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23 avril 2017 7 23 /04 /avril /2017 14:57

      Vaccin contre le cancer du col de l'utérus (HPV)             

LA JUSTICE ESPAGNOLE RECONNAIT CE QUE LES AUTORITES DE SANTE NE VEULENT PAS RECONNAITRE

 

Par Alicia Capilla, Sanevax, 16 avril 2017

 

Alicia Capilla, Présidente de l’AAVP

La Haute Cour de Justice des Asturies (Espagne) a condamné le Système de Santé asturien pour le décès d’Andréa, une jeune-fille espagnole décédée en septembre 2012 après avoir reçu la seconde dose du vaccin contre le HPV. La Haute Cour reconnait la mauvaise pratique des hôpitaux Jove et Cabuenes, parce qu’ils n’ont pas été capables de diagnostiquer la pathologie avant que soit pratiquée la deuxième injection qui a, de fait, entraîné la mort de la jeune femme.

 

De légers épisodes d’asthme bronchique ont marqué l’histoire médicale de cette jeune femme. Quand elle a reçu son premier vaccin le 23 juillet 2012, elle a commencé à souffrir de maux de tête et de difficultés respiratoires. Malgré le fait qu’elle ait souffert d’une grave exacerbation de son asthme, on lui administra la deuxième dose du vaccin le 23 août 2012, ce qui provoqua une soudaine aggravation de son état de santé. Il en résulta une grave dyspnée, ainsi que des convulsions à peine 12 heures après avoir reçu le vaccin. Elle fut transportée à l’hôpital de Huca où elle fut placée dans l’unité des soins intensifs pédiatriques jusqu’à son décès le 8 septembre.

 

Le document judiciaire reconnait qu’il existe un lien de causalité avec le vaccin, malgré le fait que, lors du procès, l’Administration ait profité du fait que le vaccin avait été totalement approuvé par les organismes de réglementation pharmaceutique dans tout le pays et que le Comité de pharmacovigilance et d’évaluation des risques  (PRAC), avait, en relation avec ce cas, déterminé qu’il n’y avait pas suffisamment de preuves pour suggérer une association causale avec le vaccin. Le paradoxe de cette étude, ainsi que son manque de rigueur scientifique parait évident. C’est la raison pour laquelle, le Comité a marqué son accord pour une prolongation de l’enquête.

 

L’Association Espagnole des personnes affectées par le vaccin HPV (AAVP) s’est efforcée depuis 2009 de recueillir de nombreux autres témoignages de complications. Nous avons régulièrement contacté les autorités de santé espagnoles afin qu’elles puissent reconnaître les effets secondaires de cette vaccination, les documenter dans leurs bases de données, ainsi que dans les bases de données de l’Agence Européenne (EMA). En Espagne, ainsi que dans la littérature qui traite du HPV, le cas d’Andrea est loin d’être unique. Il y a au moins cinq rapports de décès dans les bases de données de l’Agence Espagnole des Médicaments et de Produits Sanitaires. Tout cela sans compter tous les rapports qui sont parvenus à l’EMA.

 

Le plus regrettable de tout c’est qu’ils blâment les jeunes femmes pour leur état déplorable de santé, les stigmatisant en attribuant leurs problèmes à des causes psychologiques. Ces explications sont évidemment dénuées de tout fondement scientifique vu qu’aucune étude épidémiologique n’est venue prouver la cause des réactions à ce vaccin de tant de jeunes filles depuis qu’il a été introduit en Espagne.

 

Une fois de plus, nous ne pouvons que regretter les mauvaises performances des autorités sanitaires qui ne mettent pas en place un système adéquat d’évaluation et de suivi. Ces gens cherchent ailleurs au lieu de s’occuper de la santé de ces jeunes femmes qui ont eu la malchance de souffrir des effets secondaires de ces vaccins résultant d’une politique de santé publique qui semble davantage préoccupée d’intérêts économiques et politiques que de l’intérêt même de la santé de ces jeunes femmes.

 

Nous ne devons pas non plus oublier que cette vaccination est également appliquée aux jeunes hommes en bonne santé et qu’elle en est à sa phase de mise en œuvre. Il serait donc important que les systèmes de pharmacovigilance agissent cette fois avec diligence et responsabilité.

 

Nous sommes heureux que, pour la première fois en Espagne, le lien de causalité avec le vaccin contre le HPV ait été reconnu par un tribunal. Nous voulons manifester notre soutien à la famille d’Andrea. Malgré son terrible malheur, la famille a été soutenue par une déclaration judiciaire qui a fini par les protéger. Il était grand temps que justice soit rendue !

 

Alicia Capilla, Présidente de l’AAVP

Source: SaneVax

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17 avril 2017 1 17 /04 /avril /2017 15:04

Une jeune-fille de 12 ans paralysée après le vaccin HPV -

 La maman : « C’est le vaccin qu’il faut blâmer »

 

Les médecins disent que tout est dans sa tête...

 

Par Lizzie Parry 27 mars 2017, The Sun (Extraits)

Une jeune-fille de 12 ans paralysée après avoir reçu le vaccin HPV

Mia Blesky ne peut plus faire autre chose que cligner des yeux, parler et chanter. Mais les médecins croient que ses problèmes sont psychologiques et provoqués par du harcèlement ou des « problèmes sexuels ».

 

Mia a reçu le Gardasil à l’école. Ce vaccin est censé protéger contre le papilloma virus humain, un groupe de virus qui peuvent être transmis sexuellement. 30 des 100 souches peuvent être transmises par le sexe et sont accusées de pouvoir provoquer 90% des cancers du col de l’utérus et 1 cancer de la bouche sur 7. Les experts prédisent que le vaccin qui est proposé aux filles de 12, 13 ans pourrait sauver des centaines de vies chaque année  Quant à Mia, elle est paralysée à partir du cou. Elle n’a aucune sensation dans les bras ni les jambes. Elle souffre de spasmes constants.

Une jeune-fille de 12 ans paralysée après avoir reçu le vaccin HPV

Les professionnels de santé  ont écarté tout lien entre le vaccin et les effets secondaires graves que Mia doit endurer. Les médecins ont expliqué à Mia qu’ils pensaient que ses symptômes étaient psychologiques – déclenchés par des problèmes d’intimidation ou de sexualité. Mais la maman (de cinq enfants) est convaincue que c’est le vaccin qui est à blâmer. Le lendemain de la vaccination, Mia  Mia a senti ses jambes devenir lourdes, et a souffert de sensations de brûlures dans la colonne vertébrale. Elle a ensuite perdu toute sensation dans ses jambes, le bas du corps et les bras. Aujourd’hui, six mois après avoir été vaccinée, elle est totalement paralysée depuis le cou jusqu’en bas du corps.

 

Gini est désespérée de trouver un remède qui puisse aider sa fille, étudiante qui souhaitait devenir chanteuse. Aujourd’hui, elle reçoit des cours à la maison et prend des leçons de chant à partir de son lit… mais les médecins croient que son état est psychologique !

Une jeune-fille de 12 ans paralysée après avoir reçu le vaccin HPV
Une jeune-fille de 12 ans paralysée après avoir reçu le vaccin HPV

Mais sa maman croit que tous ses problèmes sont liés au vaccin.

 

Gini dit : « C’est horrible. Tout le monde pense qu’elle a survécu à un terrible accident de voiture. » Quand ils la voient, les gens s’arrêtent et disent : « Oh mon Dieu, qu’est-ce qui a bien pu arriver à cette pauvre fille ? »

 

« Quand Mia est arrivée à l’hôpital, les médecins ont dit qu’il s’agissait d’une forme d’automutilation, que c’était elle-même qui s’infligeait ces maux.

 

« Après quelques jours, ils l’ont renvoyée à la maison sans lui donner de traitement.

 

« Nous avons dû acheter un fauteuil roulant. J’ai dû la porter pour la mettre dans la voiture.

 

« Six semaines plus tard tout son corps était complètement paralysé : cou, tronc, jambes et bras.

 

« Il y a maintenant 14 semaines qu’elle n’a plus bougé un seul membre.

 

« Nous avons connu une situation terrible… et dire que les médecins prétendaient que tout était psychologique, que cette situation était due à du harcèlement ou à des problèmes sexuels ! Ce sont là des absurdités.

 

« Personnellement, je pense qu’elle a eu une réaction au vaccin. Je voudrais que les médecins reconnaissent la chose et lui donnent un traitement. Il est ridicule de dire que tout est dans sa tête.

 

« Ma fille de 12 ans était tout à fait normale. Elle aimait chanter et danser – aujourd’hui, elle sait à peine cligner des yeux, parler et chanter.

 

Mia est clouée au lit. Il faut la porter pour l’installer dans son fauteuil roulant.

 

En plus de la paralysie, elle est devenue incontinente et souffre de spasmes involontaires.

 

Cette talentueuse jeune fille dont l’idole est Adele, explique : « c’est vraiment très dur. Je voudrais tout juste redevenir une fille normale. Quand je chante, je me sens un peu plus normale, mais ce n’est plus comme avant quand j’avais la chance de pouvoir marcher. Aujourd’hui, je suis tout le temps à bout de souffle.

 

J’aurais tant voulu faire une carrière dans la musique et chanter dans le West End, c’était vraiment mon rêve.

 

Je voudrais pouvoir trouver quelqu’un qui puisse m’aider.»

 

L’Agence de réglementation des médicaments et des produits de santé (MHRA)  et la Santé publique d’Angleterre ont déclaré que le vaccin HPV était la manière la plus efficace de protéger du cancer du col de l’utérus qui tue 900 femmes au Royaume-Uni chaque année.

Une jeune-fille de 12 ans paralysée après avoir reçu le vaccin HPV

La maman de Mia supplie que l’on fasse davantage de recherches sur ce vaccin.

 

Un porte-parole a déclaré : « Comme c’est le cas pour tous les vaccins, la sécurité du vaccin HPV est constamment surveillée. Chaque effet secondaire soupçonné est pris au sérieux. » Ils ont dit que la sécurité du vaccin avait fait l’objet d’un examen approfondi. Et qu’il n’y avait aucune preuve crédible d’un lien entre le vaccin contre le HPV et toute une série de maladies chroniques. »

 

Les statistiques de l’Agence européenne des médicaments montrent que jusqu’en février 2017, 11.867 réactions au Gardasil ont été enregistrées.

 

Plus de 400 familles représentant l’Association britannique des jeunes-filles dont la santé s’est trouvée endommagée par le vaccin ont lancé un appel pour que l’on approfondisse les études sur ce vaccin.

 

La présidente, Freda Birrel a expliqué : « Si ce n’est pas le vaccin qui a causé ces problèmes, alors, il est grand temps que le Département de la Santé prenne ses responsabilités.

 

« Les autorités sanitaires devraient s’efforcer de trouver le pourquoi de cette situation au lieu de dire qu’il est normal pour une jeune-fille de 12 ans de faire pareils problèmes de santé et de les mettre sur le compte de problèmes psychologiques.»

 

Gini se plaint que les médecins et les professionnels de santé ne veulent pas prêter une oreille attentive à ses problèmes, idem par rapport aux autres familles qui ont connu des difficultés avec le vaccin. Au lieu de cela les médecins attribuent ses problèmes de santé à des dérangements psychologiques.

 

Sa famille prétend que les médecins ne lui ont proposé aucun traitement – de ce fait les parents doivent eux-mêmes s’occuper de leur fille. Ca leur coûte 4.000 livres sterling (4.639 euros) par mois.

 

Les parents de Mia essayent de trouver la somme d’argent nécessaire pour aller consulter un spécialiste aux Etats-Unis.

 

Source: The Sun

Une jeune-fille de 12 ans paralysée après avoir reçu le vaccin HPV
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14 avril 2017 5 14 /04 /avril /2017 19:11

Une adolescente de 14 ans décède après avoir reçu le vaccin HPV

Une adolescente de 14 ans décède après avoir reçu le vaccin HPV

Par Luke Rawalai, The Fiji Times Online, 25 février 2017

 

La famille Prasad de Korovesi tente de consoler une maman de trois enfants, Manjula Devi, hier à son domicile. La jeune-fille, Manjesni serait décédée après avoir reçu le vaccin contre le HPV.

 

La maman, Manjula Devi, éprouve toutes les difficultés à accepter la mort de sa fille de 14 ans dont le corps a été découvert le jeudi de cette semaine à leur domicile.

 

Les cinq personnes de la famille Korovesi ne peuvent accepter la perte de leur fille et sœur qui est décédée le jour même où elle a été vaccinée à l’école avec le HPV.

 

Madame Devi rappelle que sa fille s’était levée tôt ce jeudi matin. Elle avait pris un très bon déjeuner avant de dire au revoir à ses parents.

 

« Elle était la plus jeune de la famille et résidait avec nous, ses parents, tandis que ses frères et sœurs fréquentaient des établissements d’enseignement supérieur à Labasa et à Suva », a déclaré la maman.

 

Manjeshni (la jeune-fille) nous avait apporté un document de consentement à faire signer pour qu’elle soit vaccinée.

 

« Quand nous lui avons demandé quand la vaccination devait avoir lieu, elle nous a dit que ce serait la semaine suivante. »

 

Madame Devi explique que si elle avait su que sa fille serait vaccinée ce jour-là, ils l’auraient ramenée à la maison à cause des problèmes de distance et de mauvais temps.

 

Le papa désespéré de Manjeshni, Jaswant Prasad, a déclaré que sa fille était la «bavarde » de la famille et qu’elle leur manquerait beaucoup.

 

Dans un communiqué, le Ministère de la Santé et des Services Médicaux a fait parvenir ses sincères condoléances à la famille pour la perte de leur fille, ajoutant qu’ils attendaient le rapport d’enquête de la police avant de commenter les détails de l’affaire.

 

« Le vaccin contre le HPV protège contre le cancer du col de l’utérus qui peut tuer des femmes », indique le communiqué.

 

« Des études montrent qu’il n’y a pas de problème de sécurité qui soient associés au vaccin contre le HPV».

 

Selon le Centre Américain de Contrôle des Maladies (CDC), l’une des principales autorités médicales au monde, « le vaccin contre le HPV est très sûr et il est efficace pour protéger contre certains types de HPV qui peuvent s’avérer très agressifs. »

 

Source: FijiTimes

Une adolescente de 14 ans décède après avoir reçu le vaccin HPV
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7 avril 2017 5 07 /04 /avril /2017 21:43

Oui, les jeunes sont terriblement en danger avec cette pléthore de vaccins indéfendables, au rang desquels bien sûr le sinistre vaccin HPV Gardasil, aussi inutile que dangereux. Il est salutaire et bienfaisant que les victimes de ces poisons témoignent pour offrir ainsi des chances supplémentaires aux autres d'éviter ce genre de drame sanitaire, social et professionnel. Ne sacrifiez plus votre santé et celle de vos enfants aux intérêts des lobbies, de grâce..... & grand merci aux victimes pour leur parole libre, indépendante et éminemment utile à tous!

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27 mars 2017 1 27 /03 /mars /2017 20:55

extrait de l'émission récente d'Arte sur les vaccins

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9 mars 2017 4 09 /03 /mars /2017 13:21

La santé d’une jeune-fille de 18 ans détruite par le vaccin HPV

 

Larry Cook – Stop mandatory vaccinations, 8 février 2017

La santé d’une jeune-fille de 18 ans détruite par le vaccin HPV

Pour ceux qui ne me connaissent pas, je suis une jeune-fille de 18 ans qui souffre de plusieurs maladies chroniques débilitantes après avoir été vaccinée contre le HPV. L’apparition des symptômes est apparue après la deuxième injection.

 

Avant que je ne sois malade, je faisais des tas de choses que les filles de 12 ans peuvent faire : randonnées, vélo de montagne, roller dans les magasins, cinéma, réunions, fêtes d’anniversaires avec des amis…

 

J’étais heureuse. J’avais une vie artistique et sportive très occupée. Je dansais 6 jours par semaine. Après l’école, j’adorais faire du sport et de la danse. Je me réjouissais chaque matin pour les activités qui m’attendaient. Je vivais au maximum de mes possibilités. Toutes les activités de la vie étaient si importantes pour moi. J’avais dansé pour me sentir libre. Je voulais faire de mon corps une belle œuvre d’art.

 

Aujourd’hui, je suis totalement coupée du monde réel. J’utilise maintenant mes souvenirs comme moyen et outil d’adaptation pour pouvoir faire face à une vie remplie de déceptions, de difficultés, de maladies et de douleurs. Je rêvais d’être danseuse professionnelle. Mon cœur saigne aujourd’hui et je suis mise à la torture quand je réalise que je ne pourrai jamais plus marcher, encore moins danser.

 

Chaque jour est un combat contre des symptômes qui n’en finissent pas. Je me bats contre la douleur, contre l’épuisement, contre ces terribles souffrances quand on me « gave » de médicaments et de nourriture. Il y a aussi toutes ces choses que personne ne voit : nausées, migraines, problèmes de vue, sensibilité à la lumière et au bruit, plaies qui se forment aux sites des multiples injections. Les amis ne voient pas que mon estomac est paralysé, l’inflammation et l’ulcération du colon, le problème des terminaisons nerveuses, les signaux qui sont bloqués dans le cerveau et la moelle épinière, avec une douleur chronique intense. Les personnes qui me rendent visite ne se rendent pas bien compte car je dois rester forte courageuse, sauver la face et… pleurer après leur départ.

La santé d’une jeune-fille de 18 ans détruite par le vaccin HPV

La réaction indésirable que j’ai eue à la suite de ce vaccin et les problèmes de santé qui se sont manifestés au cours des années ont eu un énorme impact sur ma vie. Maintenant ma vie est très compliquée et mon avenir tout à fait incertain. Demain est bien sûr un autre jour, mais je ne puis m’empêcher de penser à ce qu’il pourra m’apporter. Il m’est impossible de planifier quoi que ce soit. Je ne sais pas non plus s’il me sera possible d’avoir des enfants car je connais beaucoup de filles de 18 ans qui sont devenues stériles après avoir reçu le Cervarix ou le Gardasil.

 

Bien que mon corps soit brisé et qu’il me désobéisse constamment, j’ai la chance d’avoir malgré tout un bon moral qui me permet de m’adapter au mieux à tout ce que j’ai à subir ;. Il m’arrive de trouver un peu de bonheur malgré tous ces problèmes. Il m’arrive de pouvoir trouver un peu de paix intérieure malgré toutes ces douleurs. J’espère que cela est susceptible de pouvoir en aider d’autres qui se trouvent dans ma situation, et qu’ils/elles pourront ainsi chasser les démons de la dépression.

 

Mais je dois reconnaître que toute cette volonté de positivité ne pourra changer l’immense douleur que j’éprouve, la perte de ma mobilité, des sensations du corps qui était autrefois, quand je dansais et faisais du sport, en tellement bonne santé !

 

Je suis maintenant certaine que mon futur ne sera pas comme je l’avais imaginé. Mais je veux qu’il soit rempli de détermination et de dévouement pour pouvoir contribuer à élever le niveau de conscience dont le monde a tant besoin.

« Une personne qui réussit sa vie est une personnes qui la construit sur une base solide avec les briques que la vie lui a jeté à la figure ». – Chloé.

 

Source: Sarasotavaccinationchoice 

 

 

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23 février 2017 4 23 /02 /février /2017 00:13

Voici ma fille Mia qui vient d’avoir 12 ans. Quelques mots sur les terribles supplices que Mia a dû traverser au cours des 5 derniers mois. On peut voir à quel point elle n’est pas bien depuis qu’elle a, le 21 septembre de l’année dernière, reçu, à l’école, son vaccin contre le HPV.

 

On peut voir qu’elle est atteinte de spasmes involontaires. Elle ne sait plus faire usage de ses bras et de ses jambes.

La dernière vidéo a été réalisée la semaine dernière. On voit qu’elle peut à peine cligner des yeux, parler un peu, et toujours avec les mêmes spasmes involontaires. Depuis maintenant 11 semaines elle ne peut plus bouger le moindre membre. En dehors de quelques nuits passées à la maison, elle a tout le temps été hospitalisée. Au cours des deux dernières semaines, sa santé a continué à se détériorer. Elle vomit matin et soir. Aujourd’hui, elle s’est vraiment sentie mal 34 fois en 40 minutes. On pourrait presque dire qu’elle pourrit dans un lit d’hôpital alors que presque personne ne s’en occupe !

 

Nous espérons qu’en diffusant cette information nous pourrons trouver quelqu’un qui pourra nous venir en aide. Nous espérons que notre témoignage pourra aider d’autres filles qui ont aussi été touchées.

 

Vous pourrez trouver toute son histoire grâce au lien suivant : http://yournewswire.com/gardasil-destroying-daughters/

 

Merci à toutes les personnes qui pourront faire un don pour nous venir en aide : http://www.gofundme.com/mias-recovery-fund - Nous souhaiterions aussi que notre témoignage soit partagé par le plus grand nombre possible de personnes.

 

Tout ceci nous tient très fort à cœur parce que grâce à vous, nous pourrons trouver les personnes qui pourront venir en aide à Mia.

 

En conclusion, nous pensons utile de laisser la parole aux experts, aux vrais d'abord, et puis ensuite à ceux qui n'en portent que l'étiquette officielle.... rien de mieux en effet qu'une comparaison à temps pour votre santé et celle de vos enfants!

 

Dr Diane Harper, médecin qui a participé aux essais cliniques des vaccins HPV Gardasil & Cervarix:  « Il n’existe pas de données qui permettent de confirmer que les avantages l’emportent sur les risques. La vérité est que nous savons très peu de choses sur les effets secondaires du vaccin contre le HPV ».

 

Dr Bernard Dalbergue (ancien médecin chez Merck, fabricant du Gardasil): "Le Gardasil sera le plus grand scandale médical de tous les temps". 

 

ONE (Office de la Naissance et de l'Enfance, Belgique): "Pour la quasi totalité du monde médical à l'échelle de la planète, il n'y a PAS de complication grave des vaccins".

 

Pr Noni Mc Donald (pédiatre canadienne et "experte" auprès de l'OMS), le 18 mai 2016 à l'Assemblée générale du Conseil Supérieur belge de la Santé: "Il n'y a pas de plus sûr vaccin que le vaccin HPV"!

 

Dr Hélène Born (gynécologue à l'hôpital Bichat, à Paris): "J'aimerais beaucoup (que la vaccination HPV soit rendue obligatoire, c'est un rêve de gynécologue"! $$$$$$ voir à ce propos d'ailleurs ici le business vaccinal des pédiatres et généralistes (est-ce donc surprenant que des gynécologues puissent lorgner sur leur part du gâteau avec des souhaits d'obligations vaccinales aussi sottes, mais rentables que pour eux seuls?)

 

Voir aussi:

 

Traitements orthomoléculaires des effets secondaires des vaccins HPV Gardasil et Cervarix

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24 janvier 2017 2 24 /01 /janvier /2017 11:38

Deux adolescentes paralysées après avoir reçu le vaccin controversé contre le HPV

 

SWNS Reporter, 16 décembre 2016

Deux adolescentes paralysées après avoir reçu le vaccin controversé contre le HPV

Une jeune-fille de 16 ans s’est retrouvée paralysée de trois membres et mise sous baxter à l’hôpital après avoir reçu le vaccin contre la HPV controversé.

 

La très sportive Ruby Shallom, qui adorait la course et le cheval a été vaccinée à l’école pour se protéger du cancer du col de l’utérus.

 

Dans les semaines qui ont suivi, la jeune-fille jusqu’alors en parfaite santé, est tombée malade. Elle souffrait de spasmes stomacaux, de vertiges, de maux de tête et de fatigue anormale. Au mois de mai, sa musculature a commencé à s’affaiblir. Deux ans après avoir reçu le vaccin, elle s’est un jour réveillée en n’ayant plus la moindre sensation dans les jambes.

 

Elle a, depuis perdu toute sensation dans son bras droit et est pratiquement clouée au lit. Elle ne sait plus manger; elle est devenue incontinente et est même trop faible pour pouvoir soulever la tête.

 

Ruby Shallom avec sa mère avant le HPV

Ruby Shallom avec sa mère avant le HPV

Les médecins déconcertés n’ont pu établir de diagnostic et l’ont renvoyée chez elle, prétendant que le problème était psychologique. Ils refusaient de reconnaitre quelque lien que ce soit avec la vaccination.

 

Ses parents Aron et Nicola sont cependant convaincus que son état de santé avait été causé par le vaccin. – « Nous sommes certains à 100% que ce qui est arrivé est dû à la vaccination », déclare Aron, ingénieur chez Brackell, Berks.

 

Une autre jeune-fille, Lucy Rebbeck, danseuse, 15 ans, a souffert des mêmes supplices après avoir reçu le vaccin contre le HPV. Sa musculature s’étant à ce point affaiblie qu’elle a dû vivre en fauteuil roulant pendant 6 mois.

 

Les parents de ces jeunes-filles ont commencé à parler après que la vedette glamour Melinda Messenger ait déclaré qu’elle avait empêché sa fille Evie de 12 ans de se faire injecter ce vaccin.

 

Ses commentaires ont provoqué une réaction féroce. Les médecins l’ont accusée d‘alarmisme, qualifiant sa décision « d’irresponsable ».

Lucy Rebbeck et sa maman

Lucy Rebbeck et sa maman

Aron a déclaré : « la façon dont les médecins l’ont abandonnée est tout simplement honteuse. »

 

« Elle ne veut pas que sa fille passe par les problèmes que nous avons connus ». Nous la soutenons totalement. »

 

« Avant le vaccin, Ruby était en parfaite santé. Maintenant, elle est paralysée – vous pourriez frapper ses jambes avec un marteau, elle ne sentirait rien. »

 

« Nous pensions faire ce qu’il y avait de mieux pour elle, mais en rétrospective, nous avons obtenu exactement le contraire »

 

Le Gardasil, vaccin contre le HPV, est proposé aux jeunes-filles de 12 à 13 ans pour les protéger contre le papilloma virus humain susceptible de provoquer le cancer du col de l’utérus.

 

« NHS England » affirme que le vaccin contre le HPV est « sans danger ». Pour  « un nombre très faible de filles », le vaccin pourrait ne pas être approprié.

 

Le débat au sujet de la sécurité du vaccin continue de faire rage. Rien qu’au Japon 63 femmes ont déposé plainte contre le gouvernement parce qu’elles prétendent que ce vaccin a provoqué de graves problèmes neurologiques.

 

Chris Exley, professeur de chimie bioinorganique à l’université de Keele, déclare que le vaccin contient un adjuvant aluminique qui peut être toxique pour les humains.

 

Il déclare aussi que la recherche en est toujours  « à un stade très précoce » et qu’aucun de ces vaccins « n’a subi des tests de sécurité suffisants pour pouvoir démontrer qu’ils peuvent être utilisés sans danger chez l’homme. »

Ruby Shallom à l’hôpital après avoir été vaccinée

Ruby Shallom à l’hôpital après avoir été vaccinée

Ruby a, comme ses condisciples, reçu trois injections fin 2013, début 2014 à l’école Ranelagh à Bracknell, Berks.

 

La jeune-fille qui a déjà perdu deux années d’école explique : « C’est effrayant. Les médecins n’arrêtent pas de me dire que tout est dans ma tête, que c’est juste une coïncidence. » « Elle ajoute : tout cela a complètement changé ma vie. Je souffre sans arrêt. Si je n’avais pas reçu ce vaccin, je ne serais pas dans pareil état. »

 

Il faut que tout cela soit enfin reconnu parce qu’ils continuent à injecter ce vaccin. Cela va continuer à toucher de plus en plus de filles jusqu’à ce qu’on arrête. »

 

Lucy Rebbeck, 15 ans, est tombée malade avec des symptômes similaires après avoir reçu le vaccin contre le HPV en automne 2014. Elle est traitée à l’hôpital Frimley Park dans le Surrey.

 

Les médecins ont diagnostiqué une maladie coeliaque et ont enlevé l’appendice. Mais sans aucun résultat.

Lucy Rebbeck au cours d’une séance d’hydrothérapie

Lucy Rebbeck au cours d’une séance d’hydrothérapie

Diane, la maman explique : « les muscles de ses jambes sont devenus de plus en plus faibles. En février, elle a commencé à descendre la pente très rapidement.

 

« Elle ne pouvait plus sentir ses jambes, et en l’espace de deux semaines, elles sont devenues de plus en plus engourdies. »

 

« Elle a été clouée dans un fauteuil roulant pendant six mois. Elle se mettait sur son derrière pour monter les escaliers. »

 

Lucy qui n’a pu fréquenter l’école pendant tout un temps à la suite de sa maladie, a retrouvé quelques forces suite à la revalidation et à l’hydrothérapie.

 

La famille ne sait toujours pas ce qui a causé tous ses problèmes. Le scanner montre qu’il y a toujours des zones d’inflammation dans le cerveau.

 

Une maman de Wokingham a déclaré : « Ca a été vraiment horrible – ça a bouleversé des vies. »

 

« Lucy est maintenant sur le route de la guérison mais le pire c’est que l’on ne sait pas clairement ce qui a provoqué ses problèmes de santé. »

 

Je ne sais pas combien de filles de cet âge souffrent de cette maladie, mais il est clair qu’il ne peut s’agir de coïncidences. Pourquoi ces maux touchent-ils un si grand nombre de jeunes-filles?

 

Lucy Rebbeck avant son vaccin HPV

Elle souhaite que l’on poursuive les études sur ce vaccin et elle veut presser les parents de faire leurs propres recherches d’une manière indépendante.

 

La Santé publique d’Angleterre a précisé qu’elle voulait « fortement presser » les filles à se faire vacciner et à ignorer « les informations trompeuses ».

 

La Santé publique ajoute : « l’explication la plus plausible des effets secondaires est le fait que certaines filles feront simultanément, et par coïncidence, une maladie d’adolescents que les parents attribueront à tort au vaccin. »

 

L’Agence médicale de régulation des produits de santé a fait savoir que la sécurité du vaccin avait été récemment, et à nouveau, étudiée et qu’elle avait obtenu « une fiche de bonne sécurité ».

 

Il existe un consensus clair au sujet des preuves qui ne confirment nullement un lien entre la vaccination HPV et le développement de troubles ovariens précoces et toute une série de maladies chroniques.

 

Source: Swns.com

 

 

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2 janvier 2017 1 02 /01 /janvier /2017 12:28

Un cancer de stade 3 s’est développé chez une jeune femme qui avait reçu le vaccin contre le HPV

 

Jacqueline, 6 juillet 2016, Posté par VAXXED

Un cancer de stade 3 s’est développé chez une jeune femme qui avait reçu le vaccin contre le HPV

Le vaccin Gardasil contre le HPV a été mis sur le marché pour empêcher le cancer. Dans le cas de cette jeune femme, au lieu d’empêcher le cancer, le vaccin l’a provoqué. Les parents et les jeunes-filles ont réellement besoin de comprendre les dangers que présente de vaccin. Pour les aider à comprendre, cette vidéo constitue une information des plus précieuses.

 

L’expérience a appris à cette jeune-fille qu’il n’était parfois pas approprié de faire une confiance aveugle aux conseils médicaux actuels souvent basés sur la cupidité.

 

Pour son cancer, cette jeune-femme a refusé la chimiothérapie et la radiothérapie qui lui avaient été proposées. En lieu et place elle a eu recours à des méthodes alternatives intensives. Dix ans plus tard, elle est là pour nous raconter son histoire !

 

J’ose espérer qu’un maximum de personnes pourront écouter son témoignage passionnant de 10 minutes !

 

Erin Crawford a fréquenté l’université de Louisville qui avait réalisé un contrat avec Merck pour la recherche et le développement du Gardasil. C’est, par hasard, à l’université que le vaccin lui fut proposé. Elle a accepté de se faire vacciner pour se protéger du cancer du col de l’utérus.

 

Au cours de la vidéo (9.33) la jeune femme explique qu’après son amygdalectomie d’urgence et après l’ablation du col de l’utérus cancéreux, un pathologiste indépendant a examiné les tissus des amygdales, du col de l’utérus, et a constaté que les types 16 et 18 du HPV y étaient présents. Les deux souches du vaccin Gardasil étaient présentes dans les tissus biopsiés.

 

Extraits de la vidéo :

 

C’est quand j’étais à l’université que j’ai reçu la première dose du vaccin Gardasil. Un professionnel de santé m’a expliqué qu’il existait un vaccin contre le cancer du col de l’utérus et le lui a proposé.

 

Au moment où on m’a proposé ce vaccin, j’avais bien en tête que 3 membres de ma famille étaient décédés de cancer. Cette situation a évidemment joué dans ma peur, et c’est comme cela que j’ai accepté la première injection, croyant bien faire. La nuit qui a suivi, je me suis réveillée pour vomir. Je me sentais terriblement faible. Je ne parvenais plus à bouger ni mes jambes, ni mes bras qui me semblaient peser des tonnes. J’avais aussi de la fièvre. Dans les jours qui ont suivi, les ganglions de mon cou sont devenus énormes. Une semaine plus tard, mes amygdales avaient tellement gonflé que j’ai dû être transportée aux urgences.

 

J’ai ainsi été malade pendant 6 mois. Finalement on a dû m’enlever les amygdales en urgence. Mes règles avaient aussi  complètement disparu. On finit par me diagnostiquer un cancer du col de l’utérus stade 3, cette maladie que j’avais précisément voulu éviter.

 

Trois mois avant de me faire vacciner, j’avais fait mon frottis annuel et tout était parfait ; bilan de santé parfaite.

 

Après la vaccination, chaque fois que je me fâchais ou m’énervais, je m’évanouissais.

 

J’ai aussi commencé à mal réagir à plusieurs aliments qui auparavant ne m’avaient jamais causé le moindre problème.

 

Pendant un an et demi, j’ai suivi plusieurs traitements pour mon cancer. Le diagnostic de cancer a été posé 3 fois à différents intervalles jusqu’au jour où il fut décidé  de m’enlever le col de l’utérus.

 

Plusieurs mois plus tard, alors même que je n’avais plus de col de l’utérus, je reçus le 4ème diagnostic de cancer. C’est à ce moment-là que j’ai réalisé que la communauté médicale ne pouvait guère m’aider.

 

Mon cancérologue m’expliqua que j’allais mourir si je n’acceptais pas la chimiothérapie et la radiothérapie. C’est alors que je me suis rappelé que la santé des 3 membres de ma famille qui avaient été traités par chimiothérapie et radiothérapie, n’avait fait que se dégrader. – J’ai alors refusé les traitements qui m’étaient proposés.- Malgré le fait que j’étais dans la peur, j’ai commencé à faire mes propres recherches, à étudier. – J’ai finalement découvert le protocole du Dr M. Gerson (jeûne avec jus de fruits et de légumes, et lavement au café). J’y ai ajouté plusieurs autres thérapies alternatives. C’est ainsi que j’ai eu recours à la chiropraxie, à la chambre hyperbare, à l’acupuncture. J’ai aussi appris à méditer. J’ai ainsi pendant 6 mois, et de manière intense eu recours à différentes thérapies alternatives.

 

Après 6 mois, le cancer avait disparu.

Un cancer de stade 3 s’est développé chez une jeune femme qui avait reçu le vaccin contre le HPV

Erin chaleureusement applaudie par toute la salle

 

Dans mon alimentation, j’ai eu l’attention particulièrement attirée par les aliments ayant des propriétés anti-inflammatoires.- Ma nourriture était essentiellement bio ; pas de pesticides.

 

J’ai aussi pris des doses importantes de vitamine C. Je veillais à prendre des aliments sans gluten, sans produits à base de soja. J’avais aussi supprimé tous les produits laitiers. Des graisses comme l’huile de coco m’ont redonné de l’énergie car, pendant environ 2 ans je m’étais sentie très fatiguée, ne voulant pratiquement plus quitter mon lit. Ce régime à base de bonnes graisses est aussi favorable au bon fonctionnement du cerveau. J’ai aussi pris beaucoup d’Oméga 3.

 

Une chose qui m’a beaucoup aidée : l’exercice (yoga et marche) Sur le plan de l’exercice, il me fallait aussi être très prudente.

 

J’ai aussi essayé d’éviter toutes les formes possibles d’aluminium, de fluor.

 

D’une certaine manière, je me rends compte que c’est une chance de n’avoir eu qu’une seule injection. C’est peut-être grâce à cela que je suis encore là aujourd’hui. C’est en effet après la première injection que j’ai de suite été malade. – Il y a maintenant 9 ans que je n’ai plus de cancer.

 

Je ne sais personnellement pas si c’est le vaccin qui a causé tout cela ; je ne suis pas compétente en la matière. Ce que je puis dire cependant c’est que la maladie contre laquelle je voulais me protéger, je l’ai finalement contractée, et ce fut une longue et dure bataille.

 

Je veux aussi dire aux victimes du Gardasil qu’il y a de l’espoir grâce à l’alimentation et au style de vie.

 

Source : Deeprootsathome.com

 

 

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24 décembre 2016 6 24 /12 /décembre /2016 14:30
Article paru dans le Wall Street Journal...

Article paru dans le Wall Street Journal...

Par Riko Muranaka, médecin et journaliste médical, 28 novembre 2016 (Résumé)

 

Le « Wall Street Journal » du 28 novembre 2016, portant comme titre : « Arrêter la progression du mouvement anti-vaccin au Japon» regrette que la santé des femmes japonaises soit de plus en plus mise en danger suite à une politique de santé qui s’inspirerait de théories conspirationnistes, d’ingérences politiques erronées et de précautions bureaucratiques suscitées par la publication de prétendus effets secondaires.

 

Il en a résulté que les filles en âge de se faire vacciner n’ont plus voulu recevoir le vaccin.

 

C’est ainsi que la couverture vaccinale est tombée de 70% à moins de 1%.

 

Le journal rappelle que le cancer du col de l’utérus constitue une vraie menace pour les femmes. Il y aurait grosso modo au Japon quelque 9.300 cas de cancer du col et 3.000 décès.

 

Le journal précise que l’efficacité et la sécurité du vaccin a plusieurs fois été démontrée. Cette vaccination est aussi recommandée par l’OMS et les sociétés médicales japonaises.

 

En dépit de tout ceci, le Dr Shuichi Ikeda, désigné par le gouvernement pour enquêter sur les soi-disant effets secondaires du vaccin HPV a déclaré à la télévision que « sans aucun doute, il existait des signes patents de troubles cérébraux »…

 

Le jour suivant, les grands journaux japonais publiaient des titres alarmistes.

 

Un mois plus tard, le MHLW publiait lui aussi un article pour réfuter les déclarations du Dr Ikeda.

 

C’est la politique qu’avait suivie le gouvernement à propos de l’étude du Dr Ikeda et  l’hésitation de Tokyo face à la controverse qui ont permis que des doutes non fondés au sujet de la sécurité du vaccin puissent se répandre.

 

L’exemple du Japon a, non seulement isolé le pays de la communauté médicale mondiale, mais a aussi encouragé les opposants à la vaccination à démanteler les efforts déployés pour protéger les femmes à l’échelle mondiale.

 

C’est ainsi qu’au Danemark, après que le médecin japonais Kusuki Nishioka ait déclaré à la télévision que la vaccination pouvait provoquer des troubles cérébraux que les taux de couverture vaccinale sont tombés de 80% à 20%. C’est ainsi que le mouvement anti vaccinaliste s’est étendu au Japon.

 

Le 27 juillet, 63 jeunes femmes ont porté plainte contre le gouvernement japonais et les fabricants de vaccin dans différents districts. Ces jeunes femmes demandent à être dédommagées pour les soi-disant effets secondaires du vaccin.

 

Les médias ont couvert ces procès, mais ont ignoré les preuves médicales. Ceci a favorisé une crédibilité disproportionnée par rapport aux arguments des plaignantes.[…]

 

Source : Wsj.com

Réaction du Dr Suzanne Humphries, néphrologue américaine, à la lecture du Wall Street Journal... en pensant à toutes les vies qui seront ainsi sauvées des effets calamiteux de cette vaccination

Réaction du Dr Suzanne Humphries, néphrologue américaine, à la lecture du Wall Street Journal... en pensant à toutes les vies qui seront ainsi sauvées des effets calamiteux de cette vaccination

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