Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
11 août 2014 1 11 /08 /août /2014 13:00

Encore une preuve de plus -si besoin en était! -  que TOUS les vaccins sont expérimentaux... après des décennies d'utilisation, voilà que l'establishment scientifique s'aperçoit enfin que les femmes et les hommes ne réagissent pas de la même façon aux vaccins et que les femmes sont davantage sujettes aux effets secondaires! Cela fait déjà des années qu'on sait pourtant que le système immunitaire des femmes est plus "puissant", d'où d'ailleurs leur risque accru de maladies auto-immunes par rapport aux hommes. Mais malgré cela, voilà aussi des années qu'on continue à administrer à toutes les femmes des vaccins aussi dosés que ceux injectés aux hommes, tout en prétextant bien sûr que les vaccins sont très sûrs, que tout est bien évalué et autres bobards. Et bientôt, n'en doutons surtout pas, l'establishment médico-pharmaceutique essayera de vous faire avaler la couleuvre de vaccinations soi-disant de plus en plus "à la carte" et adaptées à votre individualité biologique! Les vaccins "pour femmes" ou "pour hommes" seront hélas aussi expérimentaux que les autres (voyez ici pourquoi).

 

Ci-dessous, un encart paru dans Science & Vie d'août 2014

 

médicaments et sexualité S&V aout 14


Partager cet article
Repost0
6 août 2014 3 06 /08 /août /2014 14:07

Malade après un vaccin, elle se bat depuis 20 ans contre le CHU de Nice

 

Publié le samedi 26 juillet 2014, C.P

   

Patricia-Nervo--victime-du-vaccin-HB-depuis-20-ans.jpg

 

Une infirmière a développé une sclérose en plaques après un vaccin. Elle se heurte, depuis vingt ans, aux réticences de l’hôpital pour faire valoir ses droits.

 

Patricia Nervo, 49 ans, plaque sa main sur une impressionnante pile de dossiers. Dernier document qu'elle va chercher en claudiquant: un jugement du tribunal administratif de Nice qui vient de condamner son employeur, le CHU de Nice, à lui verser la somme de 32 178 euros. Cela correspond à quatre ans et demi d'arriérés de traitement.

 

Le tribunal ordonne également une nouvelle expertise médicale pour chiffrer le préjudice lié à sa sclérose en plaques, une maladie évolutive très invalidante.

 

« En 1991, en tant qu'infirmière, j'ai reçu en trois injections, une vaccination obligatoire contre l'hépatite B, raconte Patricia Nervo. Quelques semaines plus tard, j'ai commencé à souffrir d'un doigt, comme une écharde. Puis de deux, de trois et de la main entière. Je me suis retrouvée incapable de perfuser un patient. »

 

Les médecins tâtonnent, puis découvrent des tâches blanches sur le cerveau de l'infirmière. Le diagnostic tombe en 1992 : c'est une sclérose en plaques.

 

« À cause de ma maladie, j'ai dû ralentir et travailler à 80 % de 2008 à 2011. Or, j'aurais dû percevoir mon salaire dans son intégralité », explique l'infirmière.

 

Aujourd'hui, Patricia Nervo a cessé complètement son travail. Elle est hébergée dans le pavillon de ses parents. Elle souffre de troubles cognitifs, de l'équilibre, a perdu ses dents, s'est fracturée le pied, et subit un traitement à vie pour tenter d'espacer les poussées de la maladie. Des épisodes qui l'affaiblissent à chaque fois un peu plus.

 

« 8 000 euros, le prix de mon silence »

 

Aucune preuve scientifique n'a pu établir un lien formel entre la vaccination et le développement de cette maladie neurodégénérative. (FAUX !!! PAS MOINS de 5 études voir ici !!!!) Mais Patricia Nervo, épaulée depuis plus de quatorze ans par Me Christophe Tora, a obtenu plusieurs décisions de justice, toutes en sa faveur.

 

« Un arrêt du Conseil d'État de 2007, a fixé les conditions dans lesquelles l'État pouvait être déclaré responsable des conséquences d'une sclérose en plaques après une vaccination. Il est dès lors regrettable qu'une partie de la communauté scientifique tente de minimiser les dommages résultant de cette vaccination et que le CHU refuse de prendre en charge sa salariée », s'insurge l'avocat.

 

L'État a longtemps rechigné, puis a tenté de transiger.

 

« À l'origine, la commission de règlement amiable des accidents vaccinaux m'avait proposé 8 000 euros d'indemnisation. C'était le prix de mon silence. J'ai refusé. », note, non sans fierté, l'infirmière.

 

L'infirmière avait obtenu une première réparation de 78 000 euros. L'État avait fait appel. La somme avait été portée à 100 000 euros par la cour administrative de Marseille.

 

L'infirmière a également fait reconnaître le caractère de la maladie « imputable au service».

 

Que de combats pour en arriver là ! Le ministère de la Santé estimait que seule la première poussée de la maladie était liée à la vaccination. Argument que le CHU ne cesse de reprendre au grand dam de sa salariée et son avocat : « Comment le CHU peut-il continuer d'affirmer que cette maladie était consolidée en février 1992, alors qu'il s'agit d'une maladie évolutive ?» s'interroge Me Tora.

 

Le tribunal administratif de Nice dans son dernier jugement, note que le CHU commet « à la fois une erreur de droit et une erreur manifeste d'appréciation » et l'enjoint de régulariser la situation administrative de Mme Nervo.

 

Une énième décision de justice révélatrice du combat incessant et épuisant que mène cette Niçoise à la fois contre la maladie et contre son administration.

 

Christophe Perrin

 

chperrin@nicematin.fr

 

Source : Var Matin

 

Encore un Xème cas qui démontre PARFAITEMENT que les propagandistes de la vaccination ne se soucient en réalité nullement ni de la santé publique, ni de la dignité humaine. Avec la jeune Marie-Océane, elle aussi atteinte de sclérose en plaques mais après le vaccin Gardasil, il y a aussi eu des tirs de barrage, le tabou est si fort, que les experts ont décrété que sa maladie était due à 50% au vaccin et à 50% à son terrain. Cela démontre un malaise évident, celui de devoir reconnaître que les vaccins font en réalité tout l’inverse de ce dont on les glorifie : ils estropient des vies à la pelle, nivelant véritablement par le bas la santé du plus grand nombre pour soi-disant éviter une infime minorité (parmi tous les cas naturels) de complications de quelques rares maladies infectieuses !

 

Tous ces exemples sont cohérents aussi avec le déni des risques, la signature de contrats scandaleux protégeant les fabricants de poursuites pour effets secondaires (comme avec le H1N1), la non communication au public et aux médecins de documents confidentiels de pharmacovigilance dont le contenu aurait pourtant été de nature à modifier radicalement leur comportement et leur consentement. Avec les vaccins, on est en réalité dans une tromperie totale qui opère à l’échelon tant individuel que collectif des drames sanitaires, socio-économiques mais aussi familiaux innombrables ! On ne peut plus à l’heure actuelle encore considérer comme l’a écrit ce journaliste qu’il n’y a pas de preuves de lien entre ce vaccin et la sclérose en plaques (SEP) car ce serait alors du « cherry picking » soit un tri partial d’une certaine littérature scientifique alors que déjà 5 études scientifiques plaident au contraire en faveur d’un lien de causalité entre ce vaccin hasardeux et cette maladie (comme aussi avec bien d’autres, la SEP n’est pas la seule, hélas !)

Partager cet article
Repost0
30 juillet 2014 3 30 /07 /juillet /2014 22:13

Une nouvelle étude d’origine douteuse prétend que les vaccins sont sûrs.

 

Health Science Institute, 17 juillet 2014 – Posté par The Refusers 18 juillet 2014

 

Avertissement : ne vous faites pas duper par cette nouvelle « étude » trompeuse

 

Squelette qui attend …il continue d’attendre que les principaux médias disent enfin la vérité

 

Il s’agit d’un exemple honteux de propagande corporatiste présenté comme une étude scientifique. Et les médias on bien entendu tout avalé. Vous avez sûrement vu cette nouvelle : on la trouvait partout. Les principaux titres évoquaient : «  une grande étude confirme que les vaccinations des enfants sont sans danger » ou ce titre de USA Today : « Une étude montre que les effets secondaires des vaccins sont extrêmement rares » (ou ici, dans le Huffington Post)

 

Cette dernière « recherche » est destinée à « redonner confiance aux parents », ainsi qu’à contrer toute « la désinformation qui circule à propos des vaccins » disent les auteurs.

 

Mais, ils ne sont pas parvenus à camoufler tous les faits, et c’est comme cela que j’ai découvert la vérité choquante qui se cache derrière les gros titres de l’étude.

 

Sachant que le bateau de la vaccination est en train de couler, Big Pharma fait tout ce qu’elle peut pour le maintenir à flot parce que de plus en plus de parents s’interrogent sur la sécurité des vaccins.

 

Ce qui vient d’être publié dans la revue Pediatrics est une tentative éhontée de présenter les choses en faveur des fabricants de vaccins et de leurs produits. Mais quand on se donne la peine de se pencher sur la véritable histoire, on se rend vite compte que ce que disent ces gens ne tient guère la route.

 

Les chercheurs se sont mis à « rassurer » les parents sur la sécurité des vaccins, parce qu’ils estiment que c’est important pour la santé de la population. Et pour ce faire, ils ont repris des données d’études publiées, des fabricants de vaccins, du CDC et des rapports d’autres agences fédérales.

 

Et leur conclusion qui a fait tous les gros titres des médias, c’est que « les vaccins sont très sûrs.»

 

Mais attendez, il existe quelques éléments qui permettent de jeter cette conclusion par la fenêtre.

 

Les chercheurs ont commencé avec 20.000 études, mais seules 67 d’entre elles furent utilisées pour leur rapport. On peut donc vraiment parler de sélection très spéciale (cherry-picking) de leurs données ! 

 

Mais voici ce qui fait que tout ceci revient à une vaste blague. Et si la chose n’était pas si grave, on pourrait en éclater de rire.

 

Les chercheurs ont « oublié » tous les rapports qui ont été envoyés au VAERS – The Vaccine Adverse Event Reporting System ! (Système officiel américain d’enregistrement des effets secondaires des vaccins)

 

Est-ce que l’on plaisanterait ? Ces chercheurs font une étude sur la sécurité des vaccins et ils ne prennent même pas la peine d’y inclure les rapports d’effets secondaires des vaccins envoyés à cet organisme fédéral!

 

Le VAERS a été mis en place et est géré par le Centre de Contrôle des Maladies (CDC) et l’Agence américaine des médicaments (FDA) pour recueillir des données ayant trait aux effets indésirables des vaccins. En outre, les fabricants de vaccins doivent, de par la loi, rendre compte des effets secondaires, et ils connaissent tous l’existence du VAERS.

 

Le VAERS reçoit plus de 30.000 rapports par an et précise que 13% d’entre eux sont « graves » : des choses comme handicaps, maladies mortelles … et décès. Depuis le début de la collecte de données, le VAERS a reçu plus de 200.000 rapports.

 

Et comme par magie, aucun de ces rapports ne figure dans cette « étude »…

 

Les chercheurs ont voulu se donner l’assurance qu’ils agissaient comme s’ils faisaient leur travail. Tout cela, on peut le concevoir si on n’y regarde pas de trop près.

 

Ils ont donc inclus une brève mention de ce qu’ils appellent «des effets secondaires rares mais réels ». Des choses comme le vaccin ROR qui provoque des convulsions, ou le vaccin contre la grippe qui provoque des diarrhées ou le vaccin contre le rotavirus qui donne des troubles intestinaux graves aux enfants.

 

Eh bien, c’est certainement « rassurant » !

 

Mais voici la cerise sur le gâteau qui va expliquer beaucoup de choses :

 

Neuf des 10 auteurs de cette étude proviennent de la corporation RAND : c’est le « think tank » (cellule de réflexion) la plupart du temps financé par le fédéral qui produit les études « officielles » pour soutenir ses sponsors.

 

Et… deux grands « clients » du RAND sont GlaxoSmithKline et Merck (voir notamment le rapport annuel de 2013 du RAND et cette autre page de leur site) !

 

Ces nouvelles ne feront malheureusement pas la Une des journaux. Parce que si la chose arrivait, les gros titres des journaux devraient quelque peu ressembler à ceci :

 

« Une étude sponsorisée par Big Pharma prétend que ses vaccins sont sûrs tout en ignorant 200.000 rapports d’effets secondaires. »

 

Et si ça se produisait, je doute que nous n’ayons jamais eu à raconter cette histoire.

 

Source : The Refusers 

 

Partager cet article
Repost0
26 juillet 2014 6 26 /07 /juillet /2014 20:09

 Une maman de 6 enfants handicapés par les vaccinations accepte la nouvelle Présidence de l’ « Australian Vaccination-Skeptics Network »

 

AVN-famille-grande-photo.jpg

  

Bonjour,

 

Pour les personnes qui ne me connaitraient pas, je suis la maman de 6 enfants dont la santé a été endommagée par les vaccinations, ainsi que celle de deux enfants non vaccinés en parfaite santé. Vous comprendrez aisément que le droit de faire un choix éclairé en matière de vaccination basé sur toutes les informations disponibles me tienne tout particulièrement à cœur.

 

Je dois avouer que j’ai hésité à assumer ce rôle car je savais que moi et ma famille risqueraient de devenir la cible d’opposants. Mais je ne puis laisser la peur dicter ce que je veux faire ou ne pas faire.

 

Mais surtout, je suis la seule voix de mes enfants et je veux m’assurer que par mon intermédiaire leurs voix soient entendues. Je suis également très heureuse de vivre dans une famille merveilleuse qui me soutient et qui me permet de m’impliquer dans cette noble cause.

 

Je mesure l’énormité du travail qui reste à accomplir et je vais faire tout mon possible pour relever le défi. C’est évidemment un grand honneur pour moi d’avoir été nommée à un poste d’une telle importance en particulier dans l’environnement actuel de dénigrement et de discrimination à l’encontre de ceux qui réclament le droit de faire leurs propres choix en matière de santé.

 

AVN-bebe-nouveau-logo.jpg

Nos deux derniers présidents ont permis la création et le maintien de l’AVN dans les situations les plus difficiles, en particulier Meryl qui a dû subir des années de vexation de la part d’individus  qui cherchaient à faire dissoudre notre association, à nous faire taire, comme à faire taire la voix de nos enfants. !

 

Je tiens à les remercier pour tout ce qu’ils ont fait et aussi pour ce qu’ils continuent à faire. Je suis impatiente de travailler avec vous tous, ainsi qu’avec notre nouveau comité pour atteindre de nouveaux et merveilleux objectifs à l’avenir.

 

Tasha David

 

L’Australian Vaccination-Skeptics Network presse tous les parents de très bien se renseigner avant de faire vacciner leurs enfants

 

Australian-Vaccination-Network--mere-et-enfant-.jpg

Nous croyons vraiment que c’est le droit inaliénable des parents de pouvoir choisir ce qui convient le mieux à leurs enfants… On peut dire qu’il s’agit ici de l’une des règles les plus fondamentales de toute société civilisée.

 

Néanmoins les gouvernements de par le monde ont limité ou même nié le droit des parents au libre choix quand il s’agit de vaccinations.

 

L’Australian Vaccination Network déploie toute son énergie afin d’aider les parents à se réapproprier le droit à un consentement libre et éclairé en leur permettant de prendre connaissance de la face cachée de cette importante question avant qu’ils ne prennent une décision. http://www.avn.org.au/

 

 

 AVN-Love-them-protect-them.jpg

 

Partager cet article
Repost0
19 juin 2014 4 19 /06 /juin /2014 20:48

Vaccins et mort subite du nourrisson

Mort-subite-du-nourrisson-et-vaccins.jpg 

Par le Dr Kelly Brogan, MD et Ji Sayer, 13 juin 2014

 

Une nouvelle étude publiée dans Current Medicine and Chemistry , intitulée « Mort subite du nourrisson après le vaccin hexavalent : une étude  neuropathologique », apporte un soutien au lien qui fut longtemps considéré théorique entre un nombre toujours croissant de vaccins infantiles et le Syndrome de la Mort Subite du Nourrisson (SMSN)

 

Le fait que le pic d’âge pour les morts subites du nourrisson est de 2 - 4 mois, ce qui coïncide avec l’introduction de 11 injections contenant 16 vaccins (programme de vaccination aux Etats-Unis), est une cause tellement évidente de préoccupation, que même le CDC a été obligé de répondre directement à l’apparente coïncidence

 

«  De 2 à 4 mois, les bébés ont leur première série de vaccinations. C’est également le pic d’âge pour le syndrome de la mort subite du nourrisson (SMSN). La concordance de ces deux événements a conduit certaines personnes à croire qu’ils pourraient être liés…Comme les bébés reçoivent des doses multiples de vaccins au cours de leur première année de vie et comme le SMSN est la première cause de décès chez les bébés d’un mois à un an, le CDC a entrepris des études de recherche pour trouver des liens possibles. »

 

Il n’est pas surprenant que le CDC (dont le programme pro-vaccins ne se soucie manifestement pas des nombreux effets secondaires graves et inattendus des vaccins, comme en témoigne la littérature médicale), soutienne que les recherches approfondies qu’il a organisées ont abouti à la conclusion que les vaccins ne provoquaient pas la mort subite du nourrisson (SMSN). En dépit du rejet par le CDC, les taux de mortalité infantile sont les plus élevés parmi les pays qui administrent le plus de vaccins au cours de la période de développement la plus vulnérable de l’enfance. Une étude de 2011 publiée dans « Human & Experimental Toxicology » a fait remarquer que le programme de vaccination des enfants de moins d’un an aux Etats-Unis comporte 26 doses de vaccins – le nombre de vaccins le plus élevé du monde – alors que 33 pays ont des taux de mortalité infantiles inférieurs. Ils ont constaté que dans les 34 pays analysés, il existait « une corrélation statistiquement significative entre le nombre de doses de vaccins administrées et l’augmentation des taux de mortalité infantile, avec r = 0,992 (p= 0,0009) ».

 

En outre, une récente étude  publiée dans Vaccine et intitulée :« la co-administration du vaccin vivant contre la rougeole, du vaccin contre la fièvre jaune et des vaccins inactivés pentavalents est associée à une mortalité accrue par rapport à l’administration des seuls vaccins contre la rougeole et la fièvre jaune », cette étude a montré que l’administration de plusieurs vaccins infantiles a considérablement augmenté le risque de mortalité dans un essai mené en Guinée-Bissau (Afrique de l’ouest).

 

Bien que le vaccin hexavalent (= dirigé contre 6 maladies mais contenant plus que 6 antigènes) qui a récemment été lié à des cas de mort subite du nourrisson (SMSN) soit uniquement autorisé en Europe, il existe un certain nombre de vaccins multi-doses « obligatoires » dans le programme de vaccination des Etats-Unis – y compris le Diphtérie-tétanos-coqueluche acellulaire (DTCa), le ROR qui font se poser la question suivante : les risques d’effets indésirables, y compris les risques de décès sont-ils amplifiés avec les vaccins multidoses par rapport aux vaccins à dose unique ?

 

Il existe aussi toute une gamme de vaccins en développement ou qui sont déjà sur le marché et qui sont inclus ou seront éventuellement inclus dans un calendrier de vaccination des enfants en pleine expansion :

 

a)Pentacel (= DTCa, ActHIB & polio injectable/IPV), 

b) Comvax (Hep B & PedvaxHIB), 

c) Pediarix (DTCa, IPV, & Hep B), 

d) ProQuad (= vaccin tétravalent regroupant les valences ROR + varicelle), 

e) ActHIB - HIB & Vaccin contre le tétanos, or HIB & DTCa, 

f) Hiberix (HIB & toxine tétanique), 

g) PedvaxHIB (HIB & antigènes de méningocoques du groupe B), 

h) Menhibrix (méningocoques des groupes C & Y, HIB & toxine tétanique)

i) Menactra (méningocoques des groupes A, C, Y, W-135 & toxine diphtérique)

j) Prevnar-13 (13 souches de pneumocoques & protéine de la toxine diphtérique)

 

Le Dr Larry Palevsky, MD a souligné que :

 

« Même si les vaccins ne contiennent prétendument qu’un antigène bactérien ou viral (comme pour la varicelle et l’hépatite A), il existe dans ces vaccins plusieurs autres antigènes qui les rend de fait multivalents. Et ce sont ces vaccins que l’on administre le plus souvent en même temps que d’autres vaccins, faisant de ces vaccins à antigène unique des injections multivalentes. »

 

Il peut s’agir d’antigènes bactériens, viraux ou même de levures, de toxines environnementales connues, de protéines, d’autres bactéries contaminantes, de virus et de levures. Par définition, tous les vaccins sont multivalents.

 

[…] L’injection du vaccin contre l’hépatite A, bien qu’il soit signalé qu’il ne contient qu’un seul antigène viral, contient en fait de multiples antigènes, comme l’hydroxyde d’aluminium, des acides aminés, du phosphate disodique, du mono phosphate de potassium, du sulfate de néomycine, du polysorbate-20, du chlorure de potassium, du chlorure de sodium et de l’eau. Voir ici notice du vaccin anti-hépatite A de GSK, Havrix

 

Voici les ingrédients pathogènes connus dans le calendrier de vaccination :

 

DTCa – 3 bactéries

 

HIB -1 bactérie

 

Prevnar-13 – 13 bactéries

 

Menactra – 4 bactéries

 

Hépatite B – 1 virus

 

Hépatite A – 1 virus

 

Polio – 3 virus

 

Grippe – 3 virus

 

ROR – 3 virus

 

Varicelle – 1 virus

 

Rotavirus – 5 virus

 

Gardasil – 4 virus

 

Le vaccin combiné Pentacel (DTCa, Polio, HIB) administré à des enfants à 2,4,6 & 15-18 mois contient le vaccin Act-HIB (HIB et Tétanos),avec une multitude d’autres bactéries (diphtérie, coqueluche, tétanos) et 3 antigènes viraux de la polio. Le vaccin combiné Comevax (hépatite B+ HIB), administré trois fois aux nourrissons au cours de leur première année de vie, contient l’antigène viral de l’hépatite B & l’antigène de la levure Saccharomyces cerevisiae avec le vaccin Pedvax HIB (la bactérie HIB + l’antigène bactérien sérotype B du méningocoque Neisseria)

 

Le système immunitaire humain n’aime pas particulièrement jouer avec des antigènes injectés. En d’autres mots, un antigène non bactérien et non viral suscite également des réponses du système immunitaire, comme pour les autres antigènes bactériens ou viraux. »

 

 

Etant donné le nombre d’expositions « antigéniques » dues aux vaccins, singulièrement ou sous forme multi-doses, le nombre de réactions immunologiques possibles chez les nouveau-nés est tout simplement hallucinant – surtout si l’on tient compte du peu de connaissance que nous avons du système immunitaire, du développement du cerveau et de la physiologie du nourrisson.

 

Compte tenu du poids des preuves qui établissent des liens entre les vaccinations infantiles et une mortalité plus élevée, les résultats de ce nouvel article ne devraient pas représenter une énorme surprise.

 

Les chercheurs «  ont examiné un grand nombre de victimes de la mort subite du nourrisson pour pouvoir mettre en valeur une relation causale possible entre  l’administration d’un vaccin hexavalent et la mort subite du nourrisson. » Ils ont sélectionné 110 cas pour examen, et ont trouvé que dans « 13 cas (11,8%) le décès survenait en association temporelle avec l’administration du vaccin hexavalent (dans un délai de 1 à 7 jours). »

 

Aucune des victimes ne présentait d’altérations congénitales du développement des structures cérébrales régulant les fonctions vitales. Bien que des anomalies cérébrales aient été notées, et que les chercheurs précisaient que leur étude ne prouvait pas un lien de causalité entre les vaccins hexavalents et la mort subite du nourrisson, ils ont néanmoins émis l’hypothèse que « les composants du vaccin pourraient jouer un rôle direct dans le déclenchement d’une issue fatale chez les bébés vulnérables. » Ils ont conclu :

 

« Nous soutenons la nécessité de bien étudier les décès qui surviennent dans un court laps de temps après le vaccin hexavalent et que ceux-ci soient soumis à un examen post-mortem en particulier du système nerveux autonome par un expert en anatomopathologie afin de pouvoir évaluer objectivement le rôle causal possible que pourrait jouer le vaccin dans les cas de Syndrome de mort subite du nourrisson (SMSN). »

 

Ceci n’est en aucune manière le premier rapport dans la littérature médicale qui établirait un lien entre les vaccins hexavalents et le SMSN.

 

tombe enfant fotolia

Une recherche rapide sur pubmed.gov en révélera pas mal d’autres dont une première qui date de 2006 et qui a été publiée dans le journal Vaccine, sous le titre : « Cas inexpliqués de mort subite du nourrisson peu après le vaccin hexavalent » et qui conclut après autopsies qu’il s’agissait  « probablement de complications fatales après administration de vaccins hexavalents. »

 

En 2011, une autre étude a été publiée dans Statistics in Medicine intitulée : « Une méthode… pour examiner l’association entre les vaccinations multidoses et les décès », a conclu que sur la base de l’examen de 300 morts subites inexpliquées à la suite de vaccins penta- ou hexavalents, il a été constaté qu’« une augmentation du risque 16 fois supérieure après la 4ème dose pourrait être détectée avec une puissance d’au moins 90% » et qu’ « après la vaccination, une augmentation générale du risque par deux, pourrait être détectée avec une puissance de 80% ».

 

Une autre étude de 2011 publiée dans PLOS, intitulée : « Cas de morts subites et vaccinations durant les deux premières années de vie en Italie : une étude de plusieurs cas » a enquêté sur le signal d’une association entre la vaccination avec le vaccin hexavalent  au cours de la deuxième année de vie et la mort subite du nourrisson (SMSN) dans les deux jours suivant la vaccination. La chose avait été rapportée en Allemagne en 2003. L’étude italienne a cherché à établir si les vaccins hexavalents augmentaient à court terme le risque de SMSN chez les nourrissons. L’étude a analysé les cas de 604 enfants qui sont décédés de la mort subite du nourrisson (MSN). Parmi ces enfants, 244 (40%) avaient reçu au moins une dose de vaccin. Quatre décès se sont produits dans les deux jours qui ont suivi la vaccination avec le vaccin hexavalent, ce qui représente une augmentation de 50% du risque relatif. Le risque relatif de MSN pour les périodes de 0 à 7 jours et de 0 à 14 jours a été de 100% [2.0 RR] et de 50% [1.5 RR]. L’étude a conclu qu’il y avait un risque accru de 120% [2.2RR] associé à la première dose du vaccin hexavalent.

 

De toute évidence, les deux études de cas et les grandes études épidémiologiques confirment la possibilité que le vaccin hexavalent peut être mortel chez des personnes sensibles. La question importante suivante concerne le mécanisme qui est en jeu.

 

L’une des premières études qui ont présenté une explication a été publiée en 2006 dans la revue internationale de pathologie, Virchows Archives et intitulée : « Syndrome de la mort subite du nourrisson (SMSN) peu de temps après l’administration du vaccin hexavalent : une autre pathologie dans les cas suspects de SMSN ? » L’étude a examiné l’analyse des experts de l’Agence Européenne des Médicaments dans le cadre d’une enquête de 2003 portant sur un lien éventuel entre les vaccins hexavalents et 5 cas de décès d’enfants. L’étude en question fait remarquer que ces experts ont accordé trop « peu d’attention à l’examen du tronc cérébral et du système de conduction cardiaque sur des coupes en série. La possibilité du rôle déclenchant du vaccin sur ces décès n’a pas non plus été examinée. » L’étude poursuit en commentant les résultats d’autopsie d’une petite fille de 3 mois qui est décédée soudainement et de manière inattendue immédiatement après l’administration du vaccin hexavalent. L’autopsie a révélé que « le système fœtal de conduction cardiaque présentait une dispersion persistante et une dégénérescence de résorption. » L’auteur a émis l’hypothèse suivante : « la mort inattendue de ce bébé vulnérable (nourrisson avec une hypoplasie bilatérale du noyau arqué ; le noyau arqué est une région de l’hypothalamus) pourrait avoir été déclenchée par le vaccin hexavalent. Ce cas est compatible avec le modèle du triple risque de SMSN [1], une hypothèse incluant une vulnérabilité biologique sous-jacente aux facteurs de stress exogènes et des facteurs déclenchants au cours d’une période critique du développement. »

 

Le rapport a conclu :

 

« Cette affaire offre un aperçu unique par rapport au rôle possible du vaccin hexavalent dans le déclenchement d’une issue fatale chez un bébé vulnérable. Tout cas de mort subite et inattendue se produisant dans la période périnatale et en particulier peu de temps après une vaccination, devrait toujours être soumis à une autopsie complète selon nos lignes directrices. »

 

Une autre étude de cas publiée dans Forensic Science International en 2008 sous le titre « Beta-tryptase et augmentation quantitative des mastocytes dans un cas de mort subite de nourrisson après l’immunisation au moyen du vaccin hexavalent » décrit le cas mortel d’une petite fille de 3 mois qui est décédée dans les 24 heures qui ont suivi l’administration d’un vaccin hexavalent. Les auteurs ont conclu :

 

« … L’insuffisance respiratoire aiguë vraisemblablement due au choc produit après le vaccin hexavalent a été la cause du décès. »

 

La possibilité que le vaccin hexavalent puisse produire un choc a même été reconnue par le fabricant du vaccin. La notice PDF du vaccin hexavalent de GlaxoSmithKline (INFANRIX) décrit les données de surveillance post commercialisation sur les effets indésirables qui, dans la section « Troubles du système nerveux »  mentionne l’effet secondaire suivant : « collapsus ou état de choc (épisode d’hypotonie-hyporéactivité). »

 

Les informations ci-dessus indiquent clairement que le vaccin hexavalent est une cause possible de mortalité infantile attribuée par erreur ou intentionnellement à un syndrome idiopathique c'est-à-dire à une « cause inconnue » de syndrome de mort subite du nourrisson (SMSN) – afin de cacher les risques mortels associés à la vaccination de routine. La question demeure pour les parents : cette « pente glissante » de l’administration simultanée de vaccins pourrait-elle représenter une intervention létale pour mon nouveau-né ? Une question sans cesse éludée en tant que telle alors que la littérature (médicale) suggère pourtant clairement qu’il y a un danger. Il semble qu’il ait fallu la conception des vaccins hexavalents pour pouvoir mettre en valeur l’orgueil démesuré qui a pu présider à l’injection imprudente de matériel immunogène dans le corps des enfants les plus vulnérables.  

 

[1]   Filiano JJ, Kinney HC (1994) A perspective on neuropathologic findings in victims of sudden infant death syndrome: the triple risk model. Biol Neonate 65:194–197

 

Source : Greenmedinfo.com

 

 Les auteurs :

 

Dr-Kelly-Brogan--psychiatre.JPG

Le Dr Brogan est médecin spécialisé en psychiatrie. Elle a une formation allopathique et holistique. Elle s’est spécialisée dans les soins pour la femme à tous les stades du cycle de la reproduction. Elle traite  les symptômes d’anxiété, d’humeur, de la dysphorie prémenstruelle, les troubles liés à la grossesse, la symptomatologie post-partum, ainsi que des maladies liées à la ménopause. Pour en apprendre davantage sur le Dr Brogan : www.kellybroganmd.com. Il est aussi possible de la rejoindre sur Facebook.

 

Sayer J

M. Sayer Ji est le fondateur de GreenMedInfo.com - Il est auteur, éducateur, membre du Comité directeur de la Coalition Mondiale contre les OGM (GGFC), ainsi que membre du Conseil consultatif de la Fédération Nationale de Santé. Il a fondé GreenMedInfo.com en 2008 pour pouvoir apporter au monde un libre accès aux ressources fondées sur des preuves et ayant trait à des modalités naturelles et intégratives. Il est largement connu comme étant la ressource de santé naturelle la plus largement  référencée en son genre.

 

Partager cet article
Repost0
1 juin 2014 7 01 /06 /juin /2014 11:16

Vaccinations : « Des pratiques inutiles et dangereuses » ?

 

Le 01/06/2014 , interview réalisée par Élisabeth Schulthess

 

foire bio Alsace, vaccins

L’association Alis à la Foire éco bio : elle veut obtenir la liberté vaccinale en France,

comme c’est le cas dans la plupart des pays de l’Union européenne. Photo Thierry Gachon

 

Pour ou contre les vaccins ? Le biologiste Michel Georget a argumenté contre, hier à la Foire éco bio d’Alsace à Colmar, revendiquant le droit à l’information et à la liberté.

 

« Je ne suis pas pour ou contre les vaccinations en raison de ce que je sens ou crois, mais après analyse des réalités qui se cachent derrière les mythes », assure Michel Georget, agrégé en biologie, professeur honoraire de biologie des classes préparatoires aux grandes écoles. Il est l’auteur de deux ouvrages sur la question, fruits de plusieurs années de recherches d’informations motivées par le désir de savoir : « Je ne suis pas victime de vaccination, je n’ai aucun compte à régler avec la médecine », précise-t-il.

 

« Les rappels naturels ne se font plus »

 

Dans sa conférence, il a démonté les idées reçues de l’efficacité des vaccins et de leur innocuité. Les maladies infectieuses comme la variole n’ont-elles pas été éradiquées grâce à la vaccination de masse ? « C’est une légende. Et c’est l’OMS, l’Organisation mondiale de la santé qui le dit. La régression des épidémies est surtout due à l’amélioration du niveau de vie, de l’habitat, de l’alimentation, de l’hygiène, de l’accès à l’eau potable. »

 

Et la tuberculose ? « Sa régression ne doit rien au BCG. Elle avait considérablement régressé bien avant l’obligation de vacciner. La régression ne s’est en rien accélérée après l’obligation de vacciner. » En attestent les courbes de mortalité, en France et dans d’autres pays.

 

Il en est de même pour la rougeole et la coqueluche. Pourtant, depuis 2008, on assiste à une recrudescence de ces deux maladies qui ne touchent plus les enfants de 5 à 9 ans mais des nourrissons et des jeunes adultes : « C’est la conséquence de l’extension de la vaccination : le virus sauvage circule moins, les rappels naturels ne se font plus. Les femmes en âge de procréer ne transmettent plus de protection à leurs nourrissons. » L’hépatite B ? « La vaccination a été lancée sans savoir combien de personnes en étaient atteintes. C’était une menace inventée de toutes pièces. Comme celle du cancer du col de l’utérus, que l’on peut éviter par le suivi gynécologique régulier. »

 

Les risques encourus après la vaccination sont loin d’être nuls : « Tous les individus ne répondent pas de la même manière aux vaccins qui peuvent déclencher maladies auto-immunes, allergies, diabètes de type 1… » De plus, les adjuvants comme l’aluminium, peuvent migrer dans le cerveau.

 

La déclaration et l’enregistrement des effets secondaires et accidents après vaccination sont très peu pratiqués : « La pharmacovigilance ne recense que 10 % des accidents. Avant la mise sur le marché, il n’y a pas d’études de mutagenèse, de cancérogenèse, de génotoxicité pour les vaccins », dénonce le biologiste.

 

Y a-t-il un bon rapport coût-bénéfice et ferait-on des économies en vaccinant tout le monde pour éviter les coûts des soins ? « Des études montrent que non. Pour l’hépatite B, vacciner toute la population coûte 20 fois plus cher que de soigner les malades souffrant d’hépatite B

 

« Un marché dicté par la recherche de profits »

 

Alors, pourquoi continue-t-on à rendre les vaccinations obligatoires ? « Parce que c’est un marché dicté par le marketing et la recherche de profit maximal. Les gouvernements financent une partie de la recherche des grands laboratoires privés et subventionnent le prix des vaccins. » Alors que seuls trois vaccins (diphtérie, tétanos, polio) sont obligatoires, on ne trouve sur le marché que six vaccins réunis (rougeole, coqueluche et hépatite B associés aux trois obligatoires) : « Ce vaccin hexavalent coûte beaucoup plus cher que le DTPolio et on ne trouve plus que des vaccins avec aluminium depuis que Mérieux a absorbé Pasteur pour des raisons de rentabilité. »

 

Comme les associations pour la liberté de vacciner, ce biologiste revendique le droit et le devoir d’informer sans la pression du lobby pharmaceutique, ainsi que la liberté de choix des individus.

 

LIRE L’Apport des vaccinations à la santé publique, par Michel Georget, Ed. Dangles, 250 pages. [Initiative Citoyenne vous recommande vivement cet ouvrage!]

 

Source: l'Alsace.fr

 

Interview de Michel Georget dans Principes de Santé de Mai 2014

 

Intervention de Michel Georget au coloque du 22 mai 2014 sur les vaccins à l'Assemblée Nationale (cf.colonne de droite)

 

Vidéos (non exhaustives) de Michel Georget:

 



Partager cet article
Repost0
22 mai 2014 4 22 /05 /mai /2014 21:37

Vaccins à l’aluminium: un débat loin d’être tranché

 

Le 22 mai 2014 par Romain Loury

 

poison-vaccins.jpg

  

La myofasciite, maladie de l'adjuvant aluminium?

 

La polémique sur les vaccins adjuvantés à l’aluminium ne faiblit pas, même entre les scientifiques, comme en témoignent les échanges tenus lors du colloque organisé ce jeudi 22 mai par l’Office parlementaire des choix scientifiques et technologiques (Opecst).

 

Ce jeudi aura vu deux colloques sur les vaccins à l’aluminium se succéder à l’Assemblée nationale: l’un organisé par l’association d’entraide aux malades de myofasciite à macrophages (E3M), l’autre par l’Opecst. Et force est de constater que le consensus est loin d’être acquis quant à un éventuel rôle de l’adjuvant aluminium, employé depuis les années 1920, et la myofasciite à macrophages. Originalité du sujet: il ne s’agit pas d’une simple querelle entre associations et experts, comme c'est souvent le cas, mais d’une réelle controverse entre scientifiques.

 

La myofasciite à macrophages évoque le syndrome de fatigue chronique, avec ses douleurs musculaires et articulaires, sa fatigue généralisée et persistante, ses troubles cognitifs. Et ce en présence de lésions au niveau du muscle –là où a eu lieu l’injection-, avec infiltration de macrophages, des cellules immunitaires, qui s’avèrent chargés de sels d’aluminium.

 

«Personne ne discute le fait qu’il y ait des lésions histologiques avec présence d’aluminium, ou le fait qu’il y a une persistance plus élevée de l’aluminium chez certaines personnes. Mais il n’y a aucun lien entre la persistance de l’aluminium et l’apparition de signes cliniques», a jugé Daniel Floret, qui dirige le comité technique de la vaccination du Haut conseil de la santé publique (HCSP).

 

En janvier 2013, le HCSP avait estimé qu’il n’y avait pas lieu de remettre en cause la balance bénéfices-risques de ces vaccins à l’aluminium, dont le fameux vaccin hexavalent administré aux nourrissons, qui les immunise contre la diphtérie, le tétanos, la poliomyélite, l’hépatite B, la coqueluche, et l’Haemophilus influenzae B.

 

Des résultats plus que suggestifs.

 

Pour François-Jérôme Authier, responsable du Centre de référence des maladies rares à l’hôpital Henri-Mondor (Créteil), nul doute en revanche quant au rôle de l’aluminium dans la myofasciite à macrophages: «Le lien entre les douleurs musculo-articulaires et les lésions est démontré, ainsi que celui entre la fatigue et les lésions». Identifiée seulement en 1993, cette maladie demeure «sous-diagnostiquée», mais il est certain que «si l’on augmente le nombre de vaccins à l’aluminium, on aura forcément une hausse du nombre de cas».

 

Egalement de l’hôpital Henri-Mondor dont il dirige le service d’histologie-embryologie, Romain Gherardi a mis en évidence l’accumulation d’aluminium dans le cerveau de souris, et poursuit ses travaux, désormais financés par l’Agence nationale de sécurité du médicament (ANSM). Une aide financière consentie suite à la grève de la faim effectuée par deux membres de l’association E3M en 2013.

 

Or les résultats préliminaires annoncés par Romain Gherardi lors du colloque semblent conforter l’idée d’un lien de causalité. Analysant un groupe de souris auxquelles il a injecté un vaccin contre l’hépatite B à l’aluminium, le chercheur dit avoir observé, à 135 jours, des signes d’«anxiété, de baisse d’activité et d’endurance physique» par rapport aux animaux-contrôles. Autant de signes «qui ressemblent à ceux de la myofasciite à macrophages» chez l’homme, a-t-il noté.

 

A l’inverse, Jean-François Bach, secrétaire perpétuel de l’Académie des sciences, estime que «la base de l’appréciation d’un vaccin doit se faire sur la base de données épidémiologiques» et que «les modèles expérimentaux ne sont là que pour ouvrir des pistes». Au sujet de la surveillance en population, le directeur général de l’ANSM, Dominique Maraninchi, espère d’ailleurs avoir «des résultats de pharmaco-épidémiologie d’ici la fin de l’année».

 

De nouveaux adjuvants en cours d’étude

 

Face aux incertitudes, la recherche de nouveaux adjuvants se poursuit, mais elle s’avère de longue haleine. Pour Alain Sabouraud, représentant le laboratoire Sanofi Pasteur lors du colloque, remplacer un adjuvant par un autre «n’est pas un changement anodin: cela demande un redéploiement complet des produits, qui prendra 10 à 15 ans au minimum (…). Nous devrons faire la démonstration de la non-infériorité [par rapport aux vaccins actuels], non seulement en termes d’efficacité à long terme, mais aussi d’innocuité».

 

Sanofi Pasteur entretient des relations pour le moins délicates avec l’association E3M, qui a porté plainte contre X en janvier en raison de l’arrêt de commercialisation, en 2008, d’un vaccin DTPolio sans adjuvant aluminium (voir le JDLE). Trois patients atteints de la maladie ont d’ailleurs porté plainte en juillet 2013 pour «atteinte à l’intégrité de la personne, mise en danger de la personne/risques causés à autrui» (voir le JDLE).

 

Egalement évoquée lors du colloque, la campagne de vaccination contre le papillomavirus, car de nombreux doutes subsistent quant à son innocuité –si bien qu’au Japon, il a tout bonnement été décidé de la suspendre. Plusieurs travaux ont suggéré l’existence d’effets indésirables de type neurologique et de maladies auto-immunes.

 

Présent lors du colloque organisé jeudi matin par E3M, le député Jean-Louis Roumégas (EELV, Hérault), a souligné dans un communiqué «l’urgence d’une expertise indépendante, détachée de tout lobby, premier pas fondamental pour restaurer la confiance des Français en leurs autorités sanitaires».

 

Source:  Journal de l'Environnement (pas pour l'image d'illustration)


Partager cet article
Repost0
19 mai 2014 1 19 /05 /mai /2014 19:50

« Syndrome du bébé secoué » : croire ou savoir ?

 

Par Rosa Klein-Baer, 16 mai 2014

 

Syndrome-bebe-secoue-dessin.jpg

   

Le mois dernier, Jennifer Del Prete a été libérée sous caution après avoir purgé près de la moitié d’une peine de 20 ans de prison pour le meurtre d’un enfant dont elle avait la charge.

 

Del Prete – une gardienne sans antécédents de violence qui a maintenu être innocente depuis son accusation – avait été reconnue coupable d’avoir secoué un enfant de 4 mois, Isabella Zielinski,  et qui est tombée inconsciente alors qu'elle en avait la charge. Isabella ne s’est jamais réveillée de son coma et est morte à l’hôpital dix mois plus tard. Les procureurs ont insisté sur le fait qu’il s’agissait d’un cas classique de syndrome violent et intentionnel de bébé secoué (SBS), et qu’ils avaient des experts médicaux pour le prouver.

 

Jennifer-del-prete.jpg

 

Cependant, Matthew Kennelly, le juge de district américain qui a ordonné la libération de Del Prete, ne fait pas du tout confiance au verdict de SBS (Syndrome du bébé secoué). Il n’est pas convaincu que les symptômes typiques utilisés pour diagnostiquer un cas de SBS soient suffisants pour prouver qu’une personne est coupable d’abus ou d’assassinat d’enfant.

 

Dans un document très complet de 97 pages, le juge Kennelly attire l’attention sur le fait que la science traitant du « syndrome du bébé secoué » est à ce point controversée qu’il va jusqu’à suggérer : L’affirmation qu’il s’agit du syndrome du bébé secoué relèverait davantage de la foi que d’une proposition de la science. 

 

La décision du juge Kennelly est révolutionnaire, car elle condamne pour la première fois le diagnostic de SBS comme peu fiable, pourtant utilisé au cours du premier jugement. C’est aussi ce diagnostic qui a été utilisé pour condamner des centaines de personnes accusées d’abus et d’assassinats d’enfants. Depuis 1990, plus de mille cas de SBS  ont été présentés devant les tribunaux. Entre la moitié et les trois quarts de ces cas  se sont appuyés sur la triade de symptômes SBS comme seule preuve médicale.

 

Pendant des décennies, cette triade – hémorragie sous-durale (hémorragies à la périphérie du cerveau), hémorragie rétinienne et œdème du cerveau – a été utilisée par les procureurs comme preuves irréfutables pour préciser virtuellement tous les aspects importants de l’affaire : comment l’enfant est mort (enfant secoué violemment), quel en est l’auteur (la dernière personne qui s’est occupée de l’enfant), ainsi que l’état d’esprit du meurtrier sur la scène du crime (furieux, avec intention).

 

On a supposé que – à l’exception des accidents de voiture ou de la chute à partir d’un immeuble – la seule chose qui pouvait provoquer pareilles hémorragies internes, ainsi que des oedèmes du cerveau ne pouvait s’expliquer que si la dernière personne qui avait la garde de l’enfant l’avait violemment et délibérément secoué.

 

D’autres symptômes physiques tels que contusions et coupures auxquels on pourrait s’attendre dans les cas extrêmes d’abus n’étaient en fait pas nécessaires pour l’établissement d’un verdict de culpabilité. Il n’était pas non plus nécessaire qu’il y ait eu des témoins. Un degré énorme de foi dans les principes scientifiques qui établissaient la triade signifiait que, elle seule (la triade), avait le pouvoir de déterminer une culpabilité.

 

Tout ceci est troublant pour plusieurs raisons et non des moindres puisque la science  qui sous-tend cette triade  est remise en question. Beaucoup de médecins reconnaissent aujourd’hui que les mêmes symptômes qui autrefois étaient utilisés pour conclure définitivement que le SBS avait bel et bien eu lieu, pourraient en fait être causés par d’autres éléments comme des infections et des troubles de la coagulation. D’autres chercheurs ont contesté l’hypothèse qu’il était nécessaire que l’enfant soit secoué violemment et intentionnellement pour que ces symptômes aient lieu.

 

Plus important encore, le cas Del Prete nous rappelle la vulnérabilité du système de justice pénale et nous oblige à nous interroger sur notre propre compréhension des théories scientifiques  qu’il nous arrive de prendre pour des « faits ».

 

La notion que les idées sont toujours susceptibles  de faire l’objet de controverses ou d’être sujettes à changement se trouve au cœur même de la science. Pourtant ce principe essentiel n’a pas été retenu au cours du premier procès de Del Prete, comme au cours de centaines d’autres procès semblables au cours desquels on a estimé que la théorie relative au SBS était suffisante pour envoyer quelqu’un en prison. En faisant confiance à cette théorie de la triade comme étant une preuve évidente de culpabilité, nous faisons dépendre les vies de centaines de personnes  d’une seule idée – une idée que l’on arrive maintenant à considérer fausse.

 

Le cas de Del Prete peut nous apprendre beaucoup sur la controverse qui entoure le SBS. Il nous montre combien il est important et crucial que la preuve ne soit pas exclusivement  basée sur une seule idée. La théorie est importante, mais trop compter sur elle serait comme faire confiance à un seul témoin, alors que d’autres n’auraient strictement rien à déclarer à charge. Les choses doivent être vues de manière complète au cours des jugements, faute de quoi le principe « innocent jusqu’à démontré coupable » perd tout son sens.

 

Source : care2.com

 

« Je n’ai aucun doute que cette affaire du « bébé secoué » finira un jour par être enregistrée comme l’une des pires pages de l’histoire de la pédiatrie. » Dr A. Kalokerinos

     

Voir aussi :

 

Syndrome du bébé secoué & vaccinations : parents et gardiennes sont parfois accusés à tort

 

Certaines accusations infondées de maltraitance d’enfants cachent les funestes effets des vaccinations

 

Le père d'une petite fille emprisonné à perpétuité sans possibilité de libération conditionnelle après que sa petite fille eut reçu 8 vaccins

  

Danger: des vaccins qui déclenchent le syndrome du bébé secoué

 

Nexus n°92, mai-juin 2014 : Bébé secoué : un diagnostic abusif ?

 

Syndrome du bébé secoué: un diagnostic abusif?

 

De dangereux vaccins peuvent provoquer  les symptômes du bébé secoué

 

Une police endoctrinée poursuit des parents pour protéger les vaccins

 

Les effets secondaires des vaccinations et les fausses accusations détruisent des familles 

  

Syndrome du bébé secoué (Dr Mercola) 

 

http://www.wellwithin1.com/shakenbaby.htm

 

http://www.whale.to/vaccines/innis_h.html

 

http://www.whale.to/vaccine/yazbak_sbs.html

 

http://www.whale.to/v/buttram1.html

 

Partager cet article
Repost0
15 mai 2014 4 15 /05 /mai /2014 07:14

Les vaccins surchargent le système immunitaire et sèment des maladies à tous vents chez les enfants : une nouvelle étude le prouve. 

 

Communiqué de presse

13 mai 2014

 

Un nouveau document fournit des preuves convaincantes que les surcharges immunitaires induites par les vaccins, de même que les graves problèmes de santé qui en découlent deviennent la norme et non l’exception chez les enfants américains.

 

Dr-Bart-Classen-immune-overload.jpg

 

Le Dr Bart Classen, MD est immunologiste. Il a créé et supervisé des projets de recherche sur les effets indésirables des vaccins à l’Institut National de Santé, ainsi qu’à l’Institut National des Allergies et de Maladies Infectieuses.

 

Baltimore, 13 mai 2014 / PRNewswire / - Une nouvelle étude évaluée par les pairs a été publiée dans un récent numéro de Molecular and Genetic Medicine (s1 :025)(s1:2014) et présente des preuves convaincantes que l’augmentation rapide du nombre de vaccins administrés aux enfants des Etats-Unis a créé une surcharge immunitaire chez quasi la majorité d’entre eux, et cela se traduit par des problèmes de santé connexes, y compris des épidémies d’obésité, de diabète et d’autisme. Ce nouveau document a été rédigé par le Dr J. Bart Classen, M.D.

 

« Depuis des années, nous avons publié une information qui montre que les vaccins sont à l’origine d’une épidémie de maladies inflammatoires telles que le diabète, l’obésité et l’autisme. Toutefois le nombre de vaccins administrés aux enfants a continué d’augmenter à un point tel que nous avons atteint un état de surcharge immunitaire chez presque la majorité des jeunes enfants américains. Cette nouvelle publication passe en revue les éléments de preuve ayant trait à la surcharge immunitaire et aux nombreux et différents effets sur la santé qui se sont développés chez les enfants suite à leur surcharge immunitaire. », déclare le Dr J. Bart Classen, M.D.

 

La recherche du Dr Claessen indique que le grand nombre de vaccins administrés aux patients conduit à une véritable épidémie d’inflammations chroniques qui, à leur tour, entraînent des épidémies de maladies auto-immunes, des allergies, ainsi que l’obésité et le « syndrome métabolique ».

 

« Les meilleurs données indiquent que les maladies chroniques induites par le vaccin sont aujourd’hui d’une telle ampleur qu’elles éclipsent presque tous les précédents types d’intoxications de l’être humain, y compris l’empoisonnement par des produits comme l’amiante, les radiations à faible dose, le plomb et même les cigarettes. La plupart des patients ne réalisent même pas qu’ils souffrent des effets indésirables des vaccins. Plus grave encore, les patients et/ ou leurs parents sont harcelés, accusés d’avoir adopté de pauvres régimes alimentaires ou des habitudes qui mènent finalement au développement de l’obésité et du diabète, alors qu’en fait ils souffrent d’obésité et de diabète induits par les vaccins. », explique le Dr J. Bart Classen.

 

Source : Marketwatch & Vaccineliberationarmy

 

Autres citations du Dr Bart Classen

 

Dr-Bart-Classen-New-Zealand-Medical-Journal.jpg

« Le vaccin contre l’hépatite B, de même que d’autres vaccins peuvent induire des diabètes insulinodépendants. » New Zealand Medical Journal, 24 mai 1996.

 

« J’ai publié de nombreux articles reliant le diabète aux vaccins. Dans une étude basée sur un essai clinique concernant le vaccin Haemophilus, j’ai montré que le risque du vaccin dépassait le bénéfice. Ce rapport est publié dans le British Medical Journal ».- Dr Bart Classen

 

«  Il m’apparaît clairement que les politiques de vaccination tant militaires que civiles sont inspirées et motivées par la politique et non par la science… Le vaccin contre l’anthrax a été approuvé sans qu’aucune étude clinique contrôlée n’ait été réalisée. Il n’existe aucune donnée de sécurité à long terme à propos du vaccin contre l’anthrax. Le fait a été reconnu par le gouvernement au cours d’une audience du Congrès. C’est une déformation de la vérité que de prétendre qu’il y a des données de sécurité importantes … J’ai publié de nombreux articles  reliant le diabète aux vaccins… » Dr Bart Classen

 

« Le CDC (Centres de contrôle américains et de prévention des maladies) a fait deux études : une sur le diabète et une sur l’asthme…Ces études qui relèvent de la pure science de pacotille (pseudo science) sont essentiellement de la propagande. » (lettre) Dr Bart Classen

 

« Le calendrier de la vaccination affecte le développement du diabète chez les rongeurs », Autoimmunity, 1996, 24 : 137-145.

 

Source : Whale.to

 

Voir aussi: "Le public devrait être informé que les vaccins peuvent avoir des effets secondaires à long terme"

Partager cet article
Repost0
13 mai 2014 2 13 /05 /mai /2014 11:50

Décès de la petite Haylee cinq heures après

son vaccin contre l’hépatite B

   

Par Linda Williams, Fox 10 News, 18 février 2014. (Extraits)

 

Petit-Haylee.JPG

   

Une petite fille de 10 mois est décédée en mai dernier – victime du syndrome de la « mort subite du nourrisson » (MSN) ont dit les enquêteurs …

 

Mais une autre raison pourrait-elle expliquer le décès de cette petite fille ?

 

Haylee-debout.JPG

  

Elle a reçu le vaccin contre l’hépatite B seulement quelques heures avant de mourir. Sa maman et sa grand-mère ont vécu dans l’incertitude, et ne sachant plus la supporter, elles se sont mises à chercher d’autres réponses.

 

« Perdre votre bébé est la pire douleur que vous puissiez jamais ressentir dans votre vie » dit la maman, Kallie Schmidt, la maman de Haylee.

 

Haylee est née le 15 juillet 2012. Elle est décédée juste 10 mois plus tard. « J’étais émerveillée tant elle était belle », dit la maman.

 

« Elle était toute joufflue, pleine de vie, très facile, la plus merveilleuse petite fille qui soit », dit Debbie Moore, la grand-maman. – Nous étions en train de nous téléphoner quand Kallie (la maman) a trouvé Haylee. »

 

La maman : «  j’au eu un choc épouvantable…. Je ne savais plus quoi croire… Je ne pouvais même pas imaginer que ma petite fille était déjà « partie ».

 

La grand-maman : « De toute ma vie je n’ai jamais entendu quelqu’un hurler de pareille façon et je ne veux plus jamais entendre une chose pareille. »

 

Les examens du médecin légiste ont signalé que pour Haylee, il s’agissait d’un cas de MSN ou « mort subite du nourrisson ». Mais la famille de Haylee suspectait qu’il y avait autre chose. Quelques heures plus tôt, le même jour, Haylee avait reçu le vaccin contre l’hépatite B.

 

La maman : Il n’est pas normal que cinq heures après avoir reçu un vaccin, un bébé ne se réveille jamais plus. » […]

 

Maman-de-Haylee-en-pleurs.JPG

                                    

La grand-mère voulut en savoir davantage : « Nous avons, de manière indépendante, fait appel à un médecin légiste. », déclare-t-elle. Voici son rapport : Le Dr Steven Rostad a constaté que la rigueur de l’autopsie n’était pas extraordinaire et que l’enfant « ne montrait aucun signe de MSN (Mort subite du nourrisson) » Au lieu de cela, Haylee montrait les caractéristiques d’une réaction allergique généralisée probablement due à la vaccination qui avait été administrée plus tôt dans la journée. »

 

La grand-mère de Haylee : « Son rapport a montré qu’il s’agissait absolument du vaccin. »

 

Deces-de-Haylee.JPG

 

Mais le Dr Justin Wheeler, résident en chef à l’hôpital pour enfants de Phoenix qui n’est intervenu d’aucune manière dans le cas de Haylee a déclaré : « Ce vaccin est universellement recommandé pour tous les enfants », il connaît le vaccin que la petite a reçu et le bien qu’il peut réaliser : « Les avantages l’emportent largement sur les risques chez 99,9% des enfants. » déclare-t-il.

 

Pour le Dr Matthew Baral, (Southwest College of Naturopathic Medicine) qui n’est lui non plus pas du tout lié au cas de Haylee, déclare : « Beaucoup de parents ne sont guère intéressés à faire administrer cette vaccination à leur nouveau-né. »

 

« Les risques d’un choc anaphylactique après un vaccin sont très rares, de l’ordre de 1,5/million. »

 

Aujourd’hui, Kallie (la maman) et sa propre maman veulent faire circuler l’information : « On m’avait dit que le vaccin était sans danger et il ne l’est pas » déclare la maman de la petite fille défunte.

 

Elles veulent que les parents puissent prendre en considération les conséquences possibles d’un vaccin qui, comme elles le croient fermement, a tué la petite Haylee. « Je ne veux pas que d’autres parents passent par la douleur que j’ai dû vivre en perdant ma petite fille », ajoute la maman.

 

Comment pourraient-elles oublier cette merveilleuse petite fille qui leur a été volée dans la nuit ?

 

Le débat sur les bénéfces/risques du vaccin hépatite B et d’autres vaccins dure depuis des années et n’est pas prêt de s’arrêter.

 

Source : Vaccinationinformationnetwork

Partager cet article
Repost0

                    

Recherche

Contact

 

initiative.citoyenne[at]live.be

Courriers Aux Autorités & Autres Documents Importants

Ce site refuse de cautionner le label HONcode.

Ce site refuse de cautionner le label HONcode    

Ce site soutient Nurpa pour la liberté d'internet

Boutton de soutien à la NURPA