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14 mai 2013 2 14 /05 /mai /2013 15:50

Dommages irréparables provoqués par les vaccins :

une étude polonaise

  

Les auteurs de cette nouvelle étude écrivent : « Il n’est pas raisonnable de penser que la manipulation du système immunitaire par une nombre croissant de vaccinations durant les périodes critiques du développement cérébral ne va pas entraîner des effets neurologiques indésirables. » Voici ce qu’ils ont découvert.

 

Enfant-triste.jpg

Petite fille triste, Espen Faugstad

 

Par Heidi Stevenson

 

Une nouvelle étude scientifique polonaise aborde la question des dommages irréparables causés par les vaccins. Elle présente la question en termes d’effets indésirables, d’effets sur le système immunitaire et de symptômes neurologiques après vaccination. En évoquant l’histoire des vaccins, l’étude montre que ceux-ci ont présenté peu d’avantages. L’étude qui fournit une nouvelle information de vaste portée, se base en grande partie sur des recherches qui ne sont pas souvent référencées dans le monde occidental. Une lecture honnête de cette étude laisse peu de doute par rapport aux dommages qui peuvent être considérables et souvent définitifs.

 

Effets secondaires

 

Il existe différents systèmes permettant de définir les types d’effets secondaires indésirables des vaccinations. On fait la différence entre les réactions qui dépendent directement ou non du  système immunitaire. On classe les réactions selon qu’elles sont locales, générales, proches ou plus éloignées dans le temps.

 

Quel que soit leur classement, les auteurs de l’étude affirment :

 

« Les rapports de nombreuses revues médicales polonaises et étrangères nous amènent à conclure que les complications post-vaccinales chez les enfants peuvent être observées dans des cas sporadiques et qu’elles sont disproportionnées par rapport aux avantages de la vaccination dans l’élimination des dangereuses maladies de l’enfance. »

 

L’étude laisse peu de place au doute que les vaccins soient susceptibles de produire des risques graves qui soient totalement  disproportionnés par rapport à quelque bénéfice que ce soit.

 

Les auteurs ont d’abord fait remarquer que plusieurs effets secondaires indésirables surviennent peu de temps après la vaccination et sont reconnus par la loi polonaise. Ces effets indésirables comprennent :

 

Des réactions locales :

 

  • Réactions locales après le vaccin BCG (tuberculose)
  • Gonflements
  • Lymphadénopathie
  • Abcès au point d’injection

 

Effets secondaires indésirables sur le système nerveux central :

 

  • Encéphalopathie
  • Convulsions fébriles
  • Convulsions non-fébriles
  • Poliomyélite paralytique causée par le virus du vaccin
  • Encéphalite
  • Méningite
  • Syndrome de Guillain-Barré

 

Autres effets indésirables après vaccination :

 

  • Douleurs articulaires
  • Episodes d’hypotonie-hyporéactivité
  • Fièvre supérieure à 39°
  • Thrombocytopénie
  • Pleurs inconsolables continues.

 

Il est probable que les complications neurologiques post-vaccinales aient tendance à être des lésions nerveuses permanentes du système nerveux central, y compris les convulsions (tout spécialement s’il y a une élévation de la température), les épisodes d’hypotonie-hypo-réactivité, les encéphalites post-vaccinales, les encéphalopathies post-vaccinales et l’autisme.

 

Effets sur le système immunitaire

 

Le système immunitaire d’un nouveau-né ne fonctionne pas de la même manière que celui d’un adulte et n’atteint pas sa maturité avant l’âge de 3 ans. Le système immunitaire humoral du nouveau-né – qui fonctionne avec les anticorps – provient directement de la mère et est associé à l’immunoglobuline IgG fourni par la mère. Ce système débute environ 6 mois avant la naissance et disparaît environ 6 mois après la naissance.

 

Graphique-systeme-immunitaire.jpg

 

Les anticorps autonomes sont appelés immunoglobulines. Alors que le fœtus commence à développer un certain nombre d’immunoglobulines avant la naissance, il faut du temps, dans la plupart des cas plus d’un an, pour atteindre la maturité. Le graphique montre la vitesse à laquelle  les IgG de la mère augmentent et finissent par diminuer. Il montre également la vitesse à laquelle un nouveau-né commence à produire ses propres IgM, IgA et IgD.

 

Etant donné que le nouveau-né possède toujours des anticorps de la mère, la vaccination contre certains microorganismes ne peut fournir une protection durable. Les auteurs précisent :

 

« Il est bien établi que dans les premiers temps de la vie, les réponses immunitaires sont plus faibles et de plus courte durée que celles qui sont produites chez des hôtes immunologiquement matures. En conséquence l’efficacité de la vaccination dans la prime enfance (particulièrement au cours des 6 premiers mois) est limitée. »

 

Les auteurs poursuivent :

 

« Des preuves expérimentales montrent clairement que l’administration simultanée de deux à trois adjuvants, ou la stimulation répétée du système immunitaire par le même antigène peut vaincre la résistance génétique à l’auto-immunité. »

 

La pratique courante qui consiste à administrer plus d’un adjuvant à la fois ou à injecter le même antigène à plusieurs reprises est susceptible de provoquer des dommages auto-immuns.

 

Les auteurs soulignent en outre que la toxicité des adjuvants  peut produire une gamme de réactions indésirables.

 

On ne comprend pas bien la manière dont le corps réagit aux vaccins. On croit cependant que la voie Th1 est sacrifiée au profit de la voie Th2. Ceci est censé mener à l’apparition d’allergies chez les nouveau-nés. Les allergies (qui peuvent parfois être mortelles) étaient jadis particulièrement rares. Aujourd’hui, on retrouve des allergies chez au moins 35% et peut-être même jusqu’à 40% des enfants. Cette situation est devenue l’un des problèmes les plus graves de santé en Europe.

 

Les auteurs citent une étude démontrant qu’une infection de la varicelle naturelle protège contre l’asthme et la dermatite atopique chez les enfants, alors que ce n’est pas le cas pour le vaccin.

 

Les auteurs précisent :

 

« Il a été démontré que la vaccination annuelle contre la grippe empêchait le développement de l’immunité des lymphocytes T spécifiques du virus CD8+  chez les enfants. »

 

Les auteurs précisent :

 

« Il semble que le nécessaire équilibre Th1/Th2 soit plus facilement réalisé grâce aux défis naturels (c'est-à-dire par les maladies d’enfance relativement bénignes comme la varicelle et les oreillons) plutôt que par la vaccination.

 

Des recherches récentes menées par Singh de l’Institut International de Recherches sur le Cerveau aux Etats-Unis confirment l’authenticité de cette déclaration. […] »

 

Conclusion partielle

 

A ce stade de leur examen, les auteurs soulignent que les vaccins qui sont utilisés pour « former » le système immunitaire, réduisent en fait le seuil de réactions de défense contre le développement de maladies infectieuses. Ceci conduit aux questions suivantes :

 

  • Comment les systèmes immunitaire et nerveux en développement d’un enfant en bonne santé peuvent-ils répondre à une stimulation aussi intense ?
  • Ces systèmes immatures peuvent-ils assurer le même effet protecteur par rapport à autant de stimuli différents ?
  • Les effets secondaires des vaccins comprenant plusieurs antigènes sont-ils différents des effets secondaires des vaccins ne comprenant qu’un seul antigène ? Si c’est le cas, comment expliquer la chose ? […]

 

«  Il n’est pas raisonnable de supposer que la manipulation du système immunitaire au moyen d’un nombre croissant de vaccinations pendant les périodes critiques du développement cérébral ne finira pas par engendrer des effets indésirables sur le développement neurologique (de l’enfant). »

 

Les auteurs de l’étude montrent clairement que les vaccins comportent le risque de faire un tort immense.

 

Cet article a trait aux deux premières parties de l’importante étude de Sienkiewicz, Kulak, Okurowska-Zawada et Paszko-Patej. Le prochain article portera sur les symptômes neurologiques consécutifs aux vaccinations comme sur l’histoire même des vaccinations et leurs faibles bénéfices.

 

Etude originale: Neurologic adverse events following vaccination; Progress in Health Sciences, 2012, Vol.2, n°1, Sienkiewicz D., Kulak W., Okurowska-Zawada B., Paszko-Patej G.

 

Source: Gaia Health

 

Ci-dessous, voici les commentaires des Américains Dave Mihalovic et Catherine Frompovich qui ont repris plusieurs points saillants de cette étude polonaise:

 

Effets secondaires neurologiques faisant suite à la vaccination

 

Notes prises à partir de ce document extraordinaire :

 

http://progress.umb.edu.pl/sites/progress.umb.edu.pl/files/129-141.pdf

 

Notes prises à partir de ce document extraordinaire :

 

Article de discussion

 

http://wakeup-world.com/2013/10/03/irrefutable-evidence-shows-vaccines-had-no-health-benefit-or-impact-on-prevention-of-infectious-disease/

 

Le système immunitaire du nourrisson par rapport à la vaccination [le meilleur jamais lu !]

 

Page 131

 

Graphique montrant différents niveaux d’immunoglobulines en fonction de l’âge du nourrisson.

 

Il est à noter qu’un enfant ne possède pas la pleine maturité et la pleine défense immunitaire avant l’âge de 3 ans.

 

A étudier spécialement l’information avant le note de page [22]

 

Page 132

 

Des maladies allergiques baptisées « épidémie du XXIème siècle. »

35% de la population des pays développés souffrent d’allergies.

Corrélation positive de la maladie associée au vaccin ROR

 

Page 134

 

Symptômes neurologiques après vaccination / toxicité du Mercure / 125 fois plus élevée que la norme considérée sécuritaire.

 

Mort subite après vaccination due à un œdème cérébral et pulmonaire, ainsi qu’à des attaques cardiaques.

 

Page 135

 

Neurotransmetteurs excitateurs et toxine de la coqueluche.

 

Liste des complications neurologiques.

 

Page 137

 

Tableau. 8 : La plus forte baisse de la coqueluche a eu lieu avant l’introduction de la vaccination générale des enfants – Suisse 1910-1980

 

Les cas de diphtérie sont montés en flèche après que les vaccins aient été introduits en 1925. Voir le tableau.

 

«  Il est intéressant de noter qu’au cours des dernières décennies, la diminution des maladies infectieuses généralement rapportées s’est produite avant l’introduction de la vaccination contre ces maladies.

 

Selon un rapport de 2002 du Lancet Infectious Diseases [72] – il existe des preuves solides qui montrent  que, sur un plan personnel et environnemental, l’hygiène a réduit la propagation de l’infection – Les résultats de cette étude montrent qu’il existe un effet positif, continu et mesurable de l’hygiène personnelle et collective sur les maladies infectieuses. Le même rapport a montré que les taux bruts de mortalité due aux maladies infectieuses a diminué jusqu’à des niveaux quasi négligeables bien avant l’introduction des pratiques de vaccination universelle. Actuellement, les pays développés présentent des calendriers de vaccination de plus en plus complexes.

 

« C’est au cours des années 1960, que de plus en plus de vaccinations ont été mises en place. Les maladies allergiques, y compris l’asthme, les maladies auto-immunes, le diabète, de nombreux troubles neurologiques – difficultés d’apprentissage TDA, (trouble déficitaire de l’attention), TDAH (déficit d’attention avec hyperactivité, convulsions et autisme – autant de maladies chroniques qui ont retenu l’attention [73].

 

Dans les pays scandinaves, qui ont les taux de mortalité infantile les plus bas, les vaccinations sont volontaires et les nourrissons reçoivent leurs premières vaccinations à 3 mois.

 

«  On notera également que les pays scandinaves ont les taux les plus bas d’autisme par rapport aux autres pays développés, et dont les enfants qui reçoivent un plus grand nombre de vaccins sont aussi vaccinés beaucoup plus tôt [49]

 

Suggestions pour la modification du programme de vaccination de la Pologne – chose qui devrait aussi pouvoir s’appliquer aux Etats-Unis Voir # 8.

 

« Le professeur Majewska – neurobiologiste, Directeur de la Chaire Marie Curie du Département de Pharmacologie et de Physiologie du Système Nerveux à Varsovie – en collaboration avec des pédiatres, a rédigé une proposition de modification du programme de vaccination en Pologne et qui est basé sur une analyse des programmes de vaccination dans d’autres pays de l’Union européenne. Les propositions sont les suivantes :

 

  • Eliminer le thimérosal de tous les vaccins
  • Supprimer la vaccination des nourrissons contre l’hépatite B (ne vacciner que les nourrissons à haut risque, à savoir les nourrissons de mères infectées).
  • Arrêter la vaccination BCG des nouveau-nés (à utiliser seulement chez des enfants provenant de régions où le pourcentage de patients atteints de tuberculose dépasse 40 pour 100.000)
  • Commencer à vacciner à partir de 4 mois dans le groupe restant des enfants.
  • Abandonner le vaccin anticoquelucheux cellulaire.
  • Administrer un maximum de 3 types de vaccins en une seule journée.
  • Abandonner l’administration de vaccins à virus vivants, ou alors les administrer un à la fois à des intervalles de sécurité.
  • Rendre les vaccins monovalents accessibles.
  • Engagement du médecin vaccinateur pour mener un entretien préalable avec les parents au sujet d’éventuelles allergies, asthme, maladies auto-immunes, complications post-vaccinales chez les membres de la famille qui permettrait au médecin de pouvoir prédire si tel ou tel enfant serait susceptible d’avoir des réactions post-vaccinales graves. De tels enfants devraient pouvoir avoir accès à un programme de vaccination individualisé et très prudemment développé.
  • Surveiller l’état de santé des enfants après la vaccination afin de pouvoir dépister à temps des situations qui pourraient nuire à la santé de l’enfant ou mettre sa vie en danger.
  • Créer un programme national d’enregistrement obligatoire des complications vaccinales et des décès dus aux vaccins. Ces données devraient être signalées à l’OMS  et l’information sur les complications devrait être consignée dans le livret de santé de l’enfant [51].

 

Page 138

 

Conclusions

 

« Il semble qu’il serait utile d’appliquer le principe de précaution – le principe d’éthique (1988) selon lequel il serait préférable de ne pas mettre en œuvre une nouvelle technologie s’il existait une probabilité, même mal connue, d’effets secondaires indésirables, plutôt que de risquer des conséquences incertaines mais potentiellement dangereuses. »

 

Commentaire de Catherine Frompovich

 

Ce document est extrêmement précieux parce qu’il met en valeur toute une série d’arguments qui vont dans le sens de ceux qui demandent une vaccination sans danger (aux Etats-Unis et ailleurs). Ce document devrait pouvoir servir de modèle pour un travail de réforme de la vaccination. Ce document confirme aussi la plupart des thèmes repris dans le livre de Catherine Frompovich « Vaccination Voodo, What YOU Don’t Know About Vaccines » [4 Oct. 2013]

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12 mai 2013 7 12 /05 /mai /2013 20:30

rajiv-mittal.jpg

Voici un mail que le Dr Rajiv Mittal de Delhi a envoyé à Sylvie Simon:

L'OMS fait la promotion d’un vaccin pentavalent : diphtérie, tétanos, coqueluche, hæmophilus influenza type b et Hépatite B dans les pays en développement. [note d'IC: le Quinvaxem]

Ce vaccin a causé des morts dans de nombreux pays. Le gouvernement de l'Inde a fait une étude sur ce vaccin pentavalent dans le Kerala et le Tamil Nadu. Selon cette étude dont les données ont été publiées par le British Medical Journal électronique, 15 enfants sont morts à cause des effets secondaires du vaccin. La compagnie pharmaceutique affirme que ces morts ne sont pas dues au vaccin, mais sont simplement des « décès inexpliqués » par coïncidence,  dans les 48 heures suivant l'administration du vaccin ! (Une coïncidence se produit une fois ; là, on trouve 14 coïncidences, ce qui est beaucoup trop.)

Si les fabricants de vaccins ont gain de cause, ce programme de vaccination sera étendu à travers le pays. Le gouvernement de l'Inde semble être prêt à permettre que cela se produise. Il a déjà étendu ce vaccin à 6 autres états avant d’avoir les résultats des essais dans le Kerala et Tamil Nadu. 1 vacciné sur 10 000 mourra du vaccin – lequel pourrait être votre enfant ou petit-enfant. Seule, la sensibilisation d’un large public peut l’empêcher. Plus d'enfants vont mourir des effets indésirables des vaccins que ceux qui seront sauvés de la méningite à Hib. Cela ne peut pas être acceptable.

pentavalent.jpg                                                    Enfant recevant le vaccin Quinvaxem injectable.

Ce vaccin a causé des morts dans de nombreux pays. Le gouvernement de l'Inde a fait une étude sur ce vaccin pentavalent dans le Kerala et le Tamil Nadu. Selon cette étude dont les données ont été publiées par le British Medical Journal électronique, 15 enfants sont morts à cause des effets secondaires du vaccin. La compagnie pharmaceutique affirme que ces morts ne sont pas dues au vaccin, mais sont simplement des « décès inexpliqués » par coïncidence,  dans les 48 heures suivant l'administration du vaccin ! (Une coïncidence se produit une fois ; là, on trouve 14 coïncidences, ce qui est beaucoup trop.)

Si les fabricants de vaccins ont gain de cause, ce programme de vaccination sera étendu à travers le pays. Le gouvernement de l'Inde semble être prêt à permettre que cela se produise. Il a déjà étendu ce vaccin à 6 autres états avant d’avoir les résultats des essais dans le Kerala et Tamil Nadu. 1 vacciné sur 10 000 mourra du vaccin – lequel pourrait être votre enfant ou petit-enfant. Seule, la sensibilisation d’un large public peut l’empêcher. Plus d'enfants vont mourir des effets indésirables des vaccins que ceux qui seront sauvés de la méningite à Hib. Cela ne peut pas être acceptable.

Je vous joins deux liens : Le premier est un article du Dr Jacob Puliyel, Chef du service pédiatrique de l’hôpital St Stephens à Delhi, paru dans Indian ExpressPharma  le 1er avril 2013 :

http://hd9.r.mailjet.com/redirect/mbr5hkpmzbdxx2blh2c3wf/pharma.financialexpress.com/sections/res/1971-pentavalent-vaccine-doing-more-harm-than-good



Le second concerne le retrait de ce vaccin au Vietnam, la semaine dernière, après le décès de 9 enfants et des douzaines de cas de sérieuses réactions allergiques chez les enfants de la région depuis six mois.

Tous les bébés décédés étaient en bonne santé, mais quelques heures après avoir reçu le vaccin ils ont commencé à gémir, avoir des convulsions, puis de sérieux troubles respiratoires avant de mourir peu après.

http://tuoitrenews.vn/society/9330/vietnam-suspends-quinvaxem-vaccine-following-9-deaths



Comment pouvons-nous amener l’OMS à retirer ce vaccin ? Je me demande comment nous pouvons arrêter ce carnage. S’il-vous plait, n’hésitez pas à m’écrire à l’adresse ci-dessous si vous avez une suggestion. .




Dr. Rajiv MittalA-148, FF, Saraswati Vihar – Delhi – 110034 - India

Contact : 919718357759

 Email : dr.mittal.rajiv@gmail.com

Cette missive nous montre bien que ce genre de problème concerne tous les pays, que toutes les publicités de l’Unicef et de Bill Gates ne sont que de la désinformation, et qu’il est faux d’affirmer que dans ces pays, on attend le vaccin comme du pain béni.

Et, pendant ce temps-là,... L'OMS et GAVI qui est le bras armé de la Fondation Bill & Melinda Gates en matière de vaccination, arrivent à faire danser les populations somaliennes à l'occasion de l'introduction de ce même vaccin pentavalent qui tue en Inde!

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9 mai 2013 4 09 /05 /mai /2013 13:15

Depute-Bill-POSEY.PNG

Enfin, un parlementaire a osé réclamer la vraie Science, celle qui consiste à comparer des vaccinés à des non vaccinés (0 vaccins), pouvait-on récemment lire sur plusieurs sites anglophones dont celui d'Health Impact News!!! C'est ainsi que le Congressman républicain Bill Posey a demandé au Dr Boyle du Centre de Contrôle des Maladies (CDC) s'ils avaient déjà effectué la moindre étude comparative entre enfants vaccinés et enfants non vaccinés. Et la réponse du Dr Boyle, qui fait littéralement froid dans le dos, est que NON, ils n'ont jamais procédé à pareille étude!! Cela signifie donc, en d'autres mots, que les autorités américaines (comme tous les autres autorités dans le monde) recommandent depuis des décennies de façon non scientifique et non éthique la vaccination aveugle des enfants avec des vaccins par définition expérimentaux!

 

On comprend donc mieux que les fausses assurances des autorités et autres pseudos experts, selon lesquelles les vaccins ne causent pas l'autisme, n'ont aucune valeur scientifique et ne reposent donc en définitive que sur du vent! La Vraie Science, souvenez-vous, ce n'est pas de ne pas mener les études de peur de ce qu'on pourrait trouver et qui pourrait être en défaveur de quelques intérêts partisans, c'est d'observer des faits et oser en tirer les conclusions dans l'intérêt de la société toute entière!

 

Bien sûr, comme ces études et cette vraie Science effraient autant les industriels et les officiels que l'ail effrayerait un vampire, il leur fallait trouver un prétexte en or pour repousser pareille perspective et c'est ainsi qu'ils invoquent.... l'éthique pour étayer leur pitoyable frilosité! Ils prétendent en effet qu'il ne serait soi-disant "pas éthique" de comparer des enfants vaccinés à des enfants vierges de tout vaccin, ce qui revient donc à considérer à priori et de façon purement dogmatique/idéologique, que les vaccins font forcément plus de bien que de tort. Ces gens admettent donc implicitement, sans même sans s'en rendre compte, qu'ils se situent et veulent se maintenir hors du champ de la VRAIE Science.

 

Ce parlementaire américain a donc eu le bon sens d'introduire une proposition de loi imposant au Ministère de la Santé la responsabilité incontournable de mener de telles études réellement comparatives, dans le but d'étudier notamment la prévalence de l'autisme mais aussi d'autres paramètres et d'autres maladies dans les deux types de groupes (vaccinés et non vaccinés).

 

Loi sur l’étude de la sécurité des vaccins : H.R. 1757

 

Visant à encourager le Secrétaire des Services de Santé et Humains à organiser et à soutenir une vaste étude qui comparerait les résultats globaux de santé, y compris le risque d’autisme dans les populations vaccinées des Etats-Unis avec des populations non vaccinées, comme à d’autres fins.

 

Populations ciblées – Le Secrétaire devra chercher à inclure dans l’étude visée au présent article les populations qui traditionnellement sont restées non vaccinées pour des raisons religieuses ou autres. Ces populations comprennent l’ancien Ordre des Amish et des membres de pratiques cliniques.

 

(Telles que la pratique « Home-first » à Chicago) qui choisissent des pratiques médicales alternatives, les adeptes des modes de vie anthroposophiques et d’autres qui ont choisi de ne pas se faire vacciner.

 

Quand on voit ce qui se passe aux USA, ou même en France, dans une moindre mesure avec l'aluminium vaccinal, on se dit que les parlementaires belges sont décidément bien médiocres...

 

Député Bill Posey

Le CDC américain est une institution qui fait malheureusement "la pluie et le beau temps" partout dans le monde en matière d'épidémiologie, de vaccination etc.

 

Dr-Mayer-Eisenstein.JPG

Le Dr Mayer Eisenstein, médecin dans la communauté Homefirst à Chicago, a eu l'occasion de suivre plus de 30 000 enfants et il n'a pas le souvenir d'avoir vu le moindre cas d'autisme chez les enfants non vaccinés qu'il a accouchés et suivis. Pour lui, il est donc vraiment nécessaire et légitime qu'une telle proposition de loi puisse aboutir, et c'est pourquoi il apporte tout son soutien et tous ses encouragements au député Bill Posey.

 

logo-grande-cause2012_v2-1-.jpgEn France, il y a plus de 600 000 cas d'autisme dont une majorité de cas d'autisme régressif, c'est à dire la forme d'autisme qui se manifeste après une période de développement tout à fait normale de l'enfant. Combien de ces plus de 600 000 autistes doivent la destruction de leur vie et de leur avenir aux vaccins que leurs parents leur ont fait faire par ignorance, en croyant bien faire, avec la bénédiction des médias, des médecins et des politiciens?

 

Que la vaccination ait un impact épidémiologique sur la fréquence de la rougeole n'est pas ce qui est contesté ici. Mais un des tout gros problèmes en matière de sécurité vaccinale, c'est que les défenseurs des vaccins à tout crin mélangent volontairement tout, donnant ainsi aveuglément la priorité à leur peur panique de la maladie contre laquelle on vaccine (rougeole par ex.) sur le ratio bénéfices/risques GLOBAL des vaccins. C'est ainsi qu'ils ne parlent jamais que des cas de rougeoles évités. Mais à cela, on peut répondre d'une part que tous les cas de rougeoles évités n'auraient certainement pas, loin s'en faut, donné lieu à des complications graves, et d'autre part qu'il faut chercher et additionner tous les cas de complications graves occasionnés par la vaccination, aussi nombreux et variés soient-ils. Et c'est précisément cela que les défenseurs aveugles des vaccins se refusent à faire, refusant de prendre ainsi en compte la sous-estimation constante des effets secondaires des vaccins, tant en fréquence, qu'en gravité et qu'en variété. Cette irresponsabilité s'avère extrêmement lourde de conséquences et ne profite donc en définitive qu'aux seules pharmas qui pourront bientôt repasser à la caisse avec un futur vaccin... contre l'autisme (!) sur lequel plusieurs scientistes sont déjà en train de plancher... quel horrible cercle vicieux absurde (mais si lucratif!)!

 

Cet article, d'une importance capitale, a aussi été publié sur Agoravox.

 

Voir aussi l'article "La sécurité des vaccins pose vraiment problème: les officiels le savent."

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8 mai 2013 3 08 /05 /mai /2013 18:53

Que donne l'aveuglement idéologique de professionnels de santé ayant perdu leur bon sens?

 

Que donnent le ROR + le Prevenar + le Varivax (varicelle) + encore le Meningitec faits le même jour sur un enfant de 1 an? Une encéphalopathie épileptogène et une vie foutue à jamais!

 

Piqué avec 4 vaccins le même jour, un dans chaque bras et un dans chaque jambe, voilà Alexis à l'âge de 2 ans, voilà toute cette souffrance inutile....

 

Alexis--apres-4-vaccins-le-meme-jour-.PNG        Image tirée du documentaire Silence on vaccine de la réalisatrice Lina Moreco

 

Mais selon des gens considérés comme experts mondiaux en vaccins, comme le Dr Paul Offit, un enfant pourrait recevoir sans problème jusqu'à 10 000 vaccins par jour!!

 

Au vu des résultats possibles avec "seulement" 4 vaccins par jour, ce qui est déjà énorme, la place de pareils experts n'est-elle pas, en prison, dans le meilleur intérêts de nos enfants??

 

Ce carnage vaccinal ne doit-il pas cesser au plus vite, là encore dans le meilleur intérêt de nos enfants??

 

Tout parent respectueux de son enfant ne se doit-il pas de savoir et de connaître ces choses-là avant de prendre une décision dont les résultats désastreux pourraient devoir être assumés toute leur vie par ces enfants au nom desquels ils décident? Car les parents du petit Alexis pensaient sûrement que cela ne pouvait pas arriver ou que "cela n'arriverait qu'aux autres".

 

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8 mai 2013 3 08 /05 /mai /2013 11:45

Cette vidéo est vraiment très intéressante. Elle a le mérite de montrer que:

 

1°) Il y a proportionnellement plus de parlementaires qui osent mouiller leur chemise sur le thème de la vaccination et de ses risques graves possibles en France qu'en Belgique. En Belgique, ce n'est pas difficile, il ne doit y en avoir qu'un ou deux, tout au plus! Et pourtant, on voit mal comment les mêmes vaccins, de même composition, pourraient être dangereux en France et sans risque en Belgique!

 

2°) Cette vidéo révèle aussi très bien tout le malaise de la Ministre française de la Santé qui adopte une position d'arrière-garde et scientifiquement périmée, se retranchant derrière la phrase générale selon laquelle "tout médicament comporte des effets secondaires"!

 

 

Mme Touraine, Ministre française de la Santé, évoque la "myofasciite à microphages", ça en dit long sur son étude du sujet et sur la crédibilité qu'on peut lui accorder. Ca nous a aussi fait repenser à une des deux avocates de l'Etat belge qui avait parlé de "système immunitoire" lors des plaidoiries sur le H1N1!
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7 mai 2013 2 07 /05 /mai /2013 18:00

6 mai 2013

 

Bientôt, des nanoparticules dans les vaccins

 

6 mai 2013 20h55. Pauline Gravel, Science et technologie

 

NANOPARTICULES.jpg

Photo : Jacques Nadeau - Le Devoir

 

Très prometteuses, ces nanoparticules conçues par un chercheur de l’Université Laval seront expérimentées chez l’humain dans les prochains mois comme adjuvant dans le vaccin saisonnier de la grippe.

 

Québec — Des nanoparticules composées d’une protéine issue d’un virus s’attaquant à la papaye fouettent le système immunitaire mieux que ne le font tous les adjuvants actuellement utilisés dans les vaccins. Mieux, elles s’avèrent moins toxiques et offrent elles-mêmes une certaine protection contre virus, bactéries et cellules cancéreuses. Très prometteuses, ces nanoparticules conçues par un chercheur de l’Université Laval seront expérimentées chez l’humain dans les prochains mois comme adjuvant dans le vaccin saisonnier de la grippe, a-t-on appris hier dans le cadre d’un colloque sur les applications médicales des nanoparticules et nanomatériaux ayant lieu dans le cadre du congrès de l’ACFAS qui débutait hier à Québec.

 

Pour concevoir ces nanoparticules, Denis Leclerc du Centre de recherche en infectiologie de l’Université Laval a utilisé une protéine appartenant au virus de la mosaïque de la papaye. Cette protéine s’assemble spontanément autour d’un brin d’ARN (dont l’identité ne peut être révélée pour des raisons de secret industriel), créant du coup des bâtonnets (ou nanotubes) de 100 nanomètres de longueur et 15 nanomètres de diamètre.


Ces nanotubes ont d’abord été expérimentés comme adjuvant dans le vaccin saisonnier de la grippe. Les résultats ont été spectaculaires. Près de 80 % des souris ayant été immunisées avec le vaccin traditionnel sont mortes quand on leur a injecté une souche virale différente de celles contenues dans le vaccin. Par contre, toutes les souris ayant reçu un vaccin dans lequel on avait introduit les nanoparticules ont survécu à l’inoculation d’une nouvelle souche.

  
«Habituellement, la réponse immunitaire est dirigée uniquement contre les protéines de surface des virus de la grippe. Les nanoparticules permettent de déclencher une réponse immunitaire contre les autres protéines du virus qui sont plus faiblement immunogéniques, mais qui sont conservées d’une souche à l’autre», a précisé M. Leclerc avant d’expliquer que les nanoparticules possèdent la capacité de déclencher une réponse immunitaire innée, qui est immédiate, mais non spécifique et qui ne procure pas la mémoire de l’antigène combattu.


Ainsi, lorsque l’équipe de M. Leclerc a instillé des nanoparticules dans le nez de souris afin qu’elles atteignent les poumons, les petits rongeurs ont tous survécu à une infection grippale, tandis que 60 % de ceux auxquels on avait administré une substance inerte sont morts. «Cela veut dire qu’une simple instillation pulmonaire de nanoparticules pourrait nous protéger si un nouveau virus de l’influenza apparaissait alors que nous n’avons pas encore eu le temps de développer un vaccin», a fait remarquer M. Leclerc.


Le chercheur a aussi montré que les nanoparticules assurent également une protection contre la pneumonie bactérienne et le virus de l’hépatite C. «La protection est toutefois de courte de durée, car les nanoparticules ne stimulent que le système immunitaire inné. Il  faut donc répéter le traitement.», précise-t-il avant d’ajouter que l’injection de nanoparticules de papaye dans des tumeurs cancéreuses chez la souris a permis de diviser par quatre la taille de celles-ci. «Les propriétés anticancéreuses des nanoparticules sont encore liées à la réponse immunitaire innée qu’elles induisent», a-t-il souligné.


M. Leclerc a également découvert que les nanoparticules permettaient non seulement de prévenir la grippe, mais aussi d’en guérir puisque toutes les souris atteintes de la grippe auxquelles on avait administré des nanoparticules ont survécu tandis que 60 % de celles qui n’en avaient pas reçu ont succombé.


Le chercheur a par ailleurs exposé des cellules du système immunitaire humain à ces nanoparticules. Il a alors observé que les cellules dendritiques phagocytaient les nanoparticules qu’elles avaient identifiées comme des virus en raison de leur forme de bâtonnet. Une fois englouties, les nanoparticules étaient brisées, laissant échapper le brin d’ARN qui alors activait la réponse immunitaire.

 

Toxicité

 

Selon des études effectuées chez le lapin, l’administration de doses jusqu’à dix fois supérieures à celles qui seraient administrées chez l’humain n’a démontré «aucun effet toxique notable», a affirmé M. Leclerc. Et quand on a injecté des nanoparticules fluorescentes dans la patte d’un lapin, on a pu observer que les cellules du système immunitaire les phagocytaient et que 48 heures plus tard, elles avaient presque complètement disparu de l’organisme. Les nanoparticules seraient moins toxiques que l’alun qui est couramment employé comme adjuvant dans les vaccins. «L’alun crée des dépôts qui sont neurotoxiques et qui risquent d’engendrer des réactions auto-immunes», a précisé le chercheur.


Ces nanoparticules peuvent être produites à faible coût. La synthèse des nanoparticules nécessaires aux essais cliniques qui débuteront prochainement a été confiée à la compagnie torontoise Therapure. Confiant de tous les succès obtenus jusqu’à maintenant, M. Leclerc est impatient de débuter ces études chez l’humain.

 

Ce qui est intéressant ici, c’est le fait de « laver plus blanc que blanc » : on a toujours affirmé pendant des décennies au public que l’aluminium était sûr et ici, parce qu’il y a un éventuel autre adjuvant en embuscade, on s’autorise à reconnaître qu’il n’était finalement pas si sûr que cela. Sauf qu’entre-temps, des milliards de gens ont été physiologiquement « salis » par cette substance toxique, parce que l’aluminium vaccinal est présent dans les vaccins depuis 1926 !

 

Etant donné que les vaccins sont dispensés d’analyses pharmacocinétiques - qui consistent à analyser le devenir des différents composants une fois dans le corps : comment ils se diffusent, comment ils sont métabolisés, par où et en combien de temps ils sont éliminés, où va se loger ce qui ne s’évacue pas etc.- on ne voit pas en quoi l’étude de ce nouvel adjuvant sera scientifiquement plus sérieuse que ce qu’il en a été de l’aluminium vaccinal jusqu’ici ! Aller injecter des nanoparticules fluorescentes dans la patte d’un lapin et se limiter sans doute à ne regarder QUE sa patte, cela risque de reproduire le scandale de l’aluminium dont on disait qu’il restait au point d’injection puis était très vite éliminé alors qu’en réalité, une partie migrait dangereusement au cerveau. Un des aspects lucratifs de l’affaire, c’est l’idée d’un adjuvant à faible coût, permettant de réduire encore la quantité de matières premières nécessaires (antigènes) pour maximiser les profits. Mais comme on a bien vu avec des vaccins très rentables, comme les vaccins produits par génie génétique (hépatite B, HPV etc), qui permettent une marge bénéficiaire très substantielle, ils comptent parmi les plus dangereux qui soient avec des risques de malignité qui furent même admis en toute discrétion par des instances quelque peu schizophrènes comme l’OMS qui n’hésitent cependant pas à recommander leur usage généralisé :

 

"Même s'il est possible d'indiquer une limite supérieure de contamination d'un produit fini par de l'ADN hétérogène, et même si toutes les expériences indiquent que des quantités d'un tel ADN de l'ordre de quelques picogrammes sont biologiquement inactives dans un grand nombre d'épreuves, on ne peut pas plus affirmer l'absence totale d'ADN et du risque qui lui est lié dans les produits obtenus en lignées cellulaires continues que dans les produits issus de cultures primaires de cellules et de cultures de cellules diploïdes. [...] Un des grands problèmes soulevés (à cette conférence) est le risque de malignité que pourrait présenter à long terme un ADN contaminant hétérogène, en particulier s'il s'avère qu'il contient des séquences codantes ou régulatrices potentiellement oncogènes. Ce point est réellement préoccupant, car de nombreuses personnes en bonne santé, notamment des nourrissons, seront peut-être vaccinées avec des produits issus de lignées cellulaires continues, ou les recevront de toute autre manière." (OMS, rapport technique n°747, de 1987)

 

Jouer aux cobayes avec de futurs vaccins aux nanoparticules ou renforcer de façon sûre et naturelle son immunité innée avec diverses plantes ou compléments alimentaires ? Ce sera un choix que des populations de mieux en mieux informées devront immanquablement opérer. Nier ce choix en ayant la tentation d’imposer des vaccins expérimentaux au public méritera selon nous une sanction populaire exemplaire des scientistes et autres politiques qui s’y seront risqués !

 

 

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2 mai 2013 4 02 /05 /mai /2013 10:57

Une maladie rare du sang serait-elle causée par les vaccins HPV ?

 

Une autre maladie auto-immune pourrait toucher les personnes ayant reçu les vaccins HPV. On retrouve 7 fois plus de Purpura thrombocytopénique idiopathique (une maladie du sang qui provoque des saignements anormaux) chez les jeunes filles qui ont reçu les vaccins HPV qu’avec n’importe quel autre type de vaccin – un sérieux indice de connexion.

 

D’après Norma Erickson, 27 avril 2013 (Sanevax et Gaia Health)

 

Jeune-fille-HPV.jpg

 

Kristie n’avait que 12 ans quand elle reçut le diagnostic d’une maladie rare pour laquelle il n’existe aucun remède connu, le purpura thrombocytopénique idiopathique. (PTI) Ce diagnostic tomba un peu plus d’un mois après sa seconde injection du vaccin Gardasil. Elle risque de vivre avec cette maladie pour le restant de ses jours. Malheureusement elle n’est pas la seule.

 

Le Gardasil et le Cervarix sont deux des 76 vaccins approuvés par la FDA et inclus dans la base de données du VAERS (Système de notification des effets secondaires indésirables des vaccinations). Depuis que le vaccin Gardasil a été approuvé pour utilisation aux Etats-Unis, il y a eu 682 rapports de purpura thrombocytopénique après l’administration d’un vaccin. 126 de ces cas sont survenus après l’administration des vaccins HPV.  Si tous les vaccins effectués présentaient un risque égal, il ne devrait y avoir que 18 rapports de purpura thrombocytopénique après vaccination HPV. Pourquoi dès lors  les rapports de purpura thrombocytopénique (PTI) après le Gardasil et le Cervarix sont-ils 7 fois plus élevés ?

 

Fréquence du purpura thrombocytopénique

 

Selon le Medscape Reference Library, les taux d’incidence de la maladie sont les suivants :

 

  • Etats-Unis – adultes – 66 cas pour 1.000.000. par an
  • Etats-Unis – enfants – 50 cas pour 1.000.000 par an
  • Danemark & Angleterre – 10 à 40 cas pour 1.000.000 par an
  • Koweit  -  125 cas pour 1.000.000 par an

 

Le purpura thrombocytopénique idiopathique est une maladie tellement rare que le diagnostic n’est rendu qu’après que toutes les autres conditions qui auraient pu déclencher le purpura thrombocytopénique aient été éliminées. C’est ce qu’on appelle un diagnostic d’exclusion. Combien y a-t-il de jeunes filles qui vivent avec un PTI après vaccination contre le HPV et qui n’ont pas été diagnostiquées ?

 

Qu’est-ce que le PTI ?

 

Idiopathique signifie simplement « d’origine inconnue »…

 

La thrombopénie est le terme médical utilisé pour indiquer une diminution du nombre de plaquettes sanguines… La quantité normale de plaquettes circulantes dans le sang d’une personne est de 150.000 à 450.000 par micro-litre. Quand le nombre de plaquettes dans le sang est inférieur à 20.000, la thrombocytopénie peut provoquer une hémorragie interne qui peut parfois être importante.

 

Le mot purpura évoque les taches de couleur pourpre qui apparaissent sur la peau, les organes, les muqueuses, y compris les muqueuses de la bouche. Le purpura est causé par une hémorragie interne à partir des petits vaisseaux sanguins…

 

Le PTI chez les enfants survient le plus souvent à la suite d’une infection ou parfois après la vaccination…

 

Quand le PTI  persiste plus de 6 mois sans cause spécifique, on parle de maladie  chronique…

 

Un diagnostic de PTI est à tout le moins un événement qui change la vie. Dans le pire des cas, cette maladie peut être mortelle…

 

18,5% des rapports envoyés au VAERS concernant le PTI depuis que le Gardasil et le Cervarix ont été approuvés, se sont produits après les vaccinations HPV. Il y a donc au moins 126 familles dont la vie a été bouleversée peut-être pour toujours. En fait, personne ne connaît le nombre exact de cas ; certains n’ont pas été rapportés et peut-être même pas diagnostiqués.

 

On dit généralement qu’un rapport envoyé au VAERS ne prouve pas la causalité. Le problème c’est qu’avec ce type de raisonnement on ne parviendra jamais à établir la cause de la maladie si personne ne la recherche.

 

Kristie a maintenant 18 ans. Malgré tout, elle a eu de la chance. Bien sûr son diagnostic de PTI a changé sa vie, mais elle a pu surmonter la plupart des difficultés. Il y en a d’autres qui n’ont pas eu cette chance.

 

Source: Gaia Health

 

Purpura-Asperger-Whale-to.jpg

 

Mon fils Dylan (5 ans à l’époque) a maintenant 9 ans. Il a souffert d’effets secondaires après le vaccin ROR. Il a fait un purpura thrombocytopénique auto- immun. Après avoir passé 2 semaines à l’hôpital et avoir subi quantité de tests, d’ interventions et de transfusions de plasma, sa santé lui a permis de quitter l’hôpital. Peu après son retour à la maison, il a commencé à montrer des signes d’autisme. Il a été diagnostiqué comme un cas d’Asperger (troubles neurologiques du spectre autistique). Source: Whale.to

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18 avril 2013 4 18 /04 /avril /2013 14:40

Rapport de l’Institut de Médecine (IOM) Américain sur la sécurité du programme vaccinal :

 

Quand aurons-nous affaire à une véritable Science ?

 

Par Barbara Loe Fisher, Présidente du NVIC, 16.01.2013.

 

NVIC Know the risks and failures

  VACCINATIONS ? Renseignez-vous sur les risques et les échecs  

 

Hier, l’Institut De Médecine (IOM) a publié un rapport « Programme des vaccinations infantiles et Sécurité : préoccupations des parties prenantes, preuves scientifiques et études prospectives. »

 

Le rapport est basé sur une évaluation de 12 mois réalisée par un Comité de l’IOM des preuves scientifiques qui sous-tendent le calendrier vaccinal des enfants recommandé par le gouvernement fédéral. Le Comité a formulé des recommandations quant à la faisabilité de mener des recherches pour évaluer les effets sur la santé des enfants vaccinés et non vaccinés, de même que sur celle des enfants suivant un calendrier vaccinal alternatif.

 

Bonnes ET mauvaises nouvelles

 

Ce rapport contient à la fois de bonnes et de mauvaises nouvelles. Comme bonnes nouvelles : à plusieurs reprises, le Comité a souligné l’absence étonnante d’études scientifiques de qualité pour pouvoir assurer la sécurité  du nombre de doses, et du calendrier de vaccins recommandés par le CDC (Centres Officiels Américains de Contrôle des Maladies) pour les enfants de 0 à 6 ans. Le Comité a confirmé qu’il y avait de grandes lacunes dans la connaissance, tout spécialement en ce qui concerne les enfants présentant une susceptibilité biologique accrue aux réactions et effets secondaires des vaccins.

 

La mauvaise nouvelle : le Comité recommande que le CDC puisse procéder à de nouvelles études de sécurité des vaccins en utilisant des bases de données de patients non accessibles/fermées au public comme le VSD (Vaccine Safety Datalink). Pareille proposition empêche malheureusement toute réplication indépendante. Depuis plus de deux décennies, le NVIC a plaidé pour une recherche indépendante sur la sûreté des vaccins par des chercheurs n’ayant aucun conflit d’intérêts ni avec l’industrie, ni avec le gouvernement.

 

Communiqué de presse du NVIC : un appel à la transparence

 

Le NVIC a publié un communiqué de presse qui en appelle à la transparence, à l’indépendance des futures recherches sur la sécurité du calendrier vaccinal des enfants. Quand verra-t-on apparaître la véritable science concernant la sécurité des vaccins ? Quand pourra commencer cette science menée par des chercheurs sans conflits d’intérêts ni avec l’industrie ni avec le gouvernement ?

 

Source : National Vaccine Information Center (NVIC)

 

 

« Il ne s’agit pas de présumer la culpabilité, la corruption ou le favoritisme de tel ou tel. Il s’agit d’abord de rendre les décisions publiques insoupçonnables, de les mettre à l’abri du doute (p.45) ». M. Hirsch

 

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10 avril 2013 3 10 /04 /avril /2013 11:45

Epilepsie après un vaccin contre la varicelle

 

S.C., maman de Luca – ‘t  Prikje mars 2013

 

Dessin--Prikje.jpg

 

Notre petit garçon de 13 mois était en parfaite santé et se développait normalement; il marchait déjà à son premier anniversaire.

 

A partir du moment où il a dû se faire vacciner contre la rougeole, il est devenu malade.

 

Quand je me suis rendue chez la pédiatre, cette dernière m’a annoncé qu’il y avait une épidémie de varicelle dans le quartier et qu’il vaudrait mieux administrer le vaccin (contre la varicelle) et un mois plus tard le vaccin ROR (Rougeole, Rubéole, Oreillons). 

 

Mon mari et moi sommes des scientifiques. Mon mari travaille même dans le secteur biopharmaceutique.

 

Luca a donc reçu son vaccin contre la varicelle. Trois semaines plus tard (je m’en souviens parfaitement) Luca a commencé à avoir des spasmes. A chaque crise, ses bras, ses jambes et son visage se contorsionnaient, mais il restait conscient.

 

Comme il continuait à faire des crises, nous l’avons conduit aux urgences de l’hôpital universitaire de Bruxelles.

 

Luca a immédiatement été examiné ; on lui a fait une prise de sang, un examen de l’œil et un électroencéphalogramme. Le diagnostic est tombé rapidement : « épilepsie ». Luca a été immédiatement mis sous Keppra (médicament antiépileptique) Ils l’ont gardé à l’hôpital pendant une semaine.

 

Quand nous avons quitté l’hôpital le vendredi, Luca faisait toujours des crises, mais elles étaient moins graves et plus espacées.

 

Comme les crises continuaient à se produire tous les jours, nous avons à nouveau dû consulter le 14 juillet. En plus du Keppra, on prescrivit de la Depakine 3X12 gouttes.

 

Le 4 août Luca, dut subir un nouvel électroencéphalogramme. Luca a néanmoins continué à faire des crises même au cours de l’électroencéphalogramme.

 

Il fut ensuite décidé d’arrêter la Depakine et de commencer un traitement au Topamax. Luca a ainsi pu voir disparaître ses crises pendant 3 jours.

 

Le mardi suivant, les crises reprenaient et duraient plus longtemps, parfois 5 minutes.

 

Début septembre, malgré que Luca prenait du Topamax, du Keppra et de la Depakine, les crises continuaient à se produire chaque jour.

 

Par l’intermédiaire d’un ami, nous avons été mis en contact avec un professeur de l’hôpital universitaire de Leuven. Le 7 septembre, Luca fut admis à l’hôpital pour un séjour de plus d’un mois. Après une deuxième ponction lombaire et de nombreux autres examens, on nous donna le diagnostic: Syndrome de West (épilepsie du nourrisson ou encéphalite myoclonique infantile)

 

Si le traitement au Sabril ne donnait pas de résultats, il ne restait plus qu’une possibilité. Mais si les crises ne s’arrêtaient pas notre enfant n’aurait plus pu évoluer.

 

Comme le Sabril ne donnait pas de résultats, c’est une cure d’ACTH qui fut prescrite. Luca recevait une piqûre tous les jours. Il avait dû être isolé car son système immunitaire étant complètement à plat, il n’était pas question qu’il attrape une infection. Seuls mon mari et moi pouvions avoir accès à sa chambre.

 

Les crises se sont heureusement arrêtées.

 

Le 17 octobre nous sommes tous rentrés à la maison. Luca devait continuer à prendre le Sabril et la Depakine. Les crises ne se sont plus manifestées.

 

Quand je dis à Louvain que tout cela est arrivé à cause du vaccin, je reçois toujours la même réponse : Le vaccin a été le déclencheur ; il n’est pas la cause. »

 

Chaque fois que je retourne avec Luca à Louvain, le professeur évoque : « ah, voilà mon enfant miraculé ! » Il n’a cependant aucune explication pour le fait que Luca ne fait plus de crises et a continué à évoluer. Tout son retard a été rattrapé, mais personne ne peut nous donner une explication.

 

Luca ne pourra pas recevoir son vaccin contre la rougeole

 

Quand je lis des articles scientifiques suisses, néerlandais, français, je puis y trouver la description de cas d’épilepsie après vaccination contre la varicelle et la rougeole.

 

S.C. maman de Luca

 

Le syndrome de West peut tout à fait être causé par des vaccinations infantiles (contrairement aux affirmations de ce Professeur mal à l’aise du CHU de Leuven) !

 

En 2010, l’Agence Reuters publiait une dépêche suite à une publication scientifique révélant que les vaccinations infantiles peuvent déclencher l’épilepsie infantile précoce (syndrome de Dravet). Cette dépêche signalait aussi tout le malaise des scientifiques en question qui craignaient, tabou vaccinal oblige, que leurs découvertes dissuadent les parents de faire vacciner leurs enfants.

 

Qu’il s’agisse d’une étiquette « X » (syndrome de West) ou d’une étiquette « Y » (syndrome de Dravet), leur point commun est qu’il s’agit d’épilepsie et on voit donc assez mal pourquoi les vaccins pourraient favoriser un type d'épilepsie sans jamais pouvoir en favoriser un autre. Car le fait est que les vaccinations ont des effets neurologiques possiblement délétères et peuvent donc détraquer un système nerveux initialement sain.

 

Autre élément intéressant, le côté longtemps réfractaire de l’épilepsie de cet enfant, dans ce témoignage, aux médicaments habituellement prescrits dans ce genre d’indication. Selon le Dr Buchwald, médecin allemand qui a étudié de façon indépendante et désintéressée la question des effets secondaires de vaccins pendant plus de 40 ans, il s’avère que les épilepsies induites par les vaccins présentent justement ce critère qui aide à les différencier des épilepsies d’autres origines, à savoir qu’elles ne cèdent pas du tout facilement aux anti-convulsivants classiques. Le Dr Buchwald écrit : « Lorsqu’il s’agit d’une épilepsie « normale », souvent héréditaire, on arrive presque toujours à arrêter les convulsions avec les médicaments correspondants. Ceci ne réussit que très rarement avec les convulsions déclenchées par les vaccinations» (cfr p. 11/17)

 

 

Voir aussi l'article suivant qui apporte une note positive et une lueur d'espoir pour les victimes:

 

Témoignage de guérison d'une épilepsie post-vaccinale avec les isopathiques homéopathiques

 

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7 avril 2013 7 07 /04 /avril /2013 14:47

L’OMS suspend un vaccin après le décès de

26 enfants dans le Tiers Monde.

 

D’après Christina England, 2 avril 2013

 

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 Un agent de santé vaccine un enfant en bas âge

  

Selon les rapports, au moins 26 enfants sont morts et la santé de plusieurs autres a été sérieusement endommagée après qu’ils aient reçu un vaccin avec 5 valences, à savoir le Quinvaxem. [1] Les journaux ont rapporté que toutes les victimes ont subi des effets indésirables dont la fièvre, des vomissements et l’apparition d’ecchymoses sur l’ensemble du corps. [2] Le Quivaxem qui est offert gratuitement par l’UNICEF, est un vaccin « préqualifié à l’essai » pour les pays en voie de développement. Actuellement administré aux bébés dès l’âge de huit semaines, ce vaccin pentavalent est destiné à protéger les nourrissons et les jeunes enfants contre la diphtérie, le tétanos, la coqueluche, l’hépatite B et HiB (Haemophilus influenzae de type b).

 

Selon les rapports, les autorités locales ont suspendu tous les lots controversés pour pouvoir procéder à des vérifications. Le Ministère de la Santé a cependant déclaré que le vaccin ne posait aucun problème quant à sa qualité, sa distribution, sa conservation ou son administration. [3]

 

Bien que des décès aient été signalés au Vietnam, au Sri Lanka, au Pakistan, au Bouthan et en Inde, l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) s’en est tenue à évoquer la sécurité du Quinvaxem, indiquant que toutes les études du vaccin, fabriqué en Corée du sud, confirmaient sa sécurité !

 

Enfants utilisés comme cobayes

 

Voici un nouvel exemple d’enfants qui meurent et beaucoup d’autres qui souffrent des effets secondaires d’un vaccin testé sur des enfants vulnérables de pays en voie de développement. N’est-il pas grand temps que l’OMS arrête de prétendre que leurs programmes sont destinés à protéger les enfants ?

 

J’invite les lecteurs à lire un document rédigé par le Dr Rebecca Carley intitulé : « Vaccinations : les véritables armes de destruction massive (qui provoquent des maladies induites par les vaccins), dans lequel elle écrit :

 

« En fait, la « prévention » d’une maladie par le biais de la vaccination représente en réalité une incapacité à expulser certains organismes en raison de la suppression de la réponse à la médiation cellulaire. Ainsi, plutôt  que de prévenir la maladie, la vaccination empêche que cette dernière trouve une solution. » [4]

 

Le Dr R.Carley a pris conscience de toutes ces atrocités et elle a tenté désespérément de mettre tout le public en garde.

 

La maladie de Kawasaki

 

Il est tout à fait possible que nombre de ces enfants aient  souffert d’une réponse auto-immune après qu’on leur ait injecté ce vaccin. Je base mon opinion sur une série d’articles et d’études effectuées sur la maladie de Kawasaki.

 

La maladie de Kawasaki est une maladie auto-immune qui peut survenir après une vaccination. En fait, les scientifiques qui ont étudié de près cette maladie disent que des preuves suggèrent fortement qu’un agent infectieux comme un virus ou un vaccin puisse provoquer la maladie.

 

Les enfants souffrant de la maladie de Kawasaki souffrent de symptômes très proches de ceux des enfants qui ont été vaccinés avec le Quinvaxem. J’ai établi un lien avec le Quinvaxem car la maladie peut entraîner les problèmes suivants :

 

  • Yeux rouges et injectés de sang provoqués par une conjonctivite (mais sans présence de pus)
  • Couperose, taches rouges principalement sur le tronc ou sur les organes génitaux.
  • Lèvres sèches, rouges et fissurées
  • Langue rouge, enflammée avec des taches blanches circulaires ; gorge rouge.
  • Ganglions lymphatiques gonflés de chaque côté du cou.
  • Mains et pieds gonflés qui deviennent rouges et durs avec desquamation des doigts et des orteils deux à trois semaines après que la maladie a débuté.
  • Mal de gorge
  • Toux
  • Abdomen douloureux
  • Vomissements
  • Diarrhée
  • Articulations gonflées ou douloureuses.

 

Plusieurs enfants peuvent mourir d’une insuffisance cardiaque ou d’une crise cardiaque. Au Royaume-Uni et aux Etats-Unis, la maladie de Kawasaki est réputée être la cause la plus courante de maladies cardiaques chez les enfants. [6]

 

Dans un document publié par P.A. Brogan et al et intitulé : « Maladie de Kawasaki : une approche fondée sur des preuves pour le diagnostic, le traitement et les futures recherches », les auteurs déclarent :

 

« En 1967, Kawasaki Tomisaku décrit le cas de 50 enfants japonais atteints de fièvre, d’éruptions cutanées, d’érythème, de gonflement des mains et des pieds et d’adénopathies cervicales…KD (Kawasaki Syndrome ; Kawasaki Disease) est la plus fréquente au Japon, où plus de 125.000 cas ont été signalés. La maladie est également plus fréquente chez les japonais et les autres enfants asiatiques vivant à l’étranger. Les enfants âgés de 6 mois à 5 ans sont les plus sensibles avec un pic d’incidence chez les enfants de 9 à 11 mois. On a signalé des variations saisonnières de la maladie, avec l’apparition d’un pic en hiver et au printemps. On n’a pas observé de contagion directe de personne à personne. Au Japon la maladie est plus fréquente entre frères et sœurs avec un pic d’incidence de 8-9% entre frères et sœurs de moins de deux ans. »

 

Il est intéressant de noter que les auteurs mentionnent la vaccination comme un déclencheur possible :

 

« … L’irritabilité est un signe important ; elle est presqu’universellement présente bien que ne figurant pas dans les critères de diagnostic. Le mécanisme exact de l’irritabilité n’est pas clair, mais il peut être lié à la présence d’une méningite aseptique. Un autre signe clinique qui n’est pas repris dans les critères de diagnostic et qui est relativement spécifique à KD (Maladie de Kawasaki), est l’apparition d’un érythème et d’une induration aux sites de la vaccination BCGComme un nombre croissant de nourrissons reçoivent le BCG au Royaume Uni, il est probable que ce signe deviendra de plus en plus habituel et la prise de conscience de ce fait pourrait permettre un diagnostic et un traitement plus précoces. »

 

Si vous lisez attentivement les déclarations qui précèdent, vous pourrez reconnaître que l’âge des enfants le plus à risque de contracter la maladie est précisément l’âge à partir duquel les enfants reçoivent le plus de vaccins.

 

Le Dr Michael Innis se réfère souvent à la maladie dans les cas où des enfants sont abusés. Elle dit que les marques et les ecchymoses que l’on retrouve dans la maladie de Kawasaki sont souvent confondues avec la maltraitance des enfants. [7]

 

Trois chercheurs qui ont écrit un article intitulé « La maladie de Kawasaki chez un nourrisson après la vaccination » et publié par l’Institut National de Santé, précisent dans leur résumé :

 

« Nous décrivons ici le cas d’un enfant de 35 jours qui a fait la maladie de Kawasaki 1 jour après avoir reçu la seconde dose du vaccin contre l’hépatite B. Bien que très rare, cet effet secondaire possible doit être noté et étudié d’une manière plus approfondie.» [8]

 

Ce document a été écrit en 2003. Comment se fait-il dès lors que le lien entre vaccinations et le syndrome de Kawasaki n’ait pas fait l’objet d’un examen plus approfondi ?

 

Un autre article intitulé « Maladie de Kawasaki après vaccination : rapport d’événements indésirables (système de déclaration) 1990-2007. » stipule :

 

« Depuis le 14 octobre 2007, 107 rapports de KD (maladie de Kawasaki) ont été transmis au VAERS : 26 cas ont été considérés classiques, 19 cas classés atypiques, 52 cas possibles, 10 non classifiés. Sur 97 cas, 91% étaient des cas d’enfants. » [9]

 

Les auteurs ont conclu que leur étude ne voulait pas suggérer un risque élevé de maladie de Kawakasi pour le RotaTeq ou les autres vaccins, ils suggèrent que soit poursuivie la surveillance post-commercialisation pour la maladie de Kawasaki.

 

Tous ces documents suggèrent que la série habituelle des vaccins puisse éventuellement accroître le risque pour les enfants de faire cette maladie.

 

L’un des articles parmi les plus mémorables qui fait comprendre que la maladie de Kawasaki peut survenir après les vaccinations a été écrit par Lisa Blakemore-Brown dans une réponse à une étude finlandaise au sujet de la sécurité du  vaccin ROR dans le British Medical Journal de 2001. Elle écrivait :

 

« Si un groupe de personnes s’effondrent après avoir mangé, par exemple de la sole limande dans un restaurant, on trouverait inacceptable et ridicule que les responsables tentent d’étouffer l’affaire en disant que des millions de gens mangent de la sole limande tous les jours et qu’il n’y a pas de problème. De leur côté, les responsables de la Santé et de la sécurité n’hésiteront pas à aller droit au but: ils examineront les personnes malades, le poisson du restaurant  et vérifieront les tests de laboratoire.

 

Comme des centaines de parents se sont rendu compte que leurs enfants réagissaient au vaccin et que dans certains cas, on avait affaire à « une nouvelle variante de l’autisme », à la perte des compétences en communication, à des déficiences motrices, à des problèmes intestinaux, n’aurait-on pas pu considérer qu’il appartenait au gouvernement  de chercher à obtenir des réponses ?

 

Cette incidence de l’autisme est indiscutable. Il ne s’agit pas d’un meilleur dépistage de l’autisme. Ce TYPE d’autisme est inhabituel et déroutant pour des professionnels de l’éducation à la santé. Un des cas que j’ai pu observer était une réaction claire et indiscutable au vaccin contre la coqueluche. On a pu observer que l’enfant en question souffrait de la maladie de Kawasaki, son système immunitaire s’étant retourné contre l’enfant. Il s’agissait d’un cas d’Asperger. Il n’existait aucun cas d’autisme dans la famille, mais le bébé souffrait d’allergies avant la vaccination. Ce sont des examens scientifiques comme celui-ci qui pourront finalement nous permettre de mettre en place les mesures qui pourront rassurer le public.

 

Le refus catégorique de s’occuper des véritables problèmes et de s’occuper des individus qui souhaitent pouvoir choisir nous semble relever d’une politique dangereuse, tout spécialement avant une élection.» [10]

 

J’ai choisi de publier cet extrait parce qu’il peut concrétiser certains conseils très fermes pouvant s’appliquer à des organisations comme l’UNICEF qui offrent aux enfants des vaccinations comme s’il s’agissait de bonbons.

 

Comme ce fut le cas pour le Dr Carley, le travail de Madame Blakemore-Brown a été lui aussi discrédité, alors qu’il s’agit de professionnels talentueux et doués qui partagent les graves inquiétudes de centaines d’autres professionnels de la santé et qui font les mêmes déclarations. Nombre d’entre eux ont été les cibles de campagnes de haine avant de voir leur carrière sabotée.

 

Conclusion

 

L’OMS et l’UNICEF ne se sont pas gênées  d’effectuer des tests et d’offrir gratuitement des vaccins douteux aux populations pauvres et vulnérables des pays en voie de développement. La vie de ces enfants est aussi très précieuse. Ce ne sont pas des rats de laboratoire ni des cobayes que l’on peut utiliser à volonté. Ce sont des enfants comme tous les autres ; Ils ont des frères, des sœurs, une maman, un papa, des oncles, des tantes et des grands-parents qui les aiment beaucoup.

 

Leurs parents crédules croient la propagande que des groupes comme l’UNICEF met à leur disposition. Ils croient que ces vaccins sont sans danger et qu’ils protégeront leurs précieux bébés. Au lieu de cela, leurs enfants sont en train de mourir après avoir reçu des vaccins.

 

Références

 

1.http://www.mynycdoctor.com/least-26-infants-five-countries-dead-taking-pentavalent-vaccine/ 

2.http://kinhbacenglish.blogspot.co.uk/2013/03/vietnam-province-recalls-quinvaxem.html
3.http://talkvietnam.com/2013/01/who-deems-vaccine…
4.www.drcarley.com/innoculations_wmd_dr_carley.pdf
5.http://www.vaccineinjuryhelpcenter.com/kawasaki-disease-vaccine/
6.http://adc.bmj.com/content/86/4/286.long
7.http://www.bmj.com/content/329/7467/643.3?tab=responses
8.http://link.springer.com/article/10.1007%2Fs10067-003-0785-3?LI=true#page-1
9.http://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/19755926
10.http://www.bmj.com/content/322/7279/130.3?tab=responses

 

 

Source: Vactruth

 

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