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16 novembre 2016 3 16 /11 /novembre /2016 21:30

L’Agence Suédoise de Santé rejette la « Science » ayant trait au Syndrome du Bébé Secoué

 

 

Comme nous l’avons déjà signalé sur Health Impact News, les tribunaux américains sont de plus en plus sceptiques au sujet de la « science » ayant trait au diagnostic médical pédiatrique du « Syndrome du Bébé Secoué » (SBS) qui a été utilisé pour arracher des milliers d’enfants à leurs parents, et dans certains cas, incarcérer les parents en fonction du diagnostic SBS.

 

Tout récemment, La Faculté de Droit de l’Université du Michigan (Innocence Clinic), a reçu $ 250.000 pour former des avocats qui pourraient lutter contre des condamnations injustifiées à propos du Syndrome du Bébé Secoué. Voir ici:

 

La Faculté de Droit de l’Université du Michigan a reçu 250.000$ pour apprendre aux avocats à défendre les cas ayant trait au Syndrome du Bébé Secoué

 

Cette semaine, le Conseil Suédois de technologie, d’évaluation sociale et d’éthique médicale est également arrivé à la conclusion que la « science »  qui explique le SBS est en fait très faible.

 

Preuves peu fiables (fragiles) du Syndrome du Bébé Secoué

 

Par Ingrid Lund (Extraits), 29 octobre 2016

 

C’est sur un plan médical comme aussi légal que le Syndrome du Bébé Secoué a été remis en question. Maintenant, le rapport du SBU et Smers soutient lui aussi que la preuve du Syndrome du Bébé Secoué (Skavald) ne fait pas le poids.

 

Le Conseil Suédois de Technologie, d’Evaluation Sociale et d’éthique Médicale a conjointement étudié les bases scientifiques du diagnostic du « Syndrome du Bébé Secoué ».

 

Après avoir examiné la littérature scientifique, le Rapport du SBU et Smers estime qu’il n’y a pas suffisamment de preuves scientifiques qui permettent d’établir que les dommages caractéristiques sont certainement provoqués par le « Syndrome du Bébé Secoué »

 

«  Le Syndrome du Bébé Secoué » contesté devant la Cour Suprême

 

En 2014, la Cour Suprême a conclu que les preuves scientifiques n’étaient pas assez fortes pour pouvoir juger qui que ce soit après que le diagnostic du Syndrome du Bébé Secoué ait été établi. Ceci a été déclaré après que les experts aient témoigné que les symptômes présentés par les enfants ont aussi bien pu être causés par le traumatisme de la naissance et non par le fait d’avoir secoué le bébé (Sakvald). Plusieurs parents ont pu, par la suite, échapper à des soupçons qui ont nui à leur enfant.

 

Source: Health Impact News

L’Agence Suédoise de Santé rejette la « Science » ayant trait au Syndrome du Bébé Secoué

Finalement, un juge parle du diagnostic du bébé secoué comme d’un « article de foi » et libère Jennifer Del Prete, qui avait été condamnée à 10 ans de prison pour meurtre.

 

Voir aussi: 

 

Syndrome du bébé secoué et vaccinations – Parents et gardiennes sont parfois accusés à tort

http://www.initiativecitoyenne.be/article-syndrome-du-bebe-secoue-vaccinations-parents-et-gardiennes-sont-parfois-accuses-a-tort-116000817.html

 

Syndrome du Bébé Secoué : croire ou savoir ?

http://www.initiativecitoyenne.be/article-syndrome-du-bebe-secoue-croire-ou-savoir-123671999.html

 

Le père d’une petite fille emprisonné à perpétuité

http://www.initiativecitoyenne.be/article-le-pere-d-une-petite-fille-emprisonne-a-perpetuite-sans-possibilite-de-liberation-conditionnelle-apr-122144785.html

 

Un bébé de 5 mois meurt après avoir reçu 8 vaccins – Les parents sont accusés de meurtre

http://www.initiativecitoyenne.be/article-un-bebe-de-5-mois-meurt-peu-apres-avoir-re-u-8-vaccins-les-parents-sont-accuses-de-meurtre-119597927.html

 

Certaines accusations infondées de maltraitance d’enfants cachent les funestes effets des vaccinations

http://www.initiativecitoyenne.be/article-certaines-accusations-infondees-de-maltraitance-d-enfants-cachent-les-funestes-effets-des-vaccinatio-123035217.html

 

Encore un bébé qui décède trop rapidement

http://www.initiativecitoyenne.be/article-audenarde-encore-un-bebe-decede-trop-rapidement-classe-dans-les-morts-naturelles-119703192.html

 

Procès d’une gardienne à Ciney : Maltraitance, vaccins ?

https://www.youtube.com/watch?v=OdGk-z0PbEI

 

Syndrome du bébé secoué : un diagnostic abusif ?

http://expovaccins.over-blog.com/article-syndrome-du-bebe-secoue-un-diagnostic-abusif-116667990.html

 

De dangereux vaccins peuvent provoquer les symptômes du bébé secoué

http://expovaccins.over-blog.com/article-de-dangereux-vaccins-peuvent-provoquer-les-symptomes-du-bebe-secoue-118680194.html

 

Une police endoctrinée poursuit des parents pour protéger les vaccins

http://expovaccins.over-blog.com/article-une-police-endoctrinee-poursuit-des-parents-pour-proteger-les-vaccins-112317512.html

 

Les effets secondaires des vaccinations et les fausses accusations détruisent des familles

http://expovaccins.over-blog.com/article-les-effets-secondaires-des-vaccinations-et-les-fausses-accusations-detruisent-des-familles-109420845.html

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15 novembre 2016 2 15 /11 /novembre /2016 22:37

Le papa du petit Milow est certain que son petit garçon est décédé des suites de la vaccination

 

HLN, 13 novembre 2016

Le papa du petit Milow est certain que son petit garçon est décédé des suites de la vaccination

Au mois de mars de cette année, des convulsions fébriles ont abouti à la mort du petit Milow Vangheluwe, un bambin de 15 mois de Westrozebeek. C’est ce que déclare le parquet de Ypres sur base des résultats de l’autopsie et des examens toxicologiques.

 

Le papa de l’enfant n’accorde aucune crédibilité à ces résultats et exige des recherches complémentaires. « Milow est mort des suites des vaccins combinés qui lui avaient été injectés. Nous pensons à faire nommer nous-mêmes un pathologiste. » déclare le papa.

 

Le fait que les résultats de l’autopsie et des examens toxicologiques se soient si longtemps fait attendre semble montrer que le parquet  ait procédé avec beaucoup de prudence.

 

La famille du petit garçon est convaincue que leur petit garçon est mort le 12 mars dans son sommeil à la suite des vaccins combinés qu’il avait reçus deux jours plus tôt dans les services de « Kind en Gezin » (pendant néerlandophone de l’ONE).

 

Le parquet nie cette version mais le père, ainsi que les grand parents maintiennent leur position. « Milow était en parfaite santé », disent-ils. « La vaccination contre sept maladies différentes qui a été administrée en à peine cinq minutes ne lui a rien valu de bon. Ce sont ces vaccins qui ont entrainé sa mort.

 

Dans les semaines qui ont suivi le décès de notre petit garçon, nous avons été contactés par trois autres couples de Flandre Occidentale qui avaient également perdu un enfant peu de temps après que ces enfants aient reçu des vaccins combinés. »

 

Peu de temps après le décès de Milow « Kind en Gezin »  a lancé sa propre enquête. Cette dernière  a montré que la vaccination s’est faite rapidement et qu’il n’y avait aucun problème avec les vaccins.

 

« Compte tenu que l’examen approfondi indique que le petit Milow est décédé d’une mort naturelle, nous avons clôturé l’enquête et fermé le dossier » a déclaré le porte-parole du procureur Johan Lescrauwaet.

 

Le papa du petit garçon décédé veut maintenant engager un avocat et faire nommer un pathologiste indépendant pour effectuer un examen plus approfondi. « La famille a bien sûr ce droit, » a déclaré M. Lescrauwaet. «  Le dossier peut même être ré ouvert au cas où la famille dépose plainte au Civil. »

 

Source:  HLN.be

 

Voir aussi

 

Belgique: "deux jours après ses vaccinations, notre petit garçon était mort"!

 

Vaccins: comment l'OMS manipule les critères pour camoufler les décès

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13 novembre 2016 7 13 /11 /novembre /2016 22:40

Vaccins: comment l'OMS manipule les critères pour camoufler les décès

 

Le Dr Jacob Puliyel, pédiatre indien, chef de service à l'hôpital St. Stephan's de Delhi, a récemment publié sur son site un commentaire à une publication parue dans la revue Vaccine pour dénoncer la façon biaisée dont l'OMS et ses experts traitent et soi-disant "enquêtent" quand des décès d'enfants surviennent après vaccination dans les pays pauvres. Il est clairement ici question une fois encore d'idéologie; il s'agit de sauver à tout prix l'image des vaccins plutôt que la vie des enfants. Nous avons donc très logiquement procédé à la traduction intégrale du commentaire éclairant de ce médecin à cette parution dans Vaccine, revue ayant pignon sur rue en matière de vaccinologie, fausse science s'il en est! Pour notre part, cela fait déjà des années que nous dénonçons sur notre site ainsi qu'auprès des journalistes l'inconsistance, la corruption et le manque total de crédibilité de l'OMS en matière de sécurité vaccinale ou de vaccins tout court, l'épisode du H1N1 n'ayant hélas pas du tout été le seul, bien qu'il fut cependant déjà très éclairant pour quiconque a des yeux... 

Dr Jacob Puliyel, pédiatre indien- lanceur d'alerte en matière de vaccination

Dr Jacob Puliyel, pédiatre indien- lanceur d'alerte en matière de vaccination

Commentaire : Etablissement de la causalité dans la survenue d’effets indésirables individuels après vaccination (AEFI/ EIAV) : un outil de l’OMS pour un usage mondial. Tozzi AE. Vaccine. 2013.

 

Jacob Puliyel

 

Download (PDF)

 

In: PubMed Commons [Internet]. Bethesda (MD): National Library of Medicine; 2014 Feb 4. Available from: http://www.ncbi.nlm.nih.gov/myncbi/puliyel/comments/

 

LES DECES DANS LES PAYS EN DEVELOPPEMENT COMPTERONT POUR MOINS

 

Tozzi et al. décrivent l’établissement de la causalité pour les effets indésirables post-vaccinaux en utilisant les critères du groupe de travail sur la pharmacovigilance de l’OMS/ CIOMS (Council for International Organizations of Medical Sciences). Les effets indésirables après vaccination (AEFI) constituent tout type d’évènement médical indésirable après vaccination, qu’il soit considéré ou non lié au médicament (une relation causale n’est pas nécessaire dans cette définition). La collaboration de Brighton a classé les réactions selon qu’elles sont : très probables/certaines ; probables ; possibles ; improbables ; non liées ; inclassables, basées sur des critères temporels et des preuves d’explication étiologique alternative. Les décès survenus peu après la vaccination sans explication alternative ont été classés dans la rubrique « probablement liés au vaccin ».

 

LE BESOIN D’UNE NOUVELLE CLASSIFICATION

 

Avec l’usage du vaccin pentavalent (diphtérie, tétanos, coqueluche, Hib et hépatite B) dans les pays en développement, il y a eu beaucoup d’effets indésirables post-vaccinaux mortels. Les experts de l’OMS ont investigué ces décès au Sri Lanka. Ils n’ont pas pu trouver d’explication alternative pour trois décès. Les experts écrivent dans leur rapport qu’ils ont effacé les catégories « probables » et « possibles » de la classification de Brighton et après cela, bien qu’ils ne pouvaient pas imputer ces décès à une autre cause, ceux-ci furent déclarés comme « probablement pas liés au vaccin ». Normalement, l’association à la vaccination aurait dû être classée comme « probable ». Le British Medical Journal (BMJ) a publié une lettre au sujet de cette situation (Saxena KB, 2010).

 

Le rapport du CIOMS/OMS est arrivé après la lettre du British Medical Journal. Le comité, composé de 40 membres (dont 19 étaient des représentants de l’industrie pharmaceutique) ont proposé des changements dans la manière dont les effets indésirables post-vaccinaux sont investigués et rapportés. Le document de 194 pages a de sérieuses conséquences pour les pays en développement.

 

Les définitions des différents cas de figure pour les différents effets indésirables ont été détaillés. Illogiquement, les critères d’inclusion pour les définitions de cas proposées sont trop stricts pour avoir une valeur scientifique dans la plupart des pays. Par exemple, pour diagnostiquer une encéphalite, on a besoin qu’un enfant fiévreux vive au moins 24H après la survenue de l’effet indésirable, qu’il ait subi une ponction lombaire, un électro-encéphalogramme ou une imagerie du système nerveux et au moins un de ces examens doit être revenu positif pour atteindre un niveau 2 de diagnostic (cf p. 73).
 

Supposons qu’une enfant en bonne santé soit vaccinée. Supposons qu’elle développe une forte fièvre endéans les deux heures suivantes, qu’elle soit prise de convulsions, tombe dans un coma puis décède endéans les 10 jours (des variations de pareil scénario se sont produites de façon répétée avec le vaccin pentavalent). En utilisant les définitions du CIOMS/OMS, comme l’encéphalopathie a duré moins de 24H, elle ne peut pas être classée dans la rubrique des encéphalites. Dans beaucoup de pays, les moyens pour la réalisation d’une ponction lombaire peuvent faire défaut, encore plus pour un électro-encéphalogramme (EEG) ou un CT scan/IRM. Sous ce schéma de rapport de cas, ce cas sera classé dans la rubrique des cas pour lesquels « l’information est insuffisante pour distinguer l’encéphalomyélite aigüe disséminée et l’encéphalite » et donc dans les cas « impossibles à classer de façon définitive ».

 

Plus loin, à la page 170 (écrit en très petit), le rapport précise que ce genre de cas doit être classé comme « n’étant pas un effet indésirable post-vaccinal » (« not an AEFI »). Cette dernière étape, qui classe un effet indésirable post-vaccinal en son contraire (un non-effet indésirable post-vaccinal) s’avère de façon flagrante non scientifique, illogique et digne d’Orwell.

Théorie de la dissonance cognitive: quand un acte survient et qu'il est contraire aux croyances (des évaluateurs), ceux-ci tentent de réduire la contradiction en faveur de leurs croyances, d'où qu'ils suppriment des catégories (ex: probable et possible) pour que, dans le doute, cela soit d'office classé comme "non lié"

Théorie de la dissonance cognitive: quand un acte survient et qu'il est contraire aux croyances (des évaluateurs), ceux-ci tentent de réduire la contradiction en faveur de leurs croyances, d'où qu'ils suppriment des catégories (ex: probable et possible) pour que, dans le doute, cela soit d'office classé comme "non lié"

Le scénario décrit pourrait bien avoir été causé par une réaction généralisée de plusieurs systèmes corporels en réaction à un ou plusieurs composants des vaccins. (p. 50) L’encéphalopathie, la fièvre, les convulsions pourraient faire suite à une réponse inflammatoire mais le CIOSM n’a pas de définition pour cela, et leur incapacité à exclure les causes d’encéphalopathie, est suffisante pour classer cette réaction comme n’étant « pas un effet indésirable post-vaccinal ».



Le risque n’est pas simplement théorique. En mars 2013, l’OMS a investigué 12 décès survenus au Vietnam après ce même vaccin pentavalent. Le rapport vietnamien indique qu’ « aucun effet indésirable post-vaccinal mortel n’a jamais été associé à ce vaccin ». Les experts de l’OMS avaient déjà antérieurement classé les décès au Sri Lanka comme étant des « effets indésirables post-vaccinaux probablement pas liés au vaccin ». Le rapport vietnamien établissant qu’aucun effet indésirable post-vaccinal n’a jamais été associé au vaccin suggère que les effets indésirables post-vaccinaux survenus au Sri Lanka ont maintenant été reclassifiés comme n’étant « pas un effet indésirable post-vaccinal ».



Tossi et al. proposent que suite à des évènements pour lesquels il existe une relation temporelle mais avec des preuves insuffisantes que le vaccin en soit la cause, selon des études épidémiologiques bien conçues, des études complémentaires soient encouragées si d’autres évènements similaires ont été également identifiés. Il y a eu 54 décès temporellement liés au vaccin en Inde. Au lieu de les considérer comme un groupe de cas, le nouveau système recherche des cas individuels d’effets indésirables post-vaccinaux pour ensuite les étiqueter comme « n’étant pas liés au vaccin », ouvrant ainsi la voie à beaucoup d’autres décès.
 


Tozzi et ses collègues rapportent différents scénarios cliniques (matériel supplémentaire). Le scénario en Asie vaut aussi la peine d’être considéré. Le vaccin pentavalent est promu de façon sélective dans les pays en développement dotés de systèmes de surveillance insuffisants. 83 décès après la vaccination par le vaccin pentavalent ont été recensés dans les pays asiatiques. Il n’y a pas d’autre explication alternative plausible. La plupart des décès sont survenus après la première dose de vaccin, un peu moins après la deuxième et beaucoup moins encore après la troisième. Ce profil de répartition des décès plaide en défaveur du simple hasard. Ce qui n’empêche pas l’OMS de maintenir qu’une relation de cause à effet n’a pas été établie.

 

Ceci contraste avec ce qui s’est passé en 1998 quand le vaccin Rotashield a été approuvé aux Etats-Unis. Quand les malrotations intestinales ont été rapportées au système de pharmacovigilance américain  (VAERS) et que seuls 12 enfants en furent affectés, le vaccin a été retiré du marché. Personne n’avait alors besoin d’une certitude (pour agir).
 

Un expert de santé publique en Inde, le Dr Y. Jain, a introduit une demande (d’intérêt public) en justice auprès de la Cour suprême pour que ces décès soient investigués. Sa requête stipule que dans les six premiers mois, quand 40 000 doses furent administrées aux enfants dans l’état du sud de Kerala, au moins 5 enfants sont morts. Si on extrapole ces proportions aux 25 millions de bébés nés chaque année en Inde, on pourrait s’attendre à 3125 décès liés au vaccin chaque année. En utilisant les meilleures preuves issues de l’étude de Minz (2008), l’incidence de la méningite à haemophilius influenza b (Hib) en Inde est de 7 cas pour 100 000 enfants de moins de 5 ans. En utilisant la méthode rapide de l’Unicef pour estimer les cas de pneumonie par Hib, 350 cas de pneumonie mortelle par Hib seront évités sur une période de 5 ans en vaccinant une cohorte de 25 millions de nouveau-nés. 3125 décès post-vaccinaux ne peuvent pas être acceptables pour prévenir 350 décès liés au Hib.
 

Le taux de mortalité infantile (IMR) à Kérala est de 14. Sept de ces décès surviennent au cours du premier mois. Les autres sept cas se produisent dans les 11 mois restants de la première année de vie. Le vaccin pentavalent est administré six semaines après la naissance aux bébés qui ont survécu à la période néonatale. Sur les cinq premiers décès post-vaccinaux, quatre se sont produits entre 24 et 48H après la première dose de ce vaccin. Le taux de mortalité des bébés dans les premiers jours après vaccination est de deux à 4 fois plus élevé que le taux habituel de mortalité infantile à Kérala.

 

Les premiers 14 décès au Kérala ont été investigués par les experts en effets indésirables post-vaccinaux. Ils ont rapporté que 6 enfants avaient des facteurs de co-morbidité et que les 8 autres sont décédés de « mort subite du nourrisson » (MSN). Ce taux de mort subite du nourrisson le jour suivant la vaccination est plus élevé que toutes les autres causes de mortalité infantile.

 

Sous ce nouveau schéma, des effets indésirables post-vaccinaux mortels survenant dans les pays en développement seront faussement enregistrés comme n’étant pas liés au vaccin, simplement parce qu’un délai ou certains critères d’évaluation ne seront pas réunis. Le décès est le pire effet indésirable possible. La poursuite de l’usage de ce schéma d’investigation du CIOMS/OMS conduira à manquer des occasions importantes de détecter des signaux d’alerte qui permettraient de sauver des vies. Ceci est dangereux. Peut-être devrions-nous revenir à l’ancienne classification de Brighton.


Source : Jacob.puliyel.com  

 

Le powerpoint complet du Dr Puliyel (en anglais) sur l'investigation biaisée des effets secondaires post-vaccinaux (AEFI)

Vaccins: comment l'OMS manipule les critères pour camoufler les décès

Voir aussi

 

Vaccins: l'OMS avoue qu'elle met la santé du monde en danger

 

Le pipot hypocrite de l'OMS sur son site qui prétend, malgré ce genre d'attitude, veiller à la sécurité des vaccins... !!

 

OMS, faites ce que je dis... mais pas ce que je fais, Editorial de la revue Prescrire de septembre 2007. (Permet de mieux comprendre la schizophrénie de l'OMS, ses doubles discours et le pourquoi d'articles hypocrites comme ceux ci-dessus...)

 

L'OMS continue de trafiquer ses propres critères!

 

L'OMS modifie une nouvelle fois ses critères de pandémie! 

 

Vaccins: l'OMS avoue qu'elle met la santé du monde en danger

 

L'OMS: pourquoi il ne faut plus la suivre ni en faire partie

 

Politique et corruption à l'OMS (Dr Pascal Sacré) 

 

L'OMS: une menace pour notre santé et nos libertés?

 

L'OMS embourbée dans un nouveau conflit d'intérêts!

 

L'OMS refuse de publier un rapport sur l'utilisation d'uranium appauvri par les Américains en Irak

 

26 enfants décèdent dans des pays pauvres après un vaccin qui avait été approuvé par l'OMS

 

L'histoire tragique de 37 décès d'enfants à la suite d'un "bon vaccin"

 

L'Unicef pétoche et surveille le "sentiment anti-vaccins" sur les sites internet et dans les médias sociaux

 

Mortalité infantile plus élevée dans les pays qui vaccinent le plus

 

Les experts indiens en matière de vaccination s'interrogent sur le programme de vaccination

 

Vaccination polio en Inde: la maladie causée par le vaccin, deux fois plus meurtrière

 

"Le public devrait être averti que les vaccins peuvent avoir des effets secondaires à long terme" (Dr J.B Classen, BMJ)

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10 novembre 2016 4 10 /11 /novembre /2016 21:31

Matthew gravement handicapé après la vaccination (varicelle)

Matthew gravement handicapé après la vaccination contre la varicelle

La maman : c’est mon fils Matthew. Sa santé s’est détériorée après la vaccination contre la varicelle.

 

Quand il est né, tout était normal. Tous les tests et examens étaient parfaits. C’était un bébé heureux et en pleine santé.

 

 

C’est quand il a reçu le vaccin contre la varicelle que sa santé a commencé à se détériorer. Il n’a plus voulu ni parler, ni marcher.

 

Un jour, son grand-père l’a emmené à la foire et a voulu le mettre sur le cheval de bous d’un carrousel. Il l’avait à peine installé que Matthew est tombé. Il n’y avait en lui plus aucune notion de ce qu’était l’équilibre du corps.

Matthew gravement handicapé après la vaccination contre la varicelle

Sans arrêt, il faisait de la fièvre. Il pleurait et criait tant il souffrait.

 

Dans la suite, il n’a plus pu rester assis ou même se traîner et ramper.

 

Les médecins nous ont dit qu’il faisait un Guillain-Barré, mais que ça allait passer et nous ont renvoyés à la maison.

 

Au cours d’examens ultérieurs, on nous donna le diagnostic d’encéphalomyélite aiguë. Les médecins nous précisèrent qu’il ne fallait pas nous tracasser, que tout finirait par s’arranger.- Mais les choses ne s’arrangèrent guère !

Matthew gravement handicapé après la vaccination contre la varicelle

Une fois de plus, nous nous sommes rendus dans un hôpital où finalement un médecin a reconnu qu’il s’agissait des suites du vaccin contre la varicelle. Il nous a expliqué que certains éléments du vaccin ont conduit son système immunitaire à se retourner contre lui.

 

C’est à la suite de toutes les limités qui étaient imposées à Matthew que notre calvaire est devenu le plus pénible. Le vaccin lui avait volé toutes ses possibilités de vivre normalement, et cela pour le restant de ses jours !

 

Chaque jour, nous avons dû affronter des problèmes différents : une fois c’étaient des convulsions, le jour suivant c’étaient des problèmes respiratoires, puis des problèmes pour pouvoir l’alimenter. On ne savait jamais ce que le lendemain nous réserverait.

Matthew gravement handicapé après la vaccination contre la varicelle

C’est terrible et tellement triste de voir la santé de votre enfant se détériorer de jour en jour devant vos yeux. Et c’est d’autant plus terrible que ces malheurs sont arrivés à cause de ce stupide vaccin pour lequel on n’avait même pas eu le choix. Avant la vaccination, les seuls effets secondaires dont on nous a parlé : un peu de fièvre, des éruptions, le nez qui coule, mais rien de bien grave !

 

Plus tard, un médecin a quand même reconnu que tout cela était dû au vaccin.

 

Malgré la gravité des handicaps de Matthew, nous n’avons pu recevoir aucun dédommagement !

Matthew gravement handicapé après la vaccination contre la varicelle
Matthew gravement handicapé après la vaccination contre la varicelle
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8 novembre 2016 2 08 /11 /novembre /2016 10:41
Polly Tommey: "Comment osez-vous mutiler, estropier et massacrer nos enfants?"

POLLY TOMMEY : «  COMMENT OSEZ-VOUS

MUTILER, ESTROPIER ET MASSACRER NOS ENFANTS ? »

Polly Tommey: "Comment osez-vous mutiler, estropier et massacrer nos enfants?"

Polly Tommey est une actrice anglaise dont le fils Billy est devenu autiste après une série de vaccins. Elle est la co-réalisatrice du fameux documentaire : «  VAXXED , de la dissimulation à la catastrophe »

 

« Je suis ici en Californie, et je m’exprime au nom de parents du monde entier.- Parents de Grande Bretagne, de Nouvelle Zélande, d’Australie… nous sommes maintenant vraiment avec vous dans un même combat.

 

Je veux que vous sachiez que je me bats depuis 19 ans. J’ai parlé à des parents de très nombreux pays, et au cours des 3 derniers mois, je n’ai cessé de m’adresser aux parents vivant aux Etats-Unis.

Polly Tommey: "Comment osez-vous mutiler, estropier et massacrer nos enfants?"

Je suis vraiment en colère, terriblement en colère. Voici vraiment ce que je pense :

 

Comment osez-vous vous en prendre à des bébés de quelques mois, les malmener dans les bureaux de pédiatres et dire aux parents que s’ils ne vaccinent pas leurs enfants, ils signent en quelque sorte leur certificat de décès ?

 

Comment avez-vous osé tuer Mason Bundy ? Comment avez-vous osé clouer le petit garçon de Josh dans un fauteuil roulant pour le restant de ses jours ?

 

Comment osez-vous mutiler, estropier et détruire les cerveaux de nos enfants ? Il s’agit bien de la future génération dont la santé est cruellement endommagée.

 

Sénateurs Pam et Allen, vous devriez savoir ce que vous faites avec cette loi SP277.

 

Vous risquez de tuer encore plus de bébés, d’endommager les cerveaux de quantités d’enfants. Ce que vous avez fait va vous mettre du sang sur les mains.

 

Je veux vous dire que nous n’avons plus peur. Nous avons décidé de nous lever en masse. Les parents des Etats-Unis et du monde entier sont en train de se lever ; ils n’ont désormais plus peur. Ils sont debout, forts et courageux.

Polly Tommey: "Comment osez-vous mutiler, estropier et massacrer nos enfants?"

Nous vous combattrons parce que vous nous avez brutalisé pendant si longtemps, alors que nous vous faisions entière confiance avec ce que nous avions de plus précieux : la santé de nos petits-enfants. Nous vous avions fait entière confiance pour tout. Je vous dis maintenant que vous avez bel et bien des raisons d’avoir peur parce que nous allons quitter vos écoles et nous éloigner des pédiatres. Nous allons nous unir et combattre comme une armée.- Merci ! »

Polly Tommey: "Comment osez-vous mutiler, estropier et massacrer nos enfants?"
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6 novembre 2016 7 06 /11 /novembre /2016 18:33
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6 novembre 2016 7 06 /11 /novembre /2016 11:20

VACCINATIONS ET AUTISME

Un Procureur du Texas, père d’un enfant autiste, témoigne publiquement

Vaccination et autisme: un procureur du Texas, père d'un enfant autiste, témoigne publiquement

D’une manière catégorique le Procureur de San Antonio (Texas) affirme que les vaccins peuvent provoquer l’autisme et le provoquent 

 

De par l’expérience qu’il a eue avec ses enfants, de par son travail de recherche, d’enquêtes légales, le Procureur sait qu’il existe des raisons solides d’entamer des poursuites par rapport aux dommages causés par les vaccins et tout spécialement l’autisme. (C. J. Frompovich)  Le Procureur Da Lahood pense qu’il existe des preuves claires et précises qui montrent que les vaccins peuvent provoquer l’autisme. Il évoque, pour VAXXED, la régression autistique de son propre fils de 18 mois, ainsi que l’eczéma handicapant de son premier enfant.

 

Au cours de l’interview que le Procureur et sa femme ont donnée à Polly Tommey, co-productrice du film documentaire VAXXED, le Procureur raconte l’histoire terrifiante et révélatrice d’un de ses proches amis, un scientifique de chez Merck, dont la femme est infirmière, et qui ont décidé de ne pas vacciner leurs quatre enfants parce que le scientifique de Merck, sachant ce qui se trouve dans les vaccins, ne voulait pas les administrer à ses propres enfants !

 

A la marque 4.25 de cette vidéo de 11 minutes, on peut entendre l’histoire de George et Stéphanie qui n’acceptent pas que leurs enfants soient vaccinés ! «  Vous ne pouvez pas me prouver à moi qui suis un scientifique que la chose est bonne pour votre enfant. »

 

Le Procureur Da LaHood serait prêt à entamer des poursuites et à ouvrir un procès. Il plaiderait que les vaccins peuvent causer l’autisme ! Mrs. C.J. Frompovich estime qu’il y aurait lieu de mettre avant tout à l’avant les horreurs que peuvent provoquer les vaccinations, de même que la triste obligation vaccinale. Nous devons, précise-t-elle épargner aux enfants les dommages vaccinaux et mettre un terme à la « pandémie »  d’autisme.

Vaccination et autisme: un procureur du Texas, père d'un enfant autiste, témoigne publiquement

Le Procureur et son épouse interviewés par Polly Tommey de l’équipe VAXXED

Vaccination et autisme: un procureur du Texas, père d'un enfant autiste, témoigne publiquement

Polly : Pouvez-vous nous parler de votre rôle ?

 

Procureur : Je suis le Procureur élu de San Antonio, Texas. Toutes les personnes qui sont arrêtées pour possession de drogue, meurtre, abus sexuels sur enfants doivent se présenter dans mon bureau, ensuite nous engageons des poursuites. En tant que Procureur nous avons fait le serment de chercher à découvrir la Justice. Ce que je fais, c’est prendre en compte les preuves. Je présente ensuite le cas devant un jury, en lui demandant de réfléchir à mes observations et recherches.

 

Polly : revenons-en à ce problème de vaccins, à ce que vous en pensiez initialement avant de faire vacciner vos enfants.

 

Procureur : Nous avons eu des formations différentes. Mon épouse est née en Californie, mais elle a été élevée à Mexico. Pour elle, les vaccins étaient destinés à sauver des gens. En ce qui me concerne, je n’ai jamais remis en cause ce que pouvait dire un médecin. Pour moi, un médecin c’était un médecin. Je n’avais pas d’opinion particulière sur les vaccins.

 

Epouse du Procureur : Pour notre petite Maya, nous avons suivi les recommandations qui nous avaient été faites et avons conduit notre petit bout à l’hôpital pour y recevoir ses vaccins. Alors qu’elle avait toujours été un bébé en parfaite santé, elle a commencé à faire des réactions cutanées. On a d’abord cru qu’il s’agissait d’un eczéma – Procureur : les médecins ont finalement pensé qu’il s’agissait d’une maladie auto-immune.-

Vaccination et autisme: un procureur du Texas, père d'un enfant autiste, témoigne publiquement

Comme elle n’arrêtait pas de se gratter parfois jusqu’au sang, nous avons dû lui attacher les bras pour dormir ; c’était affreux !

 

Polly : La notice fait cependant état de diverses réactions au vaccin.

 

Epouse du Procureur : Les médecins ne vous disent pas ce qui peut arriver après avoir reçu des vaccins ; ils ne nous ont pas parlé des effets secondaires possibles. Vous avez tout juste à leur présenter votre enfant et à leur faire confiance.

 

Procureur : notre petit Mike, notre deuxième enfant porte le nom de mon frère. C’était un bébé en parfaite santé et heureux; il riait tout le temps, babillait. Voyez comme il vous regardait franchement dans les yeux.

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Epouse du Procureur : A 18 mois, après une série de vaccins, il a commencé à présenter des sortes de tics, des attitudes anormales, tout son corps et surtout sa tête se raidissaient. Il la tournait violemment sur le côté. Nous avons alors vite compris que quelque chose n’allait pas du tout. Il a ensuite perdu le contact visuel. Cela a représenté un grand changement. Sur le plan moteur, il n’y avait plus aucun progrès. Il ne répondait plus quand on l’appelait par son nom. Il ne se développait plus normalement, alors qu’à son âge il aurait pu parler sans arrêt ! Mais il ne sait plus  communiquer ! C’était terrible.

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Le Procureur : en tant que Procureur, je recherche la vérité où qu’elle puisse me conduire. C’est dans cet esprit que je veux traiter ce problème. A cette époque, Georges, l’un de mes plus proches amis, travaillait en tant que scientifique chez Merck. Il n’a fait vacciner aucun de ses quatre enfants.- Il m’a dit qu’en tant que scientifique : je ne puis pas te dire que les vaccins sont bons pour tes enfants.

 

L’épouse du Procureur : Stéfanie, son épouse était infirmière, et c’est en tant que maman qu’elle m’a dit ne pas avoir vacciné ses quatre enfants.

                                           

Le Procureur : Quand j’écoute ce que dit mon ami, ce que m’ont appris mes recherches, mes discussions, je puis  dire que je suis fâché parce que je déteste littéralement la tromperie. Ma foi me fait également détester le mensonge. Ce que notre gouvernement nous a imposé relève de la tromperie. Que ce soit intentionnel ou non, le résultat est le même. Qu’une personne soit mal intentionnée ou faible, le résultat est le même, peu importe leur intention à un moment donné. La personne mal intentionnée va essayer de vous faire du mal, tandis que la personne faible laissera faire. Le résultat sera toujours le même, c’est vous qui aurez à souffrir ! Peu m’importe qu’un officiel du gouvernement, qu’une compagnie soient trop faibles ou qu’ils soient motivés par la cupidité, les résultats seront les mêmes. C’est là une chose facile à expliquer aux familles.

 

Certaines fois, je voudrais dire à mes enfants que je regrette, mais j’ai cependant fait le mieux que j’ai pu avec l’information dont je disposais à l’époque. En fait, je n’ai pas protégé mes enfants et cela me fait vraiment très mal.

Vaccination et autisme: un procureur du Texas, père d'un enfant autiste, témoigne publiquement
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Votre équipe VAXXED a réalisé un travail fantastique en faisant apparaitre au grand jour ce qu’on a toujours voulu cacher au public. Il est impossible que quiconque a vu ce documentaire puisse jamais dire : « ils ont tout inventé ! » Comment pourrait-on prétendre pareille chose avec les preuves éclatantes apportées par ce documentaire, à savoir que les vaccins peuvent provoquer l’autisme ?

 

Au cours des années 1970, on relevait 1 cas d’autisme sur 10.000.  Aujourd’hui nous avons 1 cas d’autisme sur 43. – On nous dit qu’aujourd’hui, on fait de meilleurs diagnostics. – Le Procureur demande à son épouse : « où se trouvent les autistes de ton époque ? Où sont les autistes de la mienne ? Il n’y en a pas. » Donc, nous devons chercher ce qui s’est passé et qui puisse expliquer pareille situation. 

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La réponse à ce problème a été donnée par le Dr Thompson, lanceur d’alerte du CDC : nous avons menti au peuple Américain ; le CDC possédait les études que les Américains ne pouvaient pas connaitre. - Nous possédons les preuves circonstancielles : des documents photographiques, vidéos et autres AVANT la vaccination et les mêmes documents APRES la vaccination. Il s’agit ici de fortes preuves circonstancielles.

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Procureur : Supposons que je passe devant une maison ; j’entends deux coups de feu. Je rentre dans la maison et je découvre une personne étendue morte sur le sol, alors qu’une personne s’enfuit par l’arrière de la maison. On peut me demander : avez-vous vu que cet homme tirait sur la victime ? – Non ! Mais, comme il n’y avait personne d’autre dans la maison, il y a ici de fortes preuves circonstancielles que la personne qui a fui soit le meurtrier.

 

Je crois qu’il y a ainsi des milliers de cas avec de fortes preuves circonstancielles, avec des photos, des vidéos d’enfants tout à fait normaux. Nous avons-nous-même conservé ces premiers documents. Et puis… à un moment donné, après les vaccinations, vous retrouvez un enfant complètement différent. On pourrait prendre la comparaison d’un enfant qui aurait été blessé après avoir été renversé par une voiture. C’est de cette manière que je vois les choses : il s’agit bel et bien d’événements. – en dehors de notre cas personnel, je serais réconforté dans mon analyse si un cas semblable était tranché par un jury qui établirait que les vaccins peuvent provoquer l’autisme.

 

Polly : que pensez-vous tous les deux qu’il faille faire ? Les vaccins ne sont-ils pas des actes barbares ?

 

Procureur : Oui, c’est barbare.- Ce qu’il faut, c’est de la véritable information, l’éducation du public. Je ne le dirai jamais assez.

 

C’est Osée (4 :6) qui a dit : «  Mon peuple se meurt par manque de connaissance ».

 

Les gens sont détruits faute d’avoir assez de connaissances.

 

C’est exactement cela qui nous arrive par manque de connaissance, par ignorance. Les personnes qui sont en position d’autorité ont le devoir de nous informer, de nous éduquer.

 

Témoignage du Procureur à l’issue du film VAXXED

 

Mon épouse et moi-même aurions aussi pu figurer dans ce documentaire. Notre second fils est devenu autiste. Notre histoire est la même que celle de toutes les autres victimes. Nous avons les photos, les vidéos de notre enfant qui se développait tout à fait normalement. – Tout ceci concerne nos enfants ; cela n’a rien à voir avec un parti politique, mais bien avec notre avenir à tous. Les statistiques sont horribles !

 

Vaccination et autisme: un procureur du Texas, père d'un enfant autiste, témoigne publiquement

L’équipe VAXXED sillonne les Etats-Unis, allant de ville en ville pour y présenter le documentaire

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2 novembre 2016 3 02 /11 /novembre /2016 12:48

Un bébé de 4 mois donne ses organes après avoir reçu 7 doses de vaccin (Extraits)

Un bébé de 4 mois donne ses organes après avoir reçu 7 doses de vaccin

Des parents du Wisconsin pleurent la perte de leur petit-garçon nouveau-né après la vaccination de routine. Moins d’un jour après avoir reçu sept doses de vaccin, leur bébé de quatre mois, Zaïre Corvell-Thomas, a fait un arrêt cardiaque et a cessé de respirer pendant son sommeil. Sa mère et les services d’urgence sont intervenus immédiatement pour lui sauver la vie.

 

Une fois arrivé à l’hôpital Zaïre a été conduit aux soins intensifs. Au cours des douze heures qui ont suivi, les parents de Zaïre ont été poussés à donner les organes du petit. On avait à peine donné à Zaïre une chance de se rétablir quand, quatre jours plus tard, il fut décidé de prélever le cœur battant et le foie de son corps vivant.

 

Avant que tout cela n’arrive, la maman de Zaïre croyait que les vaccins étaient sans danger. Elle avait, elle-même, accepté le principe de rejoindre les rangs des donneurs d’organes. Elle a, depuis, changé d’avis et demande aux parents d’effectuer des recherches sur les vaccins avant d’autoriser qu’ils soient administrés à leurs enfants.

 

Il a fallu qu’elle perde son petit pour qu’elle puisse réaliser qu’il ne serait jamais protégé par aucun vaccin  et que cette affaire était une question d’argent. Après avoir été informés des pratiques trompeuses utilisées pour obtenir le consentement au don d’organes, les parents de Zaïre se demandent si leur petit n’aurait quand même pas pu survivre.

 

Les parents de Zaïre vivent une telle souffrance et une telle culpabilité qu’ils auraient souhaité avoir été plus conscients de la vérité. Ils se sentent coupables d’avoir contribué à nuire à la santé de leur petit garçon en faisant beaucoup trop confiance aux médecins. Ce drame a détruit leur vie. Suite à la perte de leur bébé, les parents de Zaïre veulent partager leur histoire dans l’espoir d’attirer l’attention sur le problème des vaccins et du don d’organes.

 

Les vaccins ne m’ont pas protégé !

 

Peu après sa naissance, Zaïre reçut une injection de vitamine k, de même que sa première injection du vaccin contre l’hépatite B.- Zaire a semblé bien supporter ces deux injections. Sa maman a continué de l’allaiter régulièrement.

 

Deux mois plus tard, sa maman le conduisit chez le pédiatre pour sa visite médicale de deux mois. C’est à la clinique de l’université du Wisconsin que Zaire a finalement reçu ses huit doses de vaccins : contre la diphtérie, le tétanos, la coqueluche acellulaire, l’hépatite B, le Hib, le pneumocoque, la poliomyélite, le vaccin anti rotavirus qui furent administrés par deux infirmières en même temps.

 

C’est au cours des semaines qui ont suivi que la santé de Zaire a commencé à se détériorer. Il a souffert de reflux acides, de vomissements, d’irritabilité, de mauvaise humeur. Suite à cette situation sa maman l’a conduit chez le médecin. Ce dernier n’a pas voulu le mettre sous médicaments parce qu’il continuait à prendre du poids et lui paraissait être en bonne santé. Sa maman estime qu’il n’a pas été bien soigné car son état de santé n’a fait qu’empirer.

 

Le 28 février 2016, sa maman a conduit Zaire aux urgences parce qu’elle l’avait trouvé très pale, et parce qu’il souffrait de difficultés respiratoires. Zaire a été relié à un respirateur pendant 10 minutes avant l’arrivée d’un étudiant en médecine qui a de suite débranché l’appareil. Le personnel de l’hôpital aurait dû reconnaître que les problèmes de Zaire devaient être des réactions dues aux vaccins, mais personne ne se risqua à en souffler mot.

 

Cet étudiant en médecine dit que Zaire avait probablement des troubles d’estomac et lui a administré du pedialyte. Felicia, la maman, pense que les médecins ne se sont pas préoccupés de ses inquiétudes et qu’ils auraient dû maintenir Zaire plus longtemps sous respirateur.

 

C’est le 3 mars 2016, que Felicia conduisit son bébé à sa visite médicale de quatre mois. Felicia expliqua au médecin tout ce qui s’était passé quand son bébé était aux urgences. Le médecin aurait dû se rendre compte à quel point la santé de Zaire s’était dégradée depuis les dernières vaccinations et aurait dû dire à la maman qu’il n’était plus question de lui administrer quelque vaccin que ce soit. Mais au lieu de cela, le pédiatre n’a pas semblé très inquiet et a décrété qu’il était sans danger de lui administrer les vaccins prévus pour le programme des quatre mois.

 

Malgré le fait que Zaire n’était pas bien, et éprouvait toujours des difficultés respiratoires, le pédiatre a demandé à deux infirmières d’administrer les sept doses de vaccin recommandées par le programme officiel. Le même jour à 3 heures, Zaire a commencé à hurler comme il ne l’avait jamais fait et il laissa échapper du sang caillé de sa bouche. Un quart d’heure plus tard, on leur dit qu’ils pouvaient rentrer à la maison.

 

Une fois rentrés à la maison, le comportement de Zaire avait changé. C’était bizarre ; il ne s’était jamais comporté de pareille façon. Il éprouvait toujours des difficultés respiratoires. […]

 

Un moment donné, la maman Felicia appela son petit par son nom. Elle ne reçut aucune réponse ; ce qui était tout à fait inhabituel. Inquiète, elle s’avança vers le berceau ; toucha son petit garçon et remarqua que son bébé ne bougeait plus et n’émettait plus le moindre son.

 

Zaire avait arrêté de respirer pendant son sommeil

 

Lorsque Felicia a touché Zaire et qu’il ne bougeait plus, elle a réalisé que quelque chose clochait. Elle l’a rapidement pris dans ses bras et a remarqué qu’il était sans vie et ne respirait pas. Felicia a crié à son cousin : « appelle le 911 parce qu’il ne respire plus ». Elle a ensuite couché son petit sur le lit et a commencé  les manœuvres de réanimation. Pendant qu’elle pratiquait les exercices de réanimation, elle a remarqué que du liquide coulait du nez de l’enfant.

 

La police est arrivée. Ils ont de suite poursuivi les manœuvres de réanimation. Trente secondes plus tard, l’ambulance est arrivée. Ils ont emporté Zaire, mais la maman ne fut pas autorisée à les accompagner.

 

Zaire a été branché sur oxygène et son état a semblé se stabiliser. Les ambulanciers ont dit à la maman  que si elle n’avait pas pratiqué les manœuvres de réanimation, le petit n’aurait pas pu survivre. Après être arrivé aux urgences les plus proches, Zaire fut transporté par hélicoptère à l’hôpital des enfants de Madison. Zaire fut transporté à l’unité de soins intensifs avec un pronostic assez critique.

 

Quand les parents arrivèrent à l’hôpital, ils furent conduits dans une chambre et interrogés par rapport à ce qui s’était passé, mais curieusement pas le médecin qui avait prétendu que Zaire était bien en état de recevoir tous ces vaccins alors qu’il était malade. Les deux autres enfants de Felicia furent également interrogés.

 

Zaire fut relié à un respirateur. Il dut également subir un scanner et un électroencéphalogramme.

Cette photo a été prise après que les parents eurent accepté que le cerveau de Zaire ait été irrémédiablement endommagé et qu’ils aient été poussés à consentir au don d’organes.

Cette photo a été prise après que les parents eurent accepté que le cerveau de Zaire ait été irrémédiablement endommagé et qu’ils aient été poussés à consentir au don d’organes.

Moins de douze heures après l’arrivée de Zaire, l’équipe qui s’occupait du don d’organes avait déjà été avertie parce que Zaire était  entre la vie et la mort.

 

Les avis des équipes qui s’occupaient de Zaire étaient contradictoires. Les parents étaient perdus ne sachant plus qui croire. Le personnel s’est ensuite réuni ; les soignants ont discuté sans que les parents puissent comprendre ce qu’ils disaient. Finalement certains membres du personnel ont expliqué aux parents que le cerveau de leur enfant était endommagé et qu’il ne pourrait plus récupérer.

 

Le 6 mars 2016, les parents ont été informés que l’activité cérébrale de Zaire s’était réduite progressivement. Le personnel de l’hôpital a fini par enlever les électrodes de la tête de Zaire. Felicia a dû quitter la chambre parce que tout ce qui se passait était trop pénible à supporter. Avant  de sortir de la chambre, elle avait intérieurement dit à son petit : « Moi, je veux que tu restes avec nous; mais si tu dois vraiment partir, j’accepte que tu puisses partir. »

 

Les parents ont fini par accepter ce qu’avaient dit les médecins, notamment qu’il n’était plus possible de sauver le petit. Les parents ont ensuite été poussés à consentir au don d’organes.

 

C’est après le dernier scanner que l’on avertit les parents que Zaire était cérébralement était mort.

 

Finalement les parents acceptèrent le don d’organes parce que Felicia croyait bien faire, espérant que ce geste pourrait sauver d’autres vies.

 

Les parents de Zaire ont manifesté le souhait de pouvoir prendre leur fils dans les bras après que les machines aient été débranchées. On leur expliqua que la chose était impossible parce que le respirateur artificiel devait rester branché jusqu’à ce que les organes aient été prélevés pour qu’ils soient viables pour la transplantation. Le cœur du petit devait donc continuer à battre.

 

La maman Felicia ne savait plus parler ni marcher, elle ne savait plus que prier pendant que Zaire restait attaché aux appareils qui permettaient à son cœur d’encore fonctionner jusqu’à ce qu’il fut temps de prélever ses organes. - Ses parents lui avaient acheté de nouveaux habits et l’avaient fait baptiser à l’hôpital.

 

L’équipe de prélèvement d’organes a conseillé aux parents de prendre des photos avant l’opération. C’est le 8 mars 2016 que l’équipe qui devait prélever les organes du petit fut mise en place pour procéder à la chirurgie. Au cours des deux dernières heures quand Zaire était toujours vivant, ses parents reçurent l’autorisation de le prendre dans les bras tandis que l’équipe chirurgicale se préparait à prélever les organes.

 

Zaire  fut ensuite mis sur une civière, toujours relié au respirateur, pour le transporter à la salle d’opération. La maman a demandé à l’équipe médicale de prendre soin de son petit garçon. L’équipe voulut manifestement en tenir compte parce qu’ils étaient tous en larmes.

 

Les parents furent ensuite informés par une infirmière que le cœur de Zaire avait cessé de battre à 4h.49, le 8 mai 2016.

 

Après que l’équipe chirurgicale eût prélevé le cœur, le foie, une partie de la rate et du pancréas, on signifia aux parents qu’ils pourraient une dernière fois tenir leur bébé dans les bras avant que l’autopsie soit réalisée. Il leur fut cependant signifié que le poids du bébé ne serait plus le même.

 

Lavelle et Felicia, les parents ne purent supporter ce qui leur avait été proposé. Ils ne voulaient en aucun cas garder pareil souvenir de leur petit. Ils se sont contentés de caresser ses mains, de l’embrasser sur le front et de prier. Après, les parents se sont sentis comme paralysés. Jamais ils n’auraient voulu quitter l’hôpital sans leur petit garçon. Perdus, ils ne savaient plus quoi faire.

 

On expliqua ensuite aux parents que le cœur de Zaire serait transplanté chez un bébé de 5 mois en Ohio et que son foie serait donné à une personne de l’Utah. On leur expliqua aussi que les poumons de Zaire étaient trop petits et que les reins n’auraient plus pu fonctionner normalement. La peau et les yeux ne purent non plus être prélevés en raison de leur petite taille.

 

Ils ont ensuite emmené Zaire pour l’autopsie. C’est un examinateur affilié à l’Université du Wisconsin qui a fait l’examen. Cette personne était consciente que Zaire avait été récemment vacciné.

Empreinte de la main et du petit pied de Zaire réalisée juste après son décès

Empreinte de la main et du petit pied de Zaire réalisée juste après son décès

Les vaccins n’ont pas été mentionnés dans le rapport d’autopsie de Zaire

 

Le médecin légiste adjoint du Comté de Dane a certifié que la cause du décès de Zaire était une lésion cérébrale causée par l’anoxie et due à un arrêt cardio-respiratoire avec complication d’hypocalcémie et d’hypovitaminose D. C’est ainsi que ce type de décès fut qualifié de naturel.

 

Les vaccins que Zaire avait reçus moins de 24 heures avant qu’il ne soit placé aux soins intensifs ont été complètement omis de son rapport d’autopsie, malgré que le médecin légiste devait être au courant que Zaire avait été récemment vacciné. Les Centres de Contrôle des Maladies et de Prévention (CDC), comme les fabricants de vaccins admettent que chaque vaccin peut causer la mort… Pas une seule fois, les risques associés aux vaccins n’ont été pris en compte. [2,3]

 

Les hôpitaux comme celui de l’Université du Wisconsin, ainsi que les cliniques qui sont en partenariat avec le CDC, sont financés par le CDC pour effectuer des recherches sur la mort subite du nourrisson. Pour les parents de Zaire, cette situation présente un conflit d’intérêts, étant donné le fait que leur bébé avait été vacciné par un médecin travailant à l’Université du Wisconsin. [4]

Un bébé de 4 mois donne ses organes après avoir reçu 7 doses de vaccin

Lorsque les choses ont pour objectif le profit, et que le CDC finance la recherche faite à l’Université du Wisconsin où Zaire a été traité, les médecins travaillant pour l’Université du Wisconsin ont une tendance à ne pas mentionner les vaccins dans les rapports d’autopsie parce que cela risquerait de présenter une mauvaise image du CDC qui recommande tous ces vaccins qui nuisent aux bébés.

 

Quand un médecin légiste ne fait aucune mention des vaccins dans le rapport d’autopsie, cela contribue à protéger le programme de vaccination. Ceci contribue également à protéger les autres médecins qui vaccinent les enfants et qui sont payés pour chaque dose administrée.

 

[…] Si le cerveau de Zaire avait été endommagé parce qu’il avait connu des problèmes cardiaques, pourquoi les médecins ont-ils pris la décision de prélever son cœur pour le greffer à un autre petit garçon de 5 mois en Ohio et de donner son foie à une personne de l’Utah ?...

 

[…] Les familles d’enfants endommagés par les vaccins n’ont pas la possibilité de poursuivre les fabricants de vaccins ou les médecins qui, dans le cas de Zaire ont vacciné un enfant malade, ce qui représente une contre-indication. Les parents doivent en tout premier lieu s’adresser au tribunal des vaccins qui n’est pas une instance judiciaire normale.

 

[…] Nous envoyons plein d’amour à Zaire pour tout ce qu’il a vécu et pour tout ce que sa très courte vie nous a appris. Souvenons-nous de lui et rendons hommage à toutes les vies qui ont été perdues à cause des vaccinations. Nous osons espérer que le cœur de Zaire continue de battre.

 

A la tendre mémoire de Zaire Corvell Thomas

(22 octobre 2015- 7 mars 2016)

 

Références:

 

  1. https://www.cms.gov/Medicare/Provider-Enrollment-and-Certification…pdf
  2. http://www.cdc.gov/vaccines/vac-gen/side-effects.htm
  3. http://www.immunize.org/fda/
  4. https://www.chawisconsin.org/documents/IP5SUIDreport.pdf
  5. http://www.hngnews.com/sun_prairie_star/news…
  6. http://www.wkow.com…closer-look-at-new-dane-county-medical-examiners-facility
  7. http://www.publichealthmdc.com/family/documents/FIMR2012.pdf
  8. http://rc.rcjournal.com/content/58/3/532.full
  9. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/20068502
  10. http://www.truthaboutorgandonation.com/index.html
  11. http://cid.oxfordjournals.org/content/30/6/857.full
  12. http://www.hrsa.gov/vaccinecompensation/
  13. http://www.hrsa.gov/about/index.html
  14. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC4646954/
  15. http://www.washington.edu…health-system-lauded-for-transplant-organ-donation-excellence-2/
  16. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/books/NBK355268/
  17. http://www.childrenshospital.vanderbilt.org/services.php?mid=4604
  18. http://www.uwhealth.org/organ-donation/consent-workshop/46464
  19. http://www.nvic.org/Vaccine-Laws/state-vaccine-requirements/wisconsin.aspx

 

Source : Vactruth

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1 novembre 2016 2 01 /11 /novembre /2016 09:42

Une étude établit un rapport entre la survaccination, l’autisme, le diabète et l’obésité

 

Par Sayer Ji, 2 octobre 2016 (Extraits)

Une étude établit un rapport entre la survaccination, l’autisme, le diabète et l’obésité

Une étude publiée dans Molecular and Genetic Medicine met l’accent sur la connexion inquiétante qui existe entre l’expansion spectaculaire de la quantité de vaccins administrés de routine aux enfants et une augmentation correspondante de troubles inflammatoires.

 

Cette étude est intitulée : Examen de la surcharge immunitaire induite par les vaccins et les épidémies qui en résultent. Epidémies de Diabète de type 1 et le syndrome métabolique. L’accent est mis sur le risque de Pré-diabète, ainsi que d’autres maladies à médiation immunitaire.

 

L’étude montre que la surcharge immunitaire induite par les vaccins est un facteur déterminant dans un certain nombre d’épidémies de l’enfance qui ne cessent de croître comme :

·         L’autisme

·         Le diabète de type 1

·         L’asthme

·         Les allergies alimentaires

·         De nombreuses maladies auto-immunes

·         L’obésité

·         Le diabète de type 2

·         Les maladies du foie non liées à l’alcool (NAFL)

·         La maladie métabolique

 

L’étude tente de fournir une théorie qui pourrait expliquer que la surcharge vaccinale pourrait expliquer de nombreuses observations réalisées sur les changements qui se produisent actuellement au cours d’épidémies. Le problème fondamental, selon l’étude, est que la vaccinologie suppose une approche passe-partout (one size fits all) qui induit une surexcitation du système immunitaire chez de nombreux vaccinés :

 

« Un des problèmes majeurs ayant trait aux vaccins est le concept du vaccin « passe partout », celui d’une approche uniformisée, identique pour tous. Les notices de presque tous les vaccins recommandent cependant une dose en fonction de l’âge. Pour qu’un vaccin puisse avoir un succès commercial, il convient qu’il puisse induire une réponse immunitaire protectrice chez plus de 90% des enfants. Pour que cet objectif puisse être atteint, l’administration d’une dose en fonction de l’âge, doit pouvoir stimuler une réponse immunitaire protectrice chez les personnes ayant les systèmes immunitaires les plus faibles. Chez la plupart des enfants, le système immunitaire est sur-stimulé. Le fait de régulièrement sur-stimuler le système immunitaire augmente le risque de maladies inflammatoires telles que les maladies auto-immunes et les allergies qui provoquent encore plus d’inflammation. »

 

A la suite de vaccinations, le résultat d’une sur-stimulation du système immunitaire peut varier d’une personne à l’autre, et dépend entièrement de la bio-individualité du sujet qui donne une réponse physiologique unique à l’inflammation. La cascade inflammatoire provoque d’autres effets indésirables en aval :

 

« L’inflammation provoque la libération de cytokines qui peuvent déclencher des maladies auto-immunes, mais aussi stimuler la production de cortisol et donc favoriser des réactions très négatives du système immunitaire. Selon la théorie, l’inflammation provoquée par le cortisol varie en fonction de la race. [3] La chose peut s’expliquer par la présence de gènes susceptibles de modifier la production de cortisol. Les individus qui produisent beaucoup de cortisol en réponse à l’inflammation ont tendance à développer une réponse du type du syndrome de Cushing, comme l’obésité, le diabète de type 2, l’hypertension, la dyslipidémie qu’on appelle aussi syndrome métabolique ». Pour les actionnaires, ce sont les mêmes tendances du programme de vaccination qui se sont perpétuées au cours des 15 dernières années : « au plus de vaccins, au mieux ». Le programme de vaccination est à tel point surchargé que chaque nouveau vaccin augmente d’une façon mathématique les risques d’une surcharge immunitaire :

 

« Depuis 1999, le programme de vaccination de routine [9,10] comprend 80 vaccins. Ce nombre provient du fait que les vaccins multivalents contiennent des vaccins spécifiques pour chaque souche. Les vaccins suivants ont été ajoutés : le pneumocoque (13 valences), le méningocoque (4 valences) le virus du papillome humain (4 valences), l’hépatite A (1 valence), le rotavirus (4 valences), la grippe (3 valences par an X 18= 54 ».

 

L’étude a fourni des  explications détaillées sur les différentes façons dont un vaccin qui induit une sur-stimulation du système immunitaire peut contribuer à provoquer des maladies chroniques telles qie le diabète de type 1, l’obésité, le NAFL. Mais le lien qui est proposé par rapport à l’autisme est le plus remarquable, étant donné que le fait de lier les vaccins à un trouble du spectre autistique est un sujet particulièrement  tabou. - L’auteur principal de l’étude fait référence à une étude qu’il a publiée en 2013 et intitulée intitulé : la prévalence de l’autisme est positivement associée à l’incidence du diabète de type 1, mais négativement associée à l’incidence du diabète de type 2  […] tout ceci suggère un rôle possible des vaccins dans des épidémies simultanées. Il est clair que si les vaccins sont capables de  sur-stimuler le système immunitaire et/ou de rompre une auto-tolérance immunologique, on pourrait dès lors comprendre que tout ceci pourrait s’exprimer dans une large gamme de différentes manières : le système immunitaire pourrait, par exemple, attaquer les cellules bêta productrices d’insuline dans le pancréas (diabète de type 1) ou dans le cerveau (autisme). Les permutations et les effets sur la santé sont sans fin.

 

L’auteur fait remarquer que les théories de l’auto-immunité induite par les vaccins ont été extrêmement difficiles à prouver parce que les études de post-commercialisation et de surveillance épidémiologique, comme celles des essais prospectifs sur les vaccins effectués pour obtenir les permis, sont soit trop réduites, de trop courte durée ou mal contrôlées (utilisation d’autres vaccins en guise de placebos) pour pouvoir apprécier de manière appropriée la relation entre les vaccins et les épidémies.

 

L’auteur fait aussi remarquer que «  Bien que l’idéal serait de pouvoir disposer de plus de données de tests cliniques, l’industrie et le gouvernement ont été réticents à fournir pareilles informations. Il faut se rappeler que les conclusions concernant la toxicité de nombreux produits, y compris les cigarettes et l’amiante ont été établies sans essais cliniques […]

 

Nous pensons que l’auteur a raison de lancer pareil avertissement. Même si le problème ne relève pas directement du domaine académique, il n’en reste pas moins qu’il y va de la santé actuelle et future de nos enfants.

 

Si l’actuel calendrier de vaccinations pédiatriques qui ne cesse de croître, se traduit par la sur-stimulation et la dysrégulation de l’immunité des enfants, ce qui pourrait expliquer le mystère qui se cache derrière l’atroce épidémie « idiopathique » d’autisme. Si cette approche s’avère exacte, le programme doit être immédiatement suspendu et réévalué pour la sécurité, au moyen d’essais cliniques contrôlés de manière appropriée (avec d’authentiques placebos) pour pouvoir enfin apporter les preuves nécessaires comme bases et justification à la vaccination comparativement  à une optimisation nutritionnelle, à l’assainissement, à l’hygiène, à la médecine à base de plantes comme première ligne de défense stratégique pour la prévention des maladies infectieuses. Rien de moins que cela relèverait d’une attitude pseudo-scientifique et violerait clairement le consentement éclairé.

 

Source : Thesleuthjournal.com

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28 octobre 2016 5 28 /10 /octobre /2016 12:32

Un pédiatre français, le Dr M. nous a envoyé ce jour un mail plein de colère (que nous copions-collons) ci-dessous avec, bien entendu à la suite, la réponse que nous venons de lui faire....

 

Bonne santé à toutes et à tous! 

Mail d'un pédiatre en colère à Initiative Citoyenne... et notre réponse!

VOTRE INITIATIVE est scandaleuse et dangereuse

 

scandaleux de ne pas faire un résumé sur votre page non scientifique des maladies type COQUELUCHE , DIPHTERIE, TETANOS, MENINGITE à Pneumocoque etc Un pédiatre

( vous allez être responsables de maladies et de décès d ' enfants non vaccinés et il y en a des milliers

 

Dr M. (pédiatre)

 

Réponse d'Initiative Citoyenne:

 

Faites votre propagande ailleurs svp. Le web regorge déjà d'informations alarmistes mais ô combien peu scientifiques sur les maladies que vous décrivez.

 

Vous semblez tellement mal informé sur la diphtérie, la coqueluche, les pneumocoques que cela donne envie de pleurer en pensant aux enfants que vous piquez dans une telle inconscience et en bafouant plus que probablement bien sûr les droits de ceux-ci (via leurs parents) à un consentement libre et suffisamment éclairé...

 

Fiasco du vaccin antipneumococcique:

http://initiativecitoyenne.be/article-pneumocoques-l-echec-retentissant-de-la-vaccination-86420861.html

 

Dangerosité du vaccin antipneumococcique (3% d'effets GRAVES recensés par le fabricant dans les essais cliniques, soit incomparablement plus que le risque statistique de complication liée à une infection naturelle...):

http://initiativecitoyenne.be/article-prevenar-13-documents-confidentiels-accablants-113700156.html

 

http://initiativecitoyenne.be/article-le-vaccin-prevnar-est-il-un-vaccin-sur-et-sans-danger-77197345.html

 

Non-dits sur la diphtérie:

http://initiativecitoyenne.be/2015/06/cas-de-diphterie-en-espagne-ce-qu-il-faut-savoir-et-que-la-presse-ne-vous-dira-jamais.html

 

Échec cuisant des politiques en matière de coqueluche:

http://initiativecitoyenne.be/article-coqueluche-l-echec-cuisant-de-la-vaccination-cocoon-102102298.html

 

http://initiativecitoyenne.be/article-la-moitie-des-cas-de-coqueluche-surviennent-chez-des-sujets-vaccines-98716877.html

 

http://initiativecitoyenne.be/2016/03/des-enfants-recemment-vaccines-repandent-la-coqueluche-partout.html

 

http://initiativecitoyenne.be/article-la-coqueluche-dejoue-le-vaccin-mais-la-vieille-garde-continue-d-y-croire-116118691.html

 

http://initiativecitoyenne.be/2016/10/les-bacteries-de-la-coqueluche-se-montrent-plus-futees-que-les-vaccins-les-experts-expliquent-pourquoi.html

 

http://initiativecitoyenne.be/article-la-vaccination-anticoquelucheuse-augmente-la-colonisation-par-la-bacterie-b-parapertussis-108576812.html
 

PRENEZ GARDE en tout cas! Car violer la loi sur les droits des patients (4 mars 2002) pourrait un jour vous valoir une condamnation en justice pour faute et dommage moral. C'est par exemple ce qui est arrivé à un médecin condamné à verser 3000 euros à un patient par le juge civil de Bordeaux pour ne pas avoir par exemple informé le patient d'un risque grave (SEP) après vaccination HB.

http://www.juritravail.com/Actualite/informations-patient/Id/33351

 

Si vous étiez réellement scientifique et aviez réellement à coeur la santé publique, vous devriez vous dépêcher de réclamer le durcissement des critères actuels selon lesquels les vaccins sont évalués! A défaut, vous préférez alors vous maintenir dans une attitude dogmatique et religieuse et cela est bien entendu très décevant...

http://initiativecitoyenne.be/article-tous-les-vaccins-sont-experimentaux-voici-pourquoi-118489412.html

 

http://initiativecitoyenne.be/article-vaccins-le-vrai-scandale-des-faux-placebos-97058382.html

 

http://initiativecitoyenne.be/article-dr-saluzzo-de-sanofi-pasteur-on-ne-sait-pas-comment-marchent-les-vaccins-114130498.html


Le public prend et continuera de prendre de plus en plus conscience des dessous du système vaccinal qui mêle à longueur de journée mensonges et intimidations sur fond de conflits d'intérêts constants. Aussi, vos affirmations incantatoires ne recevront que le poids qu'elles méritent à la lueur de FAITS autrement plus éclairants et accablants. Par exemple, le fait que selon un rapport de la Cour des Comptes française d'octobre 2012 l'acte vaccinal constitue en moyenne LE TIERS des revenus annuels des pédiatres (et cela sans compter les reconsultations pour effets secondaires or celles-ci sont assurément tristement nombreuses, comme en témoigne notamment un rapport officiel belge ONE/PROVAC de 2009 faisant état de 5% de reconsultations d'enfants endéans les 48H après vaccination mais donc combien après une semaine? deux semaines? Un mois? Combien donc de consultations inutiles qui n'auraient pas eu lieu sans ces cocktails vaccinaux incessants?). 

http://initiativecitoyenne.be/article-la-vaccination-un-juteux-business-aussi-pour-les-medecins-122905108.html

 

http://ddata.over-blog.com/xxxyyy/3/27/09/71/Enquete-Provac-2009.pdf (p. 43/54)

 

Un autre fait éclairant est le résultat d'une enquête effectuée par l'INPES en 2005 auprès d'un échantillon représentatif de 400 médecins pédiatres et généralistes qui pouvaient répondre dans le confort de leur anonymat, démontrant que 31% d'entre eux se posent des questions  sur la sécurité des vaccins administrés aux enfants et 58% sur leur utilité! Il serait par conséquent peut-être plus urgent encore pour vous de courir vers tous vos confrères  qui doutent et de tenter de ramener en bon berger les brebis égarées dans le reste du troupeau?

http://initiativecitoyenne.be/article-ce-que-les-medecins-pensent-de-la-vaccination-l-enquete-choc-non-publiee-de-l-inpes-70545268.html

 

Parmi les autres faits méritant d'être relevés, il y a le fait que la santé des enfants non vaccinés (0 vaccins) est globalement bien meilleure que celle des enfants vaccinés, comme des enquêtes indépendantes convergentes le montrent... est-il éthique de cacher ces données aux parents et de ne jamais leur en parler?? Du point de vue d'un idéologue obnubilé par les seules maladies vaccinales au détriment de toutes les autres, sans doute que oui et il y croira de bonne foi mais du point de vue élargi d'un rapport bénéfices/risques plus global et plus objectif?

http://ddata.over-blog.com/xxxyyy/3/27/09/71/2012-2013/Etude-Hollandaise--NVKP.pdf

 

https://childhealthsafety.wordpress.com/2011/08/26/new-survey-shows-unvaccinated-children-vastly-healthier-far-lower-rates-of-chronic-conditions-and-autism/

 

https://www.youtube.com/watch?v=U-U_LcCuUf0
 

Voilà, vous êtes maintenant face à un véritable choix ou même pourrait-on dire, un challenge, un défi, celui d'OSER vous poser certaines questions par rapport aux déclarations fracassantes de nombreux de vos confrères... sont-ils tous fous et illuminés et est-ce bien vous le pédiatre détenteur de la sacrosainte vérité vaccinale? Pourquoi votre collègue Dr Didier Tarte a-t-il les larmes aux yeux quand il évoque la tragédie des effets secondaires graves de vaccins chez les enfants? 

https://www.youtube.com/watch?v=dtQNhC-YvR8

 

Pourquoi le Dr Bernadine Healy, pourtant ex chef du prestigieux National Institute of Health des USA, a-t-elle déclaré (bien qu'elle n'ait aucun lien spécifique avec le Dr Wakefield) en 2008 sur CBS que le lien entre vaccins et autisme ne pouvait pas du tout être écarté par la méthodologie inadaptée des études actuellement disponibles, et qu'elle était profondément déçue de cette volonté de ne pas savoir de la part des instances officielles?

https://www.youtube.com/watch?v=ymhVI_SQwU0

 

Il y a quantité de liens auxquels vous trouverez des questions intéressantes à vous poser,  ne serait-ce que pour vous-mêmes vous demander si vous êtes réellement et objectivement en mesure d'y répondre de façon satisfaisante. Certes, cela vous prendra plus de temps et vous rapportera moins d'argent que de piquer les enfants à la chaîne, mais cela en vaut vraiment la peine pour tout le monde...

 

http://initiativecitoyenne.be/article-une-pediatre-qui-a-bien-appris-sa-le-on-sur-les-vaccins-117346220.html

 

http://initiativecitoyenne.be/article-www-initiativecitoyenne-be-un-site-aussi-utile-aux-medecins-119024464.html

 

Bonne continuation!

Bien à vous,

L'équipe d'Initiative Citoyenne, collectif citoyen indépendant.

 

PS: Nous ne manquerons pas, en respectant bien sûr votre anonymat de publier tant sur notre site que sur les réseaux sociaux votre mail ainsi que notre réponse. Nous sommes en effet sûrs que cela intéressera de nombreux parents mais aussi nombreux de vos confrères ainsi que d'autres professionnels de santé...

 

Voir aussi:

 

Un médecin prend l'engagement de ne plus vacciner après avoir assisté à un symposium sur l'autisme à Chicago

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