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6 décembre 2013 5 06 /12 /décembre /2013 09:31

Dommages vaccinaux aux Etats-Unis

 

Ben Swann, 3 déc. 2013 (Extraits)

 

Arretez--c-est-pour-votre-bien--.jpg

 

-  Protection des fabricants de vaccins contre toute poursuite en justice

-  Pas de responsabilité des fabricants quant à l’information donnée ou omise

 

Aux Etats-Unis, la véritable histoire des vaccins commence en 1986.

 

C’est en effet en 1986 que le Congrès américain a créé le « National Childhood Vaccine Injury Act ». Ce seul fait mérite toute une histoire, car ce que la plupart des Américains ne savent pas c’est qu’une famille qui a un enfant dont la santé a été endommagée par les vaccins ne peut tout simplement pas poursuivre le fabricant en justice.

 

Avec la loi de 1986, le Congrès a enlevé ce pouvoir aux familles et, à la place a créé le « tribunal des vaccins ».

 

 

Alors, qu’est-ce que ce tribunal des vaccins ? C’est un tribunal Fédéral de revendications qui traite spécifiquement du cas des familles qui demandent des dédommagements pour un enfant dont la santé a été endommagée par un vaccin.

 

Le nom officiel est « Programme de compensation  pour dommages causés par les vaccins » (VICP – Vaccine Injury Compensation Program). Bien sûr, ce programme est considéré comme nécessaire parce que pratiquement tous les enfants qui fréquentent une école maternelle, une garderie, une école publique ou privée doivent se faire vacciner

 

Quel est donc le problème ?

 

En 1986, quand le VICP a été créé, les fabricants de vaccins ont été protégés des poursuites que le public aurait pu entamer à leur égard. Le VICP dégage en fait les fabricants de vaccins  de toute responsabilité et exige que les requérants se retournent uniquement contre le HHS. Il n’est pas possible aux victimes de poursuivre les fabricants ou les professionnels de santé. La justification de cette protection de l’industrie et des professionnels de santé était d’assurer un approvisionnement stable de vaccins pour les enfants et de maintenir des prix abordables.

 

La loi de 1986 autorise également les fabricants de vaccins à ne pas divulguer aux parents et aux tuteurs les risques connus (par rapport aux personnes qui sont vaccinées). Sur  base de ce qu’on appelle la doctrine de « l’intermédiaire compétent » (« learned intermediary »), les fabricants de vaccins ne portent aucune responsabilité par rapport au fait de fournir ou de ne pas fournir une information précise et complète aux personnes vaccinées.

 

En échange du fait d’être soumis à cette juridiction concernant les vaccins, les familles dans lesquelles se sont produits des dommages vaccinaux, devaient être indemnisées par un processus administratif qui se base sur un tableau reprenant les dommages possibles dus aux vaccins.

 

A ses débuts, 90% des demandes étaient « sur la table ». Mais près de 30 ans plus tard, les choses ont bien changé. Aujourd’hui le calendrier vaccinal, c'est-à-dire la liste des vaccins proposés aux enfants a triplé et la liste des dommages prévus est devenue beaucoup plus restreinte. Elle force 90% des requérants à quitter la table des négociations. La situation s’est aggravée  parce qu’il y a, pour les familles, d’énormes obstacles à surmonter lorsqu’elles veulent obtenir dédommagement pour les accidents post-vaccinaux.

 

Source : freedomoutpost.com

 

VIDEO en anglais : http://benswann.com/truth-in-media-vaccine-court-and-autism/

 

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5 décembre 2013 4 05 /12 /décembre /2013 07:50

Comment Le Système Médical Actuel  

   Vous Désinforme Sur Les Vaccins

 

Chirurgien-pince.jpg

D’après Shawn Siegel, Vactruth, 28.11.2013

 

Nous vivons à l’âge du consentement désinformé. Les parents imaginent que leurs médecins et les autorités de santé publique leur fournissent toutes les informations pertinentes et nécessaires sur les vaccins, alors que rien ne pourrait être plus éloigné de la vérité.

 

De toute évidence, si les vaccins peuvent tuer et causer des dommages graves ou des handicaps à vie - ce qui se passe en réalité -, la personne qui administre les vaccins se doit de fournir une information au patient, de manière non équivoque, quelle que soit l’importance du risque. Il s’agit d’une obligation éthique, bien qu’elle ne soit jamais respectée. Il y a à cela une raison fondamentale : les facultés de médecine n’enseignent pas l’histoire des dommages vaccinaux, ni leur nature. Elles ne parlent pas non plus des décès. La même chose se passe dans les écoles d’infirmières et de pharmacie. Pourtant, aujourd’hui, ce sont les médecins, les infirmières et même les pharmaciens (USA)  qui administrent les vaccins et sur qui nous comptons pour avoir une information complète. Quelque part des décisions conscientes ont été prises pour exclure des programmes d’études ce qui constitue pourtant une réalité : les graves dommages causés par les vaccins.

 

La plupart des nombreux médecins  qui ont été témoins des dommages produits par les vaccins – heureusement pas tous – ne possèdent pas l’intégrité professionnelle nécessaire pour suivre les cas avec un esprit ouvert, sans même parler de la volonté d’effectuer une recherche personnelle. C’est là une des choses les plus troublantes dans toute l’affaire des vaccins; alors qu’ils sont formés à observer, beaucoup de médecins  semblent  atteints de cécité, par rapport à la simple  possibilité d’une relation causale avec les vaccins.

 

Il y a une raison pour laquelle le CDC n’a pas, en 1999, annoncé au public américain la corrélation directe entre la quantité de mercure dans les vaccins et l’incidence des troubles d’apprentissage et de d’autisme qu’il a trouvés dans sa propre étude interne : une décision consciente et intolérable. [1]

 

Il y a une raison pour laquelle les études qu’a réalisées le Dr Viera Scheibner grâce au moniteur respiratoire (Cotwatch) et qui ont permis de trouver un lien convaincant entre les vaccins administrés aux bébés et l’incidence de la mort subite du nourrisson (MSN) n’a jamais été mentionné par les responsables de la Santé publique : une décision consciente. [2]

 

Il y a une raison pour laquelle le CDC ne mentionne jamais que ce sont les changements radicaux qu’ils ont apportés à la définition et au diagnostic de la poliomyélite, juste après l’introduction du vaccin qui ont éliminé la plupart des cas de maladie et non le vaccin : une décision consciente de manipuler le public par rapport aux décisions qu’il avait à prendre au sujet de la vaccination. Une fois que le vaccin a été homologué, le CDC a refusé l’inscription automatique dans les statistiques annuelles des cas de poliomyélite signalés par des services médicaux privés ou des services locaux de Santé publique, tout en déclarant  qu’ils étaient les seuls (le CDC), après examen et analyse approfondie en laboratoire, à pouvoir valider officiellement un dossier. [3]

 

Parallèlement aux changements de diagnostic et d’étiquetage effectués, un changement radical a été apporté à la définition même d’une épidémie de poliomyélite. On est passé de 20 cas sur 100.000 à 35 cas,  ce qui permettait de réduire de près de moitié les nouveaux foyers qui auraient normalement été qualifiés d’épidémies – un changement qui semble être l’effet du hasard, sauf qu’il avait comme effet de faire passer la poliomyélite comme moins grave ou moins contagieuse et mieux cernée : une décision consciente qui avait comme effet de renforcer l’illusion de l’efficacité du vaccin. [3]

 

Il y a une raison pour laquelle les grands médias en général ne donnent pas une place significative à une information pourtant véridique sur les pièges et les dangers de la vaccination : une décision consciente des éditeurs.

 

Il y a une raison pour laquelle  l’industrie du vaccin n’aborde pas le fait que, pendant des années, des adjuvants tels que ceux qui ont été utilisés dans la plupart des vaccins injectés à des animaux de laboratoire et ont déclenché de l’arthrite rhumatoïde et autres maladies auto-immunes : une décision consciente pour maintenir le public dans l’ignorance du dilemme éthique qui se posait : fallait-il recommander leur injection chez des nouveau-nés, des nourrissons, des tout-petits en contrepartie de maladies aiguës temporaires. Ce même effet des adjuvants chez l’homme a bel et bien été établi par des immunologistes ; [4, 5]

 

Il y a une raison pour laquelle tout médecin ou scientifique qui a pris publiquement position contre les vaccins a été qualifié de charlatan quelle que soit son irréprochable réputation jusqu’alors : une campagne délibérée pour maintenir le mythe de l’innocuité, de l’efficacité et de la nécessité des vaccins.

 

Il y a une raison pour laquelle l’AAP (Académie Américaine de Pédiatrie) s’est abaissée à tenter de punir les parents qui refusaient les vaccins, les traitant d’irresponsables et constituant une menace pour les masses vaccinées…

 

Il y a une raison pour laquelle le Dr Paul Offit a personnellement examiné et approuvé pour publication sur le site de l’Hôpital Des Enfants de Philadelphie, un article sur la valeur du vaccin contre la varicelle qui précise que la vaccination est parfaitement sûre, malgré les rapports post-marketing de réactions catastrophiques reprises sur la notice du vaccin comme des chocs anaphylactiques, des encéphalites et des Guillain-Barré, et ce qui est repris dans les rapports du VAERS ( Organisme officiel américain de vaccinovigilance qui recueille les rapports d’effets secondaires possibles des vaccins aux Etats-Unis) : une décision consciente. [6- 8]

 

Il y a une raison pour laquelle, nulle part dans les principaux médias, n’a été mentionné le fait  que lorsque l’équipe de médecins de l’Hôpital Royal Free a traité douze enfants pour une inflammation de l’intestin, leurs symptômes de l’autisme ont été grandement atténués – une information importante et encourageante qui aurait dû être claironnée à l’échelle mondiale et faire les grands titres des journaux. : une décision consciente destinée à soutenir l’information selon laquelle il n’y a pas de lien entre le nouveau syndrome (de l’inflammation intestinale) décrit par l’équipe et l’autisme, et alors que la découverte de l’équipe du Royal Free a été corroborée  par un gastro-entérologue pédiatrique, le Dr Arthur Krigsman. [9, 10]

 

Il y a une raison pour laquelle l’industrie du vaccin ne répondra pas à la divulgation que parmi les 50.000 patients non vaccinés de la Clinique « Homefirst Health Clinic » de Chicago, le personnel  est au courant de seulement quelques cas d’autisme et pratiquement pas de cas d’asthme, d’allergies ou de diabète – statistiques impressionnantes avec des implications énormes. Dans une population générale de la même importance, on pouvait s’attendre à voir de 250 à 300 cas d’autisme ou plus, et des milliers d’incidents et maladies auto-immunes. [11]

 

[…] Il y a aussi une raison pour laquelle le CDC ne répondra jamais aux demandes sans cesse réitérées de comparer la santé des enfants complètement vaccinés à celle d’enfants n’ayant jamais reçu le moindre vaccin. Ils prétendent qu’il ne serait pas éthique de réaliser pareille étude en double aveugle, parce que cela reviendrait à  priver de protection le groupe contrôle. On tourne manifestement en rond vu que la question qui se pose est justement la sécurité et l’efficacité des vaccins, et qu’il serait indispensable d’analyser les données disponibles sur le million (ou plus) d’américains qui n’ont jamais été vaccinés par choix personnel : une décision consciente pour éviter de débusquer et de révéler la vérité.

 

Le comportement de l’industrie du vaccin – du gouvernement, des fabricants, d’une partie de l’establishment médical général, des grands médias qui reculent devant le journalisme d’investigation quand il s’agit des vaccins -  tout cela est répréhensible et condamnable. Sur leurs cartes de visite figurent : la manipulation statistique, la tromperie et la peur. Alors qu’ils sont parfaitement conscients des dommages catastrophiques causés par les vaccins, ils continuent de nier fermement la réalité et de supprimer des données, alors qu’ils savent que ces informations sont essentielles et cruciales pour permettre aux parents de prendre leurs décisions en matière de vaccinations.

 

Le déni conscient d’une information critique s’appelle de la désinformation.   


Références

 

1. David Kirby, Evidence of Harm, 2005, pp 127 – 131.

2. http://www.consumerhealth.org/articles/display.cfm?ID=19990705002005

3. https://www.facebook.com/notes/great-mothers-and-others-questioning-vaccines/now-ya-see-it-the-polio-caper/522168097823233

4. http://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/12086312?dopt=Abstract

5. http://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/19880572

6. http://www.chop.edu/service/vaccine-education-center/a-look-at-each-vaccine/varicella-chickenpox-vaccine.html

7. http://www.merck.com/product/usa/pi_circulars/v/varivax/varivax_pi.pdf

8. http://wonder.cdc.gov/vaers.html , do the following: Click on Request Form; group results by Event Category; under vaccine products, select Varcel; at number 5, select All Locations; and click Send.

9. The first ten minutes of the following interview with Dr. Andrew Wakefield: http://www.youtube.com/watch?v=fdwk6AdaD4w

10. https://www.youtube.com/watch?v=U83U0AWTnmg

Start at 14:00 into the interview with Dr. Mayer Eisenstein:

11. http://www.youtube.com/watch?v=NfaISU0AmZ8

 

Source: Vactruth 

 

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21 novembre 2013 4 21 /11 /novembre /2013 22:20

Un vaccin aux effets inquiétants

 

PUBLIÉ LE 21/11/2013

Par Pauline VINATIER

 

jean-andre-Paris.jpg

 

ANDELAIN (02). Des équidés présentent de violentes réactions après vaccin. L’un d’entre eux doit même être euthanasié. Leur propriétaire s’interroge.

 

« Complètement sonné ». C’est ainsi que Jean-André Paris, à la tête de l’écurie de compétition Team JA Paris se sent après ce qui vient d’arriver à son cheptel : « Je ne comprends pas qu’une simple vaccination puisse mettre des animaux dans cet état », dit-il avec colère.

 

Il y a six semaines, sur les conseils de son vétérinaire cet homme de cheval avait décidé de procéder à des vaccinations. Un acte de routine. Le vaccin obligatoire contre la grippe et le tétanos avait été couplé avec celui contre la rhinopneumonie, fortement recommandé pour les animaux de compétition.

 

Le cheval fou de douleur

 

Après les piqûres, la réaction des chevaux, des poneys et de l’âne a été spectaculaire. « Le comportement de la totalité du cheptel a été modifié. Les animaux avaient beaucoup de fièvre, au-dessus de 40ºC pour plusieurs d’entre eux, des hématomes énormes au niveau du point d’injection, des tremblements, une perte d’équilibre », décrit Jean-André Paris. Le cheptel a dû être mis sous traitement anti-inflammatoire ce qui a paralysé l’écurie pendant 15 jours.

 

Contacté, le vétérinaire traitant estime que « cette réaction a été exceptionnelle par son intensité et surtout parce qu’elle a touché tous les animaux. Je fais très souvent des vaccins et ce ne sont pas des choses que j’ai l’habitude de voir ».

 

Il assure avoir pris les précautions d’usage pour le stockage des produits, mais n’a pas hésité à faire deux vaccins en même temps avec le même point d’injection, alors que la notice d’EHV 1,4 contre la rhinopneumonie déconseille de les « mélanger ».

 

Quoi qu’il en soit, même isolé le vaccin contre la rhinopneumonie pourrait provoquer des troubles. Début novembre, dans le cadre d’une seconde injection prévue par le protocole, le praticien a cette fois découplé les deux vaccins, commençant par la rhinopneumonie. « Dans les minutes qui ont suivi la plupart des animaux étaient à nouveaux fiévreux », informe Jean-André Paris.

 

Le lendemain Caprice, un cheval de 8 ans s’est trouvé encore plus mal. « Un quart d’heure après avoir mangé, il s’est mis à s’agiter et s’est jeté violemment au sol. Il avait l’air de souffrir de façon intolérable ». Ce faisant, l’animal s’est cassé une patte contre la mangeoire. « L’os était complètement pulvérisé, le membre pendouillait. Il a fallu l’euthanasier », raconte Jean-André Paris, les larmes aux yeux, et qui a l’impression d’avoir « trahi son partenaire ».

 

Le cheval n’était en outre pas assuré et son propriétaire estime que le préjudice financier atteint 40 000 €.

 

Les premières conclusions, macroscopiques, de l’autopsie pratiquée au laboratoire départemental par des experts indépendants n’ont rien expliqué. Des prélèvements doivent encore être soumis à analyse.

 

Quel rôle a joué le vaccin dans ce regrettable enchaînement ? Jean-André Paris veut soulever la question. Assisté d’un avocat, il envisage d’assigner en justice le laboratoire Zoetis : « S’il n’y avait eu que le premier épisode, j’aurais pu passer l’éponge. Mais je ne veux pas que mon cheval soit mort pour rien et je ne peux pas envisager que cela soit un cas unique. » Il appelle toutes les personnes qui auraient été confrontées à des réactions similaires à le contacter au plus vite.

 

Il se demande aussi pourquoi aucune analyse n’a été pratiquée par le vétérinaire traitant sur le cheptel après la première réaction, car « aujourd’hui il est trop tard ».

 

Après ces longs ennuis vétérinaires et la perte de son « cheval de tête », Jean-André Paris, qui vient de s’installer à Andelain, sait que sa première saison de courses indoor est compromise. Il aura d’autant plus du temps à consacrer à ses dossiers.

 

Contact : 06 58 11 52 71 ou par courriel : equifun@live.fr

 

Source: L'Unionpresse.fr

 

Jusqu’ici, à en lire ce qui se disait sur les forums, une immense majorité de propriétaires de chevaux croyaient que les vaccins étaient vitaux à la santé de leurs chevaux. Il est donc véritablement salutaire que la presse se mette à aborder la toxicité des vaccins y compris ceux pour des animaux (car tout est évidemment lié, des produits très risqués pour le vivant ne vont pas être anodins chez les humains et mal tolérés chez les animaux ou vice-versa, les mêmes causes produisant les mêmes effets.)

 

Autre point « positif» aussi dans ce malheur, c’est que le propriétaire a pu par la répétition des effets néfastes (là encore les mêmes causes produisant les mêmes effets) comprendre avec bon sens qu’il ne s’agissait pas du hasard et ainsi, même si ce désastre vaccinal a conduit à la mort d’un de ses chevaux, il faut espérer que la prise de conscience de ce propriétaire permettra à l’avenir d’épargner la vie et la santé d’autres animaux.

 

Ce genre de drame est aussi l’occasion pour les gens qui n’avaient pas conscience des risques semblables des vaccins pour enfants et adultes de « faire le lien » et de percevoir ainsi l’unicité d’un même scandale.

 

Parmi les éléments qu’il faut souligner et rappeler et que nous ne manquerons pas de signaler au propriétaire concerné, c’est que les autopsies réalisées dans ce contexte NE REVELENT JAMAIS RIEN (c’est par exemple ce qu’on a prétendu pour le décès du petit Xhandro, d’un autre enfant d’Audenarde, tous fraîchement vaccinés et on pourrait encore continuer longtemps alors pour des chevaux, vous imaginez !). Pourquoi : pour une raison fort simple et implacable qui est que les effets des vaccins n’étant pas correctement étudiés et tous ces produits étant expérimentaux, les légistes ne savent tout simplement pas quoi chercher. Si on ajoute le caractère dogmatique évident des effets graves des vaccins au business gigantesque que cela représente pour les vétérinaires (aussi enrichis par le business des vaccins et de leurs suites que les pédiatres avec les pauvres bébés piqués aveuglément à tout va), on se rend compte que les vaccins ne peuvent qu’être que blanchis. « On n’a pas de preuve » parce qu’on n’a plus le bon sens de simplement observer et utiliser les signaux clairs qu’on observe (en pharmacovigilance, la répétition d’un même effet après l’administration répétée d’un même produit constitue pourtant un signal assez fort, on parle en jargon technique de « rechallenge ».) Alors on se borne à dire « qu’on ne comprend pas » et on prend cette sotte incompréhension comme un prétexte fumeux pour continuer les larges politiques vaccinales !

 

Il est intéressant de noter à cet égard ce que reconnaissaient des auteurs dans la Revue du Praticien de novembre 2011 en matière de vaccination humaine (mais cela vaut bien sûr totalement pour la vaccination animale également et cela sera particulièrement utile à ce propriétaire dans le cadre d’une procédure judiciaire dans laquelle il sera confronté fort probablement à la mauvaise foi des industriels fabricants de vaccins) :

 

"Il n’y a pas de consensus sur les éléments chronologiques ou sémiologiques de l’imputabilité d’un vaccin dans la survenue d’un EI.(effet indésirable)"

 

Donc, en d’autres termes, la communauté médicale ne SAIT PAS quel est le timing de survenue ni le type de symptômes à observer pour incriminer un vaccin dans la survenue d’un effet secondaire de vaccin ! En voilà un « superbe » indice du caractère expérimental et bâclé de l’évaluation des divers vaccins !

 

Et que dire aussi des propos du chef de la direction des vaccins pour animaux de Sanofi Pasteur, le Dr Saluzzo, également consultant pour l’OMS, qui avouait qu’ils ne savent tout simplement pas comment marchent les vaccins et que si on veut développer de nouveaux vaccins dans le futur, il faudra commencer par étudier le système immunitaire (sic !).

 

Quand on court-circuite le système immunitaire d’un animal comme d’un humain (l’homme étant aussi un animal) en administrant de façon forcée dans le corps des microbes bricolés et autres substances toxiques en lieu et place d’une entrée normalement prévue par les voies muqueuses, il ne faut pas s’étonner de pouvoir observer le pire, des paralysies, des drames, des décès. C’est là le B.A.-BA de l’immunologie et partir de cette différence fondamentale entre le mécanisme d’un vaccin (artificiel) et celui d’une infection classique (naturelle) constitue la base même d’un raisonnement correct pour aborder de façon sérieuse et objective la compréhension du mécanisme d’effets secondaires graves d’un processus artificiel gravement dénué de fondements biologiques et scientifiques.

 

Que pourra penser ce propriétaire de chevaux en comprenant que le vétérinaire qui a conseillé tous ces vaccins à ses chevaux n’avait en réalité AUCUNE IDEE des effets possibles des vaccins qu’il allait injecter aveuglément ?? Ne serait-il pas aussi INDISPENSABLE de poursuivre également le vétérinaire sans se contenter d’attaquer la firme productrice car il est bien évident qu’il est urgent de RESPONSABILISER les praticiens qui piquent aveuglément en se réfugiant de façon bien commode derrière « les conseils des autorités » ou ceux des associations professionnelles. Seuls les patients et les propriétaires pourront faire évoluer ces médecins et vétérinaires piqueurs engoncés dans leurs habitudes et dans leurs certitudes périmées. L’évolution est en tout cas en marche !

 

Nous finirons par un indice assez accablant en défaveur du vétérinaire. Ceux-ci sont en effet tous censés savoir ce qui peut arriver à leurs propres doigts/mains si jamais ils venaient à se piquer par mégarde avec ces « bons vaccins »… ils risquent l’amputation si la dénudation chirurgicale n’est pas menée à temps, c’est donc dire le côté redoutable des composants de ces vaccins bâclés (source de l’info ? L’Office fédéral vétérinaire suisse, tout ce qu’il y a donc de plus officiel !) Et pour "la petite histoire", les gens doivent savoir que les adjuvants huileux évoqués par l'Office fédéral vétérinaire suisse sont de même type que ceux injectés aux gens avec le vaccin H1N1. Qu'il s'agisse d'adjuvants huileux ou minéraux (aluminium et cie), le problème de sécurité a pour dénominateur commun une évaluation laxiste et bâclée de leurs effets en termes de durée mais aussi de variété possible.

 

Ce serait intéressant que le propriétaire jette un œil détaillé à la notice du vaccin concerné (ou plutôt DES vaccins car plusieurs ont été administrés en même temps), le vaccin viral contre la rhinopneumonie équine EQUIP EHV 1,4 (Zoetis) qui contient notamment du CARBOPOL comme adjuvant (ces mêmes adjuvants très agressifs fréquents en vaccinologie animale qui peuvent même mener à l’amputation des doigts des vétérinaires.)Concernant l'aluminium vaccinal, le Dr Nathalie Garçon qui est responsable du Centre mondial des adjuvants chez la firme mondiale de vaccins humains GSK a admis dans un colloque en 2002 aux USA qu'ils n'avaient absolument aucune idée de la biodistribution de l'aluminium c'est à dire de la façon dont cette substance se répand dans l'organisme et elle a aussi ajouté que selon elle si l'aluminium arrivait maintenant sur le marché, il ne serait pas accepté. Voici ses propos exacts et la source tout à fait vérifiable et officielle des actes de ce colloque de 2002 qui prouvent que ce sont bien les propos que cette spécialiste des adjuvants a tenus:

 

"En réalité, le seul adjuvant [aluminique] autorisé pour la consommation humaine, est le plus empirique. Personne ne sait comment il fonctionne, personne ne connaît sa biodistribution. [...] En fait, je crois que si l'aluminium arrivait maintenant, il ne serait pas accepté." [cfr page 220 de ce workshop aux USA]

 

Comment imaginer franchement que l'aluminium non étudié chez les humains l'aurait été chez les chevaux?? Comment s'étonner que des chevaux perdent l'équilibre alors qu'il existe des centaines d'études sur la toxicité de l'aluminium, une substance qui n'a rien à faire dans aucun organisme vivant?!

 

Si on prend le vaccin multivalent DUVAXYN IE PLUS T de Eli Lilly (contre le tétanos et la grippe), on peut voir qu’il rassemble à la fois un adjuvant à base d’aluminium (= neurotoxique et cancérigène) et de carbomère 934P, des noms obscurs qui cachent le plus souvent des adjuvants très mal étudiés et remplacés en douce sans que personne ne le sache.

 

Dans une revue officielle de Médecine vétérinaire (Annales de Médecine Vétérinaire), on pouvait par exemple lire en 2003, nous citons:

 

« Les connaissances concernant les effets des adjuvants sont cependant loin d’être complètes et certains aspects de leur activité peuvent ne pas avoir été étudiés. »

 

On vous propose un vaccin à vous ou à votre animal par automatisme (comme c’est toujours le cas) ? Montez sur vos grands chevaux !

 

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8 novembre 2013 5 08 /11 /novembre /2013 16:44

Voici le contenu d'un mail reçu hier de la part d'une lectrice (Isabelle, de France) :

 

« Bonjour,

 

Tout d'abord, permettez-moi de vous féliciter pour votre site que je consulte très régulièrement et la qualité (et quantité) de votre travail. 

 

Depuis des années, je fais moi aussi d'innombrables recherches sur les vaccins : sur internet et lectures d'ouvrages. Convaincue depuis un bon moment déjà (et surtout après le cinéma du H1N1) que les vaccins  nuisaient énormément à la santé, il est toutefois très difficile de convaincre mon entourage. J'ai huit petits-enfants, mes filles "m'entendent" bien lorsque je leur parle de la toxicité des vaccins mais elles se laissent toujours finalement influencer par leurs médecin ou pédiatres (ce sont les pires !). Alors je croise les doigts lorsque je sais que l'un d'eux va recevoir leur dose de poison…

 

Je vous écris également ce message pour vous signaler que l'ANSM* vient de mettre en ligne un lien pour permettre aux particuliers de déclarer les effets indésirables des médicaments. Après en avoir fait le tour, et sauf erreur de ma part, il semblerait qu'ils n'aient pas prévu le cas d'effets secondaires post vaccination !!!!

 

Formulaire de report d'effets secondaires de l'ANSM

 

Encore merci et bon courage pour continuer votre travail édifiant. »

  

* ANSM= Agence Nationale de Sécurité du Médicament (= ex Afssaps)



Voici maintenant la réaction d'un médecin français à ce mail d'une lectrice:

 

« Je me suis amusé à essayer d'utiliser le dispositif de signalement, en temps que médecin, par exemple pour une de mes patientes infirmières qui profite d'une fibromyalgie après vaccination obligatoire. Eh bien ce n’est pas gagné...

 

Outre que les vaccins ne font pas partie des choses à signaler, se mouvoir dans ce dédale de déclaration est un véritable parcours du combattant.

 

Essayez et vous verrez.

 

On voudrait nous décourager qu'on ne s'y prendrait pas autrement.

Je comprends pourquoi les effets indésirables ne sont signalés que dans 1 à 10 cent des cas... »



Commentaire d'Initiative Citoyenne:



- Ces agences nationales sont largement financées par les redevances des firmes pharmaceutiques (en général à hauteur de 80%).



- Ces agences sont conscientes du problème évident de la sous-estimation notoire des effets secondaires de vaccins. La Revue du Praticien de Novembre 2011 mentionnait que seuls 1 à 10% des effets secondaires graves de vaccins étaient effectivement comptabilisés et en 2007 déjà, l'ex Afssaps donc l'actuelle ANSM présentait de la façon suivante le problème de cette sous-notification évidente dans un document relatif à la pharmacovigilance des vaccins (pharmacovigilance signifiant "le suivi des effets secondaires"):

AFSSAPS sous notification



- Les effets secondaires de vaccins sont tabous. Les chercheurs qui veulent publier sur le sujet sont soit privés de crédit de recherche (exemple ici avec une chercheuse qui voulait justement étudier le lien entre vaccination et survenue de fibromyalgie) soit interdits de conférence de presse, comme par exemple le Pr Tardieu (parce que son étude avait mis en évidence un sur-risque de sclérose en plaques chez les enfants vaccinés contre l'hépatite B comme le rapportait le journal Libération du 14 octobre 2008)

 

- Une étude de 2011 a révélé que 61% de ceux qui administrent le vaccin contre la grippe sont incapables de reconnaître un effet secondaire (or s'ils ne sont pas capables d'en reconnaître -on ne leur apprend que l'acte technique de piquer-, comment pourraient-ils être capables de les rapporter à la pharmacovigilance??) Evidemment, on voit assez mal en quoi ces statistiques ne pourraient pas être étendues à l'ensemble des vaccins, elles valent assurément pour tous et selon nous, elles sont encore largement optimistes. Les raisons de ce phénomène sont à rechercher dans plusieurs causes, outre l'apprentissage, il y a aussi la question de la responsabilité personnelle et l'intérêt financier évident que représentent la vaccination pour le business individuel des généralistes, pédiatres etc.

 

- Pour "boucler la boucle", il faut enfin aussi rappeler ce qu'on pouvait notamment lire dans un rapport de 2007 du Sénat français, à savoir que les élus de la Nation et les autorités considèrent les pharmas comme des "partenaires naturels"...

 

Mettez tous ces éléments du puzzle ensemble, et vous comprendrez donc enfin pourquoi le scandale vaccinal n'a toujours pas éclaté, là où le moindre constructeur de voitures qui aurait produit des véhicules aussi meurtriers (même s'ils eurent pu être utiles notez bien!) aurait déjà été lynché en place de Grève!!

 

puzzles-fotolia.jpg

 

Voir aussi :

 

Vaccins: des patients qui agissent en vrais consommateurs

 

Effets secondaires de vaccins: le grand tabou

 

Ethique vaccinale & prostitution de la Science

 

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2 novembre 2013 6 02 /11 /novembre /2013 23:29

Voici la vidéo de la conférence internationale sur l'aluminium vaccinal qui s'est tenue le 12 novembre 2012 à Paris à l'initiative de l'eurodéputée française Michèle Rivasi:

 

  

 

Rappel important: la toxicité de l'aluminium vaccinal constitue seulement UN des innombrables risques associés aux vaccins. Par divers autres aspects et mécanismes, les vaccins peuvent entraîner des effets secondaires graves, pouvant induire parfois des symptômes identiques, parfois totalement différents de ceux décrits dans cette vidéo.
 
Il est important de rappeler aussi que les effets secondaires des vaccins sont constamment sous-estimés en fréquence, en gravité et en variété.

 

Comme le Pr Gherardi le mentionne dans la vidéo, il peut souvent y avoir un intervalle libre important entre le déclenchement des symptômes et la vaccination (plusieurs mois ou plus), cela signifie donc que les troubles peuvent apparaître de façon différée dans le temps, avec pour conséquence que les patients ne pensent alors plus facilement à faire le lien.
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31 octobre 2013 4 31 /10 /octobre /2013 22:03

Voici une vidéo qui parle d'elle-même et qui pourrait résumer à elle-seule l'urgence qu'il y a d'agir, tout simplement parce que nous ne pouvons plus avoir confiance dans les promoteurs d'une fausse Science mais surtout parce qu'il y a des enfants à sauver et dont les droits les plus élémentaires à l'intégrité physique sont bafoués tous les jours dans notre pays (et pas juste dans les pays lointains comme croient souvent les plus crédules d'entre nous!):

 

 

Sous l’égide de l’UNESCO se réunirent à Tokyo, en automne 1995, des savants du monde entier pour essayer de « réconcilier le savoir et la sagesse » et de déterminer si les nouvelles technologies sont au service de l’homme ou l’homme au service des technologies… Michel Random, écrivain et philosophe qui participa au Colloque, en a fait la synthèse dans un ouvrage collectif LA MUTATION DU FUTUR paru en 1996 aux éditions Albin Michel. Il écrit :

 

« Il est clair qu’il existe aujourd’hui deux sciences qui n’ont heureusement plus rien de commun, une science réductionniste et sans conscience et une science holistique et visionnaire qui associe le réel à la conscience. Cette seconde science est probablement celle qui peut donner un sens nouveau à notre présent et à notre futur. Certes, elle connaît la présence de gaz dans la chambre mais elle ouvre la fenêtre alors qu’il en est encore temps. »

 

Sylvie Simon : la dictature médico-scientifique, p. 263

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31 octobre 2013 4 31 /10 /octobre /2013 22:00

 HERITAGE INCERTAIN : EFFETS TRANSGENERATIONNELS

DES EXPOSITIONS ENVIRONNEMENTALES

 

http://ehp.niehs.nih.gov/121-A298/

 

Dr-Palevsky-avec-enfant.jpg

 

Commentaires du Dr Palevsky , MD, (Pédiatre): Depuis un an et demi, on a assisté à une véritable explosion d’études sur les effets transgénérationnels  de l’exposition à un large éventail de facteurs environnementaux de stress… C’est un domaine qui commence vraiment à « décoller » …Les derniers résultats nous forcent à réévaluer la manière dont les scientifiques perçoivent les menaces de l’environnement sur la santé.

 

Nous devons penser à plus long terme l’impact des produits chimiques auxquels nous sommes régulièrement exposés. Ces nouvelles études tendent à montrer qu’ils pourraient avoir des conséquences non seulement sur notre propre santé, mais aussi sur la santé des générations à venir.

 

On a rapporté des effets transgénérationnels  pour des produits chimiques comme la perméthrine, le DEET, le bisphénol A, certains phtalates, des dioxines, des mélanges de kérosène, la nicotine, le tributylétain, entre autres. La plupart des résultats proviennent d’études sur les rongeurs.

 

Genes.jpg

 

L’exposition à des produits chimiques contenus dans les vaccins qui constituent cependant  des importants facteurs de stress environnementaux, n’a pas encore fait l’objet de recherches. Beaucoup de personnes se font la réflexion suivante : « Moi j’ai été vacciné(e) et je me porte bien. » Ces personnes se servent ensuite de pareil raisonnement comme preuve suffisante pour affirmer que les vaccins sont sûrs. A l’insu de ces personnes, et en dépit du fait qu’elles n’ont pas eu de réaction apparente et immédiate de cause à effet après avoir été vaccinées, ces personnes n’ont aucune idée de l’effet sournois que l’exposition à des ingrédients de vaccins pourrait avoir sur leur matériel génétique, qu’elles transmettront ensuite à leurs enfants et petits-enfants, et pouvant conduire à l’expression de maladies débilitantes inflammatoires et neurologiques chroniques. 

 

Dr Palevsky’s Newsletter, 29 octobre 2013

 

Voir aussi les articles liés suivants:

 

Effets toxiques des substances chimiques à faibles doses

 

Gardasil: le Ministre français de la Santé reconnaît le caractère reprotoxique du borax

 

L'emballage du vaccin Gardasil portera-t-il le logo à tête de mort?

 

Interview du pédiatre Palevsky sur la vaccination des enfants:

 

 

Le Dr Bernadine Healy sur le fait qu'on sacrifie des enfants en les vaccinant aveuglément:

 

 

 

IL EST URGENT D’AGIR CAR PENDANT QUE CERTAINS SE DISENT QUE « SI C’ETAIT VRAI, CA SE SAURAIT », DES ENFANTS (PARFOIS CEUX DE CES PERSONNES) EN FONT LES FRAIS ET CELA, SANS QU’ILS AIENT JAMAIS LEUR MOT A DIRE….

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24 octobre 2013 4 24 /10 /octobre /2013 20:38

VACCINS : une descente dans la folie

 

  Par Trine Villemann, 17 octobre 2013

 

Trine-Villeman-and-Malcolm-Brabant.jpg

  Le vaccin contre la fièvre jaune a provoqué la folie

 

Jusqu’au 15 avril 2011, je croyais vraiment aux vaccins. Mon fils qui est né prématurément, était très malade, et pour le protéger, je lui ai fait administrer tous les vaccins disponibles parce que j’avais confiance dans les médecins et les compagnies pharmaceutiques qui me disaient que les vaccins étaient sans danger et qu’ils pouvaient empêcher des maladies et des décès.

 

Maintenant je connais beaucoup mieux le problème – et c’est parce qu’un désastre nous a frappés une après-midi d’avril. Mon mari, Malcolm Brabant, qui était correspondant de la BBC,  s’est adressé à un centre de vaccination dans les faubourgs d’Athènes, Grèce, où nous vivions, pour se faire vacciner contre la fièvre jaune. Il devait en effet partir en voyage d’affaires à la Côte d’Ivoire en Afrique.

 

20 minutes plus tard, il était de retour. A ce moment là, je ne me doutais pas que le vaccin avait déjà commencé son parcours dévastateur dans son corps pour atteindre le cerveau.

 

Le signal d’alarme a retenti moins de 24 heures plus tard, quand j’ai trouvé mon mari dans le salon brûlant de fièvre. Nous avons immédiatement réalisé qu’il s’agissait d’une réaction à la vaccination. On avait dit à mon mari qu’il pourrait s’attendre à des « symptômes ressemblant à ceux de la grippe », mais sa fièvre dépassait les 40° (104 F) et ses frissons étaient si violents que notre grand lit double était à ce point secoué que des objets tombaient de la table de nuit adjacente. J’ai pu faire tomber la fièvre jusqu’à 38° avec de l’ibuprofène, mais dès que l’action du médicament  cessait, la fièvre remontait de plus belle.

 

C’est alors que les insomnies ont commencé. Mon mari qui s’endort habituellement dans la minute où il a posé sa tête sur l’oreiller, ne pouvait plus dormir. Il est devenu irritable et irrationnel. Il a commencé à faire des choses tout à fait bizarres – ainsi, une après-midi il a décidé d’aller s’asseoir au soleil sur notre terrasse vêtu d’un épais manteau d’hiver, d’une grosse écharpe de laine, un short et des pantoufles… Parce qu’il allait « faire sortir la fièvre » !

 

Mon mari a finalement dû être hospitalisé. Le médecin qui s’occupait de lui le connaissait bien. Il l’avait traité pour une pneumonie deux ans plus tôt.

 

Nous avons récemment revu ce médecin qui s’est replongée dans les notes qu’elle avait prises au cours de son admission à l’hôpital.

 

« Confus – animé – et agressif », tels étaient les mots  avec lesquels elle décrivait l’état mental de mon mari.

 

Le lendemain de son admission, il est devenu encore plus évident que quelques chose ne tournait pas rond avec mon « doux géant de mari ». Il avait chassé un médecin de sa chambre, apparemment, comme mon mari me l’a dit, parce qu’il avait posé des questions inappropriées.

 

Le résultat des analyses biochimiques de mon mari étaient anormaux. Ses enzymes hépatiques étaient trop élevées et se sont maintenues à ces niveaux au cours des jours suivants. La fièvre persistait. Les médecins l’ont soumis à toute une série de tests, mais rien ne pouvait expliquer la forte fièvre ni les résultats anormaux des examens sanguins – hormis le vaccin contre la fièvre jaune.

 

Mentalement, il se retrouvait dans un état où il était de plus en plus difficile de le suivre. Il me racontait, par exemple, que son lecteur électronique portatif volait à travers la chambre. Il a commencé à envoyer des e-mails fous et n’arrêtait pas de pleurer.

 

Il a commencé à se prendre pour le Messie et il m’expliquait à quel point certains de ses chers amis disparus l’enthousiasmaient  - c’est comme cela qu’il me parlait des messages qu’il recevait et qui lui disaient ce qu’il devait faire.

 

Le 28 avril 2011, - 13 jours après que mon mari ait été vacciné – les médecins grecs ont fait baisser la fièvre en utilisant des stéroïdes. Mais, il est devenu à ce point perturbé mentalement qu’il fut transféré dans une clinique psychiatrique quelques jours plus tard.

 

Le psychiatre diagnostiqua chez mon mari une « psychose organique aiguë » C’est cet état qui a continué à hanter mon mari plus d’un an après la vaccination. Il a dû passer plus de huit mois enfermé dans un pavillon psychiatrique. Il a souffert au-delà de ce qu’on peut imaginer.

 

Sanofi Pasteur, le fabricant du vaccin contre la fièvre jaune, nie tout lien entre le vaccin et la maladie de mon mari. Cependant en mai 2013, le fabricant de vaccins a, pour la première fois, admis que le cas de mon mari n’était pas le seul qui avait été atteint de folie après avoir reçu le vaccin contre la fièvre jaune. Sanofi Pasteur a admis  que «  moins de 10 rapports de troubles mentaux ont été liés au vaccin, y compris le cas de Mr Brabant. » Personnellement, j’ai effectué une recherche et en ai trouvé des centaines d’autres.

 

Au Centre de surveillance de l’OMS à Uppsala, ils ont recueilli au moins 400 rapports d’effets secondaires du vaccin contre la fièvre jaune impliquant des troubles mentaux au cours des dix dernières années.

 

Comme il n’y a que de 3 à 10% des effets secondaires des médicaments qui sont rapportés, on peut se douter qu’il puisse y avoir des milliers de personnes qui ont été atteintes de folie après le vaccin contre la fièvre jaune. Je suis en contact avec des personnes de plusieurs pays qui, toutes, ont souffert de troubles psychotiques après avoir fait le vaccin contre la fièvre jaune de Sanofi Pasteur.

 

Avec autant de rapports d’effets secondaires faisant suite à la vaccination contre la fièvre jaune et impliquant des troubles mentaux, il est juste de dire que Sanofi Pasteur et les organismes de régulation compétents, savent depuis des années que le vaccin contre la fièvre jaune peut causer ces problèmes. Pourtant, ils n’ont absolument rien fait pour enquêter sur ce vaccin et les complications psychiatriques qu’il peut causer.

 

Il y a cependant une prise de conscience croissante que le vaccin contre la fièvre jaune est dangereux et instable. Le Dr Thomas Monath est considéré comme un des meilleurs experts mondiaux du vaccin contre la fièvre jaune. Il a récemment participé à une émission (PBS-Programme) intitulée «  Les grandes fièvres »  et a déclaré, à propos du vaccin contre la fièvre jaune :

 

« Ce vaccin a été considéré comme un des vaccins les plus sûrs qui aient jamais été développés, et il n’y a jamais eu de réelles préoccupations au sujet de sa sécurité. Cela a maintenant changé au cours de la dernière décennie et nous reconnaissons maintenant qu’il y a des effets indésirables vraiment graves, des effets secondaires importants, »

 

La question de la sécurité de tous les vaccins de Sanofi Pasteur a dernièrement refait surface. En 2012, la FDA a écrit une lettre d’ avertissement à Sanofi Pasteur après que des inspections aient trouvé de nombreuses failles par rapport à la sécurité dans leurs usines de production en France et au Canada. Il y a quelques semaines, j’ai été contactée par un lanceur d’alertes qui m’a permis de prendre connaissance de quelques documents internes très inquiétants de Sanofi Pasteur. Ce lanceur d’alertes affirme que Sanofi Pasteur serait impliqué dans des comportements illégaux qui auraient pour but de dissimuler des problèmes de sécurité récurrents à propos de ses vaccins.

 

Dès que Sanofi Pasteur a eu connaissance que j’étais en possession de ces documents, ils ont, sur un plan juridique, envoyé leurs chiens d’attaque contre moi. Je n’ai personnellement pas peur de Sanofi Pasteur, et j’ai remis ces documents aux autorités compétentes.

 

Sanofi Pasteur n’a rien fait pour venir en aide à mon mari. Nous leur avions cependant fait parvenir tous nos dossiers médicaux. Ils refusent de communiquer le moindre élément de la recherche qu’ils disent avoir réalisée. Sanofi Pasteur a demandé et reçu la liste de tous les médecins qui ont soigné mon mari, mais ils n’en ont contacté aucun. – le fabricant du vaccin contre la fièvre jaune ne semble nullement intéressé de trouver la vérité.

 

Mon mari va maintenant mieux, mais il est toujours sous médicaments et le pronostic de son état mental est incertain. Bien que notre famille essaie de tout faire pour retrouver une existence normale après ce qui est arrivé à mon mari à la suite de ce vaccin, notre vie en a cependant été complètement bouleversée. Nous essayons de vivre un jour à la fois. Nous ne pouvons plus nous permettre de faire des projets ; nous n’osons plus espérer.

 

Une chose est cependant certaine : je vais continuer à lutter pour la justice et je n’abandonnerai pas jusqu’à ce que Sanofi Pasteur reconnaisse que son vaccin contre la fièvre jaune a rendu mon mari fou.

 

L'histoire de Malcolm Brabant est disponible dans ce livre (en anglais)

 

Malcolm livre

   

Source: SaneVax

 

Voir aussi les articles suivants:

 

Un célèbre journaliste de la BBC devenu psychotique après le vaccin contre la fièvre jaune

 

Dr Jean-François Saluzzo de Sanofi Pasteur: "On ne sait pas comment marchent les vaccins." !

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21 octobre 2013 1 21 /10 /octobre /2013 11:40

L’ histoire tragique de 37 décès d'enfants 

à la suite d’un « bon vaccin »

 

Sifty News.- Source IANS , 19 oct.2013

 

Enfant-vaccine-qui-pleure-Eileen-Dannemann.jpg

  

Le 11 octobre, deux enfants sont morts au Kashmir après avoir reçu le vaccin Pentavalent (5 souches)  portant à 6 le nombre de décès en une semaine et à 8 pour les trois dernières semaines. Selon les rapports parus dans les journaux locaux, les décès auraient été attribués à une réaction allergique au vaccin.

 

Ces décès surviennent dans le sillage d’un communiqué de presse du Ministère de la Santé du 10 octobre qui précise qu’un comité s’est penché sur le problème des 15 décès survenus au Kérala après des vaccinations.

 

Le comité a déclaré que ces décès n’avaient pas été causés par le vaccin, mais qu’il s’agissait de pures coïncidences. Le communiqué de presse a aussi annoncé que le vaccin Pentavalent devait être déployé à l’échelle nationale. Une semaine auparavant, un autre porte-parole du Ministère avait reconnu que 29 décès s’étaient produits dans tout le pays après la vaccination. Aujourd’hui, le nombre des décès se chiffre à 37.

 

Les 29 décès se sont produits après que 82 doses (lakh) aient été administrées (et que 27 enfants aient été immunisés. Ceci correspond à plus d’un décès par 100.000 vaccinés. Il faudrait donc s’attendre à ce que 300 enfants meurent chaque année à la suite du vaccin si toute la cohorte des nouveau-nés était vaccinée. Il faut garder à l’esprit que les effets indésirables font l’objet d’une surveillance passive qui, selon la FDA américaine, n’enregistre seulement qu’un dixième du nombre réel des effets indésirables.

 

Co-morbidité comme cause des décès ?

 

Il a été suggéré que certains décès dans le Kérala s’étaient produits chez des enfants atteints d’une maladie cardiaque sous-jacente. Beaucoup d’enfants qui sont morts au Sri Lanka après avoir reçu le même vaccin avaient eu des problèmes cardiaques similaires. S’ils n’avaient pas été vaccinés, le taux de mortalité aurait évidemment été moins élevé.

 

Ce n’est évidemment pas une proposition pratique. Dans des zones rurales éloignées, les vaccinations sont administrées par des agents de santé qui sont à peine alphabétisés. La détection d’un souffle cardiaque à l’auscultation est une compétence que beaucoup de pédiatres doivent parfaire au fil des années de formation. En l’absence d’une telle formation des vaccinateurs, est-il encore possible de justifier la poursuite du programme de vaccination ?

 

Au Sri Lanka, la vaccination a été arrêtée après cinq décès. Mais sous la pression des organisations internationales, le programme a été relancé. Après cela, il y a eu 12 décès de plus. Le Dr Yogesh Jain qui s’est adressé à la Cour Suprême, pour qu’elle ordonne la supervision d’un tribunal en vue de pouvoir empêcher que de telles pression puissent encore influencer les décisions prises en Inde.

 

Les décès dus au vaccin doivent être considérés dans le contexte de la meilleure étude qui ait été réalisée sur le Hib (Haemophilus influenzae, bactérie type b), l’étude appelée « The Minz Study ». Cette étude suggère que quelque 175 enfants pourraient mourir de la méningite Hib sur une période de cinq ans. Un nombre égal  pourrait aussi  mourir de la pneumonie Hib. Les chiffres de cette grande étude minutieuse effectuée sur une population de 600.000 personnes examinées toutes les deux semaines et qui a duré deux ans, sont clairement gênants. C’est précisément le cas de dire que le traitement (décès dus aux vaccins) est pire que la maladie. C’est très rarement que le gouvernement cite l’étude Minz . Il se base plutôt sur des estimations qui ne sont pas fondées sur des preuves empiriques.

 

Une cellule centrale du Kashmir déclare que le vaccin est sûr

 

Après les huit décès du Kashmir, une équipe sous la direction du Dr N.K. Arora     qui travaille pour l’INCLEN Trust s’est rendue sur place, a visité l’hôpital, ainsi que les maisons des enfants décédés, et a publié un communiqué de presse pour expliquer qu’il n’y avait pas de preuve concluante que les décès étaient dus au vaccin. La septicémie, la pneumonie et la méningite ont été évoquées sans que l’on puisse expliquer comment des enfants qui étaient tout à fait asymptomatiques et assez bien pour recevoir une vaccination préventive pourraient mourir  de septicémie, de pneumonie immédiatement après avoir reçu le vaccin. En d’autres mots, comment un personnel médical pourrait-il administrer le vaccin Pentavalent à des enfants à bout de souffle avec une pneumonie ou en état de choc dû à une septicémie et sur le point de mourir ?

 

Pour être certain que le vaccin est la cause d’une réaction, cette dernière doit se reproduire chez la même personne si on lui administre une deuxième fois le même vaccin. Comme ce type  de vérification est impossible lorsqu’il y a décès, l’équipe d’experts déclare généralement que « la relation causale à la vaccination n’a pu être établie avec certitude. » C’est presque comme si on disait  qu’on ne croirait pas que le vaccin est en cause, à moins que l’enfant ne  ressuscite d’entre les morts pour pouvoir être à nouveau revacciné et vérifier s’il va mourir une seconde fois !

 

Nous devons utiliser les mêmes critères sévères et appliquer les mêmes exigences de preuves dans les cas de Mort Subite et Inexpliquée du Nourrisson (MSIN), comme dans les cas de comorbidité (septicémies et pneumonies préexistantes). Ce sont malheureusement des choses qui ne se font pas.

 

Les colles de l’Académie de Pédiatrie

 

L’Académie Indienne de Pédiatrie (IAP) a récemment tenu une réunion pour se pencher sur les décès et a posé les questions suivantes au Ministère de la Santé :

 

  • Comme le pic d’incidence de la Mort Subite et Inexpliquée du Nourrisson (MSIN) se produit au cours de la première enfance, une relation temporelle étroite entre la MSNI et le vaccin Pentavalent qui se produirait par hasard ne permettrait pas d’attribuer les décès au Kérala au syndrome de la Mort Subite du Nourrisson.

 

  • Les décès attribués à la Mort Subite et Inexpliquée du Nourrisson au Kérala sont cinq fois plus élevés que le taux de mortalité toutes causes confondues (dans l’état). Quelle est l’explication possible de cette poussée de décès qui se sont produits après l’introduction du vaccin Pentavalent ?

 

  • Le pic des décès (MSIN) se produit le troisième mois (ce qui correspond à la seconde dose), mais, il se fait que la majorité des décès furent rapportés après la première dose.

 

  • Les conditions de comorbidité qui auraient pu entraîner la mort après la vaccination n’ont pas été éclaircies.

 

  • On n’a pas expliqué pourquoi le vaccin a été administré aux enfants malades.

 

  • Les maladies cardiaques congénitales sous-jacentes utilisées pour expliquer les décès n’étaient pas suffisamment graves pour entraîner une insuffisance cardiaque et la mort.

 

  • Certains enfants avaient une fièvre élevée et des pleurs excessifs. Certains ont fait des convulsions après la vaccination. Ces convulsions peuvent clairement être attribuées à des effets indésirables de la vaccination.

 

  • Les résultats d’autopsies font apparaître un état de choc et une hypersensibilité – comment ces résultats devraient-ils être interprétés ?  Cela ne signifierait-t-il pas une hypersensibilité au vaccin ?

 

L’IAP (Académie Indienne de Pédiatrie) a discuté du problème avec le Dr Ajay Khera, commissaire adjoint au Ministère de la Santé (Santé Maternelle et Infantile). Ce dernier a été incapable de donner des précisions. Il a dit attendre le rapport final de la commission d’enquête sur les décès.

 

Pourtant, après la réunion, un communiqué de presse IAP  faisait état de l’approbation du vaccin en dépit de toutes ces questions qui n’avaient pas reçu réponse !

 

Si les réponses à ces questions simples ne sont pas connues du Ministre de la Santé, comment, dès lors, est-il possible que l’on puisse pousser le vaccin dans le reste du pays ?

 

Nous devons absolument comprendre que le mandat des services de santé, comme celui des médecins est de protéger la vie des enfants et non de promouvoir des vaccins dont l’utilité et la sécurité sont douteuses.

 

(10.10.20123 – Jacob Puliyel est le chef Du Département de Pédiatrie à l’Hôpital St. Stephens à Delhi. Il est membre du Groupe Technique Consultatif National sur les Problèmes d’Immunisation et a publié de nombreux ouvrages sur les vaccins. Il peut être contacté à l’adresse mail suivante : puliyel@gmail.com)

 

 Source: Samachar.com

 

Voir aussi: le Rapport de Neil Z. Miller sur le lien entre mort subite & vaccins  

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21 octobre 2013 1 21 /10 /octobre /2013 11:22

Initiative Citoyenne a achevé la traduction française intégrale d'un rapport de l'auteur américain Neil Z. Miller au sujet des causes de décès des nourrissons, en ce compris bien sûr l'orgine vaccinale des décès.

 

Il s'agit d'un rapport très important pour les parents d'enfants décédés après des vaccins et  aussi pour tous ceux dont l'enfant décédera (fort malheureusement!) encore dans les prochaines semaines, mois ou années et qui, avec l'augmentation de la circulation des informations, pourront ainsi prendre connaissance de ce triste "pot aux roses".

 

A l'heure actuelle, tout est fait, y compris au niveau des médecins légistes pour que cette origine vaccinale ne puisse même pas être envisagée ou "sélectionnée" dans une liste au moment du décès ou après l'autopsie (c'est simple cette cause ne fait même pas partie de ces listes!). Etrange n'est-ce pas puisque même les documents confidentiels des fabricants de vaccins font état de toute une kyrielle de décès post-vaccinaux dans les heures, jours ou semaines qui suivent.

 

... Et dire encore avec tout ça que des médecins de l'ONE et de Kind & Gezin affirment que les cas graves sont de 1 sur 1 million ou même "mieux" (pire c'est selon) qu'il n'y a pas de complication grave des vaccins!!!!!!! (voir encore ici, un sinistre exemple récent avec une doctoresse de Kind & Gezin)

 

 

 

 

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