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4 janvier 2014 6 04 /01 /janvier /2014 15:37

De 4 décès, on était passé à 9 puis de 9 à 11 puis maintenant 17 après la vaccination anti-hépatite B de nourrissons mais tout doit se poursuivre comme si de rien n'était pour l'OMS et la Chine!! On peut et on doit vraiment parler de terrorisme sanitaire car le massacre va continuer sans qu'on sache quels seront les nouveaux-nés prochainement vaccinés qui y succomberont. C'est là bien la définition du terrorisme mais appliqué au domaine sanitaire sur de fragiles et innocents nourrissons. Au niveau politique, on invoque souvent un dieu pour justifier les massacres, ici on invoque le "Bien commun", la "santé" mais le processus est le même, la Médecine ayant ici juste remplacé la Religion. Vaccination = nouvelle religion totalitaire!

 

La Chine n'a-t-elle pas reçu "de près" les injonctions ou plutôt les injections du silence (sinistre jeu de mot!) de sa compatriote et directrice de l'OMS Margaret Chan, celle-là même qui s'était publiquement indignée que les pays pauvres ne puissent pas s'offrir ou plutôt s'encombrer des coûteux et inutiles vaccins H1N1, bien qu'elle n'était toujours pas vaccinée elle-même en décembre 2009, prétextant qu'elle était en vacances et qu'elle ne savait pas à quel service s'adresser pour se faire vacciner!!

 

La Chine nie, l'OMS nie, mais le monde lui va se réveiller de plus en plus sur le côté très sombre de cette véritable folie vaccinale inqualifiable.

 

Bickel cause à effet

 

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2 janvier 2014 4 02 /01 /janvier /2014 18:20

« On m’avait dit que les vaccins

étaient sûrs et efficaces »

 

Truth-behind-Dr-Palevsky.JPG  Dr Laurence PALEVSKY, M.D., Pédiatre

 

La vérité cachée des vaccins

(Aperçu de la vidéo : « The truth behind vaccinations »)

 

Dr L. PALEVSKY, Pédiatre

 

« A la Faculté de Médecine, on m’a appris que les vaccins étaient sûrs et efficaces et je n’avais aucune raison de penser autrement… Les choses en sont restées là jusqu’à ce que je réalise que l’on rendait la vaccination contre l’hépatite B obligatoire pour les nouveau-nés alors que ces derniers ne couraient aucun risque de faire cette maladie. On affirme que les vaccins sont sans danger, et la chose est considérée comme encore plus sûre qu’une affirmation, c’est un peu comme s’il s’agissait d’une loi inébranlable. Mais les choses ne sont guère aussi claires, et il y a de plus en plus de personnes qui s’interrogent sur ce problème, et à juste titre. Il n’existe aucune science qui prouve que les vaccins sont sans danger… Il y a environ 10 ans, une maman est venue me trouver et m’a demandé : « Docteur, savez-vous qu’il y a du mercure dans les vaccins ? Et bien, je n’en savais rien ! Ce n’est qu’alors que je me suis posé la question, et je me suis dit : s’il y a du mercure dans les vaccins, que peut-il aussi y avoir d’autre ? – J’ai lu les notices et j’ai vu qu’il y avait non seulement du mercure, mais de l’aluminium, du formaldéhyde, des antibiotiques, des conservateurs, du polysorbate 80. – J’ai alors demandé à une autorité en pédiatrie de me dire comment tous ces produits sont traités par le corps ? Je n’ai pas pu recevoir de réponse à ma question pour la bonne et simple raison que cette recherche n’a jamais été faite !  […] «  La plus grande partie de la recherche sur les vaccins est payée par les fabricants eux-mêmes. De sorte que ceux qui doivent approuver les vaccins se basent sur ce que disent les fabricants. » - Dr L. Palevsky, pédiatre.

 

Truth behind passant (2)

 

L'acteur et citoyen Rob Schneider : « Ma femme est enceinte depuis 5 mois. En ce qui me concerne, je défends les droits des parents et je suis contre les obligations gouvernementales en la matière. Il n’appartient pas au gouvernement de nous dire ce que nous pouvons faire ou pas faire en ce qui concerne la santé de nos enfants. On ne peut pas obliger les parents à faire ce qu’ils ne veulent pas faire. Toutes ces obligations vont à l’encontre du Code de Nuremberg. »

 

Truth-behind-Dr-Geier--3-.JPG

 

Dr Mark Geier, MD, PhD, généticien et David A. Geier, biochimiste

 

D.A.G. : «  C’est du thimérosal ! C’est un produit très toxique qui peut endommager les reins, le tissu respiratoire, le système nerveux. Il y a un avertissement sur la toxicité en matière de reproduction et de développement. C’est un produit affreusement toxique et c’est ce produit que l’on retrouve dans les vaccins ! La vaccination qui expose le plus au mercure est la vaccination contre la grippe. Ce vaccin est maintenant recommandé pour toutes les femmes enceintes, tous les nourrissons, tous les enfants, et cela chaque année. Dans le vaccin contre la grippe (Fluzone) on trouve  une dose de 25µg de thimérosal (dérivé du mercure). »

 

Dr. M.G. «  Il y a quantité de gens qui ne savent pas cela, et moi-même j’en étais ! J’ai administré quantité de vaccins pendant 35 ans et je ne savais pas que certains vaccins contenaient du thimérosal. Il y a quantité des médecins qui ne sont pas au courant. Il y a même des médecins qui ne savant pas que thimérosal veut dire mercure ! »

 

Commentateur : Dans ce pays, on établit un diagnostic d’autisme toutes les 20 minutes ! L’autisme n’est qu’une partie d’un problème plus important : 1 enfant sur 6 dans ce pays présente une forme ou une autre de handicap neurodéveloppemental.

 

Truth-behind-Autism-Alarm.JPG

 

Barbara Loe Fisher, Présidente du NVIC : « aux Etats-Unis, des millions d’enfants sont malades et/ou handicapés. – On a enregistré la chose au cours de la même période où le nombre des vaccins administrés a été multiplié par 3 […] Ce n’est plus de la science, c’est de la politique. »

 

Dr Christopher A. Shaw, B.S., M.Sc., PhD

 

Truth-behind-Shaw.JPG

 

« Je suis chercheur en neurosciences. J’ai effectué des recherches sur la manière dont l’aluminium pouvait avoir un impact sur le système nerveux. Quand il est ingéré, l’aluminium est éliminé assez rapidement alors que ce n’est pas tout à fait le cas quand il est injecté. Après avoir injecté de l’aluminium dans les muscles de souris, on a pu observer des problèmes de comportement, ainsi que des troubles cognitifs. Nous avons trouvé d’importants dommages aux neurones. »

 

Dr Dwight Lindholm, MD, neuropédiatre

 

Truth-behind-Dr-Dwight.JPG

 

« … Quand j’ai vu cette patiente, elle faisait des convulsions et souffrait de terribles maux de tête. J’ai réalisé que ses problèmes étaient survenus après le vaccin Gardasil. A mon avis, il ne reste guère de place pour le doute ; ses problèmes ont sûrement été causés par le Gardasil. Chaque fois qu’elle a reçu une nouvelle injection, son état s’est aggravé. Je pense que ce vaccin devrait être retiré du marché. »

 

Dr Diane Harper, MD, MPH, MS, chef de recherche pour les essais cliniques sur le Gardasil

 

Truth behind Diane Harper (7)

 

« La FDA (Food & Drug Administration)  utilise une procédure particulière qui s’appelle « fast tracking » (procédure accélérée) quand un médicament apparaît prometteur. Pour le Gardasil, on avait planifié des essais cliniques pour une durée de 4 ans, mais après 15 mois, ils ont contacté la FDA et dit qu’étant donné qu’il n’existait pas de produit de ce type sur le marché, ils demandaient si la FDA ne pourrait pas leur accorder l’autorisation d’une procédure accélérée. La FDA a marqué son accord et endéans les 6 mois, ils ont approuvé le vaccin. Etant donné que le vaccin avait été approuvé, Merck a dit qu’ils ne poursuivraient plus les essais. »

 

FAST TRACKING (= Procédure accélérée, comme pour le H1N1!)

 

Truth behind Wagonet

   

Barbara Loe Fisher (NVIC) : «  Nous manifestons publiquement pour nos droits civils les plus élémentaires. Nous voulons suivre notre conscience quand il s’agit de prendre des décisions en ce qui concerne les vaccinations de nos enfants. »

 

Truth behind Manif

   

Truth behind Hepatitis B No way (10)

 

« Le vaccin contre l’hépatite B, le premier jour de ma vie ?? Ma maman dit : « Pas question ! »

 

Député Dan BURTON, Audition au Congrès Américain

 

Truth behind Dan Burton (A)

 

Question du Député aux représentants du Centre de Contrôle des Maladies (CDC) :

 

«  Croyez-vous que ceux qui reçoivent des fonds de Merck ou d’une autre compagnie pharmaceutique devraient pouvoir figurer dans le Comité consultatif qui doit  rendre un avis au sujet d’un produit provenant de ces compagnies ou pensez-vous qu’il s’agit là de conflits d’intérêts ? » …

 

Dr John GREEN, MD, médecin généraliste

 

Truth behind Dr J. Green

 

« Nous savons que le mercure est neurotoxique ; il n’existe pas de controverse à ce sujet. Le mercure contribue à causer des dommages qui peuvent conduire à l’autisme. La recherche reste incomplète et les certitudes que les autorités veulent nous fournir au sujet des vaccins ne sont pas scientifiques. C’est chaque jour, chaque jour que je vois des enfants dont la santé a été endommagée, des désastres pour les familles à la suite des vaccins. »

 

Député Dan BURTON, Audition au Congrès Américain

 

Truth behind Dan Burton (B)

 

« Nous voulons savoir pourquoi on met du mercure dans les vaccins et pourquoi la chose n’a pas été testée depuis 1929 quand Eli Lilly l’a mis au point. Monsieur, est-ce que le thimérosal a été testé par une Agence de Santé ? …En 1929,  ils l’ont testé sur 27 personnes qui étaient en train de mourir de méningite. Toutes ces personnes sont mortes de méningite et on a dit qu’il n’y avait pas de relation entre leur décès et le mercure contenu dans le vaccin. C’est là le seul test qui a été fait sur le thimérosal. Pensez-vous qu’il y en a eu d’autres ? »

 

Réponse : sur des personnes, non !

 

VOIR LA VIDEO ORIGINALE (en anglais):

 

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27 décembre 2013 5 27 /12 /décembre /2013 19:00

La Chine interdit le vaccin de l'hépatite B de la société BioKangtai à Shenzhen

  

Mis à jour le 21-12-2013

 

Fotolia labo fabrication

 

L'Administration nationale des produits alimentaires et pharmaceutiques (ANPAP) et la Commission nationale de la santé et de la planification familiale (CNSPF) ont lancé une circulaire conjointe interdisant l'utilisation du vaccin recombinant de l'hépatite B produit par BioKangtai, entreprise basée à Shenzhen, dans la province du Guangdong (sud).

 

D'après la circulaire, quatre cas de mort d'enfants ont été rapportés dans les provinces du Hunan, du Guangdong et du Sichuan après l'injection de ce vaccin.

 

L'ANPAP et la CNSPF mèneront une enquête plus approfondie sur ces cas et une inspection au sein de l'entreprise, indique la circulaire.

 

Sources: Agence de presse Xinhua et french.china.org

 

Mise à jour du 27 décembre 2013

 

Déjà 9 morts et plus 4... ET POUR COMBIEN D'AUTRES QU'ON IGNORE??

 

Chine : mort d'un neuvième nourrisson après une vaccination contre l'hépatite B

  

Mis à jour le 27-12-2013

 

Les autorités de la santé de la Chine centrale ont annoncé vendredi qu'elles avaient ouvert une enquête sur une nouvelle mort de nourrisson liée à la vaccination contre l'hépatite B, le neuvième cas depuis novembre.

 

Le dernier cas rapporté concernait un garçon de deux mois, décédé mercredi à Loudi dans la province du Hunan, sept heures seulement après avoir été vacciné contre l'hépatite B.

 

Le vaccin avait été produit à Beijing. Les autorités de Loudi ont suspendu l'utilisation de ce lot de vaccins et le Centre provincial de contrôle des maladies a ouvert une enquête sur cette affaire.

 

Le Hunan a déjà signalé trois morts de nourrissons. Un garçon âgé d'un mois est décédé le 6 décembre et un autre enfant de huit mois le 9 décembre. Les vaccins utilisés avaient été fabriqués par BioKangtai à Shenzhen, dans la province du Guangdong (sud).

 

Parmi les neuf victimes, quatre sont du Guangdong, trois du Hunan et deux du Sichuan. La majorité des décès se sont produits après que les victimes ont reçu une injection de vaccin produit par BioKangtai.

 

L'utilisation de tous les vaccins anti-hépatite B de BioKangtai a été suspendue dans tout le pays. L'enquête sur les décès est en cours.

 

Source : French.cina.org

 

Nouvelle (triste) mise à jour du 31 décembre 2013 car les décès ont encore augmenté, on est à 11 maintenant... triste "Nouvelle Année" pour les petits Chinois piqués contre leur gré!

 

Déjà 11 décès de nourrissons officiellement détectés en Chine après le vaccin anti-hépatite B mais l'OMS continue d'affirmer qu'il est sûr! 

 

Encore une autre mise à jour vu l'augmentation des décès à 17 (en date du 4/1/14)

 

Triste à dire mais ce genre de communiqué donne par contraste la mesure de la liberté de nos médias occidentaux si prompts à donner des leçons de démocratie aux autres pays… ce genre de communiqués aurait-il seulement pu passer avec nos agences de presse ?? On peut se poser la question….

 

Les vaccins recombinants contre l’hépatite B sont aussi utilisés chez nous (« recombinant » signifie « fabriqué par génie génétique » = transgénique =  ce qui est le cas de TOUS les vaccins anti-hépatite B utilisés actuellement dans le monde, et notamment ceux inclus dans le vaccin Infanrix hexa (« 6 en 1 ») administré à plus de 90% des enfants belges dès 2 mois… Le document confidentiel du fabricant GSK sur l'Infanrix hexa que nous avons publié sur notre site en décembre 2012 relève lui aussi plusieurs décès d’enfants.

 

En règle générale, il ne faut pas se leurrer, les « enquêtes plus approfondies » sont davantage destinées à faire croire au public qu’on va investiguer objectivement la situation plutôt que de le faire réellement et les conclusions sont donc connues d’avance (comme quand on fait une autopsie après un décès chez un enfant vacciné ou même qu’on la refuse comme c’est arrivé après le décès de la petite Stacy).

 

La citation du Prix Nobel de Littérature George Bernard Shaw qui date du début du XX° siècle est éminemment révélatrice puisqu’elle était déjà d’actualité à une époque où il y avait infiniment moins de vaccins qu'aujourd'hui : « Si l'on pouvait mettre à jour tous les cas de décès par vaccination dans le monde entier, ces chiffres feraient frémir Hérode lui-même. »

 

 

Voir aussi ici car hélas, les morts d'enfants vaccinés, ça n'arrive pas qu'en Chine!!

 

 

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26 décembre 2013 4 26 /12 /décembre /2013 13:12

Graves dommages cérébraux chez un enfant vacciné:

la famille porte plainte

 

Maman-et-bebe-australiens.jpg

 

 Christina England, 3  juillet 2013

 

Une famille de Perth en Australie réclame des dédommagements à la compagnie pharmaceutique CSL limited.  Leur petite fille Saba est devenue gravement handicapée après avoir reçu le vaccin Fluvax contre la grippe en 2010. La famille de Saba porte plainte contre CSL limited pour les souffrances de leur petite fille, son handicap profond, sa perte de jouissance de la vie, les soins médicaux et les déplacements que son état nécessite. Les parents précisent que le Fluvax a gravement endommagé le cerveau de leur petite fille et l’a rendue presque complètement aveugle.

 

Monsieur et Madame Button précisent que leur petite fille a reçu le vaccin contre la grippe le 19 avril 2010. L’enfant a dû être ensuite transporté à l’hôpital Princess Margaret alors qu’il souffrait de convulsions. Aujourd’hui, Saba a quatre ans ; elle est tétraplégique et presque complètement aveugle. Les rapports indiquent que trois ans après le vaccin, elle souffre régulièrement de convulsions. Son état nécessite des soins médicaux constants.

 

Trois jours trop tard

 

Le cas des Button est traité par la Cour Fédérale. Si la famille gagne, elle pourrait recevoir le dédommagement le plus important qui ait jamais été octroyé en Australie.

 

Le journal The West Australian a rapporté l’histoire :

 

« … L’avocate de CSL Belinda Thompson a précisé que Saba avait eu deux autres vaccins le même jour, le Neisvac et le Priorix, et a prétendu  que ces vaccins pouvaient avoir provoqué la fièvre et des convulsions fébriles.

 

Madame Thompson a dit que le CSL n’avait pas été obligé d’effectuer des études cliniques pré-commercialisation des vaccins contre la grippe saisonnière. Elle a déclaré que son client n’avait pas été informé  qu’au moins 90 autres enfants avaient été conduits à l’hôpital Princess Margaret parce qu’ils avaient eu des effets indésirables – 19 d’entre eux avaient fait des convulsions et des crises d’épilepsie après avoir reçu le Fluvax entre le 18 mars et le 15 avril.

 

Elle devait aussi préciser que le Ministère de la Santé de l’Ouest australien avait officiellement été informé de ces cas le 16 avril. La campagne de vaccination contre la grippe a été suspendue le 22 avril.

 

Le jour suivant, le médecin chef du Commonwealth  a conseillé que ce vaccin ne soit pas administré aux enfants de cinq ans ou plus jeunes. » [1]

 

Plus tard, au cours de la même année, le Fluvax a été suspendu et a finalement été complètement interdit pour une utilisation dans les groupes d’âges de moins de cinq ans.

 

Quand un vaccin est interdit pour des enfants d’un  certain âge, on pourrait s’attendre à ce que plus aucun enfant de ces groupes ne soit vacciné. Ce n’est malheureusement pas toujours le cas, parce que le 22 avril 2013, The Medical Observer devait signaler que onze enfants avaient été vaccinés par erreur avec ce même vaccin, dont trois enfants dans la région NSW. [2]

 

Ceci se passait trois années après que le vaccin ait été interdit pour les enfants de moins de cinq ans.

 

Le 16 avril 2013, the Medical Observer déclarait  que le risque de convulsions fébriles chez les enfants vaccinés avec le vaccin trivalent inactivé de CSL (Fluvax) était de 3-10 pour 1000 enfants et que ce vaccin n’était plus homologué pour les enfants en Australie, aux Etats-Unis et au Royaume-Uni. [3]

 

Le CDC demande d’éviter de donner ce vaccin à de jeunes enfants

 

En août 2010, les Centres de Contrôle des Maladies ont publié un important communiqué de presse au sujet de ce vaccin. Ils ont déclaré :

 

«  Au cours de la saison grippale 2010 en Australie, l’administration dans l’hémisphère sud d’un vaccin inactivé contre la grippe saisonnière (TIV) (Fluvax Junior et Fluvax) fabriqués par CSL Biotherapies a été associé à une fréquence accrue de cas de fièvre et de convulsions fébriles chez les enfants de 6 mois à 4 ans.

 

Une surveillance post-commercialisation a fait ressortir une augmentation des cas de fièvre chez les enfants âgés de 5-8 ans après la vaccination avec le Fluvax comparativement aux saisons précédentes. Un vaccin antigénique équivalent du vaccin contre la grippe (TIV) (2010-11 Hémisphère Nord), l’Afluria fabriqué par CSL Biotherapies a été approuvé par la Food and Drug Administration (FDA) pour les personnes âgées de   6 mois aux Etats-Unis. » [4]

 

J’ai trouvé le passage suivant de leur déclaration particulièrement intéressant et je me demande combien de parents ont eu accès à cette information avant de faire vacciner leur enfant.

 

«  Les renseignements posologiques  pour la formulation Afluria 2010-2011 comprennent l’avertissement suivant : «  L’administration du vaccin de CSL contre la grippe (Hémisphère sud) a été associée à une augmentation des rapports post-commercialisation de fièvre et de convulsions fébriles surtout chez les enfants de moins de 5 ans par rapport aux années précédentes. »

 

Le CDC a déclaré qu’aux Etats-Unis, le vaccin contre la grippe est recommandé pour toutes les personnes de 6 mois et plus. Le 5 août 2010, le Comité consultatif sur les pratiques d’immunisation (ACIP) a recommandé que le vaccin Afluria ne soit pas administré à des enfants âgés de 6 mois à 8 ans. En lieu et place, ils devraient recevoir d’autres vaccins agréés contre la grippe. -  Ils ont dit :

 

Si aucun autre vaccin inactivé et agréé contre la grippe saisonnière n’est disponible pour les enfants de 5 à 8 ans qui auraient des problèmes de santé pouvant augmenter augmenter le risque de complications, Afluria peut être utilisé, mais les prestataires doivent discuter avec les parents ou soignants des avantages et des risques que pourrait présenter l’utilisation d’Afluria avant d’administrer ce vaccin aux enfants âgés de 5 à 8 ans. »

 

Quel est le danger de la grippe ?

 

Dans un article qu’elle a écrit et intitulé « la Santé, la Maladie et un peu d’histoire de la Médecine »,  Le Dr Jayne Donegan, médecin généraliste et homéopathe, explique que l’essentiel de la médecine occidentale est basé sur « la théorie des germes ». Elle précise que, selon cette théorie des germes, si vous entrez en contact avec une bactérie ou un virus, vous attraperez la maladie, à moins que vous n’ayez fait cette maladie et soyez immunisé contre elle.

 

Le Dr Donegan dit que si la théorie des germes était exacte, toutes les personnes d’un bus qui transporterait un individu atteint de la grippe, feraient elles-mêmes la grippe, alors qu’il n’en n’est rien. Les seules personnes qui feront une grippe  sont celles qui sont susceptibles de l’attraper.

 

Le Dr Donegan pense que faire telle ou telle maladie est une bonne chose. Elle pense que les enfants deviennent vulnérables aux maladies infectieuses à un âge acceptable, précisément au moment où leur système immunitaire a besoin d’apprendre, et quand ils ont besoin d’un nettoyage. Elle ajoute que quand ces enfants sont convenablement soignés, les parents remarquent souvent que les enfants ont progressé et acquis de nouvelles « compétences ». [5]

 

Elle a écrit son article de manière à permettre à tous les parents de comprendre l’essentiel en ce qui concerne la vaccination.

 

La grippe peut être dangereuse et conduire à des maladies mortelles comme la pneumonie. Cependant, en général, la plupart des personnes en bonne santé peuvent tout à fait facilement traverser une grippe sans séquelles. La plupart des médecins recommandent le repos au lit, beaucoup de liquides, du Calpol/Paracetamol/Advil pour réduire la fièvre.

 

Au cours de la saison 2012/2013 et malgré le battage médiatique, le nombre total de décès associés à la grippe en pédiatrie a, selon le CDC, été de 154, ce qui est minime compte tenu de la taille des Etats-Unis. [6]

 

Si tous les cas de grippe étaient mortels, toute personne soupçonnée de faire une grippe serait immédiatement transportée à l’hôpital comme on ferait avec une personne atteinte de méningite. Ce n’est évidemment pas le cas ; ceci montre que tous les cas de grippe sont loin d’être mortels. Je ne dis pas que la grippe n’est pas du tout dangereuse; ce que je dis c’est que la plupart des personnes en bonne santé traverseront une grippe comme s’il s’agissait d’un banal rhume.

 

Quelle est l’efficacité du vaccin contre la grippe ?

 

La question la plus fréquente des parents est la suivante : Est-ce que le vaccin contre la grippe protégera mes enfants contre la grippe ? Malheureusement, la réponse à cette question est : Non, elle ne les protégera pas nécessairement. Des enfants vaccinés peuvent encore attraper la grippe.

 

En janvier 2013, The Daily Beast a rapporté que le directeur du CDC,  le Dr Thomas Frieden a reconnu que le vaccin contre la grippe n’était efficace qu’à 62% pour réduire les symptômes de la maladie. [7] Cela signifie que sur 100 personnes vaccinées contre la grippe, 38 feront la grippe de toute manière.

 

The Daily Beast a déclaré que, non seulement vous pouvez attraper la grippe après avoir reçu le vaccin, mais que l’on vous injectera des virus tués et dans la plupart des cas, des conservateurs à base de mercure et autres toxines destinées à stabiliser le vaccin. Le thimerosal contiendrait approximativement 49% d’éthylmercure, susceptible de provoquer des troubles du développement neurologique chez les enfants, des maux de tête, une détresse respiratoire et des troubles gastro-intestinaux.

 

J’ai vérifié une source supplémentaire pour confirmer que le directeur du CDC, le Dr Thomas Frieden, a effectivement déclaré que le vaccin contre la grippe n’était efficace qu’à 62% chez les personnes vaccinées. [8]

 

Conclusion

 

Après avoir lu quantité d’informations sur le vaccin contre la grippe, comme sur les cas tragiques d’enfants dont la santé a été endommagée par le vaccin, y compris le cas malheureux de Saba Button, je pense qu’un enfant court beaucoup plus de risques de souffrir des effets secondaires parfois graves du vaccin que de la grippe elle-même.

 

Cependant, malgré que de nombreux enfants aient été gravement malades après avoir reçu différents vaccins contre la grippe, les gouvernements du monde entier continuent de prétendre que le vaccin contre la grippe est sûr et efficace.

 

Beaucoup de vaccins contre la grippe contiennent encore du thimerosal, un ingrédient que l’on dit avoir été retiré des vaccins depuis 2007. [9] Depuis ce temps, cet ingrédient dangereux a été lentement glissé dans de nombreux vaccins pour enfants, mais à des taux plus réduits. Il convient de s’interroger sur ce qui se passe vraiment. A mon avis, les gouvernements doivent absolument prendre une décision. Le thimerosal est soit dangereux, soit il ne l’est pas. Les deux hypothèses ne peuvent être vraies en même temps.

 

Quand une saison grippale approche, les parents doivent absolument et complètement se renseigner sur les avantages et les inconvénients de la vaccination. Il est clair que des vaccins qui ont été interdits sont encore administrés à des enfants. Cela veut tout simplement dire que plus d’enfants encore courent le risque de devoir souffrir de graves dommages cérébraux, comme ce fut le cas pour Saba.

 

Ayons ensemble une pensée pour la petite Saba et sa famille dans cette épreuve difficile qu’ils ont à traverser !

 

Références

 

1.http://au.news.yahoo.com/thewest/a/-/wa/17845400/company-denies-fault-over- 

ill-baby/

2.http://www.medicalobserver.com.au/news/banned-flu-vax-given-to-children

3.http://www.medicalobserver.com.au/news/flu-vaccines-need-more-scrutiny-to-   

keep-public-trust

4.http://www.cdc.gov/mmwr/preview/mmwrhtml/mm5931a4.htm

5.http://www.jayne-donegan.co.uk/free-articles/%post%

6.http://www.cdc.gov/flu/weekly/

7.http://www.thedailybeast.com/articles/2013/01/18/facts-for-fighting-the-flu.html

8.http://www.cdc.gov/media/releases/2013/t0111_flu_season.html

9.http://www.wired.com/wiredscience/2007/09/vaccine-experts/

 

Photo Credit

 

Sources : Vactruth & Activistpost

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22 décembre 2013 7 22 /12 /décembre /2013 18:30

vacc

Un article très intéressant se trouvait dans Le Soir de ces 21 et 22 décembre 2013, malheureusement en toute fin de journal. Il concerne le tennisman belge Joachim Gérard dont la combativité et le courage sont évidemment admirables.

 

Mais un passage de cet article sur l'origine de son handicap a retenu toute notre attention. Voici ce qui est écrit:

 

"Une double victoire due à une impressionnante volonté. Celle d'avoir surmonté une "anomalie" survenue peu après sa naissance, le 15 octobre 1988 à Uccle, un accident improbable dont il dit que ses parents n'ont jamais su la cause. " C'est arrivé quand j'avais 9 mois. Un matin, quand je me suis réveillé, ils ont vu que, sauf dans mon visage, je ne bougeais plus. Les médecins ont d'abord minimisé la chose, en disant que j'aurais fait une réaction à un vaccin. Puis, lors d'un second examen, on a vu que j'avais contracté le virus de la polio."

 

Reprenons donc depuis le début: ce jeune-homme est né le 15 octobre 1988. Il a développé sa paralysie à l'âge de 9 mois soit aux alentours du mois de juillet 1989 OR l'article dit qu'il aurait contracté le virus de la polio.

 

POURTANT, chose en tout cas interpellante, le site officiel de la Communauté Française (Fédération Wallonie-Bruxelles désormais) en matière de vaccination, www.vaccination-info.be nous dit sur sa page consacrée à la vaccination anti-polio qu' "en Belgique, plus aucun cas de polio autochtone n'a été recensé après 1979." La France, elle, mentionne le dernier cas 10 ans plus tard, en 1989 mais cela n'est donc pas le cas de la Belgique. Ou alors c'est encore une preuve de plus que ce site de la Communauté Française n'est absolument pas fiable.

 

Voici une petite capture d'écran issue du site vaccination-info.be:

 

Vaccination-info.be-polio--dernier-cas-en-79.JPG

 

Comme à l'époque (en 1989), le diagnostic de polio n'était plus uniquement clinique (basé sur les signes) mais qu'il impliquait déjà une confirmation biologique systématique, il est évident que s'il s'était agi d'une polio naturelle, le site vaccinal de la Communauté Française n'aurait pas indiqué la date de 1979 pour le dernier cas belge de polio naturelle. Il y a donc d'excellentes raisons de penser qu'une fois encore, ce jeune homme pourrait être une victime de vaccins qui s'ignore. Car il faut le rappeler, la vaccination peut causer des paralysies et même des polios (vaccinales) quand il s'agit du vaccin anti-polio oral (à virus vivant), le vaccin Sabin, vaccin qui était en vigueur en Belgique à l'époque où ce jeune homme l'a reçu.

 

Rien qu'en 2011, pays où l'Inde a été déclarée "vierge de polio" par l'OMS, pas moins de 47 500 cas de paralysies flasques aiguës (PFA) directement causées par le vaccin polio oral (financé par les "philanthropes" Gates, Rotary etc) sont survenues chez des enfants au point d'émouvoir les médecins indiens et de les amener à s'en indigner dans des revues d'éthique médicale. Et il est bien évident que pour les enfants atteints, qu'il s'agisse de polio naturelle ou vaccinale n'a aucune importance, ils ont une paralysie irréversible qui grèvera leur vie à jamais.

 

En 1988, l'Encyclopedia Universalis faisait d'état d'une hausse de 300% des cas de polio dans les pays subtropicaux que l'OMS avait innodés de vaccins polio oral!

 

Les cas pourraient être multipliés à l'infini. Dans cette revue (non exhaustive de la littérature), le Dr Viera Scheibner rappelle: "Henderson et al. (1964) ont écrit que depuis 1961, moment où les vaccins polio oraux ont été mis sur le marché et commencé à être largement utilisés aux USA, des cas épars de maladie paralytique ont été observés en lien avec ces vaccins. Beaucoup de ces cas ont été indistinguables des cas de polio paralytique."

 

En 1984, le Pr Robert Mendelsohn, pédiatre et professeur de médecine préventive, déjà bien conscient que le vaccin pouvait induire la maladie écrivait que "le moyen le plus efficace de protéger son enfant contre la polio est de s'assurer qu'il ne reçoive PAS le vaccin."

 

Il faut par ailleurs souligner qu'à l'âge de 9 mois, d'autres vaccins peuvent avoir été administrés (tétanos-diphtérie-coqueluche) qui peuvent eux aussi générer des paralysies aux effets identiques à une paralysie poliomyélitique. De même que le vaccin polio oral peut induire des paralysies que ce soit une réactivation du virus polio ou une paralysie non polio d'un autre type mais aux conséquences cliniques identiques (la littérature médicale regorge d'exemples et de cas!)

 

La page Wikipedia de ce joueur de tennis mentionne pourtant qu'il "contracte la polio à la jambe droite à l'âge de 9 mois". Plusieurs études ont montré que des injections (d'antibiotiques, de vaccination antidiphtérique ou autres) étaient à même de déclencher des cas de polio chez les gens qui étaient en incubation silencieuse. Car rappelons que la polio ne donne jamais lieu à une paralysie dans 100% des cas d'infection mais plutôt dans 1 cas sur 200, le reste des cas ne se compliquant pas et passant en général comme une banale angine non spécifique. Mais si à ce moment-là, quand la personne est en incubation, on lui administre une vaccination, cela démultiplie le risque de séquelles et donc de paralysie définitive. Fait particulièrement intéressant et qui atteste de façon indubitable de ce lien clair entre paralysie poliomyélitique et vaccinations (y compris d'autres vaccins comme celui contre la diphtérie qu'on utilisait déjà massivement dès les années 40' donc avant les "grandes épidémies" de polio sauvage), c'est que ces paralysies poliomyélitiques sont alors nettement plus fréquentes au niveau du membre injecté où elle se localise alors de façon privilégiée.

 

Ce fait n'a rien de très étonnant car l'injection (de vaccin ou autre) provoque alors une démultiplication virale locale suite à l'effraction de l'aiguille qui a blessé le muscle. Or où vaccine-t-on de façon privilégiée les petits enfants? Dans les jambes (les cuisses) et donc il est ultra probable que la paralysie de la jambe de ce tennisman concerne la jambe dans laquelle on lui a injecté les autres vaccins de l'époque (tétanos/diphtérie/coqueluche).

 

Les symptômes qu'il décrits (un corps qui ne bouge plus du tout) sont en tout cas communs à beaucoup d'effets secondaires graves de vaccination et quantité d'autres parents les ont déjà observés dans ce cadre. Ce qui est certain toutefois, c'est qu'il est plus politiquement correct de dire que l'on a été victime de la polio que du vaccin et bien plus commode aussi pour le corps médical de faire croire cela aux victimes après avoir préconisé aveuglément toutes ces vaccinations. Pour les parents et les victimes, se dire que l'on souffre d'une conséquence irréversible due à la médecine alors qu'on pensait bien faire en y recourant et en "faisant confiance" est souvent source de souffrances et de malaise. Alors on enterre souvent les choses et on se dit qu'on ne saura peut-être jamais.

 

Quoi qu'il en soit, ces données évoquées ci-dessus montrent qu'il n'est pas du tout évident ou certain que la paralysie soit le fait d'un virus sauvage. Les incohérences et contradictions rencontrées, notamment au niveau des dates, montrent qu'il est tout à fait plausible qu'il s'agisse d'une paralysie vaccinale due au vaccin polio oral Sabin (ce qui se traduit dans ce cas par un test biologique qui se positive alors au virus de la polio vu que ce vaccin est à virus vivant!), due aux autres vaccinations reçues à l'époque ou à une combinaison de ces deux types de vaccins (les vaccins injectables diphtérie/tétanos/coqueluche favorisant alors par l'effraction musculaire engendrée la réactivation séquellaire du ou des virus polio vaccinaux du vaccin oral, souvent administré en même temps).

 

Autre point intéressant encore, le fait que le dogme vaccinal a aussi empêché le public, dont cette famille, d'être au courant de l'utilité concrète du chlorure de magnésium, testé avec succès par le Dr Neveu sur des cas de paralysies poliomyélitiques déclarées...Qui peut donc dire que ce produit, simple et peur cher, n'aurait pas là aussi pu inverser cette paralysie précocément sans laisser de séquelles chez ce jeune homme, comme il a pu le faire dans bien d'autres cas?

 

Enfin, ce cas soulève aussi une réflexion sur l'éthique et le bienfondé de ce que les autorités imposent au public, à savoir l'obligation vaccinale polio. Jusque 2000, l'Etat belge imposait le vaccin polio oral, le même que ce jeune homme a reçu en vain et qui a fort probablement été la cause de sa paralysie. Songeons-bien à tout cela car ça concerne l'entièreté des citoyens et leur droit le plus fondamental à prendre les décisions qu'ils estiment les meilleures pour leur santé.

 

Voir aussi: Vaccination polio: la Cour de Cassation a montré son vrai visage 

 

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18 décembre 2013 3 18 /12 /décembre /2013 21:07

Les vaccins sont la cause principale des allergies alimentaires

 

Allergies alimentaires (barré)

 

Par Barbara Feick Gregory, Community Contributor


publié: 10 avril 2009; Alternativehealthjournal


Les allergies alimentaires sont un problème majeur! Dans les pays industrialisés, entre 6 et 10% des enfants ont des allergies alimentaires. [1] 


Les vaccins sont la cause principale des allergies alimentaires! Le fait que les vaccinations puissent causer des allergies semble avoir été oublié récemment. Il était connu depuis 1839 que les injections de protéines alimentaires causent des symptômes similaires à des allergies chez les animaux. [2] Il a été reconnu que la gélatine cause des allergies lorsqu'elle est injectée avec un adjuvant aluminique. [3] Les réactions de Jones-Mote, l'hypersensibilité à l'adjuvant et à la protéine, découlent du fait que "toute protéine pure mélangée à un adjuvant peut provoquer une réponse immunitaire." [4] Les injections de protéines alimentaires sont utilisées pour provoquer des allergies chez les animaux. [5] [6] Il a été reconnu que la protéine de l'œuf dans les vaccins peut causer des allergies à l'œuf chez les enfants. [7] Tous les ingrédients des vaccins peuvent provoquer une allergie. 

 

Le lait maternel est le premier aliment d'un bébé. Il n'est pas "normal" pour un bébé d'être allergique au lait de sa mère! [9] L'allergie au lait était inconnue jusqu'en 1901.[10] Depuis cette époque, de nombreux vaccins ont été utilisés. [11] L'allergie à la caséine (au lait) est due à la caséine et à l'adjuvant aluminique dans le vaccin contre l'hépatite B qui est souvent administré au nourrisson avant qu'il ne quitte l'hôpital, mais avant ses 2 mois.[12] [13] Étant donné que tous les bébés sont immédiatement nourris de lait sous n'importe quelle forme, c'est la première allergie à être diagnostiquée. 


L'allergie suivante, qui apparaît habituellement vers 3 mois, est l'allergie au lait de soja [14], due au bouillon de culture aux peptones de soja et à l'adjuvant aluminique[15] dans les vaccins antipneumococciques conjugués administrés vers 2 mois. Étant donné que les nourrissons reçoivent souvent du lait de soja, cette allergie se déclare tôt. 

D'autres ingrédients "connus" des vaccins peuvent provoquer des allergies. L'adjuvant aluminique peut provoquer des allergies à l'aluminium.[16]  Le sérum de veau[17] provoque l'allergie à la viande bovine. [18] Certaines personnes souffrent d'une allergie à la levure[19]. [20] Les cultures cellulaires d'embryon de poulet pour le ROR[21] sont connues pour causer des allergies à l'œuf. [22] La gélatine hydrolysée de porc est un ingrédient du vaccin contre la varicelle. [23] "La gélatine bovine hydrolysée de façon médiocre était immunogénique lorsqu'elle était administrée avec l'adjuvant aluminique." Même si la gélatine bovine "bien" hydrolysée est moins immunogénique, elle peut quand même provoquer des allergies. [24] Il est aussi possible que les cellules de reins de singe des vaccins contre la diphtérie, le tétanos, la coqueluche (DTP) [25] soient responsables de l'allergie à la fourrure de singe chez certains pilotes de voitures de courses. [26] Le "syndrome du restaurant chinois" provoque les mêmes symptômes que l'allergie au glutamate monosodique (GMS), qui pourrait être due au GMS utilisé dans le vaccin ROR. [27] [28] Un autre ingrédient du ROR qui provoque des allergies est la néomycine. [29] [30] Le Thimérosal, qui est toujours utilisé dans le vaccin Fluval, provoque également des allergies. [31] [32]

Ensuite, il y a les ingrédients "inconnus" des vaccins. Les huiles sont utilisées comme "transporteurs" depuis 1919. [33] Le livre "Peanut Allergy Answer" disait  que la première référence à une allergie aux arachides date de 1920. [34] "L'aluminium est utilisé comme adjuvant dans les vaccins. Un adjuvant est un composant du vaccin qui sert à stimuler la réponse immunitaire au vaccin. Les effets de l'aluminium en tant qu'adjuvant ont été découverts en 1926." [35] L'aluminum est utilisé dans les vaccins parce qu'il permet aux fabricants d'économiser de l'argent, et il augmente la réponse immunitaire du corps à la protéine contenue dans le vaccin. [36] Les fabricants de vaccins ne sont pas tenus de lister les ingrédients "inactifs" sur la notice de leurs vaccins. Toutes les différentes sortes d'huiles utilisées dans l'adjuvant des vaccins et tous les différents aliments utilisés dans les milieux de culture sont donc un secret commercial protégé. [37] [38] [39]


La seule chose que nous pouvons faire pour savoir quels ingrédients exacts sont utilisés dans les vaccins est de payer pour les faire analyser. Mais nous pouvons découvrir qu'il est probable que des aliments soient utilisés dans les vaccins en lisant les brevets pour les adjuvants vaccinaux et les milieux de culture. Pour chaque allergie alimentaire dont j'ai trouvé une mention sur Internet (avec une seule exception pour le calamar qui provoque des allergies au Japon), j'ai trouvé l'aliment incriminé listé comme ingrédient dans un adjuvant vaccinal ou un milieu de culture.

Toutes les pièces du puzzle concernant la plupart des allergies alimentaires concordent... L'éléphant sauvage souffrant d'une allergie au blé avait été vacciné. Nos chiens et chats souffrant d'allergies alimentaires ont été vaccinés. L'"épidémie" d'allergies alimentaires s'est déclarée lorsque le nombre de vaccins recommandés durant l'enfance a considérablement augmenté. 


Pour d'autres informations, visitez mon site web: http://barbfeick.com/vaccinations/

 

Références

 

[1] http://www.foodallergyalliance.org/   Food Allergy and Anaphylaxis Alliance, 2002


[2] The Complete Idiot's Guide to Food Allergies by Lee H. Freude, M.D., and Jeanne Rejaunier, Penguin Group, 2003, pg 14, "In 1839, the French physiologist Francois Magendie (1783-1855), while investigating the effects of substances on living organisms, created allergylike symptoms in animals, and found that animals sensitized to egg white by injection died after a subsequent injection."


[3] http://pediatrics.aappublications.org/cgi/content/full/113/1/170 ,  PEDIATRICS Vol. 113 No. 1 January 2004, pp. 170-171, Gelatin Allergy, Tetsuo Nakayama, MD and Takuji Kumagai, MD

 

[4] http://dermatology.cdlib.org/DOJvol5num1/reviews/black.html    , Delayed Type Hypersensitivity: Current Theories with an Historic Perspective, C. Allen Black, Ph.D., Dermatology Online Journal 5(1): 7 Department of Obstetrics, Gynecology and Reproductive Sciences Magee-Womens Research Institute Pittsburgh


[5] 
 ?Aktion=ShowFulltext&ArtikelNr=112498&Ausgabe=234225&ProduktNr=224161 http://content.karger.com/ProdukteDB/produkte.asp,

113 No. 1 January 2004, pp. 170-171, Gelatin Allergy, Tetsuo Nakayama, MD and Takuji Kumagai, MD A Neonatal Swine Model of Allergy Induced by the Major Food Allergen Chicken Ovomucoid (Gal d 1), "Methods: In order to induce Ovm sensitivity, piglets at days 14, 21 and 35 of age were sensitized by intraperitoneal injection of 100 µg of crude Ovm and cholera toxin (50, 25 or 10 µg). Controls received 50 µg of cholera toxin in phosphate-buffered saline."


[6] http://findarticles.com/p/articles/m i_m1200/is_/ai_104730216   , Immune cells rush to gut in food allergy, BNET, Science News, April 7, 2001, by N. Seppa, "Brandt and his colleagues induced an allergy to chicken eggs in a group of mice by injecting them with ovalbumin, an egg protein. Then they fed the mice ovalbumin, placed within coated pill-like beads to prevent the protein’s destruction in the stomach. The mice became unable to digest food, a sign that they were suffering a severe allergic reaction. A control group of mice that weren’t allergic to ovalbumin showed no signs of distress when fed the beads."

 

[7] http://www.mja.com.au/public/issues/184_04_200206/eld10500_fm.html , eMJA, The Medical Journal of Australia, Vaccine components and constituents: responding to consumer concerns, Barbara E Eldred, Angela J Dean, Treasure M McGuire and Allan L Nash, MJA 2006; 184 (4): 170-175, "Egg-related allergy is common, particularly in children with asthma or general allergies, and may be as high as 40% in children with moderate to severe atopic dermatitis. The risk of egg-related allergy after vaccination depends on the presence of egg protein in the final product."


[8]< /span> http://www.texaschildrens.org/carecenters/vaccine/Vaccines_SideEffects.aspx  , Texas Childrens Hospital, Center for Vaccine Awareness and Research, Vaccine side effects and allergies, "Just as drugs and certain foods can cause allergies, any individual can be allergic to a particular vaccine. In most cases, the allergy is caused...by some other vaccine component that is needed to stabilize or preserve the vaccine. "


[9]< /span> http://www.sciencedaily.com/releases/2009/01/090112201218.htm   , Of Mice And Peanuts: A New Mouse Model For Peanut Allergy, ScienceDaily (Jan. 14, 2009) , "The most significant obstacle to developing an animal model of food allergy is that animals are not normally allergic to food."


[10] Diseases of the small intestine in childhood , By John A. Walker-Smith, Simon Murch, page 206


[11] http://en.wikipedia.org/wiki/Timelin e_of_vaccines

 
[12] http://us.gsk.com/products/assets/us _engerixb.pdf  , ENGERIX-B®, [Hepatitis B Vaccine (Recombinant)], package insert


[13] http://www.parents.com/baby/ , Parents, Q & A on Children's Allergies, By Paul Ehrlich, MD, "Allergy symptoms can appear from the first few weeks to the first two months, depending on how sensitive your child is to the milk protein casein -- usually the cause of an allergy to cow's-milk formula."


[14] http://www.cpnonline.org/CRS/CRS / , Children's Physician Network, Written by Terri Murphy, RD, CDE for RelayHealth, Published by RelayHealth, Last modified: 2008-01-14, "A soy allergy is most common in infants and is usually noticed by 3 months of age. Most children outgrow this allergy by 2 or 3 years of age."


[15] http://www.fda.gov/cber/label/prevnarLB.pdf   , Pneumococcal 7-valent Conjugate Vaccine, (Diphtheria CRM197 Protein), Prevnar®, Wyeth Pharmaceuticals Inc., package insert


[16] http://www.medscape.com/viewarticle/516045_2 , Dermatitis. 2005;16(3):115-120., "...Cox and colleagues reported on an 18-month-old female child with dermatitis, characterized by acute weeping vesiculation at the vaccination site, that developed 6 months after she received diphtheria and tetanus toxoids and pertussis (DTP) triple vaccine. A patch-test result for aluminum was positive despite no known exposures to aluminum-containing products."


[17] http://us.gsk.com/products/assets/us _engerixb.pdf , ENGERIX-B®, [Hepatitis B Vaccine (Recombinant)], package insert


[18] http://www.aaaai.org/aadmc/ate/& nbsp; Beef allergy in children  Fiocchi A, Restani P, Riva E. Department of Pediatrics, San Paolo Biomedical Institute, University of Milan Medical School, Milan, Italy.


[19] http://www.fda.gov/cber/label/prevna rLB.pdf , Pneumococcal 7-valent Conjugate Vaccine
(Diphtheria CRM197 Protein), Prevnar®, Wyeth Pharmaceuticals Inc., package insert


[20] http://www.helpfoodallergy.com/  Food Allergy Help, 2008


[21] http://www.merck.com/product/usa/pi_ circulars/m/mmr_ii/mmr_ii_pi.pdf  Merck, M-M-R® II (MEASLES, MUMPS, and RUBELLA VIRUS VACCINE LIVE), package insert


[22] http://kidshealth.org/parent/medical/  KidsHealth®, The Nemours Foundation, 2009, All About Allergies


[23] http://www.merck.com/product/usa/pi_ circulars/p/proquad/proquad_pi.pdf  Merck, ProQuad® Measles, Mumps, Rubella and Varicella Virus Vaccine Live, package insert


[24] http://pediatrics.aappublications.org/cgi/ content/full/113/1/170  PEDIATRICS Vol. 113 No. 1 January 2004, pp. 170-171, Gelatin Allergy, Tetsuo Nakayama, MD and Takuji Kumagai, MD, Laboratory of Viral Infection Control Kitasato Institutes for Life Sciences Tokyo 108-8641, Japan, Pediatric Allergy and Infectious Diseases Society of Sapporo Sapporo 004-0013, Japan


[25] http://us.gsk.com/products/assets/us _pediarix.pdf  GlaxoSmithKline , PEDIARIX®
[Diphtheria and Tetanus Toxoids and Acellular Pertussis Adsorbed, Hepatitis B (Recombinant) and Inactivated Poliovirus Vaccine Combined], package insert


[26] http://gridmotorsports.com/gmwc/team s/sdl/news/the-fur-is-flying-at-the-hlr-tracks/?searchterm =monkey  Grid Motorsports, The fur is flying at the HLR tracks..., by Dennis Loyer [posted 2008-11-11 19:20] Seattle, WA November 11, 2008 - SDL team members have been hampered in their recent attempts to attain the top spots in the GMWC's Hot Lap Rankings by severe allergic reactions resulting in watery eyes, sneezing, and in some cases, severe hives.


[27] http://www.merck.com/product/usa/pi_ circulars/p/proquad/proquad_pi.pdf  Merck, ProQuad® Measles, Mumps, Rubella and Varicella Virus Vaccine Live, package insert


[28] http://www.holisticmed.com/  Monosodium Glutamate (MSG) Reaction Samples


[29] http://www.merck.com/product/usa/pi_circulars/p/proquad/proquad_pi.pdf  Merck, ProQuad® Measles, Mumps, Rubella and Varicella Virus Vaccine Live, package insert


[30] http://archderm.ama-assn.org/cgi/content/< /a> , Archives of Dermatology, Vol. 144 No. 10, October 2008, Contact Allergy in Children Referred for Patch Testing, North American Contact Dermatitis Group Data, 2001-2004, Kathryn A. Zug, MD; Daniel McGinley-Smith, MD; Erin M. Warshaw, MD; James S. Taylor, MD; Robert L. Rietschel, MD; Howard I. Maibach, MD; Donald V. Belsito, MD; Joseph F. Fowler Jr, MD; Frances J. Storrs, MD; Vincent A. DeLeo, MD; James G. Marks Jr, MD; C. G. Toby Mathias, MD; Melanie D. Pratt, MD; Denis Sasseville, MD, Arch Dermatol. 2008;144(10):1329-1336


[31] http://www.fda.gov/cber/label/flulav alLB.pdf  GlaxoSmithKline, FLULAVAL® (Influenza Virus Vaccine), Suspension for Intramuscular Injection, 2008-2009 Formula, Initial U.S. Approval: 2006


[32] http://www.fda.gov/cber/vaccine/thimerosal.htm , Cox NH, Forsyth A. Thimerosal allergy and vaccination reactions. Contact Dermatitis 1988;18:229-233


[33] explorevaccines.wordpress.com/2008/08 , PRESENT STATUS OF PNEUMOCOCCUS VACCINE. Russell L. Cecil. Am J Public Health (N Y). 1919 August; 9(8): 589–592. "In this experiment we decided to substitute a pneumococcus lipovaccine for the saline vaccine which we had used at Camp Upton. This vaccine was prepared for us by Col. E.’ R. Whitmore of the Army Medical School, and the dose finally adopted after some preliminary experiments was 30 billion pneumococci (10 billion of each of the fixed types in one cc. of oil)."


[34]< /span> The Peanut Allergy Answer Book, by Michael C Young (Author), M.D. , Fair Winds Press (May 1, 2001)


[35]< /span>  http://www.chop.e du/consumer/jsp/division/generic.jsp?id=88173 , The Children’s Hospital of Philadelphia, June 2008, Parents Pack Newsletter, Possessing, Accessing and Communicating Knowledge About Vaccines

[36]< /span> The Vaccine Book by Dr. Robert Sears

[37] http://www.vran.org/vaccines/anaphylaxis/vaccine-ana.htm    , Vaccination Risk Awareness Network, "What is being injected into our children? Why can't we find out? What adjuvants are used in the vaccines? An Access to Information request to Health Canada for the 100% composition of vaccines given to infants received the response, "I regret to inform you that the exact composition of these vaccines cannot be disclosed to you as the information is protected under ATIA (Access to Information Act) Section 20(1)(a)(b)(c). This is a mandatory exemption which protects confidential business information." "The Act, under Third Party Information, states, 20. (1) Subject to this section, the head of a government institution shall refuse to disclose any record requested under this Act that contains a) trade secrets of a third party; b) financial, commercial, scientific or technical information that is confidential information supplied to a government institution by a third party and is treated consistently in a confidential manner by the third party; c) information the disclosure of which could reasonably be expected to result in material financial loss or gain to, or could reasonably be expected to prejudice the competitive position of, a third party; or d) information the disclosure of which could reasonably be expected to interfere with contractual or other negotiations of a third party." "

[38] http://www.techagreements.com/agreement-preview.aspx?num=616974&title=Avant%20Immunotherap eutics%20-%20Collaboration%20And%20License%20Agreement  , "VLP.
Drug delivery vehicles, adjuvants, and excipients shall not be deemed to be "active ingredients", except in the case where such delivery vehicle, adjuvant, or excipient is recognized as an active ingredient in accordance with 21 C.F.R. 210.3(b)(7)."


[39]http://query.nytimes.com/gst/fullpage.html?sec=health&res=9a00e2d8153ff934a15754c0a9609c8b 63 , New York Times, Maker Calls New Bird Flu Vaccine More Effective, By DENISE GRADY, Published: July 27, 2006, "The nature of GlaxoSmithKline's adjuvant is a trade secret, but David Stout, president for worldwide pharmaceuticals at the company, said the ingredients had already been given to people in other products, though not in this particular combination."

 

Source: Whale.to

 

(*) Image issue du blog suivant... + de 300 000 personnes ont des allergies alimentaires rien qu'au Québec... la bonne question serait, combien y aurait-il s'ils n'avaient pas été bombardés de vaccins, décennie après décennie??

 

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15 décembre 2013 7 15 /12 /décembre /2013 14:58

Une étude parue dans la revue Vaccine le 7 décembre 2013 vient encore de confirmer ce qui est absolument non surprenant et relève du pur bon sens: administrer plusieurs vaccins à la fois accroît le risque de tuer l'enfant qu'on vaccine.

 

C'est pourtant ce qu'on continue à faire en administrant trois vaccins à la fois (et des dizaines d'antigènes différents inclus dans tous ces cocktails vaccinaux) dès l'âge de deux mois à la plupart des enfants de nos pays. Dans les pays pauvres du Tiers-Monde, les enfants ne sont pas mieux lotis grâce aux bons "soins" de l'OMS et de l'UNICEF qui engloutissent la plupart des fonds dans les vaccins plutôt que dans l'eau et la nourriture en priorité (et ce qui là aussi devrait relever du plus élémentaire bon sens!).

 

Dans ces pays pauvres, on administre à la fois le vaccin contre la fièvre jaune, le vaccin contre la rougeole et le vaccin pentavalent (5 valences qui sont différentes des 5 valences des vaccins occidentaux. Ici dans ces pays, ces valences sont: tétanos, diphtérie, coqueluche, Haemophilius influenzae de type B et hépatite B). Et cela sur des enfants malnourris, sans eau propre etc. Et puis on fait croire grâce à un tour de passe-passe nauséabond qu'on sauve grâce à la vaccination 2 ou 3 millions de vies chaque année et on est censé le croire sans pouvoir jamais le vérifier "parce que ça vient de l'OMS" dont les principaux baîlleurs de fonds sont fortement liés aux pharmas! Tous ceux qui meurent à CAUSE de l'idéologie vaccinale ne sont évidemment jamais mis en lumière et l'élite juge sans doute que leur vie à eux ne valait pas vraiment la peine qu'on s'y attarde.

 

Administrer le vaccin diphtérie-tétanos-coqueluche en même temps que le vaccin contre la rougeole multiplie par 3 le risque de décès des enfants endéans les 6 mois qui suivent.

 

Administrer le vaccin pentavalent en même temps que les vaccins contre la rougeole et la fièvre jaune faits eux aussi le même jour multiplie par presque 8 le risque de décès endéans les 6 mois qui suivent par comparaison aux enfants ne recevant "que" les vaccins contre la rougeole et la fièvre jaune en même temps.  

 

Ces données sont hélas cohérentes avec celles de Miller et al. qui ont mis en évidence un taux de mortalité infantile accru dans les payx occidentaux qui vaccinent le plus. Que ce soit dans les pays occidentaux ou à fortiori dans les pays pauvres où les populations sont encore plus fragiles, au plus on intoxique les corps avec des vaccins, au plus ils risquent d'en mourir.

 

Voici la traduction française du compte rendu (abstract) de cette étude publiée dans la revue Vaccine le 7 décembre dernier.

 

NB: Vous gagnez vraiment à comparer les conclusions de cette étude aux affirmations gratuites du "grand expert" Dr Paul Offit, lié à Merck, et qui avait déjà osé déclarer qu'on pouvait sans risque administrer 10 000 vaccins en un seul jour aux enfants sans aucun risque de surcharger leur système immunitaire (ICI)

 

La co-administration des vaccins vivants contre la rougeole, contre la fièvre jaune et du vaccin pentavalent inactivé est associée à une mortalité accrue par rapport  à l’administration des seuls vaccins contre la rougeole et la fièvre jaune.

 

Fisker AB, Ravn H. Rodrigues A., Ostergaard MD, Bale C., Benn CS, Aaby P.

 

7 décembre 2013

 

Des études provenant de pays à faible revenu indiquent que la co-administration du vaccin inactivé Diphtérie-Tétanos-Coqueluche et du vaccin vivant atténué contre la rougeole est associée à une mortalité accrue par rapport à la seule administration du vaccin atténué contre la rougeole. Le vaccin pentavalent (diphtérie-tétanos- coqueluche- Hib et hépatite B) remplace le vaccin diphtérie-tétanos-coqueluche dans de nombreux pays à faible revenu et le vaccin contre la fièvre jaune  a été introduit pour être administré avec le vaccin contre la rougeole.

 

Les vaccins pentavalents et les vaccins contre la fièvre jaune ont été introduits en Guinée-Bissau en 2008. Nous avons cherché à savoir si la co-administration du vaccin pentavalent, du vaccin contre la rougeole et du vaccin contre la fièvre jaune avait des effets similaires négatifs.

 

 

CONCLUSION : En concordance avec des études précédentes concernant les vaccins diphtérie-tétanos-coqueluche, les résultats actuels indiquent que la co-administration du vaccin pentavalent  avec le vaccin contre la rougeole et le vaccin contre la fièvre jaune est associée à une mortalité accrue.

 

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15 décembre 2013 7 15 /12 /décembre /2013 14:50

"Beau" tour de force d'une nouvelle publication scientifique publiée relativement récemment dans le British Medical Journal (revue ayant pignon sur rue) au sujet de la prétendue sécurité des vaccins anti-HPV. 

 

L'étude a été menée dans les pays du Nord de l'Europe (Suède, Danemark). Elle a porté sur un groupe total de 997 585 jeunes femmes âgées de 10 à 17 ans dont 296 826 ont reçu au moins une dose de vaccin anti-HPV Gardasil.

 

Parmi ces 296 826 jeunes femmes ayant reçu la vaccination anti-HPV, seuls 80% de ce nombre ont reçu une deuxième dose et à peine plus de la moitié  ont été jusqu'au bout des 3 doses prévues (ce qui en dit évidemment long sur la très mauvaise tolérance du vaccin!). Les autres jeunes filles ont évidemment reçu déjà au cours de leur vie différents autres vaccins, hormis le vaccin HPV.

 

L'étude évalue la survenue d'effets secondaires endéans les 6 mois suivant chacune des injections soit une période ne dépassant pas 1 an après la première dose de vaccination. Un des problèmes malgré ce délai plus élevé que les quelques jours sur lesquels portent les essais cliniques pré-commercialisation, c'est que de nombreux patients atteints de maladies chroniques errent parfois pendant de nombreux mois avant qu'un diagnostic ne tombe.

 

L'étude conclut qu'il n'y a pas plus de maladies auto-immunes, neurologiques et thrombo-emboliques chez les jeunes femmes vaccinées contre le HPV. Dans sa newsletter n°21 de novembre, la revue Vaxinfo (financée à 100% par GSK) fait référence à cette étude comme une donnée "rassurante". Mais cette étude signale toutefois quand on la lit bien un taux significativement accru de maladie de Raynaud, de diabète de type 1 (= insulino-dépendant) et de maladie de Behcet chez les jeunes filles vaccinées contre le HPV. Bien sûr, comme d'habitude, on sort toutes sortes d'excuses pour essayer de noyer le poisson et de dire que cela ne prouve pas grand chose. Mais s'il s'agissait de complications de maladies chez des non vaccinés, les mêmes s'empresseraient sûrement d'utiliser cet argument pour vacciner encore plus.

 

Faites attention, renseignez-vous bien avant d'accepter une vaccination car il est manifeste que ceux qui vous conseillent les vaccins n'assumeront nullement les conséquences possibles de leurs bons conseils.

 

Si vous voulez vraiment vous renseigner sur la vaccination, ce n'est certainement pas en lisant votre journal du dimanche ou en croyant comme parole d'Evangile votre médecin traitant "que vous trouvez sympa" que vous arriverez à glaner les informations les plus essentielles à mettre en balance pour effectuer une décision éclairée.

 

Il se peut aussi que ces données brutes vous semblent trop compliquées, trop rebutantes et que vous trouviez "plus confortable" de faire aveuglément confiance à tel ou tel...Alors dans ce cas, personne d'indépendant ne pourra rien pour vous et il y a peu de chances que ce site puisse vous être de la moindre utilité! Continuez donc à suivre votre médecin traitant dont 12,6% des revenus découlent au minimum de la vaccination (sans parler des suites) selon un rapport d'octobre 2012 de la Cour des Comptes française.

 

 

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15 décembre 2013 7 15 /12 /décembre /2013 13:09

Une étude financée par GSK et publiée il y a quelques jours dans le New England Journal of Medicine sur la vaccination antigrippale (quadrivalente) chez les enfants met une nouvelle fois en lumière:

 

- le recours à de faux placebos pour biaiser les études et faire ainsi passer les vaccins comme plus sûrs qu'ils ne sont. Ici, le faux placebo est un autre vaccin du groupe, le vaccin Havrix (= anti-hépatite A). GSK avait déjà fait pareil pour d'autres vaccins: dans son étude Patricia, le fabricant avait comparé son vaccin Cervarix à son vaccin hépatite A Havrix. Sans surprise pour nous, il y avait eu 9% d'effets secondaires graves dans le groupe de filles vaccinées avec Cervarix contre 8,9% dans le groupe ayant reçu l'Havrix.

 

- la décision opaque et opportuniste de n'attribuer aux vaccins de l'étude qu'à peine plus de 1% de tous les effets secondaires constatés endéans les 28 jours après la vaccination! De même sur les 60 effets secondaires GRAVES constatés (sur 5168 enfants vaccinés!), GSK ne relie que 2,5% d'entre eux à ses deux vaccins! Dans son étude Patricia, GSK a fait pareil, elle n'a attribué que 0,1% des effets secondaires graves (qui étaient respectivement de 9 et de 8,9% dans les groupes Cervarix et Havrix) à l'un ou l'autre de ses deux vaccins.

 

La tableau ci-dessous est issu de cette étude de GSK sur le vaccin antigrippal chez les enfants et il reprend les données de "sécurité" dans les deux cohortes d'enfants (le groupe ayant reçu ce qu'ils appellent le "QIV" c'est à dire le vaccin antigrippal quadrivalent, à 4 souches donc et le faux groupe contrôle qui a été piqué avec le vaccin anti-hépatite A):

 

NEJM-safety-vaccin-grippe-enfants.JPG

 

On peut voir sur base des chiffres que sur les 5168 sujets vaccinés (avec un vaccin quadrivalent contre la grippe ou un vaccin anti-hépatite A), il y a eu dans les 28 jours qui ont suivi la vaccination: 843 + 855 effets secondaires soit 1698 effets secondaires!

Mais, étrangement, GSK n'en garde que 67...ce qui revient à attribuer au hasard les 1631 restants. Comme tout cela est crédible!

 

Ce qu’il est important de réaliser en tant que parent, c’est que le risque absolu que l’enfant souffre d’une complication grave et irréversible d’une grippe ou d’une hépatite A est infiniment moindre que le risque d’avoir un effet secondaire vaccinal. Si les fabricants avaient  en plus eu l'obligation de comparer des enfants vaccinés avec des enfants vierges de tout vaccin, imaginez la différence: leur vaccin en serait devenu de facto invendable! D'où l'astuce de comparer des enfants vaccinés à d'autres aussi vaccinés (ça "dilue" ainsi le pot aux roses en tentant de le banaliser et de le faire passer comme normal.)

 

Là où les parents se font souvent avoir dans le « raisonnement » des idéologues de la vaccination, c’est qu’ils pensent qu’il faut absolument un monde où plus aucune maladie n’existerait (ce qui est évidemment impossible) or pour évaluer valablement le ratio bénéfices/risques des vaccins, il faut comparer non pas le risque (incidence) de faire la maladie au risque d’avoir un effet secondaire de vaccin mais bien le risque d’avoir une complication grave de ces maladies naturelles (ce qui est tout différent) au risque d’avoir un effet secondaire grave de vaccination.

 

En matière de vaccination, le mensonge est omniprésent. En effet, qui n'a pas entendu à de multiples reprises les affirmations gratuites des officiels qui prétendaient que les risques graves des vaccins c'était "1 cas sur 1 million" ou "1 sur 100 000", quand ils ne prétendent pas carrément que cela n'existe pas (comme l'ONE en Belgique qui a même osé affirmer que "Pour la quasi totalité du monde médical à l'échelle de la planète, il n'y a pas de complication grave des vaccins" (sic!)) Ici, on a donc vraiment une occasion de plus de voir l'énorme fossé entre les propos édulcorés aux lourdes conséquences des officiels et la dure réalité. Du "1 sur 1 million" on passe donc déjà ici à plus de 1 sur 100. Soit nettement plus de risque d'être estropié ou lésé que de gagner à l'Euromillion!

 

Aux USA, depuis qu’ils ont généralisé la vaccination antigrippale annuelle chez les enfants de moins de 5 ans, cela a élevé la mortalité due à la grippe dans ce groupe d’âge, comme le montre le graphique ci-dessous… cherchez l’erreur là aussi !

 

En outre, le vaccin antigrippal en spray (qui est un vaccin à virus vivants) qui est largement répandu aux Etats-Unis et qui pourrait sous peu être largement utilisé en Europe aussi entraîne un risque accru d’hospitalisation PENDANT LES 6 MOIS qui suivent la vaccination des enfants (mais on nous parlera encore après d’une « excellente tolérance » de ces vaccins, vous verrez !!)

 graphe-mortalite-enfants-de---de-5-ans-grippe-USA.jpg

 

 

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9 décembre 2013 1 09 /12 /décembre /2013 12:21

Une maman de l’Utah affirme que son fils est

mort du vaccin contre la grippe

 

D’après Gene Kennedy, 22 novembre 2013

 

Maman-et-fils-de-l-Utah.jpg 

Un jeune-homme diplômé de la Haute Ecole de Brighton est mort et sa maman croit que c’est à cause du vaccin contre la grippe.

 

Lori Webb est infiniment reconnaissante vis-à-vis des médecins qui ont tenté de sauver son fils. Elle ajoute que même ces médecins n’ont pas pu se mettre d’accord sur ce qui a pu provoquer la mort de Chandler Webb (19 ans).

 

La maman dit que sa santé s’est dégradée tout juste après le vaccin contre la grippe. Les officiels de Santé disent que si c’était effectivement le vaccin qui l’avait tué, ce serait le premier cas en Utah.

 

« On ne peut pas décrire la douleur que représente la perte d’un enfant » a déclaré Lori Webb. « Pour moi, c’est l’horreur de devoir enterrer mon fils. »

 

Il y a un mois, Chandler était heureux et en parfaite santé. En vue de se préparer à une mission, Chandler s’est rendu chez un médecin de la ville pour y subir un examen médical.  «C’était son premier vaccin contre la grippe, il n’avait jamais eu de vaccin contre la grippe auparavant », déclare Lori Webb.

 

Moins de 24 heures plus tard, Chandler est devenu gravement malade. « Il a dit que ça n’avait jamais été aussi dur de toute sa vie », dit Lori Webb. «  Il souffrait des pires migraines et vomissait. »

 

Le 23 octobre, il fut conduit à un Centre IMC à Murray où une équipe de six médecins ont essayé de comprendre pourquoi le jeune homme de 19 ans était si malade. «  Ils ont vérifié tous les virus, tous les champignons, les tiques » déclare Lori Webb.

 

Les tests sont revenus négatifs. Lori dit que la plupart des médecins ont rejeté la responsabilité du vaccin contre la grippe. Un seul médecin cependant a dit que cela pouvait être une possibilité. A ce moment, le cerveau de Chandler a commencé à gonfler et il est tombé dans le coma pour ne plus jamais se réveiller.

 

«  Il avait 19 ans et il était si heureux » dit Lori Webb. J’ai horreur de tout ce qu’il a pu vivre à l’hôpital. Quand vous êtres dans le coma, vous continuez parfois à souffrir. »

 

Fatal-flu-shot.JPG

 

Le Docteur Allyn Nakashima est l’épidémiologiste de l’Etat. Elle est au courant de ce qui est arrivé à Chandler. Les responsables de la Santé ont déclaré que, dans la mesure de leurs connaissances, ils n’avaient jamais vu un décès après le vaccin contre la grippe en Utah, mais le Dr Nakashima a dit que la chose était possible.

 

Le Dr Nakashima a précisé : « Nous avons certainement vu des associations d’encéphalites ou de types d’encéphalites après le vaccin contre la grippe » a déclaré le Dr Nakashima. « La chose est très rare, et on ne peut pas nécessairement dire  qu’il y ait ici une relation de cause à effet, nous pouvons seulement dire qu’il y a une association. »

 

Si c’est la vaccin contre la grippe qui a enlevé la vie de Chandler Webb, il s’agit d’un cas extrêmement rare a affirmé le Dr Nakashima. Elle espère que cela ne va pas décourager le public de se faire vacciner contre la grippe. 

 

Source: FoxNow

 

Cet article permet de dégager deux informations essentielles, les aviez-vous repérées ?

 

* La première, c’est la médicalisation INJUSTIFIEE du patient (bureaucratisation, contrôle au nom de la sécurité) : la mode des examens médicaux quand on se sent bien est dangereuse parce qu’elle débouche souvent sur des actes inutiles basés sur une ignorance et une arrogance médicales délétères. C’est alors que des médecins-robots qui ne savent rien à la vraie santé s’imaginent faire mieux que bien et apportent leurs petits cadeaux piquants soi-disant gage d’une encore meilleure santé… quel leurre, quelle errance !

 

* La deuxième chose, c’est après, quand il est trop tard, quand on constate avec amertume que les conseilleurs ne sont pas les payeurs. Le moment où on se prend en pleine figure la mauvaise foi des officiels qui d’un côté affirment que les dégâts sont possibles et de l’autre ressortent encore et toujours (c’est systématique notez bien !) leur bonne vieille phrase selon laquelle il n’y a pas de preuve d’un lien de cause à effet. La question à leur retourner serait : quels sont les éléments que vous attendriez pour enfin admettre qu’il y ait un lien de cause à effet, au moins jusqu’à preuve du contraire car enfin, une encéphalite venue de nulle part chez un jeune homme en parfaite santé ou une encéphalite provoquée par le court-circuitage du système immunitaire avec un cocktail de produits chimiques toxiques, tout qui a un peu de bon sens peut comprendre l’origine la plus vraisemblable. Et tout qui a un peu de bon sens ne peut aussi que se rendre compte du caractère systématiquement intouchable et TABOU des effets secondaires de vaccins. Ce côté tabou explique que les victimes et les soignants n'osent pas en parler, que les effets secondaires de vaccins restent ainsi largement sous-diagnostiqués, sous rapportés et donc aussi que les officiels puissent continuer sur base d'une telle omerta des victimes de prétendre impunément que ces effets sont "très rares". Ces affirmations inconsistantes n'ont aucune valeur et ne sont que le reflet de ce triste cerce vicieux. Seuls 10% au maximum des effets secondaires graves de vaccins sont officiellement comptabilisés et cela, c'est admis dans les revues médicales les plus officielles alors rendez-vous bien compte de l'amas de décès, handicaps et maladies en tous genres que TOUS les vaccins ont pu induire sur des milliards de gens vaccinés depuis plus de 200 ans... oui, vous avez compris, c'est une véritable hécatombe silencieuse, un gâchis inimaginable de santés et de vies au nom d'une pareille idéologie.

 

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