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24 décembre 2016 6 24 /12 /décembre /2016 14:30

Cadeau de Noël au bon sens: les taux de vaccination HPV s'effondrent au Japon ( + que logique vu la dangerosité évidente!)

Article paru dans le Wall Street Journal...

Article paru dans le Wall Street Journal...

Par Riko Muranaka, médecin et journaliste médical, 28 novembre 2016 (Résumé)

 

Le « Wall Street Journal » du 28 novembre 2016, portant comme titre : « Arrêter la progression du mouvement anti-vaccin au Japon» regrette que la santé des femmes japonaises soit de plus en plus mise en danger suite à une politique de santé qui s’inspirerait de théories conspirationnistes, d’ingérences politiques erronées et de précautions bureaucratiques suscitées par la publication de prétendus effets secondaires.

 

Il en a résulté que les filles en âge de se faire vacciner n’ont plus voulu recevoir le vaccin.

 

C’est ainsi que la couverture vaccinale est tombée de 70% à moins de 1%.

 

Le journal rappelle que le cancer du col de l’utérus constitue une vraie menace pour les femmes. Il y aurait grosso modo au Japon quelque 9.300 cas de cancer du col et 3.000 décès.

 

Le journal précise que l’efficacité et la sécurité du vaccin a plusieurs fois été démontrée. Cette vaccination est aussi recommandée par l’OMS et les sociétés médicales japonaises.

 

En dépit de tout ceci, le Dr Shuichi Ikeda, désigné par le gouvernement pour enquêter sur les soi-disant effets secondaires du vaccin HPV a déclaré à la télévision que « sans aucun doute, il existait des signes patents de troubles cérébraux »…

 

Le jour suivant, les grands journaux japonais publiaient des titres alarmistes.

 

Un mois plus tard, le MHLW publiait lui aussi un article pour réfuter les déclarations du Dr Ikeda.

 

C’est la politique qu’avait suivie le gouvernement à propos de l’étude du Dr Ikeda et  l’hésitation de Tokyo face à la controverse qui ont permis que des doutes non fondés au sujet de la sécurité du vaccin puissent se répandre.

 

L’exemple du Japon a, non seulement isolé le pays de la communauté médicale mondiale, mais a aussi encouragé les opposants à la vaccination à démanteler les efforts déployés pour protéger les femmes à l’échelle mondiale.

 

C’est ainsi qu’au Danemark, après que le médecin japonais Kusuki Nishioka ait déclaré à la télévision que la vaccination pouvait provoquer des troubles cérébraux que les taux de couverture vaccinale sont tombés de 80% à 20%. C’est ainsi que le mouvement anti vaccinaliste s’est étendu au Japon.

 

Le 27 juillet, 63 jeunes femmes ont porté plainte contre le gouvernement japonais et les fabricants de vaccin dans différents districts. Ces jeunes femmes demandent à être dédommagées pour les soi-disant effets secondaires du vaccin.

 

Les médias ont couvert ces procès, mais ont ignoré les preuves médicales. Ceci a favorisé une crédibilité disproportionnée par rapport aux arguments des plaignantes.[…]

 

Source : Wsj.com

Réaction du Dr Suzanne Humphries, néphrologue américaine, à la lecture du Wall Street Journal... en pensant à toutes les vies qui seront ainsi sauvées des effets calamiteux de cette vaccination

Réaction du Dr Suzanne Humphries, néphrologue américaine, à la lecture du Wall Street Journal... en pensant à toutes les vies qui seront ainsi sauvées des effets calamiteux de cette vaccination

Voir aussi:

 

Japon: le Ministère retire sa recommandation en faveur des vaccins HPV Gardasil et Cervarix

 

Le Japon exige la divulgation des effets secondaires des vaccins HPV

 

Japon: avertissement des chercheurs sur les effets secondaires des vaccins HPV

 

Une jeune virtuose japonaise détruite par le vaccin HPV Cervarix

 

Vaccin HPV: plaintes de 64 jeunes femmes japonaises devant 3 tribunaux pour effets secondaires

 

 

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24 décembre 2016 6 24 /12 /décembre /2016 13:47

Pic de dédommagements de + de 400% pour le vaccin contre la grippe devant le "tribunal américain des vaccins"

Le « Tribunal américain des vaccins » enregistre un pic de  dédommagements de 400% - le vaccin contre la grippe détient tous les records d’indemnisation

Pic de dédommagements de + de 400% pour le vaccin contre la grippe devant le &quot;tribunal américain des vaccins&quot;

Retombées du vaccin contre la grippe

 

Par The Mom Street Journal, 8 décembre 2016

 

Mes amis, les dommages vaccinaux sont en hausse. Si vous avez la tête dans le sable et si vous ne vous êtes pas tenus informés, voilà qu’il est grand temps de vous réveiller.

 

Il y a près de 30 ans, le 40ème Président des Etats-Unis a supprimé les droits des citoyens américains de poursuivre les fabricants de vaccins. En lieu et place de ces possibilités de poursuites judiciaires des fabricants de vaccins, il a promulgué une loi qui oblige les familles qui ont subi des dommages vaccinaux ou dont un de leurs membres est décédé à la suite d’une vaccination d’entamer des poursuites contre le gouvernement américain au lieu de poursuivre les compagnies pharmaceutiques.

 

En conséquence, des juges (« special masters ») spéciaux ont été nommés pour ce Tribunal spécial de revendications. Ces juges ont reçu pleine autorité de décider, en l’absence de tout jury, du sort des américains qui ont eu la « malchance » de voir leur santé endommagée par un vaccin. Cette « malchance » peut aller de symptômes chroniques légers jusqu’à des décès.

 

Une fois par an, ce Tribunal « spécial » donne au public un aperçu de son fonctionnement interne en publiant un rapport annuel sur son site web – un rituel qui  apparait toutes les années en janvier. Ce rapport est envoyé au Président du Congrès et est destiné à surveiller les réactions que peut avoir le public américain au sujet de la vaccination que le gouvernement rend progressivement de plus en plus obligatoire.

Super, non ? Responsabilité en action ?

 

Tout faux !

 

Ce rapport qui est systématiquement ignoré des grands médias, des politiciens, des responsables de la santé et du CDC (Centres de Contrôle et de Prévention des Maladies) est en fait en sommeil sur la page du site du Tribunal des revendications spéciales des Etats-Unis. Pas de titres, pas de communiqué de presse, pas d’analyse, pas d’alerte aux médias, rien !

 

Rien de surprenant, étant donné que la plupart des américains ne savent même pas que les vaccins ont été jugés inévitablement dangereux par la Cour Suprême des Etats-Unis en 2011.

 

 

Rien de surprenant non plus que les médias de l’élite globaliste ignorent d’habitude ces rapports en dépit des arguments raisonnables avancés par les défenseurs des libertés et de la santé au sujet des dangers et des risques que présentent les vaccins. Ces gens s’obstinent à déclarer que tout est fondé sur la science, que le risque vaccinal a été « démystifié » pour éviter toute discussion rationnelle ayant trait aux preuves qui existent, et que tout un chacun a la possibilité de voir.

 

Rien de surprenant non plus dans le fait que ce tribunal spécial présente chaque année une version style archaïque de rapport, inefficace et peu technique. Au lieu d’un document agréable et facile à lire, le tribunal publie un document PDF numérisé – un format qui nécessite  toute une main d’œuvre pour pouvoir effectuer une analyse concrète. Il faut des semaines pour revoir et déchiffrer plus de 220 pages, procéder à une répartition détaillée et manuscrite, vaccin par vaccin, et pour chaque cas, pour finir par obtenir une pertinence statistique et les tendances qui se dessinent.

 

Est-ce fait exprès ? Peut-être. Mais très certainement un moyen de dissuader qui que ce soit de s’asseoir pour analyser les chiffres.

 

C’est la raison pour laquelle nous faisons ce travail chaque année depuis 2014.

 

Il nous a, par exemple, fallu 10 mois pour terminer notre analyse du rapport de cette année ! Une fois le travail terminé, les tendances que nous avons dégagées nous ont profondément choqués – non seulement parce qu’elles révélaient une augmentation continuelle des dommages vaccinaux, mais aussi à cause du silence assourdissant des grands médias. Les dommages vaccinaux continuent à être des sujets que les journalistes ignorent – en les mettant sur le compte des théories du complot ou de fausses nouvelles.

 

Asseyez-vous et devinez ce que nous avons découvert :

 

1. Les dédommagements acceptés par le « Tribunal des vaccins »  ont, au total, et en 2015, augmenté de 91,2 millions de dollars. De 22,8 millions de dollars en 2014 à 114 millions de dollars en 2015 – soit une augmentation de 400%.

 

2.Ce sont les dédommagements pour effets secondaires causés par le vaccin contre la grippe et acceptés par le « Tribunal des vaccins » qui ont augmenté le plus. Ils sont passés de 4,9 millions de dollars en 2014 à 61 millions de dollars en 2015 – soit une augmentation de 1000%...

 

3. La varicelle a connu sa troisième plus forte augmentation – de 0 dollar en 2014 à 5,8 millions de dollars en 2015. (pas étonnant que le zona est en hausse chez les personnes âgées, car récemment les petits-enfants vaccinés répandent continuellement des virus vivants sans que leurs aînés se doutent de quoi que ce soit).

 

4. L’hépatite B a été la quatrième augmentation la plus forte des dédommagements acceptés par le « Tribunal des vaccins » : 321%. Les indemnités de 1,9 million de dollars en 2014 sont passées à plus de 8 millions de dollars en 2015.

 

5. Les vaccins DTCa, DTC et DT représentent la hausse numéro 5 soit 75%, passant de 5,5 millions de dollars en 2014 à 9,8 millions de dollars.

Pic de dédommagements de + de 400% pour le vaccin contre la grippe devant le &quot;tribunal américain des vaccins&quot;

Le reste des règlements qui n’ont pas été repris ci-dessus sont :

 

Tétanos : 4 millions de dollars

 

HPV : 3,4 millions de dollars en hausse, par rapport à presque rien en 2014

 

ROR : a perdu la position numéro 1 qu’il occupait l’an dernier. Il est descendu à moins d’un million de dollars ; une diminution de 88%

 

Coqueluche : 1,7 millions de dollars

 

HiB : 345.000 dollars

 

Méningocoque : 500.000 dollars

 

Hépatite A : 408.000 dollars

 

DTC et Polio 210.000 dollars

 

Rotavirus 76.000 dollars

 

« Autre » illustre la nature douteuse du rapport du « Tribunal des vaccins » et son manque de transparence. Au lieu de déterminer quelle combinaison de vaccins a produit des dommages ou des décès, un « maître spécial » peut décider de d’étiqueter un vaccin « autres », ce qui a comme conséquence de diminuer son incidence sur les nombres globaux en dernière analyse.

 

En 2015, la catégorie « autres » a été la deuxième augmentation la plus importante des règlements, totalisant 21,5 millions de dollars en payements, soit 388% de plus que les 4,4 millions de dollars versés l’année précédente.

 

Nous ne voulons accuser personne, mais il faut reconnaître qu’une augmentation de 388% c’est beaucoup ! Quelle est la combinaison de vaccins qui provoque une telle augmentation ? Le public n’aurait-il pas le droit de le savoir ? …

 

Avons-nous mentionné que ces résultats concernent UNIQUEMENT les jugements? – les cas qui ont été jugés en faveur des plaignants. Ces résultats ne comprennent pas les honoraires complets des deux parties qui sont payés par le gouvernement des Etats-Unis, que l’avocat gagne ou perde l’affaire. Au lieu de les inclure dans les rapports de jugements, ils sont souvent repris dans des catégories distinctes, ce qui rend l’analyse des données beaucoup plus difficile.

 

Le montant total des frais juridiques pour le « Tribunal de la vaccination » en 2015, s’élève à 42 millions de dollars.

 

 

Source : Health Impact News

 

Voir aussi: 

 

Grippe: de nouveaux vaccins mais toujours le même baratin

 

Les risques des vaccins antigrippaux que l'Assurance Maladie vous cache [notices professionnelles des vaccins Fluarix, Agrippal, Immugrip & Vaxigrip]

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23 décembre 2016 5 23 /12 /décembre /2016 19:04

Vaccins: tous les parents doivent savoir ce qui arrive à nos enfants !

« Tous les parents doivent savoir ce qui arrive à nos enfants »

 

    Donovana Interviewée par Polly Tommey, VAXXED  Tour, décembre 2016

Vaccins: tous les parents doivent savoir ce qui arrive à nos enfants !

Mon histoire commence en 2007 quand mon neveu Donovan est né. Il était en parfaite santé et rayonnait la joie. Alors qu’il allait avoir deux ans, il a, comme cadeau de Noël, reçu un petit train. Il s’exprimait déjà très bien et répétait : « Voici l’express, tout le monde en voiture ! »

Vaccins: tous les parents doivent savoir ce qui arrive à nos enfants !

Quelques mois plus tard mon frère amena Donovan chez moi. Il avait le nez cassé, des problèmes aux yeux. On aurait dit qu’il n’était plus présent. Je me rappelle m’être demandé : mais que diable a-t-il bien pu arriver à ce petit ? J’ai très vite pensé que quelqu’un avait dû le maltraiter. Je l’ai conduit à l’hôpital pour qu’on me dise ce qui était arrivé à mon petit neveu. Comme il n’était pas beau à voir, les médecins et infirmières ont immédiatement fait appel au CPS. Le personnel médical m’a tout de suite fait comprendre que l’enfant avait vraiment dû être maltraité, qu’on l’avait peut-être poussé dans les escaliers tant il était mal arrangé.

Vaccins: tous les parents doivent savoir ce qui arrive à nos enfants !

Mon frère m’a expliqué que le petit se frappait la tête contre la table, contre le mur, contre tout ce qui était à sa portée. Les médecins, eux, m’ont dit que des enfants aussi jeunes ne pouvaient pas se faire du mal de pareille façon. Ils continuaient à prétendre que quelqu’un avait dû le maltraiter. Nous ne comprenions rien à toute cette affaire.

 

Quelques mois plus tard, on a retrouvé mon petit neveu sur l’autoroute ! Il avait alors deux ans. La police est parvenue à le récupérer et à le ramener chez mon frère qui, à ce moment, était en train de dormir.

 

Ayant été avertie, je me suis précipitée chez mon frère, et lui ai dit qu’il devait un peu mieux surveiller son petit garçon qui était encore si jeune. Mon frère m’a affirmé qu’il avait pris toutes les précautions de sécurité, que toutes les portes étaient fermées à clef et qu’il ne savait pas du tout comment il avait pu s’échapper. J’étais malgré tout fâchée sur mon frère qui ne parvenait pas à garder son petit à la maison.

 

Un mois plus tard, ce sont des voisins qui ont retrouvé l’enfant sur la rue. Ils l’ont ramené chez eux en attendant l’arrivée de la police. C’était la troisième fois que la police devait intervenir pour cet enfant pour maltraitance ou négligence.

 

Je me suis dit qu’il fallait que tout cela cesse. Je ne veux plus voir mon petit neveu avec toutes ces blessures et contusions. J’ai alors pris le téléphone et appelé le CPS. Je leur ai expliqué qu’il y avait quelque chose qui ne tournait pas rond. Le petit avait en outre arrêté de parler; il hurlait aussi pendant des heures, ne me regardait plus. Il ne supportait plus d’être touché; cet enfant n’était plus du tout le même. Quelqu’un avait dû le traumatiser gravement.

 

Comme il s’agissait du troisième rapport de police, l’enfant devait être placé. On a fait savoir à mon frère que le petit serait placé à cause des mauvais traitements qu’il avait reçus. C’est alors que mon frère s’est suicidé. La dernière chose qu’il a faite fut de m’appeler pour me dire : « J’aime mon petit garçon ; je ne l’ai jamais maltraité, mais personne ne veut me croire. Je te demande de bien vouloir t’en occuper ; tu seras une excellente maman pour lui. Je t’aime beaucoup ». 

Vaccins: tous les parents doivent savoir ce qui arrive à nos enfants !

C’est la police qui m’a ensuite fait savoir qu’il était mort.- Et maintenant, le pire de tout. Quand nous avons pu obtenir la garde de Donovan, les services sociaux m’ont fait savoir que le pédiatre avait enregistré que ses bilans de santé avaient été normaux jusqu’à Noël. C’est à cette époque qu’il avait perdu le contact visuel, ne savait plus parler et qu’il avait changé à un tel point qu’on nous a recommandé de le faire examiner pour savoir s’il ne souffrait pas d’autisme.

 

A cette époque je faisais mes études de médecine. Je croyais savoir un peu ce qu’était l’autisme. J’ai néanmoins conduit Donovan pour ces examens tout en pensant que je perdais mon temps.

 

Le psychologue m’a dit qu’il lui semblait que j’étais dans le déni parce que Donovan était bel et bien atteint d’une forme très sérieuse d’autisme.

 

En effet, il ne sait plus vous regarder, il ne sait plus parler, aller aux toilettes. Lors des examens, il a continué à se taper la tête sur la table. Le psychologue m’a dit qu’il était vraiment très malade et qu’il était grand temps que je cherche un institut pour lui parce que quand il serait plus grand il serait capable de vous frapper et vous ne pourriez plus le supporter.

 

Alors que le psychologue m’expliquait ces choses, je n’ai pas pu m’empêcher de penser que nous avions été complètement dans l’erreur : personne n’avait jamais  maltraité Donovan. Il s’est blessé lui-même parce qu’il avait régressé et était devenu autiste.

 

Bien que je croyais connaitre l’autisme, tous les signes que l’enfant donnait m’ont en fait échappé parce que ce qu’on m’avait appris sur l’autisme était totalement différent. On avait toujours attiré mon attention sur le fait que quelqu’un avait agressé Donovan. On ne m’avait jamais dit qu’un autiste pouvait s’échapper, se blesser, se frapper la tête contre les murs. On m’avait toujours dit qu’il n’était pas possible que l’enfant se frappe la tête contre des objets au point de se casser le nez.

 

J’ai tellement regretté ne pas m’être mieux informée. Je voudrais tellement pouvoir dire à mon frère que je regrette. Mais il est maintenant trop tard.

 

Nous avons donc adopté Donovan et faisons l’impossible pour le soigner. Heureusement, il va de mieux en mieux. Il ne devra pas être pris en charge par un institut spécialisé. Il sait maintenant se rendre à la toilette; il va même à l’école.

 

J’ai personnellement dû réapprendre ce qu’était l’autisme aujourd’hui, comment la maladie se manifeste et qu’elle n’est pas nécessairement irréversible.

 

J’ai voulu quitter la Faculté de médecine, car chaque fois que j’ai voulu parler de ce qui était arrivé à mon neveu, on me répondait qu’il n’était pas question d’aborder ce sujet !

 

J’ai eu l’occasion de voir une vidéo de Jimmy McCarthy qui parlait de son fils en précisant qu’aujourd’hui sa santé s’était améliorée.

 

Donovan  a tout perdu : sa maman, son papa, et il a commencé à souffrir d’autisme. On nous avait toujours dit qu’il resterait autiste pour le restant de ses jours.

 

J’ai commencé à acheter pas mal de livres, à consulter de nombreuses études et ai appris beaucoup plus que je n’aurais jamais pu imaginer par rapport à ce qui arrive à nos enfants. Ce que j’ai appris m’a bouleversée. Ce fut comme une immense vague.

 

Je ne pourrai jamais oublier qu’à sa visite médicale du 24 mai, soit 3 mois après qu’il aimait de dire : « tout le monde en voiture, l’express va partir », ils lui ont administré 8 injections pour un total de 14 vaccins. Cela s’est passé deux semaines avant que je le voie avec son nez cassé, les yeux abîmés et une blessure au front. Je n’avais, jusque là jamais pensé à rapprocher les deux choses jusqu’à ce que je lise une étude sur l’encéphalite. J’ai alors su dans mes tripes; mon frère me le soufflait au cœur : personne n’a jamais maltraité Donovan. Ce qui lui a fait perdre la santé, c’est tout autre chose. Ca été dur pour moi de voir les choses d’une toute autre façon. J’étais jusqu’alors pénétrée de tout ce que j’avais appris en biologie, biochimie, médecine.

 

Après avoir lu tous ces livres, épluché toutes ces études, ces données, il ne pouvait plus y avoir pour moi d’autre conclusion possible. Nous avons finalement compris que la santé de cet enfant avait été endommagée par les vaccins qu’il avait reçus.

 

C’est exactement à partir du moment où nous avons commencé à traiter Donovan pour ses dommages vaccinaux qu’il a commencé à guérir. Quand cet enfant a commencé à parler, j’ai réalisé que tout ce qu’on m’avait dit à propos du caractère incurable de cette maladie n’était pas exact.

 

J’ai fait la promesse à mon frère que je raconterais cette histoire à tout le monde et que je crierais sur tous les toits que la santé de ces enfants peut s’améliorer, et que cette maladie peut être évitée.

 

Je voudrais maintenant m’adresser à toutes les personnes qui sont passés par ces souffrances et je leur dis : je vous en prie, écoutez-moi, veuillez partager votre histoire avec le plus grand nombre de personnes possible, je vous en prie. Votre histoire est tellement importante; tous les parents doivent savoir ce qui arrive à nos enfants.

Vaccins: tous les parents doivent savoir ce qui arrive à nos enfants !

  Je vous en prie… !

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22 décembre 2016 4 22 /12 /décembre /2016 12:24

La fausse science vaccinale ne s'appuie que sur des dogmes et des postulats, elle ne veut surtout rien vérifier... c'est bien trop risqué!

Une scientifique digne de ce nom, la chercheuse canadienne en neurologie Lucia Tomljenovic explique le problème de façon limpide et c'est vraiment une chance pour tous les visiteurs de ce site que cette petite vidéo ait été sous-titrée en français, grâce à l'engagement de l'association citoyenne E3M, association des victimes de myofasciite à macrophages, une des innombrables maladies mais pas la seule imputable au dogme vaccinal:

Nous vous invitons aussi à voir ou revoir cette autre vidéo-ci, dans laquelle le Pr Philippe Even, ex doyen de faculté de médecine, expliquait lui aussi le caractère expérimental des vaccins qui ne peut fort malheureusement plus être nié de nos jours tant les preuves de ce triste fait sont aussi nombreuses qu'explosives....

Voir aussi:

 

Tous les vaccins sont expérimentaux: voici pourquoi

 

Vaccins: le vrai scandale des faux placebos

 

Dr Saluzzo de Sanofi Pasteur: "on ne sait pas comment marchent les vaccins"!

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21 décembre 2016 3 21 /12 /décembre /2016 22:23

Vaccins: démolition contrôlée ou incontrôlée des enfants (et des adultes)?!

Alors que 23 sociétés médicales ont récemment soutenu la proposition du Comité français d'orientation sur la politique vaccinale, à savoir de rendre 11 vaccins pour enfants obligatoires, il est plus que jamais essentiel de se demander ce que ce genre d'obligations pourraient engendrer sur le terrain comme handicapés supplémentaires et comme familles brisées à jamais... sur base de ce qu'on constate déjà aujourd'hui!

 

De nos jours, on peut clairement parler de démolition. Des enfants sains sont démolis par les vaccins; des enfants déjà malades et affaiblis le deviennent encore plus avec ces vaccins censés les protéger et cela, sans même parler des adultes. Il ne se passe pas un jour, une heure, sans que l'on entende parler de cas  tous plus dramatiques et irréversibles les uns que les autres. A chaque démolition par les vaccins (contrôlée ou incontrôlée, car le caractère laxiste des essais cliniques de vaccins montre de facto que ceux qui les injectent n'ont absolument aucune idée de l'ampleur du domino morbide que leurs injections peuvent déclencher!), soyons-en bien certains, les officiels brandiront leur unique "argument", si on peut appeler ça ainsi: "c'est une coïncidence!", tout en se cantonnant strictement à l'affirmation générale qui ne les engage pas à prouver quoi que ce soit que "les vaccins, comme tout médicament, peuvent comporter des risques mais c'est une question de balance bénéfices/risques". Sauf qu'en matière de vaccins, on attend toujours la preuve que le ratio bénéfices/risques serait positif! Mais on tourne bien sûr en rond car ce genre d'affirmation totalement gratuite de la part des officiels repose sur les résultats d'essais cliniques bâclés et biaisés et d'une sous-notification notoire des effets secondaires, même graves! C'est donc le serpent qui se mord la queue et la seule façon pour que le vaccin ne morde pas à jamais votre vie ou celle de vos enfants est donc de vous informer A TEMPS sur les conséquences concrètes qui pendent véritablement au nez de toutes et de tous!

 

Premier exemple (parmi beaucoup d'autres...), celui du petit Luke Maguire, pris de convulsions irrépressibles depuis ses vaccins effectués à l'âge de 4 mois... 

Les parents du petit témoignent:

 

"Mon petit Bobby est né le 22/1/2016. Quatre mois plus tard, notre monde a changé pour le pire. Bobby qui avait eu ses vaccins à 4 mois a fait de la température et a été pris de spasmes dans tout le corps. Depuis le vaccin, il n’a plus jamais été le même bébé. Il a commencé à faire des convulsions. Un jour, nous nous sommes levés à 4 heures du matin. Nous avons été terrifiés en découvrant que Bobby avait le visage tout bleu  et éprouvait de grosses difficultés à respirer. A partir de ce moment, les problèmes ne se sont plus arrêtés : il a fait jusqu’à 14 convulsions par jour et 6 pendant la nuit. Il se réveillait, puis ça recommençait sans que l’on puisse s’y attendre. Quand il a commencé à faire ses convulsions, j’ai tout de suite su que c’était à cause des vaccins.                                                                                                            

Les médecins, les infirmières et les services de santé ont fait tout ce qu’ils pouvaient pour étouffer l’affaire. Comme je tentais de faire l’impossible pour prouver que c’était bien les vaccins qui l’avaient mis dans cet état, ils ont essayé de prendre mon bébé sous prétexte que je mettais sa santé en danger en recherchant toute l’information possible sur les vaccins. Mes recherches sur les vaccins m’ont beaucoup stressé comme le fait de pressentir qu’ils étaient prêts à détruire une jeune famille pour étouffer ce que ces sales vaccins avaient provoqué. Il faut absolument faire quelque chose. Ils endommagent la santé de nos enfants. Ils n’ont aucun droit. En outre, ils ne vaccinent pas leurs propres enfants. Des médecins m’ont dit qu’ils ne pouvaient mentir ! Le fait qu’ils poussent les parents à faire vacciner leurs enfants montre à quel point ils sont malfaisants.

 

Je voudrais vous prier de transmettre notre histoire au plus grand nombre possible de personnes et de nous aider, mon petit garçon et moi-même. Je vous en remercie d’avance. Je veux tout juste que mon petit retrouve sa santé d’avant. Si quelqu’un me dit que les vaccins ne sont pas en cause qu’il le prouve. Je ne veux causer de problème à personne. Je veux tout simplement rendre les gens conscients."

 

Mais voyez à présent cet autre cas, dramatique s'il en est! Il s'agit du cas d'un enfant australien qui a notamment reçu le vaccin ROR et le vaccin contre l'hépatite B. Malgré la tragédie dans laquelle lui et sa famille se trouvent, les autorités australiennes (qui ont conditionné depuis le 1er janvier 2016 les allocations familiales à la réalisation de tous les vaccins!) continuent d'exiger qu'on continue malgré tout à le vacciner... oui, vous lisez bien, on a affaire à ce genre de fous furieux et plus que dangereux, prêts à tout pour vacciner jusqu'à la mort et sans aucune pitié pour les victimes, ni aucun respect pour les libertés les plus fondamentales et le droit à l'intégrité des patients!!!!

 

Le message que cette vidéo veut faire passer est de montrer l’absurdité d’un système qui fait perdre à la famille de ce garçon gravement handicapé par les vaccins qu’il a reçus tous les avantages sociaux, si elle décide de ne pas se mettre en ordre avec la suite du programme de vaccination. Les services médicaux veulent continuer à  vacciner l’enfant, ce qui est le comble de l’absurde. Tout ceci en accord avec la politique gouvernementale australienne: «pas de vaccin, pas d’argent ! »

 

La maman évoque les deux vaccins que son fils a reçus : le vaccin contre l’hépatite B à l’hôpital, bien qu’elle-même n’était pas positive ainsi que le triple vaccin rougeole-oreillons-rubéole. Tant l’interviewer que la maman de l’enfant sont en colère contre cette politique qui veut que tout un chacun se fasse vacciner pour le bien de la communauté tout en ignorant et  abandonnant  les personnes dont la santé a été endommagée par les vaccins, ainsi que leurs familles.

 

Voir aussi:

 

La mesure qui fait honte à l'Australie: conditionner les allocations familiales aux vaccins des enfants

 

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17 décembre 2016 6 17 /12 /décembre /2016 20:20

Maladies, allergies et vaccinations: un biologiste explique le problème

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14 décembre 2016 3 14 /12 /décembre /2016 21:28

Les vaccins pourraient doper les virus au lieu de les éradiquer

Certains vaccins pourraient doper les virus au lieu de les éradiquer

Légende "savoureuse" de cette photo sur le site de Sud Ouest disant: "Les vaccins humains actuels sont "parfaits", mais des risques persistent pour les vaccins en cours d'élaboration © AFP ALIX GUIGON

Légende "savoureuse" de cette photo sur le site de Sud Ouest disant: "Les vaccins humains actuels sont "parfaits", mais des risques persistent pour les vaccins en cours d'élaboration © AFP ALIX GUIGON

28/07/2015 (mais reste hélas tout à fait actuel...)

 

Des chercheurs britanniques ont constaté l'aggravation des symptômes d'un virus chez les animaux alors qu'ils avaient subi préalablement une grande campagne de vaccination

 

Certains vaccins pourraient doper la virulence de maladies, selon une recherche sur le virus de la maladie de Marek chez les volailles. C'est la première fois que ce phénomène est observé lors d'une expérience, ce qui conforte une hypothèse controversée.

 

De tels vaccins dit imparfaits protégeraient les individus vaccinés tout en permettant au virus de survivre et d'évoluer pour devenir plus virulent. Il infecterait ainsi les sujets qui n'ont pas eu le vaccin, les rendant encore plus malades, expliquent ces chercheurs dont les travaux paraissent dans la revue américaine PLOS Biology.

 

"Les tests effectués avec le vaccin imparfait contre le virus de la maladie de Marek chez des poulets vaccinés et non-vaccinés, ont révélé que les non-vaccinés sont morts en dix jours tandis que ceux avec le vaccin ont survécu mais en continuant à transmettre un virus plus dangereux aux autres volailles avec lesquelles ils étaient en contact", explique le professeur Venugopal Nair, un des principaux co-auteurs de ces travaux.

 

Ces chercheurs n'ont pas pu prouver que le vaccin était directement responsable de l'évolution de ces souches plus virulentes. Ce n'est pas aussi clair que le phénomène d'évolution des microbes qui deviennent résistants aux antibiotiques.

 

Mais cette recherche montre la forte corrélation entre la vaccination et le développement de souches du virus qui sont devenues, avec le vaccin, beaucoup plus dangereuses pour les volailles. Avant les vastes campagnes de vaccination pour protéger les élevages, cette maladie n'était pas mortelle et sa contagion était beaucoup plus lente, rappellent ces scientifiques. 

 

Inquiétude pour les vaccins en développement 

 

Mais ce phénomène n'a été observé, jusqu'à présent, qu'avec des vaccins contre des agents pathogènes affectant les animaux. Les vaccins humains actuels sont "parfaits", permettant à la fois de protéger les personnes contre les virus et d'empêcher la transmission.

 

"Quand un vaccin fonctionne parfaitement comme ceux contre la variole, la polio ou la rougeole pour les enfants, les sujets vaccinés sont non seulement protégés, mais ils ne transmettent pas le virus aux non-vaccinés", a souligné Andrew Read, un autre co-auteur.

 

Ces vaccins sont conçus pour reproduire une forte réaction immunitaire que le corps humain développe naturellement après avoir été exposé à ces maladies.

 

Mais il y a une inquiétude pour les futurs vaccins actuellement en développement contre Ebola, le paludisme ou dans le futur, contre le VIH, le virus responsable du sida, ont estimé ces scientifiques.

 

Dans la mesure où il est quasiment impossible de développer une immunité naturelle totale contre ces infections il est probable que les premiers vaccins efficaces qui seront produits seront "imparfaits" avec un risque d'intensifier la virulence de ces virus, estiment les chercheurs.

 

Mais ils s'accordent à dire avec d'autres scientifiques qu'un vaccin même "imparfait" sera mieux que rien et représentera malgré cela une percée très importante contre ces maladies dévastatrices. 

 

Source : Sud Ouest

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11 décembre 2016 7 11 /12 /décembre /2016 10:14

Nanoparticules dans les vaccins: quand le soleil se couche sur la santé des enfants (un témoignage édifiant de plus...)

Tous les vaccins sont susceptibles de causer de graves effets secondaires. Qu'ils contiennent ou non de l'aluminium, qu'ils soient oraux ou injectables, tués ou vivants atténués, inactivés ou génétiquement modifiés, les vaccins restent, tous autant qu'ils sont et depuis toujours, mal évalués et expérimentaux. L'objet de cet article concerne cette fois une Xème préoccupation de plus, un Xème risque de plus (qui n'annule ou ne doit aucunement occulter tous les autres mais qui, tristement, s'y rajoute): la présence avérée de nanoparticules dans plusieurs vaccins pour enfants, et pas que dans le seul vaccin Meningitec (contre le méningocoque C). Le témoignage que vous allez lire ci-dessous concerne bien entendu beaucoup d'autres enfants qui souffrent en silence sans que leurs parents ne pensent jamais à établir la relation....

 

La présence de nanoparticules dans un vaccin comme l'Infanrix hexa (lire aussi ici le rapport confidentiel du fabricant qui était déjà suffisamment éclairant comme ça...) est dûment prouvée, des analyses rigoureuses ont été effectuées et l'on attend toujours les preuves que ces nanoparticules seraient innocentes ou anodines en plus de tous les autres risques donc, déjà évoqués....

 

Lire le rapport sur la présence de nanoparticules dans le vaccin Infanrix: ICI

(traduction française synthétique des données: ICI)

 

Merci aux parents qui ont bien voulu témoigner sur le cas de leur fils, Stéphane (prénom d'emprunt), pour éviter ce calvaire à d'autres enfants! Le vaccin contre les méfaits des vaccins, cela passera inévitablement par la parole, la communication et la diffusion du récit de toutes ces innombrables tragédies individuelles, qui se sont inévitablement transformées au cours du temps en une gigantesque tragédie collective.

Nanoparticules dans les vaccins: quand le soleil se couche sur la santé des enfants (un témoignage édifiant de plus...)

Voici en quelques mots l’histoire résumée de notre fils Stéphane, né en janvier 2013.

 

Stéphane est notre premier enfant. Ma grossesse a été difficile, beaucoup de vomissements, des contractions et des douleurs au col. Toutes les échographies étaient normales et Stéphane a toujours bougé beaucoup in utero.

 

Je me suis présentée plusieurs fois à la maternité au cours du dernier mois de grossesse car j’avais de grosses douleurs au col de l’utérus, beaucoup de contractions mais je suis rentrée à la maison à chaque fois. (Cela a été pareil lors de ma seconde grossesse pour notre petite fille née en août 2016.)

 

J’ai accouché en janvier 2013 à terme. Ce fut un accouchement provoqué et par voie basse. Stéphane a été placé sous néopuff pendant 10 minutes à sa naissance pour l’aider à stabiliser sa respiration.

 

Stéphane avait une attitude tête tournée à droite et les pédiatres que nous avons vus nous ont dit qu’il avait un torticolis congénital et, par la suite, une petite plagiocéphalie droite. En réalité c’était un syndrome de KISS KINDER qui a été traité par le Dr L. (Paris) en thérapie manuelle quand Stéphane a eu un an. Nous sommes sortis de la maternité au bout de 3 jours avec un nourrisson en parfaite santé, allaitement maternel exclusif.

 

Stéphane a babillé très tôt, à 3 semaines, puis a joué avec des objets suspendus avant ses 2 mois et supportait à 1 mois et une semaine quelques minutes la position couchée sur le ventre en appui sur les bras. Dans les bras nous lui tenions très peu la tête à 2 mois et il la redressait, même s’il semblait gêné par son « torticolis ». Il était un bébé dans le contact qui pleurait peu et était nourri au sein exclusivement. C’était un petit garçon souriant, éveillé et tonique. Il jouait sur son tapis d’éveil et était symétrique dans ses mouvements de bras et jambes. Il avait un strabisme intermittent comme beaucoup de bébés de son âge et était gêné par contre par un reflux.

 

J’ai repris mon travail d’infirmière libérale alors que Stéphane allait avoir deux mois et l’épuisement causé par mes tournées chargées a fait se tarir mon lait. Nous sommes donc passés au lait maternisé, non sans mal, car Stéphane n’a pas vraiment apprécié les biberons et le lait différent, a eu des coliques, des épisodes de constipation et une majoration du reflux.

 

Puis il a été vacciné le 15 mars 2013 pour ses 2 mois : Infanrix hexa + Prevenar 13 + Rotateq.

 

De là, tout a commencé à aller mal. Il a, suite aux vaccins et comme la PMI m’avait prévenue, eu un pic fébrile le soir même à 39 de température et ce, jusqu’au lendemain. Il était moins réactif et « mou » alors, j’ai donné du paracétamol comme conseillé et la fièvre est tombée. Le 18 mars, Stéphane s’est mis à avoir de la température à nouveau, amorphe et atone et cela m’a inquiétée mais la PMI m’a rassurée, c’était un effet secondaire normal et courant. J’ai signalé aussi qu’il avait de fortes diarrhées et beaucoup de difficultés à s’alimenter et ce pendant 10 jours. Je suis retournée à la PMI et cela a été constaté également car il avait perdu du poids. On m’a conseillé d’aller à l’hôpital si son état de santé se dégradait.

 

Je l’ai soigné à la maison avec des solutés de réhydratation. L’épisode de diarrhées a fini par s’arrêter.

 

Mais dès lors, sur le plan digestif, tout s’est dégradé, il ne supportait plus rien, nous avons dû changer plusieurs fois de lait pensant au début que le problème venait de là. Stéphane est devenu un bébé constipé chronique à qui nous devions régulièrement faire des lavements. Ses reflux sont devenus majeurs, et il y a eu très peu de prise de poids. (8 kg à deux ans).

 

Stéphane, qui était un bébé calme et souriant est devenu crispé, douloureux et pouvait hurler pendant des heures avec des cris stridents à vous déchirer le cœur. Le contact visuel s’est amoindri, notre bébé s’est renfermé sur lui-même, grimaçant et se tordant, gémissant sans arrêt. Nous étions désemparés. Par moments, Stéphane babillait et tout à coup semblait « absent », le bras droit en l’air. Rien de tout ce que nous avons signalé n’a été pris au sérieux, les douleurs de coliques étant la piste privilégiée par le corps médical, il fallait que son système digestif « se fasse ».

 

Le 26 avril 2013, à 3 mois, il a reçu le vaccin Pentavac avec toujours, suite à cela, une apathie les jours suivants, de fortes fièvres mais d’après les pédiatres, c’étaient des effets secondaires « normaux » et nous ne devions pas nous inquiéter outre mesure. Notre petit garçon s’est mis à regarder en arrière, est devenu plus « mou » et semblait beaucoup moins mobiliser son côté droit. Ses cris se sont accentués et sont devenus stridents, il semblait avoir des céphalées. Nous avons remarqué qu’il ne bougeait plus de façon symétrique et qu’il mobilisait son hémicorps droit difficilement.  Il souffrait, se tordait dans tous les sens mais les médecins ont encore mis l'accent sur les coliques et sur le fait que j’étais une mère trop stressée…Stéphane ne dormait plus que très peu.

 

Nous avons en tout changé cinq fois de pédiatre car nous étions désespérés et voyions bien que quelque chose n'allait pas mais nos appels n’ont pas été pris en compte.

 

La seule réponse répétitive que nous avons entendue a été qu'il n'y avait aucun problème et qu'au deuxième enfant, nous serions moins angoissés. Peu à peu notre enfant est devenu de plus en plus hypotonique et souffrant, de moins en moins souriant, de plus en plus« absent ».

 

Le 27 mai 2013 pour ses 4 mois, Stéphane a reçu les vaccins Infanrix hexa+Prevenar 13.

 

Je suis allée en consultation accompagnée de ma sœur, n’ayant plus le courage ni la force d’affronter seule les réponses du pédiatre, à qui j’ai fait part de mes craintes au sujet de l’état de Stéphane qui se dégradait chaque mois après chaque série de vaccins et de son manque de tonus musculaire. Réponse toujours la même : « vous êtes stressée, votre enfant va bien »., Il a pris Stéphane dans les bras, l’a remué pour évaluer sa tenue de tête, et nous a dit qu’il était un « feignasse » et que ça lui passerait. Nous avons, après insistance, pu obtenir une prescription pour un EEG effectué quelques jours plus tard qui s’est avéré anormal, sans explication franche car « atypique ».

 

Quelques jours après cette 3e série de vaccins, l’état de Stéphane s’est très vite dégradé, enchaînant les révulsions, absences, et les EEG réalisés ont montré une augmentation de l’état épileptique et une majoration des pointes ondes. Notre enfant était alors de plus en plus hypotonique, interagissait de moins en moins, avait des pics fébriles sans explications et toujours extrêmement douloureux.

 

Il a été hospitalisé au CH Valence (26) début juin 2013 puis transféré à l’HFME de Bron en neuropédiatrie (Lyon, 69) mi-juin dans un état très préoccupant. Notre enfant était alors complètement atone, amorphe, il refusait de s’alimenter et hurlait de douleurs.

 

De là ont été faits de nombreux examens génétiques, métaboliques qui sont revenus normaux. Les EEG  étaient toujours « atypiques » avec de nombreuses pointes ondes.

 

Fin juin l’état apathique de Stéphane s’est aggravé, il enchaînait les absences et les révulsions oculaires. Stéphane semblait extrêmement douloureux et renfermé sur lui-même.

 

Nous avons signalé la corrélation entre la dégradation mensuelle de Stéphane et ses séries de vaccins, expliquant qu’à chaque vaccination, l’état de Stéphane s’est dégradé et qu’il a comme « récupéré » un peu quelques semaines plus tard mais cela est allé en se dégradant à chaque nouvelle série jusqu’à ce que ses acquisitions s’abolissent totalement. Mais le sujet semblait être « tabou ». Des collègues infirmières m’ont quand même confirmé voir de plus en plus souvent des enfants arriver aux urgences pédiatriques avec des symptômes similaires à ceux de notre enfant suite à des vaccinations.

 

Nous sommes rentrés chez nous après plusieurs jours d’hospitalisation et de surveillance intensive sans solution, plusieurs aller-retours en neuropédiatrie sans diagnostic et sans réponse, avec un enfant que nous ne reconnaissions plus. Aucun professionnel jusqu’alors rencontré n’a voulu prendre la peine de signaler à l’ANSM les effets indésirables que nous avons rencontrés lors des 3 séries de vaccination de notre enfant. Le sujet en France semblait être « tabou ». Nous n’avions de réponse que de médecins étrangers pour qui cela semblait être un problème rencontré très souvent dans leurs pays et eux pouvaient en discuter librement, la vaccination n’étant d’ailleurs pas obligatoire dans les autres pays européens. (sauf en Italie). Nous sommes donc rentrés chez nous résignés de devoir nous occuper d’un enfant handicapé, mais aucunement décidés à laisser cette situation sans réponse.

 

A force de faire énormément de recherches et contraints de supporter le silence du corps médical français, nous avons eu la chance de rencontrer des médecins ouverts sur la question des effets indésirables de la vaccination. Nous avons pu avancer doucement pour aider au mieux Stéphane et le traiter notamment pour un rotavirus permanent, découvert à ses 2 ans quand le médecin a constaté qu’il ne prenait pas de poids malgré une alimentation saine, variée et enrichie. Rotavirus qu’il traînait indéniablement depuis sa primo-vaccination par Rotateq à ses 2 mois…

 

Stéphane aura bientôt 4 ans et ses premières tristes années ont été parsemées d’embûches, car c’est un petit garçon affaibli qui a été souvent malade : hospitalisations pour des bronchiolites, des bronchites, des fièvres inexpliquées, des cris incessants...

 

Il est extrêmement douloureux au quotidien (reflux, douleurs neuro-musculaires, osseuses, céphalées, vertiges ...) et aucun spécialiste n’a pu le soulager.

 

Il ne parle pas, ne tient pas encore assis tout seul malgré, par semaine, 3 séances de rééducation par kiné par semaine depuis 3 ans, une séance de psychomotricité, une séance de méthode Padovan et une séance d’orthophonie. Il a tenu sa tête vers 1 an et demi et commence à arriver à pousser sur ses bras quand il est allongé sur le ventre. Nous avons énormément travaillé pour qu’il retrouve une mobilité de son hémicorps droit, et ma mère l’a rééduqué pendant 1 année pour qu’il puisse déglutir sans s’étouffer, et perdre un réflexe nauséeux très important.

 

Nous allons régulièrement à l’étranger dans des centres de rééducation intensive, temps pris sur nos vacances, à nos frais, pour faire progresser notre enfant, puisqu’il n’existe aucune structure en France pour les jeunes enfants...

 

Le quotidien est lourd, puisque nous avons décidé de le rééduquer aussi à la maison: j’ai travaillé à mi-temps pendant 2 ans et demi et j’ai dû arrêter ma profession d’infirmière libérale il y a quelques mois pour me consacrer à mon fils et à sa rééducation quotidienne.

 

Mes parents, censés être à la retraite et pouvoir enfin souffler, viennent aussi au quotidien chez nous pour nous aider. Notre enfant souffre sans pouvoir exactement nous montrer où se situent ses douleurs, même si son système digestif semble en être une des causes la plus probable (malabsorption intestinale, intolérances alimentaires, hernie hiatale et RGO avérés). Nous n’avons quasiment plus de vie sociale, peu de nuits car Stéphane se réveille en pleurs toutes les nuits, surexcité entre 2h et 5h du matin et rongé par la douleur.

 

Il va à l’école depuis le mois d’octobre avec une AVS  8h par semaine, et nous n’avons personne d’assez formé et habilité à garder Stéphane la journée, malgré plusieurs tentatives et différents modes de garde testés. 

 

Pourquoi avoir accepté la vaccination de mon enfant si nous pensions dès le départ que le problème venait de là ?

 

Je suis infirmière libérale et j’ai toujours cru jusqu’alors aux bienfaits de la vaccination, pensant à l’abolition des épidémies, aux vies sauvées grâce à ce progrès de la médecine. Mais comme tout médicament, il existe des effets indésirables, des effets secondaires graves qu’aucun médecin rencontré au moment de la vaccination n’avait mentionnés. Seule la fièvre a été décrite et présentée comme un élément banal et courant. Aucune fois les risques d’encéphalite ou d’hypotonie n’ont été mentionnés…

 

Quand nous avons voulu nous en tenir uniquement au DTP, le vaccin n’était plus disponible avec ces seules valences et quand j’ai demandé un délai ne sachant pas que j’avais jusqu’aux 18 mois de Stéphane pour être en règle avec l’obligation de primo-vaccination, les médecins rencontrés m’ont dit qu’étant infirmière libérale en activité, j’étais inconsciente de vouloir reporter la vaccination des 2, 3 et 4 mois de mon fils, et que si je voulais la mort de mon enfant je m’y prenais très bien ! On m’a dit aussi que j’étais fichée à la PMI puisque j’y étais allée pour peser mon fils les premières semaines, et que je serais donc contrôlée en cas de non vaccination dans les règles de mon enfant.

 

Mon fils a donc reçu 3 séries d’injections en 3 mois d’affilée comme le recommandait à l’époque l’ancien calendrier vaccinal, chose qui, 3 mois plus tard, n’était plus d’actualité avec de nouvelles recommandations de vaccinations finalement à 2 et 4 mois « seulement » !

 

Tout ce que nous attendons est que justice soit faite, que la vérité au sujet des effets secondaires EXISTANTS concernant les vaccins puisse être acceptée, reconnue, et que l’on arrête de mentir aux familles comme cela a été fait dans le passé avec le Distilbène, la Thalidomide, le Mediator et aujourd’hui la Dépakine.

 

Le vaccin a beau être mis sur le marché avec la promesse de protéger la population, sous couvert de présenter un intérêt de santé publique, il n’en reste pas moins un MEDICAMENT que chacun d’entre nous risque de ne pas pouvoir obligatoirement supporter, selon ses antécédents familiaux, son terrain, son histoire et selon le mode d’utilisation, comme il l’a été fait pour mon fils, en série, alors que nous avons appris par la suite que l’association infanrix-prévenar est contre-indiquée, par exemple, et que les vaccins présentent tous des nanoparticules cancérogènes et délétères en quantité importante. (de nombreuses analyses ont été effectuées et en apportent la preuve )

 

Merci d’avoir pris le temps de nous lire.

 

Les parents de Stéphane. 

Nanoparticules dans les vaccins: quand le soleil se couche sur la santé des enfants (un témoignage édifiant de plus...)

Voir aussi:

 

Infanrix hexa: le document confidentiel accablant

 

Méningite C: le vaccin plus risqué que la maladie (les chiffres sont là!)

 

Tous les vaccins sont expérimentaux: voici pourquoi

 

Vaccins: le vrai scandale des faux placebos

 

Dr Saluzzo de Sanofi Pasteur: "on ne sait pas comment marchent les vaccins"!

 

Les vaccins ont détruit leurs enfants: témoignages vidéos de parents

 

Vaccin Meningitec: l'Affssaps donne raison à Initiative Citoyenne (2012!)

 

Vaccin Meningitec: 550 familles portent plainte (2015...)

 

Vaccin Meningitec: le rapport italien accablant sur les dangereuses nanoparticules

 

Affaire Meningitec: une saisie inédite de lots au laboratoire

 

Meningitec: les vaccins trop dangereux même non défectueux!

 

Les nanoparticules dans les vaccins: une source supplémentaire de risques

 

Vaccins et nanoparticules: 2 livres à lire et à diffuser

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9 décembre 2016 5 09 /12 /décembre /2016 23:14

Vaccin anti-HPV : une enquête accablante pour l'Agence européenne des médicaments

Vaccin anti-HPV: une enquête accablante pour l'Agence européenne des médicaments

 

Des médecins dénoncent la manière dont l'institution liée à l'UE a traité tous les signalements d'effets secondaires sur des vaccins antipapillomavirus. 

Vaccin anti-HPV : une enquête accablante pour l'Agence européenne des médicaments

Le Point, 9 décembre 2016.

 

Un nouveau conflit d'intérêts pharmaceutique est-il sur le point d'être révélé ? Lundi 5 décembre, une plainte de plusieurs institutions de santé, médecins et chercheurs contre l'Agence européenne des médicaments (EMA) a été jugée recevable par la médiatrice européenne. Objet du recours : les plaignants reprochent à l'EMA une "incurie" dans le traitement d'une alerte de médecins danois suspectant des effets indésirables – rares mais sérieux – consécutifs à la vaccination contre le papillomavirus (HPV), virus à l'origine de cancers du col de l'utérus. L'information est révélée par Le Monde qui met en lumière les liens financiers de certains membres de l'EMA – comme Andrew Pollard de l'université d'Oxford – avec des laboratoires comme Sanofi ou GSK.

 

Quand l'EMA ne vérifie pas les données des labos

 

Les plaignants insistent sur la manière dont l'EMA a conduit son enquête pour statuer sur la dangerosité du vaccin. « Nous ne disons pas que ce lien de causalité est certain ou que le rapport bénéfice/risque de ces vaccins est défavorable, dit Peter Gotzsche, l'un des plaignants, professeur de médecine cité par Le Monde. Ce que nous contestons, c'est la manière dont l'EMA a traité cette alerte. » Un contre-rapport plombant l'EMA a été rédigé par les demandeurs et met en lumière les errements de l'étude diligentée par l'Agence européenne. Celle-ci avait demandé à ce que ce soient les laboratoires eux-mêmes qui fournissent les bases de données quant aux cas d'effets indésirables, sans vérification derrière de la part de l'EMA.

 

« Dans toute la documentation à laquelle nous avons eu accès, nous n'avons vu aucune trace d'une analyse indépendante des données par les experts de l'EMA », insiste Tom Jefferson, coauteur de la plainte. L'EMA a posé une série de questions aux fabricants, qui ont interrogé eux-mêmes leurs propres bases de données. Mais l'EMA n'a pas vérifié ces données, elle n'a pas conduit les analyses par elle-­même ! C'est comme si vous demandiez au chat de surveiller le lait... » Une information qui ne va pas rassurer les Français, une population où le taux de couverture vaccinale est l'un des plus bas en Europe...

 

Source: Le Point

 

Vaccin contre les papillomavirus : les autorités européennes dans la tourmente

 

Des médecins danois accusent l’Agence européenne des médicaments d’avoir biaisé une expertise sur les vaccins contre le cancer du col de l’utérus.

Vaccin anti-HPV : une enquête accablante pour l'Agence européenne des médicaments

Le Monde, 9 décembre 2016

 

Cette fois, ce ne sont pas des associations de malades qui se plaignent, mais des institutions médicales au-dessus de tout soupçon de croisade anti-vaccins. Lundi 5 décembre, les services de la médiatrice européenne ont déclaré recevable les aspects majeurs d’une plainte déposée contre l’Agence européenne des médicaments (EMA) par le Nordic Cochrane Centre, ainsi que d’autres institutions, médecins ou chercheurs.

 

Les plaignants accusent l’agence européenne d’« incurie » dans le traitement d’une alerte de médecins danois suspectant des effets indésirables – rares mais sérieux – consécutifs à la vaccination contre le papillomavirus (HPV), virus à l’origine de cancers du col de l’utérus.

 

La plainte, détaillée sur plus de cinquante pages, jette une lumière crue sur les procédures de l’agence chargée des autorisations de mise sur le marché des médicaments dans l’Union européenne (UE).

 

L’affaire commence à l’été 2015. Louise Brinth, médecin à l’hôpital Frederiksberg de Copenhague, signale aux autorités sanitaires danoises plusieurs dizaines de cas de jeunes filles ayant été vaccinées contre le HPV et ayant présenté, dans les mois suivants, des troubles peu spécifiques, rassemblés sous diverses appellations : « syndrome de fatigue chronique », « syndrome douloureux régional complexe », « syndrome de tachycardie orthostatique posturale »…

 

Epuisement tenace, vertiges, douleurs musculaires ou articulaires persistantes, nausées et migraines, troubles de l’attention et de la mémoire : les effets peuvent être très invalidants. (suite de l'article du Monde? Mis en mode payant/abonnés alors que finalement, il faut bien le dire, l'affaire n'a pas du tout "commencé à l'été 2015" contrairement à ce qu'affirme Le Monde, mais dès 2006 et la mise sur le marché du vaccin Gardasil aux USA, moment où tous ces effets secondaires décrits avaient déjà commencé à apparaître en réalité!!)

 

Source: Le Monde

 

Vaccin anti-papillomavirus :

plainte contre l'Agence européenne du médicament

 

 

Des experts médicaux dénoncent la manière dont l’Agence européenne du médicament (EMA) a traité les signalements d’effets secondaires sur des vaccins anti-papillomavirus. Sans se prononcer sur la validité scientifique des conclusions – rassurantes – de l’EMA, ils jugent que les garanties d’objectivité et de transparence ne sont pas réunies. Déposée fin mai, la plainte est aujourd’hui médiatisée par un article du Monde.

 

Des experts médicaux dénoncent la manière dont l’Agence européenne du médicament (EMA) a traité les signalements d’effets secondaires sur des vaccins anti-papillomavirus. Sans se prononcer sur la validité scientifique des conclusions – rassurantes – de l’EMA, ils jugent que les garanties d’objectivité et de transparence ne sont pas réunies. Déposée fin mai, la plainte est aujourd’hui médiatisée par un article du Monde.

 

En 2015, le Danemark demande à la commission européenne que soit déterminé si divers symptômes, ponctuellement signalés comme de possibles effets secondaires d’une vaccination anti-HPV, sont réellement liés à cette injection. Cette demande fait suite à la description par la médecin danoise Louise Brinth (voir encadré) de quelques cas qui soulèvent cette hypothèse.

 

Saisie du dossier, l’Agence européenne du médicament doit rapidement déterminer si ces symptômes apparaissent plus fréquemment chez les personnes vaccinées que chez des personnes non vaccinées. Un rapport, publié fin 2015, conclut à l’absence de lien de causalité.

 

Mais les conditions d’objectivité et d’indépendance nécessaires à la constitution d’un tel rapport n’auraient pas été réunies, de l’avis du chercheur Peter Gøtzsche (voir encadré), qui a formulé en juin une plainte à l’encontre de l’EMA (plainte dont "les aspects majeurs" ont récemment été déclarés "recevables" par le Médiateur européen).

 

Dans un article du Monde, daté du 9 décembre, Peter Gøtzsche précise l’intention derrière cette plainte : "Nous ne disons pas que ce lien de causalité est certain ou que le rapport bénéfice/risque de ces vaccins est défavorable. Ce que nous contestons, c’est la manière dont l’EMA a traité cette alerte."

 

Des données issues des fabricants, non vérifiées par l’EMA ?

 

Les soupçons de Gøtzsche se fonderaient sur la lecture d’une version de travail, confidentielle, du rapport de l’EMA.

 

Tom Jefferson, co-auteur de cette plainte, affirme au Monde que la documentation à laquelle il a eu accès ne contient "aucune trace d’une analyse indépendante des données par les experts de l’EMA". L’Agence, poursuit-il, "a posé une série de questions aux fabricants, qui ont interrogé eux-mêmes leurs propres bases de données. Mais l’EMA n’a pas vérifié ces données, elle n’a pas conduit les analyses elle-même !"

 

Or, rappelle le quotidien, la façon dont les effets secondaires sont recensés dans les bases de données des laboratoires fait que les signalements spécifiques aux agences sanitaires sont parfois minorés.

 

Ces bases de données sont loin d'être les seuls éléments sur lesques se fondent les recommandations de l'EMA. Parmi eux se trouvent de nombreuses études épidémiologiques et observationnelles indépendantes, qui ne font pas l'objet de critiques de la part des auteurs de la plainte.

 

Un consensus obtenu dans des conditions "confidentielles"

 

Par ailleurs, explique Peter Gøtzsche, alors que la rapport final donne "une impression d’unanimité des experts", le rapport intermédiaire montrerait au "contraire que certains d’entre eux se montrent très critiques vis-à-vis de certains arguments". Certains auraient ainsi considéré que l’argument selon lequel la fréquence des symptômes étudiés n’était pas augmentée dans la population qui avait reçu le vaccin anti-HPV "manquait de solidité". Interrogée par Le Monde, l’Agence européenne du médicament affirme que les échanges entre les membres de la commission ont permis de parvenir à un consensus : "le premier rapport contenait un certain nombre d’hypothèses et de questions à traiter, qui ont été discutées et résolues dans le rapport final".

 

Les clauses de confidentialité très strictes qui encadrent les délibérations rendent toutefois difficile la confirmation ou l’infirmation de ces propos. Ce manque de transparence de l’institution est au centre des griefs des plaignants.

 

Manque de précautions concernant les conflits d’intérêts ?

 

Troisième point litigieux, mis en exergue par l’article du Monde : le fait qu’Andrew Pollard, le président de l’un des groupes scientifiques de l’EMA avait mené entre 2010 et 2014 des études financées par des laboratoires commercialisant par ailleurs des vaccins anti-HPV.

 

Alors que d’autres experts présentant de potentiels conflits d’intérêts n’ont pas été autorisés à être présents lors des délibérations, comme le veut le règlement de l’EMA, M. Pollard n’aurait pas été écarté. Le Monde précise que l’intéressé n’a pas répondu aux sollicitations de son journaliste sur ce point.

 

Il est important de souligner que l'EMA n'est pas la seule institution a avoir travaillé sur le rapport bénéfice/risque des vaccins anti-HPV. Sur la base de ses propres investigations, l'Agence française de la Sécurité du Médicament (ANSM) avait confirmé en 2013 que ce rapport bénéfice/risque restait favorable. Fin 2015, une étude française portant sur 2,2 millions de jeunes femmes (ce qui en fait probablement l'étude la plus importante sur la question) avait conclu que ces vaccins ne présentaient aucun danger pour leurs utilisatrices.

 

la rédaction d'Allodocteurs.fr

 


[1] Tom Jefferson est connu pour défendre des positions très controversées sur le vaccin anti-grippal; il affirme ainsi que ce vaccin n’entraîne pas de réduction substantielle de taux de mortalité, et qu’il relève "du marketing, et non de la science". Ces allégations et les méthodes employées pour les argumenter font l’objet de vives critiques de la part de ses homologues. Concernant d’autres aspects de la vaccination, ses positions n'ont longtemps pas sensiblement divergé d'un consensus scientifique international. En 2004, Tom Jefferson a ainsi mené pour la collaboration Cochrane une évaluation de l’innocuité des adjuvants à base d’aluminium, concluant à l’absence de preuve de leur dangerosité.

 

Les signataires de la plainte

 

M. Gøtzsche est directeur d’une section scandinave de la collaboration Cochrane – référence internationale en matière d’analyse de la pertinence des études médicale. Sa plainte a notamment été cosignée par la danoise Louise Brinth (auteure de la publication à l'origine des requêtes du Danemark à l'Union Européenne en 2015) et par l’épidémiologiste Tom Jefferson [1].

 

La question des groupes témoins

 

Dernière critique des plaignants : la qualité des essais cliniques réalisés autour des vaccins anti-HPV. Les essais destinés à déterminer l’innocuité de ces produits pharmaceutiques auraient été menés en comparant ceux-ci "à d’autres vaccins, ou à des placebo contenant des adjuvants aluminiques". Ils estiment que pour certifier l’innocuité du vaccin, l’expérience aurait dû être réalisée contre un placebo sans aucune substance susceptible d’interagir avec l’organisme (ce qui n'a été fait "que dans une seule étude de petite envergure"). L’argument porte toutefois peu, au vu des données scientifiques accumulées au niveau international sur l’innocuité de ces adjuvants aux doses présentes dans les vaccins – une importante méta-analyse en ce sens ayant même été réalisée par l'un des cosignataires.

 

Source : Franceinfo.tv

 

Conclusion/moralité: les médias mainstream font passer comme une sorte de "scoop" ce qui était déjà détectable et dénonçable en termes de dangerosité quasiment 10 ans plus tôt par des associations et activistes bénévoles sur base des taux déjà largement anormaux d'effets secondaires signalés très précocement pour qui avait la lucidité de les voir. Cela signifie en d'autres termes que ceux qui ne se fient qu'à ce qu'ils lisent dans les "grands journaux" seront prévenus 10 ans trop tard (au risque d'y laisser leur santé, leur vie ou celle de leurs enfants!)... c'est ce qui s'appelle de l'efficacité médiatique et informationnelle ça! La triste vérité est qu'hélas, il n'y a plus de liberté de la presse dans nos pays dits "Etats de droits"; les médias sont muselés, cadenassés, ils ne daignent lâcher un mot ou deux que quand tout le monde où presque ose largement dénoncer, sauf que le temps perdu entre-temps, il se marque véritablement dans la chair des milliers des victimes inutiles dont les tragédies étaient totalement évitables. Le journalisme d'investigation a quasiment disparu, les rédactions n'ont jamais la liberté, sauf rarissime exception, d'offrir un temps de parole véritablement équitable et contradictoire pour la diffusion des différents points de vue (et ce déséquilibre criant dure déjà depuis plus de 200 ans de vaccination effrénée, pas étonnant dès lors que certains naïfs croient toujours que les vaccins sont le salut des saluts....)

 

En 2011, Initiative Citoyenne écrivait à toutes les directions d'écoles secondaires francophones ainsi qu'aux associations de parents pour leur faire part des dangers évidents que représentait la vaccination HPV dans le cadre scolaire fraîchement instaurée et promue par la Communauté française de Belgique (dont la publicité en faveur des vaccins tout au long de la vie a été jugée TROMPEUSE et "de nature à induire le consommateur en erreur" par le Jury d'éthique belge publicitaire en novembre 2011). Un document de l'assurance maladie belge en réponse à GSK, fabricant du vaccin Cervarix, établissait que le taux d'effets secondaires de ces deux vaccins était comparable et "assez élevé" (un essai clinique post-commercialisation de GSK, qui a comparé son vaccin anti-hépatite A Havrix et son vaccin anti-HPV, Cervarix a obtenu les taux horrifiants d'effets secondaires graves de respectivement 8,9% et 9% pour l'Havrix et pour le Cervarix!). Faut-il alors s'étonner qu'une méta-analyse publiée dès la fin 2011 dans la revue médicale Annals of Medicine concluait à un rapport bénéfices/risques et coût/bénéfices clairement défavorables?! Nous vous laissons répondre à cette question par vous-mêmes...

Voir aussi: 

 

L'agence européenne du médicament censure les données de pharmacovigilance, avertit la revue Prescrire

 

L'ancien directeur de l'EMEA travaillait aussi pour les labos...

 

Lettre recommandée aux Ministres Laanan et Simonet sur la vaccination scolaire contre le cancer du col de l'utérus

 

Vaccination scolaire "contre le cancer du col": IC écrit à toutes les directions d'écoles secondaires et aux associations de parents

 

Vaccination scolaire anti-HPV: Initiative Citoyenne réécrit aux écoles secondaires et aux associations de parents

 

Vaccins anti-HPV : rapport bénéfices/risques défavorable (Annals of Medicine)

 

Désastre du vaccin Gardasil au Danemark: le documentaire

 

Déclaration fallacieuse au sujet des vaccins contre le HPV

 

"Voilà ce que le vaccin contre le HPV a fait à ma fille..."

 

Une ado hospitalisée et mise sous sédation chaque fois qu'elle a ses règles après le vaccin Gardasil

 

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Après 3 ans d'horribles souffrances, une jeune fille de 19 ans décède des suites du vaccin Gardasil

 

Le calvaire de Cali après le vaccin Gardasil

 

Calvaire post-vaccin Gardasil

 

Gardasil: une expérience qu'aucun enfant ne devrait vivre!

 

Vie gâchée, morphine et arrêt d'études: une maman dénonce le Gardasil

 

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Lésions cérébrales après le Gardasil: parents & ados doivent le savoir AVANT la vaccination!

 

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Prévention intelligente des infections à HPV: aucune place pour la vaccination!

 

Traitements orthomoléculaires des effets secondaires des vaccins HPV Gardasil et Cervarix

 

Un documentaire essentiel sur les risques mortels de la mafia médico-pharmaceutique (Vioxx, Gardasil etc...)

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9 décembre 2016 5 09 /12 /décembre /2016 20:26

Salomé, rendue handicapée depuis son enfance par le vaccin pentavalent: sa famille lance un appel à l'aide

Alors que des autorités sanitaires corrompues et sans plus aucune légitimité morale ou scientifique ne cessent d'appeler à "notre responsabilité" et "à notre altruisme" pour qu'un maximum de personnes cèdent aux sirènes vaccinales du berceau à la tombe, ce que nous pouvons pourtant constater sur le terrain est une tout autre urgence, celle d'enfants et d'adultes estropiés par les vaccins et laissés lamentablement à l'abandon par l'altruisme décidément bien sélectif des idéologues de la vaccination!

 

Ces enfants (mais c'est hélas aussi le cas des adultes) sont INNOMBRABLES à souffrir en silence et pour quelques centaines de cas relayés sur ce site, il y en a en vérité DES MILLIONS dans le monde dont la majorité ne penseront jamais à établir le lien entre les vaccins et la dégradation irréversible de leur santé, avec tout le coût à assumer tant pour eux que la collectivité et l'incroyable désespérance que cela peut susciter. Il est désormais essentiel de se rendre compte que CHACUN EST UNE VICTIME DE VACCINS EN PUISSANCE, chacun est potentiellement à la merci de ce véritable terrorisme sanitaire et il est maintenant plus que temps de cesser de se mettre la tête dans le sable ou de macérer davantage dans la langue de bois aussi dangereuse que contre-productive. Par ce nivellement par le bas criant de l'ensemble de la santé publique que génèrent les vaccins, c'est toute la productivité, le génie, la créativité et le potentiel de travail de générations entières qui sont mis à mal de façon inacceptable. A nous tous de réagir au plus vite, en choisissant de façon claire entre une science de pacotille ou un retour urgent au bon sens et à l'humanisme les plus nécessaires.

 

Merci de votre attention pour ces cas, merci de partager tout autour de vous car ces enfants pourraient être les vôtres....

Découvrez ici l'histoire de Salomé, rendue handicapée par le vaccin pentavalent et comment vous pouvez concrètement l'aider elle et sa famille!

 

 

Où est donc la solidarité vaccinale et financière dont parlent les officiels?!!!

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