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8 mai 2013 3 08 /05 /mai /2013 18:53

Que donne l'aveuglement idéologique de professionnels de santé ayant perdu leur bon sens?

 

Que donnent le ROR + le Prevenar + le Varivax (varicelle) + encore le Meningitec faits le même jour sur un enfant de 1 an? Une encéphalopathie épileptogène et une vie foutue à jamais!

 

Piqué avec 4 vaccins le même jour, un dans chaque bras et un dans chaque jambe, voilà Alexis à l'âge de 2 ans, voilà toute cette souffrance inutile....

 

Alexis--apres-4-vaccins-le-meme-jour-.PNG        Image tirée du documentaire Silence on vaccine de la réalisatrice Lina Moreco

 

Mais selon des gens considérés comme experts mondiaux en vaccins, comme le Dr Paul Offit, un enfant pourrait recevoir sans problème jusqu'à 10 000 vaccins par jour!!

 

Au vu des résultats possibles avec "seulement" 4 vaccins par jour, ce qui est déjà énorme, la place de pareils experts n'est-elle pas, en prison, dans le meilleur intérêts de nos enfants??

 

Ce carnage vaccinal ne doit-il pas cesser au plus vite, là encore dans le meilleur intérêt de nos enfants??

 

Tout parent respectueux de son enfant ne se doit-il pas de savoir et de connaître ces choses-là avant de prendre une décision dont les résultats désastreux pourraient devoir être assumés toute leur vie par ces enfants au nom desquels ils décident? Car les parents du petit Alexis pensaient sûrement que cela ne pouvait pas arriver ou que "cela n'arriverait qu'aux autres".

 

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8 mai 2013 3 08 /05 /mai /2013 11:45

Cette vidéo est vraiment très intéressante. Elle a le mérite de montrer que:

 

1°) Il y a proportionnellement plus de parlementaires qui osent mouiller leur chemise sur le thème de la vaccination et de ses risques graves possibles en France qu'en Belgique. En Belgique, ce n'est pas difficile, il ne doit y en avoir qu'un ou deux, tout au plus! Et pourtant, on voit mal comment les mêmes vaccins, de même composition, pourraient être dangereux en France et sans risque en Belgique!

 

2°) Cette vidéo révèle aussi très bien tout le malaise de la Ministre française de la Santé qui adopte une position d'arrière-garde et scientifiquement périmée, se retranchant derrière la phrase générale selon laquelle "tout médicament comporte des effets secondaires"!

 

 

Mme Touraine, Ministre française de la Santé, évoque la "myofasciite à microphages", ça en dit long sur son étude du sujet et sur la crédibilité qu'on peut lui accorder. Ca nous a aussi fait repenser à une des deux avocates de l'Etat belge qui avait parlé de "système immunitoire" lors des plaidoiries sur le H1N1!
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7 mai 2013 2 07 /05 /mai /2013 18:00

6 mai 2013

 

Bientôt, des nanoparticules dans les vaccins

 

6 mai 2013 20h55. Pauline Gravel, Science et technologie

 

NANOPARTICULES.jpg

Photo : Jacques Nadeau - Le Devoir

 

Très prometteuses, ces nanoparticules conçues par un chercheur de l’Université Laval seront expérimentées chez l’humain dans les prochains mois comme adjuvant dans le vaccin saisonnier de la grippe.

 

Québec — Des nanoparticules composées d’une protéine issue d’un virus s’attaquant à la papaye fouettent le système immunitaire mieux que ne le font tous les adjuvants actuellement utilisés dans les vaccins. Mieux, elles s’avèrent moins toxiques et offrent elles-mêmes une certaine protection contre virus, bactéries et cellules cancéreuses. Très prometteuses, ces nanoparticules conçues par un chercheur de l’Université Laval seront expérimentées chez l’humain dans les prochains mois comme adjuvant dans le vaccin saisonnier de la grippe, a-t-on appris hier dans le cadre d’un colloque sur les applications médicales des nanoparticules et nanomatériaux ayant lieu dans le cadre du congrès de l’ACFAS qui débutait hier à Québec.

 

Pour concevoir ces nanoparticules, Denis Leclerc du Centre de recherche en infectiologie de l’Université Laval a utilisé une protéine appartenant au virus de la mosaïque de la papaye. Cette protéine s’assemble spontanément autour d’un brin d’ARN (dont l’identité ne peut être révélée pour des raisons de secret industriel), créant du coup des bâtonnets (ou nanotubes) de 100 nanomètres de longueur et 15 nanomètres de diamètre.


Ces nanotubes ont d’abord été expérimentés comme adjuvant dans le vaccin saisonnier de la grippe. Les résultats ont été spectaculaires. Près de 80 % des souris ayant été immunisées avec le vaccin traditionnel sont mortes quand on leur a injecté une souche virale différente de celles contenues dans le vaccin. Par contre, toutes les souris ayant reçu un vaccin dans lequel on avait introduit les nanoparticules ont survécu à l’inoculation d’une nouvelle souche.

  
«Habituellement, la réponse immunitaire est dirigée uniquement contre les protéines de surface des virus de la grippe. Les nanoparticules permettent de déclencher une réponse immunitaire contre les autres protéines du virus qui sont plus faiblement immunogéniques, mais qui sont conservées d’une souche à l’autre», a précisé M. Leclerc avant d’expliquer que les nanoparticules possèdent la capacité de déclencher une réponse immunitaire innée, qui est immédiate, mais non spécifique et qui ne procure pas la mémoire de l’antigène combattu.


Ainsi, lorsque l’équipe de M. Leclerc a instillé des nanoparticules dans le nez de souris afin qu’elles atteignent les poumons, les petits rongeurs ont tous survécu à une infection grippale, tandis que 60 % de ceux auxquels on avait administré une substance inerte sont morts. «Cela veut dire qu’une simple instillation pulmonaire de nanoparticules pourrait nous protéger si un nouveau virus de l’influenza apparaissait alors que nous n’avons pas encore eu le temps de développer un vaccin», a fait remarquer M. Leclerc.


Le chercheur a aussi montré que les nanoparticules assurent également une protection contre la pneumonie bactérienne et le virus de l’hépatite C. «La protection est toutefois de courte de durée, car les nanoparticules ne stimulent que le système immunitaire inné. Il  faut donc répéter le traitement.», précise-t-il avant d’ajouter que l’injection de nanoparticules de papaye dans des tumeurs cancéreuses chez la souris a permis de diviser par quatre la taille de celles-ci. «Les propriétés anticancéreuses des nanoparticules sont encore liées à la réponse immunitaire innée qu’elles induisent», a-t-il souligné.


M. Leclerc a également découvert que les nanoparticules permettaient non seulement de prévenir la grippe, mais aussi d’en guérir puisque toutes les souris atteintes de la grippe auxquelles on avait administré des nanoparticules ont survécu tandis que 60 % de celles qui n’en avaient pas reçu ont succombé.


Le chercheur a par ailleurs exposé des cellules du système immunitaire humain à ces nanoparticules. Il a alors observé que les cellules dendritiques phagocytaient les nanoparticules qu’elles avaient identifiées comme des virus en raison de leur forme de bâtonnet. Une fois englouties, les nanoparticules étaient brisées, laissant échapper le brin d’ARN qui alors activait la réponse immunitaire.

 

Toxicité

 

Selon des études effectuées chez le lapin, l’administration de doses jusqu’à dix fois supérieures à celles qui seraient administrées chez l’humain n’a démontré «aucun effet toxique notable», a affirmé M. Leclerc. Et quand on a injecté des nanoparticules fluorescentes dans la patte d’un lapin, on a pu observer que les cellules du système immunitaire les phagocytaient et que 48 heures plus tard, elles avaient presque complètement disparu de l’organisme. Les nanoparticules seraient moins toxiques que l’alun qui est couramment employé comme adjuvant dans les vaccins. «L’alun crée des dépôts qui sont neurotoxiques et qui risquent d’engendrer des réactions auto-immunes», a précisé le chercheur.


Ces nanoparticules peuvent être produites à faible coût. La synthèse des nanoparticules nécessaires aux essais cliniques qui débuteront prochainement a été confiée à la compagnie torontoise Therapure. Confiant de tous les succès obtenus jusqu’à maintenant, M. Leclerc est impatient de débuter ces études chez l’humain.

 

Ce qui est intéressant ici, c’est le fait de « laver plus blanc que blanc » : on a toujours affirmé pendant des décennies au public que l’aluminium était sûr et ici, parce qu’il y a un éventuel autre adjuvant en embuscade, on s’autorise à reconnaître qu’il n’était finalement pas si sûr que cela. Sauf qu’entre-temps, des milliards de gens ont été physiologiquement « salis » par cette substance toxique, parce que l’aluminium vaccinal est présent dans les vaccins depuis 1926 !

 

Etant donné que les vaccins sont dispensés d’analyses pharmacocinétiques - qui consistent à analyser le devenir des différents composants une fois dans le corps : comment ils se diffusent, comment ils sont métabolisés, par où et en combien de temps ils sont éliminés, où va se loger ce qui ne s’évacue pas etc.- on ne voit pas en quoi l’étude de ce nouvel adjuvant sera scientifiquement plus sérieuse que ce qu’il en a été de l’aluminium vaccinal jusqu’ici ! Aller injecter des nanoparticules fluorescentes dans la patte d’un lapin et se limiter sans doute à ne regarder QUE sa patte, cela risque de reproduire le scandale de l’aluminium dont on disait qu’il restait au point d’injection puis était très vite éliminé alors qu’en réalité, une partie migrait dangereusement au cerveau. Un des aspects lucratifs de l’affaire, c’est l’idée d’un adjuvant à faible coût, permettant de réduire encore la quantité de matières premières nécessaires (antigènes) pour maximiser les profits. Mais comme on a bien vu avec des vaccins très rentables, comme les vaccins produits par génie génétique (hépatite B, HPV etc), qui permettent une marge bénéficiaire très substantielle, ils comptent parmi les plus dangereux qui soient avec des risques de malignité qui furent même admis en toute discrétion par des instances quelque peu schizophrènes comme l’OMS qui n’hésitent cependant pas à recommander leur usage généralisé :

 

"Même s'il est possible d'indiquer une limite supérieure de contamination d'un produit fini par de l'ADN hétérogène, et même si toutes les expériences indiquent que des quantités d'un tel ADN de l'ordre de quelques picogrammes sont biologiquement inactives dans un grand nombre d'épreuves, on ne peut pas plus affirmer l'absence totale d'ADN et du risque qui lui est lié dans les produits obtenus en lignées cellulaires continues que dans les produits issus de cultures primaires de cellules et de cultures de cellules diploïdes. [...] Un des grands problèmes soulevés (à cette conférence) est le risque de malignité que pourrait présenter à long terme un ADN contaminant hétérogène, en particulier s'il s'avère qu'il contient des séquences codantes ou régulatrices potentiellement oncogènes. Ce point est réellement préoccupant, car de nombreuses personnes en bonne santé, notamment des nourrissons, seront peut-être vaccinées avec des produits issus de lignées cellulaires continues, ou les recevront de toute autre manière." (OMS, rapport technique n°747, de 1987)

 

Jouer aux cobayes avec de futurs vaccins aux nanoparticules ou renforcer de façon sûre et naturelle son immunité innée avec diverses plantes ou compléments alimentaires ? Ce sera un choix que des populations de mieux en mieux informées devront immanquablement opérer. Nier ce choix en ayant la tentation d’imposer des vaccins expérimentaux au public méritera selon nous une sanction populaire exemplaire des scientistes et autres politiques qui s’y seront risqués !

 

 

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2 mai 2013 4 02 /05 /mai /2013 10:57

Une maladie rare du sang serait-elle causée par les vaccins HPV ?

 

Une autre maladie auto-immune pourrait toucher les personnes ayant reçu les vaccins HPV. On retrouve 7 fois plus de Purpura thrombocytopénique idiopathique (une maladie du sang qui provoque des saignements anormaux) chez les jeunes filles qui ont reçu les vaccins HPV qu’avec n’importe quel autre type de vaccin – un sérieux indice de connexion.

 

D’après Norma Erickson, 27 avril 2013 (Sanevax et Gaia Health)

 

Jeune-fille-HPV.jpg

 

Kristie n’avait que 12 ans quand elle reçut le diagnostic d’une maladie rare pour laquelle il n’existe aucun remède connu, le purpura thrombocytopénique idiopathique. (PTI) Ce diagnostic tomba un peu plus d’un mois après sa seconde injection du vaccin Gardasil. Elle risque de vivre avec cette maladie pour le restant de ses jours. Malheureusement elle n’est pas la seule.

 

Le Gardasil et le Cervarix sont deux des 76 vaccins approuvés par la FDA et inclus dans la base de données du VAERS (Système de notification des effets secondaires indésirables des vaccinations). Depuis que le vaccin Gardasil a été approuvé pour utilisation aux Etats-Unis, il y a eu 682 rapports de purpura thrombocytopénique après l’administration d’un vaccin. 126 de ces cas sont survenus après l’administration des vaccins HPV.  Si tous les vaccins effectués présentaient un risque égal, il ne devrait y avoir que 18 rapports de purpura thrombocytopénique après vaccination HPV. Pourquoi dès lors  les rapports de purpura thrombocytopénique (PTI) après le Gardasil et le Cervarix sont-ils 7 fois plus élevés ?

 

Fréquence du purpura thrombocytopénique

 

Selon le Medscape Reference Library, les taux d’incidence de la maladie sont les suivants :

 

  • Etats-Unis – adultes – 66 cas pour 1.000.000. par an
  • Etats-Unis – enfants – 50 cas pour 1.000.000 par an
  • Danemark & Angleterre – 10 à 40 cas pour 1.000.000 par an
  • Koweit  -  125 cas pour 1.000.000 par an

 

Le purpura thrombocytopénique idiopathique est une maladie tellement rare que le diagnostic n’est rendu qu’après que toutes les autres conditions qui auraient pu déclencher le purpura thrombocytopénique aient été éliminées. C’est ce qu’on appelle un diagnostic d’exclusion. Combien y a-t-il de jeunes filles qui vivent avec un PTI après vaccination contre le HPV et qui n’ont pas été diagnostiquées ?

 

Qu’est-ce que le PTI ?

 

Idiopathique signifie simplement « d’origine inconnue »…

 

La thrombopénie est le terme médical utilisé pour indiquer une diminution du nombre de plaquettes sanguines… La quantité normale de plaquettes circulantes dans le sang d’une personne est de 150.000 à 450.000 par micro-litre. Quand le nombre de plaquettes dans le sang est inférieur à 20.000, la thrombocytopénie peut provoquer une hémorragie interne qui peut parfois être importante.

 

Le mot purpura évoque les taches de couleur pourpre qui apparaissent sur la peau, les organes, les muqueuses, y compris les muqueuses de la bouche. Le purpura est causé par une hémorragie interne à partir des petits vaisseaux sanguins…

 

Le PTI chez les enfants survient le plus souvent à la suite d’une infection ou parfois après la vaccination…

 

Quand le PTI  persiste plus de 6 mois sans cause spécifique, on parle de maladie  chronique…

 

Un diagnostic de PTI est à tout le moins un événement qui change la vie. Dans le pire des cas, cette maladie peut être mortelle…

 

18,5% des rapports envoyés au VAERS concernant le PTI depuis que le Gardasil et le Cervarix ont été approuvés, se sont produits après les vaccinations HPV. Il y a donc au moins 126 familles dont la vie a été bouleversée peut-être pour toujours. En fait, personne ne connaît le nombre exact de cas ; certains n’ont pas été rapportés et peut-être même pas diagnostiqués.

 

On dit généralement qu’un rapport envoyé au VAERS ne prouve pas la causalité. Le problème c’est qu’avec ce type de raisonnement on ne parviendra jamais à établir la cause de la maladie si personne ne la recherche.

 

Kristie a maintenant 18 ans. Malgré tout, elle a eu de la chance. Bien sûr son diagnostic de PTI a changé sa vie, mais elle a pu surmonter la plupart des difficultés. Il y en a d’autres qui n’ont pas eu cette chance.

 

Source: Gaia Health

 

Purpura-Asperger-Whale-to.jpg

 

Mon fils Dylan (5 ans à l’époque) a maintenant 9 ans. Il a souffert d’effets secondaires après le vaccin ROR. Il a fait un purpura thrombocytopénique auto- immun. Après avoir passé 2 semaines à l’hôpital et avoir subi quantité de tests, d’ interventions et de transfusions de plasma, sa santé lui a permis de quitter l’hôpital. Peu après son retour à la maison, il a commencé à montrer des signes d’autisme. Il a été diagnostiqué comme un cas d’Asperger (troubles neurologiques du spectre autistique). Source: Whale.to

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18 avril 2013 4 18 /04 /avril /2013 14:40

Rapport de l’Institut de Médecine (IOM) Américain sur la sécurité du programme vaccinal :

 

Quand aurons-nous affaire à une véritable Science ?

 

Par Barbara Loe Fisher, Présidente du NVIC, 16.01.2013.

 

NVIC Know the risks and failures

  VACCINATIONS ? Renseignez-vous sur les risques et les échecs  

 

Hier, l’Institut De Médecine (IOM) a publié un rapport « Programme des vaccinations infantiles et Sécurité : préoccupations des parties prenantes, preuves scientifiques et études prospectives. »

 

Le rapport est basé sur une évaluation de 12 mois réalisée par un Comité de l’IOM des preuves scientifiques qui sous-tendent le calendrier vaccinal des enfants recommandé par le gouvernement fédéral. Le Comité a formulé des recommandations quant à la faisabilité de mener des recherches pour évaluer les effets sur la santé des enfants vaccinés et non vaccinés, de même que sur celle des enfants suivant un calendrier vaccinal alternatif.

 

Bonnes ET mauvaises nouvelles

 

Ce rapport contient à la fois de bonnes et de mauvaises nouvelles. Comme bonnes nouvelles : à plusieurs reprises, le Comité a souligné l’absence étonnante d’études scientifiques de qualité pour pouvoir assurer la sécurité  du nombre de doses, et du calendrier de vaccins recommandés par le CDC (Centres Officiels Américains de Contrôle des Maladies) pour les enfants de 0 à 6 ans. Le Comité a confirmé qu’il y avait de grandes lacunes dans la connaissance, tout spécialement en ce qui concerne les enfants présentant une susceptibilité biologique accrue aux réactions et effets secondaires des vaccins.

 

La mauvaise nouvelle : le Comité recommande que le CDC puisse procéder à de nouvelles études de sécurité des vaccins en utilisant des bases de données de patients non accessibles/fermées au public comme le VSD (Vaccine Safety Datalink). Pareille proposition empêche malheureusement toute réplication indépendante. Depuis plus de deux décennies, le NVIC a plaidé pour une recherche indépendante sur la sûreté des vaccins par des chercheurs n’ayant aucun conflit d’intérêts ni avec l’industrie, ni avec le gouvernement.

 

Communiqué de presse du NVIC : un appel à la transparence

 

Le NVIC a publié un communiqué de presse qui en appelle à la transparence, à l’indépendance des futures recherches sur la sécurité du calendrier vaccinal des enfants. Quand verra-t-on apparaître la véritable science concernant la sécurité des vaccins ? Quand pourra commencer cette science menée par des chercheurs sans conflits d’intérêts ni avec l’industrie ni avec le gouvernement ?

 

Source : National Vaccine Information Center (NVIC)

 

 

« Il ne s’agit pas de présumer la culpabilité, la corruption ou le favoritisme de tel ou tel. Il s’agit d’abord de rendre les décisions publiques insoupçonnables, de les mettre à l’abri du doute (p.45) ». M. Hirsch

 

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10 avril 2013 3 10 /04 /avril /2013 11:45

Epilepsie après un vaccin contre la varicelle

 

S.C., maman de Luca – ‘t  Prikje mars 2013

 

Dessin--Prikje.jpg

 

Notre petit garçon de 13 mois était en parfaite santé et se développait normalement; il marchait déjà à son premier anniversaire.

 

A partir du moment où il a dû se faire vacciner contre la rougeole, il est devenu malade.

 

Quand je me suis rendue chez la pédiatre, cette dernière m’a annoncé qu’il y avait une épidémie de varicelle dans le quartier et qu’il vaudrait mieux administrer le vaccin (contre la varicelle) et un mois plus tard le vaccin ROR (Rougeole, Rubéole, Oreillons). 

 

Mon mari et moi sommes des scientifiques. Mon mari travaille même dans le secteur biopharmaceutique.

 

Luca a donc reçu son vaccin contre la varicelle. Trois semaines plus tard (je m’en souviens parfaitement) Luca a commencé à avoir des spasmes. A chaque crise, ses bras, ses jambes et son visage se contorsionnaient, mais il restait conscient.

 

Comme il continuait à faire des crises, nous l’avons conduit aux urgences de l’hôpital universitaire de Bruxelles.

 

Luca a immédiatement été examiné ; on lui a fait une prise de sang, un examen de l’œil et un électroencéphalogramme. Le diagnostic est tombé rapidement : « épilepsie ». Luca a été immédiatement mis sous Keppra (médicament antiépileptique) Ils l’ont gardé à l’hôpital pendant une semaine.

 

Quand nous avons quitté l’hôpital le vendredi, Luca faisait toujours des crises, mais elles étaient moins graves et plus espacées.

 

Comme les crises continuaient à se produire tous les jours, nous avons à nouveau dû consulter le 14 juillet. En plus du Keppra, on prescrivit de la Depakine 3X12 gouttes.

 

Le 4 août Luca, dut subir un nouvel électroencéphalogramme. Luca a néanmoins continué à faire des crises même au cours de l’électroencéphalogramme.

 

Il fut ensuite décidé d’arrêter la Depakine et de commencer un traitement au Topamax. Luca a ainsi pu voir disparaître ses crises pendant 3 jours.

 

Le mardi suivant, les crises reprenaient et duraient plus longtemps, parfois 5 minutes.

 

Début septembre, malgré que Luca prenait du Topamax, du Keppra et de la Depakine, les crises continuaient à se produire chaque jour.

 

Par l’intermédiaire d’un ami, nous avons été mis en contact avec un professeur de l’hôpital universitaire de Leuven. Le 7 septembre, Luca fut admis à l’hôpital pour un séjour de plus d’un mois. Après une deuxième ponction lombaire et de nombreux autres examens, on nous donna le diagnostic: Syndrome de West (épilepsie du nourrisson ou encéphalite myoclonique infantile)

 

Si le traitement au Sabril ne donnait pas de résultats, il ne restait plus qu’une possibilité. Mais si les crises ne s’arrêtaient pas notre enfant n’aurait plus pu évoluer.

 

Comme le Sabril ne donnait pas de résultats, c’est une cure d’ACTH qui fut prescrite. Luca recevait une piqûre tous les jours. Il avait dû être isolé car son système immunitaire étant complètement à plat, il n’était pas question qu’il attrape une infection. Seuls mon mari et moi pouvions avoir accès à sa chambre.

 

Les crises se sont heureusement arrêtées.

 

Le 17 octobre nous sommes tous rentrés à la maison. Luca devait continuer à prendre le Sabril et la Depakine. Les crises ne se sont plus manifestées.

 

Quand je dis à Louvain que tout cela est arrivé à cause du vaccin, je reçois toujours la même réponse : Le vaccin a été le déclencheur ; il n’est pas la cause. »

 

Chaque fois que je retourne avec Luca à Louvain, le professeur évoque : « ah, voilà mon enfant miraculé ! » Il n’a cependant aucune explication pour le fait que Luca ne fait plus de crises et a continué à évoluer. Tout son retard a été rattrapé, mais personne ne peut nous donner une explication.

 

Luca ne pourra pas recevoir son vaccin contre la rougeole

 

Quand je lis des articles scientifiques suisses, néerlandais, français, je puis y trouver la description de cas d’épilepsie après vaccination contre la varicelle et la rougeole.

 

S.C. maman de Luca

 

Le syndrome de West peut tout à fait être causé par des vaccinations infantiles (contrairement aux affirmations de ce Professeur mal à l’aise du CHU de Leuven) !

 

En 2010, l’Agence Reuters publiait une dépêche suite à une publication scientifique révélant que les vaccinations infantiles peuvent déclencher l’épilepsie infantile précoce (syndrome de Dravet). Cette dépêche signalait aussi tout le malaise des scientifiques en question qui craignaient, tabou vaccinal oblige, que leurs découvertes dissuadent les parents de faire vacciner leurs enfants.

 

Qu’il s’agisse d’une étiquette « X » (syndrome de West) ou d’une étiquette « Y » (syndrome de Dravet), leur point commun est qu’il s’agit d’épilepsie et on voit donc assez mal pourquoi les vaccins pourraient favoriser un type d'épilepsie sans jamais pouvoir en favoriser un autre. Car le fait est que les vaccinations ont des effets neurologiques possiblement délétères et peuvent donc détraquer un système nerveux initialement sain.

 

Autre élément intéressant, le côté longtemps réfractaire de l’épilepsie de cet enfant, dans ce témoignage, aux médicaments habituellement prescrits dans ce genre d’indication. Selon le Dr Buchwald, médecin allemand qui a étudié de façon indépendante et désintéressée la question des effets secondaires de vaccins pendant plus de 40 ans, il s’avère que les épilepsies induites par les vaccins présentent justement ce critère qui aide à les différencier des épilepsies d’autres origines, à savoir qu’elles ne cèdent pas du tout facilement aux anti-convulsivants classiques. Le Dr Buchwald écrit : « Lorsqu’il s’agit d’une épilepsie « normale », souvent héréditaire, on arrive presque toujours à arrêter les convulsions avec les médicaments correspondants. Ceci ne réussit que très rarement avec les convulsions déclenchées par les vaccinations» (cfr p. 11/17)

 

 

Voir aussi l'article suivant qui apporte une note positive et une lueur d'espoir pour les victimes:

 

Témoignage de guérison d'une épilepsie post-vaccinale avec les isopathiques homéopathiques

 

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7 avril 2013 7 07 /04 /avril /2013 14:47

L’OMS suspend un vaccin après le décès de

26 enfants dans le Tiers Monde.

 

D’après Christina England, 2 avril 2013

 

Enfant-que-l-on-vaccine.JPG

 Un agent de santé vaccine un enfant en bas âge

  

Selon les rapports, au moins 26 enfants sont morts et la santé de plusieurs autres a été sérieusement endommagée après qu’ils aient reçu un vaccin avec 5 valences, à savoir le Quinvaxem. [1] Les journaux ont rapporté que toutes les victimes ont subi des effets indésirables dont la fièvre, des vomissements et l’apparition d’ecchymoses sur l’ensemble du corps. [2] Le Quivaxem qui est offert gratuitement par l’UNICEF, est un vaccin « préqualifié à l’essai » pour les pays en voie de développement. Actuellement administré aux bébés dès l’âge de huit semaines, ce vaccin pentavalent est destiné à protéger les nourrissons et les jeunes enfants contre la diphtérie, le tétanos, la coqueluche, l’hépatite B et HiB (Haemophilus influenzae de type b).

 

Selon les rapports, les autorités locales ont suspendu tous les lots controversés pour pouvoir procéder à des vérifications. Le Ministère de la Santé a cependant déclaré que le vaccin ne posait aucun problème quant à sa qualité, sa distribution, sa conservation ou son administration. [3]

 

Bien que des décès aient été signalés au Vietnam, au Sri Lanka, au Pakistan, au Bouthan et en Inde, l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) s’en est tenue à évoquer la sécurité du Quinvaxem, indiquant que toutes les études du vaccin, fabriqué en Corée du sud, confirmaient sa sécurité !

 

Enfants utilisés comme cobayes

 

Voici un nouvel exemple d’enfants qui meurent et beaucoup d’autres qui souffrent des effets secondaires d’un vaccin testé sur des enfants vulnérables de pays en voie de développement. N’est-il pas grand temps que l’OMS arrête de prétendre que leurs programmes sont destinés à protéger les enfants ?

 

J’invite les lecteurs à lire un document rédigé par le Dr Rebecca Carley intitulé : « Vaccinations : les véritables armes de destruction massive (qui provoquent des maladies induites par les vaccins), dans lequel elle écrit :

 

« En fait, la « prévention » d’une maladie par le biais de la vaccination représente en réalité une incapacité à expulser certains organismes en raison de la suppression de la réponse à la médiation cellulaire. Ainsi, plutôt  que de prévenir la maladie, la vaccination empêche que cette dernière trouve une solution. » [4]

 

Le Dr R.Carley a pris conscience de toutes ces atrocités et elle a tenté désespérément de mettre tout le public en garde.

 

La maladie de Kawasaki

 

Il est tout à fait possible que nombre de ces enfants aient  souffert d’une réponse auto-immune après qu’on leur ait injecté ce vaccin. Je base mon opinion sur une série d’articles et d’études effectuées sur la maladie de Kawasaki.

 

La maladie de Kawasaki est une maladie auto-immune qui peut survenir après une vaccination. En fait, les scientifiques qui ont étudié de près cette maladie disent que des preuves suggèrent fortement qu’un agent infectieux comme un virus ou un vaccin puisse provoquer la maladie.

 

Les enfants souffrant de la maladie de Kawasaki souffrent de symptômes très proches de ceux des enfants qui ont été vaccinés avec le Quinvaxem. J’ai établi un lien avec le Quinvaxem car la maladie peut entraîner les problèmes suivants :

 

  • Yeux rouges et injectés de sang provoqués par une conjonctivite (mais sans présence de pus)
  • Couperose, taches rouges principalement sur le tronc ou sur les organes génitaux.
  • Lèvres sèches, rouges et fissurées
  • Langue rouge, enflammée avec des taches blanches circulaires ; gorge rouge.
  • Ganglions lymphatiques gonflés de chaque côté du cou.
  • Mains et pieds gonflés qui deviennent rouges et durs avec desquamation des doigts et des orteils deux à trois semaines après que la maladie a débuté.
  • Mal de gorge
  • Toux
  • Abdomen douloureux
  • Vomissements
  • Diarrhée
  • Articulations gonflées ou douloureuses.

 

Plusieurs enfants peuvent mourir d’une insuffisance cardiaque ou d’une crise cardiaque. Au Royaume-Uni et aux Etats-Unis, la maladie de Kawasaki est réputée être la cause la plus courante de maladies cardiaques chez les enfants. [6]

 

Dans un document publié par P.A. Brogan et al et intitulé : « Maladie de Kawasaki : une approche fondée sur des preuves pour le diagnostic, le traitement et les futures recherches », les auteurs déclarent :

 

« En 1967, Kawasaki Tomisaku décrit le cas de 50 enfants japonais atteints de fièvre, d’éruptions cutanées, d’érythème, de gonflement des mains et des pieds et d’adénopathies cervicales…KD (Kawasaki Syndrome ; Kawasaki Disease) est la plus fréquente au Japon, où plus de 125.000 cas ont été signalés. La maladie est également plus fréquente chez les japonais et les autres enfants asiatiques vivant à l’étranger. Les enfants âgés de 6 mois à 5 ans sont les plus sensibles avec un pic d’incidence chez les enfants de 9 à 11 mois. On a signalé des variations saisonnières de la maladie, avec l’apparition d’un pic en hiver et au printemps. On n’a pas observé de contagion directe de personne à personne. Au Japon la maladie est plus fréquente entre frères et sœurs avec un pic d’incidence de 8-9% entre frères et sœurs de moins de deux ans. »

 

Il est intéressant de noter que les auteurs mentionnent la vaccination comme un déclencheur possible :

 

« … L’irritabilité est un signe important ; elle est presqu’universellement présente bien que ne figurant pas dans les critères de diagnostic. Le mécanisme exact de l’irritabilité n’est pas clair, mais il peut être lié à la présence d’une méningite aseptique. Un autre signe clinique qui n’est pas repris dans les critères de diagnostic et qui est relativement spécifique à KD (Maladie de Kawasaki), est l’apparition d’un érythème et d’une induration aux sites de la vaccination BCGComme un nombre croissant de nourrissons reçoivent le BCG au Royaume Uni, il est probable que ce signe deviendra de plus en plus habituel et la prise de conscience de ce fait pourrait permettre un diagnostic et un traitement plus précoces. »

 

Si vous lisez attentivement les déclarations qui précèdent, vous pourrez reconnaître que l’âge des enfants le plus à risque de contracter la maladie est précisément l’âge à partir duquel les enfants reçoivent le plus de vaccins.

 

Le Dr Michael Innis se réfère souvent à la maladie dans les cas où des enfants sont abusés. Elle dit que les marques et les ecchymoses que l’on retrouve dans la maladie de Kawasaki sont souvent confondues avec la maltraitance des enfants. [7]

 

Trois chercheurs qui ont écrit un article intitulé « La maladie de Kawasaki chez un nourrisson après la vaccination » et publié par l’Institut National de Santé, précisent dans leur résumé :

 

« Nous décrivons ici le cas d’un enfant de 35 jours qui a fait la maladie de Kawasaki 1 jour après avoir reçu la seconde dose du vaccin contre l’hépatite B. Bien que très rare, cet effet secondaire possible doit être noté et étudié d’une manière plus approfondie.» [8]

 

Ce document a été écrit en 2003. Comment se fait-il dès lors que le lien entre vaccinations et le syndrome de Kawasaki n’ait pas fait l’objet d’un examen plus approfondi ?

 

Un autre article intitulé « Maladie de Kawasaki après vaccination : rapport d’événements indésirables (système de déclaration) 1990-2007. » stipule :

 

« Depuis le 14 octobre 2007, 107 rapports de KD (maladie de Kawasaki) ont été transmis au VAERS : 26 cas ont été considérés classiques, 19 cas classés atypiques, 52 cas possibles, 10 non classifiés. Sur 97 cas, 91% étaient des cas d’enfants. » [9]

 

Les auteurs ont conclu que leur étude ne voulait pas suggérer un risque élevé de maladie de Kawakasi pour le RotaTeq ou les autres vaccins, ils suggèrent que soit poursuivie la surveillance post-commercialisation pour la maladie de Kawasaki.

 

Tous ces documents suggèrent que la série habituelle des vaccins puisse éventuellement accroître le risque pour les enfants de faire cette maladie.

 

L’un des articles parmi les plus mémorables qui fait comprendre que la maladie de Kawasaki peut survenir après les vaccinations a été écrit par Lisa Blakemore-Brown dans une réponse à une étude finlandaise au sujet de la sécurité du  vaccin ROR dans le British Medical Journal de 2001. Elle écrivait :

 

« Si un groupe de personnes s’effondrent après avoir mangé, par exemple de la sole limande dans un restaurant, on trouverait inacceptable et ridicule que les responsables tentent d’étouffer l’affaire en disant que des millions de gens mangent de la sole limande tous les jours et qu’il n’y a pas de problème. De leur côté, les responsables de la Santé et de la sécurité n’hésiteront pas à aller droit au but: ils examineront les personnes malades, le poisson du restaurant  et vérifieront les tests de laboratoire.

 

Comme des centaines de parents se sont rendu compte que leurs enfants réagissaient au vaccin et que dans certains cas, on avait affaire à « une nouvelle variante de l’autisme », à la perte des compétences en communication, à des déficiences motrices, à des problèmes intestinaux, n’aurait-on pas pu considérer qu’il appartenait au gouvernement  de chercher à obtenir des réponses ?

 

Cette incidence de l’autisme est indiscutable. Il ne s’agit pas d’un meilleur dépistage de l’autisme. Ce TYPE d’autisme est inhabituel et déroutant pour des professionnels de l’éducation à la santé. Un des cas que j’ai pu observer était une réaction claire et indiscutable au vaccin contre la coqueluche. On a pu observer que l’enfant en question souffrait de la maladie de Kawasaki, son système immunitaire s’étant retourné contre l’enfant. Il s’agissait d’un cas d’Asperger. Il n’existait aucun cas d’autisme dans la famille, mais le bébé souffrait d’allergies avant la vaccination. Ce sont des examens scientifiques comme celui-ci qui pourront finalement nous permettre de mettre en place les mesures qui pourront rassurer le public.

 

Le refus catégorique de s’occuper des véritables problèmes et de s’occuper des individus qui souhaitent pouvoir choisir nous semble relever d’une politique dangereuse, tout spécialement avant une élection.» [10]

 

J’ai choisi de publier cet extrait parce qu’il peut concrétiser certains conseils très fermes pouvant s’appliquer à des organisations comme l’UNICEF qui offrent aux enfants des vaccinations comme s’il s’agissait de bonbons.

 

Comme ce fut le cas pour le Dr Carley, le travail de Madame Blakemore-Brown a été lui aussi discrédité, alors qu’il s’agit de professionnels talentueux et doués qui partagent les graves inquiétudes de centaines d’autres professionnels de la santé et qui font les mêmes déclarations. Nombre d’entre eux ont été les cibles de campagnes de haine avant de voir leur carrière sabotée.

 

Conclusion

 

L’OMS et l’UNICEF ne se sont pas gênées  d’effectuer des tests et d’offrir gratuitement des vaccins douteux aux populations pauvres et vulnérables des pays en voie de développement. La vie de ces enfants est aussi très précieuse. Ce ne sont pas des rats de laboratoire ni des cobayes que l’on peut utiliser à volonté. Ce sont des enfants comme tous les autres ; Ils ont des frères, des sœurs, une maman, un papa, des oncles, des tantes et des grands-parents qui les aiment beaucoup.

 

Leurs parents crédules croient la propagande que des groupes comme l’UNICEF met à leur disposition. Ils croient que ces vaccins sont sans danger et qu’ils protégeront leurs précieux bébés. Au lieu de cela, leurs enfants sont en train de mourir après avoir reçu des vaccins.

 

Références

 

1.http://www.mynycdoctor.com/least-26-infants-five-countries-dead-taking-pentavalent-vaccine/ 

2.http://kinhbacenglish.blogspot.co.uk/2013/03/vietnam-province-recalls-quinvaxem.html
3.http://talkvietnam.com/2013/01/who-deems-vaccine…
4.www.drcarley.com/innoculations_wmd_dr_carley.pdf
5.http://www.vaccineinjuryhelpcenter.com/kawasaki-disease-vaccine/
6.http://adc.bmj.com/content/86/4/286.long
7.http://www.bmj.com/content/329/7467/643.3?tab=responses
8.http://link.springer.com/article/10.1007%2Fs10067-003-0785-3?LI=true#page-1
9.http://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/19755926
10.http://www.bmj.com/content/322/7279/130.3?tab=responses

 

 

Source: Vactruth

 

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31 mars 2013 7 31 /03 /mars /2013 21:15

Green-our-vaccines.jpg

L'AFP publiait le 29 mars dernier un article lénifiant et sans aucun esprit critique sur les résultats d' une étude biaisée parue dans la revue The Journal of Pediatrics et dont le titre sonne en réalité comme une réponse aux dénonciations médiatisées de personnalités connues du public comme Jenny Mc Carty et son ex compagnon Jim Carey lors de leur rallye "Green our vaccines", en 2008.

 

A l'époque, ils soulignaient déjà, ce qui est le bon sens même: "Too Many too soon !" ce qui, en français, signifie "Trop (de vaccins), trop tôt." Et on aurait encore pu rajouter  aussi: trop à la fois.

 

Cette étude, qui ne sert pas à faire réellement la lumière mais bien davantage à lutter contre la défiance croissante envers les vaccins ainsi que la tendance en hausse chez les parents à opter pour des calendriers vaccinaux alternatifs, conclut sur base d'une méthodologie plus que douteuse qu'il n'y a aucun lien entre "trop vaccins trop vite" et l'autisme.

 

Et bien sûr, le bon peuple est censé le croire, au seul motif que cela aurait été publié dans une revue médicale connue!

 

Voici pourtant un extrait de la dépêche AFP qui devrait attirer votre attention et votre vigilance en ce sens qu'il est extrêmement révélateur de cette Science bâclée qui caractérise tellement le dogme de la vaccination:

 

« De précédentes études avaient déjà établi l'absence de lien entre la vaccination et l'autisme, mais les chercheurs du CDC se sont cette fois-ci concentrés sur l'exposition des enfants aux antigènes, les substances présentes dans les vaccins qui entraînent la production d'anticorps pour lutter contre l'infection ou la maladie. Ils ont comparé l'exposition aux antigènes de 256 enfants autistes à celle de 752 autres enfants. "Nous n'avons trouvé aucune preuve suggérant une association entre l'exposition durant les deux premières années de la vie aux protéines stimulant la production d'anticorps et aux polysaccharides contenus dans les vaccins et le risque de souffrir d'autisme", écrivent-ils dans l'étude. »

 

Ce court extrait rassemble 2 éléments de tromperie fondamentaux:

 

1°) Il est fait référence aux "précédentes études qui avaient déjà établi l'absence de lien entre la vaccination et l'autisme", ce qui est un argument purement quantitatif qui tend implicitement à faire croire que le nombre ferait la vérité. Il ne faut pas oublier à ce sujet les méthodes des pharmas qui ont besoin de la loi du nombre (des études) pour protéger leurs marchés, indépendamment de la qualité intrinsèque de telles études.  

 

2°) Ce type d'étude n'a absolument AUCUNE valeur, tout simplement parce qu'aucun vaccin ne consiste à n'administrer seulement QUE des antigènes, ils sont toujours intégrés à un ensemble d'autres substances dont on ne peut pas les séparer en termes d'effets et de mécanismes physiopathologiques possibles. Comparer des enfants autistes à des enfants lambda non autistes en disant que les autistes n'ont pas reçu plus d'antigènes que les seconds est une absurdité indicible car il est bien évident que quasi 100% des enfants reçoivent de nos jours tous les vaccins possibles et imaginables et d'autre part, que 100% des enfants polyvaccinés d'aujourd'hui ne deviennent pas autistes, certains étant plus résistants que d'autres. Ce genre de comparaison est donc surtout conçue pour ne rien trouver du tout.

 

Les seules études FIABLES pour réellement démontrer l'absence de lien entre les vaccins et l'autisme sont de deux types:

 

a) Une comparaison de la prévalence de l'autisme chez les enfants ayant reçu le schéma vaccinal officiellement recommandé à celle chez les enfants vierges de tout vaccin. De telles enquêtes ont déjà été menées par des groupes de citoyens indépendants mais jamais par les autorités officielles qui redoutent à juste titre un contraste accablant dans la prévalence entre les deux groupes.

 

b) Des études en laboratoire sur les animaux. Et à ce sujet, plusieurs études ont déjà montré de sérieuses raisons d'inquiétudes. Les neurones des rats sont détruits sous l'effet de l'aluminium vaccinal. Des primates vaccinés précocément peu après la naissance avec des vaccins anti-hépatite B contenant du mercure, perdent leurs réflexes de survie etc etc. Toutefois, des études négatives sur les animaux ne permettent pas forcément d'exclure un risque chez l'homme car la transposabilité n'est pas toujours optimale (comme cela s'est vu avec la thalidomide par exemple.)

 

Too-Many-too-soons.jpg

En conclusion, on voit donc assez mal en quoi cette étude de De Stefano et al. (De Stefano était aussi impliqué dans une des études qui blanchissaient à tort le vaccin anti-hépatite B dans la genèse de cas de scléroses en plaques alors que les chiffres année par année en France montrent sans l'ombre d'un doute le lien avec la vaccination) arrivera à persuader les parents d'oublier leurs craintes on ne peut plus fondées! Un nombre croissant de parents se rendent compte qu'on vaccine trop, top tôt et trop à la fois. Et ils ne sont plus dupes des intérêts marchands qui sous-tendent très largement les programmes vaccinaux. En s'informant, ils se rendent compte que Big Pharma a près de 300 nouveaux vaccins dans son pipeline et d'autre part, que les autorités considèrent les pharmas comme "leurs partenaires naturels". Dès lors, il leur apparaît de plus en plus clair qu'il est de l'intérêt des pharmas de grouper et de combiner un maximum leurs vaccins, de façon à "faire de la place" dans le calendrier vaccinal pour caser plusieurs autres nouveaux vaccins. Et à chaque fois, des maladies qui étaient fréquentes mais très peu dangereuses sur un plan statistique, commencent à être dramatisées pour écouler les vaccins correspondants. Les parents qui ont du bon sens arrivent à se souvenir qu'eux et leurs compagnons de classe ont très bien vécu sans toutes ces batteries de nouveaux vaccins soi-disant synonymes de "Progrès". Un tiers des parents américains sont en outre déjà enclins à penser que les vaccins peuvent causer l'autisme. Et cela les inquiète à fort juste titre dans un pays où les taux d'autisme explosent (1 enfant sur 50 et 1 garçon sur 31!). Les rassurer à tort protégera certes TEMPORAIREMENT les intérêts des fabricants mais ne fera que retarder l'éclatement inéluctable de la bulle vaccinale.

 

L'acteur Jim Carey a courageusement commencé son discours à la tribune lors du rallye "Green Our Vaccines" par la question suivante " Je voudrais commencer ce discours en posant au Centre de Contrôle des Maladies cette question: "A quel point pensez-vous que nous soyons stupides? "

 

Aux Etats-Unis, les gens descendent plus facilement dans la rue et certains scientifiques et hommes politiques ne craignent pas de s'unir à des citoyens pour protéger la santé des enfants.

 

 

Voir aussi les articles complémentaires suivants:

 

Ethique vaccinale & prostitution de la Science

 

La sécurité des vaccins pose vraiment problème: les officiels le savent

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31 mars 2013 7 31 /03 /mars /2013 18:03

Les choses traînent en la matière... comment s'en étonner? Il est clair que les autorités qui ont toujours clamé haut et fort la (fausse) sécurité des vaccins, ne sont guère pressées d'organiser des recherches susceptibles de démontrer que leur politique vaccinale aveugle et qui dure depuis des décennies, a pu générer des ravages en termes de santé publique, avec le risque juridique qui se posera tôt ou tard dans la foulée de tels résultats.

 

En outre, dans le contexte actuel où on ne cesse de réduire les contre-indications aux vaccins et où la pression vaccinale va croissant sur toutes les catégories de la population, identifier des groupes de gens encore plus vulnérables que d'autres aux effets secondaires de vaccins  n'est tout simplement pas dans l'air du temps.

 

L'association de malades de myofasciites à macrophages (E3M) vient de publier un récent communiqué sur cette inaction criminelle de la part des autorités car comme ils le rappellent très bien, chaque jour qui passe apporte bien sûr son lot de victimes supplémentaires inutiles.

 

Lire ici ce document de E3M.

 

(Actualisation au 4/4/13: le comité de pilotage de ces recherches aurait enfin été constitué...) 

 

NB: Nous sommes d'accord avec E3M sur les risques graves, notamment neurologiques, associés à l'aluminium qui sont connus et établis de longue date. En revanche, nous ne disposons pas de preuves suffisantes pour affirmer l'innocuité du phosphate de calcium prétendûment "si sûr" en comparaison avec l'aluminium et compte tenu de la présence de phosphate de calcium dans notre organisme (comme c'était aussi le cas du squalène d'ailleurs), l'injection d'une telle substance ne nous apparaît pas d'emblée comme anodine. Nous avons demandé à E3M de nous communiquer les preuves dont ils disposeraient sur l'innocuité du phosphate de calcium et pour info, nous ne les avons jamais reçues.

 

Mais nous tenons aussi à attirer l'attention du public sur le fait qu'un danger n'en supprime pas forcément un autre. Ainsi, cela n'est pas parce que l'aluminium vaccinal pose un problème évident et majeur de sécurité que pour autant, le phosphate de calcium est forcément sûr. De même, cela n'est pas parce que certaines associations focalisent tous leurs efforts sur le seul aluminium vaccinal que pour autant, le reste du processus vaccinal et des autres composants ne posent pas aux aussi problème. Malheureusement, la question vaccinale est complexe et implique d'innombrables facettes, et ce, bien sûr aussi lorsqu'on analyse tous les nombreux problèmes de sécurité que les vaccins posent à bien des niveaux.

 

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30 mars 2013 6 30 /03 /mars /2013 21:30

Medecin-X.gif

Un médecin, que nous appellerons Dr X, nous a fait parvenir cet article qu'il a rédigé.

 

Nous avons vérifié la qualité de médecin du Dr X. A la suite de différents ennuis avec le Conseil de l'Ordre consécutifs à ses critiques sur les vaccins dans différents médias, il préfère pour l'instant garder son anonymat, afin de pouvoir continuer à œuvrer contre leur pratique tout en pouvant vivre financièrement parlant, sans risquer l'excommunication.

KIGGS-VACCINATED-UNVACCINATED.jpg

 [Comparaison entre les chiffres de l'étude KIGGS (pour les enfants vaccinés) à ceux de l'enquête Vaccine Injury. Info]

 

Ce graphique, comparant une population d’enfants vaccinés (en bleu)  à une autre qui ne l’est pas (en rouge), montre la chose suivante, qui est effroyable :

A chaque fois que nous avons vacciné mille enfants :

à 123 d’entre eux nous avons donné une allergie,

à 156 un asthme ou une bronchite chronique,

à  62 une névrodermite,

à  126 un herpès,

à  90 une tendance aux otites,

à  81 le rhume des foins,

à  59 une hyperactivité,

à  48 une scoliose,

à  33 une épilepsie,

à  14 une migraine,

à  16 une affection thyroïdienne.

 

En résumé, en vaccinant 1000 enfants, nous avons instauré 808 maladies de façon tout à fait artificielle. Et cette statistique ne porte ni sur d’autres pathologies provoquées, ni sur les accidents immédiats, parfois mortels (Mort subite du nourrisson), ni sur les incidences à long terme.

Seul un enfant sur cinq est sorti pour l’instant indemne de notre action. Un peu plus, il est vrai, parce qu’il y a des cumulards… Mais sans doute ne perd-il rien pour attendre.

S’il est maintenant tout à fait certain que nous leur avons fait du mal, est-il certain que les maladies dont nous prétendons les avoir protégés, prétention probablement largement abusive d’ailleurs, étaient plus graves et justifiaient cette hécatombe ?

Il naît en France près de 800.000 enfants chaque année.

Selon les calculs résultant de ce graphique, l’abstinence vaccinale pourrait épargner tous les ans :

94.800 enfants allergiques

124.800 enfants asthmatiques ou bronchitiques chroniques

49.600 enfants atteints de névrodermite

100.800 enfants herpétiques

72.800 enfants atteints d’otite à répétition

64.800 enfants atteints de rhume des foins

63.200 enfants atteints d’hyperactivité

38.400 enfants scoliotiques

26.400 enfants épileptiques

11.200 enfants migraineux

12.800 enfants atteints de troubles thyroïdiens.

 

Soit un total de 646.400 enfants épargnés dans leur chair. Plus de 6 millions tous les 10 ans : c’est hallucinant.

Ceux précisément qui sont actuellement nos victimes, comment les appeler autrement ?

Auxquels il convient d’ajouter les victimes d’accidents à long terme (mais peut-on parler d’accidents ?) que représentent les scléroses en plaques, Parkinson, Guillain Barré, autisme, et autres Alzheimer dont on nous serine sans doute bien à tort qu’ils sont sans rapport.

Maintenant, il reste à mettre en parallèle les maladies dont nous prétendons les protéger, prétention largement abusive d’ailleurs.

Le calcul est vite fait, et il me paraît sans appel.

On nous a dit que la vaccination était destinée à protéger le plus grand nombre au prix de quelques accidents chez un petit nombre. Il s’avère que tout au contraire, cette vaccination provoque un grand nombre de maladies chez le plus grand nombre, en ne protégeant qu’hypothétiquement d’un petit nombre de maladies qu’on pourrait tout simplement soigner mieux.

Dans un premier temps, je propose donc de reculer l’âge de la primo-vaccination à au moins un an, le temps d’attendre que le système immunitaire de l’enfant soit prêt à recevoir un vaccin, qui est toujours une agression, et jamais une formalité banale et sans conséquence. Le mieux serait deux ans. Tout en sachant que le système immunitaire n’achève sa totale maturation qu’à sept ans.

Je propose aussi d’éviter au maximum les associations vaccinales : la nature nous épargne d’affronter simultanément plus d’une maladie à la fois, et il est absurde et dangereux, voire criminel, d’en proposer 13 d’un coup à sa bienveillante vigilance.

Cette mesure devrait être assortie d’une large information concernant le respect que mérite une  fièvre bien maîtrisée, et sur la stupidité et les dangers de l’usage des antipyrétiques systématiques au cours des maladies infectieuses.

En sachant que par exemple, (en dehors de quelques espèces mutantes de virus dits « chauds », qui peuvent tolérer 40°C, mais pas plus), qu’à partir de 39.5°C, aucun virus polio ne se multiplie plus (Lwoff, prix Nobel). Quelques dixièmes de degré peuvent faire toute la différence.

Et qu’il est infiniment probable que la majorité des morts lors de la grippe espagnole de 1918 furent dues à l’usage immodéré de l’aspirine, ce qui est vérifié par les succès des médecins homéopathes aux USA à cette époque (il y avait alors autant d’homéopathes que d’allopathes dans ce pays), qui purent afficher pour leurs patients une mortalité inférieure à 1% parmi les sujets atteints, tandis que leurs collègues allopathes en déploraient 28%, la grande différence étant l’usage ou non de l’aspirine.

Il faudrait également cesser cette pratique abusive d’exploiter systématiquement telle ou telle poussée épidémique, dont on sait qu’elles sont récurrentes, pour affoler les populations et les diriger vers le vaccin.

Il y a toujours eu, il y aura encore, des poussées épidémiques de rougeole, de coqueluche. Il y a toujours eu, il y aura toujours des reculs spontanés de ces épidémies.

Jusqu’à ce qu’un jour, elles finissent par disparaitre spontanément et définitivement, comme l’ont fait la suette, la peste et la scarlatine, et ceci sans aucun vaccin. Mais d’autres prendront le relais, inéluctablement. (Peut-être ont-elles un rôle dans notre évolution génétique, et sans doute même en tirons nous des bénéfices : il semble bien qu’après une rubéole, on ne soit plus susceptible de souffrir d’une arthrite).

800.000 rougeoles aux USA en 1958, un peu moins de 500.000 en 1962, le vaccin étant apparu en 1963.

4.000 morts de rougeole en France en 1902, 20 en 1982, l’année des premières vaccinations (généralisation du ROR). Idem en Grande-Bretagne où le nombre des décès avait diminué spontanément de 97% avant l’arrivée du vaccin.

Ne laissons pas aux laboratoires et à leurs affidés le loisir de semer de fausses alarmes, et reprenons le contrôle de notre médecine, plutôt que de la laisser aux mains des marchands du temple, qui en font souvent un si mauvais usage. Leur métier est de vendre, le nôtre est de soigner : ne mélangeons ni les genres, ni les intérêts. Et retrouvons notre nécessaire vigilance, on nous a endormis, réveillons-nous avant d’être totalement disqualifiés.

Comprenez que je n’attaque pas la médecine, mais que je tente au contraire de la protéger d’elle-même. Quoi que vous puissiez en penser dans un premier temps et avant réflexion, la médecine a besoin de médecins comme moi.

Pas nécessairement brillants, mais fouineurs, curieux de tout, capables d’ouverture, de recul, et de hauteur de vue, dérangeants, mais assez courageux pour faire savoir.

 

Dr X. (France)

 

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