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19 août 2013 1 19 /08 /août /2013 20:52

Notre petit ange Brandon a eu le cerveau endommagé par un vaccin 

 

Brandon--1-.JPG

 

Cette vidéo en anglais montre comment la santé du petit Brandon a été détériorée par un vaccin. Depuis, Brandon et sa famille n’ont plus jamais pu connaître une vie normale.

 

Depuis sa naissance, le petit garçon avait toujours été en parfaite santé ; c’était un beau petit garçon.

 

Brandon--2-.JPG

 

Alors qu’il avait 5 mois et demi, il reçut sa deuxième dose du vaccin DTC (Diphtérie,Tétanos, Coqueluche).

 

C’est environ 5 à 6 heures après avoir reçu le vaccin qu’il fit sa première crise d’épilepsie. Il a évidemment dû être hospitalisé. A cette époque nous avions pensé qu’il s’agissait  d’un incident isolé, mais ce ne fut malheureusement pas le cas.

 

En ce mois de janvier 2009, Brandon aura 17 ans et il continue à faire des crises d’épilepsie pratiquement tous les jours.

 

Brandon--3-.JPG

 

Ces quelques photos montrent comment sa santé a pu se détériorer physiquement et mentalement au cours des années à cause du vaccin DTC.

 

Brandon--4-.JPG

 

« On t’aime beaucoup, Brandon. Que Dieu te bénisse, tu es notre ange adoré »

 

http://www.youtube.com/watch?v=BG2fXNg7j88

 

Voir aussi:   "Epilepsie et vaccins : le lien"

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18 août 2013 7 18 /08 /août /2013 23:30

Un bébé de 5 mois meurt peu après avoir reçu 8 vaccins:

Les parents sont accusés de meurtre!

 

Christina England, 17 août 2013

 

Bebe-de-5-mois-decede-apres-8-vaccins-1-.jpg

 

Le bébé « A » est mort peu de temps après avoir reçu plusieurs vaccins. Ses parents sont maintenant accusés de meurtre.

 

Ces parents d’Afrique du Sud sont menacés de prison à vie pour l’assassinat de leur petite fille qui est décédée quelques jours après avoir reçu toute une série de vaccins de routine. Le bébé avait reçu tous ses vaccins à temps. Le 25 septembre 2012, alors qu’elle avait juste cinq mois, ses parents l’ont emmenée à la clinique locale où elle a reçu un total de huit vaccins, puis ont été renvoyés chez eux.

 

La maman du bébé a expliqué à « Vactruth » que les vaccins avaient été administrés d’une manière extrêmement brutale ; l’infirmière semblait comme « poignarder » sauvagement  notre petite fille avec une variété d’aiguilles. Notre petite fille a reçu huit vaccins au total : le Pentaxim (cinq vaccins en un) contre la diphtérie, le tétanos, la coqueluche (acellulaire), l’Haemophilus influenza de type B (Hib),  la polio, le vaccin contre l’hépatite B, le vaccin contre le rotavirus et un vaccin  destiné à protéger les bébés contre le pneumocoque, le Prenevar/Prenvar.

 

La maman  explique, qu’après son calvaire, son bébé était irritable et très perturbé. Le lendemain, pendant plusieurs jours, la petite fille n’a plus pu bouger ses jambes qui étaient gonflées et dures surtout autour du site d’injection. Ce n’était en fait pas la première fois que le bébé souffrait de ce même effet secondaire. Sa maman a expliqué à « Vactruth »  que les jambes du bébé avaient également gonflé et étaient restées gonflées pendant plusieurs semaines après de précédentes vaccinations. Quand les parents ont demandé aux infirmières de la clinique pourquoi les jambes de leur petite fille étaient gonflées, il leur fut répondu que c’était peut-être en raison de la technique utilisée pour la vaccination. Les infirmières ont consigné cette réaction dans le carnet de vaccination de l’enfant et conseillé à la mère de masser les jambes de l’enfant avec une serviette chaude. Quand la petite fille a de nouveau souffert des mêmes effets secondaires après les vaccins administrés le 25 septembre 2012, la maman a de suite eu recours à la serviette chaude pour masser les jambes du bébé et tenter de réduire l’enflure.

 

Pourquoi les médecins ne se sont-ils pas sentis concernés par ce type de réaction ?

 

« Quand elle est devenue bleue, elle a été soumise à une réanimation cardio- pulmonaire »

 

Le 9 octobre 2012, la petite fille nous a paru tout à fait normale ; elle jouait, souriait, mais le lendemain les choses ont pris une toute autre allure. La maman explique :

 

« Quand la petite s’est réveillée elle semblait ne pas se sentir bien et faisait une forte fièvre. Elle semblait s’apaiser quand nous la prenions dans les bras. Ce jour-là, quand j’eus fini de lui donner sa panade, je lui ai tamponné le visage avec une serviette fraîche pour faire baisser la fièvre. A environ 15h30 alors que je venais de terminer de la nourrir, j’ai remis la petite dans les bras de mon mari pour qu’elle puisse faire son rot. A ce moment, mon mari se rendit compte qu’elle essayait de prendre de l’air, et quand j’ai regardé l’enfant, elle s’était effondrée sur l’épaule de mon mari et ne respirait plus. Elle est devenue toute bleue ; c’est alors que nous avons tenté une réanimation cardio-respiratoire (RCP). A peine avions-nous commencé, qu’elle se mit à vomir. Nous avons alors constaté qu’elle ne respirait toujours plus.

 

Nous avons alors décidé de l’emmener d’urgence à l’hôpital le plus proche. Nous n’avons guère eu de chance, car, à la suite de l’intense trafic nous ne sommes arrivés à l’hôpital qu’aux environs de 16 heures. Nous avons conduit l’enfant à l’unité de traumatologie. L’enfant a été emmenée et nous avons dû attendre dans une pièce séparée. Après avoir réussi à la réanimer, les médecins l’ont emmenée aux soins intensifs néonataux pour faire un scanner. Ils ont ensuite précisé qu’il fallait encore faire des radiographies. »

 

Après ce qui leur a semblé être une éternité, un médecin est venu informer les parents inquiets que le cerveau de l’enfant paraissait avoir eu des hémorragies et que l’enfant semblait avoir été secoué, qu’il présentait plusieurs fractures des os longs.

 

Quand les parents ont demandé au médecin ce qui était arrivé à leur fille, ce dernier a répondu brusquement : « Je ne sais pas, je n’étais pas là ; pourquoi ne me racontez-vous pas ce qui s’est passé ? »

 

La maman a raconté à Vactruth que le commentaire de ce médecin lui paraissait  déplacé, insultant et qu’elle ne comprenait pas  ce que ce médecin pouvait bien insinuer. Elle a ajouté :

 

« Nous étions tellement bouleversés. Comment a-t-il pu dire une chose pareille ? Qu’est-ce qu’il a voulu sous-entendre ? Notre bébé était là et nous ne parvenions pas à savoir ce qui s’était passé. »

 

La maman s’est alors adressée au médecin qui s’occupait de l’enfant et lui a dit :

 

«  Vous êtes médecin, vous êtes censé nous aider. Et voilà que tout d’un coup, nous perdons tout ce que nous avions ; toute notre vie s’écroule. Nous ne savons plus faire qu’une seule chose c’est attendre qu’on veuille bien nous expliquer pourquoi notre enfant est ici. Je ne sais pas du tout ce que veut dire ce « syndrome du bébé secoué » ; personne n’a secoué notre petite fille. C’est nous qui étions là. Ce que vous nous avez dit n’est pas une réponse et nous avons besoin d’une réponse. »

 

«  Nous avons décidé de débrancher le respirateur »

 

Bebe-de-5-mois--2-.jpg

 Notre petite fille avant qu’elle ne soit vaccinée

 

Malheureusement, les parents n’ont jamais pu obtenir de réponses à leurs questions.

 

Trois jours plus tard, ils ont remarqué que les mains, les pieds, la tête et les yeux  semblaient gonflés. Inquiets, ils ont demandé aux infirmières ce qui n’allait pas. On leur répondit que le gonflement était dû à un manque d’oxygène au cerveau.

 

La maman précise qu’à cette époque le pédiatre a demandé une biopsie afin de tester le collagène pour la maladie « des os de verre ». Les résultats de ce test ne sont pas connus  parce que les dossiers médicaux de la petite ont, depuis, disparu.

 

Le lendemain, le médecin a suggéré aux parents qu’il était peut-être temps de débrancher le respirateur. Il a expliqué que la petite n’allait pas se réveiller et a demandé aux parents s’ils pouvaient envisager des dons d’organes. Le couple dévasté a refusé pour des motifs religieux. Le cinquième jour, le gonflement s’était encore accentué et six jours après l’admission de l’enfant à l’hôpital, le personnel médical ne parvenait plus à ouvrir les yeux de la petite fille. C’est à ce stade que les parents du bébé ont décidé que leur précieuse petite fille avait assez souffert. La maman explique :

 

« Nous avons décidé de faire débrancher le respirateur pour permettre à notre bébé de reposer en paix. Nous avons eu une réunion avec les infirmières et les médecins. Nous leur avons demandé de débrancher les appareils à 7 heures. Les infirmières nous ont dit qu’il faudrait faire une autopsie. Le pédiatre s’y est opposé alors que les infirmières continuaient d’insister.

 

Le septième jour arriva, c’était le 17 octobre 2012. Dès que nous sommes arrivés ils ont sorti la petite de son lit, nous ont demandé de nous asseoir, nous ont mis notre petite dans les bras et ont débranché le respirateur. Ils ne nous ont même pas accordé cinq minutes pour que nous restions seuls avec elle pour  lui dire au-revoir !

 

 Dans la suite, après son décès, nous sommes restés avec elle dans une salle d’attente avant qu’ils n’emportent le corps. Nous avons encore dû attendre deux ou trois heures, quand finalement ils nous annoncèrent qu’ils attendaient que la police vienne pour prendre le corps et l’emmener à la morgue pour une autopsie. »

 

Des médecins qui blâment les parents pour des dommages dus aux vaccins

 

Carnet-de-vaccinations.jpg

Carnet de vaccinations de la petite fille décédée.

 

Voici encore un cas tragique où des parents sont accusés d’avoir secoué leur bébé après que des vaccins aient possiblement pu entraîner des dommages. Le carnet  de vaccinations montre qu’à l’âge tendre de cinq mois, la petite avait reçu un total de 21 vaccins de routine. Il s’agit d’un nombre énorme de vaccins. Il devient de plus en plus évident que beaucoup de bébés de cet âge ne peuvent tolérer pareilles attaques de toxines, de produits chimiques et de poisons.

 

Il est important de reconnaître que certains parents abusent physiquement de leurs enfants et bien que je comprenne que la chose est inacceptable, il est urgent que les médecins puissent  réaliser que les dommages ne sont pas tous à mettre sur le dos d’abus d’enfants.

 

Au cours des dernières années, il y a eu une augmentation spectaculaire du nombre de parents qui ont été accusés du syndrome du bébé secoué après que la santé d’enfants ait été possiblement endommagée après des vaccins.

 

En 1998, le Dr Viera Scheibner n’a pas hésité à qualifier « d’épidémie » l’augmentation de ces cas. Elle écrivait dans la revue Nexus :

 

« Il y a quelque temps, j’ai commencé à recevoir des demandes d’avocats ou de parents qui souhaitaient avoir des rapports d’expert. Une étude approfondie de l’histoire de ces cas a pu révéler une chose nettement inquiétante et sinistre : dans presque chaque cas, les symptômes apparaissaient peu de temps après que les bébés aient reçu leurs vaccins. » [1]

 

Personnellement, je voudrais aller plus loin que le Dr Scheibner, et dire que cette épidémie est devenue une « pandémie du syndrome du bébé secoué ».

 

Le carnet de vaccinations de la petite fille stipule que le 25 septembre, elle a reçu le Prevanar, un vaccin qui est connu pour causer des réactions indésirables graves, y compris des convulsions, des difficultés respiratoires, le gonflement du visage, des mains et des pieds, ainsi que la mort.  [2]

 

Serait-il possible que le gonflement des mains, des pieds de la tête et des yeux soit une preuve que la petite souffrait d’effets secondaires des vaccins ?

 

Encore plus de décès dus à ce dangereux vaccin 

 

Beaucoup diront que ce gonflement s’est produit deux semaines après que le vaccin ait été administré, mais je voudrais contre argumenter en précisant qu’il n’y a pas de délai fixe pour qu’une réaction indésirable se produise. Les jambes du bébé avaient gonflé après qu’il ait reçu ses premiers vaccins et étaient restées gonflées pendant plusieurs semaines.

 

Selon l’Agence Reuters, en 2009, les autorités néerlandaises ont interdit le vaccin Prevenar après que trois enfants soient morts dans les deux semaines qui ont suivi l’administration du vaccin. Ce fut dans le même laps de temps après l’administration du vaccin que la petite fille est décédée.

 

Un porte-parole de l’Institut néerlandais de Santé RIVM a déclaré :

 

« Environ cinq à dix décès en moyenne sont signalés après que des bébés aient reçu des vaccins. Maintenant, nous avons trois cas au cours d’une courte période. La chose est inhabituelle et c’est la raison  pour laquelle l’administration de ce lot a été suspendue.» [3]

 

Les décès aux Pays-Bas ne sont  pas les seuls décès qui aient été rapportés.

 

En 2000, Michael Horwin, MA,  a signalé qu’au cours des essais cliniques du vaccin Prevenar dont il s’occupait, douze enfants sont morts.

 

Dans la partie 3 de son article intitulé : Prevnar : examen critique d’un nouveau vaccin pour  les enfants, Horwin écrivait :

 

« En outre, la notice nous dit que, «  Douze décès (5 Morts Subites du Nourrisson et 7 d’une autre cause précise) se sont produits chez des sujets qui ont reçu le Prevnar. «  Ce nombre est inférieur aux 21 décès (8 Morts Subites du Nourrisson, 12 autres causes précisées et un décès  chez un enfant plus âgé à la suite d’un problème  ressemblant à une Mort Subite du Nourrisson) qui se sont produits dans le groupe de contrôle. Toutefois, les deux groupes (Prevnar et le contrôle) ont reçu une certaine forme de vaccin expérimental. Par conséquent, tout ce que nous savons, c’est que 33 enfants sont morts et qu’au moins 13 sont décédés de la Mort Subite du Nourrisson (SMSN). » [4] (Souligné par l’auteur de l’article)

 

Ce document a aussi révélé que plusieurs médecins impliqués dans les essais cliniques ont déclaré avoir eu des conflits d’intérêts. Si cela est vrai, alors l’efficacité de ce vaccin  était douteuse avant qu’il n’ait été approuvé. Cela a été confirmé par le site « Prévention de la grippe et traitements  - Naturellement »  qui a déclaré lors d’une enquête auprès du Système VAERS (Organisme officiel Américain qui enregistre les effets secondaires des vaccins) que 28.317 effets secondaires avaient été rapportés depuis que le vaccin avait été approuvé en 2000. Ces effets secondaires comprenaient :

 

  • 558 morts
  • 555 maladies potentiellement mortelles
  • 238 invalidités permanentes
  • 2.584 hospitalisations
  • 101 hospitalisations prolongées
  • 8.166 recours aux urgences
  • 16.155 pas très graves   [5]

 

Conclusion

 

Comme dans beaucoup de ces cas, la petite fille n’a pas reçu qu’un seul vaccin. Il est donc difficile de déterminer exactement quel vaccin, le cas échéant, peut l’avoir conduite à la mort. Il est cependant essentiel que les médecins impliqués dans cette affaire comme dans tous les autres cas puissent envisager que les vaccins puissent être un facteur contributif possible.

 

Malheureusement, ces parents ont été accusés et inculpés de meurtre de leur petite fille sans qu’il y ait de preuves substantielles. Il semble même n’y avoir aucun signe de blessures externes à la tête ou d’ecchymoses sur la partie supérieure du corps qui indiqueraient que le bébé ait été secoué.

 

Je crois que si le bébé avait été secoué il y aurait des preuves de blessures, soit sur le dos, soit sur le cou parce qu’un bébé de cinq mois n’a pas encore un plein contrôle des muscles qui soutiennent la tête.

 

Tous les vaccins et tous les médicaments comportent un risque d’effets secondaires. Après avoir reçu 21 vaccins, il est hautement probable que la petite fille soit morte d’un empoisonnement dû à des produits toxiques. Si c’est le cas, sa mort a été causée, non pas par ses parents, mais par le grand nombre de vaccins approuvés par le gouvernement et par le fait que l’hôpital n’a pas reconnu la possibilité que cette petite fille ait pu souffrir d’une mauvaise réaction à la vaccination.

 

Note de l’éditeur : Les noms ont été modifiés pour des raisons juridiques.

 

Références

 

1. http://www.nexusmagazine.com/index.php?option=com_virtuemart…

2. www.medsafe.govt.nz/consumers/cmi/p/prevenar.pdf‎

3. http://uk.reuters.com/article/2009/11/05/dutch-deaths…

4. http://nvkp.nl/informatie/nieuws/nieuws-item…

5. http://www.flu-treatments.com/prevnar-vaccine.html

 

Source: Vactruth 

 

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14 août 2013 3 14 /08 /août /2013 21:54

Un pédiatre déclare que le vaccin pentavalent promu par Bill Gates, le GAVI et l’OMS est susceptible de tuer 3125 bébés.

 

Seringue-rouge.jpg

 

Par Aaron Dikes et Melissa Melton, 30 juillet 2013

 

(Truthstream Media.com)

 

Si le but des vaccins est de « sauver les enfants », pourquoi administrer un vaccin pour lequel les statistiques montrent qu’il NUIRA plus aux enfants qu’il ne les AIDERA ?

 

Au moins 70 enfants répartis sur cinq pays en voie de développement sont morts peu de temps après avoir reçu le vaccin pentavalent (5 en un : diphtérie, tétanos, coqueluche, hépatite B et Hib) promu par l’Organisation Mondiale de la Santé et  le GAVI.

 

Selon un éditorial publié récemment dans le Journal d’Ethique Médicale (The Indian Journal of Medical Ethics IJME), par le Chef Pédiatre, le Dr Jacob Puliyel de l’hôpital St. Stevens de Delhi, on pourrait s’attendre à ce que des milliers d’autres bébés puissent mourir. Ces décès pouvant être considérés comme effet collatéral négligeable d’une campagne destinée à arrêter la maladie.

 

Le Bureau « Justice Médicale et Scientifique » a rapporté :

 

« Dans un éditorial percutant, le Journal Indien d’Ethique Médicale (IJME) a accusé l’OMS de promouvoir le vaccin Pentavalent «  en déclarant faussement qu’aucun effet indésirable (AEFI) n’a jamais été rapporté à la suite de l’administration de ce vaccin ».  Le Journal précise que ceci est contraire aux faits.

 

L’éditorial de l’IJME rédigé par le Dr Jacob Puliyel, chef du service de pédiatrie à l’hôpital St Stevens à New Delhi est basé sur une enquête approfondie qu’il a réalisée sur les décès d’enfants au Bhoutan, au Sri Lanka, en Inde et au Vietnam suite à l’utilisation du vaccin pentavalent.

 

L’éditorial de l’IJME signale que le 4 mai 2013, le Ministre de la Santé du Vietnam a suspendu le vaccin Quinvaxem – le vaccin pentavalent utilisé dans ce pays – après qu’il y ait eu 12 morts et 9 autres effets secondaires graves. Selon les médias locaux, tous les bébés qui sont décédés étaient en bonne santé avant la vaccination et ont souffert de graves troubles respiratoires avant de mourir peu de temps après.

 

Ce vaccin – qui n’est pas approuvé pour utilisation, même par la Food and Drug Administration Américaine (FDA - qui semble approuver pratiquement tout, soyons honnêtes) – a été particulièrement poussé dans les pays en voie de développement. C’est à plusieurs reprises que des décès de nourrissons ont été liés à l’utilisation du vaccin pentavalent. Le Bhutan, le Sri Lanka, le Pakistan et le Vietnam ont déjà interdit ce vaccin. Le Bhutan l’a interdit après le décès de quatre bébés, mais l’aurait apparemment rétabli suite aux exhortations de l’OMS, puis l’a, à nouveau interdit après la mort de quatre nouveaux bébés.

 

Bien que toutes les preuves  indiquent que le vaccin pentavalent est à tout le moins, dangereux, le GAVI fondé par Bill Gates (anciennement l’Alliance Mondiale pour les Vaccins et l’Immunisation) envisage de vacciner plus d’enfants encore avec ce même vaccin !

 

« A la fin de 2013 et avec le soutien de GAVI, on aura, avec ce vaccin pentavalent, vacciné comme projeté 200 millions d’enfants dans 72 pays en voie de développement…. Dès février 2013, un total de 550 millions de doses avaient été expédiées. Suite à sa réunion de consultation de Juin 2011, GAVI s’est maintenant engagé à immuniser 224 millions d’enfants de plus avec le vaccin pentavalent d’ici 2015. »

 

Comme l’a déclaré le Dr Puliyel dans son éditorial en demandant que l’Inde protège ses propres enfants de ce vaccin, « banaliser tous ces décès comme étant accidentels ou dus au syndrome de la mort subite du nourrisson (MSN) revient à occulter la réalité de la situation. »

 

Ayant examiné les chiffres dans leurs moindres détails, le Dr Puliyel a déclaré qu’administrer ce vaccin aux enfants indiens n’avait aucun sens logique du point de vue des soins de santé parce qu’ « Il est évident que, le fait de vouloir sauver 350 vies (de la maladie Hib), pourrait entraîner la mort de 3.125 enfants suite aux effets secondaires du vaccin ».

 

Le Dr Puliyel qui avait précédemment étudié les données du projet de la surveillance de la poliomyélite en Inde a tiré le signal d’alarme quand plus de 47.500 cas de paralysies non polio ont été liés aux campagnes de vaccinations de l’OMS et du GAVI dans le pays. Bien qu’il ait été souligné que le poliovirus provoque rarement des symptômes chez la plupart des personnes qui possèdent un système immunitaire sain, Bill Gates croit que vacciner le monde est, selon ses propres termes, « faire œuvre de Dieu. »

 

Bien que ni l’OMS, ni GAVI (ni Gates d’ailleurs) ne pourront probablement jamais admettre que le vaccin pentavalent est derrière tous ces décès d’enfants, le seul hasard ne peut expliquer pourquoi tant de bébés en bonne santé dans de nombreux pays et qui ont reçu ce type de vaccin ont fait des fièvres, ont fait des crises de pleurs, des convulsions et puis sont morts.

 

Références /sources :

 

http://www.activistpost.com/2013/07/pediatrician-says-5-in-1-vaccine-pushed.html

 

http://healthimpactnews.com/2013/pediatrician-predicts-bill-gates-and-the-who-will-kill-3125-babies-with-their-5-in-1-vaccine/

 

http://therefusers.com/refusers-newsroom/pediatrician-predicts-bill-gates-and-the-who-will-kill-3125-babies-with-their-5-in-1-vaccine/

 

http://familysurvivalprotocol.com/2013/08/01/if-the-whole-purpose-of-vaccines-is-to-save-children-why-give-a-shot-that-statistics-indicate-will-harm-more-kids-than-it-will-help/

 

http://vaccineliberationarmy.com/2013/08/13/indian-journal-of-medical-ethics-ijme-who-backed-vaccine-programs-in-india-developing-nations/

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14 août 2013 3 14 /08 /août /2013 14:45

VACCINS :

Des patients qui agissent en vrais consommateurs

 

Qu’arriverait-il si les vaccins étaient vendus comme des voitures ? Au lieu de vous les voir fourguer, qu’en serait-il si vous aviez un choix réel, avec une véritable documentation, des informations complètes et des produits compétitifs ? Maintenant qu’un nombre de plus en plus grand de personnes se comportent comme d’authentiques consommateurs et n’hésitent pas à poser maintes questions, l’OMS, L’UNICEF prennent des mesures pour contrer ce mouvement et certains projets sont carrément effrayants.

 

Voiture-a-vendre.jpg

     Voiture à vendre, Piwo Jasne

 

Comment agiriez-vous si vous aviez décidé d’acheter une nouvelle voiture ? Vous iriez sans aucun doute visiter des salles d’exposition de voitures, vous discuteriez avec les vendeurs, vous rassembleriez un maximum de littérature, vous visiteriez encore d’autres salles d’exposition, vous effectueriez une recherche sur internet, vous parleriez de votre projet à vos amis qui ont acheté une nouvelle voiture, vous échangeriez vos idées avec vos connaissances, vous interpelleriez des mécaniciens, vous souhaiteriez savoir si des gens ont eu des problèmes avec telle ou telle marque. Vous ne manqueriez surtout pas de vous renseigner sur les performances des voitures, les caractéristiques de sécurité et vous vous inquièteriez de savoir si la propagande, la littérature distribuées correspondent vraiment aux caractéristiques annoncées.

 

Les vendeurs de voitures comprennent les démarches de leurs clients et tiennent compte de leurs souhaits. Ils savent qu’il s’agit du comportement type de l’acheteur.

 

Les consommateurs sont exigeants, pointilleux ; ils essaient d’avoir le meilleur rapport qualité-prix. Ils ont chacun leurs goûts, leurs choix individuels qu’ils entendent voir respectés. Les fabricants répondent à leurs demandes en fabriquant  des voitures de qualité qui sont meilleures que celles de leurs concurrents. Ils prennent grand soin à la fois des performances de leur voiture comme des aspects sécurité qui doivent être au-dessus de tout reproche.

 

Mais que se passerait-il si les constructeurs automobiles s’arrangeaient pour former une seule association, un énorme lobby politique qui supprimerait toute concurrence ? Que se passerait-il si tous les vendeurs de voitures étaient formés par la même institution ? Que se passerait-il si les fabricants de voitures décidaient de ce que les vendeurs pouvaient lire et comprendre ? Que se passerait-il si les revendeurs pouvaient, sans problème, être révoqués s’ils ne parlaient pas le même langage ? Que se passerait-il s’il existait des lois pour les protéger de toute poursuite judiciaire ?

 

Vous savez ce qui se passerait, n’est-ce pas ? Vous savez que vous auriez affaire à un cartel ; un cartel qui prendrait les décisions et vous les imposerait. Vous finiriez par avoir des produits que vous ne voulez pas ; des produits qui ne seraient pas nécessairement performants et sûrs, qui ne seraient pas nécessairement garantis parce que tout simplement ça n’aurait pas grande importance.

 

L’ensemble du marché pharmaceutique est un tel cartel – et plus encore l’industrie du vaccin.

 

Le mouvement qui se forme contre les vaccins et soutenu tant par les victimes que par des médecins clairvoyants, est basé sur le modèle de comportement des bons consommateurs. Les gens comparent maintenant les produits, lisent les notices, prennent des informations sur internet, sur des forums de discussion et des médias sociaux ; ils parlent aux parents dont les enfants ou eux-mêmes ont connu des effets secondaires de vaccins ; ils lisent des livres qui leur donnent un aperçu de ce qui existe au-delà de la publicité.

 

L’OMS et l’UNICEF ne sont pas très heureux de pareille attitude

 

Dans deux documents publiés récemment, ces deux institutions qui, selon l’endoctrinement que nous avons reçu, auraient à cœur nos meilleurs intérêts, ont réagi assez fortement. Ils ont peut-être été contraints d’agir de la sorte par leurs bailleurs de fonds, des philanthropes ou des institutions qui excellent dans l’art de la philanthropie corporatiste. L’argent qu’ils reçoivent est rarement utilisé pour des programmes qui sont rarement au service direct du public. Il vous est loisible de vous documenter sur Bill Gates et George Soros, si vous ne l’avez déjà fait.

 

Afin de maintenir la fraternité médicale sous contrôle, ainsi que pour laisser la part belle à tous ceux qui ne font pas de vagues et obéissent au doigt et à l’œil pour les faveurs dont ils ont fait l’objet, l’OMS a élaboré un document intitulé « Evaluation de la causalité d’un événement indésirable faisant suite à une immunisation (AEFI) ».

 

Il s’agit de la classification révisée par l’OMS en fonction de la manière dont des produits récents comme le vaccin antipoliomyélitique oral (OPV), le vaccin pentavalent, le vaccin contre le rotavirus et les vaccins contre le HPV se sont comportés sur le marché.

 

Comme l’ont souligné des médecins en Inde, plusieurs pays ont suspendu  le vaccin pentavalent à la suite des décès survenus.

 

L’OMS n’a guère apprécié pareille attitude qui allait à l’encontre de sa politique d’imposition. Ils ont répondu en reclassant la façon dont les médecins doivent signaler les effets indésirables.

 

Précédemment, les médecins avaient davantage de choix, mais l’OMS les a réduits à deux. : soit « dû au vaccin », soit « pas dû au vaccin ». Après que le Dr Wakefield ait fait l’objet d’une véritable chasse aux sorcières, de moins en moins de médecins ont le courage d’associer quelque effet secondaire que ce soit à n’importe quel vaccin. C’est ainsi que les vaccins sont devenus sûrs étant donné que leurs effets secondaires n’ont pas été enregistrés comme directement liés aux vaccins.

 

Malheureusement, quelques moutons noirs n’ont pas apprécié la manière dont la question  a été traitée. Ils ont continué à souligner que les vaccins tuaient leurs enfants, étant donné qu’aucune autre cause ne pouvait expliquer les décès, et alors que les enfants étaient en parfaite santé juste avant la vaccination. Ces personnes ont également suggéré que les vaccins provoquaient des réactions allergiques et que la Mort Subite du Nourrisson (MSN) ne constituait nullement une explication adéquate parce que la Mort Subite du Nourrisson est un classement auquel on a recours quand il n’existe aucun facteur déclenchant connu. Or, dans le cas du vaccin pentavalent, il existait bel et bien un facteur possiblement déclenchant : le vaccin lui-même.

 

Au lieu de tester le vaccin sur des animaux de laboratoire pour vérifier s’il y avait possibilité de réactions allergiques, l’OMS s’est contentée d’étudier les contenus et de simplement répéter que le vaccin était sûr. L’OMS a également demandé l’approbation des associations financées par l’industrie du vaccin qui ont déclaré avoir utilisé ce vaccin sans effets secondaires, et que les décès survenus étaient des Morts Subites du Nourrisson. (MSN). Il ne semblait guère leur importer que le taux de mortalité après le vaccin pentavalent était plus élevé que le taux maximum de mortalité infantile attendu dans l’état.

 

L’OMS a réalisé qu’il lui fallait réagir avec la plus grande fermeté pour pouvoir empêcher l’écroulement de l’empire. Les médecins rebelles ont fait remarquer que la révision de la classification risquerait bien d’aboutir au fait qu’aucun vaccin ne risquerait désormais de présenter quelque effet secondaire.

 

Le Dr Paul King qui a étudié et travaillé à fond le document a suggéré une classification qui a choqué tout l’establishment  non parce qu’elle est invraisemblable, mais parce que c’est la bonne manière de reclasser un événement indésirable !

 

La classification du Dr King propose les choix suivants :

 

  • Causé par
  • Probablement causé par
  • Peut-être causé par
  • Inclassable à l’heure actuelle en raison du manque d’information critique.
  • Peut-être pas causé par
  • Probablement pas causé par
  • Prouvé que ce n’est pas causé par

 

Le dernier choix ne pouvant être fait qu’après une autopsie et après que toutes les autres possibilités aient été écartées par une équipe d’enquête impartiale.

 

Le Dr King écrit :

 

"En général, le fait de qualifier de « Mort Subite du Nourrisson », la mort d’un enfant suivant de près une vaccination est inapproprié en l’absence d’une autopsie complète et détaillée qui exclut toute inflammation du cerveau, du tronc cérébral ou du système cardiovasculaire, ainsi que toute aberration hors contrôle du système immunitaire. Ainsi, dans de nombreux cas, l’étiquette « Mort Subite du Nourrisson » (MSN) est utilisée à tort pour camoufler « un décès par vaccination », tout spécialement quand la fièvre est élevée, qu’il y a des pleurs incessantes, des convulsions, une rigidité ou flaccidité corporelle qui est observée après la vaccination."

 

Il reste à voir comment l’OMS répondra à ces suggestions. Comme on a pu s’en rendre compte dans le passé, cette auguste institution forge elle-même ses propres règles et ne tient pas compte des voix de sagesse.

 

L’UNICEF, réagissant au tollé public par rapport aux réactions aux vaccins et au mépris absolu de tous les appels à un système transparent et juste d’évaluation, a produit un document intitulé « Surveillance des Mouvements Anti-vaccins dans  les Réseaux Sociaux de l’Europe de l’Est ».

 

Ce document révèle l’évidence : aujourd’hui, les parents sont à la recherche de sources alternatives d’information et sont méfiants par rapport  aux documents officiels et aux assurances données que les vaccins sont sûrs et efficaces.

 

En d’autres mots, les parents commencent maintenant à agir comme de véritables consommateurs et plus comme des moutons comme ce fut le cas dans le passé. Il y a eu une réelle prise de conscience qui n’est pas prête de s’éteindre.

 

Une menace subtile est cependant enchâssée dans ce document. En faisant des recherches sur des personnes et des groupes publiant sur internet,  des chercheurs pourraient effectivement identifier les personnes, les lieux, les ordinateurs à partir desquels l’information est diffusée. Cependant, liée par l’éthique, l’Organisation déclare qu’elle n’a pas eu recours à cette information. Le message est clair : Nous pouvons vous avoir quand nous voulons.

 

Cet article se termine  en précisant qu’il s’agit essentiellement de théories conspirationnistes, de complots et de conflits d’intérêts. Il reconnaît également qu’il existe des « influenceurs » qui  ont une emprise considérable sur ceux qui cherchent de l’information. Dans certains chapitres, le document cote textuellement des phrases que les militants pourront identifier comme étant les leurs. Ces citations proviennent de personnes  qui expriment leurs préoccupations par rapport aux effets néfastes, aux troubles du développement, aux produits chimiques, aux toxines, aux produits contaminants, ainsi qu’aux valeurs religieuses et éthiques.

 

Le document recommande également l’utilisation de puissants moteurs de recherche pour détecter les « influenceurs », les groupes et leurs idées. Ces moteurs de recherche devraient également être améliorés pour que les personnes qui recherchent de l’information tombent en tout premier lieu sur les thèses officielles. Ce document préconise également que l’on fasse jouer l’attrait émotionnel pour les « membres de la sphère individuelle »  Il divise le public en trois catégories : « base »,  « intense » et « vigilant ». Il reconnaît que les deux premières catégories ont déjà fait leur choix. La catégorie « vigilants » est composée d’indécis qui devraient être ciblés par du personnel formé par des experts en communication.

 

Il est très intéressant de noter que l’UNICEF souhaite tirer avantage de son image de marque.  Ce qu’elle veut, c’est aider les personnes à poser de bonnes questions en fournissant des informations-clés. ..

 

Le public devrait maintenant être au courant de ce que font ces gens.  La technologie, l’argent, le pouvoir, les puissances institutionnelles, le pouvoir de l’endoctrinement, la division par l’information, le blocage de certains aspects, le pouvoir d’intimider et de menacer, le pouvoir de mentir avec des allures officielles qui en imposent : autant de moyens et d’outils grâce auxquels le dogme de la vaccination doit être promu.

 

Que le consommateur prenne garde et se renseigne !

 

Source: Gaia Health

 

« Il n’est tout simplement plus possible de croire une grande partie de la recherche clinique publiée, de se fier au jugement des médecins de confiance, ou à des directives médicales faisant autorité. Ca ne m’amuse pas d’en arriver à pareilles conclusions, mais j’ai dû y arriver lentement et à contre cœur pendant les vingt années que j’ai travaillé comme éditrice du New England Journal of Medicine. »  Dr Marcia ANGELL, MD

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8 août 2013 4 08 /08 /août /2013 22:58

Une vidéo des parents du petit Nello d'Annecy (France) qui lancent une bouteille à la mer.

 

Beaucoup de parents ne savent toujours rien de ces drames individuels devenus finalement tellement nombreux qu'ils sont devenus une véritable tragédie collective.

 

Merci à ces parents d'avoir pris la peine d'informer d'autres parents. Et souhaitons que d'autres victimes et parents de victimes adoptent la même démarche proactive et constructive:

 

 

A comparer avec les propos tout à fait indécents de l'"expert" américain Dr Paul Offit qui osait encore affirmer cette année que "les vaccins sont la chose la plus sûre que nous puissions mettre dans nos organismes " !!!
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31 juillet 2013 3 31 /07 /juillet /2013 22:10

HCSP.jpg

Comme on pouvait s'y attendre, le Haut Conseil de Santé Publique français a rendu un rapport aux conclusions connues d'avance à la Direction Générale de la Santé sur la question des vaccins à base d'aluminium.

 

Les conclusions sont de type émotionnel et basées sur la peur (imaginez les conséquences possibles si la couverture vaccinale diminue!) plus que sur une analyse objective et courageuse des risques avérés, et qui oserait ainsi tenir aussi compte de leur sous-estimation évidente.

 

Les médias, peu courageux eux aussi, relaient donc un message biaisé, une fois encore.

 

"Mieux vaut des vaccins contenant de l'aluminium... que pas de vaccin" titre Le Point. Evidemment, il s'agit là d'une affirmation qui n'a rien de scientifique.

 

L'article du Point qui relaie en fait benoîtement l'avis du HCSP est truffé de contre-vérités et simplismes vraiment très (trop) grossiers:

 

- Il mentionne que la controverse sur l'aluminium n'aurait finalement vraiment émergé qu'en France alors que la toxicité de cette substance a été mise en lumière sur base d'études inernationales publiées depuis des décennies par des chercheurs de différents pays du monde.

 

- L'article évoque la balance bénéfices/risques des vaccins, alors que celle-ci, compte tenu du caractère expérimental propre à TOUS les vaccins, n'a en réalité jamais été établie pour AUCUN des vaccins actuellement disponibles sur le marché ou qui l'ont un jour été!

 

VACCIN-17.jpg

- L'article précise qu'aucun lien de causalité n'a été formellement établi entre la lésion de myofasciite et les symptômes associés. Mais dans ce cas-là, on peut faire une croix sur beaucoup de causalités pourtant déjà établies par la médecine officielle sur base du même genre d'association. Le problème ici, c'est qu'on touche au dogme des vaccins et qu'il est par définition intouchable. Mais quand on a éliminé toutes les autres causes possibles, qu'on a épluché les études sur les propriétés connues de l'aluminium, qu'on constate la chronologie des symptômes en post-vaccination, qu'on constate une lésion et une migration notamment cérébrale de l'aluminium vaccinal, il faut vraiment être intellectuellement peu honnête pour nier le bienfondé du lien de causalité à établir dans le cas d'espèce.

 

- L'article ne détaille pas la question des différents modes d'administration: ingestion (voie orale), injection (voie sous-cutanée ou au contraire intra-musculaire). Or cette question est pourtant fondamentale lorsqu'il s'agit d'examiner objectivement la toxicité d'une substance. En effet, le filtre digestif apporte une sécurité par rapport à l'absence de filtre protecteur, comme cela est le cas avec le larguage par surprise de l'aluminium par voie injectable. La voie intra-musculaire est quant à elle encore plus péjorative que la voie sous-cutanée vu qu'elle enferme et enfonce encore plus profondément l'aluminium dans l'organisme, sans que la Nature ait par ailleurs jamais prévu une telle offense.

 

- L'article pointe que la majorité de cas diagnostiqués (ne parlons pas de la partie émergée et majoritaire de l'iceberg bien sûr) l'a été par une même équipe avec un taux de détection nettement moins par d'autres équipes. La raison principale est que les autres équipes n'avaient pas réalisé de biopsies au lieu exact d'injection (deltoïde) mais dans la cuisse ou ailleurs. Par conséquent, il est logique que le taux de détection ait pu être moindre. Et puis, même si cette maladie peut être ancienne au niveau de ses symptômes, les moyens de sa détection ne sont pas si vieux que ça. Standardiser des approches diagnostiques peut prendre du temps à l'échelon international.

 

- L'article relaie aussi une ineptie de plus de la part du HCSP: celui-ci prétend en effet que ces symptômes n'ont pas été décrits chez les nourrissons qui sont pourtant le public le plus exposé au niveau du nombre et de la fréquence des vaccinations, à base d'aluminium notamment. A cela, il y a deux remarques logiques et limpides à faire: la première, c'est que les nourrissons sont incapables de verbaliser les malaises et les symptômes qu'ils peuvent présenter. Par conséquent, des douleurs articulaires ou musculaires chez des nourrissons peuvent rester purement et simplement indécelables par les médecins, ce genre de problèmes pouvant ne se traduire que par des pleurs, des modifications d'appétit, du sommeil, autant de symptômes secondaires qui ne permettront donc pas forcément de remonter aux symptômes primaires plus spécifiques au terme d'investigations diagnostiques plus poussées. Idem pour l'altération parfois subtile du développement neurologique des enfants due à l'aluminium neurotoxique des vaccins puisque ces effets pourront par exemple ne se remarquer vraiment qu'au fur et à mesure du développement neuro-cognitif des enfants concernés. La deuxième remarque à faire à ce niveau, c'est  qu'il y a aussi un phénomène de bioaccumulation des métaux: le corps a une certaine capacité de supporter les poisons, à la manière d'un vase qui se remplit, jusqu'au jour où... le vase déborde! Avec les vaccins, c'est aussi souvent ce qui peut se passer, et donc il n'est pas du tout impossible que ce phénomène soit aussi à l'oeuvre ici: un risque possiblement plus grand chez les adultes du fait d'une accumulation de vaccins à base d'aluminium qui accroît statistiquement et quantitativement ce risque au cours de la vie.

 

On le voit: tout est fait pour blanchir l'aluminium et ne pas remettre la sombre politique vaccinale en cause. Dans le même temps, il s'agit d'essayer de faire "bonne figure" en préconisant officiellement d'autres recherches sur les adjuvants, d'éviter si possible le recours aux adjuvants pour les futurs vaccins pandémiques dont on parle décidément de plus en plus etc etc. La priorité n'est pas la sécurité publique mais la poursuite des relations amicales avec les pharmas, la poursuite aussi du suivisme docile par rapport aux diktats internationaux (OMS et cie), tout en minimisant aussi le risque juridique de procès en masse pour mise en danger des patients depuis des décennies avec ce genre d'imprudence caractérisée.

 

Lire ici la réplique de l'Association E3M aux affirmations gratuites du HCSP

 

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26 juillet 2013 5 26 /07 /juillet /2013 23:22

La levure des vaccins liée aux maladies auto-immunes ?

 

La levure est associée à toutes sortes d’éléments de la vie quotidienne comme le pain et la bière. Alors pourquoi devrions-nous nous inquiéter de sa présence dans un grand nombre de vaccins ? Une nouvelle étude révèle que l’injection de levure pourrait être la cause de l’épidémie de maladies auto-immunes qui dévaste la vie de millions de personnes.

 

Seringue-Yeast.jpg

 

Par Heidi Stevenson

 

Il est bien connu que les maladies auto-immunes ont pris d’énormes proportions. Une nouvelle étude fait ressortir un facteur important qui pourrait en expliquer une des causes, et qui s’avérerait être la simple levure utilisée par les boulangers et les brasseurs, Saccharomyces cerevisiae [1]. Cette levure se retrouve dans plusieurs vaccins, y compris le vaccin contre l’hépatite B qui, aux Etats-Unis, est administré à presque tous les nouveau-nés qui ont à peine un jour.

 

La partie spécifique de S.cerevisiae [1] qui est préoccupante est le « mannane » (polysaccharide de la paroi cellulaire) des levures, ainsi que les glycoprotéines de mammifères. Ces glycoprotéines se trouvent dans les parois cellulaires, les tissus conjonctifs comme le collagène, les sécrétions muqueuses gastro-intestinales et le plasma sanguin. Elles remplissent de nombreuses fonctions. Il est évident que si le système immunitaire commence à attaquer le mannane, les effets peuvent être désastreux. Cela semble bien être le cas dans de nombreuses maladies-auto-immunes.

 

Ces maladies apparaissent quand le propre système de défense du corps se retourne contre lui-même, ce qui entraîne des maladies dévastatrices comme l’arthrite rhumatoïde, la maladie de Crohn, des maladies intestinales inflammatoires, le lupus érythémateux disséminé, la sclérose en plaques, le diabète mellitus de type 1, le syndrome des anti-phospholipides et même des maladies cardiaques.

 

Les Centres Américains de Contrôle des Maladies (CDC) n’ont aucun doute quant à l’augmentation des maladies auto-immunes [2] Le NIH (L’Institut National Américain de Santé) a produit un excellent document décrivant la manière de les traiter. Le « plan de recherches sur les maladies auto-immunes » [3] décrit la manière d’aborder ces maladies ; décrivant même le type de recherches qu’ils appuient. Mais, nulle part dans ce document, on ne peut trouver la moindre indication que les vaccinations pourraient être envisagées comme des causes potentielles.

 

Evidemment on ne trouve que ce que l’on veut bien chercher. Il est clair que le CDC ne favorise guère une véritable enquête en vue de trouver les causes des maladies auto-immunes. Ils seraient prêts à envisager tout et n’importe quoi… à l’exception de l’éléphant planté en plein milieu de la pièce et qui s’appelle : vaccination.

 

Comme c’est le cas pour l’autisme, on continue d’ignorer complètement l’absurdité qui consiste à mettre en cause les gènes pour les nouvelles maladies non infectieuses.

 

Comment la levure peut-elle provoquer d’aussi terribles maladies ?

 

On utilise, bien sûr, la levure pour faire lever le pain ou produire l’alcool de la bière.

 

Alors, comment peut-elle brusquement se transformer en ennemi ? La réponse à cette question réside essentiellement dans la manière dont elle pénètre dans l’organisme (court-circuitant les premières barrières de défense de l’organisme : peau, muqueuses etc.) et ce qui entre avec elle. Le but d’un vaccin est de créer une « tempête » localisée dans le système immunitaire de sorte qu’il réponde à une substance co-injectée qui peut être un microbe affaibli ou une partie de microbe pour que des anticorps puissent être créés et  dirigés contre lui.

 

C’est la substance irritante qu’on appelle adjuvant qui provoque la « tempête » dans le système immunitaire. C’est le microbe que l’on appelle antigène. Le hic, c’est que d’autres substances injectées avec l’antigène et l’adjuvant peuvent aussi être perçues par le corps comme étant des antigènes. Si jamais l’une de ces substances ressemble à celles qui existent naturellement dans l’organisme, alors le système immunitaire peut créer des anticorps  contre certaines parties de son propre corps, créant ainsi une maladie auto-immune.

 

Des parties de mannane  de la levure sont semblables, voire identiques à certains éléments du corps humain. C’est ainsi que S.cervisiae, autrement dit la levure utilisée dans les vaccins, possède le potentiel de provoquer des maladies auto-immunes. En fait, C.cerevisiae est utilisée de différentes manières dans les vaccins. Il s’agit en fait d’un puissant adjuvant quand il est utilisé seul. [4] En plus de cela, on utilise la manipulation génétique pour créer des anticorps artificiels [4], donc, S.cerevisiae est utilisé de plus en plus fréquemment dans les vaccins.

 

Les auto-anticorps de S.cerevisiae

 

Les chercheurs qui se sont penchés sur les aspects auto-immuns de S.cerevisiae (levure) ont trouvé des corrélations significatives  entre le mannane de la levure et  les antigènes connus dans différentes maladies auto-immunes. Dans certains cas, les chercheurs ont trouvé des correspondances proches et parfois exactes avec les différentes séquences génétiques.

 

La correspondance parfaite avec une molécule peut ne pas être nécessaire pour provoquer une réponse auto-immune. Cependant, au plus il y a correspondance entre la molécule et l’antigène, au plus il est probable que la réponse auto-immune se produise.

 

Bien que l’on ne pense généralement pas qu’une maladie cardiaque soit une maladie auto-immune, certaines formes de cette maladie, comme les cardiopathies rhumatismales semblent bien y correspondre et comme cette étude semble le montrer d’autres formes peuvent aussi en être les conséquences.

 

Il convient de noter que le syndrome des antiphospholipides a été associé au vaccin antitétanique.

 

Savons-nous en toute certitude que les vaccins qui contiennent S.cerevisiae provoquent des maladies auto-immunes ? Tout simplement non. Mais nous disposons cependant aujourd’hui d’informations qui établissent des liens forts entre les maladies auto-immunes et les levures des vaccins. Et nous n’avons absolument aucune autre indication qui préciserait qu’il n’y a aucun rapport.

 

En fait, non seulement nous savons qu’il existe une forte corrélation entre  les auto-anticorps S.cerevisiae et les protéines contenant du mannane, mais nous savons aussi que les taux de maladies auto-immunes ne cessent de grimper et semblent correspondre à l’élargissement des programmes vaccinaux dans tous les pays du monde.

 

tableau-vaccins-levure.jpg

Tableau des vaccins contenant des levures

 

 

Les maladies auto-immunes sont dévastatrices pour notre santé et innombrables sont  les personnes qui souffrent d’une qualité de vie dramatiquement diminuée à cause de cela. Ces maladies n’ont pas des origines génétiques. Continuer à le prétendre relève d’une insulte à l’intelligence.

 

Le coût de ces drames pour les individus et la société est énorme et incalculable.

Il est plus que grand temps d’envisager sérieusement et honnêtement les risques des vaccins, y compris l’utilisation de la levure comme ingrédient.

 

Au lieu de cela, nous sommes entraînés dans une course folle qui crée de plus en plus de vaccins contenant la levure parce que les technologies modernes de l’ADN recombinant permettent de produire des vaccins beaucoup plus facilement, beaucoup plus rapidement et à moindre prix. Faire marche-arrière et appliquer le principe de précaution ne rapporte rien. Ainsi, il nous faudrait nous résigner à voir de plus en plus de ces problèmes, peu importe les dégâts qu’ils occasionnent ! 

  

Références

 

1. Anti-Saccharomyces cerevisiae Autoantibodies in Autoimmune Diseases: from Bread Baking toAutoimmunity; Clinical Reviews in Allergies and Immunology; Maurizio Rinaldi, Roberto Perricone, Miri Blank, Carlo Perricone, & Yehuda Shoenfeld; DOI 10.1007/s12016-012-8344-9

2.Autoimmune Disease Rates Increasing

3.Autoimmune Diseases Research Plan

4.Saccharomyces cerevisiae: a versatile eukaryotic system in virology; Microbial Cell Factories; Rui P Galao, Nicoletta Scheller, Isabel Alves-Rodrigues, Tanja Breinig, Andreas Meyerhans and Juana Díez; doi:10.1186/1475-2859-6-32

 

Source: Gaia Health

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26 juillet 2013 5 26 /07 /juillet /2013 22:54

Les vaccins provoquent des dommages cardio-respiratoires graves chez les prématurés 

   

Une des pratiques courantes de la médecine moderne est la vaccination de pratiquement tous les nourrissons selon un calendrier vaccinal qui est d’application même quand les bébés sont prématurés. Une étude montre clairement que cette pratique est susceptible d’entraîner de graves dommages chez les bébés prématurés. Pourtant, les autorités de santé et les médecins ne semblent nullement vouloir freiner cette course folle qui consiste à piquer et à piquer les plus vulnérables d’entre nous.

 

Premature-sur-un-bras.jpg

Neonate in Sepia, by Chris & Laura Pawluk (cropped)

 

Par Heidi Stevenson

 

Les bébés prématurés sont vaccinés d’une manière aussi agressive que les bébés qui sont nés à terme. Cette pratique se perpétue en dépit du fait que des études documentent clairement des taux élevés de préjudices cardio-respiratoires chez ces nouveau-nés.

 

L’étude connue sous le nom de « Pourcyrous study » a révélé que pas moins de 85% de ces enfants qui reçoivent le vaccin multiple standard à l’âge de deux mois présenteront une élévation anormale de la protéine C-réactive, une mesure de l’inflammation qui indique la présence d’une infection ou d’une autre maladie.

 

La toute première question qu’il y a à se poser est celle-ci : Pourquoi la profession médicale accepte-t-elle d’avoir recours à des gestes médicaux dont on sait qu’ils peuvent être dangereux ?

 

Pire encore, pourquoi a-t-on recours à de tels procédés pour les plus démunis et les plus faibles d’entre nous ?

 

L’Académie Américaine de Pédiatrie conseille de vacciner les bébés prématurés ou les bébés de faible poids selon le même schéma de vaccination que les bébés nés à terme. Tout ceci est évidemment basé sur… et bien, c’est une excellente question. Cette pratique n’est évidemment basée sur aucune preuve sérieuse.

 

Allons-nous enfoncer un autre clou dans le cercueil de la « médecine fondée sur les preuves » ?

 

Les auteurs de l’étude Pourcyrous (du nom du chercheur principal le Dr Massroor Pourcyrous,MD ) ont relevé des taux élevés de problèmes cardio-respiratoires (entre 23 et 47%) chez les enfants prématurés qui avaient reçu la vaccination DTaP (Diphtérie,Tétanos, Coqueluche acellulaire) à l’âge de deux mois. Ils écrivent :

 

« Les effets secondaires après des vaccinations ne sont pas rares chez les nourrissons ; ils peuvent parfois  ressembler à de graves infections chez ces nourrissons. La protéine C-réactive (CRP) est un marqueur d’inflammation ou d’infection chez les nourrissons. Une augmentation constante de la CRP a été observée chez des prématurés après la vaccination DTwP (Diphtérie-tétanos-coqueluche à cellules entières) ; les réponses CRP pour le vaccin DTaP et autres vaccins n’ont pas été étudiées. »

 

Ils ont dès lors décidé d’étudier la question.

 

L’étude

 

Les chercheurs ont étudié 239 bébés prématurés âgés de plus ou moins deux mois programmés pour recevoir les vaccins standards. Les nourrissons qui n’étaient pas gravement malades, qui souffraient d’infections bactériennes ou étaient suspectés de souffrir de problèmes de santé, furent exclus de l’étude.

 

Les nourrissons ont reçu des vaccins simples et des vaccins multiples.- 168 des 239 bébés prématurés ont reçu une seule injection ; 71 autres ont reçu des  vaccins multiples. Il est à noter que le terme « vaccins simples »  se réfère au nombre d’injections et non au nombre d’antigènes. Les vaccins qui ont été administrés sont les suivants :

 

DTaP (Diphtérie, Tétanos, Coqueluche acellulaire)

Hib (Haemophilus Influenza)

IPV (Vaccin polio injectable inactivé)

HBV (Vaccin contre l’hépatite B)

PCV7 (vaccin pneumococcique à 7 valences = l'ancienne version du Prevenar)

 

Les enfants qui ont reçu des vaccins multiples ont eu 2 injections ou plus en une seule journée. Le personnel des soins intensifs néonataux a gardé ces enfants sous monitoring cardio-respiratoire et surveillance de l’oxygène et du pouls pendant trois jours.

 

Les chercheurs ont commenté les résultats

 

Apnées (arrêt temporaire de la respiration)

Bradycardie (rythme cardiaque anormalement lent)

O2 désaturation en oxygène

 

Tout événement cardio-respiratoire a été évalué pour la septicémie. Ces enfants ont reçu des antibiotiques suivant les prescriptions des médecins traitants.

 

La CRP  qui a été testée avant l’administration des vaccins, a été répétée toutes les 12 heures, soit 3  fois après la vaccination. Tout résultat anormal a été suivi par des tests journaliers jusqu’à ce que la CRP soit redevenue normale.

 

Résultats

 

Des niveaux élevés de protéine C réactive (CRP) indiquent une forte inflammation et pas uniquement une réaction locale. Normalement la CRP ne peut être détectée par des tests sanguins. Pour cette étude, une CRP entre 7 et 1,6mg/dL a été qualifiée  « détectable ». Toutes les valeurs qui dépassaient ces chiffres ont été considérées « anormales ».

 

Dans l’ensemble, 17% des nourrissons étudiés avaient des taux de CRP détectables. 43% présentaient des taux élevés de CRP, autrement dit des résultats très inquiétants. Pire encore, le fait que 85% des bébés auxquels on administrait des injections multiples souffraient de CRP élevées !

 

D’un intérêt tout particulier est le fait que deux vaccins multiples, le DTaP qui contient 3 antigènes et le PVC7 qui contient 7 antigènes, ces vaccins ont provoqué 2 des 3 plus fortes augmentations de la CRP. C’est le vaccin Hib qui a produit le résultat le plus significatif quant au taux de CRP : 70% des résultats concernant les nouveau-nés présentaient des niveaux anormaux.

 

Problèmes cardio-respiratoires rencontrés chez les nouveau-nés vaccinés : 11% de ces bébés ont dû recevoir de l’oxygène ; 20% de ceux qui avaient reçu des injections multiples ont dû recevoir de l’oxygène. En ce qui concerne la CRP, les pires résultats ont été trouvés chez les bébés qui ont reçu les vaccins DTaP, le Prevenar (7) et le Hib.

 

Dans l’ensemble, 5% des bébés ont dû recevoir une assistance respiratoire.- 13% des bébés qui avaient reçu des vaccins multiples ont effectivement reçu cette assistance respiratoire. Des interventions cardio-respiratoires ont été nécessaires chez 16% des bébés. Ces interventions ont été de 32% chez les enfants qui avaient eu des injections multiples.

 

DTaP vs DTwP

 

Les auteurs ont voulu faire savoir qu’ils voulaient vérifier si les niveaux de CRP augmentaient après le DTaP et d’autres vaccins comme cela avait été le cas avec le DTwP (Diphtérie, Tétanos Coqueluche à germes entiers).  Ce qui est clair à partir de ces résultats est que le problème existe avec la CRP pour la nouvelle forme du vaccin DTaP de même qu’avec le Prevenar, le Hib et les vaccins à injections multiples.

 

Une médecine basée sur les preuves ?

 

Ces résultats sont très inquiétants. Ils indiquent que la vaccination systématique des bébés prématurés peut produire des dommages significatifs.  Des taux élevés d’inflammation ne sont généralement et normalement pas ignorés, alors que l’on administre systématiquement à ces enfants qui sont les plus démunis de tous les êtres humains, des traitements dont nous savons aujourd’hui qu’ils pourraient provoquer d’importants dommages.

 

Nous possédons cette information depuis des années et il n’y a pas eu la moindre velléité de modifier le calendrier vaccinal pour ces enfants prématurés. Veuillez prendre connaissance de ce rapport qui documente plusieurs études montrant également des niveaux élevés de CRP  chez les prématurés après des vaccinations.

 

(Malheureusement, l’objectif de cette étude n’a pas été de suggérer l’arrêt de la vaccination des prématurés. Elle propose au contraire davantage d’intervention médicale, cette fois sous la forme d’antibiotiques.)

 

Ce qui est cependant le plus troublant, c’est qu’on n’a même pas envisagé de mettre fin à la pratique qui consiste à  faire plusieurs injections en une fois.

 

Il est évident que les autorités de santé, et apparemment les médecins eux-mêmes n’ont pas le moindre intérêt pour une médecine basée sur les preuves, à moins que celle-ci leur dise exactement ce qu’ils veulent bien entendre. Le suivi de ces nouveau-nés après vaccination n’a pas soulevé le moindre intérêt et ce, en dépit du fait que les preuves ont été apportées que ces enfants courent d’énormes risques.

 

Il faut absolument que les parents se réveillent par rapport au fait que les agences gouvernementales ni apparemment même leurs médecins n’ont véritablement à cœur l’intérêt de leurs enfants quand ils poussent à la vaccination de ces petits êtres innocents. Bien qu’ils puissent continuer à prétendre que leur position est basée sur des preuves – ce qui est montré ici explique bien clairement le contraire. Le bien-être des enfants ne peut pas être leur première préoccupation. Ces problèmes ne semblent même pas avoir quelque impact que ce soit sur leurs programmes ; ils ne semblent même pas prêts à étudier de plus près ces cas de prématurés qui courent pareils risques étant donné qu’ils sont mis sur le même pied que les autres enfants qui suivent le programme officiel de vaccinations.

 

Nous ne pouvons cependant nous empêcher de nous demander si les enfants nés normalement et qui suivent les programmes standards de vaccinations sont vraiment en sécurité. Où se trouvent les études qui pourraient le démontrer ? Le fait est qu’elles n’existent pas.

 

Etude originale : Primary Immunization of Premature Infants with Gestational Age<35 Weeks: Cardiorespiratory Complications and C-Reactive Protein Responses Associated with Administration of Single and Multiple Separate Vaccines Simultaneously; Journal of Pediatrics; Massroor Pourcyrous, MD, Sheldon B. Korones, MD, Kristopher L. Arheart, PhD, Henrietta S. Bada, MD; 10.1016/j.jpeds.2007.02.059

 

Source: Gaia Health

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26 juillet 2013 5 26 /07 /juillet /2013 22:50

Vaccination Hépatite B interrompue 

 après le décès de 3 nouveau-nés

 

Par Missy Fluegge, 24 juillet 2013

 

Mere-et-enfant---Vietnam.jpg

 

Selon les rapports [1], trois bébés sont morts peu de temps après avoir reçu le vaccin contre l’hépatite B.

 

Les familles des trois bébés qui sont décédés après voir reçu leur vaccin de routine contre l’hépatite B pleurent la perte de leurs enfants. Les bébés qui ont été vaccinés au Vietnam dans le cadre du programme élargi de vaccination, sont morts le 20 juillet dans la province centrale de Quang Tri. [1]

 

Le Ministère Vietnamien de la Santé a depuis choisi de cesser d’utiliser les deux lots de vaccins dans tout le pays pour protéger les autres bébés  de pareil destin tragique.

 

Selon les responsables officiels, la date d’expiration des vaccins n’était pas dépassée et les règles d’une bonne conservation avaient été respectées. Les vaccins ont été administrés par une infirmière qui avait plus de vingt ans d’expérience. [2]

 

Le 21 juillet, le Ministre de la Santé Nguyen Thi Kim Tien a fait parvenir ses condoléances aux familles des enfants décédés et a ordonné que des experts soient désignés pour enquêter sur la tragédie.

 

Les enquêtes préliminaires ont attribué les décès à un choc anaphylactique. Le président du programme de vaccination a demandé aux parents de « garder leur calme » et de continuer à faire vacciner leurs enfants.

 

Les représentants de la Santé se sont rendus au domicile des parents pour évaluer les dommages. Chaque famille a reçu la somme  de 377 dollars et s’est vue offrir des soins gratuits pour des soins hospitaliers.

 

Que savons-nous de l’hépatite B ?

 

Avez-vous déjà interrogé votre médecin au sujet de cette maladie ? Connaissez-vous des enfants qui ont contracté l’hépatite B ? …

 

Vous ne connaissez sûrement pas d’enfants qui ont contracté l’hépatite B pour la simple raison qu’il s’agit d’une maladie d’adultes. Malgré ce fait, on continue de vacciner les nouveau-nés contre cette maladie.

 

L’hépatite B est une infection virale du foie. Elle se transmet uniquement par contact direct avec du sang ou autres liquides corporels. Ceux qui sont le plus à risque de contracter l’hépatite B sont les adultes de 20 à 50 ans faisant partie de catégories de personnes à haut risque, les homosexuels, les personnes ayant reçu des transfusions dont le sang était infecté, les hétérosexuels à partenaires multiples., le personnel de santé qui est entré en contact avec du sang ou des produits corporels infectés. [3 ]

 

En 2010, il n’y eut aux Etats-Unis que 3.374 cas aigus d’hépatite B. Mais, il est troublant de constater que, selon le NVIC (National Vaccine Information Center, mars 2012), le VAERS (organisme officiel américain qui enregistre les effets secondaires des vaccins), a recensé 1500 décès ayant fait suite à la vaccination contre l’hépatite B, dont certains ont été classés sous la rubrique « mort subite du nourrisson ». En plus de ce nombre élevé de décès, le VAERS a enregistré un  total de 66.654 effets secondaires qui comprenaient, mais pas exclusivement, des inflammations du cerveau, des convulsions, des scléroses en plaques, des maux de tête, de l’irritabilité, des lupus, des polyarthrites rhumatoïdes, ainsi que le syndrome de Guillain Barré.

 

Pire encore, comme nous le savons, de nombreux effets secondaires indésirables après vaccinations ne sont pas rapportés. Sur le site même du VAERS on peut lire : « Le VAERS ne reçoit qu’une petite fraction des effets secondaires indésirables (réels) » [3].

 

Pourquoi les bébés sont-ils vaccinés contre l’hépatite B ?

 

Aux Etats-Unis, jusqu’en 2013, neuf enfants seraient morts après avoir reçu le vaccin contre l’hépatite B [4]

 

L’hépatite B est une maladie rare chez les enfants, mais ces petits sont vaccinés contre l’hépatite B dans les 12 heures qui suivent la naissance. A moins que la mère ne soit déjà infectée par l’hépatite B au moment où elle accouche, les nouveau-nés ne rentrent dans aucune catégorie à risque pour cette maladie. [5]

 

Les faits qui suivent sont extrêmement importants et devraient dissuader toutes les mères de faire vacciner leurs enfants contre l’hépatite B. Il serait facile de faire passer un test aux mères pour vérifier si elles sont infectées ou non. En outre, la validité maximale du vaccin contre l’hépatite B est de 20 ans, âge auquel le nouveau-né pourrait être à risque d’attraper la maladie s’il choisit de s’engager dans des comportements à risques.[6]

 

Malheureusement ces nouveau-nés sont vaccinés sur l’insistance d’ agents de santé publique  qui n’ont pas réussi à persuader les utilisateurs de drogues injectables et les personnes sexuellement actives ayant de multiples partenaires de se faire vacciner. La situation se traduit pas des millions de dollars de profits pour les fabricants de vaccins.

 

Le Dr Jane Orient, membre de l’Association Américaine des Médecins et des Chirurgiens (AAPS), a témoigné devant le Congrès Américain contre l’utilisation des vaccins contre l’hépatite B.

 

« L’obligation du vaccin contre l’hépatite B (avec quelques exceptions) est beaucoup moins convaincante que celle de la vaccination  contre la variole et la poliomyélite, vaccins qui protègent contre des maladies mortelles ou invalidantes, relativement communes et facilement transmissibles…Pour la plupart des enfants, le risque d’une réaction grave à la suite du vaccin peut être 100 fois plus grand que de faire une hépatite B. » [7]

 

Ironiquement, malgré le fait que 42% des adultes américains  à risque de contracter l’hépatite B sont vaccinés et que 65% du personnel de santé aient été vaccinés contre la coqueluche, l’incidence de cette infection a peu changé depuis que le premier vaccin a été disponible en 1998 pour les adultes à haut risque.

 

Une étude qui se base sur des données de 6 années montre que les bébés (garçons) qui reçoivent le vaccin contre l’hépatite B sont trois fois plus susceptibles de développer un trouble du spectre autistique. [8]

 

On a aussi montré que le vaccin contre l’hépatite B avait provoqué la mort de cellules du foie, comme l’apparition de maladies du foie.

 

Pourquoi injectons-nous aux bébés des vaccins génétiquement modifiés, alors que ces bébés ne sont pas à haut risque de faire cette maladie ?...

 

Savez-vous qu’avec la vaccination on injecte aux nouveau-nés quantités de produits chimiques dont ils n’ont même pas besoin ? Pensez-vous que ces produits chimiques font partie de leur tout jeune système immunitaire ?

 

Conclusion

 

Les statistiques montrent clairement que ce vaccin s’est montré inefficace depuis sa création  et que le nombre d’enfants qui ont connu des effets indésirables dépasse de loin le nombre de décès dus à cette maladie aux Etats-Unis ?

 

Les parents de ces trois bébés vietnamiens vont pleurer la perte de leurs enfants pour le reste de leur vie, tout comme ces 9 familles des Etats-Unis qui ont aussi perdu leur bébé après la vaccination. Tous ces parents ont fait entière confiance au personnel de santé et aux représentants du gouvernement qui les ont assurés que ces vaccins étaient sans danger !

 

Les parents qui choisissent de faire vacciner leurs enfants placent une confiance implicite, tacite dans le fait que les fabricants de vaccins ne peuvent fournir que des vaccins absolument sûrs et sans danger. De plus en plus nombreuses sont les personnes qui, aujourd’hui, savent qu’il s’agit de l’un des meilleurs exemples au monde de contradiction.

 

Un vaccin sûr et sans danger, ça n’existe pas …

 

Payer quelques centaines de dollars pour ces jeunes vies et tous les rêves qu’elles pouvaient porter n’est tout simplement qu’une écœurante insulte aux parents partout dans le monde. Si vous êtes indignés et attristés par ces décès d’enfants parfaitement inutiles, je voudrais me permettre de vous suggérer  de transformer votre empathie pour ces parents en action pour pouvoir aider et éclairer d’autres familles.

 

Références

 

1. http://www.saigon-gpdaily.com.vn/Health/2013/7/105692/

2. http://www.saigon-gpdaily.com.vn/Health/2013/7/105702/

3. https://vaers.hhs.gov/data/index

4. http://www.medalerts.org/vaersdb/findfield.php

5. http://www.nvic.org/vaccines-and-diseases/Hepatitis-B.aspx

6. http://www.greenmedinfo.com/blog/hepb-vaccine-causes-liver-disease-science-shows-how

7. http://www.aapsonline.org/testimony/hepbcom.htm

8. http://articles.mercola.com/sites/articles/archive/2009…

9. http://www.cdc.gov/vaccines/pubs/pinkbook/downloads/appendices/b/excipient-table-2.pdf

 

Source: Vactruth

 

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19 juillet 2013 5 19 /07 /juillet /2013 19:50

Revue des risques et des bénéfices de la vaccination

contre la fièvre jaune + nouvelles analyses 

 

fievre-jaune.jpg

 

Expert Rev Vaccines 2012, Apr., 11(4) : 427-48.

 

Kleiner Perkins, Caufield & Byers, Menlo Park,CA,USA tmonath@kpcb.com

 

Résumé

 

Le vaccin à virus vivant contre la fièvre jaune (YF) 17D offre une immunité très efficace et durable. Il est largement utilisé pour les voyageurs et les habitants des zones endémiques d’Amérique du Sud et d’Afrique. Des effets indésirables graves neurotropes et viscérotropes associés à ces vaccins se produisent rarement, mais la maladie viscérotrope (Yel-AVD)  associée au vaccin (YF 17D) est remarquable pour sa létalité.

 

Il semble y avoir deux types distincts de risques pour YEL-AVD : le premier concerne les personnes plus jeunes, particulièrement les femmes atteintes de troubles de l’immunité innée. Chez ces personnes, les taux de mortalité sont plus élevés. Le deuxième type concerne les personnes âgées, plus particulièrement les hommes avec un système immunitaire affaibli en fonction de l’âge et qui présentent néanmoins un taux de mortalité plus faible.

 

De 1990  à aujourd’hui, le nombre de cas (n=31) et de décès (n=12) de YEL-AVD par rapport au nombre de voyageurs a dépassé le nombre des rapports de fièvre jaune (YF) (n=6) dus à l’infection naturelle. Ces chiffres soulèvent la question de savoir si le risque de la vaccination dépasse les bénéfices pour les voyageurs. Pour fournir quelques indications sur ce point, le taux des complications dues au vaccin a été comparé au taux de maladies naturelles dans une nouvelle analyse qui estime la sensibilité immunologique à la fièvre jaune dans les zones endémiques et épidémiques. Depuis plusieurs années, en Amérique du Sud le risque de maladies et de décès causés par le vaccin était similaire au risque de maladie et de décès faisant suite à une infection naturelle (Fièvre jaune). En Afrique par contre, les risques dus à la maladie sauvage étaient sensiblement plus élevés que les risques liés au vaccin.

 

De multiples facteurs doivent être pris en considération dans la prise de décision au sujet de la vaccination contre la fièvre jaune, comme la destination spécifique, la saison de l’année, les données locales concernant la transmission de la fièvre, la probabilité d’exposition aux moustiques vecteurs de la maladie, comme aussi les facteurs de risques individuels par rapport à YEL-AVD, avec l’objectif  soit d’augmenter la couverture vaccinale pour se rendre dans les zones à haut risque ou de réduire le nombre de vaccinations inutiles. L’étude aborde également les perspectives pour de futurs vaccins plus sûrs.

 

Source: Pubmed

 

Expert Rev Vaccines. 2012 Apr;11(4):427-48. doi: 10.1586/erv.12.6.

 

Review of the risks and benefits of yellow fever vaccination including some new analyses.

 

Monath TP.

 

Kleiner Perkins Caufield & Byers, Menlo Park, CA, USA. tmonath@kpcb.com

 

Liste-des-pays--fievre-jaune.jpg

A noter: dans les "travel clinics", ils vont pousser à la vaccination, même si elle n'est pas obligatoire, amenant pour les voyageurs une confusion entre l'obligation stricte et la recommandation.

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