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29 mars 2013 5 29 /03 /mars /2013 22:05

enfant-vaccin.jpg

Concernant le Prévenar, je lisais le témoignage de parents hier sur le forum de France 5 des maternelles, qui expliquait le décès de leur enfant suite au vaccin.


Ma fille est handicapée suite aux vaccins Prévenar et ROR faits en même temps.


Si je témoigne et m'insurge sur ce que certains peuvent écrire, c'est bel et bien parce que je vis au quotidien avec les problèmes provoqués par les vaccins.

 
Il y a maintenant 13 molécules dans le vaccin Prévenar.

 
Il y a actuellement plus d'une centaine de vaccins en préparation, à croire que bientôt ils vont nous pondre le vaccin « sérum de vérité » ou contre la bêtise...


Il faut savoir que la majorité des molécules utilisées par l'industrie pharmaceutique vont tomber dans le domaine public et ne rapporteront plus rien aux labos. Ils essaient de palier à tout ça en créant des vaccins, composés je vous le rappelle avec pour certains des OGM, pour d'autres des métaux lourds comme l'hydroxyde d'aluminium ou le thimérosal.

 
Je ne suis pas antivaccinaliste je tiens à le préciser mais bel et bien victime de tous ces vaccins, c'est pourquoi je pense avoir davantage de légitimité pour pouvoir en parler.


Est-il normal qu'un enfant doive vivre handicapé à vie parce qu'il a été un jour vacciné?

Le jour où les laboratoires mettront un vaccin réellement sans effets secondaires sur le marché, je me referai vacciner, mais pour l'heure c'est bien loin d'être le cas, on joue à la roulette russe, et aux apprentis sorciers.


Certains effets secondaires peuvent se déclarer plusieurs mois après, même si les médecins n'y croient pas.

 
C'est pourtant certains d'entre eux qui n'ont pas hésité à dénoncer ces faits.

 
Merci messieurs dames, sans vous, nous ferions comme les moutons de Panurge, condamnés à suivre un mouvement où pour le « Bien » de tous, on sacrifie certains sur l'autel de la bêtise.

 

Témoignage de Fraternity1, le 17/09/2010 sur les forums du site Au Féminin.

 

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25 mars 2013 1 25 /03 /mars /2013 22:00

Vers-l-avenir-7-mars-2013--UNE-.jpg

Dans le journal Vers l'Avenir du 7 mars dernier, on pouvait voir en Une le titre "Maltraitances à Ciney: horreur ou erreur?"

 

Dans cet article, on peut lire que se tient actuellement à Dinant le procès en correctionnelle d'une gardienne d'enfants, accusée d'avoir violenté plusieurs enfants dont elle avait la charge (8 enfants sur une vingtaine selon les dires du parquet et des parties civiles) dont un décès et un cas avec séquelles irréversibles. Le parquet requiert 10 ans de prison ferme et les parties civiles réclament son renvoi en assises.

 

L'avocat de Gwenaëlle (la gardienne) dit avoir "la conviction absolue de son innocence."

 

Sans préjuger de ce qui s'est réellement passé ni du verdict qui sera rendu, plusieurs éléments relatés dans l'article méritent évidemment qu'on s'y attarde:

 

- Le parquet déclare qu'ils ont "exploré toutes les possibilités"

 

- Selon la défense en revanche, "toutes les hypothèses n'ont pas été explorées" et notamment,  les effets secondaires de vaccins, dont on connaît le caractère éminemment tabou!

 

- Selon la défense, il y aurait des contradictions dans les expertises médicales; d'autres médecins auraient fourni un autre son de cloche quant à l'interprétation possible des signes constatés chez les enfants.

 

- L'article évoque la présence de pétéchies et de fractures qui seraient pour la défense un signe certain de maltraitance.

 

Considérations importantes:

 

a) Certains parents et gardiennes se sont déjà retrouvés condamnés à tort parce qu'il y avait une similitude entre les constatations autopsiques des enfants victimes de vaccins et ceux qui auraient été mécaniquement violentés (avec également présence de pétéchies et signes de fractures)

 

b) Aux USA, le cas d'Alan Yurko est, à cet égard, exemplaire. A peine son enfant de 10 semaines avait-il été vacciné, qu'il mourrut peu après. L'enfant présentait aussi des pétéchies caractéristiques et des signes de fractures. Alan Yurko fut condamné à la prison à vie puis finit par être libéré après 6 années de détention grâce à une réouverture de son cas et à une analyse plus approfondie par des médecins indépendants. Il s'est avéré que son enfant avait été victime d'effets retardés des vaccins.

 

c) Les pétéchies traduisent un phénomène hémorragique or des vaccins hexavalents (comme Infanrix hexa par exemple), ont déjà été associés par des médecins légistes, à des phénomènes d'oedèmes cérébraux mortels du nourrisson. Dans un tel phénomène, le sang "sort de son lit" au niveau des vaisseaux sanguins cérébraux. Les commandes neurovégétatives de base (respiration, rythme cardiaque etc) finissent par ne plus être assurées et la mort par asphyxie peut donc tout à fait se produire et tout aussi bien donner lieu à une telle observation de pétéchies. Les vaccins sont aussi associés à des thrombocytopénies, c'est à dire à une chute brutale et importante du taux de plaquettes sanguines suite à la réaction immunitaire. Or en cas de chute brutale des plaquettes, des pétéchies aussi, peuvent apparaître. La thrombocytopénie figure dans les notices de plusieurs vaccins.

 

d) La vaccination des enfants amoindrit leur taux de vitamine C. A la fin des années 50', des scientifiques ont montré que les rats vaccinés avec un vaccin contre le tétanos, la diphtérie et la coqueluche, développement brutalement un scorbut pendant au moins 24 heures. Or ce qu'il faut savoir, c'est que contrairement à d'autres mammifères qui sont capables de synthétiser eux-mêmes une partie au moins de leurs apports en vitamine C, l'être humain est entièrement dépendant d'apports extérieurs. Le scorbut peut être associé à des fractures. Avec la multiplication des vaccins aux nombreux composants toxiques, comment s'étonner que cela puisse alors vider les maigres stocks de vitamine C des bébés d'aujourd'hui avec de funestes conséquences possibles? Bien sûr, les labos n'ont jamais été pressés d'analyser de tels évènements. Il faut savoir que la vitamine C fait partie de la catégorie des anti-oxydants. Or en cas de phénomènes inflammatoires, les anti-oxydants sont consommés par le corps en plus grande quantité. A cet égard, il faut savoir que l'étude Pourcyrous, publiée dans la revue médicale Pediatrics en 2007, a clairement montré que les vaccins les plus combinés (Infanrix + Prevenar) engendrent une élévation accrue des marqueurs inflammatoires comme la protéine C réactive, par rapport aux vaccins séparés (monovalents), preuve donc que ces vaccins n'ont pas la même réactogénicité que les vaccins séparés, contrairement à tout le baratin de l'ONE et consorts.

 

e) La question des autopsies. Vu le côté tabou des effets secondaires vaccinaux, il arrive en cas de décès que l'autopsie soit refusée. Parfois, elle est réalisée mais jamais, on ne conclut à son terme que les vaccins sont en cause ou ont pu jouer un quelconque rôle. Serait-ce parce que les vaccins ne sont réellement et miraculeusement (vu le nombre de doses et de décès) jamais en cause? Non bien sûr, c'est tout simplement parce qu'il n'y a aucun consensus ni recherche qui a permis de définir les critères autopsiques permettant de lier un décès à un ou des vaccins. En d'autres mots, à chaque autopsie qui sera réalisée, on affirmera (sauf éventuel cas d'anaphylaxie et encore) que le décès n'est pas lié à la vaccination. Il serait dès lors peut-être temps alors de retourner la question et de demander aux médecins légistes et aux autorités dites "compétentes" quels sont les critères nécessaires à réunir pour qu'une autopsie puisse conclure à l'implication des vaccins dans la ou les causes d'un décès?

 

f) Des documents confidentiels rédigés par les fabricants de vaccins eux-mêmes (GSK, Pfizer) avouent des accidents neurologiques et même le syndrome de l'enfant maltraité, qui est donc clairement repris dans la liste d'effets secondaires!

 

En effet, en page 19 du volumineux document confidentiel de GSK sur la pharmacovigilance de l'Infanrix hexa que nous avons publié en décembre dernier, il est indiqué en toutes lettres dans la liste des 825 effets secondaires listés par le fabricant:

 

" Child maltreatment syndrome" (syndrome de l'enfant maltraité).

 

Ainsi donc, 2 cas de syndrome de l'enfant maltraité ont été notifiés à GSK entre le 23 octobre 2009 et le 22octobre 2011. Ces cas ont été classés par GSK comme "non sérieux", ce qui est pour le moins étrange quand on sait les signes impressionnants et les conséquences souvent irréversibles d'un tel syndrome. Quand on sait que seuls 1 à 10% des effets secondaires graves de vaccins sont recensés (et même parfois encore moins selon ce récent article écrit par un médecin français qui rappelait que seul 1effet secondaire grave de médicament sur 500 serait rapporté par les médecins! 

 

Si donc deux professionnels de santé ont pensé à rapporter cet effet au fabricant, combien de cas ont pu réellement survenir? Et combien de décès et de séquelles non recensés? 

 

Dans un autre document confidentiel (de Pfizer cette fois), on peut lire que la co-administration du vaccin Infanrix hexa et du vaccin Prevenar est associée à une multiplication par 3 du risque d'effet secondaire neurologique, alors que cela est pourtant officiellement recommandé dans le calendrier vaccinal que beaucoup de parents et de médecins crédules croient qu'il est bon de suivre à la lettre!

 

Pour toutes ces raisons, nous espérons que les carnets de vaccination de tous les enfants victimes ont été analysés en détail dans le cadre de la procédure (délai entre les doses de vaccins et les faits? associations de vaccins administrés?), mais il est hélas probable que non. Et c'est en tout cas dommage, pour l'objectivité du traitement de ce genre d'affaires dans laquelle les parents ont tout particulièrement besoin d'avoir un maximum de réponses, aussi précises et fiables que possible.

 

Il est bien clair qu'une majorité de parents ignorent tout à fait que les vaccins sont susceptibles dans certains cas de donner lieu à des lésions neurologiques si graves qu'elles peuvent prendre la forme à l'autopsie du syndrome du bébé secoué. Est-il vraiment dans l'intérêt des autorités qui recommandent toutes ces batteries de vaccins et de l'ONE dont les travailleurs les administrent à la chaîne, que ce genre d'informations arrivent aux oreilles des parents, par le biais éventuellement d'investigations judiciaires pointues et médiatisées???

 

Voici plusieurs articles extrêmement importants qui font état d'un lien possible entre vaccination et syndrome du bébé secoué:

 

Article du Dr Viera Scheibner, Docteur en sciences (PhD.) cfr à partir de la page 5.

 

Syndrome du bébé secoué (synthèse)

 

Syndrome du bébé secoué (Dr J. Mercola)

 

Syndrome du bébé secoué, un diagnostic abusif? (Dr A. Kalokerinos)

 

Bébés secoués & vaccins (Sylvie Simon)

 

Bébé Secoué & vaccins (Françoise Joët)

 

De dangereux vaccins peuvent provoquer les symptômes du bébé secoué 

  

L'affaire d'Alan Yurko

 

Affaires en justice où le syndrome du bébé secoué a été évoqué (mais pas les vaccins!)

 

 

"Petit progrès" à souligner du côté de la presse... ils ont osé évoquer le mot "vaccins" en lien avec cette triste affaire...

 

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15 mars 2013 5 15 /03 /mars /2013 00:00

wakefield.jpg

Le Soir avait écrit au sujet de Wakefield "un docteur au ban d'infamie". Vraiment?

 

Une récente étude et plusieurs décisions de justice vont au contraire, tout à fait dans le sens des résultats obtenus par Wakefield et la dizaine d'autres confrères qui avaient eux aussi cosigné cette publication, retirée en réalité depuis pour cause non pas de fraude mais de mise en sursis du système vaccinal tout entier.

 

Il faut dire, comme récemment rappelé dans une conférence donnée en décembre dernier par le Dr Wakefield au Texas, qu' « On ne fait plus de nouvelles découvertes à propos des principaux médicaments. L’industrie perd ses brevets ; elle va perdre pas mal d’argent. « Les vaccins représentent le futur ». C’est ce qui est publié dans le Wall Street Journal. On prédit 40% de croissance dans le secteur des vaccins qui seront rendus obligatoires pour les adultes et les enfants.»

 

Compte tenu de tels enjeux colossaux, on conçoit sans trop de difficulté qu'il fallait faire passer Wakefield pour un ripou.

 

Pour autant, voici encore une étude (parue dans Plos One) qui va dans le sens de ses travaux et qui vient démontrer un lien entre désordres du spectre autistique et des modifications pathologiques au niveau des tissus intestinaux.

 

En fait, il faut se rappeler que Wakefield avait abouti à ces mêmes résultats et qu'ayant retrouvé le virus vaccinal de la rougeole (issu du vaccin ROR) dans l'intestin de ces enfants autistes, il était licite qu'il puisse l'envisager comme cause potentielle et recommander de plus amples investigations. Seulement voilà, on n'a surtout jamais voulu y procéder et il fallait à tout prix étouffer les prémisses de cet Xième scandale vaccinal-là. Il faut en outre bien se rendre compte également qu'une dizaine d'autres professionnels de santé avaient signé cette publication contestée et qu'il est donc vraiment peu crédible qu'ils se soient tous rétractés de leur plein gré, comme s'ils n'avaient pas mûrement étudié le sujet avant d'accepter de cosigner. Il est assez probable en revanche qu'ils aient reçu des pressions et que leurs carrières entières étaient en jeu.

 

Le site Age of Autism indique également qu'un tribunal américain a donné raison en décembre dernier à la famille de Ryan Mojabi qui disait qu'il avait subi de graves dommages cérébraux à la suite d'une vaccination ROR et avait fini par être diagnostiqué comme un trouble du spectre autistique. Toujours en décembre, la politique des autorités a encore été désavouée, avec l'octroi d'une indemnisation à la jeune Emily de Houston qui a elle aussi manifesté des lésions cérébrales après avoir reçu ce même vaccin ROR et qui est à la suite devenue autiste. (+ d'infos sur ces deux cas en français, ici)

 

Ces deux cas s'ajoutent donc aux autres procès similaires déjà gagnés par des parents italiens et américains: Hannah Poling, Bailey Banks (cfr 4° note du lien), Misty Hyatt, Kienman Freeman, Valentino Bocca et Julia Grimes. Dans toutes ces affaires, les tribunaux ont soit statué qu'il y avait un lien entre l'autisme et la vaccination, soit les autorités ont fini par reconnaître elles-mêmes ce lien. Tous ces cas avaient été diagnostiqués comme étant des cas d'autisme avec comme dénominateur commun d'être survenus peu après l'administration du vaccin ROR.

 

Voir aussi la vidéo de la conférence de décembre 2012 au Texas du Dr A. Wakefield:

 

  

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13 mars 2013 3 13 /03 /mars /2013 23:22

Un lecteur a eu le bon réflexe de nous communiquer le récent article d'un bloggeur, enseignant à l'Université de Poitiers. Cet article est vraiment instructif en ce sens qu'il réunit tous les lieux communs et les raccourcis les plus grossiers en matière d'appréhension de la problématique vaccinale. Analyse...

 

Le blog de Nima Yeganefar, enseignant à l'Université de Poitiers, mentionne fièrement le logo de l'Université (en haut à droite), et en haut à gauche de l'article, on peut lire la mention "Cogito blogs; parole d'experts".

 

nima-yeganefar-copie-1.JPG

 

L'article s'intitule "Vaccinations: conséquences funestes des peurs irrationnelles". Après une introduction sous forme d'attaque inconsistante envers Andrew Wakefield, l'article continue en martelant que "les vaccins ne sont en rien corrélés à l'autisme!". Bien sûr, l'auteur passe complètement sous silence toutes les autres études qui ont confirmé les travaux de Wakefield (logique, il ne les connaît même pas et cela transparaît d'ailleurs de son affirmation péremptoire selon laquelle "toutes sont unanimes : il n'y a aucun lien entre les vaccins et l'autisme.")

 

Nima Yeganefar aborde ensuite les composants des vaccins, il qualifie le mercure d'adjuvant, confondant ainsi additifs et adjuvants (ces derniers étant censés booster l'immunogénicité des vaccins, alors qu'un additif comme le mercure a un rôle de conservant, ce qui est très différent).

 

Il minimise complètement la toxicité du thiomersal en tentant de brouiller les pistes avec la distinction entre méthylmercure et éthylmercure, alors que le Pr Boyd Haley et les chercheurs Geier & Geier ont très bien démontré la toxicité évidente du thiomersal (éthylmercure). Il montre en écrivant cela qu'il ignore complètement l'existence en 2000 de la fameuse réunion secrète de Simpsonwood aux USA qui a réuni à huit clos les industriels des vaccins, les officiels de santé américains et ceux de l'OMS pour discuter de la meilleure façon de camoufler les véritables risques du mercure vaccinal au public. Le parlementaire américain Robert Kennedy Jr a fort bien écrit à ce sujet, c'est vraiment on ne peut plus limpide et on comprend ainsi mieux l'angélisme décalé de Mr Yeganefar.

 

En outre, confondre manque de données (sur le thiomersal) avec preuves de son innocuité, constitue une faute logique grave pour tout universitaire qui se respecte. Pour Mr Yeganefar, l'éthylmercure (thiomersal) serait sûr, par rapport au méthylmercure. Voici pourtant ce que déclarait encore en 2007 l'Agence de Santé publique du Canada au sujet du thiomersal:

 

"Par contraste (avec le méthylmercure), on connaît peu de chose du métabolisme de l'éthylmercure chez les humains. A-t-il le même potentiel neurotoxique? La même concentration sanguine significative ? Et franchit-il la barrière hémato-encéphalique? On présume que la majeure partie de l'éthylmercure du thiomersal est rapidement excrétée par voie fécale.[...] Le risque, au mieux, peut-être décrit comme théorique."

 

Voilà donc des gens qui présument (comme on a aussi présumé avec l'aluminium qu'il était rapidement éliminé, alors que ce n'est absolument pas le cas!!) et comme ils présument, il n'y a donc aucun besoin d'évaluation DANS LES FAITS. Comme il n'y a aucune évaluation dans les faits, ils peuvent donc présumer que ce ne sont que des "risques théoriques". Forcément! On est bien là dans un raisonnement circulaire qui repose en réalité uniquement sur une mauvaise foi d'autant plus dramatique qu'il s'agit de santé publique. Mais tout ceci démontre aussi que les "experts" qui sont soi-disant dans la science et "le rationnel" sont surtout complices de vaccinations clairement expérimentales, et illicites de surcroït, puisque les vaccinés ne sont jamais avertis en temps réel des carences existantes dans l'évaluation des cocktails chimiques avec lesquels on les vaccine.

 

Avec l'aluminium aussi, l'homme tente de dédramatiser en arguant que l'aluminium est aussi ingéré et soi-disant en plus grande quantité (sauf que le filtre digestif sert évidemment à quelque chose et qu'il préserve nettement plus l'intégrité du sang et des organes que lorsque le produit est injecté profondément dans les muscles où il n'a rien à y faire!). Il passe sous silence le fait qu'il est particulièrement neurotoxique, qu'il affecte le développement neurologique normal des enfants, qu'il est associé à l'autisme (étude récente de chercheurs du MIT) et aussi qu'une fraction de l'aluminium injecté finit au cerveau où il va s'accumuler,  sans plus jamais pouvoir en ressortir! En cela, ce Nima Yeganefar est un peu un enseignant hors du temps, qui aurait pu écrire ce genre d'article en toute bonne foi s'il avait passé 30 ans sur Mars ou sur la Lune et qu'il était soudain revenu sur terre!

 

Car il faut dire que cet auteur en est encore quasiment au temps des chandelles, en témoigne sa croyance, hissée en certitude, en la validité de la théorie toxicologique périmée que "c'est la dose qui fait le poison", alors que cette théorie n'est absolument plus valide pour un grand nombre de substances chimiques. En effet, il s'avère au contraire qu'on sous-estime la toxicité de substances chimiques à faibles doses, selon des chercheurs qui s'étaient exprimés il n'y a pas si longtemps dans Le Monde. Pour eux, les évaluations devraient donc être revues.

 

En juin 2011, André Cicolella, Président du Réseau Santé Environnement, chercheur en santé environnementale et spécialiste de l'évaluation des risques sanitaires, était interviewé par le Point. Le titre de l'interview était précisément: "Ce n'est PAS la dose qui fait le poison."

 

LE-POINT-CICOLELLA.JPG

 

 

Récemment, dans le Monde, le toxicologue Claude Reiss expliquait même:

 

"Des substances réputées sans effet pour la reproduction humaine, non neurotoxiques et non cancérigènes ont, en combinaison, des effets insoupçonnés."

 

Comme rappelé par André Cicolella, "les perturbateurs endocriniens agissent à des doses si faibles que l'Agence nationale de sécurité sanitaire (Anses) a pu conclure, dans un rapport de 2011, que les effets de l'un d'eux, le bisphénol A, étaient avérés à "des doses notablement inférieures aux doses de référence utilisées à des fins réglementaires".

 

Il est certain que ce seul propos marque un tournant. Car du même coup, la dose journalière admissible (DJA) du bisphénol A - sa limite légale - pourrait être divisée par... 2 millions, selon le toxicologue André Cicolella.

 

Le bisphénol A pourrait même "avoir des effets plus importants à très faible niveau d'exposition qu'à haut niveau", ce qui mettrait à bas tout l'édifice."

 

En outre, il s'avère aussi que l'exposition précoce (foetus et jeune enfant) à divers produits chimiques puisse induire des modifications de l'expression de certains gènes, pouvant se solder par l'apparition de maladies graves à l'âge adulte. Or, qui peut valablement jurer que les produits chimiques des vaccins n'en font pas partie puisque les études officielles ne comparent JAMAIS des enfants vaccinés à des enfants vierges de tout vaccin?

 

Et alors que cet enseignant de l'Université de Poitiers fait tout son possible pour banaliser l'usage d'aluminium, il semble que même chez GSK, on doive trouver une telle ignorance franchement bidonnante. Il suffit pour s'en convaincre de se rappeler les aveux on ne peut plus clairs de LA spécialiste mondiale de GSK, le Dr Nathalie Garçon, responsable du Centre mondial des adjuvants de la multinationale britannique, lors d'un symposium de 2002 aux USA sur la sécurité des vaccins:



"En réalité, le seul adjuvant [aluminique] autorisé pour la consommation humaine, est le plus empirique. Personne ne sait comment il fonctionne, personne ne connaît sa biodistribution. [...] En fait, je crois que si l'alun arrivait maintenant, il ne serait pas accepté." (cfr p. 220)



Hier soir encore, ARTE diffusait son documentaire "Planète Alu" qui abordait entre autre les effets délétères de l'aluminium d'où qu'il vienne (cosmétiques, alimentation, vaccins, etc...). Voici une image parmi tant d'autres, issue de ce documentaire, et qui est celle d'un patient détruit par l'aluminium des vaccins, atteint d'une maladie invalidante appelée myofasciite à macrophages et obligé de subir une biopsie du deltoïde dans le but d'être diagnostiqué:

 

biopsie-du-deltoide.JPG

 

Faut-il alors, au vu du contenu affligeant exhibé par Mr Yeganefar sur son blog, finir par en déduire que pour lui, ces patients subiraient ce type d'examen invasif pour passer le temps? Mais dans le domaine des vaccins, on n'est de toute façon pas à ce déni et à ce manque de respect près, les victimes le savent bien.

 

Chris-Shaw.JPG

 

Mais voici aussi l'avis du chercheur en neurosciences canadien, le Dr Chris Shaw, qui assistait au 8° Congrès international sur l'auto-immunité, en mai dernier à Grenade. Pas un informaticien, ni un mathématicien, mais quelqu'un qui a une compétence particulière en neurologie et qui ne s'est pas contenté de relayer des théories ou des idéologies mais bien des constatations basées sur des faits avérés:

 

« On a injecté à des souris le vaccin contre l'anthrax (à base d'aluminium) utilisé lors de la première Guerre du Golfe. Après vingt semaines d’études sur les souris, mon équipe a mis en évidence des augmentations importantes de l’anxiété (28%), de déficits de mémoire (41 fois plus d’erreurs que dans le groupe témoin) et d’allergies de la peau (20%). Des prélèvements de tissus effectués sur les souris « sacrifiées » ont montré des cellules nerveuses nécrosées. Dans la zone contrôlant le mouvement, 35% des cellules étaient détruites.

 

« C’est suspect, déclare Chris Shaw. Soit ce lien est connu de l’industrie et n’a jamais été rendu public, soit l’industrie n’a jamais été obligée par le ministère de la Santé canadien de mener ces recherches. Je ne sais pas quelle hypothèse est la plus effrayante. »

 

 « Aucun membre de mon équipe ne veut plus se faire vacciner, commente Shaw. Ces résultats nous ont donné la chair de poule. »

 

Selon le neurologue, il existe environ 10 000 études démontrant l’innocuité de l’hydroxyde d’aluminium dans les injections (d’où évidemment les propos faussement rassurants de Mr Yeganefar qui n’a sans doute pas réfléchi plus loin que le bout de son nez). Mais il n’a pu en trouver une seule qui ait été conduite au-delà des premières semaines suivant l’injection. Il invite ceux qui détiendraient une étude aux résultats différents de la présenter. « Ça, c’est une démarche scientifique », conclut-il.

 

Puis que dire aussi des aveux d'un autre médecin d'une pharma, de Sanofi cette fois, le Dr Saluzzo, qui avoue, lui, qu'ils ne savent pas du tout comment marchent les vaccins qu'ils produisent mais qui sont pourtant imposés à des millions de gens dans le monde!!!!! Encore un autre indice accablant donc que les vaccinations sont toutes expérimentales.

 

Pour le formaldéhyde, c'est le même genre de raisonnement absurde que nous offre cet universitaire Yeganefar, avec comparaison au formaldéhyde alimentaire, comme si les modes d'administration n'avaient aucune importance (on a bien vu par exemple avec le squalène qu'il n'en est rien, le filtre digestif le rendant sûr là où l'injection de squalène expose au contraire à un sérieux risque de maladies auto-immunes!). Que le formaldéhyde vaccinal soit un cancérigène certain (de classe 1 donc) et qu'en plus, il n'est cependant jamais requis la moindre analyse du potentiel cancérogène pour les vaccins, ne semble pas du tout interpeller ce brillant enseignant. Pour autant, ce monsieur échoue totalement à vous démontrer qu'il est irrationnel de penser que chez X % des vaccinés, cette petite dose de formaldéhyde, cumulée à toutes les autres, puisse déboucher sur un cancer, qui eût été jusque là évitable.

 

Après tant d'âneries, aussi lourdes de conséquences pour les crédules qu'il aurait pu persuader, on est tenté de cliquer sur l'incontournable rubrique "Qui suis-je?":

 

« Je suis enseignant à l‘IUT de Poitiers et chercheur au LIAS en automatique. Passionné depuis quelques années par les sujets tournant autour des sciences et pseudo-sciences, je me décide à ouvrir ce blog en cherchant à défendre un point de vue rationnel (sceptique). On parlera donc notamment des médecines alternatives (homéopathie, acupuncture, naturopathie, ostéopathie, etc.), des débats controversés comme les OGMs, les vaccins, le nucléaire, les ondes, etc., et de tout ce qui tourne autour du paranormal comme les ovnis, les « mentalistes », les sourciers, etc.

 

Vaste programme donc, et vous l’aurez bien compris, je ne suis expert dans aucun de ces domaines. Il faut considérer ce blog donc pour ce qu’il est, un point de vue de type journalistique sur des questions de sociétés liées à la science. »



C’est vraiment à se demander si ce bloggeur n’est pas gêné que la page de son article appose malgré tout la mention « Parole d’Experts ». Mais il faut dire que lorsqu’il dit que son approche est de type journalistique, on ne peut pas vraiment lui donner tort, les médias s’illustrant régulièrement de façon aussi médiocre, avec ce genre de raccourcis grossiers et anti-scientifiques.

 

Mais voilà ce qui arrive donc finalement, quand on s’attelle à trop de domaines si différents : les mathématiques, l’informatique, les OVNIS, les OGM, les vaccins, le nucléaire, sans oublier aussi les sourciers… tout finit sans doute par se mélanger dans la tête faisant un grand glubi-bulga indigeste et si peu rationnel.

 

Cet enseignant aura-t-il fait honneur à son Université avec ce genre de tribune vaccinale ?

 

On reste sceptique !!

 

PS: Au lien suivant, vous pourrez-lire plusieurs échanges entre Initiative Citoyenne & l'auteur de ce blog ainsi qu'un autre fidèle lecteur de son site. La réponse d'Initiative Citoyenne est chaque fois clairement indiquée. Il nous semble que nous avons dit l'essentiel, le gros des arguments de ces gens étant soit des affirmations subjectives ("je suis pour le rationnel, pas pour l'émotionnel" etc, très bien mais nous aussi, enfin bref) ou alors, pour ce qui est de l'autre bloggeur, des attaques personnelles, tentant de nous mêler à telle ou telle mouvance, tant cela vole bas et tant il n'a aucun argument de fond. Très décevant donc pour un blog issu d'une Université!

 

Pour suivre le fil des commentaires auquel a participé Initiative Citoyenne, voir ICI et ICI.

 

Utile aussi & lié à ce topic: l'interview du pédiatre américain Dr L. Palevsky, qui déplore ce manque de bons standards scientifiques dans l'évaluation de la sécurité des vaccins.

 

Voir aussi la seconde réponse d'IC à Sham & Science intitulée:

 

"Ethique vaccinale & prostitution de la Science"

 

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13 mars 2013 3 13 /03 /mars /2013 23:12

Qu'il soit d'origine industrielle, cosmétique, alimentaire ou vaccinale, l'aluminium est toxique, et ce documentaire d'hier sur ARTE vient encore nous le rappeler.

 

"Planète ALU" vient nous rappeler que l'aluminium, aussi "pratique" qu'il puisse sembler sur un plan commercial et industriel, est associé à un taux inacceptable de souffrances et de maladies: cancer du sein, Alzheimer, myofasciite à macrophages,... autant de désastres dont les victimes ne font quasiment jamais le lien avec ce poison et qui auraient pourtant pu être évités si certains avaient été moins cupides et surtout, si les autorités, y compris européennes, avaient joué le rôle pour lequel elles sont payées.

 

 

 Au terme de ce documentaire, deux réflexions restent toutefois importantes:

 

1°) La première, c'est qu'il est terriblement dangereux de faire confiance au discours faussement rassurant et beaucoup trop attentiste des autorités officielles. Les croire expose donc au risque de se rendre compte trop tard du danger, quand le mal est  donc déjà fait.

 

2°) La deuxième chose, c'est que si les autorités ont menti et minimisé à ce point les risques de l'aluminium, il est peu vraisemblable qu'elles aient été parfaitement honnêtes sur tous les autres risques, liés aux autres substances vaccinales, ainsi que ceux propres à la méthode elle-même. Il faut par conséquent être vigilant et ne pas conclure à tort que le seul problème se réduirait au seul sujet dont les médias ont bien voulu s'emparer (médiatisation sélective).

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11 mars 2013 1 11 /03 /mars /2013 23:03

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Vaccins antiviraux: une nouvelle méthode d'atténuation

 

Prenant pour modèle le virus Chikungunya, une équipe de chercheurs (Aix-Marseille Université, IRD, Ecole des Hautes Etudes en Santé Publique) démontre dans un article publié dans le dernier numéro de la revue Plos Pathogens qu'une nouvelle méthode d'atténuation  pourrait modifier profondément l'approche actuelle de conception des vaccins antiviraux atténués.


Les vaccins antiviraux sont un élément essentiel de la politique de santé publique internationale, avec un bénéfice sanitaire considérable, particulièrement chez les enfants. Les vaccins antiviraux les plus efficaces et les moins onéreux sont des vaccins dits "vivants atténués", reposant sur l'injection d'un virus dont la virulence est diminuée et qui va reproduire chez la personne vaccinée une infection véritable, mais sans gravité. Ces vaccins apportent une protection de longue durée, après un nombre d'injections réduit (parfois une seule). Ils sont donc particulièrement adaptés pour les populations des pays à faibles ressources.

Ces vaccins sont toutefois difficiles à créer, car l'atténuation de la virulence des souches virales vaccinales est un phénomène complexe, particulièrement difficile à maîtriser. Pour cette raison, il existe de nombreuses maladies virales importantes pour lesquelles il n'existe pas de vaccin et en cas d'émergence d'un nouveau pathogène viral (un phénomène qui s'est répété au cours des dernières décennies) il est difficile d'envisager de produire rapidement des vaccins vivants atténués.


Antoine Nougairède et collaborateurs (Aix-Marseille Université, IRD, Ecole des Hautes Etudes en Santé Publique) démontrent dans un article publié dans la revue Plos Pathogens qu'une nouvelle méthode d'atténuation pourrait modifier profondément l'approche actuelle de conception des vaccins antiviraux atténués.


Prenant pour modèle le virus Chikungunya (un virus émergent à génome ARN, transmis par les moustiques et responsable de plusieurs millions de cas humains au cours des dernières années), ils ont pu obtenir des candidats vaccinaux en utilisant une technique de ré-encodage génomique. Cette méthodologie fascinante permet de produire artificiellement des génomes viraux recomposés sans modifier le codage des protéines virales. Cette recomposition est intrinsèquement associée à une atténuation de la virulence virale.


De manière importante, les virus atténués obtenus par Antoine Nougairède et collaborateurs étaient de production aisée, stables lors de passages répétés en cultures cellulaires et leur capacité de multiplication pouvait être finement contrôlée en modifiant les paramètres de ré-encodage.


La technique de ré-encodage massif des virus à génome ARN est transposable à de nombreux pathogènes viraux et peut être mise en œuvre dans des délais étonnamment courts.

 
L'étude d'Antoine Nougairède et collaborateurs suggère donc qu'elle pourrait jouer un rôle important dans la conception de vaccins viraux atténués de nouvelle génération.

Pour plus d'information voir l'étude à l'adresse suivante:

http://www.plospathogens.org/article/info%3Adoi%2F10.1371%2Fjournal.ppat.1003172


Référence:

"Random Codon Re-encoding Induces Stable Reduction of Replicative Fitness of Chikungunya Virus in Primate and Mosquito Cells" ; Antoine Nougairede, Lauriane De Fabritus, Fabien Aubry, Ernest A. Gould, Edward C. Holmes, Xavier de Lamballerie ; Plos Pathogens.

 

Le proverbe est connu, mais il mérite ici pleinement d’être repris :

 

Mieux vaut « un diable qu’on connaît », plutôt qu’un diable qu’on ne connaît pas.

 

Les maladies naturelles pourraient être bien plus efficacement gérées avec des méthodes naturelles mais volontairement tenues à l’écart à cause des intérêts écrasants et partisans des grosses multinationales pharmaceutiques qui écrasent tout sur leur passage.

 

Ici, on entre, au nom d’un soi-disant « Progrès » dans l’ère de chimères tout à fait folles et ce, sans la moindre vision globale des conséquences catastrophiques possibles à court, moyen ou (très) long terme.

 

Quand on voit à quel point de nombreuses victimes de vaccins transgéniques [impliquant donc là aussi une manipulation des gènes] comme ceux contre l’hépatite B ou le HPV sont arrangées avec des maux totalement incurables, diffus et atypiques qui ne répondent à aucune thérapie, on ne peut que tirer la sonnette d’alarme au sujet de méthodes pour lesquelles notre corps n’a jamais été prévu et suite auxquelles, il pourrait dérailler de façon imprévue et parfaitement incontrôlable.

 

A partir du moment où ces méthodes seront sans doute prochainement imposées à de tous jeunes enfants qui n’auront aucun mot à dire à ce sujet, il y a lieu de dénoncer sans restriction cette nouvelle tyrannie scientiste, tristement assujettie aux intérêts financiers.

 

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8 mars 2013 5 08 /03 /mars /2013 12:09

L’EMA (l’Agence Européenne des Médicaments) ouvre un débat sur les contaminants porcins dans les vaccins

 

Par Nick Paul Taylor, 7 mars 2013.

 

L’Agence européenne des médicaments (EMA) a ouvert un débat sur l’utilisation sécuritaire des produits d’origine animale dans les vaccins. La publication du projet de directives qui intervient trois ans après la découverte d’ADN de virus porcin dans les vaccins de GlaxoSmithKline ($GSK) et de Merck ($MRK) a poussé l’Agence à repenser la réglementation.

 

En Avril 2010, l’utilisation de nouveaux tests plus sensibles a révélé la présence de contaminants dans les vaccins anti rotavirus de GSK et de Merck.

 

Le problème vient de l’utilisation de produits dérivés du porc et, dans le cas de GSK, remonte à des essais cliniques du vaccin. Depuis la contamination, l’EMA a travaillé pour renforcer les contrôles de qualité et a ouvert un projet de directives pour une consultation.

 

A la base des contaminations du matériel de GSK et de Merck on trouve la trypsine porcine. Dans la production de certains vaccins contre la grippe et le rotavirus, la trypsine porcine est utilisée pour activer le virus. Mais, comme elle provient du pancréas de porc, son utilisation crée le risque de contamination par de nombreux agents biologiques. C’est ce qui est arrivé à Merck et à GSK. L’EMA voudrait empêcher que cela ne se reproduise.

 

L’EMA recommande aux fabricants de vaccins de réduire les risques grâce à un dépistage et à un traitement adéquats. Le contrôle de qualité doit évidemment porter en premier lieu sur les glandes pancréatiques, mais l’EMA fait remarquer que des raisons économiques et organisationnelles rendent apparemment impossible de les tester individuellement. Une fois que les glandes sont rassemblées, le risque de contamination entre elles augmente. Pour prévenir la contamination, l’EMA recommande une combinaison de tests au départ et dans la suite, l’inactivation du virus.

 

La non détection d’un contaminant pourrait avoir des conséquences importantes pour les fabricants de vaccins. L’EMA met en garde et avertit que pareille situation pourrait conduire à la fermeture d’une usine de production et constituer une menace pour les patients. Les virus peuvent altérer la croissance des cellules en culture et dès lors théoriquement modifier les propriétés du vaccin.

 

Source: Fiercevaccines

                                                                                           

Donner l’illusion qu’on contrôle la sécurité des vaccins dans un contexte où de plus en plus de gens s’en méfient, à fort juste titre… on n’aurait pas pu mieux s’y prendre!! En fait, il s’agit ici d’un vaste enfumage qui consiste à focaliser l’attention sur la seule présence d’agents microbiens et viraux indésirables sans jamais aborder tous les autres risques de nature différente mais pouvant bien évidemment aussi nuire aux gens ! Et quand on sait le peu de cas et la minimisation faite autour du scandale de la contamination de dizaines de millions de gens au virus cancérigène SV40 via les vaccins polio, on se rend compte qu'il y a ici pas mal de mots, un fort beau discours mais pas plus de sécurité dans les faits.

                              

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3 mars 2013 7 03 /03 /mars /2013 20:30

 

Une maladie soi-disant "rare"... en réalité, pas si rare que cela!! Ne jamais oublier qu'une maladie peut être crue "rare" simplement parce que ni les malades ni les médecins ne savent la reconnaître. Petit à petit cependant, les gens commencent à s'informer et à établir le lien et à faire valoir leurs droits...
Article paru le 22 mars dernier sur le site Romandie, relatif à ce cas:
 

Vaccins à l'aluminium : une infirmière obtient une victoire judiciaire


BAYONNE -
Le juge des référés du tribunal administratif de Pau a accordé à une infirmière la suspension d'une décision refusant de considérer comme une maladie d'origine professionnelle les conséquences d'une sur-vaccination dans le cadre de son emploi, a-t-on appris vendredi auprès de son avocate.


Cette aide-soignante, Martine Sempietro, 47 ans, en congé maladie depuis 2006 pour un accident du travail lié à une chute, ne recevait plus, depuis le début du mois de mars, qu'un demi-salaire, son employeur estimant qu'elle était victime d'une maladie ordinaire.


Le tribunal a fait droit à sa demande en ordonnant à son employeur, le centre hospitalier d'Oloron-Sainte-Marie (Pyrénées-Atlantiques), de suspendre la décision ayant eu pour conséquence le versement de ce demi-traitement, dans une ordonnance rendue jeudi.


L'infirmière avait chuté en 2006 alors qu'elle était pompier bénévole, car ses jambes ont lâché, sa maladie, la myofasciite à macrophages, qui se rapproche de la sclérose en plaques, pouvant entraîner ce genre de symptômes, avait expliqué son avocate, Me Denise Pombieilh.


Le tribunal s'est fondé notamment sur une expertise réalisée en juillet 2011. Avec cette décision, elle touchera l'intégralité de son salaire ainsi que la prise en charge des frais liés au traitement de sa maladie jusqu'à que l'affaire soit examinée sur le fond, s'est félicitée l'avocate.


Le juge a également condamné l'hôpital à verser 1.000 euros à Mme Sempietro pour ses frais de justice.


L'aide-soignante a obtenu
trois expertises médicales rattachant sa maladie aux administrations successives de vaccins adjuvantés sur hydroxydes d'aluminium. Une quatrième expertise conclut en revanche à l'absence de cause certaine, directe et exclusive.


Mme Sempietro avait été soumise à des vaccinations répétées à compter de 1983, notamment contre l'hépatite B, comprenant de l'aluminium, obligatoires en tant qu'infirmière. A la fin de l'année 2012, l'aide-soignante avait observé une grève de la faim de 24 jours avec des membres de l'association E3M (malades de la myofasciite à macrophages et leurs proches) pour réclamer une recherche renforcée sur l'aluminium dans les vaccins, ce a quoi s'est engagée l'agence du médicament (ANSM).

 

(AFP / 22 mars 2013 16h23)


 

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3 mars 2013 7 03 /03 /mars /2013 15:20

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PARIS,  26 fév 2013 (AFP) - Une nouvelle étude a établi un lien entre le vaccin Pandemrix, largement utilisé contre la grippe pandémique A(H1N1) en 2009-2010, et une augmentation des cas de narcolepsie chez les enfants et les adolescents en Grande-Bretagne.

  

Publiés mercredi dans la revue British Medical Journal (BMJ), les résultats de l'étude confortent ceux d'autres travaux déjà publiés en Finlande, en Suède et en France.

  

Réalisée sur 245 enfants âgés de 4 à 18 ans traités dans des centres du sommeil et des centres neurologiques en Grande-Bretagne, l'étude a permis  d'associer le vaccin à une multiplication par 14 des cas de narcolepsie par  rapport aux personnes n'ayant pas reçu le vaccin. Le risque aurait même été  multiplié par 16 en cas de vaccination par le Pandemrix (GlaxoSmithKline) dans  les six mois précédents.

  

Mais les auteurs de l'article relèvent que le risque pourrait avoir été surévalué, en raison des délais très variables observés dans l'apparition des symptômes et dans le diagnostic de la narcolepsie après la vaccination.

  

La narcolepsie est un trouble du sommeil caractérisé par une somnolence excessive au cours de la journée, avec des accès de sommeil incontrôlables.

 

Elle peut s'accompagner de pertes soudaines du tonus musculaire (cataplexie).

  

Elle est observée en moyenne chez 25 à 50 personnes pour 100.000 personnes dans le monde et chez 20 personnes pour 100.000 en France

  

Lors de la campagne de vaccination contre la grippe A(H1N1) 4,1 millions de  personnes ont été vaccinées en France par Pandemrix, contre 1,6 million qui ont reçu le vaccin Panenza (Sanofi), réservé aux nourrissons, aux femmes enceintes et aux personnes immunodéprimées.

  

Le vaccin Pandemrix, qui n'est plus commercialisé en France depuis la fin de la pandémie, contenait un adjuvant baptisé AS03, destiné à renforcer la réponse immunitaire contre le virus H1N1.

  

Les résultats de la nouvelle étude pourraient bien remettre en cause l'utilisation de cet adjuvant dans d'autres vaccins anti-grippaux, tels que les types H5 et H9, selon les auteurs de l'article.

 

"La surveillance doit être poursuivie" a indiqué pour sa part l'un des co-auteurs, John McCauley, de l'Institut national britannique pour la recherche médicale à l'AFP.

  

Un cinquième de la population mondiale avait été touchée par le virus H1N1 lors de la pandémie de 2009, selon des estimations publiées le mois dernier.

 

Mais la pandémie s'était révélée beaucoup moins grave que prévu, avec 18.500 décès notifiés au total  à l'Organisation mondiale de la santé (OMS)   

 

AFP 261747  FEV 13

 

Du côté des officiels (Van Ranst, GSK, etc), bien sûr, on minimise et on tente surtout de rejeter la responsabilité de cet effet secondaire sur les gens plutôt que sur le vaccin... Visiblement, on est pressé de mettre ça sous le tapis, en rappelant que cela appartient au passé, sauf bien sûr pour les malheureuses victimes qui le payeront toute leur vie!!

 

Un vaccin à la base de la narcolepsie : « Pas de panique » selon GSK

 

Une nouvelle étude a établi un lien entre le vaccin Pandemrix, commercialisé par GlaxoSmithKline, contre la grippe pandémique A(H1N1) et une augmentation des cas de narcolepsie chez les enfants et les adolescents en Grande-Bretagne.

 

Ces résultats confortent ceux d’autres travaux déjà publiés en Finlande, en Suède et en France. Pour GSK, «il n’y a pas de raison de paniquer», a indiqué mercredi la porte-parole de la société pharmaceutique, Elisabeth Van Damme.

 

«Le vaccin Pandemrix avait été conçu pour la campagne de vaccination contre le virus A(H1N1)» fin 2009, selon la porte-parole de GSK. «A l’heure actuelle, il n’est plus commercialisé», poursuit-elle.

 

Selon le professeur et virologue Marc Van Ranst, «il n’y a pas eu de vaccination systématique en Belgique et très peu d’enfants ont reçu ce vaccin. Les risques de développer une narcolepsie sont davantage liés à des facteurs génétiques», a-t-il assuré.

 

Le Pandemrix avait été autorisé dans l’Union européenne en septembre 2009. Lors d’une réévaluation en 2011, l’Agence européenne du médicament (EMA) avait conclu que la balance bénéfice/risque du Pandemrix restait positive, mais qu’en raison des cas de narcolepsie survenus chez des personnes jeunes dans plusieurs Etats de l’UE, le Pandemrix ne pouvait être utilisé chez les personnes de moins de 20 ans que si le vaccin antigrippal classique n’était pas disponible, et uniquement si la vaccination contre le virus A(H1N1) était jugée nécessaire.

 

L’EMA considère néanmoins qu’il faut recueillir davantage de données sur l’utilisation du Pandemrix et des vaccins associés dans différents pays, afin d’approfondir l’évaluation de cette problématique.

 

Aucune mesure ne doit être prise vis-à-vis des personnes qui ont déjà été vaccinées à l’aide du Pandemrix, d’après l’EMA. L’Agence conseille toutefois une consultation médicale aux patients (vaccinés ou pas) qui présentent une somnolence diurne excessive et inexpliquée.

 

Le vaccin avait été largement utilisé durant la pandémie A(H1N1) en 2009, avec au moins 30,8 millions de personnes vaccinées dans l’UE

 

Sources : Belga et Vers l’Avenir (27 février 2013)

 

En conclusion, ce qu’on peut surtout dire, c’est que la narcolepsie est véritablement l’arbre qui cache la forêt. Sur le plan médiatique, ce seul effet secondaire occupe en fait tout le terrain, exactement comme les médias ont quasi exclusivement parlé de la sclérose en plaques en lien avec le vaccin anti-hépatite B et de l’autisme en lien avec le vaccin ROR. L’admission en demi-teinte que le vaccin H1N1 est bien responsable de narcolepsies est l’exception qui confirme la règle, celle du déni habituel des effets secondaires de vaccins en général.

 

Pour les gens en place, industriels et monde politique, il est de loin préférable que les médias continuent ainsi d’enfoncer des portes ouvertes avec ce seul effet secondaire, plutôt que de les voir s’aventurer sur le terrain bien trop dangereux de tous les autres effets aussi longs, variés et dont la diversité possible ainsi que la fréquence réelle sont encore bien trop peu connues. 

 

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26 février 2013 2 26 /02 /février /2013 20:47

5 février 2013

 

Engerix B: nouvelle audience aujourd'hui

 

La Cour d’appel de Casablanca devra aujourd’hui examiner l’affaire opposant le laboratoire GSK Maroc à la famille du petit Achraf Diwan, devenu tétraplégique suite à une injection du vaccin Engerix B.

 

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Achraf Diwan est devenu tétraplégique

suite à une injection du vaccin Engerix B.

 

Nouvelle audience dans l’affaire judiciaire opposant le laboratoire GSK Maroc à la famille du petit Achraf Diwan, devenu tétraplégique suite à une injection du vaccin Engerix B. Aujourd’hui, mardi 5 février, les deux parties seront entendues par le juge à la Cour d’appel de Casablanca. Le petit Achraf y sera également présent. « Le juge devra faire le constat. C’est un nouveau juge. Il a besoin de constater l’état de santé de Achraf », note un membre de la famille de la victime, déterminée à aller jusqu’au bout de cette bataille judiciaire pour que justice soit faite. Pour mémoire, l’affaire traîne depuis plus de dix ans dans les tribunaux. C’était en l’an 2000. Achraf était âgé de moins de deux ans. L’enfant était en bonne santé. Ses parents sont heureux et fiers de lui. C’est leur premier bébé. Ils décident de lui faire le vaccin Engerix B, utilisé pour prévenir l’hépatite B. Après administration du vaccin, l’état de santé du bébé se détériore.  Douleurs, difficulté à respirer…Ses parents l’emmène à l’hôpital Ibn Rochd à Casablanca. Le médecin diagnostique une paralysie pouvant être causée par l’injection de l’Engerix.B. La nouvelle tombe comme un couperet sur la famille. La douleur de la famille Diwan est indicible.

 

3 millions de DH de dommages et intérêts

 

Face à la catastrophe, la famille Diwan décide d’ester en justice contre le laboratoire pharmaceutique fabriquant le vaccin à savoir GSK. Les parents l’accusent d’être responsable de la paralysie de leur fils. Ils réclamaient des dommages de 10 millions de dirhams en réparation du préjudice causé. En 2005, le rapport de l’expertise menée par le professeur Saïd Louahlia, ex-directeur de l’Institut de médecine légale Ibn Rochd, conclut à « l’existence d’un lien de causalité direct entre le vaccin et l’encéphalopathie du fait des critères d’imputabilité réunis ». La sentence du tribunal de première instance de Casablanca était en faveur de la victime. Smithkline Beecham Maroc était condamné à payer 3 millions de DH de dommages et intérêts au petit Achraf. Une somme jugée insuffisante par les parents, qui décident de faire appel. « La tétraplégie est une pathologie complexe qui nécessite une prise en charge globale et complète. Achraf a des besoins énormes en termes de soins. Chaque jour, il subit une séance de kinésithérapie. Il a besoin d’une personne à ses côtés en permanence. Les médicaments coûtent chers. Tout cela exige des dépenses énormes », souligne un membre de la famille, qui exige 10 à 20 millions de DH de dommages et intérêts.

 

Source : LeSoir-echos

 

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