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27 mars 2016 7 27 /03 /mars /2016 10:54

Une célèbre neuropathologiste voit sa carrière détruite pour avoir voulu réfuter la théorie dite du « Syndrome du Bébé Secoué »

Une célèbre neuropathologiste voit sa carrière détruite pour avoir voulu réfuter la théorie dite du « Syndrome du Bébé Secoué »

Dr Waney Squire

 

«La pire des choses imaginables, c’est de voir des parents enfermés injustement dans des prisons dans l’attente de la mort.

 

Quelque chose de terrible a « infecté » mes collègues médecins – ou en tout cas un nombre considérable d’entre eux.

 

Le temps est venu de mettre fin à cette forme abusive de diagnostic. Le temps est venu pour les médecins d’oser regarder en face ce qui se trouve dans leur propre littérature médicale et d’examiner les erreurs aux proportions gigantesques qui ont été commises, afin  d’y apporter les corrections qui s’imposent. »  Dr A.Kalokerinos

 

Health Impact News, Editor, 15 mars 2016.

 

La théorie médicale concernant le « Syndrome du Bébé Secoué » (SBS) est en train de perdre rapidement de sa crédibilité. Aujourd’hui de nombreux médecins, scientifiques et avocats dénoncent le « Syndrome du Bébé Secoué », ainsi que le fait que des parents innocents soient accusés à tort de maltraitance d’enfants. Les tribunaux tentent de revoir certains cas sur base des témoignages de médecins  et de professionnels des questions de santé. Certains cas ont récemment été revus.

 

La profession médicale se défend. Les raisons en sont suffisamment évidentes. Le fait d’admettre que la théorie du « Bébé Secoué » soit fausse risquerait d’ouvrir la porte à des litiges majeurs, étant donné le fait que c’est sur base de cette théorie que des milliers de parents ont été condamnés pour maltraitance d’enfants et que peut-être des dizaines de milliers d’entre eux ont été arrachés à leurs familles. Il faut aussi savoir qu’il existe un énorme financement fédéral pour permettre d’enlever ces enfants et les mettre sous la tutelle de l’état.

 

Donc, la stratégie évidente de la profession médicale est d’attaquer les médecins qui témoignent en faveur des parents innocents, et contre la théorie du SBS. Il s’ensuit que la crédibilité de ces médecins est détruite et qu’ils se voient retirer leur licence. Sans le témoignage de ces experts, il serait infiniment plus difficile de lutter contre les fausses condamnations de parents innocents.

 

La dernière tentative dans ce sens est l’action qu’a entreprise le Conseil Médical Général Britannique à l’encontre du Dr Waney Squier, neuropathologiste pédiatrique de renommée internationale. Pour avoir eu le courage de témoigner de la vérité concernant le « Syndrome du Bébé Secoué », ce médecin a vu sa carrière détruite.

 

Christina England, Health Impact News écrit :

 

C’est le vendredi 11 mars 2016 que le Conseil Médical Général Britannique (GMC) a décrété que la neuropathologiste pédiatrique britannique, le Dr Waney Squier, témoin expert de la Défense s’est rendue coupable « d’avoir trompé ses pairs, d’être irresponsable, malhonnête, et de porter atteinte à la réputation de la profession médicale dans le district.»

 

En un mot, elle a été reconnue coupable d’être en désaccord avec l’establishment médical au sujet de la « science »  qui explique le « Syndrome du Bébé Secoué », comme d’avoir parlé au nom de parents innocents.

 

Considérée comme étant la première scientifique du pays dans le domaine de la neuropathologie pédiatrique, le Dr Squier a travaillé comme consultante à l’hôpital John Radcliffe pendant 32 ans. Jusqu’il y a environ 15 ans, elle a soutenu avec véhémence et a adhéré à la croyance traditionnelle. Selon cette croyance, quand un médecin  suspectait qu’un enfant avait été violemment secoué, il fallait faire porter les examens sur la « triade » de dommages que les médecins pensaient être associés au « Syndrome du bébé Secoué » (SBS)

 

Cependant, après avoir étudié et examiné les fondements scientifiques de ce qui, après tout, ne représente qu’une théorie, le Dr Squier a commencé à avoir des doutes qui l’ont conduite à exprimer un scepticisme scientifique qui n’a cessé de croître.

 

D’autres professionnels de santé marquent leur accord avec le Dr Squier et considèrent que la théorie officielle du « Bébé Secoué » relève d’une « science de pacotille »

 

Au fil des ans, un nombre croissant de professionnels a tourné le dos aux théories classiques du SBS, et ce, en faveur de la science. Les experts estiment maintenant qu’il existe toute une série d’autres conditions et circonstances qui peuvent provoquer cette « triade » de dommages.

 

Clive Stafford Smith, avocat des droits de l’homme précise :

 

Le « Syndrome du Bébé Secoué » n’est pas un diagnostic médical qui devrait être traité, mais presque uniquement l’avis d’un médecin qu’un crime a été commis. J’ai représenté un certain nombre de personnes qui ont été condamnées à mort sur base de cette « théorie », bien que de plus en plus de preuves s’accumulent et tentent à montrer que cette « théorie » est un non-sens scientifique. La justice exige cependant qu’un médecin qui détient honnêtement des vues soutenues par des preuves scientifiques soit autorisé à donner un témoignage qui puisse remettre en question d’autres hypothèses. Après tout, il y a quelque 400 ans, on avait interdit à Galileo Galilei  de dire que la terre tournait autour du soleil. Malheureusement, il a fallu attendre 1982 avant que le pape Jean-Paul II reconnaisse que l’Eglise catholique avait eu tort.

 

Mis à part l’impact personnel dévastateur dont a eu à souffrir le Dr Squier, Smith poursuit :

 

Je suis plus que préoccupé par l’administration de la justice à ce sujet, dans ce pays comme dans le monde entier. Des centaines, voire des milliers de parents ou gardiennes ont été condamnés ou ont perdu la garde de leurs enfants quand la profession médicale avait diagnostiqué un crime. Aujourd’hui, si peu qualifiés qu’ils puissent être, les membres du Comité ont annoncé que le GMC ne tolérerait aucune dissidence scientifique. Ceci est absolument vrai. Et si la décision du GMC est de supprimer le nom du Dr Squier du registre médical, cette dernière ne pourra plus pratiquer la médecine. Dans ce cas, le monde aura perdu une merveilleuse scientifique qui avait pris la défense des parents. Malheureusement,  des parents risquent de se retrouver  sans expert pour les défendre et d’être, pour des années, condamnés à la prison pour un crime qu’ils n’ont pas commis.

 

Les membres du General Medical Council sont-ils qualifiés pour statuer des cas de SBS, ou s’agit-il essentiellement d’une « chasse aux sorcières » ?

 

Comme des lettres de soutien (de professionnels de santé) au Dr Squier inondent littéralement le GMC, il est possible, à partir de ces courriers, de comprendre que le cas du Dr Squier est un peu plus qu’une chasse aux sorcières destinée à détruire la crédibilité d’une excellente professionnelle de santé, tout en continuant à promouvoir des théories dépassées, basées partiellement sur une science de pacotille.

 

Le Dr Steven C. Gabaeff qui a été médecin urgentiste pendant 40 ans a commenté le fait que le jury qui devait statuer sur l’affaire était composé d’un officier de la RAF à la retraite, d’un policier à la retraite et d’un psychiatre lui aussi à la retraite, donc de trois personnes ne faisant pas vraiment partie du monde médical. Le Dr Steven précise que le GMC et le MTPS devraient avoir honte d’avoir mis sur pied un jury  partial et ignorant qui ne pouvait comprendre les véritables enjeux. Il s’agissait vraisemblablement d’une configuration frauduleuse pour détruire un atout de premier plan pour la Grande-Bretagne et pour le monde dans la lutte contre les fausses accusations, ainsi qu’un leader mondial dans son domaine.

 

Il s’agit de l’acte le plus vil qui soit pour détruire la brillante renommée d’une personne. Acte perpétré  par des personnes (accusateurs « médicaux ») pris au piège de leurs propres idées fausses, comme à celui de diagnostics périmés. Ces gens ne valent pas mieux que des chasseurs de sorcières dont les vies professionnelles seraient, - si la vérité devait s’imposer,- recouvertes des larmes et des incalculables souffrances des familles qu’ils ont détruites par leurs fausses accusations, leur arrogance, leur narcissisme, leur folie des grandeurs, et l’impact terrible que les condamnations ont eu sur des familles faussement accusées… Le but réel de cette injustice, serait, semble-t-il, le maintien du statu quo…

Une célèbre neuropathologiste voit sa carrière détruite pour avoir voulu réfuter la théorie dite du « Syndrome du Bébé Secoué »

Dans une lettre écrite au GMC et destinée à soutenir le Dr Squier, le Dr Steven C.Gabaeff écrit :

 

« Les attaques perpétrées à l’encontre de ceux qui veulent apporter la lumière sur toutes les causes alternatives qui permettraient de mieux diagnostiquer les abus ; ces attaques semblent bien être la réponse à tout ce qui pourrait menacer la pensée même de l’establishment et l’establishment lui-même. Les défis lancés contre le dogme existant proviennent aujourd’hui de nombreux milieux et de nombreux spécialistes médicaux qui en connaissent un peu plus que l’establishment médical lui-même. Les challengers ont fait naître une pensée alternative au sujet de l’étiologie des moyens mal utilisés pour dépister les abus.

 

Cette stratégie qui consiste à honteusement attaquer des personnalités hautement respectées, des leaders dans leur domaine parce qu’elles ne partagent pas des hypothèses douteuses, non démontrées et finalement fausses, n’est pas, en soi, une chose nouvelle. »

 

Dr Michael Powers, QC, éminent spécialiste des questions médico-légales écrit :

 

« Sans vouloir manquer de respect, on peut dire que le tribunal du GMC – composé d’un officier pensionné de la RAF, d’un policier à la retraite, et d’un psychiatre lui aussi à la retraite – n’est nullement qualifié pour comprendre la pathologie complexe d’un cerveau en développement. Il est donc triste, mais pas surprenant que ces personnes soient parvenues à des conclusions erronées. Le forum approprié pour débattre de ces questions serait, sans aucun doute, la communauté internationale des neurosciences. »

 

Ironie Suprême : le Dr Squire est sur le point de recevoir le Prix de « Champion de la Justice » décerné par 69 organisations du monde entier.

 

Dr John Plunkett, qui a réalisé un travail de pionnier sur la validité du « Syndrome du Bébé Secoué » déclare :

 

« C’est l’ironie suprême que le « Réseau Innocence » s’apprête à accorder au Dr Squier le prix 2016 de « Champion de la Justice » au Congrès de San Antonio le 8 avril prochain. Ce groupe  est formé de 69 organisations du monde entier, y compris le Royaume-Uni. - Un minimum de 300 personnes condamnées à tort pour crimes graves ont été disculpées, y compris des personnes pour lesquelles le Dr Squier avait été nommée experte. Comment est-il possible que le « Réseau Innocence » puisse accorder pareil prix au Dr Squier alors que le GMC avait clairement qualifié son comportement de malhonnête et digne de sanction ? »

 

Les parents qui ont été blanchis de crimes qu’ils n’ont pas commis s’expriment

 

Grâce aux efforts incessants du Dr Squier, quantités de parents innocents ont pu garder leurs enfants et éviter de très lourdes peines de prison…

 

Le Dr Bergina Isbell, une maman dévastée qui avait eu recours au Dr Squier écrit :

 

Si nous n’avions pas pu profiter de la recherche poussée du Dr Squier, ainsi que de son engagement indéfectible vis-à-vis de la vérité, ma famille et moi aurions été à la merci d’un personnel médical ignorant qui n’a pas pu mener une enquête approfondie concernant l’affaire de mon fils. Je suis pour toujours reconnaissante au Dr Squier, et mon cœur souffre de l’injustice qui lui est faite.

 

Etre étiqueté coupable pour un crime que vous n’avez pas commis peut conduire à des conséquences extrêmement tragiques. De plus en plus de parents sont abandonnés à leur désespoir, terrifiés et seuls sans pouvoir trouver d’appui. C’est tout récemment que j’ai appris que des parents se sont suicidés après avoir été faussement accusés d’avoir tué leurs enfants, terrifiés d’avoir à être confrontés à la réclusion à perpétuité pour un crime qu’ils n’avaient pas commis !

 

Source : Health Impact News

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27 mars 2016 7 27 /03 /mars /2016 10:52

LE SYNDROME

 Un nouveau film explosif démasque le mythe du « Bébé Secoué » - L’opposition veut étouffer ces « révélations » au Festival du film

Nouveau documentaire explosif sur le syndrome du bébé secoué

Brian Shilhavy, Health Impact News Editor, 13 mars 2016

 

Un nouveau film exposant la corruption derrière une grande partie du diagnostic du « Syndrome du Bébé Secoué » utilisé pour enlever des enfants à la garde de leurs parents, et dans certains cas pour mettre les parents derrière les barreaux, est en train de faire son petit bonhomme de chemin dans le circuit des Festivals du film.

 

Le Syndrome est un film produit et réalisé par Meryl Goldsmith, cinéaste de Los Angeles et par sa cousine journaliste d’investigation, Susan Goldsmith en tant que coproductrice et éditrice. Ce film constitue le premier long métrage de Meryl Goldsmith. Dans le casting, on retrouve des médecins, des juristes, des professeurs de Droit. 

 

Nouveau documentaire explosif sur le syndrome du bébé secoué

Lauren Kirchner qui écrit pour le Pacific Standard Magazine, a récemment interviewé Susan Goldsmith et a aussi recueilli l’avis de l’opposition que ce film a engendrée dans la communauté médicale.

 

Nombre de personnes qui interviennent dans le film ont consacré leur vie professionnelle à attirer l’attention du monde sur les recherches récentes qui ont été réalisées sur les dommages de santé dont on souffert les enfants, de même qu’à défendre devant les tribunaux les personnes qui étaient accusées d’avoir abusé d’enfants.

 

Suite à leur position, ces personnes dont dû faire face à un énorme choc en retour de la part des médecins et des procureurs qui voulaient marquer leur désaccord. Les cinéastes savaient aussi qu’ils allaient être balayés. De nombreux organisateurs de Festivals de films qui avaient envisagé la projection du film furent menacés de poursuites, et accusés de promouvoir la violence envers les enfants, comme l’a révélé une récente interview des cinéastes.

 

Susan Goldsmith explique que le thème même de leur film est de faire apparaitre comment les partisans du Syndrome du « Bébé secoué » et des violents traumatismes crâniens subis par ces enfants se sont évertués à faire taire leurs critiques. Susan Goldsmith poursuit en disant que « ce thème est aujourd’hui toujours d’actualité et qu’elle s’y attendait. Elle ajoute : Nous avons pensé faire évoluer la situation en mettant en lumière ces autres conditions médicales qui peuvent ressembler à des abus mais qui n’en sont effectivement pas. Tout ceci fait effectivement peser une menace sur l’ensemble du groupe de travail qui s’occupe du  Syndrome du Bébé Secoué, ainsi que sur le complexe industriel.

 

Kirchner écrit que ceux qui, dans les milieux médicaux, soutiennent le Syndrome du Bébé Secoué, font tous partie d’un groupe puissant et influent comprenant l’Académie Américaine de Pédiatrie et le Centre National dédié au « Syndrome du Bébé Secoué ». Avant la toute première projection du film, ils ont fait de leurs mains et de leurs pieds pour que le Festival International du Film (Kansas) bloque le film en le qualifiant de « film dangereux» alors qu’ils ne l’avaient encore jamais vu.

 

Ci-dessous une description du film à partir du site même du film :

 

Audrey Edmunds, maman de 3 enfants, a passé 11 ans en prison pour avoir tué un bébé auquel elle n’avait jamais fait le moindre mal. Elle n’est malheureusement pas la seule. Qu’est-ce qui se passe quand des croyances largement répandues et basées sur une science de pacotille aboutissent à la condamnation de personnes innocentes ?

 

Le Syndrome est un documentaire explosif qui représente en quelque sorte la croisade d’un groupe de médecins, de scientifiques et de juristes qui ont fait une fameuse découverte : « Le Syndrome du Bébé Secoué », la théorie responsable des poursuites pour maltraitance d’enfants exercées, chaque année, à l’encontre de centaines de personnes aux Etats-Unis, ne serait pas scientifiquement valide. En fait, tout cela n’existerait même pas, expliquent les auteurs du documentaire.

 

La réalisatrice du film Meryl Goldsmith s’est associée à la journaliste d’investigation déjà primée pour réaliser ce documentaire sur le cauchemar inimaginable que vivent les accusés, et mettre en lumière le courage de ces hommes et de ces femmes qui ont dédié leurs vies à défendre ceux qui font l’objet de poursuites, comme aussi à faire libérér les personnes condamnées.

 

Le Syndrome met en lumière les origines du mythe du « Bébé Secoué ». Il identifie sans ménagement ceux qui ont construit leurs carrières et profité de cette théorie en révélant leur passé choquant. Les partisans de la théorie du « Bébé Secoué » sont dès lors déterminés à faire taire leurs critiques, alors même qu’un nombre impressionnant de vies ont été ruinées.

 

L’année dernière (2014), le professeur de Droit Deborah Tuerkheimer qui apparait dans le film de Goldsmith a écrit un article pour Slate au sujet d’une gardienne de 43 ans, Jennifer Del Prete (Illinois) qui a passé 10 ans de sa vie en prison alors qu’elle avait écopé de 20 ans pour une histoire de « bébé secoué ». Elle a finalement été libérée par un juge fédéral. L’article de Tuerkheimer : «  Un juge déclare finalement que le diagnostic du Bébé Secoué relève d’un « article de foi » a fait comprendre que cette décision du juge « faisait partie d’un nombre croissant  d’avis de juges, de jurés, et même de procureurs au sujet des condamnations pénales sur base de diagnostics du Syndrome du Bébé Secoué ».

Nouveau documentaire explosif sur le syndrome du bébé secoué

Tuerkheimer poursuit :

 

Toute cette affaire arrive à un tournant critique. La certitude qui avait trait au « Syndrome du Bébé Secoué »… s’est progressivement dissoute depuis des années. Le système judiciaire commence à reconnaitre ce changement mais devrait aller plus loin et peut-être annuler les condamnations passées. (Lire la suite de l’article en anglais).

 

Le Syndrome du Bébé Secoué peut être la preuve d’un rachitisme induit par les vaccins

 

Christina England a commenté le livre du Dr David Ayoub, radiologue à Springfield, Illinois. Ce radiologue a établi un lien entre les fractures des enfants découvertes aux rayons X, et erronément attribuées au diagnostic du « Bébé Secoué », à un rachitisme infantile.

 

Le Dr Ayoub estime que ce n’est pas uniquement la mauvaise alimentation et le manque de soleil qui sont responsables du nombre croissant d’enfants souffrant de rachitisme, mais aussi le nombre croissant de vaccins contenant de l’aluminium.

 

Le Dr Ayoub, expert en rachitisme infantile, a été impliqué dans des centaines de cas de rachitisme mal diagnostiqués dans le monde. Il a accepté de témoigner en faveur de nombreux parents innocents accusés du « Syndrome du Bébé Secoué ».

 

Ne permettez pas que l’industrie médicale puisse bloquer la diffusion de l’important message que véhicule le film The Syndrome. Les fausses accusations de « Bébé Secoué » arrachent les enfants à leurs parents et mettent des innocents derrière les barreaux ! Il faut que le message de ce film puisse atteindre le plus grand public possible ! 

 

Source : Medicalkidnap.com

 

Voir aussi

 

Une célèbre neuropathologiste voit sa carrière détruite pour avoir voulu réfuter la théorie dite du  "Syndrome du bébé secoué"

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16 mars 2016 3 16 /03 /mars /2016 19:22

Interview de Laura Hayes,

Maman d’un enfant gravement handicapé à vie après des vaccinations

Autisme et vaccination: l'interview-vérité d'une maman courage

Jeanie Keltner (Journaliste) :

 

Nous allons donc parler aujourd’hui tout spécialement de l’obligation qu’ont les parents californiens de faire vacciner leurs enfants pour qu’ils puissent fréquenter l’école. Personnellement, je pars du principe que là où il y a des risques, il doit obligatoirement y avoir la possibilité de choix. Il est impensable d’obliger les gens à courir des risques surtout quand il s’agit d’enfants.

 

Laura, expliquez-nous un peu comment vous êtes devenue  experte en matière de vaccinations.

Autisme et vaccination: l'interview-vérité d'une maman courage

J’ai pu personnellement me rendre compte directement des dommages que les vaccinations ont eu sur la santé de mes propres enfants. J’ai, dans la suite, déployé un maximum d’efforts pour que le drame que nous avons vécu soit épargné à d’autres familles. Au cours des 20 dernières années, j’ai aussi entendu les témoignages de nombreux autres parents en Californie, dans d’autres états américains, comme aussi dans d’autres pays du monde. Ce sont toujours les mêmes histoires qui reviennent après les vaccins. Je me suis beaucoup documentée. J’ai consulté les notices des vaccins, j’ai lu quantité d’études, de livres sur le sujet. C’est comme cela que j’ai découvert ce que les compagnies pharmaceutiques et le gouvernement cachent au public. J’ai écouté avec grande attention ce qu’ont révélé les lanceurs d’alerte de Merck et du CDC. Je me suis aussi informée sur les synergies qui peuvent exister entre les constituants des vaccins, le glyphosate, le Round Up,  autres pesticides et le fluor dans l’eau. Tout cela couplé avec tous les éléments toxiques qui se trouvent dans l’environnement contribue à endommager gravement la santé des personnes.

 

Je lis beaucoup, j’apprends beaucoup et je souhaiterais que les médecins puissent en faire autant.

 

Jeanie Keltner :

 

Je voudrais ici vous donner une citation du Lancet, l’une des plus prestigieuses revues médicales : « Une bonne partie de la littérature scientifique, peut-être la moitié, pourrait ne pas être vraie. » Cela nous permettrait peut-être de dire que les médecins pro-vaccins se baseraient en grande partie sur de fausses informations tout en ne perdant rien à leurs avantages financiers.

 

Laura Hayes :

 

Ce que vous dites me fait penser que beaucoup de médecins qui vaccinent agissent comme de véritables robots. En fait, il ont accepté la notion ridicule que ces produits sont sûrs et efficaces. Ils refusent de reconnaître une bonne partie des effets secondaires qui peuvent se produire chez leurs patients.

 

Jeanie Keltner :

 

Les groupes pharmaceutiques liés à la politique font des bénéfices colossaux. Ils savent que les médecins qui oseront se dresser contre leurs lobbies seront ostracisés.

Autisme et vaccination: l'interview-vérité d'une maman courage

Dr A. Wakefield : Quand un gouvernement porte atteinte aux droits des individus qu’il a juré de servir,… quand ces droits sont usurpés par des intérêts particuliers destinés à servir les sociétés, en particulier l’industrie pharmaceutique, par- delà le bien-être des citoyens qui ont mis ces gens en place, alors… la République a pris fin. »

 

Dr Tony Bark : S’il vous plait, ne supprimez pas les exemptions. Des enfants meurent à la suite des vaccins !

 

Laura Hayes :

 

Il est plus que grand temps que les médecins se lèvent et se serrent les coudes pour dénoncer cet holocauste vaccinal. Je viens d’écrire à un médecin qui fait tout son possible pour informer ses patients et je lui ai dit combien j’en avais marre, au point d’en devenir malade, de me rendre compte que les pédiatres continuaient à empoisonner les enfants sans avoir le courage de parler pour dénoncer la situation.

 

Il faut absolument que les médecins se rassemblent et se serrent les coudes. Il s’agit d’une grave question d’éthique et de morale. Il faut absolument que tous ces médecins surmontent leurs peurs. Nous sommes maintenant arrivés à un tournant de l’histoire, et il faut que l’on en finisse avec cette folie ou s’en sera fait de l’histoire humaine.

 

Notre fils est devenu autiste après une série de vaccinations. Il a maintenant 22 ans. C’est en fait un petit garçon dans un corps d’homme adulte. Il n’a pas pu faire de hautes études, il n’a pas pu obtenir un permis de conduire, il n’a jamais lu le moindre livre. Il ne saura jamais trouver du travail, il lui est impossible de vivre une vie indépendante, de vivre seul. Je dois lui préparer ses repas, faire son linge. Il doit être surveillé 24 heures sur 24 et 7 jours sur 7. Il est gentil, mais il a la mentalité d’un petit garçon de 5 ans. Il restera comme cela pour le restant de ses jours !

 

Dans ce domaine de l’autisme, il y a des parents qui éprouvent encore beaucoup plus de problèmes : leurs enfants ne parlent pas, ne savent pas se servir des toilettes. Ces enfants sont parfois agressifs et se blessent régulièrement. C’est tragique pour les parents qui se noient dans toutes sortes de problèmes sans pouvoir trouver le moindre repos. Ces parents voudraient crier leur douleur pour que d’autres parents puissent éviter pareils drames.

 

Jeanie Keltner :

 

Je demande aux auditeurs de trouver qui pourrait être l’auteur de la citation suivante :

 

« Nous, en tant qu’espèce humaine avons le choix de continuer à développer nos corps et nos cerveaux de manière harmonieuse. Nous avons aussi le choix de suivre le modèle occidental des précédentes décennies en empoisonnant intentionnellement nos populations avec de la nourriture génétiquement modifiée, des produits pharmaceutiques, des vaccins et du fast food qui devrait être classé dans les drogues addictives. Nous devons combattre tout cela. Une population physiquement et intellectuellement handicapée n’est nullement dans notre intérêt. »

 

Cette citation émane-t-elle d’un président Américain ?

 

Laura Hayes : Il s’agit d’une citation de Vladmir Poutine quand il s’est exprimé sur l’avenir de la Russie.

Autisme et vaccination: l'interview-vérité d'une maman courage

Je souhaiterais que nous puissions avoir des dirigeants qui nous sortent de ce modèle chimique pour nous orienter vers une saine politique de santé. C’est Vladimir Poutine qui reconnait que la nourriture génétiquement modifiée, les produits pharmaceutiques et les vaccins nous rendent malades.

 

Jeanie Keltner : Laura, vous êtes au courant que 22 000 infirmières ont refusé de se faire vacciner contre la grippe.

 

Laura Hayes : Oui. C’est un fait que ce sont les infirmières qui, les premières, peuvent voir ce qui arrive aux personnes qui ont reçu le vaccin contre la grippe. Elles sont en toute première ligne. Quand une personne se retrouve paralysée avec un Guillain Barré ce sont les infirmières qui, les premières demandent aux patients s’ils se sont récemment fait vacciner contre la grippe. Il est aussi connu que les vaccins contre la grippe présentent un taux élevé d’échecs. Les vaccins n’ont jamais été sûrs ni efficaces.

 

Jeanie Keltner :  C’est affreux de forcer les gens à se faire vacciner quand pareilles suites peuvent se produire, alors que tous les êtres humains sont différents, peuvent aussi réagir de manière complètement différente. Il peut également y avoir des prédispositions génétiques. On a pu montrer que les jeunes garçons afro-américains présentaient 3 fois plus de risques de dommages de santé que les enfants blancs.

 

Laura Hayes : Mais il n’y a pas que les prédispositions génétiques. Il y a aussi tous ces poisons, ces toxines, ces virus, ces produits provenant de fœtus avortés qui sont injectés dans les muscles, dans le flux sanguin même des enfants. Ce sont des produits du genre polysorbate 80 qui permettent que la barrière hématoencéphalique puisse être traversée. Ces poisons, ces produits chimiques sont en partie piégés dans un système clos où ils pourront produire des dégâts. Comment pourrait-on savoir à l’avance comment un bébé va réagir à tous ces poisons ? Aucun médecin au monde ne peut prédire à quel produit un enfant se montrera allergique. Serait-ce le formaldéhyde, l’aluminium, le mercure ?

 

Jeanie Keltner : Effectivement, nous ne savons pas comment des personnes saines vont réagir à tous ces ingrédients. Les effets secondaires peuvent parfois se manifester beaucoup plus tard. Le mercure est terrible.  Il s’agit du second produit le plus toxique que l’on puisse trouver. Bien que l’on ait prétendu que le mercure ait été enlevé des vaccins, on en retrouve toujours dans plusieurs d’entre eux. Plus on a réduit les taux de mercure, plus on a augmenté les taux d’aluminium. 

 

LE TERRIBLE DRAME DE L’AUTISME

(Extrait de la vidéo : A year in the life with autism)

Autisme et vaccination: l'interview-vérité d'une maman courage

Le juge Nicola Di Leo a considéré comme autre preuve accablante un rapport confidentiel de  GlaxoSmithKline de 1271 pages (disponible sur Internet). Ce document de l'industrie a fourni suffisamment de preuves d'effets indésirables du vaccin, y compris 5 cas connus d’autisme résultant de l'administration de vaccins au cours de ses essais cliniques. Voir l’extrait du tableau à la page 626.

 

Il est pourtant connu que l’aluminium endommage le cerveau, le système nerveux, le système immunitaire et l’état des intestins. Nous savons toutes ces choses et nous n’arrêtons pas de les injecter à des bébés sans défenses !

 

Aux Etats-Unis, nous avons la population infantile la plus malade que l’on ait jamais vue.

 

Pourquoi, face à pareil désastre, le peuple ne se révolte-t-il pas contre cette soi- disant immunité de groupe (de troupeau en anglais) ?

 

Je me demande vraiment aujourd’hui comment des vaccins pourraient effectivement produire cette immunité de groupe, alors que la plupart des vaccins ne peuvent produire qu’une immunité partielle, temporaire et artificielle avec parfois des taux d’échecs très élevés.

 

Il arrive aussi que les vaccinés répandent dans leur entourage les virus ou les bactéries contre lesquels le vaccin est sensé les protéger ! Comment peut-on parler d’immunité de groupe alors que certains vaccins ne protègent que contre certaines souches à l’exclusion d’autres souches que les vaccins rendent alors plus virulentes ?

 

Comment aussi parler d’immunité de groupe alors que les vaccins affaiblissent le système immunitaire et provoquent des maladies chroniques ?

 

Quand aurons-nous une étude qui comparera  des groupes d’enfants vaccinés pour éviter les maladies d’enfance, mais dont une bonne partie souffre de maladies chroniques ou sont handicapés et mourront prématurément, et une population d’enfants dont la santé aura été renforcée par les maladies de l’enfance et qui sera en parfaite santé ?

 

Au lieu de vacciner, vacciner sans arrêt, pourquoi n’a-t-on pas lancé de vastes campagnes d’éducation à la santé qui enseignent au public l’importance de l’allaitement maternel, du lavement des mains, d’une nourriture sans pesticides (bio), du repos et de l’exercice, de l’importance des vitamines. Les vitamines A,C,D,E peuvent faire merveille quand un enfant a contracté une maladie contre laquelle on vaccine.

 

Jeanie Keltner : Je suis si heureuse que vous soyez avec nous, Laura ! Vous incarnez ce que j’aime le plus au monde : un expert citoyen !

 

J’aimerais maintenant citer une phrase de Carl G. Jung : «  L’histoire de la science nous fait part du nombre important de personnes qui, à un moment donné, ont eu raison, et combien peu ont, dans la suite, continué d’avoir raison. » A une époque, nous avons pensé que la terre était le centre de l’univers. C’était la perception scientifique du 16ème siècle. Pensez-vous que tout cela soit encore vrai aujourd’hui ?

 

Laura Hayes :

 

Si les mamans savaient ce que contiennent les seringues !! J’ai, une fois, fait l’expérience suivante : Je me suis approchée d’un groupe de mamans avec des seringues sur un plateau. Je les ai vidées dans un verre et leur ai demandé de boire : « buvez, buvez ! ». Elles sont commencé à crier : NON, NON ! Laissez-nous tranquilles !

 

Mais, si un personnage en blouse blanche entre dans une chambre avec un plateau de seringues, ces mêmes mamans ne poseront aucune question et autoriseront ce personnage en tablier blanc à injecter tous ces produits dans le corps de leur bébé alors qu’elles n’ont aucune idée de ce que contiennent ces seringues !

 

Les gens croient que les médecins, les pédiatres sont des experts en matière de vaccination, alors que rien ne peut être plus éloigné de la vérité. Ils reçoivent en tout et pour tout 2 heures de cours sur les vaccins, et c’est à ces personnes que les mères confient leurs bébés pour les faire vacciner.

 

Je voudrais demander aux parents de ne pas autoriser que l’on vaccine leurs enfants avant qu’ils n’aient pris la peine de faire, eux-mêmes, toutes les recherches qui s’imposent.

 

Les gens doivent être conscients de la quantité de poisons, de toxines, de virus et d’horribles ingrédients que l’on injecte à leurs enfants.

 

C’est parce qu’il y a des risques que le choix s’impose 

Autisme et vaccination: l'interview-vérité d'une maman courage
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15 mars 2016 2 15 /03 /mars /2016 16:12

Une maman de Louisiane sait que 8 doses de vaccin ont tué son bébé de 2 mois

 

Par Augustina Ursino, 7 mars 2016 (Extraits)

Une maman de Louisiane sait que 8 doses de vaccin ont tué son bébé de 2 mois

 

Le petit Reid Thomas Englehart a été vacciné le 20 mai 2015. Il a reçu 8 doses de vaccin (DTCa, Hib, Polio, Pneumoccoque, Hépatite B et le Rotavirus oral). Ce sont là les vaccins qui sont administrés de routine aux bébés de deux mois, même s’ils sont prématurés, aux Etats-Unis et dans d’autres pays. [1]

 

A cette époque, Reid  avait encore une respiration sifflante et une toux résiduelle à la suite d’un rhume. Le médecin a cependant insisté pour qu’on le vaccine après qu’il ait reçu les résultats d’un test qui s’est avéré négatif pour la coqueluche.

 

Neuf jours plus tard, sans qu’il y ait eu la moindre obstruction de ses voies respiratoires, Reid mourut dans son sommeil le 29 mai 2015.

 

Une substance muqueuse et sanglante a  taché la chemise de son père à l’endroit où la tête de Reid reposait sur sa poitrine. On observe souvent ce mucus teinté de sang chez des bébés qui décèdent après la vaccination. Une quantité supplémentaire de ce mucus sanguinolent est sortie de la bouche de Reid quand sa maman  a tenté de le ranimer. Les secours médicaux qui avaient été appelés n’ont pu que constater le décès.

 

Les enquêteurs ignoraient que les vaccins étaient susceptibles d’entraîner des décès.

 

L’enquête qui fut réalisée a conclu que le décès de Reid était accidentel ! La cause immédiate figurant sur son rapport d’autopsie précise que le décès était dû à une « possible suffocation » sans qu’il n’existe aucun signe ni preuve que le bébé ait suffoqué. Reid ne s’est pas débattu, n’a pas lutté le moins du monde quand il était endormi sur la poitrine de son père. Il a juste cessé de respirer pendant son sommeil.

 

Le rapport officiel stipule que l’enfant a dû dormir dans un environnement qui s’avérait  dangereux pour son sommeil.

 

La maman de Reid savait que les vaccins avaient tué son petit garçon

 

Après la mort de son bébé, la maman Christy a contacté le médecin et exigé que le cas de son fils soit rapporté comme effet secondaire des vaccins au VAERS (Vaccine Adverse Event Reporting System) [4].
Une maman de Louisiane sait que 8 doses de vaccin ont tué son bébé de 2 mois

[…] Les médecins, les médecins légistes et les chercheurs ont ignoré la cause la plus plausible du décès de l’enfant. Il est intéressant de voir à quel point il est facile d’exclure la responsabilité des vaccins, sans que quiconque ait à prouver que les vaccins n’ont pas provoqué les dommages, bien que la liste des effets secondaires pour chaque vaccin comprend la possibilité de décès.

 

Le médecin de Reid était légalement tenu de faire parvenir un rapport au VAERS, qu’il ait ou non pensé que les vaccins étaient la cause de la mort de l’enfant., mais il ne l’a pas fait. Il n’a pas non plus été tenu responsable d’avoir vacciné Reid, alors que le bébé était encore en convalescence à la suite d’une infection antérieure.

 

Au cours de sa courte vie de onze semaines, Reid a reçu une injection de vitamine K et de la morphine pendant plusieurs jours, ainsi qu’un total de neuf doses de vaccin. Les ingrédients de chacun de ces vaccins sont étonnamment dangereux [5] Cela n’a aucun sens de vouloir ignorer les produits dangereux que Reid a reçus au cours de sa courte vie. Ces produits qui  lui ont été administrés par des « fournisseurs de soins de santé » sont connus pour déclencher des apnées et des arrêts respiratoires.

 

Il est devenu évident pour les parents que le fait d’avoir écarté la responsabilité des vaccins dans les rapports d’autopsie et dans le certificat de décès est bien la cause la plus plausible de la mort de l’enfant, surtout quand aucune autre cause de décès n’a pu être mise en valeur. Il s’agissait probablement de cacher intentionnellement la vérité pour que les parents n’aient pas à se poser de questions. Si jamais des vaccins devaient endommager votre santé ou celle de vos enfants, vous pouvez vous attendre à être traité de la même manière. Le programme de vaccination  sera protégé coûte que coûte et l’histoire de votre enfant sera glissée sous le tapis et à peine reconnue.

 

Le Registre Fedéral du Ministère de la Santé Américain (Federal Register of Health and Human Services) de 1984 n’hésite pas à publier : «… tous les doutes possibles à propos de la sécurité du vaccin, qu’ils soient parfaitement fondés ou non, ne peuvent être autorisés à exister ». (NDR)

 

Suite à l’insistance des médecins, la maman avait pris du Suboxone pour une dépendance qu’elle avait eue précédemment aux opiacés et  dont elle se remettait.  [6] Il est connu que le Suboxone pris au cours de la grossesse peut causer des dommages au fœtus et provoquer des problèmes respiratoires. Comme Christy ne voulait pas que son bébé ait à souffrir des effets secondaires de son traitement de sevrage, elle n’avait pris que de faibles doses du médicament qui lui avait été prescrit. [6] Sa dépendance aux opiacés qui sont des médicaments contre la douleur, a commencé après que ces médicaments lui aient été prescrits  après une opération de l’épaule quand elle avait 21 ans.

 

Christie dut aussi recevoir une injection de RhoGAM pendant sa grossesse et une autre après la naissance de l’enfant. Bien qu’elle n’aimait pas les piqûres, on lui fit comprendre qu’elle n’avait pas le choix. Mais son médecin ne lui a pas expliqué que ce médicament n’avait pas été testé correctement sur des femmes enceintes et pouvait provoquer des dommages au fœtus en développement, y compris des problèmes respiratoires. [8]

 

C’est le 7 mars 2015 que le petit Reid est né par césarienne.

 

Peu de temps après sa naissance, Reid reçut une injection de vitamine K qui contient jusqu’à 100 mcg d’aluminium. On sait que ce produit peut causer des jaunisses qui peuvent être graves. La plupart des parents, y compris Christy, ignoraient la chose.[9]

 

Ensuite, Reid a reçu le vaccin contre l’hépatite B qui contient 250 mcg d’aluminium parmi d’autres neurotoxines. Il est associé à des insuffisances hépatiques comme à de nombreuses réactions graves qui sont généralement ignorées des parents. [10]

 

Le 8 mars, le lendemain de sa naissance, le médecin a signé un document attestant que la santé de l’enfant était bonne et qu’il pouvait rentrer le lendemain à la maison.

 

Il buvait régulièrement ses biberons.

 

Le personnel médical met Reid sous morphine

 

Le 10 mars, alors que Christy se préparait à rentrer à la maison, une infirmière entendit parler de Suboxone au moment où elle entendait Reid éternuer […]

 

En dépit de ce que les médecins avaient dit auparavant, ils décidèrent de maintenir Reid à l’hôpital pour 11 jours sous morphine. La santé de Reid s’altéra. Il n’arrêtait pas de pleurer et avait commencé à avoir de la diarrhée.

 

Reid rentre finalement à la maison après avoir reçu de la morphine pendant plusieurs jours à l’hôpital.

 

Christy écrit :

 

« … Je puis honnêtement dire que Reid était bien avancé pour son âge. Il tenait bien sa tête. Il a commencé à sourire et à rire très tôt…

 

Evidemment nous l’avons emmené chez le pédiatre pour sa première visite. A deux mois, il fallait qu’il soit vacciné.

 

Quand il dut recevoir ses vaccins de deux mois, le 7 mai 2015, il était quelque peu congestionné. J’étais très craintive par tout ce que j’avais entendu dire sur la coqueluche et je voulais m’assurer qu’il ne faisait pas une coqueluche. Je savais qu’on ne devait pas vacciner un enfant malade. Nous avons donc reporté la vaccination d’une semaine en attendant les résultats. En fait, Reid ne faisait pas une coqueluche.

 

Dusty  le conduisit finalement au centre pédiatrique pour recevoir ses vaccins.

 

Reid a réagi aux vaccins, mais le pédiatre n’a pas tenu compte des signes avant-coureurs.

 

Quand ils sont revenus de la visite au centre pédiatrique, Reid était évanoui. Il a ainsi dormi pendant 11 heures d’affilée. Bien que je savais ce qui pouvait se passer après des vaccinations, j’ai quand même appelé le médecin qui nous a répondu que tout allait bien.

 

Quand il s’est réveillé, il était irritable. Il ne voulait pas qu’on le couche, il a été  vraiment difficile pendant des jours. Il ne souriait plus, ne riait plus comme avant. Il ne vidait plus ses biberons comme précédemment. Il n’arrêtait pas d’être agité. Je me rappelle du dernier bain que je lui ai donné ; il n’arrêtait pas de crier et de pleurer. Il n’avait jamais pleuré et crié comme cela auparavant.

 

Le 29 mai 2015, Dusty lui donna le biberon à 4 heures. Le petit n’en but qu’une petite partie. Reid dormait sur la poitrine de son papa parce qu’il ne voulait pas qu’on le mette dans son berceau. Dusty en voyait un peu de toutes les couleurs ! Quand je me suis réveillée à 7 heures, j’ai été voir les enfants. J’ai pu constater que Reid respirait encore ; il dormait toujours sur la poitrine de son papa.

 

La maman : « alors que je me préparais à partir, Dusty est arrivé en courant avec le bébé dans les bras, en criant : QUELQUE CHOSE NE VA PAS ! C’est à ce moment que tout mon monde a basculé.

 

Nous avons appelé le 911. J’ai pris Reid dans mes bras et essayant de le réveiller, mais il n’y avait pas moyen. J’ai tenté une réanimation comme je pouvais, mais ne parvenais pas à le ranimer. Une sorte de mucus sanguinolent sortait de sa bouche et avait déjà taché la chemise de Dusty à l’endroit où Reid avait posé la tête. J’ai fait tout ce que j’ai pu pour le ramener à la vie. Je savais que peu de temps avant, quand je me suis réveillée, il était encore en vie. Quand les services d’urgence sont arrivés, ils ont été obligés de constater que notre petit Reid était déjà mort. Je me suis retrouvée en état de choc. J’ai appelé toute la famille et n’ai plus arrêté de pleurer, de crier… La vie de mon bébé avait pris fin. Je n’avais pu le chérir que pendant 11 semaines avant qu’il ne devienne un merveilleux petit ange. »

 

Je sais que ce sont les vaccins qui ont tué mon petit

 

Spirituellement, je me suis sentie morte pendant trois ou quatre semaines. Je ne sortais plus de mon lit, je ne mangeais plus, ne me lavais plus, ne me peignais plus, rien ! […]

 

Après tout ce temps, la douleur est toujours vive. J’essaie de me rendre sur la tombe chaque fois que j’en ai l’occasion, bien que cela m’affaiblisse et me rende malade. Je suis en même temps furieuse de réaliser que mon doux petit est là dans une foutue boîte en-dessous de toute cette horrible terre. Ce n’est vraiment pas juste. Ce sont les vaccins qui m’ont volé toute la vie de mon petit.

Une maman de Louisiane sait que 8 doses de vaccin ont tué son bébé de 2 mois

Il est important de demander aux parents de s’informer sur les vaccins

 

«  Je voudrais tellement que les gens se réveillent ! J’ai des amis qui font vacciner leurs bébés. Que leur faut-il pour comprendre ? J’ai envie de faire quelque chose pour que le départ de Reid n’ait pas été vain. De grâce, réfléchissez à deux fois avant de faire vacciner vos enfants. Si ce drame m’est arrivé, il peut aussi vous arriver !

 

Je sais qu’il y a des personnes qui consacrent leur vie à répandre l’information sur ces vaccins-poison qui tuent nos enfants ou qui endommagent la santé des gens. Vous vous dites peut-être que c’est fou, et que pareille chose ne pourrait jamais vous arriver ! Si je le pouvais, je voudrais parler de ces drames tout au long de mes journées !

 

Quand mon petit est mort, j’ai pensé me suicider. Je sais que les opinions divergent à ce sujet et c’est Ok. Tout ce que je veux c’est que les gens arrêtent de se faire vacciner, mais beaucoup ne savent rien du sujet et vont continuer…Je crois que ce qui est important aujourd’hui c’est d’éveiller les consciences. Pour Reid, cette prise de conscience est malheureusement arrivée trop tard, mais pour beaucoup d’autres mamans il n’est pas encore trop tard.

 

REVEILLEZ-VOUS LES AMIS AVANT QUE VOUS NE SOYEZ CONTRAINTS DE VIVRE LE RESTANT DE VOS JOURS EN SOUHAITANT QUE QUELQU’UN VOUS AIT REVEILLE DE VOTRE CAUCHEMAR !

 

Références:

 

  1.  https://vactruth.com/vaccine-schedule/
  2.  http://www.hrsa.gov/vaccinecompensation/
  3.  http://articles.mercola.com/sites/articles…
  4.  https://vaers.hhs.gov/index
  5.  http://www.cdc.gov/vaccines/pubs/pinkbook…
  6.  http://www.suboxone.com/
  7.  http://www.suboxone.com/content/pdfs/prescribing-information.pdf
  8.  http://www.healthcoalition.com/files/pinfo/RhoGAM-P.I..pdf
  9.  http://www.scribd.com/doc/33874512/Merck-Vitamin-K…
  10. https://www.gsksource.com/pharma/content…

 

Source: Vactruth

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11 mars 2016 5 11 /03 /mars /2016 18:22
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7 mars 2016 1 07 /03 /mars /2016 10:58

De plus en plus de parents inquiets nous contactent après coup (une fois que les vaccins ont été injectés) car ils se demandent quoi faire au vu des effets observés chez leurs enfants et ne savent pas comment cela va évoluer. Parmi les effets les plus courants, on retrouve la fatigue, l'irritabilité, la perte d'appétit, les perturbations du rythme veille-sommeil et celles de la courbe de croissance ....

Perte d'appétit après un vaccin: faut-il s'inquiéter?

Le plus grand danger et la plus grande erreur pour votre enfant serait de banaliser et minimiser ces signaux d'alerte et de continuer envers et contre tout à vacciner. Or c'est hélas l'attitude tout à fait irresponsable du corps médical, littéralement obsédé par le dogme des vaccins, mais le fait est que cet entêtement se solde en pratique par un nombre dramatique d'effets secondaires bien plus graves et irréversibles qui auraient encore pu être évités si les parents avaient arrêté à temps les vaccinations, c'est-à-dire s'ils avaient tout simplement correctement observé les signes chez leurs enfants et en avaient suffisamment tenu compte. Le bon sens commande en effet que: dans le doute, il faut s'abstenir et non s'obstiner!

 

Voici un exemple de mail que nous recevons à la pelle et la réponse d'Initiative Citoyenne à partager et à faire connaître autour de vous dans l'intérêt des enfants:

 

"Bonjour

 

j'ai une petite fille de 2 mois et 1/2, qui a été vaccinée avec Infarix Hexa à l'âge de 2 mois et Prévenar. 

 

Elle a toujours eu un petit appétit mais depuis le jour où elle a été vaccinée, elle a fortement réduit les quantités qu'elle mange, et cela dure encore. Est-ce possible selon vous que ce soit à cause du vaccin? Que pouvons-nous faire?


Merci pour votre réponse, nous sommes plutôt inquiets."

 

Réponse d'Initiative Citoyenne:

 

Bonjour,
 
Non seulement ces effets sont connus, notés dans les notices mais en plus ici il y a un facteur temporel évident et l'absence selon ce que vous nous décrivez d'une autre cause plus évidente. Les vaccins entraînent très fréquemment des cassures de la courbe de croissance.
 
Il faut aussi savoir que selon un rapport officiel de 2009 de l'ONE (Office de la Naissance et de l'Enfance ici en Belgique, qui équivaut aux PMI françaises), 5% des enfants vaccinés doivent reconsulter endéans les 48H pour effets secondaires après un vaccin (cf. p. 43/54) mais ce que ce rapport ne dit pas, c'est quel pourcentage d'enfants doivent reconsulter endéans la semaine, les deux semaines, le mois, les 6 mois? Et cela A CAUSE DES EFFETS SECONDAIRES DES VACCINS!
 
Mais le plus grand danger (dans l'immédiat pour votre enfant) est que les médecins banalisent ces effets en disant "c'est rien, ça va passer" pour vous inciter à continuer envers et contre tout à vacciner et ce qui se passe de plus en plus fréquemment (nous sommes bombardés de témoignages et de demandes y compris avec des dossiers en justice d'enfants déjà handicapés à vie ou même décédés) c'est qu'en continuant les vaccinations, les enfants s'enfoncent de plus en plus et à la Xème dose, ça peut donner une mort subite du nourrisson, un cas d'autisme, une épilepsie irréversible, un diabète-insulino-dépendant etc. etc. Et dans ces cas-là, inutile de vous dire qu'on ne sait plus faire machine arrière contrairement aux maladies infectieuses naturelles qui elles, sont en très vaste majorité, réversibles et temporaires!
 
Donc déjà, la première des choses à faire est de vous informer suffisamment sur les risques absolument démentiels (et nous pesons nos mots!) que représentent les vaccins qui sont tous des produits clairement expérimentaux qui n'ont encore jamais été évalués de façon réellement scientifique, voir notamment les articles suivants mais qui ne sont pas exhaustifs. Prenez-le temps de les lire un à un, vous verrez comment ils vous renseigneront précisément sur les produits reçus par votre enfant et leurs réels effets possibles.... rien ne vous empêche après sur base de ces infos d'interroger un médecin et de voir alors si les réponses qu'il fera vous satisferont!
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
Ensuite, quand vous aurez compris que la chose la plus grave est de ne pas tenir compte des signaux d'alerte déjà manifestés par le corps de votre enfant face à cette agression chimique et immunologique, le mieux est d'aller voir un thérapeute holistique pour entamer un traitement homéopathique et compléter au besoin avec d'autres types de soins doux et respectueux du corps et de la physiologie de votre enfant. Il existe de nombreux guides bien faits (cf Amazon.fr) écrits par des thérapeutes qualifiés sur les méthodes de soins intelligentes chez les enfants: homéopathie pour enfant, aromathérapie pour enfants (cf "Ma bible des huiles essentielles" de la pharmacienne Danièle Festy qui comprend une partie "enfants") etc. etc. Ces guides sont intéressants pour vous donner une certaine autonomie mais ne remplacent pas purement et simplement la relation personnalisée avec votre thérapeute holistique. NB: il n'est pas strictement nécessaire de recourir à un pédiatre pour les enfants; beaucoup de parents croient qu'un pédiatre est absolument incontournable mais dans les faits, il s'avère hélas que ces médecins -à quelques exceptions près tout de même- sont de grands zélateurs de vaccins et très peu pratiquent une médecine réellement personnalisée et donc adaptée à l'individualité biologique de votre enfant; Le Dr Mendelsohn, qui était pédiatre lui-même dénonçait la dangerosité de la plupart de ses confrères pédiatres..... Le livre gratuit de ce pédiatre vous évitera bien des bêtises dommageables pour votre enfant et vous explique quand consulter et quand ne pas consulter ou se méfier des "conseils" des médecins pouvant parfois être plus dangereux que bénéfiques. Tout le livre est une merveille. Le chapitre n°19 traite exclusivement de l'avis de ce pédiatre sur les vaccins....
 
Bien cordialement,
L'équipe d'Initiative Citoyenne
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6 mars 2016 7 06 /03 /mars /2016 21:14

Réponses de Michel Georget à l'article : ET SI ON ARRÊTAIT DE VACCINER ! (Propos du Pr François Bricaire, membre de l'Académie de Médecine): 

Michel Georget, 16 février 2016 à 23:33

 

Permettez-moi de vous apporter la contradiction sur plusieurs points, en me référant à des données scientifiques vérifiables.


Tout d'abord, pour ceux que vous appelez les anti-vaccinaux « le déclin des maladies infectieuses ne serait pas dû aux vaccins, mais à l’hygiène », mais c'est l'OMS elle-même qui l'a déclaré en ces termes : « On peut se demander si l'abaissement du taux de mortalité n'a pas été trop aisément attribué à l'action sanitaire. Au cours du processus de développement, qui fut long et relativement lent dans la plupart des pays actuellement industrialisés, le développement économique, surtout au stade initial, a probablement contribué plus efficacement que la santé publique et la médecine clinique à réduire la mortalité. (1) » 

Venons-en maintenant à deux exemples emblématiques : la variole et la diphtérie.


Tout d'abord, la variole : Dans le rapport de son éradication publié par l'OMS et consultable sur internet, on peut lire : « Les campagnes d'éradication reposant entièrement ou essentiellement sur la vaccination de masse furent couronnées de succès dans quelques pays mais échouèrent dans la plupart des cas. […] Il eût été extrêmement coûteux et logistiquement difficile, sinon impossible, d'atteindre des niveaux beaucoup plus élevés de couverture. Avec les moyens disponibles, il fallait absolument changer de stratégie. » 


Ce qui fut fait en adoptant la stratégie de surveillance-endiguement au sujet de laquelle le porte-parole de l'OMS put déclarer au journal Le Monde (21-12-1977) : « Sur le plan stratégique, l'abandon de la vaccination de masse en faveur de l'approche de surveillance-endiguement revêtit une importance capitale. Avec ce type d'approche, on parvenait à faire complètement échec à la transmission, même lorsque l'incidence variolique était élevée et les taux d'immunisation faibles. » Il est difficile d'être plus clair pour montrer l'insignifiance de la vaccination antivariolique.

(1) Rapport sur les statistiques sanitaires mondiales, OMS, 1974, 27 (5).

http://img1.blogblog.com/img/blank.gif

Michel Georget, 16 février 2016 à 23:45

 

Venons-en maintenant à la diphtérie. 


Il ne faudrait pas oublier que les épidémies ont une vie : elles naissent, se développent et meurent. La diphtérie en est un bel exemple.


Dans un opuscule de l'OMS publié en 1962(1), on peut lire ceci : « il est vrai que la fréquence des cas nouveaux de diphtérie peut augmenter et diminuer indépendamment des programmes de vaccination. Il y a une centaine d'années [en 1858] Sir John Simon, premier titulaire du poste de Medical Officer au Conseil privé de Grande Bretagne, disait : la diphtérie est une maladie qui, bien qu'elle ait été autrefois répandue, est presque inconnue de la génération actuelle des médecins britanniques.» Or, à cette époque le vaccin n'existait pas!

 

Par ailleurs, vous écrivez : « La diphtérie a régressé complètement partout où la vaccination a été introduite et respectée ». Une publication fort intéressante (2) a montré qu'entre 1940 et 1950 les épidémies de diphtérie se sont développées de la même façon en France, Hollande, Norvège, Suède, Danemark, Finlande, avec une crue jusqu'en 1945 suivie d'une régression très rapide, quel que soit le degré d'immunisation.

Vaccinations: un biologiste remet les pendules à l'heure

Ces auteurs mettent en relief le cas de la Norvège qui a vu le nombre de décès dus à la diphtérie chuter de 555 à 2 entre 1908 et 1939 alors que la vaccination était peu pratiquée (notamment parce que le vaccin ne fut mis au point qu'en 1923) alors que le nombre de décès est remonté à 747 en 1943 en dépit d'une vaccination obligatoire depuis 1941.

Vous écrivez également « un arrêt ou un relâchement de la protection vaccinale a toujours été suivi de reprise de cas .» Le cas emblématique de l'Allemagne vient à l'encontre de cette affirmation.


Ce pays connaissait depuis longtemps une incidence diphtérique élevée (3). En 1941, la vaccination devint obligatoire. Dès 1942, 80% des enfants des enfants de la ville de Berlin étaient vaccinés. Or la mortalité diphtérique sextupla en cinq ans de vaccination obligatoire. Au vu de cet échec et des maigres moyens financiers dont disposait l'Allemagne à la fin de la guerre , l'obligation de vaccination fut suspendue . En dépit de conditions de vie difficiles (sous-alimentation, problèmes de logement liés aux destructions de la guerre, promiscuité) morbidité et mortalité diphtériques s'effondrèrent en l'espace de cinq ans seulement alors que tout pouvait faire craindre le contraire(3).


Ces quelques exemples permettent vraiment de douter de l'impact des vaccinations dans la régression de la diphtérie. Et en France me direz-vous ? Il y eut pour commencer l'obligation de vacciner les hommes au service militaire à partir de 1931 puis l'obligation de vacciner la population enfantine en 1938. Des campagnes massives de vaccination furent entreprises en 1942, ce qui n'empêcha pas le triplement du nombre de cas de diphtérie dès 1943 et jusqu'en 1945, comme en atteste l'Annuaire statistique de la France. L'inefficacité était patente. Comment a-t-elle pu ne pas apparaître au grand jour ? Tout simplement en considérant, comme cela figure dans les manuels scolaires, que les vaccinations n'ont débuté qu'en 1945, ce qui est manifestement faux. Un tel comportement n'a rien d'honnête et encore moins de scientifique.

Vaccinations: un biologiste remet les pendules à l'heure

(1) Cahiers de santé publique n°8, OMS. 1962, Le rôle de l'immunisation dans la lutte contre les maladies transmissibles.

(2) Madsen T. et S. : Danish medical bulletin, 1956, 3 (4) : 112-121.
(3) Rendu R. Résultats comparés de la vaccination et de la non-vaccination dans la lutte contre la diphtérie. Journal de médecine de Lyon, 1954, 35 (819) : 147-160. 

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26 février 2016 5 26 /02 /février /2016 15:10

Un extrait absolument sine qua non de l'émission "Complément d'enquête" sur les vaccins diffusée ce jeudi 25 février dernier sur France 2.

A noter toutefois que le taux d'effets secondaires GRAVES des vaccins est infiniment supérieur à ce qui est dit dans ce reportage en introduction (à savoir 2 sur 100 000)!! Pour se faire une idée, dans les essais cliniques du fabricant du vaccin Prevenar, il y en avait 3%. Dans une autre étude du fabricant GSK qui avait comparé la "sécurité" de son vaccin HPV Cervarix à un autre de ses vaccins (contre l'hépatite A, le Havrix), il y avait respectivement 9% d'effets secondaires qualifiés de graves par le fabricant dans le groupe Cervarix contre 8,9% dans le groupe Havrix... on est donc bien au-delà du 2 sur 100 000. Il faut aussi remarquer que pendant des décennies, et jusqu'il y a encore très peu de temps, on nous affirmait sans cesse que c'était "1 cas sur 1 million"! Là, on en vient à nous dire que ce serait 2/100 000 soit déjà 20 fois plus. La vérité est que ces chiffres sont encore des chiffres gratuits et déconnectés des données objectivables issues du terrain. Si on veut être rigoureux et s'en tenir aux chiffres réels, tenir compte de la sous-notification notoire telle qu'admise et évaluée de longue date dans les revues médicales officielles, on peut par exemple voir que les vaccins contre le méningocoque C sont des dizaines à des centaines de fois plus risqués que la maladie naturelle, et ce sur base des chiffres officiels!

 

Si les effets secondaires graves et invalidants de vaccins étaient si rares que cela, nous ne connaîtrions pas tous dans notre entourage un parent, un ami qui est victime... De même, les bénévoles des associations n'auraient pas vu à eux seuls passer des centaines de cas de scléroses en plaques post-vaccinales alors qu'avant les vaccinations de masse, ce type de maladies étaient considérées comme assez rares par les médecins de terrain qui, eux, voient des patients toute la journée! La Cour Suprême des Etats-Unis n'aurait pas non plus eu besoin d'accorder une impunité juridique aux fabricants de vaccins dans ce pays pour leur éviter de faire faillite sous le poids des poursuites. Car il faut aussi le rappeler, les autorités américaines ont déjà déboursé à ce jour plus de 3 MILLIARDS de dollars en indemnisation des victimes de vaccins (depuis 1986) alors que 2/3 des plaintes sont pourtant rejetées d'emblée! Il est donc devenu urgent de se réveiller et de comprendre que les véritables maladies les plus dangereuses sont les mensonges des "experts" officiels qui s'avèrent désormais beaucoup plus dangereux en eux-mêmes pour la santé de vos enfants que les maladies naturelles qui font partie du risque même de la vie (car vivre est par définition un risque). 

 

Voir aussi

 

Les vaccins ont détruit leurs enfants: témoignages vidéos de parents

 

Tous les vaccins sont expérimentaux: voici pourquoi

 

Vaccins: le vrai scandale des faux placebos

 

Dr Saluzzo de Sanofi Pasteur: "On ne sait pas comment marchent les vaccins!"

 

Infanrix hexa: le document confidentiel accablant

 

Prevenar 13: les documents confidentiels accablants

 

Le vaccin Prevenar est-il un vaccin sûr et sans danger?

 

Méningite C: le vaccin plus risqué que la maladie (les chiffres sont là!)

 

La sécurité des vaccins pose vraiment problème: les officiels le savent!

 

Ce que les médecins pensent de la vaccination: l'enquête-choc, non publiée de l'INPES

 

La vaccination, un juteux business, aussi pour les médecins...

Stanislas Geoffrit, papa de Livio: "Moi je vais me battre, ils ont bousillé la vie de mon fils, et je vais leur donner la mienne!"

Stanislas Geoffrit, papa de Livio: "Moi je vais me battre, ils ont bousillé la vie de mon fils, et je vais leur donner la mienne!"

Derrière les "murs feutrés" des familles, combien de drames concrets provoqués de toutes pièces par les vaccins? Cela pourrait être votre famille... à regarder d'urgence... jusqu'au bout! Parce que se faire vacciner "par solidarité" n'est plus alors qu'un slogan. En matière de vaccinologie, il n'y a aucune solidarité qui soit de mise et tous ces cas abandonnés à leur triste sort le prouvent de façon si effrayante!!

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24 février 2016 3 24 /02 /février /2016 12:02

Par Canis Ethica, 24 février 2016

 

En 1992, le Dr Michel Aubert prouvait, qu’après vaccination, les chiens adultes en France, restent protégés au moins cinq ans durant. Pourtant, 24 ans plus tard, en France, les chiens sont toujours revaccinés chaque année contre la rage contrairement au reste du Monde. 

Survaccination : un scandale sanitaire canin

Quatre firmes commercialisent des vaccins contre la rage : MERIAL, VIRBAC, ZOETIS et INTERVET. Ce sont ces laboratoires qui fixent en France la fréquence de revaccination contre la rage selon l’arrêté du 10 octobre 2008 relatif aux conditions et modalités de la vaccination antirabique (contre la rage) des animaux domestiques (lire ici). En Europe, en Amérique du Nord, même au Japon, leurs vaccins contre la rage sont valables deux ans, plus souvent trois ans mais pas en France où leurs vaccins pourtant identiques ne sont valables qu’un an. Les laboratoires pharmaceutiques évoquent des procédures administratives lourdes et complexes pour ne pas faire évoluer la situation. Seul MERIAL, dans une volonté de mieux-être canin et d’harmonisation des protocoles au niveau européen, propose en France un vaccin rage valable 3 ans depuis 2014, ce que la plupart des français ignorent.

 

D’après le Dr. Jean-Claude Rouby, chef du Département d’Immunologie à l’Agence Nationale du Médicament Vétérinaire, les laboratoires ont carte blanche pour démontrer la durée d’immunité de leurs vaccins dès lors qu’ils utilisent la même souche vaccinale que celle commercialisée en France. 

 

Il ne viendrait à aucun être humain l’idée de se refaire vacciner chaque année de sa naissance à sa mort contre la fièvre jaune. Et pourtant, 24 ans, après la découverte du Dr Aubert, les chiens en France sont toujours revaccinés chaque année contre la rage.

 

La vaccination contre la rage est obligatoire chaque année en France pour les chiens de catégorie 1 et 2 (chiens dangereux) et ceux voyageant en dehors du territoire (vérifications à la douane). Pour les autres chiens, elle reste « recommandée ». Comme il existe un risque de voir son chien abattu pour présomption de rage d’après l’article L223-9 du Code rural (lien ici), la plupart des maîtres vaccinent leurs chiens chaque année d’autant plus que depuis 2001, 11 cas de rage ont été apportés sur le territoire dont le dernier en mai 2015.

 

 

Pour Canis Ethica, une association française dont la pétition « Stop à la survaccination des chiens » a récoltée prés de 12000 signatures en une semaine sur « mesopinions.com », une littérature scientifique prolifique met en garde contre une survaccination des chiens adultes qui peut engendrer des maladies auto-immunes et cancers. Par ailleurs, tous les français n’ont pas accès au vaccin de MERIAL contre la rage, ce qui est source d’inégalité devant la santé de leurs protégés. La France compte un chien ou un chat dans un foyer sur 2. En 2014, les français ont dépensé plus de 4,3 milliards d’euros pour eux. Les maitres expriment leurs difficultés croissantes à régler leurs factures vétérinaires qui, en une décennie, ont bondi de 70%.

 

Devant cette discrimination pouvant fragiliser la santé des chiens en France, Canis Ethica écrit au Dr ELOIT, la nouvelle Présidente de l’Organisation Mondiale de la Santé Animale (OIE) pour qu’elle fasse entendre raison à VIRBAC, INTERVET et ZOETIS. Dr ELOIT connait bien le dossier car elle a validé l’Arrêté du 10 octobre 2008 qui autorise les laboratoires pharmaceutiques à fixer en France la durée d’immunité de leurs vaccins.

 

Les laboratoires entendront-ils les voix des 12000 propriétaires de chiens ayant signé la pétition ?

 

Pour plus d’informations :

  • Pétition : Cliquez ICI
  • Arrêté du 10 octobre 2008 relatif aux conditions et modalités de la vaccination antirabique : Cliquez ICI
  • Courriers + réponses des laboratoires pharmaceutiques et courrier à la Présidente de l’OIE : Cliquez ICI
  • Etude de 1992 du Dr Michel Aubert : Cliquez ICI

 

Contacts pour en savoir plus :

Mme Thilo HANE présidente-fondatrice de Canis Ethica

Tel : 06 70 27 63 52

Mail : contact@canisethica.org 

Site internet : www.canisethica.org

Facebook : www.facebook.com/CanisEthicaFrance 

Twitter : https://twitter.com/CanisEthica

 

Source: Agoravox

 

Initiative Citoyenne salue et soutient cette démarche. Merci de relayer très largement....

 

Voir aussi:

 

Vaccination des chats et des chiens: 99% des effets secondaires ne sont pas rapportés

 

Des vaccins qui tournent mal et un cheval qui finit euthanasié

 

Gravissime: voici la preuve indubitable que les adjuvants huileux (aussi utilisés chez les animaux) sont ultratoxiques!

 

Vaccination humaine vs vaccination animale: une comparaison surprenante!

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21 février 2016 7 21 /02 /février /2016 21:53

Encore un article donc qui montre en filigrane que les vaccins sont une aberration immunologique (qui ne peut par définition pas être sans conséquences calamiteuses à large échelle...) dès lors qu'ils sont l'uniformisation par excellence qui entend imposer à tous une même stimulation chimique et artificielle pour laquelle nos systèmes immunitaires n'ont jamais été faits....

 

Nos défenses naturelles sont plus influencées par notre quotidien que par les vaccins

Le système immunitaire a besoin de variété et d'adaptation: tout l'inverse donc de l'uniformisation vaccinale brutalement imposée!

 

Vendredi 19 février, France Inter

 

Au micro de Mathieu Vidard et Axel Villard, Alexandre Bignon, chercheur en immunologie à l’Université de Cambridge et le médecin généraliste Dominique Dupagne.

 

Le but de ses travaux ?

 

A. B : Étudier les facteurs non génétiques capables de moduler le système immunitaire sur trois ans.

 

Comment fait-on pour suivre ces facteurs ?

 

A.B : L’équipe Belge a fait des prélèvements sanguins pendant six mois et a observé le comportement de 54 paramètres de notre système immunitaire.

 

Quel est le plus intéressant dans ces résultats ?

 

D.D : Ils confirment deux choses que l’on savait déjà. A savoir que les deux grands piliers de l’immunité sont la diversité (il faut vivre avec des gens différents) et l’adaptabilité (on s'adapte à son milieu).

 

A. B : Il s’agissait vraiment de sortir de l’organisme pour voir comment l’environnement influence notre système immunitaire. Quand on compare le système immunitaire de deux individus en couple, avec au moins un enfant, on constate une convergence du système immunitaire vers un point d’équilibre. Notre système immunitaire est plus proche de notre conjoint que d’un individu lambda.

 

Est-ce qu’on sait si c’est bon pour la santé ? Et quelles sont les raisons de ce rapprochement immunitaire ?

 

A. B : Cette étude ne porte aucun jugement de valeur. C’est un fait observé. Le rôle de l’environnement est important dans le rapprochement immunitaire : notre habitation, mode de vie, alimentation. Et puis l’enfant est un vecteur capable de pouvoir moduler de façon similaire le système immunitaire de ses parents. Dans ce contexte, une hypothèse fédératrice est le partage du microbiote. Des membres d’une même famille ont un microbiote similaire (pour rappel le microbiote est un ensemble d’organismes vivant dans un environnement spécifique, comme par exemple sur le tube digestif ou la peau). On sait qu’un dialogue se fait entre notre microbiote et le système immunitaire. Il est donc tentant de penser que ce rapprochement de microbiote entre les individus pourrait influencer notre système immunitaire.

 

D. D : Et on sait que c’est ce qui a permis aux primates de survivre depuis toutes ces années. Ce qui me frappe, c’est que les deux piliers (diversité et adaptabilité) ne sont pas fréquents dans notre organisation sociale. On essaie d’uniformiser les choses. Or on sait que c’est d’être différent qui permet de survivre. Le vivant a survécu parce que souvent face à une crise infectieuse, il y avait des mutants. Si un jour le système immunitaire a fonctionné comme un système militaire, le vivant qui survit c’est celui qui a préparé une ligne de défense spécifique. Quand on compare cela avec notre organisation sociale où l’on veut toujours tout planifier, prévoir à l’avance, on emploie des méthodes totalement opposées à ce qui a marché dans l’évolution.

 

Est-ce que cette influence de système immunitaire au sein d’un couple le renforce ou l’affaiblit (le système immunitaire) ?

 

A. B : Si vous êtes en bonne santé, votre système immunitaire sera capable de se défendre. Et s’il est soumis à une agression, il s’en souviendra. Cela peut être positif comme négatif.

 

Le vieillissement influence énormément notre système immunitaire ?

 

A. B : Oui, il provoque un déclin de la qualité de la réponse immunitaire. Cela peut expliquer pourquoi les personnes âgées sont plus susceptibles aux infections et pourquoi elles réagissent moins bien aux vaccins.

 

D. D : Je me permets de nuancer ces propos parce que la personne âgée a du mal à créer de nouvelles défenses immunitaires mais en revanche son système a en mémoire les agressions passées et peut donc répondre à d’autres attaques.

 

►►► ALLER PLUS LOIN | l'émission scientifique "La Tête au carré" présentée par Mathieu Vidard dans son intégralité

 

►►► LIRE | La revue (en anglais) Nature 

 

Source: France Inter

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