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21 octobre 2012 7 21 /10 /octobre /2012 20:00

allergies

C'est un fait absolument certain, les vaccins sont une des grandes causes d'allergies. Les preuves abondent de toutes parts et les spécialistes (qui osent) l'avouent également. La situation est assez préoccupante, puisqu'en Belgique, 1 personne sur 3 est déjà allergique et l'OMS prédit déjà que ce sera 1 personne sur 2 qui sera concernée d'ici à 2030-2050.

 

En 20 ans, le nombre de vaccins administrés aux enfants aura plus que doublé et il n'est donc hélas pas très étonnant que les allergies aient aussi augmenté en parallèle. Car contrairement aux pseudo explications qui font croire de façon assez simpliste que LA cause des allergies c'est la substance ou l'aliment allergisant, la véritable cause se situe bien en amont et c'est cette cause primaire qui explique d'ailleurs que l'on n'était pas allergique depuis toujours à tel ou tel aliment ou substance (= causes secondaires).

 

En général, c'est l'ingestion ou l'exposition à telle ou telle substance pendant un phénomène immuno-perturbateur qui va faire que la personne sera allergique à ceci plutôt qu'à cela. La véritable cause est donc le mécanisme immuno-perturbateur sous-jacent et pas la substance elle-même. Car une fois encore, la personne aurait sinon été allergique depuis toujours à ces molécules!

 

Différentes études et enquêtes indépendantes ayant valablement comparé des enfants vaccinés à des enfants non vaccinés (ce qui n'est jamais fait dans les études officielles dont les résultats sont donc toujours biaisés compte tenu de cette absence de comparaison contre placebo véritable) sont toutes parvenues à des conclusions similaires: il y a significativement moins d'allergies et de maladies atopiques chez les enfants non vaccinés.

 

Voici un exemple (étude menée aux Pays-Bas sur une durée de 5 ans, comparant 312 enfants ayant reçu tous les vaccins officiellement recommandés et 231 enfants n'ayant jamais reçu le moindre vaccin de leur vie):

 

Vaccines-VS-non-vaccines--NVKP-.JPG

 

 Résultats:

 

+ de réactions allergiques chez les enfants vaccinés (89 vs 61,5 soit 30% plus)

+ d'asthme chez les enfants vaccinés (46 vs 19 soit 60% plus)

+ d'intolérances alimentaires chez les enfants vaccinés (74 vs 60,1 soit 20% plus)

+ d'eczéma chez les enfants vaccinés (167 vs 101 soit 40% plus)

 

Mais il y a certains "experts" qui oseront encore nier ce genre de résultats, en exhibant, comme expliqué par le pédiatre Dr Palevksy dans cette vidéo(sous-titrée en français), des études prétendant le contraire, études bien évidemment biaisées sans véritable comparatif neutre (= placebo) puisque toutes les études officielles comparent les vaccinés à d'autres groupes ayant reçu d'autres vaccins ou des substances toxiques et ce, au nom de l'éthique nous-dit-on...

 

Voici ce qu'a dit le Pr Lucienne Chatenoud, immunologiste à l'Hôpital Necker enfants malades à Paris:

 

"L'hypothèse la plus avancée est l'hypothèse hygiéniste. Dans tous les pays industrialisés, on observe une diminution des infections endémiques chez les jeunes enfants, liée aux programmes de vaccination et à l'utilisation des antibiotiques; or cette diminution est corrélée à une augmentation de la fréquence des maladies auto-immunes ou dysimmunitaires: diabète de type 1, sclérose en plaques, maladies inflammatoires des intestins, mais aussi les allergies."

 

Voici maintenant ce qu'a dit le Dr Valérie Dufresne, pneumo-allergologue du CHU de Charleroi le 3 novembre 2011 au JT de la RTBF:

 

"Dans nos populations, notre système immunitaire n'est plus habitué à combattre des infections, des bactéries. On vit vraiment dans un monde aseptisé et notre système immunitaire trouve une voie d'échappement. Il commence à produire des anticorps un petit peu contre n'importe quelle molécule qu'il rencontre et voilà, l'allergie se met en route."

  

Voyons à présent les tout récents propos du Dr Marie Baeck, dermato-allergologue au CHU St Luc, dans le "Question à la Une" consacré aux allergies:

 

 "Je pense qu'il y a des choses qui sont tout à fait positives, par exemple on vaccine beaucoup plus, je ne vous dirai jamais qu'il ne faut pas vacciner vos enfants au contraire, mais c'est sans doute un facteur explicatif de l'augmentation du nombre d'allergies."



En effet, créer de toutes pièces des millions d'allergiques de par le monde (avec le risque mortel que cela implique pour les personnes concernées) au nom d'une idéologie mortifère est véritablement très positif! Ce genre de réactions du corps médical, qui commence avant tout par se protéger en faisant une courbette préalable au sacrosaint dogme vaccinal, témoigne du profond malaise qu'il y a lorsqu'on prend le risque d'ébranler les ouailles dans leur foi.

 

Et quand nous parlons de millions de cas évitables dans le monde, nous n'exagérons absolument rien...

 

En 2000 déjà, une étude de l'Ecole de Santé Publique de l'Université californienne de Los Angeles (UCLA) incluant près de 14 000 enfants avait établi que la vaccination DTC (diphtérie tétanos coqueluche) multipliait par deux le risque de développer un asthme, permettant ainsi de mieux comprendre pourquoi cette maladie avait plus que doublé ces vingt dernières années avec 30 à 50 millions d'asthmatiques et d'allergiques dans ce pays.

 

Cette étude indique ainsi notamment que " 50% des cas d'asthme diagnostiqués chez les enfants et adolescents américains (2,93 millions) auraient pu être évités si la vaccination DTC ne leur avait pas été administrée. De façon similaire, 45% des cas de sinusite (4,94 millions) et 54% des épisodes allergiques affectant le nez et les yeux (10,54 millions) pourraient être évités chaque année si la vaccination DTC était interrompue."

 

Malgré ce genres de données accablantes, on continue encore et toujours, au nom du dogme et des emplois liés au secteur pharmaceutique !



Le grand public va donc inévitablement être confronté à un GRAND CHOIX dans les années qui viennent:



- soit il regarde de façon rationnelle ces données qui attestent de façon incontestable d'un lien entre vaccins et allergies, ce qui l'amène à la conclusion inéluctable que les vaccins ne sont pas aussi sûrs ni anodins qu'on le dit et que le corps médical manque quelque part de loyauté à l'égard des patients en ne leur communiquant pas ce genre de risques.



- soit il fait l'autruche, parce que "cela fait trop peur ou trop mal" de se dire qu'on ne peut décemment plus croire aveuglément le discours lénifiant des autorités ou de son médecin traitant, le plus souvent sous-informé. Dans ce dernier cas de figure, ce sont des enfants innocents qui continueront d'être "nivelés par le bas" pour le restant de leurs jours et qui paieront le douloureux prix de la crédulité parentale.



Mais il convient également de dénoncer les fausses solutions qui se profilent et qui ne profiteront qu'aux pharmas: des vaccins... anti-allergies!



Ce genre de fuite en avant serait très grave car on poursuivrait ainsi la spirale négative faite d'emplâtres sur des jambes de bois... au point de laisser progresser la gangraine de façon dramatique. Ce dont notre société a plus que jamais besoin, c'est de bon sens et de réapprendre à tirer les leçons du passé plutôt que d'avoir sans cesse la mémoire bien trop courte!



Car lorsqu'on entend les conclusions lénifiantes du Question à la Une sur les allergies, on ne peut qu'avoir peur: profiler des vaccins à 500 euros l'année (soit 1500 euros par personne allergique à traiter) comme une prétendue solution avantageuse à prendre en charge à 100% par la collectivité, c'est quelque part légitimer un gaspillage qui ne profitera encore et toujours qu'aux mêmes, avec d'autres effets secondaires encore pires qui restent désespérement non abordés.



+ d'informations sur le lien entre vaccins & allergies?



Allergies & vaccinations: y a-t-il un lien?

 

Des vaccins efficaces contre... des effets secondaires d'autres vaccins?

 

Les enfants non vaccinés sont en meilleure santé

 

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19 octobre 2012 5 19 /10 /octobre /2012 20:58

LO.-Doigt-d-honneur--1-.jpg

Souvenez-vous, il y a quelques mois, Laurette Onkelinx, la Ministre fédérale belge de la Santé publique répondait aux questions de la députée écologiste Thérèse Snoy au sujet de la sécurité vaccinale et notamment quant à leur contenance en aluminium.

 

A en croire Laurette Onkelinx, tout va pour le mieux dans le meilleur des mondes car les normes quantitatives européennes d'aluminium sont respectées pour tous les vaccins commercialisés en Belgique. Ses services lui ont donc indiqué qu'il n'y a aucun problème et même, qu'il n'existe aucun argument scientifique permettant de remettre en cause la présence d'aluminium dans les vaccins pédiatriques. Ben voyons!

 

Laurette Onkelinx argue dans sa réponse à Thérèse Snoy que, selon la pharmacopée européenne, la limite supérieure est fixée à 1,25 mg par dose de vaccin et que la plupart des vaccins en contiennent en moyenne 0,5 mg/dose.

 

Mais voyons à présent l'avis du célèbre pédiatre américain Dr Robert Sears qui n'est pas du tout anti-vaccin mais qui est perplexe par rapport à plusieurs incohérences en la matière.

 

Voici ce que celui-ci écrit notamment sur son site au sujet de l'aluminium vaccinal:

 

[Remarque préalable: 1miligramme (1mg) = 1000 microgrammes (1000 µg) et donc 10 µg= 0,01 mg; 25 µg= 0,025 mg]  FDA= Agence américaine du Médicament.

 

Dr Robert Sears

Si les bébés prématurés reçoivent  plus de 10 microgrammes par jour lors d’une injection intraveineuse (IV) contenant de l’aluminium, ce dernier peut, à des niveaux toxiques, s’accumuler dans les os et dans le cerveau…

 

L’ASPEN (The American Society for Parenteral and Enteral Nutrition) est une association qui surveille et contrôle la sécurité, ainsi que les effets secondaires des produits nutritionnels injectables ou administrés par voie orale. A propos de la sécurité de l’aluminium, ils expliquent dans « Nutrition in Clinical Practice » de 2004 qu’une accumulation d’aluminium peut se produire dans les tissus du corps des nouveau-nés qui reçoivent pendant de longues périodes des injections intraveineuses (IV) contenant de l’aluminium. Ils stipulent que la signification exacte de ce phénomène n’est pas connue. Ils rappellent cependant les recommandations de la FDA qui stipulent que les solutions nutritionnelles administrées en injections intraveineuses (IV) ne doivent pas contenir plus de 25 microgrammes d’aluminium par litre. Pour d’autres produits injectables qui contiennent de l’aluminium, aucune limite n’est exigée, mais ces produits doivent obligatoirement porter une étiquette avertissant : «  Ce produit contient de l’aluminium qui pourrait être toxique… »  L’avertissement évoque aussi les problèmes qui peuvent se poser avec des patients qui ont des problèmes rénaux,  la question des prématurés, ainsi que la limite de 5 microgrammes par jour et par kilo de poids corporel

 

D’où provient cette limite de sécurité de 4 ou 5 µg par kilo de poids corporel et par jour? C’est une étude du New England Journal of Medicine de 1997 qui a comparé le développement neurologique de 100 bébés prématurés qui ont reçu une solution nutritive standard par voie intraveineuse et qui contenait de l’aluminium, à 100 autres bébés prématurés qui ont reçu la même solution nutritive débarrassée de quasi tout son aluminium. Ce qui a déclenché cette étude, c’est la connaissance que l’aluminium injecté peut atteindre des niveaux toxiques dans le sang, les os, le cerveau. C’est aussi le fait que les prématurés ont souvent de faibles fonctions rénales et donc un plus grand risque de toxicité. C’est également le fait que des concentrations élevées d’aluminium ont, à l’autopsie, été retrouvées dans le cerveau d’un prématuré dont le décès subit est resté inexpliqué…Ces chercheurs ont tenté de prouver que l’aluminium pouvait être dangereux pour les prématurés. Il se fait qu’ils ont eu raison.

 

Les nourrissons qui reçurent des solutions injectables (IV) contenant de l’aluminium ont présenté des problèmes neurologiques et mentaux à 18 mois, comparativement aux nourrissons qui ont reçu des doses moins élevées d’aluminium…Il convient de noter qu’aucun de ces documents ou aucune de ces études ne mentionnaient les vaccins…

 

On ne comprend pas clairement pourquoi la FDA n’exige pas une étiquette d’avertissement en ce qui concerne l’aluminium qui se trouve dans les vaccins, alors qu’elle l’exige pour toutes les autres médications injectables. Il semblerait que les vaccins jouissent d’un régime d’exception.

 

Toutes ces mises en garde concernent principalement les prématurés et les personnes atteintes de troubles rénaux. Mais qu’en est-il pour les bébés en bonne santé et qui sont nés à terme ? En utilisant le critère de 5µg/kg/jour, la dose maximale qu’un nourrisson de deux mois et de 12 livres en parfaite santé puisse supporter sans problème serait de maximum 30 microgrammes d’aluminium par jour. Un bébé de 22 livres pourrait apparemment sans danger supporter au moins 50 microgrammes. Les bébés dont les reins sont en parfait état pourraient probablement supporter des doses plus élevées. Les études ne précisent cependant pas les doses maximales qui pourraient être administrées sans danger à un bébé en bonne santé. Cette information ne peut être trouvée nulle part. C’est probablement la raison pour laquelle l’ASPEN suggère, et la FDA exige que toutes les solutions injectables ne dépassent pas 25 µg, vu que ces doses sont considérées sûres.

 

Doses d’aluminium dans certains vaccins (par injection) :

 

Hib (seul le PedVaxHib) : 225 microgrammes par vaccin

Hépatite B :   250 microgrammes

DTaP (= diphtérie, tétanos, coqueluche acellulaire) : de 170 à 625 microgrammes selon le fabricant

Pneumocoque : 125 microgrammes

Hépatite A : 250 microgrammes

HPV : 225 microgrammes

Pentacel : (DTaP), HIB et Polio combinés)  330 microgrammes

Pediarix (DTaP, Hep.B, et Polio combinés) 850 microgrammes

 

Faisons quelques calculs. Un nouveau-né que l’on vaccine contre l’Hépatite B le premier jour de sa vie reçoit 250  microgrammes d’aluminium. Le scénario se répète à l’âge de un mois avec le deuxième vaccin contre l’hépatite B.

 

Quand un bébé reçoit toute la série de vaccins à l’âge de deux mois, la dose totale d’aluminium peut varier de 295 microgrammes  (si on utilise le vaccin HIB sans aluminium et le vaccin DTaP qui contient la dose la plus basse d’aluminium) à 1225 microgrammes (si les vaccins à plus haute teneur en aluminium sont utilisés avec le vaccin Hép.B.) Ces doses sont répétées à l’âge de 4 et 6 mois. L’enfant continuera de recevoir des doses d’aluminium pendant ses 2 premières années avec toute la série des vaccins.

 

En tant que médecin je m’inquiète tout d’abord de constater que ces taux d’aluminium  dépassent de loin les doses que l’on pourrait qualifier de sûres pour les bébés.

 

En second lieu, je suppose que ce problème a fait l’objet de recherches et que des études ont été réalisées sur des enfants en bonne santé afin de pouvoir déterminer la rapidité avec laquelle ces enfants peuvent éliminer cet aluminium de leur corps.

 

Ma troisième réaction a été de me mettre à la recherche de pareilles études. Je dois avouer ne pas en avoir trouvé une seule. Il est possible que la FDA estime que les reins des enfants en bonne santé fonctionnent suffisamment bien pour pouvoir excréter rapidement l’aluminium avant qu’il ne circule dans le corps, s’accumule dans le cerveau et ne produise des effets toxiques. En tout état de cause, je n’ai pas pu trouver la moindre référence dans les documents de la FDA qui démontreraient que l’aluminium utilisé dans les vaccins aurait été testé chez des nourrissons et aurait fait la preuve de son innocuité. »

 

On le voit, le public se trouve pris en otage par une classe politique qui rabâche des normes purement théoriques et jamais vérifiées mais simplement décrétées sous le poids des lobbies.  Cette même classe politique est-elle au moins seulement capable de faire preuve d’éthique, de bon sens et de logique, en vérifiant par exemple l’incohérence TOTALE entre les normes et avertissements émis pour une même substance de l’autre côté de l’Atlantique ? Il est hélas possible pour ces raisons que des générations entières puissent maudire d’ici quelques années ceux qu’ils considéreront comme les artisans d’une tragédie sanitaire sans précédent…

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19 octobre 2012 5 19 /10 /octobre /2012 19:46

Cinq long jours après que nous ayons posté l'information sur le retrait de lots de vaccins Infanrix en France, Sudpresse publiait (enfin!) un article à ce sujet.

 

Etrange donc que l'ANSM (agence française du médicament) disposait déjà de ces informations bien avant que le docile et crédule grand public ne puisse en être informé via la presse grand public belge et ce, alors que le siège mondial de production de ces vaccins de GSK se trouve... en Belgique!

 

Mais voici à présent  le contenu de cet article de Sudpresse publié le lendemain de l'émission partiale de la RTBF visant à nous assimiler à de dangereux fanatiques anti-vaccins... hors du champ de la Science!

 

Infanrix hexa & IPV: des vaccins pour enfants retirés de la vente

 

Partout dans le monde, des milliers de doses de vaccins pour enfants “ Infanrix Hexa ” et “ IPV ”ont été rappelées par leur fabricant, GlaxoSmithKline (GSK). En cause, la découverte d’une bactérie potentiellement dangereuse dans l’usine de production de Wavre.

Chez nous, en Flandre, 500 de ces doses avec risque théorique de contamination ont été rappelées. Même si aucune réelle contamination n’est à signaler pour le moment, les autorités de GSK n’ont pas transigé. Mais Julien Brabants, porte-parole, insiste: “ Le risque est purement théorique. ”

Et les enfants déjà vaccinés, avec les lots incriminés, ils risquent quoi? “ Pour l’instant, aucun symptôme ne nous permet de dire qu’un risque existe ”, continue Elysabeth Van Damme, responsable de communication chez GSK. “ Ces vaccins ont passé avec succès les tests internes et externes de qualité. Le retrait préventif est une initiative de GSK. Ni l’Europe ni d’autres gouvernements ne l’ont exigé. Si réellement il y avait eu contamination, nous l’aurions remarqué depuis longtemps.Et d’insister: “La situation est totalement sous contrôle, aucun enfant vacciné ne court de danger ”.

Une fois encore le déni : c’est potentiellement dangereux mais… aucun enfant déjà vacciné ne risque quoi que ce soit. Qui peut encore décemment croire ce genre d’affirmation qui ne repose sur rien d’autre qu’une insolente incohérence, uniquement destinée en réalité à sauver encore et toujours la fausse innocuité vaccinale de façade? On insiste, on insiste: vous DEVEZ continuer à avoir confiance et à rester des public-cibles potentiels pour de futurs vaccins, il y en a encore tellement en attente dans leur pipeline (près de 300)!

 

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16 octobre 2012 2 16 /10 /octobre /2012 15:30

Une vidéo de sensibilisation pour en parler, pour agir et pour réagir:

 

Liste des noms de vaccins contenant de l'aluminium (et maladies contre lesquelles ils sont dirigés):

 

Revaxis (Diphtérie, tétanos, polio)

Boostrix (D, T, C) et Boostrix Polio (D, T, C, P)

Tevax (tétanos)

DT Vax (tétanos, diphtérie)

Tedivax (tétanos, diphtérie)

Act-Hib (Haemophilius influenzae)

Infanrix Tetra, Penta et Hexa (pour nourrissons; le penta comporte le Hib et l'hexa aussi l'HB)

Tetravac (D, T, C, P)

Pentavac  (D, T, C, P, Hib)

Engerix B (hépatite B)

HB Vax (hépatite B)

Menjugate Kit (méningocoque C)

Meningitec (méningocoque C)

NeisVac (méningocoque C)

Meninvact (méningocoque C)

Vaqta (hépatite A)

Avaxim (hépatite A)

Twinrix (hépatite A et B)

Prevenar (pneumocoques)

Synflorix (pneumocoques)

Gardasil (papillomavirus/HPV)

Cervarix (papillomavirus/HPV)

FSME Immun, Ticovac, Encepur (encéphalite à tiques)

Mencevax, Menveo (méningocoque ACWY)

etc... lisez les notices!!

 

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13 octobre 2012 6 13 /10 /octobre /2012 16:55
Infanrix Tetra Quinta Hexa, poudre et suspension pour suspension injectable en seringue préremplie - Laboratoire GSK - Retrait de lots
11/10/2012
 

MED 12/A031/B035

 

 

En accord avec l'ANSM, le Laboratoire GlaxoSmithKline procède, par mesure de précaution, au rappel de lots d'InfanrixTetra, Infanrix Quinta et Infanrix Hexa indiqués ci-dessous. Ce rappel fait suite à une non-conformité détectée lors d'un contrôle environnemental au sein de l'atelier de production. Aucune contamination n'a été constatée dans les produits eux-mêmes.

 

INFANRIX TETRA, suspension injectable IM

  • Lot : AC20B199AC
    Péremption : janvier 2014
  • CIP : 3400935524676

 

INFANRIX QUINTA, poudre et suspension pour suspension injectable IM

  • Lots A20CA742A - A20CA743A - A20CA744B
    Péremption : janvier 2014
    CIP : 3400935524737

 

INFANRIX HEXA, poudre et suspension pour suspension injectable IM

  • Lot : A21CB337A
    Péremption : janvier 2014
    CIP : 3400935495839

 

Source: ANSM (= Agence Nationale Française du Médicament)

 

Simple réflexion de bon sens : Si le principe de précaution avait réellement un jour été de mise avec les vaccins, comment se fait-il alors que le gouvernement américain ait déjà déboursé pas moins de 2,5 MILLIARDS de dollars en indemnisation des victimes de vaccins depuis 1986 et ce, alors que 2/3 des plaintes sont rejetées ?

 

Pourquoi aussi y a-t-il eu besoin que la Cour Suprême accorde aux fabricants l’impunité juridique en cas d’effets secondaires, à part, comme les analystes juridiques l’ont évoqué, pour éviter le risque de faillite des entreprises concernées ?

 

Nous souhaitons sur ce, une bonne réflexion à tous et… la lucidité nécessaire !

 

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11 octobre 2012 4 11 /10 /octobre /2012 20:20

Les Oreillons Protègent Contre le Cancer de l’Ovaire :

Le Vaccin prive de cette Protection

 

Le cancer ovarien figure parmi les plus meurtriers. On sait depuis longtemps que le fait de faire les oreillons fournit une protection contre ce type de cancer. Aujourd’hui une étude vient montrer comment le vaccin contre les oreillons pourrait entraîner le décès de femmes par cancer de l’ovaire.

 

Fillette-Mumps.jpg

Photo Morgue File (morguefile.com)

 

Par Heidi Stevenson, 9 octobre 2012. Télécharger cet article en pdf

 

Les oreillons n’ont jamais été une maladie terrifiante. La meilleure manière pour un adulte d’éviter la stérilité à la suite des oreillons est de faire les oreillons au cours de l’enfance.

 

Aujourd’hui, la vaccination contre les oreillons est devenue routinière – et les taux de cancers de l’ovaire sont en augmentation.

 

On peut déjà entendre les opposants rétorquer : « Mais il n’y a pas de preuve de causalité ».La chose est certainement vraie, mais je ne prétends pas que le vaccin contre les oreillons provoque le cancer de l’ovaire. Ce que fait le vaccin, c’est interférer avec la fonction de prévention naturelle de la maladie destinée à prévenir le cancer ovarien. Ce point vient d’être scientifiquement documenté.

 

Depuis longtemps, on a soupçonné qu’il existait un lien entre la vaccination contre les oreillons et le fait de faire un cancer de l’ovaire. Une nouvelle étude publiée dans Cancer Causes and Control commence par cette phrase :

 

« Des études épidémiologiques ont montré que les oreillons pouvaient protéger contre le cancer de l’ovaire. Pour expliquer cette association, nous avons examiné si les oreillons pouvaient engendrer l’immunité contre le cancer de l’ovaire au moyen d’anticorps contre la protéine MUC1, antigène associé au cancer exprimé d’une manière anormale dans la glande parotide enflammée. »

 

En d’autres termes, il est bien admis que faire les oreillons fournit aux femmes une protection contre le cancer de l’ovaire  Il ne s’agit pas d’une protection absolue, mais il est un fait que la chose est connue depuis longtemps et semble bien être vraie.  

 

Une Etude Identifie les Facteurs de Protection Contre le Cancer de l’Ovaire

 

L’étude a porté sur la glycoprotéine MUC1, un constituant élémentaire du mucus, qui se trouve être l’un des éléments les plus importants du système immunitaire. Ci-dessous, le raisonnement qui a conduit à cette étude :

 

*   De fortes réactions inflammatoires associées à la ligature des trompes et à la mammite   protègent contre le cancer de l’ovaire (Les mêmes chercheurs avaient déjà démontré la chose dans une étude antérieure)

 

*   Les tissus au niveau des trompes ligaturées et dans la mammite (aussi appelée mastite) expriment le MUC1.

 

*   De fortes manifestations inflammatoires dans les cas de ligature des trompes et de  mammites provoquent une sur expression du MUC1 ;

 

*   La sur expression du MUC1 – qui entraîne l’apparition d’anti corps anti-MUC1 – pourrait expliquer pourquoi la ligature des trompes et la mammite contribueraient à la protection du cancer de l’ovaire.

 

*   Si la sur expression du MUC1 existe aussi dans les oreillons, on peut donc en conclure que les oreillons fournissent une protection contre le cancer de l’ovaire.  

 

Ils ont prélevé des échantillons de sérum (une forme liquide d’échantillons sanguins) de 161 personnes qui avaient eu les oreillons et de 194 personnes qui ne les avaient pas contractés. Tous les échantillons ont été testés en aveugle. C'est-à-dire que les échantillons de sang analysés l’ont été par des gens qui ne savaient pas si les échantillons provenaient de personnes avec ou sans oreillons.

 

La conclusion des chercheurs

 

L’étude a montré que les personnes avec des oreillons actifs et celles qui avaient récemment développé les oreillons, ont un niveau significativement plus élevé d’anticorps anti-MUC1que ceux qui n’ont pas, ou n’ont pas fait récemment cette maladie. Ils ont conclu :

 

« Clairement, la vaccination contre les oreillons crée uniquement des anticorps antiviraux et ne mène pas à la production d’anticorps anti-MUC1, qui, comme nous l’avons montré, requièrent une parotidite active. S’il est vrai que les oreillons symptomatiques protègent du cancer ovarien au travers de la réaction immunitaire, la conséquence logique est que l’on doit s’attendre à un taux supérieur de cancers de l’ovaire vu que les infections des oreillons ont été réduites par la vaccination.

 

En d’autres mots, les chercheurs ont montré que faire les oreillons entraîne la production d’anticorps contre le MUC1 et que ces anticorps contribuent à la protection contre le cancer des ovaires. Ils signalent aussi qu’il est tout à fait logique que la vaccination contre les oreillons ne devrait pas protéger contre le cancer des ovaires, parce que la vaccination ne suscite pas d’anticorps anti MUC1. Les chercheurs recourent à des termes particulièrement forts dans leurs conclusions au sujet du vaccin contre les oreillons et de la nature relativement bénigne de la maladie elle-même :

 

« Avant la vaccination, les oreillons était une maladie généralement bénigne mais qui pouvait donner lieu à de sévères séquelles incluant l’orchite et la stérilité, la méningite et la surdité, ainsi que la pancréatite. Néanmoins, notre étude suggère qu’il pourrait y avoir à long terme des bénéfices anti-cancer non anticipés d’une infection contre les oreillons, comme nous l’avons décrit dans cette publication. »

 

Nous pouvons résumer les résultats de cette façon :

 

*   Les oreillons sont une maladie bénigne.

*   Les oreillons induisent rarement des séquelles.

*   Les oreillons fournissent un bénéfice anticancer à long terme.

 

Nous savons que beaucoup de cancers sont en hausse. Quelle part de la hausse des cancers, en l’occurrence ici ovariens, est-elle imputable au vaccin contre les oreillons ?

 

Malheureusement, toutefois, les chercheurs ont semblé manquer cette question essentielle dans le reste de leur conclusion :

 

« Comprendre la portée et les mécanismes des bénéfices potentiels des maladies infantiles pourrait permettre aux immunologistes de reproduire ces effets bénéfiques avec la vaccination qui fournit le moyen d’éviter une infection naturelle et ses possibles conséquences immédiates. De plus amples études d’individus en cours d’infection des oreillons, plus spécialement focalisées sur l’immunité mucine pourraient fournir des pistes pour dupliquer ces effets bénéfiques de la parotidite ourlienne suggérés par cette étude. »

 

Au lieu de considérer que le vaccin contre les oreillons pourrait faire plus de mal que de bien, les auteurs nivellent la réflexion par le bas. Ils suggèrent d’essayer de susciter artificiellement les mêmes bénéfices que les oreillons procurent naturellement. Au lieu de considérer qu’un autre effet secondaire « imprévu » pourrait se produire – et qui, probablement se produira – ils suggèrent de suivre la même approche périmée consistant à bafouer la nature.

 

Au lieu de questionner l’erreur que pourrait constituer la vaccination contre les oreillons elle-même, ils suggèrent d’essayer de contourner le seul inconvénient qu’ils semblent avoir compris. Ils n’envisagent même pas qu’ils puissent s’être trompés de voie et, en dépit de leur démonstration que le vaccin pourrait faire plus de mal que de bien, ils ne remettent même pas le vaccin lui-même en question !

 

Est-ce que le temps viendra un jour où ils pourront prendre le recul suffisant pour se rendre compte que leurs découvertes ne sont pas une excuse pour continuer dans cette même direction funeste et qu’il est, au contraire, grand temps de considérer que leurs postulats de base pourraient bien être erronés.

  

Sources :

 

1. Mumps and ovarian cancer: modern interpretation of an historic association

2. Ovarian cancer incidence statistics

3. Possible role of mumps virus in the etiology of ovarian cancer.

 

Article original: Gaia Health [Traduction copyleft: Initiative Citoyenne]



Cet article en pdf: ICI 

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11 octobre 2012 4 11 /10 /octobre /2012 16:09

SECRET PAPERS fibromyalgieDes documents secrets révèlent que des chercheurs qui étudiaient le lien entre le syndrome de fatigue chronique et la vaccination se sont vu refuser les financements.

 

Christina England, 6 octobre 2012

 

Des documents secrets qui, depuis des années, avaient été dissimulés dans des archives, montrent clairement que, quand des chercheurs en matière médicale ont sollicité un financement pour étudier plus en détail le lien entre les vaccinations et la maladie débilitante que représentent l’Encéphalomyélite Myalgique (EM, aussi appelée « fibromyalgie ») et le Syndrome de fatigue chronique (SFC), leurs demandes ont été rejetées. Il leur a été conseillé de s’orienter de préférence vers des recherches en psychiatrie.

 

Pendant de nombreuses années, des chercheurs et des professionnels de santé ont soupçonné qu’il pouvait y avoir un lien entre les vaccins et l’EM/SFC. La chose a été difficile à prouver parce que de nombreuses preuves qui appuyaient cette thèse ont été ignorées ou dissimulées pour toute une série de raisons.

 

Avant de vous parler de ces documents secrets qui ont été cachés au public depuis les années 1990, je vais tenter d’expliquer ce qu’on entend par les termes EM/SFC.

 

Qu’entend-t-on par « EM » et « SFC » (Syndrome de Fatigue Chronique) ?

 

Essayez d’imaginer que vous vous êtes mis au lit après avoir fait du sport intensif pendant toute une journée et que vous vous réveilliez avec tous vos muscles douloureux et endoloris. C’est cette condition que vit chaque jour la personne qui souffre de fibromyalgie ou Encéphalomyélite Myalgique (EM). Chaque mouvement est douloureux et nécessite d’énormes efforts.

 

Le Syndrome de Fatigue Chronique (SFC) est une maladie au cours de laquelle la personne souffre d’un épuisement total. Contrairement à l’épuisement habituel qui peut être surmonté par une bonne nuit de sommeil, le SFC ne s’améliore pas avec le sommeil ou le repos. [1]

 

Selon un site internet « plusieurs pays ont donné à cette maladie le nom de EM/SFC ; certains experts utilisent ces termes de manière interchangeable, tandis que d’autres considèrent que l’un est un sous groupe de l’autre. »

 

fatigue-chronique

Le mot « myalgique » signifie douleurs musculaires et Encéphalomyélite veut dire inflammation du cerveau et de la moelle épinière. L’Encéphalopathie signifie que la fonction cérébrale est altérée. [2]

 

Le SFC et la fibromyalgie ou « EM » affectent les personnes de différentes manières. Il n’y a pas deux personnes qui vivent la maladie de la même manière. N’importe qui peut être touché et à n’importe quel âge. Les personnes atteintes  doivent souvent endurer une énorme fatigue très invalidante, des douleurs musculaires et articulaires, des troubles du sommeil et des problèmes gastriques. Les troubles de mémoire et de concentration sont monnaie courante. Dans de nombreux cas, l’apparition de la maladie est liée à une infection virale. Des opérations ou des accidents peuvent aussi être des facteurs déclencheurs, alors que chez d’autres, le début de la maladie est plus insidieux [3].

 

Le sale petit secret (pas si petit que ça)

 

Selon les documents qui m’ont été remis, des subventions ont bien été refusées à des chercheurs qui voulaient étudier un lien possible  entre la vaccination et le SFC/EM. Ces documents n’ont été découverts que quand ils sont tombés sous la réglementation de la « Liberté d’accès à l’information ». (Freedom of Information Act)

 

(Il est intéressant de noter à ce propos que tous les documents portaient l’inscription : « non accessible avant 2071 ».)

 

En 1992, Doris Jones, étudiante en médecine (post doctorat) fit une demande de financement au Centre de Recherche Médicale (MRC) pour pouvoir effectuer une recherche sur le lien qu’elle pensait exister entre les vaccins, les antibiotiques et le développement du SFC/EM.

 

Le 25 mai 1992, Jones écrivit une lettre au Dr Peter Dukes du MRC dans laquelle elle expliquait que le Colloque de Ciba (Ciba Geigy Corporation est une société pharmaceutique suisse, actuellement dirigée par Novartis) auquel elle avait assisté, avait été une expérience unique pour elle. Elle expliquait qu’elle étudiait le SFC/EM pour une formation de troisième cycle, bien que ne faisant pas partie du corps médical et n’étant  affiliée à aucune association de patients.

 

Elle décrit comment elle a été choquée par le « gouffre énorme » entre la façon dont la maladie est perçue par les médecins généralistes et psychiatres et la façon dont elle affecte les gens en réalité.

  

Madame Jones décrit en détail le projet de recherche épidémiologique globale qu’elle avait réalisé sur le SFC/EM en y incluant le résumé (Abstract) à l’intention du Dr Dukes. Elle écrivait :

 

« Vous noterez que les détails sur les facteurs associés tels que vaccins, antibiotiques et allergies peuvent être pertinents, de même que l’alimentation, le stress et les anciennes infections. Il est assez déconcertant de constater que certains de ces facteurs associés peuvent aussi être observés chez certains sujets apparemment en bonne santé, notamment chez des élèves… »

 

Elle appuya ses théories avec des références à d’autres recherches déjà publiées. Elle joignit l’un de ces articles pour le Dr Dukes où elle écrit :

 

« En effet, l’une des équipes du Professeur Behan a récemment identifié les séquences d’un entérovirus qui étaient identiques au virus du vaccin contre la polio et ce, dans une proportion de patients atteints d'un syndrome de fatigue « post viral », soigneusement sélectionnés. »

 

Jones a également présenté d’autres documents ayant fait l’objet de recherches rigoureuses pour soutenir sa thèse et qui mentionnaient diverses vaccinations et antibiotiques comme facteurs déclenchants possibles du SFC/EM.

 

Bien que Jones ait apparemment fourni au MRC des preuves documentées suffisantes en vue d’obtenir un financement, sa demande fut finalement rejetée en faveur d’autres projets de recherche qui avaient cependant fourni moins de preuves convaincantes.

 

A l’époque de sa demande, le SFC/EM était présenté comme un trouble psychiatrique. Jones voulait dissiper ce mythe en démontrant que le SFC/EM était en fait un trouble physique provoqué par les vaccinations et en particulier par le vaccin antitétanique et/ou les antibiotiques.

 

Des souffrances inutiles

 

Il est intéressant de noter que Mme Jones a bien mis le doigt sur le cœur du problème. Il devient dès lors plus facile de comprendre les raisons pour lesquelles elle s’est vu refuser un financement. Elle écrit d’une manière assez naïve :

 

« Vous conviendrez que dans les circonstances actuelles, une recherche épidémiologique à grande échelle sur la maladie semble souhaitable. Bien qu’il soit évident qu’il y ait lieu de prendre en considération les conséquences qui pourraient en découler pour l’industrie pharmaceutique, il n’en reste pas moins que cette exigence ne devrait pas trop peser par rapport à l’énorme et inutile souffrance humaine, comme par rapport au nombre d’handicapés d’âge moyen ou même plus jeunes qui seraient peut-être handicapés à vie et à la charge de l’état. »

 

Ces documents montrent à quel point les échanges entre Madame Jones et le MRC ont été plus qu’animés et tout spécialement quand le MRC lui a fait comprendre qu’il n’était pas le moins du monde intéressé à appuyer sa demande. En lieu et place, le MRC lui a suggéré de s’adresser à un organisme de bienfaisance pour son financement !

 

Etait-ce parce que la recherche sur les vaccins et les antibiotiques est financièrement avantageuse pour l’industrie pharmaceutique et dans ce cas, cette option de recherche ne se serait guère avérée rentable ? Il semble qu’il en ait bien été ainsi, à en lire les documents fournis.

 

Le 22 décembre 1992, le MRC a écrit à Jones en se défendant d'avoir refusé sa demande pour le motif qu'elle avait évoqué les vaccinations comme cause possible du SFC/EM. Le MRC a affirmé que la véritable raison était qu’elle n’était pas « compétitive ». Il déclarait :

 

« Vous laissez entendre qu’il pourrait y avoir un lien entre les vaccins, le SFC et la fibromyalgie (ME). Les séquelles des vaccinations en général relèvent du Département de la Santé. Le problème est d’établir la spécificité de ce lien avec le SFC. Je puis cependant vous assurer que le MRC ne peut hésiter à appuyer une recherche ou tout autre élément qui pourrait avoir un lien avec le SFC, pour autant que cette recherche soit «compétitive. »

 

Miser sur les favoris

 

Il ressort de la lecture de la documentation, qu’au lieu de faire des recherches sur le plus grand éventail de causes possibles, le MRC a, sans arrêt, favorisé les recherches entreprises par l’Institut de Psychiatrie et a mentionné ce fait dans au moins trois documents.

 

Le 24 mars 1992 , Dukes écrivit à un inconnu (étant donné le contenu de la lettre, on pourrait penser qu’il s’agit de Madame Jones) :

 

« Comme vous le suggérez, le Conseil finance des travaux sur le SFC de l’Institut de Psychiatrie, un établissement possédant d’excellents dossiers de recherche en neurologie, neuropathologie et pas seulement en psychiatrie. Le projet auquel vous pouvez vous référer serait intitulé : « Approche Epidémiologique pour l’Etude du Syndrome de Fatigue Chronique. »

 

Il a été révélé plus tard que le MRC avait accordé la somme de 91.000 £ à l’Institut de psychiatrie pour financer la recherche. Dans une lettre de 1995 adressée à Ms Heather White de Département de la Santé, ils écrivent :

 

« Les enquêteurs ont prévu d’étudier la prévalence du SFC parmi des sujets de 18 à 45 ans (qui suivaient les directives de la médecine officielle) en prenant en compte les variables démographiques, cliniques et psycho sociales. Ils ont en outre prévu d’identifier les personnes souffrant de fatigue prolongée à la suite d’infections virales afin de pouvoir déterminer combien de cas pouvaient être classés dans le groupe répondant aux critères du SFC. Nous n’avons pas encore reçu le rapport final détaillant les conclusions de l’étude. Je tiens à souligner que nous recevons peu de demandes de subvention concernant le SFC et en dehors de l’étude épidémiologique mentionnée ci-dessus, aucune demande n’a pu correspondre à des exigences scientifiques suffisamment élevées pour mériter un financement. »

 

Il est évident que des recherches sur les vaccins et les antibiotiques comme déclencheurs possibles de SFC/EM  ne présentent pas "un caractère scientifique suffisant" pour répondre aux « normes élevées » requises par le MRC !

 

Il est vraiment dommage que le MRC n’ait pas pu reconnaître les véritables mérites de Doris Jones alors qu’elle possédait un Master en sciences et avait fait de nombreuses publications sur le sujet. L’un de ses articles publié en 1997 était intitulé « Fibromyalgie (EM) et vaccinations » [4] On y lisait :

 

« J’ai eu l’attention particulièrement attirée par les cas de personnes souffrant de EM et qui avaient été vaccinées un mois avant de déclencher une infection ou d’autres problèmes de santé qui ont conduit à une EM. Dans certains cas il n’y avait pas d’infection-  une vaccination seule semblait avoir déclenché l’apparition de l’EM. Il y avait aussi un petit groupe qui m’a informé avoir reçu un traitement au long cours de corticostéroïdes avant de finalement recevoir un vaccin qui a déclenché la maladie.

 

Il est peut-être significatif de signaler que des effets indésirables des vaccins, des médicaments, des sensibilités particulières aux produits chimiques ou aliments ont été signalés avec une régularité quasi prévisible. Les résultats de mon étude ont été montrés au cours de la Conférence internationale de Dublin sur le Syndrome de Fatigue Chronique en 1994. »

 

Conclusion

 

En sélectionnant préférentiellement les recherches, le MRC a potentiellement condamné de nombreuses personnes à une vie de souffrances à la suite de cette maladie. Au lieu de financer des recherches sur une variété de causes possibles, le MRC semble avoir opté de ne financer que les théories du « tout est dans la tête » défendues par les psychiatres qui ne s’intéressent qu’à se remplir les poches. Il est regrettable que leur vision soit à ce point limitée surtout quand il s’agit de répartir les financements. Comment pouvons-nous en apprendre davantage sur cette maladie débilitante quand la recherche est entravée d’une manière aussi effrayante ?

 

Références

  1. http://www.nhs.uk/conditions/Chronic-fatigue-syndrome/Pages/Introduction.aspx
  2. About.com Myalgic Encephalomyelitis/Encephalopathy (ME) http://chronicfatigue.about.com/od/cfsglossary/g/MECFS.htm
  3. http://www.meassociation.org.uk/?p=1001
  4. Doris M. Jones MSc – ME and Vaccinations First Published by Yoga and Health March 1997 http://www.investinme.org/InfoCentre-vaccines-popup-1.htm

Recherches complémentaires

  1. Doris M. Jones MSc – ME and Septrin First published in Yoga and Health 1996 http://www.investinme.org/InfoCentre-vaccines-popup-3.htm
  2. The UK Health Select Committee Report ‘The Influence of the Pharmaceutical Industry’ published April 2005 Doris M Jones MSc http://www.ecomed.org.uk/wp-content/uploads/2011/09/9-jones.pdf
  3. www. Parliament.UK -Memorandum by Doris M Jones MSc (AL 26) http://www.publications.parliament.uk/pa/cm200304/cmselect/cmhealth/696/696we19.htm

 

Source: Vactruth

 

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9 octobre 2012 2 09 /10 /octobre /2012 19:00

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Les chiffres officiels le prouvent: un enfant a statistiquement plus de risques de développer un effet secondaire grave après vaccination contre le méningocoque C que d'attraper la méningite C naturellement!

 

Il s'agit là de données extrêmement importantes puisque ces vaccins ont été inclus dans le calendrier vaccinal officiel, tant en Belgique qu'en France, où ils sont donc systématiquement administrés à une majorité de nourrissons et de jeunes enfants en bonne santé.

 

En Belgique, l'injection d'une dose unique de vaccin conjugué contre le méningocoque C est recommandée pour tous les jeunes enfants à l'âge de 15 mois. En France, la fenêtre de temps concerne les enfants de 12 à 18 mois.

  

Les vaccins existants portent des noms divers mais ils contiennent tous des sels d'aluminium qui sont d'autant plus dangereux pour le développement neurologique des enfants que la barrière hémato-encéphalique n'est pas pleinement formée avant l'âge de 2 ans et demi, ce qui laisse donc le cerveau nettement plus vulnérable encore vis à vis des diverses substances toxiques.

 

Ces vaccins sont dits "conjugués" car ils sont associés à une anatoxine (tétanique ou diphtérique) censée aider à mieux stimuler le système immunitaire pour l'amener à produire les sacrosaints anticorps.

 

Leurs noms sont: Meningitec (Pfizer/Wyeth), Meninvact (Sanofi), Menjugate Kit (Novartis), NeisVac (Baxter).

 

En Belgique, l'ONE met "gratuitement" le vaccin Menjugate Kit à disposition des vaccinateurs et des parents.

 

Pour bien comprendre la situation et les chiffres officiels qui vont suivre, il est essentiel de rappeler quelques données sur les infections naturelles par le méningocoque C.

 

Le méningocoque est une bactérie dont il existe plusieurs variants (on parle de sérotypes): A, B, C, W, Y etc.

 

Dans la grande majorité des cas, l'infection par ces bactéries ne donne lieu à aucun problème. D'ailleurs la transmission donne le plus souvent lieu à un portage asymptomatique de la bactérie. L'Institut de Veille Sanitaire français reconnaissait en 2011 que 5 à 10% des Français abritent ces bactéries dans le nez ou la gorge, sans être malades. Ce pourcentage monte même jusqu'à 25 à 30% des enfants scolarisés en Belgique. Passé l'âge de 25 ans, 90% des gens seraient naturellement immunisés.

 

Dans des cas le plus souvent isolés ou après un contact étroit et rapproché avec un malade, il peut hélas se produire une infection dite "invasive" qui se manifeste alors dans 70% des cas par une méningite (avec 5 à 6% de mortalité) et dans le quart restant des cas par un purpura fulminans qui peut être mortel en-déans les 24H (dans environ un tiers des cas déclarés de purpura fulminans). L'administration précoce d'antibiotiques assure le plus souvent une guérison assez rapide, sans séquelles.

 

La souche C ne représente qu'un tiers au maximum de toutes les infections invasives à méningocoque dans un pays comme la France, comme admis par le Haut Conseil de la Santé publique français en 2009. En Belgique, d'après un rapport de l'Institut de Santé Publique, le sérotype C n'était responsable que de 10,4% des cas d'infections invasives à méningocoque en 2010. (et plus on vaccinera, plus les autres sérotypes occuperont "la niche bactérienne laissée vide" ou presque par la vaccination contre le type C... bonjour l'efficacité!)

 

A l'échelle d'une population comme la France, le taux d'infections invasives à méningocoque C reste toutefois très faible puisqu'après correction pour la sous-notification, il n'était en 2008 que de 0,26/100 000. Ce taux avait d'ailleurs déjà diminué spontanément de moitié entre 2002 et 2008 dans ce pays, soit avant la vaccination généralisée des jeunes enfants.

 

En Belgique, l'incidence globale (sérotypes B et C confondus) était de 1/100 000 en 1991 et, "comme par hasard", de 3,7/100 000 en 2001 soit un an à peine avant l'introduction du vaccin contre le méningocoque C, avant de redescendre à 1,6/100 000 en 2005. C'est en effet "un drôle de hasard" car c'est justement à la même époque en France (en 2002), qu'ils ont également déclaré "un pic d'incidence" - pour préparer l'opinion publique bien entendu, ne l'oubliez pas, les autorités officielles s'estimant être "les partenaires naturels" des pharmas, elles doivent tout naturellement les aider à trouver de pseudo justifications épidémiologiques pour les aider à introduire massivement leurs nouveaux vaccins sur le marché!

 

En réalité, comme bien expliqué dans le récent ouvrage de Virginie Belle, l'Institut de Veille Sanitaire avait "comme par hasard" élargi les critères diagnostics de la méningite à méningocoque en incluant également les cas non confirmés biologiquement, d'où une hausse non surprenante de 20% des cas à partir de 2002. Il ne serait pas surprenant que la Belgique ait recouru au même type de subterfuge pour justifier la vaccination généralisée des nourrissons depuis 2002.

 

Hélas, contrairement aux affirmations officielles péremptoires selon lesquelles la baisse de l'incidence serait forcément imputable à la vaccination, il s'avère au contraire qu'il y a des variations cycliques avec des hausses naturelles d'incidence tous les 10 à 15 ans. Ainsi, la différence d'incidence n'est que de 1 cas par million entre un pays comme la Grande-Bretagne qui vaccine systématiquement les enfants depuis 1999 et la France où la vaccination généralisée n'a commencé qu'en 2009.

 

Voyons à présent quelle est l'incidence rapportée des effets secondaires graves associés à ces vaccins.

 

Le Haut Conseil français de la Santé publique a repris dans un rapport les données internationales de pharmacovigilance recueillies en 2009, soit après 7 années d'utilisation des vaccins Meningitec, Meninvact/ Menjugate et NeisVac. Le taux de notification estimé était de l'ordre de 6,2/100 000 doses et de 2,1 cas graves pour 100 000 doses.

 

A ce stade, il n'apparaît déjà pas si évident que le bénéfice de cette vaccination l'emporte vraiment sur ses risques. Mais puisque les autorités "corrigent" la sous-notification des cas de maladies naturelles pour leurs évaluations, il faut alors aussi faire de même pour la sous-notification des effets secondaires des vaccins, qui est notoire puisque seuls 1 à 10% des effets secondaires graves des vaccins sont effectivement recensés selon une récente publication scientifique de novembre 2011.

 

Si on corrige donc ces cas d'effets secondaires graves après ce genre de vaccination, on en arrive donc à un taux de 21 à 210 cas graves pour 100 000 doses administrées!

 

Votre (vos) enfant(s) a donc un risque d'infection invasive à méningocoque C de 0,26/100 000 en France et d'environ 1/100 000 en Belgique (puisqu'une bonne moitié des cas sont imputables à la souche B contre laquelle on ne vaccine pas). En revanche, ils encourent au bas mot un risque d'effets secondaires graves (incluant le risque de séquelles, par définition) de 21 cas/100 000 et si on prend la fourchette haute de 210 cas/100 000.

 

Compte tenu des incidences respectives des infections invasives à méningocoque C en Belgique et en France, le risque de la vaccination contre le méningocoque C est donc:

 

-  de 80 à 800 fois supérieur à celui de la maladie naturelle en France.

-  de 13 à 131 fois supérieur à celui de la maladie naturelle en Belgique.

 

 

Malgré ces chiffres accablants, et malgré aussi l'indice que, même sans tenir compte de la sous-notification des effets secondaires de vaccins, ceux-ci apparaissent plus risqués que la maladie elle-même, ces produits continuent d'être recommandés massivement et remboursés aux frais de la collectivité! Pire, alors que les autorités évoquent surtout les infections contractées chez les adolescents et les jeunes adultes pour justifier la vaccination des tous petits, il s'avère en fait, selon une étude britannique de 2010, que seul un quart des enfants vaccinés conservent réellement des anticorps protecteurs.

 

En d'autres mots, cela signifie donc que les autorités dites "publiques" font courrir à vos enfants des risques tout à fait disproportionnés pour un bénéfice tout à fait négligeable et non durable. Ainsi, comme l'a très bien indiqué Virginie Belle dans son livre "Vacciner comme en 2009 plus de 800 000 enfants (français) pour en épargner 8 serait une bonne chose, si toutefois, les effets indésirables des vaccins n'existaient pas."

 

Les autorités font hélas comme si ça n'existait pas. Vos enfants méritent cependant bien mieux que ce déni irresponsable. Il y va tout simplement de LEUR santé!

 

Lire aussi cet article du Dr Claudina Michal-Teitelbaum, médecin de la Protection Maternelle et Infantile de Vaulx-en-Velin en France, sur ces vaccins contre la méningite C.

 

Extrait interpellant de cet article qui concerne notamment la Belgique:

 

« Les effets indésirables graves (2) déclarés pour le Meningitec au début de la campagne de vaccination étaient de 861 pour 19,2 millions de doses soit de quelques 4,5 pour 100 000 ou 45 par million (voir ici l’avis du CSHPF). Cela fait beaucoup dès lors que la réduction du nombre de cas de méningite espérée est, au mieux, de l’ordre de 1 pour 1 million.

 

D’autres effets indésirables graves ont été signalés en Belgique au début de la campagne de vaccination en 2002 menée avec les vaccins Meningitec et Neisvac.

 

Entre le début de la campagne de vaccination, en décembre 2001 et février 2002 le centre de pharmacovigilance belge a reçu 21 notifications d’effets indésirables pour lesquels un lien avec la vaccination était suspecté. On peut supposer qu’en aussi peu de temps ces notifications ne portaient que sur quelques dizaines de milliers de vaccinations. Parmi ces 21 effets secondaires 10 notifications de pseudo-méningite (inflammation méningée sans infection) chez des sujets de 5 à 20 ans, dont une perte partielle bilatérale de l’audition chez une petite fille de 7 ans, réversible en 8 mois. 7 patients sur 10 ont récupéré. On notait aussi un laryngospasme chez un garçon de 8 ans (spasme du larynx avec difficultés respiratoires), deux notifications de purpura thrombopénique chez des enfants de 3 et 11 ans et un cas de paralysie faciale chez un enfant de 11 ans.

 

Les convulsions sont parmi les effets secondaires graves constatés les plus fréquents avec ces vaccins et sont décrits dans le RCP (résumé des caractéristiques du produit) de la manière suivante : « De très rares cas de crises convulsives ont été rapportés suite à la vaccination par MENINGITEC; les patients ont généralement récupéré rapidement. Certaines des crises convulsives rapportées pouvaient être des syncopes. Le taux de crises convulsives rapportées se situait en dessous du taux de référence de l'épilepsie chez les enfants. Chez les nourrissons, les crises convulsives étaient généralement associées à de la fièvre et étaient vraisemblablement des convulsions fébriles ».

 

Un effet secondaire grave « très rare » est un effet dont la fréquence peut aller jusqu’à une fois pour 10 000 et donc qui peut-être quelque 100 fois plus fréquent que les bénéfices attendus de la vaccination. »

 

Mise à jour du 27 juin 2015Robert Kennedy Jr., personnalité politique et avocat américain, vient de publier un article tout à fait convergent sur la méningite B et le projet américain d'imposer la vaccination anti-méningite B à tous les étudiants (donc y compris les étudiants étrangers) qui fréquentent les universités américaines. L'angle d'approche de Robert Kennedy est exactement le même que celui de l'article ci-dessus consacré aux situations belges et françaises, il est aussi concret, terre-à-terre et pragmatique que ci-dessus: il s'agit de comparer tout simplement l'incidence de la maladie naturelle à celle des effets secondaires graves du vaccin correspondant. Le résultat est aussi tragique et aussi frappant...et le vaccin apparaît là encore statistiquement très très largement plus risqué que la maladie naturelle!

 

Robert F. Kennedy, Jr.

Vaccinations contre la méningite – Faites le calcul !

 

09/06/2015

 

 

Jeudi dernier, la direction de l’Université de Colorado-Boulder a adopté une résolution demandant au Comité consultatif du CDC (Pratiques d’immunisation, ACIP) de  pouvoir recommander les vaccins méningococciques pour tous les étudiants qui rentrent à l’université. L’ACIP examinera la résolution de l’université le 24 juin. Le tout premier sujet que débattra l’ACIP concernera la recommandation des vaccins contre le méningocoque B pour les adolescents et les étudiants.

 

Avec des milliards de dollars de chiffres d’affaires annuels en jeu, les fabricants de vaccins poussent ces vaccins à travers tout le pays. Les problèmes liés aux vaccins sont complexes, mais les défenseurs de l’obligation vaccinale devraient envisager de faire quelques simples calculs.

 

La méningite à méningocoques est extrêmement rare. L’an dernier il n’y a eu aux Etats-Unis que 390 cas environ, et ce, pour une population de 319 millions d’habitants. Cela fait un cas sur 817 949. L’année dernière au Colorado il n’y a eu que trois cas de méningite à méningocoques, dont un décès. Le CDC a approuvé trois vaccins ciblant les souches A,C,Y et W135 : Menactra, Menveo et Menomune qui contiennent encore des concentrations importantes de mercure dans les flacons multi-doses. Ces vaccins sont efficaces et assurent l’immunité contre ces souches de méningite dans seulement 85% des personnes qui reçoivent le vaccin. 30 % des cas de méningite concernent la souche B. Ces cas se produisent généralement à l’âge où les étudiants fréquentent l’université. Dans ces cas, les trois vaccins sont totalement inefficaces.

 

C’est récemment que la FDA a approuvé deux vaccins de la souche méningocoque  B, Trumenba et Bexsero. Les fabricants de vaccins poussent les responsables gouvernementaux à les ajouter au calendrier vaccinal recommandé pour le dernier semestre (automne). Les critiques ont reproché au gouvernement les tests accélérés de sécurité et d’efficacité pour les nouveaux vaccins contre la souche B, évoquant des lacunes flagrantes dans les protocoles de sécurité, y compris l’absence de placébos inactifs (neutres). En outre, les deux nouveaux vaccins B font partie de la « catégorie B de grossesse », ce qui signifie qu’ils ne doivent être administrés aux femmes enceintes uniquement si la chose est vraiment nécessaire. Aucun de ces vaccins n’a été testé pour ses potentiels cancérogènes, mutagènes ou ses effets sur la fertilité masculine.

 

Selon les notices de ces vaccins, Menactra et Menveo produisent des « événements indésirables graves » chez 1% des vaccinés. Menomune, avec sa lourde charge de mercure, rend malade 1,3% des personnes qui le reçoivent. Selon le Livre Rose du CDC, 0,3% de ceux qui présentent des « effets indésirables graves » à la suite des vaccins contre la méningite, mourront. Voici donc les calculs dont les membres réfléchis du gouvernement du Colorado devront tenir compte : si, au Colorado, vous inoculez 400 000 étudiants avec les anciens vaccins, vous pouvez vous attendre à 4 000 effets secondaires graves et à 12 décès. Nous ne connaissons pas encore les effets de la vaccination généralisée des vaccins B, testés à la hâte, mais en fonction des notices, environ 2% des étudiants qui reçoivent le vaccin B tomberont malades ou devront être hospitalisés suite à des effets secondaires graves. Cela pourrait se traduire par un surplus de 8.000 étudiants malades et 24 décès, pour un total de 12.000 malades et 36 décès, et ce, pour éventuellement éviter 3 cas de méningite (naturelle).

 

Les questions budgétaires sont aussi importantes. L’administration du Bexsero coûtera environ 320 dollars par étudiant selon la liste de prix des vaccins du CDC. Pour les 400 000 étudiants du Colorado, le prix du seul vaccin B atteindra chaque année la somme de 128 millions de dollars.

 

Les fabricants de vaccins sont en situation de pouvoir réaliser plus d’un milliard de dollars par an s’ils parviennent à persuader l’ACIP d’ajouter leur vaccin contre la méningite au programme national de vaccination. Bien qu’il y ait une incitation énorme à rendre ce vaccin obligatoire dans les universités du Colorado, le coût de cette obligation tant en vies d’étudiants qu’en dollars donne sérieusement à réfléchir.

 

Ce calcul ne pourrait avoir de sens que pour les comptables (à sang froid) des compagnies qui commercialisent ces vaccins et pour les politiciens qui bénéficient des « largesses » de ces compagnies.

 

Le gouvernement pourrait raisonnablement s’être basé sur l’information fournie par le CDC quand il a fait part de sa  première résolution. Toutefois, la division vaccins du CDC a récemment été en proie à des scandales récents. Quatre enquêtes fédérales cinglantes ont critiqué l’Agence – L’ACIP en particulier – pour la science de pacotille, les conflits d’intérêts et la corruption avec les fabricants de vaccins. La recommandation actuelle de vacciner les élèves si un cas se produisait a plus de sens qu’une obligation généralisée – sauf peut-être pour ceux qui sont plus préoccupés par les profits de l’industrie pharmaceutique que par la santé des étudiants.

 

Il ne fait aucun doute que la méningite à méningocoque est une maladie grave qui peut entraîner la mort et l’invalidité, mais nous devons nous assurer que la solution n’est pas pire que le problème. Il y a tout lieu de croire que les vaccins obligatoires (méningocoque B) pour chaque étudiant pourraient tuer plus d’étudiants que ne le ferait la maladie de laquelle ils sont sensés protéger. Avant d’abandonner nos droits, avant de débourser des millions et avant de rendre nos étudiants malades, nous devrions apprendre à compter.

 

Source: Dailycamera

 

Voir aussi:

 

Meningitec: les vaccins trop dangereux même non défectueux!

 

Vaccin Meningitec. 550 familles au coeur d'une affaire troublante (article Paris Match)

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8 octobre 2012 1 08 /10 /octobre /2012 18:58

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C'est toujours plus "protecteur" pour l'image des vaccins de justifier le retrait de certains lots pour raison d'inefficacité ou d'efficacité moindre que pour des motifs de sécurité...

 

Ce fut le cas de l'Hexavac, suspecté d'engendrer des cas d'oedèmes cérébraux mortels du nourrisson. Les enjeux étaient trop grands. Et c'est ainsi qu'on a, comme par magie, invoqué une efficacité insuffisante de la valence anti-hépatite B, alors que cette efficacité venait encore d'être démontrée suffisante peu avant! En réalité, comme c'est bien expliqué dans le récent ouvrage de Virginie Belle "Faut-il faire vacciner son enfant?", ce retrait pour ces fausses raisons a été effectué avec la complicité de l'Agence européenne du Médicament qui a ainsi couvert Sanofi car un retrait pour oedèmes cérébraux mortels du nourrisson aurait autrement plus écorné l'image de Sanofi! Il fallait avant tout éviter que l'enquête allemande n'arrive à son terme. C'est pourquoi le producteur a décidé du retrait précipité pour de fausses raisons, sans doute concertées avec l'Agence européenne du médicament. De ce fait là, l'enquête était interrompue et la question sur la sécurité complètement éludée. Ouf, il était moins une...

 

Ce 8 octobre, on pouvait lire sur le site du Figaro que Sanofi rappelait des lots de vaccins anti-typhoïdique Thyphim Vi:

 

« Sanofi Pasteur MSD, co-entreprise de Sanofi et Merck, a rappelé certains lots de ses vaccins contre la typhoïde en raison de doutes concernant leur efficacité, a annoncé aujourd'hui l'autorité sanitaire britannique.

 

La décision de retirer du marché 16 lots de Typhim Vi fait suite à des problèmes dans le processus de fabrication du vaccin, selon la MHRA (Medicines and Healthcare products Regulatory Agency).

 

"Il n'y a pas d'inquiétude en matière de sécurité du vaccin mais le rappel a eu lieu parce qu'il se peut qu'il ne soit pas aussi efficace qu'il devrait l'être", a précisé Ian Holloway, l'un des responsables de l'agence. »

 

 

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26 septembre 2012 3 26 /09 /septembre /2012 15:45

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Lu en ce moment dans le tout nouveau livre de Virginie Belle, « Faut-il faire vacciner son enfant ? » aux Editions Max Milo, un livre dont nous recommandons d'ailleurs très vivement la lecture:

 

Extraits (en pages 94, 95 et 96) :


"Plus récemment, en 2010, l'OMS nous apprend également "la découverte d'ADN de circovirus porcins dans le Rotarix (GSK) et le Rotateq (Sanofi Pasteur MSD). L'ADN de circovirus porcins peut avoir contaminé la trypsine, enzyme isolée à partir du pancréas de porc, pour la multiplication des cellules issues de reins de singe et appelées cellules Vero, sur lesquelles sont produits les rotavirus (humains ou bovins). Plus de 100 000 molécules d'ADN de circovirus porcins (PCV) ont été détectées dans chaque dose de vaccin, soit un niveau 10 fois plus élevé que celui de rotavirus présents! Une contamination mise en évidence par le Dr Eric Delwart et son équipe, en 2010.


"Après évaluation complète de l'origine de cette contamination de certains lots de vaccins Rotarix et Rotateq et analyse des données cliniques rétrospectives, le Comité d'évaluation des médicaments à usage humain de l'Agence européenne du Médicament a conclu le 18 novembre 2010 à l'absence de risque de santé publique. Ce type de virus n'étant pas considéré comme pathogène pour l'Homme." indiquait, toujours rassurante, l'Agence française du médicament (Afssaps devenue ANSM) dans un communiqué de janvier 2011. Et d'ajouter "Les laboratoires fabricants mettent en place actuellement les mesures correctrices pour éliminer cette contamination afin que dans un avenir aussi proche que possible les lots de vaccins soient indemnes de toute présence de l'agent contaminant d'origine porcine." Ainsi, ces circovirus étaient toujours présents un an après leur découverte. Sont-ils encore dans les vaccins? "Nous sommes tenus régulièrement au courant de l'avancée de ces travaux que les firmes prévoient de terminer en 2013.", nous a précisé, par mail, l'ANSM, en juin 2012. Les nourrissons seront donc vaccinés avec ces produits contaminés, à minima jusqu'en 2013! Et QUI prévient les parents?[…] On nous affirme que ce circovirus n'est pas pathogène, mais qui peut présager avec certitude de l'innocuité de ces séquences ADN de porc dans l'organisme d'un nourrisson? Pour clore le tout, l'ADN du circovirus porcin a été retrouvé dans les selles d'enfants vaccinés dans le cadre d'essais cliniques."

 

Extraits en pages 99,100, 101 et 102 :


"Enfin, intéressons-nous aux cellules hétéroploïdes, qui ont la particularité de se multiplier très rapidement. Ce sont des cellules "anormales" qui contiennent une quantité variable de chromosomes. Dit plus clairement, ces cellules sont tumorigènes, c'est à dire susceptibles d'induire des tumeurs cancéreuses. Depuis peu, elles constituent une étape essentielle dans la fabrication des vaccins mais posent encore énormément de questions. "Le grand débat philosophique est: peut-on utiliser une cellule tumorigène pour faire un vaccin destiné à des enfants? Certains disent que les quantités d'information génétique, c'est à dire d'ADN, étant extrêmement faibles, il n'y a aucun risque, certains disent attention, on vaccine des enfants, que va-t-il se passer dans cinquante ans?" explique Jean-François Saluzzo de Sanofi Pasteur avant de rajouter "C'est actuellement le débat aux Etats-Unis, avec le vaccin contre la grippe produit sur MDCK par Novartis. Le débat au niveau de la FDA reste très élevé, car c'est moralement un problème très important."


Parmi les cellules tumorigènes utilisées et pouvant induire des tumeurs malignes on compte donc les MDCK, issues de reins de chiens! Marche-t-on sur la tête? Surprenante découverte que ces manipulations. Le fameux vaccin antigrippal "américain" dont parle Jean-François Saluzzo, est l'Optaflu de Novartis. Il a également reçu son autorisation de mise sur le marché en Europe, depuis juin 2007! C'est le premier vaccin homologué à être produit sur de telles cellules."

 
Inquiété par ce nouveau process de fabrication, le médecin et épidémiologiste allemand Wolfgang Wodarg, également président de la subcommission pour la Santé du Conseil de l'Europe, a tiré la sonnette d'alarme. [...] "C'est sur ces cellules au rendement très élevé qu'on cultive les virus. Seulement pour fabriquer le vaccin, il faut extraire à nouveau les virus de ces cellules sur lesquelles ils ont été implantés. Et il peut donc se produire que durant le processus de fabrication du vaccin, des restes de cellules cancéreuses demeurent dans la préparation. [...] Il ne peut donc pas être exclu que des protéines, restes d'une cellule cancéreuse présente dans un vaccin fabriqué par bio-réacteur, engendrent une tumeur chez la personne vaccinée. Selon un vrai principe de précaution, il faudrait donc, avant qu'un tel produit ne soit autorisé sur le marché, avoir la certitude à 100% que de tels effets sont réellement exclus. Or l'Agence européenne du médicament (EMA), une institution sous la responsabilité du commissaire européen à l'économie, basée à Londres, qui donne les autorisations de mise sur le marché des vaccins en Europe, a donné son feu vert à la commercialisation de ce produit en arguant, en l'occurrence, que ce mode de fabrication ne constituait pas un risque significatif." En 2010, Wolfgang Wodarg est donc intervenu au Bundestag, l'Assemblée parlementaire allemande, dont il était membre, pour que le vaccin ne soit pas utilisé en Allemagne. "J'ai fait savoir que je n'étais certainement pas opposé à l'élaboration de vaccins avec cette technique. Mais qu'il fallait d'abord avoir une garantie totale d'innocuité. Le produit n'a donc pas été utilisé en Allemagne où le gouvernement a résilié le contrat avec Novartis." ajoute-t-il. Ce vaccin n'a pas encore été commercialisé en France... pour l'instant. En revanche, un vaccin nommé Celtura, du même laboratoire, a été administré aux Suisses, pendant la pandémie de grippe H1N1. Il contenait ces fameuses cellules tumorigènes. Et que lit-on sur la notice? "Contient des traces de protéines canines issues des lignées cellulaires MDCK." Auraient-ils accepté cette vaccination s'ils avaient su? La transparence devrait commencer ici. Le cas échéant, nous devenons des cobayes humains."
 
Sur l'aluminium vaccinal, AVEUX ACCABLANTS DU MEDECIN GSK RESPONSABLE DES ADJUVANTS (!) – en page 103 et 104:

 

"En réalité, le seul adjuvant [aluminique] autorisé pour la consommation humaine, est le plus empirique. Personne ne sait comment il fonctionne, personne ne connaît sa biodistribution. [...] En fait, je crois que si l'alun arrivait maintenant, il ne serait pas accepté." Dr Nathalie Garçon, spécialiste des adjuvants pour Glaxo Smith Kline, à l'occasion d'un atelier sur l'évaluation de la sécurité des vaccins, Etats-Unis, 2002. (cfr ici, p 220)

(Nathalie Garçon dirige actuellement le Centre des adjuvants vaccinaux des laboratoires GlaxoSmithKline Biologicals (GSKB), en Belgique)

 

En dépit de cette « ignorance » poursuit Virginie Belle, la firme continue d’utiliser les sels d’aluminium dans la plupart de ses vaccins. Cette absence de données pharmacotoxicologiques ne dérange pas non plus les autorités qui valident docilement la commercialisation de ces produits. »


Propos des Prs Shaw et Petrik sur l'aluminium vaccinal (en page 106) :


"La neurotoxicité PROUVEE de l'hydroxyde d'aluminium et son ubiquité relative en tant qu'adjuvant semblent justifier une surveillance accrue de la part de la communauté scientifique." concluent ces professeurs.


"L'hydroxyde d'aluminium constitue UN DANGER POUR LES ENFANTS VACCINES, d'une part à cause de "l'effet retard" de cette substance, d'autre part car la barrière hémato-encéphalique, qui protège leur cerveau, reste ouverte jusqu'à l'âge de 2 ans et demi. La toxicité de l'aluminium représente donc un danger pour le rythme du développement du système nerveux central" précise encore le Pr Chris Shaw.

 

Les autorités et les fabricants de vaccins se foutent donc littéralement de vous, de votre santé et de celles de vos enfants. En dépit de leurs beaux « slogans » selon lesquels votre santé est leur priorité, il s’avère en réalité que ces « partenaires naturels » surpuissants des pouvoirs publics vous font courir des risques tout à fait disproportionnés après avoir habilement préparé l’opinion publique et dramatisé honteusement la maladie contre laquelle on vaccine.

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