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4 octobre 2015 7 04 /10 /octobre /2015 10:15

« On a volé ma vie »

Vaccin H1N1 & narcolepsie: on a volé ma vie

Madame Heather McFarlane était enceinte quand elle fut vaccinée contre la grippe porcine. Elle explique que cette vaccination a déclenché une narcolepsie qui fait qu’elle tombe endormie HUIT fois par jour…Elle espère pouvoir obtenir un dédommagement d’un million de livres sterling.

 

The Informed Parent, issue two 2015 (Extraits)

 

Quand Madame McFarlane, qui était enceinte, reçut une lettre  des services officiels de la Santé (NHS) lui conseillant de se faire vacciner contre la grippe porcine pour la protéger elle, ainsi que son fœtus, elle n’a pas hésité une minute.

 

Cependant, Madame McFarlane (40 ans) explique que l’injection qui lui fut administrée en 2009 quand elle était enceinte a eu comme effet de déclencher une narcolepsie invalidante (trouble du sommeil).

 

Cette maman de trois enfants explique qu’à cause de sa maladie elle s’endort jusqu’à huit fois par jour.

 

Madame McFarlane, enseignante à Glasgow, explique aussi qu’elle est constamment épuisée et qu’elle peut tomber endormie en faisant la vaisselle, en descendant les escaliers ou juste en parlant à ses trois enfants.. Il ne lui est plus possible de conduire et elle fait régulièrement des « siestes » au travail.

 

Alors qu’elle était enceinte de son troisième enfant, on lui administra le vaccin Pandemrix contre la grippe porcine, comme recommandé par les autorités de Santé (NHS) pour les femmes enceintes. Elle explique que ses avocats sont en train de négocier un dédommagement d’un million de livres sterling avec le fabricant du vaccin GlaxoSmithKline sans passer par les procédures de la justice.

 

La narcolepsie se développe quand le système immunitaire détruit des neurones dans une région du cerveau appelée hypothalamus. Les scientifiques poursuivent leurs recherches pour comprendre comment le Pandemrix peut provoquer cette maladie.

 

Madame McFarlane est en colère parce qu’elle a si peu l’occasion de voir grandir ses enfants, étant donné qu’elle s’endort souvent à des moments-clé où ses enfants auraient besoin d’elle.

 

Elle explique : «  la narcolepsie a dévasté ma vie. La plupart des gens pourraient croire que c’est un véritable bonheur que de pouvoir dormir ainsi tout le temps. Mais pour moi, précise-t-elle, c’est un véritable cauchemar. Son travail est régulièrement interrompu par des périodes de sommeil et elle a l’impression de perdre les meilleures années de sa vie.

 

Le géant pharmaceutique GlaxoSmithKline qui fabrique le vaccin contre la grippe a fait savoir qu’il est prêt à régler les affaires avec une centaine de personnes au Royaume-Uni et avec 800 autres dans le monde.

 

Ses avocats lui ont dit qu’elle peut réclamer un dédommagement d’un million de livres sterling pour avoir apparemment développé une narcolepsie à la suite d’une injection qui était sensée la protéger de la grippe porcine. L’affaire est sur le point d’être réglée en dehors des tribunaux.

 

Au moment où elle fut vaccinée, il y avait de sérieuses craintes qu’une épidémie puisse éclater au Royaume-Uni. Mais Madame McFarlane affirme que sa vie a commencé à tourner au cauchemar après avoir subi l’injection du vaccin.

 

Madame McFarlane souffre aussi de catalepsie, une paralysie terrifiante qui signifie qu’elle peut faire de terribles convulsions au cours desquelles elle est conciente de tout ce qui se passe autour d’elle, tout en étant incapable de dire ou de faire quoi que ce soit.

 

Cette dame laisse tomber tout ce qu’elle a dans les mains quand elle se trouve devant l’évier, quand elle parle à ses enfants ou même quand elle commence à rire – des émotions toutes simples comme la tristesse, la colère ou même le rire semblent être des déclencheurs de réactions dans le cerveau.

 

Tous les aspects de sa vie comme le simple fait de descendre les escaliers affectent la qualité de sa vie. Elle a besoin constant du soutien de sa mère et elle est terrifiée par la paralysie qui semble s’éveiller.

 

« Au cours de la catalepsie, je puis être pleinement consciente tout en étant affreusement paralysée. La narcolepsie me fait en outre dormir. Je laisse tomber des assiettes, je tombe endormie en préparant le repas. Les enfants en prennent un coup. »

 

« On m’a volé ma vie et mes enfants sont privés de leur maman. »

 

« Je suis tout le temps trop fatiguée et je m’endors à tout bout de champ. »

 

Les autres mamans peuvent passer du bon temps avec leurs enfants. Elles peuvent sortir avec eux, aller aux concerts, aux musées, aux spectacles etc.

 

Je dois dépendre de mon mari Kevin, de ma maman Elly,  de ma sœur Lorna et d’amis pour m’aider sans arrêt. »

 

Le géant pharmaceutique GlaxoSmithKline qui fabrique le vaccin contre la grippe a fait savoir qu’il était prêt à régler les affaires avec une centaine de personnes au Royaume-Uni et avec 800 autres dans le monde.

 

Il s’agit surtout de sages-femmes, de médecins, d’infirmières, de pharmaciens, car ce personnel des soins de santé ont été pressés de se faire vacciner pour éviter d’exposer le public à des risques. Un porte-parole de GSK a déclaré que la société procédait activement à des recherches pour pouvoir comprendre le lien éventuel entre le Pandemrix et la narcolepsie. Chez les personnes concernées, il se pourrait qu’il y ait interaction entre le vaccin et d’autres facteurs de risque. L’ampleur et la rapidité avec lesquels les programmes de vaccination contre le H1N1 ont été mis sur pied sont sans précédent. Pour ces raisons, GSK et les gouvernements se sont mis d’accord pour gérer et partager la responsabilité en répondant aux réclamations et en couvrant les frais d’investigation et d’indemnisation s’il pouvait être démontré que les plaintes étaient fondées.

 

Tout au cours de la mise au point des vaccins contre la grippe H1N1, aucune donnée n’a pu permettre de penser qu’il existait une augmentation du risque de narcolepsie.

 

Madame Mc Farlane explique que c’est pour ses enfants Molly, 14 ans, Maisie, 11 ans et Dougie, 5 ans que ce syndrome des coups de sommeil a été le plus pénible.

 

J’aimerais tant pouvoir prendre la voiture pour aller faire des emplettes avec mes filles, mais c’est impossible.

 

Je suis remplie de tristesse en pensant à toutes ces choses qui me manquent. Comme les crises se présentent sans avertir, Madam Fralane se sent complètement épuisée. La narcolepsie perturbe sérieusement  les véritables rythmes de son sommeil. Le pire aspect de son calvaire a été le réveil de la paralysie dont elle souffre.

 

Il suffit parfois, qu’au cours d’un programme de télévision, je commence à rire pour me sentir à nouveau paralysée. Je me sens alors totalement impuissante, incapable de parler pour pouvoir communiquer.

 

Quand la chose m’est arrivée la première fois, mon mari a cru que je m’étais endormie – mais ce n’était pas le cas, et il m’était même impossible de lui dire que j’étais parfaitement consciente. C’est véritablement horrible et effrayant !

 

Tout ceci est arrivé parce que j’ai suivi les conseils du NHS en me faisant vacciner contre la grippe porcine pour éviter l’épidémie.

 

Madame McFarlane de Jordanhill, près de Glasgow a développé cette maladie après avoir reçu le vaccin Pandemrix comme l’avait conseillé le NHS pour les femmes enceintes.

 

J’ai reçu plusieurs courriers qui me conseillaient de me faire vacciner et j’avais peur de ce qui aurait pu m’arriver si je ne le faisais pas, explique-t-elle.

 

Ils ne m’ont évidemment pas dit qu’il n’y avait pas eu suffisamment de tests de sécurité long terme. Si j’avais su la chose, jamais je n’aurais accepté que l’on m’injecte le vaccin.

 

Les symptômes ont commencé à se manifester peu de temps après la naissance de Dougie en 2010.

 

Je luttais chaque fois pour me maintenir éveillée attribuant ces crises à l’énorme travail que doit accomplir une maman.

 

Après plusieurs mois de tests peu agréables, le médecin spécialiste du sommeil a suggéré que la narcolepsie de Madame McFarlane pouvait avoir un rapport avec l’injection qu’elle avait eue. Après avoir manifesté ces symptômes pendant plus d’un an et après avoir fait quantité de tests pour n’aboutir à aucun résultat fiable, mon médecin de famille m’a adressé à un neurologue.

 

On me soumit à nouveau à toute une série de tests, mais, à nouveau, sans résultat.

 

Après toutes ces recherches effectuées à l’hôpital Gartnavel, je fus orientée vers un spécialiste des troubles du sommeil. C’est alors que l’effrayante vérité a pu émerger.

 

Ce spécialiste m’a immédiatement demandé si j’avais reçu le vaccin contre la grippe. Ce spécialiste devait déjà avoir vu d’autres patients présentant les mêmes symptômes, et voilà qu’il tombait su un nouveau cas.

 

J’étais heureuse d’avoir enfin reçu un diagnostic, mais j’étais choquée de découvrir qu’il n’y avait pas de traitement.

 

Madame McFarlane doit prendre quotidiennement de puissants médicaments qui n’ont cessé de la faire grossir. Mais ce qui la rend la plus furieuse c’est tout ce temps qu’elle a perdu et qui ne peut plus être rattrapé. Elle regrette tellement de réaliser que ses enfants n’ont pas la maman qu’ils méritent. […]

 

Le porte-parole du Ministère de la Santé a déclaré : «  Nous comprenons à quel point la narcolepsie peut être une maladie angoissante. »

 

Le Pandemrix a été utilisé pour prévenir une maladie grave et des décès au cours de la pandémie de grippe porcine de 2009/10.

 

A cette époque, l’association possible avec la narcolepsie n’était pas connue.

 

«  Nous travaillons avec le fabricant de vaccins et les demandeurs » déclarent les avocats pour prendre au plus vite en compte les plaintes des patients.

 

Source : The Informed Parent, issue two, 2015 (Extraits)

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30 septembre 2015 3 30 /09 /septembre /2015 20:53

On ne le redira jamais assez: les mensonges sur les vaccins et leur prétendue sécurité ne pourront pas durer éternellement. Les gens découvrent de plus en plus la vérité toute nue, aussi dure soit-elle... ils découvrent par exemple que pour éviter une maladie dont la probabilité statistique (ou celle d'une complication grave de cette maladie naturelle) est infime, on leur fait encourir des risques exorbitants, beaucoup plus variés et péjoratifs (quant à leur issue, le plus souvent chronique/irréversible et à leur délai de survenue parfois plusieurs semaines, mois ou années après tel ou tel vaccin).

Vaccins et aluminium: le calvaire des victimes, l'avancée de la justice

Les cas sont en réalité innombrables mais une large majorité des victimes s'ignorent en attribuant la cause de ce qui leur arrive à la fatalité ou à autre chose. Or l'urgence, tant pour les victimes présentes que pour en éviter beaucoup d'autres à l'avenir, est de parler et surtout de porter plainte car ce scientisme vaccinal prospère avant tout sur la propagande, la pensée unique et l'omerta (médiatique, professionnelle,...) sans compter les pressions, les intimidations, amendes, menaces de peines de prison etc.

 

Voyez les informations ci-dessous, voyez ce qu'il en est de cas concrets et de l'importance de PORTER PLAINTE sans hésitation et en masse, pas seulement contre les firmes mais aussi et surtout contre les médecins et les pouvoirs publics (qui ont une très lourde responsabilité au vu de leurs recommandations vaccinales indéfendables, sans parler des lois d'obligations illégitimes). Un tournant jurisprudentiel s'opère pour ce qui est de la myofasciite à macrophages causée par l'aluminium des vaccins. Il faut continuer d'agir et de parler. Il y a va de l'avenir même des générations futures qui est en train d'être sacrifié dans l'oeuf avec un nombre toujours plus élevé de vaccins à tout prix...

Indre-et-Loire. 18 septembre 2015. La Nouvelle République

Malade depuis 23 ans elle demande réparation à l'État 

Christelle Da Silva-Royer, chez elle, entre ses parents, Michèle et Yvon, qui la soutiennent depuis 24 ans.

Christelle Da Silva-Royer, chez elle, entre ses parents, Michèle et Yvon, qui la soutiennent depuis 24 ans.

Handicapée depuis 1991 suite à un vaccin, Christelle, 43 ans, demande réparation à l’État et réclame 1 million d’euros. Elle a entamé une grève de la faim.

 

J'avais 19 ans, j'étais à la fac, et j'avais trouvé un petit boulot à la clinique Saint-Grégoire. Pour travailler en milieu hospitalier, il était obligatoire de se faire vacciner contre l'hépatite B… Christelle Da Silva - Royer, 43 ans, revient sur l'origine du calvaire qu'elle subit depuis 24 ans.

 
Les symptômes de la maladie se sont manifestés rapidement. Chutes inexpliquées, difficultés de mouvement, grosse fatigue, douleurs musculaires et articulaires, début de paralysie faciale… Mais aucun médecin, aucune analyse ne diagnostiquaient l'origine du mal dont souffrait Christelle.


Il a fallu attendre qu'une biopsie, pratiquée à l'hôpital Henri-Mondor, à Paris, en 1998, révèle la vérité : Christelle était atteinte de myofasciite à macrophages. Une maladie rare, dégénérative, associée à la persistance pathologique de sels d'aluminium utilisés dans certains vaccins… Dont celui contre l'hépatite B. 


Elle est obligée de quitter son poste de responsable grands comptes dans une société de marketing parisienne où elle s'imaginait faire carrière.


En 2001, Christelle créée une association d'entraide aux personnes atteintes par cette maladie. Elle a multiplié les séjours à l'hôpital depuis vingt ans, et les traitements antidouleur les plus lourds. Elle ne se déplace plus qu'avec des béquilles ou une canne. Pendant deux ans, elle a eu recours au fauteuil roulant.


Bénéficiant d'une pension d'invalidité de 600 € par mois, Christelle n'a plus le droit de travailler. « Il y a douze ans, j'avais porté plainte contre l'État qui m'avait obligée à me faire vacciner. En vain. Cette fois, j'irai jusqu'au bout », dit-elle, dans la petite maison que ses parents lui louent à Saint-Branchs. Mardi matin, jour du marché à Montbazon, elle a débarqué à la permanence du député Jean-Louis Beffara, suppléant de Marisol Touraine, ministre de la Santé. Avec son duvet, son oreiller et sa télé, « pour entamer une grève de la faim ».


Les gendarmes sont intervenus. Le député a quitté le Palais Bourbon pour venir à la rencontre de Christelle Da Silva - Royer. « Jean-Marie Beffara a saisi immédiatement les services de la Sécurité sociale et de Pôle Emploi », indique Christelle, qui a cessé de s'alimenter « tant que Pôle Emploi ne m'aura pas versé les 286 € d'indemnités du mois d'août… »

 

Une somme qui peut paraître dérisoire, comparée au million d'euros que Christelle réclame à l'État pour réparer son préjudice physique et moral.


Une reconnaissance qu'elle réclame « quitte à mettre ma vie en danger. »

 

Pascal Landré

 

Source: La Nouvelle République

Les malades atteints de myofasciite à macrophage peuvent être lourdement handicapés tant au niveau moteur, musculaire et articulaire que cognitif. Un certain nombre d'entre eux passent une biopsie du deltoïde pour objectiver la stagnation d'aluminium vaccinal dans leur muscle (un signe dont l'establishment dénie la moindre valeur de preuve mais selon les travaux de l'équipe du CHU Henri Mondor, non seulement cet aluminium vaccinal va stagner dans le muscle mais une partie de celui-ci va aussi se loger dans le cerveau de manière irréversible, ce qui pourrait très bien, au vu de la neurotoxicité connue de cette substance, expliquer les troubles neurologiques divers qui sont observés chez les patients et dont le seuil exact (et inconnu) de sensibilité à ce toxique varie au cas par cas... il est toutefois plus difficile de proposer une biopsie du cerveau à tous les malades atteints de myofasciite à macrophages qui ont eu le malheur de se faire vacciner...)

 

Fabrice, victime du vaccin hépatite B vient de publier sur sa page Facebook quelques photos de sa récente biopsie du deltoïde, des photos qui sont éclairantes par rapport aux discours visant à faire passer les vaccinations comme sûres et anodines. Il est toutefois capital que les gens voient ces photos AVANT de continuer à recevoir d'autres vaccins, qu'elles aient bien conscience de l'enfer qu'elles pourraient bien subir après leur prochain vaccin: 

Vaccins et aluminium: le calvaire des victimes, l'avancée de la justice
Vaccins et aluminium: le calvaire des victimes, l'avancée de la justice
Vaccins et aluminium: le calvaire des victimes, l'avancée de la justice
Vaccins et aluminium: le calvaire des victimes, l'avancée de la justice
Vaccins et aluminium: le calvaire des victimes, l'avancée de la justice

Fabrice a aussi mis à la disposition du public un site d'information sur son handicap et ses implications (sociales, professionnelles, personnelles). Nous vous invitons très vivement à visiter ce site sur ce qu'il appelle sa "maladie fantôme".

Plongée dans l'univers d'une myopathie atypique: 

https://handicapinvisible.wordpress.com/ 

 

Vous pouvez aussi consulter le site suivant: https://www.vaccinssansaluminium.org/ MAIS ATTENTION, le problème de l'insécurité vaccinale ne se résume pas à cette seule question de l'aluminium et la seule suppression de l'aluminium n'est pas synonyme de sécurité vaccinale!

Vaccins et aluminium: le calvaire des victimes, l'avancée de la justice

 

Myofasciites provoquées par l’aluminium du vaccin hépatite B:

le Conseil d’Etat reconnait la causalité

 

18 septembre 2015

 

Paris, France -- Deux femmes, qui ont présenté des myofasciites à macrophages dans les suites d’une vaccination obligatoire par le vaccin contre l’hépatite B, doivent être indemnisées par l’état. La décision a été prise par le Conseil d’Etat fin juillet 2015 en raison d’un lien de causalité entre un vaccin à adjuvant aluminique et la pathologie diagnostiquée à la suite de la vaccination.

 

Un parcours du combattant

 

La première des deux, manipulatrice en électroradiographie, avait présenté en 1994 à la suite d’une vaccination contre l’hépatite B une asthénie et des myalgies qui ont été mises en 2003 après biopsie sur le compte d’une myofasciite à macrophages.

 

La seconde, auxiliaire en puériculture, a présenté des premiers signes cliniques dès 1996, à la suite elle aussi d’une vaccination contre l’hépatite B, et le diagnostic a été posé en 1998.

 

Les deux soignantes avaient saisi le Ministre de la santé en 2007, puis le tribunal administratif de Versailles en 2010 qui leur avait donné tort. L’appel avait été rejeté par la cour administrative d’appel en 2013.

 

C’est la raison pour laquelle le Conseil d’Etat a été saisi.

 

Une erreur de droit

 

Le Conseil d’Etat précise la cour a commis une erreur de droit « en écartant l'existence (…) d'un lien de causalité direct et certain, en l'état actuel des connaissances scientifiques, entre les lésions de myofasciite à macrophages apparues à l'emplacement des injections vaccinales et les signes cliniques tels que ceux dont Mme A. est atteinte. Par suite, sans qu'il soit besoin d'examiner les autres moyens du pourvoi, son arrêt doit être annulé ».

 

Le montant des indemnisations reste pour l’instant très limité – 3 500 euros pour chacune – mais c’est la 7ème et 8ème fois que le Conseil d’Etat rend une décision en ce sens et désormais les patients atteints de myofasciite peuvent fonder leurs plaintes sur une jurisprudence fournie. Il est aussi possible qu’ils saisissent à nouveau le tribunal administratif pour une indemnisation plus importante calculée après estimation du préjudice.

 

Un lien de causalité avec l’adjuvant aluminique

 

Le Conseil d’Etat insiste sur le lien entre myofasciite à macrophage et adjuvant aluminique : « considérant que, dans le dernier état des connaissances scientifiques, l'existence d'un lien de causalité entre une vaccination contenant un adjuvant aluminique et certains symptômes (fatigue chronique, douleurs articulaires et musculaires et troubles cognitifs) n'est pas exclue. Il existe une probabilité suffisante pour que ce lien puisse, sous certaines conditions, être établi».

 

C’est le cas par exemple « lorsque la personne vaccinée, présentant des lésions musculaires de myofasciite à macrophages à l'emplacement des injections, est atteinte de symptômes, (fatigue chronique, douleurs articulaires et musculaires et troubles cognitifs) soit postérieurement à la vaccination, soit, si certains de ces symptômes préexistaient, qu'ils se sont aggravés à un rythme et avec une ampleur qui n'étaient pas prévisibles au vu de l'état de santé antérieur à la vaccination».

 

Pour les deux patientes « il ne ressort pas des expertises versées au dossier que les symptômes pourraient résulter d'une autre cause que la vaccination».

 

Source : Medscape.fr

Fabricants de vaccins, Agence du médicament, Ministre de la Santé accusés de mensonge à l’Assemblée Nationale

 

Ce jeudi 22 octobre s’est tenu à l’Assemblée Nationale le colloque Désintoxiquons notre santé des lobbies. Organisé dans le cadre de l’opération Mains propres sur la santé, il réunissait de nombreux intervenants (politiques, ONG, associations, personnalités du monde médical…), dont l’association E3M (Entraide aux malades de myofasciite à macrophages) qui intervenait sur la pénurie de DTPolio sans aluminium, une pénurie qui ne doit rien au hasard.

 

Rappel des faits

 

Malgré son grand intérêt pour la santé publique (1 million de doses vendues chaque année, pour un coût unitaire de 6,70€), le vaccin DTPolio sans aluminium a été retiré du marché en juin 2008. Telle était la volonté du fabricant : il était plus intéressant de vendre un DTPolio avec aluminium (10,23€ la dose, soit +53%) ou un vaccin hexavalent contenant notamment l’hépatite B (40,76€).

 

Le fabricant (Sanofi Pasteur) a expliqué ce retrait du marché par le déclenchement soudain de nombreux effets indésirables.

 

Des données falsifiées

 

Or, une minutieuse analyse publiée par E3M en juillet 2013 a démontré, à partir de documents internes à Sanofi Pasteur, que les données fournies par le fabricant étaient falsifiées. E3M a aussitôt alerté les autorités sanitaires et les a informées de sa décision de déposer plainte pour faux, usage de faux et escroquerie. L’Agence du médicament et le ministère de la santé ont ignoré ces révélations et ont continué à répandre les propos mensongers du fabricant.

 

L’Agence du Médicament aurait dû contrôler la réalité de ces effets indésirables. La Ministre de la Santé aurait dû diligenter une enquête dès qu’elle a été informée des faits. Il n’en a rien été. Pour E3M, cette absence de réaction les rend complices de la falsification.

 

Voir l’intervention de Didier Lambert (Président d’E3M) à l’Assemblée Nationale :

En savoir plus sur ce dossier noir du DTPolio :

 

 

Source : Vaccinssansaluminium.org

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28 septembre 2015 1 28 /09 /septembre /2015 10:27

Une petite fille de 5 ans décède à cause du vaccin ROR

 

Rougeole-Oreillons-Rubéole

 

D’après l’article d’Augustina Ursino, 24 septembre 2015

 

A la douce mémoire de Holly Marie Stavola

Décédée d’encéphalite aiguë après le vaccin ROR

 

Robin Stavola est la maman de la petite Holly qui est décédée tragiquement après avoir reçu la seconde dose du vaccin ROR qui était exigé pour que Holly puisse fréquenter l’école gardienne (dans le New Jersey).

 

Après que Holly ait fait une réaction grave au vaccin qui a entraîné des convulsions, des dommages cérébraux et une réanimation intensive, les médecins ont expliqué aux parents que Holly  ne pourrait pas guérir et resterait le restant de ses jours dans un état végétatif. Les parents de Holly se sont sentis perdus et ont, le cœur brisé, finalement dû accepter que les appareils qui maintenaient artificiellement leur petite fille en vie soient débranchés.

 

Après le décès de Holly, la maman Robin, a reçu un dédommagement après qu’il ait été déterminé que le vaccin ROR avait provoqué chez la petite fille une encéphalopathie aiguë.

 

Dans la suite, Robin a voulu se battre pour faire modifier la loi sur les dédommagements qui sont octroyés après des accidents vaccinaux

 

Alors que Holly a souffert pendant 65 heures dans les deux hôpitaux où elle avait été transférée, son pédiatre n’a même pas daigné venir la voir. Il arrive que certains pédiatres qui poussent les parents à faire vacciner les enfants ne se présentent même pas à l’hôpital pour prendre soin de ces enfants qu’ils ont vaccinés quand ceux-ci présentent des complications après les vaccins. Même l’aumônier de l’hôpital ne s’est guère montré sincère quand Holly se battait pour survivre. Les membres des familles en deuil ont tendance à croire que les aumôniers des hôpitaux sont là pour aider les affligés, mais certains d’entre eux seraient effectivement payés pour aider à accroître le nombre de dons d’organes.

 

« Nous avons cru les médecins quand ils nous ont dit que les vaccins étaient sans danger »

 

En l’honneur de la petite Holly, la maman nous raconte :

 

« Holly est née le 18 janvier 1995. Elle est née à terme ; il n’y a eu aucune complication. Le bébé était en parfaite santé. Nous avons fait confiance aux médecins et avons fait administrer à notre petite les vaccins recommandés par le programme de vaccinations.

 

On ne m’a pas donné de document informatif qui m’aurait permis de connaitre les réactions graves qui peuvent, dans certains cas, se produire après les vaccins. Holly a reçu, à temps, son premier vaccin ROR et le vaccin HiB à 16 mois.

 

Après avoir reçu ces vaccins, elle a fait de la fièvre, est devenue léthargique, n’avait plus d’appétit. Elle pleurait beaucoup plus que d’habitude, elle avait des maux d’oreille, ainsi qu’une toux qui a duré sept semaines consécutives. Pendant trois semaines, nous n’avons pas dû consulter le pédiatre. Nous sommes retournés à sa consultation une semaine et demi plus tard quand Holly recommença à faire de la fièvre et avait à nouveau perdu l’appétit. Nous avons encore dû reconsulter le pédiatre parce que la fièvre ne baissait pas.

 

Aussi incroyable que cela puisse paraître, onze jours après ces séries de visites chez le médecin parce que Holly était MALADE, le médecin décida de lui administrer le vaccin polio oral (OPV) et son quatrième DTCa.

 

On me raconta que Holly avait réagi normalement aux vaccinations précédentes et dès lors que l’on pouvait poursuivre les vaccinations. Le médecin ne sembla nullement préoccupé par le problème. Aucun médecin ne me fit remarquer que Holly ne devait plus recevoir de vaccins vu qu’elle aurait pu réagir de manière plus grave encore.

 

Jusqu’alors, j’avais totalement fait confiance à mon pédiatre et n’avais jamais entendu parler de réactions aux vaccins jusqu’en 1996. Au moment où les problèmes se sont présentés, nous n’avons pas eu l’occasion de contacter d’autres parents et de nous rendre compte de l’importance des effets secondaires qui se produisaient.

 

Le 18 janvier, 2000, Holly a célébré son cinquième anniversaire.

 

Le 25 janvier 2000, donc une semaine plus tard, je me suis rendue avec Holly à la visite pédiatrique de ses 5 ans. Holly y a reçu un autre vaccin contre la polio (vaccin oral). Ce vaccin ne fut plus recommandé à partir de janvier 2000. Holly le reçut de toute manière avec le ROR, le DTCa et le test tuberculinique. Le jour où Holly a reçu ses vaccins au cours de la visite médicale de ses 5 ans, ELLE N’ETAIT PAS MALADE !! […]

 

Holly s’est retrouvée aux soins intensifs

 

« Après la visite, nous sommes rentrés à la maison et Holly a commencé à se plaindre de douleurs au bras. Je ne me suis pas inquiétée outre mesure étant donné ce que j’avais lu dans les documents d’information. On me conseilla donc de ne pas m’inquiéter. A l’époque, je ne savais même pas que les enfants pouvaient faire de graves réactions après avoir reçu des vaccins. Comme on me l’avait seriné maintes et maintes fois, je croyais que les vaccins étaient sans danger.

 

Le samedi 30 janvier 2000, cinq jours après que les vaccins lui furent administrés, elle jouait dehors dans la neige, donc très peu de temps avant que l’effet indésirable ne se manifeste.

 

Holly s’est plainte de douleurs au bras pendant toute une semaine à la suite de cette visite chez le médecin. Bien que l’on m’ait assuré que tout était normal, ce n’en fut pas moins le début de l’horrible cauchemar par lequel il nous a fallu passer et qui a commencé sept jours après la visite chez le médecin.

 

Le 1er févier 2000, sept jours après avoir reçu son deuxième vaccin ROR, Holly faisait une température de 40° ; elle avait mal aux oreilles et avait mal à la gorge.

 

Nous nous sommes rendus chez le pédiatre uniquement pour qu’il nous prescrive des antibiotiques et n’avons pas pensé mentionner le ROR, Le vaccin oral polio, le cinquième vaccin DTCa et le test tuberculinique que Holly avait reçus sept jours avant. Le médecin ne sembla nullement se soucier des réactions qu’avait présentées Holly après le premier vaccin ROR.

 

Nous nous sommes rendus dans une pharmacie pour y acheter l’antibiotique Suprax (cefixitime) et je lui ai administré la première dose.

 

Sur l’heure de midi, Holly a fait une sieste de deux heures. A cette époque, Holly ne faisait plus aucune sieste, mais j’ai pensé qu’elle en avait besoin parce qu’elle ne se sentait pas bien. A part une infection, le pédiatre n’a pas pensé que quelque chose était inhabituel. C’est la raison pour laquelle, j’ai pensé qu’il n’y avait rien de bien grave. Mais tout a fini par changer.

 

J’étais assise sur le lit quand Holly s’est réveillée à huit heures. Elle s’est réveillée en faisant une crise d’épilepsie (grand mal) avec une température de 41,6. Ses yeux étaient révulsés et de la mousse sortait de sa bouche.

 

A partir de ce moment-là, les erreurs se sont accumulées. Ça a commencé avec l’opérateur du 911 qui était désagréable. Le délégué de l’EMS (Services médicaux d’urgence) n’a pas pu trouver notre maison. Finalement Holly fut conduite à l’hôpital.

 

Nous n’arrêtions pas de pleurer et de crier pour demander de l’aide. – Ils ont fait une ponction lombaire pour vérifier si Holly ne souffrait pas de méningite. Comme l’inflammation du cerveau ne cessait d’augmenter, cette ponction n’aurait pas dû être réalisée. Holly tremblait étant donné ce qu’on avait fait pour essayer de la refroidir après sa fièvre.

 

Holly fut ensuite transportée dans un autre hôpital qui n’a pas été capable de mieux s’occuper d’elle. Ma fille était nue en train de vomir ; elle pouvait à peine parler (ataxie), elle pleurait. Ses derniers mots furent : « Maman, aide-moi ! »

 

Elle avait été dans deux hôpitaux du comté de  Monmouth. Les soignants s’y étaient montrés désemparés et incapables de prendre soin d’une enfant qui présentait une encéphalomyélite aiguë disséminée jusqu’à ce que moi, la maman me suis sentie obligée d’alerter les médecins et de leur signaler qu’elle avait reçu des vaccinations une semaine auparavant.

 

Au second hôpital, j’ai demandé au neurologue si Holly avait reçu des calmants. Je l’ai ensuite entendu demander à une infirmière de lui donner du Fentanyl. Le Fentanyl est un opioïde que l’on désigne parfois sous le nom de stupéfiant.

 

Après des heures de crises épileptiques (grand mal), de la fièvre élevée (41,6 à 42,2), après de nombreuses prises de sang, une plasmaphérèse, un forage fut réalisé à travers le front pour libérer la pression intracrânienne. Après avoir dû traverser cet enfer, on nous apprit que Holly ne retrouverait jamais plus son état normal, qu’elle ne se réveillerait pas, qu’elle serait comme un légume incapable à jamais de pouvoir respirer par elle-même.

 

J’ai prié le chapelet pendant 65 heures et n’ai plus pu manger ou dormir. Les médecins nous ont suggéré de la débrancher, et aussi insupportable que ce geste nous apparaisse, nous avons finalement été contraints d’accepter.

 

Ainsi, le 4 février 2000, Holly Stavola, notre petite fille est décédée tragiquement et inutilement d’une encéphalopathie aiguë, suite au second vaccin ROR. L’hôpital et le pédiatre ont finalement conclu par ce diagnostic. »

 

[…] Le pédiatre de Holly et son équipe ont totalement échoué dans leur tâche  en ne nous informant pas des risques associés aux vaccins et en négligeant d’attribuer ses symptômes à une réaction possible de la vaccination, le jour où les graves complications ont commencé.

Une petite fille de 5 ans décède à cause du vaccin ROR

Vidéo en hommage de Holly réalisée par son petit frère:

J’ai finalement appris d’un pédiatre renommé que Holly aurait pu être sauvée si le personnel médical avait agi différemment.

 

Robin a été invitée à donner les organes de Holly

 

Lorsque Holly était aux soins intensifs, reliée à un respirateur et que le cerveau avait été déclaré cliniquement mort, sa maman fut approchée par l’aumônier qui lui a suggéré de donner les organes de Holly.

 

L’aumônier de l’hôpital semblait particulièrement attentionné et agréable jusqu’à ce que la maman de Holly lui dise qu’il n’était pas question du don des organes de sa petite fille. La maman Robin a trouvé la situation très étrange et a eu comme l’impression que l’hôpital venait de perdre une affaire.

 

La plupart des parents ne sont pas conscients que certains aumôniers seraient impliqués dans des affaires de trafic d’organes. Pour augmenter les chances de consentement pour les dons d’organes, certains aumôniers seraient embauchés par les hôpitaux pour aider à obtenir le consentement des parents et des proches pour le don d’organes.

 

Se servir d’aumôniers formés professionnellement dans un milieu hospitalier à aborder la question du don d’organes s’est avéré couronné de succès pour que davantage de familles donnent leur consentement au don d’organes.

Robin, la maman explique :

 

« Dans la situation que nous étions en train de vivre, il a été très décevant qu’une personne de plus, l’aumônier même de l’hôpital ne se soit pas montré sincère alors que nous vivions pareil cauchemar. L’aumônier était la dernière personne qu’on aurait pu soupçonner de manquer de sincérité.

 

Notre famille admire cependant toute personne en deuil qui fait le don d’organes de l’un de ses proches. Nous ne voulons pas être jugés pour la décision difficile que nous avons dû prendre trop rapidement à ce moment-là.»  [… ]

 

Les échantillons de sang de Holly ont été rejetés sans autorisation

 

La maman Robin écrit :

 

« Je savais qu’après le décès de Holly, nous devions demander une autopsie. C’est ce que nous avons fait. Nous avons demandé à l’hôpital de « conserver les échantillons de sang ». Nous avons reproduit cette demande sur le formulaire de demande d’autopsie.

 

Nous avons aussi demandé, et nous avons formulé notre demande par écrit, que la tête de notre enfant ne soit pas rasée. C’est horrible de devoir mettre tout cela par écrit comme de parler de la tête de notre petite fille décédée pour une autopsie, mais nous voulions que rien ne soit laissé au hasard.

 

Il est incroyable que le pathologiste « ait oublié de conserver des échantillons de sang ». Nous n’avons rien pu faire à ce sujet. »

 

Les symptômes de Holly ont été causés par la vaccination

 

« Les médecins ont éliminé toutes les infections possibles, toutes les maladies bactériennes ou virales ; tous les symptômes de Holly étaient dus au vaccin ROR.

 

Avant que Holly ne reçoive sa dernière série de vaccins, elle était en parfaite santé, lumineuse, gentille et belle. Le jour où Holly a reçu ses vaccinations au cours de la visite médicale de ses 5 ans, ELLE N’ETAIT PAS MALADE !!

 

Les pédiatres tenteront de minimiser la réaction de Holly en affirmant que cette tragédie s’est produite parce qu’elle était malade. Cela ne pouvait pas être plus éloigné de la vérité.

 

Holly était une enfant en parfaite santé et n’était en aucune manière immunodéprimée.

 

L’encéphalopathie figure dans les tableaux de Département Américain de la Santé et des Services Sociaux (division HRSA). Cette complication peut se produire entre 5 et 15 jours après l’administration du vaccin comme figuré dans le tableau des complications. […]

 

Selon l’administration des ressources de santé, environ 74 pour cent des réclamations pour dommages/décès vaccinaux sont rejetées. »

 

Le vaccin ROR associé à des complications neurologiques

 

La maman de Holly explique :

 

« Les partisans des vaccins tiennent à préciser que la réaction de Holly représente « 1 cas sur un million de vaccinations ». La vérité est qu’un enfant sur 168 doit recourir aux services d’urgence après la vaccination.

 

La réaction de Holly n’était pas de nature allergique. L’information sur le ROR précise : «  des réactions allergiques graves se produisent dans (moins d’un cas par million de doses), «  cependant l’information précise «  les convulsions (crises) provoquées par la fièvre se produisent dans un cas sur 3000 (doses reçues) ».

 

Les partisans des vaccins aiment aussi dire que même si la famille a reçu un dédommagement, cela ne prouve rien bien que le gouvernement fédéral ait admis que le décès de Holly était indemnisable en raison d’une vaccination.

 

Le « Vaccine Injury compensation Program » (VICP) a déjà, à ce jour payé plus de 3,18 milliards de dollars de dédommagements.  

 

Source : Vactruth

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23 septembre 2015 3 23 /09 /septembre /2015 14:07

Enfants victimes de vaccins défectueux :

un grand procès s'ouvre en France

 

240 familles françaises ont porté plainte après que leur enfant ait été vacciné avec un produit défectueux contenant des métaux lourds dangereux pour la santé. (Sud Ouest21 septembre 2015)

Le vaccin Méningitec est aujourd'hui retiré du marché  © AFP PHILIPPE MERLE

Le vaccin Méningitec est aujourd'hui retiré du marché © AFP PHILIPPE MERLE

Vacciner des enfants contre la méningite avec des lots défectueux, contenant des métaux lourds, a-t-il eu des conséquences sur leur santé ? La justice civile de Clermont-Ferrand examinera mardi les plaintes de 240 familles qui ont assigné le distributeur français du Meningitec.

 

"On va demander au cours de cette audience des expertises pour chaque enfant", a expliqué Me Emmanuel Ludot, qui défend 80 familles, avant une deuxième audience, prévue le 20 octobre. 

 

Ces familles venues de toute la France reprochent au laboratoire CSP (Centre Spécialités Pharmaceutiques), situé à Cournon-d'Auvergne (Puy-de-Dôme), d'avoir acheminé des seringues contenant du vaccin Méningitec, défectueuses car contenant des résidus de métaux lourds. 

 

Symptômes persistants

 

Des analyses capillaires ont permis de détecter des concentrations de plomb, étain, silicium et aluminium dans les cheveux des personnes vaccinées. Ces dernières, dont de très nombreux enfants, souffriraient depuis de symptômes persistants (diarrhées aiguës, nausées, irritabilité, fortes poussées de fièvre, troubles du sommeil, éruptions cutanées...). 

 

"Quand mon médecin me l'a prescrit pour ma fille, alors âgée d'un an, je lui ai fait confiance", a raconté Coralie, une mère de famille habitant la région rennaise, qui viendra mardi à l'audience avec d'autres parents. 

 

Le vaccin a provoqué chez la fillette des réactions en chaîne : "Je me suis retrouvée toute seule avec mes inquiétudes. J'ai appelé mon médecin, mon pharmacien, ils n'étaient pas au courant. Le laboratoire ne m'a pas non plus donné plus de réponse", a-t-elle dit. 

 

En furetant sur internet, elle découvre que 21 lots de ce vaccin, produit par le laboratoire américain Nuron Biotech, ont été retirés du marché à titre de précaution le 24 septembre 2014, par l'intermédiaire de l'Agence nationale de sécurité du médicament (ANSM).

 

"Scandale sanitaire"

 

"Encore hier, ma fille (aujourd'hui âgée de 2 ans et demi), pleurait à chaudes larmes, pliée en deux, à cause de migraines abdominales, dont on ne connaît pas l'origine", a déclaré Coralie, qui a retrouvé sur la toile d'autres parents de victimes. 

 

"On est très inquiets. Les métaux lourds, on ne s'en débarrasse pas comme ça. Quand on démarre sa vie à 2 ans avec des métaux lourds dans le corps, je me demande quelles seront les conséquences pour ma fille dans 10 ans", s'est-elle alarmée. 

 

Pour Me Ludot, le dossier du Meningitec est un "scandale sanitaire". "Il y a eu dans ce dossier des failles à tous les niveaux, des pharmaciens en passant par les laboratoires, les autorités sanitaires. Tout le monde a été curieusement négligent", a affirmé cet avocat du barreau de Reims.

 

"Comment expliquer que ce vaccin ait été encore prescrit trois mois après le retrait théorique des lots défectueux?" s'est-il interrogé. 

 

Des négligences à plusieurs niveaux

 

Selon lui, le distributeur auvergnat est "le premier maillon d'une longue chaîne".

 

"Dans ce dossier, il y a d'abord le problème de la vente de ce vaccin : des pharmaciens ont continué à le vendre alors qu'ils étaient informés de son retrait. Il y a eu aussi des retards dans l'alerte pour des raisons économiques évidentes. Les vaccins frelatés étaient connus depuis au moins un an", a-t-il ajouté. 

 

"Ce n'est pas une erreur de manipulation qui est en cause, mais le vaccin lui-même. Il semble bien que ce dernier, qui est d'ailleurs depuis retiré du marché, comportait des nanoparticules", a-t-il précisé. 

 

D'autres procédures judiciaires liés à ce même vaccin sont également en cours en Italie, au Brésil, en Australie et en Nouvelle-Zélande.

 

Source: Sud Ouest

 

Pour bien comprendre cette actualité et sa portée exacte, il est essentiel d'avoir aussi à l'esprit que même lorsqu'ils ne sont pas déclarés défectueux, ces vaccins contre le méningocoque sont de 80 à 800 fois plus risqués que la maladie naturelle sur base des chiffres officiels français. En outre, TOUS les vaccins (pas seulement ceux contre le méningocoque) ont un dénominateur commun qui explique leur insécurité fondamentale et qui réside dans la méthodologie tout à fait biaisée qui est employée pour les évaluer au cours des essais cliniques avant leur commercialisation. C'est là que tout le problème se joue vraiment... Or ici, on ne parle que de vaccins encore plus dosés ou contaminés en métaux lourds et autres poisons. Voyons donc pour une fois au-delà du seul arbre qui cache la forêt des vaccins toxiques et réalisons que TOUS les vaccins, en tant qu'ils sont tous composés de produits toxiques aux effets profonds et durables insuffisamment évalués, consistent, en s'additionnant les uns aux autres, à remplir un grand VASE toxique qui ne peut que finir par déborder à court moyen ou long terme, plus ou moins rapidement selon les susceptibilités individuelles et l'état d'intoxication préalable des sujets vaccinés. Cette façon d'envisager le problème qui est criante de pertinence (jusqu'à preuve scientifique valable du contraire) permet d'ailleurs d'expliquer parfaitement pourquoi des parents ont parfois l'impression que leur enfant "supportait" très bien ses vaccins jusqu'au Xème vaccin (de trop) qui fait alors tout basculer de façon irréversible, laissant ces parents dans un état d'incompréhension et de perplexité le plus total.

 

Voir aussi:

 

La pétition des parents sur le vaccin Meningitec prend de l'ampleur (+ update pour écrire aussi à vos députés)

 

Vaccin Meningitec. 550 familles au coeur d'une affaire troublante (article Paris Match)

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20 septembre 2015 7 20 /09 /septembre /2015 14:58

La vérité sur les vaccins ne peut être cachée plus longtemps

 

Sherri Tenpenny, DO, AOBNMM, ABIHM, 18 septembre 2015

 

Les partisans de la vaccination défendent toujours les trois mêmes positions :

 

1. « J’ai vu mourir des enfants d’une maladie qui aurait pu être évitée par la vaccination. »

2. « Les enfants vaccinés sont protégés. »

3. « Le fait que VOUS vous fassiez vacciner m’empêche MOI de tomber malade. »

 

Examinons chacun de ces points :

 

1. Il peut arriver que des enfants meurent d’une infection. Cette vérité est délicate et ne peut en aucune manière minimiser le drame de la mort d’un enfant (ou d’un adulte). Mais le fait qu’il existe un vaccin pour un agent pathogène particulier ne signifie pas automatiquement que « la maladie peut être évitée par la vaccination ». Il existe de nombreux exemples de maladies et même de décès qui se produisent chez des enfants complètement vaccinés. Ce qui est complètement occulté dans la discussion, c’est le nombre de ceux qui sont handicapés à vie ou qui sont décédés après avoir reçu des vaccins. Pourquoi ces histoires dramatiques ne sont-elles pas reprises par les grands médias ?

 

2. Les enfants vaccinés sont protégés. Le public accepte généralement et totalement le fait que les enfants vaccinés ne seront pas malades et que tous les enfants non vaccinés contracteront l’infection. Aucune exception n’est envisageable d’un côté comme de l’autre. Franchement, aucun de ces arguments ne s’avère exact. Beaucoup d’enfants vaccinés tomberont quand même malades et attraperont la maladie contre laquelle ils ont été vaccinés. Les non-vaccinés tombent rarement malades… d’une infection « évitable par la vaccination » ou même de tout type d’infection. Les enfants non vaccinés prennent rarement des médicaments de manière habituelle et n’ont que très rarement des problèmes de santé à long terme.

 

3. Le fait que VOUS vous fassiez vacciner m’empêche MOI de tomber malade. Prenez s’il vous plaît la peine de réfléchir une minute. Ceci pourrait être un des trucs, un des subterfuges les plus énormes de tous les temps. Les preuves scientifiques sont là pour prouver  que des individus qui ont reçu des vaccins à virus vivants tels que le ROR (Rougeole-Oreillons-Rubéole), le rotavirus, la varicelle, le zona, la grippe (par voie nasale) peuvent excréter le virus pendant des semaines ou même des mois et peuvent infecter des personnes vaccinées et non vaccinées. Et, si je suis vacciné et que vous avez une mauvaise alimentation, que vous fumez, que vous ne vous lavez pas les mains, comment mon vaccin pourra-t-il vous empêcher de tomber malade ?

 

Ce concept a été largement diffusé parmi le personnel des soins de santé dans la plupart des états où ces personnes  doivent absolument recevoir le vaccin contre la grippe pour garder leur emploi.  En 2013, une méta-analyse de huit études montrait qu’il existait peu de preuves que la vaccination du personnel de santé offrait une protection pour les patients. Les travailleurs prennent donc tous les risques d’effets secondaires et les patients n’en retirent aucun bénéfice. Plus d’information sur ces études ICI.

 

La vaccination a été acceptée comme étant une protection sûre et efficace, alors qu’en vérité, aucune de ces prémisses n’a pu résister à un examen approfondi de la question. Les arguments des pro-vaccins sont régulièrement battus à plate couture. L’insistance à diaboliser les non vaccinés est totalement inappropriée et la vaccination forcée est la pire forme d’intimidation. La vaccination est devenue la vache sacrée médicale, elle est définie comme étant « une procédure médicale qui est, de manière injustifiée, à l’abri de la critique ». Les médecins et les patients qui s’autorisent à remettre les vaccins en question sont ridiculisés et marginalisés. Il est hérétique de suggérer que le statu quo est erroné.

 

La véritable « pseudo-science » vaccinale est enfin exposée pour ce qu’elle est : des anecdotes élaborées par les représentants de la Santé publique, de l’OMS, du CDC, puis régurgitées par des professionnels médicaux sous-informés à un public naïf dans le but de remplir les poches de l’industrie pharmaceutique.

 

Réveillez-vous les Américains (Note d’Initiative Citoyenne : et pas que les seuls Américains !). Votre ADN même est en train de se corrompre. A moins que nous nous levions et nous nous impliquions pour mettre fin à ces projets de loi – y compris celui qui concerne une marge de la population des adultes – nous aurons le gouvernement que nous méritons  et qui sera celui qui exigera de tout un chacun : «  montrez-nous votre carnet de vaccinations » !

 

Photo by GovernmentZA

 

Source: The Edgy Truth

La vérité sur les vaccins ne peut être cachée plus longtemps

Sherri TENPENNY : Le problème du placebo

 

« Le vaccin Gardasil contient beaucoup d’aluminium. Cet aluminium provoque de nombreux effets secondaires neurologiques comme aussi des effets secondaires locaux : gonflements, rougeurs, problèmes dans le bras qui a reçu l’injection.

 

Au cours des premiers essais du Gardasil, le premier groupe a reçu le Gardasil et le second groupe a reçu un placebo avec de l’aluminium.

La vérité sur les vaccins ne peut être cachée plus longtemps

Au vu des résultats, on a déclaré que le groupe qui avait reçu le Gardasil présentait le même nombre d’effets secondaires que le groupe placebo. On en a conclu que le vaccin était aussi sûr que le placebo. Ceci n’est rien d’autre qu’un mensonge parce qu’on a utilisé un produit chimique toxique en lieu et place d’une solution saline, stérile qui devait être complètement neutre. »

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6 septembre 2015 7 06 /09 /septembre /2015 21:38

Un nourrisson décède après avoir reçu 5 vaccins

 

Par Augustina Ursino, 5 septembre 2015

Cinq vaccins ont tué le petit Sebastian

Il est très dur de continuer à vivre après avoir perdu un petit chéri à la suite de vaccins. C’est avec un cœur bien lourd que nous voulons partager l’histoire de Sebastian Ryan Morley. Sebastian était un petit garçon en parfaite santé dont la vie a pris fin après les vaccinations de routine. La maman et la grand-maman, de Sebastian ont travaillé de nombreuses années dans les domaines de la santé humaine et  les services vétérinaires. Ce qu’elles ont appris au cours de leurs études, leur a fait croire que les vaccins étaient sans danger. Aujourd’hui plus jamais elles ne vaccineront. Nous voulons remercier la famille pour le partage d’une très importante information dont le public n’a généralement pas conscience.

 

La grand-maman de Sebastian, Valérie Murfin, explique :

 

« Le 11 décembre 2002, quand mon petit-fils eut sept mois, il passa le bilan de santé de ses six mois. Ma fille Natasha, sa maman ne fut pas victime d’intimidation pour faire vacciner son petit garçon. Elle ne fit que suivre ce qu’elle pensait alors être un bon conseil, et ce que nous avons tous pensé, à un moment donné, être un bon conseil.

 

Au cours de la visité médicale, Sebastian a reçu les vaccins suivants : DTCa, Hib, Hépatite B., soit cinq doses de vaccins.

 

Deux jours plus tard, Sebastian a commencé à vomir et à souffrir de jaunisse. Après être devenu tout jaune autour de la bouche, le 15-12-02, sa maman le conduisit chez le médecin parce qu’il était devenu très léthargique. Sur la route qui devait les amener chez le médecin, la maman priait pour que son petit ne décède pas. Ils prirent ensuite la route de l’hôpital St. Peter à Olympia où ils séjournèrent deux jours.

 

Les tests qui furent effectués montrèrent que Sebastian souffrait de troubles du foie. Une échographie ultérieure montra que son foie s’était arrêté de gonfler et il put finalement rentrer à la maison. La maman fut avertie de veiller à ce qu’il ne se cogne pas la tête à gauche ou à droite pour éviter que des hémorragies se produisent.

 

Avant de quitter l’hôpital et après que tous les examens furent terminés, le médecin signala à ma fille qu’il reprendrait contact avec elle parce qu’il supposait bien que Sebastian devait souffrir d’hépatite C. Ceci se passait six jours après que Sebastian eût reçu ses vaccins, soit le 17-12-02. »

 

Le cerveau de Sebastian a commencé à gonfler et ses organes ont cessé de fonctionner

 

« Le 20-12, ma fille reçut un coup de fil qui lui fit immédiatement comprendre qu’il y avait urgence. Elle emmena Sebastian aux urgences de l’hôpital des enfants de Seattle. Sebastian y resta plus d’un mois et souffrit beaucoup.

 

Vers la fin de son séjour, ses yeux ne réagissaient plus et l’un d’eux était terriblement gonflé. Certains de ses réflexes avaient disparu. Je pense que son petit cerveau en avait eu assez de tous ces produits chimiques qu’il avait reçus au cours de son séjour à l’hôpital. Le cerveau de Sébastien avait tellement gonflé que les médecins avaient perdu espoir et voulaient débrancher les machines.

 

A un moment donné, ma fille sortit de la chambre qu’elle occupait, me regarda et me dit : «  Ne les autorise pas à tuer mon bébé, maman !» - J’ai malheureusement dû lui dire que Sebastian était déjà « parti ». C’est alors que j’ai vu la lumière s’éteindre dans les yeux de ma fille.

 

On a débranché les appareils et Sebastian mourut en quelque sorte dans les bras de son papa et de sa maman. Il mourut le 22 janvier 2003 à huit mois et demi, 42 jours après sa visite médicale. Plusieurs organes ont cessé de fonctionner et son petit corps n’a pas pu poursuivre la lutte.

 

Le moment où je vis l’échographie du cerveau de Sebasian a été le moment le plus terrible de ma vie. C’est après cela que ses organes ont cessé de fonctionner. Il fut alors immédiatement mis sous coma artificiel pendant ses cinq derniers jours. Après les trois premiers jours, les médecins lui avaient laissé la possibilité de se réveiller. Les deux derniers jours, il ne lui fut plus possible de sortir de l’anesthésie.

 

En fin de compte, s’il n’avait pas eu tous ces vaccins, rien de tout cela ne serait arrivé.

 

 

Ma fille a mis en cause les vaccins qui avaient été administrés à Sebastian. La première réponse du médecin fut qu’elle n’avait jamais vu cela. Plus tard, ce médecin reconnut que le fait que les vaccins ne pouvaient pas être exclus par rapport au drame qui s’était produit.

 

Le certificat de décès mentionnait : « Insuffisance Hépatique Fulminante d’Etiologie Inconnue », bien que le pathologiste avait clairement précisé : « du fait que cet enfant fut vacciné moins de 24 heures avant l’apparition de ses problèmes, nous ne pouvons PAS exclure que les vaccins puissent être mis en cause. »

 

Autant dire, comme n’importe qui le ferait remarquer que ce sont les vaccins qui ont été responsables. »

 

Les vaccins ont été la seule cause plausible de l’insuffisance hépatique de Sebastian

 

Pendant que Sebastian était dans les services pédiatriques de réanimation de l’hôpital, il fut l’objet de nombreux tests. Il n’existe aucune raison physiologique ou environnementale qui pourrait expliquer son insuffisance hépatique. Quand j’étais à l’hôpital, je n’ai cessé de répéter que Sebastian venait d’être vacciné et qu’il fallait se pencher sur ce problème, mais le personnel de l’hôpital n’y a vu aucun rapport.

 

Ma fille avait déjà fait le lien avec le vaccin quand Sebastian devint malade et fut transporté à l’hôpital et j’ai voulu m’assurer qu’elle était bien au courant.

 

De leur côté les médecins de l’hôpital n’ont cessé de nous dire que les vaccins ne produisent jamais de réactions. Si je n’avais pas mis le sujet sur la table, les médecins n’auraient sûrement jamais pensé à mettre les vaccins dans l’équation.

 

La pédiatre qui s’est occupée de Sebastian a été très utile. C’est elle qui a estimé qu’il était important de signaler les réactions de Sebastian au Système de Notification des Effets Secondaires des Vaccins (VAERS).

 

Nous avons apprécié qu’elle reconnaisse ce qui était arrivé à mon petit-fils, mais la mort de Sebastian ne l’a pas empêchée de continuer à vacciner d’autres enfants. [...]

 

Sebastian est devenu plus malade après chaque vaccin contre l’hépatite B

 

« Quand j’étais à l’hôpital avec Sebastian, j’ai surpris la conversation de deux infirmières dans le hall.

 

L’infirmière des soins néonataux disait à l’autre infirmière de l’unité de soins intensifs : «  Eh bien, nous venons de vacciner tous les bébés, j’espère que nous aurons assez de lits libres », cela voulait dire que certains bébés prématurés qui se portaient bien et qui venaient d’être vaccinés auraient probablement besoin d’être placés sous respirateurs aux soins intensifs. Donc, parce que l’on avait administré le vaccin contre l’hépatite B à ces prématurés, ils n’étaient brusquement plus en bonne santé ! Les médecins et les infirmières sont beaucoup plus conscients des effets secondaires des vaccins qu’ils voudraient nous faire croire. [...]

 

Ce n’est que quatre ans après le décès de Sebastian que nous avons été mises au courant qu’il existait un programme d’indemnisation pour les victimes des vaccins. Comme le délai de deux ans pour introduire une plainte était dépassé, nous n’avons pas pu utiliser ce recours.

 

Ma fille s’est rendu compte qu’elle était enceinte le lendemain des funérailles de Sebastian. Cette petite fille aura bientôt 12 mois en septembre. La petite sœur de Sebastian n’a jamais été vaccinée et est en parfaite santé. La pédiatre qui avait vacciné Sebastian a reconnu ce qui s’était passé et a voulu respecter le choix de ma fille de ne plus vacciner.

 

Nous pensons que c’est le troisième vaccin contre l’hépatite B qui a provoqué le déclin de la santé de Sebastian. Après chaque vaccin contre l’hépatite B, Sebastian est devenu de plus en plus malade. Après son premier vaccin contre l’hépatite B qu’il a reçu deux jours après sa naissance, il a fait une diarrhée et a eu de la fièvre. Il ne prenait plus le sein et finit par être déshydraté. Alors que son bébé avait à peine trois, quatre jours, ma fille était déprimée parce que déjà dès la première semaine , elle se voyait obligée de lui donner le biberon.

 

Après avoir reçu son second vaccin contre l’hépatite B avec les autres vaccins de deux mois, le papa de Sebastian appela la mère du petit pour lui dire que le petit était léthargique et avait de la fièvre.

 

Ce fut ensuite le tour de son dernier vaccin contre l’hépatite B. C’est alors que son foie s’est arrêté de fonctionner.

 

La raison pour laquelle nous pensons aussi que le vaccin contre l’hépatite B a joué un grand rôle dans ce qui est arrivé est le fait que personnellement je ne peux pas être vaccinée parce que mon système immunitaire imite la maladie si on veut me vacciner pour l’empêcher. Je crois que c’est de moi que Sebastian a hérité de cette caractéristique. Son système immunitaire a reconnu l’hépatite et a tué son foie. [...]

 

L’histoire de Sebastian n’a jamais été rapportée dans les médias

 

« Ce n’est pas le type d’histoire qu’un journaliste qui est au services des grands médias va pouvoir publier. A mon point de vue, tant que vous ne connaissez pas une réaction dans votre entourage immédiat, tant que vous n’êtes pas vous-même la victime, vous souhaiterez continuer à croire que ceux qui sont au pouvoir ont vos meilleurs intérêts à cœur. [...]

 

Les vaccins pour les humains sont tout aussi nocifs que les vaccins pour les animaux

 

« J’ai travaillé en médecine vétérinaire pendant 26 ans. J’ai administré des milliers de vaccins à des animaux de compagnie. J’ai peu à peu appris que les vaccins provoquaient de nombreux problèmes. Les doutes que j’ai eus à propos des vaccins pendant des années m’ont amenée à quitter cette pratique vétérinaire pour aller travailler dans un domaine spécialisé où il n’était plus question de vacciner. […]

 

Quand je travaillais à la clinique vétérinaire, j’ai pu constater que 85 à 90% des plus petits chiens en dessous de 20 livres réagissaient au vaccin contre la leptospirose. Les réactions étaient très diverses, certaines meurtrières et durables. Quelques petits chiens mouraient dans les heures qui suivaient la vaccination. Il était bien connu que les Bichons Frisés, les petits chiens à poils blancs pouvaient mourir après la vaccination. De nombreux éleveurs ou propriétaires de Bichons Frisés ne veulent plus vacciner leurs chiens. […]

 

Le vaccin contre la rage est le pire. Il provoquait de nombreux problèmes de santé, y compris des problèmes du système immunitaire ainsi que des problèmes intestinaux. J’ai personnellement été témoin du fait que certains chiens tombaient morts sur la table juste après avoir été vaccinés contre la rage.

 

J’ai aussi, chez les chats, vu une énorme incidence de carcinomes au site d’injection. Derrière les épaules où les vaccins étaient injectés, on voyait apparaitre d’énormes tumeurs. Même quand on avait recours à la chirurgie, ces chats finissaient par mourir…J’ai soulevé cette question à la représentante de la firme qui produit ces vaccins parce que j’étais inquiète par ce que j’observais. Il me fut répondu que je devais vacciner le plus bas possible sur les pattes en notant quelle patte avait été vaccinée et avec quel vaccin. De cette manière, me disait-on, si une tumeur apparaissait, il suffisait d’amputer.

 

A une époque, le vaccin contre la leucémie féline semblait être le coupable. Je crois maintenant que les fabricants de vaccins sont au courant que tous les vaccins peuvent s’avérer problématiques. En général n’importe quel vaccin peut causer des problèmes étant donné qu’ils ne sont pas testés pour leurs potentiels cancérogènes. Maintenant,  je comprends pourquoi on ne peut accuser les vaccins quand un cancer est provoqué.

 

Dans notre famille, on ne vaccinera jamais plus

 

Je me suis toujours demandé si les choses n’auraient pas été différentes si j’avais dénoncé, en dénonçant suffisamment fort  les dangers de la vaccination. Ma fille m’a assuré qu’elle faisait confiance à sa pédiatre et  aurait de toute manière suivi ses recommandations. Maintenant plus personne ne sera jamais vacciné dans notre famille…

 

Aujourd’hui, mon job est de raconter et partager l’histoire de Sebastian tout en luttant contre les obligations que l’on veut nous imposer. Cela prend un temps énorme. Nous devons parler pour ceux qui ne peuvent plus s’exprimer …

 

Je vous en  prie, mes amis, faites vos propres recherches. Informez-vous des risques d’infection de telle ou telle maladie si vous voulez vraiment vacciner. C’est quand il n’est pas perturbé chimiquement que notre système immunitaire fonctionne le mieux. J’encourage tous ceux qui me liront à partager l’histoire de mon petit-fils, Sebastian. C’est là la seule chose qui peut nous aider à supporter sa mort.

 

C’est moi qui ai donné le premier bain à Sebastian dans l’évier de la cuisine. C’est la photo que je préfère. Oh, si je pouvais seulement lui donner un bisous. Il aurait 13 ans cette année.

 

En toute sincérité, il nous manque tellement. Aucun jour ne passe sans qu’il ne soit dans nos pensées. Tous les jours les larmes continuent de couler. Nous donnerions n’importe quoi pour le voir aujourd’hui à l’âge de 13 ans.

 

Ce fut, pour nous, une chose terrible de le perdre. Comme ma fille le dit c’est un peu comme un film pour lequel on voudrait pouvoir revenir en arrière et réécrire le script.

 

La suite de ce drame, je l’espère, jettera un peu de lumière sur la face cachée de cette réalité, et contribuera à mettre fin à l’Holocauste Vaccinal. Nous avons perdu à la loterie vaccinale. Nous espérons que quantités d’autres ne seront pas forcés de subir le même sort.

 

Si une seule personne choisit de se renseigner, si une personne de plus se réveille, si une famille peut échapper à ce drame, alors nous pourrons trouver des bribes de paix. Cela donnera enfin une voix à ce petit garçon qui s’est tu depuis si longtemps.»

 

Nous t’aimons Sebastian. Jamais nous ne t’oublierons

 

Love, Ta grand-maman,

Valérie Murfin

 

Tu seras toujours présent dans nos cœurs

 

Sa maman, Natasha, a écrit : 

 

« Tu me manques tous les jours, mon petit chou. Certains jours sont  plus faciles que d’autres, mais la situation est toujours bien difficile à gérer. La vie de mon petit garçon ressemble un peu à un petit film. Il s’est terminé de la manière la plus triste qui soit. Je ne veux pas que ce drame arrive à qui que ce soit d’autre.»

 

Source: Vactruth 

 

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15 août 2015 6 15 /08 /août /2015 21:29

Le propriétaire croit que son cheval est devenu malade suite à une réaction au vaccin Hendra

Encore un cheval gravement malade suite à un vaccin...

8 août 2015

 

Gemma Antrobus a passé la plus grande partie de la semaine dans un paddock avec son cheval « Mare Bella » gravement malade.

 

La dame de Tin Can Bay a déclaré qu’elle avait remarqué que Bella était devenue malade après sa première dose du vaccin contre le virus de Hendra.

 

Gemma pense que Bella a fait une mauvaise réaction à la vaccination.

 

Sa jument était à peine capable de marcher; elle passait de longues périodes couchée sur le sol incapable de bouger.

 

La communauté de Wide Bay a offert tout son soutien à Gemma et à sa famille qui se bat pour sauver la vie de Bella.

 

Les ennuis de Bella ont commencé samedi dernier quand on l’a retrouvée allongée sur le sol éprouvant d’énormes difficultés en essayant de se lever pour pouvoir marcher.

 

Gemma a décrit la situation comme « terrifiante » en précisant que quand Bella essayait de marcher, c’était un peu comme si elle allait se casser les pattes.

 

Gemma déclare que sa jument était en parfaite santé avant qu’elle ne reçoive le vaccin, tout en précisant que le vétérinaire qui avait traité Bella ne pensait pas qu’il s’agissait d’une réaction au vaccin.

 

L’histoire de Bella a été partagée des centaines de fois sur Facebook et a enflammé les médias sociaux, en particulier les groupes opposés à la vaccination Hendra controversée.

 

Avant que Bella ne puisse recevoir un traitement, elle a dû faire l’objet de tests pour Hendra car il pouvait y avoir un risque pour les humains, explique Gemma.

 

On croit que Bella a été débarrassée de la maladie après qu’un vétérinaire du groupe « Gympie » ait effectué un test sanguin sur le cheval malade.

 

La clinique vétérinaire « Gympie » a été contactée pour un commentaire, mais elle a refusé de faire une déclaration. La vaccination Hendra a reçu l’approbation après l’enregistrement à « l’Australian Pesticides and Veterinary Medicines Authority » en début de semaine.

 

Selon l’information de « L’Australian and Veterinary Medicines Authority », il y aurait eu 633 notifications d’effets secondaires probablement liées au vaccin, dont 125  parmi les 340.000 doses administrées dans toute l’Australie.

 

Moins de 0,8% des chevaux auraient souffert de possibles et probables réactions, selon les données de l’APVMA.

 

« Le vaccin est sûr »

 

L’APMVA a fourni des informations à « ABC Rural »  au début de cette année dans lesquelles il était précisé qu’il y avait eu 11 plaintes au sujet de vaccins qui auraient entraîné la mort.

 

Dans sept de ces cas, on a trouvé que c’était la vaccination qui aurait pu provoquer la mort du cheval, alors que pour les autres cas il a été précisé que c’était peu probable ou tout simplement que l’on ne savait pas.

 

On a enregistré 73 cas de décès dus au virus Hendra, tandis que quatre personnes seraient mortes du virus dans le Queensland.

 

Nathan Anthony, représentant de l’ « Equine Veterinarians Australia » a déclaré que les symptômes que Bella présentait étaient compatibles soit avec un traumatisme, soit avec une sorte de virus. Il a précisé que du sang avait été prélevé sur le cheval aux fins d’analyse pour pouvoir déterminer de quoi souffrait le cheval.

 

M. Anthony précise que Gemma avait dit à d’autres médias que Bella avait perdu du poids avant de recevoir la vaccination., chose qui pourrait faire penser à un virus.

 

Il précisa en outre que les gens devaient se méfier de lier une maladie récente à une vaccination, car il y avait toujours un risque que les deux ne soient pas liés.

 

« Il s’agit ici du moyen le plus efficace de réduire le risque de l’Hendra », a-t-il précisé. Il a conseillé aux propriétaires de chevaux de consulter leurs vétérinaires plutôt que de se baser sur l’information diffusée par les médias sociaux.

 

Iris Amann Maryborough de la Thérapie Equine de Wide Bay a offert ses services après avoir entendu parler de la maladie de Bella. Elle a traité l’animal avec acupuncture, massage et stimulation musculaire. Iris a précisé que malgré les difficultés éprouvées par l’animal pour se déplacer, elle pensait que Bella pourrait guérir en fonction de ce qu’elle avait déjà pu observer. Iris a aussi précisé que ses chevaux avaient reçu le vaccin Hendra et qu’aucun d’entre eux n’avait présenté d’effet secondaire. Elle dit aussi que Bella avait du mal à se tenir sur ses pattes arrière. Elle remarqua cependant que les yeux de Bella étaient clairs, qu’elle mangeait bien, et comme elle faisait des efforts pour se lever, elle gardait l’espoir que Bella puisse survivre à son épreuve.

 

Iris a aussi pu observer à quel point Gemma et son mari aimaient le cheval, précisant qu’il était spécialement agréable de voir tout le soutien dont la famille et le cheval bénéficiaient. Une page a même été créée sur Facebook pour le cheval malade intitulée « We support Bella. »

 

Hier, Facebook a rapporté des nouvelles encourageantes. Le cheval avait pu s’asseoir pour de brèves périodes et faisait des efforts pour se lever.

 

Une page de GoFundMe a également été créée par Simone Mc Ardle pour aider la famille à payer les factures des vétérinaires.

 

Une cible de 4.000$ a été fixée. A ce jour 560$ ont été récoltés.

 

Source: Frasercostchronicle

 

Voir aussi:

 

Des vaccins qui finissent mal et un cheval qui finit euthanasié!

 

Vaccination des chats et des chiens: 99% des effets secondaires ne sont pas rapportés

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13 août 2015 4 13 /08 /août /2015 20:59
Vaccins hexavalents & œdèmes cérébraux mortels du nourrisson

Le vaccin, un geste anodin?

(Extrait du documentaire de Valentin Thurn, sur Arte en 2007)

 

Presque chaque jour, des corps dont la cause du décès est inconnue sont transférés à l’Institut Médico-légal de Münich, et autopsiés sur demande du Ministère public. Au cours des dernières années, des découvertes inhabituelles ont été faites sur les corps de plusieurs nourrissons. En 25 ans de carrière, le professeur Randolph Penning a autopsié plus de 10.000 corps. Il a récemment constaté une multiplication des cas d’oedèmes cérébraux chez les nourrissons comme il n’en avait jamais vus depuis qu’il exerce. 

Certains médecins légistes SAVENT mais...ont-ils seulement le droit de parler? Seront-ils entendus ou bien les rapports d'autopsie resteront-ils volontairement évasifs et incomplets, induisant ainsi en erreur les familles éplorées ?

Certains médecins légistes SAVENT mais...ont-ils seulement le droit de parler? Seront-ils entendus ou bien les rapports d'autopsie resteront-ils volontairement évasifs et incomplets, induisant ainsi en erreur les familles éplorées ?

En 2002, nous avons été amenés, en l’espace d’un mois, à examiner plusieurs corps d’enfants qui avaient été vaccinés peu de temps auparavant. Nous avons remarqué que leur cerveau était très dur. Et lorsque le cerveau d’un nourrisson est dur, c’est pour nous un signe qu’il est peut-être mort par asphyxie. Ni notre Institut, ni la police criminelle ne pensions qu’il pouvait s’agir d’homicides, mais les résultats que nous obtenions étaient suspects.

 

Depuis l’introduction du vaccin hexavalent sur le marché, sur 120 enfants autopsiés, nous avons eu 6 cas de décès survenus le jour ou le lendemain de la vaccination. Cette multiplication des cas nous a alertés.

 

Il y a environ 300 médecins légistes en Allemagne. On se connaît entre nous. J’ai eu l’occasion de discuter avec des collègues qui ont autopsié des enfants dans ce cas, et d’après eux, tout semble indiquer qu’il y a un lien entre le vaccin hexavalent et ces décès qui sont survenus le jour-même ou dans les 48 heures qui ont suivi la vaccination.

 

Le vaccin hexavalent protège contre la poliomyélite, la diphtérie, le tétanos, l’haemophilus influenzae de type B, la coqueluche et l’hépatite B. Un cocktail un peu trop explosif ? Alertés par la multiplication des cas de morts subites inexpliquées l’EMEA, l’Agence Européenne pour l’Evaluation des Médicaments (EMEA) et l’Institut allemand de Recherches Paul Ehrlich décident de mener l’enquête.

 

Un ancien collaborateur de l’Institut raconte qu’un des deux vaccins hexavalents commercialisés avait retenu l’attention des chercheurs. Je travaillais encore à l’Institut à l’époque où le premier décès survenu suite à l’administration du vaccin hexavalent a été signalé. D’après moi, il n’y avait pas à tergiverser. Le vaccin aurait dû immédiatement être retiré du marché.

Le message de Klaus Hartmann est clair: on a menti au public sur les véritables raisons du retrait du marché du vaccin Hexavac préférant faire croire aux parents à une inefficacité plutôt qu'à une dangerosité du produit

Le message de Klaus Hartmann est clair: on a menti au public sur les véritables raisons du retrait du marché du vaccin Hexavac préférant faire croire aux parents à une inefficacité plutôt qu'à une dangerosité du produit

De son côté l’EMEA, a réuni un groupe d’experts qui a jugé qu’on ne disposait pas de données suffisantes pour pouvoir prendre une mesure aussi drastique. A la suite de quoi, l’Institut Paul Ehrlich a décidé de lancer une grande étude épidémiologique qui permettait de recenser tous les cas de mort subite du nourrisson. On a démarré l’étude en 2005, et, une semaine avant que l’on commence à recenser tous les cas de mort subite, l’EMEA a soudain publié un communiqué. 

 

Quand je l’ai lu, j’ai été très surpris. Le communiqué stipulait que la protection à long terme d’un des composants  du vaccin hexavac contre l’hépatite B était insuffisante. Sur les recommandations de l’EMEA, le fabricant a donc retiré le vaccin du marché, plus ou moins de sa propre initiative. En fait, la véritable raison pour laquelle ils ont retiré le vaccin, c’est qu’ils ne voulaient pas prendre le risque que d’autres décès surviennent et qu’ils apparaissent dans notre étude. Au final, ces cas de morts subites n’ont jamais été éclaircis. Mais de nombreux indices pouvaient laisser penser qu’ils étaient liés à un problème de vaccins. L’étude qui doit se terminer fin 2007 ne fournira donc aucune explication sur les cas de décès suspectés d’avoir un lien avec le vaccin Hexavac. Puisqu’il a été retiré de la vente. Un autre vaccin hexavalent est actuellement disponible sur le marché. Certains médecins légistes ont déjà signalé des cas de décès.

Très important: ce phénomène d'oedème cérébral post-vaccinal doit aussi être mis en lien avec la multiplication des cas de bébés prétendument secoués dont une majorité sont des victimes de vaccins et non de maltraitances mécaniques... devant la multiplication des cas de "bébés secoués" et la mise en cause de parents et de gardiennes et puéricultrices potentiellement innocents, il convient d'oser voir cette triste réalité dans l'intérêt de tous.

Voir aussi

 

Infanrix hexa: le document confidentiel accablant

 

GSK (productrice de l'Infanrix hexa) a-t-elle peur que ses stratégies soient dévoilées? Car la section "vaccins" de la firme a bâti sa prospérité financière sur la valence hépatite B (qui rend le vaccin Infanrix hexa lui aussi brevetable et prolonge les brevets...)

 

Composition comparative des notices des vaccins hexavalents

 

Dynamique des jours critiques & mort subite du nourrisson (Nexus janvier-février 2006)

 

Bébé secoué ou bébé vacciné? Article du Dr Viera Scheibner (Nexus janvier-février 2006), voir à partir de la page 5/9

 

NB: vous pouvez aussi taper pour + d'infos "bébé secoué vaccins initiative citoyenne" dans un moteur de recherche comme Google.be ou Google.fr pour accéder facilement aux autres articles que nous avons déjà publiés sur ce thème.

 

Et ci-dessous, en début et en fin de vidéo, les bobards irresponsables de l'ONE (Office belge de la Naissance & de l'Enfance) dans le style "pas vu, pas pris"... "Mais bien sûr que si des informations inquiétantes apparaissaient, on rééxaminerait la situation !" (Dr Marie-Christine Mauroy, 5 mai 2012, RTBF)... On vous "croit" Dr Mauroy!!

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5 août 2015 3 05 /08 /août /2015 22:15

Le vaccin ROR a fait de mon enfant un autiste

 

Après avoir emmené son petit garçon de 18 mois en parfaite santé chez le pédiatre pour qu’il reçoive son vaccin ROR, la maman Gladys est rentrée chez elle avec un enfant dont la santé venait d’être endommagée par la vaccination. Le médecin lui a dit que les symptômes des dommages étaient « normaux », bien que son enfant devait plus tard recevoir le diagnostic d’autisme. La maman a pu aider son enfant avec une alimentation sans gluten et sans caséine, ainsi qu’en ayant recours à l’homéopathie. Veuillez s’il vous plaît avertir les parents que vous connaissez des dangers de la vaccination et contribuer à mettre fin aux vaccinations rendues obligatoires par le gouvernement.

 

Larry Cook, 15 juillet 2015

 

Bonjour, je m’appelle Gladys. Je voudrais partager l’histoire de mon petit garçon dont la santé a été endommagée par un vaccin. Tout a commencé par le fait que j’ai pensé bien faire en suivant le programme vaccinal, ne me doutant pas de ce qui pouvait se produire dans la suite. Je me suis donc présentée chez le médecin pour les vaccins de 18 mois. Avant de recevoir son vaccin ROR, mon petit était tout à fait normal, en bonne santé, enjoué, espiègle. Quand quelqu’un l’appelait pas son non, il se retournait et prononçait lui-même son nom. Il savait l’âge qu’il avait. Il disait régulièrement « Maman, Papa ». Après qu’il eût reçu le vaccin, j’ai remarqué que tout cela avait disparu. Il s’est replié sur lui-même et a commencé à régresser. C’était un enfant complètement différent. Il n’était plus du tout l’heureux petit garçon que j’avais connu. Plusieurs semaines après son vaccin ROR, j’ai pu observer qu’il avait des comportements différents qu’il n’avait jamais eus. Il ne savait plus comment jouer avec ses jouets habituels. Il s’en détournait et se contentait de rester tout le temps assis. Il pouvait ainsi rester assis sur le tapis pendant des heures. Si des enfants s’approchaient de lui, il ne les remarquait même pas, alors qu’ils étaient assis à côté de lui. Il n’a depuis, plus jamais dit le moindre mot.

 

Il ne savait plus son nom. Quand je lui demandais quel âge il avait, il ne savait plus. Comme je suis fort occupée, je me suis, pendant un certain temps, dit que c’était peut-être normal. Je l’ai malgré tout emmené chez le médecin en lui expliquant qu’il ne disait plus les mots qu’il prononçait habituellement. Il m’a répondu que c’était normal. Je l’ai cru, pensant qu’il devrait évoluer un certain temps et qu’il parlerait plus tard. Le fait est que la chose ne s’est pas produite. Son état s’est empiré, il a commencé à régresser, jusqu’à ce que des autres parents racontent à ma sœur que leur fils présentait le même comportement. Ma sœur m’a suggéré de faire des recherches. C’est ce que je fis. J’ai commencé à me documenter sur l’autisme parce que je ne savais pas vraiment de quoi il s’agissait. En découvrant la définition de l’autisme, je savais qu’il s’agissait bel et bien de ce dont mon fils souffrait, tout ce que faisait mon petit était décrit avec précision. Dans la suite je l’ai fait examiner et le diagnostic d’autisme est tombé quand il a eu 2 ans ½.

 

Larry : Parlez-nous un peu de votre ressenti face à tout cela.

 

Après que le diagnostic fut posé, j’ai commencé à chercher ce que nous pouvions faire en plus de ce qui nous avait été proposé. En fait, nous n’avons pas vraiment été aidés. Après nous avoir donné le diagnostic, nous avons été livrés à nous-mêmes. J’ai donc poursuivi les recherches. Malheureusement ce qui était proposé était au-dessus de nos moyens. Au début, la seule chose que nous avons pu faire, ce fut d’adopter une alimentation sans gluten et sans caséine. A peine avions-nous supprimé tout produit laitier que des changements apparaissaient déjà. Chaque fois qu’il reprenait du lait, il régressait à nouveau, il arrêtait de se déplacer. Nous nous sommes ensuite intéressés au gluten. Avec le gluten, il se réveillait à 2 heures du matin en grognant, se retournant et se retournant dans son lit. La suppression du gluten a mis fin à ce comportement. Après avoir commencé à détoxifier son corps, nous en sommes arrivés à un point où plus aucun progrès ne se produisit. Il était enfin OK.

 

C’est alors que j’ai commencé à m’intéresser aux médecines naturelles, ainsi qu’à l’homéopathie.. J’ai lu le livre « Autism Beyond Despair » (Autisme, au-delà du désespoir) dans lequel on parlait d’homéopathie. J’ai lu le livre, puis l’ai mis de côté, car il y avait toujours des questions d’argent en jeu. Nous ne pouvions pas nous permettre ces traitements. Mais quand je me suis rendue compte que mon petit ne progressait plus, nous avons changé notre fusil d’épaule. Nous avons commencé l’homéopathie. Après la première dose de son premier remède qui avait rapport avec la détoxification du ROR, nous avons entendu son premier mot ! Le second jour du traitement, il recommençait à être propre. Il reconnaissait de nouveau tous les mots. On aurait dit qu’il se les rappelait. C’était un peu comme si un épais brouillard avait jusqu’alors recouvert son esprit. Au fond, il n’avait rien oublié, il n’était tout simplement pas présent. Depuis lors, nous n’avons cessé de voir des améliorations. Il a été en traitement pendant environ 3 ans et il est tout à fait propre. Il parle à nouveau. Il est le petit garçon heureux que nous avions connu.

 

Je m’oppose fermement à la vaccination obligatoire, en tout premier lieu parce que ces lois vont à l’encontre de nos droits parentaux. En tant que parents, c’est à nous à décider de ce qui rentre dans le corps de nos enfants, quel traitement nous leur donnons. Ce n’est pas à l’état à prendre notre place. Je m’oppose à 100% à ces lois. Pourquoi ? Parce que j’ai vu mon petit régresser après un vaccin. Je n’ai même pas d’autre option possible. Il n’existe aucune chance que je le fasse encore jamais vacciner, non plus jamais. Si j’ai encore des enfants, plus jamais ils ne seront vaccinés, plus jamais

 

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30 juillet 2015 4 30 /07 /juillet /2015 16:45

La presse vient de relayer l'info: 40 plaintes ont été déposées en France, suite aux effets graves que des "vaccins défectueux" contre la méningite ont entraîné chez des enfants... l'heure est pourtant venue de faire tomber le rideau et de voir que derrière cet "arbre qui cache la forêt", tous les vaccins sont défectueux car tous sont expérimentaux... Aussi, derrière ces 40 plaintes, il y a des milliers d'autres cas jamais médiatisés causés par des vaccins non déclarés "défectueux"...

La défectuosité (au sens médiatique et journalistique du terme) des vaccins peut certes encore rajouter des risques supplémentaires mais ces risques ne sont qu'une triste "cerise sur le gâteau" déjà bien cramoisi de l'insécurité vaccinale -totalement inacceptable-, celle-ci s'expliquant parfaitement par la façon non scientifique et tout à fait biaisée selon laquelle les vaccins sont évalués avant leur mise sur le marché et que seuls les sots ou les gens de mauvaise foi peuvent encore oser défendre.

 

Même sans être déclarés "défectueux", vous devez savoir de toute urgence que les vaccins contre la méningite C (comme le Meningitec) sont statistiquement largement plus risqués que la maladie naturelle, selon les chiffres officiels eux-mêmes. En France, et si on tient compte que seuls 1 à 10% des effets secondaires graves de vaccins sont rapportés et comptabilisés (cf.p 2 de l'article), ces vaccins sont de 80 à 800 fois plus risqués pour les enfants que les risques de la maladie naturelle et cela même si ces vaccins ne sont pas déclarés "défectueux"!

 

Les officiels n'en savent pas assez sur le système immunitaire sur lequel les vaccins interagissent au long cours et donc bien entendu que les vaccins font peser sur TOUS les enfants des risques de maladies sérieuses à long terme et cela, même quand ils ne sont pas déclarés "défectueux"!

 

Lire aussi ici:

 

Méningite C: le vaccin plus risqué que la maladie (les chiffres sont là!)

 

Dr Classen: "Le public devrait être averti que les vaccins peuvent avoir des effets secondaires à long terme"

 

Signes neurologiques précoces des atteintes post-vaccinales (Dr Buchwald)

 

Rapport confidentiel accablant sur l'Infanrix hexa

 

Documents confidentiels accablants sur le vaccin Prevenar

 

Témoignages sur les effets dramatiques du Prevenar

 

Fiasco du Prevenar en termes d'efficacité aussi (donc non seulement les enfants encourent des risques mais en plus, ils les encourent en pure perte!)

 

Le vaccin Hib (= aussi inclus dans l'Infanrix hexa) provoque le diabète de type 1: l'étude du British Medical Journal

 

Mortalité infantile plus élevée dans les pays qui vaccinent le plus

 

Etude du British Medical Journal: le vaccin diphtérie-tétanos-coqueluche tue des enfants (aussi en Afrique)

 

Tous les vaccins sont expérimentaux: voici pourquoi

 

Vaccins: le vrai scandale des faux placebo

 

Dr Saluzzo: "On ne sait pas comment marchent les vaccins"

Meningitec: les vaccins trop dangereux même non défectueux!

A noter/ Concernant la Belgique: Un retrait de vaccins Meningitec a été effectué en octobre 2014. Cf ce document de l'Association Pharmaceutique belge. Si votre enfant ou vous même avez souffert d'effets secondaires graves en lien avec ce retrait de vaccins, n'hésitez pas à témoigner ci-dessous dans la rubrique des commentaires ou à nous contacter directement par mail. Vous trouverez normalement plus d'information sur votre carte de vaccination (date du vaccin, numéro de lot etc.)

Meningitec: les vaccins trop dangereux même non défectueux!
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