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16 février 2014 7 16 /02 /février /2014 09:54

Le cerveau d’un bambin endommagé après un vaccin antigrippal pour adultes : il ne sait plus parler ni marcher

 

D’après Jane Hansen, The Sunday Telegraph, 9 novembre 2013

 

Balancoire.jpg

Lachlan Neylan a souffert de dommages cérébraux après avoir reçu un vaccin interdit aux moins de 5 an (Source: News Limited)

 

Enfant-fauteuil-roulant.jpg

 Lachlan a souffert de graves dommages cérébraux, de convulsions,

d’œdème cérébral après son vaccin (Source: News Limited)

 

Après que Lachlan ait été conduit chez le médecin pour recevoir son vaccin  contre la grippe, il n’a plus pu ni parler ni marcher. Le vaccin qui lui fut administré était interdit pour les enfants de moins de 5 ans.

 

Lachlan Neylan a souffert d’une encéphalopathie après qu’un généraliste lui ait, par erreur, administré le vaccin contre la grippe pour adultes en mars de l’année dernière.

 

Ses parents expliquent que sa température s’est rapidement élevée et il a commençé à faire des convulsions dans les sept heures qui ont suivi l’injection.

 

« Il s’est effondré et a commencé à faire des convulsions » dit M. Neylan. «  Les médecins pensaient qu’il ne survivrait pas jusqu’au week-end. C’était terrifiant. »

 

M. Neylan précise qu’avant l’injection, son enfant parlait et marchait. Après l’injection, « il avait régressé jusqu’à un stade de trois mois ; il ne savait plus ni s’asseoir, ni marcher ni utiliser ses bras ».

 

Bien que d’autres vaccins contre la grippe soient approuvés pour les enfants, le vaccin que Lachlan a reçu avait, en 2010, été interdit pour les enfants en-dessous de 5 ans après que des vaccinations de masse aient  entraîné des convulsions fébriles chez un enfant sur 100, soit 10 fois plus que ce qui était attendu.

 

La famille a fait savoir son inquiétude par rapport au fait que des médecins utilisaient le Fluvax pour les enfants malgré l’interdiction. Un porte-parole du Ministère de la Santé a déclaré qu’il y avait eu « 43 notifications de CSL Fluvax administré aux enfants de moins de 5 ans, cette année en Australie. »

 

Le médecin généraliste a admis son erreur et le rapport gouvernemental d’effets secondaires admet aussi l’erreur. « Ca a été une erreur ; le médecin l’a également admis, mais ça continue à se produire et nous ne voulons pas que quiconque puisse encore passer par ce que nous avons dû vivre », a déclaré M. Neylan.

 

Enfant-et-pigeons.jpg

 Lachlan est photographié ici avant la vaccination (Source: Supplied/fourni par la famille)

 

L’expert, le professeur Robert Booy de l’université de Sydney a précisé que le Fluvax était bien toléré chez les adultes et sauvait des vies, mais que le taux de convulsions fébriles chez les enfants de moins de 5 and en 2010 était de 1 sur 150 et un enfant sur 2.500 souffrait de complications plus graves.

 

« Bien que le but des vaccins soit de prévenir les handicaps et les décès, il arrive parfois que les vaccins ne soient pas administrés au bon enfant ou au bon adulte » a déclaré le Pr. Booy.

 

La famille de Lachlan a dû déménager à Sydney pour être plus proche de l’hôpital pour enfants de Westmead. Leur maison a été louée et transformée en un centre de réadaptation pour Lachlan, maintenant âgé de trois ans. Le petit garçon réapprend à ramper.

 

La famille est frustrée d’avoir eu à assumer tous les frais; elle n’a encore reçu aucune indemnisation. La compagnie d’assurance médicale a voulu discuter. Elle a prétendu que le cerveau de Lachlan était en développement et qu’il fallait tirer le meilleur parti de cette neuroplasticité, a expliqué M. Neylan.

 

Source : Daily Telegraph

 

Et les autorités prétendent encore à qui veut les croire que les vaccins antigrippaux classiquement administrés aux adultes sont sûrs : quand on voit ce que ces substances à peine plus dosées (et parfois aux dosages identiques !) sont à même de provoquer chez des enfants, on peut sérieusement en douter. Voir aussi ici : Le vaccin antigrippal est le plus dangereux selon les statistiques d’indemnisation de victimes aux Etats-Unis.

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12 février 2014 3 12 /02 /février /2014 22:07

Voici l'exposé du Dr Didier Tarte, médecin du travail, dans le cadre de la grande conférence "Vaccins, cancers etc: les dangers d'une médecine autoritaire" qui s'est tenue le 29 novembre dernier au Palais des Congrès de Namur:

 

 

 

  Témoignage sur un aspect de mon expérience au cours de mes 13 années d’activité en tant que médecin du travail.

 

En tant que médecin du travail dans un Centre de Gestion de la Fonction Publique Territoriale, j’ai été amené à suivre une formation de 2 ans qui s’est achevée avec un examen et la présentation en Octobre 2003 d’un mémoire en rapport avec mon activité sur le terrain, auprès des agents de la fonction publique.

 

J’ai décidé de présenter un mémoire sur la situation de santé de 57 ripeurs éboueurs en activité dans une communauté de communes.

 

 J’ai en effet pris en charge ces agents en 2001 et j’étais préoccupé par les troubles musculo- squelettiques qui les touchaient entraînant des arrêts de travail répétés et parfois prolongés. La santé de ces agents était préoccupante et pour certains il y avait même une menace pour leur emploi. De plus, cette situation posait de sérieux et difficiles problèmes pour la gestion de ce groupe concernant les congés et les remplacements ainsi que pour la formation des équipes de trois personnes, un chauffeur et 2 ripeurs, autour de chaque véhicule.

 

Pour ce mémoire, j’ai suivi une procédure en essayant de retrouver l’historique des symptômes de chacun des agents le plus en amont possible à partir des visites annuelles réalisées par les précédents médecins du travail qui suivaient ce groupe.

 

Ainsi pour chaque agent, j’ai regroupé toutes les informations que je pouvais recueillir concernant les dates des symptômes, examens et interventions réalisés ainsi que les vaccins reçus. Ensuite, j’ai étudié particulièrement les 10 personnes ayant eu le moins d’arrêt de travail et les 10 autres ayant eu le plus d’arrêt de travail au cours des 7 années précédentes. Le temps d’arrêt de travail étant un indice fiable en rapport avec leur état de santé, ainsi que les symptômes, examens et interventions reçus.

 

Il s’est alors trouvé que l’étude des dossiers de chacun de ces 2 groupes faisait apparaitre que le groupe des personnes avec le plus d’arrêt de travail était celui dont les agents avaient reçu le plus de vaccins dont particulièrement le vaccin contre l’hépatite B entre 1995 et 1998. La somme des arrêts de travail de ce groupe était trois à quatre fois plus importante que celui des personnes avec le moins d’arrêt. Et pour certains, cela pouvait atteindre presque une année, témoin alors du retentissement sur la santé de ces agents.

 

Conscient de la présentation délicate de ce que cette étude faisait apparaitre auprès du directeur de mon mémoire et plus tard pour le jury, j’ai simplement mis en interrogation la possibilité d’une manifestation inflammatoire plus ou moins prononcée entraînant ces troubles musculo-squelettiques en fonction du nombre de vaccins reçus.

 

Tout au long de cette activité j’ai tenu informé de mon travail mon directeur de mémoire. Par ailleurs il a reçu ce mémoire un mois avant la présentation devant le jury. Je n’ai reçu pendant tout ce temps aucune remarque particulière ou critique sur la rédaction et la présentation de ce mémoire.

 

Vint alors le jour de la présentation. A ma grande surprise je découvre que parmi la vingtaine de collègues qui présentent eux aussi un mémoire pour la qualification de leur activité, je suis le seul où parmi les 3 membres du jury,  mon directeur de mémoire n’est pas présent. De plus on me fait passer en dernier.

 

A peine ai-je commencé à présenter mon travail que le président du jury m’admoneste de façon très incisive et déterminée, critiquant la méthode suivie pas digne, d’après lui, du niveau demandé. Un bon savon, repris par chacun des autres membres du jury qui laissent entendre que je dois revoir complètement mon travail dans les deux mois, si je veux avoir la validation de mon activité. J’avais alors 60 ans, il me restait à priori 5 années d’activité qui risquaient d’être compromises avant ma retraite.

 

J’étais complètement abasourdi par la situation et la manœuvre sournoise qui venait de me tomber dessus. J’étais devant une stratégie bien étudiée et délibérée pour me casser visant surtout à faire disparaître ce que j’avais fait apparaître avec cette interrogation sur l’influence probable des vaccins.En effet, à aucun moment mon directeur de mémoire n’avait manifesté la moindre critique ou objection concernant mon travail. Est-ce que c’était la raison pour laquelle il ne faisait pas partie du jury, contrairement à la règle habituelle ?

 

Si la méthode que j’ai suivie n’était pas très orthodoxe, car ne suivant pas une méthode statistique élaborée et classique, des professeurs dignes de confiance et respectueux d’un travail attaché à se préoccuper de la santé des agents ainsi que de ce qui mettait en cause leur santé, auraient pu dès le départ m’aider à suivre ce projet et donc à améliorer la méthode utilisée et par là même à rendre particulièrement crédible cette démonstration.

 

Il n’en a rien été. Il s’agissait de me contrôler entièrement et de faire disparaitre la moindre interrogation concernant les vaccins et surtout celui des vaccins contre l’hépatite B (VHB), reçus sans réelle justification par les agents entre 1995 et 1998, car le risque de contamination par le virus de l’HB était quasiment nul dans le contexte de leur activité.

 

Par ailleurs, il n’est pas inutile de faire remarquer qu’à aucun moment les différents médecins du travail qui m’avaient précédé, ils étaient 3 ou 4, ne se sont posés de question sur l’apparition des symptômes qui surgissaient et des arrêts de travail qui suivaient en conséquence. Et ne parlons pas des autres médecins, médecins traitants ou les différents spécialistes -radiologues, rhumatologues et même chirurgiens- amenés à suivre ces agents pour explorer ou soigner ces personnes. Ils ne semblent pas s’être interrogés sur l’origine de ces symptômes dans le parcours de soins ou de travail de ces agents.

 

Et donc en conséquence, même si parfois des facteurs traumatiques apparaissaient provoqués par le travail, la cause de ces troubles étant due ou aggravée le plus souvent par des vaccins, les thérapies proposées à base d’anti-inflammatoires, d’antalgiques ou de cortisone apportaient peu d’amélioration et faisaient avancer ces agents dans une chronicité préoccupante. A signaler enfin qu’un rappel vaccinal venait parfois aggraver les troubles présents, sans que personne ne s’interroge sur l’origine de cette aggravation.

 

Voici donc comment fonctionne une institution ou une profession créditée de rationalité et de rigueur morale portée à son plus haut niveau et qui, comme toute formation universitaire, prétend en suivre les règles supérieures et former ses membres sur ces valeurs.

 

 Docteur Didier Tarte

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7 février 2014 5 07 /02 /février /2014 20:00

Effets secondaires des vaccins?

Cinq familles devant la justice

 

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Les parents des 5 familles qui incriminent les vaccins dans le handicap de leur enfant. Les enfants, de g. à d.: Naomie, Lolita, Lucia, et Terry. Nello, hospitalisé ce jour-là, n'apparaît pas sur la photo. © DR

 

Le 07 février 2014

Mise à jour le 07 février 2014


Vanessa Boy-Landry

 

Ensemble, cinq familles demandent des comptes aux laboratoires GSK, Pfizer, et Sanofi. Elles attendent de la justice la reconnaissance des effets secondaires des vaccins et une indemnisation pour leurs enfants aujourd’hui handicapés. Me Hartemann, leur avocat, a plaidé leurs dossiers, vendredi dernier, devant le Tribunal de Bobigny.

 

A l’issue d’une heure trente de plaidoirie, Me Hartemann se dit « plutôt agréablement surpris » par le verdict de l’audience : les laboratoires ne s’opposent pas au lancement d’expertises médicales pour quatre des cinq dossiers. Un premier feu vert qui, s’il est confirmé, ouvrira la voie à des examens complémentaires et à la recherche de maladies rares chez ces enfants qui, après avoir reçu des injections de vaccins ont présenté des troubles neurologiques graves. « Des séquelles comparables à des traumatismes crâniens ou à des épilepsies énormes qui auraient endommagé le cerveau », précise l’avocat. « Il s’agit d’enfants qui ne présentaient aucun problème de santé », explique l’avocat qui insiste sur la similitude des histoires, «et qui, suite à la première injection ou au rappel, ont d’un seul coup arrêté d’évoluer et présenté des dommages très importants ».

 

Sandrine: «Qu'est-ce qui a pu enlever à Nello la partie du cerveau qui commande tout ce qui est moteur?»

 

Nello (3 ans), Naomie (4 ans et demi), Lucia (3 ans), Lolita (18 mois), Terry (15 ans)… des enfants qui se développaient tout à fait normalement et dont l’état s’est progressivement dégradé dans les jours ou semaines qui ont suivi les vaccinations. Très forte fièvre, pleurs impossibles à calmer, perte du tonus musculaire, raidissement du corps… autant de signes alarmants observés par leurs parents. Aujourd’hui, ces enfants ne marchent pas ou plus, ne parlent pas, ne tiennent pas leur tête, ont des difficultés pour manger, boire, saisir les objets… Les divers examens et prélèvements réalisés en neuropédiatrie n’ont pas permis d’identifier la cause de leur affection. Nello a fait une très forte fièvre suite à un rappel de Priorix (vaccin du laboratoire GSK contre la rougeole, les oreillons, la rubéole), à 19 mois. [Photo: Nello et son papa].

 

NELLO et son papa

Une semaine après, ses parents remarquent qu’il fait du « quatre pattes » les pouces repliés à l’intérieur des mains. Huit jours plus tard, il prend appui sur les poings, et chute comme « Bambi sur la glace ». Un mois plus tard, Nello part aux urgences : il pousse des hurlements de douleur, son corps est en boule, ses muscles rigidifiés. Une IRM de son cerveau a mis en évidence une atrophie de la substance blanche (myéline). La batterie d’examens qu’il a subis ont écarté les causes génétiques, infectieuses et traumatologiques.

 

«Qu’est-ce qui a pu lui enlever la partie du cerveau qui commande tout ce qui est moteur? », demande Sandrine, sa mère.

 

« Naomie, née prématurée, allait très bien jusqu’à ce qu’elle reçoive, à 14 mois, une première injection d’Infanrix Hexa (vaccin du laboratoire GSK contre la diphtérie, le tétanos, la coqueluche, l’hépatite B, la polio, et l’haemophilus influenzae type B) et de Prevenar 13 (vaccin du laboratoire Pfizer contre les infections à pneumocoque)», raconte Sabrina, sa mère. Après une semaine de pleurs incessants, la petite part aux urgences : strabisme et perte du tonus musculaire (elle ne tient plus assise). Les médecins ne posent pas de diagnostic.

 

Lucia a failli mourir d'une encéphalite qui l'a laissée aveugle et tétraplégique

 

Deux mois après que Lucia, à 18 mois, ait reçu les rappels d’Infanrix Hexa et de Priorix, sa mère la retrouve inconsciente dans son lit, « comme une poupée de chiffon ». A l’hôpital, les médecins constatent une inflammation au niveau du cerveau. Trois jours après, elle est opérée en urgence d’une encéphalite qui a failli lui coûter la vie et dont elle s’est réveillée, après un mois de coma, aveugle et tétraplégique. Ni maladie inflammatoire ni virus n’ont été mis en évidence dans cette atteinte neurologique.

 

Pas plus de diagnostic pour la petite Lolita, 18 mois, chez qui les premiers troubles sont apparus quinze jours après la première injection d’Infanrix Hexa et de Prevenar 13, à 2 mois, lorsqu’elle fait une sorte de malaise avant de revenir à elle: « Le corps raidi, elle râlait, bavait, et ne réagissait plus à la lumière », raconte sa mère. Suite à la deuxième injection, à 3 mois, la petite part aux urgences ophtalmologiques : «Ma fille était comme une larve, les mains fermées, le pouce à l’intérieur, et ne tenait plus sa tête.» Pour Lolita, à ce jour, les recherches génétiques n’ont rien donné.

  

Atteint d’une encéphalite « non étiquetée » à 12 mois, Terry, 15 ans, est aujourd’hui handicapé à 80%. Chez lui, les premiers signes sont apparus après la première injection, à 2 mois et demi, de Pentacoq, (vaccin Sanofi retiré du marché en 2005, contre la coqueluche, l’haemophilus de type b, la diphtérie, le tétanos et la poliomyélite): forte fièvre, cris persistants, bronchite chronique et, trois semaines après, paralysie du côté  gauche (de la hanche au bras).    

 

Tous les parents témoignent de l’impossibilité d’envisager, auprès des médecins, la responsabilité des vaccins. « Professeurs, médecins et neuropédiatres, tous ont refusé cette hypothèse. C’est un sujet totalement tabou », raconte Lionel, le papa de Nello. «Pour eux, le lien avec les vaccins est impossible car aucune étude scientifique ne le montre», ajoute Sabrina, la mère de Lucia, qui évoque le terrain génétique : « C’est peut-être un risque rare, sur une certaine population d’enfants. »

 

Le Dr Claude Béraud met en garde sur les conséquences des polémiques sur les vaccins

 

Dans un point nuancé sur les polémiques autour de certains vaccins, le Dr Claude Béraud rappelle que les risques de maladies neurologiques n’ont pas été démontrés par des études cliniques, biologiques, et épidémiologiques. Et précise, pour l’hépatite B et le risque de sclérose en plaques que « si les études ne confirment pas le lien, elles ne permettent pas davantage de l’exclure ». Pour le médecin, les conséquences de ces polémiques sont graves car « elles induisent, dans  une partie de la population le rejet de l’ensemble des vaccins, qui constituent avec les antibiotiques, les deux classes de médicaments les plus utiles à la santé des hommes ».

 

Aujourd’hui, seules les vaccinations contre la diphtérie, le tétanos, et la polio sont obligatoires. Mais il n’est plus possible pour un enfant de moins de 6 ans de recevoir le DTPolio, qui a disparu du marché en 2008. Les parents, amers, dénoncent un manque d’information de la part des médecins. Pour la plupart, ils ignoraient le mélange des vaccins obligatoires et recommandés dans le geste médical. « Cet état de fait soulève, selon un expert du médicament, la question des interactions vaccinales, qui est un non-dit. Et cela pose un problème juridique. » Dans le schéma existant, l’Etat, au titre de la solidarité nationale, répare un dommage imputable directement à une vaccination obligatoire à travers l’Oniam (Office national d’indemnisation des accidents médicaux). « Même si les juges reconnaissent que c’est bien le vaccin qui a causé l’encéphalopathie, le fait qu’il y ait des valences non obligatoires peut empêcher l’indemnisation de la famille. » Comment prouver que le dommage a été causé par le vaccin obligatoire ?

 

Me Hartemann, qui sait que les labos vont se battre sur la causalité du vaccin dans le dommage, espère qu’un arrêt de jurisprudence va peser dans la balance. En 2012, après 17 années de procédure, le Conseil d’Etat a reconnu la responsabilité du vaccin Pentacoq (5 virus) dans l’apparition d’un handicap à 95% chez un bébé de 5 mois.  Pour l’expert du médicament, « c’est un revirement favorable probablement dû à la conscience des juges. Ils ont eu pour la première fois le raisonnement inverse : parce que le Pentacoq mélange les vaccins obligatoires et recommandés, ils ont considéré, par assimilation, que le dommage avait tout aussi bien pu être causé par un vaccin obligatoire ».

 

L'avocat compte aussi sur le faisceau d’éléments (temporalité, enfants en bonne santé avant la vaccination…) pour que les familles obtiennent réparation. Pour le dossier le plus ancien, celui de Terry, les laboratoires invoquent la prescription. A moins que ne soit prouvée la responsabilité de Sanofi pour produit défectueux. Prochain rendez-vous le 19 février : les familles sauront si les expertises médicales sont accordées.

 

Source : Paris Match

  

Initiative Citoyenne félicite et apporte tous ses encouragements aux courageux parents d’enfants dont la vie a basculé après une vaccination et qui ont choisi de ne pas subir pareille injustice en silence et de se battre par amour pour eux. Il est évident au vu des statistiques mondiales d’effets secondaires de vaccins que ceux-ci sont DRAMATIQUEMENT sous-estimés et qu’ils grèvent donc lourdement la qualité de vie de la société et des individus, que ceux-ci en soient conscients ou non. Le tabou que ces parents pointent dans le chef du corps médical est une réalité que nous dénonçons déjà depuis des années. Les effets secondaires graves de vaccins qui sont officiellement recensés ne correspondent qu’à 1 à 10% tout au plus des effets graves réellement attribuables aux vaccins selon des publications scientifiques convergentes (JAMA 1993, Revue du Praticien novembre 2011). Pour comprendre cette tragédie évitable, il faut oser pointer les vrais problèmes qui sont hélas communs à tous les vaccins et qui concernent la méthodologie précise avec laquelle on évalue leur prétendue sécurité. Comme l’ont notamment signalé plusieurs auteurs dans la Revue du Praticien -qui est une revue médicale officielle- les essais cliniques pré-commercialisation des vaccins portent sur un nombre insuffisant de sujets pour évaluer les risques statistiquement plus rares mais très graves. En outre, ils ne portent que sur quelques jours ou semaines et jamais au-delà or on sait de nos jours que les mécanismes du système immunitaire peuvent prendre des mois à « dérailler ». Comment éthiquement accepter aussi que les vaccinés dans les essais cliniques ne soient jamais comparés à un groupe d’enfants non vaccinés (donc un vrai groupe neutre/groupe placebo), de façon à pouvoir réellement objectiver une sécurité vaccinale qu’on nous prétend pourtant si mirifique que l’ONE ose sans rire encore affirmer que ces cas ne concernent qu’ « un enfant sur 1 million » ?!! C’est en fait parce que cette méthodologie est biaisée à la base et que la comparaison est rendue volontairement impossible (les enfants vaccinés étant comparés à d’autres enfants ayant reçu d’autres vaccins eux aussi pourvoyeurs de lourds effets secondaires) que l’ONE se croit autorisé à faire croire indéfiniment aux gens que la sécurité des vaccins est bonne.

 

Selon Initiative Citoyenne, il est indispensable que les médecins qui vaccinent soient également poursuivis et ciblés au même titre que les autorités qui ont conseillé aveuglément des vaccins dont elles ignorent la balance bénéfices/risques globale. Conseiller aveuglément ou même imposer des vaccinations mal évaluées constitue au regard du droit non seulement un délit mais aussi un crime aux conséquences incalculables. Nous pouvons constater dans les faits que la loi sur les droits des patients n’est jamais respectée par les médecins en matière de vaccins et comme cela a déjà été démontré, les autorités officielles comme celles de la Fédération Wallonie-Bruxelles se sont déjà rendues coupables de publicité vaccinale trompeuse (Jury d’Ethique Publicitaire, décision du 9 novembre 2011). Si nous ajoutons à cette insouciance, cette ignorance et cette malhonnêteté les conflits d’intérêts à tous les étages, il n’est alors guère difficile de comprendre que SEUL le recours en justice systématique de tous ceux qui s’estiment lésés par les vaccins permettra réellement de rompre la chape de plomb qui pèse sur ce qui est incontestablement le plus grand scandale que la médecine ait jamais connu, que ce soit en termes de durée ou de nombre de victimes. Mais pendant ce temps bien sûr, certaines « bonnes âmes » appartenant à des médias comme Marianne estiment encore dans leurs pages qu’il est impensable de questionner des vaccins autres que ceux contre le H1N1 ou le HPV.

 

Le temps presse à nos yeux car la santé générale de la population par ailleurs de plus en plus vaccinée ne cesse de se détériorer en Belgique comme dans le monde:

 

- la consommation médicamenteuse explose

- les taux de cancers ne cessent d’augmenter

- les familles d’autistes qui sont plus de 100 000 en Belgique se font entendre

- un nouveau plan « Maladies rares » vient d’être lancé par Mme Onkelinx mais ce plan qui concerne 700 000 patients en Belgique (près d’1 personne sur 10 !!!!!!!!!!!) ne fait qu’accompagner les malades dans le système médical classique sans s’intéresser le moins du monde aux CAUSES possibles de cette explosion de « maladies rares ».

 

« Comme par hasard », les rares études et enquêtes menées en comparant des enfants vaccinés à des enfants vierges de tout vaccin ont toutes montré que ces derniers jouissaient d’une bien meilleure santé avec moins de maladies neurologiques, de maladies allergiques, auto-immunes etc…

 

 

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1 février 2014 6 01 /02 /février /2014 23:00

Cette étude révèle que les taux toxiques d’aluminium avec lesquels on vaccine les enfants peuvent provoquer des dommages neurologiques, ainsi que l’autisme

 

Bebe-en-pleurs-Ch.England.jpg  

Christina England, Vactruth, 28 janvier 2014

 

Une étude récente réalisée par deux scientifiques canadiens, le Professeur Christopher Shaw et le Dr Lucija Tomljenovic a révélé que plus les enfants reçoivent de vaccins contenant l’adjuvant aluminique, plus ils ont de chances de développer ultérieurement de l’autisme, des maladies auto-immunes et des problèmes neurologiques.

 

Dans leur étude publiée en 2013 par Springer Science &Business Media et intitulée L'Aluminium dans le Système Nerveux Central : Toxicité chez les humains et les Animaux,- adjuvants vaccinaux et auto-immunité, les auteurs révèlent qu’au cours d’une période de 17 ans, les taux d’autisme ont considérablement augmenté dans les pays qui administraient le plus de vaccins contenant de l’aluminium.

 

Une corrélation hautement significative

 

Les chercheurs ont comparé le nombre de vaccins recommandés par les Centres de Contrôle des Maladies et de Prévention (CDC) au cours de la période 1991 à 2008, ainsi que les changements intervenus dans les taux d’autisme au cours de la même période. Ils écrivent :

 

« L’ensemble des données comparées graphiquement les unes avec les autres, montrent une corrélation marquée et statistiquement très significative entre le nombre de vaccins avec aluminium  et les variations des taux d’autisme. . D’autres données ont montré qu’il existe une corrélation significative entre les quantités d’aluminium administrées aux enfants en âge préscolaire et les taux actuels de cas d’autisme dans sept pays occidentaux. Les pays qui avaient le plus grand nombre de vaccins adjuvantés à l’aluminium avaient aussi les taux les plus élevés d’autisme. » [1] (Souligné par l’auteur de l’article)

 

Les auteurs ont aussi relevé que :

 

« La corrélation observée entre le nombre de vaccins adjuvantés à l’aluminium et les troubles du spectre autistique (TSA) a également été testée en utilisant les critères de Hill. Huit de ces critères sur neuf montraient que les vaccins qui contenaient de l’aluminium étaient très susceptibles d’être au moins partiellement la cause de l’autisme. »

 

Pour les personnes qui ne connaissent pas les « critères de Hill », il s’agit  d’une technique utilisée pour déterminer un lien de causalité entre un facteur déterminé et une maladie. On pourrait prendre l’exemple suivant : l’excès de tabac peut-il provoquer le cancer du poumon ? Les scientifiques qui cherchent à établir un lien de causalité valable entre un agent pathogène potentiel utilisent fréquemment la technique qui a été développée par le statisticien médical britannique Austin Bradford Hill. [2]

 

Le Pr Shaw et le Dr Tomljenovic poursuivent :

 

« Il existe d’autres liens entre l’exposition/toxicité à l’aluminium et les troubles du spectre autistique (TSA). Il s’agit notamment de ce qui suit : une étude pilote a montré qu’il existait des taux d’aluminium plus élevés que la normale dans les cheveux, le sang et/ou l’urine d’enfants autistes ; les enfants étant régulièrement exposés à des taux d’aluminium plus élevés dans les vaccins que les adultes (par rapport au poids corporel). On ne connaît pratiquement rien de la pharmacocinétique et de la toxicodynamique de l’aluminium des vaccins chez les enfants. L’aluminium des vaccins a été lié à des troubles neurologiques graves, à la fatigue chronique et à l’auto-immunité. »

 

Si le Professeur Shaw et le Dr Tomljenovic ont raison, alors les résultats qu’ils ont obtenus sont extrêmement préoccupants, d’autant plus que l’autisme n’est pas le seul problème que leur étude lie à l’adjuvant aluminium.

 

En fait, leur étude montre aussi un lien entre l’aluminium et l’augmentation de l’incidence de la maladie d’Alzheimer, le syndrome de la guerre du Golfe et un syndrome relativement nouveau l’ASIA (syndrome inflammatoire auto-immun induit par les adjuvants) identifié par les scientifiques l’année dernière.

 

Niveaux toxiques d’aluminium dans les vaccins

 

En 2012, un article écrit par Stéphanie Seneff, Robert M. Davidson et Jingjing intitulé : « Des données empiriques confirment les symptômes de l’autisme suite à une exposition à l’aluminium et à l’acétaminophène » confirme également que l’exposition à un grand nombre de vaccins contenant l’adjuvant aluminique à un jeune âge était la cause la plus probable de l’augmentation de l’autisme et autres effets indésirables des vaccins. Ils écrivent :

 

 « Dans cet article, nous avons présenté des analyses sur base des données du VAERS qui suggèrent que l’aluminium dans les vaccins est toxique pour les enfants vulnérables. Bien que nous n’ayons pas montré que l’aluminium soit la cause directe de l’autisme, les preuves irréfutables disponibles dans la littérature sur la toxicité de l’aluminium, combinées avec les éléments que nous présentons par rapport aux réactions indésirables graves survenant après l’administration de vaccins contenant de l’aluminium, suggère que les lésions neuronales dues à la pénétration de l’aluminium dans le système nerveux peuvent représenter un facteur significatif de l’autisme. Le fait que les cas d’autisme augmentent régulièrement et de manière concomitante à l’augmentation de l’aluminium des vaccins est très évocateur. » [3]

 

Il s’agit ici d’une information particulièrement inquiétante pour les parents qui envisagent de faire vacciner leurs enfants, étant donné qu’un nombre croissant de vaccins contiennent de l’aluminium.

 

Ceci a été expliqué en détail par le pédiatre Robert Sears dans son excellent article publié dans le magazine « Mothering » en 2008.

 

Le Dr Sears est un autre professionnel de Santé très préoccupé par les effets que peut avoir l’aluminium sur la santé des enfants. Dans un article  mettant les mamans en garde par rapport aux dangers des vaccins contenant cet adjuvant et portant le titre "L’aluminium serait-il le nouveau thiomersal ?", le Dr Sears explique que l’aluminium a été ajouté aux vaccins pour les rendre plus efficaces.

 

Il a déclaré que bien que ce ne soit pas normalement un problème du fait que l’aluminium est un élément naturellement présent partout dans notre environnement, y compris dans les aliments, l’eau, l’air et le sol, il avait commencé à s’inquiéter par rapport aux effets que l’aluminium pourrait avoir sur la santé des enfants parce qu’il avait commencé à se demander si quelqu’un avait déjà effectivement testé le niveau de sécurité de l’aluminium injecté.

 

Au cours de ses recherches, il était tombé sur un nombre de documents extrêmement préoccupants. Peu nombreux étaient ceux qui étaient aussi inquiétants que celui qui émanait de la Société Américaine pour la Nutrition Entérale et Parentérale (ASPEN). Décrivant le document en profondeur, le Dr Sears écrit :

 

« L’origine (source) de la limite journalière de 4 à 5 mcg d’aluminium par kg de poids corporel cité par l'ASPEN semble être une étude qui a comparé le développement neurologique d’environ 100 bébés prématurés nourris avec une solution standard intraveineuse contenant de l’aluminium au développement de 100 autres bébés prématurés qui recevaient la même solution dont la quasi-totalité de l’aluminium avait été éliminée par filtration. Cette étude avait été motivée par une série de faits bien établis : l’aluminium injecté peut s’accumuler dans le sang à des niveaux toxiques, dans les os et le cerveau ; les prématurés ont des fonctions rénales affaiblies, donc un risque plus élevé de toxicité ; une autopsie pratiquée sur un bébé prématuré dont la mort subite inexpliquée avait révélé des concentrations élevées d’aluminium dans le cerveau ; la toxicité de l’aluminium peut aussi causer une démence progressive. »

 

Il a poursuivi en donnant quelques faits extrêmement alarmants dont peu de parents sont informés :

 

« Toutefois, aucun de ces documents ou études ne mentionnent les vaccins ; ils ne prennent en considération que les solutions injectables et les perfusions. L'agence américaine des médicaments (= FDA) n’exige pas non plus des étiquettes sur les vaccins pour avertir des dangers et de la toxicité de l’aluminium, alors que ces étiquettes sont exigées pour tous les autres médicaments injectables. Toutes ces études et mises en garde semblent s’appliquer essentiellement aux prématurés et aux insuffisants rénaux. Qu’en est-il des bébés plus âgés, nés à terme et dont les reins sont en bon état ? »

 

Il a expliqué :

 

« Toutefois, ces documents ne nous disent pas quelle est la dose maximale de sécurité pour un bébé ou un enfant en bonne santé. Cette information, je ne puis la trouver nulle part. C’est probablement la raison pour laquelle le groupe ASPEN suggère, et que la FDA exige que toutes les solutions injectables soient limitées à 25 mcg ; nous savons au moins que ce niveau est sûr. »

 

Si tel est le cas, pourquoi les vaccinations infantiles recommandées dépassent-elles largement les doses recommandées ? Selon le Dr Sears, les taux d’aluminium que l’on trouve dans les vaccins destinés aux enfants sont les suivants :

 

*  DTCa (diphtérie, tétanos coqueluche) :  170-625 mcg, selon le fabricant

 

*  Hépatite A : 250 mcg

 

*  Hépatite B : 250 mcg

 

*  Hib (contre la méningite ; le seul PedVaxHib) : 225 mcg

 

*  HPV : 225 mcg

 

*  Pediarix ( DTCa-Hépatite B- Polio combinés) : 850 mcg

 

*  Pentacel ( DTCa _Hib – Polio combinés) : 330 mcg

 

*  Pneumocoque: 125 Mcg

 

(Souligné par l’auteur de l’article)

 

Vous n’avez pas à être médicalement qualifié pour comprendre que ces niveaux dépassent de loin les niveaux de sécurité recommandés par l'ASPEN, surtout quand on considère qu’un nouveau-né reçoit le vaccin contre l’hépatite B, qui contient 250 mcg d’aluminium, le jour de sa naissance !

 

Etats-Unis-vaccinations-avant-UN-AN-copie-1.JPG

 

En fait, et selon le Dr Sears, la FDA a déclaré que :

 

« Bien que la toxicité de l’aluminium ne soit pas couramment détectée cliniquement, elle peut être grave dans certaines populations de patients, telles que les nouveau-nés et peut être plus fréquente qu’on le reconnaît. » [4] (souligné par l’auteur de l’article).

 

Si cela est vrai, pourquoi tous les nouveau-nés, y compris les prématurés sont-ils vaccinés à la naissance contre l’hépatite B qui contient des taux d’aluminium plus élevés que ceux qui sont recommandés ?

 

Autres préoccupations pour les prématurés

 

Il est connu que beaucoup de bébés naissent prématurément. Aujourd’hui un bébé peut survivre à l’extérieur de l’utérus dès l’âge de 24 semaines de gestation. Cela signifie que beaucoup de bébés très prématurés sont vaccinés avec des quantités massives d’aluminium le jour de leur naissance.

 

Si la chose n’était pas déjà suffisamment grave, à l’âge de huit semaines, et en conformité avec les programmes de vaccinations recommandés par le CDC, ces minuscules bébés immatures doivent recevoir pas moins de neuf vaccins en une seule journée. [5]

 

Pour des bébés de 24 semaines, cela signifie que l’on joue à un jeu encore plus dangereux quand ils sont vaccinés parce qu’ils ont « huit semaines de moins » et non « huit semaines de plus » au moment de la vaccination (ils sont donc vaccinés en âge réel et non en âge corrigé). En fait, beaucoup d’entre eux sont retirés de leur incubateur pour être légalement vaccinés par des professionnels médicaux au moyen de vaccins qui pourraient potentiellement les tuer (les vaccins provoquent des apnées -pouvant s'avérer mortelles- chez les prématurés comme l'a montré l'étude Pourcyrous, parue en 2007) !

 

Conclusion

 

Comme ces documents l’ont montré, l’aluminium est extrêmement toxique, en particulier lorsque des enfants sont vaccinés de façon répétée avec des vaccins contenant de l’aluminium à des doses qui dépassent les limites recommandées. La FDA et l’ASPEN recommandent 25 mcg comme limite sûre, et cependant, comme le Dr Sears l’a montré dans son article, de nombreux vaccins destinés aux enfants contiennent des doses d’aluminium qui dépassent ces limites sûres.

 

Les documents que j’ai étudiés montrent qu’il est parfaitement clair que plus les enfants reçoivent des vaccins contenant de l’aluminium, plus grands sont les risques qu’ils puissent ultérieurement développer de l’autisme, des maladies auto-immunes, la maladie d’Alzheimer et des troubles neurologiques.

 

En tant que parents, il est de notre devoir de protéger nos enfants à tout prix. Et pourtant, combien d’entre nous savent ce que les vaccins recommandés contiennent ? Les parents doivent faire plus de recherche approfondie sur les ingrédients des vaccins qu’ils veulent faire administrer à leurs enfants, comme sur les effets possibles que ces ingrédients peuvent avoir sur leur santé.

 

Pour la majorité des enfants, l’autisme c’est pour la vie. Cette maladie peut affecter tous les aspects de leur développement. Il est certain que nous devons à nos enfants d’être pleinement conscients des dangers possibles des vaccinations avant de les soumettre à 39 vaccins depuis leur naissance jusqu’à ce qu’ils aient atteint l’âge de six ans. Nous devons aussi prendre conscience  que ces vaccins peuvent contenir de l’aluminium, du mercure, du formaldéhyde et d’autres ingrédients potentiellement dangereux.

 

S’il vous plaît donnez-vous la peine de lire les documents repris ci-dessous avant de faire vacciner votre enfant ou consultez la liste des différents ingrédients.

 

Références

 

www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/23609067

http://www.drabruzzi.com/hills_criteria_of_causation.htm

http://www.mdpi.com/1099-4300/14/11/2227 (full text is downloadable)

www.sarahjmuma.files.wordpress.com/…/aluminum-new-thimerosal-sears.pdf

http://www.cdc.gov/vaccines/schedules/easy-to-read/child.html

 

Pour une recherche plus approfondie :

http://www.vaclib.org/intro/howmanyb4six2011.htm

http://wakeupgethealthy.wordpress.com/2011/08/18/toxic-overload-children-vaccinated-to-extreme/

http://vactruth.com/2014/01/28/toxic-levels-of-aluminum/

 

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20 janvier 2014 1 20 /01 /janvier /2014 12:00

Le père d’une petite fille emprisonné à perpétuité sans possibilité de libération conditionnelle après que sa petite fille eut reçu 8 vaccins !

 

Christina England, Vactruth, 16.01.2014

 

Père condamné à la prison à perpétuité 

« Je n’ai aucun doute que cette affaire du « bébé secoué » finira un jour par être enregistrée comme l’une des pires pages de l’histoire de la pédiatrie. » Dr A. Kalokerinos

 

Le 15 janvier 2014, Monsieur John Sanders a été condamné à la prison à vie sans possibilité de libération pour le meurtre de sa petite fille Ja’Nayah âgée de 12 semaines et qui est décédée 24 heures après avoir reçu 8 vaccins en une seule journée.

 

Quand elle est née, Ja’ Nahah était un bébé normal, en parfaite santé et, avant de quitter l’hôpital, elle a reçu, comme d’ailleurs aussi sa maman Marrie, les vaccinations de routine. Deux jours plus tard, au cours d’un examen de routine, le médecin a dit à Marrie que son bébé avait perdu du poids (quelques livres) depuis la naissance et lui a demandé de ramener l’enfant le lendemain pour effectuer des tests.

 

La maman a préféré ignorer le conseil du médecin jusqu’au prochain rendez-vous, date à laquelle le bébé devait recevoir ses vaccins de routine, car elle pensait qu’il n’y avait aucun problème avec sa petite fille.

 

Une histoire tragique de vaccins ?

 

C’est une décision que Marrie regrette aujourd’hui amèrement, parce que peu de temps avant le rendez-vous suivant, la santé de Ja’Nayah a commencé à se détériorer ; elle n’arrêtait pas de vomir. Comme Marie était fort inquiète au sujet de la santé de l’enfant, elle en fit part au médecin au cours de la visite suivante.

 

Toutefois, le médecin parut quelque peu indifférent et dit à Marrie que sa petite fille mangeait probablement beaucoup trop. Au lieu d’examiner à fond l’enfant, comme on aurait pu s’y attendre, le médecin, ignorant les signes avant-coureurs d’une altération possible de la santé de l’enfant, administra huit vaccins à cet enfant malade comme il était prévu dans le carnet de vaccinations : le triple vaccin DTCa, le vaccin polio, le vaccin contre le Rotavirus, le vaccin contre l’hépatite B, le vaccin contre la méningite et le vaccin Hib.

 

Marrie a expliqué à Vactruth :

 

« Après que Ja’Nayah fut de retour à la maison après avoir reçu ses vaccins, elle n’était plus du tout le même bébé. Avant les vaccins, c’était un bébé heureux et gai. Mais après, elle n’a plus été aussi gaie et rayonnante. Elle a commencé à avoir une respiration sifflante ; elle était congestionnée et n’arrêtait pas de vomir. Quand elle pleurait, elle émettait un cri inhabituel comme si elle pleurait de douleur. Après les vaccins, son père a acheté du Tylénol pour nourrissons. On lui en administrait deux fois par jour. »

 

Une fois encore, Marrie décida de ne pas importuner le médecin parce qu’il lui avait dit que les bébés ne sont souvent pas très bien après les vaccins.

 

Il s’agit ici d’un mythe que l’on répète chaque jour aux mamans au sujet des vaccinations. Selon moi, rien ne peut être plus éloigné de la vérité. Il va de soi que si les vaccins étaient si bons, ils ne provoqueraient pas de la fièvre chez les bébés en bonne santé et ne provoqueraient pas des éruptions cutanées ou des crises.

 

Bien que Marrie s’était séparée de son partenaire, elle décida de lui rendre visite avec Ja’Nayah quelques semaines plus tard.

 

Marrie raconte :

 

« La nuit avant la rencontre avec John, Ja’Nayah avait été très difficile et irritée. Je lui ai finalement donné un biberon et elle a fini par s’endormir. Le lendemain matin je dus m’absenter et je confiai Ja’Nayah à John. Moins d’une heure après mon départ, je reçus un message de John me disant que l’enfant avait cessé de respirer et qu’il avait été transporté à l’hôpital. L’ayant rappelé, il m’expliqua que le bébé s’était réveillé en hurlant. Pendant qu’il se trouvait dans la cuisine pour lui préparer un biberon, le bébé avait cessé de hurler, et quand il s’approcha de l’enfant, celle-ci ne réagissait plus.

 

Quand je l’ai conduite à l’hôpital, où nous sommes restés environ une heure, elle était inconsciente. Elle a ensuite dû être transférée dans un autre hôpital où elle a eu un CT-scan. Le médecin qui l’avait examinée me dit qu’étant donné l’hémorragie qu’il avait vu au cerveau, il avait l’impression que l’enfant avait l’air d’avoir été secoué. J’ai immédiatement téléphoné à John pour lui demander pourquoi il avait secoué notre bébé. Il me répondit qu’il n’avait nullement fait pareille chose.

 

Quand nous étions à l’hôpital, la petite a dû subir une chirurgie du cerveau et recevoir des transfusions sanguines. Elle est finalement morte dans mes bras après avoir passé 12 heures à l’hôpital. »

 

Marrie dit qu’elle croit absolument que John n’a pas secoué Ja’Nayah. Ce n’est qu’après avoir reçu ses vaccins de routine que la petite est devenue malade. Cependant malgré ce fait, John fut immédiatement arrêté pour avoir tué la petite Ja’Nayah de 12 semaines.

 

Depuis, il a été emprisonné à vie  sans possibilité de libération pour avoir commis un meurtre.

 

Qu’est-ce qui a tué la petite Ja’Nayah ?

 

Alors, John est-il responsable du décès de Ja’Nayah, ou l’enfant a-t-elle souffert de graves réactions à la suite des vaccinations, comme le suspecte sa maman ?

 

Quand j’ai pris connaissance du rapport d’autopsie, j’ai réalisé qu’il était rempli d’inexactitudes et soulevait pas mal de questions. A la page1 du rapport, il est précisé :

 

« Ja’Nayah Sanders, un bébé de 3  mois de sexe féminin, aurait été présenté au centre de Santé Mc Laren en arrêt cardio-respiratoire. Après réanimation, le bébé a été transféré à l’hôpital de Sparrow. Un CT Scan a montré une hémorragie sous durale. Au cours d’une craniotomie, il fut noté que le cerveau ne pulsait plus. Les complications des lésions cérébrales ont entraîné l’hypoxie, une coagulation intravasculaire disséminée, une acidose métabolique et une pneumonie. L’enfant est mort au cours de l’hospitalisation. C’est le 04.01.2013 que l’enfant a été admis à l’hôpital. Le bébé a été déclaré mort à 22h.30.

 

Selon les témoignages, Ja’Nayah n’avait pas été malade dans un passé récent. Le bébé n’avait pas reçu de médicaments. Aucune malformation congénitale n’avait été notée ; l’enfant avait reçu les visites appropriées. Dans un passé récent, l’enfant n’avait pas été en contact avec des personnes ou des animaux malades. Il n’avait non plus pas été placé en garderie. La maman a commencé les soins prénataux à 8 semaines de grossesse. A la naissance qui a été normale (vaginale), le bébé n’a pas eu de problèmes de santé. Le bébé est né à terme. Il a été nourri au lait maternisé Enfamil. L’enfant aurait été normal, heureux et ludique 24 heures avant d’être incapable de réagir. La température du corps était de 96 degrés (système américain). Entre 8 et 9 heures du matin, le jour du décès, le père signale avoir été préparer un biberon pour le bébé et pendant qu’il était en train de le remplir, le bébé a cessé de pleurer. Il est allé voir ce qui se passait. C’est à ce moment qu’il s’est aperçu que l’enfant était sans réactions  et ne respirait pas. Le père de Ja’Nayah a de suite appelé son oncle. Ce dernier est arrivé en voiture et a emmené Monsieur Sanders et le bébé à l’hôpital McLaren à Lansing, Michigan. (passages soulignés par l’auteur de l’article). »

 

Le rapport du médecin légiste ne semble pas du tout correspondre à ce qu’a déclaré la maman.

 

Il est clair que cette petite fille était malade les deux fois qu’elle avait été vue par le médecin. Malgré ce fait, le médecin a omis d’examiner Ja’Nayah et à continué de la vacciner bien que l’enfant était clairement malade.

 

Il est intéressant de relever ce que le rapport d’autopsie précise également :

 

« Système gastro-intestinal : des sections représentatives des petit et gros intestins sont exemptes d’anomalies histopathologiques importantes. La muqueuse superficielle de l’estomac montre que des hémorragies se sont produites assez tôt. » 

 

Cela pourrait vouloir dire que le bébé avait souffert  d’un certain degré de gastrite. Ce fait aurait pu expliquer les vomissements continuels de l’enfant et ultérieurement les saignements de l’estomac. [1]

 

Le médecin légiste a également signalé que les poumons de Ja’Nayah étaient congestionnés. Cela pourrait correspondre aux déclarations de Marrie qui évoquait  la respiration sifflante et la congestion observées après que l’enfant ait reçu ses huit vaccins.

 

Le nom d’une autre enfant apparaît sur les scans

 

Le rapport d’autopsie n’est pas le seul à poser de sérieuses questions sur la manière dont les preuves ont été recueillies et présentées au tribunal. Il est apparu  que plusieurs analyses (scans) utilisées comme preuves pour condamner Monsieur Sanders semblent être au nom d’un autre enfant !!! Comment chose pareille est-elle possible ?

 

Les analyses de Ja ‘Nayah se sont-elles trouvées dans le dossier d’un autre enfant ? Il s’agirait alors d’une faute médicale grave de la part de l’hôpital qui soulève de nombreuses questions à propos de la manière dont cette affaire a été traitée pour préparer le procès.

 

Ja’Nayah souffrait-elle d’un problème de santé sous- jacent ?

 

Bebe-Ja-Nayah.jpg

   

La petite Ja’Nayah est morte 24 jours après avoir reçu huit vaccins en un seul jour.

 

Serait-il possible que Ja’Nayah ait souffert d’une carence en vitamine C ? Cette carence est souvent causée par l’administration de plusieurs vaccins.

 

En 2006, le Dr Michael Innis a écrit un article qui a été publié dans le «  Journal des Médecins et des Chirurgiens Américains » dont le titre était : « Les vaccins, menaceraient-ils le pronostic vital ? - Maladie de Barlow et questions au sujet du syndrome du bébé secoué », article dans lequel il se demandait si oui ou non les ecchymoses  inexpliquées, les hémorragies subdurales, les hémorragies rétiniennes actuellement diagnostiquées comme faisant partie du syndrome du bébé secoué, étaient causées par les parents qui secouaient violemment leurs enfants, ou plutôt par une carence en vitamine C, suite à l’administration de plusieurs vaccins. [2]

 

Son article examinait  deux affaires distinctes de bébés qui étaient tombés malades  peu de temps après avoir reçu plusieurs vaccins. Les deux enfants avaient souffert de fractures et d’hémorragies cérébrales.

 

Dans son analyse, le Dr Innis précisait :

 

«  Pour autant que nous sachions, personne n’a mesuré les taux sanguins de vitamine C ou d’histamine dans les cas supposés de mort subite du nourrisson. L’existence possible d’une carence en vitamine C est une hypothèse qui s’appuie sur des résultats cliniques, radiologiques ou de laboratoire. Il y a plusieurs caractéristiques communes aux deux cas qui font penser, et qui sont compatibles  avec un diagnostic de carence en vitamine C :

 

1. Il avait été signalé que les mères avaient eu des problèmes nutritionnels et ne s’étaient pas senties bien au cours de leur grossesse.

 

2. Les mères ont fumé pendant leurs grossesses, ce qui a contribué à réduire leurs taux de vitamine C, comme celui de leurs nourrissons

 

3. Les deux bébés étaient  nourris au biberon (formule pour nourrissons) alors qu’ils étaient malades. On n’a pas invité les mères à donner un supplément de vitamine C.

 

4. Les deux parents ont rapporté les premiers signes compatibles avec la maladie de Barlow : ecchymoses spontanées chez un nourrisson et cicatrisation retardée chez l’autre.

 

5. Les deux enfants avaient des carences en acides aminés essentiels et non essentiels  nécessaires à la production  du collagène, ce qui est vraiment essentiel pour prévenir le scorbut.

 

6. Les deux nourrissons présentaient des signes de dysfonctionnement du foie.

 

7. Des fractures inexpliquées ont été observées chez les deux enfants.

 

En plus des niveaux faibles d’acides aminés pour le deuxième nourrisson, il existait des preuves supplémentaires de malnutrition (l’albumine sérique, les taux de calcium et d’hémoglobine étaient tous peu élevés.)

 

L’expérimentation animale a montré que l’administration de vitamine C peut contrer certains effets néfastes de la nicotine chez les nouveau-nés. Ceci suggère que les mères qui fument peuvent compromettre les taux de vitamine C de leurs enfants. »

 

Le Dr Innis a étudié tout le dossier de Ja’Nayah. Il a confirmé que cet enfant avait une maladie sous-jacente et que les vaccinations auraient pu le conduire à la mort.

Un appel va être lancé pour libérer le père de la prison à vie.

 

D’autres preuves montrent les dangers que représentent les vaccinations multiples

 

Il semble que les recherches et les travaux du Dr Innis rejoignent un article écrit par le regretté Dr A.Kalokerinos, MD intitulé : « Les bébés secoués » dans un passage qui porte le titre : « Le rôle joué par l’administration de vaccins ».

 

Le Dr Kalokerinos précisait :

 

«  Je voudrais pouvoir éviter de parler de ce sujet mais ne le puis. Il n’est pas question de se demander s’il faut oui ou non administrer des vaccins. La question à se poser est la suivante : «  Les vaccins jouent-ils un rôle dans la pathogenèse du syndrome du bébé secoué ?

 

Dans plusieurs cas (probablement un nombre important), l’effondrement final se produit dans un délai assez court après l’administration d’un vaccin. Dans le cas de Sally Clark, la chose s’est produite pour les deux bébés. La mère a refusé que son troisième bébé soit vacciné. Ce bébé est né après qu’elle fut inculpée.

 

Il n’existe pas le moindre doute dans mon esprit (ce que je dis se base sur une très longue expérience) que, malgré les avis contraires, il n’est pas sage d’administrer des vaccins chez des nourrissons malades- y compris chez des enfants qui font un « rhume ». Ceci, parce qu’au cours d’infections (y compris les « rhumes ») des endotoxines sont susceptibles d’être produites dans le tube digestif en quantités excessives et les processus de détoxification du foie sont susceptibles d’être débordés.- Certains praticiens répliqueront que dans de nombreuses situations, les enfants « ont toujours un rhume ». Ceci s’applique tout particulièrement aux aborigènes australiens. La réponse à ce problème est l’administration de vitamine C et de zinc qui permet de réduire énormément les risques (mais pas nécessairement complètement)

 

Les mécanismes impliqués dans l’administration des vaccins comprennent la formation excessive d’endotoxines. Le fait d’avoir connaissance de la chose permet de suivre la voie vers le développement des pathologies rencontrées dans les cas de soi-disant « bébés secoués ». (Souligné par l’auteur de l’article)

 

Il a conclu :

 

«  Je n’ai aucun doute que cette affaire du « bébé secoué » finira un jour par être enregistrée comme l’une des pires pages de l’histoire de la pédiatrie. Et le plus triste dans tout cela est ceci : alors que des médecins de renom s’affairent à rassembler des  « preuves » pour soutenir l’accusation, des questions essentielles qui pourraient sauver de nombreuses vies sont, non seulement ignorées, mais combattues, détruites avec une hostilité redoublée. (Souligné par l’auteur de l’article) [3]

 

Il s’agit d’un excellent article  dans lequel le Dr Kalokerinos explique très clairement son point de vue.

 

Dr Kalokerinos buste

 

Conclusion

 

Malgré les préoccupations évidentes  de Marrie au sujet de ce que sa petite fille avait peut-être eu à souffrir à la suite des vaccins, ces derniers auraient été la dernière chose qui soit venue à l’esprit de quiconque quant il s’est agi de condamner Monsieur Sanders. En fait, absolument aucun expert de quelque domaine de la médecine que ce soit n’a été invité à témoigner pour la défense de Monsieur Sanders. Cette affaire a été traitée unilatéralement sur base de preuves floues et fragiles.

 

La seule chose qui aurait permis à l’accusation de savoir vraiment si Monsieur Sanders avait secoué sa petite fille à mort aurait été une vidéo ou la version d’un témoin oculaire crédible. Etant donné  qu’il n’y avait ni vidéo, ni récit de témoin crédible, les soi-disant « preuves » ne devraient être considérées que comme de simples rumeurs ou conjectures.

 

Ce cas démontre une fois encore que d’autres causes possibles de la détérioration de la santé de l’enfant, y compris les effets secondaires des vaccins, ont été ignorées pour permettre de rejeter le blâme sur une personne. Monsieur Sanders devrait être libéré immédiatement. Il devrait pouvoir poursuivre cet hôpital  pour incompétence médicale, faute médicale et séquestration abusive.

 

Références

 

1.http://www.merckmanuals.com/professional/gastrointestinal_disorders/gastritis_and_peptic_ulcer_disease/gastritis.html

2. www.jpands.org/vol11no1/innis.pdf

3. http://www.freeyurko.bizland.com/kaloksb1.html

 

Source: Vactruth 

 

« Il existe des preuves scientifiques qui montrent que les nourrissons peuvent, à des moments critiques, faire de graves réactions aux vaccinations. Les vaccinations sont la cause le plus probable de la mort subite du nourrisson et du syndrome du bébé secoué. » Dr Viera Scheibner, Ph.D

VACCINATION AND THE DYNAMICS OF CRITICAL DAYS by Viera Scheibner, PhD

 

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16 janvier 2014 4 16 /01 /janvier /2014 19:12

Vaccin Revaxis : plainte contre Sanofi Pasteur pour «escroquerie»

 

Selon des victimes du Revaxis, un vaccin à l’aluminium, le laboratoire aurait surestimé les effets indésirables d’un autre vaccin, le DT Polio, pour des motifs financiers. Sanofidément.

 

ÉLISABETH FLEURY .16 janv. 2014

 

E3M

 

Argenton-sur-Creuse (Indre) hier. Danièle et son fils Stanley ont décidé de se battre contre Sanofi Pasteur depuis que le jeune homme de 19 ans a été diagnostiqué atteint de myofasciite à macrophages. (LP/Valérie Teppe.)

 

Pour la première fois, des malades ont décidé de s’attaquer frontalement aux laboratoires Sanofi Pasteur MSD, qui fabriquent et commercialisent un vaccin obligatoire, le Revaxis. Motif : ce dernier contient de l’aluminium qui, chez certains individus, peut causer une maladie très invalidante, la myofasciite à macrophages. Karen Bouillot et Stanley Annan  en souffrent. En leurs noms, Me Jean-Paul Teissonnière dépose aujourd’hui une plainte entre les mains du doyen des juges d’instruction pour « atteinte à l’intégrité de la personne », « mise en danger de la personne », mais surtout pour « faux » et « escroquerie ». Aux côtés de ces plaignants, l’association E3M (Entraide aux malades de myofasciite à macrophages) se constitue également partie civile.


Pourquoi une plainte pour « faux » et « escroquerie »? Le vaccin contre la diphtérie, le tétanos et la poliomyélite (DTP) est obligatoire pour toute inscription en crèche, à l’école, en garderie, en colonie de vacances ou toute autre collectivité d’enfants. Jusqu’en 2008, deux vaccins coexistaient : le Revaxis, contenant de l’aluminium et destiné aux enfants de plus de 6 ans, et le DT Polio, sans aluminium, qui pouvait être administré aux moins de 6 ans. En 2008, les laboratoires alertent les autorités sanitaires : une forte hausse des effets indésirables a été constatée sur le DT Polio.

En accord avec l’autorité de
santé (l’Afssaps, aujourd’hui ANSM, Agence nationale de sécurité du médicament), ils décident d’en suspendre temporairement la commercialisation et de proposer en échange aux enfants de moins de 6 ans un kit vaccinal contenant de l’aluminium, le DTVAX. Dès lors, le choix entre aluminium et non-aluminium n’est plus possible. Or, cette hausse des effets indésirables « a été créée de toutes pièces par Sanofi Pasteur MSD », estiment les plaignants. « Les effets indésirables imputés à l’année 2008 sont en fait des effets indésirables de 2007 transférés administrativement vers 2008. »


Pourquoi les laboratoires se seraient-ils livrés à une telle manipulation? Après le rachat de Pasteur par Mérieux, en 1985, un souci de rationalisation de l’offre vaccinale se serait emparé des laboratoires, à en croire les plaignants : il faut réduire le nombre de vaccins proposés pour « baisser les coûts de production ». Le Revaxis est plus rentable que le DT Polio, assurent les plaignants. « Une dose de DT Polio coûtait à l’assurance maladie 6,70 € contre 10,23 € pour le Revaxis », avancent-ils. Conclusion : « Afin d’arrêter la distribution d’un vaccin peu rentable entraînant une production onéreuse, Sanofi Pasteur MSD a procédé volontairement à la décrédibilisation du vaccin DTpolio. »

 

 

Le lien entre la myofasciite à macrophages et les vaccins est-il établi? On a longtemps cru que l’organisme se débarrassait par voie urinaire, au bout de quinze jours, des sels d’aluminium. C’est d’ailleurs ce que continuent à affirmer les laboratoires Sanofi Pasteur MSD. Mais une équipe de chercheurs de l’hôpital Henri-Mondor, celle des professeurs Authier et Gherardi, a démontré le contraire grâce à des biopsies systématiques de malades. « Depuis 2001, le lien de causalité entre l’aluminium et la myofasciite à macrophages est certain », assure le professeur Gherardi, précisant toutefois que la maladie se développe chez des personnes « génétiquement prédisposées ». Après hésitation, à l’automne, l’ANSM leur a débloqué 150000 € de crédit pour qu’ils approfondissent leurs recherches.

  

Source: Le Parisien

 

Revoir la vidéo sur le cas de Stanley ici:

 


E3M porte plainte  pour « faux et escroquerie »

 

E3M, association regroupant les malades de myofasciite à macrophages, porte plainte contre X pour « faux, usage de faux, et escroquerie » devant le Procureur de la République. De plus, E3M se constitue partie civile aux côtés de Karen Bouillot et Stanley ANNAN pour « Atteinte à l’intégrité de la personne, Mise en danger de la personne/risques causés à autrui ». Karen et Stanley sont en effet atteints de myofasciite à macrophages suite à l’injection du REVAXIS (vaccin contre diphtérie, tétanos et poliomyélite) contenant des sels d’aluminium comme adjuvants.

 

Cette plainte sera déposée ce jour par Maître Jean-Paul Teissonnière au Tribunal de Grande Instance de Paris.

 

E3M rappelle qu’elle ne remet pas en cause le principe de la vaccination. Son action porte sur la question de la toxicité de l’aluminium utilisé comme adjuvant vaccinal.

 

Pourquoi ces plaintes ?

 

En 2008, Sanofi Pasteur MSD a « suspendu la commercialisation » du DTPolio Mérieux, vaccin sans aluminium, pour une « hausse importante d’effets indésirables ».

 

E3M a toujours contesté la réalité de cette hausse. E3M apporte maintenant la preuve que celle-ci a été « fabriquée » : des effets indésirables survenus en 2007 ont été artificiellement reportés sur 2008.

 

suite du communiqué de presse d'E3M

PJ 1 : les preuves de la falsification - Synthèse

PJ 2 : La toxicité de l’aluminium vaccinal

PJ 3 : Les conflits d'intérêts experts/industrie du vaccin

PJ 4 : Le rôle des autorités sanitaires

Le dossier complet sur la suspension du DTPolio Mérieux sans aluminium (preuves, contexte, raisons, ...)


Toute la journée, des personnes atteintes de myofasciite à macrophages sont à votre disposition pour témoigner de ce qu'elles vivent au quotidien,

 

au CISP Kellerman, 17 Boulevard Kellermann  75013 PARIS


Pour tout contact:

Maître Jean-Paul Teissonnière : 06 07 88 17 55


Didier Lambert, Président E3M: 06 72 41 20 21

Suzette Pires, Vice-Présidente E3M : 06 86 81 17 18

Yves Ketterer, Administrateur E3M : 06 65 08 32 91

 

 

 

 

Voir aussi l'article de Golias Hebdo de février 2014

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7 janvier 2014 2 07 /01 /janvier /2014 22:59

  

Halte à la survaccination, halte à cet automatisme vaccinal délétère et anti-scientifique qui fait statistiquement nettement plus de victimes chaque année que tous les cas de tétanos dans le monde!
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7 janvier 2014 2 07 /01 /janvier /2014 20:52

La Vie Hospitalière

 

mardi 7 janvier 2014

 

Vaccination et myalgie : un lien possible, selon le Conseil d'Etat

 

Le Conseil d'État vient, dans une décision, d'annuler un arrêt de la Cour administrative d'appel (CAA) de Marseille datant de novembre 2010 en rejetant une requête contre un jugement du Tribunal administratif (TA) de Montpellier prononcé en mars 2008. Le TA avait en effet refusé la demande d'une cadre de santé pour que la réparation de son dommage, imputé à une vaccination, "soit mise à la charge du CHRU de Montpellier". 

 

En janvier 2004, une cadre de santé du CHRU montpelliérain reçoit au sein du service de médecine préventive de l'établissement une injection de rappel du vaccin Revaxis contre la diphtérie, le tétanos et la poliomyélite. À la suite de cette vaccination, elle présente des myalgies qu'une biopsie conduit à diagnostiquer une myofasciite à macrophages. La victime et sa famille imputent cette affection et ses troubles à la vaccination, "en faisant valoir que le vaccin contenait un adjuvant aluminique" et que la victime présente des antécédents d'allergies. 

 

Le Conseil d'État indique que les connaissances scientifiques n'excluent pas un lien de causalité entre une vaccination contenant un adjuvant aluminique et la combinaison de symptômes constitués de fatigue chronique, de douleurs articulaires et de troubles cognitifs. En outre, ce lien "revêt une probabilité suffisante pour qu'(il) puisse, sous certaines conditions, être regardé comme établi".

 

En excluant ce lien de causalité direct entre les troubles présentés par la cadre de santé et la vaccination subie, alors qu'il existait une "proximité temporelle entre la vaccination et les premiers troubles et qu'aucun facteur ne permettait de penser qu'elle en était déjà atteinte", la CAA a commis une erreur de droit. Il y a donc lieu de mettre à la charge du CHRU une somme de 3 500 euros à verser à la victime et à sa famille.

 

L'affaire est par ailleurs renvoyée à la CAA de Marseille. 

 

Source : La Vie hospitalière

 

TOUTES les victimes devraient porter systématiquement plainte, non seulement pour elles et parce que le dommage subi l’exige mais aussi pour faire sauter les carcans de cette fausse médecine qui sème la maladie et le désespoir à tous vents et qui constitue par là-même une menace majeure pour la santé et les libertés collectives.

 

Si toutes les victimes portaient plainte, cela permettrait en outre de relever le montant des indemnisations qui est encore ridiculement faible au regard de la qualité de vie lésée de manière irréversible. NB: On nous a signalé à juste titre que ce montant de 3500 euros n'était pas celui de l'indemnisation proprement dite du préjudice subi mais que cette somme correspond en fait aux frais de recours auprès du Conseil d'Etat. (Ceci étant dit, il n'en reste pas moins que les sommes allouées restent en majorité trop faibles au regard du préjudice infligé par les vaccins, ici encore un autre exemple, 3000 euros qu'a dû verser un médecin à un patient qu'il a désinformé en vaccinant contre l'hépatite B et qui est atteint de sclérose en plaques depuis lors.)

 

Ne vous dites plus « Je ne gagnerai jamais », « c’est long », « c’est coûteux », respectez vous vous-mêmes, vous avez des droits, une dignité et toute la légitimité à demander réparation. Les preuves de la tromperie et de la désinformation sont absolument innombrables en matière de vaccination et les preuves de leur toxicité sont plus qu’accablantes. Ayant conscience de cela, les victimes ne peuvent que comprendre qu’elles  ne peuvent que gagner et qu’elles gagnent à agir en nombre pour faire sauter ce mur de la honte et cette inqualifiable omerta vaccinale.

 

 

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5 janvier 2014 7 05 /01 /janvier /2014 17:14

FOTOLIA-AUTISME.jpgVoici ci-dessous une excellente traduction (merci au traducteur externe!) de quelques extraits issus d'une récente publication scientifique sur les liens entre autisme, mercure et vaccination antigrippale:

Janet K. Kern, Boyd E. Haley, David A. Geier, Lisa K. Sykes, Paul G. King and Mark R. Geier, "Thimerosal Exposure and the Role of Sulfation Chemistry and Thiol Availability in Autism." Int. J. Environ. Res. Public Health 2013, 10, 3771-3800.

http://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/23965928

Le trouble du spectre autistique (TSA) est un trouble neurologique qui affecte un nombre significatif d'enfants qui connaissent une régression au niveau du développement, caractérisée par une perte des capacités et des aptitudes préalablement acquises. Ce sont typiquement des pertes des capacités verbales, non verbales et sociales qui sont rapportées. De nombreuses études récentes suggèrent que les enfants avec un diagnostic de TSA présentent une chimie de sulfatation anormale, une disponibilité limitée du thiol, et une capacité de réserve du glutathion (GSH) diminuée, ce qui compromet la capacité d'oxydation-réduction (redox) et de désintoxication.

Malgré le fait que les raisons de la régression en cas de TSA restent controversées, des déclarations anecdotiques et une étude [13] suggèrent que la majorité des parents d'enfants avec un diagnostic de TSA (trouble du spectre autistique) qui ont connu une régression disent que leur enfant a régressé suite à des vaccinations.  Goldberg  et  al.  [13] a découvert que l'événement mentionné par la majorité des parents (67.6%) comme étant concomitant à la perte des capacités était la vaccination. D'un point de vue plus objectif, il est clair que l'émergence des symptômes de TSA (trouble du spectre autistique) après l'âge de 6 mois, telle que décrite dans la section susmentionnée, suit temporellement l'administration de nombreux vaccins de l'enfance, donnés selon le plan de vaccination au cours des 6 premiers mois de vie.

Avec un nombre croissant de vaccins sans thiomersal ou avec une quantité réduite de thiomersal sur le marché, l'on s'attendait à ce que l'exposition totale au thiomersal diminue nettement; cependant, cette supposition s'est avérée inexacte en raison des changements dans les recommandations en matière de vaccination. En avril 2002, pour la première fois, le Centers for Disease Control (CDC) a recommandé l'administration des vaccins contre la grippe aux nourrissons de 6 à 23 mois, alors que le seul vaccin contre la grippe approuvé pour ce groupe d'âge était le Fluzone® de Sanofi  Pasteur, avec du thiomersal comme conservateur [25].  En avril 2002,  le CDC  a réitéré sa recommandation d'administrer un vaccin contre la grippe aux femmes enceintes au cours de leurs deuxième et troisième trimestres de grossesse, là aussi alors que tous les vaccins contre la grippe avaient du thiomersal comme conservateur. De plus, en 2010,  le CDC  a progressivement étendu la tranche d'âge pour la vaccination annuelle contre la grippe, jusqu'à ce que les jeunes enfants se voient effectivement recommander l'administration initiale de deux doses de vaccin contre la grippe, pour ensuite recevoir une dose supplémentaire chaque année pour le restant de leur vie. En ce qui concerne les femmes enceintes, le CDC a également supprimé la restriction du "deuxième-et-troisième-trimestre" concernant les vaccins contre la grippe [26–28].

L'on estime que la quantité maximale de thiomersal à laquelle une personne vaccinée peut être exposée au cours de sa vie représente désormais plus du double de ce qu'elle serait si le plan de vaccination antérieur à 2000 avait été maintenu.

De plus, étant donné l'exposition étendue et la toxicité signalée du thiomersal, une réponse supplémentaire est que le nombre d'enfants affectés est plus important que ce que la société ne réalise ou ne compte actuellement. Il existe des preuves suggérant que l'exposition au thiomersal est un facteur de risque pour d'autres troubles du développement que l'autisme.

Un autre exemple illustrant le fait que les effets secondaires associés au thiomersal ne sont généralement pas reconnus provient de la saison grippale de 2009/2010. Au cours de cette saison, l'exposition prénatale maximale relative à l’éthyl-mercure (Et-Hg) aux États-Unis a augmenté à 50 μg théoriquement pendant la saison grippale 2009/2010, par le biais des vaccins contre la grippe saisonnière recommandés en 2009/2010 et des vaccins contre la grippe H1N1 qui contenaient un niveau de conservation de thiomersal (une augmentation de 25 μg). Il est estimé que 43% de toutes les femmes enceintes aux États-Unis ont reçu le vaccin contre la grippe H1N1 en 2009 [159]. 

Les taux de déclaration de perte fœtale non ajustés pour les trois saisons consécutives de la grippe, à partir de la saison 2008/2009, étaient les suivants, en termes de déclarations par million de femmes enceintes vaccinées: 6.8 (pour la saison 2008/2009); 77.8 (pour la saison 2009/2010); et 12.6 (pour la saison 2010/2011)  [31].  Ainsi, sur la base des données tirées de l'article de Goldman [31], les taux de déclaration d'avortements spontanés et de mortinatalité relatifs au vaccin contre la grippe durant la saison grippale 2009–2010 (au système de déclaration des effets secondaires des vaccins du CDC, le VAERS) ont été multipliés par plus de 11 par rapport aux taux de déclaration lors de la saison grippale précédente. En 2010/11, lorsque la quantité de mercure provenant du thiomersal est redescendue au niveau nominal maximal de 25 μg, les taux de déclaration de pertes fœtales ont retrouvé des niveaux similaires à ceux de la saison grippale de 2008/2009.

Par ailleurs, une évaluation de 278'624 sujets (cohortes de naissance entre 1990 et 1996) au moyen des dossiers médicaux informatisés du Vaccine Safety Datalink (VSD) a révélé qu'il y avait une association entre la puberté prématurée et l'exposition au mercure des vaccins contenant du thiomersal [160].  Le mercure est connu pour être un perturbateur endocrinien [161], et les scientifiques ont exprimé leur inquiétude au sujet du rôle potentiel des produits chimiques perturbateurs endocriniens dans la tendance croissante de pubertés précoces chez les filles [162].  Un examen de la littérature concernant les effets du mercure sur le système endocrinien par Tan et  al. [163] a révélé que le mercure (Hg) s'accumule dans le système endocrinien, provoque des modifications dans la concentration hormonale, et interagit avec les hormones sexuelles.

Il est plausible que les conséquences associées au niveau du comportement et du développement en cas de TSA (Trouble du spectre autistique) représentent une manifestation de la toxicité du mercure Hg, étant donné que le cerveau est un organe cible pour les effets toxiques du thiomersal, ainsi qu'un organe cible pour la bioaccumulation des mercures toxiques, persistants, dérivés des expositions au composé éthyl-mercure (Et-Hg) injecté [95].

Avec un taux d'enfants présentant un diagnostic de TSA (Trouble du spectre autistique) dépassant désormais 1 enfant sur 50 aux USA [166], et un taux d'enfants présentant des troubles du neurodéveloppement et du comportement dépassant désormais 1 enfant sur 6 aux USA [167], et la preuve exposée précédemment montrant qu'il existe une vulnérabilité au thiomersal qui ne pourrait être connue sans des examens étendus, la prépondérance des preuves indique que le thiomersal devrait être éliminé de tous les vaccins.

Références :

13.   Goldberg,  W.A.;  Osann,  K.;  Filipek,  P.A.;  Laulhere,  T.;  Jarvis,  K.;  Modahl,  C.;  Flodman,  P.; Spence,  M.A.  Language  and  other  regression,  assessment  and  timing.  J.  Autism  Dev.  Disord. 2003, 33, 607–616.

25.   Centers  for  Disease  Control.  Prevention  and  Control  of  Influenza:  Recommendations  of  the Advisory Committee on Immunization Practices (ACIP). MMWR 2002, 51 (RR-03), 1–31.

26.   Centers  for  Disease  Control.  Prevention  and  Control  of  Influenza:  Recommendations  of  the Advisory Committee on Immunization Practices (ACIP). MMWR 2004, 53 (RR-06), 1–40.

27.   Centers  for  Disease  Control.  Prevention  and  Control  of  Influenza:  Recommendations  of  the Advisory Committee on Immunization Practices (ACIP). MMWR 2006, 55 (RR10), 1–42.

28.   Centers  for  Disease  Control.  Prevention  and  Control  of  Seasonal  Influenza  with  Vaccines Recommendations of the Advisory Committee on Immunization Practices (ACIP). MMWR 2009, 58 (RR08), 1–52.

31.   Goldman,  G.  Comparison  of  VAERS  fetal-loss  reports  during  three  consecutive  influenza seasons, was there a synergistic fetal toxicity associated with the two-vaccine 2009/2010 season? Hum. Exp. Toxicol. 2013, 32, 464–475.

95.   Takahashi,  T.;  Kimura,  T.;  Sato,  Y.;  Shiraki,  H.;  Ukita,  T.  Time-dependent  distribution of [203] Hg-mercury compounds in rat and monkey as studied by whole body autoradiography.  J. Hygenic. Chem. (Japan) 1971, 17, 93–107.

159.  Moro, P.L.; Broder, K.; Zheteyeva, Y.; Revzina, N.; Tepper, N.; Kissin, D.; Barash, F.; Arana, J.; Brantley, M.D.; Ding, H.; et al. Adverse events following administration to pregnant women of influenza A (H1N1) 2009 monovalent vaccine reported to the Vaccine Adverse Event Reporting System. Am. J. Obstet. Gynecol. 2011, 205, 473, doi: 10.1016/j.ajog.2011.06.047.

160.  Geier, D.A.; Young, H.A.; Geier, M.R. Thimerosal exposure & increasing trends of premature puberty in the vaccine safety datalink. Indian J. Med. Res. 2010, 131, 500–507.

161.  Balabanič,   D.;   Rupnik,   M.;   Klemenčič,   A.K.   Negative   impact   of   endocrine-disrupting compounds on human reproductive health. Reprod. Fertil. Dev. 2011, 23, 403–416.

162.  Hotchkiss,  A.K.;  Rider,  C.V.;  Blystone,  C.R.;  Wilson,  V.S.;  Hartig,  P.C.;  Ankley,  G.T.;  Foster, P.M.; Gray, C.L.; Gray, L.E. Fifteen years after “Wingspread”—Environmental endocrine disrupters and human and wildlife health: Where we are today and where we need to go. Toxicol. Sci. 2008, 105, 235–259.

163.  Tan,  S.W.;  Meiller,  J.C.;  Mahaffey,  K.R.  The  endocrine  effects  of  mercury  in  humans  and wildlife. Crit. Rev. Toxicol. 2009, 39, 228–269.

166.  Blumberg, S.J.; Bramlett, M.D.; Kogan, M.D.; Schieve, L.A.; Jones, J.R.; Lu, M.C. Changes in Prevalence of Parent-Reported Autism Spectrum Disorder in School-Aged U.S. Children, 2007 to 2011–2012. Available online: http://www.cdc.gov/nchs/data/nhsr/nhsr065.pdf (accessed on 21 March 2013).

167.  Boyle,  C.A.;  Boulet,  S.;  Schieve,  L.A.;  Cohen,  R.A.;  Blumberg,  S.J.;  Yeargin-Allsopp,  M.; Visser, S.; Kogan, M.D. Trends in the prevalence of developmental disabilities in US children, 1997–2008. Pediatrics 2011, 127, 1034–1042.

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4 janvier 2014 6 04 /01 /janvier /2014 15:37

De 4 décès, on était passé à 9 puis de 9 à 11 puis maintenant 17 après la vaccination anti-hépatite B de nourrissons mais tout doit se poursuivre comme si de rien n'était pour l'OMS et la Chine!! On peut et on doit vraiment parler de terrorisme sanitaire car le massacre va continuer sans qu'on sache quels seront les nouveaux-nés prochainement vaccinés qui y succomberont. C'est là bien la définition du terrorisme mais appliqué au domaine sanitaire sur de fragiles et innocents nourrissons. Au niveau politique, on invoque souvent un dieu pour justifier les massacres, ici on invoque le "Bien commun", la "santé" mais le processus est le même, la Médecine ayant ici juste remplacé la Religion. Vaccination = nouvelle religion totalitaire!

 

La Chine n'a-t-elle pas reçu "de près" les injonctions ou plutôt les injections du silence (sinistre jeu de mot!) de sa compatriote et directrice de l'OMS Margaret Chan, celle-là même qui s'était publiquement indignée que les pays pauvres ne puissent pas s'offrir ou plutôt s'encombrer des coûteux et inutiles vaccins H1N1, bien qu'elle n'était toujours pas vaccinée elle-même en décembre 2009, prétextant qu'elle était en vacances et qu'elle ne savait pas à quel service s'adresser pour se faire vacciner!!

 

La Chine nie, l'OMS nie, mais le monde lui va se réveiller de plus en plus sur le côté très sombre de cette véritable folie vaccinale inqualifiable.

 

Bickel cause à effet

 

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