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26 mars 2014 3 26 /03 /mars /2014 18:14

22 études médicales montrent que

les vaccins peuvent provoquer l’autisme

 

Bébé piqué 22 études

 

 

 Par Arjun Walia, 12 septembre 2013

 

Les inquiétudes concernant les vaccinations continuent d’augmenter de manière exponentielle à la lumière de toutes les informations et de la documentation qui a émergé au cours de ces quelques dernières années. En conséquence, les médias corporatifs ont voulu répondre aux médias alternatifs en déclarant que l’augmentation du nombre de personnes qui choisissent de ne pas vacciner ou de ne pas suivre le calendrier vaccinal est le résultat d’une tactique qui vise à semer la peur.

 

La chose n’est pas trop surprenante étant donné le fait que les médias corporatifs sont détenus par les principaux fabricants de vaccins, et que les principaux fabricants de vaccins sont la propriété des médias d’entreprise. [1], [2], [3], [4]. Compte tenu de ce fait, il est facile d’imaginer la possibilité que ces institutions tentent désespérément de protéger la réputation de leurs produits.

 

Par exemple, GlaxoSmithKline et Pfizer sont détenus par les mêmes institutions financières et par les groupes qui possèdent Time Warner (CNN, HBO, etc.) et General Electric (NBC, Comcast, Universal Pictures, etc.) [1], [2], [3], [4]. On peut facilement se rendre compte de la situation au travers de tous les principaux fabricants de vaccins et des six sociétés qui contrôlent les médias traditionnels. Il convient de garder à l’esprit qu’il s’agit là des principaux bailleurs de fonds de toute la « recherche médicale » qui est utilisée pour justifier l’administration des médicaments et des vaccins. En dépit de toutes ces connexions, la recherche médicale et la documentation qui existent peuvent montrer que les vaccins pourraient bien constituer une réelle cause de préoccupation.

 

Vaccins et autisme, les deux faces de la médaille

 

Nous voulons ici présenter les deux faces de la médaille parce que nombreuses sont les personnes qui ne sont même pas au courant qu’il existe deux faces. De notre côté, nous présentons de nombreuses études, nous citons plusieurs articles de recherche, nous publions des recherches menées par des médecins et des universités du monde entier. - Les fabricants de vaccins et les « experts » médicaux ayant des liens avec l’industrie du médicament ont, depuis plus de 30 ans, été au courant des multiples dangers liés à la vaccination. Nous tenons aussi à montrer que la recherche médicale a mis en lumière les nombreux dangers associés aux vaccins et l’a fait savoir à de multiples occasions. Nous faisons cette publication parce que la sécurité des vaccins est régulièrement mise en valeur par les médias traditionnels sans que ceux-ci mentionnent ou citent l’abondante recherche médicale qui devrait impérativement être prise en considération lors de l’examen des vaccinations. Veuillez, s’il vous plaît, garder à l’esprit que des preuves existent bien des deux côtés. Les preuves de ceux qui ne peuvent envisager la vaccination dans une perspective positive  ont été taxées de frauduleuses. Mais encore une fois, nombreux sont ceux qui échappent à des jugements aussi tranchés.

 

Le débat vaccin-autisme existe depuis des années. En février 1998, le Dr Andrew Wakefield, un gastroentérologue britannique a publié avec des collègues un document qui était censé lier l’autisme aux vaccins [5]. Plus précisément, il a affirmé que le vaccin ROR était responsable d’une inflammation intestinale qui conduit à la translocation de peptides qui ne pénètrent pas dans la circulation sanguine et par la suite dans le cerveau où ils peuvent affecter le développement. [5] Son travail n’a pas été publié, et il a perdu sa licence médicale malgré le fait que plusieurs études semblent bien soutenir ses travaux. (voir ici et ici)

 

Le Dr Wakefield a été qualifié de fraudeur par le monde médical. Certains experts prétendent que ses recherches et ses méthodes sont faibles et basées sur très peu de preuves. Nous avons décidé de ne PAS utiliser les recherches de Wakefield dans cet article.

 

Je dois signaler que plusieurs études à travers le monde ont conclu qu’il n’y avait aucun lien entre l’autisme et le vaccin ROR. [5] Le sujet pourrait facilement prêter à confusion du fait que de nombreuses études médicales se contredisent l’une l’autre. Le Dr Wakefield aurait-il contribué à révéler des choses que l’industrie médicale ne voudrait pas que vous sachiez ? On sait que les fabricants de vaccins dissimulent les données qui ne sont pas favorables à leurs produits, comme illustré dans un précédent article. Quoi qu’il en soit du vaccin ROR et du débat sur l’autisme, il existe un nombre d’études qui établissent un lien possible entre les vaccins et l’autisme. Veuillez s’il vous plaît garder à l’esprit que plusieurs tribunaux à travers le monde ont tranché en faveur du fait que des vaccins sont susceptibles de causer l’autisme, des dommages cérébraux et autres complications [6], [7], y compris le vaccin ROR.

 

Ci-dessous, vous pourrez trouver une liste de 22 études médicales qui montrent des connexions possibles entre les vaccins et l’autisme. Veuillez aussi, s’il vous plaît, garder à l’esprit que dans cet article nous nous sommes limités à 22 études, alors que de nombreux autres articles publiés documentent ce lien. Nous voulons espérer que cet article pourra vous inspirer à poursuivre votre propre recherche sur le sujet. Il convient également de bien garder à l’esprit que l’autisme n’est qu’une des multiples conséquences de l’administration des vaccins qui ont été mis en relation avec  un certain nombre d’autres maladies.

 

Une étude publiée dans le journal Annals of Epidemiology

http://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/21058170

 

Une étude publiée dans le Journal of Inorganic Biochemistry

http://omsj.org/reports/tomljenovic%202011.pdf

 

Une étude publiée dans le Journal of Toxicology and Environmental Health

http://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/21623535

 

Une étude publiée dans le Journal of Toxicology

http://www.hindawi.com/journals/jt/2013/801517/

 

Une étude publiée dans le Journal of Biomedical Sciences

http://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/12145534

 

Une étude publiée dans Annals of Clinical Psychiatry

Suggère que l’autisme est probablement déclenché par un virus et que le virus de la rougeole (VR et/ou Vaccin ROR) pourrait être un excellent candidat.

 

Une étude publiée dans The american Journal of Clinical Nutrition

http://ajcn.nutrition.org/content/80/6/1611.full

 

Une étude publiée par le Department of Pharmaceutical Sciences (Northeastern University, Boston)

http://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/14745455

 

Une étude publiée dans le Journal of Child Neurology

http://jcn.sagepub.com/content/22/11/1308.abstract

 

Une étude publiée dans le Journal of Child Neurology

http://jcn.sagepub.com/content/21/2/170.abstract

 

Une étude réalisée par le Massachusetts General Hospital

http://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/16151044

 

Une étude conduite par le Department of Pediatrics at the University of Arkansas 

http://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/15527868 

  

Une étude publiée par The Public Library of Science (PLOS)

http://www.plosone.org/article/info%3Adoi%2F10.1371%2Fjournal.pone.0068444

 

Une étude réalisée par The University of Texas Health Science Center

http://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/16338635

 

Une étude publiée dans the International Journal of Toxicology

http://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/12933322

 

Une étude publiée dans The Journal of Toxicology and Environmental Health

http://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/17454560

 

Une étude publiée par The US National Library of Medicine

http://civileats.com/wp-content/uploads/2009/01/palmer2008.pdf

 

Une étude réalisée par The Department of Obstetrics and Gynecology (University of Pittsburgh’s School of Medicine) 

http://www.ane.pl/pdf/7020.pdf

 

Une étude réalisée par The George Washington University school of Public Health

http://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/18482737

 

Une étude publiée dans le journalCell Biology and Tocicology

http://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/19357975

 

Une étude publiée dans le journal Lab Medicine

http://labmed.ascpjournals.org/content/33/9/708.full.pdf

 

Une étude publiée dans le journal Neurochemical Research

http://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC3264864/?tool=pubmed

 

Références:

[1]
http://investors.morningstar.com/ownership/shareholders-major.html?t=GSK

[2]http://finance.yahoo.com/q/mh?s=twx+Major+Holders


[3]http://finance.yahoo.com/q/mh?s=ge+Major+Holders


[4]http://finance.yahoo.com/q/mh?s=pfe+Major+Holders


[5]http://cid.oxfordjournals.org/content/48/4/456.full


[6]http://www.ebcala.org/unanswered-questions


[7]http://www.collective-evolution.com/2013/07/07/courts-rule-mmr-thimerosal-containing-vaccines-caused-autism-brain-damage/


Arjun Walia écrit pour Collective-Evolution où cet article est d'abord paru. Son mail de contact est le suivant: arjun[at]collective-evolution.com 


Un autre article publié sur Whale.to fait état, lui, de 30 études et non pas 22. Quoi qu’il en soit, il est évident que ceux qui osent vous dire, au nom des autorités publiques, qu’il n’existe AUCUNE étude étayant cette liaison entre vaccins et autisme, non seulement vous mentent mais en plus mettent en danger la santé et l’intégrité de vos enfants. La Science actuelle est en réalité prostituée (le mot n’est absolument pas trop fort) et c’est dans ce contexte qu’elle choisit évidemment d’ « adouber » comme seules valables les grandes études officielles qui sont payées par les fabricants et qui font systématiquement état des seuls intérêts qui les arrangent !

 

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23 mars 2014 7 23 /03 /mars /2014 13:35

Scorbut tissulaire induit par les vaccins et mondialement confondu avec le diagnostic de maltraitance d’enfants.  

Scorbut-chez-un-enfant.jpg

 Christina England, Vactruth 19.03.2014

 

Le papa de l’enfant que vous voyez sur la photo que nous publions a été condamné à la prison à vie pour maltraitance d’enfants. Nombreux sont ceux parmi vous  qui en voyant les terribles blessures que présente cet enfant, seront immédiatement tentés, comme l’ont été les médecins qui l’ont examiné, de supposer qu’il a été sauvagement agressé et que l’on a eu raison de mettre son père en prison.

 

Je dois cependant vous dire que cet enfant avait en fait été atteint de la maladie de Kawasaki, connue aussi sous le nom de scorbut des tissus, et que son père a été finalement déclaré innocent 

 

Grâce au merveilleux travail du Dr Michael Innis et à un groupe d’experts, l’enfant est aujourd’hui heureux, en excellente santé, il est rentré dans sa famille. Son papa a été innocenté et est sorti de prison.

 

Qu’est-ce que la recherche nous apprend au sujet des tissus scorbutiques ?

 

Des études ont révélé que des parents et des soignants à travers le monde sont faussement  accusés de maltraitance d’enfants lorsque ceux-ci développent une maladie auto-immune, présentent des tissus scorbutiques après des vaccinations.

 

Dans une étude récente, le Dr Michael Innis a déclaré :

 

«  Certains médecins ne connaissent pas les processus physiopathologiques de l’auto-immunité, de l’hémostase et de l’ostéogenèse et diagnostiquent mal les tissus scorbutiques induits par la vaccination suite à la carence en vitamine C dans les cellules… »

 

Dans son article « Tissus auto-immuns scorbutiques diagnostiqués à tort comme maltraitance d’enfants », il présente trois cas d’enfants qui ont souffert de symptômes imitant ceux du bébé secoué pour lesquels les parents ont été accusés de maltraitance d’enfants.

 

Dans la suite, on a cependant découvert que les trois parents étaient innocents et que leurs enfants avaient souffert de maladie auto-immune connue sous le nom de scorbut tissulaire.

 

Le Dr Innis a écrit :

 

«  Le scorbut tissulaire, contrairement au « scorbut des gens de mer » d’antan est une maladie dans laquelle le vitamine C est abondante dans le sang, mais est incapable de pénétrer dans la cellule en raison d’un manque d’insuline nécessaire au transfert de la vitamine C dans la cellule. »

 

Le Dr Innis a aussi déclaré que :

 

« Les nombreux visages du scorbut tissulaire de l’enfance comprennent la mort subite du nourrisson, des traumatismes supposés non accidentels, le syndrome du bébé secoué, des dommages cérébraux, le syndrome de Reye, la maladie de Kawasaki, l’anaphylaxie et le diabète de type I. » [1]

 

Le Dr Innis croit fermement que les médecins diagnostiquent mal le scorbut tissulaire (absence de vitamine C dans les cellules)

 

Dans un document impressionnant publié l’année dernière par le « Science Publishing Group », il écrivait :

 

« Dans tous les cas qui ont été sérieusement examinés et pour lesquels, les tests appropriés ont été réalisés, on a pu trouver les preuves que les médecins ont mal interprété les preuves de laboratoire. Il se pouvait également qu’ils n’étaient pas au courant de l’importance de tests anormaux suggérant qu’un scorbut tissulaire était la cause des problèmes. »

 

Scorbut-chez-un-enfant--2-.jpg

 Le père de cet enfant a été accusé de maltraitance et mis en prison.  

 

Un deuxième document du Dr Innis révèle des résultats similaires

 

Dans un deuxième document sur le sujet, le Dr Michael Innis  signale qu’il est postulé que la maladie de Kawasaki est un scorbut tissulaire, une maladie que l’on retrouve souvent chez les enfants de moins de cinq ans. Les enfants souffrant de cette maladie présentent habituellement de la fièvre, des rougeurs aux yeux, des lésions de la peau, des taches rouges, des lèvres crevassées, des modifications dans la bouche, un gonflement des mains et des pieds et le gonflement des ganglions lymphatiques du cou.

 

Décrivant le cas présenté  sur la première photo, le Dr Innis déclare :

 

« Un enfant présentant les signes et symptômes de la maladie de Kawasaki a été diagnostiqué comme souffrant de traumatismes non-accidentels. Les recherches ont été entreprises pour prouver qu’il y avait une déficience d’insuline et un dysfonctionnement hépatique. On a constaté qu’il y avait des preuves d’hyperglycémie, ce qui implique une carence en insuline. Les tests de la fonction hépatique étaient anormaux. »

 

Il poursuit :

 

«  La maladie de Kawasaki est une maladie auto-immune qui peut survenir après une stimulation antigénique chez un enfant génétiquement sensible qui provoque une carence en insuline et l’échec de l’absorption cellulaire de la vitamine C, le scorbut tissulaire qui peut être confondu avec la maltraitance des enfants. Il a été prouvé que les vaccins peuvent provoquer de l’hyperglycémie chez les enfants et être une cause de la maladie de Kawasaki. »

 

Tout au long de sa description, il a montré comment certains signes vitaux échappent aux médecins qui préfèrent souvent en arriver  de suite à la conclusion que l’enfant a été gravement maltraité par les personnes qui s’en occupent plutôt que d’approfondir l’enquête en vue de réellement trouver la vérité. […]

 

Le point de vue d’un autre spécialiste sur les tissus scorbutiques.

 

Le Dr Innis n’est pas le seul professionnel qui a établi un lien entre les vaccinations et la maladie de kawasaki. En 2000, la psychologue Lisa Blakmore-Brown a écrit Reweaving the Autistic Tapestry, un livre sur l’autisme  et les troubles apparentés.

 

Un des chapitres de ce livre est consacré à une petite fille qu’elle avait appelé Lorelei. Cette petite Lorelei avait vraiment très mal réagi au vaccin contre la coqueluche et  ces effets indésirables avaient  été pleinement documentés par le « National Health Service » (NHS) dans le dossier d’hôpital de l’enfant. Pour Lorelei, le diagnostic a été « Syndrome d’Asperger » et maladie de kawasaki.

 

En 2001, Madame Blakemore-Brown a souligné le cas au cours d’une réponse brève sur le site du British Medical Journal en réponse à un article intitulé Une Etude Finlandaise Conforme la Sécurité du Vaccin ROR. [3] Etonnamment, sa réponse a été publiée avec une note indiquant que l’éditeur avait vérifié les faits et que les parents de l’enfant avaient donné leur accord pour la publication du document.

 

Madame Blakemore-Brown a écrit:

 

“Dans un des cas que j’ai connus où il y eut une réaction évidente et incontestable au vaccin anticoquelucheux, l’enfant a fait la maladie de Kawasaki, son propre système immunitaire s’étant retourné contre elle. Il s’agissait d’un cas d’Asperger. Il n’y a pas de cas d’autisme dans la famille, mais l’enfant avait souffert d’allergies avant la vaccination. C’est l’examen scientifique de cas comme celui-ci qui vont nous permettre de finalement mettre en place des mesures qui pourront rassurer le public. » [3]

 

Les premiers liens ont déjà été découverts à partir de 1962

 

Le regretté Dr. Archie Kalokerinos a été l’un des premiers professionnels à établir un lien entre la vaccination et le scorbut. C’est en s’occupant des aborigènes australiens qu’il a, en 1962 et pour la première fois, remarqué qu’il y avait un problème.

 

Il a remarqué qu’il y avait un taux de mortalité extrêmement élevé chez les enfants récemment vaccinés. Après avoir rejeté les explications habituelles, ses recherches l’ont amené à la conclusion que les enfants dont il s’occupait souffraient d’un manque grave de vitamine C, ou scorbut.

 

Le Dr Kalokerinos a parlé de ses expériences dans le monde entier et publié ses recherches dans de nombreux livres et articles. Cependant, quand il fit part de ses inquiétudes au gouvernement, ce dernier, au lieu d’enquêter sur la question (comme le Dr Kalokerinos l’avait souhaité), manifesta une extrême hostilité envers Kalokerinos.

 

Au cours d’une interview reprise dans l’ « International Vaccine Newsletter » de juin 1995, il a déclaré :

 

«Au début, c’était juste une simple observation clinique. J’avais remarqué qu’après avoir reçu les vaccins de routine contre le tétanos, la diphtérie, la polio, la coqueluche etc., beaucoup de nourrissons tombaient malades, parfois gravement malades et mouraient. Il s’agissait d’une observation et non d’une théorie. Ma première réaction a été de rechercher les raisons de cette situation. Bien entendu, j’ai observé que ces problèmes étaient davantage susceptibles de se produire chez des nourrissons qui étaient malades au moment de recevoir un vaccin, qui avaient été récemment malades ou chez lesquels une maladie était en incubation… J’ai pu remarquer que certaines réactions aux vaccins n’étaient pas celles qui avaient été répertoriées dans la littérature classique. Ces enfants ont parfois eu des réactions très étranges. 

 

Une troisième observation : j’ai pu observer que je pouvais inverser certaines réactions qui normalement aboutissaient à la mort en administrant de la vitamine C par voie intramusculaire ou intraveineuse.»

 

Extrêmement préoccupé par toutes ses observations, le Dr Kalokerinos a tenté d’alerter le gouvernement. Ce qui s’est passé ensuite l’a profondément choqué. Il explique :

 

« On aurait pu s’attendre, bien sûr, à ce que les autorités s’intéressent à ces observations qui ont permis d’aboutir à une baisse spectaculaire des décès de nourrissons de la région où j’exerçais. Mais au lieu de s’intéresser à la question, ces gens eurent une réaction d’extrême hostilité. Ils ont exigé que j’approfondisse la question de la vaccination. Et, au plus je cherchais, au plus j’étais choqué. […]

 

« Ces organisations veulent faire croire qu’elles sont là pour sauver des enfants, mais en fait ce n’est pas le cas. Je veux bien entendu surtout parler de ceux qui se trouvent tout en haut, au sommet. En dessous de ces niveaux, il y a des médecins et des professionnels de la santé, comme moi-même, qui ne comprennent pas vraiment ce qu’ils font. »

 

Des années de recherches ont conduit le Dr Innis à conclure et à penser qu’il existe une tendance à accuser faussement des parents d’avoir secoué leur enfant et que ce syndrome du bébé secoué est à mettre en relation avec le scorbut.

 

Dans son dernier livre, le Dr Innis écrit :

 

« Après avoir étudié plus de 50 cas du Syndrome du Bébé Secoué, je n’ai pas encore trouvé un seul cas où l’on ait réalisé une histoire complète de la famille, de l’enfant, ainsi qu’une évaluation correcte de tous les éléments ayant trait aux facteurs de coagulation et d’hémorragies. Souvent, c’est à un stade précoce que l’on établit un diagnostic de traumatisme dû à des secousses, et toute autre enquête est considérée comme inutile. Depuis de nombreuses années, il est parfaitement connu que des hémorragies rétiniennes, des hémorragies sous-durales ou autres types d’hémorragies peuvent se produire dans des cas de scorbut »  [5]

 

Tout au long de son livre, il a identifié la vaccination comme étant la principale cause du scorbut chez les jeunes enfants d’aujourd’hui.

 

Conclusion

 

Sur un plan mondial, je m’efforce d’aider des parents faussement accusés. Je suis actuellement au courant d’au moins sept parents qui ont été accusés à tort et dont les enfants sont tombés malades après avoir reçu plusieurs vaccinations. Dans quatre de ces cas, les tests ont pu mettre en valeur que, non seulement les enfants n’avaient pas été maltraités, mais qu’ils avaient souffert de scorbut tissulaire auto-immun.

 

Pourquoi les gouvernements du monde mettent-ils leur tête dans le sable en refusant catégoriquement d’enquêter sur pareille atrocité ? Tous les jours, des parents INNOCENTS sont jetés en prison et accusés des crimes les plus horribles et il semble que personne ne s’en soucie.

 

Les preuves parlent d’elles-mêmes : non seulement les vaccinations nuisent à la santé de nos enfants, mais on s’arrange notamment, pour camoufler ce fait, en accusant les parents de maltraiter de leurs enfants.

 

Je souhaiterais pouvoir exprimer toute ma gratitude au Dr Michael Innis pour son merveilleux et incessant travail, sans les efforts duquel de nombreux parents innocents seraient toujours en prison aujourd’hui.

 

Références

 

1.http://www.sciencepublishinggroup.com/journal/paperinfo.aspx?journalid=151&doi=10.11648/j.cmr.20130206.17
2. www.sciencepublishinggroup.com/pdf/10.11648.j.ajim.20130102.13.pdf
3. http://www.bmj.com/content/322/7279/130.3?tab=responses
Scroll down to read her response.
4.http://www.vaccinationinformationnetwork.com/an-interview-with-dr-archie-kalokerinos-md/
5. http://www.vaccinationcouncil.org/2012/08/14/dr-kalokerinos-last-book/
Page 11 – Link to PDF only

 

Source : Vactruth 

 

Voir aussi les articles connexes suivants :

 

Syndrome du bébé secoué & vaccinations : parents et gardiennes sont parfois accusés à tort

 

Le père d’une petite fille emprisonné à perpétuité sans possibilité de libération conditionnelle après que sa petite fille ait reçu 8 vaccins !

 

Un bébé de cinq mois meurt peu après avoir reçu 8 vaccins : les parents sont accusés de meurtre

 

Parmi les effets secondaires des vaccins (Prevenar notamment)... le syndrome de Kawasaki

 

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16 mars 2014 7 16 /03 /mars /2014 21:30

Le livre "Nanotoxiques" est le fruit d'une enquête rigoureuse du journaliste et philosophe Roger Lenglet (aux éditions Actes Sud). Ce livre sort le 19 mars prochain en librairies. Voici sans plus attendre un petit résumé du contenu de cette enquête indispensable et salutaire. (A noter -cf plus bas dans cet article - que des nanoparticules font déjà partie de plusieurs vaccins!):

 

 

 

Les nanoparticules se trouvent AUSSI dans les vaccins et ceci alors que ceux qui les y mettent n'ont pas étudié suffisamment leur fonctionnement. Ces vaccins sont donc aussi mal évalués que tous les autres!

 

En juin 2011, une équipe de chercheurs publient une étude dans laquelle ils signalent :

 

« Pour accroître la protection fournie par ces vaccins (contre la grippe), nous avons utilisé comme adjuvant des nanoparticules faites à partir de protéines de l’enveloppe d’un virus qui affecte la papaye (le virus de la mosaïque de la papaye). Donc, les vaccins grippaux saisonniers adjuvantés avec ces nanoparticules PapMV peuvent induire une protection universelle contre la grippe, ce qui est une avancée majeure en cas de survenue d’une pandémie. »

 

Plusieurs des chercheurs qui ont publié cela en 2011 republient sur le même sujet en juillet 2013 dans The Journal of Immunology, en avouant :

 

«Cependant, le mécanisme qui confère ces propriétés immunomodulatrices aux nanoparticules du virus de la mosaïque de la papaye et sa capacité à permettre le développement de vaccins visant les cellules-T, restent inconnus. »

 

En mai 2013, un article du journal canadien Le Devoir signalait que les vaccins antigrippaux pour l'hiver 2013-2014, soit cet hiver, contiendraient des nanoparticules (avec des vaccinés une fois de plus cobayes!)

 

Voir aussi ici (sur le site du gouvernement québéquois):

 

nanoparticules-dans-les-vaccins.JPG

 

 

 

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14 mars 2014 5 14 /03 /mars /2014 11:00

    L’épidémie silencieuse 

L’histoire cachée des vaccins (octobre 2013): un aperçu   

 

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« Aucun américain ne devrait être obligé de jouer à la « Roulette » vaccinale avec ses enfants ! » Barbara Loe Fisher, Présidente du NVIC américain

 

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Audition du Dr J. Levitan, MD au Congrès américain

 

«Je suis le Dr Janet Levitan. Je m’adresse à vous en tant que clinicienne. Je suis pédiatre depuis 1992. J’ai vu un bébé mourir subitement quelques heures après avoir été vacciné. Ce drame s’est encore reproduit deux fois au début de ma carrière médicale.» Dr Janet Levitan, pédiatre.

 

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« Ma fille Amanda a dû être hospitalisée après avoir reçu le vaccin Gardasil. Sa santé s’est progressivement détériorée. On a découvert qu’elle souffrait de leucémie et de troubles neurologiques. » Dr Scott Ratner, M.D, cardiologue.

 

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Emily Tarsell est la maman d’une jeune-fille qui est décédée après avoir reçu le vaccin contre le HPV.

 

« Je ne parvenais pas à croire qu’ils pouvaient mettre la vie de nos enfants en danger. J’étais d’une naïveté incroyable. Ma fille a reçu un vaccin dont elle n’avait pas besoin. L’information que nous avons reçue à ce sujet était fausse et incomplète. Ma chère fille n’aurait jamais dû mourir ! »

 

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Isabell Thomas est la maman de deux garçons, victimes du vaccin ROR (Rougeole, Rubéole,Oreillons)

 

« Comment les médecins peuvent-ils permettre que nos enfants souffrent à ce point ? »  Isabella Thomas.

 

Dr-Sherri-Tenpenny-2011.JPG 

« Quand les enfants auront atteint, l’âge d’un an, ils auront reçu quelques 70 antigènes vaccinaux et quantités de produits chimiques » Sherri TENPENNY, ostéopathe.

 

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« Quand j’entends des déclarations comme celle du Dr Paul Offit qui prétend qu’un bébé peut recevoir jusqu’à 10.000 vaccins à la fois, il m’est difficile de décrire les émotions qui s’emparent de moi. C’est de la rage que j’éprouve quand je réalise l’audience que cet homme parvient à obtenir, comme à retenir toute l’attention des médias. Pareille attitude me paraît catastrophique pour la santé des nourrissons et des petits enfants. » Edda West, Fondatrice et Directrice du Réseau pour l'information sur les risques vaccinaux au Canada.

 

 

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La recherche du Dr Paul Offit lui permet de prétendre que « en théorie, des nourrissons en bonne santé pourraient, sans danger, recevoir jusqu’à 10.000 vaccins en une fois. – l’Hôpital des Enfants de Philadelphie, octobre 2005. - Newsletter aux parents.

  

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Lucija Tomljenovic, Ph.D, biochimiste, Université de British Comumbia.

 

 « Nous savons que l’autisme grimpe en flèche. La chose n’a rien à voir avec le fait que les diagnostics sont aujourd’hui plus précis. Il y a une augmentation claire et nette de l’autisme...Nous savons maintenant que les molécules du système immunitaire jouent un rôle crucial dans le développement du cerveau. Cela veut dire clairement que l’on ne peut impunément manipuler le système immunitaire et penser qu’il n’y aura pas de suites dommageables, surtout si le système immunitaire est manipulé au cours des premières périodes de son développement. Certains ont expliqué que les vaccins pouvaient être le problème, mais ils ont été critiqués alors que les données scientifiques existent bel et bien… A tous ceux qui prétendent que l’on peut injecter 10.000 vaccins aux enfants à la fois, je voudrais demander s’ils pourraient démontrer la chose en s’injectant à eux-mêmes ces 10.000 vaccins et puis il faudrait qu'ils puissent aussi nous envoyer un échantillon de leur cerveau pour voir ce qui s'y passe après.  »

 

« Il y a cette croyance très répandue dans la communauté médicale que si vous vaccinez 90 ou 95% de la population, vous empêchez la propagation des maladies infectieuses. On parle d’ « immunité de groupe » ou d’ « immunité collective ». Donc, si vous vaccinez toute une population, vous éliminez la propagation de l’agent infectieux.

 

Cette théorie paraît juste et séduisante, mais ce n’est en fait qu’une théorie qui n’a pas été démontrée. Si vous consultez les données officielles, vous vous rendrez compte que des épidémies se produisent fréquemment, même si 90% de la population a été vaccinée. Donc, ce concept d’ « immunité de groupe » ne tient tout simplement pas la route. Si la théorie s’avérait exacte, il ne pourrait pas y avoir de cas infectieux dans une population pareillement vaccinée. »

 

Sante-desastreuse-des-enfants.JPG

 

La moitié des enfants américains souffrent de maladies chroniques et 21% ont des handicaps mentaux/neurologiques! (Les enfants américains sont ceux qui reçoivent le plus de vaccins au monde)

  

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Dr Toni Bark , M.D, pédiatre.

 

« Aujourd’hui plus de 50% des enfants souffrent de maladies chroniques. Nous n’avons aucune étude qui démontre que le fait d’avoir des anticorps contre une maladie contagieuse immunise totalement contre cette maladie. Ces études n’existent pas… Le raisonnement des compagnies pharmaceutiques et de la FDA qui leur permettent de conclure qu’un vaccin est sans danger n’est pas fondé sur une science rationnelle.[…]

 

Des documents académiques traitant du paradoxe de la rougeole montrent que vous avez plus de chances de contracter la rougeole si vous êtes vacciné. Au cours de plusieurs épidémies, les enfants qui avaient été vaccinés ont contracté la rougeole alors que ceux qui n’avaient pas reçu le vaccin n’ont pas fait la maladie. Et qu’en a-t-on conclu ? On a dit que les enfants qui avaient été vaccinés avaient permis l’ « immunité de groupe »  qui a protégé les non vaccinés ! Avec un brin de réflexion, on peut facilement se rendre compte que cette explication n’a aucun sens. Si l’ « immunité de groupe » existait vraiment, pourquoi les vaccinés auraient-ils fait la maladie et les non vaccinés seraient-ils restés indemnes ? »

  

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Vera Sharav, Présidente pour la protection de la recherche en santé humaine (AHRP): « Où sont les preuves que les vaccins administrés seuls ou en combinaison sont sûrs et efficaces ? Il n’existe aucune réponse à cette question. »  

 

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Dr Nancy Banks, gynécologue-obstétricienne: "Si vous commencez à donner des vaccins aux enfants, vous déséquilibrez en fait leur système immunitaire en augmentant ce qu'on appelle l'immunité humorale (pour produire plus d'anticorps) mais cela contribue en même temps à supprimer une autre part très importante du système immunitaire qui est ce qu'on appelle l'immunité cellulaire et qui ne se développera alors jamais complètement. Nous constatons (avec les vaccins) une réaction de type auto-immun contre les tissus cérébraux et malheureusement pour les enfants, même ceux qui ne développent pas les symptômes de l'autisme, ils manifestent alors d'autres symptômes comme ceux de l'hyperactivité avec ou sans déficit d'attention (ADD/H -TDA/H en français) ou des symptômes allergiques. Les allergies sont un autre grand problème que l'on constate chez nos jeunes enfants. Une partie des réactions allergiques a à voir avec le fait que le système immunitaire n'est pas pleinement développé dès la naissance. Il faut un minimum de 3 années pour que le système immunitaire soit davantage développé." 

 

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Dr A. Wakefield, M.D, gastro-entérologue. 

 

« … La vaccination contre les oreillons a été introduite pour des raisons commerciales et non pour le bénéfice des enfants…Plusieurs épidémies d’oreillons se sont produites chez des enfants qui avaient été vaccinés plusieurs fois contre la maladie…Nous avons aujourd’hui affaire à une épidémie d’autisme due à des problèmes environnementaux. Cette maladie affecte 1 garçon sur 31 aux Etats-Unis et 1 enfant sur 38 en Corée du Sud. Il s’agit d’une véritable épidémie…

 

Ce que je sais aujourd’hui c’est que le problème des vaccins en général et le problème du ROR (Rougeole Oreillons Rubéole) en particulier sont beaucoup plus importants que je n’avais pu l’imaginer. Comme beaucoup de parents, j’avais fait vacciner mes deux premiers enfants avec le ROR. En tant que médecin et scientifique, je ne m’étais pas posé de question à ce sujet, alors que bien évidemment j’aurais dû m’interroger. Au plus j’ai poussé mes recherches, au plus je suis devenu inquiet, et quand j’ai posé des questions pertinentes aux autorités, j’ai reçu des réponses complètement insatisfaisantes. Il ne s’agissait alors plus de science, mais d’espoirs, de souhaits, de croyances plutôt que de véritable science et de faits scientifiques. »

 

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Dr Suzanne Humphries, M.D. néphrologue

 

« Le fait de fabriquer des vaccins qui consistent essentiellement à manipuler la nature ne peut finir qu’à produire des désastres…

 

On estime qu’un tiers de la population est contaminée par un puissant virus (simien)cancérogène, le SV40, que l’on a trouvé dans le vaccin contre la polio.- Il a fallu attendre 30 ans pour que la communauté médicale reconnaisse ce fait et en parle dans la littérature…-  40 à 60% des tumeurs cérébrales chez les enfants contiennent le virus simien SV40 ! »

 

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« L’infection au SV40 est aujourd’hui répandue dans toute la population humaine, presque certainement à la suite du vaccin contre la polio » John MARTIN, ancien virologue à la FDA (Agence américaine des médicaments)

                                   

« Dans les années 1950, le SV40 était un virus parmi des douzaines d’autres qui contaminaient les vaccins Salk et Sabin administrés aux enfants aux Etats-Unis et en Europe. » Journal of the National Cancer Institute, 1997.

 

Le SV40 est régulièrement retrouvé dans différents types de tumeurs, y compris les tumeurs cérébrales, les cancers des os et précédemment les rares cancers pulmonaires.

 

Lucija Tomljenovic, PhD, biochimiste, Université de British Columbia

 

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« Nous avons été contactés par deux mamans qui ont perdu leur fille (14 et 16 ans) dans les 6 mois qui ont suivi l’administration du vaccin contre le HPV. Ces jeunes-filles avaient présenté des symptômes quasi identiques affectant surtout le système nerveux. Une jeune-fille est décédée après la deuxième dose du Gardasil, l’autre fille est décédée après la troisième injection….

 

[…] On ne peut s’empêcher d’avoir le cœur déchiré quand on reçoit le mail d’une maman qui a perdu son enfant et qui est convaincue que le décès est dû à un vaccin. Cette maman a consulté 60 médecins pour leur demander s’ils accepteraient d’analyser les échantillons d’autopsie, s’ils accepteraient d’effectuer des recherches supplémentaires pour trouver des réponses à ses questions. Ils ont TOUS refusé et lui ont dit qu’il n’était pas possible que la mort de son enfant soit due à un vaccin. Vous posez de mauvaises questions lui ont-ils répondu. -  Lucija Tomljenovic commente : «  Mais en fait comment ces médecins pouvaient-ils savoir sans faire de recherches ? »

 

[…] Pourquoi les compagnies pharmaceutiques sponsorisent-elles la majorité des recherches ? La recherche médicale ne devrait pas être centrée sur l’argent ; elle devrait essentiellement servir à l’amélioration des soins et de la qualité de vie des gens. »

 

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Louise Kuo Habakus (mère de deux enfants handicapés après vaccinations):

 

« Il est impératif que le public puisse avoir le choix pour toute intervention médicale qui pourrait entraîner des dommages ou provoquer des décès ! Les conflits d’intérêts ont changé les règles du jeu et ne nous permettent plus de protéger nos enfants. Les compagnies pharmaceutiques et les médecins sont protégés, ils échappent à toute responsabilité en cas de dommages ou de décès dus aux vaccinations. »

 

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Mary Holland, Juriste

 

« L’industrie pharmaceutique et le gouvernement font la promotion des vaccins en disant au public que ceux-ci sont sûrs et efficaces. C’est là ce qu’ils disent, alors que sur un plan légal –ce qu’a acté la Cour Suprême des USA-, ils sont considérés comme étant « inévitablement dangereux » («Unavoidably unsafe »). Il y a une fameuse contradiction ici : si les vaccins étaient vraiment sûrs et efficaces comme on le dit, tout le monde devrait les réclamer à grands cris et il n’y aurait nullement besoin de protéger les compagnies pharmaceutiques contre toute poursuite ! »

 

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Alan Phillips, Juriste

 

« C’est un fait parfaitement établi légalement et médicalement que les vaccins peuvent provoquer des handicaps permanents et des décès. Les officiels de la FDA et du CDC, ainsi que l’Association Américaine des Médecins et des Chirurgiens ont tous reconnu que 90 à 99% des effets secondaires des vaccins ne sont jamais rapportés. Nous n’avons donc pas la moindre idée du nombre exact de handicaps et de décès. Et dès lors, la relation bénéfices/risques est impossible à établir. »

 

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Le Dr R. Mendelsohn, M.D. était médecin pédiatre. Dans les années 1970, il a abordé le sujet des vaccins et des dommages qu’ils peuvent produire. C’est lui qui a dit que les vaccins étaient de véritables bombes médicales à retardement et que nous échangions le bénéfice d’une immunité à vie acquise grâce aux maladies de l’enfance pour une vie remplie de longues souffrances et de maladies chroniques.

 

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 Dr Marcia Angell, M.D.

 

En 2008, un médecin de l’université de Harvard, le Dr Marcia Angell qui fut pendant 20 ans éditrice du New England Journal of Médicine a déclaré publiquement :

 

« Les médecins ne peuvent plus compter sur la littérature médicale comme une source d’informations valides et fiables. C’est la conclusion que j’ai dû tirer, à contrecœur, vers la fin de mes 20 ans à la tête de la rédaction du New England Journal of Medicine, et cette conclusion n’a fait que se renforcer depuis. Les cliniciens n’ont plus moyen de savoir quels sont l’efficacité et le profil de sécurité réels des médicaments qu’ils prescrivent, et il est fort probable que ces produits sont loin d’avoir les qualités que leurs prêtent les publications médicales. »

 

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Isabell Thomas, maman de deux enfants victimes de la vaccination ROR.

 

« Nous les parents de tous les pays du monde, nous représentons une force considérable, et de ce fait, plus personne qu’il soit riche ou puissant, ne pourra plus jamais faire de mal à nos enfants pour ensuite tirer son épingle du jeu et se dégager de toute responsabilité.

 

Vous avez fait la pire des choses que vous puissiez faire à une maman; « vous avez endommagé la santé de ses enfants. »

 

Silent Epidemic -  The Untold Story of Vaccines, A Gary Null Production :

 

 

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13 mars 2014 4 13 /03 /mars /2014 19:25

Nouvelle étude : 42,5% des effets secondaires médicamenteux rapportés chez les enfants sont causés par les vaccins

 

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VLA, 09.03.2014

 

Une nouvelle étude publiée sur la sécurité des médicaments dans la revue PLoS (de libre accès) et intitulée « Rapports spontanés d’effets indésirables des médicaments dans la population pédiatrique de Shanghai », a révélé pour la première fois que 42,5% de tous les effets indésirables rapportés qui se sont produits dans une population pédiatrique chinoise (la population de Shanghai comporte 17 millions d’habitants) étaient causés par les vaccins, avec des réactions aussi graves que l’anaphylaxie et la mort.

 

Le problème mondial des effets secondaires indésirables est à ce point grave que selon l’étude, «  les effets secondaires indésirables dus aux médicaments constituent une des principales causes de morbidité et de décès dans de nombreux pays »  [2], [3].

 

« En effet, un rapport de 1998 publié dans JAMA (Journal de l’Association Médicale Américaine) a confirmé que, chaque année, 106.000 Américains meurent des médicaments correctement prescrits ». 

 

Sources : Greenmedinfo.com & Vaccineliberationarmy

 

 

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28 février 2014 5 28 /02 /février /2014 14:55

Une horrible histoire de vaccins (Extraits) 

   

Par Tammy Carrington 


Victime vac. hép.B Liberation army

  

(Mon commentaire : lisez cet article avant de prendre la décision de faire vacciner votre enfant. Vous déciderez alors si les risques en valent la peine. – Dr Wilson)

 

L’horrible histoire de mon fils

 

Quand Fred et moi nous sommes mariés, nous avons décidé d’attendre deux ans avant d’avoir un enfant. Quand après deux ans j’ai réalisé que j’étais enceinte, nous étions tous les deux à ce point enthousiastes que nous avons commencé à lire toute une littérature sur la grossesse. J’ai lu tout ce qui me tombait sous la main au sujet d’une nourriture saine etc. pour pouvoir donner à mon bébé le meilleur départ possible dans la vie et faire les meilleurs choix possibles. J’ai tout fait pour éviter les produits chimiques dans la nourriture, l’aspartame, la saccharine, la caféine etc. Je me suis aussi attelée à faire chaque jour de l’exercice.

 

Je me sentais en pleine forme et mes analyses sanguines étaient les meilleures que notre médecin ait jamais vues chez une femme enceinte. Nous avons opté pour l’accouchement le plus naturel possible et avons refusé la péridurale parce que nous savions que c’était préférable pour l’enfant. L’accouchement s’est passé à merveille sans la moindre complication. A peine dix minutes après la naissance, je nourrissais déjà mon bébé. Le résultat de ses tests (APGAR) : 10/10.

 

Malgré toute l’information que j’avais rassemblée au cours de mes nombreuses lectures, il y avait une chose dont on ne m’avait jamais parlé et pour laquelle je ne possédais pas d’information ; c’était le vaccin contre l’hépatite B que mon enfant devait recevoir avant de quitter la maternité. Si j’avais pu avoir de l’information sur la question avant que mon petit reçoive ce vaccin, je puis jurer qu’il ne l’aurait jamais reçu. Deux ans plus tard, mes recherches m’ont appris que les nouveau-nés ne constituent nullement un groupe à risque. Ce vaccin hépatite B recombinant n’a pas fait l’objet d’études de sécurité. Il n’y a pas non plus d’étude en double-aveugle et aucune étude faite sur les bébés. Je me rends compte que mon bébé a tout simplement joué le rôle de cobaye pour ce vaccin.

 

A la maternité, Jonathan était un bébé tout à fait normal. Je l’allaitais à la demande. Il ne pleurait que quand il avait faim et quand ses langes étaient souillés. Ses selles étaient normales. Tous les amis et les membres de la famille trouvaient que Jonathan était un bébé magnifique. Nous sommes restés trois jours à la maternité.

 

Finalement, le jour est arrivé où nous devions quitter la maternité pour rentrer à la maison. Avant de partir, mon mari Fred a dû signer un document de décharge. Fred s’en est occupé tandis que je tenais mon petit Jonathan dans les bras. Nous étions tout excités de quitter la maternité avec notre précieux trésor qui nous ouvrait une toute nouvelle vie. C’est comme si on avait dit à Fred : « signez ici et portez ce document à l’étage du bas ; rapportez nous le reçu pour que nous puissions vous permettre de sortir. » On nous présenta ensuite le formulaire de consentement pour le vaccin contre l’hépatite B en nous disant «signez ici, tout le monde le fait » Je dois préciser que le vaccin avait déjà été administré sans notre consentement et sans information. Fred signa tous les papiers parce que nous avions pleine confiance et aussi parce que nous étions pressés de rentrer à la maison, dans notre nouvelle famille.

 

C’est quand je me suis trouvée dans un fauteuil roulant poussé par une infirmière avec Jonathan dans les bras que mon petit garçon a vraiment commencé à pleurer et crier pour la première fois.

 

Nous sommes rentrés à la maison. Nous étions si heureux et enthousiastes. Notre petit était si beau, si mignon. En blague, nous avons dit qu’il nous fallait nous relayer la nuit pour vérifier que tout allait bien. Nous ne savions vraiment pas ce qui nous attendait.

 

C’est environ quatre heures après que Jonathan ait reçu son vaccin contre l’hépatite B qu’il commença à crier de toutes ses forces. Nous étions incapables de l’arrêter.

 

Nous avons appelé l’infirmière qui s’occupait de notre cas parce que nous ne parvenions pas à calmer ses cris. On nous a dit que le nouvel environnement de l’enfant devait le perturber. Au cours du deuxième appel téléphonique, on nous a conseillé de laisser crier Jonathan pendant 20 minutes avant d’envisager de le ramener à l’hôpital. En fait, il n’a pas arrêté de crier et de pleurer, et quand ses cris se sont même intensifiés, j’ai commencé moi-même à pleurer. J’étais toute bouleversée et ne pouvais supporter que mon bébé crie aussi violemment. Ses cris horribles me blessaient littéralement, j’en avais la nausée et étais prête à vomir. Nous faisions tout pour le soulager : l’allaiter, vérifier ses langes, prendre sa température etc.

 

Jonathan ne parvenait presque jamais à dormir ; il poussait sans arrêt de si hauts cris ! Quand il parvenait à dormir c’était pour de courtes périodes de 10 à 15 minutes. Au total, il ne dormait jamais plus de 4 heures sur 24.

 

Nous l’avons conduit chez le pédiatre qui a diagnostiqué des coliques. Ce dernier nous a dit qu’il faudrait sûrement six mois pour que tous ses problèmes se résorbent et qu’il fallait être patients. Comme c’était notre premier enfant, nous ne savions pas si c’était normal ou pas. Et nous avons donc décidé d’attendre.

 

La seule chose qui pouvait un peu le calmer était l’allaitement. Je le nourrissais toutes les une à deux heures. Il se calmait alors pendant 15 à 30 minutes, mais jamais davantage. C’était très fatiguant pour moi de poursuivre ainsi ce rythme sans dormir.

 

Jonathan a continué à pousser ces cris horribles. Nous ne pouvions pas sortir de la maison avec lui, car il nous était impossible d’arrêter ses cris qui étaient si intenses qu’il en devenait tout rouge. Une sorte de panique se dessinait alors chaque fois sur son visage et je me trouvais chaque fois impuissante à pouvoir lui venir en aide.

 

Pour aller faire une course, je prenais soin de l’allaiter juste avant de partir. Je courrais en toute hâte au magasin et  m’empressais de faire ma course puis, toute en transpiration, je sortais  le plus vite possible pour rentrer à la maison.

 

Jour après jour, nuit après nuit, je faisais tout pour tenter de le calmer, mais rien n’y faisait. Je me sentais désespérée. Même quand je prenais une douche en vitesse, je l’entendais hurler tandis que mon mari essayait de le consoler. Cette situation me brisait littéralement. Il est arrivé que je n’avais plus la force de l’entendre crier. Je le mettais alors dans son berceau (pour ne pas qu’il tombe ou se blesse) et je me précipitais pour une minute ou deux dans le jardin pour ne plus l’entendre hurler et pleurer. Moi-même je n’arrêtais pas de pleurer. Je n’arrivais pas à comprendre comment des familles pouvaient avoir plus d’un enfant, parce que j’imaginais toujours que notre situation était plus ou moins normale. C’était notre premier enfant et nous ne pouvions pas comparer.

 

Nous avons dû faire appel à une personne qui savait s’occuper des bébés pour pouvoir un peu nous reposer, car Fred et moi n’avions cessé de nous relayer pour s’occuper de Jonathan jour et nuit. Nous étions totalement épuisés.

 

J’ai, un jour, dû conduire Jonathan chez le médecin parce qu’il n’avait plus de selles. Quand il eut 8 jours, on remarqua qu’il était constipé. Je n’avais jamais entendu dire qu’un bébé nourri au sein pouvait être constipé, mais c’était bien le cas pour Jonathan. Nous avons dû quitter le cabinet du médecin en vitesse parce que Jonathan recommençait à crie. Une de mes amies s’est vite rendue à la pharmacie pour y chercher des suppositoires.

 

Dans la suite, Jonathan a commencé à perdre ses cheveux. Il était irritable, inconsolable, souffrait d’insomnie et les cris n’arrêtaient pas. J’ai fini par faire un enregistrement de ses cris parce que je pensais que le médecin ne pouvait réaliser vraiment l’horreur de ses cris. Quand le médecin nous avait dit qu’il s’agissait de coliques, nous avions été quelque peu rassurés en pensant que cela finirait par s’arranger.

 

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« Les vaccinations obligatoires qui ne sont pas nécessaires et qui présentent des bénéfices très limités font courir à nos enfants des risques de décès ou d’effets secondaires graves à long terme. » Dr Jane M. Orient, MD, AAPS.

 

Jonathan n’arrêtait toujours pas de hurler. Il soulevait aussi brusquement ses jambes. Mes recherches m’ont appris qu’il s’agissait probablement de spasmes infantiles selon un livre traitant de l’épilepsie provenant de l’université John Hopkins. Avec le recul, je puis maintenant me rendre compte que chaque fois, Jonathan faisait des crises d’épilepsie, alors que nous pensions qu’il s’agissait de douleurs intestinales dues à des gaz.

 

A deux mois, il reçut son deuxième vaccin contre l’hépatite B et ses cris s’intensifièrent. Le même jour, il reçut trois autres vaccins : diphtérie, tétanos coqueluche acellulaire. Il a continué à être très constipé. Nous avons été obligés de sortir manuellement ses selles ; il saignait et ses cris étaient horribles. Son petit rectum était déchiré du fait que les selles étaient tellement dures et qu’il poussait si fort. Il avait attrapé de terribles hémorroïdes.

 

Mes recherches m’ont poussée à vérifier le numéro des lots de vaccins qu’il avait reçus dans les données du VAERS et j’ai découvert que le vaccin DTCa qu’il avait reçu était un vaccin provenant d’un « HOT LOT ». Un vaccin « hot lot » est un vaccin qui provient d’un lot de vaccins qui ont tué et endommagé la santé de plusieurs enfants. C’est un vaccin qui a fait l’objet d’un nombre anormalement élevé de rapports d’effets secondaires au VAERS. Le vaccin DTCa que Jonathan a reçu était l’un des dix vaccins les plus dangereux de l’histoire des Etats-Unis.

 

A environ 4 mois, je ne suis plus parvenue à le nourrir. Il n’arrêtait pas de hurler. J’ai pensé qu’il était en train de former des dents. J’ai mis un peu d’Orajel sur ses gencives, mais sans résultat. J’ai essayé de lui faire goûter du Tylénol. Le goût du Tylénol le distrayait un moment, puis tout recommençait. J’ai alors décidé de prendre rendez-vous chez le pédiatre.

 

J’ai appelé à 9h30 et ai précisé que nous devions avoir rendez-vous le matin même.  Alors que je me préparais pour me rendre chez le pédiatre, Jonathan a commencé à vomir. Il est devenu très pale. L’assistant du pédiatre qui nous a reçus à 11 heures nous a dit que l’aspect que présentait Jonathan ne lui plaisait pas. Comme les quelques tests qu’il a effectués se sont avérés négatifs, il nous a envoyés à l’hôpital pour y faire des analyses de sang et des examens radiologiques. Comme ces examens aussi se sont avérés négatifs, on nous a proposé une ponction lombaire. Quand le médecin revint il avait en main 3 fioles remplies d’un liquide qui ressemblait à du sang. Il nous expliqua que le liquide cérébrospinal aurait dû être clair et avoir l’apparence de l’eau.

 

Il nous a immédiatement envoyés faire un scanner de la tête. Seul mon mari fut admis dans la salle du scanner. C’était la dernière fois que mon petit garçon me regardait, et comme on le préparait pour l’examen, ses yeux semblaient me dire : « Maman, aide-moi ! »

 

Le scanner révéla une hémorragie du cerveau. On apprit par après qu’il s’agissait d’une rupture d’anévrisme. Il fut immédiatement transporté aux soins intensifs et intubé. Il fallait le transporter par hélicoptère. Mon bébé était alors au seuil même de la mort.

   

Comme le temps était mauvais, l’hélicoptère n’a pas pu emmener Jonathan à l’Hôpital des Enfants de Houston. Le Centre Médical Schumpert de Louisiane a finalement accepté de recevoir l’enfant. Le parking de l’hôpital a été fermé au trafic pour permettre à l’hélicoptère d’atterrir, et ce dernier a décollé malgré un très mauvais temps. Aux soins intensifs, on nous avait permis de voir Jonathan. Il était inconscient et relié à toutes sortes d’appareils. Je n’ai pas arrêté de pleurer. Tout était devenu si terrible pour moi : mon bébé était étendu là sans bouger raccordé à toutes sortes de tubes et relié à des appareils. Pour moi c’était terrible à voir.

 

On ne nous a pas permis d’accompagner Jonathan. On a juste été autorisés à l’embrasser au pied de l’hélicoptère. Tout en sanglotant, j’essayais d’être positive. Je voulais  que Jonathan sache, si jamais il pouvait m’entendre, que tout irait bien et que son papa et sa maman le rejoindraient bientôt.

 

Je me suis retrouvée sur ce parking en pleurs avec toute une série d’amis qui nous avaient rejoints ; je ne savais pas si j’allais revoir mon bébé. Je tremblais de froid et de peur continuant à sangloter et j’ai attendu jusqu’à ce que l’hélicoptère disparaisse et que je n’entende plus le bruit du moteur. J’éprouvais comme une perte qu’aucun mot ne peut décrire.

 

Il ne nous restait plus qu’à prendre la voiture pour nous diriger vers Shreveport. Nous étions tous les deux tombés dans une espèce d’hystérie. Le directeur des infirmières demanda à quelqu’un de faire le plein d’essence et nous prépara un peu de nourriture et des boissons pour le voyage. Nous avions à peu près deux heures de route à faire. Et quand nous avons estimé que l’hélicoptère devait avoir atterri et que Jonathan devait être arrivé aux soins intensifs, nous avons pris notre GSM pour demander si tout allait bien pour Jonathan. Ils nous ont répondu que Jonathan était mort durant le voyage en hélicoptère, qu’on était parvenu à le réanimer et que maintenant il se trouvait aux soins intensifs. Ils nous ont dit aussi que l’on s’affairait autour de lui et que tout ce qu’ils pouvaient nous dire était que « pour le moment, il était encore en vie.»

 

Nous avons dû attendre ce qui nous a paru être une éternité avant de pouvoir recevoir de ses nouvelles. Finalement, un médecin nous a dit que Jonathan avait fait une hémorragie cérébrale. Il nous a expliqué que dans pareil cas, un œdème au cerveau apparaît  et quand le cerveau enfle, un déplacement peut se produire. Si la chose effectivement se produit, c’est la mort. Ce médecin nous a aussi expliqué que Jonathan était mort trois fois et qu’il était en réanimation pédiatrique. Fred et moi avons éclaté en larmes d’une manière hystérique. Je m’accrochais au petit bout de vêtement qu’il portait quand nous l’avons conduit le matin à l’hôpital. On nous a aussi expliqué que les médecins avaient travaillé sur lui pendant plus d’une heure et que son cerveau n’avait reçu que peu ou pas d’oxygène pendant 30 minutes. Il n’y avait alors plus d’espoir qu’il puisse passer la nuit.

 

Les jours suivants, ils ont fait des tests pour voir d’où provenait l’hémorragie. Finalement on lui fit un artériogramme qui montra un anévrisme. L’état de Jonathan finit pas se stabiliser, mais 10 jours plus tard, 4 jours à peine avant Noël, il eut une seconde rupture d’anévrisme. Le scanner montrait que, par rapport au premier examen, le volume de sang était trois fois plus important. Les médecins se demandaient vraiment comment il avait pu survivre à la première hémorragie. Cette fois, les médecins lui donnèrent un maximum de 24 heures de survie. Nous n’avons pas cessé de prier aussi fort que nous pouvions et nous voulions croire au miracle.

 

Les infirmières nous expliquèrent comment allait se passer son dernier souffle. Je ne voulais pas voir cela. Je ne me sentais pas capable d’affronter une telle douleur. L’infirmière nous expliqua qu’elle resterait près de Jonathan pour qu’il ne se sente pas seul. Quand Fred décida de rester près de Jonathan, je décidai aussi de rester près de lui. Alors que nous étions en train de prier, on nous expliqua qu’il nous fallait penser aux funérailles. Jonathan finit par passer la nuit et son état se stabilisa.

 

Comme Jonathan avait survécu à sa seconde hémorragie, le Dr Do, pédiatre aux soins intensifs, se mit à chercher la personne qui aux Etats-Unis serait capable de venir en aide à Jonathan. Il ne trouva finalement qu’une seule personne qui pourrait nous venir en aide. Parmi les autres médecins qui s’occupaient de Jonathan, un neurochirurgien nous expliqua qu’il valait mieux laisser Jonathan mourir en paix et qu’il ne fallait plus tenter quoi que ce soit pour sauver sa vie. Nous avons été choqués d’entendre pareil discours. Il a cependant ajouté : « il y a de ces choses qui sont pires que la mort. » Je lui répondis que Jonathan avait déjà survécu et qu’il n’était pas question que nous attendions passivement une troisième hémorragie.

 

Les médecins qui pouvaient venir en aide à Jonathan faisaient partie du Centre Médical de l’université de Californie à San Francisco.  Les Dr Higashida et Halbach devaient pratiquer une intervention sous radioscopie. Mais l’opération dut être reportée du fait que Jonathan avait des problèmes de coagulation. On lui administra alors du plasma frais.

 

Ce sont alors neuf médecins qui s’occupèrent de Jonathan. On nous expliqua que l’opération durerait au minimum huit heures. Pour réaliser l’artériogramme, il fallait passer un cathéter depuis l’aine au travers de l’estomac, du cœur pour aboutir dans le cerveau dans un vaisseau de l’épaisseur de quatre cheveux. C’était effrayant de penser au traumatisme que notre petit Jonathan allait devoir traverser alors qu’à cette époque il n’avait que cinq mois. Après une opération de deux heures, le médecin principal sortit pour nous dire : « Nous avons réussi, mais nous ne pouvons pas expliquer comment l’anévrisme a disparu. »

 

Nous avons pensé pouvoir l’expliquer comme nous avions tellement prié. Toute notre petite ville priait aussi avec nous. Tous les autres médecins sont sortis de la salle d’opération en se grattant la tête et en disant qu’eux non plus ne pouvaient s’ expliquer ce qui s’était passé.

 

On a d’urgence dû placer un cathéter chez mon petit parce que la pression intra crânienne était devenue trop forte. Quand la pression sur son cerveau a diminué, il a commencé à ouvrir les yeux. Mais ce cathéter a en partie contribué à détacher le cerveau du crâne endommageant des capillaires ; ce qui a provoqué une nouvelle hémorragie, mais cette fois dans l’autre hémisphère du cerveau. Il a fallu percer le crâne de Jonathan et y insérer un tube pour évacuer le liquide du cerveau.

 

Dans la suite on a dû avoir recours à la chirurgie pour pouvoir insérer un tube afin de  l’alimenter. On nous a ensuite donné le diagnostic : troubles épileptiques, grave reflux, cécité corticale et risque élevé de pneumonie par aspiration. Il présentait en outre un grave retard de développement, de l’hypotonie et de la spasticité. Il devait être suivi 24 heures sur 24.

 

Les tout derniers diagnostics posés pour Jonathan : tétraplégie cérébrale spastique avec microcéphalie, cécité corticale, grave dysphasie.

 

Nous avons consulté un médecin à Houston qui s’est spécialisé dans les effets secondaires de l’hépatite B. Ce médecin a pratiqué toute une série de tests. Il s’agit du Dr Andrew Campbell, MD. Il nous a dit que Jonathan avait bel et bien fait une réaction négative au vaccin contre l’hépatite B. Le Dr Richard Neubauer, MD de Ft Lauderdale a également déclaré que Jonathan souffrait d’encéphalopathie anoxique directement liée à la vaccination contre l’hépatite B. Il précisait que ce n’était pas la première fois qu’il voyait pareille chose et pensait que malheureusement ce ne serait pas la dernière.

 

Nous sommes finalement rentrés à la maison après cette horrible épreuve qui a retenu Jonathan à l’hôpital pendant à peu près quatre mois.

 

L’alimentation de notre bébé, comme la prise de médicaments par l’intermédiaire de ce tube a posé énormément de problèmes. Nous devions lui administrer soit de la nourriture, soit des médicaments 17 fois par jour, quasiment jour et nuit. Comme malgré tout il continuait à hurler, le stress était énorme, au-delà de ce qu’on peut imaginer. En dépit des nouveaux tests qui furent réalisés, aucun médecin ne pouvait nous expliquer les raisons de ses cris. Après tout ce que nous avions vécu, notre privation de sommeil, le stress permanent, nous étions totalement épuisés.

 

Le système immunitaire de Jonathan est compromis il ne peut pas se trouver en présence d’autres enfants ou personnes malades. Nous sommes littéralement cloués à la maison. Quand nous sommes rentrés de l’hôpital il faisait  des centaines de crises épileptiques par jour, plus en tout cas que nous ne pouvions compter. Après avoir modifié son alimentation et changé ses médicaments, il faisait encore entre 30 et 90 crises par jour.

 

Comme il était alimenté par sonde gastrique, et pour éviter le reflux, on devait le maintenir droit pendant au moins une heure pour lui permettre de digérer. Comme un pourcentage important de la nourriture qu’il devait prendre était constitué de graisses, la pénétration de ces graisses dans ses poumons pouvait lui être fatale. La constipation se maintenait toujours et son régime tout particulier na pas arrangé les choses. Nous devions régulièrement vérifier ses cétones, sa production d’urine, de selles, ses crises.

 

Jonathan ne dort toujours pas beaucoup. Il ne dort jamais sans se réveiller plusieurs fois, et chaque fois qu’il se réveille, il fait une crise d’épilepsie qui nécessite notre intervention pour éviter l’aspiration et la suffocation, puis nous devons tout tenter pour essayer de l’apaiser et le consoler. Fred et moi manquons beaucoup de sommeil . Nous survivons avec 4 à 6 heures de sommeil fragmenté.

 

Jonathan a fini par attraper un virus qui traînait. Il a dû avoir des traitements respiratoires toutes les «  heures. Il n’a pas pu fermer l’œil pendant quatre jours et quatre nuits. Sa fièvre a duré pendant 7 jours. Finalement mon mari et l’infirmière sont tous les deux tombés malades. Il a fallu que je m’occupe de tout sans pratiquement pouvoir dormir pendant cette période.

 

[…] Nous essayons de faire tout ce qu’il nous est physiquement possible de faire, mais si nous tombions à nouveau malades par manque de sommeil, de repas pris en toute hâte, de ne pas pouvoir suffisamment prendre soin de nous, qu’adviendrait-il de Jonathan ? Nous ne pouvions pas en arriver là. Je crois que la santé de mon fils a été endommagée par le vaccin contre l’hépatite B qui lui a été administré sans notre consentement et sans que nous ayons été correctement informés. Je crois aussi que son cerveau a été encore plus gravement endommagé par le second vaccin contre l’hépatite B et par le DTCa  qui était un lot particulier (hot lot)

 

Quand j’ai appris que le Dr William Reynolds Archer, MD, Commissaire à la Santé pour l’état du Texas a voulu s’assurer que tous les enfants du Texas reçoivent ce vaccin, mais en avait exempté ses propres enfants, j’ai voulu avoir une conférence téléphonique avec lui. Je voulais savoir pourquoi ses propres enfants avaient été exemptés de ce vaccin.

 

Avant notre échange téléphonique, je lui avais fait parvenir tout le dossier de Jonathan pour ne pas devoir reprendre tous les détails de la longue histoire de Jonathan au téléphone. Il savait que je l’appelais pour une question ayant trait aux vaccins mais ignorait que j’allais lui poser des questions personnelles. Un autre médecin a été présent à ses côtés durant la conversation.

 

Dans la suite, j’ai eu l’occasion de rencontrer ce médecin au cours d’une conférence à Austin. Il a confirmé ce que je vais dire : Il a avoué qu’il avait effectivement exempté ses propres enfants parce qu’il était inquiet au sujet de la sécurité du vaccin. Il a ajouté que ses enfants souffraient d’asthme et d’allergies et qu’il ne voulait pas leur administrer ce vaccin. En tant que médecin, il lui était permis de remplir le formulaire d’exemption. En ce qui nous concerne, nous n’avons malheureusement pas ce droit. Ce médecin a finalement démissionné de son poste. Il disait essentiellement que tous les enfants devaient recevoir ce vaccin, mais pas ses propres enfants parce qu’il avait des inquiétudes quant à sa sécurité et qu’il voulait les protéger.

 

Que fait le gouvernement par rapport à l’aide que nous devrions recevoir pour affronter pareilles difficultés à la suite des dommages causés par le vaccin ? On nous a dit plusieurs fois que si nous divorcions, nous aurions droit à toutes les aides possibles. Nous sommes Chrétiens et dans ce type de situation plus que stressante, il est déjà assez difficile de maintenir notre mariage et la cohésion de la famille sans que le gouvernement n’encourage un divorce ! […]

 

Je veux vous remercier de m’avoir permis de raconter cette longue histoire. J’aime tellement mon petit Jonathan. Mais je suis en colère par rapport à tout ce qui s’est passé et qui aurait peut-être pu être évité. Je suis en colère parce que ce vaccin n’a jamais été testé sur des bébés, et par rapport au fait que mon petit a dû servir de cobaye. Je suis en colère parce que ce vaccin n’a jamais fait l’objet d’études en double aveugle, ni d’études scientifiques sérieuses de sécurité. On a volé la vie de mon enfant !

 

[…] Les médecins m’ont dit que Jonathan ne pourra jamais courir ou jouer au ballon avec d’autres enfants. Il ne partira jamais chasser avec son papa. Il ne pourra jamais faire toutes ces choses que font généralement les autres enfants.

 

Sa vie et nos vies ont été bouleversées pour toujours à cause des effets secondaires d’un vaccin qui lui a volé sa vie !

 

Ce vaccin nous a aussi volé la vie que nous avions rêvé d’avoir avec notre famille. J’ai dû abandonner ma profession et ne pourrai plus jamais en reprendre une afin de pouvoir m’occuper de Jonathan si gravement handicapé.

 

Encore mille merci de m’avoir permis de vous raconter l’histoire de mon fils. Je vous prie instamment de tout faire pour prendre la meilleure décision pour votre enfant et son avenir.

 

Bien sincèrement,

 

Tammy Carrington

 

Commentaires du Dr Wilson

 

Cet article est assez long, mais il vaut la peine que vous le lisiez avant de prendre la décision de vacciner votre enfant. La vaccination est une horreur qu’il faut arrêter partout. Voici les raisons pour lesquelles les vaccinations sont dangereuses :

 

1) Introduire des germes meurtriers dans le corps des enfants avant que leur système immunitaire ne soit développé est le signe d’un manque total de sagesse. Les effets connus des vaccins comprennent : autisme, crises d’épilepsie et décès. Si les vaccins étaient sans danger, beaucoup de firmes les produiraient sans avoir besoin d’une protection légale.

 

2) Vacciner  des enfants malades est encore pire. C’est pourtant chose courante dans des nations pauvres comme l’Afrique, où malheureusement on retrouve Bill Gates et autres derrière des campagnes dont l’objectif est de « vacciner tout le monde ». Je voudrais tant que les gens lui écrivent pour qu’il puisse distribuer de la nourriture, fournir de l’eau et des vitamines et pas des vaccins.

 

Il n’est pas facile de déceler une faible grippe ou une infection respiratoire chez un jeune enfant. Des études montrent que ce sont précisément ces enfants qui meurent prématurément à la suite des vaccinations. Information au lien suivant : www.whale.to/v/kalokerinos.html

 

3) La combinaison de plusieurs vaccins est encore plus dangereuse. C’est la pire des choses pour le corps parce que ces vaccins introduisent davantage de toxines en une fois dans le corps.

 

4) Les additifs et les contaminants des vaccins affaiblissent souvent le système immunitaire et endommagent la santé.

 

5) Les effets secondaires des vaccins sont rarement rapportés. De ce fait les statistiques ne reflètent pas la réalité et ne donnent pas un véritable aperçu des dangers

 

6) La promotion des vaccins ne se fait pas toujours de manière totalement honnête. Ce ne sont pas les vaccins qui ont éliminé les maladies. Ils ne sont pas non plus sans danger.  Les statistiques sont souvent manipulées ou même tout simplement ignorées si elles ne correspondent pas  modèle médical officiel. Les médecins ont le cerveau lavé. Ils n’écoutent pas les parents qui me confient à moi, presque chaque semaine, les horreurs de la vaccination.

 

7) La vaccination qui est chère et souvent complètement inefficace sert à augmenter le pouvoir des gouvernements aux dépens des citoyens et surtout des parents. En d’autres mots, la vaccination est une solution de type autoritariste et totalitaire au grave problème de la maladie et de la malnutrition, et dans lequel le remède (les vaccins) ne fait qu’empirer la situation parce qu’il est habillé dans un jargon médical mystique, alors que presque tout ne relève que du mensonge.

 

8) Toute l’attention (et tout l’argent) dont la vaccination fait l’objet sert surtout à détourner l’attention des choses qui importent le plus : l’alimentation, le style de vie, l’eau pure, l’habitat, l’amour et l’absence d’oppression par des gouvernements tyranniques. Ce sont là les véritables et seuls moyens de construire et de maintenir des systèmes immunitaires qui permettront de prévenir ou d’adoucir toutes les maladies.

 

Je ne prends d’habitude jamais de position aussi catégorique, mais ici je veux presser les parents et quiconque envisage de se faire vacciner de prendre du recul et d’étudier la documentation de ceux qui mettent cette pratique en doute. Vous ne pourrez manquer d’être choqués si vous parvenez à lire ces textes de manière objective. Ce sont des centaines de milliers de personnes qui sont handicapées ou qui ont été tuées par les vaccinations. Ce que vous venez de lire n’est qu’un seul cas parmi bien d’autres. Il faut que tout cela s’arrête immédiatement.

 

Source : Vaccineliberationarmy

 

Article du Dr Lawrence Wilson sur les vaccinations en général :

http://drlwilson.com/Articles/Vaccines.htm

 

The Shaken Baby Syndrome (= Syndrome du Bébé Secoué)

 http://legaljustice4john.com/highPitchedCrying.htm

 

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27 février 2014 4 27 /02 /février /2014 14:33

Brugelette: Willy a failli perdre l'usage de ses jambes à cause d'un vaccin contre la grippe

 

Publié le Mercredi 26 Février 2014 à 18h57, par Lloyd Déplechin

 

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Willy Lefebvre souffre de picotements dans les jambes 24h sur 24.

 

Le 15 octobre dernier, Willy Lefebvre, un citoyen de Brugelette, a acheté un vaccin contre la grippe. Trois jours plus tard, le médecin traitant de l’homme de 75 ans lui injectait le produit. «Après environ deux semaines, j’ai commencé à avoir des douleurs dans les jambes et les pieds», confie Willy. « Je souffrais également de l’estomac, avais perdu le goût et l’odorat. Ayant perdu l’appétit, j’avais déjà perdu deux kilos après trois semaines. »

 

Étant donné que les symptômes ne disparaissaient pas alors qu’il avait déjà consulté son médecin traitant, l’habitant de Brugelette a décidé de pousser les tests. « Le 15 décembre, je me suis rendu à l’hôpital d’Ath afin de vérifier le flux sanguin de mes membres inférieurs et de réaliser un scanner du thorax. Rien n’y a été décelé. Toutefois, j’ai décidé de voir un spécialiste car je sentais bien que ça n’allait pas. En plus des symptômes cités précédemment, j’avais des picotements dans les jambes, des boutons rouges sur la poitrine et commençais à éprouver des difficultés à marcher. Par ailleurs, les picotements gagnaient tout mon corps. »

 

Le 7 janvier, Willy Lefebvre s’est rendu à la clinique Notre-Dame à Tournai afin de consulter un neurologue. « Dès les premiers examens, ce docteur a décidé de pratiquer une ponction lombaire. Une heure après avoir analysé la ponction, le médecin m’a annoncé que je souffrais du syndrome Guillain-Barré. Néanmoins, il ne savait pas en expliquer l’origine. Je me suis alors souvenu que tout avait débuté après ce vaccin contre la grippe. Lorsque j’en ai parlé au médecin, il s’est douté que ça venait de là

 

Maintenu à l’hôpital durant quatre jours, l’homme a reçu plusieurs injections afin de contrer l’inflammation. « En fait, ce syndrome est une maladie auto-immune du système nerveux périphérique. Concrètement, les parois des nerfs sont attaquées. J’ai été traité rapidement afin d’éviter que l’inflammation ne monte dans mon corps. À ce moment-là, elle se situait déjà au niveau de mes aisselles. Ensuite, après quatre jours d’observation, le médecin m’a dit qu’il ne pouvait plus rien faire pour moi, qu’il n’y avait plus qu’à attendre. En effet, personne n’a de solution pour contrer les effets secondaires de ce vaccin. »

 

15 jours après sa sortie de la clinique, Willy était déjà de retour. Et pour cause, il avait perdu, en l’espace de deux mois, 14 kilos. « Je n’avais toujours pas retrouvé le goût ni l’odorat. Je n’avais donc pas récupéré l’appétit. Toutefois, on m’a répété qu’on ne pouvait rien pour moi. On m’a d’ailleurs dit que je pouvais m’estimer heureux d’encore marcher car ce syndrome pouvait entraîner une paralysie. Il y a vraiment de quoi avoir peur. Dans la notice, il est clairement indiqué qu’il peut y avoir des effets secondaires, mais personne n’en parle au moment de faire le vaccin. D’accord, ça ne se déclare que dans 2 cas sur 100 000, mais tout de même. J’ai aussi lu que dans 5% des cas, on pouvait mourir étouffé… À présent, je suis dans une phase de stabilisation. Cela peut mettre 6 mois à un an avant que les effets ne disparaissent complètement. Pour l’instant, plus de 4 mois après le vaccin, les picotements se situent entre mes mollets et mes doigts de pied. Le soir, c’est insupportable. J’ai l’impression de plonger mes jambes dans des orties chaque nuit. Si je gère les picotements le jour, j’ai peur d’aller me coucher le soir… »

 

Source : Nord Eclair

 

Mise à jour au 17 juillet 2015: L'épouse de Willy nous a annoncé qu'il était décédé le 6 juin dernier "après 18 mois de souffrances jour et nuit". Et d'ajouter que son mari a "passé tous les examens et par toutes les machines qui existent sans jamais rien trouver, à part le Guillain-Barré et la maladie de Waldenström. Mais aucun médicament ne put l'aider et les médecins, même les professeurs, sont restés impuissants. Et maintenant je suis seule."  

 

Il y a clairement un lien entre le risque de syndrome de Guillain-Barré et les vaccins, dont notamment le vaccin antigrippal tout particulièrement. Cela s’est vu avec le vaccin contre la fausse grippe porcine aux USA en 1976, cela s’est vu avec la vaccination anti-H1N1 et cela continuera de se voir avec divers autres vaccins dont le vaccin grippal saisonnier. Bien entendu, les gens mal informés ou qui sont encore sous l’influence de l’idéologie séculière ont tendance à espérer qu’il n’y ait pas de lien avec le vaccin (et se perdent alors en commentaires lénifiants sur divers forums). Du côté médical, on connaît très bien ces risques mais on n’a tendance à ne pas prendre l’initiative d’en avertir les patients ni après coup ni bien sûr avant la vaccination, avec le risque logique de décourager les patients de recevoir cet inutile vaccin annuel.

 

Toutefois, il existe dans le chef du corps médical une obligation d’information du patient de par la loi du 22 août 2002 en Belgique (et celle du 4 mars 2002 en France). Ces lois sur le droit du patient consacrent le droit au consentement libre et éclairé pour tout acte médical, en ce compris bien sûr aussi la vaccination. La loi belge est on ne peut plus claire sur le contenu de cette obligation d’information de la part du médecin. L’alinéa 2 de l’article 8 de cette loi précise notamment en effet : « Les informations fournies au patient, en vue de la manifestation de son consentement visé au § 1er, concernent l'objectif, la nature, le degré d'urgence, la durée, la fréquence, les contre-indications, effets secondaires et risques inhérents à l'intervention et pertinents pour le patient, les soins de suivi, les alternatives possibles et les répercussions financières. »

 

Les praticiens sont donc juridiquement OBLIGES, si du moins ils veulent se mettre à l’abri du risque de poursuite, d’informer les patients sur les bénéfices qu’on peut raisonnablement espérer mais aussi sur les risques, leur nature, leur fréquence et leur gravité possibles ainsi que sur les alternatives. Non seulement l’efficacité du vaccin antigrippal est douteuse et largement remise en question par de nombreuses analyses sérieuses (dont celle du groupe indépendant Cochrane) mais en plus, il existe de nombreuses alternatives (naturelles et sans risque) pour prévenir et/ou guérir plus rapidement une grippe mais qu’une majorité de médecins s’autorisent encore à ignorer soit par opportunisme, soit par dogmatisme soit encore par paresse ou mauvaise volonté intellectuelle.

 

Parce qu’il a été honteusement désinformé par le médecin vaccinateur, cette victime n’a pu donner qu’un consentement biaisé et donc par définition, juridiquement non valide. A la question de savoir si ce patient aurait accepté un tel vaccin sur base des taux réels d’efficacité (en réalité d’inefficacité), sur base aussi de ses complications graves variées dont la fréquence est sans cesse sous-estimée et sachant aussi qu’il existe d’autres moyens sûrs et plus efficaces pour prévenir un risque infectieux, il n’apparaît guère difficile de répondre. Par conséquent, et faisant suite à une jurisprudence française intéressante, il nous semble INDISPENSABLE que des victimes comme Willy Lefebvre puissent intenter des poursuites en justice pour demander réparation d’un préjudice aussi évident que le nez au milieu du visage. En France, le juge civil de Bordeaux a condamné dans des circonstances tout à fait équivalentes et de façon tout à fait pertinente un médecin vaccinateur qui n’avait pas informé son patient des risques graves de sclérose en plaques associés au vaccin anti-hépatite B. Le juge a estimé qu’il s’agissait là d’une faute professionnelle et que ce non respect de la loi sur les droits des patients a constitué un préjudice moral devant donner lieu à une indemnisation. Il est urgent que cesse l’impunité médicale : on comprend mal en effet le contraste entre la chasse sans merci aux automobilistes avec des amendes et PV à tire-larigot contre une vitesse qui ne débouche pas toujours sur des accidents et d’autre part, cette complaisance face aux libertés que le corps médical se croit autorisé à prendre avec les règles relatives à l’information des patients dès lors que la médecine, ses pratiques et ses médicaments constituent tout de même, il faut le rappeler, la 3e cause de mortalité dans nos sociétés dites « avancées », juste après les maladies cardio-vasculaires et le cancer.

 

 

Voir aussi ici la tragédie inutile que ces vaccins peuvent engendrer (et qui sont sans commune mesure avec toutes les complications possibles d'une grippe naturelle...):

   

 

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26 février 2014 3 26 /02 /février /2014 11:30

Des documents issus de « Kindergeneeskunde », ouvrage collectif de pédiatres publié en 1964 et rédigé par une kyrielle de « grands pontes », viennent apporter un nouvel éclairage lugubre sur les risques qu’on a fait encourir à des centaines de millions de gens dans le monde sans qu’ils en soient informés, ce qui est bien sûr éthiquement tout à fait inacceptable .

variole-et-polio-1.jpg


Ce qui frappe d’emblée est la franchise des auteurs, basée sur la foi inébranlable qu’ils agissent pour le bien de l’humanité. Dans ce contexte, toutes les horreurs qui sont décrites dans cet ouvrage passent froidement par la rubrique pertes et profits. Un tel langage serait impensable à l’heure actuelle ! C’est ce qui rend cet ouvrage si intéressant – et important sur le plan médico-légal. Quoique. Ne vous faites pas trop d’illusions : les vaccinalistes considéreront cet ouvrage comme dépassé, et donc nul et non avenu, compte tenu des « progrès » de la « vaccinologie ».


Variole


p259 : on vaccinait déjà les prématurés et les nouveau-nés, et, plusieurs fois de suite durant la grossesse, les femmes enceintes !


p260 : le placenta concentre les vaccinations répétées de telle sorte que les nouveau-nés se retrouvent avec des concentrations d’anticorps supérieures à celles de la mère.


P261 : illustration : « accidentele vaccinia » au niveau de l’œil et « vaccinia necrosum » suivi d’une généralisation (…) chez un nouveau-né de quatre mois…

Polio-Variole--Aveux--3.jpg


P261 : Complications : varioles « accessoires », « vaccinoles… », « satellites… » : leur fréquence est relativement grande. Exanthèmes post-vaccinaux : rougeoleux, papuleux, exsudatif. Des sortes de purpura sont rencontrées. Cela peut se généraliser. Surinfections bactériennes (staphylocoques, streptocoques). Tétanos. Erysipèles.


P262 : Complications : vaccine généralisée. Suite de diffusion hématogène. Le déroulement de la vaccination est un jeu (…) entre, d’une part, la virulence du virus vaccinal qui se répand dans les tissus cutanés et sous-cutanés et les ganglions lymphatiques, et, d’autre part, les mécanismes immunitaires et humoraux de l’hôte qui sont susceptibles d’être mobilisés. Toutes les variantes sont possibles. Nous avons eu l’impression (…) que chez les jeunes nourrissons de deux à trois mois, dont la mère n’a pas été vaccinée, la vaccine généralisée est relativement fréquente.


P263 : Vaccination par inoculation ou vaccination accidentelle. Se produit lorsque le moment ou l’endroit de la vaccination sont mal choisis (…). Vaccine primaire des deux mamelons chez une femme qui allaite, dont l’enfant vacciné a fait une vaccine généralisée. Vaccine au niveau de l’œil ce qui peut conduire à la perte de l’œil.


P263 : Eczéma vaccinatum : chez des patients présentant un eczéma atopique, une névrodermite, un urticaire, la primovaccination peut devenir sévère. La vaccine se généralise. Le patient décède fréquemment des suites de l’infection. La mortalité est haute, de 30 à 40% chez les enfants de moins de deux ans.  Des patients présentant une exacerbation de leur eczéma sont rarement vaccinés.


P264 : Complications : vaccine généralisée progressive, vaccinia necrosum = vaccine nécrosante ou gangréneuse. L’endroit de l’injection se nécrose. Après une certaine période, se produit la dissémination généralisée.


variole-et-polio-2.jpg


Ames sensibles, s’abstenir de lire ce qui suit :


P264 : Complications : ni l’excision du site (…) vaccinal primaire, ni, dans certains cas, l’amputation de toute la ceinture scapulaire (en clair, l’amputation des deux épaules…), n’ont réussi à endiguer le processus (de dissémination).


P264 : Complications : sans thérapie, la maladie (vaccine généralisée) est presque toujours mortelle. Le patient  (cf. photo, p164) mourut le 19ième jour de la vaccination. D’autres (…) moururent dans les six mois après la vaccination. Ceux qui ont survécu, succombèrent systématiquement (…) à une autre infection. Avec les thérapeutiques intensives actuelles, la mortalité serait de 30 à 40% (Kempe, 1960).


P265 : Complications : altération des organes internes : glomérulonéphrite aiguë : douze jours après la vaccination. Thrombocytopénie : du 8ième au 16ième jour. Myocardite et péricardite : huit cas sont à attribuer à la vaccination. Deux nourrisson : l’un avec une myocardite mortelle le 12ième jour de la vaccination ; l’autre avec une myocardite mortelle. Lire également les conclusions d’un « expert » en français dans le texte.


P266 : Complications : Osteomyelitis vaccinulosa : atteinte du squelette de croissance. Pseudoparalyse de l’extrémité atteinte avec fièvre. Dans les 10 à 15 jours après la vaccination.  Il va de soi (…) que, lors d’une vaccine généralisée, tous les organes peuvent être atteints. Atteinte du système nerveux central : encéphalite post-vaccinale : dès 1925, décrite comme une complication inconnue de la vaccination antivariolique. La poussée de température qui apparaît après quelques jours de fièvre, fait partie du climax de la réaction vaccinale. Le liquide cérébro-spinal est systématiquement perturbé. Histologiquement, le cerveau présente des altérations typiques.


P267 : Complications : encéphalopathie toxi-infectieuse. Le patient peut décéder inopinément dès le début de cette complication. Convulsions. L’examen virologique a démontré qu’une vaccine peut s’accompagner d’une infection par un autre virus, p.ex. le virus coxsackie, ou le virus des oreillons. La concomitance de ces deux infections est si fréquente lors d’une encéphalopathie post-vaccinale chez les nourrissons, que nous déconseillons la vaccination dans la période durant laquelle ces infections sont fréquentes. En l’absence d’une autre cause, il faut considérer qu’une encéphalopathie post-vaccinale a pour origine la vaccine.


P268 et p269: prophylaxie : il est admis que lors de vaccinations massives, la fréquence des complications augmente sensiblement (Nanning, 1961). La cause réside dans le fait que la vaccinateur n’a plus l’opportunité d’évaluer convenablement les contre-indications, et qu’il n’est pas en mesure de déterminer le moment favorable pour la vaccination. Il est donc recommandé de ne pas pratiquer des primovaccinations massives.


P270 : facteurs supplémentaires qui peuvent provoquer des complications : on évitera de vacciner lors de la période d’incubation d’une maladie infectieuse. On évitera de vacciner durant une épidémie de quelque maladie infectieuse que ce soit. Les enfants anormaux forment un problème. On pèsera systématiquement le pour et le contre.


Polio


P273 : Sabin : virus atténué : vaccination per os. Salk : virus inactivé par de la formaline. Associé à la diphtérie, coqueluche, tétanos : DTCP.


P274 : Vaccination orale avec le virus atténué : les caractéristiques d’un virus vivant (atténué) sont variables. Parfois, l’infection ne prend pas. L’activité du virus dans le corps peut dépasser les limites de ce qui est admissible (…). L’excrétion (fécale…) du virus par l’individu vacciné peut mener à une contamination non souhaitée des personnes au contact, avec parfois des effets néfastes (…). Le vaccin polio oral est composé de trois souches virales atténuées qui sont administrées à des nourrissons de trois mois et plus. Le virus Sabin type 3 (produit aux Etats-Unis), a d’abord été refusé sur base de test neuropathogènes, mais a été ensuite finalement accepté sans modification.


P276 : Sécurité : la sécurité de la vaccination orale est à différents égards un point litigieux. Elle provoque des infections non souhaitées chez des personnes non vaccinées mais au contact. La stabilité du virus vaccinal n’est pas garantie. Le virus (vaccinal), retrouvé dans les selles, peut présenter une activité neuropathogène qui est plus grande qu’avant la vaccination. Même sans le passage intestinal, le virus Sabin de type 3, présent dans le vaccin oral, semblerait ne pas satisfaire aux critères de sécurité en matière de neuropathogénicité. Ceci explique les hésitations décrites plus haut lors de l’octroi de la licence. A plusieurs reprises, des séries (…) de cas de poliomyélite ont été constatées chez les vaccinés. Plus tard, aux Etats-Unis, des cas de poliomyélite se sont également déclarés dans des conditions qui indiquent un lien avec le virus Sabin de type 3 sous licence. Les personnes en contact avec des cohabitants (…) vaccinés peuvent être infectées par le virus après son passage intestinal (…) et la neurovirulence s’en trouve augmentée d’un facteur de 10 à 10.000.


P277 : virus simien SV40 : dans les préparations vaccinales, l’on trouve un virus simien SV40 qui provoque des tumeurs chez les cobayes. In vitro, il provoque la prolifération de cellules humaines avec des altérations du noyau et des altération malignes des chromosomes. Ce virus a aussi été démontré dans les préparations de Sabin (= vaccin polio oral) dans ses trois types. Le virus (simien) prolifère chez les nourrissons après son administration orale, et de plus provoque la formation d’anticorps chez les adultes après inhalation. La présence dans le vaccin de ce virus (simien) et d’autres (…) soi-disant (…) virus simiens inoffensifs devrait être intrinsèquement exclue.  Dans la pratique, ce n’est pas toujours possible.


P277 : Vaccin Salk inactivé et filtré : obtenu par prolifération sur cultures primaires (…) de cellules de singe.


P280 : Il est possible d’exiger (…) que les enfants, avant qu’ils ne soient admis dans des crèches, des internats ou des communautés analogues, soient préalablement vaccinés contre certaines maladies, notamment la polio.

 

P281 : l’exigence des vaccins multiples ne peut que gagner du terrain. 

 

 

IMPORTANT, il est utile à présent de confronter ces risques ci-dessus à d'autres données concernant cette fois l'efficacité de ces vaccins. Car en effet, contre quelle protection a-t-on fait courir des risques aussi graves à une aussi grande population??


On se référera notamment à cet article-ci sur l' "efficacité" du vaccin contre la variole. (NB: La variole a certes disparu mais pas grâce au vaccin comme il ressort du rapport final d'éradication de l'OMS de 1980 dans lequel l'Agence avoue que "si les campagnes de vaccination massives furent couronnées de succès dans quelques pays, elles échouèrent dans la plupart des cas.")


Et à ces deux articles-ci sur le vaccin polio oral (Encyclopedia Universalis de 1988: hausse de 300% des cas de polio dans les pays subtropicaux après de grandes campagnes vaccinales de l'OMS; plus de 47 000 cas de paralysie flasque aiguë causés par le vaccin en Inde rien qu'en 2011, etc...)

 

Lire aussi:  "Variole: aveux explosifs à posteriori sur le vaccin."

Vaccins: ce que des médecins en disaient déjà en 1875 (= livre rare d'époque du Dr Coderre)

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25 février 2014 2 25 /02 /février /2014 17:28

Une maladie infectieuse rare et incurable, ressemblant à la polio est apparue en Californie où elle affecte un petit nombre d'enfants (vaccinés), ont annoncé des chercheurs de l'Université de Stanford.


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Les universitaires ont présenté dimanche cinq cas de paralysie soudaine chez des enfants, lors d'un congrès de l'Académie américaine de neurologie à Philadelphie.


"Bien que le virus de la polio ait été pratiquement éradiqué dans monde, d'autres virus peuvent affecter la moelle épinière, faisant apparaître un syndrome proche de celui de la polio", a déclaré le neurologue de Stanford, Keith Van Haren, principal auteur de cette étude de cas.


"Au cours de la dernière décennie, le lien a été fait entre de nouvelles formes d'entérovirus et l'apparition de ce syndrome semblable à la polio chez des enfants en Asie et en Australie", a expliqué le chercheur.


"Ces cinq nouveaux cas mettent en lumière la possibilité de l'émergence d'un syndrome semblable à celui de la polio en Californie", a-t-il dit.


La poliomyélite a été largement éradiquée dans le monde, grâce à l'introduction d'un vaccin dans les années 1950, mais la maladie continue de faire des ravages dans certains pays comme le Pakistan, le Nigeria et l'Afghanistan.


En Californie, les cinq enfants atteints par le nouveau syndrome avaient tous été vaccinés contre la polio, et leurs tests de la polio étaient négatifs. Ils présentaient tous les mêmes symptômes : une perte subite de mouvement d'un de leurs membres suivie d'une paralysie dans les deux jours.


Trois d'entre eux souffraient d'une maladie respiratoire avant l'apparition de ces symptômes.



Deux d'entre eux étaient porteurs de l'entérovirus-68, un virus rare qui a été associé à l'apparition de la maladie, dont les trois autres n'étaient pas porteurs, et les médecins recherchent toujours les causes de leur paralysie.


AFP

 

Source : RTBF


Il ne serait guère étonnant qu’on finisse un jour par dire « il faut produire un nouveau vaccin contre l’entérovirus 68 ». La réalité, et ce n’est pas un phénomène nouveau, c’est que la vaccination a des effets négatifs directs ET INDIRECTS qui s’exercent tant au niveau individuel que collectif :

 

- Oui entre autres, les vaccins peuvent donner lieu à une gamme infiniment étendue de pathologies neurologiques au rang desquelles diverses paralysies ou autres syndromes pouvant associer une paralysie au tableau clinique mais aussi

 

- Les vaccins induisent une pression de sélection au niveau du monde microbien : concrètement, cela découle du fait que « la Nature a horreur du vide » et que donc, toute tentative de faire baisser la circulation d’un germe est à même d’entraîner une sorte de reconfiguration/rééquilibrage des souches (tant virales que bactériennes) avec pour corollaire possible l’émergence de nouvelles variantes moins connues ou de souches souvent plus virulentes et plus problématiques.

 

Ici par conséquent, rien ne nous apparaît forcément neuf. On détecte 5 paralysies chez des enfants vaccinés. Ok mais combien d’enfants américains les vaccins paralysent-ils chaque année ? Fort évidemment, les parents s’entendent dire dans la majorité des cas que ces paralysies n’ont aucun lien avec un vaccin et encore, quand ils pensent à soulever la question ! Par ailleurs, il est un fait connu depuis déjà des décennies que la vaccination massive contre la polio a été associée à une explosion des méningites aseptiques qui n’est pas sans lien avec la hausse compensatoire d’autres virus comme les Echovirus et aussi d’autres entérovirus comme les Coxsackies (dont certains peuvent donner lieu à des symptômes paralytiques).

 

Ces informations médiatiques devraient donc être prises comme une occasion de plus de bien percevoir toute l’urgence qu’il y a à remettre en cause une « logique » vaccinale en définitive aussi absurde que contre-productive.

 

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21 février 2014 5 21 /02 /février /2014 18:00

Que ce soit parce que leurs enfants ont été endommagés par les vaccins pédiatriques ou pour éviter que d'autres jeunes adolescentes ne soient littéralement sacrifiées en vain par les dangereux vaccins HPV (Gardasil & Cervarix), des parents et un médecin ont récemment écrit au Président François Hollande.

 

LIRE ICI la lettre des parents d'enfants victimes de vaccins au Président Hollande (Ne pas hésiter à relayer et à faire de même en écrivant au Président Hollande, les frais de port sont gratuits quand les gens écrivent au Président... ou alors, écrire en ligne en cliquant sur ce lien) Plus d'infos sur le parcours de ces familles.

 

Découvrir ici le nouveau site consacré à un des enfants victimes, le petit Nello...

 

 

LIRE ICI au sujet de la lettre envoyée par le médecin réunionais Dr de Chazournes au Président Hollande au sujet des vaccins HPV. Relai médiatique de cette lettre ici.

 

LIRE ICI la lettre d'Océance Bourguignon et de ses parents à la Ministre Marisol Touraine. La réponse reçue au nom de Hollande. La réponse reçue à ce courrier de la part de M. Touraine.

 

Rien n’est pire que ne pas agir face à un tel scandale : écrire est à la portée de tous. Ce qui est arrivé à ces enfants et à toutes ces jeunes filles n’est rien de moins que le sacrifice pur et simple (et complètement inutile) de la qualité de vie d’individus que rien, éthiquement, ne pourrait venir justifier !

Cliquez ici pour écrire au Président Hollande.


 
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