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18 décembre 2012 2 18 /12 /décembre /2012 19:43

TEMOIGNAGE D’UNE MAMAN

VACCINS INFANRIX HEXA & ROR

 

image-mere-et-bebe.jpg

 

 « Ma petite fille a hurlé pendant une semaine après avoir reçu son Infanrix hexa et ce, après chaque dose ! Il était vraiment clair qu’il s’agissait d’un cri d’origine neurologique, en fait du syndrome du cri persistant (témoin d’une irritation cérébrale). Elle rejetait sa tête en arrière puis se pliait en avant en hurlant. Quand j’ai décidé d’arrêter les vaccinations, le dommage avait été fait.  

 

A neuf mois, ma fille a commencé à régresser  après avoir reçu son vaccin  contre la rougeole. Ce fut manifestement le coup final; elle cessa de babiller et perdit le contact visuel. Alors que je m’étais lancée dans des recherches, je fus horrifiée de découvrir ce que contenait l’Infanrix hexa. (je suis infirmière diplômée). J’ai tout de suite décidé d’aller trouver un homéopathe pour commencer une détoxification… Elle a seulement commencé à parler à deux ans et demi, mais nous sommes sur la route de la guérison. Plus jamais de vaccin ! Mon second enfant (1 mois) n’est pas vacciné! L’Infanrix Hexa, ce ne sont que de pures toxines ! »  Léane Thomas -  Décembre 2012

 

Source : Vactruth (cfr partie commentaires)

 

Credit Photo: The Jordan

 

VOIR AUSSI:   Infanrix hexa: le document confidentiel accablant de GSK

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16 décembre 2012 7 16 /12 /décembre /2012 14:41

16 décembre 2012

 

L’ANSM lance une étude sur les sels d’aluminium dans les vaccins 

 

par Dr Eric Couhet (L'Union Républicaine)

 

ANSM, Afssaps

 

L’agence du médicament (ANSM) a décidé de financer une étude sur les sels d’aluminium dans les vaccins, a indiqué vendredi son directeur général.

 

L’agence a été saisie récemment par la ministre de la Santé Marisol Touraine pour se pencher sur les adjuvants aluminiques dans les vaccins et la myofasciite à macrophages, une maladie décrite en 1993 par le professeur Romain Gherardi de l’hôpital Henri-Mondor à Créteil.

 

La maladie se traduit notamment par des douleurs musculaires et articulaires et une fatigue chronique.

 

L’annonce intervient alors que deux femmes atteintes de myofasciite à macrophages, membres de l’association E3M observent une grève de la faim depuis la fin novembre.

_________________________________

 

Vous trouverez ici la copie du courrier mystérieusement  disparu du Docteur Jacques Lacaze à l’attention de la Ministre de la santé : Lettre du Docteur Jacques Lacaze à Mme Marisol Touraine

 

Lire le rapport de l’association E3M ici : Les adjuvants vaccinaux – quelle actualité Observations de l’association E3M sur le rapport de l’Académie de Médecine

 

Source photo : Richard VIALERON/Le Figaro

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16 décembre 2012 7 16 /12 /décembre /2012 14:10

CIMETIERRE.jpg

Les officiels et l'ONE ont l'habitude d'affirmer qu'il n'y a pas de lien entre la vaccination infantile et la mort subite du nourrisson. C'est FAUX!

 

En réalité, même si la vaccination n'est pas la seule cause possible, il est absolument certain qu'elle participe de ces décès, comme en témoigne d'ailleurs le contenu de ce volumineux document confidentiel de GSK (de + de 1200 pages!) sur l'Infanrix hexa dont GSK a justement dit qu'il était confidentiel "pour ne pas faire paniquer le public" (sic!)

 

Dans ce document en effet, plusieurs rapports de décès sont consultables à la fin (36 en 2 ans de temps mais au moins encore 37 autres cas de mort subite depuis le lancement de l'Infanrix hexa en 2000). Si l'on tient compte du fait que seuls 1 à 10% des effets secondaires graves de vaccins sont effectivement comptabilisés et pris en compte, on en arrive à une fourchette réelle comprise entre 730 et 7300 décès, ce qui n'est donc pas négligeable du tout et même plutôt inquiétant!

 

Plusieurs indices probants permettent d'incriminer la vaccination infantile dans la survenue de la mort subite du nourrisson:

 

- D'abord le fait que la mort subite reliée aux vaccins ne présente pas de variations saisonnières, alors que la mort subite des enfants non vaccinés présente un pic de fréquence à la fin de l'hiver.

 

- Ensuite, le fait que le phénomène de mort subite chez les nourrissons non vaccinés présente un seul pic à l'âge de 2 mois, alors que la mort subite chez les enfants vaccinés en présente 2 (à 2 et 4 mois, fourchette d'âge endéans laquelle on vaccine plusieurs fois). La raison pour laquelle il n'y a pas de nouveau pic à 6 mois d'âge chez les enfants vaccinés est que les enfants plus fragiles qui sont plus enclins à succomber à la vaccination seront hélas déjà le plus souvent décédés après la première ou la deuxième dose.

 

- Enfin, il y a aussi la répartition inégale des décès dans le temps, à compter de la vaccination. Ainsi, si la vaccination n'avait strictement rien à voir avec les décès, il devrait y avoir le même nombre de décès dans la première que dans la deuxième semaine après la vaccination par exemple, et le même nombre approximatif de décès le lendemain de la vaccination que le deuxième ou le quatrième jour. OR, ce n'est pas le cas hélas: il y a au contraire une très nette sur-représentation des décès dans les tout premiers jours qui suivent la vaccination avec une concentration particulièrement accrue des cas dans les 24 premières heures et globalement, endéans la première semaine.

 

Si on ajoute qu'au Japon, entre 1975 et 1980, le simple décalage des premières vaccinations de 3 mois d'âge à 2 ans a permis de réduire de 90% les décès et de 80% les accidents neurologiques, on voit que tous ces éléments plaident clairement en faveur d'une immaturité immunologique des nourrissons qui ne fait donc décidément PAS bon ménage avec des vaccinations aussi précoces, nombreuses et standardisées que celles d'aujourd'hui!

 

Pour vous informer davantage sur les études scientifiques rigoureuses qui lient la vaccination infantile à la mort subite (pas si inexpliquée que cela...) du nourrisson: voyez ICI   [= Extrait du livre incontournable "Vaccinations, les vérités indésirables", de Michel Georget, Editions Dangles]

 

Sachez enfin qu'une récente étude de la prestigieuse université du MIT aux USA lie l'aluminium des vaccins à l'autisme et à une mort prématurée. Petits extraits révélateurs, en lien justement avec le thème de la mort subite du nourrisson:

 

« Plusieurs chercheurs ont rapporté des fréquences accrues soit de mort subite du nourrisson, soit d’autres problèmes de santé, comme des problèmes d’anaphylaxie ou cardio-respiratoires en association avec les vaccins.

 

Dans la publication [90], il a été signalé que six enfants sont morts subitement dans les 48 heures après avoir reçu un vaccin hexavalent ; une fréquence anormalement élevée par rapport au risque de mort subite dans la population générale.

 

Des taux élevés de mort subite du nourrisson faisant suite à des vaccinations ont également été rapportés par les auteurs de la publication  [91].

 

Des chercheurs italiens [92] rapportent que la première vaccination comporte un risque plus élevé de mort subite chez les nouveau-nés. Au cours d’une étude qui portait sur 300 cas de mort subite inexpliquée [93], un risque 16 fois plus élevé a été observé à partir de la quatrième dose dans une série de vaccinations. »

 

Dans l’étude Pourcyrous [95], un suivi de précaution est recommandé après la vaccination des nouveau-nés prématurés, en raison des réactions indésirables observées, notamment des problèmes cardio-respiratoires, ainsi qu'une augmentation substantielle des taux sériques de protéine C réactive, un marqueur inflammatoire. Cette situation de fait s'est révélée particulièrement vraie pour le DTCa (diphtérie, tétanos, coqueluche acellulaire), un vaccin qui contient de l'aluminium, en particulier quand il est combiné à d'autres vaccins.

 

Goldman et Miller [96] ont précédemment examiné les données du VAERS, plus spécifiquement par rapport aux taux d'hospitalisation et de décès en fonction du nombre de vaccins administrés simultanément et en fonction de l'âge. Une analyse de régression linéaire a révélé plusieurs tendances statistiquement significatives, y compris une corrélation positive entre les taux d'hospitalisation et le nombre de doses de vaccin. En outre, les taux de mortalité des nourrissons de moins de six mois, ont été significativement plus élevés que pour les enfants âgés de six mois à un an, ce qui suggère une sensibilité accrue des nouveau-nés. Les auteurs ont suggéré de retarder l'administration de vaccins en tant que stratégie pour réduire le risque de réaction grave indésirable. »

 

Références:

  

[90] Zinka, B.; Rauch, E.; Buettner, A.; Ruëff, F.; Penning, R. Unexplained cases of sudden infant death shortly after hexavalent vaccination. Vaccine 2006, 24, 5779–5780.

  

[91] Von Kries, R.; Toschke, A.M.; Strassburger, K.; Kundi, M.; Kalies, H.; Nennstiel, U.; Jorch, G.; Rosenbauer, J.; Giani, G. Sudden and unexpected deaths after the administration of hexavalent vaccines (diphtheria, tetanus, pertussis, poliomyelitis, hepatitis B, Haemophilius influenzae type b): Is there a signal? Eur. J. Pediatr. 2005, 164, 61–69.

 

[92] Traversa, G.; Spila-Alegiani, S.; Bianchi, C.; degli Atti, M.C.; Frova, L.; Massari, M.; Raschetti, R.; Salmaso, S.; Scalia Tomba, G. Sudden unexpected deaths and vaccinations during the first two years of life in Italy: A case series study. PLoS One 2011, 6, e16363.

 

[93] Kuhnert, R.; Hecker, H.; Poethko-Müller, C.; Schlaud, M.; Vennemann, M.; Whitaker, H.J.; Farrington, C.P. A modified self-controlled case series method to examine association between multidose vaccinations and death. Stat. Med. 2011, 30, 666–677.

 

[95] Pourcyrous, M.; Korones, S.B.; Kristopher, L.A.; Bada, H.S. Primary immunization of premature infants with gestational age < 35 weeks: Cardiorespiratory complications and C-reactive protein responses associated with administration of single and multiple separate vaccines simultaneously. J. Pediatr. 2007, 151, 167–171.

 

[96] Goldman, G.S.; Miller, N.Z. Relative trends in hospitalizations and mortality among infants by the number of vaccine doses and age, based on the Vaccine Adverse Event Reporting System (VAERS), 1990-2010. Hum. Exp. Toxicol. 2012, 31, 1012–1021

 

Voir aussi ces deux articles connexes:

 

- Mortalité infantile plus élevée dans les pays qui vaccinent le plus 

 

- Mortalité 3 fois plus élevée des bébés filles africains vaccinés avec le DTC par rapport aux bébés filles non vaccinées et même mal nourries (étude parue dans le British Medical Journal)

 

 

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15 décembre 2012 6 15 /12 /décembre /2012 22:15

Silence-coqueluche-berceau.jpg

L'ONE et la majorité du corps médical ont l'habitude de répéter que "C'est parce que la balance entre les risques et les bénéfices des vaccins penche nettement en faveur des bénéfices que la protection vaccinale est recommandée à tous."

 

Pour prendre le cas concret de la coqueluche, non seulement l'ONE recommande cette vaccination mais en plus la rend OBLIGATOIRE pour la fréquentation des milieux d'accueil (crèches et gardiennes ONE).

 

On pourrait donc croire naïvement que cette vaccination apporte beaucoup plus de bénéfices que d'inconvénients et d'effets secondaires aux enfants forcés de la subir....

 

Mais quels étaient les chiffres EXACTS non pas de l'incidence de la maladie mais des complications graves de cette maladie au moment où la vaccination a été introduite?

 

Par erreur, nous avions indiqué les chiffres de l'incidence des infections invasives à Hib avant l'introduction du vaccin (au lieu des chiffres de l'incidence des complications de la coqueluche, chiffres effectivement non fournis par l'ONE dans son Guide de Médecine Préventive) qui étaient de 44/100 000. C'est la raison pour laquelle le titre de cet article a été modifié, bien que cela n'enlève toutefois rien au caractère problématique des effets secondaires GRAVES des vaccins anti-coquelucheux et surtout de la fréquence inacceptable de celle-ci, cf plus bas.

 

Grâce à l'opacité qui règne sur le taux de complications graves de la coqueluche chez les enfants avant l'introduction du vaccin, les pseudo experts peuvent tout se permettre, y compris affirmer SANS PREUVES CONTRÔLABLES que les complicatives GRAVES du vaccin sont moins fréquentes que les complications GRAVES de la maladie naturelle. Mais bien sûr, il faudrait aussi tenir compte de la sous-notification notoire des effets graves des vaccins, seuls 1 à 10% de ceux-ci étant effectivement comptabilisés.

 

Ainsi, si on tient compte des chiffres ci-dessous et de cette sous-notification, nous continuons de dire, jusqu'à preuve du contraire, que le vaccin reste nettement plus risqué que les complications graves de la maladie (les fanatiques de vaccins ont l'habitude de comparer le risque de la maladie aux risques du vaccin mais ce qu'il faut surtout comparer ce sont les COMPLICATIONS graves et chroniques des maladies, nettement moins fréquente que l'incidence totale des cas, aux complications GRAVES des vaccins, car c'est cela qui compte concrètement pour la santé et la qualité de vie des gens!)

 

Une étude suédoise de 1996 (1), ayant porté sur 9829 enfants et publiée dans le New England Journal of Medicine, a démontré dans les 4 sous-groupes un total de  48 effets secondaires graves soit près de 1 cas grave sur 200 enfants dans les 60 jours qui ont suivi la vaccination! Il est vrai, comme une lectrice tenait à ce que cela soit précisé, que les 4 sous-groupes ne concernaient pas tous un vaccin anti-coquelucheux (3 groupes ayant reçu un vaccin DTC dont deux avec une valence acellulaire et un ayant reçu un DTC avec une valence à germes entiers; le 4° groupe ayant reçu un vaccin bivalent tétanos-diphtérie) mais il est important de se souvenir aussi que dans les cocktails vaccinaux imposés aux enfants, le vaccin anticoquelucheux n'est jamais isolé mais toujours, dans les faits, associé à des valences anti-diphtérique, anti-tétanique ainsi qu'à d'autres valences (hépatite B, Hib, polio). Par conséquent, il est difficile de dire quelle est, dans tel ou tel cas, la ou les valences les plus en cause dans la survenue de tel ou tel effet secondaire, une astuce utilisée avec brio par les officiels pour affirmer SYSTEMATIQUEMENT que "l'effet n'est pas lié au vaccin". Comme c'est commode...

 

En outre, chez 163 enfants dans cette étude du NEJM, la poursuite de la vaccination a été contre-indiquée, ce qui laisse évidemment supposer qu'ils ont eux aussi fait des réactions graves aux précédentes doses. On relèvera tout de même que dans cette étude de 1996, les auteurs considèrent plusieurs réactions, dont des épisodes d'hypotonie-hyporéactivité, comme des motifs de contre-indication à la poursuite d'une vaccination comportant la valence anti-coquelucheuse ALORS QUE les imprudents de l'ONE estiment, eux, que c'est là une "fausse contre-indication" (cf page 44 ici, regardez à la première fausse contre-indication qui constitue en fait le cas de l'hypotonie-hyporéactivité formulé en d'autres mots!)

 

L'année d'avant déjà, une étude américaine parue dans la prestigieuse revue Pediatrics (2) avait, elle aussi, consisté à évaluer plusieurs vaccins anti-coquelucheux acelullaires (suivant le nombre d'antigènes qu'ils contenaient). L'étude a porté sur un total de 2200 enfants.

 

Parmi ces enfants ayant reçu le vaccin anti-coquelucheux acelullaire, il y a eu 1 cas de mort subite, un autre décès assez similaire à la mort subite mais aussi 2 attaques dont une seulement 3 heures après la première injection. En tout, ce sont 17 attaques qui ont été recensées chez les receveurs de ces vaccins, soit un taux de 1 cas pour 130 vaccinations, un chiffre absolument accablant, qui corrobore donc en tout point les données suédoises et qui atteste aussi du discours faussement rassurant de l'ONE, décidément prête à tout pour fourguer ses vaccins!

 

Pouvons-nous accepter plus longtemps qu'une instance comme l'ONE continue de rendre obligatoire une vaccination au taux de complications GRAVES possiblement plus fréquentes que les complications naturellement attendues de la maladie??

 

Références:

 

(1) Gustafsson L. & al.,”A controlled trial of a two-component of acellular, a five-component acellular, and a whole-cell pertussis vaccine.”, (The New England Journal of Medicine, t. 334 [6], p349-355; 1996).

 

(2) Decker. M.D & al., "Comparison of 13 acellular pertussis vaccines: adverse reactions.", (Pediatrics, t.96 [3] [suppl.], p 557-566, 1995)

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15 décembre 2012 6 15 /12 /décembre /2012 17:43

289.814 personnes sont en arrêt de travail depuis un an

 

Les absences prolongées du travail sont de plus en plus nombreuses. C’est ce qui ressort des chiffres que vient de publier le Service public fédéral de la Sécurité sociale.

 

Le Service public fédéral (SPF) de la Sécurité sociale a publié ses grands chiffres pour l’année 2011. On y apprend ainsi que le montant des dépenses en matière de soins de santé a atteint 24 milliards d’euros en 2011, soit 4 milliards de plus qu’en 2008.

 

Un autre chiffre interpelle : l’an dernier, 289.814 personnes étaient en incapacité de travail depuis plus d’un an, soit 12.000 personnes de plus qu’en 2010. Il s’agit d’un nouveau record. La hausse est ininterrompue depuis plusieurs années.

 

Plusieurs phénomènes expliquent cette hausse de l’absentéisme de longue durée. Il y a d’abord l’augmentation des troubles psychologiques, qu’ils soient liés ou non au travail. Le report progressif de l’âge de la pension des femmes de 60 à 65 ans, joue également un rôle. Enfin, le nombre de personnes au travail a augmenté, entraînant la hausse du nombre de personnes susceptibles de subir une incapacité de travail.

 

Source : Bernard Demonty, Le Soir

 

On vaccine de plus en plus : à l’occasion des voyages, dans le cadre du travail (injections annuelles antigrippales), etc., SANS AUCUNE DONNEE SCIENTIFIQUE sur l’innocuité à court, moyen et long termes de ces vaccinations et sans ne jamais effectuer aucun redressement des chiffres d’effets secondaires, de façon à tenir compte de la sous-notification manifeste !

 

Les vaccinations ne sont pas sans effet sur le système nerveux et le comportement comme l’ont déjà démontré plusieurs études et enquêtes convergentes. L’aluminium vaccinal par exemple, contenu dans une majorité de vaccins, est un neurotoxique certain et direct. Mis au contact des cellules nerveuses, il les endommage. Comment alors s’étonner de la hausse des troubles psychologiques qui ne sont dès lors, au moins en partie, qu’une « fausse cause » (ou cause secondaire) de ces incapacités de travail qui explosent !

 

A force d’assommer constamment le système immunitaire des gens avec des tas de « maladies atténuées », on les affaiblit, on les épuise, on les anéantit. Et une fois encore, on passe de façon très commode sur la vaccination comme une des grandes causes probables de ce genre de nivellement par le bas de la santé publique.

 

La situation ne fera hélas qu’empirer si le grand public n’a plus l’indispensable capacité de réfléchir à ses chaînes virtuelles que sont, notamment, la croyance et l’utilité des vaccinations (aveugles) de masse !

 

« Au cours de la génération suivante, une méthode pharmacologique permettra au peuple d’aimer sa servitude, de vivre une dictature sans larmes. Des sociétés entières vivront dans une espèce de camp de concentration indolore. Le peuple se verra privé de ses libertés et même s’en réjouira parce que, grâce à la propagande et au lavage de cerveau renforcé par des méthodes pharmacologiques, il sera distrait de toute velléité de rébellion. Il semble que ce sera alors la révolution finale. » Aldous Huxley

 

 

 

Et voici ce qui se passe concrètement pour des milliers de gens dans la réalité:

 

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13 décembre 2012 4 13 /12 /décembre /2012 20:30

Des chercheurs du MIT (Massachusetts Institute of Technology, une des plus prestigieuses universités des Etats-Unis), ont publié en novembre passé, une étude assez accablante qui relie l'aluminium des vaccins au développement de l'autisme ainsi qu'à un risque de décès prématuré.

 

Voici la traduction du résumé (abstract) de cette étude importante:

   

Des données empiriques confirment les symptômes d’autisme liés à l’exposition à l’aluminium et à l’acétaminophène    

 

Stephanie Seneff, Robert M. Davidson and Jingjing Liu, 18 novembre 2012.

 

Résumé

 

L’autisme est une affection caractérisée par une altération des compétences cognitives et du comportement social, associée à une altération de la fonction immunitaire.

 

Il est alarmant de constater que l’incidence de l’autisme est à la hausse. Les facteurs environnementaux sont de plus en plus soupçonnés de jouer un rôle. Cet article s’efforce d’examiner la fréquence des cas à partir des données du VAERS (Vaccine Adverse Events Reporting System).

 

Nos résultats fournissent des preuves solides à l’appui d’un lien entre l’autisme et l’aluminium des vaccins. Une revue de la littérature sur la toxicité de l’aluminium dans la physiologie humaine contribue à corroborer nos résultats.

 

Les cas d’autisme repris dans les données du VAERS n’ont cessé d’augmenter à la fin du siècle dernier principalement à l’époque à laquelle le mercure a été progressivement supprimé, et la quantité d’aluminium augmentée.

 

En utilisant des techniques logarithmiques de vraisemblance, nous avons pu identifier plusieurs signes et symptômes qui sont significativement plus fréquents dans les rapports concernant les vaccins après les années 2000. Nous avons ainsi pu relever des cas de cellulite, d’épilepsie, de dépression, de fatigue, de douleurs et de décès qui sont également associés de manière significative à l’aluminium contenu dans les vaccins. Nous pensons que les enfants qui ont reçu le diagnostic d’autisme sont particulièrement vulnérables aux métaux toxiques comme l’aluminium et le mercure suite à des taux insuffisants de sulfate et de glutathion dans le sérum sanguin. On a également pu observer une forte corrélation entre l’autisme et le vaccin ROR (Rougeole, Oreillons, Rubéole) La chose peut être partiellement expliquée par une augmentation de la sensibilité à l’acétaminophène administré pour combattre la fièvre.

 

Empirical Data confirm autism symptoms related to aluminium and acetaminophen exposure

 

Stephanie Seneff, Robert M. Davidson and Jingjing Liu, 18 novembre 2012.

 

Sources: Childhealthsafety & la revue scientifique Entropy

 

Voir aussi l'excellente émission "C'est au Programme" du 5 décembre dernier sur France 2, consacrée justement à l'aluminium vaccinal: ICI (du temps 0 à 31'30"" environ)

 

[On le voit et on l'entend, le ton change: les journalistes soutiennent les victimes, les officiels ne sont plus crus et leurs discours minimisateurs et méprisants scandalisent tout le monde, le public démontre au final qu'il ne demande qu'à être informé et se réjouit que ces sujets trop souvent occultés puissent enfin être traités par les médias!!]

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8 décembre 2012 6 08 /12 /décembre /2012 18:40

Voir ce document confidentiel: ICI

 

et notre communiqué de presse explicatif sur ce volumineux document.

 

[English version of our press release]

 

Répartition tout à fait inégale dans le temps des décès d’enfants après Infanrix hexa, ce qui constitue un signal de pharmacovigilance (la majorité de ces décès se concentrant dans les tout premiers jours qui suivent la vaccination) :

   

Numéro du cas

Age de l’enfant vacciné

Nombre de dose(s) reçues avant le décès

Délai entre la dernière dose et le décès

1

2 mois

1

12 jours

2

2,5 mois

1

1 jour

3

9 mois

2

102 jours

4

10 mois

2

1 jour

5

2 mois

1

1 jour

6

11 mois

3

3 jours

7

5 mois

2

1 jour

8

18 mois

?

1 jour

9

1,5 mois

1

14 heures

10

3 mois

1

5 jours

11

3 mois

2

1 jour

12

2 mois et 1 sem.

1

2 jours

13

5 mois

2

1 jour (30 heures)

14

3 mois

1

8 jours

 

Rapports de décès collectés par GSK après Infanrix Hexa entre le 23 octobre 2010 et le 22 octobre 2011. (NB : seuls 1 à 10% des effets secondaires graves des vaccins sont effectivement recensés et comptabilisés selon les revues médicales officielles !)

 

Numéro du cas

Age de l’enfant vacciné

Nombre de dose(s) reçues avant le décès

Délai entre la dernière dose et le décès

1

4 mois

3

11 jours

2

3 mois

2

2 jours

3

2 mois

?

21 jours (premiers signes dans les 24h)

4

3,5 mois

?

4 jours

5

1 mois et 3 sem.

1

4 jours

6

2 mois

1

5 jours (premiers signes dans les 12h)

7

6 mois

3

5 mois (premiers signes dans les 5 jours)

8

3 mois

?

11 jours

9

3 mois

1

3 jours

10

3 mois

2

9 jours

11

3 mois

1

1 jour

12

3 mois

1

1 jour

13

2 mois et 1 sem.

1

3 jours

14

?

?

?

15

2 mois

1

1 jour

16

11 mois

1

1 jour

17

6 mois

3

9 jours

18

2 mois

1

12 heures

19

4 mois

1

1 jour

20

5 mois

3

3 jours

21

5 mois

3

moins d’un jour

22

3 mois

1

7 jours

 

Rapports de décès collectés par GSK après Infanrix Hexa entre le 23 octobre 2009 et le 22 octobre 2010 (soit donc un total de 14+22= 36 décès recensés par GSK sur une période de 2 ans)

 

 

La UNE de Vers l'Avenir de ce samedi 8 décembre 2012:

 

Infanrix (a) 

Infanrix (b)

Infanrix (c)

 

Infanrix (d)

 

Infanrix (e)

 

L'Agence ment puisque GSK a reconnu le même jour que c'était bien confidentiel...

 

Infanrix (f)

 

 

Infanrix (h)

 

Infanrix (i)

 

Trois petites précisions additionnelles par rapport à ce qui a été écrit ci-dessus:

 

1°) Ce ne sont pas 14 décès qui ont été recensés par GSK entre fin octobre 2009 et fin octobre 2011 comme nous l'avions initialement calculé mais bien 36 (14 de 2010 à 2011 et 22 de 2009 à 2010). A ces 36 décès s'ajoutent un minimum de 37 autres décès (par mort subite principalement), ce qui porte le total à un minimum de 73 décès, depuis le lancement du vaccin en 2000, et encore, ceci ne concerne donc que les décès par mort subite, sans aucun redressement par ailleurs de la sous-notification. Nous avons donc corrigé notre communiqué en ce sens et nous en avons informé par mail Vers l'Avenir.

 

2°) Il est inexact de dire que c'est à GSK que nous reprochons une rétention d'informations, en réalité la responsabilité entière se trouve dans le chef des autorités de santé. GSK est là pour faire de l'argent. Nous n'attendons donc absolument rien d'eux en termes de sécurité ou de transparence, comme nous l'avons d'ailleurs expliqué au journaliste de RTL qui est venu nous filmer ce vendredi 7 décembre au soir (sans que nous sachions toutefois, vu le caractère très sensible et tabou du sujet, si son reportage sera diffusé ou non).

 

3°) Si nous oeuvrons dans le domaine de l'information sur les vaccinations, c'est donc bien que nous estimons que la décision individuelle des gens ne nous revient absolument pas. Il est donc illogique de parler d'anti-vaccins. Que vous qui nous lisez vous fassiez vacciner ou non ne changera nullement notre vie à nous, c'est important d'en avoir bien conscience. Notre action s'inscrit en fait totalement dans le respect des lois. En Belgique, il y a en effet une loi (du 22 août 2002) qui est normalement censée garantir aux citoyens de disposer d'informations suffisamment objectives et complètes sur les risques (gravité, fréquence) comme sur les bénéfices et les alternatives possibles à un traitement donné, de façon à ce qu'ils puissent choisir en toute liberté et en pleine connaissance de cause. Le fait que le vaccin Infanrix hexa soit obligatoire dans les faits pour tous les enfants dans les crèches francophones ou chez les gardiennes ONE (vu l'indisponibilité organisée des vaccins pentavalents en Belgique, contrairement à la France) ne dispense nullement les praticiens, l'ONE et les politiques de respecter cette loi et ce devoir d'information qui va de pair.

 

Or il se fait malheureusement que cette loi n'est jamais respectée en matière de vaccination, pas même par les politiques qui l'ont votée, ce qui est un comble! Et ce non respect de cette loi apparaît comme d'autant plus irréfutable et criant à la lueur de ce volumineux document puisque les gens n'entendent jamais parler (à l'ONE notamment) d'autres effets secondaires possibles que les seuls effets secondaires locaux!

 

Voici en effet le contraste saisissant entre les étiquettes pseudo-informatives de l'ONE et ce volumineux document, jusque là confidentiel, sur l'Infanrix Hexa. Au milieu, le Guide de Médecine Préventive de l'ONE dans lequel cette instance indique (de façon hypocrite?) à ses travailleurs de "connaître les effets secondaires des vaccins" et de bien lire les notices!!

 

Document-confidentiel-VS-etiquettes-ONE-.jpg

[Nb: L'info sur cet Infanrix hexa étant en train de se répandre partout dans le monde, on voit que l'ONE et ses drôles de pratiques, est ici en train de se faire connaître même jusqu'en Italie...]

 

Il y a donc une omerta évidente au sujet des risques vaccinaux, les officiels disent les admettre mais toujours de façon très générale car ils savent qu'en entrant dans les détails concrets, comme la loi le leur impose pourtant, ils vont rebuter les gens par rapport aux vaccins! Vu cette carence et ce non respect de la loi, notamment par les politiques, une INITIATIVE CITOYENNE était forcément nécessaire et devenait légitime. Nous comblons donc la carence du monde politique en la matière qui soutient aveuglément le business des pharmas et cède à leur chantage à l'emploi (cfr pacte de stabilité récemment conclu par L. Onkelinx), bien avant de se préoccuper réellement de la sécurité sanitaire de leurs concitoyens!

 

VOIR AUSSI:

 

Infanrix Hexa et ROR: témoignage d'une maman

 

Graves dysfonctionnements à l'Agence belge du Médicament (AFMPS)

 

Prevenar 13: documents confidentiels accablants / risques neurologiques de la double vaccination

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8 décembre 2012 6 08 /12 /décembre /2012 18:02

Témoignage d'une employée de l'Agence (AFMPS)

 

 

Mais à part cela, l'Agence prétend que nous diffusons des "informations erronées".
Il faut souligner que l'Agence belge a nié que le document de + de 1200 pages sur les effets secondaires de l'Infanrix Hexa (qu'un de leurs propres employés a fait fuiter) était confidentiel. Un mensonge de plus en somme puisque même GSK avouait dans Vers l'Avenir de ce 8 décembre 2012 que ce document était bien confidentiel "pour ne pas semer la panique dans le public". A en lire ce document et à voir comment fonctionne cette agence, ça fait pourtant froid dans le dos. La santé publique est en danger et les propres travailleurs de cette agence n'ont plus confiance dans cette structure, au point de préférer que des gens EXTERIEURS à l'agence réexaminent et évaluent les données de sécurité plus objectivement! Quel camouflet, quel désaveu pour cette agence dont la Ministre de la Santé Laurette Onkelinx avait dit que son fonctionnement ne serait amélioré que "si cela est possible", dans le cadre d'un pacte de stabilité très confortable qu'elle vient de conclure à l'avantage des pharmas bien plus que des citoyens!

 

 

VOIR AUSSI: Infanrix hexa, le document confidentiel accablant.

 

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4 décembre 2012 2 04 /12 /décembre /2012 22:51

Congrès Américain

Comité de Surveillance et des Réformes

Première Audition gouvernementale sur l’autisme depuis 10 ans

(29 novembre 2012)

   

L’autisme a-t-il existé avant les vaccins ?

Congrès américain

 

Les troubles du spectre autistique ont, aux Etats-Unis, pris la forme d’une crise sanitaire nationale aux proportions épidémiques. L’autisme aujourd’hui est devenu le problème de tous les Américains. Si votre famille n’est pas encore touchée, il n’est pas du tout impossible qu’un membre puisse le devenir tôt ou tard.

 

L’autisme est un trouble complexe du développement qui affecte le comportement d’une personne, ainsi que la façon dont elle communique avec les autres. Les symptômes ne sont pas clairement définis, la cause est inconnue et peu de traitements s’avèrent efficaces. Le diagnostic de l’autisme équivaut carrément à une condamnation à perpétuité et sans possibilité de libération tant pour la victime que pour la famille.

 

Les parents des enfants qui ont reçu le diagnostic d’autisme ont lutté pendant des décennies pour que l’on recherche les causes de la maladie et que l’on mette au point des traitements, alors que les autorités médicales et les instances de santé gouvernementales n’ont cessé de faire preuve d’un comportement étrange qui allait du manque d’intérêt  manifeste à un antagonisme envers les victimes et leurs familles. Que doit-on penser de pareilles attitudes ?

 

Aux Etats-Unis, au cours des 30 dernières années, la prévalence des troubles du spectre autistique a explosé, passant de 1 cas pour 10.000 à 1 cas sur 88,2. Les troubles du spectre autistique comprennent un large éventail de troubles du développement neurologique. Les troubles du spectre autistique peuvent se produire dans tous les groupes ethniques, socio-économiques et survenir à tous  âges.

 

Une étude publiée en 2006 par l’Ecole de Santé Publique de Harvard précise que le coût des soins pour une personne autiste tout au cours de sa vie s’élève à environ 3,2 millions de dollars.

 

« Cette année même, 46.000 enfants environ recevront le diagnostic  d’autisme, c’est plus que le sida, le diabète juvénile et les cancers infantiles réunis. »

 

http://oversight.house.gov/wp-content/uploads/2012/11/Wright-Testimony-and-TnT.pdf

 

Le 29 novembre 2012, le Comité de Surveillance et des Réformes a organisé une série d’auditions pour pouvoir se faire une idée plus précise de ce qu’il y aurait lieu de faire, des questions qu’il faudrait aborder pour ces enfants, ces adultes et ces familles qui vivent avec des personnes atteintes d’autisme.

 

Après le témoignage sous serment  des représentants de l’Institut National de Santé et du CDC, le Député Darrell Issa, Président de la Chambre Américaine de Surveillance et des Comités de Réforme du gouvernement a posé la question que des milliers de parents ont posée pendant des dizaines d’années : « Est-ce que les cas d’autisme sont antérieurs à tous les vaccins ? En d’autres mots, l’autisme a-t-il existé avant les vaccins ? »

 

La meilleure réponse qui a pu être obtenue des experts est que l’autisme a probablement existé avant, mais que personne ne l’avait remarqué. (It (autism) probably existed before, just no one noticed the pattern. »)

 

Les points suivants ont été abordés au cours de l’audience :

 

* Pourquoi les cas d’autisme ont-ils progressé si rapidement passant de 1 cas sur 10.000 à 1 cas sur 88 ?

 

* Pourquoi l’autisme n’a-t-il PAS été classé comme étant une véritable crise de santé publique ?

 

* Quelles sont les causes de l’autisme ?

 

* Pourquoi a-t-il fallu répéter la même question et attendre 2 minutes pour que le représentant du CDC admette qu’ils n’ont jamais réalisé une étude comparant des vaccinés à des non vaccinés ?

 

* Pourquoi l’autisme était-il inconnu chez les enfants africains avant l’introduction des vaccins ?

 

* Est-il juste de dire qu’aucune cause potentielle de l’autisme ne puisse être écartée ?

 

* Si les vaccins représentent un tel bénéfice pour la santé publique, pourquoi les Etats-Unis recommandent-ils plus de vaccins que n’importe quel autre pays au Monde, et qu’au point de vue mortalité infantile, les Etats-Unis occupent la 34 ème place ?

 

* Dans quelle mesure le CDC s’est-il appuyé sur les recherches du Dr Paul Thorsen pour montrer qu’il n’existait pas de lien entre les vaccins et l’autisme ?

 

* Pourquoi ni le NIH (National Institute of Health), ni le CDC (Centers for Disease Control) n’ont-ils pas daigné écouter les récits des parents concernant l’évolution de l’autisme chez leur enfant ?

 

* Pourquoi n’a-t-on pas étudié les vaccins comme facteur potentiel ayant contribué à l’élévation des taux d’autisme ?

 

* Quel est le montant des sommes d’argent du contribuable qui ont été gaspillées dans la recherche ?

 

Tous les consommateurs de soins de santé à travers les Etats-Unis méritent de recevoir des réponses à toutes ces questions.

 

Norma Erickson, Présidente de Sanevax, 03.12.2012.

(Communiqué de presse, Extraits)

 

Des questions à la porte-parole du CDC (Ici Madame Maloney, députée)  

Mrs-Maloney--autisme-.JPG

 

Mrs. MALONEY (députée) : « J’ai eu des contacts avec 50 parents différents qui sont venus me trouver pour me dire qu’ils avaient des enfants en parfaite santé ; puis ces enfants ont reçu 6, 9,10 vaccins le même jour et ils ont changé du jour au lendemain, ils se frappaient la tête contre les murs, ils n’étaient plus les mêmes enfants…La santé de ces enfants était parfaite jusqu’à ce qu’ils soient vaccinés… »

 

VIDEO : 1 enfant sur 88 : la réponse fédérale à l’augmentation des taux d’autisme (en anglais) http://oversight.house.gov/hearing/1-in-88-children-a-look-into-the-federal-response-to-rising-rates-of-autism/

 

Autres questions importantes des membres du Congrès Américain

(reprises sur le site VacTruth)

 

Les membres du Congrès se sont bien préparés pour cette audition et ont clairement fait leur devoir. On a pu admirer la pertinence de leurs questions, leur degré de compassion, ainsi que leur volonté d’obtenir plus de clarté.

 

Ci-dessous quelques unes de leurs questions :

 

Le mercure est toxique. Pourquoi n’a-t-il jamais été véritablement testé ?

 

Si on recommande aux femmes enceintes de ne pas manger de poisson qui contiendrait du mercure, comment peut-on expliquer que l’injection de ce produit aux mamans et à leurs enfants puisse être considérée sans danger ?

 

Quel est l’effet cumulatif du mercure dans toutes ces doses de vaccins ?

 

La FDA a admis qu’il n’y avait pas de preuves concluantes que le mercure était susceptible de provoquer des dommages neurologiques. S’il existe bien un doute, pourquoi ne pas respecter le principe de précaution et retirer le mercure de tous les vaccins ?

 

Pourquoi y a-t-il encore du mercure dans les vaccins combinés ? Pourquoi ne peut-on pas utiliser des doses uniques ?

 

Si le mercure ne comporte aucun risque pourquoi a-t-il été retiré des vaccins à l’exception de quelques-uns ?

 

Pourquoi tant de vaccins en une seule journée, parfois 9 vaccins à la fois ? Précédemment les enfants ne recevaient que 3 vaccins. Pourquoi y en a-t-il 40 aujourd’hui ?

 

Pourquoi ne pas étaler les vaccinations, pourquoi ne pas administrer un seul vaccin à la fois ?

 

Pourquoi le fait d’administrer plusieurs vaccins à la fois n’a-t-il pas été testé ?

 

Pourquoi ne pas comparer les familles qui ont des enfants autistes avec des familles dont les enfants n’ont pas été touché par cette maladie ?

 

Où peut-on trouver l’étude qui compare les enfants vaccinés à des enfants non vaccinés ?

 

Que fait-on pour trouver des traitements efficaces ?

 

Qu’en est-il des responsabilités par rapport à cette épidémie d’autisme ?

 

Qu’en est-il de l’intégrité de Paul Thorsen qui a été impliqué dans 21 études du CDC sur les vaccins ?

 

Où se trouve l’origine de la loi qui protège les fabricants de vaccins contre toute poursuite judiciaire ?

 

Qu’attend on pour élaborer une stratégie nationale pour améliorer la situation ?

 

Pourquoi la situation n’arrête-t-elle pas d’empirer en dépit de tous les efforts entrepris ?

 

Pourquoi n’êtes-vous pas à l’écoute des familles et de leurs véritables besoins ? Il existe beaucoup trop de preuves et d’histoires qui ne cessent de se répéter encore et encore- mon enfant était parfaitement normal et en bonne santé ; il a été vacciné et tout a basculé du jour au lendemain !

 

L’autisme est un grave problème de santé publique. Pourquoi ne représente-t-il pas une priorité quotidienne pour le CDC ?

 

Il y a plus de dix ans que ce problème existe. Nous avons dépensé des sommes énormes. Qu’un enfant sur 88 soit atteint d’autisme est épouvantable, alors que dans les années 1960 on recensait 1 enfant sur 10.000 ! Il ne faut pas que l’on mette cette augmentation sur le compte d’un meilleur dépistage. Des progrès dans le dépistage ne peuvent absolument pas expliquer de telles différences. Le bon sens nous dit que nos enfants sont sur-vaccinés.

 

Sources : SaneVax & Vactruth

 

« Les grands programmes de vaccination ont été mis au point à la fin des années 1930. Le premier groupe de bébés autistes a été enregistré au début des années 1940. Quand les programmes de vaccinations ont pris de l'ampleur, le nombre des enfants autistes a considérablement augmenté. » Harris Coulter Ph.D.(Historien des Sciences et de la Médecine)

 

 

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4 décembre 2012 2 04 /12 /décembre /2012 15:38

Voici une petite vidéo du 3 décembre de TV Essonne:

 

 

Cette grève servira-t-elle à quelque chose?

 

Nous sommes sceptiques car les vaccins aluminiques ne vont pas s'arrêter du jour au lendemain, hélas, et d'innocents enfants n'ayant même pas leur mot à dire continueront donc  à recevoir de multiples injections avec ce toxique.

 

Mais surtout, nous pensons que cette grève ne doit pas occulter les autres toxiques que comportent les vaccins, comme par exemple le formaldéhyde (qui est quand même un cancérigène CERTAIN, rappelons-le!) et tous les multiples risques que font encourir les vaccins, qu'ils contiennent ou non de l'aluminium.

 

Cette grève ne pose pas les questions les plus basiques, propres à la sécurité (ou plutôt l'insécurité) de TOUS les vaccins et qui touchent aux conditions de base-mêmes des essais cliniques pré-commercialisation.

 

En outre, nous sommes frappés par l'incohérence de certains médecins qui soutiennent cette grève alors qu'ils administrent eux-mêmes des vaccins à base d'aluminium aux enfants, cela n'a aucun sens! A un moment donné, il faut pouvoir choisir entre ses revenus et sa conscience selon nous.

 

Actualisation au 5/12/12 (Yvan Villa, Mediapart):

 

Sels d’aluminium et vaccins : 9e jour de grève de la faim

 

car-vaccins.jpg

  

- Aline ARCHIMBAUD, Sénatrice EELV de Seine-Saint-Denis, secrétaire de la Commission des Affaires Sociales du Sénat

- Pascal DURAND, Secrétaire national d’Europe Écologie Les Verts,

- José BOVE, Député Européen EELV

- Jean LASSALE, Député Modem de Pyrénées-Atlantiques

- présence de Jacques Boutault Maire EELV du 2e arrondissement de Paris

 

apportent leur soutien aux grévistes

 

Mercredi 5 décembre – 11 h – place de la Bourse – Paris

 

Une grève de la faim est menée par des personnes malades. Deux d’entre elles en sont à leur neuvième jour de grève. Leur détermination est pourtant intacte. L’aluminium s’est accumulé dans leur cerveau, il ne devrait plus en sortir. Si elles mènent ce combat, c’est pour éviter que des milliers de nouvelles victimes surviennent.

 

Les publications internationales sur la neurotoxicité des sels d’aluminium utilisés dans les vaccins se font de plus en plus précises. La plus récente émane de chercheurs du MIT.

Ils affirment :


« Nos résultats montrent une forte probabilité de lien entre l’autisme et l’aluminium utilisé dans les vaccins » (…) « la fatigue, la douleur et la mort, sont associés de façon significative aux vaccins contenant de l’aluminium ». Massachusetts Institute of Technology, 07/11/12

 

Mérial, filiale vétérinaire de Sanofi, a retiré l’aluminium de ses vaccins pour chat :


« Les vaccins félins de la gamme PUREVAX sont purs – ils ne contiennent pas d’adjuvants chimiques ayant le potentiel de provoquer des réactions locales ou allergiques »

 

Le Conseil d’État, par une décision du 21 novembre 2012, vient de reconnaître le lien entre la myofasciite à macrophages et la vaccination.

 

Le nombre de personnes concernées par les effets délétères de l’aluminium vaccinal se chiffrerait à minima en dizaines de milliers. Les demandes portées par l’association des malades de myofasciite à macrophages n’en prennent que plus de poids :

 

Que la recherche sur les sels d’aluminium utilisés comme adjuvants dans les vaccins, menée par l’équipe INSERM de l’hôpital Henri Mondor (Créteil), à la pointe de la recherche internationale, ne doit pas être stoppée mais au contraire renforcée.

 

Que les autorités sanitaires françaises appliquent le principe de précaution en remettant immédiatement à disposition un vaccin DTPolio sans adjuvant, le DTPolio étant obligatoire pour que les enfants soient accueillis en collectivité.

 

Être dans l’ignorance, c’est une chose. Savoir et ne rien faire, c’est être complice.

 

Source : Mediapart 

 

LA SUITE: "L'ANSM va finalement financer une étude sur l'aluminium vaccinal."

 

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