les médias, les citoyens espagnols continuent à voir d’un très mauvais œil que des jeunes filles (et bientôt des garçons) courent le risque d’effets secondaires graves et de décès à la suite des vaccins HPV sensés les protéger d’une maladie pour laquelle des moyens préventifs et curatifs efficaces et sûrs ont déjà fait leurs preuves.

 

Les citoyens espagnols ne comptent pas se croiser les bras alors que leurs enfants participent à une expérimentation qui devrait durer de 15 à 20 ans afin de pouvoir déterminer si oui ou non les vaccins HPV sont susceptibles de prévenir le cancer.

 

L’Espagne a besoin de votre aide

 

Avez-vous des inquiétudes par rapport à la sécurité des vaccins HPV (Garsasil et Cervarix) ? Ces vaccins sont-ils sûrs ? Sont-ils nécessaires ? Sont-ils efficaces ? Sont-ils abordables ?

 

Si vous ne pouvez répondre franchement « oui » à ces quatre questions, penez à vous joindre à la lutte de l’Espagne pour que les vaccins HPV soient retirés du marché et ce, jusqu’à ce que l’on puisse scientifiquement prouver qu’ils répondent bien à ces quatre critères.

 

L’AAVP a demandé le retrait des vaccins HPV, ainsi que la création d’un fond d’indemnisation des victimes.

 

Peu importe où vous vivez dans le monde, vous pouvez vous aussi apposer votre signature en dessous de cet important document.

 

Des professionnels de santé, des victimes de vaccinations, des experts de santé publique, des scientifiques demandent votre collaboration ; ils ont déjà signé le document pour protéger la santé des enfants espagnols.

 

Pour signer la pétition, voir en bas de ce lien: ICI

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26 septembre 2012 3 26 /09 /septembre /2012 13:00

On pouvait lire un article "exemplaire" sur le site de Vers l'Avenir à ce sujet.

 

Il s'agit en réalité d'une dépêche Belga relayée sans le moindre esprit critique par ce média (comme c'est le plus souvent le cas aujourd'hui, les journalistes servant bien davantage à relayer des dépêches Belga ou à en changer l'une ou l'autre phrase plutôt qu'à faire de la véritable investigation, ce qui constitue pourtant la raison d'être de leur métier.)

 

Cet article est exemplaire car il démontre tout à fait la non crédibilité et la non fiabilité d'une telle information à la lueur des données actuellement disponibles. Tout journaliste aurait donc pu s'en rendre compte et compléter l'information de façon à la fois loyale vis à vis de son lectorat, et de façon professionnelle.

 

Que dit l'article? 

 

Voyez ici:

 

122 élèves vaccinées à l'école contre le papillomavirus en Communauté germanophone

 

EUPEN - Un peu plus de 120 jeunes filles inscrites en seconde année du secondaire en Communauté germanophone ont été vaccinées contre le papillomavirus, souvent à l'origine du cancer du col de l'utérus, durant l'année scolaire 2011-2012, indique le cabinet du ministre germanophone de la Santé, Harald Mollers, dans un communiqué.

 

Sur les 437 jeunes filles inscrites en seconde humanité, 122 ont été vaccinées durant l'année scolaire dernière contre le papillomavirus. Un tiers des jeunes filles ont ainsi été vaccinées dans le cadre scolaire.

 

Parmi les deux tiers restants, 30% ont refusé les injections et 28% étaient déjà vaccinées ou en passe de l'être par leur médecin généraliste.

 

Le vaccin consiste en trois injections. Les deux premières phases d'injection ont été réalisées et la dernière phase est prévue pour le mois d'octobre prochain.

 

D'après les informations collectées par le centre de prévention en matière de santé dans le cadre scolaire, aucun problème lié à l'injection du vaccin n'a été signalé, selon le communiqué.

   

Est-ce vraiment CREDIBLE??! NON bien sûr quand on sait que:

 

Selon le Service National d’Enquêtes de Santé, seuls 28,9% du public-cible féminin (9-26 ans) a commencé cette vaccination anti-HPV et seuls 14,2% ont achevé la série complète des 3 doses. Sur les plus de 9 millions de jeunes filles ayant donc entamé cette vaccination, moins de 4,5 millions, soit moins de la moitié d’entre elles, ont effectivement terminé la série des 3 injections. Un indice absolument évident de MAUVAISE TOLERANCE DU VACCIN !

 

En novembre 2010, le centre médical de l’Université du Maryland a fait état de chiffres encore inférieurs puisque selon ces données, seuls 30% des femmes qui ont commencé cette vaccination ont effectivement achevé le schéma complet de 3 doses. Entre août 2006 et août 2010, 9658 patientes âgées de 9 à 26 ans y furent suivies. Les données ont révélé que seuls 27,3% de ces femmes ont reçu au moins une dose de vaccin Gardasil. « Parmi ces personnes (qui ont donc accepté la vaccination) 39,1% n’ont reçu qu’une seule dose et 30,1% ont reçu deux doses. Les 30,8% restant ont complété la série entière de 3 doses. »

 

Certains pourraient objecter que ces chiffres se rapportent au Gardasil et que la vaccination scolaire anti-HPV en Communauté germanophone se fait avec le Cervarix (comme en Communauté française), d’une firme concurrente.

 

A première vue, l’argument pourrait donc sembler pertinent. Sauf que selon un document de questions-réponses entre l’INAMI (= assurance maladie belge) et GSK, « le taux d’effets secondaires (du Cervarix) est ASSEZ ELEVE. ». Ce même document prend d’ailleurs aussi le soin de préciser que les deux vaccins (donc du Gardasil ET du Cervarix) montrent « un profil d’effets secondaires très similaire. »

 

Autre donnée qui corrobore cette triste similitude entre la dangerosité du Gardasil et celle du Cervarix : le taux très nettement accru d’effets secondaires du Cervarix par rapport aux autres vaccins. Alors qu’une étude parue dans JAMA en 2009 précisait déjà que 3 fois plus d’effets secondaires ont été rapportés aux USA après Gardasil qu’avec tous les autres vaccins réunis, il s’avère que le Cervarix entraîne 24 à 104 fois plus d’effets secondaires que tous les autres vaccins du programme vaccinal britannique pris tout à tour, selon ce que mentionnaient notamment Christopher Shaw et Lucija Tomljenovic dans Annals of Medicine, en décembre 2011.

 

Il découle de tout ceci que Belga n’a pas fait son travail, pas plus que Vers l’Avenir, ce qui a permis  à ce « Centre germanophone de prévention en matière de santé dans le cadre scolaire » de raconter n’importe quoi, confondant allègrement la non reconnaissance de ces effets secondaires en lien avec le vaccin et leur non existence. Si le Cervarix a un profil d’effets secondaires assez similaire au Gardasil, on aperçoit hélas assez mal comment un tel pourcentage d’abandon de vaccination Gardasil pourrait faire écho à ZERO abandon dans le groupe de jeunes filles vaccinées avec Cervarix dans le cadre scolaire en Communauté germanophone!

 

L’article précise en outre que la troisième dose de cette série n’a pas encore été administrée, ce qui conduira donc inévitablement à plusieurs autres abandons (camouflés) supplémentaires…

 

 

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