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17 février 2013 7 17 /02 /février /2013 21:30

Michel Georget 1

Libre Journal des sciences et des techniques du 15 février 2013 : “Les risques des vaccins.

 

Par Paul Deheuvels  15 février 2013  Libre Journal des sciences et des techniques  

 

 

Paul Deheuvels, assisté d’Étienne Chaudron, recevait Michel Georget, professeur de biologie émérite et Sylvie Simon, journaliste, écrivain, pour une émission consacrée aux risques des vaccins.

 

Première partie: écouter ici
Seconde partie: écouter ici

 

Paul Deheuvels

 

Paul Deheuvels, de l'Institut, est professeur à l'université Pierre et Marie Curie, directeur du laboratoire de statistique théorique et appliquée (LSTA). Il est membre de l'Académie des sciences depuis l'an 2000.

 

 

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14 février 2013 4 14 /02 /février /2013 20:02

Le vaccin HiB provoque le diabète

de type 1 : étude du British Medical Journal

 

 

Il est étonnant de voir comment la manipulation des statistiques permet d’accorder un laissez-passer aux vaccins. En voici un exemple : une étude affirme qu’il n’y a aucune augmentation du diabète de type 1 statistiquement significative après la vaccination HiB. Une lecture attentive des chiffres documente cependant une histoire complètement différente.

poison.JPG

Par Heidi Stevenson,12 février 2013. (Gaia Health)

 

Dans une espèce de double langage étonnant, le British Medical Journal (BMJ) a publié une étude dont les conclusions montrent qu’il n’y a pas de lien entre le vaccin HIB et le diabète, bien que les chiffres montrent clairement que ce lien existe.

 

Il reste donc peu de doute quant au fait que le vaccin HiB provoque le diabète de type 1.

 

Comment a-t-on donc réussi cette espèce de prestidigitation ? Grâce aux statistiques bien évidemment.

 

L’étude a examiné trois groupes distincts d’enfants finlandais :

 

 · Cohorte 1 : 128.936 enfants nés entre le 1er octobre 1983 et le 1er septembre 1985, 24 mois avant que le vaccin de Haemophilus Influenzae type B (HiB) ne soit administré.

 

· Cohorte 2 : 59.238 enfants nés entre le 1er octobre 1985 et le 1er septembre 1987 (nombres impairs) auxquels on a administré le vaccin HiB respectivement à 3, 4, 6 mois et à 14 -18 mois.

 

· Cohorte 3 : 57.114 enfants nés entre le 1er octobre 1985 et le 1er septembre 1987 (jours pairs) auxquels on a administré le vaccin HiB une seule fois, soit à 24 mois.

 

Pour simplifier : la Cohorte 1 n’a pas reçu le vaccin HiB. La Cohorte 2 a reçu 4 doses du vaccin HiB à 18 mois et la Cohorte 3 a reçu une simple dose du vaccin à 24 mois.

 

Ci-dessous le tableau reprenant les résultats de l’étude :

 

HIB-tableau-1.jpg

 

Traduction de ces chiffres en pourcentages :

 

 ·  Cohorte 1 (pas de vaccin HiB)) : 0,34% ont fait le diabète de type 1

·  Cohorte 2 ( 4 vaccins HiB) :        0,40% ont fait le diabète de type 1

·  Cohorte 3 ( 1 vaccin HiB) :          0,37% ont fait le diabète de type 1.

 

Comme les taux de diabète de type 1 sont relativement faibles, les auteurs ont pu affirmer qu’il n’y avait pas de différence statistiquement significative dans les taux de diabète de type 1 chez les trois groupes. Dans certains cas, il s’agit d’une approche valable. Toutefois dans le cas qui nous occupe ce n’est certainement pas le cas. Ce qui importe, c’est la relation entre les groupes et non les chiffres globaux.

 

Il est dès lors raisonnable d’affirmer :

 

·  Les enfants qui ont reçu une seule dose du vaccin anti-HiB avaient 8,8% plus de risque de développer un diabète de type 1 que ceux qui n’avaient  reçu aucun vaccin HiB.


 · Les enfants qui ont reçu 4 doses du vaccin anti-HiB avaient 17,6% plus de risque de développer un diabète de type 1 que ceux qui n’avaient reçu aucun vaccin HiB.

 

Il s’agit là d’une découverte importante. Ces résultats viennent confirmer, et s’ajoutent à ceux qui concernent des milliers d’enfants finlandais qui souffrent aujourd’hui de diabète de type 1 à la suite du programme de vaccinations.

 

Les auteurs de l’étude ont complètement ignoré un fait bien connu, à savoir que les effets indésirables ne se présentent pas souvent dans de petits groupes étant donné qu’ils ne sont pas très fréquents. Pour que la réalité se manifeste, il s’agit d’étudier le problème sur de grands groupes. Alors seulement on pourra constater que le vaccin HiB est bel et bien à l’origine du diabète de type 1 chez un grand nombre d’enfants.

 

HiB-tableau-2.jpg

 

Ce graphique provient du rapport du BMJ. Il concerne seulement deux cohortes qui ont reçu le vaccin HiB, mais la distinction entre les deux est évidente : les enfants qui ont reçu le plus de doses de vaccins et qui les ont reçues plus tôt dans leur vie sont précisément ceux qui sont le plus susceptibles de développer un diabète de type 1.

 

Les enfants qui n’ont pas reçu le vaccin HiB ont moins de la moitié de chances de développer un diabète de type 1. (8,8% contre 17,6%).

 

On peut noter ici le tour de passe-passe statistique qui est utilisé pour masquer les véritables résultats. Il est à noter que la fréquence du diabète de type 1 est donnée en termes de personnes/année ? Qu’est-ce que cela veut dire que 300 cas de diabète se produiront au fil des années sur 100.000 personnes ? En fait, cela ne veut pas dire grand-chose. Ces chiffres ne vous disent pas combien d’enfants développent un diabète. La seule chose qu’ils montrent c’est que les enfants qui ont reçu plus de doses du vaccin HiB étaient davantage susceptibles de faire un diabète de type 1 – mais ces chiffres ne nous disent pas combien en plus. Il s’agit d’un faux-fuyant sans éclaircissement.

 

LES VERITABLES IMPLICATIONS

 

Quand on planifie des programmes de vaccinations qui concerneront des millions de personnes, ces différences importent ; elles revêtent même une grande importance.

 

Dans le cas de la vaccination HiB en Finlande - une population de 5,4 millions de personnes et 55.000 bébés qui naissent chaque année – cela signifie 33 cas de diabète de type 1, par an, et cela chaque année.

 

Nous pouvons considérer que le taux de natalité en Finlande est relativement faible, mais si nous extrapolons maintenant aux Etats-Unis avec une population de 314 millions d’habitants, cela fait environ 58 fois plus de personnes. Le calendrier de vaccinations américain est quasi le même que celui de la Finlande.

 

L’administration du vaccin anti-HiB aux Etats-Unis aux mêmes taux qu’il fut administré en Finlande, aurait comme résultat que 1.914 enfants développeraient un diabète de type 1 chaque année.

 

Ce sont donc des milliers de cas supplémentaires de diabète de type 1, et ces cas de diabète ne sont comptabilisés que jusqu’à l’âge de 10 ans!

 

Donc année après année, ce sont des milliers d’enfants qui développeraient un diabète de type 1 à la suite de la vaccination HiB. Toute argumentation qui prétendrait que nos vues ne sont pas réalistes irait à l’encontre du volume de connaissances qui démontrent bel et bien que cette maladie est devenue beaucoup plus répandue.

 

Ces enfants auront sûrement une vie beaucoup plus courte suite à leur état de santé dégradé. Leur développement neurologique est susceptible d’être entravé, leur intelligence diminuée à la suite de dommages cérébraux structurels. Nous savons tous que le diabète est susceptible de provoquer des neuropathies, de la gangrène qui nécessite parfois l’amputation de membres.

 

A mon humble avis, cette étude n’est rien d’autre que de la science de pacotille, une pseudo étude destinée à donner l’impression qu’il n’y a aucun lien entre le vaccin HiB et le diabète de type 1. Il n’empêche que la vérité est clairement révélée par les chiffres mêmes de l’étude. On est en droit de se demander comment les pseudo-scientifiques, les médecins, les gens de Big Pharma, les Agences gouvernementales et les Fondations vouées à la promotion des vaccins peuvent encore se regarder dans la glace.

 

Source:

 

Association between type 1 diabetes and Haemophilus influenzae type b vaccination: birth cohort study, BMJ; Marjatta Karvonen, senior researcher; Zygimantas Cepaitis, researcher; Jaakko Tuomilehto, research professor; BMJ 1999;318:1169

 

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12 février 2013 2 12 /02 /février /2013 23:40

Accidents vasculaires cérébraux chez les jeunes :

 induits par les vaccins ?

 

Alors que l’incidence des accidents vasculaires cérébraux a diminué chez les personnes âgées, elle a augmenté chez les jeunes et les personnes d’âge moyen. La question est de savoir pourquoi. Ces problèmes pourraient-ils être liés aux vaccins ?

 

AVC-chez-les-jeunes---vaccins.jpg

 

Par Heidi Stevenson

 

Les accidents vasculaires cérébraux ont diminué chez les plus de 55 ans. Toutefois les jeunes sont en train d’en devenir les victimes. Le fait que des personnes de plus en plus jeunes fassent un AVC est particulièrement préoccupant du fait qu’il est le signe d’une tendance. Plus grave encore est la confusion que ce problème génère dans le monde médical du fait que les médecins éprouvent d’énormes difficultés à expliquer comment une maladie de personnes âgées touche maintenant des êtres dans leur prime jeunesse.

 

En 1994, le pourcentage d’accidents vasculaires cérébraux survenant chez des adultes âgés de 20 à 55 ans était de 12,9 pour cent. En 2006, on atteignait le chiffre de 18,6% - soit une augmentation de 44 %. Ces chiffres montrent que quelque chose d’important est en train de se passer.

 

Comme toujours, on pointe du doigt le régime alimentaire, le diabète, l’obésité et le cholestérol. Les différents auteurs avancent ces explications comme étant des causes probables, mais rien dans leurs recherches ne concerne la véritable cause; ils donnent simplement leur avis.

 

Il est évident que l’éléphant dans le salon n’est jamais mentionné à savoir: les vaccins. Il est très possible qu’il s’agisse d’une combinaison de tous ces facteurs – mais la vaccination pourrait absolument en faire partie. Après tout, comme il n’y a pas si longtemps que l’on a pu démontrer que les vaccins étaient susceptibles de provoquer le diabète, ils ne peuvent donc en aucun cas être écartés comme facteur possible.

 

Ce qui devrait de toute manière être bien clair, c’est que les vaccins frappent durement le cerveau des gens. Toute une variété de troubles neurologiques sont associés aux vaccins comme la myofasciite à macrophages, l’encéphalopathie, l’épilepsie, les convulsions, le Syndrome de Guillain-Barré, la surdité, la cécité, les paralysies, la mort subite du nourrisson et bien sûr l’autisme.

 

Maintenant que les premiers bénéficiaires des vaccinations de masse entrent dans l’âge mûr, pourquoi devrions-nous être surpris de constater qu’ils sont davantage susceptibles de souffrir d’un accident vasculaire cérébral ?

 

Pour les personnes dont la vie a été bouleversée par ces AVC et pour la société en général, le coût des soins et le fardeau de la perte de productivité sont énormes.

 

Les chercheurs soulignent :

 

 « Etant donné que l’espérance de vie augmente, si les AVC surviennent à un âge plus précoce, les handicaps dus à des AVC ne cesseront de croître. »

 

Ainsi, non seulement nous avons maintenant des enfants qui développent du diabète, de l’asthme, de l’autisme et autres maladies, mais nous avons aussi des adultes qui souffrent d’autres maladies associées aux vaccins comme l’arthrite rhumatoïde, la myofasciite à macrophages, le lupus érythémateux, ainsi que beaucoup d’autres. Et  maintenant nous apprenons que des AVC se produisent chez des jeunes et des adultes d’âge moyen.

 

Quand le monde médical décidera-t-il de se retourner pour faire face à l’éléphant qui s’appelle vaccination ?

 

Source: Gaia Health

 

Voir aussi l'article connexe: Un lien possible entre AVC & vaccination

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12 février 2013 2 12 /02 /février /2013 22:37

Un "ancien" article, plus que jamais d'actualité? Paru dans un grand journal anglais....

 

Fureur et scandale vaccinal

 

Des centaines de travailleurs du secteur public prétendent que leurs vies ont été détruites par les vaccinations. Ils disent que le gouvernement les a abandonnés

 

Lucy Johnston, Express,10.01.2010 (Extraits)

 

Olivia-Price.jpg

                                    Olivia Price

 

Jusqu’à 200 médecins, infirmières, pompiers, gardiens de prison, policiers, médecins légistes et éboueurs disent qu’ils ont développé de graves problèmes de santé physiques et mentaux après les vaccinations auxquelles ils avaient dû se soumettre pour leur travail au cours des 10 dernières années. Tous ont dû abandonner leur travail et certains d’entre eux sont handicapés à 60%.

 

La nuit dernière ils ont appris qu’ils ne seraient pas dédommagés, ce qui a entraîné  la fureur des militants. Plus de 150 députés ont apporté leur soutien à ces victimes.

 

Olivia Price qui fait partie du groupe de soutien aux victimes a déclaré : «  Ces gens ont consacré leur vie au service des autres et c’est de cette manière qu’ils sont récompensés ! Ils ont perdu leur emploi et sont devenus un fardeau pour leur famille. C’est vraiment horrible !»

 

Le personnel de santé, les travailleurs sociaux, le personnel pénitentiaire, les éboueurs sont obligés de se faire vacciner contre l’hépatite B pour pouvoir garder leur emploi.

 

Il s’agit de les empêcher de contracter des maladies qui pourraient être fatales à la suite de blessures, d’une infection du sang ou d’agressions physiques.

 

Ces personnes ne sont pas légalement obligées de se faire vacciner. Mais sans vaccination, il leur est interdit de travailler.

 

Les experts pensent que ce sont les vaccinations qui ont provoqué ces problèmes de santé, comme la fatigue chronique, les douleurs musculaires, des troubles cognitifs, de la faiblesse, parce que ces troubles sont apparus peu de temps après la vaccination.

 

Steve Robinson, un homme de 43 ans, père de trois enfants a été vacciné il y a 6 ans contre l’hépatite A et B, la polio, le tétanos, la diphtérie dans le cadre de son travail comme médecin légiste. Deux jours plus tard, il est tombé malade et a développé une faiblesse musculaire et de la fatigue chronique. Le handicap de 60% de Monsieur Robinson a été attribué par un tribunal du travail aux vaccinations.

 

On a diagnostiqué chez lui une myofasciite à macrophages, une affection invalidante qui peut être causée par l’aluminium des vaccins. Il peut tomber brusquement sans raison apparente. Il explique : « avant de recevoir ces vaccins, j’étais en parfaite santé, je pratiquais régulièrement le mountain bike, j’aimais marcher et me maintenir en forme. »

 

« Maintenant je n’ai plus qu’une très faible mobilité, je marche avec des cannes et suis constamment fatigué. » Dans 10 cas sur les 200, les responsables gouvernementaux ont déjà statué sur la probabilité que ce soient les vaccins qui aient causé les dommages.

 

Les personnes qui soutiennent ces victimes estiment qu’elles devraient pouvoir recevoir des dédommagements officiels allant jusqu’à 120.000 £, à l’instar d’autres personnes qui ont subi des effets secondaires. Mais malheureusement le vaccin contre l’hépatite B est exclu de ces remboursements et ces gens ne recevront donc rien.

 

Source : L’Express

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5 février 2013 2 05 /02 /février /2013 19:20

Il y a 3 jours, voici comment le Figaro commençait un de ses articles, au sujet du Mediator:

 

Mediator : les experts truquent les dossiers des victimes

 

Le fonds d'indemnisation sous-évalue les pathologies de nombreux malades.

  

 

L'Agence de presse médicale (APM) a soulevé jeudi un véritable lièvre. Alors que l'Office national d'indemnisation des accidents médicaux (Oniam) rendait publiques les résultats de ses expertises (64 victimes du Mediator seront indemnisées sur les 863 dossiers étudiés, soit un très faible nombre de malades), l'APM relevait que les experts minimisent la gravité des dossiers en réinterprétant les comptes-rendus des examens.

 

 

Lire la suite : ICI

 

Pour le Mediator, l'attitude (pourtant habituelle) des experts serait "une surprise" et sa dénonciation consisterait donc à soulever "un véritable lièvre"? Quelle hypocrisie quand on sait le tabou bien plus gigantesque qui prévaut dans un secteur où les enjeux financiers sont sans commune mesure avec le Mediator, comme celui des vaccinations!!



En matière de vaccination, il est même régulier pour les victimes de s'entendre dire que tout est dans leur tête ou psychosomatique! C'est notamment ce qu'un médecin a osé sous-entendre à Laetitia Celli, victime du Gardasil et qui a dû consulter plus de 60 médecins tant ce vaccin a délabré sa santé. C'est aussi ce que les experts ont prétendu au sujet d'une quarantaine d'enfants de Gouro au Tchad, pourtant paralysés! Récemment, l'Académie de Médecine (qui nie tout danger concret lié à l'aluminium des vaccins entre autres dénis) a par exemple aussi qualifié l'électrohypersensibilité de "maladie psychosomatique" alors que cette sensibilité accrue aux ondes électromagnétiques toxiques affecte pourtant 1 personne sur 15!!

 

 

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4 février 2013 1 04 /02 /février /2013 21:30

Le Journal du Médecin le prouve une fois de plus dans sa Lettre du Médecin n°1127 de ce 4 février 2013, il ne craint absolument pas le ridicule!

 

Au point n°4 de cette newsletter en effet, voici ce qu'on pouvait lire:

LDM-4-fevrier-2013-enfants-mercure.PNG

 

Pas un seul instant le Journal du Médecin n'ose évidemment rappeler la présence de mercure toxique dans plusieurs vaccins antigrippaux pourtant préconisés aux femmes enceintes et qui alourdiront par conséquent immanquablement "la barque toxique" dans laquelle le bébé va naître, une barque faite de mercure mais aussi de formaldéhyde cancérigène (aussi contenu dans les vaccins antigrippaux, lisez donc les notices svp!!) et d'aluminium car plusieurs vaccins sont à présent recommandés en cours de grossesse, comme par exemple des rappels diphtérie-tétanos-coqueluche (Boostrix), comme cela se fait au Royaume-Uni notamment... au prétexte de "protéger" le nourrisson!! Le Boostrix contient une belle dose d'aluminium, un neurotoxique notoire impliqué dans l'autisme et les troubles du développement de l'enfant. Il est évidemment beaucoup plus "politiquement correct" de se contenter de conclure "qu'il faut notamment remplacer le thon par d'autres poissons" mais il serait pourtant ô combien plus honnête et surtout plus efficace d'informer les parents sur les dangers des amalgames dentaires au mercure ainsi que sur l'administration insensée et totalement injustifiée du moindre vaccin pendant la grossesse et l'allaitement! Rappelons en effet, comme l'ont fait des chercheurs de l'INSERM en France, que l'exposition précoce (au cours de la vie foetale ou postnatale) à divers polluants chimiques, fait courir un risque d'altération de l'ADN avec en conséquence, l'apparition possible de maladies graves à l'âge adulte (apparition différée donc... qui pensera dès lors à "faire le lien"??).

 

Il est aussi nocif de sous-entendre et absurde de laisser croire qu'il y aurait certains seuils "sûrs" ou non problématiques de substances qui sont toujours toxiques pour tous les êtres vivants!

 

Songez-y surtout bien à temps, et rappelez-vous bien que votre enfant à naître ou déjà là ne peut compter QUE SUR VOUS pour penser à le protéger de ce genre de risque concret qui est hélas hypocritement ignoré par les autorités!!

 

Lire aussi ce dossier sur le lien entre mercure et désordres du spectre autistique(comme on le voit, plusieurs métaux toxiques différents peuvent donc être impliqués dans la genèse d'une même maladie)

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3 février 2013 7 03 /02 /février /2013 00:00

Bonjour à vous tous,

 

plus jamais ça!!C'est pour vous dire en passant que je fais partie des 99% des cas d'effets secondaires non comptabilisés des vaccins. En 2008, j'ai fait une pneumonie (à pneumocystis) 2 jours après une vaccination grippale suivie d’une hospitalisation. Bien sûr, on met cette pneumonie sur le compte de ma séropositivité, mais il n’empêche qu’avant cette vaccination, j’étais en parfaite santé. Paradoxalement, quand on est séropositif, le médecin te recommande fortement tous les vaccins existants possibles, dont bien sûr celui contre la grippe, en nous disant qu'on est plus à risque...Eh bien en 2008 ça été la goutte qui a fait déborder le vase. Un vaccin de trop. Et deux jours après, pneumocytose…

 

J'ai bien failli y rester, les antibiotiques ne faisaient pas effet, malgré 3 tentatives. Six mois plus tard, c'est le psychodrame H1N1 qui m'a ouvert les yeux face aux vaccins. Jamais plus on ne m'y prendra. On m'en a offert par 3 fois, et je les ai tous refusés. Depuis cette dernière vaccination en 2008 qui m'a presque coûté la vie, je n'ai plus jamais été malade, même pas une petite grippe.

 

VACCIN_GRIPA-NON_MERCI.gifC’est pour ça aussi que je vous écrivais, parce qu’après avoir lu votre article sur la vaccination des patients dits « à risque » et notamment les séropositifs, je ne pouvais que réagir et faire part de mon expérience. A croire qu’ils veulent vraiment « nous achever » avec ce genre de conseils !


Autre chose: on annonce aussi en grande pompe dans les médias québécois, qu'on est proche de trouver un vaccin pour prévenir et même supposément guérir l'alzheimer...  

 

Pourtant, il y a de forte chance, à cause de l'aluminium comme adjuvant, que les vaccins soient une des causes de cette maladie...c'est complètement fou! Imaginez les gens qui vont se ruer sur ce vaccin quand il sera disponible!!! J'entendais aussi une pub qui disait qu'il existait un vaccin contre le Zona, encore ici les vaccins en sont possiblement la cause...un vaccin contre la sclérose en plaques et l'autisme tant qu'à faire!!!! Ça m'enrage cette folie vaccinale pour toutes les maladies!!! Qu'ils trouvent plutôt les véritables causes de toutes ces maladies au lieu de sortir leurs supposés vaccins miracles!!!

 

Jonathan (région de Lanaudière, Québec)

   

Jonathan n’est pas le seul à nous faire part d’une telle expérience. Pas plus tard qu’il y a une semaine, une thérapeute du Namurois nous signalait avoir récemment eu deux personnes dans sa clientèle qui ont également failli mourir après cette même vaccination.  Combien de cas en tout, dans la réalité ? Combien de gens ne vous ont-ils pas dit avoir jamais été aussi malades de leur vie qu’après cette vaccination ?

 

Pour nos « grands experts », tout cela n’est jamais que coïncidence et eux, eux seuls, ont « la Science ». On voit ce que ça donne leur « Science »… des gens en paient le prix fort de leur vie (hélas) !

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28 janvier 2013 1 28 /01 /janvier /2013 22:15

Des enfants africains toujours paralysés après des vaccins

   

Pour le gouvernement «  tout est dans leur tête »

 

 

Christina England, 25 janvier 2013

 

Enfant-Africain.jpg

 

« Ils ont voulu des preuves que la tragédie s’est bel et bien passée, et nous les leur avons fournies. 500 enfants ont reçu le vaccin contre la méningite en Afrique, 106 enfants sont tombés gravement malades, 38 ont été paralysés. Aujourd’hui, la chose a été finalement confirmée par le gouvernement, mais ils prétendent que LE VACCIN N’EST PAS EN CAUSE, que tout est dans leurs têtes. N’avons-nous déjà pas vu cette explication quelque part ?? » Christina England

 

Le gouvernement africain nie le fait que les vaccins ont endommagé la santé de certains enfants.

 

Il a maintenant été officiellement confirmé qu’en décembre 2012, 38 enfants ont été hospitalisés après avoir reçu le vaccin contre la méningite MenAfriVac au cours d’une campagne de vaccination organisée par le gouvernement tchadien. France 24 a expliqué que Saleh Ahmat Bodoumi, ancien membre du parlement tchadien, a confirmé que sept des enfants les plus gravement touchés ont dû être évacués des hôpitaux de la capitale N’djamena vers la République de Tunisie, en Afrique du Nord pour y subir d’autres examens, ainsi qu’un traitement spécialisé. [1]

 

Cette information a été confirmée par le « Medical Xpress » qui a précisé que le Ministre de la Santé Mamouth Nahor N’Gawara a fait la déclaration suivante à l’Agence France-Presse, l’une des plus importantes agences de presse au monde (AFP) : « Au cours de la dernière phase de la campagne de vaccination organisée à Gouro (près de la frontière Lybienne) du 11 au 15 décembre 2012, des réactions inhabituelles ont été observées. » N’Gawara a ajouté que « leur état de santé n’était pas inquiétant. » [2]

 

VACCINATIONS FORCEES

 

Toutefois, le Medical Xpress, ainsi que d’autres sites ont suivi cette histoire depuis le début et ont rapporté les informations suivantes :

 

« Dans un communiqué, le ministère de la Santé a fait savoir que les tests n’ont pas permis d’établir un lien causal entre les manifestations cliniques observées chez les patients et le vaccin MenAfriVac. »

 

Selon le communiqué, un enfant qui n’avait jamais reçu le vaccin contre la méningite se plaignait de souffrir des mêmes symptômes que les autres enfants. [3]

 

Toutefois, un contact au Tchad a fourni à VacTruth une version très différente des événements.

« Ce sont le gouvernement et l’Organisation Mondiale de la Santé qui ont inventé la tournure de ces faits

 

Le gouvernement a interdit aux journalistes de pénétrer dans l’hôpital où les enfants avaient été amenés (sic). Tous les enfants de Gouro ont reçu le vaccin.

 

Tout d’abord, ils (le gouvernement et l’OMS) ont collaboré avec le directeur de l’école qui a verrouillé la porte principale de l’école avant de vacciner tous les enfants. Le directeur de l’école a dit aux enfants que ceux qui refuseraient le vaccin seraient exclus de l’école et seraient arrêtés. Deuxièmement, ils ont fait du porte à porte et injecté le vaccin aux bébés de plus d’un an. »

 

Si vous trouvez cet événement difficile à croire, il vous suffit de vous souvenir de ce qui s’est passé en 2007 lorsqu’on a appris que des enfants du Maryland avaient été vaccinés de force par des hommes armés, sous les ordres du procureur général, de différents juges et du directeur de l’école locale. Ils ont tous illégalement menacé les parents d’emprisonnement s’ils ne soumettaient pas leurs enfants à la vaccination. [4]

 

Un autre exemple de ces tactiques d’intimidation s’est passé l’année dernière au Malawi, où 131 enfants ont été vaccinés à la pointe du fusil après que leurs parents aient refusé le vaccin contre la rougeole. [5] [6]

 

UN CALENDRIER TRAGIQUE

 

Fait intéressant, le ministre de la Santé a terminé sa déclaration officielle en disant que l’état de santé des enfants paralysés n’était pas inquiétant. Si cela était vrai, pourquoi alors le gouvernement tchadien a-t-il pris la décision de les transférer dans un autre hôpital, et pourquoi ce transfert s’est-il fait en secret ?

 

Notre contact au Tchad nous a informés qu’avant l’évacuation des enfants, les parents n’ont même pas été autorisés à savoir où les enfants étaient évacués. Notre contact nous a confirmé que le jour où les enfants ont été évacués, l’aéroport international de N’Djamena a été fermé aux visiteurs !

 

VacTruth a publié un rapport sur cette tragédie tchadienne le 6 janvier 2013. [7] Cependant, l’équipe d’experts du Tchad n’a commencé à enquêter sérieusement sur la situation que le 9 janvier. Le Premier Ministre du Tchad n’a rendu visite aux enfants malades à l’hôpital que quelques jours plus tard, et c’est le 13 janvier que VacTruth a publié les images télévisées de cette visite (images télévisées qui lui avaient été transmises du Tchad) [8]

 

Pourquoi a-t-il fallu tant de temps pour que le gouvernement tchadien intervienne dans cette tragédie épouvantable ? Selon France 24, le Ministre de la Santé n’a annoncé la tragédie que le 9 janvier, soit cinq semaines après que les accidents se soient produits.

 

Une autre fausse présentation des faits présentés au public est l’information suivante publiée sur plusieurs sites internet.

 

« Au total, plus de 100 millions de personnes dans 10 pays africains ont été vaccinées contre la maladie. »

 

Il est possible que des dizaines de millions de personnes aient été vaccinées avec MenAfriVac, bien que très peu probable. Toutefois, de l’avis même de l’OMS, il est totalement impossible que ce nombre de personnes aient été vaccinées dans le respect des recommandations ayant trait au contrôle de la chaîne du froid. [9]

 

NON RESPECT DES REGLES (au moins à deux reprises)

 

Que s’est-il donc passé dans les coulisses ?

 

MenAfriVac est un vaccin de pré-licence encore en phase de test. Il avait été annoncé par toutes les grandes organisations impliquées dans la campagne, notamment l’UNICEF, la FDA, le CDC, la Fondation Bill et Melinda Gates, PATH, Projet Vaccins Méningite et l’OMS, comme étant un vaccin qui pouvait être conservé à température contrôlée allant jusqu’à 40 degrés Celcius pendant 4 jours. Toutefois, selon le fabricant, cette information n’était pas tout à fait exacte, car il déclare :

 

« MenAfriVac doit être stocké et transporté à des températures de 2- 8°C. Il doit être protégé de la lumière. Le diluant doit être conservé à 25°C. Il est recommandé de protéger le vaccin reconstitué de la lumière directe du soleil. » [10]

 

Selon le rapport d’une réunion qui eut lieu en octobre 2012 entre l’Organisation Mondiale de la Santé, le groupe Vaccines and Biologicals, le Comité Consultatif des Pratiques d’Immunisation (IPAC), le vaccin MenAfriVac n’avait pas encore totalement obtenu la licence et n’aurait pas pu être complètement approuvé avant 2013 au plus tôt. [11]

 

Les enfants de Gouro ont été vaccinés en Décembre 2012, apparemment avec un vaccin qui était en cours de test et qui n’avait pas encore obtenu l’approbation pour être utilisé en dehors de la chaîne du froid.

  

Selon certaines sources, le Dr Diego Buriot aurait lu le message suivant en français sur une chaîne de télévision tchadienne :

 

« Nous avons fait toutes les analyses. Nous pensons que ce n’’est pas le vaccin qui a été la cause des paralysies. Les enfants ne sont pas en danger. Il est clair que le vaccin n’est pas la cause. Tout semble montrer que le vaccin qui a déjà été largement utilisé dans l’ensemble de la chaîne, ne produit pas de complications vaccinales. Nous avons à nouveau fait tester le vaccin, tant au niveau du producteur qu’au niveau des contrôles aléatoires. Ceux-ci communiqueront leurs résultats dans quelques semaines, mais en réalité nous sommes certains que le vaccin n’est pas en cause. Ce dont nous sommes certains, c’est tout d’abord qu’il n’y a aucun danger pour les enfants, il est très important de le dire. Tous les essais cliniques que nous avons réalisés sont tout à fait normaux ; c’est évidemment toute autre chose que cette agitation, réelle bien sûr, mais qui traduit la peur des enfants. »

 

Il s’agit ici de la première reconnaissance publique, admettant que les enfants sont tombés malades et ont été paralysés après avoir reçu le vaccin. C’est aussi la première des dénégations qui mettait hors de cause la responsabilité du vaccin.

 

Mais qui est le Dr Diego Buriot et qui représente-t-il ?

 

TOUT EST DANS LEUR TETE

 

Le Dr Diego Buriot est le Directeur du Bureau de l’OMS à Lyon, France. Il est en charge du Département de Surveillance des Maladies Transmissibles. Il possède une expérience considérable des problèmes de santé publique dans les pays en voie de développement [12]

 

Il devait bien sûr déclarer que les vaccins n’avaient pas provoqué les dommages causés aux enfants, bien qu’il avait admis que les résultats des tests n’étaient pas encore disponibles et qu’ils ne le seraient pas avant plusieurs semaines. Vous rappelez-vous de ses paroles :

 

« Nous avons à nouveau fait tester le vaccin, tant au niveau du producteur qu’au niveau des contrôles aléatoires. Ceux-ci communiqueront leurs résultats dans quelques semaines, mais en réalité nous sommes certains que le vaccin n’est pas en cause. »

 

Le 20 janvier 2013, l’Organisation des Droits Humains ECOTERRA et moi-même avons écrit une lettre au représentant de l’OMS au Tchad, le Dr Saïdou Pathé Barry. Depuis, nous avons régulièrement consulté le site de l’OMS [13], mais n’avons trouvé aucun rapport ou mise à jour. C’est pour cette raison que nous nous sommes sentis obligés de faire un appel public à l’OMS en leur demandant de répondre, dans les meilleurs délais, à nos quatorze questions concernant la tragédie de la vaccination MenAfriVac.

 

Le 22 janvier, nous avons reçu une copie du communiqué de presse original signé par le Ministre de la Santé publique, le Dr Mamouth Nahor N’gawara. C’est une lecture intéressante mais prévisible.

 

Il s’agissait en fait des mêmes vieux arguments, bien qu’il était reconnu que les conditions d’hospitalisation étaient inadéquates, qu’il y avait un manque de suivi médical – notamment sur le plan psychologique et que le dialogue entre le personnel de santé et la communauté était insuffisant.

 

Aucune cause de la maladie des enfants ne semble avoir été trouvée.

 

Dans leurs recommandations, les experts ont déclaré :

 

« Assurez-vous d’un retour progressif mais rapide des enfants dans leur famille, comme d’un suivi médical.

Maintenez le dialogue avec les familles, les acteurs et les partenaires de la vaccination.

Renforcez la structure médicale à l’échelon local par l’ajout d’un médecin et d’une infirmière diplômée d’Etat pour un meilleur suivi de la santé de la population et des activités de routine.

Renforcez les possibilités du personnel de santé dans la communication en temps de crise pour le contrôle des rumeurs. »

 

« Les experts tiennent à souligner que l’analyse des données épidémiologiques, médicales, cliniques et paracliniques ne leur permettent pas d’établir un lien de causalité entre les manifestations cliniques observées chez les patients et le MenAfriVac. »

 

« Les symptômes observés chez les patients ressemblent à ceux qui ont été décrits dans la littérature sous plusieurs noms :

 

hystérie collective

• comportement collectif obsessionnel

• phénomène psychogénique de masse »

 

En d’autres termes, les « experts » essaient de dire que l’état de santé des enfants relève du domaine psychologique. Cette tendance est de plus en plus en vogue chez les gouvernements et dans la profession médicale. On utilise de plus en plus souvent ce mantra « Tout est dans la tête » pour minimiser les dégâts produits par les vaccinations, manière de déplacer le blâme sur les parents ou la victime.

 

Ils terminent en disant :

 

« Les experts indépendants tiennent à remercier la population, ainsi que les autorités tchadiennes pour la confiance qu’ils leur ont accordée. Ils font appel à la diligence des autorités pour mettre rapidement en œuvre les recommandations proposées, ce qui facilitera le retour à une situation plus calme qui ne pourra qu’être bénéfique à la réalisation correcte des programmes de vaccination. »

 

Le communiqué de presse indique également qu’un rapport final sera complété par les services de Santé de Tunisie.

 

Ce que le communiqué de presse ne dit pas, c’est que pour un total de 500 enfants vaccinés, 106 sont tombés malades. 38 enfants ont été hospitalisés. 62 enfants ont dû rester à Gouro et ont été pris en charge par des proches.[13]

 

COMMENT SE PORTENT LES ENFANTS

 

Quand j’ai demandé à mon contact si la santé des enfants hospitalisés s’améliorait, il a répondu :

 

« Les enfants hospitalisés sont toujours paralysés. La plupart de ces enfants ne parviennent pas à se lever. Certains font des convulsions à un point tel qu’il faut parfois quatre personnes pour les maintenir ; d’autres convulsent avec les bras tendus, les yeux fixes, sans aucune réaction. Nous n’avons pas suffisamment d’informations sur les enfants que le gouvernement et l’OMS ont envoyés en Tunisie. A Gouro, il y a des enfants malades qui pourraient être évacués vers la Lybie. »

 

Tchad enf..

 

CONCLUSION

 

Nous ne connaissons pas encore toutes les conséquences de la tragédie vaccinale du MenAfriVac. Il n’y a pas de doute que ces enfants sont très malades et pourraient devoir bénéficier de soins à vie et d’une attention toute particulière. Il est probable que ces enfants rentreront chez eux s’ils récupèrent suffisamment, mais probablement sans les soins adéquats que nécessiterait leur état, étant donné que leurs parents risquent d’être laissés seuls, sans l’aide nécessaire pour s’occuper de leurs enfants handicapés.

 

Malheureusement de nombreux pays du Tiers Monde n’ont pas accès à des équipements de base tels que des fauteuils roulants qui nous paraissent pourtant élémentaires dans notre monde occidental.

 

Assurément, il est maintenant temps pour le gouvernement tchadien et les organisations concernées de cesser de dissimuler cette tragédie, alors qu’ils devraient plutôt s’occuper, comme il se doit, des enfants malades. Je crois que la véritable tragédie au travers de toute cette situation se produira dans quelques mois : comme des milliers d’autres, ces enfants seront oubliés et ce sera « le business habituel » pour toutes les organisations impliquées.

 

Le vaccin MenAfriVac sera vraisemblablement administré à des millions d’autres enfants du Tiers Monde en Afrique. Il faut que cesse la vaccination des enfants avec des vaccins qui n’ont pas encore reçu leur licence ou qui n’ont qu’une pré-licence; ces vaccinations peuvent être mortelles (et sont par définition expérimentales !). Tout ceci ne concerne plus la santé ; il s’agit plutôt d’un mépris total de la vie humaine au nom du profit.

 

Références

 

1.http://mobile.france24.com/fr/20130121-tchad-38-enfants-hospitalises-apres-vaccin-contre-meningite

2.http://medicalxpress.com/news/2013-01-children-hospitalised-meningitis-shot-chad.html#jCp

3. http://medicalxpress.com/news/2013-01-chad-link-sick-kids-meningitis.html#jCp

4. http://www.naturalnews.com/022267.html#ixzz2ItUWLWPL

5. http://www.activistpost.com/2011/07/gates-foundation-partner-in-malawi.html

6. http://www.naturalnews.com/033119_vaccinations_gunpoint.html

7. http://vactruth.com/2013/01/06/paralyzed-after-meningitis-vaccine /

8. http://vactruth.com/2013/01/13/children-paralyzed-by-vaccine/

9. http://www.who.int/immunization/newsroom/menafrivac_20121114/en/index.html 

10. http://www.who.int/inf-pr-2001/en/pr2001-06.html

11. http://www.seruminstitute.com/content/products/product_menafrivac.htm

12. http://www.path.org/files/TS-optimize-newsletter-apr12.pdf

13. http://www.who.int/inf-pr2001/en/pr2001-06.html

14. http://www.journalavoix.info/derniereminute.php?action=fullnews&id=244

15. http://www.who.int/countries/tcd/en



Source: Vactruth

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27 janvier 2013 7 27 /01 /janvier /2013 19:30

Voilà une question incontournable s'il en est, à la lueur d'informations récemment publiées dans le Journal du Médecin.

 

Dans un article paru le 15 janvier dernier, on apprend en effet qu'il y a eu, en Wallonie, 197 décès d'enfants par mort subite entre 2000 et 2008, soit certainement plus de 400 décès sur cette même période pour la Belgique entière (avec les chiffres de Bruxelles et ceux de la Flandre), ce qui représente 50 décès par an par mort subite dans notre pays. Mais combien d'autres si on tient compte de la sous-notification?

 

Jdm-15-janvier-2013-mort-subite.jpg

 

Depuis des décennies, des scientifiques du monde entier tirent la sonnette d'alarme et attirent l'attention du public sur la cause possible que représente la vaccination, infligée à quasi 100% des enfants. Ce qui n'a pas empêché l'ONE de recommander dans son Guide de Médecine Préventive, parmi les mesures préventives de la mort subite du nourrisson, le respect scrupuleux... du calendrier vaccinal!!

 

Nos enfants sont de plus en plus vaccinés et ils sont aussi de plus en plus malades: plus de cancers, plus de maladies chroniques et auto-immunes, plus de troubles neurologiques et d'autisme, plus d'allergies, etc etc.

 

Sans arrêt, on nous prétend que plus de vaccins, c'est forcément mieux mais où donc sont les preuves SCIENTIFIQUES démontrant que cela constitue vraiment un progrès?

 

Avant que les coûteux vaccins anti-rotavirus ne soient remboursés, les experts du KCE avaient rendu un rapport (favorable aux vaccins, est-il seulement besoin de le préciser?!).

 

Dans ce rapport du KCE de 2007, on trouve cependant les noms de plusieurs experts qui sont en conflits d'intérêts: parmi les auteurs, les Prs Marc Van Ranst et Pierre Van Damme et parmi les "experts externes", les Drs Jack Levy, Béatrice Swennen, Marc Raes, ainsi aussi que le Pr Patrick Goubeau (celui-là même qui osait affirmer en 2009 au sujet du Pandemrix qu'il ne pouvait pas paralyser quelqu'un... contrairement à ce que disait pourtant sa notice!!!!)

 

L'année d'avant, en 2006, pour "bien préparer le terrain", le Dr Béatrice Swennen et le Pr Jack Levy, qui traînent désormais comme autant de casseroles leurs conflits d'intérêts avérés, écrivaient un article enthousiaste sur les vertus attendues de la vaccination anti-rotavirus. Ils parlaient alors d'une "excellente efficacité" mais avouaient dans une revue qui n'est lue que par le corps médical que "l'immunité acquise (contre le rotavirus) n'empêche pas les infections."

Les auteurs prenaient soin de préciser aussi en conclusion de leur article que  « La promotion de cette vaccination nécessite donc de développer un discours et une pédagogie adaptés. La perception par les parents de jeunes enfants de la pathologie induite par le Rotavirus et de l’intérêt de la vaccination est en cours d’évaluation au travers d’enquêtes réalisées en Wallonie et à Bruxelles auprès d’un échantillon représentatif d’enfants âgés de moins de 2 ans. »

 

Ainsi donc, certains "experts" s'attachent à promouvoir l'idée de vaccination contre telle ou telle maladie, par principe et ce, bien avant l'arrivée sur le marché de tel ou tel vaccin!

 

Partout, les parents ont entendu dire que l'efficacité de cette vaccination contre la diarrhée du nourrisson est excellente, qu'il y a eu une baisse des hospitalisations etc....

 

Et pourtant, voici l'aveu accablant qu'on pouvait lire après plus de 5 ans de vaccination anti-rotavirus, dans le Journal du Médecin n° 2990 du 15 janvier dernier (là encore une publication qui n'est en règle accessible qu'au seul corps médical):

 

"Le rotavirus est à peine partiellement neutralisé par la vaccination infantile..."

 

Jdm-15-janvier-2013-rotavirus-001.jpg

 

En conclusion, on peut donc se rendre compte qu'on se fout complètement du public à qui on promet sans cesse monts et merveilles pour simplement réussir à introduire sans cesse de nouveaux vaccins. Dans le même temps, les maladies chroniques explosent, des enfants meurent en toute discrétion de mort subite prétendument (comme c'est commode!) "inexpliquée" et la majorité des parents continuent dans ce système mortifère sans se poser aucune question!! A se demander si c'est du norovirus ou des vaccins qu'on a le moins "fini d'en vomir"...

 

 

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23 janvier 2013 3 23 /01 /janvier /2013 21:20

D’après REUTERS

 

Les liens entre la narcolepsie et le vaccin contre la grippe de GSK deviennent de plus en plus évidents

 

Kate Kelland, Health and Science Correspondent, Reuters

 

22 janvier 2013

 

narcolepsie fille

Stockholm (Reuters)

 

Emilie est en proie à des hallucinations et des cauchemars. Quand elle se réveille, elle est souvent paralysée, elle ne parvient plus à respirer normalement ou même appeler à l’aide. Au cours de la journée, elle peut à peine rester éveillée. Elle manque souvent l’école et ne peut plus guère s’amuser avec ses amies. Elle n’a que 14 ans, mais elle se demande parfois si sa vie vaut encore la peine d’être vécue.

 

Emilie Olsson s’endort alors qu’elle regarde la télévision dans son appartement de Stockholm. le 17 janvier 2013. Emilie est l’un des quelque 800 enfants en Suède et ailleurs en Europe qui ont développé la narcolepsie, un trouble du sommeil incurable, après avoir été vaccinés en 2009 avec le vaccin Pandemrix contre la grippe porcine (H1N1), fabriqué par le groupe pharmaceutique britannique GlaxoSmithKline.

 

Emilie est l’un des enfants en Suède et ailleurs en Europe qui ont développé la narcolepsie, un trouble du sommeil incurable, après avoir été vaccinés en 2009 avec le vaccin Pandemrix contre la grippe porcine H1N1 fabriqué par le groupe pharmaceutique GSK.

 

La Finlande, la Norvège, l’Irlande et la France ont également connu des pics de narcolepsie. Les personnes qui connaissent les résultats d’une étude qui sera bientôt publiée en Grande-Bretagne, ont déclaré à Reuters que cette publication montrera une tendance similaire pour les enfants de ces pays.

 

Le destin de ces enfants, en proie à une maladie qui détruit toute vie normale, est en train de devenir ce qu’un agent suédois de la Santé (qui a coordonné le programme de vaccination) n’a pas hésité à appeler « une tragédie médicale ». Cette tragédie va  nécessiter une attention médicale et scientifique croissantes.

 

Au niveau de l’Europe, il a été précisé que le Pandemrix ne pourrait plus être utilisé chez des personnes en-dessous de 20 ans. Le médecin-chef de la division vaccins chez GSK, Norman Begg, affirme que son département prend la question très au sérieux et qu’il est absolument déterminé à aller jusqu’au bout des choses, mais il ajoute qu’il n’existe pas encore suffisamment de données ou de preuves pour suggérer un lien de causalité.

 

« Il n’y aucun doute dans mon esprit que le Pandemrix a augmenté la fréquence de l’apparition de la narcolepsie chez les enfants de certains pays, et probablement dans la plupart des pays », précise Mignot spécialiste des problèmes de sommeil à l’Université de Stanford aux Etats-Unis.

 

30 MILLIONS DE PERSONNES ONT RECU LE PANDEMRIX

 

Au total, le vaccin de GSK a été administré à plus de 30 millions de personnes dans 47 pays au cours de la pandémie de grippe porcine H1N1 de 2009-2010. Du fait que le vaccin contenait un adjuvant, il n’a pas été utilisé aux Etats-Unis parce que les autorités compétentes se méfient des vaccins avec adjuvants.

 

GSK reconnaît qu’en Europe, 795 personnes ont affirmé avoir développé une narcolepsie depuis le lancement du vaccin en 2009.

 

Plusieurs questions font, pour le moment, l’objet d’intenses investigations scientifiques comme par exemple les suivantes : Par quels mécanismes la narcolepsie est-elle liée au Pandemrix ? Quels sont les facteurs déclenchants et les mécanismes biologiques qui ont pu entrer en ligne de compte ? Y aurait-il une susceptibilité génétique sous-jacente ?

 

Mais les experts de tous bords se méfient. Des effets secondaires rares pourraient rapidement entraîner la « peur des vaccins » qui pourrait prendre une importance disproportionnée et, comme le précise un des plus grands experts européens, entamer la confiance du public dans des vaccins qui contrôlent des tueurs potentiels comme la polio et la rougeole.

 

« Personne ne veut être le prochain Wakefield » déclare Mignot, s’en référant au médecin britannique discrédité et qui a depuis longtemps suscité une réaction contre le vaccin ROR avec de fausses allégations de liens avec l’autisme. [notes d’IC en fin d’article à ce sujet !!]

 

Avec les études sur la narcolepsie, rien n’indique que les résultats seront le travail d’un médecin voyou.

 

Des équipes indépendantes de chercheurs ont publié des études revues par les pairs en Suède, Finlande et Irlande, montrant que le risque de développer une narcolepsie après les campagnes de vaccination de 2009-2010 était de 7 à 13 fois plus élevé pour les enfants qui avaient été vaccinés avec le Pandemrix par rapport à des enfants non vaccinés.

 

« Nous voulons vraiment aller au fond des choses. Ce n’est dans l’intérêt de personne qu’il existe des problèmes de sécurité. Ils doivent être étudiés. » a déclaré Begg de GSK.

 

LA VIE A CHANGE

 

Les parents d’Emilie, Charles et Marie Olsson, rappellent que leur fille était une étudiante brillante qui aimait jouer du piano, prendre des leçons de tennis, de création artistique et s’amuser avec des amis. Mais sa vie a commencé à changer au début 2010, quelques mois après avoir reçu le Pandemrix. Au printemps 2010, les parents ont remarqué qu’elle était souvent fatiguée et avait besoin de dormir quand elle rentrait de l’école. Mais ce n’est qu’en mai, quand elle s’évanouissait à l’école, qu’il est devenu clair que quelque chose de grave se passait.

 

En plus des épisodes de somnolence diurne, la narcolepsie provoque des cauchemars, des hallucinations, des paralysies pendant le sommeil, ainsi que des épisodes de catalepsies lorsque des émotions fortes déclenchent une perte soudaine et spectaculaire de la force musculaire.

 

Dans le cas d’Emilie, le fait de s’amuser est précisément le déclencheur émotionnel. « Je ne peux plus rire ou plaisanter avec des amis parce qu’alors, je tombe en catalepsie et je m’effondre » a-t-elle déclaré au cours d’une interview dans la capitale suédoise.

 

On estime que la narcolepsie affecte entre 200 et 500 personnes par million et constitue une maladie irréversible. Il n’existe pas de remède connu et les scientifiques ne savent pas vraiment ce qui provoque la maladie. Ils savent seulement que les patients souffrent du déficit d’un neurotransmetteur du cerveau appelé orexine, connu aussi sous le nom d’hypocrétine qui régule l’état d’éveil.

   

La recherche a montré que certaines personnes naissent avec une variante du gène HLA qui est l’indicateur d’une hypocrétine faible, chose qui les rend plus sensibles à la narcolepsie. On pense qu’environ 25% des Européens sont censés avoir cette vulnérabilité génétique.

 

GSK finance une étude au Canada où son vaccin Arepanrix avec adjuvant (vaccin similaire au Pandemrix) a été utilisé au cours de la pandémie 2009-2010. L’étude ne sera pas terminée avant 2014. Certains experts craignent que cette étude n’apporte pas beaucoup de lumière sur la question vu que les vaccins étaient semblables, mais pas tout à fait les mêmes.

 

A ce niveau de la recherche, il reste plus de questions qu’il n’y a de réponses et encore beaucoup plus de recherches à réaliser.

 

Lorsque les résultats du test d’hypocrétine d’Emilie ont été connus en novembre de l’année dernière, on a pu se rendre compte qu’elle avait 15% de la quantité normale, état typique d’une sérieuse narcolepsie avec catalepsie.

 

La gravité de son étrange maladie l’a forcée à réfléchir sur la vie, beaucoup plus profondément que ne le feraient beaucoup de jeunes de son âge : «  Au début, je ne voulais vraiment plus vivre, mais aujourd’hui, j’ai appris à mieux gérer les choses. » déclare-t-elle.

 

LES DECLENCHEURS ?

 

Les scientifiques qui étudient ces cas se sont plus précisément penchés sur l’adjuvant du Pandemrix, le ASO3 pour trouver des indices.

 

Certains suggèrent que l’ASO3, ou peut-être son effet stimulant, ou encore la grippe H1N1 elle-même, pourraient déclencher l’apparition de la narcolepsie chez les personnes qui possèdent la variante sensible du gène HLA.

 

Angus Nicoll, un expert du Centre Européen de Prévention et de Contrôle des Maladies (ECDC) estime que les gènes pourraient bien jouer un rôle, mais qu’il ne faudrait pas leur imputer toute la responsabilité.

 

« Oui, il existe une prédisposition génétique à cette maladie, mais cela ne suffit pas à expliquer tous ces cas », a-t-il déclaré. « Il y a aussi quelque chose qui a un rapport avec le fait de recevoir telle vaccination spécifique. Qu’il s’agisse du vaccin et de la prédisposition génétique ou qu’il y ait aussi un troisième facteur – comme par exemple une infection. Nous ne savons tout simplement pas encore. »

 

EST-CE QUE CA EN VALAIT VRAIMENT LA PEINE ?

 

Dans son bureau qui surplombe l’église Maria Magdaléna de Stockholm, Goran Stiernstedt, médecin fonctionnaire de Santé publique a passé de nombreuses heures difficiles par rapport à ce qui s’est passé dans son pays au cours de la pandémie de grippe porcine. Il s’est demandé si la situation aurait pu être différente.

 

« La grande question : est-ce que ça en valait vraiment la peine ? Rétrospectivement, je dois dire que non », a-t-il déclaré à Reuters, dans une interview.

 

Etant un pays riche, la Suède a toujours été à l’avant plan en ce qui concerne les vaccins pandémiques. La Suède a reçu le Pandemrix de GSK dès qu’il a été disponible. Une campagne nationale de vaccination a immédiatement été organisée : 59%, soit environ 5 millions d’habitants ont reçu le vaccin.

 

Stiernstedt, Directeur de la Santé et des Services Sociaux de l’Association Suédoise des Autorités Locales et Régionales, a contribué à coordonner la campagne de vaccination dans les 21 régions de Suède.

 

L’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) dit que la pandémie de 2009-2010 a tué 18.500 personnes, bien qu’une étude publiée l’année dernière signale que le total pourrait être 15 fois plus élevé.

 

Bien que les estimations puissent varier, Stiernstedt dit que la vaccination de masse en Suède contre la grippe porcine a sauvé la vie de 30 à 60 personnes. Pourtant, depuis que la pandémie a pris fin, plus de 200 cas de narcolepsie ont été signalés en Suède.

 

Avec le recul on peut donc dire que la relation bénéfices/risques est inacceptable. « C’est une tragédie médicale » a-t-il déclaré. « La vie de centaines de jeunes a pratiquement été détruite ».

 

LES PANDEMIES SONT DES CAS D’URGENCE

 

Le problème avec les analyses bénéfices/risques est qu’elles se présentent d’une manière radicalement différente quand le monde doit faire face à une pandémie qui pourrait anéantir des millions de vies. La situation est toute différente quand il s’agit d’une pandémie comme celle du H1N1, qui s’est avérée beaucoup plus faible que ce qu’on avait craint.

 

David Salisbury, directeur des services gouvernementaux britanniques de la vaccination, dit : «  c’est là que réside le risque et la difficulté du travail en matière de Santé Publique », lorsque surviennent des cas d’urgence par rapport à tel ou tel virus.

 

Le Pandemrix a été autorisé par les organismes européens de réglementation des médicaments sur base d’un schéma de développement qui permet  l’autorisation d’un vaccin avec une autre souche de grippe avant que la pandémie n’apparaisse. Dans le cas du Pandemrix, le substitut était le H5N1 de la grippe aviaire.

 

Quand l’OMS a déclaré la pandémie, GSK à remplacé  la souche H5N1 par celle du H1N1 pour lancer le Pandemrix.

 

GSK déclare que la version finale du vaccin H1N1 a fait l’objet de tests cliniques sur 3.600 patients, y compris des enfants, des adolescents, des adultes et des personnes âgées, avant qu’il ne soit mis sur le marché.

 

Nicoll de l’ECDC dit que les systèmes d’alerte précoce qui donnent une analyse plus précise  de la menace que présente une souche de grippe est la meilleure manière de minimiser les risques de ce genre de tragédie qui pourrait se produire dans le futur.

 

« Dans le cas d’une pandémie grave, le risque de décès est bien plus élevé que le risque de narcolepsie » a-t-il déclaré à Reuters. « Si nous avions passé plus de temps à développer et à tester le vaccin sur de larges couches de population et attendu de savoir si certaines personnes développaient des narcolepsies, une grande partie de la population aurait pu être décimée. »

 

Salisbury est d’accord et estime que des progrès vers un nouveau vaccin universel  contre la grippe - vaccin qui n’aurait pas besoin de modifications de dernière minute lorsqu’une nouvelle souche apparaît- contribuerait à réduire davantage les risques.

 

« Idéalement, nous aurions un meilleur vaccin qui pourrait fonctionner contre toutes les souches de la grippe et nous n’aurions jamais plus besoin de nous inquiéter à ce sujet. » a-t-il déclaré. « Mais il y a pour cela encore un long chemin à parcourir ». Alors que les scientifiques sont confrontés à des années d’enquêtes et de recherches, Emilie veut, de son côté, tirer le meilleur parti de sa vie.

 

Alors que les scientifiques sont confrontés à des années d’enquêtes et de recherches, Emilie veut, de son côté, tirer le meilleur parti de sa vie.

 

C’est à contrecœur qu’elle accepte de prendre un cocktail de médicaments pour tenter de contrôler les symptômes de la narcolepsie. On lui prescrit de la Ritaline et du Sobril pour sa somnolence diurne et ses terreurs nocturnes. Elle prend aussi du Prozac pour tenter de la stabiliser et de limiter ses états de catalepsies.

 

«  C’est l’une des choses qui me gêne le plus » explique-t-elle.



« Avant que je n’attrape cette maladie, je ne prenais aucun médicament et maintenant il faut que j’en prenne des quantités, et peut-être pour le restant de mes jours. Ce n’est pas bon de prendre autant de médicaments, surtout quand on en connaît les effets secondaires. »

 

(Reportage par Kate Kelland ; édité par Will Waterman)

 

Source: Health yahoo.fr

 

Cette dépêche appelle de nombreux commentaires. Parmi les principaux, nous retrouvons, dans l’ordre, les suivants :

 

- Si GSK admet 800 cas, il faut bien comprendre qu’il y en a eu bien plus que ça (seuls 1 à 10% des effets secondaires GRAVES des vaccins étant recensés, selon des revues médicales officielles !)

 

- Si ce vaccin a occasionné autant de victimes incurables (sans parler de tous les autres types d’effets NON MEDIATISES), c’est que « les autorités compétentes » ne sont pas si compétentes que cela et qu’elles ne méritent tout simplement plus notre confiance, quelle que soit l’époque (de pandémie ou non !)

 

- On retrouve pour cet effet secondaire vaccinal COMME POUR TOUS LES AUTRES en tout temps, cette même crainte d’éroder la confiance générale des gens dans tous les autres vaccins (car il y a encore beaucoup d’autres vaccins qui devront trouver des consommateurs-pigeons, près de 300 dans le pipeline des pharmas).

 

- La critique de Wakefield est affligeante et inconsistante étant donné que ses résultats ont dérangé depuis le début d’énormes intérêts commerciaux, qu’un juge d’une haute Cour britannique a estimé que Wakefield et ses collègues avaient fait l’objet nous citons d’une « chasse aux sorcières » et surtout, que ses résultats ont été à plusieurs reprise reproduits et donc confirmés par d’autres équipes de chercheurs qui eux, n’ont pas du tout été salis ni traînés dans la boue !

 

- Lorsque Begg, de GSK, affirme que ce n’est dans l’intérêt de personne de ne pas élucider cet effet secondaire, ça laisse en tout cas songeur quand on sait que ces pharmas récupèrent d’une main (en termes de malades chroniques, c'est-à-dire de consommateurs A VIE de leurs produits) ce qu’ils ont perdu de l’autre (ces gens ne souhaitant certainement plus accepter le moindre autre vaccin de leur vie). L'intérêt des pharmas à rendre leurs produits plus sûrs n'est donc pas du tout évident puisqu'en écoulant massivement des vaccins, ils font en réalité « coup double » : jackpot vaccinal à la vente et entretien/essor consécutif de leur vaste marché de médicaments pour malades chroniques !

 

- Alors que les maladies infectieuses sont majoritairement des maladies aigues, on les troque contre des maladies chroniques toujours incurables ! Il ne fallait pas être expert pour se rendre compte qu’un vaccin expérimental serait nettement plus risqué qu’une infection non certaine contre laquelle nous avions déjà une arme gratuite et non négligeable, notre propre système immunitaire !

 

- Les propos de Salisbury ne devraient plus duper personne. La première raison, c’est que cet homme, on ne peut plus lié aux pharmas, est impliqué jusqu’au cou dans les omissions et dissimulations volontaires des risques vaccinaux graves au public britannique depuis plus de 30 ans comme l’a révélé le contenu de documents gouvernementaux secrets arrachés au forceps par une chercheuse canadienne, en vertu de la Loi sur la Liberté de l’Information.

 

- Ce procédé de  « maquette vaccinale » est un indice assez lourd que les prochaines pandémies sont activement attendues et préparées. La preuve, le H5N1 n’avait pas eu lieu mais on continue à financer d’arrache-pied à coup de millions de dollars des recherches sur cette future pandémie tant attendue… en temps de crise financière qui plus est et au motif de « mieux se préparer » ! Plus c’est gros, plus ça passe décidément !!

 

- Le vaccin Pandemrix n’avait été testé QUE sur un peu plus de 3000 personnes ! Pour mieux se rendre compte du problème, il est bon de savoir que certains effets gravissimes possibles ne sont pas toujours détectables avec des cohortes d’études de 100 000 personnes ! Encore un indice clair que ce vaccin était bel et bien expérimental donc, bien que la Ministre Onkelinx et l’Administrateur général de l’Agence belge du Médicament (AFMPS) aient cependant osé le nier sans vergogne sur les plateaux télés à l’automne 2009.

 

- L’argument de l’urgence pour justifier de foncer à l’aveuglette, tel qu’évoqué par Salisbury, ne tient absolument pas mais cet homme et surtout les intérêts financiers en jeu continuent d’emprisonner le public dans un carcan idéologique dramatique, consistant à faire croire que pandémie veut forcément dire « vaccins ». C’est le droit de cet « expert » de le penser MAIS PAS de faire pression pour imposer sa croyance à autrui. Rappelez-vous, les experts ne peuvent répéter QUE ce qu’ils ont appris et rien d’autre ! Etant payés par le lobby du vaccin, ils vont vous agiter la pseudo solution vaccinale comme étant vraiment « la seule possible », à saisir dans l’urgence. Mais ces lobbys, comme leurs valets, savent aussi que c’est dans l’urgence qu’on peut le plus FAIRE PEUR et donc limiter les possibilités de choix et de réflexion du public. Il est cependant important de comprendre qu’il existe d’autres solutions, destinées à renforcer par diverses méthodes naturelles le système immunitaire. Lors de la grippe espagnole, la mortalité dans les groupes traités à l’homéopathie était incomparablement réduite par rapport aux groupes traités de façon classique  (30% pour les méthodes classiques Vs 1 à 5% seulement sous couverture homéopathique !)

 

En conclusion, on peut dire qu’avec des vaccins expérimentaux anti-H1N1 comme le Pandemrix le Code de Nuremberg a été lamentablement violé, bien que des générations précédentes se soient battues contre les expérimentations illicites des nazis. Il ne tient qu’à nous d’en prendre conscience pour ne plus jamais tolérer la moindre répétition de ce désastre qui pourrait s’avérer bien pire une prochaine fois !

 

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