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10 décembre 2014 3 10 /12 /décembre /2014 11:00

Un nourrisson de deux mois décède six jours après avoir reçu le vaccin contre le rotavirus.

 

Kritika Sharma, The Hindu, 6 décembre 2014.

Maman-bebe-2-mois-vaccin-rotavirus.jpgLa maman Afsana pleure son bébé Iqra âgée de 2 mois. Photo Meeta Ahlawat

 

« Sa santé a commencé à se détériorer très tôt après la vaccination ».

 

Un bébé de deux mois est mort six jours après avoir reçu le vaccin rotavirus au Centre de soins de santé subventionné par l’état au sud de Delhi. La famille du bébé a affirmé que la petite fille était morte à cause du vaccin.

 

Le bébé a été vacciné le 28 novembre au Centre de recherches en santé et développement dans le village de Khanpur, dans le cadre de la phase III de l’essai des programmes de vaccination contre le rotavirus.

 

Pour les parents, la santé d’Iqra à commencé à se détériorer rapidement après la vaccination.

 

« Le bébé est devenu très calme après le retour du Centre de vaccination. Elle avait de la fièvre et bougeait à peine, tout en continuant à pleurer sans arrêt. Nous avons essayé de contacter les médecins qui s’occupaient des vaccinations, mais n’avons pu en contacter aucun. Vendredi matin, une espèce de mousse sortait du nez et de la bouche de ma petite fille. Elle est morte avant que nous n’ayons pu atteindre l’hôpital », explique la maman Afsana.

 

Le père d’Iqra a immédiatement appelé la police. Le bébé fut ensuite transféré à l’hôpital où les médecins n’ont pu que constater son décès à son arrivée. Une autopsie a été programmée pour vérifier la cause exacte du décès.

 

« Jusqu’à présent, nous n’avons pas enregistré pareil cas. Nous attendons le rapport de l’autopsie pour confirmer la cause exacte du décès. Dans la suite, nous prendrons les mesures nécessaires » a déclaré l’officier de police.

 

Le vaccin protège les enfants du rotavirus qui est la première cause de diarrhée chez les nourrissons et les enfants. Un responsable a ajouté que l’on donnait un téléphone mobile, une couverture et un Rs.500 aux parents dont l’enfant avait été vacciné.

 

Un représentant du Centre a déclaré à The Indu : «  La petite fille a été vaccinée le 28 novembre avec plusieurs autres enfants. Nous avions averti les parents qu’il pouvait y avoir des effets secondaires et nous leur avons donné quelques médicaments au cas où les enfants tomberaient malades. Nous avons également donné un téléphone mobile à tous les parents pour qu’ils puissent nous contacter en cas d’urgence. ».

 

La famille vit à Jaitpur au sud-est de Delhi. Ce sont des membres du personnel du Centre de santé qui leur ont conseillé de faire vacciner leur enfant.

 

« Je n’ai pas fait d’études, et je n’ai aucune idée de ce que représente la vaccination. Des personnes appartenant à une organisation sont venues chez moi et m’ont dit que quand ma petite fille aurait atteint l’âge de deux mois, je devais la conduire à la clinique  pour la faire vacciner. Ils nous ont donné un téléphone mobile, une couverture et un Rs.500 après la vaccination. »  a précisé Afsana.

 

T.S. Rao, conseiller principal du Département de biotechnologie, a déclaré : « Notre équipe d’enquête dans la région se penche sur la question. Nous n’essayerons pas de dissimuler quoi que ce soit. Si quelque chose s’est mal passé au cours de la vaccination, les mesures nécessaires seront prises. »

 

Source : The Hindu.com


Offrir un téléphone portable est bien une preuve que les officiels et les firmes SAVENT que la vaccination est dangereuse. Sans doute espèrent-ils ainsi éviter des décès, moins en pensant aux enfants eux-mêmes qu’au risque de devoir inclure ces décès post-vaccinaux dans leurs statistiques d’effets secondaires au terme des essais cliniques…Les familles de ces enfants ont bien davantage besoin que leurs enfants ne soient pas empoisonnés que de recevoir un gsm !

 

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8 décembre 2014 1 08 /12 /décembre /2014 20:00

Des vaccins faits à partir de tumeurs cancéreuses humaines?

Aucun problème...

 

Sandy Lunoe, Pharmacienne, 30 novembre 2014

 

FOTOLIA--cancer.jpg

  

Incroyable ! Le procédé de production de vaccins qui utilise des cellules qui proviennent directement de tumeurs cancéreuses humaines a maintenant été officiellement approuvé malgré le fait que ces vaccins puissent provoquer des cancers chez ceux qui les reçoivent. Cette méthode est moins chère et plus rapide que le fait d’utiliser des animaux pour les milieux de culture – en outre, les cellules cancéreuses humaines sont facilement disponibles.

 

Lors d’une réunion de la Food and Drug Administration (FDA) en septembre 2012, la discussion qui a abouti à cette approbation (officielle donc) qui n’est rien d’autre qu’un scandale. [1]

 

Les autorités sanitaires et les fabricants de vaccins ont ouvertement manifesté leur incertitude quant à l’innocuité des vaccins fabriqués à partir de tumeurs cancéreuses. Certaines des déclarations incroyables qui ont été faites au cours de la réunion sont reprises ci-après en caractères italiques. [2]

 

Les vaccins peuvent provoquer des tumeurs chez les receveurs

 

« Nous avons vraiment identifié trois facteurs principaux qui pourraient présenter un risque à partir de cellules tumorales. Cela comprend les cellules elles-mêmes… S’il s’agit de cellules provenant de tumeurs, il se pourrait  qu’elles-mêmes puissent former des tumeurs chez une personne qui recevrait un vaccin. » (Dr K).

 

C’est un fait : des lignées de cellules tumorales peuvent provoquer des tumeurs

 

« Ce que je pense qui est qualitativement différent au sujet des lignées de cellules tumorales est le fait qu’elles peuvent causer des tumeurs. » (Dr.L)

 

Les tumeurs peuvent apparaître des décennies après la vaccination

 

«  Mais certainement, si vous voulez répondre à la question du risque de tumeur à propos des vaccins fabriqués à partir de lignées cellulaires tumorales, vous devrez attendre des décennies pour en juger. » (Dr. C.)

 

La FDAest là pour aider les fabricants de vaccins

 

« …Mais nous sommes ici pour examiner les questions que nous aimerions que l’Agence puisse prendre en considération pour aider l’entreprise à continuer le processus de fabrication, leur préciser de quoi ils doivent s’inquiéter, et ce qu’ils devraient surveiller.(Dr D, chef de file de la réunion)

 

Doutes au sujet des animaux de laboratoire pour évaluer la cancérogénicité

 

«  Je ne suis pas optimiste par rapport au fait que nous allons trouver des modèles animaux pour évaluer le pouvoir oncogène de l’ADN. C’est pourquoi j’ai l’impression que c’est peut-être l’aspect sécurité par rapport à l’ADN auquel nous devons nous atteler. » (Dr.P.)

 

Incertitude quant à la durée des tests de sécurité

 

« Ces animaux sont-ils étudiés suffisamment longtemps ? Le temps d’étude devrait-il être plus long ? » (Dr.D.) Est-il pertinent pour la sécurité qu’une cellule puisse former une tumeur après un an ou un an et demi ? (Dr.P.)

 

Qualité médiocre des essais pour les prions, y compris la maladie de la vache folle

 

«  Il y a beaucoup de choses à faire après que le permis ait été accordé. Le domaine de l’ESB (encéphalopathie spongiforme bovine, la maladie de la vache folle) est vraiment, en termes de sensibilité, de détection, assez pauvre. » (Dr.C.)

 

Les médecins et le public pourraient s’exclamer et dire : « Oh mon Dieu » !

 

«  Comment ce groupe (qui traite des vaccins) va-t-il pouvoir être accepté par les consommateurs ?....Dès que l’on entend « lignée de cellules dérivées de tumeurs », comment sera-t-il possible d’expliquer la chose pour mettre le public à l’aise ? » (Dr.B.)

 

… La communauté médicale qui pratique et aussi le grand public. Ils vont entendre que nous recommandons ou que les fabricants fabriquent des vaccins avec des lignées cellulaires tumorigènes et risquent de dire : « Oh mon Dieu », même s’il n’existe aucune base scientifique pour dire : « Oh mon Dieu ». Dr.D.

 

Cadrer l’information pour convaincre les médecins et le public

 

« …Parce qu’il s’agit d’une discussion sur la façon dont on communique ces questions et la manière dont le public va les percevoir. Mais je ne suis pas complètement sûr que nous ayons une réponse complète à la question scientifique fondamentale. Alors, comment pouvez-vous faire une communication sur un consensus scientifique qui précise que le produit est sûr, sauf si nous sommes certains que vous les experts auxquels nous demandons conseil, sont eux-mêmes convaincus que c’est bien sûr ? » (Dr.K.)

 

Planifier pour cacher l’information et la retirer des notices

 

« A partir du moment où, dans la notice, vous décrivez quelque chose en termes de préoccupations cliniques potentielles de sécurité, je pense que cela contredit(empêche)vraiment l’utilisation de ces substrats cellulaires. »  (Dr.G.)

 

SOURIS NUDE« Quand on évoquera ce qui se trouve en fait dans le flacon et que le patient me demandera si la chose est sans danger, je ne vais pas dire, eh bien vous savez, les cellules HeLa tuent des souris « nudes » (Dr. C.) (NB: Une souris "nude" est un type particulier de souris de laboratoire issue d'une souche affectée par une mutation génétique qui est à l'origine d'une absence de thymus et d'un système immunitaire déficient avec une réduction marquée des lymphocytes T. cf. photo ci-jointe.) 

 

« Je ne pense pas qu’il nous appartient de microgérer la notice aujourd’hui. Je pense qu’il s’agit d’une autre discussion qui comporte beaucoup de questions que nous n’avons pas vraiment abordées complètement. » (Dr.D.)

 

Incertitudes des autorités quant à la sécurité

 

«  Donc, je ne suis pas sûr que nous puissions donner une certitude – il n’y a aucun risque, ne vous inquiétez pas à ce sujet. – C’est une sorte de « Brave New World ». Nous travaillons tous ensemble. Mais je pense que vous faites un travail magnifique. » (Dr.D.)

 

Avec le temps, nous en apprendrons davantage sur les risques

 

« … Même s’il y a des difficultés (défis) à utiliser de nouvelles technologies, il nous faut les accueillir et nous devons continuer à essayer d’apprendre (à partir d’elles) et de continuer de lutter au travers de ces difficultés d’apprentissage. » (Dr.M.)

 

Le chef du Comité déclare : « je suis un défenseur des vaccins », et il suggère l’approbation.

 

« Je suis un défenseur des vaccins. Les vaccins sont merveilleux pour prévenir les maladies infectieuses… J’espère parler au nom de tout le monde quand je dis que c’est là la réponse à votre question. Sinon mettez-y maintenant votre propre grain de sel. » (Dr.D.)

 

Le Comité approuve formellement le procédé de fabrication des vaccins à partir de tumeurs cancéreuses humaines

 

«  Pour en revenir à la question de l’Agence  de savoir si le Comité estime qu’il est scientifiquement correct de poursuivre le développement de ces vaccins, notre réponse est oui. » (Dr.D.)

 

Conclusion

 

* Fabriquer des vaccins au moyen de cellules directement dérivées de tumeurs  cancéreuses humaines est plus rapide et moins coûteux que d’avoir recours à des animaux pour les milieux de culture.

* Des millions de vaccins potentiellement cancérigènes vont être produits.

* Ces vaccins pourraient éventuellement provoquer des mutations génétiques

* Des millions de dollars vont être affectés à la promotion de ces vaccins

* La santé de millions de consommateurs risque d’être compromise

* L’information sur la façon dont ces vaccins sont fabriqués sera cachée aux  médecins et aux consommateurs.

 

Parfois, la réalité est encore plus effrayante que les horreurs de science-fiction.

 

Des millions de personnes vont se voir injecter des vaccins qui peuvent provoquer des tumeurs cancéreuses. Ensuite ces tumeurs cancéreuses seront utilisées pour faire d’autres millions de vaccins. Cela donne à réfléchir !

 

Sandy-LUNOE.JPGSandy Lunoe est une pharmacienne d'origine norvégienne qui écrit régulièrement des analyses sur des sujets santé et plus particulièrement sur les vaccins, pour des sites comme Vactruth et autres. 

 

 

Références :

 

https://www.scribd.com/doc/246682536/FDA-Meeting-Human-Tumors-for-Vaccine-Manufacture

 

http://sanevax.org/making-vaccines-cancer-cells-safe/

 

Source : Vactruth

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5 décembre 2014 5 05 /12 /décembre /2014 22:57

Une augmentation de 65 % des scléroses en plaques (SEP) après le pic de vaccination contre l’hépatite B en 1994

 01/12/2014

fotolia IRMÀ partir de deux sources de données, celles du système national d’Assurance-maladie (CNAM) et du système de pharmacovigilance de l’ANSM (Agence nationale de sécurité des médicaments et des produits de santé), le Dr Dominique Le Houézec, conseiller médical du réseau REVAHB*, identifie une augmentation de 65 % des cas de scléroses en plaques (SEP) dans les années 1995-1996, soit deux ans après la campagne de vaccination de masse contre l’hépatite B qui a eu lieu en 1994. « Les données chiffrées disponibles en France montrent donc un signal statistique certain en faveur d’un lien de causalité entre l’événement vaccination-HB et l’apparition de SEP, avec une corrélation maximale dans les deux années suivant la vaccination », explique le Dr Le Houézec.

ANSM et CNAM

1994, c’est en effet la date à laquelle les autorités françaises ont débuté une campagne de vaccination de tous les élèves de classes de 6e, puis des nourrissons et adolescents. Une campagne qui est allée au-delà des objectifs attendus encourageant petit à petit la population adulte à se faire vacciner : au total, environ 20 millions de personnes ont été vaccinées (sur la base des 23 millions de boîtes de vaccins vendues). Pour cette analyse rétrospective publiée dans « Frontiers in Autoimmunity » le Dr le Houézec a comparé les chiffres officiels issus de deux bases de données nationales indépendantes.

Selon les données de la Cnam, le nombre de SEP était très stable d’environ 2 500 nouveaux cas chaque année jusqu’en 1993. À compter de 1996, il est apparu une augmentation progressive du nombre de nouvelles SEP enregistrées, jusqu’à 4 500 cas en 2003, un chiffre qui est resté stable depuis. L’incidence annuelle qui était de 5,3/105 assurés sociaux jusqu’en 1993 passe ainsi à 8,7/105 dix années plus tard.

De son côté, l’ANSM a enregistré 1650 affections démyélinisantes centrales dont 1 418 SEP. « Lorsque l’on trace une courbe de distribution du nombre de SEP signalées chaque année à l’ANSM dans les suites d’une injection vaccinale on voit que cette distribution n’est ni linéaire ni régulière, loin de là », explique le Dr Le Houézec. Il existe un énorme pic de SEP déclarées culminant dans les années 1995.

Dans sa discussion scientifique, le Dr Dominique Le Houézec montre que 7 des 9 critères de Hill qui permettent de relier une cause à un effet (puissance de l’association, lien temporel de l’association, spécificité de l’association…), en l’occurrence le déclenchement d’une SEP dans les suites d’une vaccination hépatite B, sont présents.

Causalité ?

Y a-t-il un lien causal ? « À partir des modèles mathématiques, explique le Dr Le Houézec, on peut dire que les vaccins vendus à une certaine date ont eu un impact sur la survenue des affections démyélinisantes; c’est un signal statistique fort. » Le lien causal, toujours difficile à démontrer, embarrasse. Il n’est pas apparu clairement dans les dizaines d’études épidémiologiques qui ont précédé mais qui elles-mêmes comportaient des biais.

Concernant l’argument de temporalité, certains opposent le fait que bon nombre de diagnostics de SEP ont été faits ces années-là vers 1996 par un recours plus grand à l’IRM apparue dans les années quatre-vingt-dix, ou que l’interféron étant devenu disponible, beaucoup de patients se sont déclarés pour en bénéficier. Est-ce que cela suffirait à expliquer une augmentation de 65 % des SEP dans les années 1995 ? « Ce n’est pas suffisant », assure le Dr Le Houézec.

Dr Anne Teyssédou, Quotidien du Médecin

Evolution of multiple sclerosis in France since the beginning of hepatitis B vaccination. Dominique Le Houézec. Immunol. Res DOI 10.1007/s12026-014-8574-4 (version française)

* (Réseau vaccin Hépatite B)

Voir aussi sur les risques établis de scléroses en plaques chez les enfants :

 

* Cachez ce risque que je ne saurais voir (Libération 14 octobre 2008)

* Sclérose en plaques chez les enfants après vaccination hépatite B : un signal statistique très fort !

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2 décembre 2014 2 02 /12 /décembre /2014 10:20

VERDICT d’un tribunal italien : l’autisme du petit garçon a été causé par le vaccin

 

La Repubblica.it, 25 novembre 2014

 

Une indemnité à vie a été accordée à un enfant autiste qui avait précédemment reçu le vaccin hexavalent.

 

Infanrix hexa (2)

 

Par Alessandra Corica et Franco Vanni

 

Milan - Le Ministère Italien de la Santé devra verser une somme de dédommagement bimensuelle à un petit garçon atteint d’autisme, et ce, pour le restant de sa vie.

 

C’est en 2006 que le petit garçon a été vacciné avec le vaccin hexavalent de routine fabriqué par la multinationale GlaxoSmithKline. Il s’agit du verdict émis par le Tribunal industriel de Milan présidé par le juge Nicola Di Leo. Selon ce juge,  l’existence d’un lien causal entre la vaccination et la maladie a été établi. Qui plus est, en se référant au rapport de l’expert judiciaire et médical Alberto Tornatore désigné par le tribunal : «  Le petit garçon a probablement été sensible à la toxicité d’un ou de plusieurs ingrédients du vaccin. Il est donc probable que son autisme ait été provoqué par le vaccin Infanrix Hexa. »

 

INTERVIEW  « décision incroyable » affirme l’expert

 

Infanrix.pngLe vaccin hexavalent est administré en trois injections au cours de la première année de vie. Il protège contre la polio, la diphtérie, le tétanos, l’hépatite B, la coqueluche et les infections du type haemophilus influenza type b.

 

En 2011, avant d’aller au tribunal,  la famille du petit garçon de neuf ans qui avait été diagnostiqué autiste en 2010 avait introduit une requête auprès du Ministère, mais leur requête fut rejetée. Dans la suite, les parents ont porté plainte. « Le Ministère avait 60 jours pour faire appel après le prononcé du 23 septembre. Mais aucun appel n’a été déposé » affirme Alessandra Genovési, l’avocate du petit garçon. Le jugement a donc été considéré comme res judicata (= ayant force de la chose jugée). La famille a émis le souhait que dans le futur, on se soucie de prendre plus de précautions avec ces vaccins. L’enfant va recevoir un dédommagement bimestriel (= tous les deux mois) de 1.683 euros plus un payement ponctuel.

 

BLOG  - Les vaccins et la logique inversée par Michele Bocci

 

Le rapport de 18 pages de l’expert médical désigné par la Cour se réfère à « un document confidentiel de poids de GlaxoSmithKline » traitant des «  soi-disant effets secondaires de l’Infanrix Hexa, signalés pendant les essais cliniques et après la pré-autorisation, entre octobre 2009 et octobre 2011. Selon le témoignage de l’expert, il y a apparemment eu « cinq cas d’autisme rapportés au cours des essais, mais ces cas sont restés non cotés ou ont été omis de la liste des effets indésirables remise aux autorités avant l’autorisation de mise sur le marché. »

 

Le verdict a aussi précisé – en conformité avec les conclusions de l’expert médical – que le vaccin avait « une propension spécifique à provoquer l’autisme, quoique théoriquement faible si elle est calculée sur la base des essais cliniques pré-autorisation, mais qui en réalité était sous-estimé, en raison de l’existence récemment confirmée par les autorités sanitaires australiennes, de lots de vaccins contenant un désinfectant à base de mercure, désormais interdit en raison de sa neurotoxicité démontrée. »

 

Rien n’indique que l’Agence italienne du médicament ait dans la suite lancé des contrôles sur le vaccin hexavalent de GlaxoSmithKline. « Aucune enquête particulière n’est en cours sur ce médicament qui, comme tous les vaccins, doit subir une surveillance post-marketing », explique l’Agence, ajoutant : « Il n’existe aucune preuve à l’heure actuelle qu’un changement soit intervenu dans la situation : les avantages de ce produit  l’emportent encore sur les risques. »

 

Les liens présumés entre la vaccination et l’autisme ont fait l’objet d’un débat international considérable pendant un certain nombre d’années. En 2012, une peine prononcée par la Cour de Rimini a établi un lien entre le vaccin trivalent ROR (Rougeole-Oreillons-Rubéole) et le syndrome de Kenner (Autisme).

 

A l’époque, le Conseil scientifique du Calendario Vaccinale de la Vita – un groupe rassemblant médecins de famille, pédiatres et associations spécialisées de santé publique a publié cette déclaration : «  Ce verdict pourrait déclencher une perte de confiance en un outil de prévention qui protège la santé de nos enfants et l’ensemble de la population italienne ! », encourageant le Ministère de la santé à faire appel. Le verdict de la cour de Rimini se référait à une étude publiée dans le Lancet en 1998, et établissant un lien entre le vaccin contre la rougeole et l’autisme. Quelques années plus tard, cette recherche a été retirée du journal, car elle était considérée comme peu fiable. Une enquête similaire à celle de Rimini à nouveau sur le lien présumé entre le vaccin ROR et l’autisme a été lancée par le bureau du procureur de Trani.

 

Au cours des trois dernières années, l’alarmisme ambiant – que les autorités de la santé estiment injustifié – a provoqué une diminution du nombre d’enfants vaccinés. En mars dernier, Movimento 5 Stelle (le Mouvement des cinq étoiles) de Lombardie a déposé un projet de loi en vue de suspendre la vaccination obligatoire, «  compte tenu des niveaux de vaccination déjà élevés en Lombardie. Ce mouvement précise qu’il est temps de permettre le consentement libre et éclairé à propos de la vaccination. » La réponse de la Société de Santé publique a été assez sèche : « Il s’agit d’une perspective dangereuse pour la santé publique. » 

 

Source : La Repubblica.it

 

Initiative Citoyenne se réjouit que justice puisse se faire (même si cela ne rendra pas en soi la santé à cette jeune victime) sur base de FAITS incontestables et notamment sur base du contenu fondamental de ces documents confidentiels du fabricant lui-même, que notre collectif a notamment révélés –et qu’une Ministre comme Laurette Onkelinx tentait fort maladroitement de banaliser en prétextant qu’il n’y avait rien à cacher, rien de confidentiel là-dedans ! L'information se répand dans tous les pays auprès des avocats et des journalistes, au Royaume-Uni, ici en Pologne où malgré la difficulté de la langue on peut voir qu'ils citent Initiative Citoyenne et les risques accrus de la double vaccination par Prevenar et Infanrix hexa,...


Toutes les victimes de tous les pays devraient à chaque fois exiger l’exhumation de ces documents existants mais ô combien gênants et accablants qui sont pour cette raison enfouis sous le sceau de la confidentialité.


Il est urgent en outre de lever toutes les obligations vaccinales dès lors qu’il n’est écrit dans aucune loi que les personnes sont obligées de risquer à chaque fois un spectre de plus de 800 effets secondaires différents à chaque vaccination contre une ou seulement quelques maladies ciblées !!!!!!!!!!!!

 

Voir aussiInfanrix hexa: le document confidentiel accablant

 

Prevenar: documents confidentiels accablants

 

Cas d'autisme: pour le tribunal de Rimini, "c'est la faute du vaccin"

 

Une Cour fédérale américaine reconnaît le lien entre autisme et vaccination chez deux enfants

 

La vaccination provoque l'autisme: voici ce qu'ils savent

 

La vérité sur l'autisme post-vaccinal: un nouveau livre sur un immense scandale

 

La fraude des officiels américains révélée: 340% de risque d'autisme lié au vaccin ont été cachés au public

 

La sécurité des vaccins pose vraiment problème: les officiels le savent

 

Ethique vaccinale & prostitution de la Science

 

Tous les vaccins sont expérimentaux: voici pourquoi

 

Vaccins: le vrai scandale des faux placebos

 

Dr Saluzzo de Sanofi Pasteur: "On ne comprend pas comment marchent les vaccins"!

 

La vaccination, un juteux business, aussi pour les médecins

 

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1 décembre 2014 1 01 /12 /décembre /2014 10:35

Les vaccins ont-ils endommagé votre santé et celle de vos enfants ?

 

John Thomas, 28 novembre 2014 (Extraits)


Bébé qui pleure et seringue

 

Je suppose que tout le monde a déjà entendu les pleurs d’un bébé. Ces pleurs manifestent généralement un simple malaise de la part de l’enfant… « J’ai faim… Je voudrais que l’on remplace mes couches… Je veux qu’on me câline ou qu’on me berce un peu. »

 

Chez les bébés, Il existe d’autres espèces de pleurs complètement différents. Vous n’avez peut-être jamais entendu ce type de pleurs, ou alors vous ne les avez pas reconnus pour ce qu’ils signifiaient  vraiment. Ce sont des pleurs accompagnés de cris super aigus inapaisables. Des cris stridents qui percent les oreilles et qui donnent l’impression que des couteaux déchirent la peau et les entrailles (cris encéphalitiques).

 

Ce ne sont pas des pleurs et des cris habituels pour attirer l’attention parentale – il s’agit d’une sorte de supplique de protection et de délivrance par rapport à une horrible menace. Ce sont les cris qui manifestent une douleur et une terreur qu’il est impossible de contrôler. (« high pitched screaming »)

 

La cause la plus habituelle est une réaction indésirable à un vaccin. Quand vous aurez entendu ce cri, votre cœur sera bouleversé à jamais, parce que vous aurez compris la gravité de ce qui se passe et réalisé votre impuissance à y apporter soulagement.

 

Il est important de se rappeler que ce sont les enfants qui sont le plus à risque vu qu’ils devront généralement recevoir 69 doses de vaccins avant d’avoir atteint l’âge de 18 ans.

 

Les réactions aux vaccins ne font pas partie d’une vie normale

 

Il existe beaucoup de signes de réactions indésirables aux vaccins. A moins d’avoir appris à les reconnaître, il est facile de les négliger et de supposer qu’il est normal que les enfants se comportent de telle ou telle manière, et que c’est pour tous les enfants la même chose.

 

En fait, il s’agit d’un fameux mythe répandu parmi les jeunes parents. Les médecins qualifient aujourd’hui de « normales » des situations qui autrefois étaient considérées comme tout à fait inhabituelles.

 

Jadis, les bébés ne posaient pratiquement aucun problème, sauf quand ils étaient malades. Ces cris à vous glacer le sang étaient très rares, voire pratiquement inexistants. Pleurer et hurler pendant des heures sans cause apparente, être sans réactions, arrêter de grandir et de faire des progrès était tout à fait inhabituel. Aujourd’hui, quand pareils symptômes se présentent, on dit aux parents que ça passera et qu’il ne faut surtout pas s’inquiéter.

 

Mon cœur s’est brisé quand j’ai vu un enfant de quatre ans pour lequel « ça n’est pas passé » ! J’ai vu quantité d’enfants de 3 à 5 ans qui ne peuvent aligner deux mots pour faire une phrase compréhensible.

 

Ces enfants se situent certainement quelque part sur le spectre de l’autisme, mais n’ont même pas été diagnostiqués comme tels. Jadis, on parlait d’un enfant autiste sur 10.000. Aujourd’hui, il s’agit d’un enfant autiste sur 50. Les problèmes liés au déficit d’attention, à l’hyperactivité et aux troubles de l’apprentissage sont tellement répandus que la plupart des parents ont tendance à penser que tout est normal.

 

Les allergies, l’asthme, l’eczéma, les problèmes digestifs, les convulsions étaient vraiment très rares il y a 50 ans. Ces problèmes ne font nullement partie du développement normal d’un enfant. Mais on fait croire aux parents qu’il s’agit d’une espèce de « nouvelle normalité ». Mais les choses n’ont pas toujours été comme cela !

 

La vaccination fait maintenant partie du monde de vie pour la plupart des américains

 

Les choses ont beaucoup changé depuis les années 1960. Aux Etats-Unis, le calendrier de vaccination est particulièrement agressif au cours des 6 premières années de l’enfant.

 

Au cours de la première année, les Centres Américains de Contrôle des Maladies (CDC) recommandent que les bébés reçoivent 19 doses de vaccins pour 9 maladies différentes. Le premier vaccin (contre l’hépatite B) doit être administré dans les 12 heures qui suivent la naissance. La plupart des vaccins sont regroupés pour être administrés au cours d’une même visite chez le médecin. Cela se produit à 2 mois, à 4 mois, à 6 mois et peu de temps après le premier anniversaire de l’enfant. [1]

Au total, 39 doses de vaccin doivent être administrées avant l’âge de 6 ans. [2]

 

Etats-Unis : champions des vaccins avant l’âge d’un an


USA champion des vaccins

 

Le Gouvernement admet que les vaccins provoquent des dommages

 

On ne discute plus le fait que les vaccins provoquent des dommages. En fait, ils provoquent tellement de dommages que les compagnies pharmaceutiques ont menacé de cesser la production de vaccins si le gouvernement américain ne les protégeait pas de toute poursuite pour effets indésirables aux vaccins.

 

En 1986, le gouvernement américain a cédé aux menaces de Big Pharma et a adopté « The Childhood Vaccination Injury Act ». Nous avons maintenant un tribunal qui examine les cas de dommages potentiels des vaccins et dédommage les victimes, mais essentiellement celles qui tombent dans des catégories très étroites de dommages de santé. Les règlements en espèces proviennent du gouvernement américain. Ces sommes proviennent  des taxes prélevées sur chaque vaccin vendu. Les fabricants de vaccins n’encourent aucune responsabilité, ils ne reconnaissent pas les dommages causés et continuent à inventer de nouveaux vaccins sans s’occuper de prendre une responsabilité financière quelconque pour les vies qui sont détruites par leur produits. [3]

 

Les problèmes de santé de votre enfant relèvent de « coïncidences ».

 

Un des grands problèmes liés à la vaccination est le mot « coïncidence ».Si, par exemple, vous conduisez votre enfant de 6 mois chez le pédiatre, ce dernier vous rappellera que le temps est venu de faire certains vaccins. Si vous marquez votre accord, votre enfant recevra  plusieurs vaccins en même temps. C’est là une pratique courante.

 

Vous pourriez être catastrophé si, sur le chemin du retour, vous vous rendiez compte que votre bébé devient très agité, fait une montée de fièvre, ou fait brusquement une convulsion. Si alors vous décidiez de faire demi-tour pour retourner au cabinet médical, le personnel vous dirait probablement que les symptômes que vous avez observés ne sont pas à mettre en relation avec le vaccin. On vous dira qu’il s’agit de coïncidence, qu’il faut rentrer chez vous et que tout cela va passer.

 

Les mots « coïncidence » ou « événements sans rapport » sont les moyens dont se sert le système médical pour dire « Ne parlons pas des réactions aux vaccins, tout va très bien, retournez chez vous ; tout cela va passer. »

 

Mais pour des milliers d’enfants, cela ne passe pas. Leur développement est arrêté, bloqué. Ils perdent souvent leur capacité de faire des phrases compréhensibles, d’autres perdent toute communication verbale. Certains ne savant plus marcher, et on doit à nouveau leur mettre des couches. D’autres encore font des convulsions, présentent des comportements répétitifs, des comportements d’automutilation, des comportements violents, des crises de colère, de l’hyperactivité ou incapacité d’apprendre quoique ce soit de neuf. D’autres ne savent plus manger ou digérer, etc. Certains meurent de troubles respiratoires. La santé d’autres se dégrade progressivement jusqu’à ce qu’ils tombent dans le coma et meurent. [4,5]. La liste des effets secondaires ne cesse de s’allonger.

 

Les réactions indésirables à la vaccination peuvent endommager le système immunitaire, provoquer des lésions cérébrales, des paralysies et contribuer à la formation de nombreuses autres maladies modernes. La communauté des personnes dont la santé a été endommagée par les vaccins est composée de gens jeunes, vieux qui souffrent de maladies chroniques et handicaps, de troubles de l’apprentissage, de retards du développement, d’hyperactivité, de déficit de l’attention, d’autisme, de troubles épileptiques, d’arriération mentale, de diabète, d’asthme, de maladies intestinales inflammatoires, de polyarthrite rhumatoïde, de sclérose en plaques et autres maladies neurologiques et auto-immunes.[13]

 

 

Nous parlons ici de la vie de véritables personnes et pas de statistiques. Des adultes continuent de souffrir des dommages provoqués par les vaccins reçus au cours de l’enfance. Des nouveau-nés sont morts après avoir reçu sept vaccins en une seule journée. Des milliers de soldats américains sont devenus invalides après avoir reçu des vaccins contre l’anthrax. Des membres du personnel soignant des homes peuvent devenir infirmes après avoir reçu le vaccin contre la grippe. Certains sont morts d’une pneumonie après avoir reçu le vaccin contre la grippe. Tous ces cas représentent des souffrances bien réelles.

 

seringue are you vaccine damaged

 

Reconnaître les effets secondaires des vaccins

 

Si vous ou votre enfant présentez l’un des symptômes repris ci-dessous dans les heures, les jours ou les semaines qui suivent la vaccination, il est conseillé de rapporter la chose aux instances officielles de vaccinovigilance. Les réactions aux vaccins peuvent comprendre les symptômes suivants :

 

* Gonflement prononcé, rougeur, chaleur ou dureté au site d’injection.

* Eruption cutanée ou urticaire sur le corps.

* Etat de choc/ Evanouissement

* Pleurs et cris persistants durant des heures

* Somnolence extrême ou longues périodes sans réaction

* Secousses ou spasmes dans les bras, les jambes, la tête, dans tout le corps.

* Strabisme

* Faiblesse ou paralysie de n’importe quelle partie du corps

* Impossibilité de s’asseoir, de se tenir debout

* Perte de contact oculaire, perte de conscience, retrait social

* Mouvements répétitifs- se frapper la tête

* Fièvre élevée

* Perte de la vue ou de l’ouïe

* Agitation, hyperactivité, incapacité de se concentrer

* Troubles du sommeil

* Douleurs articulaires, faiblesse musculaire

* Enorme fatigue

* Pertes de mémoire

* Troubles chroniques de l’oreille, infections respiratoires

* Diarrhée persistante ou constipation chronique

* Problèmes respiratoires (asthme)

* Hémorragies importantes (thrombocytopénie) ou anémie

 

Quelles sont les causes d’une réaction vaccinale ?


Photo Guillain Barré

Les vaccins sont une combinaison complexe de substances nocives qui sont conçues pour provoquer une réaction de stress dans l’organisme. On espère que la réaction provoquera des modifications du système immunitaire qui protégera la personne de l’infection d’une maladie contagieuse. En conséquence, les effets indésirables des vaccins peuvent être causés par l’un des composants du vaccin ou par une combinaison de ces composants.

 

Certains disent que les réactions indésirables sont causées par les bactéries ou les virus (vivants ou inactivés) qui se trouvent dans les vaccins. D’autres disent que c’est le conservateur mercure (thiomersal) qui produit les dommages vaccinaux. Le mercure est impliqué dans un grand nombre de maladies neurologiques, l’affaiblissement du système immunitaire, et des troubles du système digestif.

 

D’autres disent que c’est le Polysorbate 80, qui est utilisé comme émulsifiant et excipient. On a montré que le Polysorbate 80 pouvait causer la stérilité et le cancer.

 

Certains sont convaincus que les dommages sont causés par l’aluminium qui est ajouté aux vaccins pour stimuler la réponse du système immunitaire aux virus et aux bactéries qui se trouvent dans le vaccin. L’aluminium est un poison qui peut entraîner la dégénérescence des os, de la moelle et du cerveau. L’aluminium réduit  la charge électrique négative dans le sang, ce qui fait s’agglutiner les cellules sanguines quand elles essaient de passer au travers des très fins capillaires.

 

Le Formaldéhyde (liquide destiné à l’embaumement des corps) est utilisé dans les vaccins pour tuer les virus et les bactéries. C’est un produit cancérogène. Enfin, on sait que les vaccins peuvent contenir des micoplasmes qui sont de minuscules agents infectieux susceptibles d’envahir et d’endommager les cellules ayant trait à l’activité mitochondriale. Tous ces facteurs peuvent provoquer des réactions et entraîner des maladies graves, invalidantes et même la mort.

 

Maintenant, ajoutons à tout cela les autres facteurs environnementaux et autres qui peuvent affaiblir notre santé en dégradant nos systèmes immunitaires et endocriniens. L’exposition aux pesticides dans l’air, l’eau, la nourriture, les éléments génétiquement modifiés qui se trouvent dans la nourriture, les additifs alimentaires, les colorants synthétiques, les exhausteurs de goût, les arômes artificiels, les excitotoxines et les conservateurs sont susceptibles de placer le corps sous un énorme stress et rendre la réaction à un vaccin plus probable. A cette liste, on peut ajouter les résidus qui se retrouvent dans l’eau de distribution, résidus de produits pharmaceutiques, d’aluminium, du chlore et du fluor qui servent au traitement de l’eau, ainsi que d’autres produits chimiques toxiques.

 

L’état de santé général entre aussi en compte. Certaines personnes ont le système immunitaire affaibli, certains souffrent de cancer, de diabète, de maladies cardiaques. Ces personnes prennent des médicaments qui comportent divers avertissements.

 

Lorsque tous ces facteurs que j’ai énumérés sont combinés, il peut en résulter que certaines personnes puissent présenter des réactions graves ou même parfois mortelles quand elles reçoivent tel ou tel vaccin.

 

Nous ne savons pas qui va faire une réaction ni quelle en sera la gravité.Nous ne savons pas non plus quand cette réaction éventuelle se produira. Une personne peut très bien ne pas rencontrer de problème avec les vaccins, alors que son voisin pourra se retrouver paralysé avec un Syndrome de Guillain-Barré après avoir reçu le même vaccin. […]

 

Resources :

 

[1] “2014 Recommended Immunizations for Children from Birth Through 6 Years Old,” Centers for Disease Control, PDF document retrieved 11/20/2014. http://www.cdc.gov/vaccines/parents/downloads/parent-ver-sch-0-6yrs.pdf

[2] “Back to School Vaccines: Risks & Failures,” Barbara Loe Fisher, National Vaccine Information Center Newsletter, Retrieved 11/24/2014. http://www.nvic.org/NVIC-Vaccine-News/August-2014/Back-to-School-Vaccines–Know-the-Risks-and-Failur.aspx

[3] “The National Childhood Vaccine Injury Act of 1986,” National Vaccine Information Center, Retrieved 11/24/2014. http://www.nvic.org/CMSTemplates/NVIC/pdf/NVIC-ASK-8-Questions.pdf

[4] “Etiology of Autism/Vaccine Damage/CHILD v. HHS – AutismPedia,” Retrieved 11/24/2014. http://www.autismpedia.org/wiki/index.php?title=Etiology_of_Autism%2FVaccine_Damage%2FCHILD_v._HHS

[5] “Baby M’s Parents-Vaccine Death Forensics Report,” Vaccine Facts VacFacts.com, Retrieved 11/24/2014. http://www.vacfacts.info/baby-ms-parents-vaccine-death-forensics-report.html

[6] Medical Veritas, the Journal of Truth in Health Science, list of contributing authors. http://www.medicalveritas.org/MedicalVeritas/Volume_7%3B_Number_2_January,_2011.html

[7] “My message to all parents revaccination,” Viera Scheibner PhD, Retrieved 11/24/2014. http://vierascheibner.com/index.php?view=article&catid=65%3Ageneral-a-miscellaneous&id=81%3Amy-message&option=com_content&Itemid=60

[8] “What You Were Never Told About Vaccines,” Interview with Dr. Andrew Moulden, July 21, 2014, Retrieved 11/24/2014. http://vactruth.com/2009/07/21/dr-andrew-moulden-interview-what-you-were-never-told-about-vaccines/

[9] “Many Parents Are Now Aware of Dangerous Vaccine Side Effects,” Barbara Loe Fisher, Mercola.com, November 1, 2011. http://articles.mercola.com/sites/articles/archive/2011/11/01/more-parents-waking-up-to-vaccine-dangers.aspx

[10] “Vaccine Resources,” National Vaccine Information Center. http://www.nvic.org/resource-center.aspx

[11] “U.S. Government Says Vaccines are Dangerous,” Mercola.com, September 27, 2011. http://articles.mercola.com/sites/articles/archive/2011/09/27/vaccines-are-dangerous-says-the-government.aspx

[12] “Vaccinations are causing impaired blood flow (Ischemia), Chronic Illness, Disease and Death for us all,” Dr. Andrew Moulden, VacTruth.com, Retrieved 11/24/2014. http://vactruth.com/2009/08/03/vaccinations-are-causing-impaired-blood-flow-ischemia-chronic-illness-disease-and-death-for-us-all-hp/

[13] “International Memorial for Vaccine Victims,” National Vaccine Information Center, Retrieved 11/19/2014. http://www.nvic.org/Vaccine-Memorial.aspx

[14] “Dr. Offit Wants to Eliminate Religious and Philosophical Vaccine Exemptions,” Health Impact News, October 7, 2014. http://dev.healthimpactnews.com/2014/dr-offit-wants-to-eliminate-religious-and-philosophical-vaccine-exemptions/

[15] “Ask 8 Questions,” National Vaccine Information Center, Retrieved 11/19/2014. http://www.nvic.org/Ask-Eight-Questions.aspx

 

Source : The Liberty Beacon

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30 novembre 2014 7 30 /11 /novembre /2014 11:45

Un nouveau livre sans langue de bois sur l'un de plus grands scandales de toute l'histoire de la médecine... à diffuser sans modération!

Edité par l'Association ALIS (Association Liberté Info Santé)

 

Vérité sur l'autisme post-vaccinal

vérité sur l'autisme

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14 novembre 2014 5 14 /11 /novembre /2014 17:15

Olivier décède après avoir reçu un rappel de vaccin DTP

 

Par Gilbert Hoair

 

Publié le 13/11/2014

 

Ses parents sont persuadés qu’il y a eu une erreur médicale, ils ont déposé plainte pour connaître la vérité.

 

Olivier--deces-apres-vaccin-DTPolio-.jpg© Reunion1ere

 

Olivier, élève de terminale, n’a jamais pu passer son bac. Il a été emporté par un staphylocoque doré en début d’année.


Il a commencé à se sentir mal après avoir reçu un rappel de vaccin DTP chez son médecin traitant.


Il a dû faire face à de violents maux de tête et des poussées de forte fièvre, au point que ses parents l’emmènent en consultation aux urgences de l’hôpital de Terre Sainte.


Des analyses permettent de découvrir de quoi souffre Olivier. Il a été contaminé par une terrible bactérie, résistante aux antibiotiques. Un mal qui va finir par l’emporter.


Aujourd’hui ses parents veulent connaître la vérité et savoir comment leur fils a été contaminé.
                       
En images avec Valérie Filain, Claude Testa et Frédéric Testa


En interview :


Claudie Schandene, mère d'Olivier

 

Bruno Schandene, père d'Olivier

 

 

Source: Réunion.la1ère

 

Ce triste cas est-il étonnant ? Il y a fort à parier que la justice niera tout lien, et arguera que c’est un staphylocoque, que cela n’a rien à voir ni avec le vaccin, ni avec la seringue alors que, toute vaccination a un effet immunosuppresseur, c’est-à-dire qu’elle inverse au moins transitoirement les rapports entre certains groupes de globules blancs, laissant ainsi le corps plus vulnérable à quantité de maladies dites opportunistes qu’il aurait très bien pu ne pas contracter en l’absence du leurre vaccinal (qui a détourné artificiellement la vigilance de son système immunitaire). Songeons au cas assez semblable de la petite Stacy et à bien d’autres aussi…

 

Mais à part ça, les médecins ne semblent toujours pas au clair sur ces effets ou ne s’informent jamais sur ces effets indirects mais néanmoins bien imputables aux vaccinations qui ont été érigées en véritable dogme et en automatisme scientiste depuis des décennies et des décennies… Il y a hélas fort à parier que le médecin de ce jeune homme décédé, comme ceux de bien d'autres patients, n'avait une fois encore pas respecté les obligations issues de la loi du 4 mars 2002 sur les droits des patients (loi Kouchner) qui impose d'informer les patients de façon suffisante AVANT tout acte médical et toute vaccination sur la variété, la gravité et la fréquence des effets secondaires possibles, en plus des prétendus bénéfices et des alternatives éventuelles. Voici ce que des médecins qui n'informent pas assez sur les risques des vaccins peuvent encourir...à méditer avant que des handicaps ou des décès inutiles ne surviennent au décours de vaccinations (et à noter que juridiquement, les médecins sont tenus d'apporter la preuve qu'ils ont dûment communiqué au patient ces informations prescrites par la loi!)

 

Voir aussiComment les vaccins endommagent le système immunitaire

 

Infanrix hexa: le document confidentiel accablant (et sur le Prevenar aussi... quid de tous les autres vaccins, du "sucre" inoffensif par rapport à ces vaccins-catastrophe??)

 

Des victimes du vaccin Revaxis (= sûrement le vaccin DTP qu'Olivier a reçu!) portent plainte contre Sanofi pour escroquerie

 

Une maman de l'Utah affirme que son fils est mort du vaccin contre la grippe

 

Le vaccin Gardasil a-t-il tué la jeune Adriana de 17 ans?

 

Tous les vaccins sont expérimentaux: voici pourquoi

 

Vaccins: le vrai scandale des faux placebos

 

Dr Saluzzo de Sanofi Pasteur: "On ne sait pas comment marchent les vaccins"

 

Sécurité des vaccins: on se fout carrément de vous!

 

La sécurité des vaccins pose vraiment problème: les officiels le savent

 

Des députés français demandent un moratoire sur les vaccins à base d'aluminium (comme c'est le cas du vaccin DTPolio Revaxis qui est celui administré actuellement en France ou en Belgique par exemple) + document du Dr Pilette sur l'aluminium (+ de 1700 réf. scientifiques)

 

Le Pr Even (ex doyen de faculté de médecine) explique que les médecins n'apprennent rien sur les vaccins en faculté...uniquement à piquer et à réciter le calendrier vaccinal!


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12 novembre 2014 3 12 /11 /novembre /2014 20:30

Fonctionnement du système immunitaire

Comment les vaccins peuvent l’endommager

 

TLB Staff, 9 novembre 2014

  

« Les maladies chroniques sont devenues si communes ! Avoir un enfant malade semble être devenu la “nouvelle norme”, alors que les enfants sont censés être dynamiques, en parfaite santé et exempts de maladie. » Dr Janet Levatin, MD, pédiatre.

  

Immune-dysfunction.jpg

 

La Théorie

 

Selon la théorie médicale, si votre enfant est exposé à une version affaiblie de la maladie, il va produire des anticorps vis-à-vis de cette maladie et être « immunisé », pour ne plus jamais faire cette maladie.

 

A première vue, ceci semble relever d’un principe solide, MAIS il ne s’agit en fait que d’un petit aspect du système immunitaire : les anticorps. Cette théorie n’envisage pas toutes les autres fonctions du système immunitaire qui assurent la protection de la santé de votre enfant.

 

Alors, comment fonctionne le système immunitaire ?

 

Le système immunitaire comprend la peau, les muqueuses du nez et de la gorge, des oreilles et des yeux. Il comprend aussi les poils du nez, la salive, la rate, les intestins, les amygdales, le thymus et le cerveau lui-même. Tous ces éléments travaillent de concert de manière holistique pour apporter l’immunité à tout le corps. Les anticorps ne représentant qu’une partie de tout le processus immunitaire.

 

* La peau agit comme une barrière destinée à empêcher les bactéries d’entrer dans le corps. Elle détruit aussi les toxines grâce à la fièvre.

 

* Les poils du nez empêchent les particules étrangères de pénétrer plus profondément dans le nez. Quant aux muqueuses, elles excrètent une substance antibactérienne.

 

* Les amygdales aident à prévenir les maladies respiratoires de même que d’autres maladies comme la poliomyélite. La salive contient des substances qui neutralisent et détruisent les microbes.

 

* La rate et les intestins entre autres organes, produisent des graisses et des vitamines pour protéger le corps d’invasions virales et bactériennes.

 

* Le thymus produit des cellules appelées « cellules T » qui sont des anticorps destinés à lutter contre les infections.

 

* Il existe différentes glandes dans le corps qui contribuent à éliminer les toxines et les éléments inutiles. Par exemple, les ganglions cervicaux drainent la tête, le cou et la poitrine.

 

* L’hypophyse dans le cerveau dirige tous les systèmes que nous venons d’évoquer. Donc un cerveau fonctionne mal aura un impact certain sur tout le système immunitaire. Il envoie des impulsions électriques à toutes les zones du corps, stimulant la régénération cellulaire et la croissance musculaire. Ces impulsions électriques stimulent aussi le thymus qui est le centre de la fonction immunitaire.

 

Quel est l’effet de la vaccination sur le fonctionnement immunitaire ?

 

La vaccination – donc l’acte de contracter artificiellement une maladie afin d’être protégé– présente de graves lacunes sur de nombreux points. Tout d’abord, un vaccin  contient de nombreux produits chimiques dangereux et pas seulement les virus contre lesquels on vaccine. Chacun de ces produits est susceptible d’exercer une action toxique sur le corps. Deuxièmement, la voie d’entrée est différente de celle d’une maladie qui surviendrait naturellement. La plupart des maladies naturelles pénètrent par la bouche ou la cavité nasale et pas par la peau.

 

Avec l’aiguille le vaccin  brise la peau et injecte des corps étrangers dans le flux sanguin.

 

Ceci court-circuite le rôle de la peau dans sa fonction immunitaire, ainsi que les amygdales, les muqueuses, et ainsi de suite.

 

Normalement, le corps produit des anticorps supplémentaires qui sont d’abord amorcés par les amygdales quand une infection est imminente. Par conséquent si une infection persiste, une armée de globules blancs se formera pour neutraliser l’infection.

 

Dans le cas de la vaccination, l’infection passe directement dans le flux sanguin sans préparation préalable du corps et sans cellules immunitaires supplémentaires pour y faire face.

 

Avec la vaccination, on a souvent affaire à plus d’une maladie à la fois (par exemple :  rougeole, oreillons, rubéole en un seul vaccin). Jamais un enfant ne contractera naturellement 3 maladies en même temps. Cette façon de faire met une pression supplémentaire sur le système immunitaire.

 

Quels sont les problèmes qui peuvent survenir ?

 

L’injection d’un vaccin par cette voie non naturelle peut utiliser jusqu’à 70% des ressources du système immunitaire, au lieu de l’habituel 3 à 4% avec une maladie d’origine sauvage (Cynthia Cournoyer : « Qu’en est-il des vaccinations ? » Dennis Nelson Publishers, 1991).

 

Parce que le corps ne possède pas d’extra-anticorps en attente pour contrer le vaccin, il peut entrer en suractivité pour tenter de faire face à la situation en prélevant des vitamines indispensables aux organes et aux os pour la production d’un nombre plus élevé d’anticorps. Ceci signifie que d’autres organes vitaux du corps vont manquer de vitamines. Dans des cas extrêmes, ces carences peuvent aller jusqu’à produire des fractures suite à un manque important de vitamines mobilisées pour faire face au vaccin. Ce manque de vitamines peut aussi provoquer des ecchymoses, des saignements de la rétine et des hémorragies. Ceci pourrait expliquer pourquoi le cas de certains bébés dont la santé a été endommagée par les vaccins a été faussement étiqueté « Syndrome du Bébé Secoué ». Ces dommages vaccinaux ressemblent à ceux qui sont provoqués par un traumatisme.

 

L’afflux massif d’anticorps créés par le vaccin peut donc amener l’organisme à devenir hypersensible, et cela est responsable de l’augmentation des allergies et des maladies auto-immunes. Les allergies  proviennent d’une surexposition à des éléments toxiques dont le corps est incapable de se débarrasser.

 

Si les glandes surrénales, le pancréas, la glande pituitaire et la rate sont trop stimulés par exemple par la vaccination,  cela peut intoxiquer le corps au point qu’il devienne incapable de s’autoréguler. Le rapport a été établi avec des maladies cardiaques, le diabète, l’asthme et la bronchite pour n’en citer que quelques-uns. La sur-stimulation des glandes surrénales entraîne aussi une diminution de la circulation du sang dans tout le corps ; elle atrophie également les vaisseaux sanguins.

 

C’est à la suite de cet état de dysfonctionnement, de surcharge chimique, des vaccins, de la pollution, de la malbouffe, des médicaments et ainsi de suite que nos corps deviennent de moins en moins en mesure de rester en bonne santé.

 

Quand le corps se trouve dans son état d’équilibre et d’harmonie, il n’ pas besoin de « l’immunité ». Dans un réel état d’équilibre et d’harmonie, le thymus fonctionne correctement comme régulateur central  d’une bonne digestion. Donc tout ce qui pénètre dans le corps est digéré puis excrété. » (Stonebridge Associated Colleges, 2005).

 

Dans les temps qui suivent immédiatement la vaccination, le fait que les vitamines supplémentaires soient utilisées pour combattre le vaccin, peut rendre la personne plus vulnérable aux maladies. A titre d’exemple, dans l’information  de Merck, Sharp & Dohme LTD pour le vaccin HIB, il est précisé : «  Des cas d’Haemophilus B peuvent se produire dans les semaines qui suivent la vaccination. » et dans la feuille d’information  de Lederle Hibtiter : « Des cas d’infection à HIB, bien que rares, peuvent se produire après la vaccination. ». Ceci est connu sous l’appellation « maladie de PROVOCATION », c'est-à-dire : maladie causée par le vaccin.

 

Les vaccins vivants sont davantage susceptibles de transmettre la maladie à leur destinataire ou à ses contacts proches, du fait que les virus sont excrétés dans l’urine, les selles, et la salive jusqu’à trois semaines après chaque vaccination.

 

Le vaccin contre la polio qui a d’abord été administré sous forme orale est maintenant administré sous forme injectable parce que les seuls cas de polio dans les pays occidentaux étaient provoqués par le vaccin.

 

Les maladies provoquées par les vaccins sont souvent plus graves que les maladies d’origine naturelle. Par exemple, la rougeole ATYPIQUE qui touche seulement les enfants vaccinés est beaucoup plus grave parce que le vaccin supprime l’éruption de l’enfant qui est son moyen d’excréter la toxine qui est refoulée profondément dans le corps et affecte des organes importants, parfois même le cerveau, comme l’encéphalite rougeoleuse atypique.

 

Les virus vaccinaux peuvent aussi se fixer sur des cellules, des organes et des tissus du cerveau. Ils peuvent provoquer des cancers, des handicaps et des troubles cérébraux, comme ce fut le cas de ce garçon qui devint autiste et a connu des troubles épileptiques après son vaccin ROR (Rougeole-Oreillons-Rubéole) à 15 mois. L’hôpital des enfants de la rue « Great Ormand » a entrepris d’effectuer des tests sur cet enfant quand il a eu 13 ans. Les tests ont permis de retrouver des restes de virus vaccinaux dans les parties lésées de son cerveau. (The Sunday Express, 6 octobre 2002)

 

Des anticorps dirigés contre les tissus du cerveau ont également été retrouvés dans les analyses de sang d’enfants autistes.

 

Mutations et Maladies

 

Il est possible que même avec des vaccins inactivés, le virus ou la bactérie tués puissent muter et donner une autre forme de la maladie. Par exemple, une jeune fille canadienne de 16 ans est morte de méningite B après que son petit ami ait reçu le vaccin contre la méningite C. Les tests de laboratoire ont confirmé que le vaccin pouvait muter sous forme B et infecter à la fois le récipiendaire et ses proches contacts. (Pulse, magazine médical, 20 novembre 1999.)

 

Un grand nombre de maladies chroniques ont fait leur apparition à la place des maladies infectieuses depuis l’introduction des vaccinations de masse comme l’encéphalomyélite myalgique (EM) ou syndrome de fatigue chronique, Syndrome de Guillain-Barré (paralysies), Autisme, Sclérose en plaques (SEP), virus Ebola, Sida, Lichen plan et autres problèmes d’hypersensibilité, sans mentionner les taux incontrôlables des cancers, de maladies cardiaques, d’asthme, d’eczéma, et autres allergies. Même la méningite était extrêmement rare avant le 20ème siècle.

 

Nous sommes en train de nous tuer avec nos tentatives de « prévenir » les maladies de l’enfance. Comme la Nature est plus forte que les hommes, toute manipulation des fonctions immunitaires peut avoir des conséquences désastreuses pour tous. [...]

 

Un américain sur 5 souffre d’allergies

 

Si les brises printanières vous font éternuer, vous pouvez vous rassurer en apprenant que vous n’êtes pas seul.

 

Pour des raisons que les chercheurs ne comprennent pas bien, les allergies au pollen, à la poussière, à la nourriture sont devenues plus fréquentes chez les américains au cours des dernières décennies. Aujourd’hui un américain sur 5 souffre d’allergies, selon « The Asthma and Allergy Foundation of America. »

 

«  Nous ne savons pas pourquoi l’incidence des allergies est en augmentation » a déclaré Maya Jerath, M.D.,Ph.D., Assistante à l’Université de Caroline du Nord (Chapel Hill School of Medicine) et directrice de la clinique UNC Allergie et Immunologie.

 

Les chercheurs ne comprennent pas non plus pourquoi les allergies progressent. « Cela a dérouté les gens et continue à beaucoup les dérouter. » a-t-elle dit.

 

Une allergie est une réaction immunitaire à une substance inoffensive, comme un grain de pollen ou des protéines d’arachide. Au lieu d’ignorer la substance, le corps produit des anticorps pour lutter contre elle. Les symptômes d’allergie peuvent aller de picotements dans les yeux et d’éternuements à des réactions anaphylactiques potentiellement mortelles.

 

Jerath explique que les causes des allergies  demeurent assez insaisissables parce que le rôle du système immunitaire est complexe. Le système doit défendre l’organisme contre d’innombrables envahisseurs dans la nourriture, l’eau et l’air qui nous entoure.

 

Pour les personnes qui souffrent d’allergies, le système immunitaire doit apprendre à distinguer les particules dangereuses de celles qui ne le sont pas. Pour la plupart des gens, cet apprentissage a lieu dans la première enfance.

 

Jerath précise que si l’organisme n’est pas exposé à certains éléments, les mécanismes de régulation risquent de ne pas se mettre en place.

 

C’est pour cette raison que certains chercheurs pensent  que l’absence d’exposition à des microorganismes tôt dans la vie pourrait  pré-conditionner des personnes à faire des allergies. Cette explication appelée « l’hypothèse hygiénique » suggère que le fait de grandir entouré d’autres enfants, de saleté ou de bétail pourrait aider le système immunitaire à développer une tolérance vis-à-vis d’irritants inoffensifs.

Source : Physorg.com, par Sara Peach, 24 février 2010.

 

Le spectre des symptômes démyélinisants du système nerveux central post-vaccinatoire

 

La littérature a rapporté une grande variété de maladies inflammatoires associées à l’administration de différents vaccins. Une recherche dans PubMed de 1979 à 2013 a révélé 71 cas bien documentés. Les vaccins les plus fréquemment rapportés et associés à des maladies démyélinisantes du système nerveux central sont la grippe (21 cas), le papilloma virus humain (9 cas), la fièvre jaune (3 cas), l’anthrax (2cas), le méningocoque (2 cas) et le tétanos (2 cas). La grande majorité des syndromes démyélinisants du système nerveux central sont à mettre en relation avec la vaccination contre la grippe. On pourrait attribuer la chose à la forte proportion de la population qui a reçu le vaccin au cours de l’épidémie H1N1 de 2009 à 2012. Généralement les symptômes démyélinisants du système nerveux central apparaissent quelques jours après la vaccination (en moyenne 14,2 jours), mais il existe des cas où les signes cliniques sont apparus plus de 3 semaines ou même jusqu’à 5 mois après la vaccination (approximativement un tiers de tous les cas rapportés).

 

En termes de présentation clinique, comme des zones touchées du système nerveux central, il existe une grande diversité parmi les cas déclarés de syndrome de démyélinisation aiguë post-vaccination. C’est la névrite optique qui est apparue le plus souvent  (38 cas) viennent ensuite les 30 cas de démyélinisation multifocale diffuse, 24 cas de myélite et 17 cas d’encéphalite.  […]

 

Les enfants modernes sont plus malades qu’ils ne l’étaient dans les années 1940 et 1950.

 

«  En 1947 je travaillais en tant que puéricultrice dans une crèche pour petits bébés dont les mères devaient travailler (enfants illégitimes). Ces enfants n’avaient pas de pères qui gagnaient leur vie.

 

Ces bébés se portaient très bien et étaient très gentils. Il y avait de temps en temps des rhumes et des grippes; parfois aussi des cas de gale.

 

Il n’y AVAIT PAS d’asthme, d’eczéma, d’épilepsie, d’hyperactivité, de problèmes cardiaques ou de mort subite du nourrisson. Ce n’est qu’à partir de 1957 que l’on a commencé à parler de la mort subite du nourrisson après l’apparition du vaccin DTC (Diphtérie-Tétanos-Coqueluche)

 

Vous devez être âgé d’environ 80 ans pour vous rappeler comment était la vie à cette époque. Il arrivait que des bébés meurent de pneumonie parce que les maisons étaient très froides, mais ils ne mouraient pas des terribles maladies que nous connaissons aujourd’hui. »

 

Le scorbut auto-immun diagnostiqué à tort comme de la maltraitance d’enfants.

 

Résumé

 

Les demandes de parents en difficulté demandant de l’aide après avoir été faussement accusés par les médecins d’avoir maltraité leurs enfants ne sont pas rares. Les infections virales, parasitaires et les vaccins sont susceptibles de provoquer des troubles auto-immuns, le scorbut, souvent diagnostiqués à tort comme de la maltraitance d’enfants. Ce rapport présente les éléments de preuve. Des rapports pertinents d’hôpitaux et de laboratoire concernant les cas de 3 enfants  ont été examinés pour trouver les preuves que des tissus scorbutiques  s’avéraient être la cause de lésions neurologiques, de fractures, d’ecchymoses et d’hémorragies. – Résultats : Dans tous les cas pour lesquels des tests appropriés ont été réalisés, des preuves ont été apportées que des médecins avaient soit mal interprété les preuves de laboratoire ou n’étaient pas informés de la signification des tests qui suggéraient que les tissus scorbutiques pouvaient être la cause. – Conclusion : Certains médecins ne connaissent pas les processus physiopathologiques de l’auto-immunité, de l’hémostase et de l’ostéogenèse. Ils diagnostiquent à tort le tissu scorbutique (avec absence de vitamine C dans les cellules) induit par les vaccins comme relevant de troubles non-accidentels. Michael D Innis, Autoimmune Tissue Scurvy Misdiagnosed as Child Abuse, Clinical Medicine Research. Vol. 2, No. 6, 2013, pp. 154-157 [Article complet: ICI].

 

Source: The Liberty Beacon

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4 novembre 2014 2 04 /11 /novembre /2014 20:31

Quatre jours après avoir reçu un vaccin contre la grippe, 

une petite fille de 10 ans est paralysée et ne sait plus parler

 

marysie-finale.JPGBrusquement tombée malade. : Carla Grivna explique que Marysue était une petite fille de 9 ans en bonne santé quand elle a reçu son vaccin annuel contre la grippe. C’est alors qu’elle est brusquement tombée malade.

 

D’après un article de Pete D’amato (MailOnline), 3 novembre 2014

 

Marysue Grivna, 10 ans est paralysée depuis un an à la suite d’une rare inflammation du cerveau et sa famille met en cause le vaccin.

 

Selon la maman, sa petite fille Marysue avait toujours été très heureuse et en parfaite santé jusqu’à l’année dernière. Elle aimait aller à l’école, courir, jouer chanter dans la chorale.

 

C’est en novembre de l’année dernière que Marysue a reçu son second vaccin contre la grippe saisonnière. Au cours des quelques jours qui ont suivi la vaccination, la petite fille a continué à jouer avec des amis. Quatre jours après avoir reçu le vaccin, la maman a retrouvé sa fille paralysée dans sont lit. Elle savait encore ouvrir les yeux, mais ne pouvait plus bouger, ni parler.

 

Les parents ont fait venir une ambulance pour conduire leur petite fille à l’hôpital. C’est alors qu’ils ont été informés d’un diagnostic peu réjouissant – Marysue souffrait d’une infection rare du cerveau appelée encéphalomyélite aiguë disséminée (ADEM).

 

Un an plus tard, Marysue ne sait toujours pas parler. C’est son papa qui doit la porter pour aller aux toilettes. Elle passe toutes ses journées dans un lit d’hôpital qui a dû être monté dans le salon parce qu’il était trop grand pour sa chambre à coucher.

 

La famille Grivna dit que « les médecins ne voudront ni confirmer ni nier », mais quant à elle, la famille croit que c’est le vaccin qui est en cause.

 

Marysue-en-fauteuil-roulant.jpgParalysée : Marysue ne sait pas parler. Elle peut à peine bouger. Elle est tout le temps dans son lit ou dans une chaise roulante.

 

A la suite de toutes nos recherches, dit la maman, son papa et moi sommes certains que c’est la vaccination qui est responsable de son état.

 

Les recherches effectuées par les Instituts Nationaux de Santé ont montré que dans 5% des cas d’encéphalomyélite aiguë disséminée, le patient avait reçu un vaccin dans le mois qui a précédé l’apparition des symptômes.

 

En 2008, une dame de 75 ans a développé une encéphalomyélite aiguë disséminée deux jours après avoir été vaccinée contre la grippe. Elle s’est retrouvée engourdie et paralysée pour finalement mourir peu de temps après.

 

Toutefois, les médecins ne s’opposent pas à ce vaccin parce que les chercheurs relèvent un pourcentage supérieur de cas d’encéphalomyélite aiguë disséminée dus à des infections plutôt qu’aux vaccins. (note d'Initiative Citoyenne: qu'ils disent! Mais la population est archi-vaccinée donc combien existerait-il de cas en surplus chez les vaccinés si on comparait des gens encore jamais vaccinés à d'autres, vaccinés?? La surprise risquerait d'être au rendez-vous, d'autant que les vaccinations affaiblissant le système immunitaire, elles peuvent aussi rendre les gens plus vulnérables à des infections qui peuvent aussi déboucher sur ce type d'atteinte neurologique)

 

«  Si je fais la grippe, je suis davantage susceptible de faire une encéphalomyélite aiguë disséminée qu’à la suite d’un vaccin contre la grippe » a déclaré le Dr Juan Dumois, Directeur de la section des maladies infectieuses à l’hôpital « Tous les Enfants ».

 

La guérison est possible a déclaré le Dr Dumois, mais après six mois, les chances d’amélioration s’amenuisent significativement.

 

La famille de Marysue est en train d’essayer de récolter des fonds pour rendre la chambre de la petite fille plus accessible. En 11 jours ils ont déjà récolté 3.000 dollars.

 

 

Sources : DailyMail & Vaccineliberationarmy

 

 

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18 octobre 2014 6 18 /10 /octobre /2014 11:30

OGM et vaccins: les conclusions qui s’imposent 

 

Dr Kelly Brogan, M.D., 12 novembre 2013

 

Tomate-et-seringue.jpg

 

Je n’ai jamais eu d’attirance particulière pour la politique. Je ne suis pas non plus théoricienne de la conspiration. Je n’ai jamais été arrêtée et je n’aime pas avoir des ennuis.

 

Par contre, j’ai toujours aimé penser par moi-même. Je suis d’un naturel sceptique et pragmatiste. Ces temps-ci, il y a pas mal de questions qui m’interpellent et en reliant les choses entre elles, je parviens à mieux appréhender la vérité en science.

 

Je voudrais aujourd’hui vous avertir que dans de nombreux domaines où vous pensiez être protégé par les autorités en place et par le gouvernement, vous avez en fait été mené n’importe où par le bout du nez, et ce sera à vous seul qu’il appartiendra de vous débrouiller quand tout ira mal. C’est la raison pour laquelle je souhaite que les consommateurs deviennent chaque jour plus autonomes et qu’ils réfléchissent bien à tout ce qui doit rentrer dans leur corps.

 

Les êtres humains ont tendance à souffrir d’un orgueil démesuré – nous pensons que nous savons mieux que la nature, que nous pouvons faire mieux que la nature, que nous pouvons la maîtriser. Il existe (au moins) deux transgressions qui ont des tendances similaires et qui soulèvent pas mal d’inquiétudes : les OGM (aliments génétiquement modifiés)  et la vaccination. Voici ce qu’ils ont en commun :

 

La guerre contre la nature

 

Après avoir évolué pendant des milliards d’années on ne peut nier que la nature ait du sens. Il suffit de penser à la complexité des systèmes botaniques, à la relation aux ravageurs, à la complexité de la nature des sols, à tant d’éléments qui permettent une diversité optimale, ainsi que la reproduction.

 

Ce n’est que lorsque nous avons commencé à industrialiser le processus, à détourner certaines lois pour assurer des rendements et permettre aux fabricants de produits chimiques de « remédier » aux variables perçues comme des échecs, que nous nous sommes retrouvés dans le gâchis que nous connaissons aujourd’hui avec les OGM. – Nous avons, au hasard, injecté de l’ADN animal dans le génome des plantes et perturbé ainsi leur fonctionnement naturel tout en permettant leur saturation en herbicides toxiques qui sont aussi des perturbateurs du système endocrinien et intestinal.

 

Les compagnies pharmaceutiques et les médecins pensent qu’ils peuvent déjouer le système immunitaire qui, tout au cours de l’évolution, a coexisté avec des microbes; ils pensent qu’ils peuvent maitriser et formater ces systèmes. Nous sommes en guerre avec les maladies infectieuses. En conséquence, notre peur et notre malveillance vis-à-vis des bactéries et des virus nous ont conduits à  modifier, altérer et compromettre notre système immunitaire. Ces perturbations du système immunitaire ont été induites par des agents pathogènes injectés dans nos muscles avec des additifs toxiques qui dépriment les fonctions naturelles du système immunitaire et provoquent de l’inflammation chronique.

 

Cette idée d’améliorer nos capacités humaines comme nous le comprenons aujourd’hui est abordée par Sayer J. dans GreenMedInfo sous le terme « transhumanisme »

 

Nous ne pouvons pas duper et déjouer la nature; nous commençons seulement à apprécier son infinie complexité.

 

« Quelle est cette sorte de « science » qui inflige des dommages neurologiques à plusieurs centaines de milliers d’enfants chaque année ?...La catastrophe des vaccinations infantiles est essentiellement due à l’orgueil démesuré de la profession – cette volonté du médecin (avec les meilleures intentions du monde !) de prendre le contrôle des forces de la nature et de les plier à sa propre volonté. »

 

Harris Coulter, historien de la médecine dans « Vaccination, Social Violence and Criminality »

 

Manque d’études de sécurité avant la mise sur le marché

 

Monsanto prétend que les OGM sont équivalents aux aliments habituels (tout en échappant au devoir de prouver leur innocuité). Monsanto prétend que ces OGM sont suffisamment novateurs pour pouvoir être brevetés. Malgré les effets « Frankenstein » de ces manipulations génétiques, ces aliments n’ont jamais été étudiés sur une population humaine et encore moins évalués à long terme. Ce qui se passe à la suite de cette procédure accélérée pour aboutir à la commercialisation, c’est que petit à petit les dommages au niveau de la population commencent à émerger. La diversité des maladies chroniques en Europe et en Amérique pourrait avoir un rapport avec les limites imposées à ces produits en Europe et en Amérique. Il est un fait qu’il est difficile d’établir la relation de cause à effet pour les maladies chroniques. Toutefois, il est important d’insister sur l’importance des essais de pré-commercialisation à long terme.

 

Les vaccins n’ont jamais été étudiés par rapport à un groupe de non vaccinés, parce qu’ils sont supposés être à ce point vitaux pour notre santé que ce serait contraire à l’éthique de ne pas les appliquer, même si l’épidémiologie de base montre que l’hygiène et l’alimentation ont joué le rôle le plus important dans l’élimination des maladies infectieuses. Les vaccinations n’ont jamais été complètement étudiées dans leur contexte actuel, pas plus que les additifs (adjuvants) qui comprennent des produits toxiques connus pour le corps tels que l’aluminium, le mercure, le formaldéhyde et le polysorbate 80.

 

Signal de préjudice

 

Malgré ce manque d’efforts pour démontrer l’innocuité des produits dans ces deux domaines, un signal a néanmoins été donné qui aurait dû mettre davantage en avant le principe de précaution. Monsanto a surveillé les produits non OGM, ainsi que les produits OGM qui servaient à l’alimentation des rats pendant 90 jours et a déclaré que les modifications des fonctions hépatiques et rénales n’étaient pas cliniquement significatives. Seralini et al. ont repris ce projet mais ont prolongé de plusieurs années la période d’observation. Jetez un coup d’œil à ce qui s’est passé avec ces animaux. La première tumeur est apparue à l’âge de 4 mois. Plusieurs autres études ont reproduit les conclusions provocatrices de l’étude initiale. - Le glyphosate, l’herbicide qui a été pulvérisé en quantités de plus en plus importantes, est en fait un perturbateur endocrinien lié à l’obésité, aux maladies du foie, aux anomalies congénitales, à l’autisme et au cancer. C’est l’étude la plus instructrice sur ces mécanismes toxiques. Il a été observé que la toxine Bt dans le maïs OGM a pu perforer les cellules intestinales et circuler dans les tissus fœtaux.

 

Que ce soit dans le domaine du développement neurologique, de l’auto-immunité et des décès ou même sur la question de la susceptibilité/la prédisposition à la maladie, problèmes vis-à-vis desquels les vaccins devraient pouvoir assurer une protection, les vaccins ont néanmoins démontré qu’ils pouvaient provoquer des problèmes qui ont fait l’objet de dédommagements s’élevant à plusieurs milliards de dollars par le programme national d’indemnisation des dommages vaccinaux (National Vaccine Injury compensation Program) :

 

http://het.sagepub.com/content/31/10/1012.full

http://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/22235057

http://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/21880755

 

Des cas de maladie chronique comme l’atopie et l’autisme ont été mis en évidence et en corrélation avec les taux de vaccination…

 

Suppression des enquêtes

 

Séralini a été réduit au silence. Son travail a été vertement attaqué. Il a été censuré par les médias et des demandes de rétraction de ses publications ont été introduites par des gens ayant des liens avec l’industrie. Plusieurs mois après les publications de Séralini, Richard Goodman, ancien employé de Monsanto a été rapidement nommé au poste de rédacteur en chef adjoint au département de biotechnologie.   Comme Monsanto est maintenant à la tête des revues médicales influentes, les perspectives  pour la publication de recherches indépendantes sont de plus en plus réduites.

 

Le désormais tristement célèbre Andrew Wakefield qui a publié un article sur la présence d’une souche de rougeole vaccinale dans les intestins d’enfants autistes a perdu sa licence d’exercer et accusé de fraude dans une chasse aux sorcières visant à supprimer toute recherche dans cette direction. Heureusement à l’heure actuelle, au moins 28 études indépendantes du monde entier ont confirmé ses conclusions.

 

Protection des bénéfices corporatistes

 

Le « Monsanto Protection Act » a été conçu pour fournir une immunité juridique à la technologie GM afin que des citoyens ne puissent jamais introduire de plainte par rapport à des dommages secondaires à une exposition à des aliments génétiquement modifiés. C’est de cette manière que les sociétés seraient protégées par rapport aux agriculteurs et aux citoyens.

 

Le Programme d’Indemnisation pour Dommages Vaccinaux  a été créé en 1986 pour protéger les sociétés de toute responsabilité de sorte que toute incitation à une politique de sécurité de leurs produits a été éliminée. De la sorte, les citoyens ne pouvaient plus s’engager dans des procès pour demander justice.

 

Conflits d’intérêt et portes tournantes

 

C’est là que la situation dérape et que se trouve la véritable source de la corruption.

 

Lorsque ceux qui règlent un  système qui a besoin de freins et de contrepoids sont les mêmes personnes  qui en profitent et ont profité de sa protection et de sa réussite, nous assistons à une détérioration critique de la situation par rapport à l’intérêt et la patience des consommateurs. […]

 

La liste des personnes interchangeables entre le CDC, l’industrie pharmaceutique et le Comité consultatif des vaccins contribue à augmenter le nombre de conflits car il ne s’agit nullement d’exceptions. C’est notamment en janvier 2010 que Julie Gerberding, ancienne directrice du CDC (Centres de Contrôle et de Prévention des Maladies) est devenue la présidente de l’Unité vaccins chez Merck. C’est en janvier 2011 qu’Elias Zerhouni, ancien directeur du NIOH (National Institute of Health) est devenu président des laboratoires de recherche chez Sanofi-Aventis. On sait que ces relations sont souvent réglées d’avance. Le porte-parole le plus véhément du programme vaccinal est le Dr Paul Offit,  MD, employé de Merck et titulaire d’un brevet pour le vaccin contre le Rotavirus. Cet article illustre les nombreuses couches de conflits d’intérêts qui obscurcissent le jugement des régulateurs. Si vous préférez ne pas lire, voici une courte vidéo.

 

Il est impossible de s’attendre à de l’objectivité dans la recherche ou dans la diffusion de l’information dans pareilles circonstances. Ces conflits d’intérêt minent pratiquement toutes les revendications en matière de sécurité… Ces géants multimilliardaires n’hésitent pas à dépenser quelques dollars quand il s’agit d’influencer les législateurs et les régulateurs. Les projets dont il a été question dans cet article vont finir par se réunir pour produire des vaccins contenant des OGM. Nous faisons déjà partie d’une vaste expérience incontrôlée. Cette situation pourrait ajouter une couche supplémentaire de complexité qui ferait déborder le vase. Si vous pensez comme moi, il n’y a pas de doute que vous vouliez échapper à pareille situation que vous n’avez jamais souhaitée.

 

Il y a cependant un moyen d’en sortir : faire des choix éclairés, faire confiance à son instinct, à son bon sens et voter selon ce qui vous apparaît financièrement le plus judicieux.

 

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Dr Kelly Brogan, M.D.

 

Source : Greenmedinfo

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