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4 décembre 2012 2 04 /12 /décembre /2012 14:24

Voici ce qu'on pouvait lire dans la Lettre du Médecin N°1090 du 29 novembre dernier:

 

20% des adultes américains ont ressenti des troubles mentaux durant l’année écoulée

 

Selon un rapport de la Substance Abuse and Mental Health Administration (SAMHSA), un Américain adulte sur cinq, soit 45,6 millions de personnes, ont eu des troubles mentaux durant l’année dernière. Le taux de tels troubles est par ailleurs deux fois plus élevé chez les 18 à 25 ans que chez les 50+ (29,8% vs 14,3%).  On apprend aussi que 8,5 millions d’Américains ont caressé des idées de suicide et 1,1 million ont fait une tentative de suicide au cours de l’année concernée.
M.E.

 

 

Qui peut apporter la preuve que ces effets psychiatriques inquiétants n'ont strictement rien à voir avec les vaccinations incessantes avec lesquelles on ne cesse d'assommer le système immunitaire des Américains (non sans influence d'ailleurs sur le système nerveux)?



D'autant que les jeunes de 18 à 25 ans ont proportionnellement reçu beaucoup plus de vaccins à base d'aluminium (= neurotoxique) que les personnes de + de 50 ans, suite à l'extension surréaliste du calendrier vaccinal des jeunes, y compris avec la vaccination anti-HPV, et prétendument, au nom du "Progrès"- la vaccination antigrippale, inutile et non sans risques, ne contient toutefois, elle, pas d'aluminium.

 

Pour pouvoir balayer toute corrélation, encore faudrait-il avoir testé correctement les vaccins, et les avoir évalués contre de vrais groupes placebos pour ne pas biaiser d'emblée la comparaison!

 

Il nous semble peu probable, compte tenu des données existantes, que les vaccins n'aient joué strictement aucun rôle dans pareil nivellement par le bas de la santé psychique des gens. C'est affligeant!

 

Lire ou relire aussi l'article "Les vaccins, problème social", du Dr Marc Deru.

 

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3 décembre 2012 1 03 /12 /décembre /2012 11:01

30 novembre 2012

 

Aluminium dans les vaccins

 

Lien de cause à effet établi

 

Le conseil d’État vient de reconnaître un lien de cause à effet entre l’aluminium utilisé comme adjuvant dans un vaccin contre l’hépatite B et la survenue d’une myofasciite à macrophages chez un agent de la ville de Paris. Actuellement, il n’y sur le marché aucun vaccin (anti-hépatite B) sans aluminium.

 

La justice est lente ? Sans doute. Mais en l’occurrence, les juges ont été plus rapides, et, peut-être, moins timorés que les autorités sanitaires et politiques. Le 21 novembre dernier, le conseil d’État a décidé que la myofasciite à macrophages dont souffre depuis 1996 un fonctionnaire de la ville de Paris avait très probablement été déclenchée par le vaccin contre l’hépatite B administré préalablement à son embauche. Par conséquent, cet agent, atteint par la maladie au point qu’il ne peut plus travailler, doit être considéré comme victime d’un accident lié à ses fonctions, et peut bénéficier de son salaire dans son intégralité jusqu’à ce qu’il soit capable de reprendre son poste.

 

En cause, précisément : l’aluminium utilisé comme adjuvant dans le vaccin qui lui a été injecté à deux reprises. Le conseil d’État a considéré que l’état des connaissances scientifiques sur les sels d’aluminium, ainsi que les circonstances de l’apparition des symptômes, suffisaient pour que le lien de causalité soit « regardé comme établi ». Chez certaines personnes vraisemblablement prédisposées, l’aluminium contenu dans les vaccins n’est pas éliminé en totalité et provoque cette maladie terriblement invalidante qu’est la myofasciite à macrophages.

 

C’est pourquoi les autorités sanitaires seraient bien inspirées d’agir rapidement, afin que soient remis sur le marché des vaccins ne comportant pas de sels d’aluminium. Depuis 2008, date du retrait du DTPolio sans adjuvant, il n’existe plus aucune formule sans aluminium ! Lors de la campagne présidentielle, Marisol Touraine, aujourd’hui ministre de la Santé, s’était engagée en faveur du choix pour les familles de faire vacciner leurs enfants avec des produits sans sels d’aluminium. Elle a, en juillet dernier, saisi l’Agence nationale de sécurité du médicament (ANSM). On attend toujours la réponse. Plusieurs membres de l’association E3M (Entraide aux malades de myofasciite à macrophages), qui se bat pour que des vaccins sans aluminium soient remis à disposition, ont entamé une grève de la faim le 26 novembre.

 

Anne-Sophie Stamane

 

Source : UFC Que Choisir

 

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28 novembre 2012 3 28 /11 /novembre /2012 23:00

lingettes-bebes.png

Un lecteur vigilant a bien fait de nous signaler cette Xième contradiction préoccupante: alors que l'Agence française du Médicament (ANSM) vient récemment de recommander d'éviter chez les enfants de moins de 3 ans les lingettes pour bébés à base de phenoxyéthanol - suspecté d'être toxique pour la reproduction- lorsqu'elles sont destinées au siège et  d'en réduire fortement les doses pour les lingettes destinées à d'autres usages, la présence de cette même substance dans les vaccins, pourtant profondément injectée par voie intra-musculaire à de jeunes enfants au système reproductif encore largement immature, ne semble pas véritablement émouvoir cette même agence.

 

Il faut toutefois rappeler que c'est la même Agence qui a tout récemment refusé de financer la poursuite des travaux de l'équipe du Pr Gherardi du CHU Henri Mondor de Créteil sur la toxicité de l'aluminium vaccinal alors même que cette agence avait pourtant explicitement recommandé en 2011 de réduire la concentration d'aluminium dans les déodorants et de ne pas utiliser des anti-transpirants à base d'aluminium sur une peau lésée. Là aussi, on peut donc dire qu'il s'agit d'une énorme incohérence quand on sait que les vaccins à base d'aluminium sont injectés profondément dans l'organisme par voie intramusculaire!

 

Ces sagas ressemblent aussi à la critique du formaldéhyde ménager dans les médias, incriminé sans trop de problèmes lorsqu'il provient des meubles ou de la pollution des maisons, mais en oubliant toutefois la première et la plus précoce des "pollutions intérieures" à savoir celle des vaccins dont plusieurs contiennent ce formaldéhyde, pourtant classé cancérigène certain, et ce alors même que les vaccins ne sont jamais soumis à la moindre évaluation de leur potentiel cancérogène (contrairement aux autres médicaments) et que plusieurs chercheurs ont déjà tiré la sonnette d'alarme sur la sous-estimation de la toxicité de plusieurs produits chimiques à soi-disant "faibles doses"!!

 

Des agences qui SAVENT les risques de cancers et de troubles pour la reproduction de substances pourtant autorisées et tolérées dans les vaccins, ne font en réalité qu'apporter la  preuve lamentable au public qu'elles préfèrent protéger des dogmes plutôt que la santé publique réelle.

 

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28 novembre 2012 3 28 /11 /novembre /2012 21:30

Vaccins-general.jpgLe 23 novembre dernier, le Conseil Supérieur belge de la Santé (CSS) organisait une journée d'étude consacrée à la vaccination des patients dits "à risque" et comme ces gens-là ratissent évidemment très large et que chaque pathologie est prétexte à vacciner absolument, nul doute qu'il y en aura pour tous les goûts.

 

Voici donc ci-dessous, quel était le contenu de l'invitation à ladite journée d'étude, avant de voir plus en détails les commentaires qui s'imposent:

 

 

Chère Madame,  Cher Monsieur,

 

 

Le Conseil Supérieur de la Santé a le plaisir de vous inviter à la journée d’étude « Vaccination des patients à risque ».

 

Thème: « Vaccination des patients à risque - vaccination d’enfants et d’adultes immunodéficients et malades chroniques »

 

Date : 23 novembre 2012 de 9h15 à 17h00

Lieu : Tour du Midi (à proximité de la gare du Midi)

 

L'ordre du jour

 

• 8h30: Accueil, sandwiches et café
• 9h15: « Immunodeficiency & vaccinations » par Mascart Françoise
• 9h55: « Primary immunodeficiency » par Filomeen Haerynck
• 10h40: Pause
• 11h10: « HIV adults » par Philippe Leonard
              « HIV children » par Jack Levy
• 12h00: « SOT » par Eric Goffin 
• 12h30: « Adult haematologist - oncolgist & transplant » par Helene Schoemand
• 13h00: Lunch
• 14h00: A déterminer 
• 14h30: « IMID » par Jean-François Rahier [= Immune Mediated Inflammatory Diseases]
• 15h00: Pause
• 15h30: « Diabetes/morbide obesitas » par Chantal Mattieu
              « Asplenie » par Yves Van Laethem
              « Nefro » par Jean-Louis Bosmans
              « Hepato » par Isabel Colle
              « Pneumo/Muco » par Anne Malfroot
              « Thymectomy » par Jutte Van der Werff
• 17h00: Clôture

 

Inscription

 

Vous pouvez vous inscrire sur le site http://tinyurl.com/CSS-vaccination2012 . Date limite d'inscription le 29 octobre 2012. La participation est gratuite. 

 

D’avance, nous vous remercions pour l’intérêt que vous porterez à cette invitation et vous prions de croire, Madame, Monsieur, en l’assurance de notre considération très distinguée.

 

Prof. Dr. Jean Nève

Président du Conseil Supérieur de la Santé.

 

Commentaires d'Initiative Citoyenne:

 

Les vaccins étant déjà insuffisamment évalués pour être utilisés chez les personnes saines (absence de comparaison vs vrai placebo, absence de toute étude à long terme, absence d'analyse pharmacocinétique et d'évaluation des potentiels cancérogène, mutagène et tératogène), il n'est guère difficile de comprendre que leur usage est donc encore d'autant plus périlleux chez des gens déjà immunologiquement fragilisés, qu'il s'agisse de patients atteints d'immunodéficience, de cancer ou de maladies auto-immunes et métaboliques!

 

Il ne faut pas être grand clerc pour voir que toutes les digues sont en train de céder actuellement (y compris chez les femmes enceintes!!!) pour qu'on vaccine à tout prix un maximum. Il n'y a donc plus aucun égard pour les personnes déjà fragilisées non plus, elles devront y passer comme les autres et hélas, le plus souvent, sans avoir reçu les informations nécessaires, sur les risques gravissimes accrus que ces vaccinations expérimentales leur font encourir. Le but de ce site est donc, entre autres, de combler cette carence scandaleuse qui fait finalement de ces malades chroniques des cobayes malgré eux.

 

Pour bien comprendre, avant toute chose, l'importance de la mise en garde qui suit, il faut avoir à l'esprit que les vaccins contiennent des ingrédients cancérigènes, qu'ils peuvent causer de toutes pièces des diabètes, exacerber des états de séropositivité, léser des cellules hépatiques (induire leur mort cellulaire, on parle d'apoptose), qu'ils contiennent de l'aluminium qui est notoirement toxique pour le système nerveux mais aussi les reins et enfin que toute vaccination altère le fonctionnement normal du système immunitaire en l'affaiblissant de façon indubitable pendant un certain temps. Toutes ces données relèvent d'évaluations scientifiques commercialement dérangeantes certes, mais qui n'en demeurent pas moins scientifiques pour autant. Les gens ont donc pleinement le droit de bien connaître ces risques avant de consentir ou non à la moindre vaccination!

 

Vaccination & immunodépression:

 

La vaccination induit une immunodépression plus ou moins temporaire, cela signifie donc en d'autres termes que la vaccination affaiblit notre système immunitaire, le rendant ainsi plus vulnérable encore à toute une série d'infections opportunistes qui pourraient ainsi survenir de façon facilitée au décours d'une vaccination. Chez les individus immunodéprimés, ces infections peuvent être d'autant plus graves, l'important est donc de les éviter et donc aussi d'éviter toute cause favorisante, y compris bien sûr la vaccination. Celle-ci, en se focalisant sur la seule production d'anticorps amoindrit néanmoins l'immunité cellulaire qui est pourtant d'une importance capitale, avec une tendance à l'inversion du rapport lymphocytaire T4/T8, soit exactement ce qui se passe chez les sidéens! Sur Wikipedia, on peut notamment lire ceci de tout à fait indicatif: « Pendant les mois qui suivent une vaccination antigrippale (2 à 5 mois), le dépistage du SIDA peut également se révéler faussement positif dans certains cas, y compris pour les tests de confirmation. »

 

Une des raisons plus que probable pour laquelle la vaccination a ce grave effet pervers est que la vaccination consiste en réalité à court-circuiter les voies immunologiques classiques de pénétration des antigènes microbiens dans l'organisme. En effet, lorsque les gens font une infection naturelle, les microbes rentrent dans le corps via la peau ou les muqueuses (respiratoire, digestive,..) alors qu'en cas d'injection vaccinale, on introduit directement les antigènes dans le flux sanguin par surprise et encore, enrobés de toute une série de substances anti-naturelles et toxiques (aluminium, formaldéhyde, antibiotiques, etc). Pas étonnant dans ces conditions que le système immunitaire trinque fameusement et comme tous les systèmes du corps sont quelque part connectés entre eux, on imagine l'imprudence tout à fait irresponsable que cela représente sur un plan purement scientifique. En fait, au prétexte de protéger contre UNE SEULE maladie, la vaccination fait à chaque fois encourir le risque d'une infinité d'autres maladies (effets secondaires directs ET indirects via cet état d'immunodépression induite qui fait alors aussi encourir en plus, le risque d'infections opportunistes, des plus bénignes aux plus graves, avec des risques de grippe, de méningites etc).

 

Ce qui est très grave aussi, c'est la façon scandaleuse avec laquelle on vaccine automatiquement TOUS les enfants dès leurs 2 mois, sans aucune analyse immunologique préalable alors qu'1 enfant sur 500 naît avec un déficit immunitaire congénital (on parle d'immunodéficience innée ou primaire car elle existe dès la naissance) et se trouvera donc forcément incapable de gérer la moindre vaccination. Ce geste reviendra donc à forcer le système immunitaire, un peu donc comme si on forçait et qu'on "brûlait un moteur". On imagine les dégâts et les risques parfois mortels aussi de ce type d'aveuglement idéologique!

 

Pour les malades du SIDA aussi, la vaccination est totalement irresponsable, même avec des vaccins dits inactivés (on ne leur déconseille généralement que les vaccins dits à virus vivants atténués) parce que la vaccination va augmenter leur charge virale (en d'autres mots: contribuer à les rendre plus contagieux). A côté de cela, une autre étude a montré que les globules blancs (lymphocytes) des personnes séronégatives vaccinées étaient rendus plus réceptifs au virus du sida après des vaccinations!

 

Voir ici: « La réplication du VIH est augmentée après administration du vaccin grippal à des patients infectés par le VIH. De plus, la vaccination semble augmenter la susceptibilité à l’infection in vitro des lymphocytes des personnes non infectées » in Stanley SK, Ostrowski MA, Justement JS, Gantt K, Hedayati S, Mannix M, Roche K, Schwartzentruber DJ, Fox CH, Fauci AS., « Effect of immunization with a common recall antigen on viral expression in patients infected with human immunodeficiency virus type 1. », N Engl J Med. 1996 May 9;334(19):1222-30.

 

Récemment, dans la Lettre du Médecin, des informations allaient également en ce sens même si, idéologiquement parlant, ils ne pouvaient bien sûr que continuer à recommander la vaccination de ce public-cible:

 

« Une étude britannique consistant en une méta-analyse et revue systématique sur cette question  arrive à la conclusion que la vaccination est généralement bien tolérée par ces patients particuliers, bien que des indices limités d’augmentation de remontée temporaire de la virémie et de baisse des CD4+ existe chez les patients VIH+ (mais sans aggravation clinique). Les auteurs concluent que «le jugement clinique reste important lorsque l’on discute des avantages et du profil de sécurité chez les patients immuno-compromis». (référence: Beck CR et al. J Infect Dis. 2012;206:1250)

 

On brûle donc avec les vaccinations, la chandelle par les deux bouts, en rendant d'une part, les gens atteints plus contagieux et d'autre part, les gens non atteints plus réceptifs... pas étonnant qu'en Belgique où on vaccine de plus en plus, les cas de SIDA ne cessent de grimper en flèche! Nous pouvons, au moins partiellement, remercier pour cela les autorités et "leurs bons conseils", fût-ce par l'intermédiaire de centres dits "de référence" pour le traitement des malades du SIDA!! Et tout cela, parce que ces gens sont tout simplement aveuglés par leur idéologie et qu'il est donc intellectuellement inconcevable pour eux d'admettre qu'il existe d'autres méthodes, plus douces et plus sûres, en dehors du cadre strict de l'allopathie, pour renforcer le système immunitaire de façon aspécifique mais non moins efficace!

 

Il convient d'être réellement bien lucides sur l'ignorance et l'incompétence du corps médical en matière de recommandations vaccinales aux personnes séropositives ou atteintes de SIDA déclaré. En effet, voici ce qu'on peut lire dans le livre du biologiste Miche Georget (Vaccinations, les vérités indésirables) au sujet de vaccins considérés comme aussi "classiques" que ceux contre le tétanos et ce, sur base de publications médicales officielles publiées il y a déjà une trentaine d'années: 

 

"Le même phénomène de dépression immunitaire a été démontré de façon encore plus précise à propos de l'anatoxine tétanique [1] en 1983 par des chercheurs de l'institut d'immunologie de Vienne (Autriche). Cette étude avait été entreprise en vue de tester le rapport des lymphocytes T4/T8 chez des sujets en bonne santé pour voir s'il pouvait servir de référence au tri des donneurs de sang (les tests de dépistage du SIDA n'existaient pas encore). Onze volontaires ont été testés, avant et après une injection de rappel d'anatoxine tétanique. Le rapport T4/T8, indice de la capacité de réponse immunitaire, est passé d'une valeur moyenne de 2,2 à 1,25, la diminution la plus marquée se produisant entre 3 et 14 jours après l'immunisation. Cette baisse provenait pour l'essentiel de la baisse des T4 mais parfois aussi d'une hausse des T8 pour les sujets ayant les plus faibles rapports. Cette modification du rapport T4/T8 indique une baisse des capacités de défense puisque els T4 sont les coordonateurs stimulant la réponse immunitaire alors que parmi les T8 figurent les lymphocytes T suppresseurs. L'année suivante, les chercheurs du même laboratoire montraient que cette même injection de rappel antitétanique amène une diminution de l'activité fonctionnelle des lymphocytes T [2]. Cette étude s'inscrivait comme la précédente dans le cadre des recherches sur les sujets à risque pour le sida et les auteurs concluaient: "Il semble probable que des stimuli antigéniques répétés doivent induire des anormalités similaires, peut-être permanentes, et prédisposer ainsi les membres du groupe à haut risque pour le sida à des infections opportunistes". (Miche Georget, Vaccinations, les vérités indésirables, 1ère édition, Paris, Dangles, 2000, p.83)
 
[1] Eibl, M. M & al.: "Abnormal T-lymphocyte subpopulations in healthy subjects after tetanus booster immunization", (The New England Journal of Medicine, t.310 [3], p.198-199; 1984)
 
[2] Zlabinger, G.J. & al.: "Reduced antigen-induced proliferation and surface 1a expression or peripheral blood T cells following tetanus booster immunization", (Clinical Immunology and Immunopathology, t.34, p.254-262; 1985).

 

 

[Voir aussi notre article intitulé "Les vaccinations abîment notre système immunitaire."]

 

Vaccination & insuffisants rénaux:

 

On recommande aux insuffisants rénaux plusieurs vaccinations dont celle contre la grippe et celle contre l'hépatite B, au motif pour cette dernière, qu'ils doivent subir fréquemment une dialyse, qui accroît les risques d'hépatite. On leur injecte habituellement le Twinrix (hépatite A et B) ou un vaccin hépatite B spécial (appelé Fendrix, de GSK) qui comporte un adjuvant "renforcé" mixte, càd l'AS04, soit le même adjuvant que le vaccin anti-HPV Cervarix.

 

Il faut tout d'abord souligner que les insuffisants rénaux ayant un filtre rénal moins performant, ils se trouvent plus sensibles à la toxicité de l'aluminium, qui sera moins bien éliminé par les reins que chez les autres sujets sains, chez qui il pose déjà problème! Or des vaccins comme le Fendrix, contiennent une dose non négligeable d'aluminium (0,5mg soit 500 µg par dose!) qui va donc certainement nuire aux insuffisants rénaux, plus que cela ne pourra les aider.

Là encore, on va donc dans le sens de l'aggravation des maux des malades chroniques qu'on va vacciner... un pur non sens qui n'a donc aucune justification médicale sérieuse!

 

Sur Pharmacorama, on peut notamment lire à ce sujet:

 

« L'aluminium était considéré comme un élément atoxique jusqu'à ce qu'il provoque des encéphalopathies chez des malades dialysés. L'accumulation d'aluminium dans le sang des patients dialysés provenait en réalité plus du liquide de dialyse que de son absorption intestinale. Lorsque le liquide de dialyse contenait une grande quantité d'aluminium, celui-ci passait dans le sang à travers la membrane de dialyse et, du fait de l'insuffisance rénale, n'était pas éliminé. Chez les dialysés, outre des encéphalopathies, l'aluminium a provoqué des ostéomalacies et des anémies. Les troubles neurologiques observés chez les dialysés ont fait suspecter le rôle possible de l'aluminium dans la pathogénie de la maladie d'Alzheimer. »

 

Vaccination & pathologies hépatiques:



Les patients souffrant de problèmes hépatiques sont, eux aussi, pressés de se faire vacciner, à commencer par les vaccins anti-hépatite A ou B, d'ailleurs les gens candidats à une transplantation sont obligés de se plier à ce sinistre rituel. Hélas toutefois, il se trouve que selon une étude scientifique, la vaccination anti-hépatite B induit la mort des cellules hépatiques (on parle d'apoptose, càd une sorte de suicide cellulaire)... tout sauf ce qui peut donc aider les gens déjà fragiles du foie!!



Et il faut dire que pour confirmer ce triste état de fait, une autre publication indique que les enfants vaccinés contre l'hépatite B souffrent 2,5 fois plus de problèmes hépatiques que les enfants non vaccinés... cherchez l'erreur là aussi! Les officiels vous diront: "c'est normal, c'est un biais, c'est justement parce qu'on vaccine davantage les enfants atteints de maladies du foie... hélas, la plupart des pays occidentaux incluent la vaccination généralisée des enfants contre l'hépatite B!



Par ailleurs, il est aussi très important de comprendre que toute vaccination comporte des ingrédients toxiques or quel est l'organe qui se trouve en première ligne lors de la détoxication ou de la métabolisation des médicaments? Le foie! Inutile donc de faire de longs cours pour faire comprendre que toute administration de produits chimiques toxiques est d'autant plus à éviter chez ces patients-là, déjà plus fragiles que les autres.



Vaccination & cancers



Les vaccins contiennent différents composants notoirement cancérigènes (formaldéhyde, borate de sodium, etc) bien que leur pouvoir cancérigène ne soit cependant jamais évalué- contrairement aux autres médicaments. Les vaccins sont donc un apport direct de substances cancérigènes dont la soi-disant "faible dose" n'est hélas aucunement une garantie qu'elles ne puissent pas être décisives dans le développement d'un cancer chez telle ou telle personne. Pour plusieurs médecins et spécialistes de la question, les vaccins dits à virus vivants posent également un risque de cancer en ce sens que la latence virale pendant de nombreuses années peut selon eux faire le lit du cancer. Etant donné que le potentiel cancérigène des vaccins n'est jamais évalué (l'establishment ayant trop peur de ce qu'il sait pertinemment qu'on trouverait en effectuant ces recherches...), les officiels ne peuvent absolument PAS balayer ces accusations d'un revers de la main, même si elles continuent pourtant pitoyablement de nier ici purement et simplement le principe de précaution le plus élémentaire.



Même l'OMS a d'ailleurs conscience de ce risque de cancer posé par les vaccins, et notamment ceux fabriqués par génie génétique dont la pureté n'est jamais parfaite (ex: hépatite B, rotavirus, Gardasil, Cervarix) puisque cette instance écrivait dans son rapport technique n°747 de 1987 à ce sujet:



"Même s'il est possible d'indiquer une limite supérieure de contamination d'un produit fini par de l'ADN hétérogène, et même si toutes les expériences indiquent que des quantités d'un tel ADN de l'ordre de quelques picogrammes sont biologiquement inactives dans un grand nombre d'épreuves, on ne peut pas plus affirmer l'absence totale d'ADN et du risque qui lui est lié dans les produits obtenus en lignées cellulaires continues que dans les produits issus de cultures primaires de cellules et de cultures de cellules diploïdes. [...] Un des grands problèmes soulevés (à cette conférence) est le risque de malignité que pourrait présenter à long terme un ADN contaminant hétérogène, en particulier s'il s'avère qu'il contient des séquences codantes ou régulatrices potentiellement oncogènes. Ce point est réellement préoccupant, car de nombreuses personnes en bonne santé, notamment des nourrissons, seront peut-être vaccinées avec des produits issus de lignées cellulaires continues, ou les recevront de toute autre manière."



En d'autres mots, les bricolages génétiques d'apprentis sorciers qui mènent à la fabrication de vaccins ont plus que probablement une part de responsabilité non négligeable dans l'explosion des cas de cancers chez les jeunes et les enfants notamment. Ces gens qui sont censés évaluer ces vaccins se disent "préoccupés" mais ce n'est hélas jamais ce que répercutent les médecins faussement rassurants mais vraiment désinformés à leurs patients au moment de les vacciner... quel scandale une fois encore!



Comme nous l'avons écrit, la pureté des vaccins issus du génie génétique n'est jamais parfaite, cela implique donc que des enzymes et des fragments d'ADN hybride (absolument non naturel) se retrouvent donc au niveau du produit fini qui vous sera injecté. Et comme aucune étude sur les effets secondaires à long terme des vaccins n'est jamais menée, on ne peut absolument pas vous fournir de garantie à ce stade que ces vaccinations vous procurent plus d'avantages que d'inconvénients.



La question des lignées cellulaires continues est une question fort importante et le grand public ignore hélas tout de cela. En réalité, les lignées cellulaires continues utilisées pour la fabrication des vaccins sont un joli nom utilisé pour ne pas utiliser leur synonyme, nettement plus éclairant, qui est "lignées cellulaires cancérisées" ou si vous préférez, rendues immortelles (on donne ainsi à ces cellules les caractéristiques des cellules cancéreuses qui se reproduisent anormalement vite) pour les besoins du commerce et de la production industrielle. "Rassurez-vous", même les gens des pharmas sont au courant de ces risques, bien que cela ne les gêne pas pour autant de continuer comme si de rien n'était avec ces procédés hasardeux. Dans un de nos précédents articles, nous reprenions déjà les propos du Dr Jean-François Saluzzo de Sanofi Pasteur (aussi repris dans le dernier livre de Virginie Belle) qui avouait au sujet de ces lignées cellulaires continues:

 

"Le grand débat philosophique est: peut-on utiliser une cellule tumorigène pour faire un vaccin destiné à des enfants? Certains disent que les quantités d'information génétique, c'est à dire d'ADN, étant extrêmement faibles, il n'y a aucun risque, certains disent attention, on vaccine des enfants, que va-t-il se passer dans cinquante ans?" explique Jean-François Saluzzo de Sanofi Pasteur avant de rajouter "C'est actuellement le débat aux Etats-Unis, avec le vaccin contre la grippe produit sur MDCK par Novartis. Le débat au niveau de la FDA reste très élevé, car c'est moralement un problème très important."

 

Et Virginie Belle de rajouter au sujet de ces cellules tumorigènes MDCK:

 

« Un vaccin nommé Celtura, du même laboratoire, a été administré aux Suisses, pendant la pandémie de grippe H1N1. Il contenait ces fameuses cellules tumorigènes. Et que lit-on sur la notice? "Contient des traces de protéines canines issues des lignées cellulaires MDCK." Auraient-ils accepté cette vaccination s'ils avaient su? La transparence devrait commencer ici. Le cas échéant, nous devenons des cobayes humains. »

 

Combien de Suisses ayant reçu le Celtura développeront un cancer à cause de ce vaccin? En voilà de vraies questions centrales que vous ne verrez hélas jamais traitées dans les médias traditionnels car trop sensibles! Et combien de ces gens feront surtout jamais le lien avec ce vaccin et son mode de fabrication? Sans doute aucun, hélas!

 

Mais ces cultures cellulaires, de même que les composants cancérigènes des vaccins ne sont hélas pas les seules explications possibles des cancers post-vaccinaux. Il y a aussi le phénomène des contaminations imprévues des vaccins. En effet, en cours de fabrication, les cultures cellulaires peuvent être contaminées par des agents non encore identifiables au moment de la production, comme ce fut le cas avec le précédent du SV40. A l'époque, à la fin des années 50, jusqu'au milieu des années 60, des dizaines de millions de vaccins anti-polio (tant oraux qu'injectables) ont été contaminés par un virus simien, le SV40, qui bien qu'assez anodin chez le singe, était cancérigène chez l'homme. De nombreuses publications scientifiques ont fait état du lien entre ce SV40, qui a infecté non seulement les vaccinés mais aussi leur descendance(!), et divers cancers comme ceux du système nerveux, le mésothéliome (cancer de la plèvre), divers cancers osseux ainsi que des leucémies. Cette contamination des vaccins au SV40 aurait, nous dit-on, été éliminée depuis lors mais certains avancent qu'il n'en est rien. Pour autant, les autorités nous ayant déjà tellement menti en matière de vaccination, comme nous l'avons abondamment prouvé sur ce site, est-il encore bien prudent de les croire en quoi que ce soit ayant trait aux vaccins?

 

Si on ajoute à cela, le mécanisme de court-circuitage du système immunitaire par les vaccins, tel qu'expliqué ci-dessus, avec l'immunodépression que cela suppose, on comprend qu'il y a au final une variété de mécanismes possibles, qui agissent peut-être en synergie, pouvant favoriser le développement de cancers en post-vaccination.

 

Par conséquent, il nous paraît terriblement hasardeux d'aller conseiller aux patients à peine sortis d'une greffe de moelle ou de chimiothérapies, de recommencer toute une série de vaccins. Compte tenu de ce qui a été exposé supra, il apparaît au contraire que les risques dépassent de loin les prétendus bénéfices de ces injections avec un risque non négligeable de rechute, et ce d'autant plus, encore une fois, qu'il est possible et même souhaitable, de recommander à ces patients le recours à des méthodes douces de stimulation aspécifique et globale de leur système immunitaire, méthodes qui ont alors l'avantage de combiner à la fois des effets anti-infectieux à des effets anti-cancer.

 

Vaccination & diabète/obésité:

 

Plusieurs publications scientifiques ont établi un lien assez accablant entre diabète de type 1 et divers vaccins. Haemophilius influenzae de type B, hépatite B, coqueluche, etc...autant de vaccinations pratiquées tous azimuts sans la moindre précaution et qui plus est, recommandées à l'aveugle, même chez les gens déjà diabétiques!!

 

Dans une lettre au British Medical Journal en 1999, le Dr J. B Classen écrivait déjà:

 

« Nous avons découvert que la vaccination débutant à l’âge de 2 mois était associée à un risque plus élevé tant chez les humains et les rongeurs. (2)

  

En collaboration avec le Dr Jaakko Tuomilehto nous avons lancé une recherche sur les effets du vaccin contre l’haemophilus influenzae de type b (HiB), notamment en ce qui concerne son influence sur le diabète.



116.000 enfants finlandais environ ont été randomisés pour recevoir soit quatre doses du vaccin à partir de l’âge de 3 mois, soit une seule dose à l’âge de 24 mois (3). Nous avons, d’une part, évalué l’incidence du diabète insulino-dépendant dans les deux groupes d’âge jusqu’à ce que les enfants aient atteint l’âge de 10 ans et d’autre part dans un groupe d’enfants qui n’ont pas reçu le vaccin – une cohorte de 128.500 enfants nés en Finlande dans les 24 mois qui ont précédé le début de l’étude sur les vaccins.

 

En mai 1998, une conférence fut organisée à Bethesda, Maryland pour évaluer nos données. Au cours de cette conférence, nous avons précisé que les données concernant le vaccin corroboraient les résultats de nos publications, à savoir que quand la vaccination avait lieu à l’âge de 2 mois, elle était associée à un risque accru de diabète. Notre analyse est également confirmée  par une augmentation similaire des cas de diabète après la vaccination Haemophilus Influenzae type b aux Etats-Unis, ainsi qu’au Royaume Uni (5).

 

En outre, nous devons signaler que, dans le groupe d’enfants vaccinés, l’augmentation des risques de diabète dépasse en importance ce qui était attendu en ce qui concerne la diminution de complications de la méningite à Haemophilus influenzae de type b.

 

La recherche en matière de vaccination a été basée sur la théorie que les bénéfices  de l’immunisation dépassaient de loin les risques  de complications à long terme. C’est ainsi qu’il fut estimé que des études sur la sécurité long terme des vaccinations ne devaient pas être réalisées.

 

En étudiant le diabète qui n’est qu’une des complications chroniques potentielles, nous avons découvert que l’augmentation de la prévalence du diabète peut plus que contrebalancer la diminution des complications long terme de la méningite à Haemophilus Influenzae.

 

Le diabète provoqué par le vaccin ne devrait donc pas être considéré comme un effet secondaire rare. De nombreuses autres maladies (immunologiques) chroniques comme l’asthme, les allergies, les cancers  (Immune mediated) n’ont cessé d’augmenter rapidement. Elles peuvent aussi être mises en relation avec la vaccination.

 

Nous pensons que le public devrait être complètement averti que les vaccins, efficaces dans la prévention des infections, peuvent aussi avoir des effets secondaires négatifs à long terme. Un public de mieux en mieux informé ne tardera pas à exiger des études sur la sécurité des vaccins avant toute vaccination de masse. Nous pensons que tout cela devra déboucher sur le développement d’une technologie vaccinale plus sûre. »

 

Dans son ouvrage de référence ("Vaccinations, les vérités indésirables"), le biologiste Michel Georget nous renseigne aussi ceci:

 

"La vaccination antigrippale est connue pour exacerber les atteintes bronchiques, l'asthme et le diabète, parfois dans les vingt-quatre heures qui suivent la vaccination." (références scientifiques citées dans l'ouvrage susmentionné)

 

Le Pr Lucienne Chatenoud, immunologiste au CHU Necker Enfants Malades de Paris avoue:

 

« L’hypothèse la plus avancée est l’hypothèse hygiéniste. Dans tous les pays industrialisés, on observe une diminution des infections endémiques chez les jeunes enfants, liée aux programmes de vaccination et à l’utilisation des antibiotiques ; or cette diminution est corrélée à une augmentation de la fréquence des maladies auto-immunes ou dysimmunitaires : diabète de type 1, sclérose en plaques, maladies inflammatoires de l’intestin, mais aussi les allergies.»

 

Michel Georget écrit aussi ceci dans son livre:

  

"Dans un document datant de 1982 consacré au vaccin plasmatique contre l'hépatite B (première version du vaccin, depuis remplacé par les versions recombinantes qui sont produites par génie génétique), l'Institut Pasteur indiquait comme seule contre-indication le diabète insulino-dépendant. Curieusement, cette contre-indication a disparu des brochures ultérieures alors que l'antigène des nouveaux vaccins est le même (HBs).

 

Cependant, une étude a été conduite en Nouvelle-Zélande par Classen, parallèlement à la campagne de vaccination de masse contre l'hépatite B. L'incidence du diabète insulino-dépendant est suivie à Christchurch depuis 1982. La campagne de vaccination a débuté en 1988 et a concerné les enfants jusqu'à 16 ans. Le taux d'acceptation de la vaccination a été supérieur à 70%. L'incidence du diabète, qui était de 11,2 nouveaux cas pour 100 000 et par an avant le début de la campagne, est passé à 18,2 cas pour 100 000 et par an entre 1989 et 1991, soit une augmentation de plus de 60%."



Selon le Dr Classen, un des mécanismes physio-pathologiques en cause serait une production massive d'interféron endogène (une molécule naturelle de notre système immunitaire) suite à la vaccination, laquelle expliquerait une destruction des îlots de Langherans, à la source d'une apparition d'un diabète de type 1. Ce qui est intéressant également, c'est que les gènes qui peuvent davantage prédisposer au diabète de type 1 sont parfois aussi ceux qui sont associés à une prédisposition de maladies thyroïdiennes (HLA DR3 notam.) or il se trouve aussi justement qu'un des effets secondaires des traitements médicaux aux interférons sont... une dysfonction de la thyroïde qui n'est plus capable de produire suffisamment d'hormones (on parle alors d'hypothyroïdie)! Ainsi, les dysfonctions thyroïdiennes post-vaccinales ne se limitent pas aux seules atteintes auto-immunes (thyroïdites d'Hashimoto ou maladie de Basedow) mais peuvent aussi consister en une sorte de dégénérescence de la glande.

 

Il s'agit d'une compréhension d'autant plus importante qu'un ralentissement thyroïdien impacte tout le métabolisme qui va alors se ralentir, favorisant ainsi la prise de poids, voire l'obésité.

 

Mais la glande thyroïde n'est hélas pas la seule glande endocrine à pouvoir être perturbée par la vaccination, les surrénales ainsi que les ovaires peuvent aussi en pâtir. Ainsi, la littérature scientifique et les données observationnelles relatent un lien entre vaccins anti-tétaniques notamment et altération des glandes cortico-surrénales (NB: des maladies comme le Syndrome de Cushing ou la maladie d'Addison sont des maladies qui altèrent profondément le métabolisme et le poids, la première pouvant donner lieu à une obésité). Après le Gardasil, plusieurs jeunes filles ont présenté de sérieux problèmes ovariens avec un phénomène de prise de poids inquiétante. Là encore, cela montre que les vaccins peuvent gravement impacter le métabolisme tout entier, de par leur altération de notre système glandulaire.

 

On comprend dès lors mieux à quel point encourager la vaccination des diabétiques ou des obèses est un véritable non sens, tout à fait préjudiciable à la santé publique et au budget de la Sécurité sociale.

 

Vaccination & maladies auto-immunes inflammatoires:

 

On recommande de vacciner ces malades "comme les autres". Polyarthrite rhumatoïde, maladie de Crohn ou recto-colite hémorragique font partie de ces maladies dites auto-immunes inflammatoires. Dans ces maladies, le système immunitaire s'attaque aux tissus de l'organisme lui-même avec de gros dégâts à la clé. On place donc souvent ces malades sont thérapie immuno-suppressive qui a donc généralement un effet oncogène, dans la mesure où cela freine le système immunitaire (qui a entre autres, comme rôle, celui de l'immunovigilance, contre les cellules potentiellement anormales/cancéreuses qui peuvent potentiellement se former à tout instant dans l'organisme).

 

Hélas, il faut savoir que les adjuvants des vaccins peuvent exacerber ces états mais en outre, aussi les générer de toutes pièces. Pour bien comprendre, il faut surtout savoir que l'effet de ces adjuvants est incontrôlable: ils sont censés booster la production d'anticorps en faisant produire à l'organisme un taux tout à fait anormal et anti-physiologique d'anticorps, soit beaucoup plus que ce qui se passe en cas d'infection naturelle, bien qu'il n'ait toutefois jamais été prouvé qu'un taux aussi élevé soit meilleur qu'un taux plus modeste. Toute la théorie vaccinale repose donc là-dessus, sur la production d'anticorps. C'est pourquoi les études financées par les pharmas regorgent en réalité de dosages et de titres d'anticorps après tel ou tel vaccin, des études qui n'intéressent donc pas grand monde au sein du public mais servent surtout à ébahir bêtement les décideurs et les "leaders d'opinion".

 

Pour arriver à ces taux explosifs d'anticorps chez une grande majorité de vaccinés, les industriels recourent à des adjuvants, ces molécules censées accroître le temps de contact entre les antigènes du vaccin et les cellules de notre système immunitaire (macrophages et cellules dites "présentatrices d'antigènes"). Parmi ces adjuvants, on peut citer de façon non exhaustive l'aluminium, sous diverses formes chimiques, ainsi que le squalène, ou encore une forme mixte comme l'AS04 du Cervarix et du Fendrix (= un mix d'aluminium et de mono-phosphoryl lipide A). Ces substances sont connues pour pouvoir favoriser l'auto-immunité.

 

L'immunologiste israëlien Yehuda Shoenfeld l'a évoqué dans ses publications sur le syndrome ASIA (= auto-immune/inflammatory syndrome induced by adjuvants; syndrome des maladies auto-immunes et inflammatoires induit par les adjuvants).

 

Utilisé dans les vaccins anti-H1N1 (notamment générateurs de narcolepsies) ou dans un vaccin comme le Fluad de Novartis (antigrippal saisonnier), le squalène aussi est une substance particulièrement à même de générer des maladies auto-immunes lorsqu'elle est injectée, précisément parce que notre corps contient aussi du squalène. Par conséquent, injecter une substance que nous avons en nous pose aussi le risque de générer des anticorps contre nos propres composants et de déboucher dès lors sur divers troubles auto-immuns.

 

L'auteur américain Gary Matsumoto qui a investigué très attentivement le sujet du squalène injectable écrit (et nous avions d'ailleurs notamment fait copie de cela aux autorités belges et à la Ministre de la Santé, Laurette Onkelinx, dès l'automne 2009):

 

« C’est dès 1987 que les scientifiques de l’armée ont ajouté du squalène dans les prototypes du nouveau vaccin contre l’anthrax. […] Quand Michael Whitehouse de l’UCLA Medical School et Frances Beck ont, avec d’autres produits, injecté du squalène à des rats et cobayes dans les années 1970, peu de produits huileux étaient plus efficaces pour provoquer les versions animales de l’arthrite et de la sclérose en plaques. (Ch. 11, -85).

 

A la fin des années 1990, l’Institut Karolinska de Suède a démontré que l’injection de squalène en elle-même était susceptible de provoquer l’arthrite (Ch. 11, 86). L’Académie des Sciences de Pologne a démontré que le squalène à lui seul était susceptible de provoquer de graves dégâts neurologiques. (Ch.11, 87) […] Les anticorps anti-squalène retrouvés dans les malades du personnel militaire Américain et Britannique apportent la preuve que les expériences militaires peuvent avoir causé plus de victimes avec le nouveau vaccin contre l’anthrax que n’en ont fait les armes à base d’anthrax depuis qu’elles furent pour la première fois utilisées par l’armée japonaise dans les années 1940. […]

 

Les soldats chez lesquels on détecta des anticorps positifs présentaient des symptômes qui correspondaient à la définition de l’Air Force pour le Syndrome de la guerre du golfe- fatigue, éruptions, pertes de mémoire, maux de tête, douleurs dans les articulations, vertiges…Pour de nombreux autres ce fut le diagnostic de lupus, de sclérose en plaques et d’arthrite rhumatoïde – autant de maladies provoquées chez les animaux par l’injection de squalène. Toutes sortes de maladies reprises sur la liste de BIOPORT sur sa nouvelle notice après que la FDA eut révélé qu’elle avait trouvé du squalène dans le vaccin contre l’anthrax. […]    Il existe maintenant des documents dans plus de 24 journaux scientifiques (peer-reviewed) – de dix laboratoires différents aux Etats-Unis, en Europe, en Asie et en Australie – documentant le fait que les adjuvants à base de squalène peuvent induire des maladies auto-immunes chez l’animal.

  

Les scientifiques ont fait ces observations sur des souris, des rats, des cobayes et des lapins. L’Institut Karolinska a démontré que la squalène à lui seul pouvait provoquer la version animale de l’arthrite rhumatoïde. L’Académie des Sciences de Pologne a montré que, chez les animaux, le squalène pouvait provoquer des dégâts importants au système nerveux et au cerveau. L’Université Florida Medical School a démontré que le squalène pouvait induire la production d’anticorps spécifiquement associés au lupus érythémateux

 

En dépit de ces données gravissimes, les autorités ont recommandé aux malades chroniques de recevoir le vaccin H1N1 en 2009...

 

Au printemps 2009, la presse diffusait déjà la fausse information selon laquelle "Les patients souffrant de maladies auto-immunes peuvent être vaccinés comme les autres.".

 

Dans le cadre d'un symposium d'immunologie, sponsorisé notamment par la firme pharma Abbott (elle-même productrice de vaccins), le virologue Marc Van Ranst avait alors affirmé:

 

« Les patients souffrant de maladies auto-immunes, telles que la maladie de Crohn, le psoriasis ou l'arthrite rhumatoïde, peuvent être vaccinés comme les autres. On est souvent trop prudent alors que seuls les vaccins vivants nécessitent une vigilance accrue. 

 

Les patients souffrant de maladies auto-immunes courent davantage de risques d'infection, en partie à cause de la maladie elle-même mais aussi à cause des traitements qui mettent à mal leur système immunitaire.

 

Nous constatons 2 types d'erreurs: certains ne vaccinent pas du tout de crainte d'aggraver le mal; d'autres ne vaccinent pas car ils pensent que les vaccins ne fonctionnent pas chez ces patients, ce qui là aussi est incorrect.

 

Il n'existe pas de contre-indications en ce qui concerne les vaccins classiques, comme ceux contre les maladies infantiles, la grippe, l'hépatite, le tétanos et même le cancer du col de l'utérus. Les vaccins marchent sans doute moins bien mais ce n'est pas une raison pour ne pas vacciner

 

On l'a vu plus haut, ces affirmations du Pr Van Ranst n'engagent donc que ceux qui les croient car les "vaccins classiques" comme il les appelle, contiennent pour la majorité d'entre eux, de l'aluminium et/ou du squalène ou en tout cas des adjuvants problématiques. Ce n'est d'ailleurs pas un hasard si les pharmas testent toujours leurs vaccins sur des gens sains et donc jamais sur le public déjà fragilisé à qui l'on recommande cependant aveuglément de se faire vacciner!

 

En conclusion, que constate-t-on ? Une fois encore, que les conseilleurs ne sont pas les payeurs. Sous prétexte de soi-disant prévenir quelques maladies infectieuses ciblées, les vaccinations entraînent des risques tout à fait disproportionnés, variés et nettement plus nombreux de maladies chroniques et auto-immunes.

 

Par conséquent, quand une personne souffre déjà d’une maladie chronique, elle doit d’autant mieux être informée, non seulement du fait que les vaccins sont à même d’occasionner des maladies comme celle(s) dont elle souffre mais en plus, que ces vaccins induisent aussi logiquement un risque non négligeable d’exacerbation et d’aggravation de leur maladie et de leur état clinique. Ne pas informer les malades chroniques de ces données scientifiques, de même que du fait que les essais cliniques n’ont pas porté sur des malades chroniques, constitue une faute médicale et une tromperie impardonnable du patient. Cela l’amène de facto à être cobaye malgré lui et cela relève des dispositions pénales relatives à l’expérimentation sans consentement.

 

Enfin, il est tout de même opportun de redire ici un ou deux mots au sujet des conflits d’intérêts. Le président du Conseil Supérieur belge de la Santé qui a signé cette invitation (le Pr Jean Nève), est le même qui déclarait avec un fatalisme insupportable dans une vidéo qu’en matière de vaccination, il y aurait nécessairement des conflits d’intérêts. Jean Nève est cette personne qui avait déclaré dans le Soir en 2010 qu’il n’y avait rien à cacher au sujet des conflits d’intérêts bien que son instance avait initialement refusé de fournir au journaliste indépendant David Leloup les déclarations d’intérêts de plusieurs de ses membres, au motif de « protection de la vie privée » ! On voit donc ici de qui il s’agit…

Si on jette un œil aux « grands experts » invités, on épinglera notamment les noms des Prs Van Laethem et Lévy, liés comme investigateurs cliniques ou par des honoraires de consultance à des fabricants de vaccins ayant pignon sur rue comme Pfizer, GSK, Sanofi etc

 

Etant donné la hausse conséquente des maladies chroniques et auto-immunes dans la population et la volonté expansionniste des pharmas (qui ont près de 300 nouveaux vaccins en attente dans leur pipeline), on aperçoit donc assez mal comment des experts liés à ces pharmas pourraient inviter à la moindre prudence consistant à ne surtout plus vacciner ces gens déjà fragilisés ! Cela reviendrait purement et simplement à condamner à terme tout le marché des vaccins… qui auront à force, fini par niveler totalement la santé publique par le bas en faisant d’une majorité de gens des malades chroniques.

 

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26 novembre 2012 1 26 /11 /novembre /2012 11:06

Madame Marisol Touraine, Ministre de la santé.

 

 

Loos-en –Gohelle le 25 novembre 2012.

 

 

Madame la Ministre,


Un groupe de personnes pour lesquelles le diagnostic de myofasciite à macrophages a été posé, entame  dès lundi une grève de la faim mettant ainsi leur vie en danger. Elles sont convaincues de la nocivité de l'aluminium vaccinal. Elles sont – comme moi – surprises que les travaux universitaires entrepris à l’Hôpital Henri Mondor par l’équipe du Pr. Romain Gherardi connaissent des difficultés tout à fait anormales et risquent d’être interrompues. La réalité de l’état dans lequel ces personnes se trouvent est indiscutable. La responsabilité de l’aluminium est plus que très probable. L’urgence de poursuivre les recherches et dans l’attente des résultats, la mise en place d’un moratoire concernant l’utilisation des vaccins contenant de l’aluminium en particulier, est nécessaire.

 

J’avais à l’époque (1986) au moment où le Professeur Douste-Blazy, qui était Ministre de la Santé, mettait en place une campagne de vaccination contre l’hépatite virale B sur la base – c’est démontré depuis – de mensonges, initié une campagne de signatures de médecins exigeant un moratoire de ces campagnes. Plus de 1500 médecins et universitaires avaient signé l’appel. Le successeur de Monsieur Douste-Blazy, Monsieur Bernard Kouchner avait arrêté cette campagne pour que des études, sur les éventuelles conséquences du vaccin, sur la réalité de l’incidence de l’hépatite B en France et sur les effets secondaires des vaccins soient mises en place. 

 

Sang contaminé, hormones de croissance par le virus de l’hépatite C et du SIDA, amiante, Vioxx, Distilbène, Médiator, diffusion incontrôlée des OGM, dangerosité du virus H1N1 surestimée, etc…  la liste est déjà longue des scandales de santé publique.

 

Je rappelle à ce sujet en particulier dans les suites de l’affaire du sang contaminé, que le haut fonctionnaire qu’est Monsieur Didier Tabuteau a publié un petit livre, qu’il faudrait offrir à tous les décideurs de la santé publique et du soin quelles que soient leur activité : « La sécurité sanitaire ». Dans la préface à cet ouvrage, le Professeur Félix Reyes, qui était Doyen de la faculté de médecine de  Créteil écrivait : « La leçon du SIDA transfusionnel est là : que soient définis clairement les niveaux de responsabilité, proscrit le mélange des genres, dissociées  les fonctions d’expert, de décideur et de gestionnaire. L’efficacité d’une thérapeutique est une chose, les considérations tarifaires une autre ». Avec des médecins amis, nous avions désigné cette réalité : la politique des 3 casquettes. Il y a donc bientôt 20 ans, la nocivité pour la santé publique de cette politique était la leçon tirée du scandale du sang contaminé. Y a-t-il eu des changements depuis ? Aucun, strictement aucun, sauf quelques petits ripolinages par-ci par-là. Le problème reste entier et repose désormais sur vos épaules.

 

Je tiens particulièrement à souligner combien le statut des vaccins dans notre pays est anormal voire scandaleux. Ils sont considérés comme des médicaments sans être soumis à la règle commune de tous les médicaments. Je n’ignore pas à ce sujet que le rôle de l’industrie pharmaceutique uniquement centré sur la recherche du profit maximum et à tout prix – voir les scandales du médiator et autres – est en matière de santé publique un problème crucial. Et ce problème c’est le contrôle strict de cette industrie par les pouvoirs publics et les usagers. Quand verrons-nous un gouvernement et un ministre de la santé prendre ce problème à bras le corps, sans se poser au préalable la question de l’économie et des exportations ? Quand cessera réellement la politique des 3 casquettes ?

 

Je rappelle par ailleurs que Monsieur François Hollande, actuel Président de la République, avait pendant sa campagne électorale, tenu des propos clairs sur le sujet précis des myofasciites à macrophages et plus globalement sur les principes actifs des médicaments et des vaccins. Dans ses propos il avait en particulier "ciblé" certaines molécules et, parmi elles, les hydroxydes d’aluminium. Ces propos l’engagent et vous engagent Madame la Ministre.

 

Je ne doute pas, Madame la Ministre, que vous ferez vôtre le principe de précaution et que vous vous empresserez de prendre ces mesures indispensables à la sécurité sanitaire de la population. Par la même occasion vous permettrez aux grévistes de la faim de ne pas poursuivre leur mouvement. Vous comprenez que cela nécessite des décisions urgentes.

 

J’ai participé en 1986 à un groupe de travail mis en place par Madame Georgina Dufoix à la demande expresse du Président de la République, Monsieur François Mitterrand, sur l’évaluation des médecines différentes. Ce groupe de travail était paritaire. Une large consultation publique avait pu être mise en place. Le rapport a été publié par la Documentation Française mais malheureusement aussitôt enterré et ce rapport n’est plus disponible.

 

En 1983, le Ministre de la santé, Monsieur Jack Ralite a organisé une large consultation sur le cancer. Les rapports se sont aussi perdus.

 

Ces deux séries d’évènements montrent que sous les gouvernements de vos amis politiques il avait été tenté de faire bouger les lignes en impliquant les usagers.  Je pense qu’il serait de votre responsabilité de courageusement organiser une vaste consultation publique sur ce problème de l’aluminium dans les vaccins et plus généralement sur la politique vaccinale.

 

En espérant que mon courriel retiendra votre attention, je vous prie d’agréer, Madame la Ministre, l’expression de ma respectueuse considération.

 

Docteur Jacques Lacaze

 

 

                                                                                              Ozillac, le 25 novembre 2012.

 

Madame la Ministre,

          

J’apprends avec inquiétude que des malades de myofasciite à macrophages s’apprêtent dès lundi à suivre une grève de la faim et mettent ainsi leur vie en danger pour que la nocivité de l'aluminium vaccinal soit enfin reconnue et prise en compte par les autorités publiques de santé.

 

En tant que médecin je suis profondément troublé que ces personnes doivent engager cette démarche afin que les autorités politiques et sanitaires prennent enfin au sérieux leurs engagements et leurs responsabilités pour soutenir et favoriser les recherches déjà engagées dans ce domaine par l’équipe de l'hôpital Henri Mondor.

 

Sang contaminé, hormones de croissance, amiante, Vioxx, Distilbène, Médiator, diffusion incontrôlée des OGM, virulence du virus H1N1, etc…  Cette liste des scandales de santé publique doit-elle encore s’allonger ?

 

N’est il pas incompréhensible et donc scandaleux que les responsables de la santé publique ou les responsables politiques soient informés des risques mais ne prennent pas les mesures qui s'imposent ? Beaucoup de médecins et chercheurs sont aujourd’hui persuadés, comme moi, de la nocivité des adjuvants aluminiques. Il est donc temps par conséquent de les interdire ou de décréter un moratoire, d’autant que d’autres adjuvants existent ne présentant pas les mêmes risques (autrefois, avant l’aluminium, le phosphate de calcium était utilisé).  L’aluminium ne vient-il pas d’être interdit dans les cosmétiques ? Pourquoi ne l’est-il pas dans certains vaccins qui sont injectés en intra musculaire ?

 

J’espère, Madame la Ministre, que vous ferez vôtre le principe de précaution et que vous vous empresserez de prendre ces mesures indispensables à la sécurité sanitaire de la population. D’autant plus qu’au cours de la campagne présidentielle, vous avez écrit à E3M :


« La préservation de la santé humaine passe par une meilleure connaissance des déterminants environnementaux de santé, notamment ses facteurs physiques et chimiques. (…) De nombreuses études ont ainsi alerté sur le possible potentiel cancérigène et perturbateur endocrinien des sels d'aluminium. (…) La nature des adjuvants utilisés dans leur fabrication doit faire l'objet d'une attention particulière et doit être communiquée aux familles afin qu'elles soient pleinement informées. Si ces paroles ont un sens, nous pensons que cela nécessite des décisions urgentes et permettrait aux grévistes de la faim d’arrêter leur action. Mais surtout cela libérerait la remise en cause de la vaccination dans la population.

 

En espérant que mon courriel sera pris en considération,  je vous prie d’agréer, Madame la Ministre, l’expression de ma considération.

 

Docteur Didier Tarte

 

Voir aussi ici: la Ministre M. Touraine souhaite que les recherches sur l'aluminium vaccinal puissent se poursuivre.                                     

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25 novembre 2012 7 25 /11 /novembre /2012 22:30

armee-italienne.jpg

La Commission d'Enquête parlementaire sur l'uranium appauvri semble avoir trouvé une nouvelle cause à plusieurs cas de cancers détectés chez des soldats italiens.

 

Les études réalisées montrent la responsabilité des vaccinations multiples et répétées, telles que pratiquées hors protocole au sein de l'armée; celles-ci affaiblissent le système immunitaire, rendant ainsi les organismes plus sensibles en cas d'exposition à différents produits chimiques (uranium appauvri, dioxines, produits chimiques des décharges et des industries,...) et augmentant alors le risque de développer des maladies graves, comme le cancer.

 

Les doutes sur le fait que l'uranium n'est pas la seule cause possible de cancers au sein de l'armée, résident dans le fait que 85% des militaires touchés n'étaient jamais partis en mission à l'étranger (mais ils avaient néanmoins tous été vaccinés...)

 

En effet, même si les soldats étaient restés en Italie, leur exposition aux produits chimiques les rendait d'autant plus à risque de développer un cancer si leur système immunitaire avait été attaqué/malmené, comme c'est le cas après plusieurs vaccinations inoculées en un court laps de temps.

 

Déjà en 2007, le Ministre de la Défense Arturo Parisi déclarait au Comité: "Les militaires qui ont développé des cancers et qui semblent être partis à l'étranger entre 1996 et 2006, sont au nombre de 255 personnes tandis que ceux qui sont tombés malades sans avoir pris part à des missions internationales sont au nombre de 1427." Ces chiffres ont doublé en 2012: 698 patients parmi ceux qui sont partis en mission à l'étranger contre 3063 qui sont restés en Italie, pour un total de 479 décès (données épidémiologiques de la Défense).

 

Source: Italiasalute.it (9/10/12)

 

Infos complémentaires intéressantes parues quelques jours + tôt dans la Republica:

 

Des experts internationaux établissent un lien entre les cancers dans l'armée et les vaccinations.

 

[...] David était en bonne santé lorsqu'il a été vacciné le 19 juin 2006 dans le cadre de son service militaire, à Vérone. La veille, il avait encore gagné un marathon local, mais après sa dernière injection, il est tombé à terre et à perdu connaissance. Aujourd'hui, il doit vivre avec un handicap de 90% dû à une neuropathie, une maladie neurologique auto-immune, dans laquelle la charge en métaux toxiques des vaccins pourrait avoir joué un rôle et gravement altéré son système immunitaire. David a été accusé puis acquitté du crime de désertion (!). Sa famille a entamé une bataille difficile afin de faire reconnaître le préjudice subi par leur fils suite aux vaccinations injectées dans le cadre de son service militaire. En dépit des analyses de laboratoire et des cartes de vaccination pleines d'irrégularités, la mère de David, qui a rencontré plusieurs autres familles dans des situations similaires, explique: "Nous sommes face à un mur infranchissable, on a l'impression de crier dans le désert."

 

[...] Pour le Professeur de médecine Antonio Giordano, du Sbarro Institute de Philadelphie, dont le journal italien La Republica nous assure que son impartialité ne fait aucun doute:  "Il existe un lien reconnu et étroit entre les vaccinations et l'affaiblissement du système immunitaire."

 

Les journalistes de la Republica demandent alors au Pr Giordano ce qu'il répondrait à un soldat qui viendrait lui demander son avis sur le fait de devoir réaliser une douzaine de vaccinations en-déans le mois? Le Professeur Giordano répond: "Je lui expliquerais qu'il pourrait tout aussi bien se suicider." Et le Professeur Giordano de proposer aux Instituts Sbarro du Cancer et de biologie moléculaire de Philadelphie de réaliser gratuitement des études scientifiques destinées à faire éclater la vérité. Une proposition qui semble avoir même retenu l'attention des autorités italiennes compétentes.

 

La Commission d'Enquête sur l'uranium appauvri enquête donc à présent sur les vaccinations, un sujet jusqu'ici passé sous silence, en dépit des avertissements croissants de plusieurs médecins et de nombreuses familles ces dernières années. "Ils ont essayé de taire tout ça jusqu'ici, en raison des intérets financiers en jeu et surtout parce que ces résultats dérangeants obtenus chez les militaires peuvent tout aussi bien être transposés aux civils" explique le médecin et fonctionnaire de police Dr Massimo Montinari, "mais maintenant il semble que, même au sein du monde politique, un changement soit en marche."

 

Fin 2011, des indemnités ont été accordées à 110 militaires sur 350, touchés par des maladies incriminant des substances toxiques. Les indemnités pouvaient s'élever à 200 000 euros. Mais maintenant, à la lueur de cette nouvelle piste et de l'implication des vaccins, les 240 dossiers qui avaient été rejetés pourraient tous être rééxaminés.

 

Une étude commandée en 2004 à différentes universités italiennes (Gênes, Rome, Pise) a montré qu'au-delà de 5 vaccinations, on compromet automatiquement le système immunitaire. Dans le rapport final du projet Signum (projet d'investigation diligenté par la Commission d'Enquête), sorti le 17 janvier 2011, il est clairement indiqué que les sujets hypervaccinés, exposés à des substances toxiques comme l'uranium appauvri, les dioxines ou d'autres pollutions environnementales, peuvent plus facilement développer des maladies graves.

 

En outre, on a ignoré jusqu'ici des études internationales aboutissant aux mêmes résultats et menées par des chercheurs réputés et indépendants, comme le Pr Giulio Tarro, médaillé d'or du Président de la République et mondialement connu en matière de maladies infectieuses ou encore Franco Noble, du Centre d'excellence contre le Cancer de Sienne et qui a aussi mené des études sur les forces armées.

 

[...] Pour ce qui est des dommages vaccinaux présumés au sein de l'armée, les plaintes sont  principalement de deux ordres.

 

- celles concernant la violation des protocoles vaccinaux par les médecins militaires (qui étaient possiblement ignorants des risques encourus et qui voulaient vacciner un maximum). Ces plaintes impliquent le Ministère de la Défense.

 

- celles concernant le contenu même des vaccins, puisque de nombreuses études scientifiques montrent que les maladies auto-immunes et les cancers peuvent impliquer les métaux toxiques des vaccins, dont le mercure. Dans ce cas-là, c'est le Ministère de la Santé qui est en cause, ainsi que l'industrie pharmaceutique.

 

Ces métaux toxiques ont été retrouvés en grande quantité dans le corps de David. Pour le Pr Tarro, les vaccins militaires ne sont pas tout à fait les mêmes que ceux destinés aux civils, les vaccins militaires contenant davantage de mercure en raison d'une présentation en flacon multidoses. Il estime qu'à l'armée, ces doses de métaux toxiques sont "des doses de cheval".

Pour Tarro, un des mécanismes en cause est l'amas considérable de métaux lourds des vaccins reçus en un court laps de temps, métaux qui se lient alors aux triglycérides du corps et peuvent dans ce cas devenir un facteur de maladie cardiaque.

 

Source: Republica.it (extraits)

 

NB: Merci au lecteur vigilant nous ayant signalé cette information très importante!

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23 novembre 2012 5 23 /11 /novembre /2012 22:20

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22 novembre 2012

 

BUCAREST - Les vaccinations contre la tuberculose administrées aux nouveau-nés ont été suspendues temporairement après l'apparition d'effets secondaires dus à un vaccin importé du Danemark, a annoncé jeudi le ministère roumain de la Santé.


Les autorités ont sollicité l'expertise du Centre européen de prévention et de contrôle des maladies et de l'Organisation mondiale de la santé (OMS) pour une opinion neutre et avisée. (sic !)


Nous n'avons pas pris cette décision parce que nous avons des suspicions sur la qualité de ce vaccin mais parce que nous souhaitons mettre fin aux conjectures et informer de façon claire et correcte la population, a expliqué le ministre, Raed Arafat.


Il a ajouté que les experts étrangers arriveraient en Roumanie au plus tard dans deux semaines.


A la mi-novembre, 115 cas de réactions indésirables avaient été enregistrés au niveau national depuis la mise en circulation de ces vaccins en février 2011.


Selon les autorités, environ 200.000 nouveau-nés ont été vaccinés avec le vaccin danois, administré gratuitement à tous les enfants dans les maternités.

 

Source: AFP/ Romandie

 

Avez-vous déjà remarqué comme ces retraits/suspensions de vaccins sont fréquents à l’échelle du monde, de même que les infos sur les effets secondaires de vaccins ?

 

N’est-ce pas là une sérieuse raison de réfléchir avant de vacciner son enfant EN BONNE SANTE, ayant donc plus à perdre qu’à gagner ?

 

Ce qui est aussi révélateur, en outre, c’est le déni systématique des autorités : bien qu’il soit pourtant mentionné noir sur blanc dans cette dépêche que le retrait intervient A CAUSE d’effets secondaires recensés, les autorités essaient encore de nier en parlant implicitement de retrait préventif (« pour tirer les choses au clair ») plutôt que d’incriminer ce qu’ils appellent « la qualité du vaccin ». Pourquoi ? Parce que les effets secondaires des vaccins sont tabou, de même que le dogme vaccinal.

 

Les vaccins « gratuits » s’avèrent en réalité être des cadeaux empoisonnés à de jeunes enfants à peine nés, qui n’ont pas leur mot à dire, mais qui risquent néanmoins d’être lésés à vie par ces procédures standards et pas du tout adaptées à leur constitution propre.

 

Sur 200 000 enfants, combien risquaient réellement la tuberculose ? Sur ces 200 000 enfants vaccinés, combien auraient quand même attrapé la tuberculose en dépit du vaccin ? Voilà des questions plus qu’intéressantes compte tenu de tous ces risques, mais hélas, trop rarement abordées !

 

Quant à la sollicitation de l'OMS et du Centre Européen de Contrôle des Maladies (ECDC) pour "une opinion neutre et avisée"... on ne peut que s'esclaffer et l'on connaît d'ores et déjà la réponse! A croire que l'épisode du H1N1 n'a pas du tout ouvert les yeux aux dirigeants roumains... à moins qu'ils n'aient tout simplement pas le choix et que ce simulacre d'enquête implique à chaque fois obligatoirement l'appel à l'OMS?

 

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23 novembre 2012 5 23 /11 /novembre /2012 22:00

Alors que les Mutualités Chrétiennes tiraient il y a peu hypocritement la sonnette d'alarme avec la hausse inquiétante des cas de diabète, mais sans toutefois dire le moindre mot sur le lien franc qui existe entre le diabète de type 1 et les multiples vaccinations infantiles, on peut à présent lire une dépêche Belga qui confirme finalement en tout point ce que nous disons déjà depuis des mois, à savoir que la santé des gens, et notamment des enfants, se dégrade dangereusement et qu'on assiste donc à un véritable nivellement par le bas de la santé publique.

 

En clair, en prétendant protéger de tout et de rien, on fait littéralement PIRE QUE BIEN.

 

Dépêche Belga en question (puis commentaire additionnel, dans l'encadré final):

 

Les enfants belges avalent toujours plus de médicaments

 

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Les enfants belges avalent plus de médicaments que jamais. La consommation de médicaments chez les moins de 18 ans a augmenté de 15 % en cinq ans, selon des chiffres de l'Institut national d'assurance maladie-invalidité (Inami) rapportés jeudi par le quotidien Het Laatste Nieuws.

 

Cette hausse vaut pour près de l'ensemble des médicaments destinés aux enfants. Ainsi, près de 12 des 15 médicaments les plus souvent prescrits aux mineurs ont vu leur consommation augmenter entre 2007 et 2011.


La hausse la plus importante est constatée dans la catégorie des médicaments anti-reflux, dont la consommation a augmenté de plus de 50 %. Plus de 3 millions de médicaments de ce type sont prescrits chaque année.


Les médicaments contre les psychoses, comme la schizophrénie (+37 %) et les troubles du déficit de l'attention avec hyperactivité (TDAH) (+35 %) sont de plus en plus utilisés d'année en année, tout comme les médicaments contre le diabète (+24 %) et l'asthme (+21 %).


Des chiffres qui interpellent pédiatres et pédopsychiatres, qui parlent d'une surmédication.


"Nous prescrivons beaucoup trop facilement et beaucoup trop de médicaments aux enfants", réagit le professeur en pédiatrie Tvan Vandenplas (VUB), pour qui il faut inverser cette tendance, évoquant notamment les effets secondaires dangereux de certains médicaments.


Un sentiment partagé par le psychanalyste Stijn Vanheul (UGent). "Les personnes considèrent de plus en plus la médecine comme un produit de consommation. Tout comme pour un ordinateur, qu'on remplace quand il est cassé, une maladie doit aussi être réglée en deux temps trois mouvements, en faisant usage de médicaments."

Belga (22 novembre 2012)

 

On a vraiment là un triste aperçu de l’ignorance et de l’incohérence médicales !

 

Alors que des études accablantes permettent de relier une grosse partie des ces maladies aux vaccinations infantiles, ces pédopsychiatres se contentent de dire qu’on donne trop de médicaments aux enfants. Ces gens-là se limitent donc au constat des conséquences mais sans jamais OSER s’intéresser aux véritables causes. Pourtant, n’importe quel médecin intègre ET intelligent est susceptible de faire un petit historique des nouveaux vaccins ajoutés ces 5 dernières années ou peu avant, au calendrier vaccinal de l’enfant et de l’adolescent :

 

- Infanrix Hexa (= vaccin « 6 en 1 » incluant l’hépatite B, à quasi tous les nourrissons !)

 

- Vaccination anti-pneumocoques (Prevenar et maintenant aussi Synflorix)

 

- Vaccination anti-rotavirus (diarrhée du nourrisson ; Rotarix, Rotateq)

 

-  Vaccination contre le méningocoque C (Meningitec, Menjugate, NeisVac, etc)

 

-  Vaccination anti-HPV (Gardasil et Cervarix)

 

- Rappel de vaccination anti-coquelucheuse chez les adolescents (Boostrix)

 

La vaccination favorise l’apparition d’asthme et de diabète de type 1 (hépatite B, Hib, etc). De même, des études démontrent une proportion très nettement accrue d’enfants hyperactifs parmi les enfants vaccinés (ce n’est pas tellement étonnant car la plupart de ces vaccins renferment des substances NEUROTOXIQUES comme l’aluminium, càd, des substances capables d’endommager notamment le système nerveux mais pas seulement). Des médecins attentifs qui ont l’occasion de comparer des enfants vaccinés avec des enfants n’ayant jamais reçu la moindre injection, n’ont du reste pas besoin non plus d’être statisticiens pour constater que les premiers souffrent nettement plus souvent de reflux que les autres.

 

Maintenant, c’est aux parents de choisir : continuer à suivre aveuglément l’establishment médical qui n’est pas là au quotidien pour assumer à leurs places les souffrances inutiles infligées à leurs enfants suite à un interventionnisme vaccinal incessant et impardonnable ou bien agir avec logique et respect de la santé GLOBALE de leurs enfants. Plus on vaccinera les enfants et les gens et plus le nombre de maladies chroniques et désespérantes augmentera, ceci est une certitude absolument incontournable.

 

 

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15 novembre 2012 4 15 /11 /novembre /2012 13:13

justice La preuve du défaut d’un vaccin contre l’hépatite B

 

Le défaut d’un produit peut-il être prouvé par des présomptions de fait ?

 

Posté par Mathieu Schell Master II Droit de la Santé

 

Date : 12 novembre 2012

 

À l’occasion d’un arrêt rendu le 26 septembre 2012, les juges de la Cour de cassation ont renforcé leur jurisprudence sur la preuve du lien causal entre l’apparition de la sclérose en plaques et la vaccination contre l’hépatite B. Ils y reconnaissent la possibilité, pour la victime, de prouver la défectuosité d’un produit par des présomptions graves, précises et concordantes.

 

« Une nouvelle voie s’ouvre ainsi aux victimes de vaccination contre l’hépatite B pour obtenir l’indemnisation de leur préjudice. »

 

Lire la suite: ICI

 

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14 novembre 2012 3 14 /11 /novembre /2012 21:18

Le décès d’un lycéen serait lié à l’administration d’un vaccin périmé

 

14/11/2012 - par La Rédaction

 

Cela s’est passé au nouveau lycée de Aïn El Hammam (Tizi Ouzou)

deces-lyceen-algerie.jpg

 

En effet, un lycéen en 1ère AS âgé de 18 ans, Sadaouli Ahmed, originaire du village Tiferdoud, dans la commune d’Ath Vouyoucef, est décédé il y a cinq jours après qu’on lui eut administré un vaccin antigrippal au niveau de l’infirmerie du nouveau lycée de Ain El Hammam. Bien que l’information n’est pas encore confirmée au sujet de la raison exacte du décès, il semblerait que c’est le vaccin en question qui serait la cause directe de décès du jeune lycéen.

 

C’est le choc ! Ce qui vient de se passer à Ain el Hammam, localité située à environs 55 kilomètres au sud-est de la wilaya de Tizi Ouzou est d’une extrême gravité

 

C’est encore plus grave quand on sait que tout porte à croire que cette affaire a été étouffée dans l’œuf afin de ne pas faire de scandale. Cet étouffement, s’il a lieu, on ne sait avec quelle dextérité il a été opéré.

   

Selon des informations qui nous sont parvenues de Ain El Hammam, sept autres lycéens du même établissement, sont toujours hospitalisés au niveau de l’hôpital Ahmed Ali Amar de la ville. 


Les lycéens, sous le choc et en colère sont sortis, avant-hier lundi, dans la rue pour exprimer leur mécontentement et dénoncer ce qui venait de se passer. En effet, nos sources, ajoutent que les élèves des deux établissements du secondaire de cette localité, à savoir le Nouveau lycée et le le lycée Ben Boulaid, assistés par leurs camardes du lycée de la commune voisine d’Iferhounène ont organisé, une marche vers 10h00 du matin, à Ain El Hammam.

 

Lors de cette même marche, les lycéens n’ont déployé aucune banderole. Ils n’ont scandé aucun slogan. Juste un silence éloquent, qui en dit long sur leur tristesse devant l’ampleur du drame qui s’est produit dans cet établissement. 

 
Le silence et l’opacité qui entourent cette affaire qui n’a pas été médiatisée, laisse la place à de nombreuses questions. « Pourquoi, dans une région où l’on est si prompt à dénoncer tout ce qui se passe, une affaire aussi grave a-t-elle été « enterrée » ? Pourquoi les parents de la victime n’ont pas réagi ? 


Pourquoi les responsables à tous niveaux et dans les secteurs concernés, n’ont fait aucune déclaration pour confirmer ou infirmer les causes supposées de la mort du jeune lycéen ? ». 


Telles sont donc les questions qui taraudent les esprits.

  

Source: Tamurt.info

 

Apparemment, c'est peu clair, il y aurait aussi des vaccins anti-HPV périmés en Algérie (?), voici quelques liens à ce sujet: ICI et ICI

[à noter: même des vaccins anti-HPV non périmés font tourner le compteur morbide...]

 

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