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16 juillet 2013 2 16 /07 /juillet /2013 17:55

ma-vie-foutue--merci-alu.jpg

Lire cet article du Dauphiné Libéré du 12 juillet dernier (victimes de vaccins à base d'aluminium & actions en justice de plusieurs d'entre elles.)

 

Mais d'autres victimes peuvent aussi pâtir de vaccins sans aluminium, comme par exemple Robert Fletcher, qui ne sait plus ni parler, ni manger seul ni marcher depuis une encéphalite faite après le vaccin ROR (rougeole-oreillons-rubéole) vers l'âge de 1 an. Le gouvernement britannique a été obligé de verser 90 000 £ à la famille après 18 années de combat judiciaire... et bien que cette somme soit évidemment dérisoire au regard de la gravité et de l'irréversibilité des dommages occasionnés, cette décision de justice doit redonner courage aux milliers de victimes qui souffrent en silence des effets dévastateurs du dogme vaccinal, ce dogme continuant hélas toujours sa route, tel un véritable rouleau compresseur...

 

   Robert Fletcher avant le ROR, un enfant tout à fait normal....

ROBERT-FLETCHER-NORMAL-avant-le-vaccin-ROR.jpg

 

 

                                    Robert Fletcher avec sa maman à l'âge de 14 ans...

Robert-Fletcher.jpg

 

 

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16 juillet 2013 2 16 /07 /juillet /2013 16:50

Une nouvelle étude revue par des pairs établit un lien fort entre le diabète de type 1 induit par les vaccins et l’autisme

 

Jeannie Stokowski-Bisanti - Health News 14 juillet 2013

 

Dr-John-Barthelow-Classen--MD.png

Le vendredi 12 juillet, la société Classen d’Immunothérapies a envoyé un communiqué de presse au sujet d’une nouvelle étude revue par les pairs qui a été publiée dans la dernière édition en libre accès des Scientific Reports (Volume 2, Issue 3, 2013) et qui lie l’épidémie d’autisme à l’épidémie de diabète de type 1 liée aux vaccins.

 

Des preuves de plus en plus nombreuses montrent qu’un pourcentage important des cas d’autisme ont une composante inflammatoire ou auto-immune. Les toute dernières données montrent que l’autisme est fortement lié au diabète de type 1, une autre maladie épidémique inflammatoire. Il a été montré que cette épidémie était causée par les vaccins.

 

C’est l’immunologiste J. Bart Classen, MD qui est l’auteur du document. Dans ce communiqué de presse, le Dr Classen dit : « Depuis de nombreuses années, nous avons publié des documents montrant que l’inflammation induite par le vaccin provoque une épidémie de diabète de type 1, ainsi que d’autres maladies. Les dernières données en notre possession, de même que les données détaillées  provenant d’autres sources concernant le rôle que joue l’inflammation dans le développement de l’autisme, laissent peu de doute que les vaccins jouent un rôle important dans l’épidémie d’autisme. »  

 

Le grand nombre de vaccins administrés conduit à une épidémie d’inflammations chroniques. Cette situation entraîne des épidémies de maladies auto-immunes et des allergies, selon les recherches effectuées par le Dr Classen.

 

Un tribunal italien a tranché en faveur de la famille Bocca, dont le fils de 9 ans est devenu autiste après avoir reçu le vaccin ROR (Rougeole-Oreillons-Rubéole). Voir ici.

 

Sources: examiner.com & yahoo.com

 

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14 juillet 2013 7 14 /07 /juillet /2013 20:55

Vacciner-sans-rien-savoir.jpg

Plusieurs personnes nous ont déjà demandé en matière de vaccination "Qui faut-il croire?". Pour nous, très clairement, cette question est hélas mal posée car celui qui croit s'en remet en fait à des arguments d'autorité, alors que celui qui préfère SAVOIR, fait le choix d'informations objectives, dont la valeur et la pertinence sont universelles, indépendamment de celui qui les expose ou de la langue utilisée.

 

La question centrale en matière de vaccination et qui concerne en fait tous les vaccins, quels qu'ils soient, est donc la suivante: CROIRE ou SAVOIR?

 

Croire que les vaccins sont bien évalués ou SAVOIR et surtout COMPRENDRE en quoi et pourquoi tous les vaccins sont des produits expérimentaux et les vaccinés, des cobayes qui s'ignorent.

 

Comme vous allez vous en rendre compte, les exigences règlementaires imposées aux vaccins sont nettement plus laxistes que ne le sont celles imposées aux autres médicaments en général, et même aux cosmétiques....

 

Voici les quatre grandes raisons qui font de tous les vaccins, depuis toujours, c'est à dire depuis plus de 200 ans, des produits expérimentaux et de la vaccination en général, la plus grande expérimentation sans consentement jamais réalisée dans toute l'histoire de l'humanité:

 

1°) On ne compare JAMAIS les vaccins à des placebos réels (= substances neutres, inertes) pour évaluer valablement leurs effets secondaires réels; on donne alors des autres vaccins ou d'autres substances intrinsèquement toxiques comme l'aluminium dans le faux groupe placebo, de façon à "diluer" les effets secondaires du nouveau vaccin testé puisque, par contraste, les effets secondaires du faux groupe placebo se trouvent ainsi gonflés avec une telle astuce bien commode, ce qui permet ainsi aux fabricants de conclure que "le nouveau vaccin a un profil de sécurité acceptable par rapport au (faux) groupe placebo!" Un des pseudo-arguments scandaleux des officiels pour justifier la non réalisation de telles études réellement scientifiques et donc réellement comparatives, est de décréter que cela ne serait pas éthique !!!! Mais dire cela, c'est donc décréter a priori, de façon dogmatique et non scientifique que les vaccins font donc forcément GLOBALEMENT plus de bien que de tort!  

 

La VRAIE Science ne refuse jamais de savoir par peur de ce qu'elle risque de trouver et qui pourrait malmener les intérêts financiers en jeu. On est donc dans un système hypocrite qui estime plus éthique de préserver les intérêts de Big Pharma, quitte à imposer à tous des vaccins expérimentaux qui font de nous tous des cobayes qui s'ignorent!! (NB: en fait, pour être complet et précis, ils recourent à des placebos pour le volet "efficacité" donc évaluation des taux d'anticorps produits par un nouveau vaccin; du coup, le mot "placebo" apparaît dans les comptes-rendus d'études que lisent les médecins pressés dans leurs revues sponsorisées mais peu si pas aucun ne se rend compte du drame sanitaire que représente le fait de se priver de vrais groupes neutres en matière d'évaluation de la tolérance!!)

 

2°) Aucune étude des effets secondaires à long terme alors que les maladies auto-immunes post-vaccinales peuvent prendre des mois voire des années à se déclarer! Gardasil? Des effets secondaires évalués sur seulement 14 jours après chacune des doses? Engerix B (= vaccin hépatite B)? 5 jours seulement!! Twinrix (vaccin anti-hépatite B et A imposé aux professionnels de santé)? 4 jours seulement selon des documents confidentiels de la firme elle-même que nous avons pu consulter!!! Et là aussi, ce sont des vaccins contenant notamment de l'aluminium. Par comparaison, il faut savoir que les effets des contraceptifs oraux ont eux été évalués sur des décennies! [Lire aussi la lettre qu'avait écrit le Dr J. B Classen au British Medical Journal en 1999 pour s'indigner de cette absence d'études à long terme.]

 

3°) Autre passe-droit, les vaccins sont dispensés de la moindre analyse pharmacocinétique, contrairement aux autres médicaments. On peut en effet lire en page 4 de ce document règlementaire de l'Agence européenne des Médicaments (EMEA) et de son Comité des Médicaments à usage humain (CHMP): "Etudes pharmacocinétiques. Elles ne sont généralement pas exigées pour les vaccins parce que les propriétés cinétiques des antigènes ne fournissent pas d'informations utiles pour déterminer les recommandations du nombre de doses. Cependant de telles études pourraient être d'application en cas de recours à des nouveaux systèmes d'administration ou d'emploi de nouveaux adjuvants ou d'excipients."

 

Cette analyse n'est donc pas effectuée car on part du principe qu'elle devrait avant tout servir la logique idéologique étroite qui sous-tend la vaccination (à savoir qu'un bon vaccin prétendument efficace doit avant tout générer des anticorps et qu'il faut à tout prix faire produire ces anticorps et donc focaliser toute l'attention sur le nombre de doses et les seuls antigènes dans cette optique-là.) Mais cette analyse, qui est pourtant capitale puisqu'elle consiste très précisément à étudier le devenir et la répartition des différents composants du médicament une fois administré (donc comment les composants se diffusent, où ils vont se loger, s'ils persistent ou non et si oui où et combien de temps, comment ils sont métabolisés, comment ils sont éliminés et par quelle voie etc.) n'a jamais été menée de façon rigoureuse pour chaque composant de chaque vaccin pris individuellement ni non plus vaccin par vaccin pour chaque ensemble de composants (dont on sait bien qu'ils peuvent aussi interférer entre eux et créer des synergies négatives). Ce genre d'études serait pourtant d'autant plus importante pour les vaccins que, contrairement aux autres médicaments, en cas d'effets secondaires, on ne sait pas arrêter la prise, une fois que c'est injecté, c'est irréversible! Si cela avait été réalisé, des milliers de cas inutiles de maladies, notamment dégénératives, auraient pu être évités et l’aluminium, qui migre notamment au cerveau, cessé d’être utilisé dans les vaccins alors qu’il l’est depuis… 1926.

 

Chose intéressante à ce sujet, les aveux accablants du Dr Nathalie Garçon, responsable du Centre Mondial des Adjuvants chez GSK, au sujet de l'aluminium vaccinal. Cette doctoresse déclarait en effet en 2002 aux USA à l'occasion d'un symposium sur la sécurité des adjuvants que: "En réalité, le seul adjuvant [aluminique] autorisé pour la consommation humaine, est le plus empirique. Personne ne sait comment il fonctionne, personne ne connaît sa biodistribution. [...] En fait, je crois que si l'alun arrivait maintenant, il ne serait pas accepté." [cfr page 220 de ce workshop aux USA]

 

Si "personne ne sait" ce qu'il advient d'une telle substance faisant partie d'une majorité de vaccins une fois qu'ils sont injectés, on est donc bien clairement dans quelque chose d'expérimental et les mots ne sont donc ni trop forts, ni exagérés, ni usurpés. Il faut pouvoir appeler un chat, un chat!

 

4°) Enfin, Xième passe-droit dramatique, les vaccins sont aussi dispensés, là encore contrairement aux autres médicaments (et même aux cosmétiques qui eux ne sont jamais obligatoires!) de tests destinés à évaluer leurs potentiels cancérogène, mutagène et tératogène, c'est à dire leur capacité d'induire un cancer, une mutation de notre ADN (dont certaines débouchent aussi sur des cancers) et des maladies chez la descendance (alors qu'on préconise désormais la vaccination aux femmes enceintes... y compris contre la grippe & bientôt aussi contre la coqueluche). Les notices francophones ne mentionnent plus que les vaccins sont dispensés de ces tests, sans doute pour ne plus trop rebuter les patients, mais les notices américaines des vaccins identiques, de même composition, continuent elles de le mentionner (cf. point 13.1). Ce passe-droit est d'autant plus scandaleux que les vaccins contiennent pourtant plusieurs composants notoirement cancérogènes (pensons au formaldéhyde, reconnu comme cancérigène certain par le CICR qui dépend pourtant de l'OMS!!)!

 

Le Dr Deborah Novicki de Novartis a confirmé que ces tests pour évaluer la cancérogénicité n'avaient pas été effectués sur l'adjuvant à base de squalène des vaccins H1N1 (le MF59) ni sur aucun des vaccins du groupe et qu'il n'était pas prévu que cela se fasse. « Nous n’avons pas testé le potentiel cancérogène du squalène MF59 de notre vaccin H1N1 ni d’aucun autre de nos vaccins et nous n’avons pas l’intention de le faire. » a-t-elle déclaré lors d'une réunion à l'Agence Américaine du Médicament (FDA). [cfr p. 391]

 

Si ces études avaient été réalisées de façon rigoureuse et indépendante, vaccin par vaccin, avant de comparer des populations ayant reçu plusieurs types de vaccins à la fois, et que ce genre d'études avaient réellement montré que la santé des gens vaccinés n'est pas sensiblement moins bonne que celle des gens réellement non vaccinés, alors et seulement alors cela aurait du sens et ce serait éthique de promouvoir la vaccination. Alors et seulement alors, on pourrait dire que la vaccination n'est pas expérimentale et qu'elle a réellement été évaluée scientifiquement. Alors et seulement alors, les experts officiels seraient crédibles quand ils affirment que la vaccination est non dangereuse. 

 

Mais à l'heure actuelle, compte tenu de ces carences graves dans l'évaluation de TOUS les vaccins, l'attitude des pouvoirs publics et de tous les prosélytes de la vaccination consiste à promouvoir dans les faits une EXPERIMENTATION HUMAINE SANS CONSENTEMENT, ce qui est illégal et contraire au Code de Nuremberg.

 

Pour aboutir à la rédaction de ce Code de Nuremberg, il est tout de même bon de se rappeler qu'il a fallu deux Guerres Mondiales et des millions de morts, peut-être des gens de VOTRE famille. De même, il est aussi fondamental de se rappeler que TOUTES les expérimentations sans consentement sont prohibées en vertu de ce Code, "même si l'expérimentation est motivée par des besoins de santé publique."

 

Voici en effet un extrait d'une présentation disponible sur youtube du Dr Delépine sur les essais cliniques en cancérologie:

 

Nuremberg--experiences-illegales-meme-si-objectif-de-san.JPG

 

Voilà, vous savez maintenant l'essentiel, la véritable quintessence de la question des vaccins, le noeud du problème et le point commun entre tous les vaccins, quels qu'ils soient.

 

Vous savez maintenant pourquoi la lutte actuelle en France contre l'aluminium vaccinal est totalement incomplète et ne s'attaque en réalité qu'à "un seul tentacule de la pieuvre." (les vaccins au phosphate de calcium n'ayant par ailleurs jamais satisfait aux critères énumérés ci-dessus non plus)

 

Sachant ces informations, vous avez à présent LE CHOIX d'accepter ou de refuser en conscience pour vous et vos enfants des produits expérimentaux dont l'infinité et la gravité des conséquences possibles n'ont donc encore jamais été évaluées scientifiquement.

 

A ce propos, sachez que même des médecins des firmes pharmaceutiques, comme par exemple le Dr Jean-François Saluzzo de Sanofi Pasteur (aussi consultant pour l'OMS!) admettent qu'ils ne savent tout simplement PAS comment marchent les vaccins... Or s'ils ne le savent pas, c'est bien parce que la vaccination n'est pas sous-tendue par une Science rigoureuse, solide et véritable!

 

Médecins, journalistes, avocats, hommes ou femmes politiques, adolescents, futurs parents, malades chroniques, voyageurs, ... nous sommes tous concernés et nous devons, sur base de ces carences règlementaires graves, savoir désormais QUOI réclamer, quoi exiger, quoi dire devant les tribunaux et quoi modifier au niveau des législations concernées.

 

L'avenir, la santé et l'intégrité des générations futures dépendront en grande partie de notre capacité collective à exiger et à obtenir ces modifications règlementaires, même bien sûr au prix de devoir arrêter complètement la vaccination aux termes de résultats probablement accablants que craignent comme la peste les fabricants et les autorités depuis maintenant bien trop d'années déjà....

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14 juillet 2013 7 14 /07 /juillet /2013 12:15

VACCINS :

Quels risques?

 

cinq-flacons.jpg

 

Par Catherine J. Frompovich, 10 juillet 2013

 

L’édition du 29 juin 2013 du Lancet présente un article particulièrement intéressant avec comme titre: «  L’Ukraine risque une flambée de poliomyélite » [1]. Cet article a bien entendu attiré mon attention et suscité chez moi d’autant plus de curiosité que plusieurs des dernières épidémies de polio se sont précisément déclarées après des campagnes de vaccination. Tout particulièrement en Inde en avril 2012 où il a été signalé que « les cas de paralysie sont montés en flèche après l’introduction du vaccin polio oral. » [2]. Les conclusions des médecins indiens ont été publiées dans The Indian Journal of Medical Ethics.

 

Il convient en outre de signaler que les médecins ont fourni cette information troublante :

 

« En 2011, il y a eu, en Inde, 47.500 nouveaux cas de paralysies flasques aiguës (NPAFP) cliniquement indiscernables des paralysies provoquées par la polio, mais deux fois plus meurtrières. L’incidence de ces paralysies NPAFP était directement proportionnelle aux doses de vaccin polio oral reçues. [3] [Commentaire en italique de l’auteur]. La paralysie flasque aiguë non polio (NPAFP) est une autre dénomination pour une paralysie que la médecine ne veut pas voir associée à la poliomyélite et qui peut apparemment être contractée soit par le vaccin antipoliomyélitique oral ou par des tiers qui entrent en contact avec des sujets vaccinés. Les maladies contre lesquelles un enfant est vacciné peuvent être contractées par le vacciné lui-même, ou se propager à d’autres. [4],[5] à partir de vaccins comme celui de la rougeole, de la rubéole, de la varicelle, du vaccin oral contre la polio, du vaccin Flumist (grippe) et peut-être du vaccin contre le rotavirus (RotaTeq). » [6]

 

Apparemment le CDC a dû admettre que :

 

« De 1980 à 1999,  162 cas confirmés de poliomyélites paralytiques ont été rapportés. Parmi ces 162 cas, huit se sont produits à l’extérieur des Etats-Unis et ont été importés. Le dernier cas importé et provoqué par le virus sauvage de la polio aux Etats-Unis a été signalé en 1993. Les 154 cas restants ont été associés au vaccin antipoliomyélitique, donc causés par le vaccin antipoliomyélitique oral vivant (OPV) » [7]. [Commentaire en italique de l’auteur de l’article].

 

Le 19 juin 1999, le New York Times publiait ceci:

 

« Un Comité Consultatif Fédéral Américain a recommandé de remplacer le vaccin antipoliomyélitique oral par la version injectable dans le but de réduire le risque de contracter la maladie paralysante. » [8]

 

Alors, pourquoi tous ceux qui connaissent les faits au sujet des vaccins, en particulier les groupes pro-vaccins comme la Fondation Bill & Melinda Gates [9] parcourent-ils le monde pour distribuer le vaccin antipoliomyélitique oral ? Est-ce que les 47.500 cas de paralysies flasques aiguës (NPAFP) en Inde n’ont pas fait comprendre que les vaccins, notamment le vaccin oral contre la polio ne sont pas dignes de confiance pour empêcher des paralysies de se produire quel que soit le nom que l’on puisse leur donner ? Le Brésil [10], le Nigéria [11], le Pakistan [12] ont connu des campagnes de vaccination antipoliomyélitique (orale) et ont aussi connu des poussées de paralysies flasques aiguës non polio (NPAFP). Mais pas un mot de tout cela dans la presse « libre » américaine qui semble être contrainte de ne pas signaler pareils problèmes de santé publique résultant des vaccinations. Ces informations effraieraient à tel point les parents que ceux-ci prendraient leurs distances vis à cis des vaccinations. Cette information finit cependant par se transmettre de bouche à oreille.

 

En cette année 2013, un tribunal italien a accordé, en dédommagement, une indemnisation de 200.000 Euros à une famille dont la petite fille de six-mois est décédée après avoir reçu le vaccin obligatoire hexavalent, ainsi que deux autres vaccins facultatifs. [13] Selon le site Examiner.com, le tribunal, se basant sur les avis d’une série de spécialistes, a pu établir une relation causale entre le vaccin hexavalent et le décès de la petite fille…

 

Le vaccin hexavalent comprenait les valences suivantes : polio, diphtérie, tétanos, hépatite B, coqueluche et haemophilus. [14]

 

Pour en revenir  à l’article du Lancet, qui évoque le risque de polio en Ukraine, ce que je trouve personnellement très intrigant, c’est que l’Organisation Mondiale de la santé (OMS) et l’UNICEF se demandent pourquoi le tiers des parents ukrainiens sont contre les vaccinations. Il n’est pas impossible que partout dans le monde, les parents commencent à comprendre les risques que peuvent comporter les vaccinations. Comme le notait l’article du Lancet, il est possible que beaucoup de parents avouent en privé être conscients des risques que peut comporter le fait de ne pas faire vacciner leurs enfants, mais ils ajoutent qu’ils préfèrent prendre ces risques plutôt que ceux des vaccins. [15]

 

En outre, que feraient les parents, s’ils savaient que le vaccin contre les oreillons aux USA ne correspondait pas à ce qu’il aurait dû être, et que le gouvernement américain a poursuivi le fabricant Merck en justice parce que :

 

« Les scientifiques affirment que Merck aurait escroqué le gouvernement américain en lui faisant acheter, chaque année, et pendant dix ans, quelque quatre millions de doses de vaccin ROR faussement étiquetées. Situation qui a contribué à provoquer les deux dernières épidémies d’oreillons que ce vaccin était supposé prévenir. »[16] [Commentaire en italique de l’auteur de l’article].

 

Pour ceux qui veulent en savoir davantage sur le manque d’efficacité du vaccin contre les oreillons, il suffit de consulter l’article du Dr S. Humphries MD.

 

Soit dit en passant, si des lecteurs ont été choqués parce qu’ils ont récemment découvert au sujet des écoutes téléphoniques, de l’espionnage des mails aux Etats-Unis,  etc. qu’ils essaient d’imaginer ce que pourraient éprouver ces personnes si elles savaient comment fonctionne la science des vaccins et tout particulièrement si elles étaient informées de l’identité de ceux qui financent les études ayant trait à « l’efficacité » des vaccins avant que celles-ci ne soient présentées pour approbation à la FDA. - Voir ici.

 

Il est probable que rien n’est plus éclairant par rapport aux questions qui se posent en Ukraine que ce qui suit :

 

« Il existe un autre obstacle important à l’augmentation des taux de vaccination et c’est le personnel de santé lui-même. Certains médecins commencent à révéler ouvertement des arguments contre la vaccination. L’Organisation Mondiale de la Santé elle-même reconnaît qu’elle a identifié une certaine apathie parmi le personnel de santé par rapport à la promotion de la vaccination. – cette attitude remonte au scandale de 2008. Nitzan explique dans le Lancet : « Nombreuses sont les personnes faisant partie du personnel de santé qui ne font plus la promotion active des vaccinations. Ces personnes craignent, comme en 2008, que si elles vaccinent une personne qui finit par tomber malade, ce soit sur elles que la faute risque de retomber. »[17]

 

Un scandale concernant la vaccination en 2008 ? Se pourrait-il qu’ils s’en réfèrent à ce qui s’est passé au Brésil quand le Ministre de la Santé Jose Gomes Temporao a décidé de lancer une campagne de vaccination, ou à ce qui s’est passé en Argentine avec le vaccin contre la rubéole ? (Selon LifeSitenews.com , 14 août 2008)

 

C’est Temporao qui a organisé un programme obligatoire de vaccination pour 70 millions de Brésiliens, une des plus vastes campagnes de vaccination de l’histoire.

 

Adolfo Castanéda (Human Life International) note qu’il y a deux ans, des chercheurs ont trouvé que le vaccin contre la rubéole qui avait été utilisé au cours d’une campagne similaire en Argentine contenait de la gonadotrophine chorionique humaine (HCG).

 

Quand le corps reçoit de la gonadotrophine chorionique (HCG) dans un vaccin, il la perçoit comme un intrus et crée des anticorps qui luttent contre la présence de cette hormone. C’est donc la réponse immunitaire de l’organisme qui se retourne contre la grossesse provoquant ainsi des avortements (les personnes deviennent stériles). [18]

 

La question du HCG argentin ne devrait-elle pas être considérée comme crime contre l’humanité ? Et cependant, beaucoup de parents continuent d’ignorer que les vaccins contiennent de nombreux produits toxiques, alors qu’en fait ils devraient obligatoirement en être informés. Combien de personnes sont réellement informées de ce que contiennent les vaccins ? Je parle de tous ces problèmes dans mon nouveau livre « Vaccination Voodoo, What YOU Don’t Know About Vaccines » qui va paraître sur Amazone en août 2013.

 

[…] Personne ne devrait accepter que l’on introduise quoique ce soit dans son corps et tout spécialement des vaccins a) dont le potentiel cancérogène n’a pas été évalué, dont on ne sait pas s’ils pourraient entraîner la stérilité ou des malformations. b) qui peuvent provoquer les maladies mêmes qu’ils sont censés prévenir, ou  c) qui contiennent des produits toxiques qui peuvent interférer avec les processus vitaux.

 

Au cours des dernières années, quand des épidémies de rougeole et de coqueluche se sont produites aux Etats-Unis, les autorités sanitaires ont tenté de rejeter la faute sur les enfants non-vaccinés. Or, selon les statistiques 90% ou plus des enfants qui faisaient une coqueluche étaient complètement vaccinés. Quelles conclusions tirer  de pareille situation ? Pour les autorités sanitaires, cela veut dire que les enfants ont besoin d’encore plus de vaccinations ! – Il semble qu’au plus on administre de vaccins, au plus les enfants courent le risque de faire des maladies chroniques. Les parents commencent à réaliser la chose qu’ils soient d’Ukraine, d’Inde ou des Etats-Unis. Par contre, ceux qui poussent à la consommation de vaccins ne semblent pas ou ne veulent pas comprendre ce qui se passe.

 

Personnellement, je pense qu’il existe un moyen précis et efficace pour convaincre les parents et c’est une étude rétrospective de l’état de santé des enfants non vaccinés  comparativement aux enfants qui ont reçu tous leurs vaccins.

 

On pourrait croire qu’en cette ère de la science que des études auraient pu prouver l’efficacité des vaccins, que ce type même d’études auraient dû être réalisées par les Services de Santé, les Centres de Contrôle des Maladies et de Prévention, par la Food and Drug Administration pour, une bonne fois pour toutes, prouver d’une manière claire et précise la justesse de la stratégie vaccinale au lieu de simplement l’affirmer ou d’obliger le peuple à y croire.

 

Je suis chercheur et j’ai connaissance qu’il existe des cohortes d’enfants non vaccinés aux Etats-Unis et en Europe qui pourraient participer à des études. Je souhaiterais que pareilles études soient entreprises au plus tôt par les autorités de Santé et sans la participation de Big Pharma. Les consommateurs, les enfants, les parents ont le droit de connaître les faits. Ils ne doivent pas s’incliner simplement parce que c’est Big Pharma qui l’a décrété. Il ne serait que juste également de s’interroger sur le fait que cette étude aurait dû être réalisée depuis belle lurette.

 

Notes:

[1] http://www.thelancet.com/journals/lancet/article/PIIS0140-6736(13)61469-5/fulltext
[2] http://digitaljournal.com/article/323371
[3] Ibid.
[4] http://www.cdc.gov/flu/professionals/acip/laiv-shed.htm
[5] http://www.vaccineriskawareness.com/Vaccine-Shedding
[6] http://insidevaccines.com/wordpress/2008/02/24/secondary-transmission-%EF%BB%BFthe-short-and-sweet-about-live-virus-vaccine-shedding/
[7] http://www.cdc.gov/vaccines/vpd-vac/polio/dis-faqs.htm
[8] http://www.nytimes.com/1999/06/19/us/change-in-polio-vaccines-is-recommended.html
[9] http://en.wikipedia.org/wiki/Bill_%26_Melinda_Gates_Foundation
[10] http://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/9292105
[11] http://www.kevinmd.com/blog/2009/08/did-the-oral-polio-vaccine-cause-an-outbreak-in-nigeria.html
[12] http://www.homeopathyworldcommunity.com/forum/topics/oral-anti-polio-vaccine-opv-in-pakistan
[13] http://www.examiner.com/article/baby-s-family-awarded-damages-after-hexavalent-vaccine-ruled-cause-of-her-death
[14] Ibid.
[15] http://www.thelancet.com/journals/lancet/article/PIIS0140-6736(13)61469-5/fulltext
[16] http://www.forbes.com/sites/gerganakoleva/2012/06/27/merck-whistleblower-suit-a-boon-to-anti-vaccination-advocates-though-it-stresses-importance-of-vaccines/
[17] Ibid
[18] http://www.lifesitenews.com/news/archive//ldn/2008/aug/08081407

 

Source: Naturalblaze.com

 

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14 juillet 2013 7 14 /07 /juillet /2013 11:56

Beaucaire : il veut supprimer l'aluminium des vaccins

 

Arles / Publié le vendredi 12 juillet 2013 à 17H55

 

beaucaire.jpg

 

Atteint d'une maladie très rare (note d’IC : pas si rare que cela…), Frédéric Graindorge se bat pour que les sels d'aluminium soient interdits dans les vaccins

 

 

Photo E.C.

 

Frédéric alerte sur les dangers des vaccins aux sels d'aluminium.

 

"Je n'ai plus d'énergie... pourtant, je vais puiser dans mes réserves. Car ce n'est pas pour moi, mais pour mes enfants, pour nos enfants à tous que je me bats." La maladie dont est atteint Frédéric Graindorge est très rare mais son combat et ses propos sont universels : la maladie qui le tourmente, décelée en 1993 seulement, pourrait bien toucher de nombreuses personnes encore ans les années à venir. "Un scandale pire que le Mediator" prédit Frédéric Graindorge, atteint d'une myofasciite à macrophages, c'est-à-dire une maladie dégénérative liée à la présence de sels d'aluminium dans le cerveau. Sels d'aluminium qui lui auraient été injectés lors de vaccins.

 

"Je ne sais pas si c'est celui de 1992 que l'on m'a fait à l'armée, ou si c'est celui de 1998 quand la médecine du travail m'a imposé de me faire vacciner contre l'hépatite B... Je suis resté des années sans savoir ce que j'avais, je suis tombé sur de nombreux médecins qui n'étaient pas informés et voulaient juste me gaver de médicaments...jusqu'à ce que l'un d'entre eux me fasse, enfin, faire une biposie musculaire." Car c'est seulement en pratiquant cet examen, à l'endroit précis où le vaccin a été effectué, que le diagnostic peut être posé.

 

"Personne ne pouvait mettre de nom sur ma maladie"

 

À partir de ce moment, Frédéric a pu connaître ce mal qui a fait d'un coiffeur travailleur et plein d'ambitions, un handicapé qui souffre et vit continuellement épuisé. "J'ai mal de partout, tout le temps, sans pause la nuit ou pour les vacances. J'ai mal jusqu'à épuisement parfois car je suis toujours fatigué, comme une pile déchargée" raconte celui qui a dû dire adieu à sa carrière et à son goût pour le rugby. "Je me suis séparé également...c'est dur pour les proches de me voir sans énergie, ils ne comprenaient pas ce qui m'arrivait, personne ne pouvait mettre de nom sur ma maladie."

 

Depuis, il a découvert l'Association entraide aux malades de myofasciite à macrophages (AE3M), qui milite pour que les vaccins ne contiennent plus de sels d'aluminium. "Le plus incompréhensible, c'est qu'avant 2008, il existait un vaccin contre le DTPolio qui ne contenait pas de sels d'aluminium ! Mais il a disparu sans raison et aujourd'hui, nous n'avons plus que le droit d'empoisonner nos enfants ! J'en ai la boule au ventre tous les jours d'avoir fait vacciner mes deux filles..."

 

Et le père de famille de s'inquiéter du manque d'information flagrant des parents mais surtout des professionnels de santé. "Pour moi, il est trop tard, je suis foutu... Mais quand je pense que chaque jour, des centaines d'enfants sont vaccinés, je ne peux le supporter !" 

  

Aveline Lucas

 

Source: La Provence

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14 juillet 2013 7 14 /07 /juillet /2013 00:22

Un Tribunal Fédéral Américain reconnaît que :

 

Le vaccin contre l’hépatite B a provoqué

le syndrome de fatigue chronique

 

Par MB, 9 juillet 2013

 

Dangrer-vaccins.jpg

 

Un Tribunal Fédéral Américain a jugé qu’ « une dose du vaccin contre l’hépatite B a provoqué [chez un patient] le syndrome de fatigue chronique ».

 

Suite à ce jugement, le patient a reçu 1,1 million de dollars en dédommagement pour les frais médicaux de la première année, ainsi qu’une rente supplémentaire pour les dépenses de soins à vie.

 

Ce jugement devrait pouvoir représenter un avertissement clair pour tous ceux qui envisageraient de se faire vacciner contre l’hépatite B vu que leur santé pourrait être mise en danger.

 

Les femmes enceintes devraient être conscientes que, dans la plupart des hôpitaux,  ce vaccin est administré aux nouveau-nés sans la permission des parents. La chose se passe souvent quand l’enfant est retiré de sa mère peu de temps après la naissance.

 

La notice du vaccin RECOMBIVAX (contre l’hépatite B)  de Merck signale les effets secondaires suivants : fatigue, sclérose en plaques, crises convulsives, encéphalite, lupus et arthrite.

 

Si quelqu’un insiste pour que vous fassiez vacciner votre enfant contre l’hépatite B, vous avez le droit de refuser. 

 

Notice de ce vaccin Recombivax de Merck: ICI

 

Texte intégral du jugement : ICI

 

Source de cet article: The Refusers.com

 

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10 juillet 2013 3 10 /07 /juillet /2013 21:34

 Dédommagement maximum pour la mort d’un bébé

  

« Décès après un vaccin »

La famille reçoit 200.000 Euros de dédommagement

 

Deces-d-un-bebe-italien.JPG

 

Pesaro, 4 juillet 2013, Di Ale.Maz

 

Une petite fille est décédée après avoir reçu le vaccin hexavalent Infanrix hexa.

 

Avant-hier, un juge du Tribunal Civil de Pesaro qui a finalement considéré que le Ministère de la Santé était responsable, a attribué à la famille un dédommagement  de 200.000 euros en  plus d’une rente d’environ 700 euros par mois avec une indemnité complémentaire qui reste à définir.

 

La petite fille de Pesaro avait 6 mois quand elle est morte dans son lit en février 2003. Sur base de l’avis de sommités médicales et de consultants, le tribunal a reconnu un lien de causalité entre la vaccination avec Infanrix hexa et la mort de l’enfant.

 

Cette histoire tragique a été défendue par l’avocat Luc Ventaloro de Rimini, expert des droits de l’enfant. La petite fille, précise l’avocat, a très vite commencé à souffrir d’une série de symptômes qui pouvaient être liés à la vaccination : douleurs articulaires incessantes, perte totale d’appétit, inversion des rythmes veille- sommeil etc. La petite fille est morte pendant son sommeil un soir de février 2003. Une autopsie a déterminé que la cause du décès était une pneumonie interstitielle. Le vaccin hexavalent comprenait les valences suivantes : polio, diphtérie, tétanos, hépatite B coqueluche et haemophilus influenza de type b.

 

Les indemnisations suite à des décès après vaccinations sont régies par la loi 210 de 1992 qui a trait à l’indemnisation « en faveur des sujets dont la santé a été endommagée par des complications de type irréversible à la suite de vaccinations obligatoires et de transfusions.» L’indemnité devra être payée par le Ministère de la Santé

 

Source : ilrestodelcarlino.it

 

Trois choses sont très intéressantes au sujet d’un tel cas :

 

- La première c’est que les tribunaux italiens semblent plus courageux que ceux d’autres pays en matière de reconnaissance du lien entre vaccins et effets secondaires. Songeons notamment au retentissant procès de Rimini sur le lien entre vaccin ROR et autisme.

 

- La deuxième, c’est que l’Agence italienne des Médicaments semble plus honnête que celles d’autres pays en admettant plusieurs fois un lien probable entre décès d’enfants et vaccination avec Infanrix hexa dans ce pays (cfr rapports de décès dans le document confidentiel de GSK sur la pharmacovigilance de l’Infanrix hexa, tel que publié sur ce site)

 

- La troisième, c’est qu’en Italie, un décès post-vaccinal par pneumonie interstitielle est considéré comme pouvant être en lien avec un vaccin comme l’Infanrix hexa alors qu’en Belgique, il aurait sûrement été considéré cela comme indépendant… songeons au décès de la petite Stacy en octobre 2011 dans la région de Charleroi, une semaine seulement après ses 3 premiers vaccins faits à l’ONE dont l’Infanrix hexa… son décès fut attribué à une infection grave avec empoisonnement du sang (septicémie). Mais qui peut affirmer sérieusement que tous ces vaccins administrés à un enfant dont le système immunitaire est encore si immature n’ont pas favorisé l’apparition d’une infection ? Personne sauf les pseudos experts aux bottes des pharmas et/ou ceux englués dans cette idéologie vaccinale anti-scientifique et contraire au plus élémentaire bon sens.

 

 

 

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10 juillet 2013 3 10 /07 /juillet /2013 18:22

La vaccination provoque l’autisme

 

Voici ce qu’ils savent…

 

Autisme-fille-contre-un-mur.jpg

 

Christina England, 4 juillet 2013

 

Depuis de nombreuses années, des parents ont été convaincus que les vaccinations multiples ont provoqué l’autisme chez leurs enfants. Mais partout dans le monde, les gouvernements ont catégoriquement nié cette possibilité. Ils continuent à mettre leur tête dans le sable et à ignorer ce qui se passe. Ils refusent d’effectuer  les études pertinentes et ne veulent répondre à aucune question qui pourrait mettre la vérité sur les vaccins en pleine lumière.

 

Leurs actions sont clairement démontrées dans une vidéo publiée le 11 mai 2013, enregistrée au Congrès Américain et dans laquelle apparaissent les Députés Burton et Bill Posey et le Dr Weldon.

 

Cette vidéo  illustre ce qui s’est passé au fil des années derrière des portes closes. Elle donne aux parents l’occasion rare de pouvoir être les témoins directs des mensonges qui sont racontés au public, ainsi que de l’énormité de la supercherie en ce qui concerne les vaccins. [1]

 

Vaccins, mensonges et vidéo

 

Cette vidéo a commencé à être tournée en l’an 2000.

 

Le Député Dan Burton, président du la Commission de Réforme Gouvernementale sur l’autisme et les vaccinations pour enfants (2000) a ouvert la séance en déclarant que l’autisme, autrefois considéré comme une maladie rare, était quasi devenu une épidémie. Il devait préciser qu’il existait une priorité absolue à effectuer un maximum de recherches sur la relation possible entre les vaccins et l’autisme. Il a terminé son introduction en précisant qu’il nous fallait  cesser de nous mettre la tête dans le sable et ignorer cette possibilité.

 

S’adressant au Dr Coleen Boyle, Directrice du Centre National sur les Malformations Congénitales et les Troubles du Développement du CDC (Centres de Contrôle des Maladies), il a demandé :

 

« Nous avons vérifié tous les dossiers financiers de la FDA, du HHS, du CDC.- Pouvez-vous croire que quelqu’un qui reçoit des fonds de Merck ou d’autres sociétés pharmaceutiques  devrait figurer dans les Comités Consultatifs qui donnent leur avis sur des produits pharmaceutiques en provenance de ces sociétés, ou croyez-vous qu’on a, là affaire, à des conflits d’intérêts ? »

 

Pour la plupart d’entre nous, la réponse à cette question ne devrait poser aucun problème. La chose n’a pas été aussi simple pour le Dr Boyle qui a d’abord semblé être sans voix quand elle a finalement déclaré :

 

« Je pense qu’il est difficile de répondre à cette question. »

 

Le Député Burton s’est alors tourné vers le Dr Paul Offit, et lui a dit :

 

« Vous parlez de collaboration… je suppose que c’est avec la société pharmaceutique Merck ? »

 

A cette question, Offit  commença à bredouiller :

 

« Oui, je, euh, comme je, euh, l’ai écrit dans mon rapport, j’ai collaboré avec Merck & Company depuis 1992 pour le développement du vaccin contre le rotavirus. »

 

Le Député Burton a simplement répondu :

 

« Ce sont eux qui fabriquent le vaccin ROR, (Rougeole, Oreillons,Rubéole) n’est-ce pas ? »

 

Se retournant vers le Dr Boyle, Dan Burton lui demanda pourquoi le CDC n’avait pas, au cours de l’enquête, envisagé la possibilité que certains de ces vaccins aient pu provoquer l’augmentation de l’autisme. Burton lui demanda de vérifier ce fait. En dépit du fait qu’elle marqua son accord, il semble qu’une fois de plus cette tâche relativement simple ait été trop difficile pour le Dr Boyle, parce que treize ans plus tard, nous attendons toujours sa réponse.

 

Après avoir parlé à d’autres membres du Congrès, le Député Burton se retourna vers le Dr Boyle et lui dit sur un ton très ferme :

 

« Pour votre information, Dr Boyle, lors d’une réunion publique dans la région de Brick en 1997 avec le CDC et autres personnes (vous devez être au courant), plusieurs membres de l’auditoire ont posé des questions sur les vaccins et sur le lien possible qui pourrait exister avec l’autisme. Ces personnes ont demandé que des vérifications soient faites. »

 

Il poursuit :

 

« Et je soutiens que c’est peut-être, juste peut-être, parce que la compagnie pharmaceutique qui les fabrique avait  une certaine influence sur les gens assistant à cette réunion vu qu’ils ont dit : Hey, nous ne voulons pas entrer dans ces détails… Et je précise que si c’est le cas, cela frise le criminel ! »

 

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Député Dan BURTON : audition au Congrès Américain

 

Mon petit-fils, comme des milliers d’enfants étaient en parfaite santé, jusqu’à ce qu’ils reçoivent ces vaccins multiples…Je veux que vous puissiez VOIR ce que ces parents doivent endurer avec ces enfants

 

 

Cfr temps entre 3'36'' et 4'00 environ

 

 

Femmes-qui-pleurent.JPG

 

En concluant la séquence 2000, je pense que c’est le Dr Rimland qui a fourni la réponse la plus honnête de la journée quand, après avoir écouté tous les commentaires et effectué sa propre recherche scientifique,  il a répondu à la question du Député Burton qui voulait savoir s’il existait une possibilité que les vaccins puissent contribuer à l’augmentation des cas d’autisme.

 

Dr-Rimland.JPG

 

Le Dr Rimland a répondu :

 

« Il y a non seulement une possibilité, mais une très forte probabilité à partir de toutes les preuves disponibles…Il est assez intéressant de constater que la plupart des autorités officielles ont choisi d’affirmer que l’augmentation des cas d’autisme n’avait aucun rapport avec les vaccinations. – J’ai l’habitude de m’en référer à une citation qui m’apparaît très juste : l’histoire des progrès de l’humanité s’est accomplie sur la réfutation d’arguments d’autorité. »

 

Ce sont là des mots forts. Pourquoi n’a-t-il pas été entendu ?

 

Les organismes gouvernementaux continuent d’ignorer les appels

 

Si l’on s’en réfère à l’année 2002, il semble bien que rien n’ait beaucoup changé. Le Député Dan Burton a une nouvelle fois présidé une réunion de Comité. Il a décidé d’ouvrir cette cession avec le film poignant et émouvant d’un enfant souffrant d’une forme grave d’autisme pour permettre à l’assemblée de se rendre compte de ce que des parents ont à souffrir jour après jour. Ce bout de film a ému l’assistance jusqu’aux larmes. Le Député Burton a ajouté que comme son petit fils, il y avait des milliers d’enfants dans le pays qui étaient parfaitement normaux jusqu’à ce qu’ils reçoivent des vaccins multiples. Il a poursuivi en des termes extrêmement durs :

 

« Nous ne pouvons pas permettre à l’industrie pharmaceutique et à notre gouvernement de camoufler ce gâchis, car il ne va pas disparaître et va coûter des milliards de plus aux contribuables si nous permettons à la FDA, au HHS et aux agences de santé de continuer à se cacher derrière une façade où ils prétendent que des études prouvent le contraire de manière concluante, alors que tout cela est faux ! »

 

En fait, comme le montre la vidéo, tout ce débat houleux dure depuis plus d’une décennie. Chaque année, ce sont les mêmes problèmes qui sont discutés, les mêmes questions qui sont soulevées et la Commission en arrive toujours aux mêmes conclusions que les études nécessaires n’ont pas été réalisées pour établir le lien entre vaccinations et autisme.

 

Alors, pourquoi pareille situation et pourquoi rien n’a-t-il été fait ?

 

La représentante (chercheuse) du gouvernement s’est montrée hésitante

 

En 2012, le Député Bill Posey a tenté à nouveau d’interroger l’insaisissable et maintenant grisonnante Dr Boyle du CDC sur les vaccinations et l’autisme. 

 

Le Député Posey pose alors la question :

 

« Dr Boyle, mon prédécesseur, le Député Welder est un médecin très compétent et respecté de tous. C’est de lui que j’ai appris qu’il pensait avec beaucoup de certitude que le thimérosal dans les vaccins était certainement un facteur qui contribuait à provoquer l’autisme. Je me demande donc si le CDC a déjà organisé ou facilité une étude qui comparerait des enfants vaccinés à des enfants non vaccinés. L’avez-vous fait ? »

 

Comme on pouvait s’y attendre, au lieu de répondre à la question posée, le Dr Boyle évite complètement la question et répond :

 

« Nous avons réalisé un certain nombre d’études portant sur la relation entre le thimérosal et l’autisme et autres troubles du développement. »

 

Sans renoncer à sa première question, le Député Posey reformule sa question dans l’espoir d’obtenir une réponse claire et directe. Il demande :

 

« Donc, clairement, nettement et sans équivoque, avez-vous étudié des vaccinés comparativement à des non vaccinés ? »

 

Ce à quoi, le Dr Boyle a répondu :

 

« Nous n’avons pas étudié des vaccinés comparativement à des non vaccinés. »

 

Comme le Dr Boyle essayait de poursuivre dans une langue de bois, le Député Posey l’arrêta en disant :

 

« Peu importe, c’était le sens de ma question, vous m’avez fait perdre deux minutes de mon précieux temps. »

 

Il lui a alors demandé :

 

« Quelles sont les mesures qu’a prises le CDC pour s’assurer de l’intégrité de la recherche réalisée par le Dr Thorsen qui, comme vous le savez, a été inculpé pour faute grave par rapport à une mauvaise utilisation des ressources ? »

 

Une fois encore, on peut s’apercevoir que Boyle essaie d’esquiver la question. Au lieu de répondre directement au Député Posey, elle a essayé de s’en référer à des données incorrectes qui avaient trait au fait que le Dr Thorsen avait été co-investigateur dans seulement deux des études réalisées. Cette réponse fut immédiatement démentie par Posey qui a alors demandé si on pouvait l’autoriser à divulguer l’information selon laquelle le Dr Thorsen avait en fait été impliqué dans 21 des 24 études réalisées.

 

A aucun moment, et dans n’importe quelle partie de la vidéo, le Dr Boyle n’a répondu aux questions posées sans essayer d’éluder la question qui lui était posée, et même quand Posey lui a demandé :

 

« Etes-vous revenue pour valider les différentes études auxquelles Thorsen a participé ? Ce que je veux dire, c’est que vous savez pertinemment bien que ce type est  un monstrueux malfrat, un des hommes les plus recherchés de la planète, et c’est sur lui que vous comptez pour vous fournir les données qui vous permettront de décider si le thimérosal a des effets pervers ? »

 

Plutôt que d’admettre les défaillances du Dr Thorsen, le Dr Boyle s’est immédiatement attelée à la défense de Thorsen, alors même que cet homme se trouve en tête de liste des hommes  les plus recherchés de l’état fédéral pour 22 chefs d’accusation pour fraude électronique, blanchiment d’argent…. qui devraient lui valoir 260 ans de prison pour ses crimes. [2]

 

Conclusion

 

Après avoir vu la vidéo, il est évident  que pas une seule personne interrogée par le Député Burton ou par la Commission ne possédait la moindre preuve que les vaccins ne pouvaient pas provoquer l’autisme.

 

Au lieu de cela, les personnalités ont donné de fausses informations et ont tenté d’éviter toutes les questions qui leur étaient posées. Nombreuses étaient les personnes ayant des conflits d’intérêts avec l’industrie qui fabrique les vaccins et qui paradoxalement n’y voyaient aucun problème.

 

Les membres du CDC et de la FDA et autres organismes qui régulent le problème des vaccinations se doivent d’être totalement indépendants. Si, comme Paul Offit, ils détiennent des brevets relatifs aux vaccins ou collaborent avec les entreprises qui fabriquent les vaccins, il ne leur est pas possible d’être réellement indépendants comme de faire totalement preuve d’impartialité.

 

Il est certain que les parents qui font toute confiance aux fonctionnaires en ce qui concerne la vie de leurs enfants, méritent mieux que cela. Il est grand temps que les choses changent. Les parents qui font confiance au programme de vaccinations doivent impérativement être en possession des preuves concrètes que les vaccins qu’on leur propose sont sans danger. Au lieu d’ajouter sans cesse de nouveaux vaccins au programme et de tenter de les rendre obligatoires, les gouvernements et leurs représentants doivent d’abord répondre aux questions qui leur sont posées.

 

Cette vidéo représente une preuve concluante que ce n’est  toujours pas le cas.

 

The-rise-in-autism.JPG

 

Le plus grand crime jamais perpétré contre le public Américain

 

Député Dan Burton : « C’est pire qu’une épidémie; c’est un désastre absolu ! »

 

Références

 

1. http://www.youtube.com/watch?v=3wwDPcNdxJQ   (VIDEO)

2. http://www.sciencebasedmedicine.org/the-curious-case-of-poul-thorsen-fraud-and-embezzlement-and-the-danish-studies/

 

Source: Vactruth

 

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9 juillet 2013 2 09 /07 /juillet /2013 19:15

VACCINS en Chine : plus de mal que de bien ?

 

Pour sauver une seule vie, les vaccins endommagent la santé de plus de 1000 enfants en Chine !!!

 

Chine trois photos

 

D’après : China Daily, 6 juillet 2013 – Asia News Network

 

 

CHINE – Plus d’un milliard de vaccins sont administrés aux Chinois chaque année, mais pour chaque vie qu’ils contribuent à sauver de la maladie – le redoutable vaccin nuit également à la santé de plus de 1.000 enfants, selon le Centre Chinois pour le Contrôle et la Prévention des Maladies.

 

Ces enfants dont la santé a été endommagée par les vaccins souffrent de problèmes allant de lésions nerveuses jusqu’à la mort.

 

La plupart des pays possèdent des systèmes de vaccinovigilance en ligne, mais en Chine, tout le monde est d’accord pour dire que l’on pourrait faire beaucoup plus pour améliorer la politique de vaccination.

 

Wang Yu, directeur du CCDCP, dit qu’il existe des technologies vaccinales plus avancées utilisées dans certains pays. Mais la technologie chinoise de vaccination s’améliore très lentement ou même pas du tout. La Chine utilise encore les techniques de production d’il y a 30 ans.

 

Le professeur Wang Yuedan de l’Université de Pékin met en cause un manque de savoir faire.

 

« La raison de cette importante disparité est une question de talent. Dans le domaine de l’immunologie, les talents ont fait défaut suite aux bas salaires et au pauvre développement des carrières. L’immunologie est le cœur même de la biomédecine et, par rapport à la technologie vaccinale, l’Occident garde jalousement ses secrets. Si nous ne changeons pas de système, les talents vont continuer à nous faire défaut et il n’y aura pas d’amélioration substantielle dans ce domaine. »

 

Le vaccin contre le méningocoque

  

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Li Baoxiang, dont le fils est resté paralysé après un vaccin contre la grippe H1N1 dans la ville de Linyl (Province de Shandong), écrit : «  La seringue du vaccin a atterri dans notre famille comme une bombe nucléaire; elle a détruit nos enfants et notre famille…Comme aucun pays ne peut assurer à 100% que le vaccin est sans danger, il devrait y avoir un système d’aide efficace pour ceux qui souffrent des effets indésirables. »

 

Le journal Southern Metropolis Daily a passé trois ans à suivre près de 50 familles qui ont connu des cas similaires.

 

Parmi elles, relevons le cas de Lu Jiarun. Elle avait à peine 7 mois et pouvait se tenir debout. Elle se réveillait chaque matin en criant « papa ». Ce papa se sentait l’homme le plus heureux du monde quand un vaccin qui était censé empêcher sa petite fille de tomber malade a fait tout le contraire et a ruiné son bonheur pour toujours.

 

C’est en 2009 que la maman de la petite fille la conduisit à un Centre local de santé pour la faire vacciner contre la méningite. A peine rentrée à la maison, la petite fille à commencé à pleurer avant de faire des convulsions. Après avoir subi des traitements dans plusieurs hôpitaux, l’état de santé de la petite fille se détériora. Les médecins ont reconnu que son état était dû à la réaction qu’elle avait faite à la suite du vaccin.

 

Après de nombreux rebondissements, et de démarches auprès de l’administration, la famille a finalement obtenu un dédommagement de 120.000 yuan du gouvernement local. Après des années de traitement l’enfant n’a toujours pas récupéré.

 

Le vaccin contre la grippe H1N1

 

En 2009, Fei Jingming, 17 ans avait une merveilleuse voix d’opéra et se réjouissait de suivre des cours dans une école d’art. En novembre, elle demanda à ses parents si elle devait se faire vacciner contre la grippe H1N1. Son père qui s’était déjà fait vacciner, lui conseilla d’accepter le vaccin. Mais dans la famille, ils regrettèrent tous cette décision.

 

Après l’injection, Fei commença à éprouver des douleurs dans les articulations. Le jour suivant, ses yeux commencèrent à saigner. Le diagnostic tomba : troubles sanguins. Les médecins lui expliquèrent que le seul traitement possible était une greffe de moelle. Mais il ne fut malheureusement pas possible de trouver, à temps, un donneur compatible et, à partir du 8 mars 2010 sa santé se détériora et elle finit par mourir.

 

Dans la suite, la maman apprit que la compagnie qui avait produit le vaccin avait été suspendue pour avoir produit des vaccins contrefaits.

 

«  Comment est-il possible que des vaccins contrefaits puissent passer les différents tests et être achetés par le gouvernement ? Combien d’autres familles ont-elles dû subir la perte de leurs enfants à cause de vaccins contrefaits ? » a demandé la maman.

 

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Le vaccin contre le méningocoque (encore)

 

En mai 2009, la naissance de Dong a apporté beaucoup de joie dans la famille. Sept mois plus tard, elle fut vaccinée contre la méningite. Très vite, elle développa des complications. Le jour même, elle fit de la fièvre et par après des convulsions.

 

Quelques jours plus tard, un médecin dut expliquer à la famille que l’enfant souffrait de lésions cérébrales irréversibles. La famille reçut finalement un dédommagement de 300.000 yuan.

 

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Le vaccin contre la rougeole

 

Zhang Wen était une jeune fille en parfaite santé. Elle jouait de la batterie et se réjouissait de rentrer à l’école d’art.

 

En octobre 2009, un vaccin contre la rougeole est venu bouleverser sa vie. Une semaine après l’injection, Zhang commença à tousser et son nez n’arrêtait pas de couler. Plus tard, elle commença à souffrir de maux de dos. Elle éprouvait aussi de grosses difficultés pour aller aux toilettes. Elle avait aussi l’impression qu’elle portait des chaussures brulantes…Comme elle préférait mourir, elle demanda plusieurs fois qu’on arrête les traitements.

 

Après des années de traitement, Zhang est encore faible et ne peut fréquenter l’école qu’une demi- journée. Son kit de batterie qui a été rangé dans la cave est couvert de poussière.

 

Chine-rougeole.jpg

 

Sources: Asiaone & SaneVax

 

Ainsi donc l’excuse officielle serait que les vaccins chinois seraient tellement moins sûrs que les vaccins occidentaux….Comment se fait-il alors que l’OMS ait pré-qualifié en 2011 l’Agence Nationale Chinoise des Médicaments après une « collaboration technique approfondie » ?? Margaret Chan a également précisé que « quand des vaccins individuels sont pré-qualifiés par l’OMS, la capacité d’un pays à produire une grande quantité de vaccins à des prix très bas, est de nature à révolutionner le marché des vaccins et leur prix. »

 

La vérité, c’est que l’objectif vaccinal de l’OMS est purement idéologique, il est de vacciner un maximum de gens contre un maximum de maladies toujours et tout le temps et pas en tout premier lieu d’assurer la meilleure santé globale possible. C’est entre autres ce qui explique que le premier poste budgétaire de l’OMS en 2012-2013 reste consacré aux maladies infectieuses et aux vaccins alors que des dépenses fondamentales en faveur de l’eau et de la nourriture n’arrivent qu’en 5° position ! 2,6 milliards de gens sur terre ne disposent toujours pas d’un système d’assainissement de base pour l’eau et 1,1 milliard de gens n’ont même pas accès à une source d’eau potable. Dans le même temps aussi, seuls 3% des enfants atteints de formes sévères de malnutrition profitent des pâtes nutritives prêtes à l’emploi et 87% de ces enfants continuent de mourir de cette absence vitale de nourriture alors qu’on continue de les inonder par contre de vaccins.

 

Dans un tel contexte, il semble bien que la question du prix des vaccins est plus prioritaire aux yeux de l’OMS que leur sécurité. Les pré-qualifications de vaccins par l’OMS ne sont absolument pas une garantie. La preuve notamment avec le Quinvaxem qui avait été pré-qualifié lui aussi par l’OMS et qui a provoqué le décès de plusieurs dizaines d’enfants dans des pays pauvres.

 

La vérité, dure à admettre pour ceux qui avaient encore toutes leurs illusions, c’est que la sécurité des vaccins est mauvaise, où que l’on se trouve dans le monde ! Les vaccins ne sont pas et n’ont jamais été scientifiquement évalués en plus de 200 ans d’utilisation. Alors forcément, ça se ressent fortement en termes de santé publique globale. Nous sommes de plus en plus atteints de maladies chroniques et nos enfants aussi, y compris et même encore plus dans les pays les plus riches qui ont accès au plus grand nombre de vaccins, fussent-ils « améliorés ».

 

Alors que seuls 1 à 10% des effets secondaires graves de vaccins sont comptabilisés dans nos pays dits "avancés", il ne nous étonne nullement que le fait de sauver une vie (donc réduction de la mortalité d'un seul point) impose de rendre malades 1000 autres enfants. Quel nivellement de la santé publique par le bas! En fait, la vaccination ne consiste pas à assurer la santé de tous au prix d'un nombre soi-disant infime de victimes mais consiste au contraire à rendre patraque quasiment toute une population (qui ne s'en rend pas forcément compte car l'altération de la santé peut être subtile et progressive) pour ne sauver qu'une infime minorité de gens, le nombre de décès possibles étant statistiquement très très faible dans des pays comme les nôtres.

 

Et pendant ce temps-là, l’OMS, qui dit vouloir contribuer au bien-être de tous les citoyens du monde, rêve d’un monde idéal où les vaccins seraient enfin appréciés de tous

 

Ce n’est vraiment pas pour demain ! En Chine comme ici !!

 

 

 

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Vu sur le site de l'Alliance Gavi, partenaire mondial de l'OMS et de la Fondation Gates en matière de vaccination

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7 juillet 2013 7 07 /07 /juillet /2013 16:40

AUSTRALIE

 

Un enfant gravement handicapé après un vaccin

Le fabricant nie toute responsabilité

 

D’après Rebecca Trigger, The West Australian, 3 juillet 2013

 

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Le fabricant d’un vaccin qui aurait provoqué de graves lésions cérébrales chez un jeune enfant de Perth, a nié toute responsabilité et prétend que le Ministre de la Santé et le gouvernement de cet état australien auraient été négligents et auraient dû suspendre la campagne de vaccination de 2010 contre la grippe.

 

Dans une affaire qui a mobilisé l’attention nationale, le bébé Saba Button de Watermans Bay, a dû être transporté d’urgence à l’hôpital le 19 avril 2010, après avoir reçu le Fluvax, un vaccin contre la grippe fabriqué par CSL.

 

La fillette a fait des convulsions fébriles qui l’ont laissée quadriplégique et presque complètement aveugle. Trois ans plus tard, Saba fait encore des crises régulières et nécessite des soins médicaux constants.

 

Les parents Mick et Kirsten Button ont poursuivi la firme CSL devant  le Tribunal Fédéral.

 

Cette affaire pourrait entraîner l’allocation d’une des plus importantes indemnités médicales jamais octroyées en Australie. Les parents exigent des dédommagements pour leur petite fille qui a maintenant quatre ans. Ces dédommagements sont réclamés pour la perte de joie de vivre de l’enfant, ses souffrances, son handicap profond, les frais occasionnés par les soins médicaux et les fréquents déplacements.

 

La semaine dernière, l’avocat de CSL, Belinda Thompson a affirmé que Saba avait eu deux autres vaccins  le même jour: le Neisvac (méningite C) et le Priorix ( = ROR), et a prétendu qu’ils auraient pu provoquer les convulsions fébriles.

 

Me Thompson a déclaré que CSL n’avait pas été tenue de réaliser des études cliniques pré-marketing pour les vaccins contre la grippe saisonnière. Elle a déclaré que son client n’avait pas été informé des cas de 90 autres enfants qui avaient dû être hospitalisés au Princess Margaret Hospital après avoir reçu le Fluvax entre le 18 mars et le 15 avril et dont 19 avaient fait des crises ou des convulsions après avoir reçu le vaccin.

 

L’avocate devait préciser que le Ministère de la Santé d’Australie de l’Ouest (WA) avait été officiellement informé de ces cas le 16 avril. La campagne de vaccination contre la grippe a été suspendue le 22 avril.

 

Le lendemain, le médecin en chef du Commonwealth a conseillé de ne pas administrer ce vaccin aux enfants âgés de cinq ans ou plus jeunes.

 

L’avocate, Me Thompson, a précisé qu’en mars et en avril 2010, le Ministre agissant pour le compte de l’Etat savait ou aurait dû avoir connaissance du nombre, ainsi que de la gravité des effets secondaires après ce vaccin contre la grippe saisonnière.

 

Elle a ajouté que le Département ou le Ministre auraient dû suspendre la campagne de vaccination de 2010 contre la grippe. Ils auraient aussi dû conseiller aux médecins de cesser d’administrer les vaccins aux enfants âgés de cinq ans ou plus jeunes, et préciser aux parents que ce vaccin n’était plus recommandé pour les enfants de cinq ans ou plus jeunes.

 

L’avocate a encore ajouté qu’en omettant de prendre ces mesures raisonnables pour ou avant le 18 avril, le Ministre et le gouvernement de l’Etat ont manqué à leur obligation (de soins de santé) vis-à-vis de Saba et devraient en prendre l’entière responsabilité juridique

 

Me Thompson a également précisé que CSL, habituée à s’en référer aux autorités de Santé, a attendu que les professionnels de la Santé et que les Agences de Santé du gouvernement du Commonwealth l’informent de tout effet secondaire signalé après la vaccination.

 

Me Julian Johnson, l’avocat de la famille Button, a déclaré que ses clients avaient été déçus par la réponse de CSL , comme par le refus de reconnaître les problèmes liés à ce vaccin contre la grippe ; déçus aussi de ne recevoir aucune explication par rapport au pourquoi des problèmes qui auraient pu être liés à leur produit.

 

Le Ministère de la Santé et le Ministre de la Santé, Kim Hames n’ont pas répondu à une demande de commentaires. Un porte-parole du Ministre a précisé que ce dernier était en congé.

 

Le porte-parole de CSL, Sharon Mc Hale, a voulu préciser que le cas de Saba était « tragique », mais qu’il s’agissait d’un cas complexe et que tous les faits n’étaient pas encore connus.

 

Sources: SaneVax & Yahoo.com

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